La Suisse aura le dernier mot dans l’histoire selon Victor Hugo.

Charlie Chaplin est victime du maccarthisme (son nom figure sur la « liste noire de Hollywood »), il est harcelé par le FBI en raison de ses opinions de gauche (pour sa part, il se présentait comme un « citoyen du monde »). On l’a fait passer pour communiste alors qu’il était pour le crédit social.
http://www.michaeljournal.org/annexA.htm
En fait, il fait fortune car il suit les conseils de Clifford H. Douglas, connu pour avoir créé le concept de Crédit social et promoteur du revenu de base inconditionnel
En 1952, Charlie Chaplin et sa famille retournent à Londres pour promouvoir le nouveau long métrageLes Feux de la rampe. Profitant de l’occasion, le sénateur Joseph McCarthy lui interdit de retourner en Amérique, en supprimant son visa10.

Il renonce alors à sa résidence aux États-Unis et installe sa famille en Suisse, à Corsier-sur-Vevey au Manoir de Ban, jusqu’à la fin de ses jours.

En 1954, il donne deux millions de Francs à l’Abbé Pierre et à Emmaüs, soit environ 40 500 euros (en valeur 2010), à la suite de l’appel de 1954. Il déclare à cette occasion : « je ne les donne pas, je les rends. Ils appartiennent au vagabond que j’ai été et que j’ai incarné. »11

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9dit_social

 http://www.youtube.com/watch?v=GnKgZ0tZvfI

en anglais, encore mieux:

http://www.youtube.com/watch?v=QcvjoWOwnn4

 
Le
film date d’avant guerre et pourtant lorsque l’on écoute ce discours,
c’est vraiment d’actualité après toutes ses années. Un message fort en
émotion qu’il faudrait faire diffuser au monde entier.

“Je suis
désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je
ne veux ni conquérir ni diriger personne. Je voudrais aider tout le
monde dans la mesure du possible ; juifs, chrétien,
païen, blanc et noir. Nous voudrions tous nous aider si nous le
pouvions, les êtres humains sont ainsi fait. Nous voulons donner le
bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas
haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous à sa place et
notre terre est bien assez riche elle peut nourrir tous les êtres
humains, nous pouvons tous avoir une vie belle est libre, mais nous
l’avons oublié.
L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a
barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et
les effusions de sang. Nous avons développer la vitesse pour nous
enfermer en nous-même. Les machines qui nous apporte l’abondance nous
laisse dans l’insatisfaction, notre savoir nous a fait devenir cynique,
nous sommes inhumain à force d’intelligence.
Nous ne ressentons pas
assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous
manquons d’humanité, nous sommes trop cultivés et nous manquons de
tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines la vie n’est
plus que violence et tout est perdu.
Les avions, la radio nous ont
rapproché les uns des autres, ces inventions ne trouverons leur vrai
sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité,
l’amitié et l’unité de tous les Hommes.
En ce moment même, ma voix
atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes
de femmes et d’enfants désespérés, victime d’un système qui torture les
faibles et emprisonne les innocents. Je dis à tous ceux qui m’entendent,
ne désespérez pas, le malheur qui est sur nous n’est que le produit
éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès
qu’accompli l’humanité. Mais la haine finira par disparaître et les
dictateurs mourront et le pouvoir qu’il avait pris au peuple, va
retourner au peuple et tant que les hommes mourront, la liberté ne
pourra pas périr.
Soldat, ne vous donner pas à ces brutes, à une
minorité qui vous méprise et fait de vous des esclaves en régiment toute
votre vie et qui vous dit ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser
qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canon et
qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres
inhumains. Ces hommes machine avec une machine à la place de la tête et
une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines, vous n’êtes pas
des esclaves, vous êtes des Hommes. Des Hommes avec tout l’amour du
monde dans le cœur, vous n’avez pas de haine sinon pour ce qui est
inhumain, ce qui n’est pas fait d’amour. Soldat, ne vous battez pas pour
l’esclavage mais pour la liberté. Il est écrit dans l’évangile selon
Saint Luc ; le royaume de Dieu est dans l’être humain, pas dans un seul
humain ni dans un groupe d’humain mais dans tous les humains. En vous,
vous le peuple qui avez le pouvoir. Le pouvoir de créer les machines, le
pouvoir de créer le bonheur, vous le peuple, en avez le pouvoir. Le
pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette
vie une merveilleuse aventure. Alors au nom même de la Démocratie,
utilisons ce pouvoir, il faut tous nous unir, il faut nous battre pour
un monde nouveau, décent et humain, qui donnera à chacun l’occasion de
travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et la vieillesse, la
sécurité. Ces brutes vous ont promis toutes ces choses, pour que vous
leur donniez le pouvoir, ils mentaient, ils n’ont pas tenu leurs
merveilleuses promesses, jamais ils ne le feront, les dictateurs
s’affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du
peuple. Alors il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses,
il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les
frontières et les barrières raciale, pour en finir avec l’avidité avec
la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde
de raison. Un monde où la science et le progrès mèneront tous les Hommes
vers le bonheur. Soldats, au nom de la démocratie, unissons-nous tous !”

“Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.”

Charlie Chaplin

ChaplinCharlieMy Autobiography, Simon & Schuster, 1964



Charlie Chaplin and Social Credit
Most people have heard of Charlie Chaplin
(1889-1977), probably the most popular screen
comic of all times with his character of the tramp
that captivated audiences all over the world. But
did you know that Chaplin was in favor of Douglas’s
Social Credit? He mentioned it himself in
his autobiography, published in 1964:
“During the filming of City Lights, the stock
market crashed. Fortunately, I was not involved
because I had read Major C. H. Douglas’s Social
Credit, which analysed and diagrammed our
economic system… I was so impressed with
his theory that in 1928, I sold all my stocks and
bonds, and kept my capital fluid.”
On another page, Chaplin wrote: “I was discussing
Major Douglas’s book, Economic Democracy,
and said how aptly his credit theory
might solve the present world crisis.”

Source:

[PDF]

“In God’s family, no one ought to go without the necessities of life”

Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat – Version HTML
Social Credit and the Kingdom of God. By Eric D. Butler 4 to 7. Charlie Chaplin and Social Credit. 6. Full employment is outmoded. JP II 
www.michaeljournal.org/english-june-july-august-06.pdf – Pages similaires – À noter

page 6….

Further Reading

ChaplinCharlieMy Autobiography, Simon & Schuster, 1964 


More:


Chaplin also had a genius for many things besides filmmaking. According to his biographer, David Robinson, “he was particularly fascinated by economics.”
After reading “Social Credit,” by Major H. Douglas, Chaplin “was so impressed by its theory of the direct relationship of unemployment to failure of profit and capital” that he took growing U.S. unemployment as a warning and “in 1928 turned his stocks and bonds into liquid capital, and so [was] spared at the time of the Wall Street crash” of 1929.
In “Modern Times,” which he began filming in 1933, Chaplin anticipated the droll humor of Beckett’s “Waiting for Godot.” Two tramps on a park bench solemnly discuss the world economic crisis and their fears about going off the gold standard: “This means the end of our prosperity–we shall have to economize.”
In the 1930s and ’40s, the protean artist became a target for ultraconservatives who reviled his morals–all four of Chaplin‘s wives were teenagers when he married them, including two who were 16–as well as his left-wing politics.
During the McCarthy period, while on a trip to London for the 1952 world premiere of “Limelight” with his fourth wife, Oona (the daughter of Eugene O’Neill), and their children–the 63-year-old Chaplin was barred by the U.S. attorney general from reentering the country. (He subsequently moved to Vevey, Switzerland, but returned in triumph in 1972, invited back by the Film Society of Lincoln Center in New York.)
Many of the pictures in the Port’s mini-retrospective, “Between Laughter and Tears,” are readily seen on video. (“Limelight,” incidentally, has a scene with Buster Keaton, the only time the two greatest comedians of silent pictures appeared together, Robinson notes, “and the only time since 1916 that Chaplin had worked with a comic partner.”)
But this is a chance to catch Chaplin where he truly belongs–in a movie house on a screen that offers the proper treatment of his larger-than-life vitality and pathos.

Social Credit – Wikipedia, the free encyclopedia

– [ Traduire cette page ]

Names associated with Social Credit include Charlie Chaplin, William Carlos Williams, Ezra Pound, T. S. Eliot, Herbert Read, Aldous Huxley, Storm Jameson,

http://veritasincaritate.blogspot.ch/2009/07/names-associated-with-social-credit.html

URGENT: http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/signez-maintenant/

Revenu de base ou dividende universel.

Revenu de base inconditionnel. Réponses FAQ

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