L'histoire exacte sur le dossier judiciaire est que depuis Août 2004, toutes les pièces ont été extériorisées et plusieurs personnes dont des journalistes et des investigateurs indépendants ont eu la chance de les avoir.
Le juge Thierry Perriquet était au courant et lors d'un entretien avec lui, il a été envisagé de réaliser un programme de recherche ultra-rapide type google pour une meilleur utilisation de sa base de données gérées encore à l'ancienne !
Le juge Perriquet a par la suite continuer de recevoir des informations primordiales sur les autres pistes que celles des experts mais tout a bloqué à partir du moment où j'ai relevé que les données sismiques du CEA Militaire était absente du dossier, que les données sismiques civiles étaient inexploitées et les carences juridiques sur cette piste sismique était monstrueuse.
A partir de septembre 2005 le juge a été sommé par le Ministre Pascal Clément de ne plus ouvrir le moindre débat technique et de cloturer au plus vite.
Le procureur Paul Michel a appuyé pleinement cette stratégie et a protégé les vrais coupables techniques de la catastrophe en ne laissant au final pour le procès qu'une seule piste chimique débile et en évitant surtout d'aborder la piste des faisceaux électromagnétiques issus d'une énergie souterraine, pitse qui n'a rien à voir avec les arcs électriques ou l'action terroriste.
La ville de Toulouse dissimule bien sous la colline de Pech David une base d'expérimentation implanté à partir des souterrains allemands de 1943-44 et d'un réseau municipal indépendant des contractants habituels comme Véolia.
Un des accès se trouve au 3ème sous-sol de l'ancien Hôpital militaire Larrey et au 7ème sous-sol du CHU de Rangueil (sous le gros réservoir d'eau). D'autres galeries se poursuivent sous la Garonne et le pôle chimique ainsi que dans la zone des ballastières.

Ecrire des milliers de lignes sur la base de quelques extraits du dossier judiciaire "savamment" trouvés ou distillés, ceci est facile pour des média qui n'essaient jamais d'aller au fond des choses et d'étudier le contenu des dossiers au plus près. Ca donne les pistes de l'attentat alimenté par les RG, celle de l'arc électrique trop facilement démontable, etc…
Mais le site internet proposé avait pour but de tout montrer : tout le dossier, tous les rapports, et tous ce qui aurait également dû y être et bien entendu d'établir des hypothèses les plus proches de la réalité du terrain.
Depuis le début, il y a un SCANDALE MAJEUR !
Les données sismiques n'ont jamais été travaillées : les sismogrammes ultra-fins du CEA Militaire ne sont pas au dossier et le CEA Militaire a menti à la justice en fournissant des données volontairement inexploitables; les experts nommés n'ont jamais voulu d'expert sismologue et ont utilisé une Académie des Sciences complaisante et imprudente pour valider un rapport technique sur un seul sismographe non homologué et tout cela sans aucune valeur juridique.
En 2004, de nouveaux tests sismiques ont été réalisés pour essayer de justifier les affirmations de ce rapport minable écrit par une scientifique de renom étrangement devenu "limitée" mais, là encore, des malversations scandaleuses ont été réalisées par le CEA Militaire avec des mensonges techniques dans une annexe qui est le seul document à montrer un tout petit bout des vrais sismogrammes du CEA Militaire. Un chapitre entier du site lui était consacré.

Depuis le début le CEA Militaire et les autorités de l'Etat cachent la vraie localisation et la vraie datation de l'épicentre.
C'est de là que découlent toutes les malversations des experts sur les données techniques et surtout sur leur volonté de ne pas prendre en compte des centaines de témoignages qui contredisent leur thèse chimique.
Tout a été fait pour associé ce séisme de magnitude 3.4 à l'explosion d'AZF qui en fait a eu lieu plus de 9 sec plus tard et n'a pas dépassé 1.6 en magnitude.
La direction parisienne de Grande Paroisse est aussi complice de cette stratégie en évitant l'expertise d'une partie des données électriques d'AZF et en suggérant même aux experts depuis 2002 la piste chimique actuelle… cette direction mise en place par ELF dans les années 90 est complice et a participé à un projet à caractère militaire en utilisant toutes les infracstructures sous la colline de Pech David et sous le pôle chimique en dehors des installations elle-mêmes. L'ensemble des terrains utilisés sont parfaitement connus de l'armée et de la ville de Toulouse. Mais ces projets secrets se font en dehors du cadre militaire habituel, en tout petit comité et surtout sans aucune structure d'urgence préparée en cas de problème.
Le choix du pôle chimique pour ces transferts d'énergie par faisceau électromagnétique aérien a aussi été fait à cause de la pollution permanente qui évite toute détection satellitaire espion. M. Fabius connait très bien AZF puisque sa ville normande a une soeur jumelle et il a tenu a participé en hélicoptère à ces essais qui avaient déjà commencé la veille !
Il a menti sur son emploi du temps et s'est lâchement défilé depuis le début !
Le projet technologique abordé est réellement intéressant à plus d'un titre civil et militaire… il nécessite aussi une très grande discrétion dans ses préparatifs… les enjeux économiques sont énormes ! Bref c'est surtout la question sécurité qui a pêché ! Si complot il y a c'est bien dans la succession de débilités scientifiques des experts qui ont suivi et dans le mépris de la population toulousaine qui ne croient nullement à cette version unique dévinée dès les premières heures !
La première explosion très perceptible à l'extérieur à 1 km à la ronde et surtout en hauteur… provient du poste électrique Lilas situé au pied de la colline Pech David face au nord-est de la SNPE. Il a explosé en étant touché par un des réseaux d'eau usées contaminés par les ondes électromagnétiques. Ce poste était un poste de secours de la SNPE et était relié au gros poste HT de La Fourguette. La SNPE a subi aussi des dégats internes essentiellement dus à la présence des 2ème sous-sols liés au réseau de la base de Pech David. Et le premier grand panache aperçu pendant moins de 10 secondes par plusieurs témoins quelques secondes avant l'explosion est issu d'une conduite en fonte également touchée qui passe sous la Garonne entre AZF et la SNPE (zone nord).

Bien d'autres éléments peuvent expliquer tous les témoignages… le site était pour cela.

Une énorme trace au Nord-Ouest du cratère n'a également jamais été analysée et pourtant les images très précises existent dans le dossier.

Le site était là pour dénoncer avec précision toute la stratégie de mensonge orchestrée par les experts nommés et par l'avocat de Total Me Soulez-Larivière qui n'a jamais relevé les monstruosité scientifiques de ce dossier !

Cet avocat a osé me dire au téléphone le 3 Janvier 2005, qu'il n'avait pas besoin des données sismiques du CEA Militaire car les tests sismiques de l'été 2004 allaient suffirent !

Quelle complaisance en faveur du CEA Militaire qui est au moins COMPLICE des coupables !

Mais il est techniquement tout à fait possible qu'une partie de la direction de Total, qui venait de racheter Grande Paroisse à travers le rachat d'ELF en 2000, ne fût pas au courant du contenu de ces projets toulousains !

La direction de la SNPE, elle était nécessairement au courant à cause de ses souterrains militaires et à cause des opérations de sécurisations électriques qui étaient prévus.

Fabius et Douste-Blazy dans la partie… il y a de la matière pour le montrer… le site était aussi là pour cela.

Bref reconstituer les réseaux de la base sur le terrain…c'est en cours… c'est aussi en quelques sortes reconstituer le réseau politique et économique qui est derrière ces projets secrets ! Et ce genre de réseau, protégé par l'impunité présidentielle, a oublié les obligations et les devoirs de l'Etat en matière de sécurité.

Le Groupe AZF des voies ferrées a peut-être même été là pour le lui rappeler en 2003-2004.

Les abus du CEA Militaire et les très grosses anomalies judiciaires du volet sismique ont été couvertes par les Procureurs Michel Bréard et Paul Michel, et donc aussi aujourd'hui par le procureur adjoint Richard Bometon. mes alertes à ce propos ont été à plusieurs reprises signalées par courrier en AR, fax et autres moyens divers auprès de toutes les autorités judiciaires compétentes :
le procureur d'Aix le 17 Janvier 2006, le procureur de Montpellier le 31 Janvier 2006, le Procureur Paul Michel lui-même dans un courrier de Janvier 2007, la Ministre de la Défense, etc…
Une partie de ces courriers et ainsi que nombre de documents d'enquête sont depuis le 26 Juillet 2006 dans mes PC saisis par le Parquet de Toulouse au cours d'une affaire bidonnée lié à un fumeux groupe AZF3-Coca-Cola par le juge parisien Jean-Louis Périès. A plusieurs reprises j'ai demandé le retour de tout ce matériel où des gigaoctates de données privées et professionnelles se trouvaient. Je n'ai jamais eu de réponse. Le parquet de Toulouse détient toujours ce matériel et ne m'a jamais interrogé sur le problème de la présence du dossier judiciaire contraitement à ce qu'il prétend.
Le procureur de Toulouse Bometon est donc un PARFAIT MENTEUR ou a été très mal informé par le Procureur Paul Michel.

Jamais aucune réponse ne m'a été fournie à cette alerte concernant la très grosse anomalie du volet sismique, que cette réponse soit positive ou négative.

La question juridique sur tout le volet sismique est donc toujours posée et je continuerai à la poser quoi qu'il m'en coûte… cette question concerne également tous les avocats des 290 parties civiles qui ont pu avoir accès au dossier.
Aucune n'a relevé le fait qu'aucune expertise sismique n'avait été faite dans cette affaire AZF et que le rapport de l'Académie des Sciences basé sur un seul sismographe au rebus n'avait aucune valeur juridique et ne permettait en rien d'évacuer l'expertise d'une soixantaine de sismogrammes exploitables sur le réseau natinal RéNaSS et le réseau LDG du CEA Militaire. A ce niveau l'ERREUR JUDICIAIRE est entière couverte par l'INCOMPETENCE des avocats de ces parties civiles pour ne pas parler de COMPLICITE pour certains qui avaient tous les moyens techniques de leur client pour relever le problème.

Je vie en France… pas dans le République Populaire de Ceaucescu !

Il est à préciser que la Ville de Toulouse, très concernée par la recherche de la position de l'épicentre principal sur son territoire, ne s'est JAMAIS portée partie-civile.
Depuis le début, dans le dossier il a été supposé par le "bon sens" (terme très peu scientifique de Mme Sourieu de l'OMP) que cet épicentre de magnitude 3.4 était au niveau du cratère. Le CEA-DAM dans son rapport principal de 2002 a aussi fait cette hypothèse tout en fournissant à la justice des données sismiques dégradées de 100 fois leur valeur et donc inexploitables.
Ce type de magnitude lié à une explosion formant un gros cratère n'a jamais eu d'équivalent dans le monde depuis tous les temps. En revanche des explosions ou des compressions souterraines artificielles profondes, elles, ont de nombreux équivalents à commencer par les plus récents séismes de magnitude 3.0 à 3.6, à Bâle, entre décembre 2006 et Mars 2007 dans le cadre "officiel" d'un projet géothermique de GEOPOWER-BASEL et IWB, projet suspendu suite à plus de 1000 plaintes pour dégâts et fissures. Les communes françaises de Saint-Louis et de Huningue ont été les premières touchées… mais cette affaire n'est pas terminée. Les Suisses espèrent reprendre le projet (dixit ce mois-ci un attaché de l'Ambassade de Suisse lors d'un entretien avec lui), non pas parce qu'ils pensent éviter de retrouver ce type de magnitude en mettant de l'eau sous-pression souterraine mais parce qu'ils savent (et cela ils ne vont pas le dire) que ces séismes ne sont pas liés au projet de géothermie !
Bon courage aux Alsaciens du Haut-Rhin !

Encore un petit mot à ces Alsaciens de Huningue et de Saint-Louis : n'avez-vous pas remarqué fin Aôut de l'année dernière un hélicoptère tournoyer pendant des heures et des heures au-dessus de vos têtes à basse altitude ? Il était équipé du système de détection de rayonnement gamma HELINUC (vendu dans les années 90 au CEA par l'américain S.A.I.C.) et participait à un programme Franc-germano-Suisse couvrant Bâle, le nord de Bâle et la zone de la centrale nucléaire près de Zurich. On ne vous l'a pas dit ? C'est bête ! question hélico, vous n'êtes pas mieux informés que les Toulousains !
Pour ceux qui chercheraient encore des traces du site ferme sur AZF-Toulouse, il est conseillé de rechercher les pièces en cache sur google avec les mots clé AZF et 10H18

Entre 13H et 14H, l'hélicoptère de la gendarmerie a filmé une grande partie du secteur dévasté de la ville.Ces images qui doivent théoriquement se trouver au dossier n'ont fait l'objet d'aucune analyse. Aucune des parties civiles, aucun expert nommé, aucun juge, aucun procureur n'aosé dévoiler et étudier ce document.
Pour cause… et le site internet censuré allait en parler :

1/ On y voit une très grande trace profonde sortant de la partie Nord-Ouest du cratère, très évasée sur plus de 50 m de long et de 1 à 4 m de large en allant vers l'extérieur du Hangar 221. Tel un souffle violent et très dirigé, émergeant de la base des lèvres du cratère, cette trace n'a rien à voir avec l'explosion initiée officiellement à l'Est du cratère, dans le box du hangar. La pointe de ce très long triangle se trouve, sur un plan de la SAUR, à l'extrémité Ouest de la conduite d'eau brute de diamètre 40 mm qui longeait tout le tas d'ammonitrate en son centre.Pourquoi cette trace ?Pourquoi l'avoir éludée ?Pourquoi avoir rapidement effacé cette information majeure par un chemin de déblaiement les jours suivants.

2/ On y voit aussi la cuve blanche no 366 de méthanol de la SNPE méchamment abîmée sur le toit et sur la façade nord avec des dégats qui n'ont rien à voir avec les descriptions des experts dans le dossier. Ce secteur a fait l'objet de témoignages insolites, eux aussi méprisés par les experts.

3/ On y voit aussi enfin une explication sur la cause de la mort de la seule victime de la SNPE écrasé par une grande porte métallique tombé sur lui à l'opposé du sens de l'explosin… le bâtiment 290, où il se trouvait, à un trou énorme au centre, comme si une explosion interne avait eu lieu en dehors des dégats des toitures atteintes par le souffle général.Déjà 3 éléments essentiels remettant en cause la théorie chimique mono-explosion des experts et pourtant cette vidéo n'a intéressé personne !Qui la diffusera si un des rares à l'avoir ne peut pas s'exprimer en image sur un site internet sans avoir de problème ?

EXIGER LA VERITE, C'EST EXIGER TOUTES LES DONNEES !




Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
Suisse, Switzerland

Jean-Paul II a notamment comparé le rapport sexuel chaste entre les époux chrétiens à l'adoration eucharistique.
Admiration.
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à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
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