Procédure en divorce instrumentée à l’initiative de l’Etat au détriment de la femme.

L’article concernant la Commission supérieure de la Magistrature, alias la CSM, publié dans le journal « Le Matin dimanche » du 29 mai dernier, a retenu l’attention de notre collectif citoyen. Suite à une procédure unilatérale en divorce, diligentée par la cour de justice civile du canton de Genève, sans y avoir été invitée par l’un ou l’autre des conjoints et par extorsion de la signature du mari. Les juges le connaissaient bien vu qu’il était leur greffier et savaient qu’il n’avait plus son discernement

Bien que saisies, les instances et juridictions n’ont pas démenti les faits et n’ont pas réglé le problème par l’invalidation d’un divorce voulu par la justice civile pour motif égoïste (en contraignant le couple au divorce, l’épouse, du fonctionnaire qui a fait toute sa carrière au Parquet du Canton de Genève, ne touche pas sa retraite prévue par la loi) qui plus est les juges n’ont pas partagé le 2me plier, comme la loi le mentionne ! Où est-il ? Nous avons alors saisi la Cour supérieure de la magistrature et nous avons aussi constaté un fonctionnement délétère et inapproprié, cette juridiction va à l’encontre du droit et des lois. Nous reconnaissons les membres de la dite commission qui ont statué sur notre recours, avoir été des collègues de Monsieur X, pendant des décennies, toute hiérarchie respectée; des juges qui l’ont contraint à prendre sa retraite en 1992 pour incapacité à tenir son poste de travail, afin d’éviter une enquête administrative; le même collègue de juges qui a initié et instruit l’unilatéralité du divorce des époux X en 2004 et des membres faisant partie de la CSM. On ne peut pas faire mieux au point de vue conflit d’intérêt.

Pour améliorer le fonctionnement de la Cour supérieure de la magistrature, nous ne sommes pas certains que l’étendre à la Romandie aurait un impact favorable, par contre, nous sommes convaincus que faire siéger des laïcs sans partis ou intérêts quelconques, dans toutes les juridictions seraient propices aux décisions judiciaires équitables. Les pros de la justice appliqueraient les droits et les lois et les autres capables d’éthique et de déontologie, interpelleraient les premiers quand l’intime conviction prime sur le droit, ou qu’ils ne savent pas que pour prendre une décision familiale, il faut être en capacité de se souvenir que l’on a une famille, le nom de ses enfants et de sa femme, où l’on a fait carrière etc.

Au nom de l’ensemble de notre Groupement bénévole sans frontière, nous vous remercions pour l’attention que vous porterez à notre message et nous vous prions d’accepter nos salutations distinguées.

Pour le Groupement:

C.Redin et L. Carroz.

COERCITION :

D’abord, ils ont pris nos enfants pour des raisons arbitraires. Les 300 millions de Fr d’indemnités à l’intention des victimes, ne font pas taire à nos oreilles, les milliers d’enfants arrachés à leurs familles.

Puis, il y eut les enfants mutilés pour en faire des personnes sexuées à l’encontre de leur épanouissement.

Et ils ont réinitialisé la loi sur le divorce, elle est la résurgence de la répudiation, non par l’un ou l’autre des époux, mais par des juges de la cour de justice civile cantonale genevoise, qui, bien que connaissant la discernement aboli du mari de notre bénévole ( syndrome de Korsakoff ), n’hésitent pas à l’instrumentaliser par extorsion de sa signature unilatérale contre sa propre épouse. Il y a discrimination institutionnelle, la nouvelle loi sur le divorce doit être abrogée et les initiants de la procédure unilatérale au divorce condamnés par l’actuel article 115 CPS qui punit d’office le motif égoïste.

Pour le même motif, la supputation est légitime de croire qu’après avoir contraint la classe moyenne au divorce, elle soit euthanasiée pour écourter son droit à la retraite et aux soins.

Lire l’ouvrage du Dr Henry Siegenthaler, allons-nous tous être euthanasiés ?

Vous trouverez en annexe un document important concernant quelques faits des abus dûment constatés en Suisse.

Nous sommes des bénévoles de bonne volonté, résidents de tous les pays, œuvrant là où l’on a besoin de nous.

Nous ne sommes pas une association, ce qui impliquerait la tenue d’une comptabilité, des cotisations etc.

Nous travaillons en solo ou en équipe selon le travail à effectuer, dans la mesure des moyens à

Nous aidons d’abord les plus démunis, ceux qui sont oubliés, et ceux qui demandent de l’aide.

Nous sommes notamment sur facebook à l’adresse suivante :

https://www.facebook.com/groups/Guillaume.Tell/

Avec nos meilleures salutations.

GSF.

Si les juges incriminés dans une procédure ( dans notre dossier, ils ont diligenté une procédure unilatérale en divorce, sans y avoir été invités par l’un ou l’autre des époux, mais par extorsion de la signature de celui qu’ils savaient avoir le discernement aboli, aucune instance n’a démenti les faits ) sont aussi les les juges qui décident en prééminence de l’affaire, comme à Genève au sein de la cour supérieure de la magistrature.

Il est inutile de faire des frais pour une juridiction où les magistrats sont juges et parties.

Nous voulons une réforme de la justice. Des jurés populaires pour toutes les décisions judiciaires, les juges auront la connaissance du droit et des lois, la société civile jugera sur l’éthique, la déontologie et la morale inhérente à toute décision.

Nous voulons le rapatriement de tous les avoirs suisses AVS de l’étranger et un parti politique qui soit un observateur des droits de l’homme et contrôler que les lois soient appliquées à tous les citoyens pour leur redonner confiance.

Signé : la classe moyenne.

Que disent les cours de justice européennes des manquements judiciaires suisses ?

1) Abus de faiblesses sur personnes handicapées, par des juges connaissant le discernement aboli du malade.

2) Rétention et soustraction d’informations par les juges qui les ont émises.

3) Abus de faiblesse sur l’épouse du malade et mise dans cette situation pour des motifs égoïstes.

4) Entente cordiale entre juges et avocats.

5) Extorsion de la signature d’une personne incapable à se défendre.

6) Certains le disent : association de malfaiteurs.

7) Discrimination institutionnelle (résurgence de la répudiation ).

8) Inféodation de la classe moyenne.

Adresse de correspondance pour ce dossier:

Groupement bénévole sans frontière. 

 Case 65,
1001 LAUSANNE. 
021 616 88 88  

Annexes : quelques copies. 

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