Manif. stop plandémie covid-19

Lausanne & Cie , samedi, dès 14h00
Gardez les distances sociales.

Manifestations ce samedi 16 mai à 14h dans certaines villes de Suisse, dont Lausanne, à la Riponne, dès 14h00

Bonjour,
Des manifestations sont organisées à nouveau ce samedi 16 mai à 14h dans certaines villes de Suisse  par notamment une organisation nommée “Corona rebellen Helvetia”.

Pour plus d’informations, voilà la page Facebook:
https://www.facebook.com/profile.php?id=112153873820830&ref=br_tf&epa=SEARCH_BOX

L’échec de l’élite fait descendre les gens dans la rue 

Pour la première fois dans l’histoire, les gouvernements ont délibérément étouffé l’activité économique.
Les populistes savent comment s’en servir.

15.5.2020 Klaus Stöhlker 0 2’115

Klaus J. Stöhlker est consultant en gestion pour l’éducation publique à Zollikon/ZH et propriétaire de Laketop GmbH.

Si le conseiller gouvernemental zurichois du PS, généralement prudent, Mario Fehr, autorise une attaque plus ou moins brutale contre les manifestants pour plus de liberté, on peut s’attendre à plus de dureté dans le combat de rue suisse dans les prochains mois.

Déjà ce dimanche à Berne, le directeur de la sécurité Reto Nause (PDC CVP) devra affronter une troupe “pour plus de libertés” mieux organisée.

Le défenseur fédéral des villes Nause a pu faire carrière car il a fait de l’avocate argovienne Doris Leuthard (“Atom-Doris”) une conseillère fédérale avec le slogan “Douche avec Doris”. La question de savoir si cela était finalement avantageux pour le pays est aujourd’hui considérée comme controversée.

Le cycle de manifestations anti-Corona pour plus de politique et moins d’administration qui commence maintenant est la conséquence inévitable de l’échec des élites, surtout à Berne.

Le Conseil fédéral, incarné de manière dominante par sa présidente Simonetta Sommaruga, une fonctionnaire PS ambitieuse mais par ailleurs sociable, qui a longtemps été à la droite du parti, et Alain Berset, un jeune homme politique de carrière qui a réussi à obtenir une promotion politique dans le canton de Fribourg, dans le sillage de ses parents, sont apparus avec des incantations (“Reste à la maison”) et ont par ailleurs fait “bella figura” surtout lors de visites sur place.

Berset dans le rôle du “petit Macron” et Sommaruga dans celui de la mère nationale tatillonne. Karin Keller-Suter comme une gouvernante stricte haletant après eux.

Les politiciens ont parié sur la carte de l’empathie, de la compassion, et avec le soutien de la SSR, la NZZ et les rédactions de Tx (Tamedia) ont gagné la sympathie des quatre cinquièmes du peuple. Un sur cinq est resté sceptique.

En réalité, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) disposait d’une base de données extrêmement faible.

Les rapports d’horreur du Collège Impérial arrivent d’Angleterre. La semaine dernière, son patron Neill Ferguson a dû démissionner parce que ses prévisions (“un million de morts”) se sont révélées complètement fausses et que lui et sa petite amie, qui était mariée ailleurs, ont été repérés à Londres sans aucune mesure de protection apparente.

La méfiance des Suisses, par ailleurs patients, s’est accrue de façon constante dans la clandestinité car, même au Tessin, les hôpitaux sont restés largement vides. Dans les centres de traitement, qui ont été convertis à grands frais, les soldats de la santé du chef du DDPS, Viola Amherd, s’ennuyaient et, selon des témoins oculaires, se voyaient maltraités en tant que “personnel auxiliaire”.

L’état d’urgence a été imposé à la population comme une zone de mauvais temps. Des dizaines de milliers de personnes sont entrées dans les “bureaux à domicile”. Le “Leistungs-Schweiz” a été fermé. Des milliers de personnes se sont promenées dans tout le pays par un beau temps printanier, bloquées par la force. Lorsque les restaurants étaient fermés, les gens emportaient simplement de la nourriture avec eux.

Des protestations silencieuses en petits cercles, des articles critiques dans les médias en ligne et des lettres occasionnelles au rédacteur en chef, qui ont été laissées dans les grandes rédactions pour protéger leur visage, de plus en plus de questions ont surgi, auxquelles personne à Berne n’a répondu.

Quel est le danger réel du virus ?

Dans toute l’Europe et en Suisse, des médecins et d’autres experts se sont élevés contre les “virologistes d’État” officiels.

Le professeur Perikles Simon, chef du département de médecine sportive de l’université de Mayence, a tiré un premier coup, en déclarant le 11 mai : “Jusqu’à présent, deux jeunes de moins de 18 ans sont peut-être morts de Covid-19 en Allemagne. Pourquoi laissons-nous 200 jeunes mourir de la grippe chaque année rien qu’en Allemagne sans mettre en place un verrouillage préventif” ?

Comment le Conseil fédéral et l’OFSP s’informent-ils sur cette crise, la plus importante depuis 100 ans ? Personne n’a voulu répondre à cette question, sachant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève et le siège de l’OTAN à Bruxelles disposent d’un personnel important qui conseille les gouvernements.

Parce que je suis immunisé contre les théories de conspiration, je ne crois pas à une attaque de la Chine contre les États-Unis et l’Europe avec des armes biologiques, ni à la tentative du deuxième homme le plus riche du monde, Bill Gates, de réduire la population mondiale de 8,5 milliards à moins de 7 milliards.

En outre, une vaccination obligatoire, qui me répugne tout autant que le dépistage de la corona, qui m’expose à des risques inconnus.

Les chiffres sinistres présentés dans de nombreux films YouTube ne m’impressionnent guère, mais les médecins et spécialistes qui ont été interdits de profession parce qu’ils contredisaient la propagande de l’État sur les virus le font.

Pas plus tard que la semaine dernière, un haut fonctionnaire a été licencié à Berlin pour avoir exposé l’épidémie de Corona comme un flop de l’État dans un document de plus de 100 pages.

“Grippe saisonnière – Rapport de situation Suisse.

La situation actuelle autour de la pandémie de Covid-19 a une influence sur la collecte de données pour les maladies de type grippal : les symptômes de COVID-19 sont similaires à ceux d’une maladie grippale. Le Covid-19 peut donc être inclus dans les statistiques des maladies de type grippal.

L’OFSP suivait donc tranquillement une recommandation de l’UE. Ces jours-ci, un groupe d’experts des 27 États membres a pris sa décision : Le Covid-19 est classé dans le niveau de menace 3 (de 1 à 4), selon lequel une prophylaxie (précaution) est disponible et un traitement efficace est possible.

La raison de cette décision est que 40 % de l’humanité est déjà immunisée, ce qui rend une nouvelle propagation rapide à peine possible.

Cela signifiait que l’idée d’un monstre viral spécial venant de Chine, qui n’était pas connue jusqu’alors, avait été abandonnée.

Il n’est pas étonnant que les couches les plus actives et les plus intelligentes de la population, notamment les jeunes, en aient de plus en plus assez de ce théâtre de l’OFSP et qu’elles descendent dans la rue depuis lors.

Le modéré Peter Morf a écrit dans le “Finanz + Wirtschaft” du 9 mai : “La question se pose de savoir si la Suisse est encore la réserve de liberté qu’elle aime à se considérer comme telle”.

Le professeur Oliver Zimmer de l’université d’Oxford met en garde : “Nous n’avons pas encore atteint l’immunité de groupe, mais nous avons atteint une mentalité de troupeau. Beaucoup de gens s’adaptent parce qu’ils ne veulent pas être stigmatisés”.

Le professeur Martin Grichting, expert en droit canonique et vicaire général du diocèse de Coire, argumente avec Tocqueville : “Cet État fait croire à chaque nation qu’elle n’est rien d’autre qu’un troupeau d’animaux craintifs et occupés, dont le berger est le gouvernement”.

Des chefs cuisiniers populistes et des présentateurs de télévision mènent actuellement des manifestations en Europe pour une plus grande ouverture et liberté. Ils sont également vus et entendus en Suisse.

J’aurais préféré y voir Petra Gössi (Libérale-radicale, FDP), Gerhard Pfister (PDC-CVP) ou Albert Rösti (Socialiste- SVP). Les dirigeants libéraux du centre, conservateurs et de droite de notre société ont préféré s’enfoncer dans un profond silence et une réflexion avec leurs groupes parlementaires.

Jusqu’à présent, malgré toutes les mauvaises nouvelles, ils ont pu se cacher derrière le “virus corona chinois” qui est responsable de tout. Mais ce n’est pas vrai : comme l’a confirmé la nouvelle présidente du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, pour la première fois de l’histoire, les gouvernements ont délibérément étouffé l’activité économique.

C’est le Conseil fédéral suisse, qui s’est appuyé sur la législation d’urgence, et tous les partis suisses, de gauche comme de droite, qui ont provoqué la catastrophe pour une grande partie de la population suisse. Certains prendront des années pour remettre leur vie sur les rails. Beaucoup périront au cours de ce processus.

Où sont les femmes qui veulent briser les murs de verre et mettre en œuvre de meilleures politiques ? Où sont les jeunes politiciens qui diront un jour à leurs chefs de parti ce qu’ils pensent ?

La scène est brûlée à blanc. Rien que des conformistes.

Mais ce n’est pas possible. Si les législatures nationales et régionales, très payantes, qui veulent aussi des jetons de présence lorsqu’aucune réunion n’a eu lieu à Berne, n’exercent pas le rôle de direction que leur ont confié les électeurs, le peuple parlera à nouveau pour lui-même.

Ce sera un été et un automne agités. Il sera alors question des milliards dépensés par sept conseillers fédéraux de la milice qui ont les mains pleines. Des milliards de dollars de l’argent des contribuables à des entreprises telles que les compagnies aériennes Swiss et Edelweiss, ou des stars du football, ou des fraudeurs déjà connus.

Il s’agit de l’argent des contribuables.

Le fardeau de l’immobilisation sera désormais supporté par les ménages et les travailleurs les plus pauvres. Le travail de courte durée ne protège que pour une courte période. Les prêts doivent être remboursés.

Ils devront payer plus de frais et des taxes plus élevées. Tout cela constitue une faute majeure pour les petites et moyennes entreprises et les entreprises commerciales.

Ces raisons sont-elles à prendre dans la rue ?

Je veux dire que si les politiciens se cachent, cela ne peut vouloir dire que “oui”. Une véritable démocratie exige de la clarté, ce que nous n’avons pas aujourd’hui.

https://insideparadeplatz.ch/2020/05/15/eliten-versagen-bringt-volk-auf-die-strasse/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=eliten-versagen-bringt-volk-auf-die-strasse
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Et si on écoutait le peuple ?
Voilà ce qu’il aurait à nous dire…
Pour la première fois, une veillée (Mahnwache) a eu lieu sur la place de la Riponne à Lausanne le 16 mai 2020. Une vingtaine de citoyens, qui souhaitent réhabiliter leurs droits fondamentaux, notamment la liberté d’opinion (art. 16), la liberté des médias (art. 17) et la liberté de réunion (art. 22) se sont réunis. Le temps est venu de s’interroger sur ce qui est en train de se passer en relation avec le Corona Virus. Ce virus n’a pas tué plus de personnes qu’une grippe saisonnière mais il a pourtant paralysé le monde entier, notre économie, les droits des citoyens.
Un immense fossé s’est ouvert entre le gouvernement et le peuple à présent réveillé. Les volontés de l’un ne correspondent nullement aux attentes de l’autre. Tout au contraire, les inquiétudes exprimées par les individus sont tout simplement ignorées et rangées sous la bannière, désormais bien large, de la ‘théorie du complot’.
La question que nous sommes tous invités à nous poser est : Pourquoi ? Pourquoi, notre gouvernement n’entend pas l’inquiétude du peuple ? Pourquoi n’écoute-t-il pas nos doutes et nos craintes légitimes concernant la loi d’urgence sanitaire qui nous destitue de nos droits fondamentaux de liberté ? Comment se peut-il qu’un gouvernement, qui devrait être au service de son peuple, se tourne carrément contre lui ?
Nous sommes en droit d’exprimer nos opinions et notre inquiétude grandissante quant aux mesures qui sont prises et de manifester publiquement, pacifiquement notre opposition dans le respect de la Constitution suisse et des droits humains fondamentaux. Nous demandons au gouvernement de faire passer l’être humain et son environnement avant la financiarisation de notre économie. Nous demandons un rétablissement de l’économie réelle.

Et voilà un article tendancieux et manipulateur, comme d’habitude, du Temps à ce sujet:
https://www.letemps.ch/suisse/rebelles-corona-sortent-confinement

Conseils pour toutes les célébrations: Prendre de bons souliers, un pic-nic, des habits de rechange et de pluie, chauds car le temps peut être frais et venteux partout en Suisse.

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