Raffael Wüthrich: 8ème conseiller fédéral pour le dividende RBI …




Grâce à vous, Raffael Wüthrich en finale pour devenir le 8ème conseiller fédéral ?
C’est le dernier jour pour l’élire et permettre ainsi qu’il puisse parler de la monnaie pleine et du
revenu de base !
 C’est simple, il suffit de
cliquer
Remarque liminaire:
 
Les
machines, robots, ordinateurs rendent le “travail humain rémunéré ” de
plus en plus rare, c’est un fait. Promettre des emplois classiques est
un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau
mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables  mondialisées.
Ce sont des gaspillages stupides. La seule solution est de promettre
des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de
plus en plus par des robots et des machines.

Le
dividende universel n’est pas financé par les impôts ni par des
versements patronaux. Il vient de la création monétaire actuellement
volée (sic) par le système bancaire.
 
http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/



à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.


Soutenons le futur 8ème conseiller fédéral !


Le
Blick, ce journal de boulevard alémanique, propose l’élection (en
ligne) du “8ème conseiller fédéral”. Il ne reste plus que 2 candidats,
Raffael Wüthrich est l’un deux, et il peut permettre à nos idées
d’avancer. C’est vrai, ce journal favorise le populisme et la montée de
extrêmes, mais si quelqu’un qui défend l’idée d’un revenu de base de la monnaie pleine pour
toutes et tous peut avoir pendant 45 jours la parole dans un journal
aussi populaire, c’est tout cela de gagné pour les campagnes à venir en
Suisse sur la question !



Votons !

http://ow.ly/wYQUq

Votons !

http://ow.ly/wYQUq


Pour se présenter aux
électrices et électeurs potentiels en Suisse romande, il a fait une
petite présentation de son programme dans notre langue. Si cela vous
plaît, n’hésitez pas à le soutenir en votant pour lui avec votre adresse
mail ici http://ow.ly/wYQUq !



Voici une partie de son texte :


Des concepts alternatifs que je trouve très intéressants sont entre autres: l’initiative dite de la “Monnaie pleine” (http://www.initiative-monnaie-pleine.ch), celle pour le “Revenu de base inconditionnel pour toutes et tous”, la permaculture ou le bonus pour le peuple.




Avec
mon projet „bonus pour le peuple“ je vais lancer un système
de rabais qui d’une part rémunère des travaux que nous jugeons tous
valables pour la société et d’autre part permettrait d’acquérir à
moindre coût des produits de qualité et d’une haute valeur (bio/fair
trade, etc.). …



En
plus de ce projet principal j’aimerais utiliser mon statut pour
informer les gens de notre système monétaire que je trouve extrêmement
injuste. Je suis bien conscient des autres mécanismes d’exploitation
dans le système capitaliste et je pense qu’une grande majorité l’est plus
ou moins. C’est juste l’évaluation de ces mécanismes qui diffère. Par
contre, en ce qui concerne notre système monétaire, je suis persuadé
qu’une très grande partie de la société n’a aucune idée et que c’est en
fait une sorte de socialisme pour les fortunés.

Mon but pour ces 45
jours c’est de montrer qu’il existe des alternatives et que nous devons
juste oser définir ensemble notre avenir. Je suis persuadé que si nous
travaillons ensemble en coopération au lieu de la concurrence comme nous
la connaissons actuellement, nous pouvons regarder dans un futur où
notre qualité de vie sera beaucoup plus haute tout en respectant le
vivant en accord et d’après les capacité de notre planète.”



Son site :

Le Dividende Universel, le DU

Le socle d’un nouveau projet de société.

Les robots doivent devenir nos serviteurs et non les hommes esclaves de financiers cupides…


Les bouleversements
économiques et sociologiques posent à nouveau de façon aiguë la question
de la répartition des richesses et de la sécurisation des personnes
face au risque d’exclusion. Le principe du Dividende Universel répond à
cette demande, à la fois comme ultime filet de sécurité pour les plus
démunis, mais aussi comme reconnaissance de la participation de chacun à
la richesse nationale.



De 1949 à 1998, la part des prestations sociales est passée de 12 à 30% du PIB.
Le travail rémunéré ne concerne que 40% de la population : moins de 25 millions d’actifs sur 60 millions d’habitants, le phénomène s’accentuant avec l’allongement de la vie.
60% du travail productif échappe au salariat (travail au noir, travail domestique, éducation, autoproduction, bénévolat, etc).





Le FORUM considère qu’une crise profonde ébranle les 4 piliers indispensables au renforcement du lien social :


  • Crise du sens de l’existence individuelle,

  • Crise de la reconnaissance des personnes et de leur rôle social,

  • Crise de la complexification des relations et des démarches institutionnelles,

  • Crise de l’appartenance à une communauté et un projet commun.

La proposition du Dividende Universel vise à répondre à cette crise générale en revalorisant symboliquement et matériellement :


  • tous les temps de la vie (l’âge adulte mais aussi les jeunes et les personnes âgées)

  • toutes les formes d’activité (le salariat mais aussi le bénévolat),

  • toutes les situations de vie (les valides mais aussi tous les handicaps).



Le DU rassemble la communauté autour d’un projet commun


  • Ni une allocation, ni un revenu minimum,
    mais la traduction dans la réalité économique de la part de l’héritage
    en partage pour tous les citoyens

  • Un nouveau droit civique, signe de l’appartenance à une communauté.

  • Donne la possibilité de libérer du temps pour des activités autres que l’activité salariée, comme le bénévolat.

Le FRS est le premier parti politique
français à vouloir mettre en œuvre ce concept théorisé par nombre
d’économistes et philosophes depuis Thomas More, toutes écoles
confondues (libérale, Keynésienne, collectiviste).

Des dispositifs similaires sont déjà
appliqués ( Alaska ), mis progressivement en place (Brésil), ou à
l’étude au sein de partis et de gouvernements, comme en Afrique du Sud,
en Irlande et en Belgique.

Le dividende du fonds souverain Alaska permanent corporation.

En 1976, l’Alaska, 49e Etat
américain, peuplé de 543.000 habitants, créa un compte d’épargne public.
Ce compte fut alimenté par 25 % de tous les revenus pétroliers dont la
gestion fut confiée à un établissement parapublic, l’Alaska permanent
corporation. Le capital de ce fonds mutuel géré par l’Etat.

Depuis cette date, les habitants en
reçoivent chaque année un dividende. Celui-ci s’élevait à 1130,68
dollars en 1996. Le fonds rapporta globalement 1,8 Milliards de dollars
la même année. Cependant, une partie seulement des revenus de ce fonds
mutuel était distribuée à tous les habitants, actifs ou non actifs, avec
le Permanent Fund Dividend Program. 

Des études ont démontré depuis que ce
dividende permettait de stabiliser les populations dans cette région
particulièrement austère et a fortement réduite l’émigration.




Financement



Le
dividende universel n’est pas financé par les impôts ni par des
versements patronaux. Il vient de la création monétaire actuellement
volée (sic) par le système bancaire.


Les principales objections au Dividende Universel

1. Une rémunération ne doit-elle pas être la contrepartie d’un travail ?

Le DU rappelle d’une part, que la dignité d’une personne existe en soi et non pas du fait de son seul travail rémunéré. D’autre part, le DU rappelle qu’il existe d’autres activités que le seul salariat, tout aussi honorables et profitables à l’ensemble de la société et pourtant en déficit de reconnaissance sociale, jusqu’à présent.

D’autant que le travail salarié n’est plus aujourd’hui une garantie d’intégration sociale et économique, comme le montre le phénomène des « travailleurs pauvres », tandis que la reconnaissance de toutes les formes d’activité, même bénévole, en est une.

2. Cette réforme ne risque-t-elle pas de conforter la logique d’assistanat ?

…Les personnes qui le perçoivent en dehors de tout autre revenu sont naturellement incitées à travailler pour obtenir davantage que le minimum vital.

3. Le DU ne va-t-il pas susciter une immigration non maîtrisée ?

Tout citoyen n’a droit qu’à l’héritage
de son pays d’origine. L’immigration n’est donc pas spécifiquement
encouragée par cette mesure. Cependant, des aménagements peuvent être
envisagés, au prorata du temps de séjour d’un étranger en France, par
exemple.
Par contre, le principe du DU est exportable dans tous les pays. Il peut donc devenir facteur de développement, comme c’est le déjà le cas au Brésil.

4. Ce projet n’est-il pas incompatible avec la réduction de la dette de l’État et la baisse des impôts ?

Au contraire, la mise en œuvre
progressive du DU sur cinq ans, non seulement entraîne la suppression
d’une partie des revenus de transferts, mais engendre une augmentation
mécanique du PIB par la relance de la consommation. A partir de la 6ème
année, les ressources fiscales suffisent à le financer, à taux égal de
prélèvement.

Oui à la marche blanche. N’ayez pas peur !

N’ayez pas peur !

 

Nous avons tous entendu le président de
la Confédération dans son allocution, et l’on ne peut être que surpris
par l’ampleur des moyens mis en oeuvre pour faire échouer une initiative
pourtant évidente.
L’initiative demande une chose simple,
que les pédophiles condamnés ne puissent plus travailler avec des
enfants, parce que ce n’est pas nécessaire pour les pédophiles et que ça
ne l’est pas non plus pour les enfants.
Cette chose si simple, ils disent qu’ils
nous la donnent par leur nouvelle loi, car, dans le fond, ils sont du
même avis que nous, ils pensent aussi que les pédophiles ne doivent pas
se retrouver un jour avec des enfants. Si la loi et l’initiative vont
dans le même sens, comment pourraient-elles s’opposer ? Ces deux textes
fonctionnent très bien ensemble, la loi ajoute des interdictions de
périmètre et l’initiative soulage les juges d’une décision parfois
difficile à prendre en rendant les interdictions systématiques pour les
pédophiles qu’ils décideront de condamner. Contrairement à ce qui a pu
être dit, nous ne nous sommes jamais opposés à cette loi, mais, seule,
elle ne suffira pas.
Ils disent aussi que nous voudrions
faire condamner les enfants de 16 ans qui auraient une histoire d’amour
avec plus jeunes qu’eux. En 2013, nous avons expliqué que ce n’était pas
l’intention de notre texte et nous nous sommes engagés, devant le
Parlement, à ne pas demander cela après la votation. Mais ils continuent
de faire comme si de rien n’était et nous accusent de vouloir
embastiller les amours de jeunesse.
De quoi ont-ils peur ? Nous ne le savons pas. Nous ne connaissons par leurs raisons et ne les comprenons pas.
Depuis 13 ans que je me bats, aucun des
textes de la Marche blanche présentés en votation populaire et acceptés
par vous n’a fait condamner d’adolescents amoureux et parfaitement
innocents. Notre cible, ce sont les pédophiles, pas les enfants.
C’est pourquoi je m’engage aujourd’hui,
devant vous, solennellement, et vous jure sur l’honneur que notre
initiative n’aura pas les effets qu’ils prétendent et ne visera que de
vrais pédophiles qui auront abusé d’enfants, d’enfants impubères, cela
va de soi, sinon ce n’est plus de la pédophilie, ou de personnes
dépendantes, handicapées mentales. C’est cela notre texte, c’est ça
notre initiative.
Nous ne sommes une menace ni pour l’Etat
de droit ni pour la proportionnalité, mais, devant leur insistance à
répéter qu’ils sont de notre avis tout en cherchant à empêcher notre
initiative d’aboutir, quelque chose nous dit que nous avons raison de
continuer. Nous vous demandons de nous aider, d’aider les enfants. Nous
vous demandons de voter oui.
Christine Bussat, Marche blanche

Des dettes à la prospérité, quelques vérités.

Un
jour, l’honorable Fielding, Ministre des Finances du gouvernement libéral
d’Ottawa, avait dit à M. Harpell: «Si vous voulez savoir où réside
la puissance financière au Canada, regardez du côté des banques et
des compagnies d’assurances.» On était en 1934, en plein temps de la
crise économique.

C’est
alors qu’on décida que les cours de l’automne porteraient sur l’étude
de l’argent et du crédit. Et l’on s’occupa tout de suite à chercher un
manuel sur le sujet. L’appel fut lancé dans Le Moniteur et The
Instructor
. On reçut des livres et des manuscrits. Principalement
le livre anglais de I. A. Caldwell, Money, What is it?, que Louis
Even traduisit plus tard en français. Il lui donna le titre de La
monnaie et ses mystères
. Mais c’est une simple brochure de 96 pages
qui lui apporta la lumière recherchée. Elle était intitulée: From
Debt to Prosperity
par J. Crate Larkin, de Buffalo. 

Pour télécharger
gratuitement la version PDF de ce livre, cliquez ici (ou
sur la couverture du livre) (822 Ko)

C’était un résumé
de la doctrine monétaire du Major C. H. Douglas: le Crédit Social.

«Une
lumière sur mon chemin», dit Louis Even. Il se procura les ouvrages de
Douglas. Il reconnut là un ensemble de principes dont l’application
ferait un système monétaire parfait et qui pourrait solutionner la
crise économique. Et, immédiatement, il se dit: «Il faut que tout le
monde connaisse cela.» Il ne songea plus qu’aux moyens de réaliser ce
voeu.


Du
régime de dettes à la prospérité 
par J. Crate Larkin
C’est ce livre qui a fait découvrir
à Louis Even le Crédit Social, et qui lui fit s’écrier: «Voilà une
lumière sur mon chemin!» Ce livre a changé la vie de Louis
Even; il
pourrait changer la vôtre aussi! Ce livre de 112 pages met en valeur
les buts et les fins de l’économie, de l’industrie et de la
technologie. D’une actualité cuisante, c’est un oeuvre mémorable qu’il
vous faut lire absolument.  Prix au comptoir (à nos bureaux de
Rougemont): 5 dollars. Par la poste: 7 dollars pour le Canada, 10 $ pour
les autres pays.
Pour télécharger
gratuitement la version PDF de ce livre, cliquez ici (ou
sur la couverture du livre) (822 Ko)
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