HSBC & Madoff

Comment HSBC Banque Privée fourguait du Madoff L’affaire Madoff n’a pas fini de révéler ses secrets. L’Expansion.com s’est procuré en exclusivité la conversation entre un client souscripteur de Madoff via le fonds Kingate et son banquier de HSBC Banque Privée,  le 1er décembre 2008, soit seulement 11 jours avant la révélation en France de la gigantesque escroquerie portant sur quelque 50 milliards de dollars. Elle met au grand jour les pratiques de certains gestionnaires de fortune qui ont pendant des années, sans scrupules, vendu du Madoff. En direct : un banquier pris sur le fait, un épargnant pris au piège. Le Lundi 1er décembre 2008 : 13h14 Le client : Tu m’as fait faire deux bonnes affaires, c’est le contrat d’assurance qui quand même est vraiment bien et deuxièmement c’est Kingate (1) (1) Fonds Kingate. C’est un des nombreux « fonds nourriciers » basés aux îles Vierges britanniques, qui alimentaient la société d’investissement de Bernard Madoff. Le banquier : C’est la Rolls Royce ! Le client : C’est impressionnant, c’est fou il a fait trois semaines de petites performances négatives et puis là il s’est repris 1%,  clac d’un coup. Le banquier : Oui, voilà, le gérant d’abord il a une technique de gestion qui est très relatée dans la volatilité actuelle, et puis ils ont tellement d’actifs qu’ils peuvent mettre en place des procédures de contrôle, il y a toute une équipe qui fait ça. Le client : ah oui ? Le banquier : oui, ils sont plusieurs centaines en fait (2)

(2) Jusqu’à preuve du contraire, Maddof a agit seul. L’enquête n’a pas démontré l’implication d’autres personnes dans la fraude.

Le client : ah oui, ils gèrent combien, on sait ça ? Le banquier : Oui, ils gèrent à peu près, je crois, 700 millions sur le compartiment euros et deux milliards sur la partie dollars, je pense. Le client : ah, d’accord … Le banquier : C’est un fonds qui est fermé normalement. Le client : ah, oui ?. Le banquier : Oui, nous on arrive à rentrer mais le fonds est fermé. Le client : ah, je ne savais pas, comment ça se fait que vous arriviez à rentrer ? Le banquier : moi, j’ai un contact qui est un des administrateurs du fonds (3).

(3) Un grand classique des fonds Madoff pour attirer des investisseurs : faire croire à l’épargnant qu’il dispose d’un accès privilégié au fond.

Le client : ah, d’accord… Le banquier : Et oui. Et c’est pour ça, si tu as des amis qui ont un gros potentiel à qui on veut rendre service, on peut faire rentrer (4). (4) Le fonds Kingate n’était pas autorisé par l’AMF (gendarme boursier) à être commercialisé. En théorie, le banquier ne peut vendre ce fonds qu’à la demande expresse de son client. Il ne peut pas faire de démarchage. Le client : ah d’accord, c’est intéressant à savoir, parce que moi j’en parle mais à chaque fois les gens me disent :  « oh les hedge funds ! » et je leur dis regarde la performance sur l’année : +8%. (5).

(5) C’est le génie de Madoff, ne pas promettre des rendements délirants pour ne pas éveiller les soupçons.

Le banquier : Et il y a un moment donné on avait même accès tu vois au compartiment luxembourgeois de Kingate qui cote tous les quinze jours, un peu plus liquide. Le client : Oui, bon moi, je suis content, j’ai fait quand même 20 000 euros de bénéfice en six ans. C’est pas mal. Le banquier : C’est sympa. Le client : C’est un paquebot. Le banquier : On peut difficilement trouver mieux. Le client : Oui, on peut difficilement trouver mieux, oui quoi que regarde là les plus values sont fiscalisées, mais regarde l’assurance-vie, l’un dans l’autre ça se joue à 2%. Le vendredi 12 décembre 2008, 11h35 quelques heures après que l’escroquerie a été révélée au grand jour. Extraits. Le client : Tu m’as appelé…. Le banquier : Oui, on a appris une mauvaise nouvelle sur le fond Kingate, il paraît que son gérant Bernard Madoff avait commis une fraude de l’ampleur d’Enron. On l’a appris ce matin, alors je voulais tout de suite t’en informer, on conseille aux clients de sortir. Le client : Il s’appelle comment le gérant ? Le banquier : Madoff Le client : tu écris ça comment ? Le banquier : (…) moi, je l’ai appris ce matin (…), on ne connaît pas les conséquences (…), on conseille aux clients de donner des ordres de vente (…), c’est un truc de fou, c’est un fonds qui a plus de quinze ans d’existence. Vas sur Google. Le client : je tape quoi ? Ah c’est un ancien directeur du Nasdaq, c’est ça ? Le banquier : oui, c’est ça, exactement. On ne sait pas quelle est la position du fonds (…) c’est un des rares fonds qui a fait une performance positive, c’est ça qui heu… Le client : mais il n’est pas contrôlé, il n’y a pas des auditeurs ? Le banquier : il y a 350 personnes qui travaillaient pour ce fonds, quand tu regardes la fiche, nous on suivait ce fonds, on savait que c’était un market maker, il connaissait bien le marché sur lequel il intervenait, mais personne ne pensait qu’il avait utilisé les capitaux (…) pour donner la performance aux autres. Post-scriptum : Un recours au civil a été déposé par le client devant le Tribunal de Grande Instance de Paris contre HSBC Banque Privée. « Non respect du devoir d’information et du devoir de conseil, commercialisation interdite de fonds, non respect du plancher de souscription, et non respect de l’obligation de diligence » énumère Maître Deniau, l’avocat du client de la victime de Madoff, via HSBC. Ce dernier demande 80.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice financier, soit la somme des montants investis (61.000 euros) et des intérêts qu’il aurait pu tirer d’un autre placement sans risques. L’affaire est en cours d’instruction. HSBC se refuse à tout commentaire. La banque s’est fendue d’une lettre informant le client que « son interlocuteur privilégié avait souhaité donner un nouvelle orientation à sa carrière ». http://www.lexpansion.com/economie/actualite-entreprise/revelation-comment-hsbc-banque-privee-fourguait-du-madoff_223389.html?XTOR=EPR-175

Vu sur Libertés-Internet ICI


[Géraldine Meignan et Franck Dedieu – L'Expansion – 06/01/2010]

Votes truqués par l’argent !

J'ignore tout des procédures de votation en Suisse. Mais nous savons qu'en France et plus particulièrement dans la
Région de Perpignan, où le vote est toujours pratiqué par bulletins papiers, et ce malgré la vigilance des scrutateurs
affectés aux bureaux de vote, une fraude manifeste a été découverte récemment. Un politique local avait des bulletins
de vote favorables à son parti, dissimulés dans ses chaussettes ! Le vote en a été annulé et une nouvelle consultation,
qui n'a rien changé aux résultats précédents, a eu lieu.
Les tricheries en tout genre ont été de tous les âges et je crois sincèrement que plus le système devient sophistiqué
avec le développement de l'informatique, plus le trucage semble facilité pour ceux qui disposent de gros moyens
financiers pour rémunérer les spécialistes du trucage informatique.
C'est le secret du vote qui semble favoriser la fraude. En effet, si le choix individuel était public, la fraude serait plus
difficile à nier car chacun pourrait exiger de consulter son résultat.
Mais eu égard au fait que c'est l'argent dépensé en campagne électorale qui conditionne le résultat des candidats et
que nous savons que lesdits candidats sont sponsorisés par des lobbies financiers supra-nationaux, le vote est de
toute façon truqué par l'argent ! Aujourd'hui, les candidats n'ont aucune pudeur pour recourir ouvertement à des
officines de publicité qui font leur promotion avec les mêmes mensonges qu'ils pratiquent pour faire vendre des
lessives ou des produits de beauté par exemple ! Toute publicité est rarement objective et met en évidence des
avantages supposés en omettant soigneusement les inconvénients qui sont souvent bien réels. La publicité, quand
elle est outrancière, est un mal de notre civilisation.

Seule l'éducation du citoyen pour augmenter la finesse de ses analyses avant de voter, pourrait limiter les dégâts.

Cordialement,

Maurice.

Note:
Les impasses dans lesquelles se trouvent nos sociétés – misère, épuisement des ressources, pollutions, famines – sont le fruit de la logique de pénurie, héritée du passé, lorsque l’humanité était « victime » de son incapacité à produire assez pour tous. Tel n’est plus le cas aujourd’hui. « Produire plus » n’est plus l’obstacle ; mais « produire mieux en respectant les équilibres nécessaires à la vie » est le défi à relever. Nous le savons, mais les règles de l’économie moderne nous enferment dans un processus de fuite en avant : la croissance, incompatible avec celle de l’écologie. Il y a pourtant abondance de solutions, mais l’économie et l’argent, qui ne devraient être que des moyens, sont devenus une fin. Ce ne sont ni les idées, ni la volonté, ni les connaissances, ni les techniques qui manquent, mais l’argent pour les mettre en oeuvre. Tout est soumis à la censure de l’argent ! Dès lors, aucune issue n’est possible à moins de redonner à l’homme la maîtrise sur ses outils, autrement dit la maîtrise de son destin. Philippe DERRUDER explique comment certains mécanismes monétaires de base, qui gouvernent notre économie, condamnent l’humanité à scier la branche sur laquelle elle est assise. Puis il nous livre pour la première fois rassemblées, neuf expérimentations historiques de monnaies franches : en Autriche, en France et jusqu’à l’Argentine et les USA (Ithaca Hours), sans oublier les SELs. Toutes ces expérimentations ont apporté une prospérité sans précédent (bien réelle en créant emplois et infrastructures) avant d’être interdites et réprimées par les banques centrales ou les états. Il convient donc de se pencher sur la question de la monnaie : qui l’émet ? pourquoi des intérêts ? Qu’est-ce qui en limite la quantité et l’accès ? Ce faisant, l’ouvrage démontre qu’en se réappropriant le pouvoir de création monétaire, la Société Civile peut s’engager dans une nouvelle dynamique économique qui garantit un équilibre naturel au service des humains. La troisième partie de l’ouvrage propose à chacun une expérience originale, à tenter dans la société telle qu’elle est, pour apprendre à conjuguer harmonieusement intérêt individuel, bien commun et écologie planétaire. Un texte pédagogique, imagé, prenant les choses au départ, qui nécessite essentiellement un esprit ouvert et du « bon sens ». Une position à contre-courant du libéralisme dominant et des idées du « politiquement correct ». Dans tous les cas, une voie novatrice porteuse d’espoir. Philippe Derudder, éditions Yves Michel (2005)

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une “conspiration monolithique”..

www.pavie.ch

Tricheries démocratiques à Genève, impossible à contrôler…

Dans la lettre datée du 27 mai 2009 et provenant de la direction de l'organisation, des systèmes d'information et du dépouillement centralisé, nous trouvons notamment les informations suivantes sous la signature de M. Michel Warynski:

En page 2 de cette lettre, avant dernier alinéa :

Le canton confirme refuser de donner le nombre de voix obtenus par électronique et par correspondance.

Leur argument selon lequel ce serait pour protéger le secret de vote dans les petites communes ne tient pas la critique. En effet, ils refusent de donner les chiffres même consolidés au niveau du canton, ce qui est très suspect. …

De toute manière, les principes de transparence, notamment démocratique, nous donnent le droit à avoir ces chiffres, au moins consolidés, et même par bureau de vote, pour exercer un meilleur contrôle vu que la confiance est rompue.

En page 1 : Que les urnes ont été ouvertes, notamment les clés de cryptage, le 23 avril, sic… Selon les experts informatiques, le pire péché est de vouloir générer par une machine des nombres vraiment aléatoires, car c'est logiquement une pure impossibilité vu qu'il y toujours une logique.

Il est donc possible de tricher la démocratie genevoise…

-  mardi 20 janvier : Un citoyen a saisi lundi le Tribunal administratif contre le vote électronique. Le document en cause est la “brochure explicative cantonale“, pages 7 à 9 (de la brochure, pas du pdf)….
Vous dites : "Des pays du Nord comme la Finlande, l'Estonie, le Danemark et d'autres comme le Canada ont introduit depuis longtemps le e-voting". – En fait, ce n'est le cas que de l'Estonie. C'est le seul pays qui a généralisé le vote par Internet. – La Finlande, après y avoir songé, a fait en 2008 quelque expériences, mais d'ordinateurs en bureau de vote.
– Le Canada utilise des ordinateurs en bureau de vote ou des scanners de bulletins. Toutefois, le Québec a décrété un moratoire avec son élection catastrophique de 2005 (http://blogueurcitoyen.com/?p=168).
– Le Danemark n'a jamais fait de vote électronique.
————-
Pierre Muller, président d'Ordinateurs-de-Vote.org
Notre dossier sur la votation du 8 février :
http://www.ordinateurs-de-vote.org/-Suisse-.html
furax le 19.01.2009 – 23:07

Qu’est ce qui nous prouvait jusqu’à maintenant que les votations n’étaient jamais truquées ? RIEN
On faisait confiance au tri !
Mais maintenant à en entendre les gens dans la rue, à voir les sondages qui donnent de plus en plus de mécontent, je commence sérieusement à douter quant aux résultats qui sortent des urnes.
Déjà constaté à plusieurs reprises et il ne faut pas dire que c’est la faute des suisses-allemands.
Ils votent Suisse eux !
L’exemple viendra certainement du 8 février : la grosse majorité des gens en a marre et votera NON…..Pour sûr que c’est le oui qui gagnera.
Affaire à suivre

Par MEROVEE le 19.01.2009 – 20:40
Je suis favorable à l'évolution technologique, mais pas à n'importe quel prix. Les risques de piratages informatiques sont trops grands. J'ai voté NON. Rien de tel que les bonnes vieilles méthodes;)
Par technics666 le 19.01.2009 – 19:11
De toute façon que le vote soit papier ou e-paper, le vote sera truqué car ils (les autorités supérieurs…) ne pourront pas laisser passer le NON, cela serait trop de boulot pour eux et fini les magouilles avec les patrons!
10.Aaffaire à suivre…Pour les différentes méthodes de manipulation, des votes sont manipulés, par exemple quand quelqu'un est Blackboulé d'un club comme suit: Un profane est rejeté à l'entrée par un vote de plus de 25% de boules noires. Comment le font-ils ? L'urne n'est pas transparente, elle contient déjà des boules noires très chaudes ou très froides. Les naïfs votent, celui qui compte les boules retire les boules noires qu'il faut en estimant leur température. On fait croire ainsi que le pauvre en question a été exclu démocratiquement…plus sur d'autres méthodes http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=45


11. Arguments supplémentaires

12. Seulement 2753 votes (sic ) pour faire pencher la balance sur près de 100'000 votes électroniques facilement manipulables sans laisser aucune trace à Genève, Neuchâtel, Zürich.
13. Les Pays-Bas abandonnent le vote électronique et l'Allemagne le déclare inconstitutionnel.
14. L' Irlande et la Hollande ont donc abandonné définitivement le vote électronique vu les tricheries et sont revenues à la solution papier plus sûre, malgré des centaines de millions d'Euro déjà dépensés.
15. http://www.rue89.com/2009/05/05/vote-en-irlande-les-urnes-a-55-millions-ne-sortent-pas-du-carton?page=1
16. http://futurezone.orf.at/stories/278892/

17. l'Irlande seule a déjà dépensé plus de 60 millions d'Euros dans les infrastructures de vote électronique. Le retour au papier ferme ainsi, dans ce pays-membre de l'Union Européenne, tout risque de fraude électorale par hacking.

18. La commission avait publié un rapport intérimaire qui avait forcé le gouvernement irlandais à renoncer à organiser les élections européennes de façon électronique.

19. La version complète du rapport est enfin disponible.

http://www.heise.de/newsticker/Irland-stoppt-E-Voting-Projekt–/meldung/136850

20. Le système genevois de vote en ligne est composé seulement à 80% de logiciels ouverts et vérifiables. Il suffit d'une ligne de code sur des millions pour pouvoir tricher, sans oublier que le système par exemple échelon ( ou sa copie suisse Satos-3 /Onyx ) est capable d'intercepter et de modifier les données tout le long des câbles, y compris dans les multicouches OSI et dans les ordinateurs des votants, sans que personne ne le sache…pour plus de 46'500 votes électroniques possibles reconnus publiquement seulement à Genève…

21. http://www.geneve.ch/chancellerie/communiques/2009/20090423.asp

22. Toute activité électronique est non seulement écoutable mais manipulable contre la volonté des citoyens, y compris lors d'un vote.

23. Suite à des inspections, le 30 octobre 2006, le gouvernement hollandais a fait le constat d'un problème avec les machines à voter SDU : les machines pouvaient être contrôlées à distance dans un rayon de 10 mètres et ce sans câble. De ce fait, ces machines ne garantissent pas suffisamment l'anonymat du vote.

24. Ce qui est inadmissible vu l'envergure nationale du vote et de la position connue des autorités genevoises contre le référendum. Nous nous demandons d'ailleurs comment vérifier ces votes par électronique ? Nous exigeons de pouvoir le faire, accompagné de spécialistes de notre choix.
25. Tout est dématérialisé, il n'y a plus de bulletin de vote unique, touché et rempli à la main, et stocké matériellement : nous voici tous devant un concept informatique évanescent.
26. L'urne, qui devrait être transparente en pleine lumière dans une vitrine publique visible nuit et jour par les passants de la rue et filmée en permanence par des webcameras, devient une boîte noire en laquelle les citoyens doivent vouer une confiance aveugle impossible : les étapes entre l'action du vote et le comptage deviennent complètement opaques (pour protéger l'anonymat et le secret des votants).

27. Le contrôle neutre de toutes les étapes est complètement perdu et rendu impossible : pour gagner 1 à 2% de participation et au prix de machines et surtout de logiciels douteux et hors de prix ?
28. Pour que toute la Suisse puisse ainsi, il faudrait entre 400 et 600 millions de francs. C'était l'estimation de la chancelière de la Confédération Annemarie Huber-Hotz.
29. Tous les spécialistes neutres dénoncent le vote électronique dans son entier, sauf ceux qui touchent des bonus ou de juteuses commissions sur ces marchés…

30. Tigris et Tiago, qui peut manipuler les votes électroniques à Genève, Neuchâtel et Zürich, sont donc deux polices illégales et elles doivent être dissoutes immédiatement par respect de la démocratie suisse et des peuples cantonaux.

31. Les risques techniques si nombreux de l'e-voting :

32. Le débat dépasse largement le cercle du canton de Genève (ou celui des autres cantons pilotes), car les autres cantons préparent activement l'extension à leur usage du vote électronique, et en particulier par la reprise de ces pilotes selon la devise économique : "développé une fois – copié vingt-cinq fois".

33. Pour exemple, le système pilote de vote électronique genevois a été choisi par le Conseil d'État du canton de Bâle Ville pour le vote de ses citoyens expatriés. De même, le système pilote genevois¹ serait à priori choisi pour l'essai vaudois² – au moins pour les vaudois expatriés. Si ce n'est le genevois qui est finalement choisi, ce sera l'un des deux autres pilotes, or les griefs sont les mêmes pour les trois pilotes. Il en serait de même pour le canton du Valais.
(1) selon une réunion avec le chef du service des droits politiques du canton de vaud (08/01/2008)
(2) selon le courriel reçu le 20/06/2008 de l'administration vaudoise (Sylvain Jaquenoud/SDP-SeCRI-DINT): "il est de la plus haute vraisemblance que nous retenions l'un des trois systèmes des cantons pilotes".
(3) lettre de la Vice-Chancelière d'État Monique Albrecht du 05/02/2008, indiquant la volonté de s'orienter vers les solutions prétendument "homologuées" par la Confédération.

34. D'abord, et tout comme les deux autres pilotes fédéraux, le pilote genevois ne respecte pas la transparence démocratique. Premièrement, la position de l'état de Genève (comme celle de Zurich, ou de la société espagnole fournissant Neuchâtel) est d'interdire l'étude* publique approfondie du code du logiciel.
35. En allant jusqu'au tribunal fédéral, un informaticien a obtenu le code source du pilote genevois, mais uniquement sur papier, et imprimé sur des feuilles rouge foncé ! De plus, collationné dans le désordre et mélangé avec le code du serveur Web standard Apache.
36. La nouvelle loi cantonale, qui sera discutée fin août par le Grand Conseil genevois (PL9931A), interdira explicitement cette ultime possibilité de vérifier et discuter publiquement le programme (mirage de la sécurité par l'obscurité).

37. Secondement, et malgré ce recours fébrile au mystère, l'étude de son architecture et fonctionnement (telsº que décrits dans les documents officiels et articles récents) démontre :

• que le système n'inclut pas le contrôle constant des opérations de la session par une commission électorale (un ordinateur est opaque),
• qu'il ne donne pas au citoyen le moyen de surveiller le processus de son bulletin,
• qu'il ne laisse pas celui-ci vérifier que son bulletin est bien arrivé (et intact) dans l'urne électronique,
• qu'il ne construit aucun élément probant pour vérifier la bonne fin du scrutin (p.ex. pour résoudre les cas de contestations),
• qu'il n'offre pas le recomptage sensé des bulletins (pas d'authenticité, pas d'intégrité, pas de complétude, pas d'exhaustivité, etc.).

38. Dès le mois de mai 08, la chancellerie genevoise a insisté pour dire que son système "a beaucoup évolué" depuis 2003, mais ces éventuels changements sont manifestement négligeables face à l'irrespect des principes du vote démocratique.
39. En effet, d'après les descriptions dans le rapport de projet de loi, celles du site de l'état ou des discours récents, ou encore les interventions des responsables repris dans les derniers articles, l'architecture fondamentale du système n'a pas le moins du monde changé. Même les griefs techniques et les vulnérabilités restent les mêmes !

40. En conclusion de la transparence, si on compare avec la procédure et les concepts centraux du vote par correspondance, on voit que les pilotes de vote électronique n'ont dans leurs opérations aucune des possibilités de scrutation populaire attendues pour le vote démocratique; sans compter que le contrôle politique (commission électorale) qui est la norme dans le vote papier -l'observation constante des opérations- est totalement impossible avec les systèmes actuellement utilisés.

41. Par ailleurs, comme la liste liant le nom des citoyens à leurs numéros d'identification de vote est générée et conservée par l'administration publique (car nécessaire pour résoudre les réclamations¹), le secret du vote n'est pas garanti : l'administration peut relier aisément les bulletins déposés avec le nom de chaque citoyen ayant voté avec ce système. Ce lien entre l'identité du votant et son bulletin peut se faire : soit car les bulletins sont reçus en clair par le serveur pour construire la confirmation (avec les fameuses "imagettes"), soit après dépouillement car l'urne électronique n'est pas réellement³ "brassée" ou, grâce aux journaux systèmes -ou "log", car une seule session informatique regroupe l'identification du votant et le dépôt du bulletin !

(1) Un citoyen peut arguer avoir perdu sa carte de vote, avoir subi une panne informatique ou une perte de connexion, etc., et ainsi ne pas avoir pu effectuer ou terminer son vote et demander un nouveau droit de votre (une nouvelle carte). Il faut pouvoir partir du nom du citoyen pour vérifier la présence ou l'absence de son bulletin dans l'urne électronique.

(2) La construction de cette confirmation par le serveur de l'administration, qui reçoit donc en clair le bulletin de vote, viole aussi le critère de temporalité du scrutin.

(3) Les bulletins sont simplement lus dans un ordre différent de celui de réception dans la base de données (témoignage de Mathias Schmocker). D'ailleurs, les ordinateurs étant des machines déterministes, il n'y a pas de hasard et toute opération y est indéfiniment reproductible, le brassage d'une "urne électronique" est donc vide de sens (formellement, les ordinateurs sont des machines de Turing normales bornées, ou automates finis).

42. De plus, l'imprimeur des si coûteuses cartes de vote reçoit cette liste liant le nom des citoyens et leur numéro d'identification pour le vote électronique. Il la fait transiter sur l'ensemble de son réseau d'atelier : elle est de fait copiée sur les serveurs de gestion du travail, les ordinateurs des imprimantes industrielles, les contrôleurs du réseau, etc… Et on sait bien que l"effacement" de données informatiques est une notion très ambigüe, la suppression définitive et réelle d'une donnée électronique est très difficile (voir les techniques de "computer forensics" en cybercriminalité).

43. En résumé, le citoyen (même un "expert") doit s'en remettre aveuglément à l'administration publique, et est à sa merci. Bref, cette conception à courte vue du vote électronique bafoue tout ce que la démocratie moderne a patiemment mis au point pour protéger l'expression de la libre motivation de l'électeur.

44. Les citoyens, les médias, les fonctionnaires et les politiciens doivent être rendus attentifs aux enjeux, et doivent s'emparer du sujet maintenant que le changement est en cours. Car le Conseil Fédéral a formellement enjoint les cantons de s'engager sur la voie du vote électronique, le lobby des Suisses de l'étranger (OSE) le réclame, les trois quarts de la population le demandent, les jeunes n'imaginent pas voter autrement.

45. Autres informations:

46. Un bon résumé, et des interventions donnant d'autres éclairages, est fourni avec l'article du Prof.J-D.Delley sur Domaine Public (voir les commentaires par "dépliage" en cliquant sur leurs titres), Un court débat sur l'utilisation conjointe de bulletins papier a été initié judicieusement par le Conseiller d'État vaudois François Marthaler (CdE-VD) avec des commentaires précieux de notamment de M.

47. « Auditionné par la commission, le président du GULL (Groupement des utilisateurs de Linux et des logiciels libres), José Nunes, a de toute évidence semé le doute (voir article du Courrier). "Sans une trace papier, on perd le contrôle sur le vote. Au moindre problème, aucun recomptage des bulletins n'est possible. Dans ce cas, seule la "nomenklatura" en place pourra vérifier, et on peut douter qu'elle soit en mesure de le faire. On n'a plus d'autre choix que de lui faire confiance." L'argument ne me laisse pas indifférent, si je songe au récent épisode des élections de la commune d'Yvonand qui ont dû être annulées parce qu'un seul bulletin de vote était fautif. »

48. Le vote électronique à distance pose de difficiles problèmes, relevant largement de la quadrature du cercle : Il faut pouvoir garantir inconditionnellement le secret du vote, sans avoir à placer sa confiance en l'administration publique (qui, inversement, serait alors la cible de soupçons récurrents). Il faut que l'administration publique puisse résoudre les cas de réclamations et contestations (donc, avoir les preuves de réception de bulletin, voir ci-dessous). Il faut que toute l'opération, pour chaque bulletin, soit parfaitement transparente, pour que tant le citoyen (pour son vote), que des scrutateurs (commission électorale, pour l'ensemble), puissent avoir la conviction, mieux la preuve, qu'il y a bonne fin et pas de fraude. Il faut que les bulletins dématérialisés puissent être recomptés, en apportant la preuve d'authenticité (venant bien d'un électeur) et d'intégrité (portant bien la motivation du citoyen). Etc…

49. À propos de la résolution des réclamations, l'administration publique doit garder la liste faisant le lien entre le nom du citoyen (identité) et le numéro d'identification pour le vote électronique. Elle en a besoin pour résoudre le cas de citoyens n'ayant pu voter : pas reçu la carte, panne d'ordinateur, perte de connexion; car l'administration doit savoir si, en partant de l'identité du citoyen demandeur, il y a ou non un bulletin de lui dans l'urne électronique, et pouvoir en connaissance redonner, ou non, un nouveau droit de vote.
50. L'administration doit donc pouvoir relier un bulletin avec un votant pour résoudre les réclamations … et simultanément elle ne doit pas pouvoir le faire (et ce, inconditionnellement) pour respecter le secret du vote. Quel dilemme, n'est-ce pas !

51. Une discussion sur la sensibilité à la fraude du vote papier et de sa version électronique se trouve sur le blogue du député Jean-Christophe Schwaab (Dpt GC-VD) . D'autres blogues ou forums ont aussi couvert récemment ce débat.

52. Une majorité de 41 députés (socialistes, radicaux, Mouvement citoyens et démocrates-chrétiens, et des voix éparses) contre 17 (UDC et libéraux, principalement) – et 9 abstentions (libéraux et verts) – avaient décidé de renvoyer la loi de concrétisation en commission. [Le Courrier, 29 août 2008]

53. Plusieurs points de la loi (d'application) étaient très inquiétants, p.ex.le manque de neutralité technologique*, ou la charge de la responsabilité mise sur le citoyen en cas de piratage.

54. (*) Les opérations préconisées étaient fortement liées à l'architecture et aux procédures du système pilote actuel, notoirement insuffisant; les députés en ont largement fait écho lors du débat, même les plus vifs adeptes du principe de vote électronique.

55. Mais, il avait un autre point très grave : c'est l'interdiction de consulter librement le programme source du logiciel de vote électronique et en particulier jamais au format électronique, empêchant de faire alors des analyses automatiques. Il en est de même (et il en a été de même) pour la documentation du système employé :

56. Le code source des applications permettant de faire fonctionner le vote électronique, de même que les documents liés à la sécurisation du système, à l'exception des résultats de l'audit prévu à l'alinéa 6, ne peuvent être communiqués à des tiers en application de la loi sur l'information du public et l'accès aux documents, du 5 octobre 2001.
57. Les membres de la commission électorale centrale y ont toutefois accès en tout temps.
58. Le code source peut en outre être éprouvé, sans toutefois être reproduit, par tout électeur qui justifie d'un intérêt scientifique et purement idéal et qui s'engage à en respecter la confidentialité. Le Conseil d'État fixe les conditions et modalités de ce test.

59. Cette position, escamotant un droit fondamental du citoyen d'une société démocratique, est pourtant confirmée par la chancellerie fédérale :

60. La documentation technique relative à un système de vote électronique ainsi que les avis concernant la sécurité constituent des documents cantonaux confidentiels. Ces documents ne sont pas publics. Les cantons qui appliquent déjà le principe de la transparence peuvent subordonner la consultation de ces documents ou du code des programmes à des conditions ou carrément la refuser dans la mesure où il renferment des informations de sécurité qui sont sensibles ou des secrets d'entreprise.
61. [Tomas Helbling, vice-chancelier de la Confédération, courrier à O.M. 20/08/2008]

62. Pourtant, le tribunal administratif genevois a reconnu :

63. Compte tenu de l'intérêt du citoyen de s'assurer lui-même de la fiabilité du système de vote, les restrictions de divulgation posées à l'accès au code source apparaiss[ent] contraires au principe de la proportionnalité.
64. [La diffusion et la copie du code source étant excepté. Arrêt 29/11/2005]

65. À l'encontre de cette position que l'on pourrait appeler par dérision "obscurantiste" (car dites de "sécurité par l'obscurité"), le rapport de minorité relève :

66. "[le programme source] Il s'agit grosso modo d'un ensemble d'instructions décrivant le fonctionnement d'un programme informatique. Son ouverture – ou sa publicité – permet à des informaticiens de haut niveau de s'y pencher afin de découvrir d'éventuelles failles et de vérifier que le programme effectue bien les actions qu'il est censé effectuer. La connaissance du code source ne permet pas pour autant de pénétrer le système. Un des informaticiens que nous avons auditionnés a utilisé la métaphore du plan du système de sécurité d'un musée. Un cambrioleur professionnel pourra, en étudiant un tel plan, repérer les faiblesses ou les incohérences du système, mais ne pourra pas pour autant s'introduire dans le musée, car il ne connaîtra pas les mots de passe ou ne possèdera pas les clefs permettant de passer les divers obstacles décrits sur le plan. Ainsi, il est généralement admis dans la communauté informatique, que le fait d'ouvrir le code source d'un programme permet de l'améliorer, puisqu'un nombre plus important d'informaticiens pourront s'y pencher."

67. Mais la commission n'avait pas osé aller jusqu'au bout, même la minorité, en inscrivant l'exigence d'une complète publication du programme source et des documentations du système.

68. La sélection de "cœurs purs" (al.10 du projet) limiterait le choix à des personnes agréées par le gouvernement (et donc écarterait les contradicteurs1), l'interdiction de copie ne permettrait pas l'aide d'un tiers ou l'emploi d'outils d'investigation spécialisés, et l'engagement de confidentialité empêcherait de rendre public ses constatations. Or l'expérience montre qu'étudier valablement un logiciel grand et complexe demande une forte abnégation (ou être très bien rétribué), et que la probabilité d'y découvrir une erreur ou faille ne devient tangible qu'avec la disponibilité de moyens techniques et surtout la présence de nombreux cerveaux, et l'émulation intellectuelle obtenue par le débat en forum.

69. Inversement, la publication du logiciel sous une licence "Open Source" de type OSI (donnant la liberté d'expérimenter), et par le fait de l'intérêt fondamental du sujet, aboutirait au contraire à bénéficier de l'analyse et l'amélioration par les milieux académiques et spécialisés (souvent aussi passionnés).

70. Or, il se fait que le droit suisse ne connaît pas la transparence du vote, contrairement aux autres principes qui sont légalement requis.
71. L'administration fédérale relève qu'il s'agit là que d'un usage établi, reconnu généralement dans la doctrine et parfois dans la jurisprudence.

72. Il serait donc bien -pour éviter globalement et définitivement une telle dérive du secret- d'inscrire dans la loi sur les droits politiques, voire les constitutions cantonales, ou mieux encore dans la constitution fédérale :

73. l'obligation de publicité et de transparence (observabilité générale) des procédures et moyens essentiels mis en oeuvre lors d'un vote populaire, ceci afin de permettre la surveillance démocratique par potentiellement* l'ensemble du peuple; comme l'usage (et la doctrine) l'ont établis pour le vote au local.
74. (*) non pas que chacun soit en mesure de lire et comprendre logiciels ou autres outils, mais que chacun puisse librement investir sa confiance dans -ou même désigner- l'expert qu'il veut pour l'écouter ou le faire.

75. Il existe des méthodes statistiques applicables a posteriori qui permettent de calculer la probabilité d'un résultat électoral (on sait par exemple que les élections présidentielles de 1878, 1882 et 1888 aux États-Unis ont probablement été manipulées).

76. Quelque soit le parti qui avance le vote électronique comme une avancée, tous les informaticiens bien informés savent que ce n'en est pas une.

77. Le bulletin de vote en papier comporte aussi un risque de manipulation. Comment sait-on que le courrier avec son bulletin de vote est bien arrivé à destination? Les possibilités d'entorses sur la confidentialité du vote seraient plus grandes lors du vote par bulletin postal que lors du vote traditionnel dans un isoloir avec un bulletin anonyme. Qu'en est-il de la sécurité autour de la livraison des urnes du local de vote? Et ainsi de suite… Il y a eu des cas avérés récents de trucage, y compris en Suisse.

78. Des garde-fous et des lois existent. Mais en premier lieu nous nous fions simplement à nos élus, aux fonctionnaires, et aux scrutateurs, pour le bon déroulement de nos démocraties. Ou pas. Il en est de même pour le vote électronique.

79. Pour vérifier une élection traditionnelle, il faut quelques personnes assermentées, du bons sens pour compter les bulletins et un peu de salive pour se mouiller le doigts pour les faire défiler plus vite.

80. Bref, pas besoin de compétence que le citoyen lambda ne possède. Par contre pour le vote électronique, seuls quelques experts auront ces connaissances, ainsi un contrôle fiable et simple n'est plus possible !

81. De nos jours, pour accéder en ligne a votre compte en banque, il faut au minimum en plus du mot de passe un "token" ou challenge number généré par une carte secure ID ou autre.

82. Je ne doute pas que pour la plupart d'entre nous notre compte en banque est plus important que nos valeurs démocratiques, ou alors est ce que ça veut dire que l'état de Genève a prévu le budget pour distribuer à chacun des votants potentiels une calculette de type secure-id ? Avec ce que ça implique en termes de maintenance et help desk ?

83. Tous les gens informés en sécurité informatique que je connais sont résolument contre le vote électronique dans l'état actuel de la technique. C'est un problème bien plus compliqué que les transactions bancaires sécurisées, et l'enjeu, le pouvoir politique, bien trop important pour galvauder le contrôle des votations sous le prétexte du confort des électeurs.

84. Voyez ce qui se passe au USA avec les machines à voter électroniques, un problème bien plus simple que de passer par Internet. Les scandales à répétition liant ces machines aux fraudes électorales abondent (la firme Diebold vendant ces machines est particulièrement sujette aux soupçons les plus graves).

85. Il est naïf de croire qu'un petit cercle d'experts de notre république va résoudre le problème, non résolu au niveau mondial. Presque chaque semaine de nouvelles failles de sécurité d'Internet sont mises en évidence, pas par nos "experts", mais par de vrais experts en sécurité informatique, et certains hackers bien intentionnés. Les services secrets et les mafias peuvent facilement contrôler la plupart des ordinateurs en ligne, surtout ceux tournant sur Windows. Soyez assuré qu'un lobby assez puissant puisse faire de même afin d'influer sur qui détient le pouvoir politique.

86. Les fraudes dans le domaine électoral se produisent tôt ou tard, et arrivent même localement avec le système actuel. L'avantage du système présent est qu'il est assez simple pour que tout un chacun puisse contrôler sa bonne marche à presque chaque étape, limitant sérieusement les possibilités de fraudes à grande échelle. De grâce ne sacrifiez pas cet outil essentiel de la démocratie pour satisfaire une vision ingénue d'un future tout électronique faisant fi de la dure réalité.

87. A noter que Bâle-Ville vient de décider de lancer le vote électronique pour les Suisses de l'étranger. Deux considérations intéressantes au plan de la sécurité : D'une part, tant au niveau administratif que politique, c'est le même niveau de sécurité qui est visé que celui du vote par correspondance, et en aucun cas un niveau plus élevé. D'autre part, pour ses habitants comme pour ses Suisses de l'étranger, Bâle-Ville ne demande, pour voter par correspondance, ni la date de naissance, ni la signature; et il n'y a pas d'enveloppe pour le bulletin de vote. En d'autres termes, le système repose encore beaucoup plus que chez nous sur la confiance : le simple fait d'être en possession d'un matériel de vote signifie que l'on est bien électeur et que le matériel qu'on a en main est bien le nôtre. Pour le vote électronique des étrangers, Bâle-Ville a donc simplement repris le système genevois, mais en renonçant à la zone "à gratter" sur la carte de vote.

88. En résumé, identifions les risques:
1. changer le résultat global:
89. On pourrait craindre qu'un hacker s'introduise dans la base de données et en change le résultat. Mais c'est déjà le cas maintenant puisque le décompte des cartons est forcément déjà introduit dans un système informatique, par définition hackable. D'ailleurs, qu'est-ce qui prouve que ce n'est pas déjà le cas?
2. usurper l'identité d'un autre votant :
90. On peut aussi craindre qu'un hacker arrive à voler l'identité d'autres votants. Même en informatisant ce processus, ça prendrait tout de même un temps considérable pour faire pencher la balance de manière significative. Par ailleurs, ça augmenterait les chances de pouvoir retrouver son IP. Et de toute manière, avec les petits cartons, on peut aussi voler l'identité d'un autre votant parce qu'un date de naissance est facile à trouver quand on connaît le nom. Quant à la signature, y a-t-il vraiment quelqu'un qui contrôle? J'ai des gros doutes. Et étant donné la quantité de personnes qui s'abstiennent de voter, il y a gros à parier que leur carton se trouve dans les déchets, attendant d'être ramassé.
3. briser l'anonymat du votant:
91. Voilà le pire point faible au niveau de la sécurité du e-voting par rapport aux cartons de vote. Car il serait effectivement possible de recenser les votes en regard des noms et donc, adieu le bulletin secret.

92. http://euroracket.blogspot.com/2009/05/evoting-genevois-et-zurichois-inversion.html

93. Les matériels illégaux, comme dans le canton de Vaud ?

94. Les enveloppes de vote jaunes y sont transparentes sous fort spot lumineux, depuis les origines du vote par correspondance (et les sceaux des urnes ne sont pas tous scellés avec la pince officielle, voir plus avant). Le papier du vote interne n'est pas gris mais blanc et il est transparent même à la lumière du jour. Le tout est donc visible sous certaines conditions simples à reproduire.

95. Simplicité "géniale".

96. La croix du vote dans la case ad hoc où le nom du Parti, etc. sont ainsi très lisibles depuis des années avec un simple spot de bureau à seulement 200 Watts, par ex. celui d'Ikea à CHF 9.90 ( voir les photographies en annexe ).

97. Déjà signalée à plusieurs reprises.

98. En ce sens, les arguments juridique avancés, tant au Canton de Vaud que dans d'autres Cantons, qu'aucun Exécutif d'un Canton n'a eu l'attention attirée par des Citoyens(ne)s, déjà avant la tenue d'une Votation, etc., sur des soupçons de Fraudes électorales avec des moyens de preuves concrets est totalement erronée.
99. Ces problèmes ont été signalés à plusieurs reprises par oral ou par écrit, notamment par feu le député georges Letellier, lors d'élections et de votations précédentes.
100. Lors d' un sondage récent rendu public, plus d'un tiers des Suisses se méfient de l'État, à raison au vu de cette seule preuve refusée depuis des années. 7. Sondages manipulés.

101. L'ensemble de ce qui précède tendrait aussi à expliquer les écarts inexpliqués et statistiquement inexplicables entre les pourcentage annoncés dans les derniers sondages et les résultats – manipulés – de la plupart des dernières Votations.

102. En effet, selon le sondage de la SSR idée suisse:
103. L'idée de disposer d'un passeport contenant des données biométriques n'enthousiasme que très moyennement les Suisses, comme le montre le premier sondage sur les votations du 17 mai prochain…. 39% des sondés y sont en revanche opposés et 14% n'ont pas encore arrêté leur opinion.
104. http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/Le_futur_du_passeport_biometrique_encore_incertain.html?siteSect=105&sid=10554443&cKey=1242044036000&ty=st
105. De 39 % à plus de 50 % sans les tricheries, quelle remontée…

106. Sceaux trafiqués et vrais sceaux.

107. Il y a un certificat du fabricant des pinces à sceller vaudois qui affirme que près de la moitié des sceaux utilisés à Lausanne ( 23 / 44 sceaux ) pour les urnes sont faits avec des pinces à sceller sans l'inscription officielle ! Même la qualité du plomb est différente et les fils de scellement sont différents. Il faudrait faire vérifier ce point aussi dans le canton de Genève.

108. E.mail gate :

109. Il y eu un E-Mail-Gate notamment sous la coupole fédérale au détriment du référendum contre le passeport biométrique (ici l'extrait central de la question 4., à lire dans l'URL suivant):
110. "…
111. Plusieurs envois d'informations du comité référendaire contre les passeports biométriques à des parlementaires de tous partis furent bloqués de manière répétitive par de grands fournisseurs d'accès suisses (dont Swisscom, Sunrise, Cablecom et surtout "Green", en charge du site parl.ch) pour des raisons de contenu et sans que les récipiendaires en soient informés.
112. …"
113. http://www.parlament.ch/F/Suche/Pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20083504
114. …On donne essentiellement la parole à des personnes qui diffusent invariablement la Propagande de l'Industrie suisse de la Biométrie, et les Slogans inventés par une Agence de Relations publiques, qui est Cliente du Conseil fédéral.

115. http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Article_dinformation.pdf

116. … en instrumentalisant l'Office fédéral de Justice et Police (si "fiable" pour la Démocratie, avec ses unités spéciales et tenues secrètes : Tigris et Tiago, etc. … affaire à suivre), qui inonde les Médias suisses de Communiqués mensongers.

117. http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Prise_de_position_du_Comite_suite_au_Communique_de_Presse_de_la_fedpol_du_18_2_09.pdf

118. Modus operandi:

119. Au vu de toutes ces preuves et indices, nous avons l'intime conviction que tout le système facilite les manipulations de la façon suivante.

120. Les votes électroniques ont été manipulés, comme probablement à Zürich, qui a le même système que Genève, et où des votants n' ont pas pu voter car quelqu'un d'autres avait déjà utilisé leur identification électronique de votant.

121. http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/stadt/Panne-bei-Zuercher-EVoting/story/30867725#

122. Panne bei Zürcher E-Voting

123. Bis zu 4000 Stimmberechtigte der Wahlkreise 1 und 2 können am 17. Mai nicht elektronisch abstimmen. Ihr Pin-Code wurde unleserlich gedruckt.

124. Von den rund 22'000 Stimmberechtigten der Zürcher Wahlkreise 1 und 2 können maximal 4000 bei den Abstimmungen vom kommenden 17. Mai nicht elektronisch abstimmen. Auf ihren Stimmrechtsausweisen ist der PIN-Code unter der aufzurubbelnden Fläche «nicht oder ungenügend lesbar», wie die Stadtkanzlei heute mitteilt.

125. Die Stimmberechtigten werden aufgefordert, ihre Stimme brieflich oder an der Urne abzugeben, da der E-Voting-Stimmrechtsausweis nicht ersetzt werden kann. (los)

126. Erstellt: 04.05.2009, 17:43 Uhr

127. Des méthodes plus classiques.

128. L'imprimeur imprime un surplus de réserve de matériel de vote, soit 45'000 plus 15 % de 397'928 ( maculature permise ), en tout près de 100'000 matériels de votes de réserve…
129. Une partie est distribuée dans toutes les communes, l'autre est centralisée.
130. Les enveloppes des votants arrivent dans chaque commune, qui les ouvre et vérifie avec les codes barres, not. les signatures et les dates de naissances si elles sont valables.
131. A n'importe quel moment, de nuit de préférence, surtout le samedi soir avant le dépouillement selon nos témoignages, des inconnus ouvrent les urnes, peuvent voir par flux lumineux le contenu de tout ou partie des enveloppes jaunes fermées et remplacer certaines enveloppes par les leurs, remplies selon leurs besoins.
132. Les urnes sont alors refermées avec les faux sceaux, comme prouvé par 23 sur 44 d'entre eux dans un seul local de vote.
133. Le tour est joué, la votation est "gagnée" de manière sournoise…
134. On peut aussi faire remarquer qu'il suffit de changer un certain nombre d'enveloppes par d'autres, sans même en voir le contenu, ce qui fausse aussi les résultats dans le sens désiré.
135. Voici donc notre principale plainte, il n'y a plus de secret de vote ni de sécurité du respect de chaque vote interchangeable vu que plus de 90 % des votes ont lieu par correspondance. En effet, vu la transparence des enveloppes jaunes sous simple spot lumineux à 200 watts, transparence jamais corrigée depuis des années malgré les promesses des autorités, le rapprochement nominatif avec nos bulletins nominatifs gris signés et l'échange d'enveloppe est possible dans chaque greffe municipal pendant des semaines. Ce problème est possible au niveau de chaque commune et un postulat parlementaire vaudois, Réf : 03/POS/086 a été déposé au niveau cantonal pour changer la procédure du vote de chaque greffe. On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu'ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d'envoi signée.

Tricheries démocratiques en Suisse dans 4 cantons.

Les 4 cantons ayant dit non à l'initiative anti-minarets sont ceux qui pratiquent le plus la tricherie par votes électroniques ou par correspondance…Quatre exceptions Le "non" le plus fort est venu de Genève, avec 59,7% d'avis négatifs. Il s'agit du seul endroit en Suisse romande où une mosquée est flanquée d'un minaret. Les Vaudois et les Neuchâtelois ont également rejeté le texte, mais plus timidement (53,1% et 50,9%). Outre Sarine, les citoyens de Bâle-Ville ont été les seuls à se distinguer. Le demi-canton, qui compte la plus forte communauté musulmane de Suisse, a refusé d'interdire les minarets par 51,6% des voix.http://desiebenthal.blogspot.com/2009/06/recours-final.htmlhttp://ferraye.blogspot.com/2009/06/rfid-passeports-biometriques-nos.html

http://www.ordinateurs-de-vote.org/… 8< ———————————————————————————————————-
Selon le Canard Enchaîné du 7 janvier 2009 : (…) Une information judiciaire a été ouverte à Paris, le 8 décembre, pour « abus de confiance, faux et usage de faux et usurpation d’identité ». Ancien conseiller de Paris, Alexandre Galdin soupçonne son parti d’avoir piraté le vote des militants, en juin 2006, pour l’empêcher d’être élu délégué de circonscription de l’UMP dans le XVe arrondissement. Le plaignant dispose de nombreux éléments qu’il a transmis à la justice. Par exemple, plusieurs militants certifient n’avoir jamais voté alors que les ordinateurs du parti ont enregistré leur participation au scrutin. A l’appui de sa plainte, Alexandre Galdin a communiqué un document fort instructif. Il s’agit d’un tableau, établi par des responsables de l’UMP, qui recense les codes secrets attribués à plusieurs dizaines de militants pour leur permettre de voter par Internet. En face, une case indique l’identité des militants dévoués qui ont voté à la place et à l’insu de leurs petits camarades.

….

et même pire…

On l’a vu hier, l’Amérique du Sud a vu défiler pendant des années des cartons d’aide humanitaire avec derrière, le plus souvent des hommes qui n’avaient pas le profil d’anges,

et des machines qui ont parfois servi à trafiquer des élections, art dans lequel l’Amérique a pris de l’avance sur le reste du monde en imposant le pire système qui puisse exister pour la démocratie : le vote électronique.

Mais il n’y a pas que cette partie du monde qui a subi ce sort : les pays récemment envahis ont eu droit eux aussi à leur dose d’autocollants USAID. L’Afrique idem, spécialement dans les pays les plus instables, notamment le Soudan, où des avions chargés d’aide humanitaire ont ostensiblement servi à transporter aussi des armes. L’exemple récent de la Georgie est là pour nous rappeler aussi que parfois ce n’est pas le carton qu’il faut regarder, mais également l’engin qui l’apporte. Retour sur les étranges façons de l’aide humanitaire gouvernementale américaine, ou la CIA n’est jamais très loin de la porte ou de la soute du cargo, du bateau ou de l’avion apportant vivres, graines Monsanto ou couvertures.

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/de-victor-jara-a-guantanamo-la-66780

RFID…Banque de données et Cartes d’identité biométriques: Nouvelles importantes ! Biometriedatenbank und Identitätskarte: Wichtige News /

Mesdames et Messieurs,

Le Canton de Thurgovie va déposer – sous peu – une Initiative Cantonale à Berne.

Comme but et, comme de par le passé, les Cartes d'identité non biométriques pourront à l'avenir, également être disponibles (délivrées) dans (par) les Communes !

Le Gouvernment (Conseil d'Etat) du Canton de Thurgovie vient de soutenir officiellement, dans sa réponse du 8 décembre 2009 à une Motion déposée et soutenue par 77 des 130 membres du Grand Conseil thurgovien, et demande ainsi au Parlement cantonal de reconnaître cette Motion pour valable, afin que le Canton de Thurgovie puisse déposer une Initiative Cantonale à Berne, avec le texte suivant :

********************************************************************************
Le Canton de Thurgovie soumet à l'Assemblée fédérale l'Initiative Cantonale suivante :
Il est demandé à la Confédération de supprimer – sans aucun rajout – les dispositions transitoires de la modification du 13 juin 2008 dans la Loi fédérale sur les documents d'identité des ressortissants suisses (Loi sur les documents d'identité, LDI; RS 143.1) :
"Les Cartes d'identité sans puce peuvent encore être commandées en Suisse selon l'ancienne procédure auprès de la commune de domicile dans un délai de deux ans au plus à compter de l'entrée en vigueur de la présente modification; les cantons fixent la date à partir de laquelle elles ne pourront plus être commandées qu?aux autorités d'établissement des documents d'identité."
********************************************************************************

Cette Initiative Cantonale a pour but final que les Administrations communales de toute la Suisse puissent continuer, à l'avenir, de délivrer des Cartes d'identité non biométriques et que les Citoyennes et Citoyens ne doivent pas se rendre dans les rares Centres de saisies biométriques cantonaux (par example un seul centre dans le Canton de Vaud avec 688'000 habitants et 375 Communes!), lorsqu'ils n'ont besoin que d'une Carte d'identité non biométrique.

N.B. Cette Iniative Cantonale pionnière a de grandes chances d'entrer en force sous la Coupole à Berne (au vu des nombreuses Interpellations, Motions et Questions de tous Partis allant dans le même sens)… mais seulement dans la mesure où la Commission des institutions politiques du Conseil des Etats, lors de sa prochaine Séance du 1 février 2010 acepte l'Initiative parlementaire :

09.471  Documents d'identité biométriques
http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20090471

Cette Initiative parlementaire fédérale demande aussi et, d'une part, qu'il soit (reste) possible d'obtenir une Carte d'identité non biométrique et, d'autre part, que l'enregistrement centralisé des données biométriques ne soit PAS obligatoire.

Ainsi, toutes les Citoyennes et tous les Citoyens suisses conserveront la Liberté de choix pour les Cartes d'identité, ainsi que pour la Banque de données centralisée… encore bien plus cruciale pour la protection de l'intégrité de leurs données prsonnelles (voire la Feuille d'informations annexée).

Ce n'est seulement et, à la condition que nous arrivions – tous ensemble – à assurer le succès de cette Initiative parlementaire que l'Initiative Cantonale thurgovienne sera examinée dans le cadre de la Révision des Lois sur les documents d?identité.

Si cet objectif peut être atteint… dépend entre autres, lire centralement de votre Soutien dynamique. En effet, en août 2009, la même Commission du Conseil des Etats rejeta déjà, par 6 voix contre 3… la même proposition.

Suite à la Votation ultérieure et déterminée du Conseil national, lors de la Session d'hiver (en date du 24 novembre 2009 et au résultat sans contestation de 144 contre 41 !), elle doit à nouveau se pencher sur cet objet.

Bref, l'issue heureuse ou non de cette problématique (pour nos Libertés) dépend à nouveau et, pour une deuxième fois, de quelques voix et personnes à la Commission des institutions politiques du Conseil des Etats.

Nous vous prions donc instamment, d'écrire un (des) courriel(s) personnel(s) – LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE (MAIS AU PLUS TARD AVANT LE 31 JANVIER 2009 !) – à titre personnel, comme simple Citoyyenne et Citoyen à l'un ou l'autre des membres du Commission des institutions politiques du Conseil des Etats figurant sur la liste ci-après, en leurs "donnant du Punch", afin qu'ils aient, le 1 février 2010, le courage de voter OUI ! (OUI ! = approbation de cette modification législative au sujet des Cartes d'identité et de la Banque de données centrale) à l'Initiative parlementaire :
09.471 Documents d'identité biométriques

Inderkum Hansheiri (PDC/UR),              h.inderkum@comed.ch
Lombardi Filippo (PDC/TI),                lombardi@teleticino.ch
Niederberger Paul (PDC/NW),               paul.niederberger@parl.ch
Schwaller Urs (PDC/FR),                   urs.schwaller@parl.ch

Germann Hannes (UDC/SH),                  hannes.germann@parl.ch
Reimann Maximilian (UDC/AG),              maximilian.reimann@parl.ch

Briner Peter (PLR/SH),                    peter.briner@tresura.ch
Büttiker Rolf (PLR/SO),                   r.buettiker@datacomm.ch
Egerszegi-Obrist Christine (PLR/AG),      ch_egerszegi@bluewin.ch
Freitag Pankraz (PLR/GL),                 pankraz.freitag@solnet.ch

Berset Alain (PS/FR),                     alain.berset@parl.ch
Cramer Robert (Verts/GE),                 robert.cramer@parlement.ch
Hêche Claude (PS/JU),                     claude.heche@bluewin.ch

Faites savoir à ces Elu(e)s à Berne, combien cette thématique est importante pour les Suissesses et les Suisses qui aiment la Liberté et COMBIEN IL EST IMPORTANT que la Commission des institutions politiques du Conseil des Etats dise OUI ! le 1 février 2010 à ladite Initiative parlementaire (fédérale et non pas issue du Grand Conseil thurgovien).

Enfin, il va sans dire que nous vous saurions aussi gré de soutenir la démarche pionnière du Canton de Thurgovie, en interpellant – dans la même ET bonne direction – des Elu(e)s dans vos Parlements cantonaux respectifs.

Nous vous remercions chaleureusement pour votre Soutien et vous saluons cordialement.

Veuillez trouver plus de détails, ainsi qu'une Revue de presse au sujet de la Motion et de l'Initiative Cantonale précitée(s) dans la Feuille d'informations annexée (en Allemand) :

Feuille d'informations au sujet de l'Initiative parlementaire 09.471 "Pièces d'identité biométriques"
1. Le Canton de Thurgovie va déposer sous peu une Initiative au Conseil des Etats Cantonale. Pour but, les cartes d'identité non biométriques devront, à l'avenir, également pouvoir être disponibles (délivrées) dans (par) les Communes.
2. Laisser la responsabilité de l'émission des Cartes d'dentité aux Communes correspond, selon la Constitution, au principe de subsidiarité.
3. La Carte d'identité non biométrique permet de voyager sans encombre dans 29 Pays d'Europe.
4. La conservation (à risques) des données (biométriques), dans une Banque de données centralisée reste le contre argument principal, comme lors de la Votation populaire du 17 mai 2009.
5. Dans le Budget 2010 de la Confédération, toutes les dépenses pour la Banque de données centralisées ISA (empreintes digitales) ont d'ores et déjà été tracées (refusées), tant par le Conseil National que par le Conseil des Etats.
6. A l'international, et à de très rares exceptions, tous les Etats démocratiques ont renoncé à une conservation centralisée des données biométriques contenues dans les Passeports.
7. Du fait d'une Banque de données centralisée, la Suisse se mettrait d'elle-même dans une position de faiblesse, à savoir de chantage.
Exemple 1 : Pour le chantage de l'Autriche par les U.S.A.
Exemple 2 : Pour l'accès des U.S.A. aux empreintes digitales et profils ADN en Allemagne.
8. Les données biométriques de personnes innocentes sont – entre autres – très précieuses pour des faussaires (Visas, etc.).
9. Dangers (réels, car déjà arrivés) d'attaques de Hackers contre les Banques de données de l'Administration fédérale et d'autres instances administratives.
10. Dangers de vols et de (re-)ventes de données biométriques par des Collaborateurs indélicats des organes précités.
11. Dangers de perte de millions de données biométriques par d'autres Collaborateurs (voir les pertes de Laptops en Angleterre, etc.).

http://www.union-ch.com/file/Faktenblatt.pdf

Scandales bancaires, ordures, pollution, dioxines, un lien subtil à bien comprendre

liens ci-dessus à cliquer, merci.

http://desiebenthal.blogspot.com/

Il existe des complots d'initiés destructeurs:

Exemples: Contre Kennedy, Ferrayé
Les vraies raisons du meurtre de JFK,
causes des crises monétaires et du subprime (hypothécaires)
John F. Kennedy with wife Jacqueline and children, 1962



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Sehr geehrte Damen und Herren

Der Kanton Thurgau wird in Kürze folgende Standesinitiative einreichen: Nicht-biometrische Identitätskarten sollen auch in Zukunft bei der Gemeinde erhältlich sein.

Die Regierung des Kantons Thurgau unterstützt in ihrer Antwort vom 8.12.2009 offiziell eine von 77 von den total 130 Kantonsrätinnen und Kantonsräten des Kantons Thurgau eingereichte Motion vom 17.6.2009 und beantragt dem Kantonsparlament, diese Motion für erheblich zu erklären, damit der Kanton Thurgau eine Standesinitiative in Bern einreicht mit folgendem Text:

******************************

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Der Kanton Thurgau unterbreitet der Bundesversammlung folgende Standesinitiative:
Der Bund wird aufgefordert, die folgende Übergangsbestimmung der Änderung vom 13. Juni 2008 im Bundesgesetz über die Ausweise für Schweizer Staatsangehörige (Ausweisgesetz, AwG; SR 143.1) ersatzlos aufzuheben:
"Identitätskarten ohne Datenchip können im Inland nach dem Inkrafttreten dieser Gesetzesänderung noch während längstens zweier Jahre wie bisher in der Wohnsitzgemeinde beantragt werden; die Kantone bestimmen, ab wann Identitätskarten nur noch bei den ausstellenden Behörden beantragt werden können."
********************************************************************************

Mit diesem Vorstoss soll erreicht werden, dass auch in Zukunft die Schweizer Gemeindeverwaltungen nicht-biometrische Identitätskarten abgeben dürfen und die Bürgerinnen und Bürger nicht zu einem der wenigen biometrischen Erfassungszentrum reisen müssen, wenn sie nur eine nicht-biometrische Identitätskarte benötigen. In den meisten Kantonen wird es nur 1 einziges Ausweiszentrum geben, u.a. im Kanton VD mit 688'000 Einwohnern! Ein beispielloser Abbau des Service Public für eine vielgeschätzte Aufgabe, die heute und auch in Zukunft problemlos von den 375 (!) politischen Gemeinden im Kanton VD (bzw. den 2'600 Gemeinden in der ganzen Schweiz) wahrgenommen werden kann.

Diese Standesinitiative hat sehr grosse Chancen, umgesetzt zu werden, aber nur dann, wenn die Staatspolitische Kommission des Ständerates an ihrer Sitzung vom 1.2.2010 der auf eidgenössischer Ebene derzeit hängigen Kommissionsinitiative "09.471 Biometrische Ausweise" ( http://www.parlament.ch/d/suche/Seiten/geschaefte.aspx?gesch_id=20090471 ) zustimmt. Diese Kommissionsinitiative verlangt zum einen, dass nach wie vor nichtbiometrische Identitätskarten ausgestellt werden können, und zum andern, dass die zentrale Speicherung biometrischer Daten nicht obligatorisch ist. Damit hätten ALLE Schweizer Bürgerinnen und Bürger die WAHLFREIHEIT bei der Identitätskarte und der zentralen Datenbank! Nur wenn wir es alle gemeinsam schaffen, dieser Kommissionsinitiative zum Erfolg verhelfen zu können, wird auch die Standesinitiative aus dem Kanton Thurgau im Rahmen der dafür nötigen Revision des Ausweisgesetzes berücksichtigt werden.

Ob dieses Ziel erreicht werden kann, hängt unter anderem von Ihrer aktiven Mithilfe ab. Denn diese Ständerats-Kommission lehnte im August 2009 die gleiche Vorlage bereits einmal mit 3:6 ab, muss jetzt aber nochmals ein zweites Mal darüber abstimmen, weil der Nationalrat am 24.11.2009 mit dem ausgesprochen deutlichen Resultat von 144:41 der Kommissionsinitiative ?09.471 Biometrische Ausweise? zustimmte. Bitte schreiben Sie daher als Privatperson und Stimmbürger dieses Landes UNBEDINGT SO RASCH WIE MOEGLICH (SPAETESTENS ABER BIS 31. JANUAR 2010) dem einen oder anderen der nachfolgend genannten Mitglieder der Staatspolitischen Kommission des Ständerates eine Email und stärken Sie diesen Leuten den Rücken, dass sie den Mut haben, am 1.2.2010 mit JA (JA=Zustimmung zu dieser Gesetzesänderung bei ID und Datenbank) zur Kommissionsinitiative "09.471 Biometrische Ausweise" zu stimmen:

Inderkum Hansheiri (CVP/UR),              h.inderkum@comed.ch
Lombardi Filippo (CVP/TI),                lombardi@teleticino.ch
Niederberger Paul (CVP/NW),               paul.niederberger@parl.ch
Schwaller Urs (CVP/FR),                   urs.schwaller@parl.ch

Germann Hannes (SVP/SH),                  hannes.germann@parl.ch
Reimann Maximilian (SVP/AG),              maximilian.reimann@parl.ch

Briner Peter (FDP/SH),                    peter.briner@tresura.ch
Büttiker Rolf (FDP/SO),                   r.buettiker@datacomm.ch
Egerszegi-Obrist Christine (FDP/AG),      ch_egerszegi@bluewin.ch
Freitag Pankraz (FDP/GL),                 pankraz.freitag@solnet.ch

Berset Alain (SP/FR),                     alain.berset@parl.ch
Cramer Robert (Grüne/GE),                 robert.cramer@parlement.ch
Hêche Claude (SP/JU),                     claude.heche@bluewin.ch

Lassen Sie diese Volksvertreter wissen, wie wichtig allen freiheitsliebenden Schweizerinnen und Schweizern diese Thematik ist, dass die Staatspolitische Kommission des Ständerates am 1.2.2010 zu dieser Kommissionsinitiative JA sagt. Achten Sie darauf, dass diese Emails nicht gehässig oder drohend sind ("Sie müssen, sonst…"), sondern sachlich und korrekt ("Bitte stimmen Sie mit Ja aus diesen und diesen Gründen…").

ACHTUNG: Es ist sehr wichtig, dass Sie in Ihren Emails an die Parlamentarier die Zustimmung zu dieser Kommissionsinitiative nicht nur wegen der Wahlfreiheit der ID fordern, sondern AUCH gegen die obligatorische Datenbank argumentieren (es finden sich mehr als genug Argumente im beiliegenden Faktenblatt). Denn sonst besteht die Gefahr, dass einige dieser Parlamentarier zwar einer Wahlfreiheit zur ID zustimmen würden, die Initiative als Ganzes jedoch ablehnen, weil sie die Gefahren der obligatorischen Datenbank noch nicht erkannt haben. Es wird aber nur ein "Zustimmen" oder "Ablehnen" geben und die Initiative verlangt richtigerweise beides (Wahlfreiheit bei der ID und Wahlfreiheit bei der Datenbank).

Herzlichen Dank für Ihre Unterstützung!

Weitere Details sowie Medienberichte zu dieser Motion/Standesinitiative aus dem Kanton Thurgau finden Sie in der beiliegenden Datei "Faktenblatt" mit folgendem Inhalt:

Faktenblatt zur Parlamentarischen Initiative 09.471 "Biometrische Ausweise"
1. Der Kanton Thurgau wird in Kürze folgende Standesinitiative einreichen: Nicht-biometrische Identitätskarten sollen auch in Zukunft bei der Gemeinde erhältlich sein
2. Die ?Identitätskarte bei den Gemeinden belassen? entspricht dem verfassungsmässigen Subsidiaritätsprinzip
3. Die (nicht-biometrische) Identitätskarte genügt für Reisen in 29 europäische Länder
4. Die zentrale Speicherung der Daten als Haupt-Gegenargument in der Volksabstimmung vom 17.5.2009
5. Im Bundesbudget 2010 wurden bereits alle Ausgaben für die zentrale Datenbank ISA mit Fingerabdrücken definitiv und vollumfänglich in beiden Räten gestrichen
6. Bis auf ganz wenige Ausnahmen verzichten alle Staaten auf eine zentrale Speicherung der biometrischen Passdaten
7. Durch eine biometrische Datenbank würde sich die Schweiz erpressbar machen
Beispiel 1: Zur Erpressung von Österreich durch die USA
Beispiel 2: Zum Zugriff der USA zu Fingerabdrücken und DNA in Deutschland
8. Biometrische Daten von Unschuldigen sind u.a. für Visumsfälscher sehr wertvoll
9. Gefahr von Hackerattacken auf die Bundesverwaltung und andere behördliche Datenbanken
10. Gefahr durch Diebstahl und Weiterverkauf der biometrischen Daten durch eigene Mitarbeiter
11. Gefahr durch simplen Datenverlust durch eigene Mitarbeiter

http://www.union-ch.com/file/Faktenblatt.pdf

Faktenblatt zur
Kommissionsinitiative
09.471 "Biometrische Ausweise"
Die Kommissionsinitiative 09.471 "Biometrische Ausweise"
(http://www.parlament.ch/d/suche/Seiten/geschaefte.aspx?gesch_id=20090471 ) lautet:
***************************************************************************************
Eingereichter Text:
Die Staatspolitische Kommission des Nationalrates beschliesst, eine Änderung des Ausweisgesetzes
auszuarbeiten, welche den anlässlich der Volksabstimmung vom 17. Mai 2009 geführten Diskussionen
über die biometrischen Ausweise Rechnung trägt:
1. Die dem Bundesrat übertragene Kompetenz zur Festlegung der Ausweisarten, welche mit einem
Datenchip versehen werden müssen, soll durch das Gesetz in der Weise eingeschränkt werden, dass
nach wie vor nichtbiometrische Identitätskarten ausgestellt werden können.
2. Auf eine obligatorische zentrale Speicherung der Daten soll verzichtet werden. Es ist zu prüfen, ob
auf die zentrale Datenbank entweder überhaupt verzichtet wird oder ob jede Bürgerin und jeder
Bürger individuell verlangen darf, dass ihre bzw. seine Daten nicht zentral gespeichert werden.
***************************************************************************************
Diese Kommissionsinitiative fasst die Anliegen von insgesamt fünf Parlamentarischen Initiativen (Pa.Iv.)
zusammen, die vor und nach der Volksabstimmung zu diesem Thema eingereicht wurden (09.431 n Pa.Iv.
Marra, SP, Ausweisgesetz; 09.435 n Pa.Iv. Hodgers, Grüne, Änderung des Ausweisgesetzes; 09.439 n
Pa.Iv. Meyer Thérèse, CVP, Allen Schweizer Staatsangehörigen auch weiterhin den Bezug einer
herkömmlichen, nichtbiometrischen ID ohne Chip zusichern; 09.440 n Pa.Iv. Fraktion SVP, Keine
zusätzlichen biometrischen Ausweise; 09.441 n Pa.Iv. Fraktion SVP, Biometrische Pässe ohne
Datenbank). Bevor die Staatspolitische Kommission des Nationalrates ihre Kommissionsinitiative umsetzen
kann, muss sie noch die Zustimmung der Staatspolitischen Kommission des Ständerates einholen. Im
Nationalrat sind zudem zwei weitere Vorstösse zur gleichen Thematik pendent: 09.3678 Motion Kiener
Nellen, SP, Keine Identitätskarte mit biometrischen Daten. Kein Abbau des Service public bei den
Gemeinden sowie 09.3949 Motion Kiener Nellen, SP, Stopp dem Ausbau der zentralen Datenbank für
Fingerabdrücke. Diese zweite Motion wurde von 66 Nationalrätinnen und Nationalräten mitunterzeichnet.
Aufgrund der Patt-Situation bei der Volksabstimmung vom 17. Mai 2009 mit dem knappestmöglichen
Abstimmungsergebnis von 49,9% NEIN zu 50,1% JA bzw. einem Stimmenunterschied von schweizweit
lediglich 5504 Stimmen und einem Ständeverhältnis von 16 Kantone NEIN zu 10 Kantone JA ist die
Nachbesserung des Ausweisgesetzes (AwG) und der Ausweisverordnung (VAwG) unabdingbar.
Unter anderem folgende Gründe sprechen für die Zustimmung zu dieser Kommissionsinitiative 09.471
"Biometrische Ausweise":
1. Der Kanton Thurgau wird in Kürze folgende Standesinitiative einreichen: Nicht-biometrische
Identitätskarten sollen auch in Zukunft bei der Gemeinde erhältlich sein
Die Regierung des Kantons Thurgau unterstützt in ihrer Antwort vom 8.12.2009 offiziell eine von 77 von
den total 130 Kantonsrätinnen und Kantonsräten des Kantons Thurgau eingereichte Motion vom 17.6.2009
und beantragt dem Kantonsparlament, diese Motion für erheblich zu erklären, damit der Kanton Thurgau
eine Standesinitiative in Bern einreicht mit folgendem Text:
********************************************************************************
Der Kanton Thurgau unterbreitet der Bundesversammlung folgende Standesinitiative:
Der Bund wird aufgefordert, die folgende Übergangsbestimmung der Änderung vom 13. Juni 2008 im
Bundesgesetz über die Ausweise für Schweizer Staatsangehörige (Ausweisgesetz, AwG; SR 143.1)
ersatzlos aufzuheben:
"Identitätskarten ohne Datenchip können im Inland nach dem Inkrafttreten dieser Gesetzesänderung
noch während längstens zweier Jahre wie bisher in der Wohnsitzgemeinde beantragt werden; die
Kantone bestimmen, ab wann Identitätskarten nur noch bei den ausstellenden Behörden beantragt
werden können."
********************************************************************************
Mit diesem Vorstoss soll erreicht werden, dass auch in Zukunft die Schweizer Gemeindeverwaltungen nichtbiometrische
Identitätskarten abgeben dürfen und die Bürgerinnen und Bürger nicht in ein biometrisches
Erfassungszentrum reisen müssen, wenn sie nur eine nicht-biometrische Identitätskarte benötigen.
Weitere Details zu dieser Motion/Standesinitiative findet man unter:
http://161.78.2.130/grgeko/DetailView.php?
SESSID=e3d0e0c547e56fbe7a9e8b388d38edad&om_id=100&obj_id=4243 (ist die offizielle
Geschäftsdatenbank Kantonparlament Thurgau; dort rechts unten die beiden "Download"-Links anklicken)
Medienberichte darüber:
http://www.thurgauerzeitung.ch/thurgau/kanton/IDAusgabe-Gemeinden-machenmobil/
story/27981955 : "19.6.2009. ID-Ausgabe: Gemeinden machen mobil. Die Thurgauer Gemeinden
kämpfen dafür, dass sie weiterhin die Identitätskarten abgeben dürfen. Sie wollen mit einer Standesinitiative
das Bundesgesetz ändern."
http://www.thurgauerzeitung.ch/thurgau/kanton/Gemeinden-wollen-ID-selbstabgeben/
story/14533306 : "18.8.2009. Gemeinden wollen ID selbst abgeben. Die Thurgauer Gemeinden
wollen weiterhin die ID an die Bürger abgeben können. Ständerat Hermann Bürgi ist zuversichtlich, dass
das Anliegen bei der Revision des Ausweisgesetzes aufgenommen wird. … Jetzt bekommen die Gegner
der zentralisierten Abgabe Schützenhilfe aus Bern. Die Staatspolitische Kommission des Nationalrats (SPKN)
habe am 19. Juni eine Kommissionsinitiative angenommen, die das Ausweisgesetz in einigen Punkten
ändern wolle. Damit habe das Parlament Anliegen der Bevölkerung aufgenommen, sagt der Thurgauer
Ständerat Hermann Bürgi (SVP). So solle unter anderem im Ausweisgesetz ausdrücklich festgehalten
werden, dass es weiterhin eine konventionelle ID geben müsse. Weiter solle der Verzicht auf die umstrittene
zentrale Datenbank geprüft werden. Wenn man das Ausweisgesetz in diesen Punkten ändere, sollte man
die dezentrale Abgabe der konventionellen ID wieder aufgreifen, findet Bürgi. Allenfalls könne er sich
einen entsprechenden Antrag vorstellen. Er erwarte, dass die Initiative der SPK-N von der
Staatspolitischen Kommission des Ständerats unterstützt werde. Das Ja der SPK-N sei mit 18:2
Stimmen überdeutlich."
http://www.thurgauerzeitung.ch/thurgau/kanton/Gemeinden-sollen-weiterhin-Identitaetskartenausstellen-
koennen/story/27588389 : "11.12.2009. Gemeinden sollen weiterhin Identitätskarten ausstellen
können. Identitätskarten sollen auch in Zukunft bei den Gemeinden beantragt werden können. Der Thurgau
soll eine Standesinitiative einreichen, um die gesetzliche Regelung zu ändern, wonach ID nur noch bei einer
speziellen kantonalen Stelle beantragt werden können. … In ihrer am Freitag veröffentlichten
Motionsantwort stimmt die Kantonsregierung dem Begehren zu. Mit der Standesinitiative soll erreicht
werden, dass die Wohnsitzgemeinden weiterhin Anträge für ID entgegennehmen können."
http://www.tagblatt.ch/aktuell/thurgau/tb-tg/Gemeinden-sollen-ID-ausgeben;art219,1434612 :
"12.12.2009. Gemeinden sollen ID ausgeben. Der Kanton Thurgau soll sich beim Bund dafür einsetzen, dass
Identitätskarten auch in Zukunft bei der Gemeinde beantragt werden können. Der Regierungsrat unterstützt
einen entsprechenden Vorstoss aus dem Grossen Rat."
2. Die „Identitätskarte bei den Gemeinden belassen” entspricht dem verfassungsmässigen
Subsidiaritätsprinzip
Die „Identitätskarte bei den Gemeinden belassen” ist wohl eines der einfachstmöglichen
Anwendungsbeispiele für das (in der Schweiz vielgelobte!) verfassungsmässige Subsidiaritätsprinzip.
Aufgaben sollen bei der föderal unterstmöglichen Ebene (Bund, Kanton, Gemeinde) vollzogen werden. Bei
der Bestellung und Aushändigung der Identitätskarten kann diese in den Gemeindeverwaltungen äusserst
bewährte und beliebte Dienstleistung problemlos von den Gemeinden weiter ausgeführt werden. Dort kann
sie am kostengünstigsten und sehr bürgernah erbracht werden (Bergkantone, grosse Kantone). Das KOMBIArgument
(Pass und Identitätskarte gleichzeitig kaufen) des Bundesamtes für Polizei sticht nicht. Eine
Mehrheit der Bürgerinnen und Bürger wird immer die viel günstigere Identitätskarte ohne Chip wollen. Das
KOMBI-Angebot ist nur für Bürgerinnen und Bürger, die sich Reisen ausserhalb Europas leisten (können).
Es wäre skandalös, auf dieser Grundlage unsere Bürgerinnen und Bürger zu zwingen, persönlich und auf
eigene Kosten in die wenigen kantonalen Ausweiszentren reisen zu müssen, um lediglich eine Identitätskarte
zu erhalten. Dieser Mehraufwand wäre für die betagte Bevölkerung, Familien mit Kindern, Menschen mit
Behinderung usw. unzumutbar. In den meisten Kantonen wird es nur 1 einziges Ausweiszentrum geben, u.a.
im Kanton VD mit 688’000 Einwohnern! Ein beispielloser Abbau des Service Public für eine vielgeschätzte
Aufgabe, die heute und auch in Zukunft problemlos von den 375 (!) politischen Gemeinden im Kanton VD
(bzw. den 2’600 Gemeinden in der ganzen Schweiz) wahrgenommen werden kann.
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/a74fbd70-56c7-11de-b3eee562a179aa80/
Passeport_biométrique_les_communes_blâment_la_centralisation : “12 juin 2009.
Passeport biométrique: les communes blâment la centralisation. L’ouverture d’un seul centre, à Lausanne,
pour l’établissement des nouveaux documents à partir de mars 2010 ravive le débat sur l’organisation
administrative de l’Etat. Une conférence de presse et une annonce à première vue anodine ont ravivé ce jeudi
l’animosité entre le canton et les communes vaudoises, que l’on cherche à pacifier depuis le début de la
législature. Par la même occasion le débat sur l’organisation de l’Etat et sa présence sur le territoire a repris
de plus belle. Après le oui étriqué du peuple suisse au passeport biométrique le 17 mai, Vaud vient de décider
qu’un seul centre, à Lausanne, intégré au Service de la population (SPOP), délivrera le nouveau sésame à
partir de mars 2010. Le même centre se chargera des cartes biométriques pour les étrangers non européens,
Schengen-Dublin oblige. Cela concerne les permis B, C et L.”
3. Die (nicht-biometrische) Identitätskarte genügt für Reisen in 29 europäische Länder
Die folgenden Länder akzeptieren die (nicht-biometrische!) Schweizer Identitätskarte für die Einreise:
Belgien, Dänemark, Deutschland, Estland, Finnland, Frankreich, Griechenland, Irland, Italien,
Lettland, Litauen, Luxemburg, Malta, Niederlande, Österreich, Polen, Portugal, Schweden, Slowakei,
Slowenien, Spanien, Tschechien, Ungarn, Vereinigtes Königreich (Grossbritannien), Zypern,
Norwegen, Liechtenstein, Island, Türkei.
(Stand Mai 2009, Quelle: Bundesamt für Polizei fedpol, Sektion Ausweisschriften)
Um sich hier klar und deutlich auszudrücken: Um in diese 29 europäischen Staaten einzureisen, brauchen
Schweizer Bürgerinnen und Schweizer Bürger keinen Schweizer Pass (weder einen biometrischen noch
einen nicht-biometrischen Pass). Sie brauchen auch keine biometrische Identitätskarte. Eine normale nichtbiometrische
Schweizer Identitätskarte ohne Chip wird von all diesen Staaten für die Einreise akzeptiert und
wird in der Schweiz (z.B. für Bank, Post, Bahnschalter usw.), in unseren 5 Nachbarstaaten und den weiteren
24 europäischen Ländern noch während Jahren gültig sein.
Auf einer solchen Grundlage den Schweizer Bürgerinnen und Bürgern ein gesetzlich garantiertes Recht zum
Bezug einer nicht-biometrischen Identitätskarte zu verwehren, wäre einer freiheitlichen Demokratie
unwürdig. Politik ist ein zu schnelllebiges Geschäft, als dass man sich hier auf irgendwelche mündlichen
Versprechen einzelner Regierungsmitglieder (die in einigen Jahren nicht mehr im Amt sind) oder Regelungen
auf Verordnungsstufe verlassen kann.
4. Die zentrale Speicherung der Daten als Haupt-Gegenargument in der Volksabstimmung vom
17.5.2009
Die vom Institut für Politikwissenschaft der Universität Genf und vom Berner Forschungsinstitut gfs
durchgeführte VOX-Analyse vom 9. Juli 2009 der eidgenössischen Abstimmung vom 17. Mai 2009
bestätigte das bereits in den Abstimmungsdiskussionen und Meinungsumfragen sichtbare Bild, dass die
grösste Ablehnung die Zentralisierung der Informationen und den Datenschutz betraf:
http://www.polittrends.ch/abstimmungen/abstimmungsanalysen/vox-analysen/2009-05-
17_VoxD.pdf : "Bei der Ablehnung der Vorlage überwogen Befürchtungen im Zusammenhang mit dem
Datenschutz."
Begleitstudie 2. Welle: April/Mai 2009 vom 05.05.09, durchgeführt vom gfs.bern:
http://www.gfsbern.ch/pub/sftrend_06_05_09-090506.pdf : "Von den gegnerischen Botschaften ist die
zum Überwachungsstaat am eingängigsten; eine eindeutige Mehrheit teilt dieses Bedenken. … Argumentativ
verfügen beide Seiten über mehrheitsfähige Argumente. Auf der Ja-Seite ist das – trotz Expertenkritik – vor
allem die Sicherheit der neuen Pässe, etwas eingeschränkt auch die Reisefreiheit. Auf der Nein-Seite sind es
der Überwachungsstaat, die Kosten und etwas eingeschränkt die Verletzung der Privatsphäre. Bisher am
meisten gewirkt haben die Folgen der Zentralisierung von Daten auf das Privatleben im Fall einer
Zustimmung und die Einschränkung der Reisefreiheit bei einem Nein. Bei den unschlüssigen Personen
stehen sich auch gut zwei Wochen vor dem Stichtag zwei ähnliche Erwartungen gegenüber: die Angst vor
dem Überwachungsstaat auf der einen, die Befürchtungen vor Reiserestriktionen auf der anderen Seite."
Neue biometrische Pässe umstritten: Trendstudie 1. Welle: März/April 2009 vom 07.04.09, durchgeführt
vom gfs.bern:
http://www.gfsbern.ch/pub/sftrend_09_04_09.pdf : "Die vorläufige Bewertung der Argumente: Das
populärste Schlagwort gegen die neuen Reisepässe betrifft den „Überwachungsstaat”. 64 Prozent der
Stimmberechtigten sind ganz oder eher der Meinung, mit ihrer Einführung mache man einen Schritt in diese
Richtung. Damit legt eine negative Botschaft die am meisten geteilte Basis für den Abstimmungskampf. 58
Prozent der Befragten sind zudem der Meinung, die neuen Pässe seien zu teuer. Schliesslich ist auch das
dritte der getesteten Nein-Argumente mit einer Zustimmungsrate von 57 Prozent mehrheitsfähig. Demnach
verletzt die zentrale Speicherung biometrischer Daten die Privatsphäre. Unter dem Strich gesehen, verfügt
die Nein-Seite damit über drei Botschaften, die mehrheitlich geteilt werden. Das ist auf der Ja-Seite nicht der
Fall. … Der Schluss daraus ist eindeutig. Die vorläufigen Stimmabsichten am klarsten polarisiert das Nein-
Argument, wonach mit der vorgeschlagenen Einführung neuer Pässe die Privatsphäre tangiert wird. Das ist
zwar nicht ein generelles Nein zu biometrischen Reisedokumenten, doch eines, das sich gegen die
Zentralisierung der Informationen wendet."
5. Im Bundesbudget 2010 wurden bereits alle Ausgaben für die Erweiterung der zentralen Datenbank
ISA mit Fingerabdrücken definitiv und vollumfänglich in beiden Räten gestrichen
Die im Voranschlag der Eidgenossenschaft 2010 ursprünglich vorhandenen Ausgaben für die Speicherung
von Fingerabdrücken auf einer zentralen Datenbank (Investitionsausgaben von CHF 100’000 sowie
Betriebskosten Informatik Sachaufwand von CHF 200’000) wurden im Dezember 2009 von beiden
Kammern (Nationalrat und Ständerat) ersatzlos gestrichen.
http://www.parlament.ch/ab/frameset/d/s/4812/316392/d_s_4812_316392_316509.htm :
"Ständerat – Wintersession 2009 – Elfte Sitzung – 09.12.09-08h25
09.041 Voranschlag der Eidgenossenschaft 2010 …
Justiz- und Polizeidepartement. 403 Bundesamt für Polizei. Antrag der Kommission
A2114.0001 Informatik Sachaufwand
A4100.0126 Einführung biometrischer Pass
Zustimmung zum Beschluss des Nationalrates …
Stähelin Philipp (CEg, TG), für die Kommission: … Bei der Position "Einführung biometrischer Pass"
beispielsweise haben wir uns einander auf 100 000 bzw. 200 000 Franken angenähert. Es besteht
gewissermassen nur noch eine symbolische Differenz, um den Hinweis auf die zentrale Sammlung der
Fingerabdrücke und die Initiative wachzuhalten. … Wir beantragen Ihnen deshalb, überall dem Nationalrat zu
folgen. … Angenommen"
Aufgrund der Materialien im Protokoll der Finanzkommission des Nationalrats (FK-N) ist klar, dass mit
diesem rechtskräftigen Budgetbeschluss 2010 die Erweiterung der zentralen Datenbank um die
Fingerabdrücke mit Bezug auf die sehr deutliche Annahme der Kommissionsinitiative 09.471 "Biometrische
Ausweise" 2010 vorerst sistiert und einem Ausgabenmoratorium unterstellt werden muss.
6. Bis auf ganz wenige Ausnahmen verzichten alle Staaten auf eine zentrale Speicherung der
biometrischen Passdaten
Nur in vier (!) anderen Ländern (Frankreich, Portugal, Niederlande und Grossbritannien) wird überhaupt eine
zentrale Speicherung der biometrischen Passdaten vorgenommen. Alle anderen Staaten, so auch die Schweizer
Nachbarstaaten Deutschland, Österreich und Fürstentum Liechtenstein, haben sich definitiv gegen eine zentrale
Speicherung von biometrischen Daten bei der Ausweiserstellung entschieden.
http://www.vaterland.li/page/lv/artikel_detail.cfm?id=35417 : Liechtenstein: "12.5.09. Gleichzeitig wird der
Fingerabdruck tatsächlich nur auf dem Chip gespeichert und nicht noch auf einer externen Datenbank», so
der Amtsleiter des Ausländer- und Passamts." Und in Österreich müssen sogar die lokalen Passbehörden die
biometrischen Daten nach Ausstellung des Reisedokuments löschen, d.h. es findet weder eine zentrale noch
eine lokale Speicherung der Daten statt. Auch in Deutschland ist eine zentrale Datenbank mit dauerhafter
Speicherung der (biometrischen und anderen) Daten deutscher Passinhaber verboten. §16 Abs. 2 Satz 1 des
deutschen Passgesetzes (http://www.gesetze-im-internet.de/bundesrecht/pa_g_1986/gesamt.pdf ) verbietet es,
Beantragung, Ausstellung und Ausgabe von Pässen zum Anlass zu nehmen, die dafür erforderlichen Angaben
(also insbesondere die Personengrunddaten wie Name, Vorname, Geburtsdatum usw.) und die biometrischen
Merkmale ausser bei den zuständigen Passbehörden zu speichern (also nur lokale Speicherung!). Der
Passhersteller darf die Daten nur temporär für die Dauer der Passherstellung speichern (§16 Abs. 3 Satz 2 PassG).
Die bei der Passbehörde gespeicherten Fingerabdrücke sind spätestens nach Aushändigung des Passes an den
Passbewerber zu löschen (§16 Abs. 2 Satz 3 PassG). Zudem kann in Deutschland jeder Bürger wählen, ob er eine
Identitätskarte mit oder ohne biometrische Fingerabdrücke will.
Erst am 4.12.2008 hat der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte in Strassburg in einem Gerichtsurteil
(http://cmiskp.echr.coe.int/tkp197/view.asp?
action=html&documentId=843941&portal=hbkm&source=externalbydocnumber&table=F69A27FD8FB86142BF
01C1166DEA398649 ) entschieden, dass die Speicherung von DNA-Daten und Fingerabdrücken unter
bestimmten Voraussetzungen gegen Artikel 8 der Europäischen Menschenrechtskonvention verstösst und die
Regierung von Grossbritannien zu einer hohen Schadenersatzzahlung verurteilt.
http://www.heise.de/newsticker/meldung/EU-Parlament-segnet-Kompromissvorschlag-zu-biometrischen-
Reisepaessen-ab-198087.html : "15.01.2009. … Die Mitgliedsländer können nun nicht mehr sagen, dass die
Einrichtung von biometrischen Datenbanken auf Grundlage dieser EU-Verordnung notwendig ist", so
Ludfords parlamentarischer Mitarbeiter Wouter van Ballegooij gegenüber heise online. Vielfach hätten
Mitgliedsstaaten beim Aufbau der Biometrie-Datenbanken auf Brüssel verwiesen. In der neu gefassten
Verordnung sei nun klargestellt, dass sie nicht zum Aufbau solcher Datenbanken ermächtigt oder
auffordert. … Eine Grenze für die nationalen Regierungen hat kürzlich der Europäische Gerichtshof für
Menschenrechte mit seiner Entscheidung gegen die britische Regierung (Marper vs. UK) gesetzt. Darin hatte der
EGMR die Speicherung von DNA-Daten und Fingerabdrücken für unverhältnismäßig und unvereinbar
mit dem Artikel 8 der Europäischen Menschenrechtskonvention erklärt. Etwaige nationale Gesetze zu den
biometrischen Datenbanken fänden hier ihre EU-rechtliche Grenze, erläutert van Ballegooji."
http://www.lirak.li/index.php?src=documents&srctype=download&id=173 : "Deutscher Anwaltverein, Büro
Brüssel, Dezember 2008 … Der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte (EGMR) hat in einem Urteil vom 4.
Dezember 2008 ein Gesetz des Vereinigten Königreiches für unvereinbar mit Artikel 8 der EMRK über den
Schutz der Privatsphäre erklärt. Dieses Gesetz ermächtigt die britischen Behörden DNA-Profile und
Fingerabdrücke Verdächtigter unbefristet zu speichern, ungeachtet ob es zu einer Verurteilung kommt oder nicht.
Es wird bei der Speicherung außerdem nicht berücksichtigt, welche Tat einem Beschuldigten vorgeworfen wird.
… Der EGMR hatte abzuwägen, ob das Gesetz den Anforderungen des Artikels 8 EMRK entspricht und es
demnach für die Sicherheit einer demokratischen Gesellschaft notwendig ist, DNA-Profile unbeschränkt zu
speichern. … Die Kammer zeigte sich beeindruckt von der Machtfülle der britischen Behörden und wies auf die
Wahrscheinlichkeit einer Stigmatisierung von Unschuldigen durch ein System hin, das keinen Unterschied
zwischen Kriminellen zu Unschuldigen mache. Das Vereinigte Königreich wurde aufgefordert dieser Situation
abzuhelfen und den Klägern Schadensersatz zu zahlen."
Lesenswert zu diesem Thema ist auch der Artikel "Biometrischer Pass: Verstoss gegen die Menschenrechte.
Das Aufbewahren von Fingerabdrücken ist nicht zulässig. Speichern von Fingerabdrücken: Strassburger
Richter setzen Schranken" vom 15.04.2009 im Konsumentenmagazin "Saldo" (unter
http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Saldo_15042009.pdf ).
7. Durch eine biometrische Datenbank würde sich die Schweiz erpressbar machen
Man kann nicht oft genug darauf hinweisen, wie gefährlich diese Biometrie-Datenbank für die Schweiz
selber ist. Ausländische Staaten (speziell die USA) warten nur darauf, dass die Schweiz die biometrischen
Daten aller Schweizer Bürger in einer Datenbank sammelt. Sobald diese Biometrie-Datenbank steht, werden
die USA die Schweiz erpressen, um an diese Daten heranzukommen (via Datenaustausch, Onlinezugriffe
usw.). Ganz einfach mit der Drohung "wenn ihr uns keine Zugriffe auf diese Datenbank gebt, führen wir für
Schweizer Bürger als Strafe einfach wieder die Visa-Pflicht ein." Diese "Visapflicht-Drohung" können die
USA jedes Mal neu bringen, um an zusätzliche Daten heranzukommen und die Erpressung funktioniert so
laufend weiter.
Nachfolgend nur 2 Beispiele, wie es in der Praxis bereits läuft in Deutschland, Österreich und Dutzenden
weiterer Länder:
Beispiel 1: Zur Erpressung von Österreich durch die USA
Am 25.3.2009 machte die österreichische Zeitung "Die Presse" ein geheimgehaltenes Treffen zwischen
österreichischen Beamten (unter anderem aus dem Außen- und Innenressort) und Vertretern der USA,
darunter Mitarbeiter des Außen- und Heimatschutzministeriums und FBI-Ermittler, publik:
http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/464415/index.do?_vl_backlink=/home/index.do :
"25.03.2009. Visa-Drohung: USA wollen Österreichs Polizeidaten. US-Heimatschutz fordert Namen,
Adressen, Fingerabdrücke, DNA-Daten aus Ermittlerbeständen. Bei einer Weigerung droht
Österreichern die Visapflicht. Streng vertraulich trafen Anfang dieser Woche im zweiten Stock der
Herrengasse 13, einer Dependance des Außenministeriums, hochrangige Vertreter des USHeimatschutzministeriums
österreichische Kollegen aus mehreren Ministerien. Der brisante Wunsch der
USA: Österreich möge den Vereinigten Staaten dauerhaft und online Einsicht in ihre Polizeicomputer
gewähren. Namen, Adressen, Fotos und Fingerabdrücke der darin gespeicherten Personen sollen den USBehörden
zur Verfügung stehen. … Zwei Entwürfe für entsprechende bilaterale Abkommen liegen der
“Presse” vor. Für den Fall, dass sich Österreich weigert, derartige Daten weiterzugeben, hat die USAdministration
vorgesorgt: Sie droht unverblümt, für Österreicher bei der Einreise in die USA die
Visumpflicht wieder einzuführen. … Einmal über den Atlantik gesendet, findet das relativ strenge
österreichische Datenschutzgesetz auf die übermittelten Daten keine Anwendung mehr. Was die Amerikaner
mit den Informationen dann machen, bleibt ihnen überlassen. In Wien kündigten sie bereits an, die so
gewonnenen Daten “for any lawful service” einzusetzen. … Nach Angaben des Heimatschutzes
kooperieren bereits 25 Staaten mit den USA. Welche das sind, ist geheim. Die Daten, die in das System
gelangen, werden von den Amerikanern auch nicht auf ihre Zuverlässigkeit überprüft. Was bei Informationen
von Nachrichtendiensten problematisch ist, weil es dafür keinen Rechtsschutz gibt. So wurde etwa ein in
einem sensiblen Bereich tätiger Mitarbeiter des Flughafens Schwechat vom österreichischen
Verfassungsschutz aufgrund nachweislich falscher Geheiminformationen für nicht vertrauenswürdig
befunden und gekündigt. Problematisch ist der Datenverbund auch, weil Informationen 99 Jahre lang
gespeichert werden sollen. Weil auch Suchabfragen von Namen, die gar keine Treffer ergaben, 25 Jahre im
System bleiben, können reisefreudige Personen und auch Geschäftsleute nach mehreren Abfragen
automatisch zu Verdächtigen werden, befürchten Datenschützer. Bei der nächsten Einreise liege für den
kontrollierenden Beamten der Verdacht nahe, dass die vielen Abfragen der Vergangenheit wohl einen
speziellen Grund gehabt hätten. Das System produziere so seine Verdächtigen mit der Zeit selbst.
Unabhängig davon, ob zur geprüften Person etwas vorliege oder nicht."
Ein weiterer Enthüllungsartikel dazu erschien am 26.3.2009:
http://diepresse.com/home/meinung/kommentare/leitartikel/464400/index.do?
direct=464415&_vl_backlink=/home/panorama/oesterreich/464415/index.do&selChannel= (Artikel
mit dem Titel "Wer schützt die Bürger vor den USA? Österreich soll den US-Behörden Polizeidaten
zur Verfügung stellen. Und lässt sich erpressen. Warum?" vom 26.3.2009). Die Zeitung “Die Presse”,
welche diesen Skandal publik machte, ist eine überregionale, bürgerlich-konservative österreichische
Tageszeitung, die zur Styria Media Group gehört ( http://de.wikipedia.org/wiki/Die_Presse ).
Ebenfalls am 26.3.2009 veröffentlichte die APA eine Agenturmeldung über die ersten Reaktionen einiger
österreichischen Parteien. Siehe den Artikel:
http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/464673/index.do?
direct=464415&_vl_backlink=/home/panorama/oesterreich/464415/index.do&selChannel= (Artikel
mit dem Titel "Erpressungsversuch der USA" vom 26.03.2009). Die APA – Austria Presse Agentur ist die
größte nationale Nachrichtenagentur Österreichs mit Sitz in Wien sowie der führende
Informationsdienstleister des Landes ( http://de.wikipedia.org/wiki/Austria_Presse_Agentur ).
Unter http://www.ots.at/presseaussendung/OTS_20090326_OTS0037 findet man die veröffentlichte
Presse-Stellungnahme der Partei BZÖ zu diesem Skandal.
Auch die grosse österreichische Tageszeitung "Der Standard" (
http://de.wikipedia.org/wiki/Der_Standard ) berichtete am 26.3.2009 darüber, siehe
http://derstandard.at/1237228488070/Datenschutz-Aufregung-um-US-Gier-nach-Austro-Daten?
sap=2&_pid=12485182 (Artikel mit dem Titel "Datenschutz: Aufregung um US-Gier nach Austro-
Daten." vom 26.3.2009). Darin steht zusätzlich die Information: "Seit dem Vorjahr können die Ermittler
in Deutschland, Österreich und Luxemburg auf diese Weise auch in den elektronischen
Fingerabdruckdateien ihrer Pendants stöbern.", d.h. unter diesen drei Staaten besteht offenbar bereits in
der Praxis das gegenseitige Stöbern in den Fingerabdruckdatenbanken der anderen.
Daraufhin wurden im österreichischen Parlament am 22.4.2009 zwei offizielle Anfragen an die
österreichische Regierung eingereicht mit "Fragen betreffend die Weitergabe von Polizeidaten an andere
Staaten im Lichte des Datenschutzes":
1. Schriftliche Anfrage von Nationalrat Harald Stefan (FPÖ) zusammen mit weiteren Abgeordneten mit 32
Fragen an die Bundesministerin für Inneres (siehe
http://www.parlinkom.gv.at/PG/DE/XXIV/J/J_01743/pmh.shtml ). Die Antworten vom 22.6.2009
durch die Bundesministerin für Inneres findet man unter
http://www.parlinkom.gv.at/PG/DE/XXIV/AB/AB_01799/pmh.shtml
2. Schriftliche Anfrage von Nationalrat Werner Herbert (FPÖ) zusammen mit weiteren Abgeordneten mit 34
Fragen an den Bundesminister für europäische und internationale Angelegenheiten (siehe
http://www.parlinkom.gv.at/PG/DE/XXIV/J/J_01745/pmh.shtml ). Die Antworten vom 19.6.2009
durch den Bundesminister für europäische und internationale Angelegenheiten findet man unter
http://www.parlinkom.gv.at/PG/DE/XXIV/AB/AB_01759/pmh.shtml
Die Antworten der Regierung sind in beiden Fällen mehr oder weniger faule Ausreden, um die aufgeflogene
Sache kleinzureden. Die österreichische Regierung und die Regierungsparteien haben alles unternommen,
um den Skandal um dieses publik gewordene Geheimtreffen soweit wie möglich herunterzuspielen. Der
Skandal hat in der Zeit März bis Juni 2009 in Österreich Wellen geschlagen, scheint dann aber wieder etwas
in der Versenkung verschwunden zu sein.
Beispiel 2: Zum Zugriff der USA zu Fingerabdrücken und DNA in Deutschland
http://www.daten-speicherung.de/index.php/zugriff-der-usa-auf-deutsche-fingerabdruecke-und-dnageplant/
: "5. Mai 2009. Zugriff der USA auf Fingerabdrücke und DNA von Deutschen geplant. Ohne
parlamentarische Beteiligung, hinter verschlossenen Türen und im deutschen Alleingang haben Wolfgang
Schäuble (CDU) und Brigitte Zypries (SPD) mit den USA ein Abkommen ausgehandelt, welches einer
ungenannten Zahl US-amerikanischer Behörden (darunter US-Strafverfolger, US-Grenzbehörden und USGeheimdienste)
einen direkten Online-Abgleich von Fingerabdrücken und DNA-Körperproben mit
deutschen Datenbanken ermöglichen soll. Außerdem sollen deutsche Behörden den USA ungefragt
melden dürfen, welche Personen sie der Beteiligung an oder Planung von terroristischen Aktivitäten
verdächtigen."
http://deinedatendeinemacht.wordpress.com/2008/03/11/datenaustausch-mit-den-usa-ohnedatenschutz
: "Heute wurde ein Vertrag zwischen Deutschland und den USA unterzeichnet, der
weitreichenden Datenaustausch vorsieht. Es geht dabei um folgende Daten:
Name, Geburtsdatum
Staatsangehörigkeit
Fingerabdrücke
DNA-Profile
Nicht nur die Daten von Schwerverbrechern können dabei von 17′000 amerikanischen Behörden online
abgerufen werden, sondern jeder erkennungsdienstlich erfasste Bürger. Dies umfasst z.B. auch
Asylbewerber, bei Demonstrationen erfasste Bürger oder Visumantragssteller. Die (in amerikanischen
Behörden gespeicherten) Daten deutscher Bürger unterliegen dabei keinem Datenschutz, denn das
amerikanische Datenschutzgesetz bezieht sich explizit nur auf Daten von Inländern. Zudem enthält der
neu geschlossene Vertrag kaum konkrete Datenschutzbestimmungen und sieht keine unabhängige
Datenschutzkontrolle vor.”
Hier geht es um das "Gesetz zu dem Abkommen vom 1. Oktober 2008 zwischen der Regierung der
Bundesrepublik Deutschland und der Regierung der Vereinigten Staaten von Amerika über die Vertiefung der
Zusammenarbeit bei der Verhinderung und Bekämpfung schwerwiegender Kriminalität". Stellvertretend ein
kleiner Auszug aus der Parlamentsdebatte im Deutschen Bundestag vom 28.5.2009 (unter
http://dipbt.bundestag.de/dip21/btp/16/16224.pdf#P.24752 ):
********************************************************************************
Abgeordnete Gisela Piltz (FDP): "Schon vor über einem Jahr hat die FDP-Fraktion die Bundesregierung
nachdrücklich dazu aufgefordert, in Nachverhandlungen zu dem Abkommen mit den Vereinigten Staaten
einzutreten, um insbesondere umfassende Datenschutzregelungen zu implementieren, eine gemeinsame
Definition terroristischer Straftaten bzw. schwerwiegender Kriminalität aufzunehmen, den Zugriff auf
Fingerabdruckdaten von Asylbewerbern oder Ausländern nach dem Aufenthaltsgesetz auszuschließen und
den Rechtsschutz ausreichend zu gewährleisten. Nichts davon ist in den vorgelegten Gesetzentwürfen
auch nur ansatzweise angegangen worden."
Abgeordneter Jan Korte (DIE LINKE): "Es enthält Regelungen für den automatisierten Abruf von DNA- und
Fingerabdruckdaten sowie den Austausch von Daten terrorverdächtiger Personen. Mit diesem Abkommen
sollen personenbezogenen Daten, darunter DNA-Daten, einer unbegrenzten Zahl US-amerikanischer
Sicherheitsbehörden, darunter Geheimdiensten jeder Art, zugänglich gemacht werden. Via
Onlinezugriff werden Datenbanken deutscher Sicherheitsbehörden für US-Geheimdienste und
Sicherheitsbehörden geöffnet. Datenschutzvorkehrungen oder bürgerrechtliche Aspekte wie eine
Begrenzung der zu übermittelnden Daten oder eine Begrenzung der Speicherfristen sowie eine
wirkliche Zweckbindung sind hierin nicht vorgesehen. Das Abkommen zeichnet sich vielmehr durch eine
völlig haltlose Unverhältnismäßigkeit, mangelnde Bestimmtheit, unzureichende Zweckbindung, fehlende
Sicherungen oder effektiven Rechtsschutz aus. So werden neben Namen und Geburtsdaten auch
Identifikationsnummern und Fingerabdrücke gespeichert und ausgetauscht. Mehr noch: Über den Umweg
des Abkommens sollen nunmehr nicht nur in den USA, sondern auch in der Bundesrepublik Informationen
über „die Rasse oder ethnische Herkunft, politische Anschauungen, religiöse oder sonstige Überzeugungen
oder die Mitgliedschaft in Gewerkschaften, die Gesundheit und das Sexualleben” gespeichert werden. Das
ist der grundrechtspolitische Dammbruch."
Abgeordneter Wolfgang Wieland (BÜNDNIS 90/DIE GRÜNEN): "Im März 2008 hat Herr Schäuble stolz
diesen Vertrag präsentiert. … Und so ist es auch mit diesem Abkommen, einem Abkommen übrigens, zu dem
es bei seinem Bekanntwerden im März 2008 heftige Kritik von allen Seiten gab. Der Innenausschuss hat den
Bundesinnenminister damals auf die Defizite und Ungereimtheiten hingewiesen, Nachverhandlungen an
bestimmten Punkten verlangt und eine Information des Parlamentes gefordert. Nichts davon hat Herr
Schäuble erfüllt!"
********************************************************************************
Die Chronologie dieser Gesetzesvorlage findet man unter
http://dipbt.bundestag.de/extrakt/ba/WP16/193/19380.html . Im Juli 2009 entschied der deutsche
Bundesrat, dass die Bundesregierung mit den USA Nachverhandlungen aufnehmen muss mit dem Ziel der
Festlegung verbindlicher Begriffsdefinitionen sowie der Verbesserung des Datenschutzniveaus, weil der
aktuelle Gesetzesentwurf in vielfacher Hinsicht (Verletzung Persönlichkeitsschutz, Datenschutz usw.)
ungenügend ist (siehe http://dipbt.bundestag.de/dip21/brd/2009/0637-09B.pdf ). Wolfgang Schäuble ist
somit mit seinem Versuch (vorerst zumindest) gescheitert, das ganze Abkommen hinter dem Rücken des
Parlaments still und leise durchzubringen und die Grundrechte der deutschen Bürger an die USA zu
verkaufen.
Auch die Schweizer Regierung ist drauf und dran, den gleichen Fehler zu begehen:
http://www.drs1.ch/www/de/drs1/sendungen/samstagsrundschau/142094.schweiz-soll-heikle-datenmit-
der-eu-austauschen.html : "14.9.2009. Schweiz soll heikle Daten mit der EU austauschen.
Grundsätzlich ist der Bundesrat daran interessiert, beim europäischen DNA-Datenaustausch mitzumachen.
Dies bestätigte Eva Zwahlen vom Bundesamt für Polizei gegenüber Schweizer Radio DRS. Der Bundesrat
ist am Austausch sensibler Daten mit anderen europäischen Ländern interessiert und prüft eine
Unterzeichnung des sogenannten Vertrags von Prüm, bei dem 14 EU-Staaten mitmachen. Der Vertrag
ermöglicht den Polizeibehörden grenzüberschreitend Zugriff auf die gesamten DNA- und
Fingerabdruck-Daten der Mitgliedstaaten. … Schengen greift weniger weit. Der Vertrag von Prüm geht
weiter als der Vertrag von Schengen, bei dem die Schweiz bereits mitmacht. Mit Schengen werden nur
Fahndungsdaten ausgetauscht. Beim Vertrag von Prüm geht es um die gesamten Datenbanken mit DNAProfilen
und Fingerabdrücken. … Mit dem Vertrag von Prüm könnten Polizisten aus 14 EU-Staaten diese
sensiblen Daten abrufen."
Der beste Datenschutz in der Schweiz nützt nichts, wenn ausländische Behörden Zugriff auf diese Daten
erhalten. Was diese mit den abgerufenen Daten auf der anderen Seite der Landesgrenzen machen, kann
niemand mehr kontrollieren. Im schlimmsten Fall unterliegen diese Daten dort gar keinem Datenschutz
mehr, wie im Fall der USA, denn das amerikanische Datenschutzgesetz bezieht sich explizit nur auf Daten
von Inländern. Zudem: Wer wird in Zukunft sonst noch alles Zugang zu den privaten Daten auf solchen
zentralen Datenbanken erhalten? Wir haben keine Ahnung, wer in zehn Jahren die Herrschaftshoheit in den
diversen Staaten haben wird. Wer meint, er habe ja nichts zu verbergen: Unter falschem Regime reicht es,
eine abweichende Meinung zu haben, “die die Staatssicherheit gefährdet”. In vielen Staaten gilt leider: “Es
ist gefährlich, Recht zu haben, wenn die Regierung Unrecht hat.”
Doch es gibt für Regierungen, Geheimdienste und Verbrechensorganisationen diverse weitere Möglichkeiten,
wie man an die wertvollen biometrischen Daten von unschuldigen Bürgern anderer Staaten herankommen
kann, denn:
8. Biometrische Daten von Unschuldigen sind u.a. für Visumsfälscher sehr wertvoll
http://www.tagesspiegel.de/zeitung/Die-Dritte-Seite;art705,2004254 : "11.2.2007. Fälschungssicher,
Missbrauch ausgeschlossen: die Worte des Staates bei der Einführung des elektronischen Ausweises. Er hat
unrecht. Lukas Grunwald wollte sich irren. Er wollte, dass sein Experiment fehlschlug. Dann werde alles gut,
hoffte er. Aber Lukas Grunwalds Versuch gelang. Es dauerte exakt 4,80 Sekunden. Den Ablauf hat er
protokolliert, auf die Hundertstelsekunde in einer Datei auf seinem Rechner gespeichert. … „Dass es so
einfach ist, hätte ich nicht gedacht”, sagt er zu seinem Kollegen Christian Böttger, der neben ihm im Büro
seiner Computerfirma steht. Die beiden haben in einer unscheinbaren Hildesheimer Wohnstraße etwas
vollbracht, was nach Angaben der Bundesregierung eigentlich unmöglich ist: die Daten eines deutschen
Reisepasses aus der Innentasche eines Sakkos zu stehlen, ohne den Pass zu sehen und ohne ihn zu berühren.
Christian Böttger, 46, trägt einen Bart und einen Doktortitel der Physik. Für gewöhnlich lässt er sich nicht
leicht aus der Ruhe bringen, aber nun ist er nervös; als er den Pass aus der Anzugjacke holen will, verhakt er
sich im Futter. „Jeder Datendieb kann das nachmachen”, sagte er. … Grunwald kann sich nicht vorstellen,
dass ein Schwarzmarkt für biometrische Daten lange auf sich warten lässt. Ein Grund: Ausländer, die
ein Visum für die Bundesrepublik beantragen, werden “biometrisch identifiziert”: Foto und
Fingerabdruck werden mit den Datenbanken der Polizei abgeglichen. Biometrische Daten von
Unschuldigen werden für Visumsfälscher da schnell wertvoll."
9. Gefahr von Hackerattacken auf die Bundesverwaltung und andere behördliche Datenbanken
http://www.parlament.ch/ab/frameset/d/n/4812/314116/d_n_4812_314116_314136.htm?
DisplayTextOid=314137 : "Kiener Nellen Margret (S, BE): … Dieser wichtigen Kommissionsinitiative
haben wir in diesem Rat letzte Woche mit einer grossen Mehrheit Folge gegeben. … Es geht um eine Prüfung
der Erweiterung dieser Datenbank, nachdem die Bundesverwaltung gerade in den letzten Monaten von einer
noch nie dagewesenen Hackerattacke betroffen war – eine Hackerattacke, vor der der Eidgenössische
Datenschutz- und Öffentlichkeitsbeauftragte im Vorfeld der Abstimmung zur Biometrie sehr gewarnt hatte.
Nun ist es möglich, auch diesen Bedenken noch Rechnung zu tragen."
http://www.20min.ch/news/schweiz/story/13257549 : "26.10.2009. Hackerangriff. Virenattacke auf
das Aussendepartement. Das Eidgenössische Departement für auswärtige Angelegenheiten (EDA) von
Bundesrätin Micheline Calmy-Rey ist Ziel einer Virenattacke geworden. … Es habe sich um eine sehr
professionelle Virenattacke mit einer besonderen Software gehandelt, sagte EDA-Sprecher Georg Farago am
Montag gegenüber der Nachrichtenagentur SDA. Damit hätten gezielt Informationen beschafft werden
sollen. Die Schadsoftware war äusserst gut versteckt und verursachte praktisch keine wahrnehmbaren
Störungen in der IT-Infrastruktur. Der Angriff wurde am vergangenen Donnerstag, 22. Oktober entdeckt. …
Neben dem Informatikdienstleister des EDA sind auch das Bundesamt für Informatik und Technologie (BIT)
sowie die Melde- und Analysestelle Informationssicherung (Melani) des Bundes daran beteiligt. Die
Informatiker sind seit Freitag ununterbrochen im Einsatz. Wie die Virensoftware auf die Computer gelangen
konnten und ob bestimmte Abteilungen Ziel der Attacke waren, wollte Farago nicht sagen. Ebensowenig
äusserte sich der EDA-Sprecher über die mögliche Herkunft der Virenattacke. … Bereits am Freitag hatte
eine Störung die Computer des Eidgenössischen Departements des Innern (EDI), des Eidgenössischen
Finanzdepartements (EFD) und des Eidgenössischen Departements für auswärtige Angelegenheiten (EDA)
lahm gelegt. Es gebe aber keinen Zusammenhang zur Attacke auf das EDA, sagte Karolina Kohout,
stellvertretende Pressesprecherin des BIT, gegenüber 20 Minuten Online. … Das EDA war zusammen mit
dem Staatssekretariat für Wirtschaft (Seco) bereits Ende 2007 Opfer eines Hacker-Angriffs geworden.
Mitarbeiter des EDA und des Seco hatten in zwei Wellen über 500 E-Mails erhalten, die auf einen
vermeintlichen Fotowettbewerb hinwiesen. Klickten die Mitarbeiter dort auf ein Foto, um ihre Stimme für
den Wettbewerb abzugeben, luden sie einen Trojaner herunter, der Spionageprogramme nachlädt und
ausführt. Das schädliche Programm wurde damals von den gängigen Virenscannern nicht erkannt."
http://www.20min.ch/news/schweiz/story/31676245 : "21.05.08. Bundesbeamte tappen in die
Hackerfalle. Womöglich ein ausländischer Geheimdienst steckt hinter einer grossangelegten Hackerattacke
auf das EDA und das SECO von Ende letzten Jahres. Getarnt war die Aktion als Fotowettbewerb. Jetzt
ermittelt die Bundeskriminalpolizei. Das Eidgenössische Departement für auswärtige Angelegenheiten
(EDA) und das Staatssekretariat für Wirtschaft (SECO) haben den Angriff bestätigt, wie Radio DRS
berichtet. Die Bundeskriminalpolizei macht wegen Verdachts auf Spionage polizeiliche Vorabklärungen. …
Noch ist nicht klar, ob bei dem Angriff geheime Daten geklaut wurden. Brisant ist, dass die Aktion zwei
Bundesstellen traf, die unter anderem bei der Exportkontrolle für Waffen über sensible Daten verfügen. Das
Vorgehen der unbekannten Täter war so raffiniert wie professionell. Mit E-Mails und gefälschten
Internetseiten wurde ein Fotowettbewerb vorgegaukelt. Mehrere Angestellte der Bundesverwaltung
tappten blind in die Hackerfalle. Sie installierten so eine Software, die Computer und Netzwerk
ausspioniert. Die Verantwortlichen sind beunruhigt. «Was die Professionalität der Täter anbelangt, die den
Fokus auf ganz bestimmte Teile der Bundesverwaltung legten, und die ganze technische Infrastruktur die
aufgebaut werden musste – unter diesen Gesichtspunkten ist dies ein einzigartiger Fall», sagt Marc Henauer
von der Nationalen Koordinationsstelle zur Bekämpfung der Internetkriminalität (MELANI) auf Radio DRS.
Das SECO war nach Angaben seiner Sprecherin Rita Baldegger vom Hacker-Angriff «praktisch nicht
betroffen». Nur rund ein halbes Dutzend Mitarbeitende hätten die betreffenden E-Mails geöffnet. … Die EMail-
Nachrichten waren personalisiert, das heisst mit der korrekten Anrede des Empfängers versehen. Der
gefälschte Absender war eine Bundesstelle, die auf einen Fotowettbewerb hinwies. Um daran teilzunehmen,
wurde man dazu aufgefordert, einen in der E-Mail enthaltenen Link anzuklicken. Tat man dies, so öffnete
sich im Web-Browser eine täuschend ähnliche Kopie der Website besagter Bundesstelle. Unter der Rubrik
Fotowettbewerb wurden verschiedene Fotos gezeigt. Durch Anklicken konnte man dem Foto seiner Wahl die
Stimme geben. Dadurch lud man sich eine Screensaver-Datei auf den Computer, die Malware enthielt. Die
Art des Angriffs lässt gemäss MELANI auf eine professionelle und mit einigen finanziellen und technischen
Ressourcen ausgestatte Täterschaft schliessen. Die eingesetzte Malware sei vorerst durch keine gängige
Antiviren-Software erkannt worden. Gezielte Spionage via Internet bleibe von grosser Aktualität, heisst es
im MELANI-Bericht. Diese basiere auf politischen, militärischen und wirtschaftlichen Interessen. Bei den
Angreifern könne es sich um staatlich unterstützte oder auch um einzelne oder organisierte Akteure handeln.
Im Visier seien Regierungssysteme, insbesondere Informationen zu Verteidigungs- und Aussenpolitik."
http://wiso.zdf.de/ZDFde/inhalt/9/0,1872,7510025,00.html : "2.2.2009. Fingerabdruckscanner ist
unsicher. Reisepass: Hacker können Schwachstellen ausnutzen. Mehr Sicherheit – das war das Argument
für den elektronisch lesbaren Reisepass. Auf einem Chip sind zum Passfoto auch zwei Fingerabdrücke
gespeichert. Doch die Übertragungstechnik ist nicht sicher, Hackern bieten sich Angriffsmöglichkeiten,
und auch der Bundesdatenschutzbeauftragte ist besorgt. Eine Situation, mit der jeder Bundesbürger
konfrontiert ist: Beim Antrag für den neuen Reisepass müssen alle Deutschen ihren Fingerabdruck abgeben.
Gunnar Porada hat diese Prozedur hinter sich und entdeckt: Die Daten sind nicht ausreichend geschützt. Der
Computer-Sicherheitsexperte, der professionell Unternehmen auf Schwachstellen in ihren Netzwerken
überprüft, könnte ohne großen Aufwand in den Behördenrechner eindringen, die Fingerabdrücke
mitlesen und manipulieren. Kriminellen bieten sich dadurch ungeahnte Möglichkeiten: “Letztlich hebeln
wir damit die Sicherheit aus, die wir uns eigentlich mehr erhoffen durch die Fingerabdrücke”, sagt Porada:
“Wenn ich selber ein Schwerkrimineller wäre, könnte ich meine Fingerabdrücke im Reisepass von einer mir
ähnlich aussehenden Person eintragen. Dann könnte ich mit seinen Daten reisen, ich würde seinen Namen
und Identität annehmen, würde somit an allen Grenzposten vorbeikommen.” … Sicherheitslücken in
Behördenrechnern seien, wie bei allen Computern, nicht die Ausnahme, erklärt Gunnar Porada.”
Und so weiter… Man könnte mit zusätzlichen Beispielen solcher (erfolgreichen) Hackerattacken
stundenlang weiterfahren. Einige weitere Müsterchen (allein aus den Jahren 2008 und 2009), wo Hacker
geheime Daten von Regierungsdatenbanken klauen konnten (z.B. "Hacker knacken das teuerste
Waffenprojekt der USA auf dem Pentagon-Computer" oder "Ein chilenischer Hacker hat sich Zugang
zu über sechs Millionen Daten seiner Regierung verschafft" oder "Jobbörse Monster werden bei einem
Hackerangriff 4,5 Millionen Datensätze ihrer Kunden gestohlen inklusive Nutzer-IDs und Passwörter,
E-Mail-Adressen, Namen und Telefonnummern" usw.), findet man unter
http://www.freiheitskampagne.ch/rfid-datenbanken-sind-besonders-gefaehrdet/
10. Gefahr durch Diebstahl und Weiterverkauf der biometrischen Daten durch eigene Mitarbeiter
Auch Beispiele solcher Fälle gibt es bereits genug, z.B. bei Bankkontodaten:
http://www.blick.ch/news/wirtschaft/daten-dieb-ich-wurde-von-agenten-verschleppt-136361 :
"22.12.2009. Datenklauer Hervé Falciani (37). Daten von 130 000 soll er der Genfer Privatbank HSBC
geklaut haben, darunter 3000 Franzosen. Er soll zusammen mit seiner franko-libanesischen Geliebten
Georgina Mikhael (35) versucht haben, die Ware an andere Banken zu verkaufen. Unter anderem im Februar
2008 im Libanon. Als keine Bank kaufte, soll er die Daten dem deutschen und dem französischen
Geheimdienst angeboten haben."
http://www.blick.ch/news/wirtschaft/so-plante-frankreichs-meili-seinen-coup-136118 : "18.12.2009.
Der HSBC-Datendieb. So plante Falciani seinen Coup. Der Informatiker Hervé Falciani (37) klaute
Kundendaten bei der britischen Privatbank HSBC in Genf. Dabei überliess er nichts dem Zufall. Der HSBCAngestellte
Hervé Falcani bereitete seinen Coup genau vor. Anders als der Wachmann Christoph Meili, dem
bei der Schweizerischen Bankgesellschaft heisse Akten in die Hände fielen, schlug der Informatiker in seiner
Bank bewusst zu. Mit dem Ziel, Kundendaten zu Geld zu machen."
http://www.welt.de/wirtschaft/article5474439/Bankmitarbeiter-klaut-Daten-von-
Steuersuendern.html : "9.12.2009. Der Fall erinnert an Deutschlands Steuerstreit mit Liechtenstein. Ein
Archivar der fürstlichen Liechtensteiner Bank LGT hatte dem Bundesnachrichtendienst für 4,5 Mio. Euro
Kontodaten verkauft. Dies hatte 2008 zu spektakulären Ermittlungen gegen etwa 700 deutsche Steuersünder
geführt."
http://www.vaterland.li/index.cfm?ressort=wirtschaft&source=lv&id=6507 : "9.12.2009. Bankdaten
in Genf geklaut. Der Kieber der Schweiz heisst «Antoine». Nun hat auch die Schweiz ihren Fall Kieber:
Ähnlich wie in Liechtenstein, wo Heinrich Kieber, ein Angestellter der LGT Treuhand, Kundendaten
entwendete und ins Ausland verschacherte, soll ein Beschäftigter der HSBC Privat Bank in Genf Tausende
Kontodaten entwendet und der französischen Steuerfahndung übergeben haben."
http://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/775/433524/text/ : "19.2.2008. In der Affäre um
Steuerhinterziehung ist der Informant des Bundesnachrichtendienstes (BND) angeblich enttarnt worden. Die
amerikanische Zeitung Wall Street Journal nennt den vollen Namen eines Mannes, der sich inzwischen nach
Australien abgesetzt haben soll. Dem Blatt zufolge hat der Mann einst für das Liechtensteiner Bankhaus
LGT gearbeitet und dabei Daten über Hunderte Kunden mitgenommen. In den vergangenen 18 Monaten soll
der Mann seine Informationen den Steuerbehörden "auf mehreren Kontinenten" angeboten haben, unter
anderem in den USA. Die Zeitung nennt als Quelle eine Person, "die mit der Sache vertraut ist". Einer der
Autoren des Artikels, David Crawford, sagte bei N24, auch die US-Behörden hätten Daten gekauft und
arbeiteten seit einigen Monaten damit. … Der BND hatte dem Mann 4,2 Millionen Euro für die CD mit
Kontodaten von mutmaßlichen Steuerflüchtlingen gezahlt."
11. Gefahr durch simplen Datenverlust durch eigene Mitarbeiter
http://info.kopp-verlag.de/news/der-fluch-des-fortschritts-alle-daten-ueber-kriminelle-sind-ingrossbritannien-
weg.html : "23.8.2008. In Großbritannien sind alle Daten über Kriminelle abhanden
gekommen. Während man in Deutschland über den illegalen Handel mit den Daten von Millionen
unbescholtenen Bürgern diskutiert, erlebt Großbritannien einen Super-GAU. In London sind die Daten
von 130’000 Kriminellen abhanden gekommen. Sie sind einfach weg. Und nun hat man Panik. In
Deutschland gibt es einen »Skandal« um die Weitergabe personenbezogener Daten. Das ist bekannt. Und die
Politiker beschäftigen sich mit dem Fall. Wirtschaftsminister Michael Glos brachte ein vollständiges
Handelsverbot von personenbezogenen Daten ins Gespräch, die Justizministerin Brigitte Zypries will die
Gewinne der Datenhändler abschöpfen. Solche Vorschläge sind politischer Alltag. Was aber macht man,
wenn brisante Daten nicht verkauft werden, sondern einfach verschwinden? In Großbritannien ist ein USBStick
mit den Daten von 84’000 Häftlingen, 10’000 Schwerverbrechern und zehntausenden weiteren Daten
Krimineller einfach verloren gegangen. Man hat nun Angst davor, dass zehntausende Häftlinge die
Regierung auf Schadensersatz verklagen. Denn die Daten sind auf dem USB-Stick nicht verschlüsselt. Und
ein jeder Finder des USB-Sticks hätte den freien Zugriff auf alle Datensätze. Da gibt es Datensätze über
Sexualstraftäter, Datensätze über potentielle Terroristen und Datensätze über Personen, die observiert
werden. Der britische Telegraph berichtet nun, dass der britische Steuerzahler wohl nun jedem Kriminellen,
der wegen der Datenschlamperei ein Gerichtsverfahren anstrenge, Schmerzensgeld zahlen müsse, weil
Rechte verletzt und die Datensicherheit grob fahrlässig gehandhabt worden sei. Dummerweise reiht sich
der peinliche Vorfall ein in eine Reihe ähnlicher Vorkommnisse. Seit 2003 werden nun mindestens 88
USB-Sticks mit geheimen oder streng vertraulichen Daten bei den Regierungsbehörden vermisst. Nun
sollten deutsche Leser nicht hochmütig über die Datenschlamperei der Briten lächeln. Denn ganz zaghaft
kommen in diesen Tagen Meldungen an die Öffentlichkeit, dass es solche Datenschlampereien auch in
deutschen Justizkreisen gibt, Beispiel Rheinland-Pfalz: Dort sind persönliche Daten aus der
Jugendstrafanstalt Schifferstadt auf der Straße gefunden worden. Ein Pfortenbuch mit den Namen von
mehr als 150 Anwälten, rund 200 jugendlichen Häftlingen und zahlreichen Ermittlern geriet in die falschen
Hände. In dem Kalender seien Besuche von Anwälten bei ihren Mandaten vermerkt worden, heißt es. Man
hatte die Unterlagen nicht korrekt entsorgt."
Und so weiter, und so weiter… Man könnte mit weiteren Beispielen auch hier stundenlang weiterfahren.
Einige weitere Müsterchen (allein aus den Jahren 2008 und 2009), wo Mitarbeiter des Staates geheime Daten
ganz einfach irgendwo in der Öffentlichkeit verloren haben (z.B. "Das britische Innenministerium hat
jüngst einen Laptop bei Ebay verkauft inklusive vertraulicher Daten aus dem Ministerium mit
unverschlüsselten Daten von 25 Millionen Kindergeldempfängern inklusive deren
Bankverbindungen." oder "Britsche Behörden verlieren Daten von 3 Millionen
Führerscheinanwärtern" oder “Bank of Ireland verliert 31′000 Kundendatensätze" oder "USamerikanische
Bank of New York Mellon verliert Magnetband mit 4,5 Millionen Kundendaten" usw.),
findet man unter http://www.freiheitskampagne.ch/rfid-datenbanken-sind-besonders-gefaehrdet/
=> Fazit: Bei einem Verzicht auf das Obligatorium der zentralen Datenspeicherung würde das
schweizerische Ausweiswesen nicht etwa geschwächt, sondern die Schweiz schützt sich im Gegenteil
dadurch staatspolitisch vor dem grossen Gefahrenpotential einer solchen zentralen Datenspeicherung der
biometrischen Daten ihrer eigenen Bürgerinnen und Bürger. Genauso wie dies mit Ausnahme von vier alle
anderen Staaten weltweit machen, die auf diese zentrale Datenspeicherung verzichten. Von den Aufbau- und
Unterhaltskosten ganz zu schweigen. Die Gefahr von Erpressungen, Hackerattacken, Datenverkauf durch
Mitarbeiter, Datenverlust beim Transport usw. kann die Schweiz nur verhindern, indem sie gar keine
Biometrie-Datenbank betreibt. Die simpelste Regel des Datenschutzes lautet bekanntlich: Erst gar keine
Datenbank erstellen. Das beugt Hackerangriffen und Missbrauch am Effizientesten vor.

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08/01/2010 | Mise à jour : 22:57
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http://www.lefigaro.fr/environnement/2010/01/08/01029-20100108QCMWWW00556-croyez-vous-toujours-au-rechauffement-climatique-.php.

En novembre dernier, des hackers (pirates informatiques) ont attaqué le site du CRU (Climatic Research Unit), une unité clé du GIEC (Groupe International des Experts sur le Climat) et ont rendu publics des échanges de 1.073 courriels et 3.585 documents compromettants (codes de programmation et graphiques principalement), échelonnés sur 13 ans. Ces documents font état de manipulations de données, de mise en place de mécanismes pour éviter de fournir les données brutes (incluant la suppression de celles-ci), manipulations du processus de relecture (peer-review), manipulations des médias (tiens, tiens ?), reconnaissance de certaines erreurs, etc. (voir le résumé de cette affaire sur http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/?p=1164#more-1164 )

Or, depuis quelques années, un grand nombre de scientifiques et de journalistes indépendants tentaient de nous informer sur la scandaleuse escroquerie montée de toutes pièces autour de cette question du réchauffement climatique (voir, à ce propos, l’excellent documentaire de la BBC sur la fraude du réchauffement climatique : http://skyfall.free.fr/?p=87 et http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758&hl=fr# ). Non pas qu’actuellement, il n’y ait pas de réchauffement. Mais que les causes de ce réchauffement n’ont strictement rien à voir avec les émissions de CO2 d’origine humaine. En bref, la thèse de ces scientifiques est la suivante (elle est bien exposée dans la conférence du professeur Vincent Courtillot, de l’Académie des Sciences, disponible sur http://www.dailymotion.com/video/xanv0e_rechauffement-climatique-les-erreur_tech ) :

  • les variations de la température de la Terre sont liées, depuis des centaines de milliers d’années, aux variations de l’activité solaire (cycle rapide, de ± 11 ans) et aux variations de la trajectoire de la Terre autour du soleil (cycle lent, plusieurs dizaines de milliers d’années) ;
  • depuis que les hommes consignent par écrit l’activité solaire (à travers le nombre de taches solaires), c’est-à-dire depuis l’époque de Galilée (± 1600), il est possible d’observer une corrélation forte entre le nombre de taches (indicateur de l’intensité du soleil) et la température du globe (mesurée dans l’épaisseur des anneaux des troncs d’arbre et dans les couches sédimentaires). Autrement dit, quand le soleil est plus chaud, il fait plus chaud sur Terre. Et inversement. Rien à voir avec l’activité des hommes, autrement dit… ;
  • le CO2 d’origine humaine ne représente qu’un faible pourcentage (3 %) des émissions de CO2 totales. À côté de cela, les océans et les forêts contribuent respectivement pour 40 % et 57 % du CO2 émis (voir le point 2 du résumé : http://www.globalclimatescam.com/documents/FiveFacts.pdf ). Quand on sait, de plus, que le CO2 n’est pas le gaz à effet de serre le plus important présent dans l’atmosphère, mais que c’est la vapeur d’eau (la vapeur d’eau est présente dans l’atmosphère en quantité 25 à 100 fois plus importante que le dioxyde de carbone), on peut commencer vraiment à douter de l’impact des activités humaines sur le réchauffement planétaire. Un petit calcul vous permettra de comprendre que le CO2 d’origine humaine représente 0,06 % des gaz à effet de serre émis. Quand on parle de réduire de 10 % nos émissions, cela revient à dire qu’on diminue de 0,006 % notre contribution ! Bien entendu, cet argument ne doit pas nous autoriser à continuer de polluer comme nous le faisons et à détruire l’écosystème de manière dramatique. C’est clair ;
  • enfin, ces scientifiques suggèrent et démontrent que c’est le réchauffement qui provoque une augmentation des émissions de carbone, et non l’inverse. Puisque plus il fait chaud, plus les océans et les forêts libèrent du CO2. Plus il fait froid, plus ils en absorbent.


Mon propos n’est pas de trancher la question du réchauffement climatique en quelques lignes. Mais de souligner que l’année 2009 a été marquée par des révélations qui n’ont pas été contestées par les scientifiques qui se sont faits piéger (ils ont cherché à minimiser les informations, avec la complicité des médias, une fois de plus). Et que l’authenticité des documents prouvant les manipulations a été avérée par des experts indépendants.

Quand on sait que le film d’Al Gore (Une vérité qui dérange) avait été condamné par la haute cour de justice anglaise en 2007, car il contenait pas moins de 11 erreurs flagrantes (voir : http://la-route-nous-appartient.skynetblogs.be/post/5101650/une-verite-qui-derange–film-condamne-en-just/ ) et qu’il était imposé comme film de référence dans les écoles, ça me redonne l’espoir que le mensonge deviendra un art de plus en plus difficile à pratiquer.

À quand des enquêtes demandées par des députés pour mettre à jour la fraude sur les explications du réchauffement climatique ? À quand des enquêtes pour dénoncer l’utilisation frauduleuse faite de ces explications erronées au profit de nouvelles taxes pesant sur les individus et de nouvelles pertes de pouvoir de la part des états ?

Si un jour, des pirates attaquaient les serveurs de l’OMS et des instances de santé publique, pour mettre au grand jour les fraudes et les mensonges criminels en matière de santé, ce serait tellement passionnant et instructif de lire les correspondances échangées entre Big Pharma et Alain, Roselyne, Laurette ou Margaret !

Le voile commence à se lever sur le dossier du 11 septembre 2001

Ici aussi, il devient de plus en plus difficile pour les journalistes et les dirigeants de pays de soutenir sérieusement la thèse officielle des attentats du 11 septembre 2001. Depuis la sortie du rapport officiel de la commission d’enquête, en 2004, et grâce à toutes les questions que celle-ci a volontairement laissées dans l’ombre, les mouvements réclamant la vérité sur les attentats n’ont cessé de monter en puissance. Alors que le 9 septembre 2008, l’humoriste français Jean-Marie Bigard osait douter de cette version officielle devant les caméras de télévision, il se faisait traiter de révisionniste et de négationniste par une presse déchaînée contre lui ! Quelques mois plus tard, en juin 2009, il lançait ses fameuses vidéos humoristiques très bien documentées qui ont été vues, depuis, par plus de 3 millions de personnes (allez les voir, vous aussi, ça vaut le détour : http://www.bigard.com/ )

Quelques mois auparavant, Marion Cotillard (oscarisée en 2008 pour son rôle de la môme dans « La Vie en rose ») avait fait part de ses doutes sur la thèse officielle (ce qui lui a valu d’être accusée, elle aussi, de nier les attentats). Quelques mois après, Mathieu Kassovitz, en septembre 2009, contestait lui aussi cette fameuse thèse officielle, pour se faire, lui aussi, comparer à Joseph Goebbels et se faire traiter de révisionniste.

En septembre dernier, coup de tonnerre ! John Farmer, conseiller senior de la commission du 11/09 et corédacteur du fameux rapport officiel critiqué par des centaines de milliers de personnes, publie un livre extrêmement gênant, « Ground Truth » (http://www.amazon.com/Ground-Truth-Untold-America-Attack/dp/1594488940/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1262299963&sr=1-1). Dans ce livre ennuyeux, mais très documenté, il reconnaît que la plupart des conclusions du rapport officiel sont basées sur des informations mensongères émanant du gouvernement américain et de l’armée. Il ne va pas jusqu’à dire qui a organisé les attentats, ni qui a permis que les choses se passent comme elles se sont passées, mais ça n’a pas d’importance : le mal est fait. Il affirme et il prouve que ce rapport est basé sur un tissu de mensonges pour masquer leur désorganisation et leur incompétence (c’est sa version).

Il ne reste qu’un pas pour que le voile tombe complètement. Car la désorganisation et l’incompétence n’ont jamais fait tomber des tours, n’ont jamais fait disparaître les ailes d’un avion et n’a jamais modifié les lois de la physique. Il suffit, pour s’en convaincre, d’écouter les conférences que des architectes américains donnent dans le monde entier actuellement, pour démontrer ce que les instances officielles et les médias refusent de reconnaître.

Le bénéfice de ce mouvement qui prend une ampleur de plus en plus grande (un des meilleurs sites de référence est : http://www.reopen911.info/ et un des meilleurs documentaires à voir sur le sujet est : http://www.youtube.com/watch?v=eS-XXCSe4n8 ), c’est que nous sommes de plus en plus nombreux à concevoir qu’un gouvernement puisse organiser un événement contre son propre peuple (attentat ou tentative d’attentat, comme le 25 décembre dernier – pour le détail de cette affaire, lire : http://www.reopen911.info/News/2010/01/04/negligence-ou-conspiration/ ), pour pouvoir justifier une action planifiée de longue date et pour pouvoir réduire de plus en plus nos libertés individuelles et collectives. Même Obama n’a pas l’air content que la CIA ait organisé cette mise en scène grotesque.

Et si nous pouvons concevoir qu'un gouvernement agisse contre son peuple dans le cadre d'un attentat, il devient plus facile de concevoir que ce même gouvernement puisse agir contre son peuple dans le cadre d'une vaccination de masse toxique ou mortelle. La conscience des individus avance plus vite à présent que ces gens qui cherchent à détruire nos libertés. Et c’est ça, la bonne nouvelle.

Le voile est définitivement levé sur la vraie nature des médias

Je pense que c’est LE bénéfice le plus important de cette année 2009. Un nombre incalculable de citoyens ont ouvert les yeux sur le rôle que les médias prostitués jouaient dans cette course à la dictature mondiale. Avec les différents événements que j’ai cités ci-dessus, il est devenu patent que les médias ont pour mission :

  • d’entretenir le mensonge et la peur dans la population (peur des virus, peur du réchauffement climatique, peur des terroristes, etc.) ;
  • de cacher à la population les corruptions et les scandales (à part ARTE, le Parisien, Der Spiegel, France 24 et quelques médias indépendants, qui a osé poser la question des conflits d’intérêts, des corruptions, des divergences d’avis dans la communauté scientifique dans le dossier de la grippe, du réchauffement ou du 11 septembre ?) ;
  • de discréditer, de lyncher, d’injurier, de ridiculiser les individus et les groupes de personnes qui osent ramer à contre-courant et qui osent poser les questions que tous devraient se poser ;
  • de détourner l’attention de la population des questions essentielles en lui servant des divertissements et des non-informations insipides et stupides.


Comme je le disais dans un de mes précédents courriels :
« On peut mentir tout le temps à quelques personnes. On peut mentir quelquefois à tout le monde. On ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. C’est le piège dans lequel les médias se sont mis eux-mêmes. L’agonie du monde médiatique, tel que nous le connaissons, est enclenchée. »

Les enseignements à tirer de cette année 2009

Malgré les apparences des événements, vous constaterez que je suis très enthousiaste. Pour revenir au dossier principal qui m’a occupé pendant les cinq derniers mois de 2009, voici le bilan que je tire de cette affaire :

  • tout d’abord, par rapport aux projets des gouvernements occidentaux de nous imposer une campagne de vaccination obligatoire, nous pouvons être très fiers de ce que nous avons réussi. Avec nos faibles moyens financiers, grâce au temps investi en recherche et en lecture, grâce aux communications écrites envoyées et relayées, nous avons fait reculer TOUS les gouvernements dans leur projet. À un point tel qu’à présent, ils ont abandonné leur objectif de vaccination de toute la population et essaient tous de refiler leurs vaccins toxiques et mortels à d’autres pays ;
  • Je ne le cache pas, je suis très heureux de m’être investi corps et âme dans cette bataille. Même si, comme d’autres, j’y ai perdu quelques plumes (manque à gagner financier, injures, lynchage médiatique, menaces), j’ai la certitude d’avoir contribué à sauver de nombreuses vies (j’ai reçu des milliers de lettres de témoignages à ce sujet). J’ose dire « sauver des vies », car les courriels que je reçois me dévoilent une réalité beaucoup moins drôle pour ceux qui se sont fait vacciner. Parmi tous les témoignages des effets secondaires négatifs et mortels, je ne citerai que deux exemples vécus ici au Québec (voir plus bas). En lisant ces témoignages, il est évident que plus personne n’aurait l’envie d’aller se faire vacciner. Et beaucoup risquent de vivre dans la peur des effets qui pourraient apparaître dans les mois à venir…
  • l’analyse des centaines de déclarations faites par les responsables de santé publique dans différents pays (sauf la Pologne) m’a convaincu d’une chose : notre santé est le dernier des soucis de ces gens. Car chaque fois qu’un doute était émis sur la sécurité ou l’efficacité des vaccins, celui-ci était balayé d’un revers de la main, sans même se poser la question : y a-t-il un danger dans l’acte vaccinal ? Par contre, chaque fois que des effets secondaires graves apparaissaient dans les minutes, les heures ou les jours suivant la vaccination, la même litanie était répétée systématiquement (je ne l’ai jamais entendue ne pas être prononcée) : le lien avec la vaccination ne peut être prouvé ; cette personne était probablement atteinte d’une pathologie sous-jacente et serait, de toute façon, décédée.

Mais ne nous attardons pas sur ces considérations. Étudions plutôt les facteurs qui nous ont permis de remporter cette victoire, malgré un rapport de forces et de moyens tout à fait disproportionné ? Une partie de ceux qui ont choisi de ne pas se faire vacciner :

  • soit avaient connu, personnellement ou dans leur entourage, des effets secondaires reliés à une vaccination antérieure. Ce qui les avait convaincu de préférer la voie naturelle de l’immunisation que les complications (parfois graves) liées à cet acte moins anodin qu’on nous le présente ;
  • soit s’étaient déjà informés sur les dangers de la vaccination (en général) depuis longtemps. Leur position face à la soi-disant menace de grippe n’a pas changé, car ils considéraient le danger des vaccins comme supérieur à celui de la grippe ;
  • soit avaient déjà une connaissance de l’imposture que représente la vaccination, en général, depuis son invention par Pasteur. Eux, rien ne pourrait les faire changer d’avis, même si la pandémie avait été réelle, puisqu’ils savent que les vaccins n’apportent pas les bénéfices annoncés ;
  • soit avaient une attitude critique par rapport aux médias, ou n’écoutaient ni ne lisaient pas les informations émanant des médias dominants depuis longtemps. Du coup, ils n’ont pas pu être conditionnés par cette propagande agressive et quotidienne visant à créer une psychose collective face à cette grippe ;
  • soit ont eu une attitude active face à l’information. Au lieu de la laisser venir à eux (toute mâchée), ils ont été la chercher eux-mêmes (dans des livres, dans des conférences ou sur les sites d’informations disponibles sur Internet) ;
  • soit ont développé un scepticisme sain en réaction au battage médiatique exagéré. Et sans rien connaître à la question de la vaccination, sans même vouloir s’informer, ont choisi, par principe, de ne pas faire confiance aux injonctions gouvernementales. Comme disait une de mes amies : « quand le gouvernement te dit d’aller à gauche, tourne à droite. Tu seras certain de faire le bon choix ! »

Ce sont, à mon avis, les éléments qui ont permis cette victoire dans cette bataille de l’information. Je vous suggérerai plus bas, des pistes d’action qui s’inspirent directement de cette analyse. Mais avant de mettre en oeuvre une stratégie, poursuivons notre bilan.

Ai-je eu raison de faire des prédictions alarmistes ?

Je ne suis pas Madame Soleil. Pourtant, cet automne 2009, j’ai pris le risque de faire des prédictions alarmistes et alarmantes (allez relire mes courriels sur mon site : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=65&Itemid=98 ). Certains me l’ont reproché, me disant que la catastrophe sanitaire et l’hécatombe annoncées n’avaient pas eu lieu. J’avais aussi annoncé une campagne de vaccination obligatoire, qui, finalement, n’a eu lieu nulle part. Me suis-je trompé ? Ai-je eu tort de faire de telles annonces ? Avec le recul, je suis certain que j’ai eu raison d’agir comme cela.

En effet, j’ai un peu l’impression de me retrouver dans la position du prophète Daniel qui se plaignait auprès de Dieu qu’il était ridiculisé par le peuple, parce qu’aucune des prédictions apocalyptiques qu’il prophétisait ne se réalisait. À cela Dieu lui répondit que c’est parce que lui, Daniel, avait alerté le peuple, qu’un changement de mentalités et d’attitudes avait pu se produire, évitant par la même occasion les malheurs qui auraient dû normalement survenir. Bien sûr, je ne me prends ni pour un prophète, ni pour un sauveur et je n’ai pas ce privilège autoproclamé d’être en communication avec Dieu. Mais je trouve l’histoire analogiquement intéressante.

Nous avons été quelques dizaines à nous placer au premier rang de la contestation, relayés par des centaines de gestionnaires de sites Internet et des milliers de thérapeutes, relayés également par des centaines de milliers d’anonymes. Si nous n’avions pas exposé au grand jour les projets de vaccination obligatoire des populations, aucune réaction ne se serait manifestée et la population aurait été prise au dépourvu, poussée dans ces immenses centres de vaccination de masse, comme on pousse du bétail vers l’abattoir. Donc, oui, heureusement que nous avons dénoncé ce plan de vaccination de masse et que nous en avons apporté les preuves. Sinon, il se serait bien réalisé.

Quant à la catastrophe sanitaire annoncée, ai-je exagéré ? C’est, malheureusement, trop tôt pour faire l’évaluation. À en croire les médias dominants, il n’y a quasiment aucun problème à la suite de cette vaccination qui a touché des millions de personnes. Et on nous assure (avant même d’avoir fait une évaluation sérieuse) que les quelques problèmes rapportés n’ont aucun lien prouvé avec la vaccination. Tout va donc très bien dans le meilleur des mondes. Pour ma part, je ne partage cet optimisme hypocrite et criminel. À ce sujet, je vous invite à lire un témoignage que j’ai reçu hier, d’une de mes correspondantes qui travaille comme technicienne en pharmacie dans un hôpital québécois. Lisez ce témoignage, écrit trois mois à peine après la vaccination du personnel médical. C’est édifiant.

« Je travaille dans un hôpital en tant que technicienne en pharmacie depuis 2008. Après votre passage à LCN (chaîne de TV québécoise, ndlr), j'ai décidé de faire mes recherches au sujet du vaccin sachant que je serais sûrement dans les premières vaccinées. Ce que j'y ai découvert m'a dissuadée de me faire vacciner. J'en ai parlé à mes collègues de travail pour les avertir du danger. Après m'avoir écoutée attentivement, ils ont couru se faire vacciner par peur de la grippette ! Et ce, même si nous avions eu beaucoup de cas aux urgences durant l'été et qu'une seule des techniciennes avait été malade (et peu malade) !
 
Aujourd'hui (4 janvier 2010), nous ne sommes qu'une petite poignée à avoir refusé cette vaccination. Et aucun d'entre nous n'a été malade ou est présentement malade. Nous nous portons à merveille, à part la fatigue du temps des fêtes bien sûr ! Le problème est plutôt dû au fait qu'au moins la moitié des « vaccinés » ont présentement des problèmes. Plusieurs toussent sans cesse, ont des symptômes d'allures grippales, des maux de tête persistants, des douleurs aux dents, mal de ventre, de l'insomnie… Une de mes collègues de travail, qui a déjà souffert d'anémie dans le passé, a commencé à saigner sous les ongles des pouces et a perdu quatre ongles d'orteil ! Bien sûr, personne ne soupçonne le vaccin ! Je commence à surveiller plus attentivement l'état de mes collègues qui sont parmi les premiers vaccinés au Québec. À ma connaissance, nous sommes le premier hôpital à avoir reçu les vaccins (l’Arepanrix de GSK avec le « maudit » squalène ASO3, bien indiqué sur la boîte, en plus du thimérosal). »


Par ailleurs, le frère d’une de mes connaissances de la ville de Québec a vu sa petite fille de neuf mois mourir dans les quinze jours qui ont suivi sa vaccination, tandis que son fils de deux ans développait un urticaire géant qui nécessita une hospitalisation lourde. Depuis lors, cet enfant a une liste interminable d’aliments qu’il ne peut plus manger (allergies multiples). Sa soeur, elle, repose à présent dans un cimetière où elle n'aurait pas dû se trouver. Et je ne vous parle même pas des centaines de femmes enceintes qui ont fait des fausses couches dans les heures qui suivaient leur vaccination. Croyez-vous que les autorités de santé ont reconnu la responsabilité possible du vaccin dans cette affaire qui a frappé cette jeune famille ? Croyez-vous que les médias se sont pressés à la porte du domicile des parents malheureux, comme ils l’ont fait, chaque fois qu’une personne mourait supposément de la grippe H1N1 ? Absolument pas. Quand les morts pouvaient faire vendre les vaccins, les journalistes charognards se jetaient sur eux comme les vautours sur un cadavre en putréfaction. Mais quand les morts pourraient faire douter de la sécurité des vaccins, plus aucune de ces charognes n’est au rendez-vous pour avertir le public des dangers des vaccins.

Bref, pour revenir à la catastrophe sanitaire, je pense que nous y verrons plus clair dans un an. Les aveux faits ce 7 janvier par l’agence européenne du Médicament m’ont mis en rage : l’hécatombe que nous avions annoncée est bien en train de se produire. Lisez vous-même : quand je vous répète qu’on nous ment et qu’on se fout de notre gueule, je crois que l’expression est faible. Les gouvernements nous tuent, de sang-froid, dans l’indifférence générale (voir : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article7181 ). En réalité, je crains que le nombre de malades de toutes sortes n’atteigne au moins 50 % du nombre des vaccinés. Je rappelle, si besoin en était, que ce sont 25 % des 730.000 GI’s vaccinés contre l’anthrax, avec un vaccin contenant du squalène, qui ont connu ce qu’on appelle le syndrome de la Guerre du Golfe, dans les mois qui suivirent la vaccination. Ce syndrome se caractérise par des troubles du système nerveux (fatigue chronique, troubles musculaires et articulaires, problèmes de mémoire, cancers du cerveau), par l'émergence de maladies auto-immunes (sclérose latérale amyotrophique, fibromyalgie) et par des troubles sévères de la reproduction (baisse de fertillité, malformation congénitale chez un pourcentage élevé des enfants, etc.). Je rappelle aussi que 19 ans après cette première guerre du Golfe, plus de 450.000 GI’s (âgés en moyenne de 39 ans) sont retraités pour cause de problèmes de santé !!! Normalement, on ne s’attend pas à un tel pourcentage de malades (60 %) chez des gens aussi jeunes, qui sont atteints au point d’être payés par le gouvernement pour ne plus rien faire ! Ce qu’ils avaient en commun ? Deux injections de dix vaccins différents reçus dans un intervalle de trois semaines, dont un vaccin contenant du squalène. Le même squalène dont nos gouvernements nous ont fait cadeau en cette fin d’année 2009 (voir, à ce propos, mon article consacré au squalène : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=118&Itemid=156 ).

Toujours à propos de catastrophe sanitaire, nous y verrons aussi plus clair dans deux à trois ans. Lorsque les bébés conçus par des parents vaccinés viendront au monde, avec un nombre significativement important de malformations monstrueuses, d’handicaps congénitaux, de dégénérescences cérébrales ou organiques. À moins que nous ne découvrions une épidémie de stérilité chez les hommes et les femmes qui auront eu l’imprudence de se faire vacciner. Mais bien entendu, là non plus, plus personne n’incriminera notre bon vaccin au squalène, puisque les tests cliniques préalables à l’autorisation de mise en marché n’ont démontré aucun impact sur la stérilité. Argument complètement fallacieux, quand on sait que ces tests cliniques sont menés sur une période de quelques semaines, alors que ces effets secondaires ne peuvent être détectés que des mois ou des années après !

Ce qui nous attend en 2010 ?

À présent, qu’est-ce qui nous attend en 2010 ? Vais-je encore prendre le risque de faire des prédictions pour 2010 ? Eh bien oui, même si je reconnais que l’exercice est périlleux et risqué. Car, depuis mon retrait de la scène publique, je n’ai cessé de continuer à consulter des documents relatifs à cette fameuse grippe H1N1. Quels sont les faits qui ont retenu mon attention ? Plusieurs, dont voici un résumé :

  • Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé, nous a annoncé que la pandémie se poursuivrait jusqu’au moins en 2011 (comme quoi, le ridicule ne tue pas) (référence : http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/societe/la_grippe_a/20091229.OBS2023/loms_ne_veut_pas_crier_victoire_avant_2011.html ) ;
  • L’Ukraine a connu une épidémie de maladies pulmonaires extrêmement mortelles et fulgurantes (décès survenant 24 heures après le début de la maladie), en novembre 2009. D’après les autopsies effectuées sur les cadavres des victimes, les symptômes étaient différents de ceux de la grippe H1N1 et le virus qui s’attaquait aux poumons était un virus différent du virus H1N1, mais qui, en se combinant avec lui, devenait extrêmement mortel (référence : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article6802 et http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/mutation-grippe-a-h1n1-l-65043#pagination_forums ) ;
  • Or, ce qui est troublant dans ce dossier de l’Ukraine, c’est que deux mois auparavant (à Varsovie, en Pologne, les 29 et 30 septembre 2009), Interpol avait proposé un exercice à six pays d’Europe Centrale et de l’Est, simulant une attaque bioterroriste contre l’Ukraine, attaque dont le mode opératoire des terroristes était d’épandre un virus de peste pulmonaire par voie aérienne (voir : http://www.interpol.int/Public/BioTerrorism/tabletop/default.asp ). Deux mois, plus tard, des milliers de témoignages venant de la population ukrainienne rapportaient que des avions avaient volé à basse altitude pendant la nuit, quelques jours avant l’explosion de l’épidémie mortelle qu’on a qualifiée, tout d’abord, de peste pulmonaire. Un hasard ? ;
  • Le professeur Taubenberger, dont j’ai parlé dans plusieurs de mes conférences, est le chef du laboratoire de pathologie moléculaire des Forces Armées Américaines. C’est lui qui a prélevé en 2004 sur le cadavre d’une inuit, morte en 1918 de la grippe espagnole, des tissus pulmonaires, pour ressusciter et recombiner (avec l’aide du laboratoire du CDC (Center for Desease Control)) le virus mortel de cette fameuse grippe pandémique. Ce que j’affirme est tout sauf des ragots d’Internet : ce travail a fait l’objet de plusieurs publications scientifiques dans Nature (Taubenberger, Jeffrey. « Characterization of the 1918 influenza virus polymerase genes ». Nature. 437, pp 889-893 (2005)) et dans Science (Tumpey, Terrence. « Characterization of the reconstructed 1918 Spanish influenza pandemic virus ». Science. 310, pp 77-80 (2005)). On peut déjà trouver suspect que les Forces Armées et le CDC investissent des moyens importants pour recombiner un virus disparu responsable de la morts de 20 à 60 millions de personnes ;
  • Ce même professeur Taubenberger vient de rendre public le résultat des autopsies qu’il a effectuées sur les premiers morts de la grippe H1N1, dans la région de New-York, entre mai et juillet 2009. Deux questions me sont venues à l’esprit : pourquoi accorde-t-on à ce Monsieur le privilège d’autopsier les premières victimes de la grippe nouvelle, alors que ce secteur géographique ne correspond ni à sa juridiction, ni à ses fonctions habituelles ? Et pourquoi a-t-il attendu fin novembre pour rendre publiques ses conclusions concernant des observations faites en mai ? Surtout que ses conclusions montraient que les victimes n’étaient pas mortes de la grippe (tiens, donc), mais d’une pathologie pulmonaire très similaire à ce dont meurent les Ukrainiens actuellement !!! (Référence : http://ww.examiner.com/x-29228-LA-Health-Technology-Examiner%7Ey2009m12d7-NIH-Bulletin-says-New-York-swine-flu-victim-autopsies-show-lung-damage-similar–to-1918-Spanish-flu ). L’Ukraine aurait-elle été le terrain de test d’une contamination à plus large échelle, pour plus tard ?
  • L’OMS persiste à recommander le Tamiflu comme moyen de lutte contre la grippe et les états grippaux. En bonne élève, Roselyne Bachelot, a recommandé la prescription systématique de ce poison inutile, dangereux et mortel, chez toute personne souffrant d’états grippaux ou de grippe ( http://www.formindep.org/IMG/pdf/Grippe_A-H1N1-v_prescription_d-antiviraux-2.pdf ). Quand on sait que le Tamiflu n’a aucune efficacité prouvée (voir les articles sur mon site consacrés au Tamiflu : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=117&Itemid=155 ), on peut s’interroger sur la motivation d’une telle mesure. Mais quand on sait, en plus, que le Tamiflu provoque souvent en quelques heures une surinfection et une détresse respiratoire aiguë entraînant la mort ( http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article56 ), on est en droit de s’interroger sur les intentions criminelles d’une telle mesure (voir aussi : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article6968 ). Depuis lors, j’ai eu connaissance d’une étude in vitro qui explique que l’antiviral a pour effet de booster la virulence du H1N1 ( http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6WBK-4XJWD10-8&_user=10&_rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_sort=d&_docanchor=&view=c&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=a8153dfa12c5aefb7a2d7f3fee12b7e2 ). Sur base de cela, je suis convaincu que ces soi-disant nouvelles catégories de victimes de la grippe (ceux que le virus ne touche habituellement pas) étaient plutôt des victimes du Tamiflu, tout simplement. Et c’est comme cela qu’on nous a fait croire que la grippe s’attaquait aux jeunes et aux adultes en bonne santé !
  • Des projets de loi sont à l’étude dans plusieurs pays de la planète (dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, et d’autres) pour autoriser les gouvernements à censurer ou interdire les sites Internet subversifs (voir : http://www.infowars.net/articles/december2009/171209Internet.htm ) ;
  • La firme Verichip a annoncé qu’elle avait gagné la course au brevet, pour mettre sur le marché une micro-puce implantable dans le corps dont la fonction était de détecter la présence de virus H1N1 dans le corps. Cette annonce date du 21 septembre 2009 ( http://www.verichipcorp.com/092109.html ). Depuis lors, cette firme a pris le nom de Positive ID (histoire de faire oublier sa sinistre réputation de faire de nous du bétail pucé) et se prépare à élargir la gamme de ses services dans le domaine médical ( http://industry.bnet.com/pharma/10005641/positiveid-deal-advances-use-of-microchip-implants-in-florida-health-system/?tag=content;selector-perfector ) ;
  • Lors du sommet de Copenhague, sur le réchauffement climatique, une des recommandations qui a été discutée tout au long des réunions était la nécessité de réduire la population de la planète (voir : http://www.larouchepac.com/node/12763 )
  • Le 25 décembre 2009, un passager nigérien, bien connu du FBI et de la CIA, a été embarqué sur le vol 253 reliant Amsterdam à Detroit, en ne passant pas par les procédures de sécurité habituelles, et sans présenter son passeport au personnel d’embarquement, grâce à l’intervention d’un homme d’origine indienne qui l’accompagnait (voir le témoignage d’un avocat qui était passager sur le même vol : http://www.mlive.com/news/detroit/index.ssf/2009/12/flight_253_passenger_kurt_hask.html ). Comme par hasard, ce passager VIP tentait de faire sauter l’avion, quelques heures plus tard (ou faisait semblant de tenter de faire sauter l’avion). Réaction immédiate des gouvernements : mise en place de procédures encore plus intrusives de contrôle des passagers et des bagages, où maintenant, des scanners nous foutront à poil, pour le grand plaisir des agents (voyeurs) de sécurité des aéroports.

À quoi, pouvons-nous nous attendre dans les mois qui viennent ? Sur base des éléments que j’ai rassemblés ci-dessus, différents scénarios sont possibles. Il suffit, pour les imaginer, de se mettre à la place de ceux qui ont orchestré cette mise en scène d’une pseudo-pandémie. Si j’étais le cerveau de cette affaire, vu mon échec à imposer la vaccination à toute la population, je m’y prendrais comme suit :

  • Tout d’abord, veiller à ce qu’aucune fuite ne soit relayée par les médias dominants concernant les effets secondaires des vaccins. Histoire de rassurer la population non vaccinée dans les pays de l’hémisphère nord, ainsi que dans les pays en voie de développement et dans les pays de l’hémisphère sud. Ce serait très mauvais pour le commerce que les rumeurs des morts et des handicapés arrivent aux oreilles des populations de ces pays, avant qu’eux-mêmes ne soient vaccinés ;
  • Dans le même temps, veiller à accélérer le vote des lois permettant la censure des sites Internet inconvenants. En attendant, les bonnes vieilles méthodes d’intimidation et de menaces de mort peuvent toujours être appliquées (elles ont été utilisées par la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) en France contre deux sites Internet : www.artemisia-college.org et www.spreadthetruth.fr, qui tous les deux diffusaient des informations essentielles contre la campagne de vaccination H1N1) ;
  • Continuer à communiquer régulièrement sur les dangers et les morts de la grippe H1N1, histoire d’entretenir la peur de la grippe (qui pourrait devenir aussi virulente et mortelle que la grippe espagnole – remarquez que l’argument a déjà été utilisé en 1976, lors de la première alerte à la grippe porcine et en 2004, lors de l’alerte à la grippe aviaire). Continuer à mentionner les morts attribuables à la grippe H1N1, histoire de maintenir dans l’esprit du public que la grippe est une maladie mortelle (faisant, par là-même, oublier que beaucoup de maladies sont beaucoup plus mortelles que la grippe, même en Occident) ;
  • Continuer à parler d’une troisième vague pandémique, d’une quatrième vague, d’une cinquième vague, d’un pic pandémique, enfin, tout le vocabulaire nécessaire pour justifier des actions préventives et des communiqués médiatiques ;
  • Recommander l’utilisation du Tamiflu, pour augmenter les chances de faire mourir les gens atteints de symptômes grippaux ordinaires. Bon pour les statistiques, ça, et bon pour les ventes de vaccins, aussi ! Si je me réfère à l’expérience du Canada, 400 morts attribués à la grippe H1N1 ont convaincu 15 millions de Canadiens à se faire vacciner. Ça fait 37.500 vaccinés pour chaque mort ! On comprend mieux pourquoi chaque mort était chouchouté comme il l’a été par les médias ;
  • Ensuite, provoquer artificiellement des foyers de grippe, mais cette fois, beaucoup plus virulents, en s’inspirant de l’expérience Ukrainienne. Provoquer quelques foyers épidémiques avec la nouvelle souche virale, balancée par les airs ou dans les eaux, auraient un effet de panique du meilleur goût. Suggestion : profiter de grands rassemblements internationaux pour mener les attaques biologiques et bactériologiques : première cible : les Jeux Olympiques d’hiver, à Vancouver (Canada), en février 2010. Deuxième cible : la coupe du Monde de Football, en Afrique du Sud, en juin – juillet 2010. Et peut-être d’autres cibles à déterminer si besoin. Ça devrait motiver les plus récalcitrants à se faire vacciner ;
  • Une fois la vraie pandémie installée, convaincre l’ensemble de la population de la nécessité de disposer d’une puce de détection du virus H1N1, pour éviter que sa propagation ne s’opère d’un pays à l’autre. Ainsi, ceux qui voudront quitter un pays seront obligés de porter cette puce fabriquée par Positive ID (anciennement Verichip), afin que les douaniers puissent vérifier s’ils sont porteurs ou non du virus mortel. Pour faire d’une pierre deux coups, et pour accélérer les procédures de sécurité dans les aéroports, on proposera aux mêmes personnes de faire enregistrer dans la même puce implantée les éléments de leur identité et de leur casier judiciaire. N’oublions quand même pas que de dangereux terroristes peuvent faire sauter à tout moment l’avion que nous prendrions (sauf qu’eux, même quand ils sont répertoriés par la CIA, passe à côté des contrôles de sécurité qu’on nous impose et qui nous font chier !) ;
  • La présence de cette puce permettra aux autorités de faire un suivi absolu du programme de vaccination de chaque individu (la fameuse traçabilité vaccinale à laquelle Roselyne Bachelot tenait tellement). Autrement dit, pour circuler, il sera bientôt nécessaire d’être absolument en ordre de vaccination. Comme les sites Internet dénonçant les dangers et l’inutilité des vaccins ne seront plus là pour avertir les gens, il sera de plus en plus facile de convaincre la population de se faire vacciner contre toutes sortes de maladies, sous prétexte que le coût d’un vaccin est moindre que le coût du traitement d’un cancer (j’ai déjà entendu le docteur Poirier avancer cet argument pour justifier le prix du vaccin contre la papillomavirus). On pourrait imaginer un deal avec les assurés : soit ils participent à un programme vaccinal de manière coopérative, et ils peuvent continuer à bénéficier de la sécurité sociale ; soit ils refusent la vaccination, et dans ce cas, ils ne sont plus couverts pour leurs frais de soins de santé en cas de maladie (c’est ce qu’on impose déjà en France aux cancéreux qui refusent la chimiothérapie : OK, pas de chimio, mais alors, plus de couverture des frais de soins de santé) ;
  • Et enfin, grâce à ce programme où progressivement, la vaccination aura été généralisée, la fertilité de la population aura chuté drastiquement jusqu’à devenir majoritairement stérile. Ce qui résoudra le problème de la surpopulation mondiale, en une génération, sans devoir recourir à un génocide (stratégie un peu trop voyante et un peu trop choquante). C’est pour cela qu’il est absolument impératif de maintenir le squalène comme adjuvant dans les vaccins, car sa présence interfère fortement avec la fabrication de nos hormones sexuelles, les stéroïdes.


Voilà le programme que je mettrais en place, si j’étais le cerveau de cette affaire. Alors, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai pas dit que c’était ça qui allait se passer. Mais j’affirme que c’est un scénario possible, qui pourrait découler logiquement des faits cités ci-dessus. En tout cas, je serai particulièrement attentif à ce qui se passera à Vancouver dans quelques semaines. Car je m’interroge fortement sur les raisons qui ont poussé Stephen Harper (premier ministre canadien) à proroger les sessions de travail du parlement du 25 janvier à début mars (après les jeux olympiques). Aucun observateur, aucun juriste n’a compris l’intention qui se cache derrière cette mesure qui ne se justifie nullement. Ce n’est pas parce que les jeux olympiques se déroulent dans un pays que le parlement doit s’arrêter de se réunir et de travailler ! À moins qu’une attaque bioterroriste en plein déroulement des jeux n’oblige un comité restreint de prendre des mesures et de déclarer un état d’urgence sanitaire, sans débat démocratique, puisque le parlement serait absent ! Je ne dis pas que telle est l’intention du Premier Ministre. Mais avec le temps et l’expérience, depuis que j’observe tous ces jeux de pouvoir, c’est le genre de plan tordu que je suis capable de concevoir chez les dirigeants de ce monde.

Ce que nous devons faire en 2010 ?

Que le scénario catastrophique et diabolique que je décris ci-dessus se réalise ou non n’a, pour moi, aucune importance.

  • Ce qui est important de retenir, c’est que tout indique, à travers les annonces des responsables de santé publique, qu’ils vont continuer à essayer de nous faire croire que nous sommes confrontés à une pandémie, là où le simple bon sens nous prouve qu’il n’y a jamais eu de pandémie (12.000 morts en huit mois, alors que la grippe saisonnière qui n’a jamais déclenché le moindre programme d’urgence en fait 250.000 à 500.000 chaque année). À ce propos, vous souvenez-vous que j’avais prédit 13.000 morts pour le 31 décembre 2009, dans mon courriel n° 6 daté 13 octobre 2009 ( http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=105:courriel-6&catid=65:grippe-a-h1n1&Itemid=98 ) ? Une fois de plus, j’avais visé juste !
  • Ce qui est important aussi de retenir, c’est que la probabilité de nous voir imposer de plus en plus de vaccins est loin d’être nulle.
  • Ce qui est important de retenir, enfin, c’est que derrière les faux attentats du 11 septembre, derrière les fausses origines du réchauffement climatique, derrière la menace de la fausse pandémie, la même logique sécuritaire est à l’oeuvre : celle de restreindre de plus en plus nos libertés de choix, d’opinion, de déplacement, d’information, d’expression, de réunion, etc. Et la probabilité de nous retrouver tous pucés dans quelques années est un des scénarios les plus plausibles, quand on voit la convergence de toute une série d’innovations technologiques se réaliser. Je rappelle que presque toutes nos cartes d’identification se dotent à présent d’une puce RFID : carte d’identité, permis de conduire, carte d’assurance maladie, carte bancaire, carte de crédit, etc. De là à transférer les informations de ces différentes puces dans un seule puce implantée dans le corps, il n’y a qu’un pas que nos dirigeants sont prêts à franchir.

Si nous ne voulons pas d’un monde pareil, il ne nous reste que quelques mois pour transformer ce formidable éveil des consciences provoqué par les événements de 2009 pour mettre en place des actions concrètes. Si nous voulons contrecarrer définitivement les velléités totalitaires de l’élite mondiale, nous devons axer nos priorités sur les actions suivantes :
   

  • continuer de nous informer personnellement et apprendre à décrypter les informations que les médias nous donnent, pour comprendre les scénarios qui se mettent en place à notre insu ;
  • aller chercher des sources alternatives d’informations, pour mieux comprendre la logique qui se cache derrière les événements apparents ;
  • constituer des alliances citoyennes dans chaque ville, pour coordonner des actions d’information et de formation, mais aussi pour interpeller les responsables politiques, pour lancer des actions juridiques et pour organiser des manifestations et des actions de désobéissance civile non-violente ;
  • faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour que les corruptions et les conflits d’intérêt soient dénoncés et condamnés ;
  • faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour exiger que notre pays sorte définitivement de toutes les instances internationales qui lui ont volé sa souveraineté (à commencer par l’OMS, par la Communauté Européenne ou l’ALENA et par l’OTAN) ;
  • devenir, chacun et chacune, des diffuseurs d’information dans notre entourage immédiat (collègues de travail, familles, voisins, amis). Car si nous ne réunissons pas une masse critique de gens bien informés, la prochaine offensive de soi-disant grippe ou de soi-disant peste pulmonaire nous mettra en position minoritaire dans un troupeau apeuré, face aux actions gouvernementales et aux manoeuvres de l’OMS.

En fait, pour notre liberté individuelle (motivation égoïste), nous ne pouvons plus faire l’économie d’aider les autres à ouvrir les yeux (motivation altruiste). Autrement dit, nous ne pourrons pas nous sauver seuls. Et c’est là, la dernière bonne nouvelle de ce qu’ont déclenché les événements de l’année 2009 : pour reconquérir nos libertés et nos souverainetés individuelles, nous sommes obligés de reconstruire le tissu social et les réseaux de solidarité qui ont été savamment détricotés ces cinquante dernières années. Sans ces alliances à reconstruire entre nous, entre voisins, entre collègues, nous sommes condamnés à vivre dans la peur et dans l’impuissance.

N’oublions jamais que la devise des dictateurs de l’Empire Romain était : divide et impera, divise pour régner. C’est parce que nous sommes trop divisés qu’il est possible, aujourd’hui, à un dirigeant de diriger, à un garde de sécurité d’imposer des mesures idiotes auxquelles nous nous soumettons tous, à l’ordre des médecins de menacer ses membres d’exclusion, etc. Quand nous serons dix mille à dire non à une mesure d’interdiction, que pourrait faire le maire de notre ville ? Nous mettre tous en prison ? Les prisons sont déjà tellement pleines !

N’oublions pas non plus ce que disait Benjamin Franklin (1706 – 1790), cet écrivain, physicien et diplomate, qui fut le co-rédacteur et un des signataires de la déclaration d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique en 1776 : « Ceux qui voudraient renoncer à la liberté essentielle, pour acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. » Je pense qu’aucune phrase ne décrit mieux le choix devant lequel nous nous trouvons actuellement. Car, nous avons encore le choix, même si la dictature est déjà à l’oeuvre dans notre Monde. Il nous reste peu de temps pour agir, mais il nous en reste. Nous avons le choix de délaisser définitivement l’illusion de sécurité qui nous est offerte par nos gouvernements fantoches et de reconquérir notre liberté essentielle. Ou de nous laisser entraîner par ce mouvement qui semble inéluctable, pour entrer dans « le Meilleur des Mondes » (livre écrit par Aldous Huxley en 1923 et qui est d’une extraordinaire actualité ! Je l’ai relu juste avant Noël. Quel choc !).

N’oublions pas non plus cette fameuse affirmation du philosophe allemand, Georg Hegel (1770 – 1831), le père de la pensée dialectique : « Lorsque l’esclave meurt, le maître disparaît ». Autrement dit, les maîtres du Monde ne peuvent exister et se maintenir que si nous leur donnons le pouvoir d’avoir le pouvoir sur nous. À cet égard, je vous invite tous à méditer sur la puissance extraordinaire d’un simple refus, d’un simple non. Roselyne Bachelot (France) ou Alain Poirier (Québec) se sont vus bien démunis lorsque leurs centres de vaccination étaient désespérément vides. Et si les citoyens avaient gardé leurs téléviseurs éteints, s’ils n’avaient plus écouté les médias qui profitaient du moindre décès pour alimenter leur peur de la mort, s’ils avaient été mieux informés et formés, les centres de vaccination seraient restés définitivement vides.

C’est la raison pour laquelle je vais reprendre mon bâton de pèlerin, une nouvelle fois, dès le début du mois de mars, en Europe comme au Québec, pour éduquer, informer, former tous ceux qui le souhaitent, mais aussi, pour aider à la constitution des comités citoyens qui le souhaitent. Je suis convaincu que cette action est absolument indispensable, car plus les individus seront informés et conscients, moins ils tomberont dans les pièges de la désinformation et de la manipulation. Et plus nous aurons des chances de vider le pouvoir de sa substance.

Je formule le voeu que vous serez nombreux à répondre à mon invitation.
Et que 2010 sera l’année de la reprise en main de notre propre souveraineté, de notre liberté et de notre vie.

Plus que jamais, il nous faudra rester debout, conscients et éveillés. Mais ensemble !!!

Cordialement et fraternellement

Jean-Jacques Crèvecoeur
Montréal (Québec – Canada)
Courriel : info@jean-jacques-crevecoeur.com
Site Internet : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/
 

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H1N1, stop vaccins, la suite ?

Prenez le temps de lire ce courriel et de le méditer, ainsi que d’examiner les nombreuses références que j’y ai placées.
Et surtout, transmettez ce texte à tous vos contacts, reproduisez-le sur vos sites Internet et sur vos blogs, traduisez-le dans d’autres langues.

NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE NOUS SOMMES HORS DE DANGER AVEC CETTE SOI-DISANT PANDÉMIE DE GRIPPE H1N1 ! Le temps n’est vraiment pas à baisser la garde et à se rendormir. L’OMS et nos gouvernements préparent leur prochaine offensive. Je vous en apporte quelques indices supplémentaires dans ce courriel.

Donc, si vous voulez savoir :

  • pourquoi l’année 2009 fut finalement une excellent année
  • comment la vérité est en train d’éclater à propos de la pandémie de grippe H1N1, du réchauffement climatique, des attentats du 11 septembre et des médias
  • pourquoi nous avons réussi à saboter, tous ensemble, les projets de vaccination obligatoire
  • pourquoi on ne nous parle pas des centaines de morts provoqués par la vaccination (et ce n’est qu’un début, malheureusement)
  • pourquoi on peut craindre que le Tamiflu ait tué davantage que la grippe H1N1 elle-même
  • pourquoi nous allons assister à une épidémie de problèmes de fertilité et de stérilité dans les trois ans qui viennent
  • ce qui nous attend en 2010 et quels sont les scénarios probables qui risquent de nous tomber dessus
  • pourquoi le puçage des populations va devenir un enjeu majeur dans les années à venir

Mais surtout, si vous voulez savoir quelles actions entreprendre pour contrecarrer cette folie criminelle et liberticide,

LISEZ CE COURRIEL ET PARTAGEZ-LE. PLUS NOUS SERONS NOMBREUX À CONNAÎTRE LES PLANS QUE NOUS PRÉPARE L’ÉLITE MONDIALE, MIEUX NOUS POURRONS NOUS PRÉPARER ET NOUS ORGANISER.

C’est aussi la raison pour laquelle je reprends mes activités de formateur et de conférencier, dès le début du mois de mars, en Europe et au Québec. En attendant de recevoir par courriel mon programme détaillé (la semaine prochaine), je vous invite à prendre connaissance du calendrier qui sera mis à jour régulièrement. Je serai de passage en Belgique, en Suisse et en France à partir du 10 mars jusqu’au 15 avril. Je reprendrai également mes activités au Québec après le 15 avril.

SI VOUS N’AVEZ PAS REÇU DIRECTEMENT CE COURRIEL DE MA PART, INSCRIVEZ-VOUS DÈS À PRÉSENT SUR MA LISTE D’ENVOI ( http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=85&Itemid=76) (VOUS ÊTES DÉJÀ PLUS DE 18.000 À RECEVOIR CETTE COURRIEL DIRECTEMENT, ET DES CENTAINES DE MILLIERS À LE RECEVOIR INDIRECTEMENT).

IL Y VA DE NOTRE VIE, DE NOTRE LIBERTÉ, DE NOTRE SOUVERAINETÉ. LE TEMPS PRESSE ! METTEZ-VOUS DEBOUT, DE GRÂCE.

Montréal, le 7 janvier 2010

Madame, Monsieur,
Chers amis,

C’est devenu une tradition que je nourris jalousement depuis des années. Dans l’hémisphère Nord, le solstice d’hiver marque la période où nos nuits sont les plus longues (aux alentours de 16 heures à Bruxelles, Paris ou Montréal) et les jours les plus courts. Pour moi, c’est un rendez-vous annuel que la Nature m’offre pour prendre le temps de méditer, de tirer les enseignements de l’année qui s’achève et de faire le bilan. Depuis des années, j’ai décidé de fuir toutes ces fêtes bruyantes et superficielles pour m’offrir une retraite, souvent accompagné de celle que j’aime ou de quelques amis particulièrement chers.

2009 : finalement, une excellente année !

Cette année 2009 se termine pour moi avec un sentiment que je n’ai jamais connu. Le sentiment qu’après les événements que nous avons vécus, rien ne sera plus jamais comme avant. Vous me direz que cette année fut une année difficile, douloureuse, révoltante, répugnante, en bref, une année de merde ! Oui, c’est un point de vue. Mais je voudrais citer cette phrase célèbre de Richard Bach (né en 1936), tirée de « Illusions ou le Messie récalcitrant » : « ce que la chenille appelle la fin du Monde, le Maître l’appelle le papillon ».

Car, bien sûr que de notre point de vue de chenilles, il y aurait de quoi désespérer de l’Humanité (qu’il s’agisse des peuples moutons inconscients ou des dirigeants corrompus et cyniques). Et je ne vous cache pas qu’à quelques reprises, j’ai, moi aussi, été pris par la tristesse et le découragement. Mais en prenant un peu de recul et de hauteur, en regardant cette vie sur Terre comme une grande pièce de théâtre où le but du jeu est d’évoluer en conscience grâce aux événements que nous vivons sur cette scène, la perspective devient alors extraordinairement positive.

Démonstration.

Depuis des dizaines d’années, nous n’étions qu’un faible pourcentage a être convaincus que le système mondial était devenu une machine à broyer les individus et les peuples au profit d’une élite minoritaire qui concentre de plus en plus de richesses dans des mains de moins en moins nombreuses. Jusqu’à présent, nous n’étions qu’une minorité à dénoncer les mensonges, les corruptions, les collusions, les complots ourdis par les gouvernements et les instances supranationales (comme l’ONU, l’OMS, le FMI, la FAO) contre leurs propres citoyens ou les citoyens du Monde. Chaque fois que nous pointions du doigt une loi, un décret, un accord en démontrant qu’une fois de plus, c’était une partie de notre liberté et de notre souveraineté (individuelle ou collective) qui était bafouée et piétinée, nous nous faisions traiter de conspirationnistes, de révisionnistes, de théoriciens du complot, d’anarchistes d’extrême gauche, de sectes, d’agitateurs dangereux, et j’en passe (vous compléterez la liste vous-même !).

Le changement extraordinaire que 2009 nous a offert, c’est que cette machine à broyer s’est emballée, croyant atteindre bientôt son but ultime : le pouvoir absolu. Et trop sûre d’elle, cette machine a accéléré la cadence pour réaliser son but, en multipliant les mensonges, les falsifications, les manipulations, à l’échelle planétaire. C’est vrai que le directeur de la propagande d’Hitler, Joseph Goebbels, disait déjà à l’époque : « Plus le mensonge est gros, plus ça passe ! » À voir ce qui s’est passé en 2009, il faut croire qu’il se trompait.

Le voile se lève sur le dossier de la vaccination

Dans le dossier de la grippe H1N1, une majorité d’individus a compris qu’il y avait quelque chose de louche dans la gestion de cette soi-disant crise. Et les centaines de millions de dollars ou d’euros investis pour diffuser la propagande pro-vaccinale n’ont pas réussi à convaincre les gens qu’ils devaient se faire vacciner. Au contraire, ces efforts propagandistes ont eu l’effet inverse. Des millions de personnes ont reçu des informations qu’ils n’auraient jamais reçues autrement ; à présent, nombreuses sont les personnes qui sont devenus conscientes qu’un vaccin, ça peut être dangereux ! Par ailleurs, de plus en plus de gens se sont rendu compte que la corruption existe au sein de l’OMS et chez les responsables de santé publique. À cet égard, il est intéressant de noter que pas moins de six pays, à ma connaissance, ont lancé (ou vont lancer) des demandes d’enquêtes pour corruption dans ce dossier :

Ce qui est génial, c’est que toutes ces plaintes émanent d’élus politiques (députés pour la plupart ou ministre). Difficile de les traiter de conspirationnistes, ceux-là ! Ou de sectes ! En neuf mois, l’OMS et les responsables de santé publique auront fait avancer la cause anti-vaccinaliste plus que les opposants aux vaccins pendant des décennies (en même temps, heureusement que ces pionniers de la cause ont travaillé à nous informer, pour préparer le terrain à cette prise de conscience massive !). Merci donc à des êtres comme Sylvie Simon, Michel Georget, Raymond Hauglustaine, Marc Vercoutère, Christian Tal Schaller, Jean-Marie Mora, Jacques Viau et bien d’autres, de nous avoir alertés depuis longtemps de l’inutilité et de la dangerosité des vaccins. Mais merci aussi à Margaret Chan (directrice générale de l’OMS), Albert Osterhaus, Alain Poirier, Roselyne Bachelot, Laurette Onkelinx, Bruno Lina, les experts corrompus et tous les dirigeants des compagnies pharmaceutiques : sans vous, nous aurions mis encore trente ans pour arriver au même résultat de conscientisation sur les vaccins et sur la corruption dans le domaine médico-pharmaceutique.

Comme quoi, une fois de plus, l’ombre et la lumière coopèrent ensemble au service de l’élévation de la conscience de l’humanité ! Ne l’oublions jamais !!!

Le voile commence à se lever sur le dossier du réchauffement climatique

Dans un autre dossier, celui du réchauffement climatique, en novembre dernier, des hackers (pirates informatiques) ont attaqué le site du CRU (Climatic Research Unit), une unité clé du GIEC (Groupe International des Experts sur le Climat) et ont rendu publics des échanges de 1.073 courriels et 3.585 documents compromettants (codes de programmation et graphiques principalement), échelonnés sur 13 ans. Ces documents font état de manipulations de données, de mise en place de mécanismes pour éviter de fournir les données brutes (incluant la suppression de celles-ci), manipulations du processus de relecture (peer-review), manipulations des médias (tiens, tiens ?), reconnaissance de certaines erreurs, etc. (voir le résumé de cette affaire sur http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/?p=1164#more-1164 )

Or, depuis quelques années, un grand nombre de scientifiques et de journalistes indépendants tentaient de nous informer sur la scandaleuse escroquerie montée de toutes pièces autour de cette question du réchauffement climatique (voir, à ce propos, l’excellent documentaire de la BBC sur la fraude du réchauffement climatique : http://skyfall.free.fr/?p=87 et http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758&hl=fr# ). Non pas qu’actuellement, il n’y ait pas de réchauffement. Mais que les causes de ce réchauffement n’ont strictement rien à voir avec les émissions de CO2 d’origine humaine. En bref, la thèse de ces scientifiques est la suivante (elle est bien exposée dans la conférence du professeur Vincent Courtillot, de l’Académie des Sciences, disponible sur http://www.dailymotion.com/video/xanv0e_rechauffement-climatique-les-erreur_tech ) :

  • les variations de la température de la Terre sont liées, depuis des centaines de milliers d’années, aux variations de l’activité solaire (cycle rapide, de ± 11 ans) et aux variations de la trajectoire de la Terre autour du soleil (cycle lent, plusieurs dizaines de milliers d’années) ;
  • depuis que les hommes consignent par écrit l’activité solaire (à travers le nombre de taches solaires), c’est-à-dire depuis l’époque de Galilée (± 1600), il est possible d’observer une corrélation forte entre le nombre de taches (indicateur de l’intensité du soleil) et la température du globe (mesurée dans l’épaisseur des anneaux des troncs d’arbre et dans les couches sédimentaires). Autrement dit, quand le soleil est plus chaud, il fait plus chaud sur Terre. Et inversement. Rien à voir avec l’activité des hommes, autrement dit… ;
  • le CO2 d’origine humaine ne représente qu’un faible pourcentage (3 %) des émissions de CO2 totales. À côté de cela, les océans et les forêts contribuent respectivement pour 40 % et 57 % du CO2 émis (voir le point 2 du résumé : http://www.globalclimatescam.com/documents/FiveFacts.pdf ). Quand on sait, de plus, que le CO2 n’est pas le gaz à effet de serre le plus important présent dans l’atmosphère, mais que c’est la vapeur d’eau (la vapeur d’eau est présente dans l’atmosphère en quantité 25 à 100 fois plus importante que le dioxyde de carbone), on peut commencer vraiment à douter de l’impact des activités humaines sur le réchauffement planétaire. Un petit calcul vous permettra de comprendre que le CO2 d’origine humaine représente 0,06 % des gaz à effet de serre émis. Quand on parle de réduire de 10 % nos émissions, cela revient à dire qu’on diminue de 0,006 % notre contribution ! Bien entendu, cet argument ne doit pas nous autoriser à continuer de polluer comme nous le faisons et à détruire l’écosystème de manière dramatique. C’est clair ;
  • enfin, ces scientifiques suggèrent et démontrent que c’est le réchauffement qui provoque une augmentation des émissions de carbone, et non l’inverse. Puisque plus il fait chaud, plus les océans et les forêts libèrent du CO2. Plus il fait froid, plus ils en absorbent.


Mon propos n’est pas de trancher la question du réchauffement climatique en quelques lignes. Mais de souligner que l’année 2009 a été marquée par des révélations qui n’ont pas été contestées par les scientifiques qui se sont faits piéger (ils ont cherché à minimiser les informations, avec la complicité des médias, une fois de plus). Et que l’authenticité des documents prouvant les manipulations a été avérée par des experts indépendants.

Quand on sait que le film d’Al Gore (Une vérité qui dérange) avait été condamné par la haute cour de justice anglaise en 2007, car il contenait pas moins de 11 erreurs flagrantes (voir : http://la-route-nous-appartient.skynetblogs.be/post/5101650/une-verite-qui-derange–film-condamne-en-just/ ) et qu’il était imposé comme film de référence dans les écoles, ça me redonne l’espoir que le mensonge deviendra un art de plus en plus difficile à pratiquer.

À quand des enquêtes demandées par des députés pour mettre à jour la fraude sur les explications du réchauffement climatique ? À quand des enquêtes pour dénoncer l’utilisation frauduleuse faite de ces explications erronées au profit de nouvelles taxes pesant sur les individus et de nouvelles pertes de pouvoir de la part des états ?

Si un jour, des pirates attaquaient les serveurs de l’OMS et des instances de santé publique, pour mettre au grand jour les fraudes et les mensonges criminels en matière de santé, ce serait tellement passionnant et instructif de lire les correspondances échangées entre Big Pharma et Alain, Roselyne, Laurette ou Margaret !

Le voile commence à se lever sur le dossier du 11 septembre 2001

Ici aussi, il devient de plus en plus difficile pour les journalistes et les dirigeants de pays de soutenir sérieusement la thèse officielle des attentats du 11 septembre 2001. Depuis la sortie du rapport officiel de la commission d’enquête, en 2004, et grâce à toutes les questions que celle-ci a volontairement laissées dans l’ombre, les mouvements réclamant la vérité sur les attentats n’ont cessé de monter en puissance. Alors que le 9 septembre 2008, l’humoriste français Jean-Marie Bigard osait douter de cette version officielle devant les caméras de télévision, il se faisait traiter de révisionniste et de négationniste par une presse déchaînée contre lui ! Quelques mois plus tard, en juin 2009, il lançait ses fameuses vidéos humoristiques très bien documentées qui ont été vues, depuis, par plus de 3 millions de personnes (allez les voir, vous aussi, ça vaut le détour : http://www.bigard.com/ )

Quelques mois auparavant, Marion Cotillard (oscarisée en 2008 pour son rôle de la môme dans « La Vie en rose ») avait fait part de ses doutes sur la thèse officielle (ce qui lui a valu d’être accusée, elle aussi, de nier les attentats). Quelques mois après, Mathieu Kassovitz, en septembre 2009, contestait lui aussi cette fameuse thèse officielle, pour se faire, lui aussi, comparer à Joseph Goebbels et se faire traiter de révisionniste.

En septembre dernier, coup de tonnerre ! John Farmer, conseiller senior de la commission du 11/09 et corédacteur du fameux rapport officiel critiqué par des centaines de milliers de personnes, publie un livre extrêmement gênant, « Ground Truth » (http://www.amazon.com/Ground-Truth-Untold-America-Attack/dp/1594488940/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1262299963&sr=1-1). Dans ce livre ennuyeux, mais très documenté, il reconnaît que la plupart des conclusions du rapport officiel sont basées sur des informations mensongères émanant du gouvernement américain et de l’armée. Il ne va pas jusqu’à dire qui a organisé les attentats, ni qui a permis que les choses se passent comme elles se sont passées, mais ça n’a pas d’importance : le mal est fait. Il affirme et il prouve que ce rapport est basé sur un tissu de mensonges pour masquer leur désorganisation et leur incompétence (c’est sa version).

Il ne reste qu’un pas pour que le voile tombe complètement. Car la désorganisation et l’incompétence n’ont jamais fait tomber des tours, n’ont jamais fait disparaître les ailes d’un avion et n’a jamais modifié les lois de la physique. Il suffit, pour s’en convaincre, d’écouter les conférences que des architectes américains donnent dans le monde entier actuellement, pour démontrer ce que les instances officielles et les médias refusent de reconnaître.

Le bénéfice de ce mouvement qui prend une ampleur de plus en plus grande (un des meilleurs sites de référence est : http://www.reopen911.info/ et un des meilleurs documentaires à voir sur le sujet est : http://www.youtube.com/watch?v=eS-XXCSe4n8 ), c’est que nous sommes de plus en plus nombreux à concevoir qu’un gouvernement puisse organiser un événement contre son propre peuple (attentat ou tentative d’attentat, comme le 25 décembre dernier – pour le détail de cette affaire, lire : http://www.reopen911.info/News/2010/01/04/negligence-ou-conspiration/ ), pour pouvoir justifier une action planifiée de longue date et pour pouvoir réduire de plus en plus nos libertés individuelles et collectives. Même Obama n’a pas l’air content que la CIA ait organisé cette mise en scène grotesque.

Et si nous pouvons concevoir qu'un gouvernement agisse contre son peuple dans le cadre d'un attentat, il devient plus facile de concevoir que ce même gouvernement puisse agir contre son peuple dans le cadre d'une vaccination de masse toxique ou mortelle. La conscience des individus avance plus vite à présent que ces gens qui cherchent à détruire nos libertés. Et c’est ça, la bonne nouvelle.

Le voile est définitivement levé sur la vraie nature des médias

Je pense que c’est LE bénéfice le plus important de cette année 2009. Un nombre incalculable de citoyens ont ouvert les yeux sur le rôle que les médias prostitués jouaient dans cette course à la dictature mondiale. Avec les différents événements que j’ai cités ci-dessus, il est devenu patent que les médias ont pour mission :

  • d’entretenir le mensonge et la peur dans la population (peur des virus, peur du réchauffement climatique, peur des terroristes, etc.) ;
  • de cacher à la population les corruptions et les scandales (à part ARTE, le Parisien, Der Spiegel, France 24 et quelques médias indépendants, qui a osé poser la question des conflits d’intérêts, des corruptions, des divergences d’avis dans la communauté scientifique dans le dossier de la grippe, du réchauffement ou du 11 septembre ?) ;
  • de discréditer, de lyncher, d’injurier, de ridiculiser les individus et les groupes de personnes qui osent ramer à contre-courant et qui osent poser les questions que tous devraient se poser ;
  • de détourner l’attention de la population des questions essentielles en lui servant des divertissements et des non-informations insipides et stupides.


Comme je le disais dans un de mes précédents courriels :
« On peut mentir tout le temps à quelques personnes. On peut mentir quelquefois à tout le monde. On ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. C’est le piège dans lequel les médias se sont mis eux-mêmes. L’agonie du monde médiatique, tel que nous le connaissons, est enclenchée. »

Les enseignements à tirer de cette année 2009

Malgré les apparences des événements, vous constaterez que je suis très enthousiaste. Pour revenir au dossier principal qui m’a occupé pendant les cinq derniers mois de 2009, voici le bilan que je tire de cette affaire :

  • tout d’abord, par rapport aux projets des gouvernements occidentaux de nous imposer une campagne de vaccination obligatoire, nous pouvons être très fiers de ce que nous avons réussi. Avec nos faibles moyens financiers, grâce au temps investi en recherche et en lecture, grâce aux communications écrites envoyées et relayées, nous avons fait reculer TOUS les gouvernements dans leur projet. À un point tel qu’à présent, ils ont abandonné leur objectif de vaccination de toute la population et essaient tous de refiler leurs vaccins toxiques et mortels à d’autres pays ;
  • Je ne le cache pas, je suis très heureux de m’être investi corps et âme dans cette bataille. Même si, comme d’autres, j’y ai perdu quelques plumes (manque à gagner financier, injures, lynchage médiatique, menaces), j’ai la certitude d’avoir contribué à sauver de nombreuses vies (j’ai reçu des milliers de lettres de témoignages à ce sujet). J’ose dire « sauver des vies », car les courriels que je reçois me dévoilent une réalité beaucoup moins drôle pour ceux qui se sont fait vacciner. Parmi tous les témoignages des effets secondaires négatifs et mortels, je ne citerai que deux exemples vécus ici au Québec (voir plus bas). En lisant ces témoignages, il est évident que plus personne n’aurait l’envie d’aller se faire vacciner. Et beaucoup risquent de vivre dans la peur des effets qui pourraient apparaître dans les mois à venir…
  • l’analyse des centaines de déclarations faites par les responsables de santé publique dans différents pays (sauf la Pologne) m’a convaincu d’une chose : notre santé est le dernier des soucis de ces gens. Car chaque fois qu’un doute était émis sur la sécurité ou l’efficacité des vaccins, celui-ci était balayé d’un revers de la main, sans même se poser la question : y a-t-il un danger dans l’acte vaccinal ? Par contre, chaque fois que des effets secondaires graves apparaissaient dans les minutes, les heures ou les jours suivant la vaccination, la même litanie était répétée systématiquement (je ne l’ai jamais entendue ne pas être prononcée) : le lien avec la vaccination ne peut être prouvé ; cette personne était probablement atteinte d’une pathologie sous-jacente et serait, de toute façon, décédée.

Mais ne nous attardons pas sur ces considérations. Étudions plutôt les facteurs qui nous ont permis de remporter cette victoire, malgré un rapport de forces et de moyens tout à fait disproportionné ? Une partie de ceux qui ont choisi de ne pas se faire vacciner :

  • soit avaient connu, personnellement ou dans leur entourage, des effets secondaires reliés à une vaccination antérieure. Ce qui les avait convaincu de préférer la voie naturelle de l’immunisation que les complications (parfois graves) liées à cet acte moins anodin qu’on nous le présente ;
  • soit s’étaient déjà informés sur les dangers de la vaccination (en général) depuis longtemps. Leur position face à la soi-disant menace de grippe n’a pas changé, car ils considéraient le danger des vaccins comme supérieur à celui de la grippe ;
  • soit avaient déjà une connaissance de l’imposture que représente la vaccination, en général, depuis son invention par Pasteur. Eux, rien ne pourrait les faire changer d’avis, même si la pandémie avait été réelle, puisqu’ils savent que les vaccins n’apportent pas les bénéfices annoncés ;
  • soit avaient une attitude critique par rapport aux médias, ou n’écoutaient ni ne lisaient pas les informations émanant des médias dominants depuis longtemps. Du coup, ils n’ont pas pu être conditionnés par cette propagande agressive et quotidienne visant à créer une psychose collective face à cette grippe ;
  • soit ont eu une attitude active face à l’information. Au lieu de la laisser venir à eux (toute mâchée), ils ont été la chercher eux-mêmes (dans des livres, dans des conférences ou sur les sites d’informations disponibles sur Internet) ;
  • soit ont développé un scepticisme sain en réaction au battage médiatique exagéré. Et sans rien connaître à la question de la vaccination, sans même vouloir s’informer, ont choisi, par principe, de ne pas faire confiance aux injonctions gouvernementales. Comme disait une de mes amies : « quand le gouvernement te dit d’aller à gauche, tourne à droite. Tu seras certain de faire le bon choix ! »

Ce sont, à mon avis, les éléments qui ont permis cette victoire dans cette bataille de l’information. Je vous suggérerai plus bas, des pistes d’action qui s’inspirent directement de cette analyse. Mais avant de mettre en oeuvre une stratégie, poursuivons notre bilan.

Ai-je eu raison de faire des prédictions alarmistes ?

Je ne suis pas Madame Soleil. Pourtant, cet automne 2009, j’ai pris le risque de faire des prédictions alarmistes et alarmantes (allez relire mes courriels sur mon site : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=65&Itemid=98 ). Certains me l’ont reproché, me disant que la catastrophe sanitaire et l’hécatombe annoncées n’avaient pas eu lieu. J’avais aussi annoncé une campagne de vaccination obligatoire, qui, finalement, n’a eu lieu nulle part. Me suis-je trompé ? Ai-je eu tort de faire de telles annonces ? Avec le recul, je suis certain que j’ai eu raison d’agir comme cela.

En effet, j’ai un peu l’impression de me retrouver dans la position du prophète Daniel qui se plaignait auprès de Dieu qu’il était ridiculisé par le peuple, parce qu’aucune des prédictions apocalyptiques qu’il prophétisait ne se réalisait. À cela Dieu lui répondit que c’est parce que lui, Daniel, avait alerté le peuple, qu’un changement de mentalités et d’attitudes avait pu se produire, évitant par la même occasion les malheurs qui auraient dû normalement survenir. Bien sûr, je ne me prends ni pour un prophète, ni pour un sauveur et je n’ai pas ce privilège autoproclamé d’être en communication avec Dieu. Mais je trouve l’histoire analogiquement intéressante.

Nous avons été quelques dizaines à nous placer au premier rang de la contestation, relayés par des centaines de gestionnaires de sites Internet et des milliers de thérapeutes, relayés également par des centaines de milliers d’anonymes. Si nous n’avions pas exposé au grand jour les projets de vaccination obligatoire des populations, aucune réaction ne se serait manifestée et la population aurait été prise au dépourvu, poussée dans ces immenses centres de vaccination de masse, comme on pousse du bétail vers l’abattoir. Donc, oui, heureusement que nous avons dénoncé ce plan de vaccination de masse et que nous en avons apporté les preuves. Sinon, il se serait bien réalisé.

Quant à la catastrophe sanitaire annoncée, ai-je exagéré ? C’est, malheureusement, trop tôt pour faire l’évaluation. À en croire les médias dominants, il n’y a quasiment aucun problème à la suite de cette vaccination qui a touché des millions de personnes. Et on nous assure (avant même d’avoir fait une évaluation sérieuse) que les quelques problèmes rapportés n’ont aucun lien prouvé avec la vaccination. Tout va donc très bien dans le meilleur des mondes. Pour ma part, je ne partage cet optimisme hypocrite et criminel. À ce sujet, je vous invite à lire un témoignage que j’ai reçu hier, d’une de mes correspondantes qui travaille comme technicienne en pharmacie dans un hôpital québécois. Lisez ce témoignage, écrit trois mois à peine après la vaccination du personnel médical. C’est édifiant.

« Je travaille dans un hôpital en tant que technicienne en pharmacie depuis 2008. Après votre passage à LCN (chaîne de TV québécoise, ndlr), j'ai décidé de faire mes recherches au sujet du vaccin sachant que je serais sûrement dans les premières vaccinées. Ce que j'y ai découvert m'a dissuadée de me faire vacciner. J'en ai parlé à mes collègues de travail pour les avertir du danger. Après m'avoir écoutée attentivement, ils ont couru se faire vacciner par peur de la grippette ! Et ce, même si nous avions eu beaucoup de cas aux urgences durant l'été et qu'une seule des techniciennes avait été malade (et peu malade) !
 
Aujourd'hui (4 janvier 2010), nous ne sommes qu'une petite poignée à avoir refusé cette vaccination. Et aucun d'entre nous n'a été malade ou est présentement malade. Nous nous portons à merveille, à part la fatigue du temps des fêtes bien sûr ! Le problème est plutôt dû au fait qu'au moins la moitié des « vaccinés » ont présentement des problèmes. Plusieurs toussent sans cesse, ont des symptômes d'allures grippales, des maux de tête persistants, des douleurs aux dents, mal de ventre, de l'insomnie… Une de mes collègues de travail, qui a déjà souffert d'anémie dans le passé, a commencé à saigner sous les ongles des pouces et a perdu quatre ongles d'orteil ! Bien sûr, personne ne soupçonne le vaccin ! Je commence à surveiller plus attentivement l'état de mes collègues qui sont parmi les premiers vaccinés au Québec. À ma connaissance, nous sommes le premier hôpital à avoir reçu les vaccins (l’Arepanrix de GSK avec le « maudit » squalène ASO3, bien indiqué sur la boîte, en plus du thimérosal). »


Par ailleurs, le frère d’une de mes connaissances de la ville de Québec a vu sa petite fille de neuf mois mourir dans les quinze jours qui ont suivi sa vaccination, tandis que son fils de deux ans développait un urticaire géant qui nécessita une hospitalisation lourde. Depuis lors, cet enfant a une liste interminable d’aliments qu’il ne peut plus manger (allergies multiples). Sa soeur, elle, repose à présent dans un cimetière où elle n'aurait pas dû se trouver. Et je ne vous parle même pas des centaines de femmes enceintes qui ont fait des fausses couches dans les heures qui suivaient leur vaccination. Croyez-vous que les autorités de santé ont reconnu la responsabilité possible du vaccin dans cette affaire qui a frappé cette jeune famille ? Croyez-vous que les médias se sont pressés à la porte du domicile des parents malheureux, comme ils l’ont fait, chaque fois qu’une personne mourait supposément de la grippe H1N1 ? Absolument pas. Quand les morts pouvaient faire vendre les vaccins, les journalistes charognards se jetaient sur eux comme les vautours sur un cadavre en putréfaction. Mais quand les morts pourraient faire douter de la sécurité des vaccins, plus aucune de ces charognes n’est au rendez-vous pour avertir le public des dangers des vaccins.

Bref, pour revenir à la catastrophe sanitaire, je pense que nous y verrons plus clair dans un an. Les aveux faits ce 7 janvier par l’agence européenne du Médicament m’ont mis en rage : l’hécatombe que nous avions annoncée est bien en train de se produire. Lisez vous-même : quand je vous répète qu’on nous ment et qu’on se fout de notre gueule, je crois que l’expression est faible. Les gouvernements nous tuent, de sang-froid, dans l’indifférence générale (voir : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article7181 ). En réalité, je crains que le nombre de malades de toutes sortes n’atteigne au moins 50 % du nombre des vaccinés. Je rappelle, si besoin en était, que ce sont 25 % des 730.000 GI’s vaccinés contre l’anthrax, avec un vaccin contenant du squalène, qui ont connu ce qu’on appelle le syndrome de la Guerre du Golfe, dans les mois qui suivirent la vaccination. Ce syndrome se caractérise par des troubles du système nerveux (fatigue chronique, troubles musculaires et articulaires, problèmes de mémoire, cancers du cerveau), par l'émergence de maladies auto-immunes (sclérose latérale amyotrophique, fibromyalgie) et par des troubles sévères de la reproduction (baisse de fertillité, malformation congénitale chez un pourcentage élevé des enfants, etc.). Je rappelle aussi que 19 ans après cette première guerre du Golfe, plus de 450.000 GI’s (âgés en moyenne de 39 ans) sont retraités pour cause de problèmes de santé !!! Normalement, on ne s’attend pas à un tel pourcentage de malades (60 %) chez des gens aussi jeunes, qui sont atteints au point d’être payés par le gouvernement pour ne plus rien faire ! Ce qu’ils avaient en commun ? Deux injections de dix vaccins différents reçus dans un intervalle de trois semaines, dont un vaccin contenant du squalène. Le même squalène dont nos gouvernements nous ont fait cadeau en cette fin d’année 2009 (voir, à ce propos, mon article consacré au squalène : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=118&Itemid=156 ).

Toujours à propos de catastrophe sanitaire, nous y verrons aussi plus clair dans deux à trois ans. Lorsque les bébés conçus par des parents vaccinés viendront au monde, avec un nombre significativement important de malformations monstrueuses, d’handicaps congénitaux, de dégénérescences cérébrales ou organiques. À moins que nous ne découvrions une épidémie de stérilité chez les hommes et les femmes qui auront eu l’imprudence de se faire vacciner. Mais bien entendu, là non plus, plus personne n’incriminera notre bon vaccin au squalène, puisque les tests cliniques préalables à l’autorisation de mise en marché n’ont démontré aucun impact sur la stérilité. Argument complètement fallacieux, quand on sait que ces tests cliniques sont menés sur une période de quelques semaines, alors que ces effets secondaires ne peuvent être détectés que des mois ou des années après !

Ce qui nous attend en 2010 ?

À présent, qu’est-ce qui nous attend en 2010 ? Vais-je encore prendre le risque de faire des prédictions pour 2010 ? Eh bien oui, même si je reconnais que l’exercice est périlleux et risqué. Car, depuis mon retrait de la scène publique, je n’ai cessé de continuer à consulter des documents relatifs à cette fameuse grippe H1N1. Quels sont les faits qui ont retenu mon attention ? Plusieurs, dont voici un résumé :

  • Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé, nous a annoncé que la pandémie se poursuivrait jusqu’au moins en 2011 (comme quoi, le ridicule ne tue pas) (référence : http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/societe/la_grippe_a/20091229.OBS2023/loms_ne_veut_pas_crier_victoire_avant_2011.html ) ;
  • L’Ukraine a connu une épidémie de maladies pulmonaires extrêmement mortelles et fulgurantes (décès survenant 24 heures après le début de la maladie), en novembre 2009. D’après les autopsies effectuées sur les cadavres des victimes, les symptômes étaient différents de ceux de la grippe H1N1 et le virus qui s’attaquait aux poumons était un virus différent du virus H1N1, mais qui, en se combinant avec lui, devenait extrêmement mortel (référence : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article6802 et http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/mutation-grippe-a-h1n1-l-65043#pagination_forums ) ;
  • Or, ce qui est troublant dans ce dossier de l’Ukraine, c’est que deux mois auparavant (à Varsovie, en Pologne, les 29 et 30 septembre 2009), Interpol avait proposé un exercice à six pays d’Europe Centrale et de l’Est, simulant une attaque bioterroriste contre l’Ukraine, attaque dont le mode opératoire des terroristes était d’épandre un virus de peste pulmonaire par voie aérienne (voir : http://www.interpol.int/Public/BioTerrorism/tabletop/default.asp ). Deux mois, plus tard, des milliers de témoignages venant de la population ukrainienne rapportaient que des avions avaient volé à basse altitude pendant la nuit, quelques jours avant l’explosion de l’épidémie mortelle qu’on a qualifiée, tout d’abord, de peste pulmonaire. Un hasard ? ;
  • Le professeur Taubenberger, dont j’ai parlé dans plusieurs de mes conférences, est le chef du laboratoire de pathologie moléculaire des Forces Armées Américaines. C’est lui qui a prélevé en 2004 sur le cadavre d’une inuit, morte en 1918 de la grippe espagnole, des tissus pulmonaires, pour ressusciter et recombiner (avec l’aide du laboratoire du CDC (Center for Desease Control)) le virus mortel de cette fameuse grippe pandémique. Ce que j’affirme est tout sauf des ragots d’Internet : ce travail a fait l’objet de plusieurs publications scientifiques dans Nature (Taubenberger, Jeffrey. « Characterization of the 1918 influenza virus polymerase genes ». Nature. 437, pp 889-893 (2005)) et dans Science (Tumpey, Terrence. « Characterization of the reconstructed 1918 Spanish influenza pandemic virus ». Science. 310, pp 77-80 (2005)). On peut déjà trouver suspect que les Forces Armées et le CDC investissent des moyens importants pour recombiner un virus disparu responsable de la morts de 20 à 60 millions de personnes ;
  • Ce même professeur Taubenberger vient de rendre public le résultat des autopsies qu’il a effectuées sur les premiers morts de la grippe H1N1, dans la région de New-York, entre mai et juillet 2009. Deux questions me sont venues à l’esprit : pourquoi accorde-t-on à ce Monsieur le privilège d’autopsier les premières victimes de la grippe nouvelle, alors que ce secteur géographique ne correspond ni à sa juridiction, ni à ses fonctions habituelles ? Et pourquoi a-t-il attendu fin novembre pour rendre publiques ses conclusions concernant des observations faites en mai ? Surtout que ses conclusions montraient que les victimes n’étaient pas mortes de la grippe (tiens, donc), mais d’une pathologie pulmonaire très similaire à ce dont meurent les Ukrainiens actuellement !!! (Référence : http://ww.examiner.com/x-29228-LA-Health-Technology-Examiner%7Ey2009m12d7-NIH-Bulletin-says-New-York-swine-flu-victim-autopsies-show-lung-damage-similar–to-1918-Spanish-flu ). L’Ukraine aurait-elle été le terrain de test d’une contamination à plus large échelle, pour plus tard ?
  • L’OMS persiste à recommander le Tamiflu comme moyen de lutte contre la grippe et les états grippaux. En bonne élève, Roselyne Bachelot, a recommandé la prescription systématique de ce poison inutile, dangereux et mortel, chez toute personne souffrant d’états grippaux ou de grippe ( http://www.formindep.org/IMG/pdf/Grippe_A-H1N1-v_prescription_d-antiviraux-2.pdf ). Quand on sait que le Tamiflu n’a aucune efficacité prouvée (voir les articles sur mon site consacrés au Tamiflu : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=117&Itemid=155 ), on peut s’interroger sur la motivation d’une telle mesure. Mais quand on sait, en plus, que le Tamiflu provoque souvent en quelques heures une surinfection et une détresse respiratoire aiguë entraînant la mort ( http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article56 ), on est en droit de s’interroger sur les intentions criminelles d’une telle mesure (voir aussi : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article6968 ). Depuis lors, j’ai eu connaissance d’une étude in vitro qui explique que l’antiviral a pour effet de booster la virulence du H1N1 ( http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6WBK-4XJWD10-8&_user=10&_rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_sort=d&_docanchor=&view=c&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=a8153dfa12c5aefb7a2d7f3fee12b7e2 ). Sur base de cela, je suis convaincu que ces soi-disant nouvelles catégories de victimes de la grippe (ceux que le virus ne touche habituellement pas) étaient plutôt des victimes du Tamiflu, tout simplement. Et c’est comme cela qu’on nous a fait croire que la grippe s’attaquait aux jeunes et aux adultes en bonne santé !
  • Des projets de loi sont à l’étude dans plusieurs pays de la planète (dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, et d’autres) pour autoriser les gouvernements à censurer ou interdire les sites Internet subversifs (voir : http://www.infowars.net/articles/december2009/171209Internet.htm ) ;
  • La firme Verichip a annoncé qu’elle avait gagné la course au brevet, pour mettre sur le marché une micro-puce implantable dans le corps dont la fonction était de détecter la présence de virus H1N1 dans le corps. Cette annonce date du 21 septembre 2009 ( http://www.verichipcorp.com/092109.html ). Depuis lors, cette firme a pris le nom de Positive ID (histoire de faire oublier sa sinistre réputation de faire de nous du bétail pucé) et se prépare à élargir la gamme de ses services dans le domaine médical ( http://industry.bnet.com/pharma/10005641/positiveid-deal-advances-use-of-microchip-implants-in-florida-health-system/?tag=content;selector-perfector ) ;
  • Lors du sommet de Copenhague, sur le réchauffement climatique, une des recommandations qui a été discutée tout au long des réunions était la nécessité de réduire la population de la planète (voir : http://www.larouchepac.com/node/12763 )
  • Le 25 décembre 2009, un passager nigérien, bien connu du FBI et de la CIA, a été embarqué sur le vol 253 reliant Amsterdam à Detroit, en ne passant pas par les procédures de sécurité habituelles, et sans présenter son passeport au personnel d’embarquement, grâce à l’intervention d’un homme d’origine indienne qui l’accompagnait (voir le témoignage d’un avocat qui était passager sur le même vol : http://www.mlive.com/news/detroit/index.ssf/2009/12/flight_253_passenger_kurt_hask.html ). Comme par hasard, ce passager VIP tentait de faire sauter l’avion, quelques heures plus tard (ou faisait semblant de tenter de faire sauter l’avion). Réaction immédiate des gouvernements : mise en place de procédures encore plus intrusives de contrôle des passagers et des bagages, où maintenant, des scanners nous foutront à poil, pour le grand plaisir des agents (voyeurs) de sécurité des aéroports.

À quoi, pouvons-nous nous attendre dans les mois qui viennent ? Sur base des éléments que j’ai rassemblés ci-dessus, différents scénarios sont possibles. Il suffit, pour les imaginer, de se mettre à la place de ceux qui ont orchestré cette mise en scène d’une pseudo-pandémie. Si j’étais le cerveau de cette affaire, vu mon échec à imposer la vaccination à toute la population, je m’y prendrais comme suit :

  • Tout d’abord, veiller à ce qu’aucune fuite ne soit relayée par les médias dominants concernant les effets secondaires des vaccins. Histoire de rassurer la population non vaccinée dans les pays de l’hémisphère nord, ainsi que dans les pays en voie de développement et dans les pays de l’hémisphère sud. Ce serait très mauvais pour le commerce que les rumeurs des morts et des handicapés arrivent aux oreilles des populations de ces pays, avant qu’eux-mêmes ne soient vaccinés ;
  • Dans le même temps, veiller à accélérer le vote des lois permettant la censure des sites Internet inconvenants. En attendant, les bonnes vieilles méthodes d’intimidation et de menaces de mort peuvent toujours être appliquées (elles ont été utilisées par la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) en France contre deux sites Internet : www.artemisia-college.org et www.spreadthetruth.fr, qui tous les deux diffusaient des informations essentielles contre la campagne de vaccination H1N1) ;
  • Continuer à communiquer régulièrement sur les dangers et les morts de la grippe H1N1, histoire d’entretenir la peur de la grippe (qui pourrait devenir aussi virulente et mortelle que la grippe espagnole – remarquez que l’argument a déjà été utilisé en 1976, lors de la première alerte à la grippe porcine et en 2004, lors de l’alerte à la grippe aviaire). Continuer à mentionner les morts attribuables à la grippe H1N1, histoire de maintenir dans l’esprit du public que la grippe est une maladie mortelle (faisant, par là-même, oublier que beaucoup de maladies sont beaucoup plus mortelles que la grippe, même en Occident) ;
  • Continuer à parler d’une troisième vague pandémique, d’une quatrième vague, d’une cinquième vague, d’un pic pandémique, enfin, tout le vocabulaire nécessaire pour justifier des actions préventives et des communiqués médiatiques ;
  • Recommander l’utilisation du Tamiflu, pour augmenter les chances de faire mourir les gens atteints de symptômes grippaux ordinaires. Bon pour les statistiques, ça, et bon pour les ventes de vaccins, aussi ! Si je me réfère à l’expérience du Canada, 400 morts attribués à la grippe H1N1 ont convaincu 15 millions de Canadiens à se faire vacciner. Ça fait 37.500 vaccinés pour chaque mort ! On comprend mieux pourquoi chaque mort était chouchouté comme il l’a été par les médias ;
  • Ensuite, provoquer artificiellement des foyers de grippe, mais cette fois, beaucoup plus virulents, en s’inspirant de l’expérience Ukrainienne. Provoquer quelques foyers épidémiques avec la nouvelle souche virale, balancée par les airs ou dans les eaux, auraient un effet de panique du meilleur goût. Suggestion : profiter de grands rassemblements internationaux pour mener les attaques biologiques et bactériologiques : première cible : les Jeux Olympiques d’hiver, à Vancouver (Canada), en février 2010. Deuxième cible : la coupe du Monde de Football, en Afrique du Sud, en juin – juillet 2010. Et peut-être d’autres cibles à déterminer si besoin. Ça devrait motiver les plus récalcitrants à se faire vacciner ;
  • Une fois la vraie pandémie installée, convaincre l’ensemble de la population de la nécessité de disposer d’une puce de détection du virus H1N1, pour éviter que sa propagation ne s’opère d’un pays à l’autre. Ainsi, ceux qui voudront quitter un pays seront obligés de porter cette puce fabriquée par Positive ID (anciennement Verichip), afin que les douaniers puissent vérifier s’ils sont porteurs ou non du virus mortel. Pour faire d’une pierre deux coups, et pour accélérer les procédures de sécurité dans les aéroports, on proposera aux mêmes personnes de faire enregistrer dans la même puce implantée les éléments de leur identité et de leur casier judiciaire. N’oublions quand même pas que de dangereux terroristes peuvent faire sauter à tout moment l’avion que nous prendrions (sauf qu’eux, même quand ils sont répertoriés par la CIA, passe à côté des contrôles de sécurité qu’on nous impose et qui nous font chier !) ;
  • La présence de cette puce permettra aux autorités de faire un suivi absolu du programme de vaccination de chaque individu (la fameuse traçabilité vaccinale à laquelle Roselyne Bachelot tenait tellement). Autrement dit, pour circuler, il sera bientôt nécessaire d’être absolument en ordre de vaccination. Comme les sites Internet dénonçant les dangers et l’inutilité des vaccins ne seront plus là pour avertir les gens, il sera de plus en plus facile de convaincre la population de se faire vacciner contre toutes sortes de maladies, sous prétexte que le coût d’un vaccin est moindre que le coût du traitement d’un cancer (j’ai déjà entendu le docteur Poirier avancer cet argument pour justifier le prix du vaccin contre la papillomavirus). On pourrait imaginer un deal avec les assurés : soit ils participent à un programme vaccinal de manière coopérative, et ils peuvent continuer à bénéficier de la sécurité sociale ; soit ils refusent la vaccination, et dans ce cas, ils ne sont plus couverts pour leurs frais de soins de santé en cas de maladie (c’est ce qu’on impose déjà en France aux cancéreux qui refusent la chimiothérapie : OK, pas de chimio, mais alors, plus de couverture des frais de soins de santé) ;
  • Et enfin, grâce à ce programme où progressivement, la vaccination aura été généralisée, la fertilité de la population aura chuté drastiquement jusqu’à devenir majoritairement stérile. Ce qui résoudra le problème de la surpopulation mondiale, en une génération, sans devoir recourir à un génocide (stratégie un peu trop voyante et un peu trop choquante). C’est pour cela qu’il est absolument impératif de maintenir le squalène comme adjuvant dans les vaccins, car sa présence interfère fortement avec la fabrication de nos hormones sexuelles, les stéroïdes.


Voilà le programme que je mettrais en place, si j’étais le cerveau de cette affaire. Alors, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai pas dit que c’était ça qui allait se passer. Mais j’affirme que c’est un scénario possible, qui pourrait découler logiquement des faits cités ci-dessus. En tout cas, je serai particulièrement attentif à ce qui se passera à Vancouver dans quelques semaines. Car je m’interroge fortement sur les raisons qui ont poussé Stephen Harper (premier ministre canadien) à proroger les sessions de travail du parlement du 25 janvier à début mars (après les jeux olympiques). Aucun observateur, aucun juriste n’a compris l’intention qui se cache derrière cette mesure qui ne se justifie nullement. Ce n’est pas parce que les jeux olympiques se déroulent dans un pays que le parlement doit s’arrêter de se réunir et de travailler ! À moins qu’une attaque bioterroriste en plein déroulement des jeux n’oblige un comité restreint de prendre des mesures et de déclarer un état d’urgence sanitaire, sans débat démocratique, puisque le parlement serait absent ! Je ne dis pas que telle est l’intention du Premier Ministre. Mais avec le temps et l’expérience, depuis que j’observe tous ces jeux de pouvoir, c’est le genre de plan tordu que je suis capable de concevoir chez les dirigeants de ce monde.

Ce que nous devons faire en 2010 ?

Que le scénario catastrophique et diabolique que je décris ci-dessus se réalise ou non n’a, pour moi, aucune importance.

  • Ce qui est important de retenir, c’est que tout indique, à travers les annonces des responsables de santé publique, qu’ils vont continuer à essayer de nous faire croire que nous sommes confrontés à une pandémie, là où le simple bon sens nous prouve qu’il n’y a jamais eu de pandémie (12.000 morts en huit mois, alors que la grippe saisonnière qui n’a jamais déclenché le moindre programme d’urgence en fait 250.000 à 500.000 chaque année). À ce propos, vous souvenez-vous que j’avais prédit 13.000 morts pour le 31 décembre 2009, dans mon courriel n° 6 daté 13 octobre 2009 ( http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/index.php?option=com_content&view=article&id=105:courriel-6&catid=65:grippe-a-h1n1&Itemid=98 ) ? Une fois de plus, j’avais visé juste !
  • Ce qui est important aussi de retenir, c’est que la probabilité de nous voir imposer de plus en plus de vaccins est loin d’être nulle.
  • Ce qui est important de retenir, enfin, c’est que derrière les faux attentats du 11 septembre, derrière les fausses origines du réchauffement climatique, derrière la menace de la fausse pandémie, la même logique sécuritaire est à l’oeuvre : celle de restreindre de plus en plus nos libertés de choix, d’opinion, de déplacement, d’information, d’expression, de réunion, etc. Et la probabilité de nous retrouver tous pucés dans quelques années est un des scénarios les plus plausibles, quand on voit la convergence de toute une série d’innovations technologiques se réaliser. Je rappelle que presque toutes nos cartes d’identification se dotent à présent d’une puce RFID : carte d’identité, permis de conduire, carte d’assurance maladie, carte bancaire, carte de crédit, etc. De là à transférer les informations de ces différentes puces dans un seule puce implantée dans le corps, il n’y a qu’un pas que nos dirigeants sont prêts à franchir.

Si nous ne voulons pas d’un monde pareil, il ne nous reste que quelques mois pour transformer ce formidable éveil des consciences provoqué par les événements de 2009 pour mettre en place des actions concrètes. Si nous voulons contrecarrer définitivement les velléités totalitaires de l’élite mondiale, nous devons axer nos priorités sur les actions suivantes :
   

  • continuer de nous informer personnellement et apprendre à décrypter les informations que les médias nous donnent, pour comprendre les scénarios qui se mettent en place à notre insu ;
  • aller chercher des sources alternatives d’informations, pour mieux comprendre la logique qui se cache derrière les événements apparents ;
  • constituer des alliances citoyennes dans chaque ville, pour coordonner des actions d’information et de formation, mais aussi pour interpeller les responsables politiques, pour lancer des actions juridiques et pour organiser des manifestations et des actions de désobéissance civile non-violente ;
  • faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour que les corruptions et les conflits d’intérêt soient dénoncés et condamnés ;
  • faire pression sur chaque élu politique de notre région et de notre pays pour exiger que notre pays sorte définitivement de toutes les instances internationales qui lui ont volé sa souveraineté (à commencer par l’OMS, par la Communauté Européenne ou l’ALENA et par l’OTAN) ;
  • devenir, chacun et chacune, des diffuseurs d’information dans notre entourage immédiat (collègues de travail, familles, voisins, amis). Car si nous ne réunissons pas une masse critique de gens bien informés, la prochaine offensive de soi-disant grippe ou de soi-disant peste pulmonaire nous mettra en position minoritaire dans un troupeau apeuré, face aux actions gouvernementales et aux manoeuvres de l’OMS.

En fait, pour notre liberté individuelle (motivation égoïste), nous ne pouvons plus faire l’économie d’aider les autres à ouvrir les yeux (motivation altruiste). Autrement dit, nous ne pourrons pas nous sauver seuls. Et c’est là, la dernière bonne nouvelle de ce qu’ont déclenché les événements de l’année 2009 : pour reconquérir nos libertés et nos souverainetés individuelles, nous sommes obligés de reconstruire le tissu social et les réseaux de solidarité qui ont été savamment détricotés ces cinquante dernières années. Sans ces alliances à reconstruire entre nous, entre voisins, entre collègues, nous sommes condamnés à vivre dans la peur et dans l’impuissance.

N’oublions jamais que la devise des dictateurs de l’Empire Romain était : divide et impera, divise pour régner. C’est parce que nous sommes trop divisés qu’il est possible, aujourd’hui, à un dirigeant de diriger, à un garde de sécurité d’imposer des mesures idiotes auxquelles nous nous soumettons tous, à l’ordre des médecins de menacer ses membres d’exclusion, etc. Quand nous serons dix mille à dire non à une mesure d’interdiction, que pourrait faire le maire de notre ville ? Nous mettre tous en prison ? Les prisons sont déjà tellement pleines !

N’oublions pas non plus ce que disait Benjamin Franklin (1706 – 1790), cet écrivain, physicien et diplomate, qui fut le co-rédacteur et un des signataires de la déclaration d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique en 1776 : « Ceux qui voudraient renoncer à la liberté essentielle, pour acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. » Je pense qu’aucune phrase ne décrit mieux le choix devant lequel nous nous trouvons actuellement. Car, nous avons encore le choix, même si la dictature est déjà à l’oeuvre dans notre Monde. Il nous reste peu de temps pour agir, mais il nous en reste. Nous avons le choix de délaisser définitivement l’illusion de sécurité qui nous est offerte par nos gouvernements fantoches et de reconquérir notre liberté essentielle. Ou de nous laisser entraîner par ce mouvement qui semble inéluctable, pour entrer dans « le Meilleur des Mondes » (livre écrit par Aldous Huxley en 1923 et qui est d’une extraordinaire actualité ! Je l’ai relu juste avant Noël. Quel choc !).

N’oublions pas non plus cette fameuse affirmation du philosophe allemand, Georg Hegel (1770 – 1831), le père de la pensée dialectique : « Lorsque l’esclave meurt, le maître disparaît ». Autrement dit, les maîtres du Monde ne peuvent exister et se maintenir que si nous leur donnons le pouvoir d’avoir le pouvoir sur nous. À cet égard, je vous invite tous à méditer sur la puissance extraordinaire d’un simple refus, d’un simple non. Roselyne Bachelot (France) ou Alain Poirier (Québec) se sont vus bien démunis lorsque leurs centres de vaccination étaient désespérément vides. Et si les citoyens avaient gardé leurs téléviseurs éteints, s’ils n’avaient plus écouté les médias qui profitaient du moindre décès pour alimenter leur peur de la mort, s’ils avaient été mieux informés et formés, les centres de vaccination seraient restés définitivement vides.

C’est la raison pour laquelle je vais reprendre mon bâton de pèlerin, une nouvelle fois, dès le début du mois de mars, en Europe comme au Québec, pour éduquer, informer, former tous ceux qui le souhaitent, mais aussi, pour aider à la constitution des comités citoyens qui le souhaitent. Je suis convaincu que cette action est absolument indispensable, car plus les individus seront informés et conscients, moins ils tomberont dans les pièges de la désinformation et de la manipulation. Et plus nous aurons des chances de vider le pouvoir de sa substance.

Je formule le voeu que vous serez nombreux à répondre à mon invitation.
Et que 2010 sera l’année de la reprise en main de notre propre souveraineté, de notre liberté et de notre vie.

Plus que jamais, il nous faudra rester debout, conscients et éveillés. Mais ensemble !!!

Cordialement et fraternellement

Jean-Jacques Crèvecoeur
Montréal (Québec – Canada)
Courriel : info@jean-jacques-crevecoeur.com
Site Internet : http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/
 

Plus rien de “secret”. Banquiers sur les dents. On peut “casser” une clé de sécurité de 768 bits

EPFL: des chercheurs ont cassé une clé de sécurité de 768 bits

Le décryptage franchit une nouvelle étape

08 Janvier 2010

Des chercheurs de l’EPFL, l’INRIA (France), NTT (Japon), l’Université de Bonn (Allemagne) et CWI (Pays-Bas) ont mis en commun leurs capacités de calcul et sont parvenus à « casser » une clé de sécurité. Ils démontrent ainsi que les standards de cryptage actuels demeurent solides, mais que les utilisateurs devront migrer à moyen terme vers des systèmes plus sûrs et conformes aux nouveaux standards recommandés.  

Les systèmes cryptographiques garantissent la sécurité des échanges de données sur Internet et ils sont au cœur du commerce électronique, que ce soit sur les sites « htpp » ou « https ». S’assurer de leur fiabilité est dès lors crucial. Une équipe internationale de scientifiques est parvenue à « casser » la clé RSA de 768 bits, en extrayant les facteurs premiers de ses 232 chiffres. Grâce notamment à la puissance de traitement des processeurs modernes, ce nouveau record a été atteint en moins de deux ans et demi de travaux.

Des calculs du même type ont permis de montrer la vulnérabilité des clés RSA de 512 bits en 1999, puis des 663 bits en 2005 et enfin maintenant des 768 bits. On peut déjà s’attendre à ce que la clé RSA de 1024 bits perde son inviolabilité …. Pour Arjen Lenstra, du Laboratoire de cryptologie algorithmique à l’EPFL, « ce résultat doit nous inciter à utiliser de plus hauts niveaux de sécurité que ceux offerts par la clé RSA de 1024 bits». Mais, rassure le professeur, « les utilisateurs ne courent pas de grands risques à conserver ce système de chiffrement durant ces prochaines années de transition ».
 
Pour cette expérience, le Laboratoire de cryptologie algorithmique, à l’EPFL, a joué le rôle de coordinateur et de centre de collecte des données. Quant aux logiciels utilisés, ils se sont largement basés sur un développement effectué au début des années 2000 par l’Institut de mathématiques, à l’Université de Bonn.
 
 
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Thorsten Kleinjung, EPFL
Tél : +41(0)21 693 25 80

  journaliste: Florence Luy
Cryptographie |

Une équipe de scientifiques sont parvenus à "casser" une clé de sécurité de 768 bits sur internet, battant ainsi un record mondial.

They used various PCs and clusters at BSI, CWI, EPFL, INRIA (Institut
National de Recherche en Informatique et en Automatique, France),
NTT (Nippon Telegraph & Telephone, Japan), the University of Bonn,
EGEE (Enabling Grids for E-sciencE), AC3 (The Australian Centre for
Advanced Computing and Communications), and PCs in the United Kingdom.

Saint-Suaire du 10 Avril au 23 Mai à Turin en 2010.



Exposition du vrai Saint-Suaire en 2010


http://www.comune.torino.it/torinoplus/files/Image/arteemusei/arteemusei-60.jpg


Urgent, certains jours sont déjà pleins.

http://www.piemonteitalia.eu/prenotazione/frontoffice/ingresso.do?request_locale=fr&requestLocale=fr

Réservations gratuites de la visite dans 7 langues

IT | EN | ES | FR | DE | PL | RU | HELP
Bienvenue.
La visite au Saint-Suaire est gratuite.
La réservation en ligne ne demande que quelques minutes et une adresse de courrier électronique valable.
Avant de procéder, nous vous rappelons que:
– l’exposition du Saint-Suaire débutera le 10 Avril et se terminera le 23 Mai;
– la réservation peut être effectuée pour des visites individuelles ou de groupe;
– au terme de la procédure de réservation, vous recevrez un code que vous pourrez utiliser, associé à votre nom, pour modifier ou supprimer votre réservation;
– le ticket de réservation vous sera expédié par courrier électronique;
– si vous le souhaitez, vous pourrez aussi le recevoir par courrier ordinaire;
– en cas d’envoi par la poste, la réservation devra être effectuée au moins 15 jours avant la date de la visite; c’est pourquoi cette option d’envoi ne sera pas disponible pour les réservations effectuées à partir du 8 mai 2010.
En cas d’empêchement, merci de bien vouloir annuler votre réservation à l’aide de la fonction annuler réservation.
Merci!

En cas d’exigences particulières ou imprévues, nous nous réservons la faculté de suspendre ou de modifier la réservation effectuée. Dans ce cas, vous serez contacté en temps utile, afin de reprogrammer votre visite.
En cas de besoin, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse électronique booking@sindone.org
Merci de votre attention.

Sur demande, nous organiserons des voyages en autocar d’une journée depuis Lausanne.

Une exposition permanente intitulée « Qui est l’homme du Saint Suaire ? » a été inaugurée le samedi 22 juillet 2006 à Jérusalem, à l’Institut pontifical Notre-Dame de Jérusalem.

Les deux éléments les plus impressionnants de l’exposition sont une copie digitalisée du Saint Suaire, identique à celui qui est conservé à Turin, et une sculpture en bronze réalisée par le sculpteur italien Luigi Mattei qui a réussi à reconstruire le corps de l’homme du Saint Suaire, en trois dimensions. La sculpture présente pour la première fois le corps entier dont l’image est imprimée sur le linceul de Turin.

L’objectif essentiel de cette exposition, située à proximité du Saint Sépulcre, est d’aider les milliers de pèlerins qui se rendent à Jérusalem, à prendre conscience des souffrances du Christ telles qu’elles sont présentées dans les Evangiles et qui coïncident de manière surprenante avec les souffrances qui apparaissent sur le Saint Suaire.

L’exposition est ouverte aux pèlerins tous les jours du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 16h00 à 20h00.

Pour tout renseignement : Institut Pontifical Notre-Dame de Jérusalem (en anglais)
http://www.notredamecenter.org/?p=1216

http://www.notredamecenter.org/


Info : ZENIT


Voici quelques liens vers des sites approfondissant ce sujet :

En langue française :

Sur l’histoire du Linceul de Turin, voir les deux excellents articles du P. A.M. Dubarle, op., reproduits sur le site de l’Association MNTV : 1 & 2.

Le Saint Suaire, étude médicale et scientifique, par François Giraud

Association “Montre-nous ton Visage”, qui propose (entre autres activités) une exposition itinérante sur le Saint Suaire

Le Suaire et la Science, par Thibault Heimburger

Le Linceul de Turin – Le livre et le site, par Sébastien Cataldo : les recherches scientifiques invalidant la datation au carbone 14 et les dernières découvertes qui pourraient tout changer

Le Suaire de Turin, par M l’abbé Alban Cras

Le Suaire et la science, interview de Dominique Daguet

Le Saint Suaire de Turin, par M l’abbé Xavier Grossin

Description très précise du linceul de Turin, par Fernand Lemoine

L’Etrange Histoire, par Jean-Jacques Rossignol

L’histoire du Saint Suaire, parcours historique et scientifique très complet.

La controverse de la datation au radiocarbone, par Fernand Lemoine

Le Saint-Suaire Web officiel où vous trouverez également quelques pages relatives aux expositions passées.

Saint Suaire de Turin – Un peu d’histoire par Ph. Dalleur

Votre Face, Seigneur… par Paul Claudel

Actualité du Linceul, un article de l’abbé René Laurentin, paru sur le site de France Catholique en 1997.

En langue anglaise :

The Shroud of Turin Resherch Project : remarquable.

The Shroud of Turin site très complet de Barrie Schwortz.

Holy Shroud Guild, site établi pour promouvoir l’étude et la dévotion au suaire de Turin, où vous trouverez également de nombreuses reproductions photographiques.

Shroud of Turin

The Holy Mandylion

Shroud of Turin Links : 300 liens en langue anglaise !

Et une étude sur les représentations du Visage du Christ.

Références

  1. Conférence de presse du cardinal Ballestrero le 13 octobre 1988.
  2. Imprécision de la méthode de datation par le carbone 14 ou possibilité d’un enrichissement en C14 au cours d’un incendie au XVIe siècle. Cette dernière hypothèse a été émise par Dmitri Kouznetsov, in Kouznetsov D.A. et coll. « Effect of fires and biofractionation of carbon isotopes on results of radiocarbon dating of old textiles: the Shroud of Turin », Journal of Archaeological Science (1996) 23, 109-121
  3. http://luigi.garlaschelli.googlepages.com/ [archive]
  4. L’express.fr., 5 octobre 2009. [archive].
  5. Presse canadienne [archive].
  6. « The Shroud of Turin is the single, most studied artifact in human history » phrase considérée comme « widely accepted statement » in Lloyd A Currie, « The Remarkable Metrological History of Radiocarbon Dating [II] », J. Res. Natl. Inst. Stand. Technol. 109, 2004, p. 200 Cf. l’article [archive]
  7. Philip Ball, dans un article [archive] paru sur le site internet de Nature en 2005 : « It is simply not known how the ghostly image of a serene, bearded man was made » ; « Although good experimental results have been obtained by a number of researchers, in the sense that, at first sight, the image, generally limited to the face, is similar to that of the TS Man, until now no experimental test has been able to reproduce all the characteristics found in the image impressed on the TS. » Giulio Fanti et alii [archive] in « Evidences for testing hypotheses about the body image formation of the Turin shroud », intro., 2005 ; Giuseppe Baldacchini, Paolo Di Lazzaro, Daniele Murra, and Giulio Fanti, Applied Optics, Vol. 47, Issue 9, 2008, pp. 1278-1285, résumé : « The body image of the Turin Shroud has not yet been explained by traditional science; so a great interest in a possible mechanism of image formation still exists » Accès à l’article. [archive]
  8. « La Sindone è provocazione all’intelligenza » Discours de Jean-Paul II [archive] le 24 mai 1998, §2
  9. Cf. Article du Time [archive] « Science And The Shroud », article de BBC News [archive], « Shroud mystery ‘refuses to go away’ ».
  10. « Le Linceul de Turin sera exposé en 2010, annonce le pape [archive] », site du Nouvel observateur, 2 juin 2008.
  11. A.-M. Dubarle, Histoire ancienne du linceul de Turin jusqu’au XIIIe siècle, Paris, O.E.I.L., 1986, p. 142.
  12. « suaire [archive] », site patrimoine de France.
  13. Étymologie de « suaire » sur CNRTL [archive].
  14. A-M. Dubarle, Histoire ancienne du linceul de Turin jusqu’au XIIIème siècle, Paris, O.E.I.L., 1986, p. 142. recension par J.-M. Madalmé [archive] de l’Institut catholique de Toulouse
  15. La restauration de 2002 a étiré le tissu de quelques centimètres, de façon inégale. Avant 2002, les dimensions généralement données étaient de 4,36 mètres sur 1,10. Cf. cet article [archive], p. 8.
  16. voir Rogers (2005) [archive]
  17. in 101 questions sur le Saint Suaire, Paris, éd. saint Augustin, 2001, p. 212
  18. J. H. Heller et A. D. Adler, « Blood on the Shroud of Turin », Applied Optics, 15 août 1980, cité par Bollone p. 149.
  19. Mc 15. 46 [archive], Mt 27. 59 [archive], Lc 23. 53 [archive]
  20. Jn 19. 40-42 [archive]
  21. Jn 20. 6-7 [archive]
  22. (Quatorzième catéchèse, 22, trad. en anglais. [archive]), écrite au IVe siècle, et fréquemment mentionné sur les sites internet en faveur de l’authenticité, cite le linceul parmi les « témoins » animés et inanimés au moment de la résurrection du Christ, mais ne parle pas de sa conservation : « Nombreux sont les témoins de la résurrection du Sauveur. La nuit et la pleine lune : c’était la seizième nuit du mois. Le rocher du tombeau qui l’accueillit et la pierre vont s’élever contre les Juifs (s’ils voulaient nier la résurrection). De même la pierre qui autrefois avait été roulée, rend témoignage de la résurrection ; aujourd’hui elle y est encore. Les anges de Dieu qui assistaient à cela ont certifié la résurrection du Fils unique. De même Pierre, Jean, Thomas et tous les autres apôtres. Ceux d’entre eux qui se sont empressés d’aller auprès du tombeau ont vu qu’après la résurrection y étaient restés les linceuls dans lesquels Jésus avait été enveloppé précédemment […]. Un témoignage fut rendu par les soldats et par l’argent avec lequel ils furent achetés ; et aussi par l’endroit lui-même que tu peux voir encore, et par cette maison de la sainte église que l’empereur Constantin d’heureuse mémoire, en ami du Christ, fit construire, et – comme tu vois – fit décorer magnifiquement ». (Le linceul est aussi mentionné dans la vingtième catéchèse, 7, trad. en anglais [archive])
  23. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n J.-L. Feiertag, « Le thème littéraire des vêtements mortuaires du Seigneur depuis les témoignages des “Apocryphes” jusqu’à ceux des récits de pèlerinage », in Apocrypha [archive], 1999, vol. 10, pp. 56-73, résumé en ligne [archive]
  24. Sixième fragment de l’Évangile des Hébreux ; passage de Jérôme de Stridon in De uiris illustribus : « Euangelium quoque quod appellatur secundum Hebraeos, et a me nuper in Graecum Latinumque sermonem translatum est, quo et Origines saepe utitur, post resurrectionem Saluatoris refert : Dominus autem cum dedisset sindonem seruo Sacerdotiis, iuit ad Jacobum, et apparuit ei. Iurauerat enim Iacobus se non comesurum panem ab illa hora qua biberat calicem domini, donec uideret eum resurgentem a dormientibus » traduction française [archive]
  25. Recension grecque A, 15,6-7 tr. it. [archive]; papyrus copte de Turin 12,3;6-7 tr. it. [archive]; recension latine 15,7-8 tr. it. [archive]
  26. Jn 20. 6 [archive]
  27. L’ouvrage est également intitulé Questions d’un païen à un chrétien.
  28. (en) Pilgrimage of Arculfus in the holy land about the Year A.D. 1670 [archive] Translated and Annotated by the Rev. James Rose Macpherson 1895 – ch. XI. The napkin with which the head of the Lord Was covered in the sepulchre
  29. Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, éd. Saint Augustin, 2001, pp. 85-86
  30. « figura seu representatio sudarii Domini » Il faut noter que l’emploi du génitif permet de maintenir une certaine ambiguïté (Article [archive] d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’Histoire de l’Église de France, t. 92, 2006, p. 352.)
  31. Dans une lettre adressée à Pierre d’Arcis, l’antipape Clément VII ne dit pas avoir reçu ledit mémoire, L. Fossati, Il Memoriale di Pierre d’Arcis egli sritti di Clemente VII al vaglio della critica, dans ISML 1993, cité par Bollone p. 88
  32. « Il faut reconnaître que nombre des allégations de l’évêque relèvent davantage du ragot que de la relation de faits avérés. » ; « [Les documents réunis par U. Chevalier] sont des témoins qui ne sont en mesure ni d’affirmer ni d’infirmer l’authenticité de la relique turinoise. », in (article [archive]d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’Histoire de l’Église de France, t. 92, 2006, p. 353 et p. 354 ;
  33. La circulation de pièces moins fiables que d’autres pourrait indiquer, selon Poulle, que quelqu’un a eu intérêt à faire prévaloir un point de vue. Et Poulle d’ajouter : « S’il est donc possible que le seul texte du mémoire que nous connaissons aujourd’hui soit effectivement celui qui a été envoyé au pape, il est également possible qu’il en soit une image déformée » (Article [archive]d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’Histoire de l’Église de France, t. 92, 2006, p. 349.
  34. Cf. Article [archive]d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’Histoire de l’Église de France, t. 92, 2006, p. 351. et pp. 355-358.
  35. Article [archive] d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’histoire de l’Eglise de France, 2006, vol. 92, n°229, pp. 343-358
  36. Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, éd. Saint Augustin, 2001, p. 87
  37. L. Fossati, « Il Memoriale di Pierre d’Arcis egli sritti di Clemente VII al vaglio della critica », ISML, 1993, pp. 113-121, cité par Bollone, p.89
  38. Article d’Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’histoire de l’Eglise de France, 2006, vol. 92, n°229, p. 352
  39. Conférence de presse de Monseigneur Giovanni [archive], Cardinal Saldarini, Archevêque de Turin, Gardien Pontifical du Saint Suaire, le 10 juin 1997
  40. Le linceul sauvé des flammes [archive]
  41. Commentaires sur la restauration [archive]
  42. Fanti, Maggiolo, « The double superficiality of the frontal image on the Shoud of Turin », L’article [archive] de J. Opt. A: Pure Appl. Opt. 6 (2004) 491–503
  43. Mechthild Flury-Lemberg, Sindone 2002: L’intervento conservativo — Preservation — Konservierung
  44. (en) William Meacham, The Rape of the Turin Shroud (ISBN 1-4116-5769-1)
  45. « a disaster for the scientific study of the relic », William Meacham, op. cit.
  46. La liste [archive] complète des chercheurs du STURP ayant participé à l’étude est présentée sur le site de Barrie Schwortz, www.shroud.com, membre du STURP.
  47. liste complète des publications [archive]
  48. P.B. Bollone p.162 à 199
  49. W. Wölfli, Archaeological Sherd Dating: Comparison of TL Techniques with Radiocarbon Dates by Beta Counting and Accelerator Techniques, International Radiocarbon Conference, Trondheim, Norway, 1985, cité par le Prof. Daniele Scavone, Objections to the shroud’s authenticity: the radiocarbon date [archive], 1993
  50. Bollone, p.170-173
  51. G. Riggi di Numana, Rapporto Sindone, 3M, Milan 1988, cité par Bollone p.175
  52. deux échantillons de tissus égyptiens (datant du IIe et du XIe ou XIIe siècle) et un de la cape du duc d’Anjou, datant de 1296-1297
  53. Damon et al, Radiocarbon dating the Turin Shroud [archive], Nature, vol. 337, n° 6200 pp. 611-615, 16 février 1989.
  54. Daniel Raffard de Brienne, Enquête sur le Suaire de Turin, Claire Vigne, Paris 1996, cité par Bollone, p.179
  55. Joe Nickell (2007) Relics of the Christ p. 135 University Press of Kentucky, 2007
  56. JACKSON J.P., JUMPER E.J., ERCOLINE W. R., « Three dimensional characteristic of the Shroud Image », IEEE 1982, Proceedings of the International Conference on Cybernetics and Society, October 1982, pp. 559-575 ; JACKSON J.P., JUMPER E.J., ERCOLINE W. R., « Correlation of image intensity on the Turin Shroud with the 3-D structure of a human body shape », Applied Optics, Vol. 23, No. 14, July 15, 1984, pp. 2244-2270 ; ou encore G. Fanti, M. Moroni, « Comparison of Luminance Between Face of Turin Shroud Man and Experimental Results », Journal of Imaging Science and Technology, 2002, vol. 46-2, pp. 142-154, March/April 2002, Internet : http://www.imaging.org/store/epub.cfm?abstrid=8125 [archive]
  57. « It is simply not known how the ghostly image of a serene, bearded man was made », « Although good experimental results have been obtained by a number of researchers, in the sense that, at first sight, the image, generally limited to the face, is similar to that of the TS Man, until now no experimental test has been able to reproduce all the characteristics found in the image impressed on the TS » article [archive]
  58. Giulio Fanti et alii [archive] in « Evidences for testing hypotheses about the body image formation of the Turin shroud », intro., 2005 ; Giuseppe Baldacchini, Paolo Di Lazzaro, Daniele Murra, and Giulio Fanti, Applied Optics, Vol. 47, Issue 9, 2008, pp. 1278-1285, Abstract : “The body image of the Turin Shroud has not yet been explained by traditional science; so a great interest in a possible mechanism of image formation still exists” Accès à l’article. [archive]
  59. On peut citer le physicien Philippe Quentin selon qui « l’ensemble des propriétés de l’image doit être pris en compte pour formuler des hypothèses plausibles concernant la formation. » in Jean Lévêque, René Pugeaut, Le Saint-Suaire revisité, Paris, Éditions du Jubilé, 2003, p. 154.
  60. Raymond N. Rogers, Anna Arnoldi, Scientific method applied to the Shroud of Turin: a review L’article [archive].
  61. L’article [archive] de Rogers et Arnoldi paru dans Melanoidins, vol. 4, Ames J.M. ed., Office for Official Publications of the European Communities, Luxembourg, 2003, pp.106-113.
  62. Rogers, Arnoldi : “However, these observations do not prove how the image was formed or the “authenticity” of the shroud Conclusion de l’article [archive] paru dans Melanoidins, 2003.
  63. L’article [archive].
  64. Pierre d’Arcis parle de “pannus […] artificiose depictus” : “un morceau de tissu ingénieusement peint”
  65. Cf. Walter Mac Crone, Judgement Day for the Turin Shroud, Microscope Publications, Chicago, 1995.
  66. McCrone, Walter C. et Christine Skirius, « Light Microscopical Study of the Turin “Shroud” I », The Microscope, vol. 28, n° 3, 1980, pp. 105-13.
  67. McCrone, Walter C. « Light Microscopical Study of the Turin “Shroud” II », The Microscope, vol. 28, n° 4, 1980, pp. 115-28.
  68. « Light Microscopical Study of the Turin “Shroud” III », The Microscope, vol. 29, 1981, pp. 19-38.
  69. Pour beaucoup de ces éléments cf. Isabel Piczek, Is the Shroud of Turin of Painting ?, ISHL, 1995, pp. 265-273 ; Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, Saint-Maurice, Éditions Saint-Augustin, 2001, pp. 33-37.
  70. a, b, c et d J. Nickell, 1978, « The Shroud of Turin – solved ! », The Humanist, 38 (6), p. 30
  71. P.-É. Blanrue, « Pourquoi le “suaire” de Turin est une imposture » [archive]
  72. a et b H. Broch, 1985, « Le “saint suaire” ou les grandes conséquences d’un petit acte de népotisme », in Le Paranormal, Seuil, pp. 43-72.
  73. H. Broch, 2006, « Recette d’un suaire », in Gourous, sorciers et savants, Odile Jacob, p. 110.
  74. Le “Saint Suaire de Turin” [archive]
  75. Fabrication d’un “Suaire de Turin” par le professeur Henri Broch [archive], vidéo (de).
  76. Isabelle Bourdial, « Saint suaire : la science aveuglée par la passion », Science & Vie, n° 1054, juillet 2005. (résumé [archive])
  77. a et b H. Morin, « La recette du suaire de Turin livrée par les “zététiciens” », Le Monde, 24 juin 2005. copie de l’article [archive]
  78. Emily A. Craig, Randall R. Bresee, Image Formation and the Shroud of Turin, Journal of Imaging Science and Technology [archive] 34(1), 59 (1994); – le texte complet [archive].
  79. L’article [archive], paragraphe 4.
  80. « Le Nouveau Quotidien du 14 avril 1995 publie sous le pseudonyme de David Keys un article intitulé : « Le suaire de Turin est un faux miracle mais une vraie photographie » » in Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, Saint-Maurice, Éditions Saint-Augustin, 2001, p. 200.
  81. Mark Antonacci, The Resurrection of the Shroud, Ed. M. Evans and company, Inc., 2000, p. 86.
  82. Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, Saint-Maurice, Éditions Saint-Augustin, 2001, p. 201.
  83. Lynn Picknett, Clive Price, Turin Shroud : In Whose Image ?, Londres, Bloomsbury, 1994
  84. Daniel Raffard de Brienne, La désinformation autour du linceul de Turin, Versailles, Éditions de Paris, 2004, p. 27.
  85. Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, Saint-Maurice, Éditions Saint-Augustin, 2001, p. 38.
  86. Sébastien Cataldo, Thibault Heimburger, Le linceul de Turin, Paris, Docteur angélique, 2008, p. 162.
  87. Giuseppe Baldacchini, Paolo Di Lazzaro, Daniele Murra, Giulio Fanti, Coloring linens with excimer lasers to simulate the body image of the Turin Shroud, Applied Optics [archive] 47(9), pp. 1278-1285 (2008), résumé : We also obtained the first direct evidence of latent images impressed on linen that appear in a relatively long period (one year) after laser irradiation that at first did not generate a clear image. The results are compared with the characteristics of the Turin Shroud, reflecting the possibility that a burst of directional ultraviolet radiation may have played a role in the formation of the Shroud image.
  88. [http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Barbet/passion.html [archive] Lire ici une de ses méditations sur la Passion corporelle de Jésus}
  89. La Passion de Jésus-Christ selon le chirurgien [archive] livre et photographies texte intégral
  90. Cf. Szabolcsi, The Middle Ages: Church Music and Minstrel Music.
  91. “Je puis seulement dire que, en tant qu’historien, je constate que les conclusions tirées du carbone 14 quant à la datation du Linceul s’avèrent incompatibles avec la filiation qui peut être établie entre la relique aujourd’hui conservée à Turin et sa représentation dans un manuscrit ordinairement désigné comme le “Codex Pray” (in Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’Histoire de l’Église de France, 92, 2006, p. 343).
  92. Barbara Frale, Le suaire de Jésus le Nazaréen
  93. Lettre de Théodore Ange au pape Innocent III en date du premier août 1205; lettre de Nicolas d’Otrante, abbé de Casole
  94. * Legrand Antoine “Le Linceuil de Turin 15 siècles de voyage” Notre Histoire N°77. Nov 1985 [ramené de Constantinople par Othon de la Roche et conservé d’abord au Chateau de Ray-sur-Saône : Le Saint Suaire de Besançon en serait une copie). * Legrand Antoine “Le Linceuil de Turin” nouvelle édition, Paris Desclée de Brouwer, 1985.
  95. Barbara Frale, I Templari e la sindone di Cristo, Bologna, Il Mulino, 2009.
  96. Article [archive] du Times du 6 avril 2009.
  97. Christopher Knight, Robert Lomas, Le second Messie.
  98. Raymond N. Rogers, « Studies on the radiocarbon sample from the shroud of Turin », dans Thermochimica Acta, vol. 425, no 1-2, 20 janvier 2005, p. 189-194 [résumé [archive], texte intégral [archive] lien DOI [archive] (pages consultées le 23 juillet 2009)]
    « The fact that vanillin can not be detected in the lignin on shroud fibers, Dead Sea scrolls linen, and other very old linens indicates that the shroud is quite old. A determination of the kinetics of vanillin loss suggests that the shroud is between 1300- and 3000-years old ».« The dye found on the radiocarbon sample was not used in Europe before about a.d. 1291 and was not common until more than 100 years later. The combined evidence from chemical kinetics, analytical chemistry, cotton content, and pyrolysis/ms proves that the material from the radiocarbon area of the shroud is significantly different from that of the main cloth »

     

  99. Analyse critique de l´article de janvier 2005 de Raymond N. Rogers, “Studies on the radiocarbon sample from the shroud of Turin” [archive]
  100. Th. Heimburger, « Suaire de Turin : la fin d’une énigme ? [archive] », réponse à l’article de Science et Vie sur le Saint-Suaire, 27 août 2005.
  101. Fresh tests on Shroud of Turin [archive], The Telegraph
  102. John P. Jackson, « A New Radiocarbon Hypothesis [archive] », mai 2008.
  103. « Lab agrees to test Shroud of Turin for new theory [archive] », Chicago Tribune.
  104. Villarreal : « The results of the FTIR analysis on all three threads taken from the Raes sampling area (adjacent to the C-14 sampling corner) led to identification of the fibers as cotton and definitely not linen (flax) » in Le résumé des recherches [archive]; cf. le communiqué de presse [archive]
  105. Villarreal dans son résumé : « [T]he age-dating process failed to recognize one of the first rules of analytical chemistry that any sample taken for characterization of an area or population must necessarily be representative of the whole. The part must be representative of the whole. Our analyses of the three thread samples taken from the Raes and C-14 sampling corner showed that this was not the case. »
  106. Benford, Marino, « Evidence for the Skewing of the C-14 Dating of the Shroud of Turin Due to Repairs » Texte intégral [archive] et en 2002 avec deux nouveaux articles : « Textile Evidence Supports Skewing of Radiocarbon Date of Shroud of Turin » (texte intégral) [archive] et « Historical Support for a 16th Century Restoration in the Shroud C-14 Sample Area » (texte intégral) [archive]
  107. Chemistry Today (Vol 26, Num 4, Jul/Aug 2008), « Discrepancies in the radiocarbon dating area of the Turin shroud », Benford M.S., Marino J.G. ; résumé : « Recent research reported new evidence suggesting the radiocarbon dating of the Turin Shroud was invalid due to the intrusion of newer material in the sampling area. », p. 4.
  108. Site officiel de S. Benford et J. Marino [archive].
  109. Étude sur le Suaire de Turin [archive], en 2005.
  110. « La Sindone è provocazione all’intelligenza » Discours de Jean-Paul II [archive] le 24 mai 1998, §2. Jean-Paul II reprend ainsi l’expression employée par Ghiberti dans Sindon, nouvelle série,cahier numéro 8, 1995, pp. 65-75.
  111. « Ciò che soprattutto conta per il credente è che la Sindone è specchio del Vangelo », Discours de Jean-Paul II [archive] le 24 mai 1998
  112. Annonce de Benoît XVI, le 2 juin 2008.
  113. LA DATATION DU LINCEUL DE TURIN [archive]
  114. Paul-Eric Blanrue, le site officiel [archive]
  115. SKEPTIC.WS [archive]
  116. Voir l’article sur le site de l’AFIS : [1] [archive]. L’AFIS se donne pour but de promouvoir la science contre ceux qui nient ses valeurs culturelles, la détournent vers des œuvres malfaisantes ou encore usent de son nom pour couvrir des entreprises charlatanesques.
  117. (en)http://www.shroud.it/ROGERS-3.PDF#search=%22thermochimica%20rogers%202005%22 [archive]
  118. Le suaire de Turin médiatisé et démystifié – Afis – Association française pour l’information scientifique [archive]
  119. Cercle Zetetique : Analyse critique de l´article de janvier 2005 de Raymond N. Rogers, “Studies on the radiocarbon sample from the shroud of turin”, Thermochimica Acta [archive]
  120. (en)http://www.csicop.org/specialarticles/shroud.html [archive] Joe Nickell en anglais, et la réponse de Rogers
  121. Cercle Zetetique : Analyse critique de l´article de janvier 2005 de Raymond N. Rogers, “Studies on the radiocarbon sample from the shroud of turin”, Thermochimica Acta [archive]
  122. http://atheisme.free.fr/Revue_presse/Science_saint_suaire.htm [archive] Résumé d’un article paru dans “Science et Vie”, avec quelques approximations (“le coup censé avoir tué le Messie” : le coup de lance rapporté dans les Évangiles n’était pas censé tuer)
  123. Examen scientifique du Suaire de Turin – WikiKto, l’encyclopédie catholique libre [archive]
  124. Cercle Zetetique : L’imposture du « suaire » de Turin [archive]
  125. Orange [archive]
  126. Buzz médiatique autour du linceul de Turin | Omacronides [archive]
  127. Page normale sans titre [archive]
  128. http://pagesperso-orange.fr/cielt/organisations/france/cielt.htm [archive]
  129. a et b http://perso.orange.fr/cielt/organisations/france/f_organisations_sindonologiques.htm [archive]. Partant du constat que la datation donnait un résultat non conforme à d’autres éléments scientifiques, elle décide, selon ses termes, de « continuer la recherche et promouvoir la vérité, quelqu’elle soit, par la seule démarche de l’objectivité scientifique, logique et expérimentale. »
  130. Les Sceptiques du Québec • Voir le sujet – Suaire de Turin [archive]
  131. Argumentaires – Documents – Front national – Jean-Marie Le Pen [archive]
  132. Voice of Reason: The Truth Behind the Shroud of Turin | LiveScience [archive]

Voir aussi 

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Articles connexes

Bibliographie

  • Odile Celier, Le Signe du linceul. Le Saint Suaire de Turin: de la relique à l’image, Éditions du Cerf, 1992 (présentation de l’éditeur et recension par Françoise Lautman Archives des sciences sociales des religions, 1993, Vol. 84, no 84 p. 262-263
  • Harry Edmund Gove Relic, icon, or hoax?: carbon dating the Turin shroud CRC Press, 1996 [2]
  • Harry Edmund Gove From Hiroshima to the iceman: the development and applications of accelerator mass spectrometry CRC Press, 1998 [3] Carbon Dating the Turin Shroud p. 146-170
  • Paul Craddock Scientific Investigation of Copies, Fakes and Forgeries Butterworth-Heinemann, 2007 [4] p. 101-109




  • Pierluigi Baima Bollone, 101 questions sur le Saint Suaire, Saint-Maurice, éditions saint-augustin, 2001. Traduit de l’italien (Sindone 101 domande e riposte, Edizioni San Paolo s.r.l., 2000).
  • André Cherpillod, Serge Mouraviev, Apologie pour le Suaire de Turin par deux scientifiques non croyants, Myrmekia, Paris-Moscou, et La Blanchetière, Courgenard (72320), 1998.
  • André Marion, Jésus et la science – La vérité sur les reliques du Christ, Presses de la Renaissance, 2000.
  • André Marion, Anne-Laure Courage, Nouvelle découvertes sur le Suaire de Turin, Albin Michel, 1997.
  • André Marion, Gérard Lucotte, Le linceul de Turin et la tunique d’Argenteuil, Paris, Presses de la Renaissance, 2006.
  • Daniel Raffard de Brienne, Enquête sur le Saint-Suaire, Éditions Remi Perrin, 2000.
  • Daniel Raffard de Brienne, La désinformation autour du Linceul de Turin. Éditions de Paris, 2004.
  • Maria Grazia Siliato, Contre-enquête sur le Suaire de Turin, Plon/Desclée de Brouwer, 1998, (ISBN 2-259-18860-5)
  • Arnaud-Aaron Upinsky, La science à l’épreuve du Linceul, la crise épistémologique, OEIL, 1990
  • Arnaud-Aaron Upinsky, Le procès en contrefaçon du Linceul, Chez F-X.de Guilbert, 1993
  • Arnaud-Aaron Upinsky, L’énigme du Linceul – La prophétie de l’an 2000, Fayard, 1998.
  • Didier van Cauwelaert, Cloner le Christ, Albin Michel, 2005.
  • André-Marie Dubarle, o.p Histoire ancienne du linceul de Turin jusqu’au XIIIe siècle, Paris OEIL, 1985, recension de l’ouvrage par Jean-Philippe Genet dans Archives des sciences sociales des religions, 1986, Vol. 62, no 62-2
  • Barbara Frale, I Templari e la sindone di Cristo, Bologna, Il Mulino, 2009



Œuvres de fiction [modifier]


Liste des principaux articles], par ordre chronologique :

  • Barbara J. Culliton, The mystery of the Shroud challenges 20th-century science, Science 201(4352), 235 (1978). – résumé
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  • Robert William Mottern, J. Ronald London, Roger A. Morris, Radiographic Examination of the Shroud of Turin—a Preliminary Report, Materials Evaluation 38(12), 39 (1979).
  • Roger A. Morris, L.A. Schwalbe, J. Ronald London, X-Ray Fluorescence Investigation of the Shroud of Turin, X-Ray Spectrometry 9(2), 40 (1980). – résumé
  • Eric J. Jumper, Robert William Mottern, Scientific investigation of the Shroud of Turin, Applied Optics 19(12), 1909 (1980).
  • Samuel F. Pellicori, Spectral properties of the Shroud of Turin, Applied Optics 19(12), 1913 (1980)
  • J.S. Accetta, J. Stephen Baumgart, Infrared reflectance spectroscopy and thermographic investigations of the Shroud of Turin, Applied Optics 19(12), 1921 (1980).
  • Roger Gilbert jr., Marion M. Gilbert, Ultraviolet Visibile Reflectance and Fluorescence Spectra of the Shroud of Turin, Applied Optics 19(12), 1930 (1980).
  • John H. Heller, Alan D. Adler, Blood on the Shroud of Turin, Applied Optics 19(16), 2742 (1980).
  • Samuel F. Pellicori, Mark S. Evans, The Shroud of Turin Through the Microscope, Archaeology 34, 35 (1981).
  • Samuel F. Pellicori, R.A. Chandos, Portable Unit Permits UV/vis Study of “Shroud”, Industrial Research and Development, February, 186 (1981).
  • John H. Heller, Alan D. Adler, A chemical investigation of the Shroud of Turin, Canadian Society of Forensic Science Journal 14(3), 81 (1981).
  • V.D. Miller, Samuel F. Pellicori, Ultraviolet fluorescence photography of the Shroud of Turin, Journal of Biological Photography 49, 71 (1981).
  • L.A. Schwalbe, Raymond N. Rogers, Physics and Chemistry of the Shroud of Turin – A Summary of the 1978 Investigation, Analytica Chimica Acta 135(1), 3 (1982) – résumé.
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  • Alan D. Whanger, Mary Whanger, Polarized image overlay technique: a new image comparison method and its applications, Applied Optics 24(6), 766 (1985).
  • Denis Dutton, Still shrouded in mistery, Nature 327, 10 (1987).
  • Michael S. Tite, Turin Shroud, Nature 327, 456 (1987).
  • Harry E. Gove, Turin Shroud, Nature 327, 652 (1987).
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  • Michael S. Tite, Turin Shroud, Nature 332, 482 (1988).
  • Harry E. Gove, Radiocarbon-dating the Shroud, Nature 333, 110 (1988).
  • T.J. Phillips, Shroud irradiated with neutrons?; réponse di R.E.M. Hedges, Nature 337, 594 (1989).
  • P.E. Damon, D.J. Donahue, B.H. Gore, A.L. Hatheway, A.J.T. Jull, T.W. Linick, P.J. Sercel, L.J. Toolin, C.R. Bronk, E.T. Hall, R.E.M. Hedges, R. Housley, I.A. Law, C. Perry, G. Bonani, S. Trumbore, W. Woelfli, J.C. Ambers, S.G.E. Bowman, M.N. Leese, M.S. Tite, Radiocarbon dating of the Shroud of Turin, Nature 337, 611 (1989) – résumé et notes, texte complet.
  • Harry E. Gove, Progress in radiocarbon dating the Shroud of Turin, Radiocarbon 31(3), 965 (1989) – texte complet
  • Harry E. Gove, Dating the Turin Shroud—an Assessment, Radiocarbon 32(1), 87 (1990) – texte complet
  • Robert Halisey, More on the Shroud; risposta di Michael S. Tite, Nature 346, 100 (1990)
  • O. Pourrat, Shroud dating still questioned, Nature 349, 558 (1991)
  • Niccolo Caldararo, Letter to the Editor, Radiocarbon 35(2), 345 (1993) – texte complet
  • Emily A. Craig, Randall R. Bresee, Image Formation and the Shroud of Turin, Journal of Imaging Science and Technology 34(1), 59 (1994); – texte complet
  • Mills, A.A.: “Image formation on the Shroud of Turin” Interdisciplinary Science Reviews, Vol. 20, 1995.
  • Alan D. Adler : Updating recent studies on the Shroud of Turin in Archaeological Chemistry: Organic, Inorganic and Biochemical Analysis, Mary Virginia Orna ed., American Chemical Society Symposium Series 625 (American Chemical Society, Washington, D.C., 1996), Chap. 17., Article intégral.
  • Harry E. Gove, S.J. Mattingly, A.R. David, L.A. Garza-Valdes, A problematic source of organic contamination of linen, Nuclear Instruments and Methods in Physics Research B 123(1-4), 504 (1997). – résumé
  • Serge N. Mouraviev, Image formation mechanism on the Shroud of Turin: a solar reflex radiation model (the optical aspect), Applied Optics 36(34), 8796 (1997).
  • Austin Long, Attempt to affect the apparent 14C age of cotton by scorching in a CO2 environment, Radiocarbon 40(1), 57 (1998) – testo completo
  • R.E.M. Hedges, Christopher Bronk Ramsey, G.J. van Klinken, An experiment to refute the likelihood of cellulose carboxilation, Radiocarbon 40(1), 59 (1998). – texte complet
  • A. Marion, Discovery of inscriptions on the shroud of Turin by digital image processing, Optical Engineering 37 (8), 2308 (1998) – résumé
  • Giulio Fanti, M. Moroni, Comparison of Luminance Between Face of Turin Shroud Man and Experimental Results, Journal of Imaging Science and Technologyrésumé 46(2), 142 (2002) –
  • Giulio Fanti, R. Maggiolo, The double superficiality of the frontal image of the Turin Shroud, Journal of Optics A 6, 491 (2004) – résumé, texte complet
  • Raymond N. Rogers, Studies on the radiocarbon sample from the shroud of turin, Thermochimica Acta 425(1-2), 189 (2005) – résumé, texte comple
  • Jonathan Allday, The Turin Shroud, Physics Education 40, 67 (2005) – résumé
  • P. Loyson, N.M. Vorster, E. Ferg, N. Allen, Image formation on the Shroud of Turin: a proposed chemical model, South African Journal of Science 101, 36 (2005) – résumé (n. 24)
  • Jean-Michel MALDAMÉ, dominicain Le Saint Suaire ou Linceul de Turin étude historique, théologique, philosophique et scientifique sur le site internet de DOMUNI lire en ligne/ article intégral sur le site [5]
  • Emmanuel Poulle, « Le linceul de Turin victime d’Ulysse Chevalier », Revue d’histoire de l’Église de France, 2006, vol. 92, no 229, p. 343-358, le résumé.
  • Giuseppe Baldacchini, Paolo Di Lazzaro, Daniele Murra, Giulio Fanti, Coloring linens with excimer lasers to simulate the body image of the Turin Shroud, Applied Optics 47(9), p. 1278-1285 (2008)
  • ** [lire en ligne] The Authentication of the Turin Shroud:An Issue in Archaeological Epistemology by William Meacham – Archaeologist CURRENT ANTHROPOLOGY – Vol. 24 – N° 3 – (June 1983) Photographies 3D.


Soutenant l’authenticité :



Finance…Contre les tabous indiscutés

Lettre aux Français et au monde :
CONTRE LES TABOUS INDISCUTÉS par Maurice Allais, (seul prix Nobel d’économie français) (dans Marianne n°659, 5 décembre 2009) Le point de vue que j’exprime est celui d’un théoricien à la fois libéral et socialiste. Les deux notions sont indissociables dans mon esprit, car leur opposition m’apparaît fausse, artificielle. L’idéal socialiste consiste à s’intéresser à l’équité de la redistribution des richesses, tandis que les libéraux véritables se préoccupent de l’efficacité de la production de cette même richesse. Ils constituent à mes yeux deux aspects complémentaires d’une même doctrine. Et c’est précisément à ce titre de libéral que je m’autorise à critiquer les positions répétées des grandes instances internationales en faveur d’un libre-échangisme appliqué aveuglément. Le fondement de la crise : l’organisation du commerce mondial La récente réunion du G20 a de nouveau proclamé sa dénonciation du « protectionnisme » , dénonciation absurde à chaque fois qu’elle se voit exprimée sans nuance, comme cela vient d’être le cas. Nous sommes confrontés à ce que j’ai par le passé nommé "des tabous indiscutés dont les effets pervers se sont multipliés et renforcés au cours des années » (1). Car tout libéraliser, on vient de le vérifier, amène les pires désordres. Inversement, parmi les multiples vérités qui ne sont pas abordées se trouve le fondement réel de l’actuelle crise : l’organisation du commerce mondial, qu’il faut réformer profondément, et prioritairement à l’autre grande réforme également indispensable que sera celle du système bancaire. Les grands dirigeants de la planète montrent une nouvelle fois leur ignorance de l’économie qui les conduit à confondre deux sortes de protectionnismes : il en existe certains de néfastes, tandis que d’autres sont entièrement justifiés. Dans la première catégorie se trouve le protectionnisme entre pays à salaires comparables, qui n’est pas souhaitable en général. Par contre, le protectionnisme entre pays de niveaux de vie très différents est non seulement justifié, mais absolument nécessaire. C’est en particulier le cas à propos de la Chine, avec laquelle il est fou d’avoir supprimé les protections douanières aux frontières. Mais c’est aussi vrai avec des pays plus proches, y compris au sein même de l’Europe. Il suffit au lecteur de s’interroger sur la manière éventuelle de lutter contre des coûts de fabrication cinq ou dix fois moindres – si ce n’est des écarts plus importants encore – pour constater que la concurrence n’est pas viable dans la grande majorité des cas. Particulièrement face à des concurrents indiens ou surtout chinois qui, outre leur très faible prix de main-d’œuvre, sont extrêmement compétents et entreprenants. Il faut délocaliser Pascal Lamy ! Mon analyse étant que le chômage actuel est dû à cette libéralisation totale du commerce, la voie prise par le G20 m’apparaît par conséquent nuisible. Elle va se révéler un facteur d’aggravation de la situation sociale. À ce titre, elle constitue une sottise majeure, à partir d’un contresens incroyable. Tout comme le fait d’attribuer la crise de 1929 à des causes protectionnistes constitue un contresens historique. Sa véritable origine se trouvait déjà dans le développement inconsidéré du crédit durant les années qui l’ont précédée. Au contraire, les mesures protectionnistes qui ont été prises, mais après l’arrivée de la crise, ont certainement pu contribuer à mieux la contrôler. Comme je l’ai précédemment indiqué, nous faisons face à une ignorance criminelle. Que le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, Pascal Lamy, ait déclaré : « Aujourd’hui, les leaders du G20 ont clairement indiqué ce qu’ils attendent du cycle de Doha : une conclusion en 2010 » et qu’il ait demandé une accélération de ce processus de libéralisation m’apparaît une méprise monumentale, je la qualifierais même de monstrueuse. Les échanges, contrairement à ce que pense Pascal Lamy, ne doivent pas être considérés comme un objectif en soi, ils ne sont qu’un moyen. Cet homme, qui était en poste à Bruxelles auparavant, commissaire européen au Commerce, ne comprend rien, rien, hélas ! Face à de tels entêtements suicidaires, ma proposition est la suivante : il faut de toute urgence délocaliser Pascal Lamy, un des facteurs majeurs de chômage ! Plus concrètement, les règles à dégager sont d’une simplicité folle : du chômage résultent des délocalisations elles-mêmes dues aux trop grandes différences de salaires… À partir de ce constat, ce qu’il faut entreprendre en devient tellement évident ! Il est indispensable de rétablir une légitime protection. Depuis plus de dix ans, j’ai proposé de recréer des ensembles régionaux plus homogènes, unissant plusieurs pays lorsque ceux-ci présentent de mêmes conditions de revenus, et de mêmes conditions sociales. Chacune de ces « organisations régionales » serait autorisée à se protéger de manière raisonnable contre les écarts de coûts de production assurant des avantages indus a certains pays concurrents, tout en maintenant simultanément en interne, au sein de sa zone, les conditions d’une saine et réelle concurrence entre ses membres associés. Un protectionnisme raisonné et raisonnable Ma position et le système que je préconise ne constitueraient pas une atteinte aux pays en développement. Actuellement, les grandes entreprises les utilisent pour leurs bas coûts, mais elles partiraient si les salaires y augmentaient trop. Ces pays ont intérêt à adopter mon principe et à s’unir à leurs voisins dotés de niveaux de vie semblables, pour développer à leur tour ensemble un marché interne suffisamment vaste pour soutenir leur production, mais suffisamment équilibré aussi pour que la concurrence interne ne repose pas uniquement sur le maintien de salaires bas. Cela pourrait concerner par exemple plusieurs pays de l’est de l’Union européenne, qui ont été intégrés sans réflexion ni délais préalables suffisants, mais aussi ceux d’Afrique ou d’Amérique latine. L’absence d’une telle protection apportera la destruction de toute l’activité de chaque pays ayant des revenus plus élevés, c’est-à-dire de toutes les industries de l’Europe de l’Ouest et celles des pays développés. Car il est évident qu’avec le point de vue doctrinaire du G20, toute l’industrie française finira par partir à l’extérieur. Il m’apparaît scandaleux que des entreprises ferment des sites rentables en France ou licencient, tandis qu’elles en ouvrent dans les zones à moindres coûts, comme cela a été le cas dans le secteur des pneumatiques pour automobiles, avec les annonces faites depuis le printemps par Continental et par Michelin. Si aucune limite n’est posée, ce qui va arriver peut d’ores et déjà être annoncé aux Français : une augmentation de la destruction d’emplois, une croissance dramatique du chômage non seulement dans l’industrie, mais tout autant dans l’agriculture et les services. De ce point de vue, il est vrai que je ne fais pas partie des économistes qui emploient le mot « bulle ». Qu’il y ait des mouvements qui se généralisent, j’en suis d’accord, mais ce terme de « bulle » me semble inapproprié pour décrire le chômage qui résulte des délocalisations. En effet, sa progression revêt un caractère permanent et régulier, depuis maintenant plus de trente ans. L’essentiel du chômage que nous subissons —tout au moins du chômage tel qu’il s’est présenté jusqu’en 2008 — résulte précisément de cette libération inconsidérée du commerce à l’échelle mondiale sans se préoccuper des niveaux de vie. Ce qui se produit est donc autre chose qu’une bulle, mais un phénomène de fond, tout comme l’est la libéralisation des échanges, et la position de Pascal Lamy constitue bien une position sur le fond. Crise et mondialisation sont liées Les grands dirigeants mondiaux préfèrent, quant à eux, tout ramener à la monnaie, or elle ne représente qu’une partie des causes du problème. Crise et mondialisation : les deux sont liées. Régler seulement le problème monétaire ne suffirait pas, ne réglerait pas le point essentiel qu’est la libéralisation nocive des échanges internationaux, Le gouvernement attribue les conséquences sociales des délocalisations à des causes monétaires, c’est une erreur folle. Pour ma part, j’ai combattu les délocalisations dans mes dernières publications (2). On connaît donc un peu mon message. Alors que les fondateurs du marché commun européen à six avaient prévu des délais de plusieurs années avant de libéraliser les échanges avec les nouveaux membres accueillis en 1986, nous avons ensuite, ouvert l’Europe sans aucune précaution et sans laisser de protection extérieure face à la concurrence de pays dotés de coûts salariaux si faibles que s’en défendre devenait illusoire. Certains de nos dirigeants, après cela, viennent s’étonner des conséquences ! Si le lecteur voulait bien reprendre mes analyses du chômage, telles que je les ai publiées dans les deux dernières décennies, il constaterait que les événements que nous vivons y ont été non seulement annoncés mais décrits en détail. Pourtant, ils n’ont bénéficié que d’un écho de plus en plus limité dans la grande presse. Ce silence conduit à s’interroger. Un prix Nobel… téléspectateur Les commentateurs économiques que je vois s’exprimer régulièrement à la télévision pour analyser les causes de l’actuelle crise sont fréquemment les mêmes qui y venaient auparavant pour analyser la bonne conjoncture avec une parfaite sérénité. Ils n’avaient pas annoncé l’arrivée de la crise, et ils ne proposent pour la plupart d’entre eux rien de sérieux pour en sortir. Mais on les invite encore. Pour ma part, je n’étais pas convié sur les plateaux de télévision quand j’annonçais, et j’écrivais, il y a plus de dix ans, qu’une crise majeure accompagnée d’un chômage incontrôlé allait bientôt se produire, je fais partie de ceux qui n’ont pas été admis à expliquer aux Français ce que sont les origines réelles de la crise alors qu’ils ont été dépossédés de tout pouvoir réel sur leur propre monnaie, au profit des banquiers. Par le passé, j’ai fait transmettre à certaines émissions économiques auxquelles j’assistais en téléspectateur le message que j’étais disposé à venir parler de ce que sont progressivement devenues les banques actuelles, le rôle véritablement dangereux des traders, et pourquoi certaines vérités ne sont pas dites à leur sujet. Aucune réponse, même négative, n’est venue d’aucune chaîne de télévision et ce durant des années. Cette attitude répétée soulève un problème concernant les grands médias en France : certains experts y sont autorisés et d’autres, interdits. Bien que je sois un expert internationalement reconnu sur les crises économiques, notamment celles de 1929 ou de 1987, ma situation présente peut donc se résumer de la manière suivante : je suis un téléspectateur. Un prix Nobel… téléspectateur, Je me retrouve face à ce qu’affirment les spécialistes régulièrement invités, quant à eux, sur les plateaux de télévision, tels que certains universitaires ou des analystes financiers qui garantissent bien comprendre ce qui se passe et savoir ce qu’il faut faire. Alors qu’en réalité ils ne comprennent rien. Leur situation rejoint celle que j’avais constatée lorsque je m’étais rendu en 1933 aux États-Unis, avec l’objectif d’étudier la crise qui y sévissait, son chômage et ses sans-abri : il y régnait une incompréhension intellectuelle totale. Aujourd’hui également, ces experts se trompent dans leurs explications. Certains se trompent doublement en ignorant leur ignorance, mais d’autres, qui la connaissent et pourtant la dissimulent, trompent ainsi les Français. Cette ignorance et surtout la volonté de la cacher grâce à certains médias dénotent un pourrissement du débat et de l’intelligence, par le fait d’intérêts particuliers souvent liés à l’argent. Des intérêts qui souhaitent que l’ordre économique actuel, qui fonctionne à leur avantage, perdure tel qu’il est. Parmi eux se trouvent en particulier les multinationales qui sont les principales bénéficiaires, avec les milieux boursiers et bancaires, d’un mécanisme économique qui les enrichit, tandis qu’il appauvrit la majorité de la population française mais aussi mondiale. Question clé : quelle est la liberté véritable des grands médias ? Je parle de leur liberté par rapport au monde de la finance tout autant qu’aux sphères de la politique. Deuxième question : qui détient de la sorte le pouvoir de décider qu’un expert est ou non autorisé à exprimer un libre commentaire dans la presse ? Dernière question : pourquoi les causes de la crise telles qu’elles sont présentées aux Français par ces personnalités invitées sont-elles souvent le signe d’une profonde incompréhension de la réalité économique ? S’agit-il seulement de leur part d’ignorance ? C’est possible pour un certain nombre d’entre eux, mais pas pour tous. Ceux qui détiennent ce pouvoir de décision nous laissent le choix entre écouter des ignorants ou des trompeurs. Maurice Allais, (seul prix Nobel d’économie français.

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