Cher Monsieur,
J’ai lu les deux textes que vous m’avez remis hier et je vous en remercie.
J’ajoute Gerhard et Marc-Etienne en copie afin qu’ils lisent la fin de ce message et donnent leur avis concernant l’alinéa 2 de l’art. 173 CP. Et aussi François de Siebenthal et Denis Lambelet rencontrés hier, mais avec lesquels j’ai échangé des messages email ces dernières années.
Il faut bien comprendre que les citoyens qui dénoncent des affaires de corruption par exemple sont condamnés par la justice vaudoise pour diffamation.
Cela a été mon cas quand j’ai dénoncé à fin août 2007 les actes de mon avocat Philippe Reymond à la Chambre des avocats vaudois (Président Blaise Battistolo). Suite aux mensonges déclarés par Me Philippe Reymond j’ai annoncé mes soupçons de corruption en pensant que la justice allait m’aider. Mais ce fût tout le contraire.  
J’avais donné un mandat à Me Philippe Reymond en février 2004 afin qu’il m’aide à comprendre la valeur de la société Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003 (date du décès de mon beau-père, M. Philippe Galland, second mari de ma mère depuis 1955). Je recevais par testament le 10% des actions de Fontatrez Holding SA, qui se nommait Galland & Cie SA avant le 3.1.2002. Mon demi-frère Patrice Galland m’avait fourni la valeur vénale de Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003, soit 1’448’000.- CHF, mais il était impossible d’obtenir les preuves permettant de comprendre ce chiffre.
A fin 2005, j’ai compris que Me Ph. Reymond et M. Michel Nicolet, mandaté par lui, m’avaient caché l’existence d’un compte de titres de 2 millions (valeur comptable) et j’ai retenu le solde de leurs honoraires.  
Philippe Reymond a fait des déclarations écrites depuis mai 2007 et oralement aussi en déclarant à des juges qu’il avait vérifié le contenu des comptes de Galland & Cie SA pour les années 1999 à 2001 et que l’estimation de Galland & Cie SA au 31.12.2001 réalisée par M. Michel Nicolet d’Audict fiduciaire SA était correcte. M. Nicolet avait été mandaté par Me Philippe Reymond, à mes frais. Voir le premier fichier joint. Je contestais les déclarations de Philippe Reymond, mais personne ne m’a écoutée.
L’astuce utilisée par Ph. Reymond : Il n’a jamais produit le contenu des comptes étudiés.
L’astuce utilisée par les juges en 2007-2008 et par le juge d’instruction Stéphane Parrone : Il ne lui ont jamais réclamé le contenu des comptes étudiés et ont déclaré que Me Ph. Reymond avait bien travaillé. Le juge Stéphane Parrone m’a inculpée de diffamation en janvier 2008, sans détenir le contenu du compte de titres de 2 millions (valeur comptable) que j’avais découvert, jamais cité dans les lettres. Pourtant j’avais expliqué au juge Parrone par écrit et lors de mon audience que ce compte contenait des actions de sociétés immobilières jamais citées et jamais estimées. Cela modifiait l’estimation de M. Nicolet et la valeur de Fontatrez Holding SA au 5 juin 2003.
La procédure pénale a été traitée par le juge pénal Philippe Colelough, ami de Me Ph. Reymond ! Lors de la première audience pénale du 4 mai 2009, je me suis fâchée et j’ai réclamé le contenu de la pièce requise no 203, jamais produite, soit « l’inventaire complet des titres de Galland & Cie SA pour les années 1999 à 2001 ». Le juge pénal Colelough a accepté ma demande de réquisition et a suspendu la procédure pénale. Nouvelle astuce : le juge Colelough n’a pas réclamé cette pièce lui-même. J’ai dû demander cela au juge civil. Et le 18 août 2009, Me Rémy Wyler, avocat de Patrice Galland et de la société Fontatrez Holding SA, qui se nommait Galland & Cie SA avant 2002, a déclaré que cette pièce 203 n’a jamais été remise à Me Philippe Reymond. Voir le second fichier joint. En prétendant que cette pièce était sans pertinence (nouvelle grave astuce), cela leur a permis de ne pas en produire le contenu !
Dès le 18 août 2009, les conséquences de cette pièce primordiale cachée par Patrice Galland pendant toute la succession de son père, décédé le 5 juin 2003, ont été étouffées par les juges. Les déclarations de Me Ph. Reymond qui prétendait avoir vérifié le contenu des comptes de titres ont également été étouffées.
Il est impossible à ce jour d’obtenir le contenu de cette pièce primodiale, car les citoyens tels que Patrice Galland et Philippe Reymond sont protégés par la justice. Le fait que Me Ph. Reymond ait dit des mensonges à la justice en prétendant avoir vérifié le contenu des comptes de titres, alors qu’il ne détenait pas la pièce 203, montre déjà que Reymond a aidé Patrice Galland à cacher des biens immobiliers que j’estime à plus de 30 millions de francs suises. La corruption est avérée, mais elle a été étouffée par Colelough.
J’ai été condamnée pour diffamation le 23.9.2010. L’alinéa 2 de l’article 173 CP n’a pas été appliqué ! Cet alinéa dit que « L’inculpé n’encourra aucune peine s’il prouve que les allégations qu’il a articulées ou propagées sont conformes à la vérité ou qu’il avait des raisons sérieuses de les tenir de bonne foi pour vraies ». Certains faits très importants n’apparaissent pas dans le jugement pénal du 23.9.2010 (nouvelle grave astuce réalisée par Colelough).
Cet alinéa 2 n’a pas non plus été appliqué à Gerhard Ulrich et à Marc-Etienne Burdet … Maintenant la justice a dit hier que les faits sont prescrits. Mais personne ne dit que l’alinéa 2 aurait dû être appliqué en 2004, en 2006, etc. Il me semble qu’il s’agit d’une nouvelle astuce !  Merci à Gerhard et à Marc-Etienne pour leur avis à ce sujet.
Vous trouverez ci-joint le texte écrit en mars 2016 par Gerhard Ulrich concernant Colelough. Voir le 3e fichier joint.
A votre disposition pour tout renseignement.  Merci à vous pour le temps consacré à lire mon message.
Meilleures salutations.
PS : Je constate que ces dernières années j’ai eu à faire à de nombreuses personnes se nommant NICOLET ! Je ne sais pas si elles ont un lien de famille. Mais cela m’intrigue. Par exemple : Marc et Michel Nicolet d’Audict Fidiciaire SA. Un autre Marc Nicolet responsable du service des impôts qui a également refusé de réclamer le contenu de la pièce requise no 203. Mme Carole de Crousaz Nicolet, juge de paix du District de lavaux-Oron, qui a décidé de m’expulser de mon appartement le 28.11.2014 et qui a accepté les fausses déclarations de la société soi-disant propriétaire de l’immeuble du ch. de Mallieu 7 à Pully dans lequel j’habitais depuis 1987 (immeuble qui appartenait probablement à Galland & Cie SA … au 5 juin 2003). Jacques Nicolet, Président du Grand-Conseil avant de devenir Président de l’UDC Vaud. Gerhard Ulrich cite aussi un juge nommé Nicolet … Qu’en pensez-vous ?
Michèle Herzog
Rue St-Georges 10
CH-1091 Grandvaux
Traduction »