Invitation en Suisse, à St Maurice, ce samedi 1er décembre, à 20h30


Contexte et invités:


GIOVANNI RICCI 16 mars 1978 : le Président du Conseil italien, Aldo Moro, est enlevé en pleine rue de Rome par les Brigades rouges, un groupe terroriste d’extrême gauche. Les assaillants assassinent froidement ses cinq gardes du corps. Aldo Moro est retenu en otage 55 jours. Le 9 mai suivant, il est assassiné et son corps est retrouvé dans le coffre d’une voiture. Derrière cette opération, on retrouve Franco Bonisoli, fils d’une famille d’ouvriers communistes, alias « Luigi », membre de la direction stratégique des Brigades rouges et du comité exécutif du groupe terroriste. Il a participé à la prise d’otage d’Aldo Moro et à l’assassinat de ses gardes du corps. Arrêté à 23 ans Franco Bonisoli sera condamné à la prison de haute sécurité. A 28 ans, après une crise intérieure et une grève de la faim, Franco Bonisoli renonce à la violence et à la lutte armée. Giovanni Ricci est le fils de Domenico Ricci policier et chauffeur d’Aldo Moro, assassiné lui aussi ce fameux 16 mars 1978. Sur les écrans de télévision, Giovanni reconnaîtra son père à la montre qu’il porte au poignet, pendant hors de la voiture. 


La part de certains milieux US et anglo-saxons dans la mort de chefs d’Etats

J-F Kennedy & Aldo Moro ont été tués parce qu’ils ont émis de la monnaie sans dette, comme des monnaies-pleines à la suisse.

‘ ‘ Nous avons eu un homme d’état, Aldo Moro, menacé par Kissinger, qui a émis 500 milliards de lires dans les années 70 en billets de 500 lires ;

Ils n’étaient pas imprimés par la banque d’Italie, mais par l’imprimerie de l’ Etat.

500 milliards de dollars sans dette.

La même chose que Kennedy avait fait trois mois avant d’être assassiné.
Aldo Moro est assassiné parce qu’il était sur le point de récupérer la souveraineté monétaire.
Kennedy est assassiné parce qu’il était sur le point de récupérer la souveraineté monétaire.

En Amérique, tous les présidents assassinés sont ceux qui se sont mis contre la banque centrale privée, la FED, qui augmente les taux d’intérêts pour provoquer un nouveau krach mondial ‘ ‘
Source :

https://www.youtube.com/watch?v=dkb0InxtX7U



Nous vous rappelons la Rencontre Nicolas et Dorothée de Flüe qui se déroulera à St-Maurice du 30 novembre au 2 décembre 2018 et avons le plaisir de vous communiquer la version PDF du dépliant de promotion : 

Invitation Aldo Moro, samedi 1er décembre 2018

GIOVANNI RICCI 16 mars 1978 : le Président du Conseil italien, Aldo Moro, est enlevé en pleine rue de Rome par les Brigades rouges, un groupe terroriste d’extrême gauche. Les assaillants assassinent froidement ses cinq gardes du corps. Aldo Moro est retenu en otage 55 jours. Le 9 mai suivant, il est assassiné et son corps est retrouvé dans le coffre d’une voiture. Derrière cette opération, on retrouve Franco Bonisoli, fils d’une famille d’ouvriers communistes, alias « Luigi », membre de la direction stratégique des Brigades rouges et du comité exécutif du groupe terroriste. Il a participé à la prise d’otage d’Aldo Moro et à l’assassinat de ses gardes du corps. Arrêté à 23 ans Franco Bonisoli sera condamné à la prison de haute sécurité. A 28 ans, après une crise intérieure et une grève de la faim, Franco Bonisoli renonce à la violence et à la lutte armée. Giovanni Ricci est le fils de Domenico Ricci policier et chauffeur d’Aldo Moro, assassiné lui aussi ce fameux 16 mars 1978. Sur les écrans de télévision, Giovanni reconnaîtra son père à la montre qu’il porte au poignet, pendant hors de la voiture. 



À PROPOS DU LIVRE “NOUS AVONS TUÉ ALDO MORO” D’EMMANUEL AMARA (PATRICK ROBIN, 2006) 

Voilà un excellent travail de journaliste d’investigation. 

Emmanuel Amara, au cours d’un reportage sur la fin d’Aldo Moro -qui reste l’unique homme d’Etat de premier plan assassiné en Europe après la Seconde Guerre mondiale ; il avait été exécuté le 9 mai 1978 après plusieurs semaines de détention au coeur de Rome-, rencontre Steve Pieczenic qui, comme son prénom l’indique plus que son nom, est américain, et qui depuis le début de ce siècle a envie de dévoiler son rôle. Le journaliste comprend d’emblée la portée de ce témoignage, interroge longuement son auteur et nous livre ici des révélations aussi importantes que surprenantes. 

Pieczenic avait en effet déclaré au Correre della Sera le 16 mars 2001 : “Aldo Moro non doveva essere salvato [Aldo Moro ne devait pas être sauvé]”. Le moins qu’on puisse dire est que ni les journalistes, ni les historiens ne se sont précipités sur la piste. Or l’homme n’est pas un franc-tireur ni un espion plus ou moins retourné ou repenti. C’est tout bonnement un grand spécialiste universitaire du renseignement, que le gouvernement américain utilise dans les années 1970 (depuis depuis le début de l’ère Kissinger) pour débrouiller les affaires de terrorisme. Son érudition fait merveille ainsi que ses talents de négociateur, ce qui lui vaut un poste de chef de la cellule anti-terroriste du département d’Etat, conservé sous Carter. A partir des années 80, semble-t-il, il se range, concentrant sa compétence sur des oeuvres de fiction, romanesques ou télévisées (il collabore avec Tom Clancy, dont il cosigne certains romans). 

Le rôle de Pieczenic, à l’époque, n’est pas resté inaperçu. L’Italie était membre de l’OTAN, un récent chef de gouvernement et ministre des Affaires étrangères était enlevé par des gens se réclamant de l’extrême gauche : il eût été étonnant et même suspect que Washington s’en désintéressât. On savait donc que Francesco Cossiga, ministre de l’Intérieur et proche camarade de parti de Moro, avait demandé de l’aide, et obtenu du président Carter l’envoi de ce conseiller. Lequel, après la conclusion de l’affaire, avait déclaré à la presse qu’il n’avait fait que donner des avis très généraux. 

Le premier, donc, Amara l’interroge comme il se doit, et il recoupe son témoignage par ceux de tous les survivants qui ont joué un rôle important dans l’affaire. A commencer par les dirigeants des Brigades rouges et les exécutants du rapt et de l’assassinat, tous libres aujourd’hui. Il en ressort que l’émissaire du président a bien été dans cette affaire, au coeur de l’Etat italien, l’homme le plus influent. Non point qu’il y ait eu préméditation. Si les terroristes ont pu enlever Moro au centre de Rome en tuant toute son escorte, composée de cinq hommes, ce n’est pas parce qu’ils auraient été infiltrés, ou secrètement guidés, par des adversaires de la politique de rapprochement entre son parti démocrate-chrétien et les communistes du PCI (la politique de “compromis historique” entre les deux grandes formations, recherchée par le communiste Berlinguer et sur le point d’aboutir). 

Il n’est pas impossible qu’au sein de l’appareil répressif des nostalgiques du fascisme ou des anticommunistes obsessionnels aient joué ce jeu, mais le livre n’apporte rien à cet égard… sinon la certitude qu’ils n’étaient pas dirigés par la Maison-Blanche. En fait, les Brigades rouges existent, elles disposent de grandes forces militantes et prennent de court les autorités quelles qu’elles soient, par leur audace et leur efficacité. 

Pieczenic joue d’abord le rôle d’un professeur de négociation. Cossiga et son président du conseil Andreotti avaient annoncé qu’il n’y en aurait pas. Il leur dit d’en ouvrir une… pour faire semblant, et il la dirige. Il s’agit d’appâter l’ennemi en faisant miroiter des concessions (les Brigades rouges ne cherchent justement en l’affaire qu’à être reconnues comme un interlocuteur), puis de le laisser le bec dans l’eau, afin de le pousser à exécuter son prisonnier pour ne pas perdre la face. Ce qui fut fait. 

Cependant, Pieczenic n’avait pas été envoyé pour cela. Sa mission était plus vague : préserver les intérêts des Etats-Unis et ceux de l’OTAN. En l’occurrence, on privilégia la protection d’un secret encore hermétique, celui des réseaux anticommunistes “Gladio” mis en place en Europe, et particulièrement en Italie, au début de la guerre froide, pour maintenir à tout prix le continent dans l’orbite américaine. Les ravisseurs avaient interrogé Moro là-dessus, il avait commencé à parler, sa libération aurait infailliblement conduit à ce que les Brigades rouges demandent plus de lumière… alors que son exécution les discréditerait à jamais (ce qui se vérifia). 

Serait-il possible que Pieczenic ne fasse que des demi-révélations et qu’en fait le sort de Moro ait été scellé plus tôt, dans le bureau ovale ou à la direction de la CIA, réputée ne pas toujours tout dire au président ? C’est improbable, car Pieczenic, se référant à la méconnaissance du terrain dont témoignent les récents événements d’Irak, raconte qu’on ne lui a pas remis de dossiers sérieux, ni à Washington, ni à l’antenne romaine de la CIA : l’Italie n’était pas une priorité, on y laissait aller les choses… C’est un peu surprenant certes, mais fort vraisemblable à partir du moment où c’est un pareil informateur qui le dit : prendrait-il le risque que tôt ou tard des tonnes de plans et de fiches, viennent le contredire, ou encore les témoignages de fonctionnaires vexés ? 

Ce livre en dit long sur les deux forces qui dominaient l’Italie, le parti communiste et l’Eglise romaine. Le premier, fort de ses 2 millions de membres et de ses 34% de voix, est piégé comme un enfant par l’émissaire de la Maison-Blanche : il cherche à démontrer sa conversion à la légalité, il ne peut donc adopter qu’une ligne “dure” et sacrifier le chef de file de ceux qui mettent en mouvement vers lui la lourde démocratie-chrétienne. Achille Occhetto, second de Berlinguer à l’époque, confesse à Amara que la ligne suivie aurait gagné à être plus souple. Quant au pape Paul VI, c’est un ami proche de Moro et il croit tout mettre en oeuvre pour le sauver mais ses services secrets, bien plus efficaces, dit Pieczenic, que ceux de l’Etat italien, renseignent l’Américain sur la mentalité des fils de bonne famille qui peuplent les Brigades, et la mort de l’otage a peut-être hâté la fin du Souverain Pontife, survenue quelques mois plus tard. 

Finalement, l’aile la plus hypocrite et la plus corrompue de la démocratie-chrétienne va garder le pouvoir, artificiellement, pour elle toute seule (fût-ce avec des prête-nom), pendant 14 ans de plus, comme un canard sans tête, avant de se liquéfier pour laisser la droite italienne aux mains d’un homme d’affaires sans foi ni loi. Triste dénouement ! 

Tel qu’il se présente, ce dossier fait froid dans le dos plus que s’il révélait un complot bien huilé contre la vie d’un homme. Les Etats-Unis dominent l’Europe en y laissant prospérer des réseaux violents et réactionnaires (peuplés, en l’occurrence, de nostalgiques de Mussolini) qu’ils ne perdent pas de temps ni d’argent à contrôler de près. Arrive une crise, un plénipotentiaire s’installe et la dénoue en quelques semaines (le séjour de Pieczenic dure un mois), au nom de calculs tactiquement très fins mais politiquement grossiers, qui ruinent des décennies d’efforts des hommes de bonne volonté pour sortir le pays par le haut de sa crise endémique. Certes beaucoup de choses ont changé aux Etats-Unis et dans le monde mais à cette lecture une leçon s’impose, plus que jamais : la lutte contre le terrorisme doit s’inscrire dans une politique globale. 
François Delpla


Révélations: banques suisses et Bilderberg

Révélations sur des banques suisses et les Bilderberg!


Cette interview d’un ancien banquer Suisse, réalisée à Moscou le 30 Mai dernier …  risque d’en surprendre plus d’un. Je ne peux pour ma part affirmer que tout ce que dit cet homme est juste, mais pour avoir fait des recherches sur les Bilderberg par le passé, j’ai la certitude pour nombre des informations contenues dans cette interview, qu’elles sont vraies. Je laisse donc tout cela à votre discernement. Je pense moi aussi, comme il est dit dans cette interview, que la vérité mise au grand jour peut largement contribuer à arrêter ces gens dans leur folie.
Les Bilderberg,…., une majorité n’en a jamais entendu parler alors même que c’est du domaine public. Pour ceux qui ne connaîtraient donc pas, il s’agit d’un groupe qui s’est formé en 1952 et réuni pour la première fois en 1954 à l’hôtel Bilderberg (d’où son nom), à Oosterrbeek aux Pays-Bas. Il est composé des gens les plus riches de la planète qui se retrouvent chaque année à grands renforts d’argent et de protection policière, et convient les personnages les plus utiles à leurs plans, venant du monde de la politique, des banques, de l’industrie et des médias, à la condition que rien ne sorte jamais de leurs réunions. Un égo flatté étant souvent prêt à toutes les bassesses, on ne sait officiellement rien du contenu de ces sauteries si ce n’est que l’ordre mondial en est l’étendard. Qu’on s’interroge au moins sur ce que peuvent avoir de démocratiques de telles messes qui décident dans le secret des nantis des orientations du monde.


Cette année, 2011, quelques jours après les gesticulations médiatiques du G8 à Deauville, la réunion des Bilderberg se déroule du 9 au 12 Juin au Grand Hôtel des Bains à Saint-Moritz en Suisse. Pour ce qui est des Français, seront vraisemblablement présents Jean-Claude Trichet (BCE), Pascal Lamy (OMC), Henri de Castries (AXA) et Thierry de Montbrial (IFRI), qui sont des habitués du genre. L’omerta comme toujours sera de rigueur et les médias traditionnels n’en parleront pas.
A ceux qui en lisant ces lignes vont crier au conspirationnisme, je n’ai qu’une chose à dire. Renseignez-vous, ne demeurez pas ignorants de tout, juste parce que vous avez trop peur au fond de vous d’envisager l’idée que vous ayiez vécu dans un monde qui n’est pas du tout celui auquel vous croyez. Il est très inconfortable de penser que l’on puisse avoir été manipulé, mais il est libérateur de pouvoir regarder les choses en face et de reprendre le pouvoir de dire non. Informez-vous, cherchez par vous même, et quoi qu’il advienne, ne nourrissez pas la colère, mais contribuez à diffuser la vérité et à dissoudre ainsi l’ancien monde.
Le Passeur. 8 juin 2011.


Révélations stupéfiantes d’un banquier suisse « initié » – Interview réalisée à Moscou le 30 mai 2011.
Q : Pouvez-vous nous dire quelque chose à propos de votre implication dans le business des banques suisses ?
A : J’ai travaillé pour les banques suisses durant plusieurs années. J’étais l’un des top directeurs de l’une des plus grandes banques suisses. Durant mon travail j’étais impliqué dans les paiements, les paiements directs en cash à une personne qui a tué le président d’un pays étranger. J’étais présent lors de la rencontre durant laquelle il a été décidé de fournir l’argent cash à l’assassin. Cela m’a donné des maux de tête terribles et a troublé ma conscience. Ce n’était pas le seul cas qui était vraiment mauvais mais c’était le pire. C’était une instruction de paiement sur ordre d’un service secret étranger écrite à la main et donnant l’ordre de payer un certain montant à la personne qui avait tué le top leader d’un pays étranger. Et ce n’était pas le seul cas. Nous avons reçu plusieurs de ces lettres écrites à la main venant de services secrets étrangers donnant l’ordre de payer cash à partir de comptes secrets pour alimenter des révolutions et les assassinats de personnes. Je peux confirmer que ce que John Perkins a écrit dans son livre « Confessions of an Economic Hit Man ». Il y a réellement un système qui existe là et les banques suisses sont impliquées dans de tels cas.
Q : Le livre de Perkins est aussi traduit et existe en Russe. Pouvez-vous nous dire de quelle banque il s’agit et qui en était responsable ?
A : C’était l’une des trois plus grandes banques suisses à cette époque et il s’agissait du président d’un pays du Tiers-Monde. Mais je ne veux pas révéler trop de détails parce qu’ils me trouveront très facilement si je dis le nom du président et de la banque. Je risquerais ma vie.
Q : Vous ne pouvez nommer aucune personne dans la banque non plus ?
A : Non je ne le peux pas, mais je peux vous assurer que cela est arrivé. Nous étions plusieurs personnes dans la salle de conférences. La personne en charge du paiement physique du cash est venu vers nous et nous a demandés s’il était en droit de payer un montant si élevé en cash à cette personne, et l’un des directeurs a expliqué le cas et tous les autres ont dit OK, vous pouvez le faire.
Q : Est-ce-que cela est souvent arrivé ? Est-ce-qu’il s’agissait d’une sorte de «Slash fund» (fond cassé) ?
A : Oui. Il s’agissait d’un fonds spécial arrangé dans un endroit spécial dans la banque, d’où toutes les lettres codées arrivaient de l’étranger. Les lettres les plus importantes étaient écrites à la main. Nous devions les déchiffrer et elles contenaient l’ordre de payer un certain montant de cash depuis des comptes pour l’assassinat de personnes, de fonds pour les révolutions, les grèves, les fonds pour toutes sortes de partis. Je sais que certaines personnes qui sont les Bilderberg étaient impliquées dans de tels ordres. Je veux dire qu’ils donnaient des ordres pour tuer.
Q : Pouvez-vous nous dire en quelle année ou décade cela s’est produit ?
A : Je préfère ne pas vous dire l’année précise mais c’était dans les années 80.
Q : Aviez-vous des problèmes dans ce travail ?
A : Oui, un très gros problème. Je ne pouvais pas dormir durant plusieurs jours et après un moment j’ai quitté la banque. Si je vous donne trop de détails ils me traceront. Plusieurs services secrets de l’étranger, pour la plupart parlant anglais, ont donné des ordres de fournir des fonds pour des actes illégaux, même l’assassinat de gens à travers les banques suisses. Nous devions payer sur les instructions de pouvoirs étrangers pour l’assassinat de personnes qui n’avaient pas suivi les ordres des Bildeberg ou du FMI ou de la Banque Mondiale par exemple.
Q : Ce sont des révélations stupéfiantes que vous êtes en train de faire. Pourquoi ressentez-vous l’urgence de dire cela maintenant ?
A : Parce que les Bildeberg vont se rencontrer en Suisse. Parce que la situation du monde empire de plus en plus. Et parce que les plus grandes banques en Suisse sont impliquées dans des activités sans la moindre éthique. La plupart de ces opérations sont en dehors des bilans comptables (balance sheets). C’est au multiple de ce qui est déclaré officiellement. Il n’y a pas de vérification et tout arrive sans taxes. Les figures impliquées ont un tas de zéros. Il s’agit de montants énormes.
Q : Alors il s’agit de billions ?
A : Il s’agit de beaucoup plus, il s’agit de trillions, complètement non vérifiés, illégaux et au-delà du système de taxe. Grossièrement on vole tout le monde. Je veux dire que la plupart des personnes normales payent des taxes et se soumettent aux lois. Ce qui se produit ici est complètement à l’opposé de nos valeurs suisses, telles que la neutralité, l’honnêteté et la bonne foi. Durant les rencontres où j’étais impliqué, les discussions allaient complètement à l’encontre de nos principes démocratiques.

Vous voyez, la plupart des directeurs des banques suisses ne sont plus des locaux, ils sont étrangers, la plupart Anglo-saxons, soit Américains ou Anglais, ils n’ont aucun respect pour notre neutralité, ils ne respectent pas nos valeurs, ils sont opposés à notre démocratie directe, ils se servent seulement des banques suisses pour leurs opérations illégales. Ils utilisent d’énormes montants d’argent créés à partir de rien et détruisent notre société et les peuples du monde uniquement par avidité. Ils cherchent le pouvoir et détruisent des pays entiers tels que la Grèce, l’Espagne, le Portugal ou l’Irlande, et la Suisse sera l’un des derniers en ligne. Et ils utilisent la Chine comme travailleurs esclaves. Et une personne telle que Josef Ackermann, qui est un citoyen suisse et le « top man » d’une banque allemande, utilise son pouvoir par avidité et ne respecte pas les gens comme vous et moi. Il a quelques problèmes juridiques en Allemagne et maintenant aussi aux USA. Il est un Bildeberg et s’en fiche de la Suisse ou d’un autre pays.
Q : Est-ce-que vous êtes en train de dire, que quelques unes des personnes que vous mentionnez seront présentes pour le meeting des Bildeberg à Saint-Moritz en Juin ?
A : Oui.
Q : Donc ils occupent effectivement dans une position de pouvoir ?
A : Oui. Ils possèdent d’énormes quantités d’argent à leur disposition et l’utilisent pour détruire des pays entiers. Ils détruisent notre industrie et la construisent en Chine. D’un autre côté, ils ouvrent les portes en Europe pour tous les produits chinois. La population européenne gagne de moins de moins sa vie. Le but réel est de détruire l’Europe.
Q : Pensez-vous que la rencontre des Bildeberg à Saint-Moritz a une valeur symbolique ? Parce qu’en 2009 ils étaient en Grèce, en 2010 en Espagne et regardez ce qui leur est arrivé. Est-ce que cela signifie que la Suisse doit s’attendre à quelque chose de mauvais ?
A : Oui. La Suisse est l’un des pays le plus important pour eux, parce qu’il y a tant de capitaux ici. Ils se rencontrent là parce que, à part d’autres choses, ils veulent détruire toutes les valeurs défendues par la Suisse. Vous voyez, c’est un obstacle pour eux, la Suisse ne faisant pas partie de la communauté européenne ou de l’Euro, n’est pas totalement contrôlée par Bruxelles et ainsi de suite. Concernant les valeurs, je ne parle pas de grosses banques suisses, parce qu’elles ne sont plus suisses, la plupart d’entre elles sont dirigées par les Américains. Je parle du vrai esprit Suisse que les gens chérissent et maintiennent haut. C’est certain que cela a une valeur symbolique, comme vous le disiez, concernant la Grèce et l’Espagne. Leur but est de constituer une sorte d’élite exclusive qui a tout le pouvoir et d’appauvrir tout le reste des gens.
Q : Pensez-vous que le but des Bildeberg soit de créer une sorte de dictature mondiale, contrôlée par les institutions mondiales (global corporations), dans lesquelles il n’existera plus du tout d’Etats souverains ?
A : Oui et la Suisse est le seul endroit qui reste avec une démocratie directe et se trouve en travers de leur route. Ils utilisent le chantage du « too big to fail » (trop grand pour tomber), comme dans le cas de l’UBS (Union de Banques Suisses) pour placer notre pays dans un état de grande dette, de la même manière qu’ils l’ont fait pour d’autres pays. A la fin peut-être qu’ils veulent faire à la Suisse ce qu’ils ont fait à l’Islande, avec toutes les banques et le pays en banqueroute.
Q : Et ainsi l’étendre à la communauté européenne ?
A : Bien sûr. La communauté européenne est sous le joug des Bildeberg.
Q : Que pensez-vous qui pourrait stopper ce plan ?
A : Eh bien, c’est la raison pour laquelle je vous parle. C’est la vérité. La vérité est le seul moyen. Mettre la lumière sur cette situation, les exposer. Ils n’aiment pas être sous le feu des projecteurs. Nous devons créer la transparence dans l’industrie banquière et à tous les niveaux de la société.
Q : Ce que vous êtes en train de dire c’est qu’il existe un côté correct du business des banques suisses et quelques grosses banques qui utilisent dans le mauvais sens le système financier pour leurs activités illégales.

A : Oui. Les grandes banques entraînent leurs équipes avec des valeurs anglo-saxonnes. Ils les entraînent à devenir avides et sans pitié. Et l’avidité est en train de détruire la Suisse et tout le monde. En tant que pays nous avons une majorité de banques opérant à travers le monde, si vous regardez les petites et moyennes banques. C’est seulement les grandes banques qui opèrent au niveau mondial qui posent problème. Elles ne sont plus suisses du tout et ne se considèrent pas comme telles.
Q : Pensez-vous que ce soit une bonne chose que les gens exposent les Bildeberg et montrent ce qu’ils sont en réalité ?

A : Je pense que le cas de Strauss-Khan constitue une bonne chance pour nous, parce qu’il montre que ces gens sont corrompus, malades dans leur esprit, tellement malades qu’ils sont remplis de vices et ces vices sont gardés secrets sous leurs ordres. Certains d’entre eux comme Strauss-Khan violent des femmes, d’autres sont sado-maso, ou pédophiles et beaucoup pratiquent le satanisme. Lorsque vous allez dans certaines banques, vous voyez ces symboles sataniques, comme à la Banque Rothschild à Zurich. Ces gens sont contrôlés par le chantage à cause des faiblesses qu’ils ont. Ils doivent suivre les ordres ou ils seront exposés, seront détruits ou même tués. La réputation de Strauss-Khan n’est pas seulement tuée dans les médias, il pourrait littéralement être tué également.
Q : Puisque Ackermann fait partie du comité dirigeant des Bildeberg, pensez-vous qu’il y est un preneur de décisions important ?


A : Oui. Mais il y en a beaucoup d’autres, comme Lagarde, qui sera probablement prochainement à la tête du FMI, alors ils sont capables de choses terribles. S’ils ont le sentiment de perdre le contrôle, comme les manifestations en Grèce et en Italie maintenant et l’Italie sera la prochaine, alors ils peuvent faire un autre Gladio. J’étais proche du réseau Gladio. Comme vous le savez, ils ont été les instigateurs du terrorisme payé par l’argent américain afin de contrôler le système politique en Italie et d’autres pays européens. Concernant le meurtre d’Aldo Moro, le paiement s’est effectué au moyen du même système dont j’ai parlé.
Q : Ackermann prenait-il part à ce système de paiement d’une banque suisse ?
A : (Sourire)…. Vous êtes le journaliste. Examinez sa carrière et la rapidité avec laquelle il est parvenu au top.
Q : Que pensez-vous qui peut être fait pour les entraver ?
A : Eh bien, il y a beaucoup de bons livres qui sont sortis et expliquent le background et relient les points entre eux, comme celui que j’ai mentionné de Perkins. Ces gens ont réellement engagé des gens qui se font payer pour tuer. Certains d’entre eux ont eu leur argent de banques suisses. Mais pas uniquement, ils disposent d’un système bien établi dans le monde entier. Il faut exposer au public ces gens qui sont prêts à tout pour garder le contrôle. Et je veux dire « tout ».
Q : Nous pourrions les stopper en les exposant ?
A : Oui, dire la vérité. Nous sommes confrontés à des criminels réellement sans pitié, aussi de grands criminels de guerre. C’est pire que les génocides. Ils sont prêts et capables de tuer des millions de gens juste pour demeurer au pouvoir et garder le contrôle.
Q : Pouvez-vous expliquer de votre point de vue, pourquoi les médias occidentaux sont plus ou moins silencieux concernant Bildeberg ?
A : Parce qu’il y a un accord entre eux et les propriétaires des mass medias. Vous ne parlez pas de ça. Ils les ont achetés. Certains des personnages clés des médias sont également invités aux meetings mais on leur demande de ne pas faire de rapport sur ce qu’ils ont vu et entendu.
Q : Dans la structure Bildeberg, existe-t-il un cercle interne qui connait les plans et puis, il y a une majorité qui suit seulement les ordres ?
A : Oui. Vous avez le cercle intérieur qui pratique le satanisme et puis il y les naïfs ou les gens plus ou moins informés. Quelques personnes pensent même qu’ils font quelque chose de bien, le cercle extérieur.
Q : Selon les documents exposés et leurs propres déclarations, les Bildeberg ont décidé en 1995 de créer la communauté européenne et l’Euro, alors ils ont pris des décisions extrêmement importantes.
A : Oui et vous savez que le cercle des Bildeberg a été fondé par le Prince Bernard, un ancien membre des SS et du parti Nazi et qu’il a aussi travaillé pour IG Farben, qui a subsidiairement produit Zyclon B. L’autre gars était à la tête de l’Occidental Petroleum qui entretenait des relations étroites avec les communistes en Union soviétique. Ils ont travaillé des deux côtés mais vraiment, ces gens sont des fascistes qui veulent contrôler tout et tout le monde et celui qui se met en travers de leur plan est éliminé.
Q : Le système de paiement dont vous parlez hors opérations normales est-il compartimentalisé et se fait-il en secret ?
A : Dans ces banques suisses les employés normaux ne savent pas que cela se passe. C’est comme un département secret à l’intérieur de la banque. Comme je l’ai dit, ces opérations se font hors de la balance commerciale, sans aucune supervision. Certaines sont situées dans le même bâtiment, d’autres sont au dehors. Ils possèdent leur propre sécurité et des zones spéciales dans lesquelles seules des personnes autorisées peuvent pénétrer.
Q : Comment gardez-vous ces transactions hors du système international Swift ?
A : Eh bien, quelques-uns des listings de Clearstream étaient vrais au début. Ils ont juste inclus des faux noms pour faire croire aux gens que toute la liste était fausse. Vous voyez, eux aussi commettent des erreurs. La première liste était vraie et vous pouvez tracer beaucoup de choses. Vous voyez, il y a des gens autour qui découvrent des irrégularités et la vérité et la disent. Après cela, bien sûr il y a des procédures légales et ces gens sont forcés de la fermer. La meilleure façon de les arrêter est de dire la vérité, de les mettre sous le feu des projecteurs. Si nous ne les stoppons pas, nous finirons par devenir leurs esclaves.
Q : Merci pour cette interview.
Peter Odintsov – Moscou, le 30 mai 2011.
Source originale. 

Comment Donald Trump a arrêté la chute des bourses

Précision utile : il s’agit des bourses américaines. L’histoire commence le 10 octobre, quand le Dow Jones perd 1,4%. Elle continue le 11, où l’indice de Shanghai perd 5,2%, le CAC 40 1,4% et le Dax allemand 0,9%. Tout le monde s’inquiète. Mais, le 12 octobre, le Dow reprend 1,6%, Shanghai, Dax et Cac se stabilisent (avec peine). Si tout n’est pas parfait, si le rebond n’a pas effacé les pertes, tout le monde respire. Et s’interroge : que s’est-il donc passé ?



Publié le 15 Octobre 2018

« Une correction prévisible, mais endiguée » devient l’explication partout retenue. Mais endiguée par qui ? On peut toujours se dire qu’elle était prévisible, après la longue et constante montée de la bourse américaine : 3 500 jours. On peut ajouter qu’elle s’expliquait par la montée des profits des GAFA, d’autant que Trump avait baissé les impôts des sociétés, notamment ceux de leurs profits parqués en Europe. On peut ajouter que cette correction était d’autant plus prévisible que la Fed montait graduellement ses taux, pour calmer le jeu – disait-elle.

Il fallait donc une sorte de respiration. 

Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin ajoute même, depuis Bali où il participe à l’assemblée du FMI : « Je ne pense pas qu’il y ait eu des nouvelles de la Fed aujourd’hui qui n’aient pas été connues avant… Les marchés montent et descendent. Compte tenu de la hausse du marché, le fait qu’il y ait une sorte de correction n’est pas particulièrement surprenant ». Autrement dit, c’est assez normal, et même sans action particulière de la Fed : elle n’y est directement pour rien.
 
Mais on a oublié Donald Trump ! Or c’est lui qui a crié plus fort que jamais le 11 octobre. « La Fed est devenue folle » dit-il. Puis il monte d’un cran : « La Fed est out of control, elle est trop stricte, je comprends tout ça mieux que tous ces gens… ». Et quand vient la question du journaliste : « Allez-vous virer Powell ? », Donald Trump répond : « Non… mais je n’aime pas cette politique… ». Bien sûr, Donald Trump sait bien qu’il ne peut « virer » Jerome Powell : c’est anticonstitutionnel. Mais il sait bien qu’il n’aime pas sa politique de montée des taux. Il l’avait bien dit le 9 octobre : « la Fed fait ce qu’elle pense nécessaire, mais je n’aime pas ce qu’ils font… Les chiffres que nous obtenons sont record, je ne veux pas les ralentir même un peu, particulièrement parce que nous n’avons pas de problème d’inflation… Je pense qu’il n’est pas nécessaire (de monter les taux) aussi vite ». C’est, chez lui, une vieille idée : il faut que les taux d’intérêt soient bas, que la reprise américaine continue d’être forte et que le dollar soit faible, pour exporter. En supposant bien sûr que tout ceci soit compatible.
 
Il faut donc le reconnaître : c’est en criant si fort que Donald Trump a impressionné les marchés financiers. Ils se disent qu’il n’est plus si sûr que la Fed monte son taux une quatrième fois cette année, en décembre. Car ce serait alors une déclaration de guerre contre lui. Il n’est même pas impossible, dans la paranoïa qui fait demander au Président s’il ne « virerait » pas Powell, que l’idée germe qu’il pourrait chercher, avec les trois nominations de membre du Board qui restent, aux côtés de Jerome Powell, Richard Clarida, Randal Quarles et Lael Brainard (la seule Démocrate qui reste), à traiter cette instance comme la Cour Suprême ! Avec des banquiers centraux qui partageraient ses idées, comme les Juges !
 

La bataille Trump-Powell se précise. Objet du combat : gagner les élections mid termdans un mois pour Trump – prélude à sa réélection en 2020 ; une croissance aussi longue que possible, mais avec atterrissage en douceur, pour Jerome Powell. On peut toujours se dire que Powell travaille pour Trump, dans la mesure où il veut le plus de croissance non inflationniste possible, et surtout éviter une récession dangereuse pour les États-Unis, et donc pour Trump ! Mais Trump ne l’entend pas ainsi : il ne veut pas de risque boursier, surtout pas maintenant. Il veut encore et toujours forcer la machine économique et boursière, même si elle est au bord de la surchauffe. Elle peut donc « chauffer » encore pour Trump, mais plus trop pour Powell. 
 
Donald Trump veut plus de montée des bourses et moins de chômage, sans être angoissé par l’inflation. Jerome Powell veut un peu moins de chômage en stabilisant l’inflation en montant graduellement ses taux d’intérêt, et surtout pour pouvoir les baisser, si les choses tournent mal. Trump veut toujours avancer, Powell veut pouvoir reculer. 
 
Mais il faut reconnaître que Trump a eu beaucoup de chance avec ses cris ! Le 11 octobre en effet, l’inflation vient de sortir à 2,3% en septembre contre 2,7% en août, le plus bas taux depuis 7 mois. Donald Trump avait raison ! Il était au courant ? Il le « sentait » ? Mais si l’inflation était sortie à 2,8% ? Et que se passera-t-il dans un ou deux mois ?
 
Et que va-t-il se passer s’il réussit les élections dans un mois et propose de pérenniser les baisses d’impôts, voire d’en instaurer de nouvelles, plus des dépenses d’infrastructures ! Alors l’inflation salariale ne pourra que monter, donc les taux courts si Powell « suit » son mandat comme il le fait actuellement et plus encore les taux longs devant le creusement du déficit, donc le dollar par rapport à l’euro et surtout par rapport au yuan ! 7 yuans pour un dollar : le chiffre qui peut faire rugir Donald Trump ! Et ceci, cris compris, suffira-t-il pour le Dow Jones et le Nasdaq ? Trump a arrêté une fois les marchés dans la pente. Ils l’attendent au prochain cahot.


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Mots-clés: Donald Trump | marchés financiers | bourse américaine | valeurs | Bourse | Economie | finance

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L’association souhaite encourager la résistance au mondialisme, aux abus des puissants par notamment l’autonomie des communes, de tous pays acceptant de répondre à l’écologie, au respect de tous les êtres vivants et à l’économie locale. Nous sommes ouverts à toutes les collaborations et idées dans ce sens.
Nous organisons une journée de lancement pour se rencontrer et faire connaître l’association. Nous proposons des conférences de 10 minutes tout au long de la journée qui répondent aux buts de l’association.
Programme de la journée du 24 novembre 2018:
Sujets possibles:  AAA+, révision de la BNS, élections par tirage au sort, nano-taxe, révision totale de la constitution suisse, tous les sujets d’initiatives fédérale récentes ou non, monnaies-pleines, RBi,  fraudes démocratiques, sentinelles, lanceurs d’alertes, pétitions… +++, écovillages, monnaies libres, alternatives, crédits ou capitaux mutuels +++, votre sujet, à discuter ensemble…
Programme provisoire de la journée: L’union fait la force:
Si prêt à donner un exposé, simplement écrire le prénom, le nom de famille, le métier, la proposition du thème présenté et le no de tél. ou l’email. Merci.



Monnaie-pleine, Genève a voté oui, puis les résultats ont été trafiqués ! 
http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/monnaie-pleine-la-ville-des-banques.html 


Commentaire de Mme Michèle Herzog suite à ce communiqué paru dans plusieurs journaux, dont 20 minutes, le Matin, etc…


10.06.2018, 14:21 Heures


Excellents résultats pour l’initiative Monnaie pleine. Félicitations aux personnes qui ont alerté la population sur le problème lié à la création de la monnaie scripturale pour les banques (création de monnaie incontrôlable). Le fait que la ville de Genève ait accepté cette initiative est un signal très fort.

Michèle Herzog

Notre commentaire après le changement des résultats:
:
Tous les résultats sont très douteux car il est beaucoup trop facile de manipuler le processus des votes, surtout les votes électroniques et ceux par correspondance.


Nous avons des certitudes de tricheries démocratiques trop faciles et prions toutes les personnes courageuses de réfléchir, s’informer et réagir.


Nous lançons une initiative fédérale pour une révision totale de la constitution suisse, avis aux amateurs
http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/revision-totale-de-la-constitution.html


Merci


f.
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