Ah, si les responsables comprenaient l'encyclique Vix pervenit de seulement 4 pages qu'ils n'ont jamais ni lue ni comprise, alors tous les pères et mères de famille pourraient recevoir, à titre d'enfants de Dieu, sans aucun mérite et sans conditions, en fonction du nombres d'enfants dès leurs conceptions, au moins une partie de la création monétaire ex nihilo. Les banques et en fait quelques rares personnes s'en accaparent.  Comme le démontre Maurice Allais, prix Nobel d'économie, ce sont des voleurs. Voici des milliers de milliards (sic) de dollars affectés au mal et à la mort, aux guerres et aux manipulations. Cette erreur est l'autre forme d'usure dont parle Rerum Novarum.

Presque dès le début de l'Encyclique de Léon XIII, deux phrases, qui se rapportent certainement à cette voracité de l'argent, nous laissent sur une certaine curiosité, par l'emploi d'une expression non précisée et qui ne revient pas dans le reste du document :             « Une usure dévorante est venue ajouter encore au mal. Condamnée à plusieurs reprises par le jugement de l'Église, elle n'a cessé d'être pratiquée sous une autre forme par des hommes avides de gain et d'une insatiable cupidité ».             Qu'est-ce que cette « usure dévorante sous une autre forme ? » En quoi consiste cette nouvelle forme d'usure qui est venue s'ajouter à l'oppression des travailleurs ? C'est cette "création" qui écrase les familles par des intérêts exponentiels et déments sur la durée.
L'abbé Drinkwater rapporte à ce sujet, qu'un comité, siégeant à l'Université de Fribourg, avait préparé des éléments pour la rédaction de Rerum Novarum. Parmi les membres de ce comité, dit-il, s'en trouvait au moins un, un Autrichien, bien au courant de la question monétaire et du crédit bancaire. Un texte préparé par lui, apparemment approuvé par le Comité, devait bien montrer comment la simple monnaie scripturale, qui prend naissance dans une banque et qui tendait déjà à devenir l'instrument monétaire courant du commerce et de l'industrie, n'était en somme qu'une monétisation de la capacité de production de toute la communauté. L'argent nouveau ainsi créé ne peut donc être que social et nullement propriété de la banque. Social, par la base communautaire qui lui confère sa valeur ; social, par la vertu qu'a cet argent de commander n'importe quel service et n'importe quel produit, d'où qu'ils viennent. Le contrôle de cette source d'argent met donc entre les mains de ceux qui l'exercent un pouvoir discrétionnaire sur toute la vie économique.             Puis, la banque qui prête, non pas l'argent de ses déposants, mais des dépôts qu'elle crée elle-même de toute pièce, du néant, ex nihilo, par de simples inscriptions de chiffres, ne se départit de rien. L'intérêt qu'elle en exige est certainement de l'usure ; quel qu'en soit le taux, c'est plus que du 100 pour cent, puisque c'est de l'intérêt sur un capital zéro de la part du prêteur. Usure qui peut bien être dévorante : l'emprunteur ne peut trouver dans la circulation plus d'argent qu'il y en a été mis. Et c'est ainsi pour le total de tous les remboursements dépassant la somme de tous les prêts. Le service des intérêts ne peut être fait que moyennant une suite d'autres prêts exigeant d'autres intérêts. D'où une accumulation de dettes, de caractère privé et de caractère public, collectivement impayables. Plus de 93 % des dettes publiques au Canada ne sont que le résultat de cette machine infernale et même les soins médicaux sont rationnés pour laisser la "primeur" aux banquiers voleurs.
            Que fut exactement la rédaction de ce texte relatif au monopole du crédit ? Nous ne pouvons le savoir, puisqu'il ne parut pas dans l'Encyclique. Fut-il supprimé à Fribourg même dans la rédaction définitive de l'étude envoyée à Rome ? Fut-il subtilisé entre Fribourg et Rome, ou entre sa réception au Vatican et sa remise au Souverain Pontife ? Ou bien, est-ce Léon XIII lui-même qui décida de le laisser de côté ? L'abbé Drinkwater pose ces questions, mais n'y répond pas.http://www.michaeljournal.org/causeries/textescauseries/tape_1201_0701.htm

C'est trop facile et criminel de les laisser ruiner les familles en disant que c'est trop compliqué à comprendre.

C'est en effet trop facile à saisir l'horreur économique avec laquelle une trop grande partie de la hiérarchie Kollabore ( sic, Kollabore) en plaçant les fonds des pauvres et leur confiance dans les mains de ces vrais escrocs aux dents longues qui laissent tuer les enfants à naître par milliards, avec le prétexte que la terre est surpeuplée, ce qui est une énorme manipulation. Le SIDA va vider l'Afrique et une partie de l'Asie. La terre peut abriter plusieurs fois la population actuelle. On jette des millions de tonnes de nourriture pour garder les prix hauts. Ils sont complètement fous, stupides, aveuglés par la cupidité et les mensonges ou très méchants.

Le crédit social l'explique assez bien. Il faut lire au moins

Le Crédit Social et la doctrine catholique, étude de neuf théologiens

Crédit Social et catholicismeIl est urgent de mettre fin au scandale de la pauvreté. Alain Pilote Le Crédit Social et l'enseignement des Papes. Alain PiloteQu'est-ce que le Crédit Social? Le christianisme appliqué! Geoffrey DobbsLe Crédit Social est l'application de la doctrine sociale de l'Eglise, dit Mgr Frankowski Enseignement de l'EgliseC'est un péché grave de voter pour des politiciens en faveur de l'avortement Etats-UnisL'histoire du contrôle bancaire aux Etats-Unis. A. PiloteLe Crédit Social aux Etats-Unis en 1932. A. Pilote
Banques centrales au secours des banques ou des familles ? Si  les milliards étaient versés aux familles, elles relanceraient  toute l'économie.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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