Bonjour Philippe,
résultats électoraux produits par une société américaine ?
UPR. AVec AFP, Le Monde. Mars à juillet 2008.
Dimanche dernier, les commentateurs du 1er tour des
élections municipales se sont montrés unanimes : alors qu’on
attendait un effondrement de la droite, la première surprise
de la soirée aurait été la relative et inattendue bonne
tenue des listes UMP ; la seconde surprise, c’est que le
taux global de participation était en hausse depuis 2001.
La tonalité de la soirée électorale fut ainsi donnée par ces
deux « surprises », qui dominèrent également les lignes
éditoriales de la presse écrite du lendemain. Pour la
majorité des Français, la messe du 1er tour était dite :
forte participation et maintien surprise de l’UMP.
Pourtant, dès le mardi, puis tout au long de la semaine,
des informations d’une toute autre tonalité ont commencé à
se faire jour. Des informations capitales dont ont été
privés la grande majorité des Français, qui n’ont porté
attention à ces élections que le dimanche soir ou dans la
presse écrite du lundi.
Ainsi, il a fallu attendre le vendredi, ce
qui ne s’était jamais vu depuis la dernière guerre,
pour enfin connaître les chiffres officiels de la
participation. Surprise : il n’est plus du tout question
d’une hausse mais d’un effondrement historique : jamais
depuis 1959 la participation n’avait été aussi basse :
66,54% au total et 61,07% dans les communes de plus de
3500 habitants. Dans la capitale, c’est même 43% des
électeurs qui ont refusé d’aller voter.
Les étranges innovations électorales du ministère de
l’intérieur
Que s’est-il passé le soir de l’élection pour que
l’information et la perception de la situation politique
réelle soient ainsi faussées ?
Un début de réponse nous a été donné par un article
stupéfiant du journal Le Monde. On y apprend les causes
de la ” panne ” :
« Les résultats ont d’abord parcouru le chemin
traditionnel : les mairies les ont envoyés, par téléphone
ou par fax, dans les préfectures, qui les ont communiqués
via un système Intranet au ministère. ” La synthèse s’est
faite tout à fait normalement ” (…) Mais les serveurs,
hébergés par une société externe, dont le ministère n’a
pas voulu divulguer le nom, se sont écroulés à plusieurs
reprises. »
==> http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1028409&clef=ARC-TRK-D_01
En clair, cela signifie :
d’une part
que les serveurs du ministère de l’intérieur ne sont pas
gérés par les fonctionnaires habilités à cette fin mais
par ” une société externe ” ;
d’autre part
que le ministère de l’intérieur refuse de communiquer
l’identité de la société qui a désormais la haute main sur
les élections françaises.
Ce n’est pas tout :
« Le système étant engorgé, les services de l’intérieur
ont dû ressaisir les résultats. Le taux de participation
définitif n’a été établi que lundi après-midi. Le
prestataire, qui avait traité les élections présidentielle
et législatives de 2007, utilise ” ce que l’on peut
trouver de plus puissant “, assure Bertrand Maréchaux,
directeur des systèmes d’information du ministère. (…)
M. Maréchaux confiait, lundi soir, n’avoir toujours pas
trouvé “de véritable explication technique”.
Mme Alliot-Marie, rompant avec l’habitude de la plupart de
ses prédécesseurs, s’est refusée dimanche à toute
apparition publique pour donner les résultats et s’est
contentée d’un communiqué diffusé à 23 h 13. »
En clair cela signifie :
que le
mystérieux prestataire privé a eu également la haute main
sur les présidentielles et les législatives, premières
élections françaises où étaient utilisées les machines à
voter, qui, elles aussi, suscitent de nombreuses et
justifiées interrogations.
et que le
directeur des systèmes d’information du ministère de
l’intérieur avoue n’avoir reçu aucune explication de ce
mystérieux prestataire extérieur.
Qui est la mystérieuse société qui produit désormais les
résultats électoraux français officiels ?
Est-il normal et sain pour la démocratie que le ministère
de l’intérieur garde le silence sur l’identité de la
société prestataire qui gère désormais nos résultats
électoraux officiels ?
Pour l’UPR, la réponse est non.
Nous avons donc décidé d’en savoir plus, ce qui n’est pas
très difficile puisqu’un simple logiciel gratuit
“whosip.exe” permet à tout internaute de découvrir le pot
aux roses. (il suffit de télécharger whosip, de le copier
dans C : puis, dans Accessoires > Invites de commandes
> tapez cd > Enter puis : whosip www.interieur.gouv.fr
> Enter ) , vous obtiendrez ce résultat autant
spectaculaire que révoltant, s’agissant du ministère de
l’intérieur de la République Française :
WHOIS Source : ARIN
IP Address : |
8.12.199.126 |
Country : | USA – Colorado |
Network Name : |
LVLT-ORG-8-8 |
Owner Name : |
Level 3 Communications, Inc. |
From IP : | 8.0.0.0 |
To IP : | 8.255.255.255 |
Allocated : | Yes |
Contact Name : |
Level 3 Communications, Inc. |
Address : | 1025 Eldorado Blvd., Broomfield |
Email : | ipaddressing@level3.com |
Abuse Email : |
abuse@level3.com |
Phone : | +1-877-453-8353 |
Sauf erreur, cela
signifie, en clair, que “le système intranet” du ministère
français de l’intérieur est hébergé par la société
américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS, situé à Denver,
Colorado, USA.
Résumons :
1. La soirée électorale, donc l’élément décisif de la
campagne du second tour, a été complètement faussée par
une panne informatique.
2. Contrairement à ce que tous les Français croient, le
ministère de l’intérieur ne gère pas lui-même les moyens
nécessaires à la production des résultats électoraux
officiels, ayant force de loi.
3. Ce travail décisif pour la démocratie française est
confié non seulement à une société privée, mais, mieux
encore, à une société américaine, LEVEL 3 COMMUNICATIONS
4. Vérifications faites à partir d’informations ouvertes
disponibles sur Internet, cette importante société
américaine se trouve avoir des liens très étroits avec les
deux principaux partis politiques américains, le Parti
Républicain et le Parti Démocrate, qu’elle finance l’un et
l’autre avant chaque élection présidentielle :
==>
http://www.campaignmoney.com/political/committees/level-3-communications-inc-political-action-committee.asp?cycle=04
5. La société en question n’a fourni aucune explication
sur la panne. Personne n’est donc en mesure de garantir
que cette panne n’a pas été volontairement provoquée, à la
demande d’un mystérieux commanditaire, pour aboutir aux
résultats faux de dimanche soir. Circulez, il n’y a rien à
voir !
6. Mis à part l’article du Monde, aucun média ne s’est
interrogé sur ce grave et troublant dysfonctionnement qui
entachent le résultat officiel des élections. Personne ne
s’interroge non plus sur la fiabilité et les contrôles
réels de l’ensemble “machines à voter + serveurs hébergés
par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS” qui a
également produit les résultats des présidentielles et des
législatives.
7. On nous présente un scénario rocambolesque à base de
« serveurs qui s’écroulent » puis « d’adresse de
délestage ». Mais ce scénario ne tient pas la route une
seconde pour qui connaît un minimum l’informatique :
collecter les votes de 25 millions d’inscrits,
préalablement centralisés dans une centaine de
préfectures, c’est bien le minimum que doit pouvoir faire
n’importe quel serveur informatique bon marché.
Du reste, on n’a pas attendu mars 2008 pour gérer ce type
de situations et les Français ont connu suffisamment de
soirées électorales télévisées depuis 40 ans pour savoir
que la collecte des résultats ne posait aucun problème par
le passé, avec des ordinateurs pourtant infiniment moins
puissants que de nos jours. Comme par ailleurs le
ministère précise avoir recours à “ce qu’on peut trouver
de plus puissant”, on est en droit de se poser de très
graves questions sur la cause réelle de la « panne ».
8. Nous voudrions également comprendre pourquoi un
gouvernement qui nous rebat les oreilles avec son soutien
à l’économie numérique juge préférable d’avoir recours aux
services d’une société étrangère pour résoudre un problème
bête comme chou, et parfaitement bien résolu depuis des
décennies, qui est la simple collecte des résultats
électoraux transmis par la centaine de préfectures
françaises.
9. Nous voudrions enfin comprendre pourquoi la France, qui
est capable de mettre au point des armes thermonucléaires
par des simulations informatiques extraordinairement
sophistiquées, qui a été choisi internationalement pour
développer le centre de recherche sur la fusion atomique
ITER serait incapable de gérer par lui-même l’addition des
votes de ses électeurs.
Conclusion
Il n’est pas tolérable qu’une société américaine
produise, on ne sait comment, ce que le peuple français
est censé devoir accepter comme l’expression suprême de la
souveraineté populaire. Cette procédure est d’autant moins
admissible qu’elle s’accompagne de la mise en place, en
nombre croissant, de “machines à voter” électroniques qui
produisent des résultats dont l’opacité suscite la
défiance d’une écrasante majorité de nos concitoyens.
Rien ne serait plus grave pour la démocratie et plus
périlleux pour la paix civile en France si une suspicion
généralisée devait désormais se porter sur la véracité des
résultats annoncés à l’issue de toutes nos élections.
Nous exigeons donc de revenir à la situation antérieure,
qui donnait toute satisfaction sans soulever les moindres
soupçons. Le ministère de l’intérieur doit obtenir et
rendre publiques les explications de son prestataire
américain, puis rompre immédiatement ce contrat.
L’Union Populaire Républicaine envoie le présent texte à
l’ensemble des députés et sénateurs de la République, et
leur demande que soit créée une commission d’enquête
parlementaire sur cette question d’une exceptionnelle
gravité.
Nous leur demandons aussi que soit déposé, le plus
rapidement possible, une proposition de loi interdisant
toute intervention de sociétés privées dans les opérations
électorales, ainsi que tout usage des machines à voter.
* * * * * * *
Le scandale du vote électronique se précise
L’agence France Presse vient de révéler qu’une étude,
réalisée par une chercheuse du laboratoire d’informatique
de Nantes-Atlantique et portant sur les trois derniers
scrutins nationaux, a relevé un nombre ” d’erreurs ”
beaucoup plus élevé dans les bureaux utilisant des
ordinateurs de vote que dans les bureaux traditionnels.
Cette étude, conduite par Mme Chantal Enguehard en relation
avec l’Observatoire du vote, est la première recherche
quantitative très sérieuse sur la dématérialisation du
vote dans les élections politiques en France. Elle a été
menée à partir de données provenant de 20.051 bureaux de
vote, dont environ un tiers pratiquant le vote
électronique, dans 46 communes de référence, dont 24
utilisant des ordinateurs de vote, lors des dernières
élections présidentielles (premier et second tour),
législatives (1er tour) et municipales (1er tour). Autant
dire que l’énormité de la taille de l’échantillon rend
l’étude statistiquement incontestable.
Entre 4 et 8 fois plus “d’erreurs” d’émargement avec
le vote électronique
Les résultats obtenus montrent en premier lieu que le nombre
de bureaux “en erreur”, c’est-à-dire où le nombre de votes
n’est pas égal au nombre d’émargements, est bien plus élevé
parmi ceux qui utilisent les machines à voter que dans ceux
qui ont recours à l’urne traditionnelle.
Globalement, sur les quatre tours d’élections étudiés, on
relève ces erreurs dans près de 30% des bureaux procédant au
vote électronique (29,8%) contre 5,3% de ceux utilisant
l’urne.
Des “erreurs” en augmentation constante
Lors du premier tour de la présidentielle, on mesure ainsi
3,9 fois plus de bureaux en erreur pour le vote électronique
par rapport au vote à l’urne. Ce rapport monte à 7,5 pour
les législatives et à 7,8 pour les municipales, selon
l’étude. En d’autres termes, il s’aggrave avec le temps !
Des “erreurs” dont l’ampleur est beaucoup plus
importante avec le vote électronique
Autre enseignement, l’ampleur des erreurs est beaucoup plus
importante pour le vote électronique : par exemple, plus de
7,3% des bureaux électroniques dépassent un taux d’erreur de
3 émargements, contre à peine 0,4% des bureaux
traditionnels.
Des ” erreurs ” qui ne diminuent pas avec l’expérience
Selon l’étude, la multiplication des scrutins n’entraîne
pas une plus grande fiabilité du vote électronique. Malgré
la meilleure expérience qu’en ont les électeurs, les taux
d’erreur du vote électronique restent toujours très
supérieurs à ceux du vote à l’urne. En outre, le taux
d’erreur est plus élevé dans les bureaux qui enregistrent
le moins d’émargements à l’heure.
L’étude révèle enfin que la centralisation des résultats
en mairie est elle-même source d’erreurs, certaines
mairies ne faisant même pas état des écarts entre votes et
émargements constatés dans les bureaux, d’autres ”
rectifiant ” même les résultats pour les faire
disparaître.
CONCLUSION : IL FAUT EN REVENIR AU VOTE AVEC LES URNES
Les résultats statistiques incontestables découverts
par Mme Enguehard l’ont conduite à les qualifier
elle-même de “choquants “. Cette chercheuse du
laboratoire d’informatique de Nantes-Atlantique et
l’Observatoire du Vote ont décidé de présenter leur étude au
ministère de l’Intérieur et au Conseil constitutionnel.
Décision intéressante, ils ont aussi décidé de la
présenter à l’Organisation pour la sécurité et la
coopération en Europe (OSCE). Cette organisation
internationale, qui se préoccupe volontiers de la
sincérité des élections dans tous les pays du monde, et en
particulier dans l’ex-bloc socialiste, devrait assurément
porter désormais ses regards sur ce qui se passe au sein
des pays de l’Empire euro-atlantiste. Notons au
passage que la chercheuse et l’Observatoire du Vote
n’ont pas prévu de saisir la Commission européenne de
leur étude. Comme si tout le monde avait déjà,
inconsciemment, intégré l’idée que les institutions
bruxelloises ne sont en aucun cas des remparts contre la
dictature qui menace… (voir la position de la
Commission en annexe)
Par ailleurs, Mme Enguehard et l’Observatoire du Vote
demandent que les travaux réalisés soient complétés par
une étude de plus grande envergure. Il serait notamment du
plus haut intérêt de voir si les ” erreurs ” relevées sont
réparties uniformément ou si elles ont une ” tendance ” à
favoriser tel ou tel parti ou groupe de partis. Il serait
d’un intérêt non moindre de comparer de façon statistique
les résultats obtenus dans les bureaux de vote avec urne
et dans les bureaux de vote avec ” machine à voter “.
Il est à cet égard extrêmement préoccupant de constater
que la mise en place en France de bureaux de vote avec
ordinateurs coïncide avec le recours à une société de
service américaine (LEVEL 3 COMMUNICATIONS) chargée…
de centraliser les résultats électoraux français dans son
centre de Denver au Colorado !
Cette décision stupéfiante, prise par Nicolas Sarkozy
lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, a déjà été
dénoncée ici même (cf. notre dossier Les résultats
électoraux produits par une société américaine ?). Mais
comme elle s’accompagne du taux “d’erreurs” absolument
scandaleux de 30% dans les bureaux de vote équipés de ”
machines à voter “, le doute ne peut désormais que
s’instiller dans les esprits : Y aurait-il chez
certains la volonté délibérée de truquer les résultats
des élections en France ?
Laisser s’installer un tel doute serait redoutable pour
notre démocratie et notre paix civile. C’est pourquoi
l’Union Populaire Républicaine (UPR) réclame de nouveau la
suppression totale et définitive de toute ” machine à
voter ” sur le territoire de la République et le
rapatriement immédiat de tout le processus électoral
français en France, avec notamment la dénonciation des
contrats entre le ministère français de l’Intérieur et
toute société privée française ou étrangère, notamment la
société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS.
Source (dont documents et annexe) Union Populaire Républicaine : http://u-p-r.org
* * * *
En complément :
11 mars 2008 – Le ministère de l’intérieur a été
perturbé par une panne informatique dimanche soir (article
cité dans un précédent dossier de l’UPR Les résultats
électoraux produits par une société américaine ?, auquel
il est fait référence ci-dessus)
Les résultats des élections municipales et cantonales ne
sont parvenus aux journaux quotidiens que très tardivement
dans la nuit du dimanche 10 mars au lundi 11, de façon
incomplète, et avec des erreurs. Les serveurs, hébergés
par une société externe, se sont écroulés à plusieurs
reprises.
Fait inhabituel, les résultats des élections municipales
et cantonales ne sont parvenus aux journaux quotidiens que
très tardivement dans la nuit du dimanche 10 mars au lundi
11, de façon incomplète, et avec des erreurs.
” La première ville de plus de 10 000 habitants est
arrivée à 1 heure du matin, avec plus de trois heures de
retard par rapport à nos prévisions “, explique ainsi
José Bolufer, directeur des services informatiques du groupe
Le Monde. Le Monde a fourni les résultats de 753 communes de
plus de 10 00 habitants, au lieu des 891 prévues.
Le ministère de l’intérieur refuse de parler de “bug”. Mais
il a bien été victime d’une panne informatique majeure.
Les résultats ont d’abord parcouru le chemin traditionnel :
les mairies les ont envoyés, par téléphone ou par fax, dans
les préfectures, qui les ont communiqués via un système
Intranet au ministère. ” La synthèse s’est faite tout à
fait normalement “, assure-t-on dans l’entourage de la
ministre de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie. Mais les
serveurs, hébergés par une société externe, dont le
ministère n’a pas voulu divulguer le nom, se sont écroulés à
plusieurs reprises.
DÉLESTAGE
” Dès 22 h 30, nous avons travaillé sur le système de
secours, le ministère nous a proposé une adresse de
délestage pour accéder aux données “, précise José
Bolufer. Le système étant engorgé, les services de
l’intérieur ont dû ressaisir les résultats. Le taux de
participation définitif n’a été établi que lundi après-midi.
Le prestataire, qui avait traité les élections
présidentielle et législatives de 2007, utilise ” ce que
l’on peut trouver de plus puissant “, assure Bertrand
Maréchaux, directeur des systèmes d’information du
ministère. Le fait que ce dernier donnait, pour la
première fois, les listes complètes dans les villes de moins
de 3 500 habitants, n’est pas de nature à fournir une
explication convaincante, d’autant que ” la capacité de
traitement avait été doublée “. M. Maréchaux
confiait, lundi soir, n’avoir toujours pas trouvé ” de
véritable explication technique “.
Mme Alliot-Marie, rompant avec l’habitude de la plupart de
ses prédécesseurs, s’est refusée dimanche à toute apparition
publique pour donner les résultats et s’est contentée d’un
communiqué diffusé à 23 h 13.
FRAUDER)-RÉFÉRENCES OFFICIELLES
LES TEXTES OFFICIELS EN FRANCE
LEURS REJETS CONSTITUTIONNELS AUX PAYS-BAS ET EN
ALLEMAGNE
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/elections/comment_voter/machines-voter
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000636692&dateTexte=
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000438302&dateTexte=
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000341274&dateTexte=
http://news.idg.no/cw/art.cfm?id=003AE63C-17A4-0F78-31DDDC0DCFA62609
http://www.webchercheurs.com/13/1746-fr-vote-electronique-interdit-en-allemagne-anticonstitutionnel.html
http://www.environ.ie/en/LocalGovernment/Voting/News/MainBody,20056,en.htm
Démonstration (Princeton laboratory)
http://www.dailymotion.com/video/x4cl7y_piratage-de-machine-a-voter-2008-u_news
http://cercledesvolontaires.wordpress.com/2012/04/20/machines-a-voter-machines-a-frauder-le-scrutin-presidentiel-est-truque/
-- *********************************************************************** M. Stéphane Garon. Recherches, études, documentations. 51, rue du Rocher, Paris VIIIe. Tel : 01 44 70 02 33 Mail : stephane.garon@wanadoo.fr " Le plus grand dérèglement de l’esprit c’est de voir les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non pas telles qu’elles sont en réalité." Bossuet. " Je préfère la vérité quoique mal polie à une lâche complaisance." Vauban. " Seuls les plus petits secrets ont besoin d'être protégés. Les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique." Marshall Mac Luhan. " Felix qui potuit rerum cognoscere causas." Virgile. " Ceux qui détiennent le pouvoir de décision nous laissent le choix entre écouter des ignorants ou des trompeurs." Maurice Allais. ***********************************************************************
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