Tricheurs, rappels
Annexes importantes
Oui pour respecter la Constitution

Suisse: La démocratie directe face à une épreuve décisive
Aujourd’hui nous allons expliquer comment l’initiative n’est dirigée qu’indirectement contre «le droit et les juges étrangers». Elle place avant tout les Chambres fédérales et les juges suisses devant leur responsabilité. Il s’agit de respecter la Constitution fédérale dans la législation et la jurisprudence, au lieu de caresser les puissances étrangères dans le sens du poil. Nous allons donc analyser en détail les parties du texte de cette initiative fédérale populaire.
«L’autorité suprême de la Confédération est l’Assemblée fédérale, sous réserve des droits du peuple et des cantons; au moins conformément au droit constitutionnel actuel et à la conception traditionnelle de la démocratie. En réalité, cependant, le pouvoir suprême tend à se déplacer vers la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg – un amendement constitutionnel rampant, peu remarqué, en partie délibérément voilé, sans légitimation démocratique, étant donc exclu du débat critique.» (Martin Schubarth, ancien juge fédéral, «Neue Zürcher Zeitung» du 13/5/13)
Le droit est la base et la limite de l’activité de l’Etat. (actuel) La Constitution fédérale est la source suprême du droit de la Confédération suisse. (nouveau)
«L’autorité suprême de la Confédération est l’Assemblée fédérale, sous réserve des droits du peuple et des cantons; au moins conformément au droit constitutionnel actuel et à la conception traditionnelle de la démocratie. En réalité, cependant, le pouvoir suprême tend à se déplacer vers la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg – un amendement constitutionnel rampant, peu remarqué, en partie délibérément voilé, sans légitimation démocratique, étant donc exclu du débat critique.» (Martin Schubarth, ancien juge fédéral, «Neue Zürcher Zeitung» du 13/5/13)
La Confédération et les cantons respectent le droit international (actuel). La Constitution fédérale est placée au-dessus du droit international et prime sur celui-ci, sous réserve des règles impératives du droit international (nouveau)
Dans un rapport, le Conseil fédéral a présenté une comparaison avec le droit d’autres Etats.1 Swissinfo du 30 mai 2018 résume les résultats du Conseil fédéral.2
- «Allemagne: la Constitution nationale prime sur la CEDH.»
«Les traités de droit international, réglant les relations politiques de l’Allemagne ou se rapportant à des objets de la législation fédérale exigent une ‹loi de consentement›. Ces accords n’ont par la suite aucune préséance, mais se situent au même niveau qu’une loi allemande normale. Cela vaut également pour la Convention européenne des droits de l’homme. Le droit des Communautés européennes cependant – le droit européen au sens strict – prime sur le droit allemand». - France: Les traités internationaux ont «une force juridique supérieure aux lois françaises – à condition que les autres parties contractantes respectent également le traité». […] Exception: le droit communautaire prime sur le droit français: s’il viole la Constitution française, celle-ci doit être révisée.
- Grande-Bretagne: «Le droit international ne s’applique que sous la forme de lois nationales.»
«Les traités internationaux sont transformés en une loi nationale et ont le même statut que les lois ‹normales›. Seul le droit communautaire (droit de l’UE) prime sur les autres lois.» [Ceci ne s’appliquera plus pour longtemps en Grande-Bretagne] - Suède: Les traités internationaux doivent être transformés en loi nationale, «y compris la CEDH. L’accord aura alors le rang d’une loi ordinaire […].»
«Le droit de l’UE prime sur le droit suédois. Cependant, la relation entre le droit communautaire et la Constitution suédoise est controversée.» Il est «toutefois peu probable que les juridictions suédoises refusent d’appliquer le droit communautaire même s’il est anticonstitutionnel». - Etats-Unis d’Amérique: «Le droit national est au-dessus de tout.»
«La Constitution américaine ne peut en aucun cas être complétée, amendée ou limitée par le droit international. […] Selon la jurisprudence, le Parlement peut adopter une loi contraire au droit international – celle-ci a la priorité.»
«Les tribunaux ont refusé à plusieurs reprises d’appliquer le droit international en se référant au droit national. La Cour suprême considère les jugements d’une Cour de justice internationale comme non contraignants.» Commentaire: mais accuser des manquements à l’Etat de droit d’autres pays …
- La CEDH se situe au niveau d’une loi nationale.
Dans les Etats européens examinés, la CEDH a le statut juridique d’une loi ordinaire, sauf en France – si la partie contractante respecte le traité, ce qui devrait être réfuté en raison de la jurisprudence excessive de la CEDH.
Le juge pénal fédéral Hans Mathys va dans le même sens: la Constitution fédérale et la CEDH «sont au même niveau et contiennent pratiquement le même contenu». Comment procéder en cas de contradiction, «doit être décidé par la politique. Ce n’est pas une question juridique devant être réglée par le Tribunal fédéral. Mais la difficulté ne se situe pas dans la Convention des droits de l’homme elle-même, mais à la Cour de Strasbourg.» («Neue Zürcher Zeitung» du 22/12/14) - Le droit de l’UE prime sur le droit national de tous les Etats membres et restreint ainsi sérieusement leur souveraineté nationale. Le seul moyen de s’y opposer est un Brexit, un Grexit ou un Öxit.
1-La Confédération et les cantons ne contractent aucune obligation de droit international qui soit en conflit avec la Constitution fédérale.
2-En cas de conflit d’obligations, ils veillent à ce que les obligations de droit international soient adaptées aux dispositions constitutionnelles, au besoin en dénonçant les traités internationaux concernés.
3-Les règles impératives du droit international sont réservées.
Il y a quelques années encore, le Tribunal fédéral suivait la pratique Schubert, comme il l’avait fait avec la Constitution de 1874: selon cette règle, une nouvelle loi fédérale s’applique même si elle contredit le droit international antérieur, si le Parlement le souhaite expressément. Le Tribunal fédéral a également suivi ce principe lorsqu’il a tenu compte de la CEDH dans sa jurisprudence. La primauté de la norme la plus récente établie consciemment devrait s’appliquer d’autant plus s’il s’agit d’une disposition constitutionnelle.
En acceptant l’initiative sur l’autodétermination, nous, en tant que citoyens, participons à remettre le Conseil fédéral, l’Assemblée fédérale et le Tribunal fédéral sur la bonne voie suisse.
2-«Le droit interne prime-t-il sur le droit international? D’autres pays le font depuis longtemps». SWI swissinfo.chdu 30/5/18, par Sibilla Bondolfi
Si une initiative populaire ne plaît pas à un quidam, il prétendra volontiers qu’elle viole le «droit international» ou les «droits de l’homme». En Suisse, une initiative populaire peut être annulée uniquement si elle est opposée au droit international contraignant. Jusqu’à présent, cela ne c’est produit qu’une seule fois dans toute l’histoire des initiatives populaires fédérales.
«Selon la pratique des autorités fédérales, l’expression ‹dispositions impératives du droit international› englobe actuellement l’interdiction de la violence, de la torture (art. 3 CEDH; art. 7 du Pacte II des Nations Unies), du génocide, de l’esclavage, du servage et du travail forcé (art. 4 al. 1 CEDH; art. 8, al. 1 et 2 du Pacte II de l’ONU), l’interdiction des exécutions arbitraires (art. 2, al. 1 CEDH; art. 6, al. 1 du Pacte II de l’ONU), les principes ‹nulla poena sine lege› [pas de peine sans loi, mw.] et ‹ne bis in idem› [interdiction de la double peine pour la même infraction, mw.] (art. 7 CEDH, art. 15 du Pacte II des Nations Unies), la liberté interne de religion (c’est-à-dire le droit de développer ses propres opinions religieuses en toute liberté et de s’en détacher à nouveau; la protection du ‹forum internum› [liberté de foi et de conscience, mw.], art. 18 al. 3 Pacte II des Nations Unies e contrario) et les principales fondamentaux du droit international humanitaire (art. 3 des Conventions de Genève de 1949). […].» (Rapport du Conseil fédéral du 5/3/10, Feuilleton fédéral 2010, p. 2314/2315).1
Concernant la validité des initiatives populaires, le Parlement a toujours maintenu une position démocratique. Depuis l’introduction de l’initiative populaire fédérale en 1891, sur les 333 initiatives ayant abouti, seules quatre ont été déclarées nulles par les Chambres fédérales, dont trois en raison d’un manque d’unité de la matière (mélange de plusieurs sujets sans liens au niveau du contenu dans une seule question de votation). Une seule initiative a été déclarée nulle par le Parlement en 1996 pour violation du droit international contraignant.
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Oui pour respecter la Constitution
Suisse: La démocratie directe face à une épreuve décisive
Aujourd’hui nous allons expliquer comment l’initiative n’est dirigée qu’indirectement contre «le droit et les juges étrangers». Elle place avant tout les Chambres fédérales et les juges suisses devant leur responsabilité. Il s’agit de respecter la Constitution fédérale dans la législation et la jurisprudence, au lieu de caresser les puissances étrangères dans le sens du poil. Nous allons donc analyser en détail les parties du texte de cette initiative fédérale populaire.
«L’autorité suprême de la Confédération est l’Assemblée fédérale, sous réserve des droits du peuple et des cantons; au moins conformément au droit constitutionnel actuel et à la conception traditionnelle de la démocratie. En réalité, cependant, le pouvoir suprême tend à se déplacer vers la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg – un amendement constitutionnel rampant, peu remarqué, en partie délibérément voilé, sans légitimation démocratique, étant donc exclu du débat critique.» (Martin Schubarth, ancien juge fédéral, «Neue Zürcher Zeitung» du 13/5/13)
Le droit est la base et la limite de l’activité de l’Etat. (actuel) La Constitution fédérale est la source suprême du droit de la Confédération suisse. (nouveau)
«L’autorité suprême de la Confédération est l’Assemblée fédérale, sous réserve des droits du peuple et des cantons; au moins conformément au droit constitutionnel actuel et à la conception traditionnelle de la démocratie. En réalité, cependant, le pouvoir suprême tend à se déplacer vers la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à Strasbourg – un amendement constitutionnel rampant, peu remarqué, en partie délibérément voilé, sans légitimation démocratique, étant donc exclu du débat critique.» (Martin Schubarth, ancien juge fédéral, «Neue Zürcher Zeitung» du 13/5/13)
La Confédération et les cantons respectent le droit international (actuel). La Constitution fédérale est placée au-dessus du droit international et prime sur celui-ci, sous réserve des règles impératives du droit international (nouveau)
Dans un rapport, le Conseil fédéral a présenté une comparaison avec le droit d’autres Etats.1 Swissinfo du 30 mai 2018 résume les résultats du Conseil fédéral.2
- «Allemagne: la Constitution nationale prime sur la CEDH.»
«Les traités de droit international, réglant les relations politiques de l’Allemagne ou se rapportant à des objets de la législation fédérale exigent une ‹loi de consentement›. Ces accords n’ont par la suite aucune préséance, mais se situent au même niveau qu’une loi allemande normale. Cela vaut également pour la Convention européenne des droits de l’homme. Le droit des Communautés européennes cependant – le droit européen au sens strict – prime sur le droit allemand». - France: Les traités internationaux ont «une force juridique supérieure aux lois françaises – à condition que les autres parties contractantes respectent également le traité». […] Exception: le droit communautaire prime sur le droit français: s’il viole la Constitution française, celle-ci doit être révisée.
- Grande-Bretagne: «Le droit international ne s’applique que sous la forme de lois nationales.»
«Les traités internationaux sont transformés en une loi nationale et ont le même statut que les lois ‹normales›. Seul le droit communautaire (droit de l’UE) prime sur les autres lois.» [Ceci ne s’appliquera plus pour longtemps en Grande-Bretagne] - Suède: Les traités internationaux doivent être transformés en loi nationale, «y compris la CEDH. L’accord aura alors le rang d’une loi ordinaire […].»
«Le droit de l’UE prime sur le droit suédois. Cependant, la relation entre le droit communautaire et la Constitution suédoise est controversée.» Il est «toutefois peu probable que les juridictions suédoises refusent d’appliquer le droit communautaire même s’il est anticonstitutionnel». - Etats-Unis d’Amérique: «Le droit national est au-dessus de tout.»
«La Constitution américaine ne peut en aucun cas être complétée, amendée ou limitée par le droit international. […] Selon la jurisprudence, le Parlement peut adopter une loi contraire au droit international – celle-ci a la priorité.»
«Les tribunaux ont refusé à plusieurs reprises d’appliquer le droit international en se référant au droit national. La Cour suprême considère les jugements d’une Cour de justice internationale comme non contraignants.» Commentaire: mais accuser des manquements à l’Etat de droit d’autres pays …
- La CEDH se situe au niveau d’une loi nationale.
Dans les Etats européens examinés, la CEDH a le statut juridique d’une loi ordinaire, sauf en France – si la partie contractante respecte le traité, ce qui devrait être réfuté en raison de la jurisprudence excessive de la CEDH.
Le juge pénal fédéral Hans Mathys va dans le même sens: la Constitution fédérale et la CEDH «sont au même niveau et contiennent pratiquement le même contenu». Comment procéder en cas de contradiction, «doit être décidé par la politique. Ce n’est pas une question juridique devant être réglée par le Tribunal fédéral. Mais la difficulté ne se situe pas dans la Convention des droits de l’homme elle-même, mais à la Cour de Strasbourg.» («Neue Zürcher Zeitung» du 22/12/14) - Le droit de l’UE prime sur le droit national de tous les Etats membres et restreint ainsi sérieusement leur souveraineté nationale. Le seul moyen de s’y opposer est un Brexit, un Grexit ou un Öxit.
1-La Confédération et les cantons ne contractent aucune obligation de droit international qui soit en conflit avec la Constitution fédérale.
2-En cas de conflit d’obligations, ils veillent à ce que les obligations de droit international soient adaptées aux dispositions constitutionnelles, au besoin en dénonçant les traités internationaux concernés.
3-Les règles impératives du droit international sont réservées.
Il y a quelques années encore, le Tribunal fédéral suivait la pratique Schubert, comme il l’avait fait avec la Constitution de 1874: selon cette règle, une nouvelle loi fédérale s’applique même si elle contredit le droit international antérieur, si le Parlement le souhaite expressément. Le Tribunal fédéral a également suivi ce principe lorsqu’il a tenu compte de la CEDH dans sa jurisprudence. La primauté de la norme la plus récente établie consciemment devrait s’appliquer d’autant plus s’il s’agit d’une disposition constitutionnelle.
En acceptant l’initiative sur l’autodétermination, nous, en tant que citoyens, participons à remettre le Conseil fédéral, l’Assemblée fédérale et le Tribunal fédéral sur la bonne voie suisse.
2-«Le droit interne prime-t-il sur le droit international? D’autres pays le font depuis longtemps». SWI swissinfo.chdu 30/5/18, par Sibilla Bondolfi
Si une initiative populaire ne plaît pas à un quidam, il prétendra volontiers qu’elle viole le «droit international» ou les «droits de l’homme». En Suisse, une initiative populaire peut être annulée uniquement si elle est opposée au droit international contraignant. Jusqu’à présent, cela ne c’est produit qu’une seule fois dans toute l’histoire des initiatives populaires fédérales.
«Selon la pratique des autorités fédérales, l’expression ‹dispositions impératives du droit international› englobe actuellement l’interdiction de la violence, de la torture (art. 3 CEDH; art. 7 du Pacte II des Nations Unies), du génocide, de l’esclavage, du servage et du travail forcé (art. 4 al. 1 CEDH; art. 8, al. 1 et 2 du Pacte II de l’ONU), l’interdiction des exécutions arbitraires (art. 2, al. 1 CEDH; art. 6, al. 1 du Pacte II de l’ONU), les principes ‹nulla poena sine lege› [pas de peine sans loi, mw.] et ‹ne bis in idem› [interdiction de la double peine pour la même infraction, mw.] (art. 7 CEDH, art. 15 du Pacte II des Nations Unies), la liberté interne de religion (c’est-à-dire le droit de développer ses propres opinions religieuses en toute liberté et de s’en détacher à nouveau; la protection du ‹forum internum› [liberté de foi et de conscience, mw.], art. 18 al. 3 Pacte II des Nations Unies e contrario) et les principales fondamentaux du droit international humanitaire (art. 3 des Conventions de Genève de 1949). […].» (Rapport du Conseil fédéral du 5/3/10, Feuilleton fédéral 2010, p. 2314/2315).1
Concernant la validité des initiatives populaires, le Parlement a toujours maintenu une position démocratique. Depuis l’introduction de l’initiative populaire fédérale en 1891, sur les 333 initiatives ayant abouti, seules quatre ont été déclarées nulles par les Chambres fédérales, dont trois en raison d’un manque d’unité de la matière (mélange de plusieurs sujets sans liens au niveau du contenu dans une seule question de votation). Une seule initiative a été déclarée nulle par le Parlement en 1996 pour violation du droit international contraignant.
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Bébés sans bras : la lanceuse d’alerte licenciée !

Bébés nés sans bras : la lanceuse d’alerte a reçu sa lettre de licenciement
Malgré les annonces d’Agnès Buzyn, la directrice du Remera Emmanuelle Amar et cinq de ses collègues ont reçu leur lettre de licenciement, selon le « JDD ».Par LePoint.fr
Publié le 28/10/2018 à 16:57 | Le Point.fr
La mesure prendra effet au 31 décembre prochain et frappe aussi cinq de ses collègues, salariés par la structure. « Notre employeur, les Hospices civils de Lyon, n’a plus les moyens de débourser les 250 000 euros annuels qui permettaient de payer nos salaires et notre loyer. Je suis d’autant plus choquée qu’Agnès Buzyn avait annoncé dimanche dernier que le registre n’était pas menacé », pointe avec regret Emmanuelle Amar. C’est cette structure qui avait déjà révélé le scandale de la Dépakine.
Lire aussi Enfants sans bras : qui en veut à Remera, l’organisme lanceur d’alerte ?
Une nouvelle enquête sans le Remera ?
Le 21 octobre dernier, la ministre de la Santé Agnès Buzyn avait en effet assuré qu’il était « hors de question d’arrêter la subvention des registres ». « Quand il y a un registre qui cumule des cas pendant vingt-trente ans, si à un moment vous l’arrêtez, on ne peut plus le démarrer, vous perdez l’information. Quand on a un registre qui fonctionne, il ne faut surtout pas l’arrêter », insistait alors Agnès Buzyn. Avec François de Rugy, le ministre de la Transition écologique, elle annonçait alors l’ouverture d’une nouvelle enquête.
La première réalisée par l’ agence sanitaire Santé publique France avait déclenché une fronde politique. D’après l’eurodéputée Michèle Rivasi, « aucune investigation n’a été menée sur le terrain, personne ne s’est déplacé pour étudier les conditions dans lesquelles vivent les familles touchées, pour interroger les agriculteurs du secteur, aucun prélèvement n’a été réalisé ». Reste désormais à attendre les conclusions de la seconde enquête.
SUR LE MÊME SUJET Bébés sans bras ou sans mains : les lacunes du système de repérage Enfants sans bras : qui en veut à Remera, l’organisme lanceur d’alerte ? Tensions politiques autour du mystère des bébés sans bras Bébés nés sans bras : une nouvelle enquête pour lever l’incertitude
Taxes et populations !



Taxes attentats, pluies, vue…

La “taxe attentat” a été créé en 1986 , ce n’est pas nouveau , c’est lié aux assurances et servirait à indemniser les victimes , et bien sur elle sera en augmentation chaque année…
Taxes prévues en France, sur la pluie, sic, en fonction de la surface des toits ou terrasses !
Taxes sur la vue en Californie par exemple… Plus ci-dessous…
Selon Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap, la France compte au moins, s.e.o.o. 365 taxes et impôts divers, une taxe par jour…
Oui à la distribution rendue possible par l’abondance des produits des machines et ordinateurs. mais au niveau financement, il faut chercher à éviter de créer encore plus de dettes à intérêts composés exponentielles écrasantes et orienter les nouvelles créations monétaires vers toutes les personnes dès leur conception par des coopératives locales
https://microtaxe.ch/2009/02/la-plupart-des-taxes-sont-du-vol-pur-et.html

La “taxe attentat” a été créé en 1986 , ce n’est pas nouveau , c’est lié aux assurances et servirait à indemniser les victimes , et bien sur elle sera en augmentation chaque année…
Taxes prévues en France, sur la pluie, sic, en fonction de la surface des toits ou terrasses !
Taxes sur la vue en Californie par exemple… Plus ci-dessous…
Selon Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap, la France compte au moins, s.e.o.o. 365 taxes et impôts divers, une taxe par jour…
Oui à la distribution rendue possible par l’abondance des produits des machines et ordinateurs. mais au niveau financement, il faut chercher à éviter de créer encore plus de dettes à intérêts composés exponentielles écrasantes et orienter les nouvelles créations monétaires vers toutes les personnes dès leur conception par des coopératives locales
https://microtaxe.ch/2009/02/la-plupart-des-taxes-sont-du-vol-pur-et.html
(Libérer le capital et le travail pour vaincre la pauvreté)
LE FLASH
(A diffuser largement)
LA TAXE CARBONE




La dernière nouvelle de l’année 2009 est que la taxe carbone telle qu’elle
était prévue par le gouvernement a été refusée par le conseil
constitutionnel. Cette taxe, extrêmement cruelle il faut le dire, est due à
la « volonté d’un seul homme ». Cet homme n’est pas celui que l’on croit
; en effet le pouvoir n’est, en la circonstance, que l’ombre portée d’un
riche pollueur de la planète qui, par un miracle de la fausse démocratie,
s’est emparé pour son usage personnel de l’illusion écologique ; c’est pour
lui faire plaisir que fut créé un ministère de l’écologie avec en
conséquence le ridicule et coûteux « grenelle de l’environnement ». Ce
pollueur doit sa célébrité et son pouvoir abusif aux innombrables engins
motorisés qu’il a utilisé dans les endroits les plus beaux du monde. Ce
faisant, il s’est saisi du pouvoir écolo, lequel met en danger l’économie
de la planète entière.
La cruauté vient de ce que, comme toute taxe, le nouvel impôt pèse
principalement sur les modestes et les pauvres qui sont atteints directement
dans leur capacité de circuler. Les riches peuvent s’en accommoder. Les
richissimes politiques et les gentilshommes de la Cour ne s’en occupent pas
car ils vivent dans une bulle où il échappent aux problèmes du vulgaire.
Quant aux PME ou TPE qui forment les véritables forces vives de la nation,
elles sont frappées de plein fouet n’ayant pas la possibilité de
délocaliser ou sinon avec de grandes difficultés.
Pour se défendre de l’accusation de taxer pour ramasser des sous, le pouvoir
a promis que la taxe carbone n’augmenterait pas les prélèvements
obligatoires et, en particulier, un nouveau monstre bureaucratique est
prévu à cette fin sous le vocable de « chèque vert ». Comment une
promesse aussi monumentale peut-elle être énoncée sans que personne dans
les médias ne souligne son impossibilité? L’enchevêtrement incroyable,
inouï, et fantastique de l’empilement d’usines à gaz que représentent les
prélèvements obligatoires rend absolument irréaliste toute prévision dans
ce domaine ; en outre, le complexe énarcho-socialo aux affaires dépense
au-delà du possible et cherche de l’argent de tous cotés.
Ajoutons, pour compléter la description, que le projet est tyrannique par
définition puisqu’il prétend nous faire dicter nos comportements par le
pouvoir en place dans tous les domaines de la vie. Les écolos en se
présentant abusivement comme les seuls amoureux de la nature exercent dans
tous les pays ce pouvoir tyrannique. En outre, le projet de taxe combine le
tout et son contraire dans un équilibre évidemment absolument impossible à
trouver.
Le conseil constitutionnel s’est bien gardé de critiquer le principe de la
taxe. Oubliant que la presse le prétend abusivement composé de
« sages », il ne voit aucun inconvénient à ce que le pouvoir ait voulu,
par un impôt, lutter contre le soleil ou les effets de la nature.
Pour rendre sa décision il s’est appuyé sur deux chimères. D’abord,
paraît-il, la taxe ne respectait pas le principe d’égalité des citoyens
devant l’impôt : c’est une pure chimère car tout impôt, par nature, est
contraire à l’égalité et il ne peut en être autrement ; la taxe, d’autre
part, tapait particulièrement sur les faibles et les pauvres, comme indiqué
plus haut, et cela ne semblait pas émouvoir particulièrement ce conseil
constitutionnel, pourtant composé de personnalités généralement adroites
dans la gestion et l’utilisation de la compassion.
Un autre prétexte fut invoqué : le pouvoir, par le mécanisme mis au point,
ne pouvait pas atteindre l’objectif qu’il se donnait lui-même. Il était
prévu, en effet, d’épargner les transports routiers de voyageurs, le
transport aérien et 1000 sites polluants d’une foule d’industries. Le
dispositif était, évidemment, un exercice d’équilibre dans une usine à gaz
de plus avec de multiples compteurs et de multiples contentieux en
perspectives ; les prétendus sages savent, du reste, fort bien que les
usines à gaz administratives ne peuvent jamais fonctionner en vue de
réaliser des objectifs précis ; dans l’espèce en plus la lutte contre le
soleil n’est guère mesurable dans ses effets !
Compte tenu de cette analyse, le pouvoir a sans doute raison de laisser dire
dans la presse que l’on pourrait soupçonner une opération politique dans ce
rejet ; ce n’est, certes, pas pour nous rassurer, car les opposants ne
rejettent nullement l’objectif en lui-même et rêvent seulement de mijoter
une cuisine encore plus complexe. Pour ne pas avouer l’erreur initiale en
retirant purement et simplement le projet, il nous a été annoncé le 31
décembre qu’une autre mouture du texte serait présentée le 20 janvier.
C’est alors qu’une réjouissante coïncidence s’est produite à la
télévision le lendemain 1er janvier 2010 ; elle montrait le cirque de
Monte-Carlo ; ce petit bout de territoire, qui offre un paradis aux étrangers
voulant échapper aux enfers fiscaux, est également célèbre pour son
cirque. Et chacun a pu voir en quelques minutes une ressemblance étrange avec
le cirque indéfiniment répété de la « République Fromagère (R.F.) »
en France.
Un équilibriste est arrivé et ce fut en un instant un merveilleux spectacle.
Il se jucha à deux mètres du sol et disposa une seule roulette. Son épouse
adorée lui jeta une première marche en bois et il monta sur cette marche
maintenant son équilibre en combinant les contraires comme un quelconque des
40 ministres ou sous-ministres en vigueur ; et puis une deuxième planche, et
puis une troisième … jusqu’à la dixième. A chaque nouvel étage, il
prenait le soin de nettoyer en quelque sorte la nouvelle marche : pourtant
c’était son épouse qui lui lançait l’objet et elle ne voulait certainement
pas lui « savonner la planche » comme cela se passe tous les jours entre
politiques de haut niveau ! Après avoir nettoyé, il gravissait la marche, on
ne sait comment, sans que tout s’écroule. En haut de la dixième marche
l’ovation fut fabuleuse.
Vint alors un exercice encore plus périlleux. Ayant détruit le travail
antérieurement bien fait, comme un quelconque des mêmes 40 ministres qui
refait sa copie, il entreprit ce deuxième exercice et empila
d’invraisemblables pièces roulantes les unes sur les autres lesquelles
avaient du mal à rester ensemble même sans lui. L’exercice précédent se
renouvela avec l’adjonction de simples planches jusqu’à le conduire à se
hisser jusqu’à un sommet. Ce fut alors tout soudain l’effondrement : le
hasard le jeta par terre à la grande émotion du public et comme un
quelconque conseil constitutionnel l’aurait fait. Il avait du métier et pu
tomber avec grâce comme le font nos politiciens qui savent chuter avec
adresse même devant les juges les plus exigeants pour les autres. Tout
aussitôt il proclama qu’il remonterait, non le 20 janvier, mais tout de
suite et finalement il réussit son nouveau pari, sous une ovation immense.
Les ressemblances avec la « République Fromagère (R.F) » sont
nombreuses avec quelques dissemblances.
Mêmes applaudissements de la foule devant l’habileté des acrobates.
Toutefois, dans le cirque monégasque, les spectateurs paient leur place avec
leur argent. Dans le cirque français ils sont conditionnés par la presse
dont l’essentiel des recettes est due à la publicité publique, comme si
l’acrobate achetait lui-même les applaudissements.
L’acrobate du cirque privé ne peut réussir que grâce à un travail
incroyable et permanent sur des années. Idem dans la « R.F » ; le travail
d’équilibre est gigantesque et ses échos entremêlés remplissent
abusivement tous les jours les écrans, les journaux et l’ordre du jour des
luxueuses, multiples et inutiles assemblées.
Sous l’angle des dépenses, du coté de Monte-Carlo, elles ne sont pas
immenses : un ménage et sans doute quelques auxiliaires avec en plus les
dépenses propres au chapiteau. Dans le cirque français, d’innombrables
acrobates sont embusqués pour dériver en leur faveur la rivière argentée
que les esclaves-contribuables alimentent par la force de la loi. A ce sujet,
personne, semble-t-il, ne met en lumière un fait important ; au coût propre
du cirque et à l’enrichissement fabuleux des acrobates, s’ajoute la
destruction de leurs propres talents ; ces acrobates sont souvent
intelligents, dynamiques et parfois diplômés ; autodidactes ou diplômés
ils consacrent leurs talents à un travail totalement destructeur et négatif.
Enfin le cirque de Monte-Carlo réjouit les spectateurs. Le cirque étatique
réjouit les seuls acrobates. Les millions d’autres subissent les
délocalisations d’usines, le chômage, les salaires insuffisants,
l’écroulement des retraites et la désolante prospérité des restos du coeur
!
Michel de Poncins
LUNDI 4 JANVIER 2010
REMARQUE
Les Flashs peuvent aussi être consultés
sur l’édition hebdomadaire de
TOCQUEVILLE MAGAZINE (tous les mardis) :
et sur LE PILORI
http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilorigeneral.htm
——————————
Dans la prochaine édition hebdomadaire de
TOCQUEVILLE MAGAZINE
lire
L’avis de l’économiste Jean-Christophe Mounicq sur la crise
Mesures de sécurité sociale
Gouvernements hors de leur rôle
Le CRÉDIT SOCIAL par Louis Even (SUITE et FIN promise)
17 mai 2005, par Renaud L a i l l i e r
Bonjour, je m’appelle Renaud L a i l l i e r, j’habite à Toulon. Je connais bien Louis Even. J’ai découvert le mouvement Créditiste, dont il est l’inspirateur direct, un jour, en ramassant inexplicablement sur le trottoir une page perdue, jaunie, sale et très abîmée du journal Vers-Demain que le vent avait poussé à mes pieds ! Louis Even est un pédagogue hors série. Beaucoup se sont exclamé après avoir lu Louis Even : “J’en ai appris plus en lisant Louis Even que trois ans d’études à l’université !”. Les études financières ressemblent, par exemple, à un énorme volume intitulé : Histoire de l’Eglise, mais une fois lu ce gros volume (d’ailleurs fort ennuyeux et qui n’apprend rien d’essentiel), on se rend compte que l’on n’y parle jamais, ni du Pape, ni du Vatican, ni des cardinaux, ni des évêques, ni des curés, seulement quelque fois des enfants de choeur… Voici une bonne illustration de ce que l’on apprend en finances et système monétaire.
Avec Louis Even, l’on va directement au fond des choses les plus fondamentales ici bas. Il nous fait économiser beaucoup de temps et des errements sans fin dans l’abrutissement du verbiage politique qui nous éloigne des sujets de base. Je ne sais pas qui lira ces lignes. Mais je vous en conjure, lisez Louis Even (1885-1974) ses écrits sont de plus en plus d’actualité (j’ écrit ceci le 17 mai 2005). Dans le Mouvement Créditiste (siège au Québec-Canada) il y a une version religieuse catholique très marquée qui (en France spécialement) irrite beaucoup de monde. Cette irritation n’est qu’un réflexe parfaitement injustifié. En effet, il ne faut pas faire attention à la “couleur de l’encre” si l’on lit quelque chose de fondamental et d’universel qui s’applique à tout le monde sans la moindre exception. Les athées, les agnostiques, les libres penseurs, ceux appartenant à toutes les religions et tous les partis imaginables, ceux qui sont sans religion ni philosophie d’aucune sorte, etc, ne bénéficient pas de la moindre indulgence de la part de l’administration fiscale, ni de leur banquier quand il en ont un, etc. Et, par ailleurs, tout le monde sait bien que les pays pauvres (rendus pauvres) sont écrasés de dettes impayables. Pour 1 dollar de dette en 1980 beaucoup de pays en ont remboursé 7 en 2002, et en doivent encore 4,5 en cette année 2002. Faut-il faire un dessin ? Qu’attend-t-on pour nous instruire avec Louis Even le promoteur du Crédit Social. Louis Even était un catholique, mais, à le lire, il fait peu de références à sa religion. Le Crédit Social qui fut découvert expérimentalement par l’ingénieur Ecossais Clifford Hugh Douglas (1879-1952). Quand on interrogeait ce dernier sur ses découvertes économiques expérimentales, il indiquait la plupart du temps à ses interlocuteurs de contacter directement Louiis Even, celui qui avait le mieux intégré l’essentiel de ses recherches. Alors ? Vite, mettez-vous à lire louis Even, et vous m’en direz des nouvelles. !
Tax his bed,
Tax the table
At which he’s fed.
Tax his tractor,
Tax his mule,
Teach him taxes
Are the rule.
Tax his work,
Tax his pay,
He works for peanuts
Anyway!
Tax his cow,
Tax his goat,
Tax his pants,
Tax his coat.
Tax his ties,
Tax his shirt,
Tax his work,
Tax his dirt.
Tax his tobacco,
Tax his drink,
Tax him if he
Tries to think.
Tax his cigars,
Tax his beers,
If he cries
Tax his tears.
Tax his car,
Tax his gas,
Find other ways
To tax his ass.
Tax all he has
Then let him know
That you won’t be done
Till he has no dough.
When he screams and hollers;
Then tax him some more,
Tax him til
He’s good and sore.
Then tax his coffin,
Tax his grave,
Tax the sod in
Which he’s laid.
Put these words
Upon his tomb,
‘Taxes drove me
To my doom…’
When he’s gone,
Do not relax,
Its time to apply
The inheritance tax.
Accounts Receivable Tax
Airline surcharge tax
Airline Fuel Tax
Airport Maintenance Tax
Building Permit Tax
Cigarette Tax
Corporate Income Tax
Death Tax
Dog License Tax
Driving Permit Tax
Excise Taxes
Federal Income Tax
Federal Unemployment (UI)
Fishing License Tax
Food License Tax
Gasoline Tax ( too much per litre)
Gross Receipts Tax
Health Tax
Hunting License Tax
Hydro Tax
Inheritance Tax
Interest Tax
Liquor Tax
Luxury Taxes
Marriage License Tax
Medicare Tax
Mortgage Tax
Personal Income Tax
Property Tax
Poverty Tax
Prescription Drug Tax
Provincial Income Tax
Real Estate Tax
Recreational Vehicle Tax
Retail Sales Tax
Service Charge Tax
School Tax
Telephone Federal Tax
Telephone Federal, Provincial and Local Surcharge Taxes
Telephone Minimum Usage Surcharge Tax
Vehicle License Registration Tax
Vehicle Sales Tax
Water Tax
Watercraft Registration Tax
Well Permit Tax
Workers Compensation Tax
STILL THINK THIS IS FUNNY?
Not one of these taxes existed 100 years ago, and our nation was one of the most prosperous in the world. We had absolutely no national debt, had a large middle-class, and Mom stayed home to raise the kids.
I hope this goes around the world at least 100 times!!!!! YOU can help it get there!!!! GO AHEAD – – – be an human !!!!!!!!!! SEND IT AROUNDTOCQUEVILLE MAGAZINE
(Libérer le capital et le travail pour vaincre la pauvreté)
LE FLASH
(A diffuser largement)
Taxes et populations !
Taxes attentats, pluies, vue…
La “taxe attentat” a été créé en 1986 , ce n’est pas nouveau , c’est lié aux assurances et servirait à indemniser les victimes , et bien sur elle sera en augmentation chaque année…
Taxes prévues en France, sur la pluie, sic, en fonction de la surface des toits ou terrasses !
Taxes sur la vue en Californie par exemple… Plus ci-dessous…
Selon Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap, la France compte au moins, s.e.o.o. 365 taxes et impôts divers, une taxe par jour…
Oui à la distribution rendue possible par l’abondance des produits des machines et ordinateurs. mais au niveau financement, il faut chercher à éviter de créer encore plus de dettes à intérêts composés exponentielles écrasantes et orienter les nouvelles créations monétaires vers toutes les personnes dès leur conception par des coopératives locales
http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/02/la-plupart-des-taxes-sont-du-vol-pur-et.html
La “taxe attentat” a été créé en 1986 , ce n’est pas nouveau , c’est lié aux assurances et servirait à indemniser les victimes , et bien sur elle sera en augmentation chaque année…
Taxes prévues en France, sur la pluie, sic, en fonction de la surface des toits ou terrasses !
Taxes sur la vue en Californie par exemple… Plus ci-dessous…
Selon Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap, la France compte au moins, s.e.o.o. 365 taxes et impôts divers, une taxe par jour…
Oui à la distribution rendue possible par l’abondance des produits des machines et ordinateurs. mais au niveau financement, il faut chercher à éviter de créer encore plus de dettes à intérêts composés exponentielles écrasantes et orienter les nouvelles créations monétaires vers toutes les personnes dès leur conception par des coopératives locales
http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/02/la-plupart-des-taxes-sont-du-vol-pur-et.html
(Libérer le capital et le travail pour vaincre la pauvreté)
LE FLASH
(A diffuser largement)
LA TAXE CARBONE
La dernière nouvelle de l’année 2009 est que la taxe carbone telle qu’elle
était prévue par le gouvernement a été refusée par le conseil
constitutionnel. Cette taxe, extrêmement cruelle il faut le dire, est due à
la « volonté d’un seul homme ». Cet homme n’est pas celui que l’on croit
; en effet le pouvoir n’est, en la circonstance, que l’ombre portée d’un
riche pollueur de la planète qui, par un miracle de la fausse démocratie,
s’est emparé pour son usage personnel de l’illusion écologique ; c’est pour
lui faire plaisir que fut créé un ministère de l’écologie avec en
conséquence le ridicule et coûteux « grenelle de l’environnement ». Ce
pollueur doit sa célébrité et son pouvoir abusif aux innombrables engins
motorisés qu’il a utilisé dans les endroits les plus beaux du monde. Ce
faisant, il s’est saisi du pouvoir écolo, lequel met en danger l’économie
de la planète entière.
La cruauté vient de ce que, comme toute taxe, le nouvel impôt pèse
principalement sur les modestes et les pauvres qui sont atteints directement
dans leur capacité de circuler. Les riches peuvent s’en accommoder. Les
richissimes politiques et les gentilshommes de la Cour ne s’en occupent pas
car ils vivent dans une bulle où il échappent aux problèmes du vulgaire.
Quant aux PME ou TPE qui forment les véritables forces vives de la nation,
elles sont frappées de plein fouet n’ayant pas la possibilité de
délocaliser ou sinon avec de grandes difficultés.
Pour se défendre de l’accusation de taxer pour ramasser des sous, le pouvoir
a promis que la taxe carbone n’augmenterait pas les prélèvements
obligatoires et, en particulier, un nouveau monstre bureaucratique est
prévu à cette fin sous le vocable de « chèque vert ». Comment une
promesse aussi monumentale peut-elle être énoncée sans que personne dans
les médias ne souligne son impossibilité? L’enchevêtrement incroyable,
inouï, et fantastique de l’empilement d’usines à gaz que représentent les
prélèvements obligatoires rend absolument irréaliste toute prévision dans
ce domaine ; en outre, le complexe énarcho-socialo aux affaires dépense
au-delà du possible et cherche de l’argent de tous cotés.
Ajoutons, pour compléter la description, que le projet est tyrannique par
définition puisqu’il prétend nous faire dicter nos comportements par le
pouvoir en place dans tous les domaines de la vie. Les écolos en se
présentant abusivement comme les seuls amoureux de la nature exercent dans
tous les pays ce pouvoir tyrannique. En outre, le projet de taxe combine le
tout et son contraire dans un équilibre évidemment absolument impossible à
trouver.
Le conseil constitutionnel s’est bien gardé de critiquer le principe de la
taxe. Oubliant que la presse le prétend abusivement composé de
« sages », il ne voit aucun inconvénient à ce que le pouvoir ait voulu,
par un impôt, lutter contre le soleil ou les effets de la nature.
Pour rendre sa décision il s’est appuyé sur deux chimères. D’abord,
paraît-il, la taxe ne respectait pas le principe d’égalité des citoyens
devant l’impôt : c’est une pure chimère car tout impôt, par nature, est
contraire à l’égalité et il ne peut en être autrement ; la taxe, d’autre
part, tapait particulièrement sur les faibles et les pauvres, comme indiqué
plus haut, et cela ne semblait pas émouvoir particulièrement ce conseil
constitutionnel, pourtant composé de personnalités généralement adroites
dans la gestion et l’utilisation de la compassion.
Un autre prétexte fut invoqué : le pouvoir, par le mécanisme mis au point,
ne pouvait pas atteindre l’objectif qu’il se donnait lui-même. Il était
prévu, en effet, d’épargner les transports routiers de voyageurs, le
transport aérien et 1000 sites polluants d’une foule d’industries. Le
dispositif était, évidemment, un exercice d’équilibre dans une usine à gaz
de plus avec de multiples compteurs et de multiples contentieux en
perspectives ; les prétendus sages savent, du reste, fort bien que les
usines à gaz administratives ne peuvent jamais fonctionner en vue de
réaliser des objectifs précis ; dans l’espèce en plus la lutte contre le
soleil n’est guère mesurable dans ses effets !
Compte tenu de cette analyse, le pouvoir a sans doute raison de laisser dire
dans la presse que l’on pourrait soupçonner une opération politique dans ce
rejet ; ce n’est, certes, pas pour nous rassurer, car les opposants ne
rejettent nullement l’objectif en lui-même et rêvent seulement de mijoter
une cuisine encore plus complexe. Pour ne pas avouer l’erreur initiale en
retirant purement et simplement le projet, il nous a été annoncé le 31
décembre qu’une autre mouture du texte serait présentée le 20 janvier.
C’est alors qu’une réjouissante coïncidence s’est produite à la
télévision le lendemain 1er janvier 2010 ; elle montrait le cirque de
Monte-Carlo ; ce petit bout de territoire, qui offre un paradis aux étrangers
voulant échapper aux enfers fiscaux, est également célèbre pour son
cirque. Et chacun a pu voir en quelques minutes une ressemblance étrange avec
le cirque indéfiniment répété de la « République Fromagère (R.F.) »
en France.
Un équilibriste est arrivé et ce fut en un instant un merveilleux spectacle.
Il se jucha à deux mètres du sol et disposa une seule roulette. Son épouse
adorée lui jeta une première marche en bois et il monta sur cette marche
maintenant son équilibre en combinant les contraires comme un quelconque des
40 ministres ou sous-ministres en vigueur ; et puis une deuxième planche, et
puis une troisième … jusqu’à la dixième. A chaque nouvel étage, il
prenait le soin de nettoyer en quelque sorte la nouvelle marche : pourtant
c’était son épouse qui lui lançait l’objet et elle ne voulait certainement
pas lui « savonner la planche » comme cela se passe tous les jours entre
politiques de haut niveau ! Après avoir nettoyé, il gravissait la marche, on
ne sait comment, sans que tout s’écroule. En haut de la dixième marche
l’ovation fut fabuleuse.
Vint alors un exercice encore plus périlleux. Ayant détruit le travail
antérieurement bien fait, comme un quelconque des mêmes 40 ministres qui
refait sa copie, il entreprit ce deuxième exercice et empila
d’invraisemblables pièces roulantes les unes sur les autres lesquelles
avaient du mal à rester ensemble même sans lui. L’exercice précédent se
renouvela avec l’adjonction de simples planches jusqu’à le conduire à se
hisser jusqu’à un sommet. Ce fut alors tout soudain l’effondrement : le
hasard le jeta par terre à la grande émotion du public et comme un
quelconque conseil constitutionnel l’aurait fait. Il avait du métier et pu
tomber avec grâce comme le font nos politiciens qui savent chuter avec
adresse même devant les juges les plus exigeants pour les autres. Tout
aussitôt il proclama qu’il remonterait, non le 20 janvier, mais tout de
suite et finalement il réussit son nouveau pari, sous une ovation immense.
Les ressemblances avec la « République Fromagère (R.F) » sont
nombreuses avec quelques dissemblances.
Mêmes applaudissements de la foule devant l’habileté des acrobates.
Toutefois, dans le cirque monégasque, les spectateurs paient leur place avec
leur argent. Dans le cirque français ils sont conditionnés par la presse
dont l’essentiel des recettes est due à la publicité publique, comme si
l’acrobate achetait lui-même les applaudissements.
L’acrobate du cirque privé ne peut réussir que grâce à un travail
incroyable et permanent sur des années. Idem dans la « R.F » ; le travail
d’équilibre est gigantesque et ses échos entremêlés remplissent
abusivement tous les jours les écrans, les journaux et l’ordre du jour des
luxueuses, multiples et inutiles assemblées.
Sous l’angle des dépenses, du coté de Monte-Carlo, elles ne sont pas
immenses : un ménage et sans doute quelques auxiliaires avec en plus les
dépenses propres au chapiteau. Dans le cirque français, d’innombrables
acrobates sont embusqués pour dériver en leur faveur la rivière argentée
que les esclaves-contribuables alimentent par la force de la loi. A ce sujet,
personne, semble-t-il, ne met en lumière un fait important ; au coût propre
du cirque et à l’enrichissement fabuleux des acrobates, s’ajoute la
destruction de leurs propres talents ; ces acrobates sont souvent
intelligents, dynamiques et parfois diplômés ; autodidactes ou diplômés
ils consacrent leurs talents à un travail totalement destructeur et négatif.
Enfin le cirque de Monte-Carlo réjouit les spectateurs. Le cirque étatique
réjouit les seuls acrobates. Les millions d’autres subissent les
délocalisations d’usines, le chômage, les salaires insuffisants,
l’écroulement des retraites et la désolante prospérité des restos du coeur
!
Michel de Poncins
LUNDI 4 JANVIER 2010
REMARQUE
Les Flashs peuvent aussi être consultés
sur l’édition hebdomadaire de
TOCQUEVILLE MAGAZINE (tous les mardis) :
et sur LE PILORI
http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilorigeneral.htm
——————————
Dans la prochaine édition hebdomadaire de
TOCQUEVILLE MAGAZINE
lire
L’avis de l’économiste Jean-Christophe Mounicq sur la crise
Mesures de sécurité sociale
Gouvernements hors de leur rôle
Le CRÉDIT SOCIAL par Louis Even (SUITE et FIN promise)
17 mai 2005, par Renaud L a i l l i e r
Bonjour, je m’appelle Renaud L a i l l i e r, j’habite à Toulon. Je connais bien Louis Even. J’ai découvert le mouvement Créditiste, dont il est l’inspirateur direct, un jour, en ramassant inexplicablement sur le trottoir une page perdue, jaunie, sale et très abîmée du journal Vers-Demain que le vent avait poussé à mes pieds ! Louis Even est un pédagogue hors série. Beaucoup se sont exclamé après avoir lu Louis Even : “J’en ai appris plus en lisant Louis Even que trois ans d’études à l’université !”. Les études financières ressemblent, par exemple, à un énorme volume intitulé : Histoire de l’Eglise, mais une fois lu ce gros volume (d’ailleurs fort ennuyeux et qui n’apprend rien d’essentiel), on se rend compte que l’on n’y parle jamais, ni du Pape, ni du Vatican, ni des cardinaux, ni des évêques, ni des curés, seulement quelque fois des enfants de choeur… Voici une bonne illustration de ce que l’on apprend en finances et système monétaire.
Avec Louis Even, l’on va directement au fond des choses les plus fondamentales ici bas. Il nous fait économiser beaucoup de temps et des errements sans fin dans l’abrutissement du verbiage politique qui nous éloigne des sujets de base. Je ne sais pas qui lira ces lignes. Mais je vous en conjure, lisez Louis Even (1885-1974) ses écrits sont de plus en plus d’actualité (j’ écrit ceci le 17 mai 2005). Dans le Mouvement Créditiste (siège au Québec-Canada) il y a une version religieuse catholique très marquée qui (en France spécialement) irrite beaucoup de monde. Cette irritation n’est qu’un réflexe parfaitement injustifié. En effet, il ne faut pas faire attention à la “couleur de l’encre” si l’on lit quelque chose de fondamental et d’universel qui s’applique à tout le monde sans la moindre exception. Les athées, les agnostiques, les libres penseurs, ceux appartenant à toutes les religions et tous les partis imaginables, ceux qui sont sans religion ni philosophie d’aucune sorte, etc, ne bénéficient pas de la moindre indulgence de la part de l’administration fiscale, ni de leur banquier quand il en ont un, etc. Et, par ailleurs, tout le monde sait bien que les pays pauvres (rendus pauvres) sont écrasés de dettes impayables. Pour 1 dollar de dette en 1980 beaucoup de pays en ont remboursé 7 en 2002, et en doivent encore 4,5 en cette année 2002. Faut-il faire un dessin ? Qu’attend-t-on pour nous instruire avec Louis Even le promoteur du Crédit Social. Louis Even était un catholique, mais, à le lire, il fait peu de références à sa religion. Le Crédit Social qui fut découvert expérimentalement par l’ingénieur Ecossais Clifford Hugh Douglas (1879-1952). Quand on interrogeait ce dernier sur ses découvertes économiques expérimentales, il indiquait la plupart du temps à ses interlocuteurs de contacter directement Louiis Even, celui qui avait le mieux intégré l’essentiel de ses recherches. Alors ? Vite, mettez-vous à lire louis Even, et vous m’en direz des nouvelles. !
Tax his bed,
Tax the table
At which he’s fed.
Tax his tractor,
Tax his mule,
Teach him taxes
Are the rule.
Tax his work,
Tax his pay,
He works for peanuts
Anyway!
Tax his cow,
Tax his goat,
Tax his pants,
Tax his coat.
Tax his ties,
Tax his shirt,
Tax his work,
Tax his dirt.
Tax his tobacco,
Tax his drink,
Tax him if he
Tries to think.
Tax his cigars,
Tax his beers,
If he cries
Tax his tears.
Tax his car,
Tax his gas,
Find other ways
To tax his ass.
Tax all he has
Then let him know
That you won’t be done
Till he has no dough.
When he screams and hollers;
Then tax him some more,
Tax him til
He’s good and sore.
Then tax his coffin,
Tax his grave,
Tax the sod in
Which he’s laid.
Put these words
Upon his tomb,
‘Taxes drove me
To my doom…’
When he’s gone,
Do not relax,
Its time to apply
The inheritance tax.
Accounts Receivable Tax
Airline surcharge tax
Airline Fuel Tax
Airport Maintenance Tax
Building Permit Tax
Cigarette Tax
Corporate Income Tax
Death Tax
Dog License Tax
Driving Permit Tax
Excise Taxes
Federal Income Tax
Federal Unemployment (UI)
Fishing License Tax
Food License Tax
Gasoline Tax ( too much per litre)
Gross Receipts Tax
Health Tax
Hunting License Tax
Hydro Tax
Inheritance Tax
Interest Tax
Liquor Tax
Luxury Taxes
Marriage License Tax
Medicare Tax
Mortgage Tax
Personal Income Tax
Property Tax
Poverty Tax
Prescription Drug Tax
Provincial Income Tax
Real Estate Tax
Recreational Vehicle Tax
Retail Sales Tax
Service Charge Tax
School Tax
Telephone Federal Tax
Telephone Federal, Provincial and Local Surcharge Taxes
Telephone Minimum Usage Surcharge Tax
Vehicle License Registration Tax
Vehicle Sales Tax
Water Tax
Watercraft Registration Tax
Well Permit Tax
Workers Compensation Tax
STILL THINK THIS IS FUNNY?
Not one of these taxes existed 100 years ago, and our nation was one of the most prosperous in the world. We had absolutely no national debt, had a large middle-class, and Mom stayed home to raise the kids.
I hope this goes around the world at least 100 times!!!!! YOU can help it get there!!!! GO AHEAD – – – be an human !!!!!!!!!! SEND IT AROUNDTOCQUEVILLE MAGAZINE
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