Très chers amis,

Voici la réponse d’Éloïse Lauber,

Pour l’instant, je ne souhaite pas lui répondre. En tout pas en ce moment présent, tellement j’en ai assez de me retrouver sans cesse dans un cercle relationnel vicieux, dans une sorte de  “spirale infernale” qui  a pour objectif de m’engloutir au “fonds d’un puits” depuis décembre 2011 à ce jour.

Je refuse les comportements infantilisants à mon égard, de la part d’Éloïse Lauber et de Marion Sauthier et leur incapacité à apprécier et à évaluer ma situation individuelle, professionnelle, familiale, sociale et environnementale dans son ensemble et sous ses différents aspects, dans un dialogue d’adulte à adulte, en référence à l’analyse transactionnelle, en mettant en mouvement une démarche de résolutions de problèmes en lien avec les dysfonctionnements de l’organisation du système de santé suisse et du fonctionnement chaotique des milieux socio-sanitaires, dont les hôpitaux publics, les EMS, les APEA, les services sociaux, etc.

Je rappelle qu’Éloïse Lauber et Marion Sauthier, refusent de lire mes publications sur abus-suisses.blogspot.com. J’ai les preuves écrites qu’elles renoncent à toutes informations quant à la cascade de dysfonctionnements,qui est à l’origine du fait que je me sois retrouvée au service social de Tramelan, au lieu de pratiquer ma profession d’infirmière ES, au sein d’un service de soins, selon les règles de l’Art infirmier, qui s’inscrit dans le modèle de gestion “Opale” décrit par Frédéric Laloux, et dont mon Association professionnelle en fait la promotion, sans que j’ai un soutien de leur part. 

L’épisode de mon internement abusif sous “PAFA”, avec administrations forcées de psychotropes, entre les 20 et 30 juillet 2018, à démontré que Pierre-André Wagner, avocat et infirmier, responsable du service juridique de l’ASI, au siège central à Berne, alors que de nombreux courriels attestent que nous entretenions durant plusieurs années une excellente collaboration, ne m’a pas apporté le soutien escompté, même que François de Siebenthal et Thierry Wampfler ont pris contact avec lui, par téléphone, afin de l’informer de la situation dramatique dans laquelle je me trouvais et dont je n’étais en rien responsable. 

Tout dysfonctionnent résulte de la loi de “causes à effets”. Tant que cette évidence n’est pas reconnue par les individus occupant un poste-clé au niveau politique, institutionnel, judiciaire et médiatique, l’Humanité toute entière fonce “en droite ligne” dans un abîme.


Vivement que les consciences s’éveillent. Cette lobotomie collective est pénible à vivre lorsque l’on n’est pas atteint par cette pathologie collective.

Cordialement

Nathalie
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