https://www.change.org/p/etat-de-vaud-abus-bancaires-stop
On l’a attendu, ce jour. D’abord, le juge voulait statuer à huit clos tout début janvier pour nous expulser de la maison, mais nous avons eu droit à une objection motivée. Ensuite, une date nous a été donné : Le 28 avril 2020. Mais il y a eu le Corona Virus. Rebelote, nouvelle date : Le 9 juin 2020.
Et c’est ce matin à 9h00, que nous nous sommes rendus à 5, mon mari Benny, mon fils Anthony et nos deux amis conseillers juridiques François de Siebenthal et David Vincent au Tribunal, dans l’espoir que le juge veuille bien nous donner la parole, face à la partie adverse, l’avocat de l’institut financier et sa co-équipière ; ce qu’il a fait !
Dans cette vidéo, je te raconte comment cette incroyable maison datant de 1727, que tu vois dans le fond est venue à nous en 2010 ! Je t’explique également ce qui a fait que nous arrivions là, et surtout aussi, comment se fait-il qu’après 4 ans de lutte contre la banque et les tribunaux, nous soyons toujours là.
Une chose est sûre : Il y a là une force qui nous soutient grandement dans nos démarches, pour dévoiler un peu plus tout ce qui ne tourne pas rond dans notre système financier et bancaire. La guidance est une providence, car à chaque fois, quand j’en ai besoin, ils sont là, ces anges au nom de Kaspar, François, David, visibles et invisibles, m’apportant au bon moment les bonnes réponses pour la suite.
Et que la maison est arrivée à nous grâce à ma jument ‘Honesty’, honnêteté, ce n’est certainement non plus pas un hasard. Il est grand temps que nous enlevions nos œillères, que nous regardions les choses frauduleuses dans les yeux, et que nous nous bougeons, sans crainte, pour à-fur-et-à-mesure créer sur terre ce monde dont nous rêvons tous.
Merci David, pour l’interview.
Le dernier décompte envoyé par la banque est supérieur largement au seuil de l’usure. La banque prête en apparence, mais en fait elle a créé du néant une apparence de capital, sic, ex nihilo, qu’elle promet à un intérêt de près de 300 % réels,
En effet, grâce notamment à monnaie-pleine, il est maintenant admis que les banques commerciales créent de la monnaie du néant, “La dette est une construction artificielle créée par les banques avec le consentement des États pour dépouiller les peuples et en faire des esclaves à leur solde.. Cette forme de “dette” est une illusion, un dol, une fraude comptable.
Quand vous signez un contrat de crédit, un banquier ajoute sur votre compte des chiffres qui ne coûtent rien, qui ne viennent pas des déposants, ni de l’État, ni de la Banque Centrale.
De même, chaque fois qu’un banquier acquiert un actif, un immeuble, un service, des actions des terrains des ressources ou le travail de ses employés, il fait la même chose : il ajoute quelques chiffres sur le compte de l’employé, du vendeur de l’immeuble ou du fournisseur des ressources. Les gouvernants sont-ils vraiment au courant ?
En réalité, la vraie DETTE, la seule DETTE, c’est tout le travail, tous les biens, toute l’énergie et tout le temps de vie que les prédateurs associés nous ont pris, qu’ils nous doivent… Donc, si on applique le ratio de Bâle 3 Mac Donough par exemple, le taux d’intérêt sur le “vrai” minuscule “capital” qui ne viendrait pas du néant, ex nihilo, est donc un taux réel de près de 300 % par année, sic, trois cents, si ce n’est pas de l’usure pénalement condamnable, qu’est-ce ? voir par exemple les pages 32,33 et ss. de La Guerre des gloutons par Rémy Meneau. En cette période d’intérêts négatifs de moins 0.75 % depuis fin 2015, prendre 5 % est déjà un abus, mais en fait, ce sont donc près de 300 %, sic, trois cent pour cent, donc un grave crime usuraire ! La loi suisse qui punit sévèrement le crime odieux d’usure doit donc s’appliquer !
Nous demandons donc qu’une enquête pénale soit ouverte, et qu’une condamnation où des mesures disciplinaires soient prononcées contre les coupables qui abusent de la faiblesse des débiteurs, soit de une à dix années de prison et des peines pécuniaires, selon le code pénal suisse, Art. 157 CPS 1. Infractions contre le patrimoine / Usure.
Nous demandons aussi l’effet suspensif immédiat jusqu’à droit connu, vu que c’est notre appartement dans lequel nous habitons
Vu la gravité des délits, je fais également valoir explicitement mon droit de faire satisfaire mes demandes de dédommagement .
Dettes à intérêts, des monstres juridiques iniques.
…Le prêt à intérêt est donc un « monstre » juridique, un hybride contradictoire.
D’un côté, le prêteur n’est pas considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il n’a pas part aux pertes. De l’autre, le prêteur est considéré comme propriétaire de la somme prêtée, puisqu’il a part aux profits. Le prêt à intérêt introduit donc une incohérence — et constitue par conséquent un corps étranger — dans l’ordre juridique. L’intérêt rompt l’équilibre des prestations entre les parties, ce qui fait du prêt à intérêt un contrat « lésionnaire » ou « léonin », c’est-à-dire un contrat inéquitable par lequel une partie (le prêteur) se taille « la part du lion » au détriment de l’autre partie (l’emprunteur). Les partenaires sont de plus en plus inégaux, le contrat empire avec le temps, de manière exponentielle, 1+i puissance n années… 117 fois le capital sur 50 ans à seulement 10 %, c’est la cause principale de la crise, les citoyens n’ont pas assez de pouvoir d’achat.
Graphique du Prof. Dr. Jean de Siebenthal, EPFL, ETH, Univ. Lausanne, CH
Le modèle usuraire présente donc plusieurs inconvénients tant sur le plan moral qu’économique : c’est une forme d’exploitation de l’homme par l’homme qui rompt les liens d’entraide et de solidarité. Il favorise l’endettement voire le surendettement privé et public avec le cercle vicieux bien connu : pour payer des dettes, il faut contracter de nouvelles dettes. Par ailleurs, il accorde plus d’importance au capital qu’au travail favorisant ainsi l’émergence d’une classe de rentiers qui font des profits sans effort, sans prise de risque et sans réelle richesse produite. Il est aussi responsable de l’accroissement des inégalités entre les riches et les pauvres avec comme effet des tensions et des ressentiments qui fragilisent la société. Enfin, ce système est terriblement « coriace » : ceux qui en tirent profit sont en position de force et font tout pour le maintenir en place. Pour comprendre le mécanisme de la dette, on pourra utilement regarder le documentaire L’Argent dette de Paul Grignon.
L’exemple de la crise des subprimes est aussi édifiant et illustre les dérives de ce système : des crédits toxiques sont à l’origine d’une crise économique mondiale avec comme conséquences : une hausse importante du chômage, des pertes colossales, le surendettement de nombreux états, la mise en place de politiques d’austérité, etc.
Toutes les personnes concernées sont susceptibles d’être touchées par ces mesures exceptionnelles pour les crimes et délits suivants: – Abus de confiance. – Abus de pouvoir. – Abus de biens sociaux. – Blanchiment d’argent. – Corruption active et/ou passive. – Crimes contre l’Humanité. – Délits d’initiés. – Détournements de biens et de fonds publics. – Escroqueries et crimes en bandes organisées. – Haute trahison. – Intelligence avec l’ennemi. – Prises illégales d’intérêts. – Entrave à la justice. – Recel et abus de bien publics. – Trafic d’influence. – Utilisation de la force publique à des fins personnelles. – Non-assistance à peuple en danger.
Nous vous présentons, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments les plus distingués
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