Les militaires sont capables de parachuter des tanks.
Nous utilisons de tels parachutes dans une première phase, vu l’urgence dramatique.
Ils sont lâchés au-dessus des puits, dans l’air. Une fois arrivés ouverts à la surface de la mer, ils restent déployés à quelques mètres sous l’eau et les trous zénithaux ( au sommet) sont équipés de tuyaux à plusieurs couches en tissu du type Goretex, par rivetage en première phase d’urgence puis amené par des sous-marins au-dessus des puits en fuite.
Les parachutes sont amenés ouverts dans l’eau et fixés au fond de la mer ( blocs de bétons au sol ou ancres avec des poulies ou anneaux ) au-dessus ou à côté des puits en fuite. Les flux de pétrole sont récupérés en réglant la pente des parachutes, par des boudins plus ou moins remplis d’air préfixé aux parachutes. Un pan des parachutes peut même reposer au fond afin de récolter 100 % de la pollution.
Les tuyaux sont à plusieurs couches de tissus, rendus rigides par des corsets annulaires et verticaux de tuyaux remplis d’air en fonction des besoins de rigidité.
Le goretex des tuyaux et des parachutes sera calibré en fonction des molécules de méthane, éthane, propane, butane Sulfure d’hydrogène, de benzène, de chlorure de méthylène et de chlorure de méthylène et des grosses molécules du pétrole, afin de laisser échapper les gaz mais de conserver les plus toxiques et le pétrole, puis par velcro dans une 2ème phase.
Nous les améliorons ainsi.
Vu la haute pression des gaz, ces nouveaux parachutes sont fabriqués en kevlar et goretex, avec des armatures en fibre de carbone et des boudins pouvant être remplis d’air. Les charges d’air sont déjà là, prêtes à être déclenchées. Le trou somital en est aussi équipé et est renforcé de velcro, ainsi que les tuyaux de fuite.
On peut superposer plusieurs parachutes les uns sur les autres afin de récolter toutes les fuites, comme une cascade à l’envers. Des échancrures ouvrables à distance, notamment par boudins d’air télécommandées sur des liaisons velcro, sont faites sur les côtés des parachutes pour maximiser la récolte.
Le pétrole peut être aspiré pour accélérer le processus.
Les tuyaux sont à plusieurs couches et peuvent être ouverts ou fermés tout du long comme des rideaux à plusieurs segments, horizontaux ou verticaux, afin de régler le débit et la pression interne des gaz et la fluidité du débit. La pression n’est un problème vu que le système est ouvert par en bas.
Les différents gaz hautement toxiques sont triés par les tuyaux en poupées russes verticaux, par les dimensions des trous gore-tex de chaque couche. Sulfure d’hydrogène (taux admis : 8 ppb = parts per billion = particules par milliard ; taux mesuré : 1200 ppb), de benzène (taux admis : 4 ppb ; taux mesuré : 3000 ppb), et de chlorure de méthylène (taux admis : 61 ppb ; taux mesuré : 3000 à 3400 ppb). Ces gaz peuvent causer la mort des hommes par toute sorte de dommages, notamment sanguins et cardiaques, et la déformation des bébés avant naissance. En plus, le dernier gaz (chlorure de méthylène) est inflammable…donc récolte sous l’eau et neutralisation sous l’eau, à définir avec les chimistes.
En cas de typhon, tout est récolté dans de grands conteneurs sous-marins à quelques mètres sous l’eau qui seront vidés dès que le temps le permettra.
Blocage des puits, technique du judoka, utilisation de la FORTE pression pour la contrôler.
Un train de segments flexibles dirigés par des cardans pantographes ouverts à de multiples directions d’alignement est enfilé dans le tuyau de base du puits. La pression montante alignera le dispositif automatiquement sur le flux montant.
La pression aligne en effet ce train rendu souple et dirigeable dans l’axe par le système directionel supérieur.
Dès le premier segment, tout le train est équipé en son centre d’une tige légèrement conique commandable à distance par un axe hydraulique pas à pas à cliquet.
La tige centrale conique commandée à distance exerce une pression de bas en haut et fait monter et s’écarter le train de tuyaux à la profondeur voulue pour avoir le maximum de résistance.. Ce tuyau faits de parois malléables mais résistantes ( plomb durci ) et/ou en acier-inox fendu pour un segment central va donc se plaquer fortement contre l’autre tuyau extérieur déjà en place.
Sur cette tige conique de plus en plus large de bas en haut, est disposé en plus une vis hélice écartable de type Archimède sans fin, qui, au début, est bloquée, puis, dès que désiré et par télécommande, est libérée et, sous l’effet de la pression, va monter en s’écartant le long de l’axe conique à cliquet. Les parois malléables mais résistantes ou en acier-inox fendu seront ainsi définitivement bloquées et étanches. Les pressions extrêmes demandent des métaux extrêmes.
Une vanne ouverte connectable au tuyau de récupération fait partie du haut de ce train de segments. Elle pourra permettre de régler plus finement le débit du puits ainsi récupéré.
Un réglage encore plus fin peut-être effectué par la tige centrale conique commandée à distance.
Si le tuyau est horizontal, on y rajoute des roulements à billes sur le pourtour au premier segment et des rouleaux fixes sur le sol, à l’entrée pour faciliter l’introduction horizontale .
Copyright: www.familiaplus.com , Lausanne Suisse.
Patent pending
Patented.
Les faits:
“BP NOUVELLES REVELATIONS ACCABLANTES
C’est un document interne au groupe BP rendu public ce dimanche qui a mis le feu aux poudres. Il révèle que la quantité de pétrole qui s’échappe du puits endommagé dans le golfe du Mexique pourrait en définitive atteindre 100 000 barils par jour.
Riki Ott confirme certains propos de Lindsey Williams (voir http://www.dailymotion.com/video/xdnq3n_partie-1-lindsey-williams-explicati_news).
Les travailleurs, surfers et plongeurs réguliers commencent déjà à être malades.
Nous espérons que ce nouveau message vous atteindra enfin.
Une NOUVELLE ET MEILLEURE traduction suivra.
Nous vous présentons, Monsieur le Président, nos salutations respectueuses.
François de Siebenthal
++ 41 21 616 88 88
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