On peut en effet gagner plus en travaillant moins si la productivité du travail augmente, grâce aux robots…

D’accord si nous avons tous un dividende ou revenu de base inconditionnel universel pour
consommer les biens produits par les robots et nous trouverons des
tâches utiles à remplir ( éducation des enfants, art, agriculture pour
nourrir les affamés, recherche, etc …)
http://www.michaeljournal.org/images/Robots-or.jpg
Légende traduite: Ce robot peut tous vous remplacer, vous êtes donc tous au chômage.





Si les robots font tout le boulot, que va faire l’homme ?

I. Le
pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au
Souverain qui reprend le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et
du crédit, sans intérêt.
Il. Il
l’exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales
jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ce but.
III. Les
ressources financières, matérielles et intellectuelles du pays représentées par
les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie
et du crédit.
IV.
L’émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le
mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu’un sain
équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet
équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un dividende et
d’un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes
de la production automatisée.
V. Pour
que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué par leurs
prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le
montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera
versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu’elle aie
ou non des sources de revenus.
VI. Il
est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7
fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le
Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi
de réparer l’erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux
d’intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et
le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans et d’autres dettes tous
les sept ans ( 5 sabbats, sept jours, semaines, mois, 7 années et 7×7 années ).
Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles
régulières, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles
seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans et qu’une remise à
zéro des compteurs économiques  a lieu pour le bien de tous

VII. Les anciennes masses monétaires tirées du néant (emprunts fédéraux,
cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre,
les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.

 VIII.
La Banque nationale est directement placée sous le contrôle permanent – sans
Commission externe indépendante  – de l’Assemblée démocratique fédérale
(Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.
 IX.
Les réserves de la Banque nationale qui garantissent une monnaie indépendante
et forte sont constituées d’or physique stocké qu’en Suisse, ainsi que des
réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs,
orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, transplantables et à
même d’assurer pendant au moins 7 ans la subsistance du pays.
X. Tous
instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou
futurs qui iraient à l’encontre de cette loi ou qui viendraient à la violer
sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.
XI. Au vu
des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses
conséquences, l’Assemblée supprime immédiatement tous les impôts fédéraux
directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur
l’essence.
XII. De
même, les communes pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les
taxations sournoises.
     
 
Dispositions transitoires :
Le pays
crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux
d’intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre
d’enfants conçus.
Le
produit de la contribution de solidarité sera versé aux Collectivités locales
selon une clé de répartition démographique définie par le pays représenté par
l’Assemblée fédérale (Plénum).
L’écart
des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite
absolue indexée fixée à US $ 500’000.-.
Tout
dividende social ou autre prestation sociale n’empêche personne de travailler
en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise,
etc.
L’obligation
de refinancer les prêts à 100 % auprès de la Banque nationale reporte la
perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont
directement affectés aux besoins communs.
Tout financement d’investissement
à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme.
Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme.
Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution
à trois catégories d’établissements distincts et indépendants :

1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs
clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le
montant global des fonds empruntés.
3) Banques d’affaires : investissent dans les
entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.
Indexation
obligatoire de tous les engagements sur l’avenir : prêts, emprunts, salaires,
etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.
Interdire
le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création
de moyens de paiement ex nihilo.
Augmenter
les garanties en liquidités à 100 %, afin d’éviter les créations privées de
monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.
Supprimer
la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour
chaque place financière et pour chaque valeur.
Supprimer les programmes d’achat/vente automatiques
et à haute fréquence. Interdire la spéculation sur les indices et les produits
dérivés.
Abandonner le système de changes flottants pour un
système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.
Interdire toute dévaluation compétitive.
Abandonner
le dollar US $ comme monnaie de compte, d’échange et de réserve.
Établir progressivement une unité de compte commune
sur le plan international avec  un système approprié d’indexation.
 Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions,
obligations et produits dérivés.
Aucune
puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la
monnaie.

Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents,
billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les
utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux
familles.
Conclusions :
 «
Il s’agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de
millions de citoyens. Ces réformes indispensables n’ont été réalisées, ni même
envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l’efficacité
de l’économie, ni par les socialistes justement attachés à l’équité de la
distribution des revenus… Les uns et les autres n’ont cessé d’être aveuglés par
la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés
erronés. »
               
Traduction »