EN FRANCE, UNE LOI INTERDIT DE CONNAÎTRE L’IDENTITÉ DES DÉTENTEURS DE LA DETTE PUBLIQUE ! Cela semble à peine croyable, mais les articles L228-2 du Code du commerce et L 212-4 du Code Monétaire et Financier interdisent la divulgation de l’identité des créanciers de la dette publique, y compris aux représentants. Comment une telle loi a-t-elle put être votée ? On se le demande. Comment, surtout, peut-elle être constitutionnelle ? La constitution prévoit pourtant le droit à l’information des citoyens, or, quelle information est plus nécessaire à des citoyens et des députés, que de savoir qui détient la dette PUBLIQUE ? « Les députés et sénateurs qui votent le budget et le paiement des intérêts de la dette ne savent donc pas à qui ces paiements sont effectués. Des codes régissant le droit privé des affaires rendent ainsi opaque la destination de l’argent public. Source: http://lucien-pons.over-blog.com/2015/06/en-france-une-loi-interdit-de-connaitre-l-identite-des-detenteurs-de-la-dette-publique.html
“Nous avons institutionnalisé la fraude, la fraude dont on ne parle pas… l’abus de la création de monnaie par le système bancaire est au coeur du problème… Tant que nous n’aurons pas traité cette fraude au coeur de notre système, rien d’autre ne sera juste.”
Davos, la grande manipulation qui oublie les Rothschild, les Rockfeller, les Warburg et tous les actionnaires privés de la FED, qui possédent des trillions, plus de la moitié des avoirs mondiaux…
Actionnaires privés historiques des fondateurs de la soi-disant banque centrale des USA, qui est en fait privée comme Federal express,,, Rothschild Bank of London Warburg Bank of Hamburg Rothschild Bank of Berlin Lehman Brothers of New York Kuhn Loeb Bank of New York Israel Moses Seif Banks of Italy Goldman Sachs of New York Warburg Bank of Amsterdam Chase Manhattan Bank of New York Lazard Brothers Bank of Paris
… et par les personnes “morales” suivantes First National Bank of New York, James Stillman National City Bank, New York, Mary W. Harnman National Bank of Commerce, New York, A.D. Juillard Hanover National Bank, New York, Jacob Schiff Chase National Bank, New York, Thomas F. Ryan, Paul Warburg, William Rockefeller, Levi P. Morton, M.T. Pyne, George F. Baker, Percy Pyne, Mrs. G.F. St. George, J.W. Sterling, Katherine St. George, H.P. Davidson, J.P. Morgan (Equitable Life/Mutual Life), Edith Brevour, and T. Baker
et leurs héritiers…
Sans oublier que plus de 54 % de ton salaire part en intérêts “purs”
Paroz Cedric C’est tellement époustouflant que les gens à qui je le dis semblent comme paralysés du cerveau … Ils ne disent plus rien, semblent même ne plus penser … Puis ils parlent d’autre chose … comme si rien ne s’était passé !
INCROYABLE !
Je me demande comment faire passer le message jusqu’à leur cerveau ?
Depuis 2002, les prêts auxPMEde 10 à 50 employés ontbaisséen moyenne de 3,5% par an, soit unebaissede près de 40% depuis treize ans. Source: Bilan, voir plus bas.
En Suisse Donald Trump pourra compter sur les financements de la BNS, l’UBS et le Crédit Suisse… Et notre neutralité, nos valeurs, nos lois ?
Qui serait d’accord d’analyser les mouvements financiers de la BNS , du CS, de l’ UBS dans le nucléaire militaire US ?
Listes ci-dessous…
Commentaires de Liliane Held-Khawam|
La BNS n’investit rien en Suisse. il existe des petits génies dans ce pays qui ont des projets technologiques et énergétiques qui feraient pâlir d’envie les concurrents de la Suisse. Ces projets ne trouvent pas de financement sur le terrain à cause de la politique monétaire de la BNS.
La BNS ne traite ni même n’informe au sujet de la déflation – centrale dans sa mission- qui dure maintenant depuis 2011 (date de l’introduction du taux plancher). Il existe un siphonnage des liquidités mis en place pour servir de manière illimité le casino planétaire. Cette stratégie déflationniste qui casse le pouvoir d’achat du peuple et surtout du pouvoir d’investissement des PME est tout bénéfice pour les financiers qui voient leurs créances prendre de la valeur en même temps que le peuple voit ses revenus baisser.
Pourquoi fait-elle des pertes alors que ses sous-traitants que sont Six group et la SECB (Francfort) réalissent de gigantesques chiffres d’affaires avec de potentiels bénéfices qui ne retournent pas dans ses caisses?
Et voilà la dernière question à laquelle tôt ou tard, les dirigeants de la BNS devront répondre. Quelle est la source du financement des centaines de milliards d’actifs plutôt pourris? Est-ce comme le disent ses ambassadeurs sorts de nulle part et sont le fruit d’une simple écriture? Ou comme nous l’affirmons sur ce site depuis des années, la BNS utiliserait l’argent du pays, créé par les banques commerciales? Cette hypothèse se valide tous les jours plus au vu des décisions prises par la BNS de restreindre l’accès à la LPP, la limitation du retrait y compris des comptes courants, la déflation qui devient structurelle, etc.
La politique monétaire a tout d’une politique morbide pour les suisses frappés d’appauvrissement.
Le collectif AAA+ fait le travail qui aurait dû être mené par les actionnaires « publics » de la BNS. Exigeons un audit complet piloté par les institutions publiques et représentants du peuple. Actuellement Berne ne peut y mettre un orteil. En revanche, les comptes sont certifiés par une entreprise américaine.
13 sept. 2016 – Ces dernières années, les volumes de crédit consentis aux PME stagnent, voire déclinent. Depuis 2002, les prêts aux PME de 10 à 50 employés ont baissé en moyenne de 3,5% par an, soit une baisse de près de 40% depuis treize ans.
Neuf propositions refusées
Le conseil de banque a refusé de soumettre neuf des dix propositions à l’assemblée générale au motif qu’elles ne portent pas «sur le cadre constitutif de la BNS sous l’angle du droit des sociétés». Comme ces dernières «visent à attribuer de nouvelles tâches à la BNS ou à implémenter de nouveaux concepts de politique monétaire, elles n’entrent pas dans les attributions de l’assemblée générale.»
La proposition figurant à l’ordre du jour est donc la seule qui a été retenue par le conseil de banque. Mais du fait que la BNS ne dispose pas des compétences pour agir dans le sens voulu par les actionnaires, elle a été transformée en une proposition de révision de la loi sur la banque nationale à l’intention de l’Assemblée fédérale.
La décision du conseil de banque choque le collectif AAA+: «Il est incompréhensible et difficilement admissible qu’un organe dont ce n’est pas la compétence se permette d’écarter de l’ordre du jour, neuf de nos propositions, en les déclarant irrecevables.»
… En Suisse Donald Trump pourra compter sur l’UBS et le Crédit Suisse, acteurs incontournables du schiste et du charbon aux USA, ainsi que sur l’appui inconditionnel et quasi religieux de Jean Studer, Président de la Banque Nationale Suisse (BNS).La BNS est déjà l’un des plus grand actionnaire mondial d’ExxonMobil. Les actifs de la Banque dans le charbon et le schiste américain se chiffrent en milliards $. Magnifique destin de cet homme politique méconnu des montagnes neuchâteloises qui devient l’un des acteur de la politique énergétique de Washington.
Gaz de Schiste: la Banque Nationale Suisse est en train de vivre un enfer avec les 3 milliards $ qu'elle a investi dans les actions de compagnies américaines actives dans le gaz de schiste, le pétrole et le charbon.
Avec la chute du baril de pétrole, la valorisation boursière de la BNS dans ces énergies fossiles a perdu 899 millions $ depuis juin 2014. 11 entreprises ont déjà fait faillites pour une perte sèche de 49 millions $. Le gouffre financier devrait dépasser le milliard $ d'ici à la fin septembre 2015.
Fait d'autant plus étrange, malgré la chute de plus de 50% des actions du secteur, les brookers mandatés par la BNS (probablement UBS et Goldman Sachs) continuent d'investir dans des junk bond dans les domaines interdits par la charte éthique de la banque.
Le pétrole, charbon et schiste ne sont pas les seules acquisitions qui transgressent la charte éthique de la Banque puisqu’elle investi également dans les armes à sous-munition et les OGM transgéniques. Au total, c’est une aide de plus de 37 milliards $ que la BNS apporte aux entreprises américaines.
En chiffres
Selon les chiffres que nous avons analysés, sur les 70 entreprises qui ont bénéficié de la manne fiancière de la BNS, 11 ont déjà fait faillites avec une perte nette de 49'810'00 $. (49 millions).
Depuis juin 2014, la valeur des actions achetées par la BNS dans le schiste, le charbon et le pétrole américain se monte à plus de 3 milliards $ et le montant de ses actifs dans ce secteur au 30 juin 2015 se monte à 2,2 milliards $.
La perte de valeur entre 30 juin 2014 et le 30 juin 2015 est 772'361'000 $ (772 millions).
La perte de valeur entre le 30 juin 2015 et le 1 septembre 2015: 127'159'000 $ (127 millions)
Le perte de valeur du 30 juin 2014 au 1 septembre 2015: 899 millions $
La perte, y compris les 11 entreprises qui ont fait faillites: 948 millions $
La Banque Nationale Suisse ne désire pas commenter ces chiffres. Elle précise qu'elle achète certains indices du marché (bien qu'aucun indice soit répertorié dans le gaz de schiste) et que sa politique d'investissement n'est pas publique.
Investir en Suisse
Malgré les interpellations des journalistes, la BNS continue d’investir dans le schiste américain et les prochains chiffes au 30 septembre 2015 montreront si la Banque est en train de prendre des mesures pour corriger ses investissements. De plus en plus de voix s'élèvent pour que l'institution rapatrie cet argent et aide l'innovation et les PME suisses.
Liste partielle des entreprises US financées par la BNS sur 2500
When financial institutions invest in companies involved in nuclear weapons, they provide the financing to maintain, refurbish, test, and modernise nuclear weapons. All of the nuclear armed countries are modernising their arsenals, but only some of the work is done by companies that are not state controlled.
This overview shows some of the companies involved in the production of nuclear weapons key components for the arsenals in France, India, Israel, the United Kingdom and the United States. This is not an exhaustive list, but meant to be illustrative of the broad range of actors involved in the ongoing production, maintenance and modernisation of nuclear weapons.
To our knowledge, the arsenals of China, DPRK, Israel, Pakistan and Russia are not outsourced to private companies.
Pour votre information voici un petit extrait du message du CF au parlement en préparation de la nouvelle loi de 2002.
La doctrine suisse estime que la BNS n’est une société anonyme qu’en apparence. En vérité, il s’agit d’une «construction hybride (singulière) composée d’un établissement de droit public et d’une corporation de droit public. Malgré sa forme extérieure de société anonyme, la BNS s’apparente davantage à un établissement de droit public» 79. Des analyses récentes portant sur la nature juridique de la BNS tendent également à confirmer que l’on se trouve en présence d’un quasi-établissement de droit public 80. D’autres auteurs relèvent le caractère dualiste qui permet à la BNS d’agir comme un sujet du droit privé tout en bénéficiant de la position d’une autorité souveraine 81. Avec du recul, ces conceptions peuvent se justifier. Si l’on dépasse les aspects purement formels, en effet, il n’est plus possible de prétendre que les actionnaires sont les propriétaires de la BNS. Cela ressort entre autres des prescriptions concernant la liquidation de la BNS (art. 68 LBN). En cas de liquidation, les actionnaires ne peuvent pas participer à la substance de la BNS au-delà du capital social versé. L’excédent d’actifs passerait à la nouvelle banque centrale de la Confédération. En d’autres termes, il est affecté aux tâches de la banque centrale. Les réserves de devises sont par conséquent désignées à juste titre comme une fortune appartenant au peuple.
Trump tient sa promesse, il remet en question l’indépendance de la FED et Bâle III !
… Les structures secrètes de ces instances internationales ( Bâle III, assurances, dérivés, banques de l’ombre … ) doivent également être réévaluées. …
Premier avertissement sévère adressé à la Fed, alias Federal Reserve Board ou Federal Reserve Bank alias Federal Reserve System… ou la “Réserve fédérale” qui n’est ni fédérale, ni publique, ni une réserve, ni une banque, mais un énorme mensonge qui suce le sang du monde entier par milliards de $ …
Cher Président Yellen:
Je vous écris au sujet de la poursuite de la participation de la Réserve fédérale dans les forums internationaux sur la réglementation financière.
« En dépit du message clair de Donald Trump donnant la priorité à la défense des intérêts américains dans les négociations internationales, il apparaît que la Fed continue de négocier des standards internationaux pour réguler les institutions financières avec des bureaucrates internationaux dans des pays étrangers, sans transparence, sans en rendre compte, et sans en avoir l’autorité » C’est inacceptable. La poursuite de la participation à des forums internationaux tels que le Conseil de stabilité financière, le Comité de Bâle sur la supervision bancaire et l’Association internationale des contrôleurs d’assurance repose sur la réalisation des objectifs fixés par la nouvelle administration. Cela nécessitera probablement un examen complet des accords passés qui ont injustement pénalisés du système financier américain dans des domaines aussi variés que le capital des banques, l’assurance, les produits dérivés, le risque systémique, et la gestion d’actifs. Les structures secrètes de ces instances internationales doivent également être réévaluées. Des Accords comme les Accords de Bâle III ont été négociés et convenus par la Réserve fédérale avec peu d’informations au public américain, et ont été le résultat d’un processus de prise de décision opaque.
« Les standards internationaux ont ensuite été transposés dans la régulation nationale qui a forcé les entreprises américaines de différentes tailles à relever substantiellement leur niveau de capital, conduisant à une croissance économique plus faible ici en Amérique »…
Il incombe à tous les organismes de réglementation de soutenir l’économie des États-Unis, et d’examiner les accords internationaux qui tuent les emplois américains. « La Réserve Fédérale doit cesser toute tentative de négocier des standards contraignants pesant sur les sociétés américaines, jusqu’à ce que le président Trump ait l’opportunité de nommer des représentants donnant la priorité aux meilleurs intérêts de l’Amérique. » Cordialement,
Comité des services financiers Patrick McHenry Le Vice-Président
Imprimé sur papier recyclé
« Si le peuple américain permet un jour aux banques privées de contrôler l’émission de la monnaie, d’abord par inflation, puis par déflation, les banques et les corporations qui croîtraient autour d’elles déposséderaient le peuple de toute propriété jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans logis, sur le continent que leurs pères ont conquis. » (Thomas Jefferson) .
Priez pour eux, ils risquent la mort, comme les Kennedy, Lincoln, Garfield, Jackson, McFadden, …, voir plus bas une liste partielle…
June 2016: during Trump’s presidential campaign, Michael Steven Sandford attempted to assassinate Trump by seizing a police officer’s sidearm during a rally in Las Vegas, Nevada in order to prevent him from becoming President.[59]
CITATIONS SUR LA NOCIVITÉ DES FINANCIERS
Maurice
Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
Par essence, la création monétaire ex nihilo que
pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les
gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par
des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle
aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent
sont différents.
Henry
Makow
Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui
correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le
monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser.
Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront
la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs
alliés ont tout acheté et tout le monde.
Mécanique de l’argent moderne, Banque de Réserves Fédérale de Chicago.
Le processus proprement dit de la création monétaire se
passe principalement dans les banques… les banquiers ont découvert qu’ils
pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des
billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à
créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des
billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les
créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les
emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, «
imprimant de ce fait » leur propre argent.
Woodrow
Wilson, ancien président des Etats-Unis
Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le
domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent
qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante,
si cohérente, si complète, si persuasive… Qu’ils font bien, lorsqu’ils en
parlent, de parler doucement.
John
Kenneth Galbraith, économiste
Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est
tellement simple que l’esprit en est dégoûté.
Graham
F. Towers, gouverneur de la
Banque du Canada 1934-54
Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit
bancaire est créé. De l’argent tout neuf.
Napoléon
Bonaparte, Empereur Français (1769-1821)
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour
l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui
contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui
reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de
patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
David
Rockefeller, Commission Trilatérale, 1991
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York
Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs
ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis
presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre
projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité
durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à
l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une
élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination
nationale des siècles passés.
Rothschild
Brothers of London
Les quelques personnes qui comprennent le système (argent
et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre,
soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune
opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables
d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront
leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système
ne sert aucunement leurs intérêts
William
Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de
crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la
plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du
Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation
abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure,
une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
Abraham
Lincoln, président des Etats-Unis, assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler
toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses
du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces
principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en
intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement
la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
James
A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays
est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous
réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou
d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin
qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation
apparaissent.
John
Adams, père fondateur de la
Constitution américaine
Il
y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation, l’une est par les
armes, l’autre par la dette.
Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en
Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du
désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des
devises, du crédit, et de la circulation.
Woodrow
Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921
Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment
ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de
crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de
notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les
mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les
plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par
la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un
petit groupe d’hommes dominants.
Benjamin
Franklin
L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir
d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des
banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance.
Sir
Josiah Stamp, Directeur de la
Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre
à cette époque)
Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir
de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui
fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le
pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le
pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent
pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la
mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde
meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des
banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers
continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
Léon
Tolstoï
L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se
distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a
pas de relation humaine entre le maître et l’esclave
Encyclopædia
Britannica, 14ème Edition
Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire
que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent
aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au
volume d’argent de la communauté.
Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875
Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui
devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux
banques.
M.
Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8
juin 1939
Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le
contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire).
Andrew
Gause, historien de la monnaie
Une chose à comprendre à propos de notre système de
réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi
longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants.
Irving
Fisher, économiste et auteur
Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la
merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent,
mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas.
Marriner
S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed
S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait
aucun argent.
Abraham
Lincoln, Président des Etats-Unis, assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la
circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin
de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption
de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un
gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au
service de l’humanité.
Mayer Amshel Rothschild (1743-1812)
Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources
monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.
Charles
A. Lindbergh
Le système financier est devenu la Banque centrale américaine
(Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au
moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif
consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant
l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve
de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le
gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent
peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à
quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime
de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de
loi.
American’s
Bulletin
Nous avons été communisés : la production doit être
régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou …. la fraude
du crédit bancaire au détriment du public sera révélée
Henry
Ford
La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera
plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire
Louis
McFadden, banquier et politicien étasunien
Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les
plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine.
Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené
notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses
des vautours qui contrôlent cette situation. Un super-état dirigé par les
banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir
pour asservir le monde
Robert
H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie
Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous
prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement,
sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble,
l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais
il en est ainsi.
1924
US Banker’s Association Magazine
Le capital doit assurer sa propre protection par tous les
moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent
être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible.
Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus
de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être
dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux
acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités
sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à
créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants
grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent
toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc
grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous
avons si bien planifié et accompli.
Wright
Patman, membre démocrate du Congrès, 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975.
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et
rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son
propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela
soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous
accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans
rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
George Brock Chisholm.
Ex-directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé« Pour mettre en place un gouvernement
mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur
fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes
religieux ».
J. Edgar Hoover.Directeur du FBI de 1924 jusqu’à sa mort en
1972 «
L’individu est paralysé en se retrouvant face à face avec une conspiration si
monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe ».
Benjamin Disraeli (Homme d’état britannique) “le
monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux
dont l’œil ne plonge pas derrière les coulisses”.
Albert Pike(Franc-maçon américain, grand maître du 33ème degré) “Notre complot sera révélé. Les Nations
se retourneront contre nous avec esprit de revanche et notre domination sur
elles ne sera jamais réalisée“.
Lenine
Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant
consiste à corrompre la monnaie.
Trouvé dans le livre de la jungle : “Derrière
le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas
fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité. Anéantir ce
gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires
corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l’homme
d’Etat”.
(Dieter Rüggeberg : “Geheimpolitik”,
p.75)
David Rockefeller, Mémoires, 2002
Certains
croient que nous (la famille
Rockefeller) faisons partie d’une
cabale secrète travaillant contre les intérêts des États-Unis. Ils nous
traitent d’internationalistes, nous accusent de conspirer avec d’autres de par
le monde pour construire une structure politique et économique mondiale
intégrée – un gouvernement mondial, si vous préférez. Si c’est là l’accusation,
je plaide coupable, et avec fierté ! ” – David Rockefeller, Mémoires,
2002
James Madison, 4e président des USA de 1809
à 1817: L’histoire relate que les banquiers ont
utilisé toutes sortes d’abus, intrigues, supercheries et violences possibles
pour obtenir le contrôle des gouvernements en contrôlant l’argent et son
émission.
George Brock Chisholm. Ex-directeur de
l’Organisation Mondiale de la Santé: Pour mettre en
place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur
individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme
national, et leurs dogmes religieux.
People Who Opposed the Central Banking Scheme
The Signers of the Constitution The Revolution was fought for Independence from England’s Central Banking System, as well as for Freedom from English Taxation. Many of the Signers lost everything, and some, their lives, in this English War of Conquest.
Those who fought and died in the War of 1812 Another English War of Conquest- The Bank of England financed this renewed attempt to get control of our Commerce, Trade, and Money Systems. BEN FRANKLIN – THE TWO BANKING SYSTEMS From the autobiography of Ben Franklin, as reported by Gertrude Coogan in “Money Creators”: …the inability of the colonists to get the power to issue their own money permanently out of the hands of George III and the international bankers was the PRIME reason for the Revolutionary War. Ben Franklin answering a question about the booming economy of the young colonies: “That is simple. In the colonies we issue our own money. It is called Colonial Scrip. We issue it in proper proportions to the demands of trade and industry.” (Colonial Scrip had no debt or interest attached.
Alexander Hamilton-(1755-1804) Founded the first central bank in the United States. International bankers saw that interest-free scrip would keep America free of their influence, so by 1781 banker-backed Alexander Hamilton succeeded in starting the Bank of America. After a few years of “bank money”, the prosperity of “Colonial Scrip” was gone. Benjamin Franklin said, “Conditions were so reversed that the era of prosperity had ended and a depression set in to such an extent that the streets of the Colonies were filled with the unemployed!” Bank money was like our FED money. It had debt and interest attached. By 1790 Hamilton and his bankers had created a privately owned central bank and converted the public debt (interest-free) into interest bearing bonds, payable to the bankers. When Hamilton’s bank charter expired in 1811, the international bankers started the war of 1812. By 1816, another privately-owned U.S. bank was started with $35 million in assets – only $7 million of that was owned by the government. This bank lasted for 20 years. U.S. history shows that currency with debt and interest attached created a depression. {Alexander Hamilton was killed in a duel, in 1804 by Aaron Burr, a British Sympathizer.}
Napoleon Bonaparte-(1769-1821) Emperor of France(1804-1815) Had a free hand in Europe as long as he borrowed from the Bank of Rothschilds. When he quit borrowing he was attacked by the English. Napoleon, a sympathizer for the international bankers, turned against them in the last years of his rule. He said: “When a government is dependent upon bankers for money, they and not the leaders of the government control the situation, since the hand that gives is above the hand that takes… Money has no motherland; financiers are without patriotism and without decency; their sole object is gain.”
Andrew Jackson, 7th U.S. President, 1829-1824 When the 1816 charter expired in 1836, Andrew Jackson vetoed its renewal. See Jackson’s Veto Message to Congress It was then that he made two famous statements: “The Bank is trying to kill me – but I will kill it!” Later he said “If the American people only understood the rank injustice of our money and banking system – there would be a revolution before morning…”
Abraham Lincoln-(1809-1865) the 16th President of the U.S.-Assassinated while in Office. In his First Inaugural Address, Lincoln made a point to discuss the role of Capital and Labor. Significant national issues were, at that time, in the first official speech, immediately after a Presidential Election. Lincoln spoke on finances and government: “In his First Annual Message to Congress, December 3, 1861, Abraham Lincoln stated: “Labor is prior to, and independent of, capital. Capital is only the fruit of labor, and could never have existed, if labor had not first existed. Labor is the superior of capital, and deserves much the higher consideration. Capital has its rights, which are as worthy of protection as any other rights.” President Lincoln needed money to finance the Civil War, and the international bankers offered him loans at 24-36% interest. Lincoln balked at their demands because he didn’t want to plunge the nation into such a huge debt. Lincoln approached Congress about passing a law to authorize the printing of U.S. Treasury Notes. Lincoln said “We gave the people of this Republic the greatest blessing they ever had – their own paper money to pay their debts…” Lincoln printed over 400 million “Greenbacks” (debt and interest-free) and paid the soldiers, U.S. government employees, and bought war supplies. The international bankers didn’t like it and wanted Lincoln to borrow the money from them, so that the American people would owe tremendous interest on the loan. Lincoln’s solution made this seem ridiculous. Shortly after Lincoln’s death, the government revoked the Greenback law which ended Lincoln’s debt-free, interest-free money. A new national banking act was enacted and all currency became interest-bearing, debt instruments, again.
James A. Garfield-(1831-1881) 20th President of the United States. Assassinated in Office. President James A. Garfield said: “Whoever controls the money in any country is absolute master of industry [legislation] and commerce”.
Louis T. McFadden,-Chairman of the House Banking Committee-(1928-1935) After two attempts on his life in 1933-1934, McFadden died “mysteriously” in 1935.
See His Comments in the Essay on Colonial Scrip. John F. Kennedy -(1917-1963)-35th President of the United States- Assassinated in Office. On June 4, 1963, President Kennedy issued Executive Order 11110.
This Executive Order called for the issuance of new currency – the United States Note. At the time, $4,292,893 of this currency was put into circulation. This new currency was to be distributed through the U.S. Treasury and not the Federal Reserve System. Furthermore, it was to be issued debt and interest-free. Upon Kennedy’s assassination, this currency was withdrawn from circulation, never to be issued again. See Kennedy Solution
I am writing regarding the Federal
Reserve’s continued participation in international forums on financial
regulation. Despite the clear message delivered by President Donald Trump in
prioritizing America’s interest in international negotiations, it appears that
the Federal Reserve continues negotiating international regulatory standards
for financial institutions among global bureaucrats in foreign lands without
transparency, accountability, or the authority to do so.
This is unacceptable.
Continued participation in international
forums such as the Financial Stability Board, the Basel Committee on Banking
and Supervision, and the International Association of Insurance Supervisors is
predicated on achieving the objectives set by the new Administration. That
will likely require a comprehensive review of past agreements that unfairly
penalized the American financial system in areas as varied as bank capital,
insurance, derivatives, systemic risk, and asset management.
The secretive structures of these international
forums must also be reevaluated. Agreements like the Basel III Accords were
negotiated and agreed to by the Federal Reserve with little notice to the
American public, and were the result of an opaque, decision-making process. The
international standards were then turned into domestic regulations that forced
American firms of various sizes to substantially raise their capital
requirements, leading to slower economic growth here in America.
It is incumbent upon all regulators to
support the US. economy, and scrutinize international agreements that are
killing American jobs. Accordingly, the Federal Reserve must cease all attempts
to negotiate binding standards burdening American business until President
Trump has had an opportunity to nominate and appoint officials that prioritize
America’s best interests.
Sincerely,
Patrick McHen1y Vice Chairman
Financial Services Committee
PRINTED ON RECYCLED PAPER
Priez pour eux, ils risquent la mort, comme les Kennedy, Lincoln, Garfield
Les Rothschild, les Rockfeller, les Warburg et tous les actionnaires privés de la FED, qui possèdent des trillions, plus de la moitié des avoirs mondiaux, avec leurs banques et assurances, sont derrière les guerres, révolutions, … Actionnaires privés historiques des fondateurs de la soi-disant banque centrale des USA, qui est en fait privée comme Federal express,,, Rothschild Bank of London Warburg Bank of Hamburg Rothschild Bank of Berlin Lehman Brothers of New York Kuhn Loeb Bank of New York Israel Moses Seif Banks of Italy Goldman Sachs of New York Warburg Bank of Amsterdam Chase Manhattan Bank of New York Lazard Brothers Bank of Paris
… et par les personnes “morales” suivantes First National Bank of New York, James Stillman National City Bank, New York, Mary W. Harnman National Bank of Commerce, New York, A.D. Juillard Hanover National Bank, New York, Jacob Schiff Chase National Bank, New York, Thomas F. Ryan, Paul Warburg, William Rockefeller, Levi P. Morton, M.T. Pyne, George F. Baker, Percy Pyne, Mrs. G.F. St. George, J.W. Sterling, Katherine St. George, H.P. Davidson, J.P. Morgan (Equitable Life/Mutual Life), Edith Brevour, and T. Baker
Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence
Published 1976
Chart 1 reveals the linear connection between the Rothschilds and the Bank of England, and the London banking houses which ultimately control the Federal Reserve Banks through their stockholdings of bank stock and their subsidiary firms in New York. The two principal Rothschild representatives in New York, J. P. Morgan Co., and Kuhn,Loeb & Co. were the firms which set up the Jekyll Island Conference at which the Federal Reserve Act was drafted, who directed the subsequent successful campaign to have the plan enacted into law by Congress, and who purchased the controlling amounts of stock in the Federal Reserve Bank of New York in 1914. These firms had their principal officers appointed to the Federal Reserve Board of Governors and the Federal Advisory Council in 1914. In 1914 a few families (blood or business related) owning controlling stock in existing banks (such as in New York City) caused those banks to purchase controlling shares in the Federal Reserve regional banks. Examination of the charts and text in the House Banking Committee Staff Report of August, 1976 and the current stockholders list of the 12 regional Federal Reserve Banks show this same family control.
N.M. Rothschild , London - Bank of England
______________________________________
| |
| J. Henry Schroder
| Banking | Corp.
| |
Brown, Shipley - Morgan Grenfell - Lazard - |
& Company & Company Brothers |
| | | |
--------------------| -------| | |
| | | | | |
Alex Brown - Brown Bros. - Lord Mantagu - Morgan et Cie -- Lazard ---|
& Son | Harriman Norman | Paris Bros |
| | / | N.Y. |
| | | | | |
| Governor, Bank | J.P. Morgan Co -- Lazard ---|
| of England / N.Y. Morgan Freres |
| 1924-1938 / Guaranty Co. Paris |
| / Morgan Stanley Co. | /
| / | Schroder Bank
| / | Hamburg/Berlin
| / Drexel & Company /
| / Philadelphia /
| / /
| / Lord Airlie
| / /
| / M. M. Warburg Chmn J. Henry Schroder
| | Hamburg --------- marr. Virginia F. Ryan
| | | grand-daughter of Otto
| | | Kahn of Kuhn Loeb Co.
| | |
| | |
Lehman Brothers N.Y -------------- Kuhn Loeb Co. N. Y.
| | --------------------------
µ
| | | |
8
| | | |
Lehman Brothers - Mont. Alabama Solomon Loeb Abraham Kuhn
| | __|______________________|_________
Lehman-Stern, New Orleans Jacob Schiff/Theresa Loeb Nina Loeb/Paul Warburg
------------------------- | | |
| | Mortimer Schiff James Paul Warburg
_____________|_______________/ |
| | | | |
Mayer Lehman | Emmanuel Lehman
| | |
Herbert Lehman Irving Lehman
| | |
Arthur Lehman Phillip Lehman John Schiff/Edith Brevoort Baker
/ | Present Chairman Lehman Bros
/ Robert Owen Lehman Kuhn Loeb - Granddaughter of
/ | George F. Baker
| / |
| / |
| / Lehman Bros Kuhn Loeb (1980)
| / |
| / Thomas Fortune Ryan
| | |
| | |
Federal Reserve Bank Of New York |
|||||||| |
______National City Bank N. Y. |
| | |
| National Bank of Commerce N.Y ---|
| |
| Hanover National Bank N.Y.
| |
| Chase National Bank N.Y.
| |
| |
Shareholders - National City Bank - N.Y. |
----------------------------------------- |
| /
James Stillman /
Elsie m. William Rockefeller /
Isabel m. Percy Rockefeller /
William Rockefeller Shareholders - National Bank of Commerce N. Y.
J. P. Morgan -----------------------------------------------
M.T. Pyne Equitable Life - J.P. Morgan
Percy Pyne Mutual Life - J.P. Morgan
J.W. Sterling H.P. Davison - J. P. Morgan
NY Trust/NY Edison Mary W. Harriman
Shearman & Sterling A.D. Jiullard - North British Merc. Insurance
| Jacob Schiff
| Thomas F. Ryan
| Paul Warburg
| Levi P. Morton - Guaranty Trust - J. P. Morgan
|
|
Shareholders - First National Bank of N.Y.
-------------------------------------------
J.P. Morgan
George F. Baker
George F. Baker Jr.
Edith Brevoort Baker
US Congress - 1946-64
|
|
|
|
|
Shareholders - Hanover National Bank N.Y.
------------------------------------------
James Stillman
William Rockefeller
|
|
|
|
|
Shareholders - Chase National Bank N.Y.
---------------------------------------
George F. Baker
Chart 2
Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence
– Published 1983
The J. Henry Schroder Banking Company chart encompasses the entire history of the twentieth century, embracing as it does the program (Belgium Relief Commission) which provisioned Germany from 1915-1918 and dissuaded Germany from seeking peace in 1916; financing Hitler in 1933 so as to make a Second World War possible; backing the Presidential campaign of Herbert Hoover ; and even at the present time, having two of its major executives of its subsidiary firm, Bechtel Corporation serving as Secretary of Defense and Secretary of State in the Reagan Administration.
The head of the Bank of England since 1973, Sir Gordon Richardson, Governor of the Bank of England (controlled by the House of Rothschild) was chairman of J. Henry Schroder Wagg and Company of London from 1963-72, and director of J. Henry Schroder,New York and Schroder Banking Corporation,New York,as well as Lloyd’s Bank of London, and Rolls Royce. He maintains a residence on Sutton Place in New York City, and as head of “The London Connection,” can be said to be the single most influential banker in the world.
J. Henry Schroder
-----------------
|
|
|
Baron Rudolph Von Schroder
Hamburg - 1858 - 1934
|
|
|
Baron Bruno Von Schroder
Hamburg - 1867 - 1940
F. C. Tiarks |
1874-1952 |
| |
marr. Emma Franziska |
(Hamburg) Helmut B. Schroder
J. Henry Schroder 1902 |
Dir. Bank of England |
Dir. Anglo-Iranian |
Oil Company J. Henry Schroder Banking Company N.Y.
|
|
J. Henry Schroder Trust Company N.Y.
|
|
|
___________________|____________________
| |
Allen Dulles John Foster Dulles
Sullivan & Cromwell Sullivan & Cromwell
Director - CIA U. S. Secretary of State
Rockefeller Foundation
Prentiss Gray
------------
Belgian Relief Comm. Lord Airlie
Chief Marine Transportation -----------
US Food Administration WW I Chairman; Virgina Fortune
Manati Sugar Co. American & Ryan daughter of Otto Kahn
British Continental Corp. of Kuhn,Loeb Co.
| |
| |
M. E. Rionda |
------------ |
Pres. Cuba Cane Sugar Co. |
Manati Sugar Co. many other |
sugar companies. _______|
| |
| |
G. A. Zabriskie |
--------------- | Emile Francoui
Chmn U.S. Sugar Equalization | --------------
Board 1917-18; Pres Empire | Belgian Relief Comm. Kai
Biscuit Co., Columbia Baking | Ping Coal Mines, Tientsin
Co. , Southern Baking Co. | Railroad,Congo Copper, La
| Banque Nationale de Belgique
Suite 2000 42 Broadway | N. Y |
__________________________|___________________________|_
| | |
| | |
Edgar Richard Julius H. Barnes Herbert Hoover
------------- ---------------- --------------
Belgium Relief Comm Belgium Relief Comm Chmn Belgium Relief Com
Amer Relief Comm Pres Grain Corp. U.S. Food Admin
U.S. Food Admin U.S. Food Admin Sec of Commerce 1924-28
1918-24, Hazeltine Corp. 1917-18, C.B Pitney Kaiping Coal Mines
| Bowes Corp, Manati Congo Copper, President
| Sugar Corp. U.S. 1928-32
|
|
|
John Lowery Simpson
-------------------
Sacramento,Calif Belgium Relief |
Comm. U. S. Food Administration Baron Kurt Von Schroder
Prentiss Gray Co. J. Henry Schroder -----------------------
Trust, Schroder-Rockefeller, Chmn Schroder Banking Corp. J.H. Stein
Fin Comm, Bechtel International Bankhaus (Hitler's personal bank
Co. Bechtel Co. (Casper Weinberger account) served on board of all
Sec of Defense, George P. Schultz German subsidiaries of ITT . Bank
Sec of State (Reagan Admin). for International Settlements,
| SS Senior Group Leader,Himmler's
| Circle of Friends (Nazi Fund),
| Deutsche Reichsbank,president
|
|
Schroder-Rockefeller & Co. , N.Y.
---------------------------------
Avery Rockefeller, J. Henry Schroder
Banking Corp., Bechtel Co., Bechtel
International Co. , Canadian Bechtel
Company. |
|
|
|
Gordon Richardson
-----------------
Governor, Bank of England
1973-PRESENT C.B. of J. Henry Schroder N.Y.
Schroder Banking Co., New York, Lloyds Bank
Rolls Royce
Chart 3
Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence
– Published 1976
The David Rockefeller chart shows the link between the Federal Reserve Bank of New York,Standard Oil of Indiana,General Motors and Allied Chemical Corportion (Eugene Meyer family) and Equitable Life (J. P. Morgan).
DAVID ROCKEFELLER
----------------------------
Chairman of the Board
Chase Manhattan Corp
|
|
______|_______________________
Chase Manhattan Corp. |
Officer & Director Interlocks|---------------------
------|----------------------- |
| |
Private Investment Co. for America Allied Chemicals Corp.
| |
Firestone Tire & Rubber Company General Motors
| |
Orion Multinational Services Ltd. Rockefeller Family & Associates
| |
ASARCO. Inc Chrysler Corp.
| |
Southern Peru Copper Corp. Intl' Basic Economy Corp.
| |
Industrial Minerva Mexico S.A. R.H. Macy & Co.
| |
Continental Corp. Selected Risk Investments S.A.
| |
Honeywell Inc. Omega Fund, Inc.
| |
Northwest Airlines, Inc. Squibb Corporation
| |
Northwestern Bell Telephone Co. Olin Foundation
| |
Minnesota Mining & Mfg Co (3M) Mutual Benefit Life Ins. Co. of NJ
| |
American Express Co. AT & T
| |
Hewlett Packard Pacific Northwestern Bell Co.
| |
FMC Corporation BeachviLime Ltd.
| |
Utah Intl' Inc. Eveleth Expansion Company
| |
Exxon Corporation Fidelity Union Bancorporation
| |
International Nickel/Canada Cypress Woods Corporation
| |
Federated Capital Corporation Intl' Minerals & Chemical Corp.
| |
Equitable Life Assurance Soc U.S. Burlington Industries
| |
Federated Dept Stores Wachovia Corporation
| |
General Electric Jefferson Pilot Corporation
| |
Scott Paper Co. R. J. Reynolds Industries Inc.
| |
American Petroleum Institute United States Steel Corp.
| |
Richardson Merril Inc. Metropolitan Life Insurance Co.
| |
May Department Stores Co. Norton-Simon Inc.
| |
Sperry Rand Corporation Stone-Webster Inc.
| |
San Salvador Development Company Standard Oil of Indiana
Chart 4
Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence
– Published 1976
This chart shows the interlocks between the Federal Reserve Bank of New York J. Henry Schroder Banking Corp., J. Henry Schroder Trust Co., Rockefeller Center, Inc., Equitable Life Assurance Society ( J.P. Morgan), and the Federal Reserve Bank of Boston.
Alan Pifer, President
Carnegie Corporation
of New York
----------------------
|
|
----------------------
Carnegie Corporation
Trustee Interlocks --------------------------
---------------------- |
| |
Rockefeller Center, Inc J. Henry Schroder Trust Company
| |
The Cabot Corporation Paul Revere Investors, Inc.
| |
Federal Reserve Bank of Boston Qualpeco, Inc.
|
Owens Corning Fiberglas
|
New England Telephone Co.
|
Fisher Scientific Company
|
Mellon National Corporation
|
Equitable Life Assurance Society
|
Twentieth Century Fox Corporation
|
J. Henry Schroder Banking Corporation
Chart 5
Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence
– Published 1976
This chart shows the link between the Federal Reserve Bank of New York, Brown Brothers Harriman,Sun Life Assurance Co. (N.M. Rothschild and Sons), and the Rockefeller Foundation.
Maurice F. Granville
Chairman of The Board
Texaco Incorporated
----------------------
|
|
Texaco Officer & Director Interlocks ---------------- Liggett & Myers, Inc.
------------------------------------ |
| |
| |
L Arabian American Oil Company St John d'el Ray Mining Co. Ltd.
O | |
N Brown Brothers Harriman & Co. National Steel Corporation
D | |
O Brown Harriman & Intl' Banks Ltd. Massey-Ferguson Ltd.
N | |
American Express Mutual Life Insurance Co.
| |
N. American Express Intl' Banking Corp. Mass Mutual Income Investors Inc.
M. | |
Anaconda United Services Life Ins. Co.
R | |
O Rockefeller Foundation Fairchild Industries
T | |
H Owens-Corning Fiberglas Blount, Inc.
S | |
C National City Bank (Cleveland) William Wrigley Jr. Co
H | |
I Sun Life Assurance Co. National Blvd. Bank of Chicago
L | |
D General Reinsurance Lykes Youngstown Corporation
| |
General Electric (NBC) Inmount Corporation
** Source: Federal Reserve Directors: A Study of Corporate and Banking Influence. Staff Report,Committee on Banking,Currency and Housing, House of Representatives, 94th Congress, 2nd Session, August 1976.
[END]
6 janv. 2013 – La Réserve Fédérale, alias la FED, qui est privée de facto, a été créée le 22.12.1913. Sa concession est de 99 ans donc la date d’échéance est …
8 juil. 2009 – Vidéos explicatives par François de Siebenthal sur youtube, … The moral hazard facing this country is the FED simply because they are a …
22 déc. 2016 – Pourquoi la Croix qui est encore sur la coupole fédérale est-elle absente du site internet de la Confédération, du papier à en-tête officiel des …
9 nov. 2016 – La Réserve fédérale, la FED, une escroquerie “légale” mondiale.
Finalising Basel III reforms
3 January 2017
Press release
The Group of Central Bank Governors and Heads of Supervision (GHOS), the oversight body of the Basel Committee on Banking Supervision, welcomes the progress made towards completing the Basel Committee’s post-crisis regulatory reforms.
However, more time is needed to finalise some work, including ensuring the framework’s final calibration, before the GHOS can review the package of proposals. A meeting of the GHOS, originally planned for early January, has therefore been postponed. The Committee is expected to complete this work in the near future.
“Completing Basel III is an important step towards restoring confidence in banks’ risk-weighted capital ratios, and we remain committed to that goal,” said Mario Draghi, Chairman of the GHOS and President of the European Central Bank.
Stefan Ingves, Chairman of the Basel Committee and Governor of Sveriges Riksbank, said that the Committee will continue to work on outstanding details. “The Committee will keep working to finalise its reforms aimed at fixing shortcomings highlighted by the financial crisis to make banks safer and more resilient,” he stated.
About the Basel Committee and the GHOS
The Basel Committee comprises 45 members from 28 jurisdictions, consisting of central banks and authorities with formal responsibility for the supervision of banking business. The Committee reports to the central bank Governors and (non-central bank) heads of supervision from the Committee’s members. Further information about the Committee, its membership, and its organisation and governance is available at www.bis.org/bcbs/about.htm.
9 oct. 2013 – At least, the SNB controls and limits the money creation and the profits are going mostly, by billions each year, to the states of the swiss …
28 nov. 2010 – At least 5 countries have NO limits in money creation…by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich, i.e. a 0 ( zero, none ) limit, that means private …
16 juin 2012 – But of course if the truth of money creation, ownership and management were taught in Schools that would let the cat out of the bag and …
16 oct. 2013 – The new money is not coming from taxes or salaries but from the money creationactually given to the bankers by billions or even quadrillions.
9 oct. 2013 – Money creation management by the Swiss National Bank. We are against the system of interest rate, see vix pervenit http://www.ewtn.com/library/ …
20 août 2016 – Marco DELLA LUNA In the Italian Civil Court of Genoa, on August 18, 2016, there was a hearing i… François de Siebenthal: Creation of bank money
29 janv. 2016 – This is necessary as, at the moment, cash only accounts for 10% of the money supplyin circulation in Switzerland; 90% is electronic money.
16 juin 2016 – The biggest misdeed, money creation out of nothing, ex nihilo, out of thin air, diluting all our bank notes, a Ponzi Madoff scheme… Robert Jenkins’ partial list of …
27 juil. 2016 – Illustration du profil de François de Siebenthal … This particular initiative provides direct payments of money creation to all inhabitants of any …
Mr. de Siebenthal demonstrates how easy it is to open a local bank with just the … You know thatmoney is created in the form of debts with interest rates, and …
Pourquoi des milliers de milliards pour les avaricieux, les banquiers ou les guerres et pas pour la paix ?
Les réfugiés doivent quitter leurs pays à cause de ces banquiers qui abusent de notre argent et se paient des bonus honteux qui achètent leurs consciences et TUENT par millions…
La Suisse résiste…
Récoltes de signatures pour l’ initiative fédérale monnaie pleine, actions dans toute la Suisse.
Cessons ce jeu de menteurs et de tricheurs à trop grande échelle…
«On ne peut pas affirmer qu’il n’y aura plus jamais de crise bancaire».
Danièle Nouy, présidente du Conseil du Mécanisme de supervision unique (MSU) alias MES.
Leur solution ? Toujours plus de centralisation ! L’horreur coûteuse et inefficace. L’apoplexie au centre et la paralysie aux extrémités.
Nos solutions ? le système suisse, de petites communautés à taille humaine qui collaborent avec un vrai principe de subsidiarité.
Le secret des banques est à la fois le plus simple, et le plus incroyable ! Elles créent la monnaie, sans limite. Et c’est un banquier qui l’explique !
Survol rapide de la plus grande fraude fiscale à survenir au Canada au détriment du Peuple, et qui est utilisée régulièrement dans les médias traditionnels pour justifier les mesures d’austérité, les hausses de tarifs et les coupures dans les services sociaux. Explications simples basées sur des réalités historiques démontrant hors de tout doute raisonnable l’origine réelle de la dette publique et des coupures budgétaires que celle-ci génère.
____________
– Le Pouvoir Souverain du Peuple : Les fondements légaux de l’État Démocratique et de Droit
Présentement, les habitants de pratiquement chaque pays sur terre, mais surtout ceux des pays occidentaux et autres “démocraties” et “États de Droit”, font face à une montée croissante de la répression étatique parallèle à la prise de conscience globale par ces mêmes populations de la monumentale arnaque et crime contre l’Humanité de la création monétaire privée au profit des Banksters.
Cette arnaque est à la source de tous les autres symptômes de corruption généralisée observables au sein de nos sociétés dites “modernes”.
Partout, la situation est la même : l’État use et abuse de son prétendu “pouvoir souverain” face auquel le citoyen lambda est habituellement dépourvu d’arguments, confronté à un appareil légal et électoral qui à prétention de légitimer ce même “pouvoir souverain” par l’autorité de la Démocratie et de l’État du Droit, valeurs nobles et incontestables, et ce peu importe si ce citoyen lambda a voté ou non.
C’est la mise en place d’une véritable “Dictature du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple”, en quelque sorte.
Pourtant, ce que l’État ne vous dit pas, c’est que l’appareil légal indique que c’est vous, chaque individu citoyen qui formez le Peuple, qui le détenez, ce “pouvoir souverain”, cette “légitimité” sur laquelle se fonde toute démocratie qui se respecte, qu’elle soit “représentative” ou “directe”, et qu’en tant que tel, vous n’avez pas à être soumis à votre gouvernement pour avoir le droit d’exister et de vivre en paix.
En voici la preuve, conformément aux principes du Droit International et démontré à l’aide des lois et législations en vigueur au Québec.
Ceci est également observé à travers l’ensemble des pays anglo-saxons, peu importe le régime politique propre à chaque pays.
Il est donc fortement conseillé à l’auditeur francophone hors-Québec, particulièrement en Europe et en Afrique, de porter soin aux principes généraux énoncés au sein de ce vidéo et ensuite d’effectuer des recherches au sein des textes de loi du pays concerné afin d’y retrouver les mêmes principes généraux, mais codifiés de manière différente.
L’oeil averti y reconnaîtra sûrement une référence avec les fameux secrets maçonniques et leur symbologie pyramidale particulière quant à ce système dont les origines sont très sûrement liées de près avec les Lumières, d’où sont issues les Droits de l’Homme et la République Française.
Je suis banquier, j’étais derrière les rideaux, j’ai vu comme ça se créait. Il balance au bilan actif/passif une création pure qui ne vient de nulle part.
Extraits :
Le vrai secret bancaire, en fait, ce que Madame vient d’expliquer n’est pas tout à fait exact. Mais je comprends comme elle explique, parce que ça figure même aussi sur le site de la Banque Nationale Suisse. La banque en fait, c’est pas du tout un intermédiaire. C’est ce qu’il faut bien comprendre : le secret bancaire actuel, c’est que les banques créent du néant. C’est les crédits qui créent les dépôts, ce n’est pas le contraire. On veut nous faire croire que les banques gagnent leur vie par les différentiels d’intérêt entre ce que les gens vont épargner et que la banque va prêter. Pas du tout ! Les banques créent du néant des masses colossales de milliers de milliards de dollars, d’euros, de yens, etc. et elles les créent du néant. Il y a effectivement des règles prudentielles qui ne sont pas des lois, ce sont les règles de Bâle qui sont faites par la Banque des Règlements Internationaux, mais comme je vous l’ai dit plus de dix pays n’ont aucune limite légale à la création monétaire. Les règles prudentielles c’est eux-mêmes qui se les donnent. C’est les banquiers eux-mêmes à Bâle, à la Banque des Règlements Internationaux, ils se créent des règlements, des ratios bancaires, mais c’est le banquier qui crée ses propres limites quand il le veut bien. – Non, le banquier ne crée pas seul ses propres limites. – En fait, dans la réalité économique excusez-moi, mais l’histoire de Fillon, de Sarkozy, de Merkozy… – Ça on est d’accord, ça on a compris, mais ce n’est pas la raison pour laquelle les gens aiment ou n’aimeraient pas leur banque. – Est-ce que finalement ce n’est pas justement parce qu’on est déjà en train de ne pas être d’accord que les suisses moyens qui n’y connaissent rien ont peur ? – Exactement, ils commencent à comprendre ce que je vous dis. C’est gros ! Madame ne le croit pas, elle est sincère, mais moi je vous assure, je suis banquier, j’étais derrière les rideaux, j’ai vu comme ça se créait. On crée des masses monétaires très facilement. J’étais étonné de la facilité à laquelle on donnait des crédits à l’époque. Avec un dossier de deux-trois pages, on crée des millions, maintenant c’est des trillions. C’est dément ! Moi-même j’ai eu de la peine à le comprendre, mais ce que je vous dis est vrai : on crée du néant des masses colossales et c’est pas du tout un intermédiaire comme on veut le faire croire. – Au niveau du bilan, vous ne pouvez pas dire aujourd’hui que par rapport au crédit que vous offrez vous avez des exigences en terme de fonds propres et de liquidité, qui vous empêchent de créer, de fournir des crédits. – Ça devient trop technique pour nous. – Non, le bilan c’est très simple. Je vous explique. Trois mots. Je vous explique le bilan, c’est important. Lorsqu’un entrepreneur va chez le banquier demander de l’argent, l’argent que le banquier prête ne vient pas du tout d’un compte d’épargne. Il balance au bilan actif/passif une création pure qui ne vient de nulle part. Ça s’appelle ex nihilo en technique bancaire. Ça ne vient de nulle part, ça ne vient pas des réserves du banquier, ça ne vient pas de la Banque Nationale Suisse ou de la Banque Centrale, ça ne vient pas de comptes d’épargne. C’est créé du néant à l’actif et au passif du bilan. Ça il faut bien se le dire, c’est la vérité. Et il n’y a pas de limite, si ce n’est des règles prudentielles qu’ils se font eux-mêmes.”
Pourquoi des milliers de milliards pour les avaricieux, les banquiers ou les guerres et pas pour la paix ?
Les réfugiés doivent quitter leurs pays à cause de ces banquiers qui abusent de notre argent et se paient des bonus honteux qui achètent leurs consciences et TUENT par millions…
Pourquoi le WIR est-il une bonne monnaie? Le WIR est un très bonne monnaie, car elle est honnête et transparente: tous les utilisateurs savent que les unités de WIR sont créées par la banque WIR et que si cette banque fait faillite, les comptes en WIR perdent toute valeur. Les clients peuvent prendre leurs décisions en toute connaissance de cause. Le problème économique actuel est que les autres banques créent aussi chacune leur propre monnaie, mais elles l’appellent toutes comme la monnaie officielle légale: c’est cela la contrefaçon, le détournement de la marque de monnaie légale avec de la monnaie qui n’est pas créée par la Banque Centrale mais par chaque banque commerciale, avec un risque très différent. C’est donc bien le manque de transparence sur qui a créé quelle monnaie et combien, qui est un problème. Les banques commerciales sont les premières à revendiquer le libéralisme et la responsabilité individuelle, et les premières à s’abriter derrière la marque monétaire d’un Etat pour cacher aux clients leur activité de création monétaire privée. Soyez courageux les banquiers, assumez la marque de la monnaie bancaire que vous créez!
Signé: Blaise.
La réponse de la Banque d’Italie à la demande faite sur la proposition de Patrick Dimier de taxer la création monétaire des banques commerciales est la suivante:
Le gouvernement canadien répond aux canadiens qui ont signé une pétition demandant que La Banque du CANADA créé l’argent et le prête aux gouvernements sans intérêts.
Lisez la réponse gouvernementale qui balaie littéralement sous le tapis le fait que ce sont les banquiers qui créent l’argent grevé d’intérêts :
La réponse de la Banque d’Italie à la demande faite sur la proposition de Patrick Dimier de taxer la création monétaire des banques commerciales est la suivante:
Le gouvernement canadien répond aux canadiens qui ont signé une pétition demandant que La Banque du CANADA créé l’argent et le prête aux gouvernements sans intérêts.
Lisez la réponse gouvernementale qui balaie littéralement sous le tapis le fait que ce sont les banquiers qui créent l’argent grevé d’intérêts :
Ils trichent partout, même les moteurs VW, les banques commerciales commandent avec plus de 30’000 milliards rien qu’en Europe, sans compter les chiffres hors bilans de l’ombre, sic…
Philippe Béchade est l’un des professionnels de la finance qui connaissent le mieux les marchés financiers, leurs “enchantements”, leurs mensonges ainsi que les journalistes du présent système payés pour dire des choses agréables aux gogos roulés par la haute finance…
Ici, Philippe Béchade dit tout haut ce qui ne doit jamais être dit. Cette séquence n’est qu’un échantillon parmi tant d’autres!
Donc ci-dessous, cette vidéo de 6 minutes et 49 secondes du 30 janvier 2017 avec Philippe Béchade.
Celui-ci surveille au quotidien les données économiques et financières chiffrées comparées avec la réalité économique et sociale.Exemple rapide, quand on annonce que, durant tel trimestre ou tel semestre, il y a une reprise de la production manufacturière et des démarrages de chantiers de constructions dans telle zone économique, mais qu’en même temps, la consommation d’électricité baisse notoirement dans la même zone… et que les entreprises n’investissent plus… il y a quelque chose qui ne colle pas du tout… La réalité est systématiquement occultée par les médias à la solde de la coterie du système des maîtres de la création et du contrôle de l’argent.
Mais les opinions publiques se réveillent de plus en plus. Toute l’année 2016 a témoigné contre le mensonge entretenu pour tenter de sauver le système financier, économique et social qui nous conduit à la faillite et à la ruine. Ici Philippe Béchade souligne l’émigration massive des jeunes (j’en témoigne) hors d’ “Europe” depuis plusieurs années. Cette émigration massive des jeunes sert frauduleusement à l’élaboration de “statistiques” pour montrer que le chômage baisse… Quand il n’y aura plus de jeunes au chômage car ayant tous émigrés, on pourra déclarer qu’il n’y a plus de chômage en “Europe”… Si l’on rajoute que des pays comme l’Angleterre (je le savais) introduisent depuis quelques années dans leurs le PIB ce que représente la prostitution et le négoce de la drogue, et que l’Espagne fait à présent la même chose, voici en quoi consiste le “triomphe” du mensonge…
Le TF rappelle d’abord le principe selon lequel le client d’un établissement bancaire a le droit d’obtenir, sur la base de sa relation contractuelle avec la banque, le versement de ses avoirs en espèces à la clôture de la relation bancaire, ce sans avoir à justifier au préalable de sa conformité fiscale. Le TF examine ensuite si, sur la base de la situation concrète de ces deux dossiers, les clients pouvaient se voir priver d’un tel droit.
Pour justifier de son refus de libérer les fonds en espèces, la banque a invoqué l’exigence de la garantie de l’activité irréprochable et plus particulièrement la Prise de position de la FINMA à propos des risques juridiques et de réputation dans le cadre des activités transfrontières qui implique que la banque procède à une analyse approfondie des risques présentés par des relations bancaires transfrontières et se dote de directives internes définissant des normes de comportement pour réduire ces risques. A l’appui de cet argument, la banque faisait référence à des directives internes – qu’elle n’a pas produit – lui faisant interdiction d’autoriser un prélèvement au comptant dans les cas d’espèce. Elle soutenait également qu’elle avait informé la FINMA de sa politique de gestion des risques. Le TF suit l’appréciation cantonale selon laquelle la banque n’a pas apporté la preuve de son analyse des risques ni produit ses directives internes et n’a donc pas réussi à démontrer que le paiement en espèces demandé serait contraire à sa politique de gestion des risques. Ainsi le Tribunal d’Appel n’avait pas besoin de décider si les directives internes en matière de gestion des risques juridiques et de réputation peuvent limiter ou totalement exclure le droit du client de retirer ses fonds en espèces à la fin d’une relation bancaire.
La banque soutenait par ailleurs qu’en donnant suite aux instructions du client, elle s’exposait à des poursuites pour violation du droit fiscal et pénal italien et prétendait qu’elle se trouverait ainsi dans un cas d’impossibilité subséquente d’exécuter son obligation au sens de l’article 119 du code des obligations. Le TF ne tranche pas la question et relève que dans la mesure où la banque n’a pas démontré que ces normes de droit étranger lui sont applicables et qu’elles lui feraient en outre interdiction d’exécuter les instructions du client, il n’a pas à approfondir cette question.
A l’invocation de l’article 19 de la loi fédérale sur le droit international privé par la banque qui considérait que des normes impératives de droit italien lui interdiraient de faire droit à la demande des clients, notre Haute Cour ne tranche pas non plus et se contente de relever à nouveau que la banque n’a pas suffisamment motivé en quoi ces normes lui seraient applicables.
Par ailleurs, la banque reprochait aux instances cantonales d’avoir ignoré les normes suisses anti-blanchiment et plus particulièrement l’article 6 de la loi sur le blanchiment d’argent en soutenant qu’en présence d’un retrait en espèces, elle était tenue de vérifier l’arrière plan économique de la transaction et que la clôture du compte, accompagnée d’un tel retrait, était inusuelle au sens de l’article 6 al.2 let a LBA. Le TF confirme à cet égard l’appréciation cantonale et relève que la banque omet d’expliquer pour quels motifs ces normes seraient applicables lorsque le client souhaite reprendre possession de ses fonds alors que la relation bancaire est vieille de plusieurs années, sans pour autant que la banque ait fait usage de ces dispositions auparavant.
Enfin, notre Haute Cour retient que le nouvel article 305 bis du code pénal n’entre en vigueur qu’en janvier 2016, que le droit pénal prévoit le principe de la non-rétroactivité et que la banque n’a pas démontré en quoi le seuil des CHF 300’000 prévu par cette disposition était atteint dans les cas d’espèce.
Ces deux décisions très attendues du TF ne tranchent pas la question de principe qui se pose dans ce type de dossier, à savoir si une banque est en droit de se prévaloir de ses directives internes en matière de gestion des risques ou d’une potentielle violation du droit étranger pour limiter ou même exclure les retraits en espèces de ses clients à l’occasion de la clôture d’un compte bancaire.
Reproduction autorisée avec la référence suivante: Stéphanie Hodara El Bez, Avoirs défiscalisés : Le TF permet le retrait en espèces , publié le: 14 Déc 2015 par le Centre de droit bancaire et financier, https://www.cdbf.ch/935/
Mise en œuvre des recommandations du GAFI, révisées en 2012. LF RO 2015 1395 2
…
4. Code pénal
Art. 305bis, ch. 1 et 1bis 1. Celui qui aura commis un acte propre à entraver l’identification de l’origine, la découverte ou la confiscation de valeurs patrimoniales dont il savait ou devait présumer qu’elles provenaient d’un crime ou d’un délit fiscal qualifié, sera puni d’une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire. 1bis. Sont considérées comme un délit fiscal qualifié, les infractions mentionnées à l’art. 186 de la loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l’impôt fédéral direct13 et à l’art. 59, al. 1, 1er paragraphe, de la loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l’harmonisation des impôts directs des cantons et des communes14, lorsque les impôts soustraits par période fiscale se montent à plus de 300 000 francs. Art. 305ter, al. 2 2 Les personnes visées à l’al. 1 ont le droit de communiquer au Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent de l’Office fédéral de la police les indices fondant le soupçon que des valeurs patrimoniales proviennent d’un crime ou d’un délit fiscal qualifié au sens de l’art. 305bis, ch. 1bis.
Le bail-in, comme on l’appelle, fait partie des mesures possibles visant à assainir … Si une banquesuisse d’importance systémique connaît de graves difficultés …
4 août 2016 – Bail-in, le mot qui va entrer dans le Larousse 2016 et vider votre compte en … Si une banque suisse d’importance systémique (cela concerne …
28 mars 2013 – Bien avant Chypre, la Suisse avait déjà prévu de mettre les … les cas de « bail in » (renflouage par les épargnants) sont «classés en dernier …
21 mai 2006 – Le Parlement jurassien veut verser aux communes 40 millions de francs sur les 260 provenant de l’or excédentaire de la BNS. Le Jura est l’un …
Or de la BNS – 40 millions pour les communes. Date : 15.09.2005 00:00:00. Delémont, le 15 septembre 2005. Après avoir rencontré les représentants des trois …
25 févr. 2005 – L’or de la BNS suscite les convoitises dans le Jura. … qu’une part des 260 millions de francs que recevra le Jura soit distribuée aux communes, .
Le gouvernement canadien répond aux canadiens qui ont signé une pétition demandant que La Banque du CANADA créé l’argent et le prête aux gouvernements sans intérêts.
Lisez la réponse gouvernementale qui balaie littéralement sous le tapis le fait que ce sont les banquiers qui créent l’argent grevé d’intérêts :