Les catastrophes de Fukushima ou du golfe du Mexique, collatérales de Stuxnet ?
Voici des guerres invisibles et imprévisibles, aux conséquences désastreuses et bien réelles, pouvant même aller jusqu’à une explosion nucléaire !
Des guerres cybernétiques totales.
Symantec, société spécialisée dans la protection informatique, écrit dans son 15e rapport annuel qu’elle a répertorié plus de 240 millions (sic) nouveaux programmes méchants rien que cette année.
Ils
sont passés à des campagnes d’espionnage, de chantage et de
destructions très rusées qui visent les plus importantes sociétés
mondiales.
« (…)
Ces attaques constituent un problème d’envergure internationale qui
requiert la coopération du secteur privé et des gouvernements du monde
entier», déclare StephenTrilling, vice-président d’Internet Security
Technology, co signataire du rapport.
Exemple de Stuxnet :
Stuxnet,
qui se reproduit et se diffuse spontanément, vise à reprogrammer, puis à
prendre le contrôle des systèmes de régulation de ces installations,
pour les saboter (PLATFORME PéTROLIèRE, centrale nucléaire, barrage,
CHUV, raffinerie, système de contrôle aérien, élections, votations ).
La
cyber-guerre contre l’Iran continue. Aucune solution n’a apparemment
été trouvée pour l’enrayer. Les tentatives pour contrer le virus n’ont
fait que le renforcer.
L’agence d’information iranienne, a publié le 27 septembre ce texte:  
«Nous
surveillons et contrôlons le développement du virus. Nous avions prévu
de l’éliminer en deux mois, mais il n’est pas stable, et au moins trois
nouvelles versions sont apparues depuis que nous avons commencé les
opérations de nettoyage».
Il
y aurait plus de 30.000 ordinateurs infectés en Iran. Le virus
attaque les systèmes Siemens qui contrôlent des oléoducs, des centrales
électriques et nucléaires notamment. On se pose aussi la question si la
catastrophe du golfe du Mexique n’est pas due à ce virus en mutation ?
Le virus a déjà modifié le fonctionnement de nombreuses installations et peut même provoquer leur destruction !
On
n’arrive plus à maîtriser vraiment et à coup sûr ces virus mutants qui
se tapissent dans l’ombre des claviers, des imprimantes, de
périphériques divers, des couches et sous-couches multiples, des clés
USB, des BIOS, des prom etc.
Des observateurs pensent qu’il n’a pu être créé que par une équipe militaire.
On sait qu’Israël ne cachait pas sa volonté de ralentir le programme nucléaire iranien…
Voici
une guerre invisible, on passe sous silence cette guerre aux
conséquences désastreuses et bien réelles, pouvant même aller jusqu’à
une explosion nucléaire….
Indices probants :
La reine Esther frappe Aman, pardon, Ahma(n) dinejad, alias Ahmadinejad, par le biais d’un virus destructeur.
Israël a bien implanté Stuxnet dans les systèmes informatiques iraniens, afin de notamment paralyser centrifugeuses et autres centrales nucléaires.
STUXNET
est programmé pour provoquer notamment l’autodestruction d’une fonction
critique particulière, par exemple le déverrouillage de la vitesse de
rotation des turbines, ou provoque aussi notamment l’arrêt du processus
de lubrification ou encore le blocage de systèmes de vannes, tout ceci à
un instant programmé pour provoquer le maximum de dégâts.
Dans ce programme, une ligne a notamment mis la puce à l’oreille des biblistes. Il s’agit de: c:myrtussrcobjfre_w2k_x86i386guava.pdb
Voici une symbolique biblique dans le virus.
Selon
le New York Times, on y retrouve le myrte , soit myrtus en latin, un
terme présent dans l’Ancien Testament pour décrire la façon dont le
peuple juif a déjoué un projet d’invasion des Perses.
Des
chercheurs de Symantec y ont depuis découvert d’autres références,
notamment à l’un des leaders de la communauté juive iranienne, Habib
Elghanian, exécuté en 1979. La date de son exécution permettrait
notamment d’ agir sur ce virus.
Selon
plusieurs spécialistes des attaques informatiques, le virus Stuxnet est
le malware le plus sophistiqué jamais mis au point. Il vise
majoritairement le réseau iranien avec 60% des infections.
Esther est appelée aussi Hadassa.
Le mot « סטוקסנט », en hébreu Stuxnet, ressemble à AKAMASOAD selon le clavier QWERTY.
Myrte se dit Hadass qui est concaténé dans AKAMASOAD. comme b:myrtussrcobjfre_w2k_x86i386guava.pdb s’est infiltré dans Stuxnet.
Voici
un rappel subtil et trinitaire des trois patriarches, vu la façon dont
poussent les feuilles du myrte, d’un même point sortent trois feuilles
et proviennent chacun d’une même source qui est l’image d’ Hachém.
Pour les juifs, ce nom — dont la vocalisation…n’est plus connue par eux — ne doit pas être prononcé. 

En revanche, les chrétiens (comme le chanoine Crampon)
l’ont parfois transcrit dans les traductions par « Yahvé », « Yahweh »
ou « Jehovah », en le prononçant. Cependant, depuis le début du
xxie siècle, l’Église catholique préconise de remplacer “YHWH” par l’appellation « le Seigneur »5,6

Pour les Suisses burgondes grâce à st Materne, la pronociation est IEshOUA, IOA, en cercle.
La
grande prière était dite par les armées suisses (Walser-burgondes) la
nuit avant les batailles de défense, dès que 3 étoiles étaient visibles
dans le ciel, femmes et hommes ensembles au combat. Ils ont sauvé
plusieurs fois l’Europe de grandes invasions païennes.

Chaque unité
avait son lecteur éclairé par des torches.




Tous,
sauf les lecteurs et les luminaires, étaient debout pour les textes, à
genoux pour les deux Notre Père et Ave Maria, couchés face aux étoiles
aux 3 Notre-Père des parties impaires et couché face à terre pour la
2ème partie, celle du Christ en croix, et tous debout aux autres
prières.

Chaque
fois qu’il y a 5 prières, on chante I E O U A avec les 3 noms des 3
personnes la Trinité qui ont donné le chant du LIOBA ( IOA, I E sh O U
A, Alleluia, Abba)  qui était chanté en final pour accepter la mort et
obtenir le ciel, avec le Christus Vincit en latin tous en choeur à trois
voix et cinq tonalités circulaires et répétitives I E O U A, la gorge
qui s’ouvre cinq fois pour donner en insistant sur les 3 voyelles I O A
en plus soit le 8 de l’infini au total. Le nom de Dieu n’est que les 5
voyelles avec le L de L’ alleluia du St Esprit qui souffle comme il veut
et donne la première vraie consonne.
Le Shin de l’humanité au milieu de IE sh OUA est à la fois voyelle et consonne…
Ste
Anna et
St I E O U A Kim ( Joachim) étaient priés en secret pour
accepter les blessures.( voici la raison des nombreux hôpitaux St Anne
dans les alpes).

Chaque fois qu’il y a sept prières, on demande les sept dons du St Esprit.

Au
nom Longin, le commandant embrasse la lance de Bourgogne, qui contient
un clou de la croix et qui est le prototype de la lance du Légionnaire
originaire la Gaule qui s’est converti en voyant le Christ mourir sur la
Croix.
( cette lance est à Vienne, une copie au moins est à Cracovie)


Il
fallait huit personnes en rond pour donner le ton à l’armée rangée en
ordre de bataille dans la nuit, voix masculines ET féminines
mélangées.


Les Burgondes étaient connus pour ne jamais violer les femmes, même à la guerre, ce qui est miraculeux…




L’héritage de St SigisMund


Tous
les chrétiens ont reçu de par l’onction du baptême, complété par la
chrismation ou confirmation, le sacerdoce baptismal qui les fait «
prêtres, prophètes et rois ». En outre le sacrement de l’ordre donne à
certains de ses membres un sacerdoce ministériel. Ces deux sacerdoces
sont différents et complémentaires.
« Alors que le sacerdoce commun des
fidèles se réalise dans le déploiement de la grâce baptismale, vie de
foi, d’espérance et de charité, vie selon l’Esprit, le sacerdoce
ministériel est au service du sacerdoce commun, il est relatif au
déploiement de la grâce baptismale de tous les chrétiens ». (Instruction
sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au
ministère des prêtres, Libreria editrice vaticana, cité du Vatican
1997) .


Tous
sont égaux en démocratie directe



ahabà (amour agape dans la première
alliance) a a  a, 3 voyelles a plus h et b,

a, gorge grande ouverte,
symbole divin, A, alpha, allah….

b, symbole du papa

aba (
papinou),

H, inspiration, expiration, vie, lettre donnée à Abraham et à
Sarah…

abram, abra h am, sara, …


Que
ton Nom soit sanctifié, pour le sanctifier, il faut le chanter…
nous
savons maintenant que son nom est compris dans le L io b a suisse, qui
est en fait la prière de l’aube à Dieu, IOA, qui a donné l’aube, LIOBA,
est ce fameux chant attirait les vaches vers le père de famille chaque
matin.


I
E O U A,
que des voyelles de la bouche qui s’ouvre toujours plus en un
souffle et qu’un nouveau né peut dire.
soit articulé en manière
trinitaire

I O A

le Père,

I E sh O U A   le Fils, avec sh, le shin
qui signifie l’humanité en Dieu et

A ll E U I A le St Esprit, avec 2 L,
car il souffle comme il veut


Malachie,
fin de la première alliance, finit en disant:
Il ramènera le coeur des
pères à leurs enfants, Et le coeur des
enfants à leurs pères, De peur
que je ne vienne frapper le pays
d’interdit.
et la nouvelle alliance
commence par une généalogie de pères et de fils…
Le monde moderne fait
exactement le contraire, il tue les lignées, les mariages,
l’amour…
Choisi la Vie, ou la mort…
De peur que je ne vienne frapper
le pays d’interdit



Et le nouveau Testament commence justement par le récit d’une lignée…


I E shO U A, (Matthieu 24.36)
I E O U A Shalaom….
I E shO U A Shalaom
A ll E l UIA Shalaom
I O A



SI QUA FATA SINANT ( devise de la Cathédrale de Lausanne, dédiée à sauver les embryons, oculos humeris, dans le vitrail de la rose, à 3 heures…)

Cette
simplicité, c’est l’Abbé Bovet lui même qui en parle le mieux lorsqu’il
évoque sa Suisse natale : « Mon Pays que j’ai servi à ma manière, de
tout mon coeur, en le célébrant par mes chansons. Mon Pays que je
continue à chanter jusqu’au dernier souffle de ma vie. Car il est vrai
de dire que ce peuple, je l’ai aimé et je l’aime profondément. Mon but,
en écrivant des chansons pour lui, a été de lui donner de la joie, de
l’aider dans son labeur de tous les jours, de faire luire à ses yeux
sans qu’elle s’éteigne, la flamme généreuse de l’espérance, du courage,
de l’optimisme. C’est cela que j’ai voulu. J’y ai mis tous mes efforts
et toute ma foi. J’y ai mis une sincérité rigoureuse. Ai-je réussi ma
tâche ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas, mes chansons,
je ne les ai pas écrites comme un simple compositeur, mais comme un
prêtre aussi, et ce fut là mon ministère et mon apostolat. »

Le
compositeur des alpages ne devrait pas éclipser le compositeur de
Musique Sacrée, mais son succès en a décidé autrement. On se fera une
opinion avec « Nouthra Dona di Maortse » (Notre-Dame des Marches, lieu
de pélerinage suisse), pièce toute empreinte de piété populaire, mais ô
combien priante. L’Abbé Bovet y révèle un phrasé à la fois coulant,
dynamique, et plein de dévotion [La Procure peut vous fournir une
version bilingue de cette pièce].

Nouthra Dona di Maortse
vivement
recommandé de l’écouter…

NOUTHRA DONA DI MAORTSE – Joseph Bovet (1879 – 1951)


Nouthra
Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous avons raison de compter
sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre
fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon
chemin.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Il a
beaucoup passé dans votre petite chapelle,
des gens qui y ont prié, de
ceux qui y ont pleuré.
Sur votre belle hauteur, ils ne vous laissent pas
seule,
ceux qui ont des soucis ils viennent vous appeler.


Nouthra
Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Venez nous aider nous avons
très besoin,
pour faire toujours bien comme il faut ce qu’il faut.
Il
nous semble quelquefois que le ciel est tellement haut,
que nous
pourrons jamais grimper jusque làhaut.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra
Dona di Maortse!

Quand il faudra mourir c’est vous qui faut nous
prendre,
nous vous avons tant dit qu’il faut pas nous oublier.
D’ici pas
trop longtemps laissez nous attendre,
devant le paradis sans y nous
faire entrer.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous
avons raison de compter sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais
moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous
garder dans le bon chemin.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di
Maortse!

La grande prière des confédérés suisses
Histoire d’ Esther ou de Pourim
La
troisième année de son règne, Assuérus (Xerxès Ier, fils de Darius) a
répudié sa femme Vachti sur les conseils d’Aman. Il cherche une
nouvelle femme et fait réunir plusieurs belles jeunes filles. Parmi
celles-ci, Esther, la seule à ne faire aucun effort pour plaire au
roi, attire les sympathies de tous et est choisie. C’est une orpheline
juive, élevée par son oncle Mardochée. Elle devient reine et, suivant
le conseil de Mardochée, ne fait pas connaître son origine.
Mardochée
découvre un complot contre le roi et l’en prévient par le truchement
d’Esther. Or Assuérus a élevé Aman au plus haut rang de la hiérarchie,
et tout le monde doit se prosterner devant lui. Mardochée refuse.
Courroucé contre Mardochée, Aman veut exterminer tous les Juifs. Il
procède à un tirage au sort qui désigne le 13 Adar comme date propice
au massacre. Il les dénigre auprès du roi, le persuade de donner son
accord, et, le manipulant, obtient de lui les pleins pouvoirs et un
décret royal d’extermination de tous les Juifs. Ce décret est publié
dans la totalité de l’empire et annonce que toute la population doit
se tenir prête à la date susdite (il y eut en fait 2 décrets : un à
destination des notables, qui demandait de préparer minutieusement
l’extermination totale des Juifs, et l’autre adressé à toute la
population, lui enjoignant de se tenir prête à la date fixée, sans autre
précision).
Mardochée
fait dire à Esther d’intercéder auprès du roi pour sauver son peuple.
Après quelques hésitations, elle accepte mais lui demande de faire
décréter d’abord un jeûne de trois jours dans la communauté juive de
Suse. Le troisième jour, Esther, au péril de sa vie (ne peut se
présenter devant le roi que celui qui y est appelé), invite le roi et
Aman à une fête intime. Au cours du banquet, Assuérus lui demande ce
qu’elle désire et Esther ne répond pas. Elle lui dit qu’elle lui fera
connaître sa requête le lendemain, lors d’un autre banquet où elle
invitera également Aman.
Aman
sort du banquet royal gonflé d’orgueil et de joie. Croisant Mardochée
qui ne s’incline pas devant lui, il est pris d’une fureur
irrésistible. La nuit même, il érige une potence et attend le lever du
jour pour recevoir du roi l’autorisation d’y pendre Mardochée. La
même nuit, Assuérus, ne comprenant rien à la signification du dîner
offert par Esther, est inquiet et ne parvient pas à s’endormir. Il
ordonne à ses serviteurs de lui lire les Annales. Comme par hasard, le
livre est ouvert à la page où est consigné le bienfait de Mardochée,
c’est-à-dire la découverte d’un complot contre le roi.
Le
roi veut le récompenser au plus tôt. A l’aube, Aman se présente
devant le souverain qui, ne lui laissant pas le temps de formuler sa
requête, veut connaître quelle rétribution il proposerait pour un
homme de mérite. Aman, croyant qu’il s’agit de lui-même, propose qu’on
le fasse chevaucher en tenue royale dans la capitale pendant qu’un
dignitaire proclamerait à ses côtés : « Voilà ce qui se fait pour
l’homme que le roi veut honorer ! » Assuérus dit à Aman que les
honneurs sont destinés à Mardochée et que le dignitaire sera Aman en
personne. L’ordre est exécuté.
Sans
avoir eu le temps de se remettre de sa honte, Aman doit se rendre au
deuxième banquet d’Esther. Au cours de celui-ci, Esther révèle au roi
qu’elle est juive et accuse Aman de tramer un complot contre la reine
et son peuple. Assuérus, sous l’effet de la surprise, est pris d’une
rage folle (il avait déjà donné son accord à Aman). Dans son désarroi,
il quitte la salle. Aman, saisi de panique implore la pitié d’Esther
et trébuche sur le divan. Le roi revient et, croyant qu’Aman faisait
la cour à la reine, se fâche de plus belle. Un serviteur révèle
qu’Aman avait préparé une potence pour Mardochée (qui avait sauvé la
vie du roi) et, immédiatement, Aman y est pendu. Assuérus, apprenant
que Mardochée est l’oncle de la reine, le nomme premier vizir à la place
d’Aman.
Sous
l’influence d’Esther et de Mardochée, le roi établit de nouveaux
décrets proclamant le 13 Adar comme journée d’autodéfense pour les
Juifs. Le 14 Adar, lendemain de la victoire, devient, à la place d’un
jour de deuil, un jour de fête. Tous ces faits sont consignés par
Mardochée et Esther dans un mémoire s’intitulant la Meguila (le
rouleau) d’Esther.
Source :


Embryon humain sauvé et racheté dans les vitraux de la rosace de la cathédrale de Lausanne. Oculos humeris.

La science a établi de manière certaine que l’embryon est un homme, une personne au moins dès la fécondation.

1.
L’être humain, avec son individualité et toutes ses potentialités, est
présent dès le premier instant de la vie embryonnaire (ovule fécondé,
accidentellement son équivalent uni- ou pluricellulaire). Il s’agit
d’une évidence pour l’homme de science contemporain.
2.
L’être humain se distingue des autres êtres vivants par le fait qu’il
est corps et esprit. À ce titre, chaque être humain est une personne
unique pleine de dignité et de liberté, qu’on ne peut réduire à un
animal ou un objet matériels.
3.
L’embryon humain possède la dignité et les droits fondamentaux reconnus
à l’être humain. On ne peut porter atteinte à son intégrité ni le
détruire, que ce soit intentionnellement ou par négligence. Construire
pour l’embryon un statut artificiel, au gré de nos désirs, d’une
idéologie, au gré des besoins de la science ou de ceux de la société,
constitue un détournement irrecevable de la raison.
4.
Toute destruction ou atteinte à l’intégrité d’un être humain sous le
prétexte de son âge, de son sexe, de sa race, religion, maladie ou
infirmité, est à rejeter et prohiber.
5.
La science et la technique ne sauraient s’engager dans une recherche
qui ferait fi de la dignité et des droits fondamentaux d’un être humain.
Une prouesse de la médecine, si prometteuse qu’elle puisse paraître,
n’est pas, en tant que telle, licite. L’admettre reviendrait à consacrer
le droit du plus fort.
6.
La législation en ces matières ne peut se satisfaire de faits accomplis
ou de perspectives séduisantes. Elle doit prendre en considération
aussi des normes éthiques, compatibles avec les exigences de l’être
humain.
7. Le
mariage et la famille sont le cadre naturel de la transmission et du
développement de la vie humaine. Ces institutions donnent à l’enfant
protection, sécurité et la formation qui lui sont indispensables.
Garantir leur valeur demeure la tâche fondamentale de la société.
8.
Finalement, ces principes ne ressortissent pas à telle croyance, telle
morale, ou telle éthique particulières; ils s’appuient avant tout sur un
bon usage de la raison.
La science a établi de manière certaine que l’embryon est un homme, une personne au moins dès la fécondation.
Les personnes spirituelles vont même plus loin, notamment St Thomas d’Aquin:
Dès qu’il y un corps humain, il y a une âme, donc une personne humaine.
Voir les démonstrations scientifiques dans le livre:
L’embryon : un homme, de la Société suisse de bioéthique (SSB).
Par exemple, selon St Thomas d’ Aquin, il y a âme humaine dès qu’il y a un corps humain.
Cf. Prof. Jean de Siebenthal : L’animation selon Thomas d’Aquin (p. 91-98).”
Le raisonnement scientifique est encore juste, les connaissances de l’époque étaient fausses.
En cas de doute, celui-ci profite à “l’accusé”, en l’occurence innocent.
En
1991, on a affirmé au parlement qu’il n’y aurait pas d’embryons
surnuméraires et que le don de sperme pourrait toujours être interdit
ultérieurement.

… on avoue désormais l’existence de milliers d’ embryons surnuméraires et que ceux-ci peuvent être utilisés à des fins de recherche.

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