M. Gerhard ULRICH fait la lumière sur le régime de l’oligarchie occulte de la franc-maçonnerie et de ses clubs de services (Rotary, Lions Club, Kiwanis, etc.), qui dirigent le système judicaire actuel et les pouvoirs politiques. Le citoyen qui passe à la moulinette de la machine judiciaire bien huilée, ressent instinctivement qu’il est Victime d’un complot. Mais il est incapable de le prouver, car le système cultive soigneusement la non transparence. Si une telle personne invoque l’aide des politiciens, on se débarrasse d’elle sous prétexte du dogme de la séparation des pouvoirs. Les dogmes ont toujours servi à asservir les peuples.L’auteur de ces révélations observe depuis 16 ans le dysfonctionnement judiciaire, archivant systématiquement les résultats dans sa base de données, devenue volumineuse. A l’opposé d’autres critiques du régime, il s’est montré jusqu’à présent prudent concernant ses attaques au sujet de la Franc-maçonnerie. Il était conscient que ses connaissances de ce qui se passe dans nos prétoires, étaient assez modestes. Cependant, la persévérance et un travail continu lui permettent aujourd’hui de rejoindre la position de Marc-Etienne BURDET sur le sujet.


Le dossier de la Victime Jacques ROMANENS démontre une fois de plus les conséquences des coups portés aux Victimes par les Francs-Maçons qui occupent les sièges du pouvoir judiciaire. Leur activité crasse en faveur de leurs “Frères” de Secte, contribue à mettre les justiciables dans des situations insoutenables. Pour les Victimes judiciaires, il est peine perdue de vouloir prouver à leurs bourreaux qu’elles sont dans leur bon droit… 

C’est seulement en démontrant à l’Opinion publique que les magistrats détracteurs sont indignes et ne sont pas légitimés à exercer leurs fonctions que les choses changeront ! Nous lançons un APPEL AU PEUPLE POUR METTRE FIN À CETTE TYRANNIE !

Dénonciation de la tentative de liquidation de Jacques ROMANENS


Jacques ROMANENS était atteint par des maladies rares qui le rendaient handicapé et vulnérable, exposé au risque de fausses routes. Selon sa volonté, il continuait à vivre chez lui, à Renens, en recevant des soins à domicile. Le 17 juin 2011, l’infirmière Augustine ANKER, av. de Montchosi 63, Lausanne, et l’aide-soignante Aurore BARBE du CMS Renens Nord, ont tenté de liquider ce patient encombrant par simulation de noyade. Il a miraculeusement survécu et pu témoigner et expliquer comment ces anges de la mort ont procédé. Elles ont bénéficié du soutien scandaleux de leur hiérarchie: Manon FAWER, directrice, ch. des Glycines 10, 1022 Chavannes-près-RenensFrancine JECKER, responsable du DSAS, Grand’Rue 3, 1162 St-Prex Karim BOUBAKER, médecin cantonal. Se servant d’une expertise de complaisance établie par le médecin légiste Patrice MANGIN, le «procureur» Pascal GILLIÉRON a débouté la plainte de Jacques ROMANENS par une ordonnance de classement, approuvée par le « Procureur général » Eric COTTIER, Av. de Jaman 11, Lausanne, en faveur d’ANKER. Cela dans le but d’éviter tout risque d’un débat public lors d’un procès. Les recours du plaignant furent enterrés par les «juges» cantonaux Bernard ABRECHT, r. du Vieux-Bourg 1, Cully, Joël KRIEGER, av. Gratta-Paille 11, Lausanne et Guillaume PERROT. Puis le « juge » fédéral Christian DENYS, ch. des Crêtes 2a, Lausanne, qui couvre déjà les nombreux cas de corruption vaudois, a épaulé ses complices vaudois. Les Conseillers d’Etat Pierre-Yves MAILLARD, r. du Lac 42, Renens et Béatrice MÉTRAUX, ch. du Ru 17, Bottens ont été mis au courant de cette tentative de liquidation. Tous deux se sont barricadés derrière la chimérique séparation des pouvoirs et sont ainsi devenus complices de tentative d’assassinat, aux dépens de Jacques ROMANENS. …


Morts par euthanasies actives illégales de mes deux parents
Mes deux parents sont morts dans des circonstances très étranges. Le décès de mon père le le 5 février 2006 est vraiment suspect. Nous n’avons toujours pas reçu le rapport final de l’autopsie que nous attendons des autorités vaudoises depuis le mois de février 2006 qui a été demandé plusieurs fois sur recommandation du médecin qui a trouvé louche ce décès au milieu de la nuit et les deux médicaments antagonistes.
Hospitalisé au CHUV pour un très grave refroidissement sur demande d’un médecin, il est renvoyé quelques heures plus tard dans une ambulance glaciale à St Loup, hospitalisé loin des siens pour des motifs sordides et faux d’économies, vu les pressions des banques et de leurs bénéfices honteux par de la « création » monétaire du néant, qui violent la morale…( voir la démonstration ci-dessous ). Il est alors « parqué » dans une chambre d’angle et au coin Nord glaciale, fenêtre presque toujours ouverte et sans chauffage. Il lui était impossible de dormir tellement il avait froid. Le chauffage n’est ouvert que 3 jours plus tard (témoin externe à la famille).
On lui fait une interdiction d’employer des plantes qu’il utilisait depuis des mois avec succès (notamment. l’épilobe). Vu le froid, il s’infecte et il est opéré en urgence pour vider la vessie d’un drain qui reste extérieur et ouvert jusqu’à sa mort, porte ouverte aux infections.
Il est à nouveau infecté et transféré à Béthanie qui n’est pas un hôpital où il subit un traitement tardif de cette infection avec forte fièvre seulement sur ma demande insistante.
Nouveau transfert sans nous consulter à Sylvana d’un vieux Monsieur qui n’aime pas être transbahuté comme un colis au plus froid de l’hiver, tout ceci à quelques jours d’intervalles, et voici un décès très suspect vu l’administration de médicaments contradictoires ( notamment par un fort diurétique et une forte hausse de tension provoquée par un autre produit) et la visite d’une femme docteur qui insistait fortement et longuement pour faire de l’euthanasie active.
Il faut rappeler que tout ceci se déroule lors d’ une élection où mon père était candidat aux élections.
Sans oublier d’autres faits troublants, concernant notre mère, qui a subi de graves mauvais traitements, avec notamment un bras cassé à l’EMS de Mont-Calme, l’ingestion de médicaments douteux et un quasi emprisonnement à l’Orme.
En effet, elle est entrée dans cet établissement en sachant marcher, et j’ai découvert de retour d’un voyage qu’elle y a été ligotée sur son lit ou sur sa chaise et en est ressortie quelques semaines plus tard impotente, avec des cloques et des esquarres…
On peut se demander si la pire conséquence ne serait pas une maladie dite d’Alzheimer. Celle-ci s’est aggravée par un traitement indélicat d’un dentiste …, M. X…, soit une narcose avec ablation totale des dents, en profitant de l’état de faiblesse de notre mère.
Puis, par un grave accident sur la paroisse du St Rédempteur, dû à une mauvaise construction et conception d’un escalier toujours sans rambarde, qui a motivé à nouveau une narcose dommageable au cerveau de notre mère. L’escalier sur le côté de l’Église de la paroisse du St Rédempteur est toujours sans rambarde pour économiser…
Et voici que l’EMS arrête totalement de la nourrir sur ordre de la direction pendant les fêtes de Noël, sans rien nous demander car en restrictions de personnel…et elle meurt le 3 janvier…
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