Retraites de plus en plus tard, une fausse solution. Taxer les robots, la vraie solution.
Non aux enfers fiscaux, oui aux paradis fiscaux, comme au Brésil. François de Siebenthal: Brésil, enfer ou paradis fiscal ? Comment

Une “censure inquiétante”, “travailler moins pour gagner plus”.

Le courage de taxer les robots et de distribuer à tous les revenus ainsi libérés

Les robots libérateurs !
http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=765

On peut en effet gagner plus en travaillant moins si la productivité du travail augmente, grâce aux robots…

D’accord si nous avons tous un dividende ou revenu universel pour
consommer les biens produits par les robots et nous trouverons des
tâches utiles à remplir ( éducation des enfants, art, agriculture pour
nourrir les affamés, recherche, etc …)
http://www.michaeljournal.org/images/Robots-or.jpg
Légende traduite: Ce robot peut tous vous remplacer, vous êtes donc tous au chômage.


Si les robots font tout le boulot, que va faire l’homme ?

François Bugeon | Ingénieur-chercheur

Dans le film
d’animation « Wall E », les hommes délèguent tout à leurs robots. Une
fiction ? Plutôt une anticipation. Démonstration.

Wall E, robot-héros du dernier dessin animé signé Pixar (Walt Disney).

C’est le carton ciné de l’été. « Wall E », le dernier né du studio d’animation Pixar dont la critique (presque)
unanime a dressé les louanges, a déjà attiré plus de
740 000 spectateurs la première semaine dans les salles françaises,
prenant presto la tête du box-office, loin devant « Hulk », l’autre grosse sortie de l’été.

Les héros de cette épopée romantico-écologico futuriste ? Deux
robots, seuls sur une Terre que l’homme a dû fuir, chassé par la
pollution et la prolifération des déchets. Avec une grande maestria
graphique, le film montre des humains obèses, confits dans l’oisiveté,
se déplaçant dans des fauteuils roulants (enfin, « lévitants »),
laissant une myriade de robots s’occuper de tous les travaux à bord de
la station spatiale où ils sont réfugiés.

Une des interrogations du film tient dans cette nouvelle distribution
des tâches : si les robots sont partout, quelle place reste-t-il aux
hommes ? Et ce n’est pas qu’une question théorique, à réserver à nos
arrière-petits-enfants. Ainsi, lors du dernier Salon de la recherche et de l’innovation
début juin, le Laas, laboratoire du CNRS, présentait son travail sous
la forme d’un robot humanoïde qui se mouvait et déplaçait des objets
avec une agilité confondante.

Un des scientifiques présents me confirma ce qu’un de ses collègues
m’avait déjà confié deux ans auparavant : les robots humanoïdes capables
de remplacer l’homme dans la majorité de ses tâches seront sur le
marché d’ici vingt à trente ans.

Des robots humanoïdes aussi génériques que nos ordinateurs actuels

Pourquoi humanoïde ? Parce que ces robots devront pouvoir agir dans
le même environnement que le nôtre et utiliser les mêmes outils. Ils
seront aussi génériques que nos ordinateurs actuels, pour que chacun les
utilise sans grande préparation, et seront suffisamment polyvalents
pour que le même robot soit capable d’ouvrir une porte ou bien de visser
un boulon.

Certains robots d’aujourd’hui sont perçus comme d’aimables amusements. comme le Qrio de Sony… (Voir la vidéo.)

… ou le Asimo de Honda : (Voir la vidéo.)

Pourtant, une véritable course s’est engagée dans ce domaine. Les laboratoires s’attachent autant à présenter des robots qui nous ressemblent qu’à résoudre des problèmes liés à l’intelligence (le déplacement anthropomorphe [reproduisant la démarche humaine, ndlr], la préhension, la vision, l’interaction avec les humains, le développement d’équivalents à nos sens).

C’est sans doute pour être en tête de cette compétition que le gouvernement sud-coréen souhaite que chaque foyer intègre un robot
d’ici à 2015-2020. De son côté, le Japon souhaite développer des robots
intelligents de seconde génération exportables à travers le monde en
2015.

Le ministère japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie a
consacré en 2007 près de 2 milliards de yens au soutien de projets de
robots parfaitement autonomes et aptes à prendre leurs propres décisions
sur leur lieu de travail.

Le gouvernement japonais estime que le secteur de la robotique sera
une composante essentielle du développement économique pouvant atteindre
un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 26 milliards de dollars au
cours de la prochaine décennie.

Jobs possibles : cueillir des pommes, servir au comptoir, changer les couches…

Le but d’une robotisation n’est pas forcément de produire plus et
mieux qu’un homme, mais de le supprimer. Toutes les tâches dépendantes
du savoir-faire plutôt que de la conception sont susceptibles d’être
robotisées : cueillir des pommes, réparer une automobile, traduire,
servir derrière un comptoir, s’occuper d’élevages d’animaux, changer les
couches d’un enfant ou pratiquer une opération du cerveau.

Et contrairement à ce que l’on peut imaginer, ce sont les services à
la personne qui pourraient être robotisés en premier : au Japon et en
Corée, les robots sont d’abord envisagés comme aides aux personnes âgés.
L’automatisation a amélioré la rentabilité en améliorant la
productivité humaine. La robotisation améliorera la rentabilité en
retirant l’homme du processus de production.

On pourra avoir un exemple de l’impact de la robotisation sur le
travail avec les voitures robotisées qui seront sur le marché bien avant
les robots humanoïdes. Aux Etats-Unis, le Pentagone a décidé que dès
2015, un tiers de ses véhicules terrestres devrait rouler sans pilote.
La Darpa organise pour cela des courses ouvertes aux constructeurs du
monde entier,
comme l’Urban Challenge. (Voir la vidéo)

On peut supposer que les premières voitures robots appartiendront à
des sociétés de taxi. Cela n’a rien d’étonnant puisque 18 véhicules de
ce genre sont en cours de test à l’aéroport britannique d’Heathrow et
d’autres au nouveau centre d’exposition de Rome ainsi qu’en Espagne dans
la ville de Castellón, dans le cadre du projet européen CityMobil, qui réunit 10 pays et 28 partenaires dont la RATP et l’Inria. (Voir la vidéo)

Des problèmes de droit se poseront inévitablement lorsque ces
voitures s’inséreront réellement dans la circulation, comme la
responsabilité en cas d’accident. Mais une solution juridique finira
inévitablement par s’imposer. Dès lors, tous les taxis de France seront
menacés de disparaître, et parce que la robotique est parfaitement
générique et versatile, ce seront les chauffeurs de bus, les
transporteurs routiers et les livreurs qui seront remplacés en une à
deux générations automobiles, c’est à dire entre quatre et huit ans.

Comme toutes les nouvelles technologies, les robots adaptés au marché
s’imposeront en moins de dix ans. Dès lors, aucune entreprise ne pourra
faire l’économie de sa robotisation massive pour rester dans la
compétition économique. Aucun pays ne pourra se l’interdire si son
voisin l’autorise, et à moins que toutes les nations ne reviennent à un
fonctionnement autarcique, l’ensemble de la planète robotisera le
travail.

Nos sociétés doivent se préparer à la raréfaction brutale du travail

Selon l’évolution actuelle de la robotique, la raréfaction du travail
interviendra d’ici vingt à trente ans au maximum, et elle surviendra à
une vitesse telle que nos sociétés seront incapables de réagir
correctement. C’est à ce défi qu’il faut faire face, et non pas à la fin
du travail, qui reste néanmoins un aboutissement quasi certain.

Nous devons préparer nos sociétés à supporter la raréfaction brutale du travail :

  • Que signifie-t-elle pour nos sociétés construites sur la valeur travail ?
  • Quelle sera la reconnaissance sociale pour ceux qui ne travailleront pas ?
  • Comment organiser le travail rare ?
  • Le travail rare est-il encore travail ou bien l’accès réservé à une source d’enrichissement pour quelques privilégiés ?

Et surtout, comment va-t-on redistribuer la richesse demain,
quand l’on sait que dans la France d’aujourd’hui, les revenus du travail
restent plus imposés que ceux du capital -en 2002, le taux implicite
sur le travail était de 41,8 % et le taux d’imposition implicite sur le
capital de 36,6%, selon la Commission européenne ? C’est un fait, la
question n’est plus « comment faire pour que les gens travaillent
encore ? “, mais ‘comment faire pour vivre sans dépendre de son
travail ? . Le questionnement essentiel d’un certain Karl Marx, en
somme…

Photo : Wall E, robot-héros du dernier dessin animé signé Pixar (Walt Disney).

http://www.youtube.com/watch?v=5enljAk_FlQ

Etienne Chouard explique pourquoi il faut libérer les Hommes de la quête
nécessaire de l’argent par le travail marchand, facteur de soumission
du peuple à ceux qui détiennent l’argent. Avec un revenu de base
inconditionnel, on libérerait ainsi la créativité humaine, et on
permettrait aux citoyens de se consacrer à ce qui leur semble bon et
juste.

Voir l’interview complète : http://youtu.be/WKBj8rtiL6Q

https://docs.google.com/open?id=1LULZl8uEZTZ1XOjSSBpopgN1KfmueeVa2PBVxGeKMu5lPf_0tGphrfmKYbpF

Madagascar, images

http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/congo-experiences.html
Chaque année, une semaine d’étude a lieu à Rougemont
au Canada en 4 langues fin août suivie du congrès international début
septembre (fête du travail au Canada), avec des pèlerinages facultatifs offerts. Repas,
pèlerinages ( not. St Joseph, N-D du Cap et St Anne) et couchers gratuits
pour tous nos invités des pays hors du Canada. Autre période de
formation en mai chaque année, en 2013 du 9 au 18 mai pour les études et du 19 au 26 mai pour le Jéricho

.
Invitation to join us, every year, two periods, either March or August-September.

Week of study  held in Rougemont, Canada in four languages end of August or in May followed by the Congress beg. of September or in May 2013, 9 au 18 May, week of studies and Jericho 19 up to 26 May with free pilgrimages.
 


Free
meals, free pilgrimages ( St Joseph, N-D du Cap et St Anne )and free rooms for all our guests from countries outside of Canada.
http://desiebenthal.blogspot.com/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html

http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=711

http://www.union-ch.com/file/Speeches_and_workshops_of_the_03_04_.pdf

https://docs.google.com/document/d/1MRXDMGi4zbTYwFiKI8qpqFeAg3ayEkLaufWq4OrlQ0o/edit?hl=fr&authkey=CLrT-IwK

Comment créer et partager les surplus:
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=1Kxlo32UKwGx0fVhNYmkul1mr0oKs6RyIIdzKOUAlcWVv6n83Z-Cnr8lc-EHs&hl=fr

Avec mes meilleurs voeux notamment pour une bonne santé

Une
bonne idée reçue. A l’origine de tout message,  il y a un homme ou une
femme, qui a pris le temps et la peine de nous écrire. Il nous est très
agréable de lui confirmer l’avoir bien reçu. Autrefois, cela se faisait
par une poignée de main ou un sourire de remerciement.

François de Siebenthal
Economiste MBA HEC Lausanne et lic. és sc. iur.
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
Suisse, Switzerland

Jean-Paul II a notamment comparé le rapport sexuel chaste entre les époux chrétiens à l’adoration eucharistique.
Admiration.
http://www.union-ch.com/file/portrait.wmv
http://desiebenthal.blogspot.com/2011/05/le-rapport-sexuel-est-comparable.html

Krach ? Solutions…

Local Exchange Systems in 6 languages
www.easyswap.org
http://pavie.ch/?lng=en
http://michaeljournal.org
http://desiebenthal.blogspot.com/
00 41 21 616 88 88
021 616 88 88  FAX: 616 88 81
http://m-c-s.ch et  www.pavie.ch
http://ktotv.com/
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Un
abonnement nous encourage.  Pour la Suisse, 5 numéros par année de 16
pages par parution: le prix modique de l’abonnement est de 16 Sfr.- par
année (envois prioritaires)
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merci.
www.familiaplus.com

à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

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