La Catalogne, comme la Sardaigne, la Corse etc…, peuvent devenir suisses en suivant l’exemple du Jura, nouvel État suisse.


Redevenir un Souverain neutre, en paix, tolérant, avec une civilisation millénaire.

Au 21ème siècle, pas besoin d’être limitrophe, soyons ouverts à la modernité. L’union fait la force. 

Libération financière: http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/02/finance-la-bombe-atomique-suisse.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/07/pour-une-suisse-qui-dure.html

https://www.facebook.com/groups/cantonmarittimo/ 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/10/pro-jura-de-m-dominique-baettig.html





Mme
Doris Leuthard, présidente de la Confédération helvétique, s’est
inspirée de la devise “un pour tous, tous pour un” inscrite dans la
coupole du Palais fédéral à Berne pour son allocution du 1er août 2010. 



Voir la photographie, avec les drapeaux des cantons. 


La devise est inscrite en latin Unus pro omnibus,  au-dessus et omnes pro uno au-dessous de la Croix fédérale.


“Revenons à des débats politiques constructifs”, a lancé Doris Leuthard dans son discours enregistré à Horben (AG), car la démocratie directe donne la possibilité à tous les citoyens de peser sur les décisions. 

La
présidente a prôné des solutions soutenues par tous. Selon elle, les
défis du moment sont l’adaptation de la sécurité sociale aux changements démographiques et la protection de l’environnement, notamment.

Selon
le texte écrit de son discours enregistré à Horben, sur le Lindenberg
(AG). «Nos entreprises sont proches de nous», nous assurant un haut
niveau de vie, et «le dynamisme de la recherche scientifique nous
prépare idéalement aux nouveaux défis», a assuré la conseillère
fédérale.



«Tournons
le dos à l’égoïsme et réapprenons le respect de l’autre», a conclu
Doris Leuthard. Par des «débats politiques constructifs», nous pourrons
relever les défis du moment, soit l’adaptation de la sécurité sociale
aux changements démographiques, l’accroissement de la mobilité, la
protection de l’environnement et le maintien de notre haute qualité de
vie.



2010 – Allocution de Madame Doris Leuthard présidente de la Confédération à l’occasion de la Fête nationale

1er août 2010 – Les paroles prononcées font foi

Cher concitoyens, Chères concitoyennes,

C’est
depuis le Lindenberg, dont le sommet surplombe la vallée de la Reuss,
que je m’adresse à vous en ce jour de fête nationale. Au loin, on
distingue les crêtes de l’Albis et le lac de Zoug. C’est ici, en
Argovie, que je me sens chez moi. Ici, en effet, je suis proche des
gens, proche de nos traditions, proche de nos valeurs. Mais depuis ici,
mon regard peut également porter au loin. Ici, sur le Lindenberg, ce
va-et-vient entre le proche et le lointain, entre la patrie et
l’ouverture au monde, est vraiment palpable. Et il est caractéristique
de l’identité suisse.

La proximité, la patrie, ce sont d’abord les gens: c’est la région où
l’on vit, le cocon où l’on se sent en sécurité, une histoire riche et
une culture dont on fait partie intégrante. Ce sont aussi les
expériences des générations qui nous ont précédés et les succès que nous
avons engrangés.

Nous pouvons être fiers de nos acquis:

  • la démocratie directe donne à tous les citoyens la possibilité de peser sur les décisions;
  • nos entreprises sont proches de nous et nous assurent un haut niveau de vie et un développement respectueux de l’environnement;
  • le dynamisme de la recherche scientifique nous prépare idéalement aux nouveaux défis.
Pour
autant, nous ne négligeons pas ce qui est loin de nous. Nous n’avons
jamais été forts tout seuls et nous ne le serons jamais. C’est pour cela
que nous avons cultivé de bons rapports avec nos voisins et avec des
pays lointains. Nous nous sommes aussi montrés solidaires lorsque
d’autres avaient besoin d’aide.

Nous avons toujours su bien gérer les problèmes. La crise économique que
nous traversons n’en est que le dernier exemple. Mais pour cela, chacun
doit apporter sa contribution, là où il est et selon ses possibilités.
Nous arriverons alors à relever les défis du moment:

  • adapter notre sécurité sociale aux changements démographiques,
  • maîtriser l’accroissement de la mobilité, sur la route comme sur le rail, et trouver des sources de financement,
  • protéger notre environnement et maintenir notre haute qualité de vie.
Ne
nous leurrons pas: les discussions politiques seront vives. Mais
ensemble nous saurons résoudre ces problèmes démocratiquement.

Il me semble donc plus important de réfléchir à ce qui nous permettra de
continuer à être fiers de notre pays. Car j’en suis sûre et certaine:
nous voulons tous que la Suisse soit respectée et reconnue. Quels sont
donc nos objectifs? Quels sont nos projets? Quel rôle voulons-nous jouer
dans ce monde en perpétuelle mutation? Quelle contribution voulons-nous
apporter aux changements? Quel type de relations voulons-nous avec nos
voisins européens? Comment voyons-nous la Suisse dans dix ans?

Posons-nous ces questions sur notre avenir: le jour de notre fête
nationale s’y prête particulièrement. Le Conseil fédéral ne peut mener
ce débat seul. Personne n’a de solution miracle: ni moi ni ceux qui le
claironnent à longueur d’année. 


Des
solutions, soutenues par l’ensemble de la société, c’est ensemble que
nous les trouverons: nous avons besoin des idées de chacun d’entre
vous. 

Mener un débat de fond nous aidera par ailleurs à dissiper les craintes diffuses qui sont apparues. 

Ensemble, nous pouvons donner un nouvel élan à notre pays et montrer la voie à suivre

La
démocratie, ce n’est pas faire son poing dans la poche ou protester
bruyamment. La démocratie, c’est s’engager pour l’avenir de son pays. 

Utilisez donc vos droits de citoyen et participez activement à la discussion.

Chers concitoyens, Mettons l’accent sur la proximité, prenons soin les
uns des autres et allons de l’avant sans fermer les yeux sur les
problèmes. 


Mais laissons aussi notre regard porter au loin: agissons pour aider les nombreuses personnes dans le monde qui continuent de vivre dans la pauvreté et le dénuement.

 Revenons à des débats politiques constructifs. Tournons le dos à l’égoïsme et réapprenons le respect de l’autre. 

Inspirons-nous donc de la devise inscrite dans la coupole du Palais fédéral à Berne: 

«Un pour tous, tous pour un».
Je vous souhaite une belle fête nationale.



Hymne national suisse (Cantique suisse)




1er strophe


Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d’un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l’âme attendrie;
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.

2e strophe

Lorsqu’un doux rayon du soir
Joue encore dans le bois noir,
Le coeur se sent plus heureux près de Dieu.
Loin des vains bruits de la plaine,
L’âme en paix est plus sereine,
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.

3e strophe

Lorsque dans la sombre nuit
La foudre éclate avec bruit,
Notre coeur pressent encore le Dieu fort;
Dans l’orage et la détresse
Il est notre forteresse;
Offrons-lui des coeurs pieux:
Dieu nous bénira des cieux,
Dieu nous bénira du haut des cieux.

4e strophe

Des grands monts vient le secours;
Suisse, espère en Dieu toujours!
Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
Sur l’autel de la patrie
Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
C’est le trésor précieux
Que Dieu bénira des cieux,
Que Dieu bénira du haut des cieux.
Unus pro omnibus, omnes pro uno.

Le lieu choisi:

Horben, sur le Lindenberg (AG)

Château et chapelle, à Beinwil (Freiamt) AG, au sommet du Lindenberg…( la montagne aux Tilleuls ).

 …sous le prince-abbé Gerold Haimb, la chapelle, dédiée aux saints Wendelin et Ubald, fut consacrée en 1730. …

Bibliographie

 
– Beinwil/Freiamt – Zeitbilder einer Landgemeinde, 1988

Auteur(e): Anton Wohler / FS

Saint Wendelin serait né en 554, fils du roi d’Ecosse Forchado et de la reine Irelina. Aspirant à une vie simple, il quitte sa patrie et sa destinée royale pour vivre en humble et prier Dieu. Après un passage à Rome, il arrive en Allemagne, mendiant son pain et se nourrissant d’herbes sauvages et d’eau. Il vit chez les bénédictins de Trèves et devient selon la légende, l’abbé de Tholey dans les années 597Mort en 617, Wendelin est enterré dans sa cellule, au-dessus de laquelle l’archevêque de Trèves Baldwin (Baudouin), fait construire en 1320 une chapelle. La ville de Saint-Wendel, dans la Sarre, se formera plus tard autour de son tombeau. Par la suite, les reliques du saint sont transférées dans l’église de Trèves.





16/05 St Ubald, évêque et confesseur

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Sommaire

  Textes de la Messe  
  Office  
  Dom Guéranger, l’Année Liturgique  
  Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum  
  Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique  
Déposition à Gubbio (Ombrie) en 1160. Canonisé en 1192. Fête en 1605.

Textes de la Messe

die 16 maii le 16 mai
SANCTI UBALDI SAINT UBALD


Ep. et Conf.



Evêque et Confesseur



III classis (ante CR 1960 : semiduplex)



IIIème classe (avant 1960 : semidouble)


Missa Státuit, de Communi Confessoris Pontificis I loco, præter orationem sequentem : Messe Státuit, du Commun d’un Confesseur Pontife I, sauf l’oraison suivante :
Oratio P Collecte P
Auxílium
tuum nobis, Dómine, quǽsumus, placátus impénde : et, intercessióne
beáti Ubaldi Confessóris tui atque Pontíficis, contra omnes diáboli
nequítias déxteram super nos tuæ propitiatiónis exténde. Per Dóminum
nostrum.
Laissez-vous
fléchir, Seigneur : que l’intercession du bienheureux Ubald votre
Confesseur et Pontife nous obtienne votre secours ; étendez sur nous
votre main miséricordieuse pour nous défendre contre toutes les
perfidies du démon.
Secreta C Secrète C
Sancti tui, quǽsumus, Dómine, nos ubíque lætíficant : ut, dum eórum mérita recólimus, patrocínia sentiámus. Per Dóminum. Que
le souvenir de vos Saints nous soit, ô Seigneur, en tous lieux, un
sujet de joie, afin que nous ressentions la protection de ceux dont nous
célébrons à nouveau les mérites.
Postcommunio C Postcommunion C
Præsta,
quǽsumus, omnípotens Deus : ut, de percéptis munéribus grátias
exhibéntes, intercedénte beáto Ubáldo Confessóre tuo atque Pontífice,
benefícia potióra sumámus. Per Dóminum.
Accordez-nous,
s’il vous plaît, ô Dieu tout-puissant, qu’en rendant grâces pour les
dons reçus, nous recevions plus de bienfaits encore grâce à
l’intercession du bienheureux Ubald votre Confesseur et Pontife.

Office

Leçons des Matines avant 1960
Quatrième leçon. Ubald,
né d’une famille noble, à Gubbio, en Ombrie fut, dès ses plus tendres
années, élevé avec grand soin dans la piété et les lettres. Au cours de
sa jeunesse, on le pressa plusieurs fois d’embrasser l’état du mariage,
mais jamais il n’abandonna sa résolution de garder la virginité. Ordonné
Prêtre, il distribua son patrimoine aux pauvres et aux Églises, et
étant entré chez les Chanoines réguliers de l’Ordre de Saint-Augustin,
il établit cet institut dans sa patrie, et y vécut quelque temps de la
manière la plus sainte. La réputation de sa sainteté s’étant répandue,
i ! fut préposé malgré lui par le Souverain Pontife Honorius II au
gouvernement de l’Église de Gubbio, et reçut la consécration épiscopale.
Cinquième leçon. Ayant
donc pris possession de son Église, il ne changea rien à sa manière de
vivre accoutumée, mais il commença à se distinguer d’autant plus en tout
genre de vertus, qu’il procurait très efficacement le salut des autres
par la parole et l’exemple, s’étant fait de cœur le modèle de son
troupeau. Sobre dans sa nourriture, sans recherche dans ses vêtements,
n’ayant pour couche qu’un lit dur et très pauvre, il portait constamment
en son corps la mortification de la croix, tandis qu’il nourrissait
chaque jour son esprit par une application incessante à la prière. C’est
ainsi qu’il parvint à cette admirable mansuétude, qui lui fit non
seulement supporter avec égalité d’âme les plus graves injures et les
mépris, mais encore prodiguer avec l’admirable tendresse de la charité
une entière bienveillance à ses persécuteurs.
Sixième leçon. Deux
ans avant de sortir de cette vie, Ubald, affligé de longues maladies,
fut purifié comme l’or dans la fournaise, par les plus cruelles
souffrances ; cependant il ne cessait de rendre grâces à Dieu. Le saint
jour de la Pentecôte étant arrivé, il s’endormit dans la paix, après
avoir gouverné de nombreuses années avec le plus grand mérite l’Église
confiée à ses soins, et être devenu illustre par ses saintes œuvres et
par ses miracles. Le Pape Célestin III a mis Ubald au nombre des Saints.
Son pouvoir éclate particulièrement pour mettre en fuite les esprits
immondes. Son corps, demeuré sans corruption après tant de siècles, est
l’objet d’une grande vénération de la part des fidèles dans sa patrie
que plus d’une fois il a délivrée de périls imminents.

Dom Guéranger, l’Année Liturgique

Pour
honorer son Pontife éternel, la sainte Église lui présente aujourd’hui
les mérites d’un Pontife mortel ici-bas, mais entre, après cette vie,
dans les conditions de l’immortalité bienheureuse. Ubald a représenté le
Christ sur la terre ; comme son divin chef il a reçu l’onction sainte,
il a été médiateur entre le ciel et la terre, il a été le Pasteur du
troupeau, et maintenant il est uni à notre glorieux Ressuscité, Christ,
Médiateur et Pasteur. En signe de la faveur dont il jouit auprès de lui
dans le ciel, le Fils de Dieu a confié à Ubald le pouvoir spécial d’agir
efficacement contre les ennemis infernaux, qui tendent quelquefois aux
hommes de si cruelles embûches. Souvent l’invocation du saint évêque et
de ses mérites a suffi pour dissoudre les machinations des esprits de
malice ; et c’est afin d’encourager les fidèles à recourir à sa
protection que l’Église l’a admis au rang des saints qu’elle recommande
plus particulièrement à leur dévotion.
Soyez
notre protecteur contre l’enfer, ô bienheureux Pontife ! L’envie des
démons n’a pu souffrir que l’homme, cette humble et faible créature, fût
devenu l’objet des complaisances du Très-Haut. L’incarnation du Fils de
Dieu, sa mort sur la croix, sa résurrection glorieuse, les divins
Sacrements qui nous confèrent la vie céleste, tous ces sublimes moyens à
l’aide desquels la bonté de Dieu nous a rétablis dans nos premiers
droits, ont excité au plus haut degré la rage de cet antique ennemi, et
il cherche à se venger en insultant en nous l’image de notre créateur.
Il fond quelquefois sur l’homme avec toutes ses fureurs ; par une
affreuse parodie de la grâce sanctifiante qui fait de nous comme les
instruments de Dieu, il envahit, il possède des hommes, nos frères, et
les réduit au plus humiliant esclavage. Votre pouvoir, ô Ubald, s’est
signalé souvent dans la délivrance de ces victimes infortunées de
l’envie infernale ; et la sainte Église célèbre en ce jour la
prérogative spéciale que le Seigneur vous a confiée. Dans votre charité
toute céleste, continuez à protéger les hommes contre la rage des
démons ; mais vous savez, ô saint Pontife, que les embûches de ces
esprits de malice sont plus fatales encore aux âmes qu’elles ne le sont
aux corps. Prenez donc pitié aussi des malheureux esclaves du péché, sur
lesquels le divin soleil de Pâques s’est levé sans dissiper leurs
ténèbres. Obtenez qu’ils redeviennent enfants de la lumière, et que
bientôt ils aient part à cette résurrection pascale dont Jésus est venu
nous apporter le gage.

Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum

La
fête de ce saint évêque de Gubbio (+ 1160), si puissant contre les
esprits infernaux, entra dans le calendrier de l’Église universelle
seulement sous Paul V. La messe Statuit est du Commun, mais la première collecte est propre.
La mitre de saint Ubald est conservée à Rome dans la basilique d’Eudoxie sur l’Esquilin, où l’on célèbre sa fête.
Prière.
— « Apaisez-vous, Seigneur, en nous accordant votre secours ; et par
l’intercession du bienheureux Ubald, votre Pontife et confesseur,
étendez sur nous votre bras miséricordieux contre toute malice
diabolique. Par notre Seigneur, etc. »
Il vainc
le diable, celui qui s’exerce surtout aux vertus qui s’opposent
davantage à sa malice ; l’amour de Dieu par exemple, l’humilité, la
chasteté et l’amour de la paix. Le démon apparut un jour à saint Macaire
et lui demanda : Macaire, que font les moines de plus que nous ? Ils
jeûnent souvent, et nous ne goûtons aucune sorte de nourriture ; ils
dorment peu, et nous ne reposons jamais ; ils sont chastes, et nous
n’avons pas même de corps. En quoi donc les moines nous sont-ils
supérieurs ? Le saint répondit : Vous êtes orgueilleux, et les moines
sont humbles, voilà ce qu’ils font de plus que vous. Alors, confus, le
démon s’enfuit.

Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique

La liturgie connaît l’influence du diable dans l’Église et le combat efficacement.
Saint
Ubald. — Jour de mort : 16 mai (dimanche de la Pentecôte) 1160.
Tombeau : à Gubbio, en Ombrie. Image : On le représente en évêque, le
diable fuyant devant lui. Vie : Le saint est originaire de Gubbio, en
Italie. Il devint prêtre et chanoine. En 1128, malgré ses répugnances,
il céda aux désirs du pape Honorius II et fut nommé évêque de sa ville
natale. Dans cette charge, il fut un modèle de simplicité apostolique,
de zèle pastoral et de sainteté personnelle. On invoque volontiers son
secours contre les mauvais Esprits. Il mourut le 16 mai 1160. Son
tombeau se trouve dans sa ville natale. Son corps s’est conservé jusqu’à
nos jours sans corruption.
Pratique : La
puissance de saint Ubald se manifesta surtout dans l’expulsion des
mauvais Esprits. La liturgie, qui insiste tant sur la proximité des
anges, compte aussi avec la forte influence des mauvais Esprits, car
elle lutte continuellement contre eux. C’est pourquoi il n’est pas rare
de trouver, dans la liturgie, des exorcismes. Il y a également un grand
nombre de sacramentaux institués contre l’influence des mauvais Esprits,
par exemple l’eau bénite, les cierges, les rameaux bénits. Ne méprisons
pas ces moyens. — La messe (Statuit)
est du commun des confesseurs pontifes avec une oraison propre laquelle
nous demandons à Dieu, par l’intercession saint, d’étendre la main
contre toute méchanceté du diable ».

«Respect de l’autre» à la Suisse, surtout des minorités, depuis des siècles…

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