Ne laissez pas votre médecin
vous injecter de la mort aux rats et de l’aluminium !

Madame, Monsieur,

Le vaccin Gardasil, conseillé à toutes les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus, contient notamment du borate de sodium, utilisé dans la mort aux rats, car toxique pour le système nerveux. (1)

Il contient aussi du polysorbate, utilisé comme stérilisant chez les souris.

130 décès et toujours recommandé par les autorités sanitaires

Ce
vaccin suscite la polémique car il aurait déjà provoqué 30 000
accidents, dont 130 décès. Mais il est toujours recommandé par les
autorités sanitaires. Résultat, tous les jours, de nouvelles jeunes
femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent
administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son potentiel danger.

Est-ce
acceptable ? Nous ne le pensons pas et c’est pourquoi je vous demande
de signer la pétition par laquelle nous demandons au gouvernement le retrait des adjuvants dangereux dans les vaccins.

C’est le moment ou jamais de vous faire entendre

En
mars 2012, un groupe de députés s’est formé à l’Assemblée nationale
pour réclamer un moratoire sur les vaccins contenant de l’aluminium.
L’aluminium est cancérigène, il provoque la maladie d’Alzheimer, et
cause une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages.
Pourtant, de nombreux vaccins en contiennent, y compris l’un des plus
répandus, le DTP (diphtérie tétanos polio). (2)

L’Académie de
Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans
lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont
neurotoxiques. (3)

Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat
français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait
déclenché un myofasciite à macrophages chez un employé de la ville de
Paris. (4)

Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a réalisé
un rapport sur « aluminium et vaccins » rendu public le 29 juillet 2013
(5). Dans ce document, le HCSP avoue ne pas savoir si la persistance des lésions musculaires causées par l’aluminium présente ou non un caractère pathologique.

L’association
E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) a réuni 75 000
signatures pour exiger la mise à disposition d’un vaccin de base
(DTPolio) sans aluminium.

NOUS DEVONS BATTRE LE FER TANT QU’IL EST CHAUD.

Profitons de cette exceptionnelle conjonction de facteurs pour exiger des autorités sanitaires le retrait de tous les adjuvants dangereux.

Signez et faites signer la pétition ci-dessous à toutes vos connaissances

Nous
sommes à un moment historique, que nous attendions depuis des années.
Jamais les circonstances n’ont été aussi favorables. L’association E3M a
d’ailleurs été reçue, le 23 juillet 2013, le cabinet de la ministre de
la Santé Marisol Touraine, preuve que le sujet est chaud, brûlant !

Car l’aluminium vaccinal n’est pas un cas isolé, loin de là !! C’est n’est au contraire que la partie émergée de l’iceberg.

800 effets secondaires, narcolepsie et un risque de sclérose en plaques augmenté de 300%

Le vaccin pour les bébés Infanrix Hexa contient du mercure,
qui est encore bien plus toxique que l’aluminium. Selon un document
confidentiel de son fabricant, le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline,
ce vaccin est associé à plus de 800 effets secondaires, comme la mort
subite du nourrisson, le diabète, l’autisme, l’épilepsie, etc. (6)

Le vaccin contre la grippe contre la grippe H1N1 Pandermix contenait du squalène. Le British Medical Journal,
une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur
scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le
vaccin avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable.

Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques.

Une étude de 2004 menée par l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B.

Il
existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite
B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite
rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.

Peut-être
avez-vous un enfant, un proche, qui souffre ou qui est décédé d’une de
ses maladies. Peut-être êtes-vous vous même touché.

Demain, on vous injecte des vaccins de force, à moins que…

Mais même si ce n’est pas le cas, et que vous êtes conscient du danger des adjuvants dans les vaccins, vous n’êtes pas à l’abri pour autant.
On sait en effet qu’en cas de pandémie, les gouvernements du monde
entier pourront, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé
(OMS), décider de vacciner de force toutes les populations.

Cela
signifie pour vous que vous pourriez malgré tout vous faire injecter un
jour, sous la contrainte, un vaccin dangereux, qui vous déclencherait
une grave maladie comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer.

Mais ce risque peut-être considérablement réduit si, aujourd’hui, vous et moi parvenons à faire interdire les adjuvants dangereux comme le mercure, l’aluminium, le borate de sodium (mort au rat) ou le formaldéhyde.

C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition ci-dessous, et de transférer ce message à tout votre carnet d’adresses.

Vous rendrez également un immense service à des millions d’enfants :

Vous rendrez également un immense service à des millions d’enfants

En
trente ans, le nombre de vaccins administrés aux tout-petits a plus que
doublé. Pire, on leur injecte aujourd’hui des vaccins combinant des
germes de huit maladies différentes, ceci alors que leur système
immunitaire n’est pas préparé.

Surexcité, le système immunitaire
des bébés peut s’emballer et provoquer une réaction incontrôlable. Voici
le témoignage d’une maman qui a vécu ce drame, recueilli par le Forum Européen pour la Vaccinovigilance :

« Je
ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de
mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu
vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis
si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort
dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie,
coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal,
personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était
parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au
moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée,
s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai
commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que
d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait
un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie
mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le
vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque
là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus
hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et
je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas
avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée
pour pouvoir faire mon deuil
correctement. Elle était si belle. »
Le
cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait
vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves
réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant
par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu
plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Ils nient, se taisent et ne font rien ?!?

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin,
mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de
pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets
indésirables des médicaments).

De leur côté, les autorités
sanitaires conservent au sujet des vaccins un silence coupable. Elles
savent qu’elles n’ont pas joué leur rôle : aujourd’hui encore, elles
dispensent les vaccins, on ne sait pourquoi, des tests destinés à
évaluer leur potentiel cancérigène, mutagène (changement d’ADN) et
tératogène (maladies qui passent aux descendants).

Ces tests sont pourtant systématiquement imposés aux médicaments, et même aux cosmétiques.

Pourquoi
les vaccins, qui contiennent des substances qui sont parmi les pires
poisons que l’on trouve dans la nature, en sont-ils dispensés ?

Sommes-nous bien en 2013 ?

Comment n’a-t-on pas encore inventé un vaccin sans substances toxiques ?

Qui se permet de jouer à la roulette russe avec notre santé, avec nos vies, chaque fois que nous nous faisons vacciner ?

Aidez-nous à sauver des milliers de personnes. Signez la pétition ici. Le mouvement doit être massif, et nous pouvons obtenir que les adjuvants vaccinaux dangereux soient enfin interdits.

Je porterai personnellement la liste des signatures au ministre de la Santé Marisol Touraine.

Et
notre association entreprendra toutes les démarches nécessaires auprès
du Parlement et des autorités nécessaires pour obtenir gain de cause.

Mais vous seul pouvez donner la légitimité démocratique à notre action. C’est pourquoi votre signature est indispensable.

Peut-être
est-ce votre voix qui fera la petite différence qui fera tout basculer.
C’est pourquoi, je vous en prie, maintenant que vous avez lu tout ce
message, ne quittez pas cette page sans avoir ajouté votre nom à notre pétition. Je compte sur vous, au nom de toutes les personnes dont la santé et la vie seront épargnées grâce à notre campagne.

Un grand merci d’avance. Et surtout, n’oubliez pas de transférer ce message le plus largement possible.

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Sources :

(1) Interrogé sur les risques sanitaires que présente le Gardasil, du fait notamment de la présence de sels de bore dans sa composition, le Ministre de la Santé a rappelé que la toxicité de ce composant sur les fonctions de reproduction était connue,
avant de préciser que la dose présente dans le vaccin est très
largement inférieure à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé
de l’acide borique et l’exposition restait alors limitée dans le temps (Question
n° 129978, JOAN 1er mai 2012, page 3343). Initiative Citoyenne “La
toxicité sur les fonctions de reproduction de l’acide borique et de ses
dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la
composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l’homme, la valeur seuil
d’exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kgg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL
contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce
qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l’innocuité
de ce dérivé de l’acide borique. Par ailleurs, il s’agit d’une
exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d’un
intervalle d’au moins deux mois).
” Initiative Citoyenne

(2) Aluminium et Vaccins : Les réponses du Ministère aux questions des parlementaires, analysées par E3M

(3) Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité, Observations de l’association E3M sur le rapport de l’Académie de Médecine

(4) Vaccin : ce que tout parent doit savoir

(5) Aluminium et vaccins

(6) Confidential to regulatory authorities

https://www.facebook.com/pages/VICTIMES-DU-VACCIN-GARDASIL/142779429124878

Un médecin ose parler : le dangereux vaccin Gardasil est complètement inutile pour prévenir cancer du col de l’utérus

Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus mis en cause

Une adolescente vaccinée de force en subi les effets secondaires (Gardasil)

Gardasil : une jeune fille vaccinée raconte

Le Gardasil a détruit les ovaires d’une jeune fille !

Gardasil

© Inconnu

Dr. Diane Harper, chercheur principal dans le développement
des vaccins contre le virus du papillome humain, a fait cette annonce
fracassante en octobre 2009 lors d’une conférence internationale sur la
vaccination
. Elle devait, comme conférencière, parler des
bienfaits des vaccins Gardasil et Cervarix, mais au lieu de cela elle a
dénoncé les effets secondaires de ces vaccins qui, selon elle, dépassent
largement la prévention du cancer.

Dr. Harper a expliqué dans sa présentation que le risque de cancer du
col de l’utérus aux États-Unis est extrêmement faible et que les
vaccinations ne sont pas susceptibles d’avoir un effet sur le taux de
cancer du col utérin. En fait, 70% de toutes les infections se résolvent sans traitement en un an et le nombre s’élève à plus de 90% sur deux ans.

Le Gardasil a transformé nos rêves en cauchemars
 
Par Tracy Andrews Wolf, 24 mai 2013.
 

Alexis-Gardasil-1.jpg
 
 
Six ans se sont
écoulés depuis qu’Alexis a reçu ses trois vaccins Gardasil. Six années
de souffrance sans raison valable. Maintenant, je vis
dans la peur constante de ce qui pourrait arriver lors de la
prochaine crise de ma fille.
 
C’est dans la
panique que je me réveille tous les jours vers 5 heures du matin. Mon
cœur s’emballe et je tente désespérément d’empêcher mon
esprit de penser au pire, ne sachant jamais à quoi m’attendre.
Certaines nuits, c’est à chaque heure qu’elle frappe à ma porte parce
qu’elle fait tellement de crises qu’elle est totalement
perdue. Elle présente sur le corps des taches sombres comme des
contusions sans que nous sachions d’où cela la provient. Parfois, elle
présente des gonflements sur la tête bien qu’elle ne se
souvient pas de s’être cognée la tête quelque part. Quand elle fait
une crise, le sang coule parfois de sa bouche parce qu’elle grince des
dents qui s’abîment ou se déchaussent. Chaque matin, je
me réveille dans la peur, en me demandant si Alexis est toujours
avec nous.
 
Alexis et sa sœur
Kimber sont très proches l’une de l’autre. J’ai demandé à Kimber de
mettre sur papier ses sentiments par rapport à ce qui
était arrivé à sa sœur. Voici ce qu’elle écrit :
 
« C’est
terrible à neuf ou dix ans de voir sa sœur aînée se dégrader petit à
petit et de réaliser que c’est quelqu’un de complètement
différent qui a tout simplement pris sa place. C’est à peu de chose
près la même chose que si j’avais vu un tueur à gage la tuer sous mes
yeux, sachant que je ne la reverrais jamais plus. La
seule chose qui diffère dans mon expérience c’est que tout s’est
passé beaucoup plus lentement et que je ne comprenais pas ce qui lui
arrivait. Je savais que je n’allais plus jamais la revoir
comme elle était avant. Aujourd’hui, six ans plus tard je me suis
fait une idée, je me suis habituée à ses crises, sa façon de vivre et à
tout ce qui la concerne. C’est un peu comme si je ne
l’avais jamais connue, comme si je n’avais fait qu’entendre parler
d’elle. Je ne me rappelle que peu de chose de son authentique
personnalité. Elle était ma sœur unique, ma meilleure amie. Ma
sœur a perdu tous ses amis et amies. Personnellement j’ai gardé mes
amies et mes amis mais ils n’ont jamais pu comprendre par quoi j’ai dû
passer. Mes amis et mes amies ne viennent plus à la
maison. Je suis assez gênée de les inviter à la maison à cause de la
manière dont ma sœur réagit. On ne sait jamais ce qui va se passer et
tant de gens ne peuvent pas comprendre. Elle me manque
terriblement. Je suis bien triste quand je vois des sœurs qui
s’embrassent. Ma sœur est ce que ma mère appelle un enfant, une petite
vieille femme et une adolescente à la fois. Si le destin avait
voulu que ma sœur ait à souffrir, j’aurais préféré qu’elle ne
souffre pas mentalement ; j’aurais préféré la voir avec une sale
blessure ou peut-être même avec un membre amputé, n’importe
quoi sauf ce qu’elle doit vivre pour le moment. Elle n’est plus que
l’enveloppe de la sœur que j’ai connue autrefois.
 »
  

Alexis-Gardasil-2.jpg
  Où pourrais-je retrouver ma meilleure
amie ?
 
Comme Alexis m’avait entendu demander à sa sœur d’écrire un mot, elle décida elle aussi d’écrire ces quelques mots :
 
« Il y avait
une fois une fille qui s’appelait Alexis Raley Wolf. Elle a été malade
pendant six ans. Un peu long, vous ne trouvez
pas ? Elle n’a pas bien pu dormir pendant ces six années… Que diable
pouvons-nous faire ?J’espère que l’on pourra enfin trouver un remède et
le plus vite possible. Vous comprenez ce que
je veux dire ???J’espère aussi que ce ne sera pas aussi terrible
qu’il y a six ans, mes chers amis que j’aime tant… C’est tout.
Amicalement, Alexis Raley Wolf.Cher Seigneur de ma vie, s’il
vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il
vous plaît, s’il vous plaît faites que je puisse me sentir mieux. Je
vous en prie. C’est tout ce que je veux vraiment, s’il
vous plaît pour l’amour de Dieu ! Amicalement Alexis
. »
 
Avec son
« histoire » elle a aussi dessiné un cercle avec le « Gardasil » au
centre et quantités de lignes transversales.
J’ai un grand sac rempli de lettres/ d’histoires qu’Alexis a écrites
au cours des années. Ce sont pratiquement toujours les mêmes ;
 
Notre vie avant le Gardasil :
 
Permettez-moi de vous ramener en 2007, lorsque j’ai été poussée à prendre la décision qui a changé nos vies à jamais.
 
En 2007, Alexis
était une élève de 7ème, elle était très timide. Elle avait travaillé si
dur à l’école qu’elle avait obtenu une distinction.-
L’année qui précédait on lui avait diagnostiqué un diabète de type
1. Elle avait bien pris la chose et pensé que c’était une occasion
d’informer ses camarades de classe sur la question. Elle a
fait de nombreux travaux scolaires sur le diabète ; elle a donc
appris pas mal de choses et a aidé ses camarades à comprendre ce que
signifiait le fait de vivre avec cette maladie. Nous
étions tous très fiers d’elle.
  

Alexis-Gardasil-2-parapluie.jpg
  Alexis en Allemagne
 
Pour la
récompenser de son excellent travail à l’école, son grand-père l’a
invitée à venir passer 4 semaines chez lui en Allemagne pendant les
congés scolaires. J’étais un peu inquiète, mais elle avait le
parfait contrôle de sa santé et savait s’administrer les quantités
d’insuline nécessaires en cas de besoin et son endocrinologue
avait lui aussi marqué son accord pour ce voyage. Pendant son
séjour, on lui recommanda la série des vaccins Gardasil. On nous précisa
que comme Alexis souffrait de diabète il était très, très
important qu’elle soit vaccinée contre TOUT CE QUI ETAIT POSSIBLE
parce que son système immunitaire était affaibli. Et, j’ai donné mon
accord.
 
Est-ce que tous
les parents ne veulent pas protéger leurs filles ? Alexis reçut sa
première injection et on nous précisa que nous devions
reprendre contact (avec les centres de santé ?) dès qu’Alexis serait
rentrée d’Allemagne.
 
Alexis s’est
merveilleusement bien amusée en Allemagne et nous est revenue après 4
semaines. Dès son retour, j’ai remarqué des choses étranges
dans son comportement. Elle n’avait pas eu le « jet lag », mais
avait cependant très peu dormi.
 
A son retour, on
lui apprit que notre chien était mort. Après avoir appris cette
nouvelle, elle a très fort essayé de pleurer. Elle n’avait
jamais dû ESSAYER de pleurer.  Cette situation ne s’était jamais produite auparavant. D’habitude elle pouvait pleurer très facilement
 
Nous nous sommes
donc rendus chez un médecin pour sa deuxième injection de la série.
C’est alors que les choses ont commencé à mal
tourner : la personnalité d’Alexis a été tout à fait modifiée. Au
début, je pensais qu’elle sortait de sa timidité habituelle étant donné
qu’elle revenait d’un voyage en Allemagne.
 
Le Gardasil commence à prendre le contrôle
 
Le lendemain de
sa deuxième injection, son cœur a commencé à battre si vite et si fort
qu’on avait l’impression qu’il allait sortir de sa
poitrine. Nous sommes immédiatement retournés chez le médecin qui
nous a envoyés consulter un cardiologue. Alexis a dû porter un moniteur
cardiaque pendant 24 heures. Son rythme cardiaque était
rapide, mais on n’a pas pensé que c’était un gros problème. Puis
Alexis à commencé à vomir beaucoup et sans raison apparente. Elle nous
disait aussi que les choses paraissaient effrayantes. Nous
sommes donc retournés chez le médecin. Le gastroentérologue nous a
dit de lui donner du Zantak et de revenir le mois suivant.
  

Alexis-gardasil-3-lit.jpg
  Où s’est envolée ma vie ?
 
Elle a commencé
sa 8ème année, mais elle était incapable de rester longtemps assise
parce qu’elle avait toujours envie de vomir. Les enseignants
en sont arrivés à mettre une poubelle près de son bureau. Les
enseignants me convoquaient pour me dire que ma fille dérangeait toute
la classe et qu’il me fallait agir un peu plus. Je n’arrêtais
pas de prendre rendez-vous sur rendez-vous chez les médecins et
personne ne semblait comprendre ce qui se passait.
 
Alexis a commencé
à voir et à entendre des choses qui n’existaient pas. Elle commençait à
être méchante et même violente avec moi. Elle me
criait dessus en me disant qu’elle voulait une autre famille. Elle
continuait à crier sur moi en me demandant de la conduire dans un
orphelinat pour que quelqu’un puisse l’adopter et l’emmener.
J’avais tellement peur ! Dire que j’avais le cœur brisé ne peut
décrire ce que je vivais. Je n’ai pas reçu d’aide de son père (mon
mari). Il me criait aussi dessus en me précisant ce qu’il
fallait dire aux médecins. J’avais l’impression que je perdais
l’esprit.
 
A peu près à la
même époque, Alexis sortait de la maison et allait frapper à toutes les
portes de la rue pour dire qu’elle haïssait sa famille
et qu’elle en voulait une nouvelle. Evidemment, les gens appelaient
la police et il nous fallait leur expliquer des choses que nous ne
comprenions pas nous-mêmes.
 
Les vacances arrivèrent…ce furent les plus terribles fêtes Noël et d’Halloween que nous ayons connues.
 
La troisième injection de Gardasil – le coup final pour
Alexis
 
En janvier 2008,
nous nous rendîmes chez le médecin pour sa troisième injection. J’ai
demandé au médecin si le Gardasil pouvait avoir quelque
rapport avec ces terribles symptômes. On me répondit que non, mais
que si je ne terminais pas la série, cela pourrait provoquer plus de
problèmes. C’est ainsi qu’Alexis reçut sa troisième
injection.
 
Pour la première
fois de sa vie, Alexis me dit qu’elle me haïssait et ne voulait plus
faire partie de notre famille. Ca m’a fait tellement
mal ! Je n’arrêtais pas de pleurer.
 
Quand je
recommençais à pleurer, elle me regardait avec une telle haine… puis,
comme si une mouche l’avait piquée, elle me regardait à nouveau
et me disait : « ne pleure pas maman » !
 
Les vomissements
et les hallucinations ont continué de s’aggraver. Nous avions déjà vu
tant de médecins qu’il était difficile pour moi de tenir
le coup. Aucun de ces médecins ne nous donnait de réponse valable.
 
Deux semaines
après la troisième injection, Alexis dut être hospitalisée. Les médecins
étaient préoccupés par son diabète et sa perte de poids.
Ils ont fait des tests et m’ont dit : « Médicalement, il n’y a pas de problème avec votre fille ». Je n’ai évidemment pas manqué de leur dire qu’ils se trompaient.
 
Comme ils
pensaient qu’Alexis faisait du théâtre, ils l’ont envoyée à un hôpital
qui s’occupe des problèmes de comportement. Quel horrible
endroit ! Ils ont traité Alexis comme un animal. Je lui rendais
visite chaque jour. Elle y resta 5 jours. Le 4ème jour ils m’ont appelée
pour me dire qu’elle sortait ses vomissures de la
poubelle pour les manger !!!
 
Le lendemain
matin, ils m’ont rappelée pour me dire qu’elle était plus stable et que
je devais la reprendre. Elle était bien loin d’être devenue
stable ! Ce jour là, j’ai dû appeler un médecin à l’aide. ! Ce
médecin réussit finalement  à la faire admettre dans un autre hôpital pour
enfants.
 
Quand nous sommes arrivés pour la voir, les membres du personnel nous ont dit : « Nous réalisons que ses problèmes ne relèvent pas
du comportement ; nous allons essayer de la faire dormir pendant le week-end
. » Ils lui ont donné d’importantes doses de Trazadone pour l’aider à dormir, mais ça n’a jamais
marché.
 
Le lundi suivant
quand le médecin entra dans la chambre, je lui ai expliqué tout ce qui
se passait. Elle a répondu que selon elle, Alexis
faisait des convulsions !!!
  

Alexis-Gardasil-4-hopital.jpg
 
Le médecin demanda un électroencéphalogramme. Enfin, on put trouver ce qui n’allait pas !! Alexis faisait quantité de convulsions dans le lobe frontal du cerveau.
 
Les six mois qui
suivirent, les tests n’ont pratiquement pas arrêté. Alexis est restée à
l’hôpital de mars à juillet. Tous les tests effectués
se sont avérés normaux, sauf les électroencéphalogrammes.
 
Finalement, après
avoir effectué une deuxième ponction lombaire, on put déterminer
qu’Alexis avait dû être exposée à un virus qui avait provoqué
une encéphalite, un traumatisme crânien, des lésions cérébrales et
des troubles épileptiques. Elle dut subir une thérapie par voie
intraveineuse, une plasmaphérèse et une chirurgie pour permettre
la plasmaphérèse. Elle a passé son 15ème anniversaire accrochée à
une machine.
 
Certaines fois quand j’allais lui rendre visite, je la trouvais attachée au lit pour ce qu’elle avait 
dû faire à une infirmière ou à une gardienne. Alexis aurait dû avoir
quelqu’un près d’elle en permanence par ce qu’elle essayait de manger ce
qu’elle trouvait
dans les poubelles. Elle s’exprimait en langage grossier, essayait
de frapper les gens, elle crachait sur les gens, jetait des choses à
gauche et à droite…Ma douce et timide petite fille était
devenue quelqu’un que je ne reconnaissais plus.
 
Peut-on se faire
une idée de ce que peut représenter pour des parents une visite à leur
fille à l’hôpital et la retrouver attachée aux 4 coins
du lit ???
 
Elle nous a
suppliés et a supplié l’infirmière de la ramener à la maison. Elle me
disait aussi que je n’étais plus sa mère parce qu’elle en
avait trouvé une meilleure.
 
Quand l’hôpital
ne fût plus à même de s’occuper d’elle, ils se sont arrangés pour que
l’on transporte Alexis à Austin (Texas) pour une
réadaptation neurologique. Elle ne pouvait de toute manière pas
rester là-bas que 2 mois vu que notre assurance ne voulait plus payer.
On me suggéra de contacter la sécurité sociale et Medicaid.
On m’a demandé de signer des papiers, chose dont je n’avais jamais
entendu parler…. Et qu’est-ce que tout cela voulait dire ?
 
Nous voici 6 ans plus tard. – qu’est-ce qui est donc arrivé à notre fille ???
 
Alexis aura 20
ans en juin 2013. Elle a l’âge d’une fille de 3ème. On ne peut la
laisser seule à cause de ses violentes convulsions. Elle a été
mise sous différentes sortes de médicaments anticonvulsifs pendant
tout ce temps et rien n’a semblé marcher.
 
En 2010, on lui a
mis un implant VNS au niveau de la poitrine. Cela ressemble à un
pacemaker. Cet objet est mis sous la peau dans la région
entre le sein droit et l’épaule et relié à son nerf vague.
L’appareil envoie continuellement des impulsions en vue d’arrêter les
convulsions. Ca n’a pas eu l’air de marcher non plus.
  

Alexis-Gardasil-5-lettre.jpg
  C’est ce que pense Alexis du Gardasil
 
Alexis doit
porter des couches pour adultes par ce qu’elle ne peut pas toujours
contrôler sa vessie ou ses intestins quand elle fait une crise.
Elle fait plus de cent crises par jour ; certaines sont fortes et
violentes ; pour d’autres elle reste prostrée avec un regard fixe et de
nombreuses contractions musculaires du visage.
Au cours de l’une de ces crises, elle a perdu une dent. Plusieurs
autres dents ont aussi été abîmées. Elle dispose maintenant d’un
appareil qui lui protège la bouche. Nous devons garder tous les
aliments dans des armoires fermées à clé parce que la nuit elle
pourrait prendre l’une ou l’autre nourriture qui l’entraînerait dans un
coma diabétique.
 
Quand la crise est terminée, elle pense qu’elle meurt de faim, même si elle vient de terminer un repas peu de temps avant.
 
Tous ses amis et
amies l’ont tout à fait abandonnée. C’est clair que personne n’aime être
l’ami de quelqu’un qui fait sans cesse des crises,
vomit et doit porter des couches…
 
Alexis avait des projets, elle voulait devenir institutrice dans une école spéciale. Malheureusement, ça n’arrivera jamais.
 
Nous avons dû,
avec elle, nous rendre chez un juge pour que je puisse avoir la tutelle
vu qu’à 18 ans, elle était incapable de prendre des
décisions en ce qui la concernait.
 
Grâce au Gardasil, Alexis ne pourra jamais :
 
– Avoir un diplôme universitaire comme les amies de sa classe
– Se marier et fonder une famille
– Avoir son permis de conduire
– Aller au bal
– Avoir un emploi
– Prendre une douche sans qu’il n’y ait quelqu’un qui soit présent à ses côtés
– Se promener dans un centre commercial avec des amis
– Sortir, s’amuser et prendre sa place
– Porter des habits normaux… et la liste s’allonge et s’allonge…
 
Le Gardasil a tout bouleversé ! Nos belles vies parfaitement normales ont à jamais été transformées en cauchemar vivant.
 
S’il vous plait, tirez des leçons de ce qui nous est arrivé !!
 
Ne permettez pas que votre enfant soit un cas de plus à cause du Gardasil.
  
Source: SaneVax
 
Rapports du VAERS* officiel Américain jusqu’à avril 2013 concernant les effets
secondaires des vaccins HPV
 
Description
Total
Handicapés
942
Décès
136
N’ont pas pu récupérer
5.919
Frottis anormaux
522
Dysplasie cervicale
62
Vies mises en danger
557
Recours aux urgences
10.404
Hospitalisations
2.992
Hospitalisations prolongées
230
Cas graves
4.009
Effets secondaires divers
29.680
 
VAERS (Vaccine
Adverse Effects Reporting System). On estime que les rapports spontanés
qui parviennent au VAERS représentent de 1 à 10% des
effets secondaires des vaccins. (Source : Sanevax)
 
LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT ET MADAME OBAMA
 
 
AU SUJET DES DANGERS ET DES EFFETS SECONDAIRES POSSIBLES DES VACCINS
HPV
 
26 OCTOBRE 2010
 
 
Chers Président et Madame Obama,
 
Nous venons à vous afin d’implorer votre aide. Les vies de toute une génération de jeunes femmes et d’hommes sont en balance.
 
Ce n’est pas de
la guerre, de la violence, de crimes ou de drogues illégales que je
veux vous parler. Je veux vous parler des vaccins HPV.
Oui, exactement les vaccins HPV, Gardasil et Cervarix !  A la date d’aujourd’hui, on a comptabilisé 20.101 rapports de dommages, ainsi que 84
décès. Parmi ces décès, on relève celui d’un  bébé âgé de 40 JOURS, qui a été exposé au Gardasil au travers du lait de sa mère.
 
Les
statistiques ne semblent peut-être pas impressionnantes, mais quand on
considère que : a) seuls 1 à 10% de tous les dommages dus aux
vaccins sont officiellement enregistrés et que b) le Gardasil et
le Cervarix ont été mis sur le marché depuis seulement quelques années,
les chiffres commencent à apparaître stupéfiants !
En tant que parents de deux jeunes filles qui se trouvent en âge
d’être vaccinées, vous devez absolument être informés.
 
Ces jeunes
personnes sont atteintes de paralysies, d’attaques, de thromboses,
d’irrégularités cardiaques, de problèmes stomacaux, de syncope,
de grande fatigue, de vertiges, de problèmes menstruels, de cécité
temporaire, de troubles de la vessie, des reins, de la vésicule, de
pertes de mémoire, de problèmes de concentration et la
liste continue. La vie de ces jeunes est parfois bouleversée pour
toujours. Puis-je vous prier de prendre quelques minutes pour lire les
histoires de certaines de ces victimes. Des filles comme
Zéda qui a souffert d’une encéphalite provoquée par le vaccin.
Elle a malgré tout pu faire quelques progrès : elle parvient maintenant à
tourner la tête et à remuer quelques uns de ses
doigts. Des filles comme Ashlee  qui ne peut plus prendre de repas sans vomir ou Lauren qui a 
soudainement développé un lymphome (non Hodgkin), ou Victoria qui a
souffert de pertes de mémoire, ne savait plus qui elle était, ou
Brittney, 20 ans qui a été dans l’incapacité de suivre ses
cours parce qu’elle perdait soudainement le contrôle de ses jambes
ou faisait tellement de crises par jour qu’il lui était impossible de
quitter la maison. Des filles comme Holly qui courait de
9 à 15 kilomètres par jour et qui finit pas ne plus pouvoir
traverser le living sans assistance ! Il ne s’agit malheureusement ici
que de quelques exemples.
 
Il y a aussi
ces filles qui nous ont quittés : Megan Hils, Amber Kaufman, christina
Tardell, Brooke Petkevicus, Mosehella Roberts, Jenny
Tetlock, Santana Valdez, Jessica Ericzon, Jasmin Soriat et
Annabelle Morin. Et, malheureusement, la liste continue. Jamais plus ces
jeunes filles ne pourront encore rire, dire à leurs parents
qu’elles les aiment. Elles ne pourront plus jamais atteindre les
buts qu’elles s‘étaient fixés dans la vie parce qu’elles ont été
enlevées beaucoup trop tôt – tout cela de la faute d’un vaccin.
Pensez-y bien, chacune de ces histoires est déchirante ; chaque
vie perdue ou dévastée représente un vrai désastre.
 
Vous pourriez
vous demander ce que ces jeunes filles qui étaient en parfaite santé
avaient en commun ? La réponse est simple : un
vaccin HPV. L’un de ceux-ci est le Gardasil dont le développement a
été bâclé (« fast-tracked ») et 
autorisé beaucoup trop rapidement.
S’il vous plaît, Monsieur le Président et Madame Obama, First
Lady, veuillez prendre un peu de temps, nous vous demandons de faire une
recherche, de lire ce qui arrive à ces jeunes filles et
ces jeunes hommes innocents. Ils ont besoin de vous !
 
Je vous écris au nom de milliers et de milliers de jeunes gens, ainsi que de leurs parents.
 
Marian Greene, maman d’une jeune fille dont la vie a été brisée par le Gardasil
 
 
   
VACCIN GARDASIL
 
Peut-on vacciner ?
USA
Philippines/Thaïlande
En cas de maladie ?
OUI
NON
En cas de grossesse ?
OUI
NON
Avec un système immunitaire affaibli ?
OUI
NON
Avec d’autres vaccins simultanément ?
OUI
NON
En cas d’asthme ?
OUI
NON
En cas d’allergies ?
OUI
NON
Possibilité de se retourner  c/ fabricant ?
NON
OUI
 

La piqûre de trop.

http://www.youtube.com/watch?v=5sETxXQBNQw&feature=player_embedded


Publicité interdite pour le “vaccin anti-cancer” (Gardasil) en France

L’autorité
de contrôle des médicaments en France censure le Gardasil au nom de la
publicité mensongère, rappelant que les prétentions de son fabricant à
en faire un “vaccin contre le cancer du col de l’utérus” ne sont
motivées par aucune étude crédible. C’est un acte significatif. Qui met
en demeure les autorités sanitaires des autres pays, dont la Suisse, de
s’expliquer sur leur soutien inconditionnel à ce vaccin ultra-coûteux.



L’étude de Catherine Riva et Jean-Pierre Spinosa, La Piqûre de trop?, publiée
chez Xenia en mars 2010, a été la première à démontrer les lacunes de
ce vaccin en matière de protection contre le cancer et à documenter la
campagne de lobbying qui a conduit à son imposition malgré ses
insuffisances. 
Ignoré
ou attaqué par les milieux officiels en Suisse, cet ouvrage précurseur
s’avère une pièce essentielle du débat sur la santé.
La décision française d’une part, et les lacunes scientifiques ainsi que les questions de conflits d’intérêts soulevées dans La Piqûre de trop? de
l’autre, finiront sans doute par susciter des interpellations sur une
politique de vaccination qui, en Suisse, coûte des centaines de millions
de francs à des contribuables mal informés.
Slobodan Despot
Sources:
« En
l’état actuel des données, il n’y a pas d’étude démontrant un effet
préventif de la vaccination sur la survenue des cancers, le délai entre
l’infection et l’apparition d’un cancer invasif étant estimé à quinze à
vingt-cinq ans. »
http://www.rue89.com/2010/12/07/cancer-linterdiction-dune-pub-plombe-le-vaccin-gardasil-178864
Voir aussi le site Legifrance: “Décision du 31 août 2010 interdisant
une publicité pour un médicament mentionnée à l’article L. 5122-1,
premier alinéa, du code de la santé publique…”
Page du livre:
http://www.editions-xenia.com/livres/hpv/

OGM: rejettés des assiettes, ils reviennent dans
la seringue!

12 Juillet 2008

,
Rédigé par Selenia++

Une
majorité de gens pensent que les OGM à bannir se limitent à la
circonférence de leur assiette et qu’en Europe c’est chose plus
ou moins aisée grâce à l’étiquetage…. C’est sans compter les
trésors d’imagination des industriels pour amender les lois en leur
faveur, pour gruger les gens à coup de slogans et de termes pour
initiés, etc etc… A ce petit jeu les industriels de l’agriculture
et de la pharmacie peuvent véritablement se donner la main!Alors que les
uns prétendent pouvoir parler de développement
durable  et clament leur volonté “humaniste” de nourrir plus de
monde, les autres se prétendent experts en santé et clament leur volonté
d’éviter des maladies! C’est ainsi que sur le site de
Monsanto par exemple, on peut lire que les produits
insecticides/pesticides sont joliment appelés “produits phytosanitaires”
ou “produits de protection des plantes” ou que les OGM végétaux sont
des “plantes génétiquement améliorées.
                                           

Que fait Big Pharma au juste? Exactement la même chose et le public
ne semble hélas y voir que du feu!  L’industrie n’en est pourtant pas à
ses premiers vaccins transgéniques et le
public a peut-être déjà oublié le triste scandale du vaccin hépatite
B (dont les versions Engerix B, Genhevac, Hevac, HB Vax sont fabriquées
par génie génétique). Comme pour les différentes
versions du vaccin HB actuellement sur le marché, les vaccins
anti-HPV (vaccins Gardasil et Cervarix) découlent d’une manipulation
génétique loin d’être sans conséquences possibles sur la santé
des vaccinés….

Le vaccin GARDASIL est fabriqué à partir de levure de bière
(saccharomyces cerevisiae) génétiquement modifiée pour produire les
protéines vaccinales proprement dites c’est à dire dans le cas de
ce vaccin tétravalent les protéines L1 des souches 6 (20µg), 11
(40µg), 16 (40µg), 18 (20µg) de HPV. Les cellules de levure de bière ne
sont pas choisies par hasard mais parce que leur très
grande rapidité de reproduction par mitoses sucessives se prête très
bien à la production industrielle de masse qui est une production de
masse. Pour arriver à faire produire par les cellules de
levure les protéines vaccinales -ce qui n’est pas du tout naturel-
il faut forcémment modifier le matériel génétique des cellules et c’est
précisément cela qui fera d’elles des OGM, Organismes
Génétiquement Modifiés…. Comment fait-on?
On va utiliser un vecteur qui va “transporter” dans les cellules de
levures les séquences génétiques codantes pour les protéines vaccinales
qu’on veut produire. Ce vecteur est le plus
souvent un plasmide d’une bactérie comme Escherichia Coli c’est à
dire un ADN circulaire propre aux bactéries et qui est facile à
manipuler pour ce type de technologie. Le plasmide va être
“sectionné” en différents endroits grâce à des enzymes spéciales et
ce, afin d’y introduire les séquences génétiques codantes pour les
protéines vaccinales. On ajoute aussi des substances
génétiques spéciales appelées “promoteurs” et des séquences dites
activatrices sans quoi les séquences codantes pour les protéines
vaccinales ne pourront être exprimées. Outre cela, on va aussi
ajouter un gène de résistance à un antibiotique  (ex: ampycilline)
ou à une substance toxique (ex: méthotrexate). Une fois ces informations
ajoutées à l’ADN plasmidien, on “recolle” le
tout avec des enzymes toujours et le plasmide est fin prêt pour
aller coloniser les cellules de levure de bière qui ne cessent de se
multiplier à la vitesse grand V.  Les plasmides
bactériens pénètrent très facilement les cellules de levures de
bière et ces dernières vont donc commencer à produire les protéines
vaccinales souhaitées. Mais comme, au cours de la procédure,
certaines cellules de levure de bière n’auront pas accueilli le
plasmide en question, il faut, par souci de rentabilité, les éliminer
des autres cellules qui elles, produiront bien les
protéines vaccinales et c’est là le sens des gènes de résistance à
un antibiotique ou à une substance toxique que portent les plasmides. En
effet, après le processus d’incorporation des plasmides
dans les cellules de levure de bière (=transfection), on va asperger
les cellules de levure soit d’antibiotique soit d’un produit toxique.
Les cellules qui mourront seront donc forcémment celles
qui n’ont pas le gène de résistance donc qui ne contiennent pas le
plasmide et ne pourront pas produire les protéines vaccinales. Et
voilà, le tri est fait!

Une fois qu’on a recueilli les différentes protéines L1 toutes
produites séparémment, on va les auto- assembler en pseudo-particules
virales (PPV) et ce afin de leurrer le système
immunitaire dont les composants du système inné ne savent répondre
qu’à des agents microbiens avec un pouvoir infectant réel (et pas
bricolés en labo). Une fois qu’on a ces différents
assemblages en PPV, on va les “purifier” pour obtenir le produit
aqueux final. Ce processus de purification se trouve déjà compliqué
étant donné que les cellules de levure de bière ne sécrètent
pas les protéines vaccinales dans le milieu de culture, ce qui
impose pour les récolter de faire éclater les cellules. Cette
purification n’est JAMAIS totale et, pour se faire une idée, les
vaccins HB Genhevac et Engerix ont respectivement une “pureté” de 95
et 97%. Si cela peut sembler à première vue très honorable, il ne
faudrait tout de même pas oublier que 5 ou même 3%
d’impuretés génétiques cela correspond à des milliers de paires de
bases et donc à un grand nombre de nucléotides (= maillons de base du
génome) donc à une information génétique potentiellement
très perturbatrice pour l’ADN du sujet vacciné avec des conséquences
pouvant apparaitre sur le très très long terme!

Chaque produit aqueux final (PAF) de HPV est alors adsorbé
séparément sur aluminium et devient ce qu’on appelle un produit
monovalent adsorbé en vrac (PMAV). Le vaccin final sera
donc une combinaison des 4 types de produits monovalents adsorbés en
vrac (PMAV). Et bien sûr sur les notices, pour ceux qui les lisent, il
ne sera noté que “vaccin recombinant
adsorbé
” ce qui en langage clair signifie: “technologie OGM + aluminium“. Des termes pour initiés en espérant que le public sera dupe!

Et hélas il l’est, ça marche! Il refuse à corps et à cris, à fort
juste titre ceci dit, les OGM alimentaires mais, par ignorance, il tend
le bras pour son vaccin, parce que “Dr Untel ou Pr
Machin a dit que”, sans se rendre compte de son incohérence. La
majeure partie des gens qui refusent les OGM les refusent sans vraiment
savoir EN QUOI ceux-ci peuvent nous nuire mais il est bon
de le rappeler car si les OGM alimentaires sont dangereux, les
vaccins obtenus par la même technologie le sont encore plus, ces
derniers ne passant même par par le filtre intestinal, sorte de
verrou protecteur si l’on veut. En quoi les OGM alimentaires
sont-ils nuisibles? Le Dr Arpad Pusztai, un éminent chercheur anglais
qui a mené une expérience comparative sur des rats nourris avec
des OGM et un groupe témoin a pu mettre en évidence, après
l’autopsie des rats des deux groupes que, les rats nourris seulement dix
jours avec des OGM présentaient déjà un affaiblissement
immunitaire, une prolifération cellulaire au niveau du tube digestif
et une surstimulation du pancréas, des intestins, de la prostate et des
testicules. Evidemment, comme ces résultats -que ne
s’attendait pas à observer le chercheur anglais- ne sont pas du goût
des fabricants, ceux-ci ont obtenu la tête du chercheur qui a fini par
être odieusement licencié et ils se sont mis à financer
en masse une myriade d’études biaisées en espérant que le public se
sentirait rassuré par ce “contrepoids quantitatif” aux études
accablantes sur le
sujet.         
                                                                                                                       

                                                                                                                                            

Dans le cas des vaccins issus de cette technologie, certains feront
remarquer qu’ils ne sont pas des OGM mais seulement issus d’OGM. Certes,
un OGM est un organisme vivant (être uni ou
pluricellulaires) et non un produit inerte comme un vaccin MAIS ces
finesses du langage ne doivent en rien occulter le fait que les résidus
génétiques des vaccins ont une action encore bien plus
hasardeuse que celles des OGM alimentaires. En effet, même s’il est
néfaste de manger des aliments OGM, il y a là une notion de durée de
consommation qui reste maitrisable par le consommateur qui
souhaiterait contrôler ses apports (pour autant que l’étiquettage
existe ce qui n’est par exemple par le cas aux USA). De plus les
aliments transgéniques eux passent par le filtre intestinal qui
a une action protectrice. Avec un vaccin recombinant, le corps est
pris “par surprise”, ses barrières muqueuses sont courcircuitées et le
vaccin ayant vocation à agir dans le temps, on ne sait en
rien limiter temporellement les effets des résidus une fois
l’injection faite.

Ces résidus génétiques posent de gros problèmes et ce n’est pas
faute de l’avoir fait savoir. Très vite  après la sortie des vaccins
recombinants contre l’hépatite B (en 1986), le Pr Mirko
Beljanski, ex directeur de recherche au CNRS avait déjà publié une
étude inquiétante de différentes enzymes virales. Dans l’étude publiée
en 87 et intitulée “Terminal deoxynucleotidyl transferase
and ribonuclease activities in purified hepatitis-B antigen”, le Pr
Beljanski expliquait que les vaccins recombinants contre l’hépatite B
contiennent des enzymes comme la Tdt (Terminal
deoxinucleotidyl transferase) et des ribonucléases, des enzymes qui
peuvent respectivement induire la synthèse de segments génétiques
aberrants et  détruire les ARN produits pas les cellules
du sujet vacciné! Le Pr Beljanski légitimement scandalisé par
l’incohérence flagrante qu’il y a à s’inquiéter du taux croissant de
cancers et à fermer les yeux sur ce type de dérive commerciale
interrogeait le monde et surtout les responsables en ces termes:
“Lorsqu’on affirme qu’une mutation peut engendrer le cancer, que dire
alors de fragments d’ADN aberrants synthétisés dans la
cellule hôte par un enzyme viral ! Que dire d’ARN dégradé, ou de
fragments d’ARN libérés et dont l’activité est incontrôlable ? Le vaccin
contre l’hépatite B issu du génie
génétique contient 10-15 fois plus d’activité dangereuse (Tdt)que le
vaccin traditionnel. Pourquoi tout ceci n’a-t-il pas été contrôlé avant
la diffusion ?” Réponse: parce que les
fabricants qu’ils soient marchands de vaccins ou d’OGM ne pensent
qu’au profit! De ce profit indécent pour quelques un, jailliront des
leucémies et autres cancers pour beaucoup d’autres…

Et pour garantir leurs profits, ces fabricants peuvent compter sur
de solides alliés comme sainte OMS, l’incohérente et la corrompue. En
effet, l’OMS qui est championne en titre des études
et des investigations est étrangement toujours lanterne rouge dès
qu’il s’agit de tirer des conclusions qui épousent le principe de
précaution. Dans son ouvrage “Vaccinations, les vérités
indésirables”, Michel Georget rappelle ainsi que sainte OMS est bien
consciente de ce problème lié à la présence d’ADN  contaminant
hétérogène et de protéines transformantes dans les
vaccins puisqu’elle en parle même dans un de ses  rapports *…
Voici ce que l’agence, championne du monde de l’incohérence dit de l’ADN
contaminant hétérogène (pouvant provenir des
cellules de culture ou du plasmide bactérien trafiqué d’où risque de
cancer si ces séquences interfèrent avec notre génome): “Même s’il est
possible d’indiquer une limite supérieure de
contamination d’un produit fini par de l’ADN hétérogène et, même si
toutes les expériences indiquent que des quantités d’un tel ADN de
l’ordre de quelques picogrammes sont biologiquement
inactives dans un grand nombre d’épreuves, on ne peut pas plus affirmer l’absence totale d’ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires
continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes […] Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence]
est le RISQUE DE MALIGNITE que pourrait présenter à long
terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il
contient des séquences codantes ou régulatrices
potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car
de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons,
seront peut-être vaccinées avec des produits issus de
lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute manière
.”

Les lecteurs doivent donc fort logiquement comprendre que l’OMS qui
est censé chapauter ce type de campagne vaccinale à l’échelle du monde
ne maitrise rien et ne sait en rien si oui ou non ces
vaccins peuvent induire des cancers. Pour faire plaisir à ses amis
de l’industrie, l’OMS va véritablement se surpasser puisque non
seulement elle n’applique pas le principe de précaution que
chacun serait en droit d’exiger de sa part mais pire, elle va oser
affirmer que ces vaccins anti-HPV (comme elle a déjà osé affirmer que
les vaccins recombinants anti hépatite B luttent
contre les cancers du foie!) lutteront contre le cancer du col dans
le monde. Le pari fou de sainte OMS et de ses acolytes au premier rang
desquels l’industrie est donc de vous faire gober à vous
public que des vaccins contenant des produits pouvant générer des
cancers serviront à lutter contre le cancer! Au terme de cet article,
j’ai envie de vous poser la question à vous lecteurs:
allez-vous leur permettre de gagner leur pari?

Sources:


Notice du Gardasil

“Information ou désinformation” de Sylvie Simon, édition Guy Trédaniel

“Le monde selon Monsanto” de Marie Monique Robin, Arte éditions

“Vaccinations, les vérités indésirables” de Michel Georget, éditions Dangles

* “Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques”, Rapport technique OMS, n°747, 1987

“Vaccination: erreur médicale du siècle”, édition Louise Courteau
http://64.233.183.104/search?q=cache:g8euv4dtaocJ:www.amessi.org/Vaccins-destructeurs+vaccin+HB+Tdt+beljanski&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=be


http://64.233.183.104/search?q=cache:TjCVopvw9vcJ:www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/prodpharma/sbd-smd/phase1-decision/drug-med/sbd_smd_2007_gardasil_102682_f.html+fabrication+du+gardasil+saccharomyces+cerevisiae&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=be

  1. François de Siebenthal: Vaccins: dangers mortels

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    2 nov. 2011 – S’ ils ne veulent vacciner que les filles, c’est qu’ils y ont mis des contraceptifs violents et souvent cancérigènes. Le contraceptif Depo-Provera 

  2. François de Siebenthal: Vaccins, contraceptifs et enjeux commerciaux

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    27 oct. 2013 – Une réunion top-secrète pour parler des dangers des vaccins à 52 invités triés sur le volet avec interdiction de photocopies des données

  3. François de Siebenthal: Vaccins.La piqûre de trop.

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    24 sept. 2013 – Qui met en demeure les autorités sanitaires des autres pays, dont la Suisse, de s’expliquer sur leur soutien inconditionnel à ce vaccin 

  4. François de Siebenthal: Non aux vaccins obligatoires

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    13 août 2013 – Non aux vaccins obligatoires. amendes non limitées; NON au report de la responsabilité pour les dégats de vaccins sur nous contribuables 

  5. François de Siebenthal: Les vaccins et l’Unicef ! L’Onu cupide est

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  7. François de Siebenthal: Plaintes pénales contre des vaccins très

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    5 août 2009 – Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d’obtenir l’immunité Du poison à rat dans les ingrédients du vaccin anti-HPV.

  8. François de Siebenthal: DES NANO-PARTICULES DANS LE

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    29 déc. 2009 – www.scribd.com/doc/19483397/Un-million-de-fois-plus-de-squalene-dans-le-vaccin-H1N1-que-dans-ceux-qui-provoquerent-la-maladie-de-la- 

  9. François de Siebenthal: Vaccins et certaines manipulations médicales

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    27 juin 2009 – Vaccins dangereux et un peu de perspective historique sur certaines manipulations médicales. Pas d’autistes chez les Amish Sylvie Simon

  10. François de Siebenthal: “Vaccin” : Qui est le propriétaire de votre

    desiebenthal.blogspot.com/…/vaccin-qui-est-le-proprietaire-de-votre.htm…‎

    6 sept. 2009 – On nous assure que c’est pour notre bien, mais du même souffle on nous dit que ces vaccins et antiviraux ne seront pas complètement testés.

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