The Economist 2019: les amateurs d’énigmes vont sûrement trouver de multiples codes cachés et autres messages subliminaux à décrypter.
La couverture est à lire dans un miroir pour décrypter les commentaires.
La Couverture de The Economist est un hommage à Léonard de Vinci
, dont on fêtera le 500e anniversaire de la mort le 2 mai 2019.
On peut reconnaitre dans cette page, sa machine volante hélicoïdale, son portrait de grotesque juste en dessous, Mona Lisa, et la figure centrale est dérivé de son homme de Vitruve.
Vitruve étant un architecte romain du 1er siècle, dont le traité d’architecture nous a transmis les techniques de construction de l’Antiquité Classique.
Ce célèbre dessin de Léonard de Vinci parle de la quadrature du cercle… du Nombre d’Or et de la spirale de Fibonacci, Léonard de Vinci ayant illustré un livre sur ce sujet.
Les Quatre bras de l’Homme de Vitruve peuvent également évoquer les quatre bras majeurs de la spirale de la Voie Lactée, qui devrait faire l’Actualité scientifique en 2019, alors que la Ceinture de photons interfère avec notre galaxie.
En prenant la première spire de cette spirale, la voiture électrique marque la fin d’un monde centré sur le pétrole et le pétrodollar, la cigogne annonce l’arrivée du phénix, et Grandi, le retour aux productions locales.
Si cette lecture est la bonne, c’est un seul et même message. En effet, le Bancor que Keynes proposé à Bretton Woods, implique des échanges équilibrés pour chaque nation, donc une ré-industrialisation de chaque pays.
Ghandi, qu’on voit ici en train de filer le coton de son dhoti (pagne), considérait que c’était ainsi que l’Inde devait mettre fin au colonialisme britannique, qui imposait aux indiens d’importer des cotonnades filées en Angleterre, alors que le coton brut était produit en Inde.
Dans la spire supérieure, on trouve Poutine, le panda chinois, l’éléphant de guerre indien et Trump, avec les 4 cavaliers de l’Apocalypse.
Notez que notez que les Etats Unis représentés par Trump sont totalement excentrés par la force centrifuge.
Dans le magazine, il y a un article sur la fin de l’hégémonie américaine, et de son retrait de la scène du Moyen Orient.
Le personnage portant barbe et chapeau,
Walt Whitman né en
1819 pourrait être le menteur désigné par Pinocchio. En effet, il avait écrit: «
Personne ne discutera plus de la grandeur de l’Amérique“
« Oui, le Mexique doit être sévèrement châtié. Que nos armes soient désormais portées de manière à apprendre au monde entier que, bien que nous n’aimions pas les querelles, l’Amérique sait comment frapper et connaît les moyens de s’étendre. »
2019 verra aussi le 500 ième anniversaire de la conquête de Mexico par Herman Cortez.
2019 marquera le centième anniversaire de la mort de Emiliano Zapata, qui mena la révolution mexicaine de 1910 à sa mort.
Le Mexique pourrait donc revenir au centre de l’actualité, d’autant plus que l’Homme de Vitruve tient un plant de marijuana. Sa légalisation mettrait à mal les finances et le pouvoir d’une partie des cartels de la drogue, sans même parler des filières de blanchiment de cet argent sale.
Le premier cavalier porte t’il un burnous? Le deuxième a les yeux bridés.
Le troisième a la couronne de la Statue de la liberté et porte un masque.
Le quatrième est barbu. Son sabre est courbe comme un cimeterre et il porte l’arc, qui à l’origine est l’arme des scythes et des parthes. Il pourrait donc être persan ou turco-mongol.
Dans l’ article de The Economist, comme sur la carte, les 4 cavaliers de l’Apocalypse sont sur l’Angleterre, qui pourrait souffrir beaucoup du Brexit. Est-ce pour cela, que le Bull-Dog anglais est posé au Canada ? La City va t’elle devoir s’expatrier sur le continent américain ?
Guerre des étoiles
Si officiellement l’engin dessiné à droite fait référence au module spatial New Horizons qui doit survoler “Ultima Thulé” aux confins de la ceinture de Kuipper, et la machine volante hélicoïdale se dirigeant vers la Lune parle des 3 missions spatiales (chinoise, indienne et israélienne) qui doivent explorer la Lune en 2019, on peut se demander si associés à la Guerre qui menace entre les Grands, ils n’évoquent pas aussi des armes scalaires de dernière technologie, qui devraient être utilisées dans le conflit, qui menace (DEW, bouclier ELM, IEM, NEMP, …).
Artemis
Ce portrait de femme, présent sur la couverture, représente l’artiste peintre de la Renaissance, Artemisia Gentileschi. Pourquoi soudain parler de cette quasi inconnue ?
Le sujet est l’Artemisia. Un médecin africain fait un buzz sur le Net en Afrique au sujet de cette plante, qui est aussi commune là-bas que les orties chez nous. Or il affirme que transformé en tisane, c’est un remède naturel et gratuit contre le paludisme. Evidemment, Big Pharma et l’Organisation Mondiale de la Santé essayent de le faire taire.
Souvenez vous que les moustiques étaient associés au premier cavalier de l’Apocalypse dans les cartes du tarot que The Economist présentait pour le Monde de 2017.
Artemis est aussi la Déesse de la Lune, au même titre qu’Apollon est le Dieu du Soleil.
Elle est souvent représentée avec un croissant de lune dans les cheveux et les poètes antiques chantent sa traversée du Ciel sur son char argenté.
D’aucuns pourraient y voir un message sur les “larmes de la Lune” montant au firmament en 2019.
Apocalypse de Jean
Mona Angelina joue du rôle d’Angelina Jolie, Ambassadrice de bonne volonté, elle a défendu diverses causes humanitaires à travers le monde et est réputée pour son travail en faveur des réfugiés avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Un sujet d’actualité brulant, que ce soit aux Etats Unis ou en Europe.
Elle joue également un rôle pour la protection des espèces en disparition, ce qui pourrait expliquer la présence du
Pangolin.
Une deuxième lecture permet d’y voir la Vierge dans les douleurs de l’enfantement, alors que le grand Dragon Rouge attend pour enlever l’enfant. Référence à l’Apocalypse de Jean 12 (1-2), qui annonçait la configuration stellaire du 23 septembre 2017.
Le cas échéant, la balle de Base-Ball serait la Planète-comète, représentée pour 2017 sur l’une des cartes du tarot de The Economist. Planète-Comète, qui est présente également dans le cryptogramme de The Economist pour 2018.
Vous noterez que la Vierge et le Dragon sont sous le bras spiral d’Orion, cf la Voie Lactée évoquée ci-dessus.
La balance
L’homme de Vitruve tient une balance dont les plateaux sont chargés d’hommes.
Ce n’est pas l’heure du Jugement Dernier. Cela pourrait faire référence à ces mandats d’amenés délivrés par milliers par le FBI aux Etats Unis, autant d’hommes attendant leur jugement. Cela avait été annoncé dés la couverture de The Economist: The World in 2017. Trump qui portait les attributs de l’Empereur avait une carte marquée “Jugement”.
L’accession de Kavanaugh à la Cour Suprême pourrait permettre de dévoiler enfin ce mystère en 2019.
Mais peut être, n’y avait il aucun message subliminal à décrypter. Qui sait ?
Ou au contraire, peut être un Da Vinci Code, plus subtil encore …
😉
Un rien m’épate.
En voulant prendre une photo du coda barre sur l’iphone, que j’avais agrandi sur mon écran, mon téléphone m’a suggéré d’aller sur le site The Economist. J’ai suivi le lien et je suis arrivé sur l’article où Leonard de Vinci voyage dans le futur et découvre le Monde en 2019.
A vrai dire, je ne sais pas si l’image sur mon écran était inversée ou non… je n’arrive pas à refaire l’expérience.
Mais j’ai été épaté !
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