BANKSTER

« Vol au-dessus de tout soupçon »

FMI, RESERVE FEDERAL, BANQUE CENTRALE, DEMOCRATIE, DIRIGEANTS, GOUVERNEMENT,

SERVICE PUBLIC, TVA, IMPOTS, FISC.

COMMENT FRACASSER CHAQUE AGENCE BUREAUCRATIQUE CONFISCATOIRE DE
MONNAIE CONNUE A CE JOUR ?

… un livre d’Économies Spirituelles sur les $$$

et

se souvenir de qui on est.

Dédicace

Pour mes enfants : A & A

Reconnaissance

Je n’aurais pas pu écrire ceci sans l’assistance et l’autorisation de Mary Elizabeth Croft. Ce livre est adapté, traduit et inspiré de ses écrits.

Aucun déni ni démenti

Il n’y a aucun déni ni démenti dans ce livre parce que le lecteur apprendra que nous sommes tous responsables de notre perception et de l’interprétation de tout et de n’importe quoi que nous puissions éprouver. Je n’ai aucune intention de désavouer n’importe lequel de mes écrits. Ce que je vous dis vous permettra peut- être, MAINTENANT, de changer d’avis sur votre façon de mener vos affaires. N’importe quel lecteur de ce livre est assez sage pour suivre son propre conseil et par conséquent reconnaît que je ne peux dire et ne dirai jamais à quiconque quoi faire.

Personne n’a jamais commis le suicide en lisant un bon livre, mais beaucoup se sont suicidés en essayant d’en écrire un. – R. Byrne

CONTENU
Avant-propos …………………………………………. Page 4
Notes …………………………………………………….. Page 9
Préface ………………………………………………….. Page 11
Prologue ………………………………………………… Page 12
Introduction …………………………………………… Page 19
Chapitre 1
CE QUI S’EST PASSÉ ………………………………….. Page 20
Chapitre 2
COMMENT C’EST ARRIVÉ …………………………. Page 41
Chapitre 3
CE QUI S’EST VRAIMENT PASSÉ……………… Page 137
ÉPILOGUE………………………………………………….. Page 194
RÉSUMÉ…………………………………………………….. Page 206
Contactez l’auteur / bibliographie…………………… Page 208

AVANT-PROPOS

J’avais renoncé à écrire ce livre à cause de la réaction des gens quand je mentionnais le « Jeu du Commerce ». La plupart, ayant renoncé à entendre le message, voulaient à présent ‘tuer le messager ’parce qu’ils ont été trop abusés et escroqués par les présumées ‘autorités ’ainsi leurs vies entières étaient trop douloureuses à contempler. Ceux sans aucun œil pour voir ni oreilles pour entendre ont voulu argumenter avec moi. Beaucoup d’entre eux soutiennent être informés, cependant après discussion complémentaire, ils admettent ne pas vraiment savoir.

Notre esprit est de 3 catégories : ce que nous savons, ce que nous ne savons pas, et ce que nous ne savons pas que nous ne savons pas. Ne pas savoir est fâcheux ; ne pas savoir que nous ne savons pas est tragique. – W. Erhart.

Quelques-uns savaient réellement que le système bancaire était frauduleux et pourtant ils se sentaient déjà battus. Ils demeuraient une partie du problème en refusant de devenir une partie de la solution.

L’ignorance ultime est le refus de quelque chose au sujet duquel vous ne savez rien et refusez d’investiguer. – Dr. Wayne Dyer

J’ai conclu que, malheureusement, très peu de gens souhaitaient vraiment entendre comment devenir libre, cesser d’identifier avec leurs fausses croyances, faire ce qu’ils veulent vraiment faire (au lieu de ‘travailler pour vivre’) et vivre dans la joie qui est-ce pourquoi nous sommes conçus. Je me suis senti comme si j’étais mon propre groupe minoritaire – Je voulais vraiment savoir ce que je ne savais pas que je ne savais pas. La plupart préfèrent la sécurité à la liberté. Comme la plupart des gens identifient et analysent avec leurs croyances, les abandonner reviendrait à exposer leurs peurs, ‘qui est-ce que je SERAIS ?’ S’ils devaient ouvrir leurs esprits, lâcher leurs notions préconçues et leurs préjugés psychologiques, laisser courir le concept que leurs croyances sont qui ils sont, ils peuvent en ressortir éclairés.

Des millions de gens inconscients ne prennent pas en compte la responsabilité de leur paix intérieure. – Eckhart Tolle.

Inutile de dire que le fait de suggérer que nous ayons été persuadés de jouer à un jeu insidieux qui détruit nos vies, notre futur, notre camaraderie, notre spiritualité et notre vraie nature, rencontrera forcément des esprits non réceptifs. Par conséquent, dans l’exaspération d’une nuit, je me suis dit que mon livre serait futile. Un gaspillage de mon temps et de mon énergie. Je me suis convaincu de remettre mes efforts dans le développement de mon mental et de mes connaissances. Le soir même, j’ai été réveillé par une voix dans un songe qui disait « Enseignements Oraux Secrets ». Je me suis dit, « je vais m’en rappeler » et j’ai essayé de me rendormir. Un peu plus tard dans la nuit, j’ai entendu à nouveau “Enseignements Oraux Secrets”, à un tel point que j’ai sauté hors de mon lit pour consulter mes livres et mettre la main sur un petit livre brun que j’avais possédé pendant ma jeunesse sans ne l’avoir jamais lu, intitulé, Enseignements Oraux Secrets Tibétains dans les Sectes Bouddhistes par Alexandra David-Néel et Lama Yongden. Dans les huit premières pages, j’ai découvert l’hésitation du Bouddha, avant de commencer Sa Mission :

“J’ai découvert une vérité profonde, difficile à percevoir, difficile à comprendre, accessible seulement au sage.”
“Les êtres humains sont tellement occupés dans le tourbillon du monde et y trouvent leur plaisir. Ce sera difficile pour les hommes de comprendre la loi de la concaténation de causes à effets, la suppression du samskaras” (les idées que certains se créent en se basant sur de fausses croyances, l’ignorance).
“Quel est l’utilité de révéler aux hommes ce que j’ai découvert au prix d’efforts laborieux ? Pourquoi est-ce que je devrais le faire ? – Cette doctrine ne peut pas être comprise par ceux qui sont remplis par le désir et la haine… C’est mystérieux, profond ; caché de l’esprit vulgaire. Si je le proclame et que les hommes sont incapables de le comprendre, le seul résultat sera fatigue et contrariété pour moi.”
Brahma Sahampati exhorte le Bouddha de conquérir à Son hésitation :
” Que le Vénérable prêche la Doctrine ! Il y a des êtres humains dont les yeux spirituels sont à peine foncés par une légère poussière, ceux-là comprendront la Doctrine. Dans la terre de Magadha une fausse doctrine a prédominé jusqu’aujourd’hui, élaboré par des hommes dont les esprits ont été contaminés (par

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l’ignorance). Maintenant ouvre à eux la porte de l’Immortalité” (littéralement, de l’immortel).
“Survenez, O victorieux ! Voyagez à travers le monde, Quelques-uns vous comprendront.”
Le Bouddha insista fortement sur la nécessité d’examiner les propositions qu’il avançait et de les comprendre personnellement avant de les accepter comme « vérité vraie ». Les textes anciens ne laissent aucun doute sur ce point :
“Ne croyez pas aux vertus des traditions même si elles ont été défendues avec honneur durant plusieurs générations et dans beaucoup de lieux ; ne croyez pas quelque chose parce que beaucoup de gens en parlent ; ne croyez pas en la force des sages du vieux temps ; ne croyez pas ce que vous avez vous-même imaginé, en pensant qu’un dieu vous a inspiré. Ne croyez rien qui dépend seulement de l’autorité de vos maîtres ou de prêtres.
Après investigation, croyez ce que vous avez vous-même testé et trouvé raisonnable, et qui est bon pour vous et les autres.”
“Le doute est une incitation à la recherche, et la recherche est le chemin de la vraie connaissance.”
“Pourquoi est-ce que ces préceptes sont secrets ? Est-ce que cela veut dire que je ne peux pas écrire ou parler d’eux ?” “Non, ces préceptes ne sont pas appelés ‘secrets’ parce qu’il est défendu d’en parler. Ils sont ‘secrets’ parce que si peu de ce ceux qui les entendent les comprennent.”

J’en ai conclu qu’il était de ma responsabilité d’écrire ce livre.

***

Immédiatement j’ai commencé à écrire, cependant d’une perspective complètement différente de mes tentatives antérieures. Vous trouverez le résultat de cette inspiration ci-dessous. Je souhaiterais que vous reteniez la suggestion du Bouddha – “Enquêtez, croyez ce qui est raisonnable pour votre bien et celui des autres.”

***

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Vérité

La commotion initiale d’une vérité est directement proportionnelle à l’ampleur du mensonge et à la profondeur de son point d’ancrage (la profondeur à laquelle il fut crû). Ainsi, ce n’était pas le fait que la terre soit ronde qui a agité les gens mais bien le fait que le monde n’était pas plat.

Quand un tissu de mensonges bien emballé a été vendu progressivement aux masses pendant des générations, la vérité paraîtra complètement absurde et son représentant un fou furieux. – Dresde James.Chaque esprit progressif est opposé à un millier d’esprits médiocres nommés pour protéger le passé. – Maurice Maeterlinck
Le mépris, avant enquête complète, asservit les hommes à l’ignorance. – Dr. John Whitman Ray
Par temps de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. – George Orwell.Si vous voulez fâcher quelqu’un, mentez-lui; si vous voulez le rendre furieux, dites-lui la vérité.

Toute vérité passe par trois étapes. En premier, elle est ridiculisée, en deuxième on s’oppose à elle violemment, et troisièmement, elle est acceptée comme évidente en soi. – Arthur Schopenhauer philosophe, 1788-1860.Aussi rare que la vérité soit, son offre a toujours surplombé sa demande. – Billings J
Ne confondez pas votre opinion avec la vérité. – Werner Erhard.Rare est la personne qui souhaite entendre ce qu’elle ne veut pas entendre. – Dick Cavett
Pour un lemming humain, la logique derrière une opinion ne compte pas autant que le pouvoir et la popularité derrière une opinion. – Livergood normand ?
Si la vérité est si laide que ça – et elle l’est – nous devons alors nous méfier du chemin que nous empruntons pour dire la vérité. Mais dire d’une certaine façon que raconter la vérité devrait être évité parce que les gens pourraient y répondre de façon négative me paraît bizarre à moi. – Chuck Skoro, diacre, L’Église catholique de St. Paul.Néo: Quelle vérité ? Morphée: Que vous êtes esclave, Néo. Que vous, comme tous les autres, êtes nés dans l’esclavage… Vous êtes resté à l’intérieur d’une prison que vous ne

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pouvez pas sentir, goûter, ou toucher. Une prison pour votre esprit.

– Matrix
Acceptez-le ou refusez-le; mais vous devez le savoir.
Nous ne servons personne en retenant l’information. Nous ne nous servons pas nous-mêmes en refusant d’enquêter. Le manque d’information n’a jamais aidé qui que ce soit. L’information exacte nous autorise des options ; nous pouvons choisir d’agir en fonction d’elle ou choisir de l’ignorer, mais ne pas savoir ne nous aide pas. Alors mettez donc de côté vos notions préconçues, vos mécanismes de défense psychologique et vos préjugés. Saisissez cette chance d’imaginer ce que pourrait bien vous accorder une complète liberté économique, émotive et spirituelle.
Tout cours “Logique” enseignera qu’un système de pensée et de réflexion complètement logique aboutit à une conclusion logique. Cependant c’est actuellement inexact parce que basé sur une fausse prémisse. L’esprit paraît ne pas se soucier de réagir à quelque chose de faux à partir du moment qu’il se sent certain de ce fait en soi. Ainsi, le meilleur positionnement pour apprendre est ‘l’incertitude’
– ‘le questionnement’.
Pouvons nous nous permettre d’être si arrogant et de prétendre que nous savons quelque chose que nous ne savons pas en réalité, alors que le fait de le savoir pourrait transformer nos vies. – Werner Erhard.
Beaucoup de gens ont vu leurs vies ruinées alors qu’ils auraient pu le prévenir…
Mais uniquement par la volonté d’ouvrir leurs esprits.

NOTES

J’ai utilisé des abréviations pour les noms tels que les agences gouvernementales à savoir :

$$$ – Ce que nous décrivons et pensons communément comme ‘monnaie’.Monnaie/Argent – Quelque chose d’une intrinsèque valeur, plus en existence depuis 1933

Fisc / CRA – Services des revenus internes / Agence du Revenu FRB / BCE – Banque et réserve fédérale / Banque centrale européenne
FRN / BCN – La réserve fédérale de billet / Banque des billets du Canada
USD / CAN / EUR – US Dollar / Dollar Canadien / Euro Dollar USA / CA / EU – les corporations USA / CANADA / EUROPE USG – Corporation privée, étrangère et belligérante qui se masque sous le nom de gouvernement des Etats-Unis.

CAG – Corporation privée, étrangère et belligérante qui se masque sous le nom de gouvernement canadien.
UE – Corporation privée, étrangère et belligérante qui se masque sous le nom de Union Européenne.
UCC – Code uniforme de commerce. Règles pour le commerce et les lois contractuelles. La seule loi en vigueur aujourd’hui.UCC-1 – Déclaration de finance, classée aux USA
PPSA – Accord sur la Sécurité de la propriété des Biens personnels. Une Déclaration de Financement.
EFT – Transfert de fonds électronique
FMI – Fonds Monétaire International / Banque du Monde / Vatican / Couronne (section privée de Londres, Angleterre)
PTB – Pouvoir-en-place / Sionistes / Illuminati / maçons / élite / la matrice / NWO (nouvel ordre mondial)/ Banquiers internationaux SSN / SIN – Numéro de sécurité sociale / Numéro d’assuré social (numéros socialistes)
SS / CP – Sécurité sociale / Pension du Canada
BAR – Bureau de l’Accréditation de l’état civil / régence britannique, l’Agence qui accorde une carte de la BAR aux avocats, ne pas confondre avec une ‘licence de pratiquer la loi.’
Banksters – Entités publiques / agences du gouvernement / bureaucrates qui confisquent les fonds, propriétés, et fonds de tiroirs

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des gens pour rassembler l’intérêt sur la dette due à la Faillite Involontaire des USA/CA et de l’UE dont le but est le contrôle total de la population mondiale et de ce qu’elle possède.

ACIM/UCEM – Un Cours de Miracles par La Fondation pour la Paix Intérieure (trois textes spirituels)
Intuition – S’élever / l’esprit sain / anges / niveau de conscience supérieur / guide universelle / haute Intelligence universelle / ‘boyau’ du Savoir Inconscient et collectif / Entremetteur Spirituel entre le Créateur et moi / La Source.

PRÉFACE

Un homme et une femme se rencontrent à une célébration festive un vendredi soir et sont immédiatement attirés l’un vers l’autre. Après quelques bavardages superficiels, il l’invite chez lui où elle reste finalement pour passer le week-end entier. Le sexe fut bon ; la conversation fabuleuse. Ils ont discuté de leurs points de vue respectifs sur n’importe quel sujet concevable ; ils ont ri, ils ont évoqué des souvenirs d’enfance, d’école et d’amants antérieurs. Ils ont parlé des membres de leur famille ; ils ont décrit leurs intérêts en détail ainsi que leurs occupations et leurs amis. Pendant toute la durée de ces conversations intimes, ils ont fait l’amour. Il était un cuisinier fabuleux et après être allé au marché du samedi matin, il a concocté des repas somptueux pour le reste du week-end en sa compagnie. Chacun mentionna ce qu’il ou elle désirait trouver chez un compagnon et l’autre corroborait. Ils ont même parlé d’un futur ensemble. Dimanche à l’heure du brunch, chacun avait déjà admis se sentir comme s’il/elle avait connu l’autre depuis toujours, peut-être même avant cette vie. En effet, ils avaient chacun trouvé leurs âmes sœurs respectives. Après le dîner du Dimanche soir, quand leur week-end le plus extatique allait se terminer, Ils se blottirent ensemble pour regarder un film romantique, Ils se promirent de ne jamais se séparer l’un de l’autre, et elle lui demanda alors, “Combien d’argent est-ce que tu gagnes ?” Sa réponse fut : “Ca ! C’est personnel.”

Qu’est ce qui se passe avec $$$ qui nous empêche d’être l’un avec l’autre ? Je suggère que $$$ est la plus éblouissante évidence de notre fausse croyance, celle qui consiste à penser que nous sommes séparés et distants l’un de l’autre.

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PROLOGUE

Deux grands mystères dominent notre vie. L’amour et l’argent. “Qu’est-ce que l’amour ?” est une question qui a été infiniment explorée dans les histoires, les chansons, les livres, les films, et à la télévision. Mais on ne peut pas en dire autant pour la question “Qu’est-ce que l’argent ?”. Il n’est pas étonnant que la théorie monétaire n’ait pas inspiré de films à gros budget. Mais on ne la mentionne même pas dans les écoles où la plupart d’entre nous sont allés… Pour beaucoup, la question “D’où vient la monnaie ?” évoque l’image d’un atelier imprimant des billets et frappant des pièces. Vous pensez que la monnaie a un équivalent Or ou que la banque vous prête l’argent des dépôts de ses autres clients ? C’est faux ! La vaste majorité de l’argent est créée, en quantité phénoménale, chaque jour, par des entreprises privées, connues sous le nom de banksters.

La plupart d’entre nous croient que les banques prêtent de l’argent leur ayant été confié par des dépositaires. Cela est facile à imaginer, mais ce n’est pas la réalité. En fait, les banques créent l’argent qu’elles prêtent non pas à partir des possessions des propriétaires, ni de l’argent déposé, mais directement à partir de la promesse des emprunteurs de les rembourser. La signature de l’emprunteur sur le contrat de prêt constitue une obligation de payer à la banque le montant de l’emprunt plus les intérêts, ou alors de perdre la maison, la voiture, ou tout bien ayant constitué la garantie. C’est donc un engagement important pour l’emprunteur. Qu’est-ce que cette même signature implique pour la banque ? La banque se doit de faire exister le montant du prêt et simplement le créditer informatiquement sur le compte de l’emprunteur. Ça paraît invraisemblable ? Assurément, ça ne peut être la vérité… Pourtant ça l’est.

Pour comprendre comment ce miracle de la banque moderne est apparu, considérons cette belle histoire :

La Légende de l’Orfèvre

Il était une fois un temps où à peu près n’importe quoi pouvait servir de monnaie. Cela devait simplement être

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transportable, et assez de personnes devaient avoir la conviction que cela pourrait plus tard être échangé contre des choses d’une valeur réelle telles que de la nourriture, des habits, ou des abris. Coquillages, fèves de cacao, pierres précieuses, et même des plumes, ont été utilisées comme monnaie. L’or et l’argent étaient attrayants, malléables, et faciles à travailler. De ce fait certaines civilisations devinrent expertes avec ces métaux.

Les orfèvres rendirent le commerce bien plus facile en fabriquant des pièces, c’est-à-dire des unités standard de ces métaux, dont le poids et la pureté étaient certifiés. Pour protéger son or, l’orfèvre avait besoin d’un coffre. Et bientôt ses concitoyens vinrent frapper à sa porte, afin de louer un espace pour entreposer en sécurité leur propre or et leurs propres valeurs. Rapidement l’orfèvre loua tous les espaces de son coffre, et il gagnait un petit revenu de son affaire de location de coffre.
Les années passèrent, et l’orfèvre fit une observation avisée. Les dépositaires venaient rarement retirer leur or physiquement présent dans le coffre, et de plus ils ne venaient jamais en même temps. La raison était que les reçus que l’orfèvre avait donnés en échange de l’or, étaient échangés sur le marché comme si c’était l’or lui-même. Cette monnaie-papier papier était bien plus pratique que les lourdes pièces, les montants pouvaient être simplement écrits au lieu d’être laborieusement comptés un par un pour chaque transaction.
En même temps l’orfèvre avait une autre affaire : il prêtait son propre or en faisant payer des intérêts. Comme ses reçus étaient unanimement acceptés, les emprunteurs demandaient pour les prêts des reçus en lieu et place d’or véritable. Au fur et à mesure que cette industrie se développait, de plus en plus de gens demandaient des prêts et cela donna à l’orfèvre une meilleure idée. Il savait que bien peu de ses dépositaires retiraient leur or, donc l’orfèvre se figura qu’il pouvait sans problème échanger des reçus contre l’or de ses dépositaires, en plus du sien. Aussi longtemps que les prêts étaient remboursés, ses dépositaires n’en sauraient rien, sans dommage pour eux.
Et l’orfèvre, désormais plus banquier qu’artisan, faisait un profit supérieur à ce qu’il aurait pu obtenir en ne prêtant que son propre or. Pendant des années l’orfèvre profita discrètement du revenu confortable des intérêts des prêts de l’or de ses dépositaires.

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Maintenant, en tant que prêteur proéminent, il était plus riche que ses concitoyens, et il l’affichait ostentatoirement. Des soupçons s’élevèrent selon lesquels l’orfèvre dépensait l’argent des dépositaires. Les dépositaires se rassemblèrent et menacèrent l’orfèvre de retirer leur or si celui-ci n’expliquait pas l’origine de sa récente fortune. Contrairement à ce qu’on aurait pu attendre, cela ne tourna pas au désastre pour l’orfèvre. Malgré le caractère intrinsèquement frauduleux de sa démarche, son idée marchait parfaitement. Les dépositaires n’avaient rien perdu. Leur or était en sécurité dans le coffre de l’orfèvre.

Au lieu de retirer leur or, les dépositaires exigèrent que l’orfèvre, dorénavant leur banquier, partage ses profits avec eux en leur payant une partie des intérêts. Ce fut le début du système bancaire. Le banquier payait un faible taux d’intérêt sur les dépôts d’argent des clients, qu’il prêtait ensuite à un taux plus élevé. La différence couvrait les coûts des opérations ainsi que les profits. La logique du système était simple et cela semblait un moyen raisonnable de satisfaire les demandes de crédit.
Cependant ce n’est pas la façon dont le système bancaire fonctionne aujourd’hui. Notre orfèvre-banquier n’était pas satisfait de ses marges après avoir partagé les intérêts des prêts avec les dépositaires. De plus la demande de crédits s’accroissait rapidement car les Européens émigraient partout dans le monde. Mais les prêts étaient limités par le montant d’or que les clients avaient déposé. Et c’est là qu’il eut une idée bien plus subtile. Comme personne d’autre que lui ne savait ce que contenait le coffre, il pouvait prêter des reçus sur de l’or qui n’existait pas réellement. Aussi longtemps que les détenteurs de reçus ne venaient pas tous simultanément demander leur or, comment cela pourrait-il se savoir ?
Ce nouveau schéma fonctionna parfaitement, et le banquier devint immensément riche grâce aux intérêts sur des prêts d’or qui n’existait pas. L’idée que le banquier puisse créer de l’argent à partir de rien était trop inimaginable pour être crue. Donc pendant longtemps cette pensée ne traversa pas l’esprit des gens. Mais le pouvoir d’inventer de l’argent monta à la tête du banquier comme vous pouvez tous l’imaginer. Finalement l’ampleur des prêts accordés et sa richesse affichée déclenchèrent à nouveau des suspicions. Certains emprunteurs commencèrent à demander de l’or véritable à la place des représentations papier. Les rumeurs se

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propagèrent. Un jour beaucoup de riches dépositaires vinrent simultanément retirer leur or. C’en était fini.

Un océan de titulaires de reçus déferla dans les rues jouxtant les portes closes de la banque. Hélas, le banquier n’avait pas assez d’or et d’argent pour honorer tous les reçus qu’il avait placés dans leurs mains. C’est ce qu’on appelle l’assaut de la banque, et c’est ce que chaque banquier redoute. Ce phénomène d’assaut a ruiné des banques individuelles, et, peu étonnamment, a fortement détérioré la confiance publique envers les banquiers. Il eût été simple de rendre illégale la pratique de la création d’argent ex nihilo mais les larges volumes de crédit que les banquiers offraient étaient devenus essentiels au succès de l’expansion commerciale de l’Europe, donc à la place cette pratique a été légalisée et régulée. Les banquiers ont accepté de limiter la quantité d’argent fictif de prêts pouvant être mis à disposition.
La limite était quand même bien supérieure à la valeur totale de l’or et l’argent entreposés dans le coffre ; souvent le rapport était de 9 dollars fictifs pour 1 dollar réel d’or. Ces régulations étaient soutenues par des inspections surprises. Il était également convenu que dans le cas d’un assaut, les banques centrales aideraient les banques locales avec des transfusions d’urgence d’or. C’est seulement en cas d’assaut simultané sur plusieurs banques, que la bulle de crédit imploserait et que le système serait anéanti.

Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l’argent tout neuf. – Graham F. Towers, gouverneur de la Banque du Canada 1934-54

Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est tellement simple que l’esprit en est dégoûté. – John Kenneth Galbraith, économiste

Le système monétaire aujourd’hui

Avec les années le système de réserves fractionnaires, avec son réseau intégré de banques soutenues par une banque centrale, est devenu le système monétaire dominant dans le monde. Dans le même temps la fraction d’or soutenant l’argent des dettes s’est

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invariablement réduit à néant. La nature même de la monnaie a changé. Autrefois le dollar papier était vraiment un reçu qui pouvait être échangé contre un montant fixe d’or ou d’argent.

Actuellement un dollar ou euro papier ou numérique ne peut être échangé que contre un autre dollar ou euro papier ou numérique. Avant, les crédits créés par les banques privées n’existaient que sous forme de document bancaire privé que les gens avaient le droit de refuser de même qu’aujourd’hui nous pouvons refuser un chèque privé.
À présent, un crédit bancaire privé est légalement convertible en monnaie fiduciaire issue par le gouvernement : Les dollars, euros, livres, etc., que nous voyons habituellement comme de la monnaie. La monnaie fiduciaire est une devise créée par ordonnance ou décret gouvernemental et les lois en vigueur stipulent que les citoyens doivent accepter cette monnaie comme paiement pour une dette sous peine qu’en cas de refus les tribunaux annulent la dette en question.

Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive…

Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement. –
Woodrow Wilson, ancien président des Etats-Unis

Donc maintenant la question est : Si les gouvernements et les banques peuvent tous deux créer de l’argent, combien d’argent existe-t -il ? Autrefois la quantité totale de monnaie existante était limitée par les quantités physiques effectives des objets servant de monnaie. Ainsi, afin de créer du nouvel or ou du nouvel argent, l’or ou l’argent devait être trouvé et extrait du sol.

Actuellement, l’argent est littéralement créé comme une dette. De la monnaie est créée sitôt que quelqu’un contracte un prêt auprès d’une banque de ce fait la quantité totale de monnaie pouvant être créée n’a qu’une limite réelle : Le niveau total de la dette. Autrement dit, aucune limite. Les gouvernements imposent une limite statutaire supplémentaire sur la création d’argent neuf en établissant des règles appelées exigences de réserve fractionnaire.

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Pour la plupart arbitraires, les exigences de réserve fractionnaire varient d’un pays à l’autre, et de temps à autre. Dans le passé il était fréquent d’exiger que les banques possèdent au moins un dollar d’or réel dans leur coffre pour 10 dollars de monnaie-dette créés.

Aujourd’hui les exigences de réserve ne s’appliquent plus au rapport entre l’argent neuf et l’or en dépôt, mais au rapport entre la monnaie-dette créée et la monnaie-dette existant déjà en dépôt à la banque. Aujourd’hui, la réserve d’une banque consiste en deux choses : Le montant d’espèces émises par le gouvernement que la banque a déposé à la banque centrale plus le montant de monnaie-dette existante que la banque a en dépôt.
Pour illustrer cela d’une façon simple, imaginons une banque toute nouvelle sur le marché, qui n’a pas encore de dépositaire. Cependant les investisseurs ont constitué un dépôt de réserve de 1111,12 dollars d’espèces existantes, qu’ils ont mis à la banque centrale. La réserve fractionnaire en vigueur est 9 :1.

1re étape : La banque ouvre et accueille son premier emprunteur, il a besoin de 10 000 dollars pour acheter une voiture. Avec le taux de réserve 9 :1, la réserve de la nouvelle banque à la banque centrale, également dénommée base monétaire, lui permet de créer légalement neuf fois ce montant, soit 10 000 dollars, sur la base de la reconnaissance de dette de l’emprunteur. Ces 10000 dollars ne sont pris de nulle part ailleurs, c’est de l’argent tout neuf, simplement inscrit sur le compte de l’emprunteur comme crédit bancaire. Ensuite l’emprunteur fait un chèque sur ce crédit pour acheter la voiture.

2e étape : La vendeuse dépose ces 10 000 dollars nouvellement créés à sa banque. Contrairement à la base monétaire déposée à la banque centrale, cet argent de crédit récemment créé ne peut pas être multiplié par le taux de réserve, en fait, il est réparti selon la fraction de réserve. Au rapport de 9 pour 1, un nouveau prêt de 9000 dollars peut être effectué sur la base de ce dépôt de 10 000 dollars.
3e étape : Lorsque ces 9000 dollars sont déposés par une tierce personne à la banque qui les a initialement créés, ou une autre, ils deviennent la base légale d’un troisième crédit, cette fois pour un montant de 8100 dollars. Telle une de ces poupées russes où chaque

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couche contient une poupée légèrement plus petite, chaque nouveau dépôt contient le potentiel pour un prêt légèrement plus petit suivant une série décroissante infinie. Maintenant, si l’argent prêté n’est pas déposé à la banque, le processus s’arrête, c’est la part imprévisible du mécanisme de création d’argent. Mais plus vraisemblablement, à chaque étape l’argent sera déposé dans une banque et le procédé de répartition peut se répéter encore et encore, jusqu’à ce que presque 100 000 dollars d’argent neuf soient créés au sein du système bancaire.

Tout cet argent a été créé entièrement à partir de dettes et le tout a été légalement autorisé par le dépôt initial d’une réserve de seulement 1111,12 dollars qui sont restés assis, intacts, à la banque centrale. Ce qu’il y a de plus avec cet ingénieux système, c’est que la comptabilité de chaque banque de la chaîne doit montrer que la banque a 10 % en plus de dépôts que d’argent qu’elle a prêté. Cela donne aux banques un très bon motif pour acquérir des dépositaires, afin d’être capable d’émettre des prêts, supportant l’impression générale mais trompeuse, que l’argent prêté est celui des dépôts.
Maintenant, à moins que tous les prêts successifs aient été déposés dans la même banque, on ne peut pas affirmer qu’une banque multiplie sa base monétaire initiale d’un facteur de presque 90 en émettant des crédits à partir de rien. Cependant le système bancaire fonctionne en boucle fermée, les crédits créés dans une banque deviennent des dépôts dans une autre, et réciproquement. Dans un monde théorique d’échanges parfaitement uniformes, l’effet ultime serait exactement le même que si l’ensemble du processus avait lieu au sein d’une banque unique ; c’est-à-dire que la réserve initiale à la banque centrale d’un peu plus de 1100 dollars permet au système de collecter des intérêts sur/jusqu’à 100 000 dollars qu’il n’a jamais eus. Les banques prêtent de l’argent qu’elles n’ont pas !
Si ça a l’air incroyable, expérimentez ceci : ces dernières décennies, sous la pression incessante des lobbies bancaires, les exigences de constituer un dépôt de réserve à la banque centrale nationale ont simplement disparu dans certains pays, et les taux de réserve actuels peuvent être bien supérieurs à 9:1. Pour certains types de compte, des taux de 20:1 ou 30:1 sont monnaie courante (quel jeu de mots !). [Pas de réserve du tout dans certains cas] Et encore plus récemment en introduisant de nombreux frais

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supplémentaires sur les prêts pour augmenter la contribution de l’emprunteur à la réserve, les banques ont désormais un moyen de circonvenir complètement les exigences de réserve.

Donc, alors que les règles sont complexes, la réalité est, dans les faits, très simple : Les banksters peuvent créer autant d’$$$
que nous pouvons en emprunter. Ce n’est pas tout. Les banques ne créent que le montant du principal. Elles ne créent pas l’argent pour payer les intérêts. D’où celui-ci est-il censé provenir ? Le seul endroit où les emprunteurs peuvent aller pour obtenir l’argent pour payer les intérêts est dans la masse monétaire globale de l’économie, mais presque toute cette masse monétaire a été créée exactement de la même façon, il s’agit de crédit bancaire devant être remboursé avec plus que ce qui a été créé. Donc partout il y a d’autres emprunteurs dans la même situation essayant frénétiquement d’obtenir de l’argent dont ils ont besoin pour payer à la fois le principal et les intérêts à partir d’un réservoir d’argent qui ne contient que les principaux.
Il est clairement impossible que tout le monde rembourse le principal et les intérêts, car l’argent des intérêts n’existe pas. Cela peut même être exprimé par une simple formule mathématique. P/(P+I) honoreront leur contrat. I/(P+I) seront saisis.
Ce texte est en partie extrait de Money as Debt de Paul Grignon

Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. – Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie

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INTRODUCTION

Souvenez-vous de l’adage, ‘QUESTIONNER L’AUTORITÉ’ Tout le monde le dit cependant personne n’a fait quoique ce soit à ce sujet. Je l’ai fait ; Je le reconnais. J’ai su, très jeune, que j’étais, et personne d’autre que moi, ma seule et propre autorité. Il semblerait que j’ai passé ma vie à en avoir la confirmation. Je n’ai jamais, jamais, écouté quelqu’un d’autre que moi. Le problème était que je ne m’écoutais pas non plus. Il m’a fallu des décennies pour apprendre à avoir confiance en mon intuition. La chose la plus importante que nous apprendrons jamais est qui nous sommes et cela exige que nous changions d’avis au sujet de qui nous pensons être. Cela exige également que nous jetions dehors tout ce que nous pensons savoir et que nous le remplacions par ce que nous avons intuitivement toujours su. Nous devons seulement écouter ce que notre intuition prévoit pour nous.

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CHAPITRE I

CE QUI S’EST PASSÉ

Vers 1996 j’ai constaté que ma famille aurait des difficultés financières d’ici quelques semaines et mon niveau de peur a augmenté exponentiellement. Quand j’ai dû payer la facture de téléphone avec une carte de crédit ‘offerte’ par une banque ; j’ai su que nous avions un sérieux problème. Je savais que le jeu de la carte de crédit tout entier était une escroquerie, ayant lu, quelques années plutôt, un livre intitulé, Truth in Money (Vérité En Argent) par Théodore R. Thoren. Je savais aussi que rien n’est comme il y paraît. Tout de même, je ne savais pas quoi faire au sujet des banques qui téléphonaient tous les jours pour demander un ‘paiement.’ J’ai détecté, par le désespoir dans leurs voix qu’à un niveau subconscient quelconque ils savaient aussi que je n’avais pas vraiment à payer ni l’intérêt sur un débit crée par ma carte de crédit, ni le principal, c’est juste que je ne savais pas comment me soustraire à cette prétendue obligation. Si j’avais été vraiment obligé de payer la dette générée par cette carte de crédit, ces personnes auraient été plus gentilles et auraient simplement demandés quand et comment je pourrais éventuellement leur envoyer tout ou partie de ce qui était ‘dû’. Leur rage fut le signe qu’ils étaient entrain de bluffer.

Un jour, alors que j’étais entrain de courir dehors, j’ai fondu en larmes et fus forcé de demander que faire à mon Créateur. Je savais que ‘Dieu’ ne mettrait pas d’argent sur la table de la cuisine demain matin afin de payer les factures (dettes) de ma famille. Je savais aussi que mon vrai problème n’était pas les faits en soi, mais plutôt, mon ressenti a leurs sujets. Comme Krishnamurti l’a dit, il n’y a pas de problèmes à part l’esprit. Si je pouvais seulement changer mon ressenti au sujet de ce qui apparaissait comme étant un problème je me serais senti certain de pouvoir le résoudre. Donc je me suis retrouvé à demander à mon Créateur de changer mon ressenti au sujet de ces circonstances.

Ne cherchez pas à changer le monde ; cherchez seulement à changer votre avis au sujet du monde. – ACIM

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Le jour suivant, une femme m’a téléphoné pour me demander conseil. Son inquiétude était que le fisc avait confisqué les avantages d’anciens combattants de son mari pour combler les ‘dettes’ qu’elle avait avec eux. Tout ce que j’ai trouvé à lui dire, après avoir étudié $ $ $, impôts, etc. fut : “Vous savez il n’y a aucune loi qui vous contraint à payer l’impôt sur le revenu.” Elle le savait déjà ! J’étais estomaqué. J’ai rajouté, “Si cela peut vous aider à vous sentir mieux, vous n’êtes pas seule. Des banques ‘donnant’ des cartes de crédit ‘gratuitement’ pensent que je leur dois des intérêts débiteurs. Je sais que je ne leur dois pas vraiment cet argent, c’est juste que je ne sais pas comment le prouver.”

Elle répondit, “Vous avez juste à envoyer des lettres.” J’ai sauté de ma chaise. Ma prière avait été exhaussée. Demandes et tu recevras. Elle produit alors une série de lettres, le but étant de demander à la banque de me fournir trois éléments:
1. Validation de la dette (la comptabilité réelle) ;
2. La vérification de leur demande contre moi (un affidavit juré/certifié ou même uniquement une facture signée et,
3. Une copie du contrat qui lit les deux partis.
J’ai rajouté que je serais heureux de payer toute obligation financière que je dois légalement dès que j’aurais reçu ces trois documents.
Les banques ne peuvent pas valider la dette parce qu’ils n’ont jamais éprouvé ou souffert d’une quelconque perte; ils ne peuvent pas vérifier ou retenir aucune charge à mon encontre parce que je ne suis pas le NOM qu’ils facturent. Je reviendrai sur ce sujet plus tard. Ils ne peuvent pas produire de copie du contrat parce qu’il n’existe pas. Ce qui existe est un contrat unilatéral inapplicable (nul et non avenu). Ce que les banques rapportent comme étant ‘votre contrat avec nous’ n’est pas un accord bilatéral valide puisque les quatre exigences d’un contrat légal, liant bilatéralement les deux partis ne sont pas mentionnées sur le formulaire de souscription à la carte de crédit, c’est-à-dire:
1. Divulgation Complète (Il n’est pas stipulé que nous créons le crédit avec notre signature);
2. Considération égale (ils n’apportent rien sur la table, d’où le fait qu’ils n’ont rien à perdre);
3. Termes légaux et Conditions (ils sont basés sur une
fraude); et

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4. Signatures des partis / Rencontre des Esprits (les corporations ne peuvent pas signer parce qu’elles n’ont aucun droit, ou esprit à contracter puisqu’elles sont des fictions légales). Les cartes de crédit sont gagnant/gagnant pour les banques et perdant/perdant pour tous les autres. C’est l’escroquerie la plus habile de la planète.

Au fil des ans et de mes essais, l’envoi des lettres a fonctionné pour tous les comptes sauf un. La banque a intenté le procès. J’ai déversé toutes sortes d’absurdités légales aucune ne fit mouche. Aujourd’hui la façon dont nous manions et travaillons le procédé fonctionne admirablement, cependant à cette époque, nous étions encore au balbutiement et avancions par tâtonnement. Ainsi, puisque la carte était à un NOM semblable à celui de la mère de mes enfants, la banque s’est retournée contre elle. Elle ne voulait pas se rendre au tribunal et puisque je considérais ceci comme une recherche, pour ne pas dire une aventure, je m’y suis rendu à sa place. (Si vous ne vivez pas sur la bordure, vous prenez trop d’espace.) ) Quand l’administrateur (alias ‘juge’) a appelé son nom, je me suis levé et j’ai dit, “je suis ici au sujet de cette affaire.” Au cours d’une année antérieure, j’avais utilisé une tactique semblable quand je suis allé au tribunal pour ‘violation à la ceinture de sécurité’ et, j’ai été rapidement condamné pour avoir déclaré que mon nom n’était nulle part sur le billet ou la sommation. Bien que je fusse exact, je ne savais pas quelle serait la prochaine étape. Cette fois-ci, je savais ce que je faisais. Au tribunal d’instance, le ‘Juge’ m’a demandé mon nom. J’ai répondu, “Si je vous dis mon nom est-ce que cela signifie que je serai rentré en contrat avec vous ?” Il est devenu courroucé, sensiblement irrité. Je savais que j’avais mis le doigt sur quelque chose. Il a dit furieusement, “je vais vous le demander encore une fois; quel est votre nom ?” À nouveau, j’ai dit la même chose et ce fut littéralement, un lancé corporel hors de la cour. A ma sortie, j’ai dit au régisseur, “je crois que j’ai touché un nerf.” J’étais extatique.
Comme ce fut avéré, j’avais en effet frappé sur la seule question qui importe. CONTRAT. La Loi du contrat est la seule loi. Il n’y a aucune Loi Constitutionnelle, Charte de Droits et Libertés, aucun code, règles, règlements, ordonnances, statuts, ou quoi que ce soit d’autre que la plupart des gens se représentent comme ‘loi’ qui s’applique au peuple libre et souverain. Ils s’appliquent tous

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uniquement à des entités sociétaires (corporations). Il y a seulement une loi qui s’applique à nous : la loi qui protège la vie, la liberté, les droits et la propriété de toutes les âmes vivantes. Ce qui fait en sorte qu’on pense que ces lois s’appliquent à nous sont les contrats et les accords que nous avons fait, soit sciemment, soit inconsciemment. S’il n’y a aucun contrat il n’y a aucun cas. Le contrat est la loi. La Responsabilité Financière Contractuelle est tout ce qui compte; et ça doit être prouvé.

Autorité

Quand j’étais au collège, mon professeur nous disait que Magellan fut le premier homme blanc à naviguer autour du globe. Ce n’était pas particulièrement difficile pour moi à accepter cependant quand je me suis réinstallé plus confortablement dans ma chaise pour contempler mes camarades de classe, j’ai été frappé par une constatation soudaine, “Elle pourrait nous raconter n’importe quoi.” Dès lors, je suis devenu méfiant envers tout ce qui peut être interprété comme propagande ou au sujet duquel mon grand -père m’avait prévenu, “Considères la source.” Par cela il voulait dire, toujours rechercher quel est le capital investi. « À qui ça profite » Questionnez la crédibilité de la source. Qui dit ça ? Warranto du quo (par quelle autorité) ? Qui en tire profit ? C’est maintenant communément connu sous l’appellation, “Suivez l’argent.”

Dès lors, je suis devenu très soupçonneux sur le véritable but de ma scolarisation. Pour ceux qui sont intéressés par le sujet de la ‘scolarisation’je suggère que vous lisiez John Taylor Gatto et en particulier, L’Histoire Clandestine De l’Éducation Américaine. La Scolarisation est un gaspillage énorme de temps, de talent, d’énergie et de créativité. Il y a peu à apprendre de ce que l’école offre, jusqu’à ce que nous soyons dehors à faire ce que nous voulons vraiment faire. L’apprentissage fonctionnait c’est pourquoi les PTB (pouvoir en place) ne veulent plus personne en apprentissage, ils nous veulent dans une école opérée par le gouvernement… à gaspiller nos vies pour apprendre ce que personne ne veut apprendre, et ce que personne ne doit savoir. Le concept tout entier de la vie est que nous apprenons chaque jour, au fil du temps, comme nous allons ; la scolarité est anathème à ce concept naturel.

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Gatto a écrit, les enfants autorisés à prendre des responsabilités et à qui on donne un rôle sérieux dans le grand monde sont toujours supérieurs à ceux qui sont simplement autorisés à jouer et à être passifs. À l’âge de douze ans, Amiral Farragut a obtenu son premier ordre. J’en étais à mon cinquième grade quand j’ai appris cela. Si Farragut était allé à mon école, il aurait été au septième grade.

Un psychologue m’a dit une fois, “ne faites rien pour tout enfant après l’âge de 10 ans à moins qu’on ne vous l’ait spécifiquement demandé.” Nous détruisons nos enfants en prolongeant l’enfance. C’est le schéma des corporations monstrueuses. Les enfants devraient être dehors et faire ce qu’ils veulent au-delà de 14 ans et nous devrions être disponibles SEULEMENT pour leur prêter conseil. Je dis à mes enfants que dans mes livres, l’âge de 14 ans est l’âge de la majorité.

Il semblerait que le but du système soi-disant pédagogique n’est pas de nous instruire pour devenir des êtres penseurs naturellement libres, mais plutôt de déformer ce qui se passe vraiment dans le monde et de nous convaincre que nous serons heureux que si nous recevons juste une bonne éducation pour avoir un bon travail pour gagner beaucoup d’argent pour acheter autant d’articles inutiles et sans valeur que possible, et de cette façon en devenir dépendant pour créer autant de dette que possible et ainsi nous asservir sur tous les plans – Programmation, esclave-travail, dette, addiction, et ultime confiscation de propriété – La première marche du Manifeste Communiste.
S’il vous plaît gardez ce but à l’esprit pendant que vous lisez et il deviendra clair que non seulement c’est précisément cela vers quoi l’on se dirige mais également qu’il y a un échappatoire légal et spirituel. La paix de votre esprit en dépend – Et n’est-ce pas cela tout ce que nous voulons vraiment ?
J’ai su à l’âge de neuf ans, quand mes parents m’ont sorti le slogan routinier “Manges ton dîner ; il y a des enfants qui meurent de faim en Afrique” que quelque chose allait radicalement mal. Certainement puisque le simple fait que quelqu’un savait qu’il y avait là des enfants affamés signifiait qu’ils avaient les moyens de faire quelque chose a ce sujet et j’ai remarqué que rien n’était fait pour eux… par ceux qui en ont les moyens. Oh ! Assurément, des

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largages humanitaires, des SOINS, des choses qui reposent sur la générosité des gens et du peuple, ont été envoyés et j’appris bientôt que la raison pour laquelle le problème continuait est parce que quelqu’un le voulait ainsi. Il aurait été facile de corriger ce problème si effectivement les PTB souhaitaient le voir corrigé – pareil pour n’importe quel autre ‘problème’ dans le monde. Donc j’ai appris à un âge tendre que le système entier est ‘conçu pour ne pas fonctionner’ et d’où, ‘les choses ne sont pas ce qu’elles paraissent.’

En 1988, j’ai dit à mon oncle, “je ne sais pas quoi faire avec mes $$$; Je n’ai aucune confiance dans les banques.” Je ne sais pas pourquoi j’ai pu faire ce commentaire parce qu’il pensait alors que les banques étaient fabuleuses ; je n’ai obtenu aucune réponse de sa part. Au contraire, quand mon frère a manqué un grade en école, il lui a dit, “Tu viens juste de perdre $3,000 dollars.” Clairement il voyait la vie comme un moyen d’accumuler les $$$ et n’importe quoi qui ‘allait mal ’dans la vie a été mesuré de cette façon. Mon grand père qui assistait a la scène m’a d’abord regardé de travers avant de me dire, “Tu as probablement raison. Achètes quelque chose. Tous les jours la valeur de ‘l’argent’ diminue à travers l’inflation et bientôt tu auras plutôt intérêt à avoir quelque chose que de l’argent sans valeur.” Je pense qu’il a anticipé une autre dépression. S’il était vivant aujourd’hui, je suis certain qu’il serait informé de l’imminente et subite chute économique. J’aime à penser qu’il aurait vu cela comme une ‘bonne nouvelle’ par opposition à comment la plupart des gens le voient, si toutefois seulement ils le voient.
Mon oncle m’a toujours dit, “Trouves toi une bonne société.” Cela, venant d’un homme dont la ‘bonne société’ l’avait forcé à avoir des nuits actives alors qu’il avait 59 ans, n’a fait que renforcer ma conviction que nous sommes ici uniquement dans l’intention de faire ce que nous aimons faire… et rien d’autre.
Après que je me sois retiré du cursus scolaire, j’ai postulé auprès d’une multinationale. Au bout d’un mois d’essai, j’ai dit à une collègue employée qui avait été formé avec moi que je souhaitais avoir mon propre appartement et j’ai demandé, “Mais comment vais-je pouvoir le payer quand je n’aurais plus de travail ?” Elle m’a dit que j’étais idiot de m’inquiéter à ce sujet. Après un autre mois, notre période d’essai a été arrêtée. Chacun des autres a été embauché ; Je ne l’étais pas. J’ai appris plus tard que j’avais

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marqué trop de points sur le test d’aptitude. Certains cadres de haute volée avaient découvert que je n’avais pas le ‘profil de l’embauche’ pour ce travail particulier. Ce n’est pas tant le fait que je sois brillant mais qu’apparemment chez moi les parties gauche et droite du cerveau sont équilibrées, ce qui est quelque peu rare. La plupart des gens s’en sortiront bien dans la partie logique ou littéraire d’un test d’aptitude, mais pas les deux, comme je l’ai fait, et donc mon score était hors de leurs tableaux. Maintenant que j’avais cet appartement hors de prix, j’ai regretté ne pas avoir écouté mon intuition.

J’ai toujours été Autodidacte. J’ai dit à un ami qui s’est trouvé être un professeur que si jamais j’avais des enfants je leur apprendrais qu’ils sont leur propre autorité et à ne jamais laisser un professeur les intimider. Elle était consternée et dit dans des termes incertains que c’était le problème dans les écoles aujourd’hui. Aucun respect pour l’autorité. J’ai mentionné qu’il n’y a aucune autorité à part soi-même. Je suis ma propre autorité. J’ai ajouté que les professeurs font partie de l’ordre du jour qui programme les gosses à croire que quelqu’un d’autre sait ce qui est meilleur pour eux. Il n’y a aucune limite aux agences, professionnels et bureaucrates qui existent uniquement pour dicter comment nous devrions vivre nos vies. Les professeurs, docteurs, gouvernements, ministres et banquiers dépensent temps, argent et effort dans le but de convaincre les enfants de quoi et que penser. J’ai décidé que mes enfants penseraient par et pour eux-mêmes.
Joseph Chilton Pierce, dans son livre, Enfant Magique, conseille les parents, « les Enfants pensent que leurs parents sont parfaits », donc utilisez ceci et soyez un exemple. Dès que nous allons à une ‘autorité’ (docteur, professeur, ministre) nous perdons notre pouvoir. L’enfant veut penser à nous comme omnipotent puisqu’il sait qu’il peut aussi devenir ainsi… si nous le sommes.”
J’ai lu ce que J. P. Morgan a déclaré, “je ne veux pas qu’un avocat me dise ce que je ne peux pas faire ; J’embauche un avocat pour me dire comment faire ce que je veux faire.” Donc j’ai dit à mes enfants, “je comprends que vous ne voulez pas que je vous dise ce que vous ne pouvez pas faire; vous m’avez embauché pour vous dire comment faire ce que vous voulez faire.” Hélas, depuis j’ai appris que mes enfants sont trop soumis à l’esprit-manipulation (scolarisation, télé, amis) pour m’accorder la moindre crédibilité.

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(J’étais un super parent avant d’avoir eu un enfant.) Être parent c’est comme une peine de 20 ans, sauf qu’en prison, on vous laisse lire.

La meilleure chose au sujet d’avoir des enfants est de finalement commencer à comprendre pourquoi nous (tous) nous sommes sentis négligés par nos parents. Nous avons, comme ils avaient, des vies à mener et nous, les enfants, n’étions qu une partie de leur vie. En tant qu’enfants, nous avons présumé que nous étions leur but entier dans la vie. Sentir la négligence était douloureux seulement parce que nous blâmions notre manque de valeur pour toute inattention de leur part. Quand nous avons nos propres enfants, nous constatons, qu’autant nous pouvons aimer nos enfants, ils ne sont toujours pas nos vies entières bien que pendant quelque temps notre vie est la leur. Cela nous permet de voir que ça n’était pas notre manque de valeur qui empêchait nos parents de se concentrer 100 % du temps sur nous, c’était qu’ils avaient une vie à mener et nous en étions seulement une partie.

Adolescent, j’ai travaillé pour des corporations, multi nationales et des compagnies plus petites, possédées en privé. Sans en avoir jamais été conscient jusqu’à récemment, j’ai remarqué qu’en travaillant pour une petite entreprise aux âmes très vivantes, je mettais fidèlement et volontiers 10¢ dans le pot pour le café quand cette action était basée sur le ‘principe de l’honneur.’ Les marchandises qui appartiennent à la compagnie possédée en privé n’étaient pas les miennes jusqu’à ce que je les aie dédommagés d’une certaine façon. Plus tard, quand j’ai travaillé pour des corporations je me suis rendu compte que je les volerais à l’ampleur de ma capacité. Je pense qu’intuitivement je savais que tout ce qu’une corporation a officiellement ‘possédé’ était déjà à moi, parce que j’avais déjà tout prépayé (voir plus loin). Pendant quelques temps, j’ai mis cela sur le compte de l’anonymat de ces sociétés, mais ce n’était pas cela ; c’était le fait que je savais que c’était à moi… et j’avais juste. Une fois de plus, mon intuition me guidait correctement et c’est pourquoi je n’ai jamais senti une quelconque culpabilité.

Dans le début des années 1990, lors d’un trajet en voiture avec mon oncle et mon frère. Mon oncle a dit à mon frère de mettre le ‘maximum autorisé et possible’ sur RRSP parce que c’était un bon investissement et parce qu’il ne paiera pas d’impôt sur ce

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montant jusqu’à ce qu’il le retire de son compte. Je suis surpris que mon oncle n’ait pas vu le problème avec ceci puisqu’il était si intensément informé de l’impôt sur le revenu gradué insidieusement pour ne pas mentionner le pire impôt de tous : l’inflation. Mon frère paiera bien plus d’impôt plus tard qu’il n’aurait d’ailleurs jamais voulu. Mais encore, je me rappelle m’être installé, avoir regardé par la fenêtre et savoir intuitivement que non seulement il ne reverra aucun de ses investissements RRSP mais aussi qu’il ne verra jamais aucune des pensions de sa compagnie. Si vous pensez que je suis inexact, parce que vous recevez déjà la vôtre, vous devez être plus vieux que je ne le suis. Je fais référence à nous enfants des enfants du baby boom ; nous sommes dans nos 30s et nous ne verrons pas nos pensions à l’âge de 65ans. Si vous ressentez de la crainte à la lecture de ceci, soyez certain de bien discerner que votre peur n’est pas au sujet de votre futur ; votre peur est au sujet de votre croyance dans votre impuissance à y changer quoi que ce soit. Pourquoi vouloir penser que le fait qu’il n’y aura aucune sécurité financière du gouvernement dans votre futur a quoique ce soit à faire avec qui vous êtes et ce que vous pouvez faire ? J’aborderai ce sujet dans le chapitre 3.

Il y a approximativement quinze ans j’ai entendu Peter Fonda dire, pendant un talk-show, “Essayez de ne pas payer vos impôts et cherchez à trouver qui possède votre maison.” Mes paupières ont vacillé comme des stores et j’ai soudainement su que je le savais déjà et que quelque part caché dans mon psychique se trouvait l’histoire entière.

En 2001 une amie m’a dit qu’elle était frénétique au sujet des

$$$, en particulier, au sujet de payer l’hypothèque. Elle laissa tomber ses bras de frustration quand je lui appris qu’il n’y avait rien à payer, pour ne pas mentionner rien avec quoi payer. Elle m’a dit alors, “Si je peux tenir encore 22 autres années (âge 65) je pourrais toucher ma pension.” Je lui ai dit qu’elle ne la verra jamais. Elle m’a renvoyé d’une vague de la main.
Toutes les propriétés de ce pays appartiennent maintenant à l’état et seront utilisées pour le bien de l’état. – FDR, 1933

Pour vous Canadiens ou Européens qui se sentent rassurés parce que cela ne se passe pas au Canada ou en Europe, considérez

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que le Canada est le 13e District de la Réserve fédérale. Les deux USA / CA – les corporations – sont soumis à la juridiction de la Couronne / Vatican. Can/Am n’est pas ‘un pays libre.’ Nous ne sommes pas libres jusqu’à ce que nous réalisions et nous rendions compte de ‘qui nous sommes.’ Ce que j’écris s’applique aussi bien à l’Amérique (les provinces et les États unis) qu’aux USA / CA (corporations) ainsi qu’à l’Europe (les pays) et l’UE (la corporation). Il y a certainement des différences dans nos cultures mais ne vous faites pas rouler en bourrique au sujet de la juridiction.

J’ai toujours attribué à mon cynisme ces visions momentanées intuitives dans le futur jusqu’à ce que j’appris qu’en 1993, au Canada, Bill C-124 fut passé et statue, approximativement: Pour payer la dette nationale (comme s’il y avait une quelconque ‘dette nationale’) le gouvernement peut exiger, et maintenant a la législation en place pour le faire, de confisquer les pensions, RRSPs, investissements, propriétés et tous les autres fonds tangibles que les gens possèdent.
Ce plan est une ruse. J’expliquerai plus tard comment les Fédéraux seront légalement (pas loyalement) capable de faire ceci. Dans l’immédiat pourtant, souvenez-vous, l’entière raison d’être du gouvernement est de confisquer votre propriété sous l’apparence que vous l’ayez perdu parce que vous n’avez pas pu payer vos ‘dettes’ (débits). Malheureusement, la plupart des gens sont tombés dans ce jeu et la plupart continueront jusqu’à ce qu’ils n’aient plus rien en leur possession, ce n’est pas si horrible que vous pouvez le penser… alors éclairez-vous.
Il n’y a rien à craindre à propos de la chute subite et imminente de la prison financière globale. Notamment parce que les âmes vivantes ne peuvent pas avoir de ‘dette’.

Pendant un trajet en moto, J’ai entendu mon intuition me dire « Mets tes deux pieds à terre au panneau STOP. » J’ai ri ; tout motocycliste sait que nous gardons un pied sur le frein. Cependant, quelques pâtés de maisons plus loin, j’ai été arrêté par un flic. Quand j’ai demandé pourquoi il m’a arrêté, il a dit que je ne m’étais pas arrêté au Panneau STOP. J’ai répondu (c’était avant que je n’ai appris à ne pas contester ou discuter les faits) qu’en effet je m’étais arrêté. Il a dit, « Vous n’avez pas posé les deux pieds à terre au Panneau STOP. » J’étais stupéfait ! Une certaine entité m’avait dit

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précisément ce qu’il fallait faire et elle pouvait prévoir ce qui était en train de se produire mot pour mot. J’étais déçu de ne pas avoir fait confiance à mon intuition. Les ramifications suivantes sont devenues un cauchemar bureaucratique.

En 2002, j’ai assisté à un stage de formation en école d’infirmier. Pendant la rotation psychiatrique, il y avait un malade appelé Bruce qui avait été diagnostiqué “schizophrène paranoïaque.” J’avais toujours pensé que les schizophrènes interprétaient simplement l’illusion de vie sur cette planète un peu plus correctement que le reste d’entre nous et qu’il n’y avait rien de ‘mal’ avec eux; au contraire, il peut y avoir quelque chose de mal avec quelqu’un qui en étiquetterait un autre comme ‘schizophrène paranoïaque.’ Le professeur leur a demandé un matin, “dites-moi au sujet de votre malade ; Qu’est-ce qui va mal avec Bruce ?” J’ai immédiatement pris la parole : “Rien ne va mal avec Bruce. C’est un garçon de 19 ans typique. Quelques drogues, quelques problèmes…
Rien de mal.” Il fut encensé par mon attitude et a ragé, “bien sûr qu’il y a quelque chose ou il ne serait pas ici.” Je n’avais pas à entendre cette absurdité alors je me suis levé et j’ai quitté la pièce.
Sur le chemin de la sortie je me suis demandé ce que je projetais de faire. Ah ! J’irais chercher dans son tableau (sa fiche) une quelconque ‘évidence ’qu’il n’y a rien “de mal avec Bruce.” Juste au moment où j’allais consulter son tableau j’ai remarqué qu’un docteur écrivait dedans. J’ai dit, “Justement l’homme que je veux voir ! Qu’est -ce qui va mal exactement avec Bruce ?” Il a répondu, “Rien ; Je viens juste de le décharger.” Est-ce que j’ai des fers à cheval plantés dans le cul, ou quoi ? Alors, j’ai dit, “Allez vous le dire au professeur là-bas ? Il pense que j’ai tout faux” et il l’a fait. Ce fut un grand succès auprès des stagiaires qui assistaient incrédules à la scène. Je me suis rendu compte à quel point mon timing fut important. Quand un autre ‘incident’ à nouveau renforça la vigueur de ce ressenti, j’ai juré d’agir en conséquence à partir de là.
Après un ou deux mois supplémentaires à observer l’absurdité frustrante du corps infirmier. Je m’ennuyais et j’ai pensé que je devrais m’atteler à d’autres taches. L’Idéalisme est ce qui précède l’expérience ; le cynisme est ce qui la suit. – D. Wolf
J’ai appris de tous les ‘incidents’ où j’ai écouté mon intuition que si je suis seulement moi-même, tout réussit, en particulier mon

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timing; c’était précis. Dû à cette réalisation, certains penseront que je peux avoir le courage et le tempérament pour faire tout ce que je veux sans peur de l’échec. Hélas, la peur avait été tellement enracinée pendant des années que j’ai considéré cet épisode comme un coup de chance. Je me suis rendu compte à de nombreuses reprises que j’avais eu de l’intuition mais que j’avais toujours ignoré de suivre cette intuition. La leçon de ma vie était de se faire confiance – POUR ÊTRE ma propre autorité. J’avais manifestement échoué me comportant en fonction de ce que je savais être vrai. Je me suis promis de toujours n’écouter que moi. Tout ce que je devais faire était de me souvenir de qui je suis. Je remarque que quand il semble y avoir une certaine lutte à faire quelque chose, que je me sens contraint à le faire ou à l’accomplir, je peux compter sur mon timing pour m’abandonner. Quand je “fais juste ce qui vient ensuite” tout va tout seul.

Quand le fisc m’a envoyé un billet pour un impôt qu’ils pensaient que je leur devais, j’ai senti comme un rat mort. Nous avons tous entendu des histoires terribles à propos du fisc. Puisque nous sommes programmés pour craindre, ces histoires peuvent influencer notre comportement, cependant, si nous sommes informés que la peur elle-même est la tueuse (“ne prenez pas conseil de vos peurs”) alors nous pouvons l’observer et nous comporter d’une manière qui fonctionne pour nous. Donc je les ai défiés. J’ai remarqué qu’ils ne pouvaient pas supporter leur demande/réclamation. J’ai aussi remarqué que le montant qu’ils me réclamaient augmentait dramatiquement à chaque lettre et sans aucune raison apparente autre qu’eux ayant ajouté des amendes, pénalités de retard, intérêt, etc. Le plus important était la somme due, le plus clair de leur plan m’apparaissait. J’ai aussi remarqué que non seulement, chaque lettre venait d’une entité différente mais aussi qu’aucune n’avait de signature, ce qui en faisait de cette façon un instrument commercial invalide. Toutes les factures, pour être valides, doivent être signées par quelqu’un capable de lier la corporation dans le contrat. Nous ne sommes pas légalement (lawfully vs legally) contraints à payer quoi que ce soit qui est non signé (sans signature). Pensez à toutes les ‘déclarations ’que vous recevez ou vous pouvez lire ‘montant dû’ ou ‘somme due’, pourtant sans valeur puisqu’ils sont incomplets.

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J’admets qu’il m’a fallu des années, quoi qu’il en soit c’est intéressant de constater que tous les gens avec qui j’ai non seulement discuté du fisc mais aussi soigné pour anxiété à propos du fisc avaient tous une chose en commun : le fisc leur a envoyé une note, dont le montant était au-delà de n’importe quelle chose concevable. C’est ce qui détruit leur couverture, leur abri, s’ils avaient envoyé une note pour $2,000, certains se seraient inclinés pour la payer. Mais une note pour $23,000 quand on gagne seulement $30,000 c’est simplement risible. C’est ce qui pousse les gens à affirmer qu’ils ne déclareront et ne paieront jamais plus. Il y a maintenant 45 millions de personnes aux USA qui ne remplissent plus leur avis d’imposition 1040s.

J’ai commencé réellement à soupçonner ces agents du fisc, qu’à quelque niveau inconscient que ce soit, ils voulaient exposer leurs propres activités frauduleuses. Nettoyer leur conscience, pour ainsi dire, et c’est pourquoi ils envoient ces lettres ineptes. Mais encore, ceux au sommet de la pyramide sont les manipulateurs de la conscience humaine. Ce sont des sensibles mais programmés sans âme. Ainsi, il n’y a pas un iota d’intervention divine au fisc / CRA ; mais il s’agit plutôt de quatre choses;
1. Ils sont désespérés,2. ils sont furtifs,
3. Ils obtiennent un pourcentage sur les $ qu’ils recouvrent,4. ils ont besoin de notre peur pour rester vivant. Ils pensent que l’exhaustif ‘montant total dû’ nous effraie quand en fait c’est risible.

1. Ils sont si désespérés qu’ils feront des choses étranges qui détruisent leur abri. Fisc / CRA est si frénétiques à propos de rassembler de l’argent pour payer l’intérêt sur l’emprunt auprès des Banksters mondiaux qu’ils pourront même se comporter d’une façon auto destructrice (défaitisme personnel). Ils envoient frénétiquement des déclarations à partir de n’importe quelle source distante concevable – N’avez-vous jamais remarquée que vous n’en recevez jamais de la même personne / bureau plus d’une fois ? C’est parce qu’ils se précipitent et que personne ne sait ce que quelqu’un d’autre fait, pour ne pas mentionner que le nom à la fin de la déclaration est le nom de l’ordinateur qui a produit la lettre. Il n’y a aucune âme vivante derrière la lettre. Le timing est ridicule et le phrasé est ridicule parce que les lettres sont actuellement basées sur un Manuel du fisc appelé Comment Écrire une Réponse de Non-

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réponse. Jetez un coup d’œil sur quelques-unes de leurs lettres et vous vous rendrez compte qu’elles ont été composées par un groupe de singes écervelés, pas du tout contraire à ceux que Bob Newhart décrit dans sa pièce satirique, Un nombre infini de singes. “Si vous prenez un nombre infini de singes et un nombre infini de machines à écrire, sur une période infinie de temps, ils taperont finalement tous les grands travaux.” La prochaine fois que vous obtenez une lettre du fisc / CRA, remémorez-vous cette même scène dans votre esprit et vous saurez avec qui vous négociez vraiment.

2. Ce que le fisc / CRA veut c’est que vous créiez une controverse. Ils font ce ‘montant dû’ tellement ‘hors des tableaux’ que vous leur téléphonez ou vous leur écrivez au sujet de cet ‘outrage’ et de cette façon vous créez un contrat avec eux. C’est tout ce qu’ils ont besoin pour mettre en vigueur leur absurdité. Je ne contracte pas avec les voyous. Ils sont pires que les requins des emprunts. Si vous discutez, alors vous avez créé une controverse et la question entière peut aller au tribunal pour être adjudiquée ou jugée. Si vous leur dites simplement que vous ne voulez pas contracter avec eux où est la controverse ? Qui a-t-il là à juger ? La seule raison que tout cas finit toujours au tribunal c’est parce que les officiers de la cour savent qu’a un moment ou un autre vous leur accorderez involontairement une juridiction sur vous. Jusqu’à ce que vous fassiez ceci, ils ne peuvent pas vous tenir – peu importe ce que vous pensez que vous avez pu faire.
Appelez cela de la chance, mais un jour j’ai obtenu une lettre (signée) d’un hotshot du fisc qui déclare que mon compte est ‘pleinement soldé’ et de s’excuser pour tout dérangement. La seule explication à laquelle je peux penser c’est que je n’ai jamais témoigné, discuté ou contracté plus loin avec eux; J’ai seulement posé des questions. Vous avez pu lire récemment l’histoire d’un pilote qui a gagné contre le fisc à la ‘cour’Fédérale. Il a gagné parce qu’il a prouvé qu’il avait continuellement demandé au fisc de lui fournir la loi qui la contraint à payer l’impôt sur le revenu et ils ont manqué à répondre. Ses affidavits ont prouvé qu’ils avaient fait défaut et le juge a décidé en sa faveur. Je le sais d’un collègue qui a fait la même chose. CRA a manqué de répondre à trois de ses lettres
– ils l’ont déshonoré – et le juge de déclarer, “Cas renvoyé !”
3. Chaque agent est vicieux parce qu’il attend de recevoir personnellement un pourcentage des fonds qu’il recouvre sur vous.

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Ne succombez pas à cette intimidation. Sachez qu’il est aussi effrayé par son travail que vous pouvez l’être à propos de perdre votre $$$.

4. Il y a approximativement 15 années, un homme a reçu du fisc, une lettre qui dit qu’ils ont projeté de le contrôler. Il était très effrayé et intimidé. Un agent du fisc est venu chez lui puisque c’est ici qu’il prétendait avoir son bureau. Je lui ai dit qu’il n’était pas tenu par la loi de la laisser rentrer dans sa maison et qu’il aurait dû demander par quelle autorité elle avait projeté d’enquêter sur son affaire. Il a dit, “Si je suis coopératif et courtois, elle sera raisonnable.” Son autorisation de la laisser rentrer dans sa maison a été considérée comme son consentement qui lui accorde juridiction. Il pensait que ça se terminerait rapidement cependant il a seulement permis au fisc de savoir qu’ils avaient une autre sucette qui a succombé à leur bluff. Le FISC l’a chassé pendant une autre douzaine d’années jusqu’à ce qu’ils aient mis main basse sur son compte bancaire et confisquèrent les ‘chèques’ et ‘paiements’ de ses clients. Ne gardez pas votre argent dans un compte bancaire. À ce jour, personne n’a jamais volé mon $$$ de ma poche ou de ma maison cependant les banksters ont volé deux fois mon $$$ de mes comptes bancaires.
En réalisant qu’ils allaient le ruiner, il quitta le pays. C’était sa peur du fisc qui lui a donné cet incroyable contrôle sur sa vie. S’il s’était retourné pour regarder le monstre qui le chassait dans son rêve, il aurait vu que ce n’était pas ce qu’il pensait.
Le fils d’une personne que je connais a été tondu par le fisc qui a confisqué de son compte bancaire $11,000. Il leur a écrit une lettre qui inclut cinq (5) questions. L’agent du fisc l’a invité à son bureau pour répondre à ses questions. Au moment de rencontrer l’agent du fisc, les $11,000 était revenu sur son compte. Vous voulez sans doute savoir qu’elles étaient les cinq questions. Il a demandé à ce que les réponses suivantes soient faites sous peine de parjure : la loi qui exige que le peuple souverain paye l’impôt sur le revenu, leur autorité régulatrice et leur autorité délégué à qui s’adresser, la loi qui a fait du fisc une partie de la Constitution, le serment de l’agent du bureau, et le contrat avec les deux signatures dessus. Puisqu’AUCUN de ceux-ci n’existe, ses $11,000 ont été remboursés. Puisque le serment d’officine par un ‘fonctionnaire public’ est leur attestation sous serment de soutenir et protéger nos

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droits, nous acceptons leur serment d’officine en leur donnant matière à réfléchir et prière de répondre et ils sont obligés d’honorer leurs serments et arrêter de nous attaquer. Nous ne sommes pas tenus de répondre à quelqu’un qui n’a aucune assermentation. Ce serment d’officine réduit le nombre de personnes qui travaillent dans le commerce de confisquer nos droits et libertés. Demandez-le toujours et si vous n’en obtenez pas, soyez sûr d’émettre vos propres ordres sur eux. Souvenez-vous de qui vous êtes.

Une de mes expériences les plus mémorables fut quand j’ai demandé à un agent du fisc en personne de me montrer dans le Manuel du Revenu interne qui fait plus de 7,000 pages et approximativement épais de 15cm. – tout faux – où est-il écrit que je dois payer un impôt sur mon revenu. Il a pointé le livre et a dit, “là.” “Je crois que vous pensez que c’est ‘là’; montrez-moi où.” Cette fois il prit le livre et feuilleta les pages à plusieurs reprises, il dit à présent avec plus de force, “Dans le manuel !” “Je vois… où exactement ?” il devient encore plus violent a l’égard de son manuel bien-aimé à tel point que mon ami et moi nous sommes mis à rire et nous l’avons laissé bafouiller dans son bureau. Ne prenez pas ces idiots trop sérieusement. Dénoncez leur bluff.

Au début des années 2000, j’ai reçu un chèque des banksters, « Voici $3.500 Joyeux Noël…. signé au dos de ce chèque», où était écrit en grandes lignes combien je paierai et sur quelle période, en effet, je prenais l’engagement de rembourser ce prétendu prêt et ses intérêts si j’encaissais le chèque. Je l’ai aimé. J’ai accouru à ma banque, j’ai endossé le chèque et j’ai encaissé les $3.500. Ils avaient raison ; cette année-là, j’ai passé un joyeux Noël. Quand ils m’ont envoyé un courrier environ 6 mois plus tard, essayant de récupérer quelque chose de moi qui non seulement n’existait pas mais aussi ne leur avait coûté que l’affranchissement et l’impression, j’ai demandé la preuve de leur allégation. Ils étaient désarçonnés. Ils ne m’ont rien prêté. Comprenez que les banques ne sont pas ‘faites’ pour perdre de $$$, elles sont ‘faites’ pour en gagner ; ils ne veulent pas prêter aux clients qui sont instruits. Ils ne peuvent pas perdre quelque chose qu’ils n’ont jamais prêté. Je sens ce que votre ego vous dit « Bon, vous avez obtenu quelque chose pour rien ». Non ; J’ai vendu ma signature pour $3.500 – un bon prix en 2000. Tout ce que j’ai

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obtenu c’était $3.500 en notes de créances. Depuis lors, j’ai fait mes calculs. Ma signature vaut maintenant des milliards d’euros !

Ils sont devenus vraiment nerveux et se sont montrés menaçants. J’ai demandé qu’ils me montrent leur préjudice. À quel préjudice, prétendez-vous ? Ma banque est-elle pour quelque chose dans cet $$$ ? Non, ses comptes sont équilibrés puisqu’ils ont été électroniquement crédités par « l’autre » banque (il y a seulement une banque). L’autre banque est-elle pour quelque chose dans cet
$$$ ? Non, j’ai même remboursé le capital emprunté et le chèque retourné avec ma signature a été crédité. Ainsi leurs comptes étaient, eux aussi, équilibrés. Mes comptes étaient-ils équilibrés ? Naturellement ! Mon débit était ma signature ainsi que mon remboursement et mon crédit était l’argent comptant. Il s’agissait d’écritures comptables. Qui doit quoi et à qui ? Les transactions sont complètes. C’était simplement un échange de débit/ crédit. Pourquoi je leur donnerais plus que ce que je leur ai déjà donné – le remboursement et ma signature, qui d’ailleurs, est plus valable que $3.500 parce qu’ils vont prêter les fonds créés par ma signature à maintes reprises, ils gagneront selon le taux d’intérêt, un montant très important. Ceci s’appelle ‘les opérations bancaires partielles (ou fractionnaires)’ ils m’ont informé que ceci s’appelle ‘frauder une banque’. En fait je leur ai fait une énorme faveur en leur vendant ma signature. Ils m’ont informé que je devais ‘repayer mon prêt et ses intérêts’. Ceci s’appelle la ‘double facturation’. La ‘double facturation’ est frauduleuse.
Êtes-vous jamais devenu dingue quand une société dépense 50¢ de timbre pour vous envoyer une facture de 11¢ ? Vous vous demandez ce qu’ils fument pour faire une telle gaffe fiscale mais, ceci est une parfaite preuve que cela n’a rien à voir avec $$$, mais plutôt avec l’équilibrage de leurs livres comptables. Leur facturation est simplement ‘un coût, dans la façon de faire des affaires’, en particulier, pour être certain que les crédits équilibrent les débits dans leur registre comptable.
Pour les banques, l’ « argent » est simplement synonyme d’entrées comptables. Il ne leur coûte rien et n’est pas remboursé par leur richesse, efforts, biens, ou risques. De 1913 à 1933 les États-Unis ont payé les ‘intérêts’ avec de plus en plus d’or. L’inévitable arriva bientôt – la trésorerie du gouvernement des Etats-Unis était vide, la dette était plus grande que jamais, et les

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États-Unis furent plongés inévitablement dans une faillite involontaire. Ceci signifie que la Couronne revendique le tout. En échange d’utiliser des bouts de papiers appartenant aux Banksters qu’ils ont créés à partir de rien, en se basant sur notre crédit (cautionnement), nous sommes forcés de rembourser sous la forme de – notre travail, bien, terre, productivité, entreprises, et ressources

– pour des montants sans cesse plus importants.
Ma signature vaut ce que je dis qu’elle vaut à n’importe quel instant. J’ai signé pour $3,500 et ils vont revendre ma signature pour on ne sait combien. Alors j’ai simplement déchargé leur dette. Oui, leur dette ; je les ai autorisés à utiliser mon crédit, grâce à ma signature et ils ont créé la dette correspondante afin d’équilibrer leur livre comptable. Maintenant ils voulaient des intérêts, je leur ai demandé de m’envoyer une copie du contrat entre ‘MOI’ (le nom en lettres majuscules) et la banque. Je suppose qu’ils ne pouvaient pas le trouver… peut-être parce qu’il n’a jamais existé. Je leur ai également demandé la validation de la dette (dossier de leur comptabilité) et la vérification de leur plainte contre moi, comme je m’appelais (Moi) et que ceci n’était nulle part sur le prétendu contrat. Ils ont commencé à me téléphoner pour me demander que je leur envoie leur $$$ pourtant ils n’ont jamais rien mis par écrit. Qu’est-ce que ceci indique ? Ils n’avaient aucune réclamation valide. Je leur ai dit que j’étais disposé à payer toute obligation que je pourrais devoir, à condition qu’ils puissent me fournir la preuve de leur réclamation. Ils ne le pouvaient pas.
Ils étaient incapables de justifier leur réclamation. Je n’ai jamais reçu quoi que ce soit d’eux, suggérant seulement que la somme que je leur avais payé était insuffisante, inacceptable, inexacte, ou que je n’ai pas réglé la dette. En outre, je les ai payés ; en fait je les ai payés plus du double. Ils avaient ma signature originale, le remboursement du capital et je leur ai également envoyé une autre signature attachée à la somme finale qu’ils prétendaient que je leur devais, ainsi ils voulaient donc ma mort. S’ils avaient l’obligation juridique de se justifier, ils me l’auraient certainement déjà fait notifier par huissier, sans parler de leurs avocats qu’ils m’avaient envoyés, qui me menaçaient uniquement par téléphone, jamais sur papier. Les menaces verbales n’ont aucune valeur juridique.

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Je n’ai jamais emmerdé personne. Le ‘contrat’ qu’ils croyaient avoir avec moi n’était pas valide parce qu’il n’y avait aucune pleine divulgation – une des conditions pour qu’un contrat soit valide. Il ne m’a pas été précisé qu’ils étaient en train de frauder avec des gens qui eux ne se doutaient de rien. Puisque la plupart des personnes sont disposées à se faire confisquer frauduleusement leurs fonds, ils oublient généralement les personnes comme moi. Cela signifierait la fin de leur racket, pour ne pas dire du système économique tout entier. Mais n’est pas ce que nous voulons ? Cela ne fonctionne pas pour nous – 99 % de la population du monde ; son fonctionnement est pour eux seulement – 1%%.

Un important cabinet juridique a menacé de me poursuivre, au nom de leur client, toujours la même banque, pour environ $6,000. Nous avons échangé quelques lettres et finalement j’ai écrit, « Je ne suis pas une société ou un gouvernement – une fiction créée ; Je ne vous permets pas de me poursuivre en justice directement ou au nom de l’entité que vous représentez ; Vous n’avez pas fourni la preuve d’un contrat entre MOI et le CABINET JURIDIQUE, et aussi la preuve de votre contrepartie, et vous ne pouvez pas signer votre offre de contrat sous peine de parjure. Ledit échec constitue donc que vous êtes un tiers intrus, vous n’avez aucune reconnaissance légale, aucune connaissance de la question, et votre réclamation est frauduleuse. » Je n’ai plus jamais entendu parler d’eux. Je savais que j’avais gagné quand j’ai reçu un appel d’un agent de recouvrements prétendant qu’il collectait pour eux. Je pouvais à peine contenir ma joie. Ceci a confirmé que le cabinet juridique a dit à l’agence de recouvrement qu’il ne pourrait pas me poursuivre et ainsi, dans la frustration, ils ont simplement vendu le compte – encore – et encore à un autre agent de recouvrements qui a également menacé de me poursuivre. Je lui ai dit que j’attendais ceci avec intérêt. Vous savez, je mourais d’envie de lui dire « Si un cabinet juridique important a échoué dans ses tentatives de me poursuivre qu’est ce qui peut vous faire penser que vous vous y arriverez ? » »
Je traite toujours avec les agents de recouvrements et les banques de crédit, mais j’ai une meilleure manière de m’amuser avec eux maintenant. Je demande aux compagnies de crédit de m’envoyer une facture, pas une déclaration, d’inclure une copie du contrat, de démontrer leur contrepartie (ce qu’elles m’ont donné, qui

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n’était rien, en échange de l’$$$ qu’ils veulent), et de signer ceci sous l’entière responsabilité commerciale de leur société. Puisqu’ils ne peuvent pas faire ceci car ce serait frauduleux s’ils le faisaient, ils passent l’affaire aux agents de recouvrement qui sont bien plus amusants parce que, qui sont-ils ? Je n’ai jamais eu de contrat avec l’un ou l’autre. Ils sont tous des tiers intrus. Je leur dis juste de dégager de mes affaires commerciales. J’aime mieux ceux qui ont des avocats pour écrire les lettres parce que… plus ils sont grands, plus ça leur fait mal quand ils tombent.

L’économie du secteur est contrevenante. Nous avons été trompés en pensant qu’on nous prêtait des fonds qui eux-mêmes étaient déposés par un autre déposant ou avait une quelconque équivalence en métal précieux. Les Banksters nous font croire que si nous ne remboursons pas ces fonds, la banque et ses déposants seront l’argent comptant. Rappelez-vous, tout ce que vous avez emprunté, a été monétisé sous la forme de crédit, qu’a créée votre signature – ils toucheront des intérêts sur environ 200,000.00 Euro – pour 10,000.00 que vous percevez. Vous vous êtes prêté les fonds. Pourquoi remboursez-vous le capital et des intérêts à quelqu’un ? Interrogez un banquier au sujet de ceci, comme je l’ai moi-même même fait et observez le bien, il cessera de respirer un court instant.
Si un faux monnayeur contrefait $$$ et nous le prête, sommes nous obligés moralement ou légalement de rembourser le prêt ? NON ! La loi (statut) indique que la contrefaçon est illégale et que nous ne devons pas rembourser le faux monnayeur. Mais les banquiers font attention. Les banques ont publié leur propre Manuel de Réclamations, « L’argent ne doit pas être délivré par le gouvernement ou n’être sous aucune forme spéciale. L’argent est quelque chose qui peut être vendu pour de l’argent comptant et que les banques acceptent comme de l’argent ». Ne participent-elles pas à une émeute ?
Dans l’histoire de Dan Mahowney qui a prétendument escroqué la banque de plusieurs millions de dollars et également l’histoire de Frank Abegnale dans son livre Attrapez moi si Vous pouvez, ces hommes n’ont jamais pris le fric de quelqu’un. Dan et Frank ont signé pour chaque billet qu’ils recevaient. Ils ont créé les fonds eux-mêmes. Personne n’a perdu d’$$$, ni les investisseurs dans le cas de Mahowney ni les employés dans le cas d’Abegnale. Je parierai à ce jour, que ces deux hommes pensent qu’ils ont fait

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quelque chose d’illégal. Cependant, aucun individu n’a perdu de $$$

du fait de l’un ou de l’autre. Les entités corporatives ont prétendu que ces hommes les avaient volées et ils ont été punis afin de préserver et de perpétuer l’arnaque.
Quand vous achetez quelque chose dans un magasin et qu’ensuite vous le retournez, pourquoi sont-ils résolus à récupérer votre reçu ? Non, pas pour vous prouver que vous avez payé, parce que vous ne pouvez pas payer n’importe quoi. Ce reçu est la preuve de l’échange. Les marchandises ne sont pas importantes, pas plus que le capital principal du ‘prêt’. Tout ce qu’ils (banksters) veulent c’est l’intérêt. Regardez votre paiement minimum dû sur votre relevé de carte de crédit ; cela c’est l’intérêt. Le ‘prêt’ n’existe pas. Ils DOIVENT payer au FMI l’intérêt sur le prêt.
À cela on m’a répondu, « Nous ne nous inquiétons pas au sujet de l’argent, si c’est ce que vous pensez. » J’étais content d’entendre ceci, mais je sais aussi que ce n’est qu’une question de temps. Lui et son épouse payent, par l’intermédiaire de leur travail, probablement 4 fois le prix de leur maison de 5 chambres à coucher ce qui se traduit en 30 ans de paiement, le coût de peut-être 1 an de travail, plus les fournitures qui ont été utilisées dans la construction. Ce rapport disparate ne semble jamais être remis en cause. Qui payent-ils ? Les banques. Pour quoi ? Du Crédit. Ont-ils obtenu quelque chose de leur travail ? Vous pourriez penser qu’ils ont obtenu leur maison du fruit de leur travail et pourtant ce n’est pas le cas, ils ne l’ont pas ; et elle ne leur appartient pas. Ils ont obtenu leur maison en échange de la signature d’un billet à ordre. Leur « travail » est la confiscation de leurs vies.
Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques… les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent. – Mécanique de l’argent moderne, Banque de Réserves Fédérale de Chicago.

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Je me suis rendu compte que tous mes soupçons au sujet du système bancaire étaient exacts quand j’ai lu le livre de Thoren, Truth In Money. J’ai appris que tout argent ‘naît que dès lors qu’il est emprunté’. L’argent n’existe pas jusqu’à ce que quelqu’un l’emprunte. C’est de ‘l’argent basé sur une dette’, par conséquent ce n’est pas vraiment de l’argent puisque le véritable argent est basé sur une substance – l’or, l’argent, etc. Si l’ « argent » naît que dès lors qu’il est emprunté, alors cela signifie qu’il n’existe pas. Ainsi, où est l’ « intérêt » ? Il n’existe pas. Comment peut-il être payé ? Il ne peut pas être payé parce qu’il ne fait pas partie de ce qui est créé. Il n’existe simplement pas. La monnaie que nous employons est basée sur notre futur travail que les Fédéraux ont promis aux banquiers. De futures générations sont déjà contraintes à payer une dette qui n’existe pas.

Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988.

Nous ne pouvons pas payer une dette avec quelque chose qui n’existe pas. Nous devons également jeter un œil à la façon dont les relevés de compte ont été créés. Une valeur est assignée à des marchandises et des services ; tout est vrai uniquement parce que quelqu’un indique ceci et que quelqu’un d’autre est d’accord avec lui. Ne vous êtes-vous jamais questionné sur vos factures, qui ne sont pas de vraies factures dans le commerce mais plutôt des « relevés de compte » ? … Pas la « somme due », mais le concept. Que feriez vous si vous découvriez que tout ce dont vous avez eu besoin ou que ce vous avez voulu était déjà payé ? Que vous ne devez rien à quiconque ? Si vous êtes européens, je suggère que vous consultiez l’excellent site français : http://www.fauxmonnayeurs.org

Quand vous allez dans un magasin acheter un livre et que vous payez quelle que soit la façon que vous choisissez, qu’obtenez-

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vous-en échange de votre paiement ? Non, pas le livre ; vous obtenez un reçu. La preuve en est que le montant sur le reçu correspond précisément au montant de votre paiement. C’est précisément un échange. Le livre n’est pas une part égale de l’équation. Il était prépayé ; tout que vous avez fait, c’est d’aller au magasin, le réclamer et le récupérer.

Imaginez que chacun commence à faire ce qu’il veut et que d’autres suivent également, le Pouvoir des Décideurs cessera de fonctionner. La seule chose qui empêche chacun de faire ce qu’il veut c’est la crainte qui est causée du fait du manque d’information, de temps, et de clarté dans le concept. J’ai l’intention de changer ceci pour vous de sorte que vous puissiez commencer ‘à vivre votre vie’, faisant ainsi ce que vous voulez au lieu de ‘gagner votre vie’. Trop de gens travaillent trop dur pour payer :
1. des choses qui sont déjà à eux parce qu’elles sont prépayées et ce qu’il faudrait c’est les revendiquer et
2. Payer des frais qu’ils ne sont pas tenus de payer parce qu’ils ne sont pas redevables de ceux-ci.

Puisque j’avais saisi la façon dont fonctionnaient les contrats, j’ai décidé de m’amuser avec ce processus. Poursuivant cette aventure, j’ai écrit au Premier Ministre et également au Conseiller Régional chargé de la mise en œuvre de la politique concernant les affaires municipales et je les ai questionnés tous les deux au sujet de l’« impôt foncier ». Ni l’un ni l’autre n’a pu prouver que je suis contraint de payer l’impôt foncier. La manière de cesser de payer tout impôt, est de se rappeler que vous êtes un souverain et donc de commencer à se comporter comme tel.

J’admets que c’est discutable mais certainement plus amusant. Les différents procès que l’on m’a intenté ont été les points culminants de mon apprentissage. J’aime ces choses. Savoir qu’un cabinet juridique qui a représenté les plus grands noms a été forcé de laisser tomber leurs poursuites du seul fait de ma lettre qui leur a fait savoir que je sais ‘qui je suis’.

***

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CHAPITRE II

COMMENT C’EST ARRIVÉ

Les Banquiers ont décidé de gouverner le monde.

Il existe un complot brillant – bien que sournois – qui permet de contrôler TOUTES les personnes et TOUTES les richesses du monde ENTIER.

Je regrette de ne pas y avoir pensé. Très jeune, je me suis douté de son existence mais je n’avais bien sûr aucune raison de croire que j’étais si proche de la vérité. Au cours des 30 dernières années, mes soupçons se sont confirmés. On pourrait dire que j’ai anticipé ce phénomène et qu’il est devenu ma réalité. Je développerai ce point plus tard, mais pour le moment, je souhaite juste vous expliquer ce qui se déroule pour vous donner la possibilité de gérer différemment vos activités commerciales. La domination du monde entier grâce à la confiscation de vos $$$ est déjà en marche. L’Angleterre et les Rothschild contrôlent les $ $$ de tous les pays du monde et par conséquent leurs lois. Il y a 200 ans, le gouverneur Cornwallis déclarait « Les Etats-Unis imposeront un Nouvel ordre mondial et feront de l’Angleterre leur siège ».
On pourrait penser que ce qui se déroule aujourd’hui n’est que pure coïncidence mais il ne fait aucun doute que le gouvernement avait planifié tout ça. – FDR
FDR (Franklin D. Roosevelt) nous a ouvert les yeux sur ce qui se tramait réellement. Il avait l’arme collée sur sa tempe et elle l’était aussi sur celle de tous les autres leaders du monde. Ils obéissaient à la conspiration menée par les sionistes, Illuminati et francs-maçons / autorités supérieures (Powers That Be, ci-après PTB. Pouvoir en place). Il existe des documents consignant tout ce qui s’est passé et, si vous enquêtez, vous trouverez un grand nombre d’informations accompagnées de cas de jurisprudence, de codes, de règles, de règlements, de lois qui ne feront que confirmer ce que j’ai pu constater. Pour ne pas vous égarer, je ne citerai que les sources les plus significatives.

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Accords de Bretton Woods – 1944

Ils donnent naissance au Fonds Monétaire International et à partir de ce moment, les agences étrangères – CIA, FBI, IRS, BAR – prennent le contrôle total grâce à l’influence exercée sur les citoyens au sens du 14e amendement, c’est-à-dire les personnes engagées à devenir des citoyens américains, par opposition aux américains souverains restants. Le seul objectif de la création de ces agences étant la collecte de la dette. Les Etats-Unis constituent une grande corporation appartenant à l’Angleterre – à la Couronne – au Vatican.

Le 14e amendement de la constitution des Etats-Unis était destiné à asservir les personnes s’étant engagées auprès de l’état et à les priver de leurs libertés fondamentales en échange de pseudo avantages. Chaque « avantage » que vous pensez avoir reçu de la part de l’état, qu’il s’agisse des Etats-Unis, du Canada ou de l’Europe, a un prix bien plus important que ce que vous ne pourrez jamais imaginer. À moins que vous ne fassiez la différence entre tout ça, comme j’ai pu la faire moi-même.

En négociant avec ces malfrats, nous leur donnons le pouvoir de tout contrôler et nous ne pouvons plus faire valoir nos droits. Heureusement, il est facile de les récupérer en révoquant, annulant et résiliant tout document sur lequel nous avons pu apposer nos « nom », « date de naissance », « numéro de sécurité sociale » (SSN/SIN) et « signature » et qui aurait pu être interprété par l’état/les banquiers comme un contrat. Même la livraison à domicile de notre courrier est considérée comme un « avantage offert par l’état ». J’ai utilisé le système de poste restante pendant quatre mois avant qu’ils ne décident de me le facturer. J’ai refusé de payer, mais cela n’a pas fonctionné car, j’avais fait la demande de ce service. Mon cas pose un vrai problème car j’ai été obligé de demander cette prestation étant donné que je ne veux pas que mon courrier soit déposé chez moi. C’est mon droit le plus strict de ne pas souhaiter révéler l’endroit où je dors à ceux qui rêvent de s’emparer de mes droits et de mon travail. Tout cela a cessé de m’ennuyer lorsque j’ai réalisé que je ne pouvais faire l’objet de poursuites et qu’aucun représentant de l’ordre n’oserait se présenter chez moi.
À ce propos, Elizabeth, de la famille Windsor (qui a modifié son nom originaire de la royauté d’Allemagne afin que sa consonance soit plus britannique, mais ne nous égarons pas) ne

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représente pas la monarchie du Canada. SA MAJESTE LA REINE ELIZABETH II est une entreprise au même titre que toute autre entité fictive. On peut qualifier de regrettable, voire digne de haute trahison, le fait que tous les politiciens Canadiens aient prêté serment auprès de cette entité étrangère. Il est également absurde que lors de son couronnement, Elizabeth ait juré d’assurer la pérennité des Lois de Dieu. De quelles lois peut-il bien s’agir ? J’aurais aimé l’entendre les énumérer. Il n’en existe aucune. Le serment d’allégeance des politiciens à l’attention de « La Reine » n’est que tromperie et haute trahison.

Revenons au terrifiant problème : Les industrialistes et banquiers dont vous avez entendu prononcer le nom des centaines de fois, tels que Rockefeller, Rothschild, Morgan, etc. ont décidé qu’il serait très amusant de faire main basse sur le monde. Après avoir entrepris tout ce qu’ils avaient toujours rêvé de faire, ils devaient certainement s’ennuyer.
Ils échafaudèrent alors un plan pour contrôler le monde entier. Ne ferions-nous tous pas de même si nous avions les cerveaux et les moyens nécessaires ? Ils possédaient cela et ne se sont pas gênés. Il s’agissait simplement de soudoyer les politiciens américains afin de prendre le pouvoir sur leur propre système de création de richesses. Le Congrès est à l’origine de la création de l’argent et il a été d’une certaine manière persuadé (lisez soudoyé) de basculer cette responsabilité sur une entreprise privée détenue et gérée par ces banquiers. Je ne cherche pas à les blâmer, j’aurais certainement fait la même chose si j’en avais eu l’idée, mais ils ont littéralement détruit les Etats-Unis d’Amérique et les autres pays entraînés comme des dominos dans la chute après la création de l’entreprise dénommée Etats-Unis.
Les banquiers Illuminati gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde. – Henry Makow

Je suis pour une corruption réduite ou plus d’opportunités d’y participer. – Ashleigh Brilliant

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La France et toute l’Europe – 1992

Les Européens ont abandonné, le 7 février 1992, le droit “régalien” de l’État à la création monétaire, au profit des Banksters qui ont focalisé les débats sur l’euro (la monnaie en elle -même, le taux de change, la valeur, la taille et la couleur des pièces et des billets mais bizarrement rien sur la CRÉATION), vous vous souvenez ?

Mais déjà, depuis la réforme des statuts de la Banque de France, ayant fait l’objet de la loi du 3 janvier 1973, les avances au Trésor avaient été supprimées.

Ensuite, l’article 104 du Traité de Maastricht, transposé en France dans la loi du 4 août 1993, interdit aux Banques centrales d’autoriser des découverts, d’accorder tout type de crédit au Trésor public et à tout autre organisme ou entreprise publique.
Parallèlement, les banques peuvent allouer autant de crédits qu’elles le souhaitent (que demandé) en créant, à cette occasion, la monnaie sur laquelle elles feront payer des intérêts.

Ce régime a de multiples conséquences catastrophiques.

Il n’est pas simplement insupportable parce que les actionnaires des banques tirent indûment d’énormes dividendes… d’une monnaie créée ex nihilo et ensuite prêtée à la collectivité.

Il implique aussi et surtout une situation qui assoit dans l’avenir la domination du marché : le volume d’emprunts en cours excède toujours plus celui de l’argent en circulation pour les rembourser.

D’où un surendettement (une impuissance) des États et d’un nombre croissant d’individus, ainsi qu’un pouvoir sans cesse accru pour les principaux détenteurs de capitaux : pouvoir d’achat, de rente, de décision sur les orientations de l’économie.

D’où un régime dans lequel les forts taux d’intérêts ne nuisent pas, au contraire, aux premiers prêteurs.

D’où un afflux de monnaie excédentaire alimentant les bulles spéculatives, moteurs d’un marché condamné à croître toujours

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pour survivre. Excédent par ailleurs non mesuré dans une inflation qui n’est plus qu’un leitmotiv idéologique, conduisant une masse croissante de victimes à prêcher sans discernement pour les intérêts d’un petit nombre de rentiers.

Comme les « taux directeurs » de la BCE pilotent les taux d’intérêts du crédit bancaire, ces derniers donnent le “La” de cascades d’intérêts financiers. Or, ces intérêts pèsent de tout leur poids sur notre vie au quotidien :

Ainsi, entre 1980 et 2006, la dette a augmenté de 913 milliards d’euros, alors que nous avons payé 1176 milliards d’euros d’intérêts (…) Si nous n’avions pas eu à emprunter ces 913 milliards d’euros sur les marchés monétaires, c’est-à-dire si nous avions pu créer notre monnaie, faire exactement ce qu’on pouvait faire jusqu’en 1973, droit que nous citoyens avons cédé aux banques privées en votant « OUI » pour l’Union Européenne. La dette qui était de 229 milliards d’euros début 1980 serait totalement remboursée en 2006 grâce aux 263 milliards d’euros économisés et nous disposerions en plus d’un solde de trésorerie positif de 263 – 229 = 34 milliards d’euros.

On sait comme la mondialisation a fait exploser les fondements de la fiscalité. Mais la récupération des biens détournés, quand bien même elle serait envisageable, ne rendrait pas pour autant à la nation le contrôle qualitatif de la croissance, à savoir celui de sa destinée. Contrairement à l’idée reçue, les impôts d’hier ne font pas les services publics de demain.

Dans une économie effondrée, se demande-t-on s’il faut cesser de financer l’instruction des enfants, la recherche, le Parlement, une presse libre ? Et si la violence des exclus s’accroît, qui demandera qu’on coupe les vivres de la police ?

Se demande-t-on, dans une société ou le quart des actifs souffre directement du chômage, alors qu’elle regorge de biens futiles, s’il faut cesser de construire, de pacifier, d’éduquer ?

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Se demande-t-on encore, en l’an 2007, pourquoi l’humanité voit venir l’asphyxie de son environnement naturel en subissant la domination d’une instance abstraite, absurde, sans avoir idée de ce qui en est le premier fondement ?

Celui qui a le contrôle de la création monétaire est celui qui décide avant tout autre de ce que produit la nation.

La Nation doit pouvoir émettre la monnaie dont elle a besoin, en proportion de son développement.

Et la monnaie qu’elle crée, elle doit pouvoir l’affecter aux projets qu’elle décide pour demain, non pas au paiement de ceux qu’elle se voit imposer, aujourd’hui, impuissante et endettée.

Or, ce peuple qui ne tolère plus un régime consacrant l’impuissance du politique, la mort de l’État social, et la croissance aveugle, ce peuple qui subit à tout instant la domination du dieu marché, méconnaît grandement l’aliment de base de son bourreau : la monnaie. Ce peuple qui croit que l’argent n’a pas d’odeur, qui croît qu’il a aboli les privilèges voilà deux siècles, ignore depuis plus longtemps encore celui des banquiers.

– André-Jacques Holbecq http://www.fauxmonnayeurs.org

Enregistrement vs Déclaration d’inventaire, transcription. Certificat vs Titre

“Registration” (enregistrement) vient du latin “rex, regis” etc. qui signifie royal. Réfléchissez alors à ce qu’il advient de tout ce que vous « enregistrez » – vous en transmettez le caractère légal à la Couronne. Lorsque vous enregistrez quoi que ce soit dans le domaine public, le caractère légal est transmis à l’entreprise que constitue le gouvernement et vous ne disposez plus que du droit équitable. À savoir le droit d’utilisation et non de possession pour lequel vous devrez payer une taxe d’ « utilisation » qui correspond à chaque taxe, qu’il s’agisse du revenu, de la taxe sur l’alcool et le tabac, des ventes, de la propriété, etc.. par opposition aux taxes légales comme les impôts. Afin de dissimuler le fait que l’État est

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désormais propriétaire du bien que vous avez déclaré, un nom qui ressemble beaucoup au vôtre lui est attribué de manière à ce que vous ne découvriez jamais la supercherie. Cependant, le NOM est la propriété du gouvernement. Si vous décidez plutôt de transcrire publiquement votre titre légal sur la propriété, vous conservez votre statut de Propriétaire. Ceci est la chose la plus importante que vous devez apprendre dans l’intérêt de vos affaires commerciales.

Le meilleur exemple des effets de l’enregistrement est l’acte de naissance. Une entité en faillite telle que la ville, l’état, la province ou le pays ne peut faire de transaction commerciale. Alors comment se débrouillent-elles ? Etant donné que les Etats-Unis, le Canada et l’Europe sont en situation de faillite depuis des décennies (l’Europe plus récemment) puisqu’ils ne peuvent s’appuyer sur des ressources comme l’or ou l’argent, le seul atout dont ils disposent reste les hommes et les femmes ainsi que leur travail. Nous servons de caution pour les intérêts sur le prêt accordé par la Banque Mondiale. Chacun de nous est fiché, par le biais de l’acte de naissance. C’est pour ça qu’en mairie vous n’avez le droit qu’à une copie de « votre » acte de naissance et jamais l’original. Le Trésor Public émet un bon du trésor pour l’acte de naissance ; ce dernier est vendu à un organisme boursier et racheté par la Réserve fédérale américaine ou la Banque du Canada ou la BCE qui l’utilise alors comme caution pour émettre des billets de banque. Le bon du trésor est administré pour ces Réserves Fédérales par la Depository Trust Corporation (organisme central de conservation des titres américain). Nous garantissons la valeur desdits bons. Notre travail/énergie est alors payable à une date future. Nous devenons alors « l’outil de transmission » de la richesse. Afin de fournir les biens et services nécessaires, la USG/CAG, émet un bon commercial (billet à ordre) en hypothéquant la propriété, le travail, la vie et le corps de ses citoyens pour le paiement de la dette (faillite). Ce bon commercial nous a tous démunis de toute propriété. Nous ne sommes plus que des « ressources humaines » utilisées comme caution de la dette. Ceci s’est déroulé à notre insu et/ou sans notre consentement lors du renseignement (enregistrement) de nos actes de naissance. Lorsque les mères remplissent un acte de naissance, celui-ci est transmis à l’Etat. Le titre légal de son enfant lui échappe et est donc transféré à ce dernier. Elle ne conserve que le titre équitable (d’où la copie de

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l’acte de naissance) de son enfant qu’elle peut utiliser pour des frais, une « taxe d’utilisation ». Etant donné que l’enfant ne lui appartient plus, elle doit le traiter comme le souhaite le propriétaire.

Le Colonel Edward Mandell House s’est vu attribuer un plan très détaillé devant être mis en œuvre pour asservir le peuple américain. Lors d’une réunion privée avec Woodrow Wilson (Président 1913 – 1921), il a déclaré : « Très vite, chaque Américain devra déclarer son patrimoine biologique (c’est-à-dire vous et vos enfants) à un système national conçu pour garder une trace de chacun et qui fonctionnera sur la base de l’ancien système de gage. Une telle méthode nous permettra d’obliger le peuple à se soumettre à notre programme, et le remboursement des billets que nous leur autorisons à posséder aura une influence sur notre sécurité.
Tout Américain se verra dans l’obligation de se déclarer ou de souffrir de sa capacité à travailler et gagner le droit d’exister. Ils représenteront notre capitale propriété et garantiront constamment notre sécurité grâce à l’application de la loi marchande dans le cadre de transactions sécurisées. Les Américains, en nous transmettant à leur insu et involontairement leurs papiers de valeurs (Acte de naissance) se mettront en situation de faillite et deviendront insolvables, situation sécurisée par leurs gages.
Ils seront déchus de leurs droits et une valeur commerciale leur sera attribuée, qui nous permettra de réaliser des profits. Même le plus intelligent, soit même un homme sur un million, ne pourrait deviner nos plans. Si par accident, un ou deux d’entre eux s’en rendaient compte, nous disposons de tout un arsenal pouvant assurer la crédibilité de notre démenti. Après tout, c’est là le seul moyen logique de financer un gouvernement, en créant des liens et des dettes aux déclarants sous la forme de bénéfices et de privilèges.
Nous engendrerons automatiquement des profits dépassant toutes nos attentes et chaque Américain contribuera à cette escroquerie, que nous appellerons « Sécurité Sociale ». Sans le savoir, chaque Américain sera notre esclave, même si c’est à contrecœur. Le peuple n’aura plus aucun espoir quant à sa rédemption et nous utiliserons les autorités supérieures (présidence) de notre entreprise d’idiots afin qu’ils fomentent ce complot contre l’Amérique – Colonel Edward Mandell House
Voilà pourquoi j’invite les personnes qui souhaitent « se marier » à ne rien signer. Au cours des siècles précédents, un

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homme passait la bague au doigt d’une femme et déclarait « Par cet anneau, je te prends pour épouse ». Les membres de la famille étaient les témoins de cette union et ça s’arrêtait là. Aucun document émis par l’État à signer… Effrayant ! Les enfants peuvent être retirés à leurs parents en raison du certificat de mariage. Ne laissez aucune tierce partie qui s’avérerait publique s’immiscer dans votre accord privé. Elle ne se soucie aucunement des intérêts des deux autres parties et dispose de l’autorisation légale lui permettant de les forcer à obéir à sa requête. Votre mariage cesse de vous appartenir, la tierce partie vous autorisera ou non à mettre fin à votre mariage et décidera même du moment. Cette tierce partie ordonnera de vos enfants qu’ils :

1. Disposent obligatoirement d’un acte de naissance et d’un numéro de sécurité sociale.
2. Consultent un médecin aux ordres du gouvernement pour s’occuper de leur santé,
3. Soient vaccinés par ordonnance,
4. Soient intégrés au système public pour idiots (système scolaire),
5. Se voient prescrire et soient dépendants au Ritalin ou équivalent pharmaceutique.
6. S’engagent dans les forces armées, etc.

Votre enfant deviendra alors un « pupille de la nation » et l’État décidera en priorité de ce qu’IL doit penser, vous n’aurez plus aucune autorité sur lui.

L’acte de naissance donne lieu à une FICTION (le nom du nouveau-né en lettres majuscules). L’état/la province vend cet acte de naissance au service commercial des sociétés que constituent les Etats-Unis/Canada/Europe, qui à son tour, utilise le certificat de naissance comme caution pour en faire un instrument négociable et intégrer cette fiction, également dénommée HOMME DE PAILLE aux stocks de la société des Etats-Unis, du Canada ou d’Europe. La représentation de la fiction créée a été attribuée au BAR (Bureau/Régence britannique accréditée), détenu et dirigé par la Couronne dans l’objectif de faire de la fiction (que la plupart d’entre nous considèrent comme étant leur propre personne) un objet de contrat où interviendrait une tierce partie. Ne sous-estimez pas le pouvoir qui se cache derrière cette arnaque. Ils cherchent

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simplement à nous entuber pour que nous soyons liés contractuellement aux réserves fédérales et qu’elles puissent nous démunir « légalement » de tous nos biens. Tous ces contrats contiennent nos signatures seulement parce que les fictions des sociétés ne peuvent pas prendre part à un contrat (seuls les êtres humains ont le droit d’établir un contrat et le droit de ne pas en établir).

Etant donné que la révélation de la vérité n’est jamais totale puisqu’on ne nous informe jamais que l’on vient de renoncer à ce que l’on pensait être notre bien, ces contrats sont tout simplement frauduleux. Par conséquent, nous sommes toujours le propriétaire légal et les profits réalisés par les Réserves grâce à la vente de garanties (notre propriété) nous appartiennent et doivent être rassemblés en un fond à notre avantage. Si ce n’est pas le cas, il s’agit alors d’une fraude.
Les Réserves ne voulant pas être accusées de fraude, il leur fallait nous fournir un alibi … et espérer que nous n’en doutions pas.
Depuis des décennies, le gouvernement a réussi à nous tromper sur certains faits primordiaux grâce à son système d’école “publique”. Les médias (journaux, radio, télévision) influencent de plus en plus nos vies et sont contrôlés par le gouvernement et ses agences via l’émission de licences. Nous avons été soumis à un processus lent et systématique destiné à nous faire croire que toutes les formes de notre nom nous représentent, ce qui est totalement faux.

L’Histoire du Monde

Les catastrophes, dépressions, guerres, désastres et assassinats ont TOUS été planifiés, provoqués, organisés et mis en œuvre par les Banksters internationaux. Leur tentative de création d’une banque centrale dans chaque pays du monde a abouti grâce aux politiciens véreux qui ont été achetés et payés dans cet objectif. Voilà tout ce que vous devez savoir à propos de l’Histoire du Monde. John Fitzgerald Kennedy et Abraham Lincoln, en émettant respectivement des billets de 5 dollars et des bons du Trésor (billets

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d’un dollar), furent les seuls à tenter activement de les arrêter. Les deux furent assassinés par les banksters.
Garfield et McKinley ont évoqué l’idée de les arrêter. Ils furent également assassinés par les banksters.
Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité. – Abraham Lincoln

Les banksters internationaux ont constamment œuvré pour la création de banques centrales. Les Etats-Unis ont résisté à cette idée pendant des décennies car leur système fonctionnait correctement, à savoir pas d’argent servant de créance.

Ils ont pris conscience du profit phénoménal offert par l’émission de leurs propres billets, en obligeant le congrès à accepter ce système bancaire privé puis en prêtant des $$$ à des taux d’intérêt exorbitants (par ex. l’impôt sur le revenu gradué – second argument du manifeste communiste).
Ils ont alors demandé à ce que les intérêts dus pour l’argent prêté au gouvernement soient remboursés en or. Ainsi, lorsque le gouvernement eut épuisé ses réserves d’or (il n’y a pas d’or à Fort Knox – il fut remis à la Banque d’Angleterre pour les intérêts du prêt), il dut trouver d’autres formes de richesses à utiliser comme caution pour les prêts dont il prétendait toujours avoir besoin. Mais pour financer quoi ? Les revenus n’ont pas besoin d’être importants pour les fonctions fédérales réelles, c’est-à-dire : une armée, un commerce international et interétatique et le bien-être de tous. Le reste n’est que pure extorsion.
Que pouvaient-ils bien utiliser s’il n’y avait plus d’or ? Voyons ! Les citoyens eux-mêmes … mais … nous sommes un peuple souverain. Comment pouvons-nous être utilisés comme richesse pour le remboursement d’une dette imaginaire ? C’est impossible, du moins d’un point de vue légal. Cependant, on peut nous faire croire que nous sommes responsables de la dette en nous transformant en contreparties pour une entité fictive (homme de paille) créée par le gouvernement. Au moyen d’un schéma

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marketing détourné et plus que brillant, nous avons été amenés à croire que nous sommes différents de ce que nous sommes réellement et que nous devons travailler afin de réunir des fonds permettant de régler une dette dont nous ne sommes non seulement pas les responsables, mais QUI AUGMENTE EGALEMENT CHAQUE JOUR OÙ NOUS TRAVAILLONS POUR LA PAYER. S’il vous plaît, arrêtez de « travailler pour une vie meilleure. »

Vous vous demandez certainement comment cela a bien pu arriver. Cela n’a pas vraiment d’importance, mais voici tout de même un résumé de ce qu’en pensent les témoins. Il ne s’agit pas de ce que nous a appris le système public pour idiots.

Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde.

En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli. – 1924 US Banker’s Association Magazine

La déclaration de Rothschild : « Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois », marque la naissance de la contestation et du désaccord militaires, commerciaux, sociaux, politiques et financiers de la nouvelle ère.

Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce

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système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres.
Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment, mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi. – – Charles A. Lindbergh, R-MN

Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connues. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout cela est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde – Louis McFadden, D-PA

La plupart des Américains n’a pas une compréhension réelle des opérations effectuées par les prêteurs internationaux. Les comptes de la Banque centrale américaine n’ont jamais été contrôlés. Elle n’est pas soumise au contrôle du Congrès et manipule le crédit des Etats-Unis. – Barry Goldwater, R-AZ

J’ai involontairement ruiné mon pays. – W. Wilson, à propos d’un passage sur le Federal Reserve Act, 1913

Lorsque l’on comprend que le socialisme n’est pas un programme visant à « partager les richesses » mais plutôt une méthode pour en réalité consolider et contrôler les richesses, alors le paradoxe apparent des hommes super riches favorisant le socialisme n’apparaît plus du tout comme tel. Au contraire, il devient logique et représente même l’outil parfait des mégalomanes assoiffés de pouvoir. Le communisme, ou plus précisément le socialisme, n’est pas un mouvement orchestré par les masses du petit peuple mais par l’élite économique. – Gary Allen

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Ce (la Grande Dépression) n’était pas un accident mais plutôt un événement habilement monté de toutes pièces. Les banquiers internationaux ont cherché à imposer une atmosphère de désespoir afin de s’imposer comme nos dirigeants. – Louis McFadden

La Réserve fédérale est sans conteste à l’origine de la Grande Dépression, en raison de la réduction d’un tiers (1/3) du volume de monnaie en circulation entre 1929 et 1933. – Milton Friedman

On peut assister à une récession sur le marché des valeurs, mais en aucun cas à un événement de la nature d’un crash. – Irving Fisher, économiste américain réputé, New York Times, Sept. 5, 1929

Les pratiques éhontées des employés aux opérations de change font face aux accusations de l’opinion publique, rejetées par le cœur et l’esprit des hommes. Ces opérateurs de change ont fui leurs sièges haut placés dans le temple de notre civilisation. – FDR, qui admet ne jamais avoir lu la loi de 1933 qui évoque l’or.

L’histoire nous rappelle que les employés aux opérations de change ont usé de toute forme d’abus, de complot, de dissimulation et même de violence pour conserver leur pouvoir sur les gouvernements par le biais du contrôle de l’argent et de son émission. – James Madison

Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. – Henry Ford

L’objectif général de la politique pratique consiste à maintenir la populace dans un état d’alarme constant (et donc bruyant pour conduire à la sécurité) en agitant la menace d’une série interminable de sceptres tous bien imaginaires. – H. L. Mencken

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Avons nous besoin de connaître les résultats : impôts injustes, multiplication des frais du foyer, augmentation des frais médicaux, contrôle de l’énergie et des ressources, contrôle des élections et des principes politiques, et discrédit de tout progrès social par la multiplication des coûts. Les banques centrales, via le FMI/la Banque Mondiale, ont englouti le monde avec un système monétaire de crédit/d’emprunt basé sur la dette, mathématiquement démontrée irréaliste.

Il y a une trentaine d’années, un étudiant formulait un concept d’économie perfectionné en matière de mathématiques. En 1979, il fournit la preuve mathématique que toute économie alimentée par une monnaie soumise à des intérêts finit inévitablement avec une dette non résorbable. D’ailleurs un papier, un stylo et 30 secondes suffisent à le démontrer, P/(P+I) honoreront leur contrat. I/(P+I) seront saisis. Si vous êtes plutôt attiré par le multimédia, visionnez donc le documentaire « L’Argent Dette. »
Lorsqu’on lui a demandé quelle est la chose la plus fantastique qu’il ait rencontré au cours de ses travaux, Albert Einstein a répondu « les intérêts composés ».
Il existe désormais une Réserve Fédérale dans chaque pays du monde, au Canada elle est connue sous le nom de Banque du Canada. En Europe sous le nom de BCE (Banque Centrale Européenne). C’est d’ailleurs la première chose que les USA ont institué en Irak.
Les banksters sont diaboliques, malhonnêtes, ignobles, excessifs, déshonorants et peuvent être comparés à des tyrans sans remords. Sans s’abaisser à la diffamation, il est tout de même urgent que vous saisissiez la sournoiserie de leur plan et de quelle manière il a détruit chaque vie, peu importe le degré. Ils nous ont tous enfermés dans l’esclavage et laissés pour la plupart dans la pénurie. Je ne connais pas une seule âme qui ne soit plus ou moins obsédée par l’argent ou le manque d’argent ou même par la perspective de ne pas être obsédée. Nos vies se résument à « argent ou pas argent », ce qui signifie que nous n’arrivons jamais à nous en libérer, c’est à peine si on le peut de son concept.
Ainsi, le point central de tout ce que nous avons appris en cours d’histoire était immatériel et hors de propos. Les faits peuvent être précis, mais comme vous vous en apercevez par la suite, les faits sont immatériels. Tout ce qui compte c’est l’honneur/le

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déshonneur, le contrat et le crédit/débit. Nous sommes prisonniers d’un piège commercial à propos duquel on nous a tout caché à des fins d’esclavage. Seuls quelques siècles de l’histoire du monde n’évoquent pas le commerce. Mais il est certain que les deux derniers millénaires ont été consacrés à l’esclavagisme des masses afin de satisfaire aux profits et aux styles de vie de l’élite. Ce stratagème est bientôt arrivé à maturité.

J’ai toujours soupçonné le système bancaire d’être frauduleux. Il n’est pas bien difficile de remarquer que les bâtiments les plus hauts et les plus prodigieux de n’importe quelle ville est ceux des établissements bancaires. Pas besoin d’être très astucieux pour comprendre ce qu’il se passe.
Lorsque j’ai lu le livre de Thoren, j’ai jubilé de découvrir que j’avais raison même si j’en étais démoralisé. … J’avais raison.
Nous sommes complètement dépendants des banques commerciales. Il est nécessaire d’emprunter le moindre dollar dont nous disposons, que ce soit du liquide ou à crédit. Si les banques créent un énorme volume de monnaie artificielle, nous prospérons ; le cas échéant, nous mourons de faim. Nous ne disposons jamais d’un système monétaire permanent. Ce sujet est celui sur lequel les personnes intelligentes doivent le plus enquêter et réfléchir. Il est tellement important que la civilisation actuelle pourrait s’effondrer si on ne prenait pas très vite conscience de ce problème et qu’on n’éradiquait pas très vite les faiblesses. – Robert H. Hamphill, Réserve Fédérale d’Atlanta.
Voilà donc le constat aujourd’hui : un système bancaire contrôlé par une poignée d’intérêts privés ; un gouvernement capable d’appauvrir et de terroriser les personnes productives en contrôlant leurs salaires et profits ; un bureau de police secret destiné à suivre, harceler et parfois assassiner les dissidents tout en couvrant les crimes de l’élite ; enfin, une politique d’ingénierie sociale à travers laquelle le gouvernement fédéral façonne l’opinion publique.
Il est primordial de comprendre comment les acteurs du gouvernement ont mis nos vies sens dessus dessous et ont réussi à nous faire croire qu’ils nous sont supérieurs, alors qu’en réalité nous leur sommes supérieurs.

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Le Canada a connu à peu près la même situation, mais plus tard, ce qui signifie que lors de la chute des Etats-Unis, les autres états ne tarderont pas à suivre.

1865 – 13e Amendement – les personnes pouvaient s’engager volontairement dans l’esclavagisme en acceptant les avantages fédéraux.

1868 – Le 14e Amendement crée une nouvelle classe de citoyens, la « personne » est soumise au gouvernement fédéral.

1871 – Le gouvernement fédéral s’auto proclame société – les Etats-Unis.
1913 – Création de la Réserve fédérale.
1933 – Le Président Roosevelt valide l’entrée en vigueur du « Trading with the Enemies Act ». Il ne concerne que les citoyens fédéraux.
1933 – Le Président Roosevelt retire tout son or au peuple, auquel il n’a pas été demandé légalement de s’en dessaisir et qui n’a donc plus de moyen d’honorer ses dettes.
9 mars 1933 – La propriété (titre légal) de tout bien revient à l’Etat. La personne « propriétaire » ne l’est qu’à titre équitable (utilisation). L’utilisation doit se faire en accord avec la loi et conformément aux besoins de l’Etat.
(BON SANG ! Relis ça.)
1933 – Le Président Roosevelt entérine la résolution 192 (House Joint Resolution) le 5 juin 1933 – étant donné que le gouvernement s’est emparé de l’or et que le peuple n’a pas d’argent, le gouvernement doit régler “les dettes” du peuple, en lui accordant des crédits illimités. Celui qui possède l’or règle la facture. Cette législation établit que personne ne peut exiger de vous une certaine forme de monnaie étant donné que toutes les formes de monnaie constituent votre crédit. Si c’est quand même le cas, cette personne transgresse la loi votée PL 73-10. Cette police d’assurance ne protège pas seulement les législateurs des condamnations pour fraude ou trahison mais également le peuple des dommages causés par les Réserves Fédérales.
1938 – Le cas Erie Railroad vs. Tompkins établit la souveraineté des contrats dans les tribunaux. Aucune loi antérieure à 1938 ne peut être citée pour les différentes affaires.

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1946 – Le gouvernement et le système judiciaire sont discrédités avec le Administrative Procedures Act.

1965 – L’argent (le matériau) n’est plus considéré comme un moyen de remboursement de la dette. Le Code commercial uniforme est défini comme loi suprême du pays concernant le système bancaire. Les tribunaux sont rassemblés sous la loi maritime/administrative et civile (contrat/commerce/entreprise), supprimant ainsi le fait de plaider l’ « innocence » et transformant la « présomption d’innocence en présomption de culpabilité ». Les tribunaux peuvent toujours utiliser leurs moyens de garantie de paiement qui dépendent des entités commerciales fictives comme base de paiement irréfutable.
1966 – Acte Federal Tax Lien Act : Les systèmes de taxes et monétaires sont totalement soumis à l’U.C.C. (Code commercial uniforme)

Depuis la déclaration de faillite, alors que nos corps et notre travail sont voués à payer pour elle, ils nous ont dépossédé de notre titre et de nos droits et les ont remplacés par des privilèges et des avantages. Nous sommes désormais des esclaves/instruments d’hypothèque car nous sommes impliqués à notre insu dans des contrats d’adhésion ; bien que leurs termes et conditions ne soient pas complètement révélés, ce qui rend ces contrats invalides et frauduleux. Cependant, nous serons toujours liés à ces termes tant que nous n’effacerons pas les dommages en nous opposant à la présomption. Les Statuts du Commerce, l’UCC/ PPSA et tous ceux qui y sont liés : Bills of Exchange Act, Conveyance and Law of Property Act, Courts of Justice Act, ont remplacé les lois s’appliquant aux êtres humains par des statuts pour les entités fictives. Mais nous ne pouvons pas jouer à un jeu imaginaire ; nous avons besoin d’entités fictives pour jouer. Alors le gouvernement a créé les jetons du jeu pour nous, l’homme de paille, et ils nous ont leurrés en faisant en sorte que le nom de l’homme de paille soit celui qui nous représente. La situation est telle que nous penserons que c’est de nous qu’ils parlent lorsqu’ils prononcent des mots tels que « personne », « résident », etc. Sauf que nous ne sommes pas une « personne » ou un « résident ». Le mot « personne » dans le jeu concerne une entité fictive, inexistante, artificielle, une société créée par le gouvernement et qui n’a rien à voir avec nous, excepté que le

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nom qu’ils utilisent pour la nommer semble être le même que celui qui nous représente.
L’entité à laquelle ces statuts se réfèrent et s’appliquent est toujours « personne » ou « personnes ». Cependant, nous savons que cette entité est une fiction créée par le gouvernement et qu’elle n’existe pas. Les Réserves Fédérales/banksters ont discrètement mais sûrement utilisé le nom de cette société fictive en lettres majuscules pour la différencier de l’âme réelle, faite de chair et de sang, afin de nous faire croire qu’il s’agit en fait de nous. Cette distinction est d’une importance capitale. Etant donné que nous savons que le nom de la société est en lettres majuscules et que les statuts ne s’appliquent qu’aux sociétés, mais également que les statuts utilisent toujours le mot « personne » pour décrire à qui ils s’appliquent, nous pouvons alors en conclure que la « personne » est
une société et non une âme vivante. Nous ne sommes pas les
« personnes ». Les statuts ne s’appliquent pas à nous. Seules les
« lois » nous concernent. Cependant, il n’existe qu’une seule loi, il nous est donc facile de garder à l’esprit qu’« il nous est interdit d’empiéter sur les droits, la vie, la liberté ou la propriété d’une autre personne vivante ». Si c’est le cas, l’être humain concerné peut porter plainte auprès du tribunal et un jury décidera si cette plainte est légitime et négociera avec nous en fonction de son verdict. Dans les tribunaux aujourd’hui, l’homme de paille, la société créée par le gouvernement, est accusé d’un crime basé sur la violation d’un statut. Cela ne poserait aucun problème si nous n’étions pas utilisés comme garantie pour cette entité qui ne serait certainement pas capable de faire quelque chose de mal, puisqu’elle n’existe que dans l’esprit de ceux qui nous ont privés de notre liberté. Nous ne pouvons être accusés par l’État d’aucun crime car les crimes sont commerciaux… et le commerce est une situation irréelle dans laquelle nous ne pouvons être impliqués puisque nous sommes réels. Les fictions ne peuvent être liées aux âmes vivantes car elles ne peuvent rien faire qui nécessite une réunion des esprits, par ex. un contrat ou un des sens de l’être vivant comme l’ouïe, la vue ou la pensée. Nous avons été contraints illicitement à utiliser l’homme de paille afin de rentrer dans le commerce. Pour eux, Il est indispensable que nous apprenions à le faire pour pouvoir commencer à officiellement « rembourser la dette » et à

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officieusement « servir d’esclave ». Nous n’avons jamais été faits pour le commerce.
L’usage légal des mots est bien différent de l’usage en anglais standard. Le meilleur exemple est celui du Président Clinton qui déclarait : « Tout dépend de la définition du mot « être » ». Cela nous a tous fait rire, mais le dictionnaire Black’s Law contient dix-huit (18) définitions différentes du mot « être ». Vérifiez tous les documents qui selon vous vous identifient : acte de naissance, permis de conduire, passeport, carte d’électeur, factures des charges, etc. Le nom qui vous représente n’y est stipulé nulle part.
Etant donné que les entités fictives ne peuvent pas établir de contrat avec les êtres humains, un intermédiaire est nécessaire à la transaction. L’homme de paille représente cet intermédiaire. Tous les contrats sont donc établis entre l’homme de paille et l’entité publique et non entre un être vivant privé et une entité publique.
Dans la mesure où chaque gouvernement est une personne artificielle, une abstraction et une seule créature de l’esprit, il ne peut intervenir qu’avec d’autres personnes artificielles. L’imaginaire n’ayant aucun caractère réel ou matériel, tout est mis en place pour l’empêcher de créer une parodie du tangible. Dans le domaine légal, cela revient à dire qu’aucun gouvernement, loi, agence, tribunal, etc.. ne peut intervenir dans d’autres domaines que ceux qui concernent les sociétés, les personnes artificielles et les contrats qui les lient. – Anonyme, en référence au procès américain Penhallow vs. Gestionnaire de Doanes – 1795

Le système public pour idiots, les médias et autres pseudos « autorités » qui règnent sur nos vies, ont agi de manière à nous faire croire que ce nom d’homme de paille (un nom fictif identifiable par les lettres majuscules qui le composent) est notre vrai nom. Ça ne l’est pas. L’objectif du nom de cet homme de paille est de nous tromper afin de véhiculer l’idée que nous sommes la garantie de toute obligation/contrat impliquant l’homme de paille. Puisque les Réserves Fédérales ont créé l’homme de paille, elles le contrôlent et lui imposent leurs codes, règles, régulations, statuts, ordonnances, arrêtés et législation. Ce n’est pas le cas des entités/souverains privés. Si nous ne sommes pas conscients de ce fait, il est facile de nous faire croire que nous servons de garantie aux dettes, exigibilités et obligations de l’homme de paille.

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Si nous nous « emparons » de notre homme de paille en déclarant son nom au niveau public via une Déclaration de financement, seul contrat au monde ne pouvant être rompu (UCC-1 / PPSA – visitez le site Web de votre Secrétaire d’État/ppsa.ca), nous le déclarons alors comme notre débiteur. Il n’est alors plus soumis à l’autorité des Réserves Fédérales, mais à la nôtre. Nous pouvons également revendiquer la propriété de notre acte de naissance, titre à l’origine de l’homme de paille, et nous décharger ainsi, nous les êtres vivants, de toute dette, exigibilité ou obligation de ce dernier. Toutes ces dettes n’existent que sur le papier, aujourd’hui une zone numérique, dans les ordinateurs, dans un monde commercial fictif. Elles ne sont pas réelles, même si les banksters s’emploient à nous faire croire le contraire. Le propre de l’âme réelle est de n’être soumis à aucune taxe ou aucun frais.

Acceptation de la charge, Renvoi pour règlement, Acquittement et Clôture

Un gouvernement fictif ne peut fonctionner que dans un environnement commercial fictif où l’argent n’est pas réel, où les fonds sont fictifs… simples écritures, chiffres, numéros. Toutes les charges sont des revendications qui s’adressent à l’homme de paille et non à nous. Seuls les chiffres passent d’un côté à l’autre du compte, au crédit ou au débit. Le fait de résister à ces charges fictives ne fait que nous attirer des ennuis, c’est pour cela que nous les acceptons et les réglons, en équilibrant ainsi le compte. Le fait d’accepter la charge met également fin à la controverse, comme je l’ai fait avec la banque. Il n’y a rien à juger donc il est impossible de faire appel à un tribunal. Le fait d’accepter la charge nous permet également d’annuler la revendication négative concernant le compte et de devenir ainsi le titulaire en temps utile de la charge/présentation/revendication. Il est alors possible de demander l’équilibre du compte. Etant donné que nous sommes les seuls à pouvoir créer du crédit, personne d’autre que nous ne peut équilibrer le compte. Toute dette est créée sur le papier, ainsi toute dette peut être annulée avec … d’autres bouts de papier.

Le fait de jouer au jeu du commerce, par opposition à ce que la plupart considèrent comme le jeu légal, nous permet de contrôler

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le mouvement des chiffres, nombres et entrées sur le compte à notre avantage, plutôt qu’à celui de ceux qui confisqueraient notre travail sous la forme de liquidités. Aujourd’hui, aucun statut, code, règle ou réglementation ne nous concerne, ils ne s’appliquent qu’à l’homme de paille sur lequel nous avons le contrôle. Les Réserves Fédérales n’ont donc aucun pouvoir sur nous, elles ne disposent pas non plus de notre consentement et nous ne faisons pas partie de leur monde fictif et commercial. Ceux d’entre nous qui décident d’assumer la charge de leurs affaires commerciales font partie de la solution et non plus du problème.

Afin que chacun recouvre sa liberté et son indépendance, il faut d’abord sécuriser le titre et la propriété de l’homme de paille. Une fois le contrôle sur l’homme de paille exercé, on contrôle alors les droits de propriété acquis par l’homme de paille. Celui qui veut récupérer le titre de propriété de son corps doit sécuriser son acte de naissance. Après l’avoir récupéré et renseigné via une déclaration de financement, nous possédons alors le droit de propriété grâce à notre homme de paille que nous contrôlons désormais. Le bon émis est vendu sur le marché pour l’homme de paille qui devient désormais notre propriété.
Prenons l’exemple du jeu de société Monopoly®™, où vous tirez une carte Chance qui déclare que vous devez « payer la taxe de scolarité de 100 € », vous remettez les $$$ au « banquier ». (Je pense que les Parker ont essayé de nous faire passer un message). Lorsque le gouvernement demande à l’homme de paille de régler une taxe, nous, les « joueurs » ostensibles sommes utilisés comme garantie pour notre pion/homme de paille et « priés de payer » même si la charge ne nous concerne pas directement. Elle s’adresse à notre pion (le haut-de-forme, la voiture de course, la vieille chaussure). Nous payons pour le pion car celui-ci n’est pas réel et ne peut rien faire. Nous sommes la ressource du pion/homme de paille. Comme l’ « argent » n’est pas réel non plus, il ne peut y avoir de réelle perte pour nous en tant qu’êtres humains bien que cela paraisse être la seule issue possible.
Nous étions capables de vivre une vraie vie avec l’argent réel. Nous jouons aujourd’hui un jeu avec l’argent du Monopoly. On nous a empêchés de vivre une vraie vie, nous sommes pris au piège dans un jeu. Cela ne s’est pas fait avec notre consentement éclairé. Que faire si nous voulons revenir dans la vraie vie ? Nous

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devrions sortir du jeu. C’est assez irritant car les autorités supérieures ou PTB sont capables de nous contrôler grâce à la confiscation de nos finances et nous gardent ainsi dans le jeu. Pourquoi nous laisseraient-ils sortir d’un jeu qu’ils sont sûrs de gagner et que nous sommes destinés à perdre ? Il n’y a aucun moyen d’arrêter de jouer à moins que nous ne cherchions consciemment à nous en extraire. C’est simple mais pas facile, surtout parce que les banksters refusent de perdre. La plupart d’entre nous ne réalisent également pas que nous avons le choix, parce que beaucoup n’ont jamais considéré que nous avons donné notre accord pour participer à un jeu que nous ne pouvons gagner. Qui pourrait accepter sciemment de jouer à un tel jeu ?

L’UCC constitue les règles du jeu et toute entité au sein du jeu est une « société », étant donné qu’aucune âme vivante ne peut jouer à ce jeu, seuls les hommes de paille le peuvent. Ainsi, le Income Tax Act, qui fait partie du jeu commercial, ne s’applique qu’aux entités fictives puisque ce sont les seules qui peuvent jouer. Puisque le jeu consiste à confisquer des fonds, ils nous tiennent, nous qui souhaitons simplement vivre une vie aussi libres que possible « sans empiéter sur les droits des autres », en tant que garantie pour la pseudo dette de notre homme de paille. Mais la politique publique, aux Etats-Unis, House Joint Resolution 192 du 5 juin 1933, et au Canada, Ordre du Conseil N. 16 du 10 avril 1933 – nous indique qu’étant donné qu’il n’existe aucune matière permettant de « régler » une dette, alors toute dette doit être « refusée ». Comment pouvons-nous « payer » une dette quand il n’existe rien pour la « régler ». C’est impossible, alors la seule chose que nous pouvons faire consiste à la refuser. L’argent n’existant pas, il ne reste que le crédit, nous devons donc « payer » une dette avec le crédit. Comment le crédit est-il créé ? VIA NOTRE SIGNATURE. Chaque fois que nous signons un billet à ordre, nous créons du crédit. Nous devons donc disposer d’un grand volume de crédit. L’utilisons-nous ? Ou est-ce plutôt le cas d’une entité fictive ? Chaque fois que nous utilisons notre signature à des fins publiques et pour toute entité publique, nous abandonnons notre exemption. Qu’avons-nous en retour ?
Exemple : lorsque vous grillez un STOP, vous n’êtes pas concerné par l’amende. Elle s’applique à votre homme de paille car c’est son nom qui apparaît sur le permis de conduire que vous

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utilisez involontairement comme « identification ». Toute citation s’adresse également à l’homme de paille ; votre nom n’y est pas stipulé. Cependant, étant donné que l’homme de paille n’existe pas, vous êtes utilisés comme garantie pour l’amende. Malin, n’est-ce pas ? Je vous imagine déjà en train de dire, « mais c’est moi qui aie enfreint la loi en grillant le STOP ». Quelle loi ? Il n’existe aucune loi excepté celle qui protège la vie, la liberté, les droits et la propriété de tous les êtres vivants. Donc vous n’avez enfreint aucune loi, à moins, bien sûr, que quelqu’un n’ait été blessé. Dans ce cas, je suis sûr qu’en tant qu’être humain honnête, vous répareriez votre erreur.

À cet effet, j’ai déposé une caution auprès du Ministre des Transports dans l’éventualité d’un incident qui m’obligerait à fournir une compensation à un autre être humain. Je ne paierai rien à une société détenue au niveau fédéral que l’on appelle assurance pour me « protéger ». Mon grand-père disait toujours « protège-moi des protecteurs ». Cette caution est renforcée par mon exemption qui est sans limites. Qu’est ce qui est le mieux ? Travailler comme des esclaves pour payer une super assurance à une entité qui pourrait ne pas couvrir vos transgressions ou balayer votre police d’assurance d’un revers de main ? Ou garantir la réalisation de tout engagement grâce à votre propre exemption illimitée avec un dépôt de garantie ? Je pense que la dernière solution est plus sûre.
Dans peu de temps, nous servirons tous à nouveau d’
« assurance » pour un autre. Lorsque la grange du fermier a brûlé, ces voisins l’ont aidé à la reconstruire, dans l’anticipation du jour où eux aussi auraient besoin de l’aide des fermiers du voisinage. C’est la “bonne assurance”. Les banksters ont infiltré cet échange de bons procédés en créant une industrie de l’assurance, de la même manière qu’ils se sont immiscés dans les échanges commerciaux des gens en créant un système d’argent de la dette.
« Vous devez désormais faire appel à notre argent/sociétés d’assurance plutôt que de compter sur vous-même ou vos voisins, mais cela a un coût ». Qui y a cru ? Pourquoi déciderait-on de faire confiance à une entité fictive alors que l’on a toujours cru en ses voisins ? Je ne le ferais pas.
Revenons au problème de la circulation. En réalité, l’incident pour lequel vous avez eu une amende à la place de votre homme de paille constitue la violation d’un statut. Le statut ne s’applique

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qu’aux entités fictives et comme l’homme de paille ne peut rien faire, ne vous embêtez pas à vous arrêter au STOP, le flic (qui ça se trouve le sait aussi bien que vous) fera tout pour vous faire croire que c’est vous qui avez transgressé la loi. Mais aucun statut ne s’applique aux êtres vivants, de la même manière qu’aucun « Allez en prison, allez directement en prison, ne passez pas par la case départ, ne touchez pas les 130 € » du Monopoly®™ ne s’appliquent pas à vous, mais à votre pion à la forme d’une voiture de course.

Nous sommes trop nombreux à avoir peur. J’ai remarqué que toute cette peur se traduit en $$$. J’ai demandé à un grand nombre de personnes aux âges variés ce qu’ils rêveraient d’avoir, et ils ont très souvent répondu « plus d’argent ». Lorsque les gens sont confrontés à ce qu’ils pensent être un « problème », ils ont tendance à vouloir trouver une solution à l’effet plutôt qu’à la cause. Ils parlent d’avoir un second boulot, d’envoyer un autre membre de la famille travailler ou encore d’emprunter des $$$ , afin de « boucler les fins de mois ». Dans leur course effrénée, est-ce qu’un jour certains de ces individus se sont assis autour d’une table et se sont demandé « Pourquoi n’avons-nous pas de $$$ ? ».
S’ils l’ont fait, la réponse qui leur est venue à l’esprit est celle pour laquelle nous sommes programmés tous les jours, c’est-à-dire « Les Américains, les Canadiens et les Européens dépensent bien au-delà de leurs moyens et s’endettent sérieusement ». Ceci est complètement FAUX. La plupart se sentent coupables et puisqu’ils pensent être eux-mêmes la cause du problème, ils essaient par tous les moyens de mettre un pansement sur l’effet plutôt que de se concentrer sur la cause. Travailler toujours plus pour gagner tout juste un peu moins.
RIEN de ce que l’on vous a fait croire à propos de la « dette nationale ou privée » n’est vrai. Vous avez été piégés par les génies de la finance. Je vous demande encore de conserver à l’esprit que TOUT ceci n’est que manigance : un plan brillant pour confisquer la propriété, la terre, les liquidités, les actifs et la valeur intrinsèque ostensible des personnes du monde entier, à savoir le travail, dans le seul objectif de nous contrôler.

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“Prêts”

Un dépôt créé par un prêt est une dette qui doit être réglée à la demande du déposant, comme c’est le cas pour la dette issue du dépôt de chèques ou de devises à la banque par un client. Bien sûr, elles ne décaissent pas vraiment de prêts à partir de l’argent reçu comme dépôt. Si c’était le cas, il n’y aurait pas de création d’argent. Lorsqu’elles émettent des prêts, elles acceptent des billets à ordre en échange de crédits pour les comptes de transaction des emprunteurs. – Réserve fédérale, Chicago, Modern Money Mechanics (Les rouages de la finance moderne), p. 6

Lorsque vous passez un contrat de prêt avec une banque, vous signez une note ou un contrat qui vous engage à rembourser la banque. Vous acceptez également de fournir des garanties que la banque pourrait saisir en cas de non-remboursement du prêt. Ce contrat vous autorise soi-disant à recevoir l’argent de la banque. La banque hypothèque ou vend votre billet à ordre avant que vous ayez signé les papiers définitifs concernant le « prêt ». En réalité, la banque perçoit les recettes de la vente ou de l’hypothèque de notre billet à ordre avant d’acheter ou d’accepter notre note en tant que prêt.

Les banques n’ont pas le droit de prêter leur “propre argent” provenant de leurs propres “actifs” ou d’autres déposants.
D’où viennent donc les $$$ ? Le contrat que nous signons (notre billet à ordre) a été converti en un « instrument négociable » par la banque et est devenu un actif dans ses livres comptables. Selon les UCC 1-201 (24) et 3-104, c’est notre signature sur la note qui a créé les $$$.
Notre billet à ordre (argent) a été récupéré, enregistré comme un actif de la banque, vendu par cette dernière pour des liquidités … et sans « rétribution de même valeur » à notre égard pour notre contrat. La banque nous a donné un bordereau de dépôt comme reçu de l’argent que nous lui avons transmis, de la même manière qu’elle nous le fournirait lors d’un dépôt. Cela a abouti à la création d’un compte à la banque qui contient les $$$ que nous avons créés. Un chèque a été émis à partir de ce compte avec notre signature et ce compte est la source des fonds derrière le chèque que nous avons reçu comme “prêt”.

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La banque n’engage aucun de ses propres actifs dans le soi-disant « prêt » qu’elle nous a accordé. Elle a plutôt utilisé notre contrat pour payer le vendeur, afin de se créer un actif propre, mais a également utilisé la valeur nominale de notre contrat comme somme « prêtée à l’origine » et pour laquelle nous devons des intérêts. Il n’existe aucune rémunération pour la part de la banque, cette dernière n’a donc rien à perdre. Elle ne peut pas subir de perte. Etant donné que la rémunération est essentielle à l’applicabilité d’un contrat et que ce contrat a été obtenu par notre biais grâce à une fraude, la transaction/le contrat est complètement frauduleux.

Dans le cas Ashley en 1988, la preuve de la fraude sur la partie de la banque a été apportée puisque l’accusé a révélé que “la banque déclarait avoir de l’ « argent » à prêter, mais ce n’était en fait pas le cas ».
Les contrats d’hypothèque sont rédigés de telle manière à ce qu’ils laissent paraître que la banque nous prête des fonds avant d’avoir reçu notre billet à ordre/contrât d’hypothèque. Cela permet à la banque de les utiliser comme un reçu qu’elle peut vendre. En fait, nous avons signé et donné le contrat d’hypothèque/le billet à ordre à la banque avant qu’elle ne nous donne les fonds. Ainsi, la mise en place d’un prêt a permis de créer les fonds (notre signature y est apposée) et le contrat (avec notre signature) a couvert les fonds nécessaires pour « rembourser » le prêt. Encore une fois, une fraude constructive.

La dette nationale frauduleuse

Les guerres sont à l’origine de la création de la plupart des dettes. Les banksters souhaitent qu’il y ait le plus grand nombre de dettes possible afin de collecter plus d’intérêts. Au Canada, l’impôt sur le revenu a été instauré en 1917 en tant que mesure temporaire pour payer la première guerre mondiale. Il s’agit là de l’objectif principal de la guerre et pourtant les gens ont cru à la ruse de l’humanitarisme ou pire à l’idée d’un “monde plus sûr pour la démocratie”. C’est le système le plus effrayant du gouvernement. Tous les acteurs sont manipulés par les banksters. Ils jouent des deux côtés. Les banksters veulent la démocratie car c’est la seule forme de gouvernement qu’ils peuvent manipuler et contrôler grâce

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à la loi marchande. Je ne défends pas plus les dictatures tyranniques ou les monarchies archaïques. Je dis simplement que les PTB ne veulent pas la démocratie pour qu’elle nous profite, mais plutôt pour qu’elle leur profite à eux.

La démocratie est indispensable au socialisme. – V. I. Lenin. Le socialisme mène au communisme. – Karl Marx

Etant donné que nous utilisons des notes de créances, ce qui indique que nous ne disposons que de titres équitables ( « acheter » indique la possession d’un titre légal), la seule chose que nous faisons est de transmettre la dette et d’augmenter les intérêts avec chaque transaction. C’est exactement ce qu’ont prévu les banksters. C’est le classique “les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent”. C’est eux qui récupèrent les taxes et c’est nous qui nous retrouvons avec les notes les plus insignifiantes que nous essayons de dépenser avant qu’elles ne perdent complètement leur valeur. Dés qu’une personne se voit aujourd’hui offrir une “transaction globale”, très répandue ces derniers temps grâce aux licenciements et aux réductions de personnel, pour ne pas évoquer la “délocalisation”, elle “prend l’argent et part en courant”. Bonne stratégie. Ne continuez pas à travailler, ne regardez pas en arrière. Fuyez tant que vous pouvez et utilisez votre temps et votre énergie à bon escient.

La Réserve Fédérale est détenue par quelques investisseurs privés (élitistes internationaux). Leur objectif consiste à manipuler au niveau financier le transfert d’une propriété en apparence « privée » afin qu’elle leur revienne. Les fonds de la Réserve Fédérale ne sont alimentés par aucune ressource, pourtant, grâce à différentes entrées dans la comptabilité, les devises peuvent être déplacées. Ce phénomène asservit évidemment toutes les personnes. Leur revenu réel à partir de ce système illégal d’argent de la dette réside dans les intérêts des prêts fictifs.
Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie. – Lenin

Il n’existe que deux méthodes ou moyens qui permettent à l’homme de satisfaire ses besoins et désirs.
Le premier concerne la production et l’échange de richesses, il s’agit du moyen économique. Le second est l’appropriation sans

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compensation des richesses produites par des tiers, voilà le moyen politique. – Albert Jay Nock

Theodore R. Thoren déclare que « la dette nationale est une illusion car les intérêts de la dette créés par ce système qui nous asservit ne sont pas rémunérables. Ils s’accumulent juste inexorablement. » Afin d’imposer ce système aux gens, les Réserves Fédérales ont autorisé les banksters à voler l’or comme paiement des intérêts sur la faillite et à rendre illégale la possession d’or par les personnes.

Howard Freeman déclarait à propos de cette norme relative à l’or : « Nous sommes de nouveau autorisés à posséder de l’or simplement afin d’obliger les Américains/Canadiens à respecter une norme stricte relative à l’or alors que nous ne possédons pas l’or qui permettrait au système de fonctionner même de manière irrégulière. Le fait de nous obliger à respecter une telle norme sous le prétexte de notre incapacité à gérer la dette permettra d’achever la destruction des classes sociales moyennes et de finaliser notre assujettissement aux banquiers internationaux et aux Etats-Unis ». Mais les souverains n’ont jamais de dettes.

Nous fixons le prix de l’or et de l’argent de manière à ce qu’ils aient de la valeur ou pas. – J.P. Morgan, dans une lettre à son fils

En l’absence de norme sur l’or, nous n’avons aucun moyen de protéger nos économies de la confiscation à travers l’inflation. Il n’y a aucune valeur de réserve sécurisée. Si c’était le cas, le gouvernement devrait pratiquer des acquisitions illégales, comme pour l’or… La politique financière de l’Etat-providence exige qu’il n’y ait aucun moyen possible pour le propriétaire de protéger ses richesses. Il s’agit du vieux secret des tirades des partisans de l’Etat-providence concernant l’or. Les dépenses en déficit permettent simplement de « dissimuler » la confiscation des richesses. Et l’or se trouve au centre de ce processus insidieux. Il représente le protecteur des droits de propriété. – Alan Greenspan, Gold and Economic Freedom

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Bien que tous les conseillers financiers (formés par le gouvernement) suggèrent d’acheter de l’or pour survivre à la dépression future, si vous pensez que les métaux précieux vous sauveront la vie, je vous conseille de… miser sur l’argent.

Les banksters ont commencé par acheter tous les politiciens. Ils se sont ensuite intéressés aux principaux médias afin que nous ne cessions de croire que les politiciens servent nos intérêts. Puis ils ont pris le contrôle du système éducatif afin d’empêcher les enfants de réfléchir dès leur plus jeune âge. Le Bureau de la Sécurité intérieure des Etats-Unis est destiné à nous contrôler et à nous confisquer tous nos fonds afin de régler la dette présumée s’élevant à plusieurs trillions de dollars. Ce n’est qu’une question de temps avant que nous ne soyons privés de liquidités, de pensions de retraite et d’ «avantages » offerts par le gouvernement. Si nous résistons, l’état policier Orwellien et la police militaire en place garantiront le bon déroulement du plan. – Auteur inconnu.

Les Médias

Laissez-moi contrôler les médias allemands et je pourrais alors contrôler tout le peuple allemand. – Joseph Goebbels, ministre de la propagande de Hitler.

En mars 1915, la société J. P. Morgan, les secteurs de l’acier, de la construction navale et de la chimie et leurs filiales réunirent 12 individus des plus hauts placés dans le milieu journalistique. Ils leur demandèrent de sélectionner les journaux les plus influents aux Etats -Unis et d’assurer la direction d’un nombre suffisant d’entre eux afin de contrôler de manière générale la politique de la presse quotidienne. Ils se rendirent compte qu’ils avaient besoin de ne se payer que le contrôle des 25 plus grands journaux. Ils parvinrent à un accord, achetèrent la politique des journaux, avec un règlement à honorer chaque mois. Ils nommèrent un rédacteur en chef pour chaque journal afin de superviser correctement l’organisation et de publier toutes les informations concernant les questions de préparation militaire, de militarisme, de politiques financières et autres sujets d’étendue nationale et internationale considérés comme indispensables au maintien des intérêts des acheteurs. – Député U.S. Oscar Callaway, 1917

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Nous remercions chaleureusement le Washington Post, le New York Times, le Time Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et respecté leurs engagements en matière de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de mettre notre plan en œuvre au niveau mondial si nous avions été mis sur le devant de la scène au cours de toutes ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et prêt à se diriger vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers internationaux est certainement préférable à l’autodétermination développée au cours des siècles précédents. –

David Rockefeller, dans un discours devant la Commission trilatérale en juin 1991
Notre tâche ne consiste pas à donner aux gens ce qu’ils désirent, mais plutôt ce que nous avons décidé qu’ils devraient avoir. – Richard Salant, ancien Président de CBS News
Le travail du journaliste consiste à détruire la vérité, à mentir sans réserve, à pervertir, à avilir, à ramper aux pieds de Mammon et à vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez comme je le sais, alors qui peut parler de presse indépendante ? Nous sommes les pantins et les vassaux des hommes riches qui se cachent derrière la scène… Ils tirent les ficelles … ET NOUS DANSONS. – John Swinton, ancien chef du personnel du New York Times, dans un discours à ses collègues journalistes.

Lorsque vous contrôlez l’opinion, comme le fait la société Amérique aux Etats-Unis en possédant les médias, vous pouvez faire croire [à la plupart des personnes] tout ce que vous voulez, et vous pouvez les guider. – Gore Vidal tiré de The Golden Age (l’Age d’or).

La plus grande partie de la population croira plus facilement à un gros mensonge qu’à un petit. Quelle chance pour les dirigeants que les hommes ne pensent pas. – Adolf Hitler

L’homme qui ne lit jamais un journal est mieux informé que celui qui le lit, dans la mesure où le premier qui ne sait rien est plus proche de la vérité que celui dont la tête est remplie de mensonges

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et d’erreurs. C’est la triste vérité que de dire que la suppression de la presse ne pourrait pas plus priver la nation de ses « avantages » que c’est le cas aujourd’hui avec sa prostitution au mensonge. – T Jefferson

Tous les médias sont négatifs, fallacieux et peu fiables. Peu importe l’information que vous obtenez, sur ce qui se passe dans le monde, lorsque vous vous tournez vers la télévision, la radio, les journaux, les magazines, l’école ou le gouvernement. Vous pouvez être sûrs que la vérité est complètement à l’opposé de cela. Ils devraient tous devoir remplir un affidavit qui déclarerait : « J’engage ma totale responsabilité commerciale en déclarant que ce qui suit est vrai, correct, complet et non mensonger ». Mais pourquoi ne pas laisser les prostituées des médias rester des prostituées et être simplement conscients du jeu auquel elles jouent ? Les médias attirent notre ego, ils s’alignent sur nos peurs qui nous motivent. Tant que nous sommes conscients de cela, nous pouvons choisir de ne pas nous laisser influencer. Soyez conscients qu’une poignée d’individus contrôle la majorité des médias. Faites preuve de discernement. Pourquoi cette information vous est-elle transmise ? Quel est leur vrai programme ? S’agit-il d’une solution du genre problème/réaction ?

Créent-ils un problème afin de nous faire réagir et que nous en demandions la solution, pour qu’ils puissent nous offrir leur solution ? La « solution » est la seule chose qu’ils souhaitaient réellement.

La Publicité

Je ne veux plus avoir envie de ce qu’ils m’obligent à vouloir.

Vous ne pensez pas que le déluge de publicités qui inonde les écoles vient du fait que les sociétés ont décidé que les enfants constituent le marché le plus prolifique ? Quel meilleur moyen d’enfoncer les familles qu’en leur faisant croire qu’ils renient leurs enfants s’ils ne leur offrent pas tout ce qu’ils désirent ? Se renier soi-même, c’est une chose, pourtant nous souhaitons tous que nos enfants aient ce qu’ils pensent vouloir. Ils ne veulent pas ces choses-

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là, ils le pensent seulement car ils sont programmés. Achetez à vos enfants ce qu’ils veulent, la dette n’en sera que plus conséquente. Pourtant, rappelez-vous bien qu’il ne s’agit pas de notre dette.

Il s’agit d’une règle empirique à propos du fait d’acheter à vos enfants les choses sans lesquelles ils ne pourraient pas ‘vivre’. Si cela enrichit leurs vies en leur offrant une expérience unique, alors nous souhaitons qu’ils vivent cette expérience. Cependant, s’ils désirent quelque chose afin d’être mieux acceptés, d’avoir plus d’amis, d’apaiser leur envie d’être ‘cool’ ou ‘populaire’ ou encore de combler un manque qui pourrait l’être par exemple par l’attention des parents, alors oubliez tout ça.
Nous avons été programmés pour désirer non seulement des choses inutiles mais également des morceaux de papier qui, selon ce que l’on nous fait croire, nous permettront d’acquérir encore plus de choses inutiles et par conséquent d’être encore plus heureux.

Complicité (vs. Conspiration)

Lorsque nous disposons d’informations et que nous décidons de les ignorer et de ne pas nous impliquer, notre choix n’a aucune influence car ce sont les informations elles-mêmes qui nous impliquent. Le seul choix que nous pouvons faire est celui de faire plutôt partie du problème ou de la solution. Il est impossible de rester neutre dans la vie. Nous ne pouvons pas être conscients de ce qu’il se passe et ne rien faire. Celui qui ne sait pas ce qui se déroule peut justifier son ignorance en prétextant qu’il ne disposait pas des informations qu’il connaît aujourd’hui. Nous ne pouvons pas désapprendre ce que nous savons. Nous pouvons juste changer d’avis à propos de quelque chose à la suite de ce que nous avons appris. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Les informations contenues dans ce livre détonnent par rapport aux croyances de la plupart des personnes sur cette planète qui évitent toute implication en se cachant derrière ce qu’ils appellent la « théorie du complot ». Cela rend la tâche encore plus difficile à la vraie partie de nous-mêmes. Ils préfèrent conserver leur petit confort contre lequel je lutte et dont j’essaie de les faire sortir.

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Si la seule chose que vous désirez est le confort, alors la vie n’est pas ce qu’il vous faut. – Werner Erhard

Si vous assistez à une injustice et que vous ne dites rien, vous vous rangez du côté de l’oppresseur. – Desmund Tutu.

Aucune décision n’est en soi une décision. – William James.

Si vous savez quelque chose, dites-le ! La peur d’agir de la sorte n’est rien comparée aux conséquences, pour vous et vos enfants, si vous décidez de tourner le dos à la réalité. Lorsque j’entends “Je ne crois pas aux théories du complot”, je comprends par là “Je me suis fait mon opinion en fonction de ce que la mafia des médias m’a raconté et veut que je pense pour assurer la réussite de sa propagande menée via la télévision, la radio et les journaux. Ne venez pas me troubler avec la vérité ». La vérité c’est que ces individus croient en la théorie du complot, c’est elle qui les a nourris. Si ce qu’ils pensent, ou ce qu’on leur a appris à penser était vrai, ils n’auraient pas besoin d’y croire. La croyance relève de l’ego et est donc fausse. Lorsque nous sommes certains que quelque chose est vrai, nous n’avons pas besoin d’impliquer nos egos. Voilà pourquoi nous ne sommes pas réellement liés émotionnellement à la vérité. C’est un fait. C’est seulement lorsqu’une personne commence à montrer des signes d’émotion à propos d’un sujet que je sais qu’elle y « croit ».

C’est généralement le cas pour des sujets comme la religion ou les convictions politiques. Les personnes protègent ainsi la manipulation qui s’est installée dans leur ego. La vérité est étrangère à toute personne qui débat sur ces deux sujets. Ce n’est pas leur connaissance qui est à l’origine de cette réponse émotionnelle. Toute personne possédant une certitude acquise grâce à son expérience, ne ressent aucune charge émotionnelle à ce propos. Le fait de débattre est par définition une réaction de l’ego. C’est pourquoi personne ne gagne dans une dispute. Il n’y a pas de victoire lorsque l’ego pense qu’il a gagné.
Les Médias sont les lèche-bottes de ceux qui mettent leur plan en œuvre mais il ne s’agit vraiment pas de « complot » – « conspiration pour trahison, meurtre ou autre mauvaise intention »

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(dictionnaire Oxford). Il s’agit de complicité – « complice, partenaire dans la culpabilité ».

Le mot « théorie » signifie prémisse encore à prouver. Ainsi, lorsque l’on fait le compte, « Je ne crois pas aux théories du complot » semble être un argument plutôt faible. Je ne crois pas non plus aux théories du complot. Je n’en ai pas besoin. J’ai la preuve de la complicité. En plus d’être accusé de « croire aux théories du complot », on me reproche également d’être « cynique ».
Les cyniques ont raison 9 fois sur 10. – H. L. Mencken

On me taxe également de pessimiste, pourtant le pessimisme a quelque chose de positif. Je ne suis pas perturbé par ce qu’il va se passer dans le monde, je suis tourné vers le changement qui s’opérera si nous réussissons à nous échapper de notre prison.

De plus, selon Thomas Szasz, les pessimistes ont la plupart du temps raison. Soit nous avons « raison », ou sommes « heureux » d’avoir « raison » lorsque les choses tournent mal, soit « heureux » lorsque ce n’est pas le cas. Les optimistes ont « raison » ou sont « soucieux ». Ils ont raison et sont heureux lorsque les choses se passent bien mais sont perdus et affolés lorsque ce n’est pas le cas.
D’un point de vue émotionnel, je n’ai jamais été aussi heureux qu’aujourd’hui car je sais que nous allons assister à un important soulèvement. J’attends ce moment avec impatience, nous devons nous réveiller de ce cauchemar et faire confiance à notre esprit.

Usure

Si j’emprunte votre voiture et que le réservoir de carburant est plein, comment puis-je vous rendre plus que ce que je vous ai emprunté ? Je ne peux pas car cela n’existe pas.

L’argent disponible est également limité. Quelqu’un, quelque part, connaît exactement le volume de monnaie en circulation. Ron Supinski, du Département des informations publiques de la Réserve fédérale de San Francisco affirme que les réserves fédérales bénéficient du pouvoir du congrès pour collecter les taxes. L’impression d’un billet de 100 dollars coûte 2 centimes à la réserve fédérale… plutôt intéressant non ?… et cela ne comprend pas les intérêts qu’ils y rajoutent à CHAQUE passage. Etant donné

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que nous savons que l’ « argent » est emprunté à notre existence, ce qui signifie simplement qu’il n’existe pas tant que quelqu’un n’appose pas sa signature sur un billet à ordre contenant des chiffres, comment peut-on faire pour payer des intérêts ? Ils n’existent pas. Si j’emprunte (c’est-à-dire crée) 10 000 €, et que c’est tout ce qu’il existe, ce qui est vrai puisque tant que je n’ai pas signé la note stipulant ce chiffre, cet argent n’existe pas, où vais-je trouver les 10 % d’intérêts pour couvrir le coût du prêt ? Emprunter de l’ « argent », ce qui signifie « créer les fonds de la dette », revient à boire de l’eau de mer. Cela semble fonctionner un moment mais la soif qui en résulte dépasse considérablement tout moyen permettant de l’étancher.

Il fut un temps où facturer des intérêts sur un prêt était appelé “usure”, et était passible de sanctions sévères, y compris la mort. Chaque grande religion a interdit l’usure. Les arguments contre cette pratique étaient essentiellement moraux. Il était maintenu que la seule finalité légitime de l’argent était de faciliter l’échange de biens et services réels. Toute forme de gain d’argent basée uniquement sur la possession d’argent était jugée comme l’acte d’un parasite ou d’un voleur. Aujourd’hui cette notion semble incongrue, l’idée de gagner de l’argent avec de l’argent est devenue un concept que chacun essaye d’employer.
La raison principale au fait que les gens sont financièrement à l’agonie vient du fait qu’a l’école, ils ont appris à travailler pour l’argent mais n’ont jamais appris à faire travailler l’argent pour eux. – – Robert Kiyosaki (Rich Dad, Poor Dad)

IL n’y a PAS d’ « argent »

Les puissants industrialistes et banquiers ont surtout soudoyé les politiciens dans la plupart des pays du monde afin de leur faire abandonner leurs droits protégés par la Constitution au profit de l’émission de Bons du Trésor. Ils ont transmis leur pouvoir à une société privée qui émet des bons connus sous le nom de billets de Réserve Fédérale, pas seulement « fédéral » ou pas seulement « réserves » (en fait peut -être à 10 %) et pas un vrai « billet » mais des « billets de créance ». Cela peut être difficile à comprendre. L’idée que nous nous faisons de l’ « argent » n’existe pas, elle est

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empruntée à notre existence. Ce n’est ni une substance, ni un bien ou quelque chose de réel, comme l’eau par exemple. L’argent n’existe pas jusqu’à ce que quelqu’un crée une dette. Et cette dette ne peut être créée que par une entité qui lui est identique, c’est-à-dire également fictive. Ça se bouscule dans votre tête, n’est-ce pas ? Cette entité fictive est le « public ».

Tout d’abord, vous devez faire cette distinction ; nous sommes les entités privées et toutes les sociétés, bureaucraties, et autres gouvernements constituent le domaine public. Ils n’existent que sur le papier.
L’argent n’existe pas. Auparavant, ont existé par exemple, le Colonial Script, l’or et l’argent, les billets de 1 dollar de Lincoln et les billets de 5 dollars de Kennedy. Avez-vous remarqué que ces deux présidents ont été assassinés pour avoir créé des billets qui ne reposaient pas sur la dette ? Les banksters ne l’ont pas apprécié. Ils disposaient du monopole sur la monnaie et n’étaient pas prêts à laisser qui que ce soit les évincer de leur manipulation.
Nous n’avons jamais dépensé d’ « argent », comme nous n’avons jamais été payés avec de l’ « argent ». Cela n’existe pas. L’ « argent » que vous pensez posséder sous la forme de liquide est emprunté à la seconde où vous apposez votre signature sur tout document tel qu’un chèque, une demande de retrait, un formulaire ou un contrat. Ces supports nécessitant votre signature ont TOUS pour SEUL objectif de créer l’argent de la dette. À chaque signature, vous, oui, vous vous enfoncez un peu plus dans la dette.
Lorsque nous « empruntons de l’argent » à la banque, que nous pensons être le seul organisme prêteur, notre signature sur la « reconnaissance de dette » ne nous accorde pas seulement le prêt, mais elle le rembourse immédiatement. La banque nous-a-t-elle prêté de l’argent ? Non. L’argent n’existe pas. Elle ne nous a pas prêté d’ « argent », elle a échangé le crédit que nous avons créé contre des billets à ordre. Je vois bien les regards étonnés des personnes auxquelles je mentionne ce concept. Pensez à ceci :
Je me rends chez Sears avec ma carte de crédit et dépense 100 euros. Je signe au niveau de la ligne qui stipule : « Je m’engage à payer … » Je m’engage à payer dès qu’ils trouveront une méthode le permettant. Depuis 1933, lorsque les Etats-Unis déclarèrent leur faillite, et qui sait à quel moment au Canada (étant donné que le Canada a de temps en temps fait figure de norme en matière d’or

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encore quelque temps après que les USA soient tombés dans les griffes des banksters) la politique publique (aux Etats-Unis : HJR 192 du 5 juin 1933 et au Canada par décret du 10 avril 1933) a dicté que, étant donné qu’il n’existe aucune substance réelle permettant de payer, le mieux à faire est de promettre de payer. Les Réserves Fédérales s’acquitteront de toute la dette publique. Ceux qui détiennent l’or paient la dette. Le seul moyen d’y arriver consiste à signer une note reprenant le chiffre concerné. Il s’agit d’un billet à ordre, le même que nous signons dans une banque juste avant qu’ils ne nous annoncent qu’ils ne nous prêteront pas d’argent.

J’ai demandé à ces « gérants de prêts » pourquoi ils ne veulent pas me transmettre l’argent dont ils viennent juste de m’accorder l’emprunt. Ils répondent : « Je ne dispose pas ici de cette somme en liquide, je vais vous faire un chèque que vous pouvez remettre à la caissière qui le déposera sur votre compte à partir duquel vous pourrez retirer du liquide, ou vous pouvez tout simplement encaisser le chèque ». Je demande : « Si c’est possible de le faire juste à côté avec la caissière, pourquoi ne pouvez -vous pas y aller pour moi et me rapporter du liquide ? ». Ils m’ont alors répondu que je devais endosser le chèque qu’ils avaient l’intention de me donner. Mais j’ai signé pour du liquide. J’ai promis de payer 10 000 dollars plus les intérêts de … 10 000 dollars, pas un morceau de papier avec des chiffres et une date. Pourquoi n’existe-t-il pas d’échange direct, une note pour du liquide ? Parce qu’ils veulent deux signatures. Rappelez-vous que chaque fois que vous signez quoi que ce soit, vous créez du crédit, ou plutôt étendez votre crédit illimité, et si, pour une quelconque raison vous ne recevez pas ce crédit, vous pouvez être sûr que quelqu’un d’autre l’a fait en usurpant votre dérogation. En plus, nous avons donné notre accord pour cela. Jetez un œil au contrat (unilatéral et donc inexécutable), qu’il s’agisse de celui de votre prêt ou de votre carte de crédit. Votre immunité vous est volée par le biais de votre signature. Elle vaut une fortune. Temps de reprendre le contrôle, non ?
Revenons-en à Sears. Lorsque je me suis rendu dans ce magasin pour mes achats et que j’ai effectué le règlement, peu importe sa forme, qu’ai-je obtenu pour mon règlement ? Non, pas la marchandise, mais un reçu. L’échange direct consiste en une signature pour un reçu. Les biens m’appartenaient déjà. J’étais juste venu les récupérer. Le commerçant est content car j’ai signé pour

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cette marchandise, ce qui signifie qu’il a échangé des biens contre ma signature qui valait ce jour 100 dollars ; ses comptes sont donc équilibrés. Il n’a cependant pas remarqué qu’il a échangé son reçu contre ma signature. Mes comptes sont équilibrés car j’ai échangé ma signature contre son reçu et j’ai également obtenu la marchandise qui était prépayée. Puis, le commerçant transmet à la banque ma signature avec les centaines d’autres qu’il a réunies le même jour. La banque transmet à son tour les fonds à Sears, mais de manière électronique. La banque n’a pas réuni d’argent liquide (ou quoi que ce soit de matériel) pour le transmettre à Sears. Elle a effectué ce transfert en quelques clics de souris (Transfert de fonds électronique), pour le montant correspondant et équilibrant ainsi le montant des reçus de crédit. Je le répète car c’est tellement étonnant : AUCUN ARGENT sous forme matérielle n’a jamais quitté la banque pour PAYER Sears.

Il est important que nous considérions le système bancaire frauduleux comme extérieur à la réalité, tel un intermédiaire. Nous devrions travailler pour ce dont nous avons besoin, c’est-à-dire un échange direct. Qui nous a induits en erreur en nous faisant croire que nous devions travailler pour un bout de papier, un chèque ? Nous endossons ce chèque avec notre précieuse signature. Cette signature est à l’origine de la création des fonds mentionnés sur le chèque. Etant donné que ces fonds sont des fonds de la dette, nous n’avons fait qu’augmenter la dette. En réalité, nous avons créé le crédit qui servira de contrepartie à l’entité qui vous a transmis le chèque, lorsqu’elle créera la dette correspondante. Finalement, nous sommes responsables de la création de cette soi-disant « dette », étant donné qu’il existe des intérêts sur la dette, nous nous enfonçons encore plus dans une spirale dont il est impossible de se sortir. Bien que vous soyez convaincus d’avoir acheté des biens, grâce à ces notes de créance, vous ne pouvez posséder ces marchandises car vous n’avez rien donné de matériel en échange. Tout ce que vous avez fait c’est doubler la dette.
Tant que vous n’avez rien fourni de matériel en contrepartie, vous ne possédez rien. Vous ne disposez que du droit d’utilisation. Le titre légal ne peut changer de mains que par un échange direct (pas d’intermédiaire) de quelque chose de matériel, c’est-à-dire votre travail. Si vous travaillez et que l’on vous fournit des fonds de garantie que vous échangez contre autre chose, vous ôtez toute

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légitimité à votre travail ainsi qu’à ce que vous pensez avoir acheté. Pourquoi ne pas simplement travailler pour ce que vous désirez ? Votre travail est réel, tout comme votre maison, par exemple. Ces deux éléments deviennent une fiction lorsque vous les négociez pour et à partir de rien. Vous avez été programmé pour croire que vous avez besoin d’argent. Au contraire, c’est l’argent qui nous empêche d’obtenir ce que nous désirons. Plus nous avons d’”argent”, plus notre dette est grande. POURQUOI pensons-nous que nous voulons de l’”argent” ?

J’ai commencé à m’inquiéter lorsque j’ai entendu un « conseiller financier » déclarer : « Débarrassez-vous de la dette ! ». Les auditeurs l’ont interprété dans le sens « réglez votre dette » et ce n’est pas ce qu’il a voulu dire. Enfin, peut-être que c’est le cas, mais alors il est inconscient. Une fois, j’ai entendu un discours de Suze Ormond. Après 30 secondes, je me suis écrié “NOOON !!” et je suis parti. N’écoutez pas ces « experts » formés par le gouvernement. «Débarrassez-vous de la dette !» signifie qu’il faut l’annuler et cesser d’accumuler des notes de créance. Cela signifie également que vous devez déclarer à Votre Nom les choses que vous avez obtenues après un si dur labeur. Celui qui meurt en possédant le plus d’argent liquide est le grand PERDANT. L’argent liquide représente votre travail et son volume rend tout votre travail inutile.

Comment pouvons-nous rembourser plus que ce qu’il existe ? Seul notre travail peut commencer à le faire, c’est pourquoi les banksters en prennent possession sous la forme de taxes. Ils nous laissent jouir d’une infime partie des résultats de notre travail afin de ne pas éveiller nos soupçons sur ce qu’ils projettent de faire. Cependant, ils utilisent un gros volume des résultats de notre travail pour couvrir les intérêts du prêt que nous leur avons accordé. CHAQUE taxe que nous réglons est utilisée pour « payer » les intérêts de ce prêt que nous leur avons accordé (ou est conservée par les politiciens afin qu’ils s’enrichissent). Lorsque l’on considère toutes ces taxes, qu’elles soient directes ou indirectes, qu’il s’agisse de taxes à la consommation ou d’impôts : revenu (fédéral, état/province, local), ventes, taxe sur les biens et les services, taxes sur l’alcool et le tabac, sur les permis (de port d’arme, de construire, de fosse septique, de piscine, de puits), les frais interminables des services bancaires (cartes de crédit, actions, obligations, comptes),

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les éternelles amendes (circulation routière, retard de paiement de facture, …), les taxes sur les voyages (vol, hôtel, location), les plus-values, le revenu d’entreprise, les honoraires juridiques, les documents administratifs (acte de mariage, permis de possession d’un chien, permis de chasse, de pêche, de conduire, de pilotage, tous les permis professionnels), les assurances (propriété, vie, médicale, véhicule, emploi, compensation aux salariés), le ravitaillement en carburant, l’essence, les héritages, les inventaires, les intérêts et les pénalités de retard des Centres des Impôts et de la CRA (taxe sur la taxe), les taxes de luxe, de propriété, des biens immobiliers, de la sécurité sociale/le système de retraite, les taxes pour les routiers, les frais d’inscription (naissance, toutes les professions, tous les véhicules), l’école, le sport, la communication (TV, câble, satellite, Internet, fax, frais téléphoniques innombrables : universels, fédéraux, de l’Etat/Province et taxes locales, surtaxes, minimum de facturation), les péages (route, pont, tunnel), le service public (eau, gaz, électricité, ordures), etc. Et la taxe la plus importante et la plus insidieuse de toutes : l’inflation qui s’applique directement à l’”argent”,….. respirez … nous sommes taxés bien au-delà de ce que nous avons pu nous imaginer. Si vous ajoutez tout cela et personne ne peut le faire sans que ça ne le rende fou, vous vous apercevez que 85 % de votre travail est destiné à « payer…

RIEN. Non, vous ne payez pas pour assurer le bon fonctionnement de votre pays. Vous payez pour enrichir les politiciens qui vous ont embobinés afin de vous faire croire à leur arnaque. Pire, je suis désolé d’évoquer cela, mais en « payant vos taxes », vous participez aux abus perpétrés sur les enfants. Le FMI utilise vos taxes pour terroriser, appauvrir et affamer les enfants. Si vous voulez plus de détails à ce sujet, je vous conseille de lire le livre de Cathy O’Brian, The Trance Formation of America, car c’est un sujet qui me rend trop malade pour que je puisse écrire dessus.
Les gens continuent de penser, pour une raison absurde, que le jeu auquel jouent les politiciens et que l’on appelle « législation » ou « établissement des lois » nous concerne, nous le peuple. Le jeu des politiciens s’adresse à eux -mêmes et pas à nous. Si nous établissons des règles dans nos foyers ou nos communautés, les politiciens s’y conforment-ils ? Non. Devraient-ils le faire ? Non, alors pourquoi devrions-nous penser que leurs règles nous concernent ?

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Une de mes amies a un jour justifié le fait de payer l’impôt sur le revenu de la manière suivante : « Je considère l’impôt sur le revenu comme le loyer qui me permet de vivre dans ce pays ». Je lui ai répondu « Cela revient à payer un loyer pour vivre dans une maison qui t’APPARTIENT déjà ». L’objectif réel d’un vrai gouvernement ne doit consister qu’à nous servir et à protéger nos droits innés, nous ne lui devons rien. Vous travaillez pour payer quelque chose qui n’a aucune valeur marchande, les intérêts d’un prêt que vous leur avez accordé. Il est impossible de payer cela pour plusieurs raisons :

1. Le prêt en lui-même est immatériel, alors comment pourriez-vous rembourser quelque chose qui n’a jamais existé en premier lieu (excepté sur le papier) ?
2. Les intérêts n’ont aucune conséquence positive étant donné que l’”argent” n’existe que sur le papier et ça ne va pas plus loin car son existence nous est empruntée. Alors comment peut-il exister plus d’ « argent » avec lequel rembourser les intérêts alors qu’il se caractérise par son inexistence. Je sais que tout cela vous paraît bien compliqué et vous n’avez pas tort, c’EST compliqué. C’est pour cela que cette embrouille a su résister au temps, rappelez-vous de Hitler qui pensait que plus le mensonge était gros, plus il était facile à faire avaler.

Le meilleur exemple de la revanche qu’ils ont pris sur nous concerne le dépôt que vous avez fait sur votre compte en banque. En effet, vous espériez en retirer des intérêts et vous vous apercevez sur le relevé suivant que plutôt que de vous rémunérer les intérêts sur ce dépôt (fonds que vous avez prêté à la banque qu’elle a pu prêter à son tour à un taux d’intérêt plus important que celui auquel elle a accepté de vous payer), la banque vous facture ses intérêts et c’est ce qui se passe exactement avec les « frais de service ». Cela vous permet de voir à quel point le gouvernement désespère de trouver les fonds pour rembourser les intérêts du prêt que les banksters leur ont accordé. Les banksters font passer les requins du prêt pour des agneaux. Ces requins vous font vous mettre à genoux, les banksters, eux, vous rendent esclaves pour toute votre vie. La seule raison pour laquelle vous tolérez cela relève du fait qu’ils vous accordent quelques petits plaisirs dans la vie, même s’ils ont un prix très élevé.

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C’est un peu comme l’histoire de la grenouille qui reste dans l’eau tiède jusqu’à ébullition et qui en meurt tout simplement car elle ne s’était rendu compte de rien. Si nous n’étions pas enrôlés de manière progressive dans cet esclavage, nous nous en rendrions compte. C’est cette inflation insidieuse, la dévaluation de l’ « argent » – qui a pris le dessus sur nous petit à petit. Cependant, les Réserves Fédérales qui paniquent aujourd’hui, ont expédié le processus car les banksters pensent fort à rappeler les prêts s’ils ne sont pas remboursés, et la machination d’un contrôle au niveau mondial/international repose encore sur nous.

Dès qu’une personne souscrit un « prêt » auprès d’une institution financière, le billet à ordre est « déposé » au crédit de la banque. Cette dernière émet alors un chèque à l’attention de l’emprunteur. Les comptes de la banque sont ainsi équilibrés. Lorsque la banque effectue le dépôt au crédit de son livre, elle est redevable à l’emprunteur. En d’autres termes, l’emprunteur génère en fait le crédit, et il se retrouve à devoir rembourser avec les intérêts, une somme qu’il s’est lui-même prêtée à l’origine, alors que la banque ne rembourse pas le « crédit » émis par ce dernier. En fait, si une caution est impliquée, la banque peut confisquer cette propriété si l’ « emprunteur »/créateur du crédit ne rembourse pas plus de trois (3!) fois le montant qu’il a lui-même créé. L’entité dédiée au remboursement des fonds « empruntés » est toujours le mandant, il s’agit donc de vous, le créateur de fonds. La propriété que vous pensez posséder (et cela comprend votre corps) appartient déjà au FMI et vous en serez bientôt averti lorsqu’il vous demandera de fournir une preuve de propriété qui ne pourra jamais être fournie. Les Actes de naissance sont la seule preuve que le Titre d’origine (titre légal) est ailleurs. Vous ne disposez PAS du titre légal sur votre corps, tant que vous ne l’avez pas revendiqué. C’est pourquoi vous n’êtes pas autorisé à y donner une fonction matérielle. Lorsque les Réserves Fédérales seront au plus mal, elles réclameront toutes vos propriétés, y compris votre corps. Elles demanderont toutes les cautions « sur le champ ». N’y voyez rien de personnel, ce sont juste les affaires.
C’est pour cette raison que plus les jours passent, plus le nombre de personnes emprisonnées dans la dette augmente. Tout crime est commercial par nature. C’est pourquoi le nombre de convocations au tribunal suite à une infraction au code de la route ne

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cesse d’augmenter également : les officiers de police ne sont plus des gardiens de la paix mais des « collecteurs de revenus/de taxes ». C’est leur boulot. Ne les laissez pas se moquer de vous, quant à savoir pourquoi ils tiennent à ce que vous attachiez votre ceinture. Il ne s’agit pas de vous sauver la vie, mais plutôt de protéger leur revenu/leurs taxes éventuelles que vous gagnerez/paierez toute votre vie, pour ne pas évoquer les économies réalisées par les sociétés d’assurance (également des entités commerciales/fictives) qui n’ont plus besoin de porter plainte. Il ne faut pas tuer la poule aux œufs d’or. Je n’invente rien.

Tout est clair à propos du racket que nous fait subir le gouvernement ? Si je vous emprunte quelque chose et vous fournit une caution pour vous garantir que je vous rendrai bien ce que vous m’avez prêté, alors à la restitution dudit prêt, vous me rendrez la caution. En règle générale, dans le cas d’un prêt personnel, il s’agirait de quelque chose de matériel. Cependant, dans le cas des banques, votre signature est utilisée comme caution et si vous ne réussissez pas à « rembourser » le crédit, elles vous poursuivront, mais pour quelle raison ? Rappelez-vous que la dette n’existe que sur le papier et qu’elle ne peut donc être annulée que par d’autres bouts de papier. Elle ne peut être « payée » car il n’existe rien qui le permette. C’est la Politique publique qui établit que la dette publique ne peut plus être “remboursée”, elle ne peut qu’être annulée et vous feriez mieux de ne pas aller à l’encontre de la Politique publique… Cela n’a rien à voir avec la loi (que nous aborderons très vite). Votre billet à ordre EST la caution et si vous « remboursez » le prêt avec les résultats de votre travail puis demandez à récupérer votre caution (le billet à ordre), ils pourraient en fait vous retourner le billet d’origine mais pas avant d’avoir prêté l’actif présumé/les fonds. En réalité, ils les prêteront plusieurs fois. Votre signature/billet est hypothéqué au moins sept fois (selon la FRB de San Francisco) à raison d’au moins 90 % du montant que vous avez débloqué avec votre signature. Ainsi, pour un crédit de 10 000 dollars, qui vous coûte au moins le double et qui ne coûte rien à la banque, la banque réalisera un profit de plus d’un demi-million de dollars. Nous nous faisons arnaquer.

Si nous nous réunissons et que chacun d’entre nous participe pour pouvoir acheter une licence d’impression de $$$, nous

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pourrons commencer à émettre des chèques comme le font toutes les sociétés financières/ banques émettrices de cartes de crédit, etc… Le coût de départ est faible, il s’agit simplement d’imprimer les chèques, sans oublier l’affranchissement, et le retour sur investissement est impressionnant. Nous pouvons engendrer des millions dans un temps très court. Rappelez-vous de la banque qui m’a donné 3 500 dollars pour Noël en échange de ma signature. Je suppose que votre éthique, comme la mienne, ne vous permet pas d’agir de la sorte.

Le Jeu du commerce

De la même manière que nous sommes incapables de rembourser la dette, nous sommes également incapables de la contracter/créer. L’ « argent » est désormais créé par les banquiers. Les orfèvres ont appris qu’ils pouvaient émettre des certificats remplaçant l’or comme “promesse de paiement”, plutôt que de se balader avec des pièces. Les billets de banque actuels représentent une garantie pour les personnes qui peuvent les échanger contre des biens et des services. Il ne s’agit que d’entrés comptables, de passer du crédit au débit. Avant, nous possédions de l’argent réel, aujourd’hui, seul notre « homme de paille » dispose de billets inutiles, de grande valeur dans ce jeu, pensez au Monopoly®, mais bien inutiles dans le vaste programme de nos vies. Le gouvernement a créé l’homme de paille afin de nous impliquer dans son jeu. Le nom de cet homme de paille est similaire au nôtre, il est juste écrit en lettres majuscules. Il apparaît sur tout ce que vous pensez vous identifier, mais l’identification est donnée par le gouvernement. Je me suis rendu au bureau de poste pour encaisser un mandat et l’on m’y a demandé une pièce d’identité. J’ai présenté mon passeport. On m’a alors demandé une “seconde pièce d’identité”. J’ai répondu à la personne au guichet : “Je peux me rendre dans n’importe quel pays avec ce passeport et pourtant la Poste trouve cela “insuffisant” ? Pourquoi deux pièces d’identité ? ” On m’a répondu : “Au cas où il aurait été falsifié”. À mon tour : “OK, déjà, si je suis assez doué pour falsifier un passeport, vous ne pensez pas que je le suis également assez pour falsifier une autre pièce d’identité, juste au cas où ? De plus, dès que je me plains au gouvernement à propos du

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gouvernement, le gouvernement me répond toujours que je suis le gouvernement. Donc, voilà ma pièce d’identité émise par le gouvernement”. Je lui ai donné mon permis de conduire international créé par mes soins. Elle l’a accepté. Ne sont-ils pas délirants. J’ai fourni moi-même toutes les informations dont les fédéraux disposent afin de créer ma “pièce d’identité émise par le gouvernement”. Cela fait donc de moi l’autorité. Pourquoi croirait-on plutôt une tierce partie et pas moi, lorsque je suis la première autorité ? Elle a quand même admis : “La police n’a pas été créée pour agir avec logique”.

Tous les contrats que nous avons signés sont au nom de l’homme de paille, pas au nôtre. N’avez-vous jamais remarqué que le nom sur votre permis de conduire, votre relevé bancaire ou toute facture que vous recevez est en lettres majuscules ? Même le permis de conduire canadien désormais « rectifié » affiche le « nom de famille » en premier, ce qui en fait toujours un nom de société puisque les souverains ne portent pas de noms de famille mais des prénoms. (Pouvez-vous citer le nom de famille d’un roi de France ?) Comment les Réserves Fédérales peuvent-elles s’emparer de votre maison, propriété, comptes en banque, enfants, voiture, etc. ? C’est parce que tout cela ne nous appartient pas.

Les personnes réelles ne portent pas de « noms », on leur attribue une description, par ex. Smith, de Blacksmith, la description du commerce les concernant. C’est pourquoi les « noms » des natifs sont ce qu’ils sont. Seules les sociétés ont des noms, ainsi, lorsqu’un flic ou un juge vous demande votre nom, il serait idiot de lui répondre pour plusieurs raisons :
1. Vous  n’avez  pas  de  nom,  vous  mentiriez  donc  en
répondant.
2. Ce que vous pensez être votre « nom » ne peut être la
« vérité », il ne peut s’agir que d’une rumeur car vous ne possédez pas les connaissances premières qui permettent d’affirmer que c’est vous. Ce n’est qu’en entendant sans cesse ce nom lorsque l’on se réfère à vous depuis votre enfance que vous pensez qu’il vous concerne vraiment. Vous ne pouvez pas l’appréhender comme un
« fait ».
3. Lorsque vous énoncez un nom devant un tribunal, vous êtes lié à celui-ci par un contrat, lui conférant ainsi juridiction.

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N’oubliez pas que le « nom » est une société créée par le gouvernement pour vous faire croire qu’il vous correspond.

Si vous déclarez qu’il est bien le vôtre, vous contractez avec les malfrats. Lorsque le juge m’a demandé mon « nom », je lui ai répondu : « Si je vous donne mon nom, est-ce que j’établis un contrat entre vous et moi ? » et j’ai vite été poussé hors du tribunal.
4. Annoncer une rumeur comme réelle au « tribunal » est illégal, pour ne pas parler d’ « outrage à la cour ».

Rappelez-vous Peter Fonda : “Essayez de ne pas payer vos impôts et trouvez qui possède votre maison.” Rien ne nous appartient. Il semblerait que ce soit le cas de notre homme de paille, mais c’est une entité fictive qui ne peut posséder aucun titre légal. Le créateur de cette entité fictive (le gouvernement) détient ce titre légal. Si l’homme de paille contracte une dette, nous sommes utilisés comme garantie de “paiement”, et pourtant il n’existe rien qui permette de payer. Sans ajouter le fait qu’il est incroyable que nous devions payer quelque chose que nous ne pouvons posséder et pour laquelle nous ne disposons que des privilèges d’utilisation. Mais l’homme de paille fictif peut payer des fonds fictifs (Billets de la RF/BC/BCE). Pour qu’il puisse régler une dette, les banksters lui ouvrent un compte. Il s’agit de votre numéro de sécurité sociale. Remarquez que votre nom/titre n’est pas stipulé sur cette carte. Le nom de la société est en majuscules.

Le gouvernement nous définit aujourd’hui comme les “ressources humaines”, la caution de la dette nationale. Lors de l’attaque du World Trade Center qui équivaut à la démolition du gouvernement américain, les personnes tuées ont été évoquées comme des “dommages collatéraux”. Cela montre bien que nous sommes considérés par le gouvernement comme des éléments parallèles. Cependant, il faut être le propriétaire en temps voulu d’une ressource pour pouvoir l’utiliser comme caution et il est intéressant de noter que le gouvernement détient nos actes de naissance, autrement dit les reçus de marchandises ou warrants. Il apparaît que les Réserves Fédérales sont les propriétaires en temps voulu de nos corps, notre travail, notre propriété, nos vies. Elles disposent du titre légal et nous seulement du droit d’utilisation. Nous ne sommes autorisés qu’à utiliser nos corps, nos finances, notre propriété qui appartiennent tous au gouvernement. Pourtant, le

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privilège de leur “utilisation” nécessite une “taxe d’utilisation”. À ce propos, la destruction du WTC avait pour objectif d’effacer la dette d’entreprise et de lancer une guerre. Comment l’existence d’une dette si énorme, engendrée par les sociétés de ce monde, peut-elle être prouvée alors que toutes les preuves ont été ensevelies avec l’effondrement des tours ? “Ground Zero” – l’équilibre de la dette.

J’ai lu un article sur un homme au Royaume-Uni, John, qui s’est défendu et a protégé sa femme contre deux personnes rentrées chez lui par effraction et dont une les menaçait d’un couteau. Un des deux intrus s’est enfui et John a poignardé l’autre qui est mort. John a été entendu par la police, je ne sais combien de temps, et a été reconnu coupable de meurtre. Je me suis rendu compte à quel point les lois étaient absurdes pour qu’un homme soit accusé de meurtre alors qu’il s’agit d’autodéfense (légitime défense) ! Mais cela n’a rien à voir avec un meurtre. Tout crime est commercial. Les Réserves Fédérales ont réussi à nous convaincre que nous sommes les entités d’une entreprise et John a entravé le commerce.

Le droit commun qui s’applique à toute personne vivante est le suivant : Nous sommes libres de faire ce qu’il nous plaît, dans la mesure où nous n’empiétons pas sur la liberté, la propriété, les droits des autres individus. Cela ne donne pas le droit au gouvernement de nous persécuter ou de nous accuser de crimes sans victimes. La législation a été établie dans cet objectif, mais son pouvoir est limité par le bon sens et par la résolution de ceux qui seraient prêts à se battre pour leurs droits innés.

On ne peut être accusé que si l’on a conclu ou rompu un contrat. Cependant, selon le droit commun, un contrat doit être conclu en connaissance de cause, sciemment et de manière intentionnelle. Le cas échéant, il est inexécutable. N’oubliez pas que l’une des exigences du contrat est sa pleine connaissance. Les départements du gouvernement en sont conscients et transgressent ces exigences en nous intimidant par la signature d’accords destinés à éradiquer tous les droits du droit commun.
Cette unique loi qui prend en compte tous les crimes réels est désormais remplacée par 60 millions de lois qui vous obligent à faire quelque chose. La loi ne peut pas forcer les agissements. Ces 60 millions de lois sont toutes basées sur le commerce. Ainsi, John

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est accusé du seul “crime” qui existe aujourd’hui, c’est-à-dire celui d’avoir entravé le commerce. Mais quel commerce ?

Penchons-nous de plus près sur qui étaient ces deux intrus et pourquoi ils se trouvaient dans la maison de John. Ils étaient des “collatéraux” appartenant au gouvernement. John n’a pas mis fin aux jours d’une autre personne vivante, il a détruit la propriété du gouvernement, la caution. En sachant que les voleurs pénètrent rarement dans les maisons occupées, on peut supposer sans risque qu’ils étaient sous l’emprise de drogues, à la recherche de quelque chose à voler et vendre pour pouvoir se payer leur prochaine dose. Qui est le créditeur de ces fonds ? Les banksters, et plus particulièrement la CIA/ le cartel de la drogue. Ainsi, John retire cet intrus du jeu du commerce et réduit ainsi les fonds attendus que cet homme aurait versés aux banksters pendant le reste de sa vie. John a déjoué leur plan, c’est pourquoi il a été retenu, et a été utilisé comme garantie de son homme de paille étant donné qu’il n’était pas le propriétaire en temps voulu de ce dernier. Il sera vraisemblablement accusé, mais de quoi ? Les tribunaux ne peuvent pas dévoiler la supercherie à propos de ce jeu du commerce. Alors, une fois que les avocats et les tribunaux auront pioché de manière exorbitante dans les fonds de l’homme de paille, via John dans sa tentative de se défendre, ils laisseront tomber les charges qui n’avaient pas lieu d’être dès le début. Je suis certain que John n’a pas la moindre idée de ce qui se passe et il ne le comprendra jamais tant qu’il n’apprendra pas le jeu du commerce, tout ce qu’il avait à faire consistait à refuser de contracter avec les Réserves Fédérales, mais la plupart d’entre nous n’ont aucunement conscience du pouvoir d’un contrat.

En parlant de drogues, voilà ce que Norman D. Livergood déclare à propos de “la Guerre contre la Drogue” : Elle

1. fournit une couverture à l’intervention et au contrôle
américain
2. alimente le budget militaire
3. augmente les ventes à l’étranger des armes américaines
4. assure un prix élevé des drogues à un faible coût

“Au niveau national, la guerre contre la drogue emprisonne des millions d’infidèles sur la base d’une condamnation obligatoire

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minimale, elle génère des profits pour les sociétés carcérales privatisées, tout en fournissant des fonds aux organisations et aux individus américains grâce au blanchiment de l’argent de la drogue : agences sous couverture pour les financements occultes, politiciens et banquiers soudoyés pour assurer les revenus de la drogue, politiciens ayant reçu des financements pour leur campagne provenant de l’argent de la drogue, dépenses et revenus de la police en augmentation grâce aux saisies, à la répression accrue dans les quartiers sensibles et les attaques dissimulées aux libertés civiles.

“La consommation de drogue est en baisse depuis 1979, mais cela est dû aux millions de consommateurs en prison, ainsi qu’à la peur des effets que peut avoir le crack. Il existe deux approches :
1. Incarcération des consommateurs et intervention militaire afin de stopper la production de drogue au niveau mondial, OU . 2. décriminalisation et traitement.
“Rappelez-vous l’époque de la Prohibition. Le fait de rendre à nouveau sa légalité à l’alcool a mis un terme à tout ce chaos. Pourquoi les responsables de la Guerre contre la Drogue auraient-ils envie d’éliminer les poules aux œufs d’or ? Le cartel de la drogue/les banksters/l’élite du monde économique ramassent un joli paquet grâce à cette « Guerre de la Drogue ». Nous attendons bientôt 300 tonnes d’héroïne à partir de l’opium afghan. »

Aux Etats-Unis comme en Europe, le commerce réalisé grâce aux prisons est immense. Sous le prétexte de la punition d’un crime, les directeurs de prison disposent d’une main d’œuvre à très faible coût. Au moins 86 % et plus probablement 94 % des prisonniers sont non violents. Ils sont en prison car ils ont été liés de manière contractuelle aux malfrats : ceux qui les ont persuadés que produire de la drogue, la plupart du temps de la marijuana et en détenir est puni “par la loi”. Aujourd’hui, ils travaillent pour quelques centimes de l’heure.

Le commerce de la drogue est un simple moyen d’arriver à ses fins : la prison. Les bons des prisonniers sont vendus sur le marché boursier à A G Edwards et Merrill Lynch. Un infidèle vaut environ 4 millions de dollars, la ville où se situe sa prison reçoit 40 millions de dollars. Les investisseurs proposent un achat à hauteur de 40%, permettant une augmentation des titres bancaires. Plus de

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50 % des titres du marché sont acquis en Orient. Les actionnaires détiennent la compagnie Correction Corporation of America qui, elle, possède toutes les prisons privées et vend les effets commerciaux de chaque prisonnier/esclave. Paine Weber est le principal actionnaire. Lorsque vous faites affaire avec ces sociétés internationales, vous trahissez vos semblables en les laissant en prison pour un crime commercial, qui n’est pourtant pas le vrai crime commis lors du non-respect de la vie, la propriété, les droits d’une autre personne vivante. Vous vous demandez comment les Etats-Unis peuvent s’offrir une guerre ? Les banksters vendent les âmes de vos compatriotes comme des marchandises stockées dans les prisons des sociétés des Etats-Unis, du Canada et de l’Europe. Les sociétés identifiées comme impliquées dans le commerce des prisons tiennent sur seize (16) pages. Ne perdez pas votre temps à inspecter leurs livres comptables, ce commerce n’y figure pas. Si cela vous concerne, vous pourriez avoir envie de réévaluer vos projets d’un point de vue plus éthique. Chaque bon de prisonnier possède un numéro d’identification CUSIP, ce qui vous permet de suivre la transaction et de connaître la valeur de l’émetteur (prisonnier), fonds dont il ne verra jamais la couleur.

Quand comprendrons-nous que « donner une leçon à quelqu’un » n’apporte rien d’autre que de la rancœur, que cela n’inspire qu’une plus grande attitude de défi à la personne concernée. – Harry Browne.
La « Guerre contre la Drogue » n’a pas été conçue pour nous servir, mais pour servir les banksters. Même chose pour la « Guerre contre le Cancer » de Nixon, elle a servi la mafia médicale, en particulier l’industrie pharmaceutique du génocide, mais pas les personnes atteintes d’un cancer.
Le gouvernement agit pour notre homme de paille que nous prenons pour nous. Afin de reprendre le contrôle sur nos vies, nous devons prendre le contrôle sur notre homme de paille. Par chance, nous savons désormais comment agir. Etant donné que les personnes vivantes ne peuvent « payer » la dette (HJR 192 /Décret n°16), nous ne pouvons que « l’annuler ». Puisque toutes les dettes sont créées sur le papier, elles peuvent toutes être annulées avec d’autres bouts de papier. Lorsque vous prenez le contrôle sur votre homme de paille, vous n’êtes plus utilisé comme garantie pour ce

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dernier et vous pouvez annuler sa dette grâce à votre signature, une promesse de paiement, comme le font les banksters.

Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté. –
Encyclopædia Britannica, 14e Edition.
Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques. – Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875

Notre objectif consiste à absorber progressivement les richesses du monde. – Cecil Rhodes, à propos du complot bancaire secret

J’ai peur que les citoyens ordinaires n’apprécient pas qu’on leur explique que les banques peuvent et ne se gênent pas pour créer et détruire de l’argent, mais également qu’en contrôlant le crédit des nations, elles dirigent les politiques des gouvernements et tiennent le destin des peuples au creux de leurs mains. – R. McKenna, à l’époque Directeur de la Midland Bank, Londres

Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). – M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939

Cette vérité est bien connue de nos acteurs principaux aujourd’hui impliqués dans la création d’un impérialisme du Capital afin de gouverner le Monde. En divisant les électeurs grâce à un système de partis politiques, nous arrivons à ce qu’ils gaspillent leur énergie dans des conflits à propos des sujets futiles. Ainsi, nous pouvons discrètement sécuriser ce qui avait été si bien planifié et accompli avec grand succès. – Sir Denison Miller

Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent. – Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, années 1920.

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Bien évidemment, les gens ne veulent pas la guerre : ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Allemagne d’ailleurs. Cela va de soi. Mais après tout, ce sont les dirigeants d’un pays qui en déterminent la politique et il est toujours facile d’entraîner les personnes, qu’il s’agisse d’une démocratie, d’une dictature fasciste, d’un parlement ou d’une dictature communiste. Qu’ils s’expriment ou pas, les personnes peuvent toujours être ralliées au commandement des dirigeants. Rien de plus facile. Tout ce que j’ai à faire pour cela consiste à leur faire croire qu’ils sont menacés et à dénoncer le manque de patriotisme des pacificateurs qui exposent leur pays au danger. Cela fonctionne dans tous les pays. – Goering au procès de Nuremberg

En 1992, George H.W. Bush déclarait à la journaliste de la Maison Blanche Sarah McClendon: Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient.

Impôt sur le revenu

“Ces personnes ne veulent pas payer leur part.”

Lorsque le Congrès a demandé à Nelson A. Rockefeller avant le versement de son annuité lors d’une réunion du gouvernement : « Combien avez-vous gagné l’année dernière ? », Rockefeller a répondu : « 650 millions de dollars. ». « Et combien avez-vous payé d’impôt sur le revenu pour cela ? », – « Rien ». Si vous payez plus d’impôts que Rockefeller, ne pensez-vous pas que vous avez besoin d’être mieux informé ?

Lorsque l’on s’intéresse à quoi/qui est tenu de « payer » l’impôt sur le revenu au Canada, on comprend tout d’abord à quoi (remarquez que je n’ai pas écrit « à qui ») cela s’applique. Il est inutile de rajouter que le code de revenu interne des Etats-Unis ou de l’Europe révèle la même chose.

Income Tax Act, Canada, R.S.C. 1985, Chapitre I (5e Supp.), mis à jour le 31 décembre 2000

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Une loi qui respecte les impôts sur le revenu

TITRE ABREGE

1. Cette loi peut être évoquée comme la Loi de l’impôt sur le revenu, S.R.C 1952, c. 148, s. 1.

PARTIE I – IMPOT SUR LE REVENU – SECTION A – ASSUJETISSEMENT A L’IMPOT

Impôt payable par les personnes résidant au Canada
2. (1) Un impôt sur le revenu doit être payé, ainsi qu’il est prévu par la présente loi, pour chaque année d’imposition, sur le revenu imposable de toute personne résidant au Canada à un moment donné au cours de l’année.

Tout est dit ici. Vous n’êtes pas une “personne”. La définition de “personne” selon les interprétations législatives du Canada et le 14 ème Amendement des Etats-Unis est : Société. Les sociétés perçoivent un “revenu” et « résident à une adresse ». Le Canada est une société qui comprend des territoires et non des provinces. Nous sommes dédommagés avec une rémunération, pas un revenu. Nous “logeons”, nous ne résidons pas, nous disposons d’une “adresse postale”, pas d’une adresse, dans une province et pas au Canada.

N’oubliez pas que votre homme de paille est une entité d’entreprise créée par le gouvernement. Si vous servez de garantie, vous êtes alors responsable du paiement des taxes qui le concernent. Cependant, si vous êtes le parti sécurisé, vous avez la priorité sur lui et les Réserves Fédérales n’ont aucun contrôle sur cet homme de paille et donc sur vous. VOUS NE DEVEZ aucun impôt sur le “revenu”, personne n’a jamais été capable de définir le “revenu”.
Rappelez-vous l’agent bredouillant de l’IRS qui n’arrivait pas à trouver dans son manuel de l’IR où il est stipulé que je dois payer un impôt sur mon “revenu”. Allez chez H&R et tentez le même coup, ça les rend fous. Faites-le seulement le jour où vous n’avez rien d’autre à faire, car je suis sûr que vous n’avez pas envie de perdre du temps avec cette histoire d’impôts frauduleux, le fait de savoir qu’il s’agit d’une vaste blague doit déjà bien vous suffire. Cependant, si vous êtes comme moi et que vous aimez embêter les bureaucrates, c’est un vrai plaisir. Ou appelez votre centre des

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impôts, posez -leur la question et écoutez leurs gémissements. Nous n’avons pas à payer d’impôt sur le revenu, ou aucune autre taxe que j’ai pu évoquer, à moins que nous n’ayons accepté les termes du contrat. Qui ferait cela ?

La plupart des personnes paient un impôt sur le “revenu” même s’il ne s’agit pas du leur mais de celui de l’homme de paille. Comment pouvons-nous être assujettis à un impôt pour un “revenu” que nous n’avons jamais perçu ? Et même si nous avions perçu cette somme, il n’existe aucune loi qui nous oblige à payer des impôts, peu importe qu’il s’agisse de l’impôt sur le « revenu » ; cependant, les Canadiens et surtout les Européens, ont tendance à justifier la confiscation de leur rémunération en expliquant qu’il existe une loi, ce qui est complètement faux, même en Europe.
Ils se plaignent de payer des taxes et pourtant ils défendent ce système. Ce conflit d’émotions est comparable au syndrome de Stockholm, qui correspond au comportement des victimes qui, avec le temps, créent des liens de sympathie avec leurs ravisseurs (terme utilisé après une prise d’otages à Stockholm où, après six jours de captivité dans une banque, plusieurs otages ont résisté aux tentatives de sauvetage et ont plus tard refusé de témoigner contre leurs ravisseurs).
Les personnes retenues prisonnières commencent à s’identifier à leurs ravisseurs d’abord en tant que mécanisme de défense dû à la peur de la violence. Les petits actes de sympathie (lire : « avantages du gouvernement ») des ravisseurs sont amplifiés, étant donné qu’il est impossible d’envisager quelque perspective que ce soit dans la situation d’une prise d’otages. Les tentatives de sauvetage (par ceux d’entre nous qui ont l’intention de FAIRE OUVRIR LES YEUX au troupeau) sont considérées comme une menace, puisque le prisonnier pourrait être blessé. Ainsi, le fait que les rebelles comme moi ne soient pas écoutés est dû à des raisons psychologiques. En réalité, tout cela m’effraie, et bien plus que la situation de prise d’otages, ici la plupart des personnes sont emprisonnées involontairement par leurs gouvernements.
Ce qui m’attriste, ce sont les personnes qui se mentent à elles-mêmes. Celles qui payent les impôts aggravent la situation, elles pensent qu’elles n’ont pas le choix, elles ont été prises en otage. Le fait de payer des impôts ou non n’est pas d’une grande importance lorsque l’on considère le plan échafaudé dans son

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ensemble. Ce qui EST important c’est ce qui se passe dans leurs esprits, qui apparaît être de la peur. Il n’y a pas de liberté, d’envie de vivre où l’on trouve la peur. En réalité, les personnes sont paralysées de peur la nuit dans leur lit lorsqu’elles se demandent comment elles vont bien pouvoir faire pour payer leurs “impôts”. Ça me rend dingue, mais je suis de tout cœur avec eux. Qu’ils sachent que leur angoisse existentielle est totalement infondée.

Votre “impôt sur le revenu” ne sert PAS au bon fonctionnement du Gouvernement. Vous faites le chèque au Centre des Impôts/Receveur des Impôts – CRA (toutes deux des sociétés privées). Qui l’endosse ? Regardez au dos du chèque.
Vous voyez qui a récupéré les $$$ (une société privée) ? La Réserve Fédérale Inc./Banque du Canada Inc./Banque Centrale Européenne Inc. Le chèque est alors transmis au Gouverneur Secrétaire de la Trésorerie du FMI, Société des Nations-Unies Unies. Les personnes qui paient un impôt sur leur “revenu” abandonnent leur “argent” durement gagné aux mains des Nations-Unies Unies, une organisation internationale communiste, dont l’objectif est le collectivisme. Une grande partie de votre revenu a servi de soutien au nom du collectivisme (je dirais bien “Communisme, mais les esprits se ferment face à ce terme et le « Je ne crois pas aux théories du complot » est assez répandu, donc je parle de collectivisme). Les fonds réunis grâce aux impôts ne sont pas utilisés pour le fonctionnement du gouvernement ou l’un de ses soi-disant programmes. Le FMI contrôle le gouvernement, vos $$$ sont sans conséquence sur le fonctionnement du gouvernement. Aucun souverain ne peut être taxé, cela ne concerne que les sociétés et seulement sur accord du mandant/de la garantie (vous), si en effet vous avez donné votre aval.
Pourquoi feriez-vous cela de manière volontaire, de votre plein gré et en connaissance de cause ? Vous ne le feriez pas. On a voulu vous le faire croire.
Beaucoup de personnes s’indignent fortement de devoir payer des impôts. Etant donné qu’elles sont déçues de se sentir si impuissantes face à ce problème, elles cherchent des moyens de récupérer quelque chose de ce système qui ne fonctionne pas dans leur intérêt. Elles compensent leurs cotisations en fréquentant les hôpitaux, les médecins, en remplissant des déclarations de sinistre, d’indemnités pour les ouvriers, etc. Elles ne ressentent aucun

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remords à le faire car elles pensent sincèrement qu’elles ont “payé” pour ça. Le seul résultat de tout cela, c’est que ces personnes restent enfermées dans l’idée qu’elles “ont” quelque chose en retour. Le problème, étant donné que l’intention est au centre de tout, c’est que leur comportement est alimenté par la rancœur. Cela ne pourra pas fonctionner pour eux sur du long terme. Pire, ils deviennent dépendants des avantages consentis par le gouvernement. Nous ne pouvons nous permettre de dépendre d’une entité qui ne considère pas le fait de servir nos intérêts comme sa principale préoccupation. Le mieux, et de loin, serait de se libérer de cette peur qui étouffe nos pensées et qui nous induit en erreur sur qui nous sommes vraiment.

TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée = Taxe de vente, etc.)

Il s’agit juste d’un autre moyen de faire main basse sur vos richesses et votre pouvoir personnel. La taxe sur les services et les biens est une autre “taxe” liée à l’”utilisation” que nous ne sommes pas obligés de payer non seulement car il n’existe aucune loi qui nous y oblige, mais également en raison de ce que nous sommes réellement et que l’on nous a persuadé d’oublier. J’aime me promener avec ma carte d’”exonération de taxe” ou mon certificat d’”exonération d’impôt”, que je montre au propriétaire/gestionnaire des lieux que je fréquente, pour lui prouver que je ne suis nullement obligé de payer des impôts, pour ne pas dire de payer pour quoi que ce soit. Non seulement j’ai déjà prépayé tout ce que je voulais, mais je ne suis pas non plus soumis à l’ad valorem tax (TVA). Encore une fois, les personnes souveraines n’ont pas à payer de taxe. Nous sommes souverains, jusqu’à ce que nous nous laissions imposer un comportement qui dénature ce fait. Pensez-vous que la reine paye des impôts ? Le Pape est-il Sioniste ?

Donc, nous sommes exonérés de charges et tout ce que nous avons à faire est de le répéter, même si on nous a enseigné à ne plus croire en notre souveraineté.

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Loi

Devrais-je respecter les lois jusqu’à ce qu’elles changent ou aider à accélérer le changement en les transgressant ? – Ashleigh Brilliant

Un flic m’a arrêté un jour car je ne portais pas ma ceinture. Je lui ai demandé : “Où est la personne blessée ?” “L’État Français”. Lorsque je lui ai demandé : “Si j’appelle l’État Français à la barre, qui se déplacera ?” Il ne savait pas comment répondre car personne ne voudrait ou ne pourrait se montrer. Aucun nom en lettres majuscules ne peut représenter la personne blessée car il s’agit d’une fiction, une entité créée par le gouvernement. Seules les personnes constituées de chair et de sang peuvent être “blessées”.

Il m’a alors demandé mon permis de conduire que je n’avais pas, car le fait d’en avoir eu un en ma possession lui aurait immédiatement garanti le contrôle sur moi, chose qu’il n’avait pas jusqu’à présent. Je lui ai demandé si nous étions obligés d’en avoir un et si c’était le cas, qu’il me cite la loi qui m’y oblige. Plus tard, il m’a montré la loi qui stipule que “tous les opérateurs doivent posséder un permis”, mais j’ai remarqué que cela ne s’appliquait pas à moi, et que cette loi ne donnait aucun détail sur les conséquences pour lesdits “opérateurs”, dont je ne faisais pas partie. Il n’existait aucun règlement d’application ou de clause de mise en application. Il s’agissait simplement d’un des nombreux codes de la route qui ne s’appliquent qu’à ceux qui les ont créés. Ils n’ont aucune influence sur ceux d’entre nous qui ne sont pas d’accord avec eux. Voilà qui vous permettra maintenant d’appréhender correctement le fameux dicton « Les lois sont faites pour ceux qui les écrivent » . Les lois ne peuvent pas obliger, elles peuvent seulement protéger. Si la loi ne me protège pas, alors elle ne me concerne pas. Il n’existe alors qu’une loi, la règle d’or, et lorsqu’elle est enfreinte, elle engendre la transgression de la vie, de la liberté, de la propriété et des droits d’un autre être humain, qui a tous les droits de demander une compensation pour le préjudice subi. Tout le reste n’est que statuts qui ne s’appliquent qu’aux personnes concernées, à savoir celles qui les ont définis. Les codes, règles, règlements, statuts, arrêtés et ordonnances ne concernent que les personnes travaillant dans les départements qui les ont documentés. Quoi ?! Ainsi le Code sur le

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Revenu interne ne s’applique qu’aux agents de l’Impôt sur le revenu, et les codes de la CRA aux agents de la CRA, et aux autres personnes qui se sentiraient concernées par des contrats avec ces agences. C’est votre cas ? Pas le mien.

La fonction de la loi n’est pas de garantir la justice ou de préserver la liberté. Sa fonction est de permettre aux plus puissants de conserver le contrôle. – Gerry Spence – From Freedom to Slavery (De la liberté à l’esclavage), 1993

Puisque seuls les avocats comprennent la loi, eux seul devraient y obéir. – Chuck Conces

Selon la loi actuelle, c’est un crime pour un citoyen privé de mentir à un représentant du gouvernement, mais ce n’est pas un crime pour un représentant du gouvernement de mentir au peuple.

– Donald M. Fraser
Etant donné que « l’égalité devant la Loi est prépondérante et obligée par la Loi » et que nous savons que tous les acteurs des tribunaux mentent, tout n’est que baratin, alors pourquoi Martha Stewart a-t-elle été envoyée en prison pour avoir … “menti” ? C’est justement car elle a décidé de ne pas le faire. Puisque le contrat constitue la seule loi, elle a rompu celui dans lequel elle acceptait de “dire la vérité”. Si elle avait refusé de “dire la vérité”, elle ne serait pas en prison aujourd’hui. Il n’existe aucune loi contre le fait de “mentir”.
Lorsque vous enfreignez les principales lois, vous n’obtenez pas la liberté, même pas l’anarchie. Vous vous retrouvez confronté aux lois secondaires (codes, règles, règlements, statuts, ordonnances). – G. K. Chesterton.
À la minute où vous lisez quelque chose que vous ne comprenez pas, vous pouvez presque être sûr que cela a été rédigé par un avocat. – Will Rogers

La seule loi morale consiste à ne s’occuper que de ses propres affaires. – Frederic Bastiat, The Law (La Loi)

On m’a demandé sur un ton plutôt sarcastique : “Donc vous pensez être au-dessus de la loi…” Bien sûr que je suis au-dessus de la loi. Bob Dylan disait : “Pour vivre au-dessus de la loi, tu dois être

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honnête”. Cela me rend plus respectable. Le créateur est toujours supérieur à ce qu’il a créé. Si l’Homme a créé les lois, il est alors au-dessus. Je n’ai jamais dit que j’étais au-dessus des lois du Créateur, j’ai affirmé être au-dessus des lois des hommes … principalement car elles ne me concernent pas. Mais ce n’est pas ce qui m’intéresse ici. Pensez au Frankenstein de Mary Shelley. C’est un exemple parfait de la création qui dépasse le créateur. Cela a-t-il été bénéfique au Dr Frankenstein de créer quelque chose de plus puissant que lui ? Pourquoi devrions-nous croire que ce n’est pas la même chose pour nous ?

Le fait de s’arrêter à un stop lorsque l’on peut voir de loin qu’il n’y a aucune raison de s’arrêter à l’intersection relève de l’idiotie. Dans cet exemple, notre intention était-elle de nous soumettre à un panneau Stop ou plutôt de mettre en place ce panneau pour qu’il nous serve ? Pourquoi nous inclinons-nous devant lui ? Vous dites vous : “Je m’arrête afin que la police ne puisse pas me mettre une amende pour avoir grillé le Stop”. Le rôle de la police a changé.
Lorsque j’étais enfant, on m’a appris que “le policier est ton ami. Si tu es perdu, cherche un policier et il te raccompagnera à la maison”. Les mères en seraient tellement reconnaissantes qu’elles l’inviteraient à prendre un thé et des biscuits. J’ai dû apprendre à mes enfants que “le policier n’est pas ton ami. Si tu es perdu et que tu t’adresses à un policier, il te raccompagnera probablement à la maison, mais il m’enverra en prison pour négligence et pour avoir laissé mes enfants se perdre”. N’oubliez pas que l’on présume que mes enfants ne m’appartiennent pas à moi mais à l’État et je serais accusé de négligence envers sa propriété. Il s’avère juste que mes enfants m’appartiennent car j’ai activement réfuté cette présomption.
Cela me rappelle l’histoire d’un collègue du Michigan qui a cinq enfants, dont les quatre premiers ont un acte de naissance. Le plus jeune est né à la maison et n’a donc pas d’acte de naissance. Un jour, le père était avec ses enfants dans un magasin et il criait après l’un d’eux. Une femme “bien pensante” l’entendit crier, et comme tout bon informateur, téléphona aux Services de la protection de l’enfance pour déclarer un acte de maltraitance. Le lendemain, les flics débarquaient chez lui et lui enlevaient ses cinq enfants. Le surlendemain, ils revenaient pour ramener le plus jeune des enfants,

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“Ce n’est pas le nôtre”. C’est assez pour vous garantir que vos enfants vous appartiennent à vous et non à l’Etat. Pour vous, Européens ou Canadiens qui pensez que vos serviteurs publics sont au-dessus de ce vol apparent, réfléchissez de nouveau. Si vous avez cédé par écrit vos enfants à l’État via leur acte de naissance, je vous suggère de vous assurer que vos papiers sont en ordre afin d’éviter que les agents fédéraux ne viennent récupérer leur caution, comme intérêts du prêt.

En quoi consiste donc le boulot des policiers de nos jours ? Il ne s’agit pas de “servir et protéger”, à moins qu’on comprenne par là “servir et protéger les Banksters du monde entier”. Leur seule mission consiste à récupérer des revenus pour les intérêts de la dette en raison de la situation de faillite. Il n’existe plus de “Gardiens de la Paix”.
Etant donné que les lois ne peuvent empêcher les agissements, il n’existe aucune loi qui peut obliger le propriétaire à construire sa maison dans une zone particulière de sa propriété. Que peut-il se passer si c’est le cas ? Quels sont les droits qu’il enfreint ? Bien, éventuellement ceux de son voisin, auquel cas ledit voisin devrait déposer une plainte signée et validée, idéalement contresignée par un témoin et attendre qu’un jury décide de savoir s’il a vraiment subi un préjudice.
Les lois ne doivent être destinées qu’à protéger la vie, la liberté, la propriété et les droits des personnes vivantes. Elles ont été créées pour nous servir, et non l’inverse. « Si vos lois ne me protègent pas, alors elles ne me concernent pas ». Donc, oui, nous sommes au-dessus de la « loi » (lorsque le mot « loi » se réfère aux « statuts »).
Le problème concerne aujourd’hui les statuts. Ils sont irréfutables. Il semble qu’ils nous dictent tout ce que nous sommes obligés de faire et tout ce que nous ne pouvons pas faire. Les statuts ont remplacé la SEULE LOI véritable. Là où auparavant nous pouvions être reconnus coupables d’avoir enfreint la loi unique, nous pouvons aujourd’hui être déclarés coupables de n’avoir « rien » fait, ce qui signifie que nous avons omis d’agir précisément comme le demandent les statuts. Vu leur grand nombre, ce cas se présentera pour chaque affaire courante de la vie quotidienne.
L’expression qui dit que le fait d’ « ignorer la loi n’excuse rien » ou « nul n’est censé ignorer la loi » pouvait s’appliquer

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lorsque la « loi » à laquelle elle se référait était la seule que nous avions besoin de connaître. Mais étant donné que la loi unique n’existe plus, hormis dans nos cœurs, cette expression ne s’applique plus qu’aux statuts. « Ignorer les statuts n’excuse rien ». Au contraire, le fait d’ignorer les statuts excuse TOUT car il en existe 60 000 000, et nous n’avons pas été informés de l’existence de 59 999 973 d’entre eux. Croyez-moi, vous êtes coupables au quotidien d’en « enfreindre » certains, pour ne pas dire tous.

Que s’est-il passé ? Quelques questions me viennent à l’esprit.
1. À qui ces statuts s’appliquent-ils ?
2. À qui profite le fait que l’on ne respecte pas ces statuts ?
3. En premier lieu, quels sont les avantages retirés d’un si grand nombre de statuts, codes, règles, règlements, ordonnances, lois ?
4. Depuis quand les avocats et les industriels peuvent-ils créer des lois ? Ou plutôt des statuts ?
5. La création des lois n’incombe-t-elle pas au gouvernement
?
6. Pourquoi un représentant du peuple édicterait-il des statuts qui ne servent pas ses semblables ?

Le Trading with the Enemy Act de 1917 nous a tous redéfinis comme des belligérants dans une situation de crise (en fait une déclaration de guerre). Vos droits ont donc été supprimés et un homme de paille a été créé à partir de votre numéro de sécurité sociale. Etant donné que les politiciens ont aboli le droit commun et LA loi qui constituaient le droit acquis traditionnel du peuple, qu’est ce qui a été mis en place ? La loi du commerce.

Voilà pourquoi les personnes perdent lorsqu’elles essaient d’invoquer leurs « droits constitutionnels ». En résumé, les cours sont des tribunaux militaires où des poursuites judicaires sont engagées contre les civils. Les lois constitutionnelle et commune ne sont pas permises dans de tels tribunaux. Si nous devions revenir à la loi commune, aussi brutal que cela puisse être, tout le système d’allocations, de taxes sur le revenu, de bureaucratie, de codes, ordonnances, règlements, arrêtés, lois et règles cesseraient d’exister.

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Avocats

La profession d’avocat concerne aujourd’hui aussi peu la « loi », que la profession de médecin ne concerne la « santé ». Donc, lorsque vous entendez des idioties telles que « exercer la loi / pratiquer la médecine sans diplôme », notez que ces personnes sont en fait accusées de pratiquer des actions afférentes à la “santé” ou la “loi” sans y être habilitées, alors qu’aucun diplôme n’est requis. Un diplôme n’est acquis que par les personnes qui choisissent de se placer sous la juridiction de l’entité émettrice dudit diplôme. Ceux d’entre nous qui choisissent de rester libres sont assurés de ne jamais obtenir quelque autorisation que ce soit. Une « autorisation d’exercer la loi » est obtenue par l’avocat via le client qui l’embauche, dans cette mesure, il ne dispose pas de diplôme lui permettant d’exercer la loi.

Oui, il possède une carte du barreau, mais cela n’a rien à voir avec une autorisation de s’occuper d’un cas qui doit être obtenue auprès du client qui l’embauche. Par conséquent, il est intéressant de stipuler à un avocat les personnes que vous ne voulez pas voir impliquées dans vos affaires commerciales. J’aime leur expliquer que je ne les autorise pas à prendre de décision au niveau juridique en ce qui me concerne, car, jusqu’à preuve du contraire, ils n’ont aucun pouvoir juridique. Ils sont complètement perdus. Ils n’ont même pas le quart du pouvoir qu’ils veulent vous faire croire.

Donc, si vous voulez devenir un « avocat », voilà ce qui vous attend :

Persécuter pour le compte de l’IRS/CRA afin d’emprisonner quelqu’un pour « omission de payer » ;
Être désigné (imposé) par un « juge » pour nous représenter lors de notre accusation ;
Rejeter le classement de nos documents privés dans les archives publiques ;
Initier et déposer toutes les plaintes (nous en sommes interdits) ;
Confisquer la propriété et les fonds des époux, ordonner la garde des enfants en cas de divorce ;
Contrôler la propriété privée via l’aménagement du territoire, la planification de lois et de codes ;

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Conseiller les employeurs pour la confiscation des fonds via le prélèvement à la source, donc sur les salaires ;
Approuver le retrait des enfants à leurs parents par les agents de la Protection de l’enfance ;
Entamer une procédure de saisie lors du non-paiement paiement de plusieurs traites d’hypothèques ;
Confisquer la propriété lorsque les impôts n’ont pas été réglés ;
S’emparer de la propriété des gens via la succession après notre mort ;
Qualifier de « crime » une activité reconnue comme naturelle et légale depuis des décennies, activité qui en raison de la législation actuelle requiert aujourd’hui une licence ;
Intenter des actions en justice contre nous pour des crimes qui, jusqu’à récemment, faisaient partie des activités légales ;
Récolter des indemnisations énormes en exagérant les plaintes pour dommages corporels, d’où la montée en flèche des primes d’assurance ;
Prétendre être plus qualifiés pour résoudre les conflits personnels que les personnes qu’ils impliquent ;
Compliquer les contrats les plus simples impliquant deux parties de manière à les rendre incompréhensibles ;
Renseigner un tas de documents inutiles et complexes pour déposer une plainte normalement considérée comme simple ;
Chosifier et compliquer les processus intimes tels que l’adoption ;
Être la seule personne autorisée à rentrer dans une cellule de prison alors qu’un ami serait bien plus à même de nous soutenir ;
Plaider des deux côtés de la « cour » ;
Grâce au barreau, faire régner et être responsable de l’accréditation des facultés de droit, définir le programme de ces facultés en garantissant ou refusant l’accréditation, la création et l’application de lois en votre seule faveur et de statuts qu’il est impossible de ne pas violer puisqu’ils sont plus de 60 millions.
Constituer la puissance supérieure qui tire toutes les ficelles des agences qui nous contrôlent ;
Agir comme sbire et récupérateur de revenus pour le FMI/les banksters internationaux ;
Obtenir une « procuration » lorsque nous vous embauchons (vous garantit une « licence pour exercer la loi »), de manière à nous rendre incompétents.

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Une fois, j’ai dit à un avocat avec le plus de sincérité possible, que c’était un honnête gars. Il m’a répondu : « Enfin, j’essaie de l’être ». À mon tour : « Si vous étiez vraiment honnête, vous n’essaieriez pas de l’être ». (Il était vraiment tordu).

Ce que je préfère chez les avocats, c’est leur manie de poser deux questions en une. « Avez-vous… ou n’avez-vous pas…? » Un jour, un avocat m’a posé une de ces doubles questions et je lui ai demandé : « Que voulez- vous savoir ? ». Il a répété sa question et je lui ai donc répondu : « À quelle question souhaitez-vous que je réponde ? ». Il a réitéré encore une fois sa question et moi : « Non à la première question, oui à la seconde ». Non seulement il n’a pas compris ma réponse, mais il n’avait pas non plus compris sa question. Si j’avais seulement répondu « Oui », comment aurait-il pu deviner à quelle question je faisais référence ? « Oui, je n’ai pas… » ? ou « Oui, j’ai …. » ? Aussi bizarre que cela puisse paraître, les avocats utilisent toujours cette manière idiote de poser des questions. Ils doivent penser que c’est effrayant, alors qu’en fait, on dirait simplement qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent, ce qui est vrai dans la plupart des cas. Mais ce cinéma leur permet également de tourner n’importe quelle réponse à leur avantage. Ne tombez pas dans ce piège. Répondez toujours soit par « Oui, j’ai » ou « Non, je n’ai pas » …en fait, contentez-vous d’oublier le tribunal. Au départ, rien ne vous oblige à vous y rendre ! Qui la « cour » a-t-elle invité ? Vous ? Je ne pense pas. Tout ce que vous avez à faire c’est répondre. Une invitation à se présenter au tribunal équivaut à une invitation pour une fête de Charles Manson. N’y allez pas, contentez-vous de décliner l’offre avec courtoisie.

Obtention de licence

Une licence « permet d’exercer une activité qui, le cas échéant, serait illégale ». Une licence constitue l’autorisation d’exercer dans une situation par nature légale mais désormais interdite par les statuts, sauf avec autorisation de l’autorité compétente.

Cette activité est désormais un privilège pouvant être annulé, ce qui signifie la fin de la liberté, « liberté » étant définie ici comme :

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« Liberté et exemption de tout contrôle extérieur ». Faites le tour de toutes les activités pour lesquelles on a entubé la plupart des personnes en leur faisant croire qu’elles nécessitaient une licence : mariage, permis de construire, de conduire, de port d’arme, entreprise, commerce, carte du barreau, permis de chasse, etc. On nous affirme aujourd’hui que sans ces permis, nous ne sommes pas autorisés à exercer les activités suivantes : fonder un foyer et une famille avec la personne que nous aimons, ajouter une pièce à notre maison, nous rendre chez un ami avec notre propre voiture, protéger notre famille des intrus, “gagner notre vie” grâce à nos affaires privées, prendre soin de nos semblables infirmes, réparer la plomberie/le système électrique chez quelqu’un, nous rendre au tribunal (hormis le fait qu’il n’en existe plus, ce sont aujourd’hui des tribunaux de commerce) pour un sujet qui nous concerne nous et un ami, trouver notre nourriture dans la nature, etc., etc. Et la liste est longue. Pourquoi un homme ou une femme libre devraient-ils demander la permission du gouvernement pour se marier, conduire une voiture, créer une société, agrandir leur maison, ou améliorer leur propriété ?

Nous ne sommes plus libres de faire quoi que ce soit car les statuts ont été édictés pour nous obliger à obtenir des permis nous autorisant à pratiquer une activité qui n’empiète pas sur la vie, la liberté, la propriété ou les droits d’autrui. Tout est question de contrôle. Le pire c’est qu’il n’y a pas d’issue à cela, vous vous attirez des problèmes si vous n’avez pas de permis car vous récoltez une amende pour ça ; mais vous avez également des problèmes si vous en possédez un, car l’amende vous est collée pour avoir fait quelque chose que ce permis ne vous donne pas le droit de faire. Dans tous les cas, on cherche à exercer un contrôle sur vous.
En ce qui me concerne, je prends le risque de ne pas posséder de permis. Je n’ai AUCUN permis. Je les ai tous abandonnés. Je possède un « permis de conduire » que j’ai moi-même fabriqué pour des raisons pratiques, quelque chose à montrer aux flics pour calmer le jeu au lieu d’envenimer la situation en leur répondant : « Je n’ai pas de permis de conduire », chose que j’ai faite il y a des années et qui ne m’a apporté que des ennuis au lieu de me permettre d’accomplir ce que j’avais prévu. Pourtant, celui que je possède n’a pas été émis par le gouvernement, je l’ai créé moi-même. Par leur action, les personnes qui confectionnent elles-

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mêmes leurs « permis » revendiquent leurs droits d’une manière responsable et organisée en tant que déclaratoire de transition pacifique par rapport à l’observance du gouvernement, mais introduisent également la notion de liberté des autres.

C’est le contrat qui pose problème. Si aucun contrat ne nous lie à l’ « autorité » supérieure, elle n’a aucun pouvoir sur nous. Ces soi-disant autorités font tout ce qui est en leur pouvoir pour nous intimider et nous forcer à obtenir ces permis, en évoquant par exemple comme prétexte que c’est ce que stipule la loi. Mais en réalité, elles ne peuvent forcer qui que ce soit à obtenir un permis car cela reviendrait à forcer la personne à contracter, ce qui rendrait le contrat caduque par nature. Nous disposons non seulement du droit illimité de contracter, mais également du droit illimité de ne pas contracter.
Donc étant donné que j’ai obtenu le diplôme d’une école qui établit que je suis clairement apte à prodiguer des soins infirmiers, pourquoi devrais-je en plus obtenir une licence me permettant d’exercer cette activité ? Avez-vous déjà remarqué que pour l’obtention du permis de conduire, les deux choses que l’on vous demande sont une signature et une adresse ? Ils n’en ont rien à faire de savoir si vous êtes capables de vous débrouiller avec une voiture, ils veulent juste avoir votre signature sur ce contrat frauduleux et également savoir où vous vous trouver si vous faites quelque chose qui leur déplaît afin de vous dessaisir de votre voiture et du reste.
Ne stipulez jamais sur un contrat l’endroit où vous logez et ne prenez jamais avec vous une « pièce d’identité » stipulant votre adresse. J’ai un très vieux passeport (15 ans) car j’aime ma photo là-dessus. En réalité, c’est une très bonne pièce d’identité, car mon adresse n’y est pas écrite. Un jour, un flic m’a demandé ma pièce d’identité.
Je lui ai demandé si j’étais obligé d’avoir une pièce d’identité. Comprenant que je pouvais m’attirer des ennuis, j’ai sorti une « pièce d’identité » et j’ai dit : « Bon, en fait j’ai une pièce d’identité, mais toutes les informations qu’elle contient ne sont que des rumeurs ; je ne sais pas si elles sont vraies, alors comment pourriez-vous le savoir ? Les tribunaux acceptent-ils les rumeurs ? » Fin de l’histoire.
Ne signez jamais de contrat sans en connaître parfaitement les termes et sans être sûr que vous les avez tous bien compris.

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N’acceptez jamais les conditions lorsque vous savez qu’elles ne s’appliquent pas pour vous. Il s’agit bien de l’objectif et de la signification d’un contrat : une chose par laquelle deux parties peuvent accepter d’être liées sans remords, une réunion des esprits. Ne vous gênez pas pour barrer et parapher ce qui ne vous convient pas. Puis, dans le cadre réservé à la signature, écrivez « Pour (votre signature), agent », étant donné que vous êtes l’agent de l’homme de paille, aucun doute sur l’entité concernée par ce contrat. Une fois qu’il est « signé », le contrat ne peut être modifié. En tant que personne chargée de la « validation » ou du « rejet », vous avez le contrôle. Servez vos propres intérêts.

Vous pouvez rajouter les mentions « sans préjudice » ou « Tous droits réservés » ou UCC1-207/1-308, qui protègeront vos droits pour tout contrat ou accord commercial que vous n’avez pas conclu en connaissance de cause, de plein gré, et intentionnellement. Cependant, je vous recommande de rajouter « agent » ou « représentant agréé » après votre signature, ce qui signifie que vous, personne vivante, n’êtes pas l’entité à laquelle s’applique le supposé contrat. Le mot « Par : » placé juste avant votre signature est la meilleure preuve de votre rôle d’intermédiaire.
Les licences permettent de contrôler, de réguler, de réprimer, d’intimider, de voler et de détruire. L’obtention de licences est camouflée par l’excuse du protectionnisme. Les gouvernements émettent des licences afin de faire travailler les secrétariats, les conseils, les bureaucrates et les commissions dont la fonction consiste à garantir une source de revenus supplémentaire au gouvernement, dès lors que la permission en est accordée. Les gouvernements tyranniques préfèrent que leurs sujets/esclaves demandent une permission, qu’ils considèrent comme condition à la possibilité d’exercer toute activité indépendante, publique ou privée. De tels gouvernements ne veulent régner que sur des sujets qui se soumettent aux ordres. Ainsi, des administrations entières sont créées pour promouvoir l’acceptation de la mise en œuvre de licences pour le « bien commun » ou pour la « protection du peuple ».
Protégez-moi des protecteurs. – Don Croft

Les gouvernements ont besoin d’armées pour les protéger de leurs sujets opprimés réduits à l’esclavage. – Tolstoy

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Le système de licence du gouvernement est basé sur toute la différence faite entre un « droit » et un « privilège ». Un individu « libre » a le droit de faire ce qu’il veut tant que son activité ne nuit pas à la vie, la liberté, la propriété et les droits d’une tierce personne. Cependant, il est nécessaire de demander la permission de faire quelque chose qui transgresse les droits ou la propriété d’un autre individu. Dans ce cas, seule la personne détenant le droit de propriété est habilitée à accorder la permission d’agir.

“Tout le monde sait”

Le seul moyen de s’assurer que les « gens » « savent » ce qui se passe incombe à une personne qui aurait un intérêt tout particulier à faire en sorte que « tout le monde » « sache » tout. Lorsque « tout le monde sait », il existe toujours une personne qui tire avantage de ce que « tout le monde sait ». Ainsi, il ne peut s’agir de la vérité, toutes les « vérités » semblent n’être connues que par quelques personnes, car chaque vérité ne peut être découverte que par intuition et/ou expérience. À ma connaissance, rien de ce que « tout le monde sait » n’est vrai, ce n’est pas votre cas ? La seule raison de l’existence des vérités que « tout le monde connaît » est due au fait que les gens sont victimes d’une propagande visant à leur faire croire des pseudos vérités. Le système public pour idiots constitue le meilleur moyen de propagande de cette fraude. Comment est-il possible qu’un continent entier sache à quel moment avancer ou reculer l’heure, alors que très peu d’entre nous sommes conscients du fait que lorsque nous sommes en colère, la raison n’est jamais celle que l’on croit. Quelqu’un a-t-il oublié de publier ça à la Une des journaux ? Donc, si tout le monde sait quelque chose, quoi que ce soit, vous pouvez être sûr qu’il existe une personne quelque part qui a tout à gagner du fait que nous « sachions » cela. Vous pouvez également être sûr que cette information est fausse. Par conséquent, « tout le monde sait que vous devez payer des impôts sur le revenu, avoir un permis de conduire, être bien éduqué pour avoir un bon travail », etc. n’est que mensonge.

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« Tout le monde sait » que vous devez vous rendre au tribunal lorsque vous y êtes convoqué.

N’allez jamais au tribunal. Le tribunal n’est qu’une tierce partie récupératrice de dettes pour une société étrangère. Vous n’êtes jamais cité sur une convocation. Même ce que vous considérez comme votre nom ne l’est pas ; il vous représente seulement. Vous n’êtes pas concerné par l’action. Vous ne pouvez être accusé de quoi que ce soit car aucune entité fictive (toute entité publique) ne peut porter plainte contre une personne vivante. Donc, lorsque vous recevez une convocation, assurez-vous que c’est bien votre nom qui est inscrit dessus. C’est impossible. La seule exception concerne le cas où le plaignant serait une autre personne vivante qui vous traînerait en justice pour avoir violé ses droits et donc enfreint la loi unique, chose qu’il devra prouver.

Lorsque vous vous rendez au tribunal, vous remettez votre destin entre les mains de 12 personnes auxquelles vous n’avez pu retirer la fonction de juré en raison de votre manque de discernement. – Norm Crosby

Etant donné que les tribunaux s’échinent à ce que nous pensions que la Constitution / les Chartes des Droits constituent les lois auxquelles ils sont obligés de se soumettre et à ce que nous gaspillions notre temps à les évoquer, ils ne tiennent vraiment pas à ce que nous découvrions qu’elles ne s’appliquent pas. En réalité, cette bonne nouvelle devient une excellente nouvelle étant donné que le fait de s’appuyer sur ces documents afin de fournir un argument légal permet aux juges de statuer contre nous. Ces documents s’appliquent aux entités souveraines, cependant, si vous vous retrouvez au tribunal, c’est que vous abandonnez votre souveraineté. Le cas échéant, vous ne seriez pas là. En réalité, si vous vous trouvez au tribunal, ces documents ne vous concernent pas. Le Droit des contrats constitue la Loi Suprême du pays et est régi par le code commercial uniforme.

Le jugement de l’affaire Erie vs. Thompkins de 1938 établit qu’aucun cas antérieur à 1938 ne peut être évoqué. Il ne peut y avoir de mélange entre l’ancienne loi et la nouvelle. Tous les avocats sont membres du barreau et soumis au contrôle de la Guilde des avocats de Grande-Bretagne. Ils ont créé, donné forme et mis en œuvre la loi

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de la faillite et ont fait le serment de la maintenir. Nous ne pourrons jamais connaître la vraie « nature et cause de l’accusation » car il s’agit du… moyen de collecte des intérêts de la faillite.

On nous refuse le droit de défier notre créditeur/banquier car si nous pouvions faire « face à notre accusateur », nous pourrions évoquer notre insolvabilité et cela dévoilerait leur arnaque au grand jour. Ils se verraient obligés de nous fournir le contrat prouvant que nous avons accepté en pleine connaissance de cause, volontairement et consciemment de payer la dette publique d’entreprise, ce qui n’est bien sûr pas le cas. Les autorités supérieures ont mis au courant le gouvernement / les avocats des lois / statuts à l’origine du fonctionnement du système. Nous sommes passés de lois réelles à des statuts créés par les avocats dans le seul objectif de nous confisquer nos revenus et notre propriété.
Vous participez à un système machiavélique de manière plus efficace en obéissant à ses ordres et décrets. Un tel système ne mérite pas l’allégeance. L’obéissance à ce système équivaut à s’associer à l’enfer. Une personne intelligente résistera de toute son âme à ce système diabolique. – Mahatma Gandhi Gandhi. Lisez la « loi » et vous vous apercevrez qu’elle suggère des circonstances qui s’appliquent à tout un chacun. Lisez n’importe quel statut et vous verrez qu’il vous oblige à exécuter une certaine action, qui implique sans pourtant l’évoquer, une amende en cas de non réalisation. Aucun statut, loi, code ou règlement ne mentionne l’existence d’amendes. Où se trouve le règlement de mise en application ? Ils ne font qu’établir ce que nous sommes censés faire. Beaucoup de personnes n’ont pas râlé à propos de ces statuts car elles pensaient qu’elles en retireraient certains avantages qui compenseraient les amendes éventuelles, et pourtant, c’est le contraire qui s’applique dans la réalité.
Une voisine m’a expliqué il y a quelques années de cela qu’elle était tout à fait pour l’attribution à chacun d’un numéro de Sécurité Sociale. « Si cela leur permet d’attraper un seul père complètement à sec, alors ça vaut le coup ». Voilà ce qu’on l’a amené à croire. Si vous interrogez les femmes de ces « hommes complètement à sec », vous vous apercevrez que la pitance que leur accordent les Réserves Fédérales après avoir demandé au patron du père de suspendre ses salaires, est assujettie à des taxes et qu’elles ont encore plus de mal à s’en sortir qu’avant. Ce cas est encore plus

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fréquent lorsqu’elles ont fait appel à un avocat pour que le père se présente au tribunal. Ça ne vaut jamais le coup. Encore une fois, tout se joue à l’avantage des réserves Fédérales et au détriment des deux parents. Si seulement les parents pouvaient s’asseoir et discuter, ils sortiraient gagnants de cet échange, comme leurs enfants. Le fait d’impliquer l’État entraîne la perte de tout contrôle.

Tribunaux

Tribunal irrégulier.

1. Un tribunal autoproclamé – ou parodie de tribunal – où les principes et les lois sont méprisés, dénaturés ou parodiés.
2. Une cour ou un tribunal caractérisés par des procédures autorisées et/ou irrégulières, plus particulièrement afin d’empêcher le déroulement équitable de la procédure.
3. Une procédure légale fictive. Black’s 7th page 359

Tribunaux du Droit commun (TDC) vs. Chambre des juges (CJ) (appelés communément tribunaux municipaux, de district, étatiques, provinciaux, cour d’appel, suprême, fédérale)

Loi

TDC
1. Une loi, la Règle d’Or : vous êtes libre de faire ce qu’il vous plaît dans la mesure où vous n’empiétez pas sur la vie, la liberté, la propriété ou les droits d’une autre personne vivante.
2. Représente la vérité.
CJ
1. Loi d’Equité, entrave vos actions à l’aide des contrats. Il ne peut s’agir que de civil et non de pénal, mais le fait de ne pas agir comme le prévoit le tribunal peut être considéré comme outrage criminel. Loi Maritime – juridiction civile des actions exigées disposant de peines pénales en cas de rupture de contrat. Etant donné que le contrat international soutient ces codes, etc.. et que les « tribunaux » ne se soumettront pas à cette juridiction, elle est désignée comme Juridiction Statutaire. Il existe 60 millions de statuts, codes, règles, règlements, ordonnances. Depuis 1938, toutes les décisions sont basées sur la loi commerciale avec peines pénales. (Ce qui explique

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pourquoi vous pouvez aller en prison lorsque vous ne portez pas votre ceinture de sécurité ou que vous roulez trop vite).

2. Variable. – La vérité ne peut être vue ou entendue*.

Objectif

TDC – dédommager la personne lésée.

CJ – obtenir un contrat afin de collecter des revenus pour la Couronne et de payer les intérêts de la faillite.

Identification

TDC – plaignant et accusé.
CJ – seulement « débiteurs » et « créditeurs » ; « fictions » et « souverains » – Plaignants et accusés.

Juridiction

TDC – dépend du jury.
CJ – le juge n’en a aucune mais nous le fait croire en l’accordant.

Rôle du juge

TDC – le juge est un médiateur.
CJ – le juge approuve des motions, appose sa signature sur des référés – au détriment de vraies personnes.

Citations

TDC – l’accusé est cité à comparaître au tribunal par l’intermédiaire d’une plainte assermentée, certifiée et signée par le plaignant.
CJ – la personne vivante est escroquée, elle est convoquée à comparaître comme « accusé » auprès de chambres et par le biais d’une citation, ce qui garantit la prise de pouvoir.
La citation doit simplement être signée par le « juge », devenant ainsi un référé.

Plaidoyer

TDC – l’accusé peut plaider « innocent ».
CJ – impossibilité de plaider « innocent », seulement « coupable », « non coupable » ou « sans contestation ».

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Procédure

TDC – directe et applicable à toutes les parties impliquées. CJ – rétroactive ou inversée, ne s’applique qu’au « tribunal ».

Plaignant

TDC – plaignant auquel l’accusé peut faire face.
CJ – société représentée par un avocat de l’accusation confronté à l’accusé.

Charge de la preuve

TDC – le plaignant doit prouver la culpabilité de l’accusé.
JC – l’accusé doit prouver son innocence, mais il est impossible de prouver quelque chose de négatif.

Accusé/Suspect

TDC – se représente soi -même ou est représenté par un avocat, (« défendre » : écarter les attaques de – OED : le mot en lui-même suggère précisément que nous nous rendons au tribunal pour être attaqué).
CJ – homme de paille, représenté par un avocat.

Argumentation et témoignage

TDC – présente la vérité, les faits.
CJ – nous « déshonore » ; nous qualifie de « débiteur », aucun débiteur ne peut gagner, aucun créditeur ne peut perdre.

Verdict

TDC – l’accusé est déclaré « coupable » ou « innocent ».
CJ – les avocats disposent toujours de la négociation avec la peine de l’accusé. Si l’accusé est innocent, l’avocat ne récupère rien dans la négociation, hormis ses honoraires. En réalité, il profite des deux parties du tribunal.

Crime

TDC – non-respect de la vie, la liberté, la propriété ou les droits d’une autre personne vivante (poursuites civiles).
CJ – tout crime est commercial – rupture du contrat.

Avocat

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TLC – n’est pas nécessaire, l’accusé se « représente » lui-même ou embauche un avocat afin qu’il travaille pour lui.

CJ
1. Trompe les personnes vivantes en leur faisant croire qu’il est l’ « accusé », 2. a prêté serment de récolter les revenus pour la Couronne,
3. Représente les deux parties au tribunal, l’homme de paille de la société comme accusé et la Couronne, donc il ne peut pas perdre, 4. s’assure que son client perd afin de récupérer une partie de l’amende (différent au civil)
5. Ne travaille que pour les tribunaux à moins qu’il ne signe un contrat avec une personne vivante, auquel cas il devient un « avocat ».

Jury

TLC – ‘procès par le jury’; le jury juge à la fois les faits ET la loi elle-même.
CJ – ‘procès avec jury’, ce qui signifie que le jury fait ce que le « juge » lui ordonne, cela peut inclure à la fois l’ignorance des faits et/ou la loi en question.

Charges

TLC – l’accusé est autorisé à se présenter devant le plaignant (la partie lésée).
CJ – le procureur porte l’accusation et représente le plaignant, toujours une société, pas une personne vivante.

“Vous comprenez ?”

TLC – le juge pose cette question afin de s’assurer que l’accusé a bien compris.
CJ – le juge pose cette question afin d’amener le plaignant à être lié par contrat.

Condamnation

TLC – le jury donne son verdict ; le juge énonce la condamnation avec l’approbation du jury, la personne vivante paie une amende ou purge sa peine.
CJ – l’homme de paille/accusé, pas une personne vivante, est condamné. Malheureusement, la personne vivante pense qu’elle est

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l’accusé. Toute personne qui est en prison s’y trouve car elle a dit quelque chose, ou échoué à dire, avant ou pendant, la séance au tribunal administratif, pas pour un acte « mauvais ».

* Dans un tribunal d’équité, qui a totalement remplacé les

« tribunaux », lorsqu’on nous demande : « Jurez-vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ? », nous devons répondre
« Non ». Non pour être insultant, mais plutôt parce que la « vérité » ne peut être dite. Les cours d’équité ne peuvent ni voir ni entendre la
« vérité ». Il s’agit de tribunaux fictifs qui ne peuvent connaître aucune vérité. Si une personne dit réellement « toute la vérité », la supercherie sera dévoilée, il s’agira d’un outrage à la cour et la
personne se retrouvera directement en prison. Nous devons dire
« notre » vérité, à savoir que nous acceptons et retournons leur offre. Rappelez-vous Martha Stewart, qui s’est attiré des ennuis non pas à cause d’un « délit d’initié » mais pour avoir menti. Etant donné qu’il n’existe aucune loi contre le fait de « mentir », le seul moyen de la condamner consistait à faire du mensonge un crime pour elle. La seule manière pour qu’elle ait fait du « mensonge » un crime consistait à l’impliquer dans un contrat et lui avoir fait donner son accord de ne jamais mentir. Elle n’a pu donner son accord pour
« jurer de dire la vérité » que par le biais d’un contrat. Le fait qu’elle jure a créé un contrat qu’elle a elle-même rompu plus tard en mentant, voilà pourquoi elle s’est retrouvée dans la position de l’accusé. Si elle n’avait pas donné son accord/participé à un contrat où « elle jure de dire la vérité », elle n’aurait jamais été condamnée. Sa condamnation n’a rien à voir avec un « délit d’initié » OU avec le fait de « mentir », mais elle réside complètement dans le fait de contracter.

Un contrôleur a un jour arrêté un homme dont le coffre de la voiture contenait des fourrures. Chaque fois que ce même gardien, et ensuite le juge ont demandé à cet homme d’où provenaient ces fourrures, il a répondu : « Quelles fourrures ? ». Même si les fourrures lui étaient mises sous le nez, il a toujours demandé : « Quelles fourrures ? ». Ils ont donc dû le laisser partir car il ne s’est jamais engagé dans un contrat.

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Contrats

Je n’invente rien, les tribunaux nous trompent littéralement et nous entraînent à contracter avec eux afin de nous trancher la gorge pour ne pas avoir respecté les termes du contrat. Voilà POURQUOI on nous demande si nous allons « jurer ». Nous avons une autre possibilité, nous ne sommes pas obligés de dire la vérité à moins que nous ne jurions de le faire. C’est-à-dire : contracter avec quelqu’un et accepter de dire la vérité. Le seul objectif de cette question consiste à nous enrôler dans un contrat. Ils n’ont AUCUN pouvoir sur nous tant que nous ne contractons pas avec eux. Tant que nous résistons, et aucune loi ne peut nous obliger à contracter, nous pouvons rester libre. Nous avons le droit d’accepter un contrat et… le droit de le refuser. Ils n’ont aucun pouvoir commercial propre, ils comptent sur nous pour le leur transmettre. « Toute loi est commerciale, tout commerce est un contrat, pas de contrat, pas de condamnation ».

L’ « histoire du cure-dent » qui suit illustre ce concept. Un type s’est présenté devant le tribunal et a réussi à éviter le contrat jusqu’au dernier moment où il a déclaré : « J’ai l’impression que mes ennuis publics sont terminés, donc je m’en vais dès maintenant », puis il s’est dirigé vers la porte. Le juge s’est écrié : « Et ôtez ce cure-dent de votre bouche ». L’accusé s’est exécuté, et le juge a de suite ordonné à l’huissier : « Arrêtez cet homme ». « Pourquoi ? ». Parce qu’en enlevant ce cure-dent de sa bouche le type a contracté avec la cour.

Toute loi équivaut à un contrat. Tout échange entre les personnes est un contrat.

Le commerce est un contrat. Le contrat fait les lois.

Rappelez-vous qu’à partir du moment où votre signature ou votre serment est nécessaire, il ne s’agit pas d’une loi, mais d’un contrat. – Ron Branson (J.A.I.L. – Judicial Accountability Initiative Law)

Pour la loi commune, les huit éléments suivants sont essentiels dans la création d’un contrat : offre, acceptation, intention, considération suffisante et égale, capacité mentale et

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légale à contracter, légalité de l’objet, consentement éclairé (en connaissance de cause, de plein gré, volontairement), exactitude des termes.

On vous trompe souvent afin que vous vous impliquiez dans un contrat. J’ai entendu parler d’une femme qui a été accusée de faire des « chèques sans provision » et avant de prononcer le verdict, le juge lui a demandé si elle avait quoi que ce soit à dire. Ce moment est appelé « allocution » et il est réservé à l’« accusé » afin qu’il s’exprime. Malheureusement, la plupart des accusés ne réussissent pas à tirer profit de cet exercice pour mettre les choses au clair. Cette femme, cependant, a déclaré au juge : « Avec tout le respect que je vous dois, je refuse votre verdict ».
Il est impossible de faire un « chèque sans provision », rien de tel n’existe. S’il stipule une date, un bénéficiaire, un montant en
$$$ et une signature, il s’agit d’un instrument commercial légal car les fonds sont créés par la présence de ces quatre conditions. S’il est détenu par la société et qu’il a été stipulé de « créditer/payer sur ordre », le chèque sera définitivement utilisé comme tel. Ne laissez personne vous accuser d’avoir fait un « chèque sans provision ». Bien sûr qu’il est possible qu’il n’y ait pas eu les fonds nécessaires sur le compte pour couvrir cette dépense, mais cela ne signifie pas que vous n’avez pas accédé au souhait de l’interlocuteur privé. Le crime commercial n’existe pas, sauf du côté de l’entité qui tente de vous accuser de faire des « chèques sans provision. » Rappel : Un billet à ordre est un billet à ordre est un billet à ordre …….
99 % des actions en justice concernent une « personne » (homme de paille) poursuivie ou accusée de s’être impliquée dans un contrat commercial et de l’avoir rompu, ou présumée s’être impliquée et avoir rompu un contrat commercial. Si le contrat ne répond pas aux quatre exigences légales, il est nul. Afin de vivre en toute liberté, nous devons être constamment vigilants, nous méfier de ces contrats pernicieux et éviter la présomption.
Les présomptions majeures sont les suivantes :
1. Vous êtes un résident ;
2. Vos bénéfices dépendent du gouvernement ;
3. Vous n’êtes pas responsable de votre comportement et . 4. vous avez besoin d’une protection, un avocat, un conseiller financier, un médecin, la monnaie financière, etc.
(Protégez-moi des protecteurs.)

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Toutes les présomptions précitées sont fausses, leur existence perdure grâce à l’idée que toutes les propriétés et toutes les personnes constituent la caution d’une dette qui entretient un système monétaire frauduleux. Tout cela est basé sur la présomption que dans la loi commerciale, les actes de « naissance », « titres », etc., nous démunissent de nos droits à assumer la responsabilité de nos propres affaires, corps, vies, libertés et de nos propriétés que nous avons obtenues en échangeant notre travail avec d’autres personnes si nous ne refusons pas ou n’arrangeons pas nos affaires autrement.

Les autorités supérieures sont à l’origine d’une longue tradition (des centaines d’années) de prêt de ce que l’on considère comme de l’ « argent » ou du « crédit », puis de recours à des dettes, pour enfin mener des guerres à travers le monde en raison de ces dettes.

Croyez-le ou non !

1. L’IRS/CRA n’est pas une agence du gouvernement. Toutes les agences dont le nom est un acronyme (CIA, DOT, etc.) appartiennent au FMI (Fonds Monétaire International) qui est lui-même une agence des Nations-Unies Unies.

2. Les numéros de Sécurité Sociale sont émis par les Nations Unies via le FMI, et non pas par l’administration de la Sécurité Sociale ou la CRA.
3. Il n’existe aucun tribunal judiciaire et donc aucun « juge » supervisant la « Loi ». Il n’existe que des administrateurs exécutifs qui appliquent les statuts et les codes.
4. Vous ne possédez aucune propriété, les esclaves ne peuvent être propriétaires. Regardez bien le titre de propriété que vous pensez être la vôtre. Vous y êtes évoqué comme le locataire.
5. La guerre révolutionnaire était une fiction/fraude/ruse. Le Roi d’Angleterre a soutenu financièrement les deux camps de la guerre révolutionnaire américaine.
6. L’Amérique est une colonie britannique. La Grande-Bretagne appartient au Vatican.
7. Le Pape peut abolir n’importe quelle loi des Etats-Unis/du Canada. Les lois du Pape sont obligatoires. Nous sommes des

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esclaves et ne possédons absolument rien – même pas ceux que nous considérons comme nos enfants.

9. Le devoir de la police n’est pas de vous protéger, mais de protéger la Société et d’arrêter les personnes ne respectant pas les codes.
10. Tout au Canada/Etats-Unis/Europe est A Vendre : les routes, les ponts (oui, le pont de Brooklyn est à vendre), les écoles, les hôpitaux, l’eau, les prisons, les aéroports, etc.
11. La Sécurité Sociale / les compagnies d’assurance ne sont pas des assurances, de même qu’elles ne sont pas administrées par un fond de dépôt. Le chèque de la SS/SI provient directement du FMI.
12. Un formulaire A 1040/ T1 (de classement) est utilisé aux USA comme tribut versé à la Grande-Bretagne, soit les intérêts de la faillite.
13. Nous sommes des ennemis de l’État conformément au Trading with the Enemy Act, 1933.
14. La Constitution ne peut être évoquée pour se « défendre » étant donné qu’aucun d’entre nous n’y est évoqué en tant que partie.
15. Le Canada / les Etats-Unis sont des colonies britanniques. Ce sont des sociétés privées, pas des territoires.
16. Les Nations-Unies Unies financent les opérations des gouvernements du Canada et des Etats-Unis depuis plus de 50 ans. Elles détiennent tous les hommes, femmes et enfants mais également toutes les terres du Canada et des Etats-Unis en fief simple. Depuis 1973 en France et officiellement depuis 1992 dans toute l’Europe, les nations unies, ont pris possessions des gouvernements et de tous les biens des peuples européens via le FMI et l’intérêt qu’il facture aux banques privés avec lesquelles les gouvernements doivent a présent contracter pour créer de l’argent basé sur la dette (avec intérêts) pour permettre l’échange des biens et services issus des fruits du travail de leur peuple.
17. Nous ne devons aucune « dette publique/nationale », nous pouvons annuler ces obligations publiques fictives.
18. Toutes les guerres sont des impostures/farces/fictions. Les Etats-Unis / le Canada et les autres sociétés ont accordé des prêts aux autres pays du monde entier tout au long de la Grande Dépression. Les Etats-Unis ont financé la construction des infrastructures en Allemagne dans les années 30. Toutes les personnes tuées au combat pour défendre leurs « pays » fictifs sont mortes en vain. La

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Suisse est « neutre » car elle abrite la Banque des règlements internationaux (BRI). Les guerres ne sont qu’une diversion visant à nous faire croire que les gouvernements sont nécessaires.

Crime

Entraver le commerce par la rupture d’un contrat est le seul et unique crime.

USA : 27 CFR 72.11 – le code des règlements fédéraux définit les crimes commerciaux comme les types de crimes suivants (fédéraux ou d’Etat) : « Infractions aux lois sur le revenu, cambriolage, vente ou possession illégale d’armes mortelles, prostitution (y compris le racolage, le proxénétisme, la traite des blanches, les maisons closes et les infractions similaires), extorsion, escroquerie et abus de confiance, et tentative, conspiration afin d’arriver à de telles fins, ainsi qu’association des crimes précités. »

TOUT CRIME EST COMMERCIAL !!!

Peter McWilliams a écrit dans Ain’t No Crime If You Do à propos des crimes sans victimes : « S’il n’y a pas de personne lésé, pas de témoin à charge, pas de plainte assermentée déposée, comment se fait-il que le gouvernement puisse se permettre de vous accuser d’un crime » ?

On ne peut même pas dire que l’État ait jamais été disposé à mettre un terme aux crimes, mais plutôt à assurer la pérennité de son propre monopole du crime. – Albert Jay Nock

Sociétés et entités de sociétés

Les objectifs des sociétés sont illicites, d’abord pour échapper à une condamnation pour leurs crimes en transférant leur responsabilité sur des organisations fictives ne devant rendre des comptes à personne. Leur seul but est de fuir leurs responsabilités. Ceux qui intègrent une société ne le font que dans le simple objectif

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de fuir leurs responsabilités en tant que personnes. Je sais que ce que je dis est dur, pourtant, regardez le résultat qui en est la meilleure preuve. Le fait que les sociétés soient fondées avec le pouvoir de se déclarer « en faillite » fait d’elles des criminelles. Cela concerne justement les gouvernements actuels. Les sociétés sont des fictions légales, cela signifie qu’elles n’existent que dans l’esprit des hommes. Une société, en tant que fiction légale, ne peut penser, agir de quelque manière que ce soit, ni même communiquer avec un être humain. C’est pour cette raison qu’elle a besoin de quelqu’un pour parler et agir en son nom, et les avocats se sont avérés être parfaits pour cela. L’énormité de ces sociétés n’est limitée que par l’imagination et elles constituent de vraies mines d’or pour l’ordre des avocats, qui est lui-même une société. Seulement 6 % de toutes les sociétés payent des taxes, quelles qu’elles soient, et elles récupèrent le reste grâce à notre exonération (pensez à Enron), ou en nous transférant leur assujettissement aux taxes, par ex. sous la forme de la taxe de vente ou de la taxe sur les biens et les services. N’oubliez pas : nous n’avons pas à payer de taxe, peu importe sa nature.

Powaquatsi (Powaq quatsi): La vie en transformation : un mode de vie ou une entité qui consument les forces d’autres entités afin de perdurer, par ex. : une société.
Pourtant, la société de loin la plus connue et la plus insidieuse est celle pour laquelle vous servez de caution. Vous avez été trompé par le gouvernement à l’origine de la création de cette société. Etant donné que toutes les sociétés sont créées par les gouvernements, vous pouvez être sûr que leur seul objectif est de générer des revenus pour la Banque Mondiale. La société pour laquelle vous servez de caution est celle dont le nom ressemble au vôtre.
Si vous avez déjà travaillé pour une grande société, vous avez déjà entendu les fameuses lamentations des personnes essayant d’économiser de l’argent pour la société. Et bien, l’argent, comme la société, n’existe pas. Donc, peu importe leurs actions, ils agissent dans l’intérêt d’entités qui n’existent pas, et au détriment de personnes vivantes. Le vrai problème, c’est que les personnes vivantes croient sincèrement que la société a besoin d’économiser de l’argent. Cela est bien sûr dû à la peur de tout perdre si la société venait à subir des pertes de quelconque nature. Les personnes des

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sociétés doivent prendre un autre chemin et négocier leurs talents grâce à des contrats privés. Ce qu’il y a à y gagner : moins de taxes, la SS / retraite deviennent facultatives, un contrôle sur le temps, etc. Les avantages sont infinis. Lorsque le gouvernement vous envoie un récapitulatif des taxes dues, vous ne pouvez « payer », pourtant vous pouvez l’annuler. Un de mes amis a travaillé pour Rand Corporation. Il était à peine parti qu’ils l’avaient déjà embauché comme conseiller avec un salaire doublé et des taxes réduites au tiers.

Une société est un individu artificiel et immortel. Pour une société, par ex. une église, qui cherche à être reconnue grâce à une exonération de taxe selon la section 501 (c)(3) du Code des Impôts aux Etats-Unis (et qui sait quel équivalent selon le CRA ou le Fisc) afin de devenir une « organisation » au sens légal, il est nécessaire qu’elle s’intègre. Dès son intégration, elle devient une entité commerciale, elle formule la demande et obtient un statut IRS selon 501 (c)(3). En bref, l’État dirige alors l’église.
Si vous pensez que votre pasteur/rabbin/prêtre peut dire ce qu’il pense, réfléchissez-y à deux fois. Pourtant, les églises sont automatiquement exonérées de l’impôt sur le revenu. Les contributions apportées à l’église sont déductibles par les donateurs, donc pourquoi cette dernière se soumettrait-elle à l’approbation du gouvernement alors qu’elle est déjà libre ? Une église qui ne paie pas de taxes n’est pas une « église exonérée de taxes », mais une organisation qui fait la demande d’un statut de société, passant ainsi du « rassemblement légal de citoyens privés » à la « réunion de sujets publics ».
La religion concerne les personnes qui sont effrayées à l’idée d’aller en Enfer, le spiritualisme s’adresse aux personnes qui y ont déjà été. – Gary Busey
« Dieu ne nous donne jamais plus que ce que nous pouvons assumer. » J’aimerais que la personne qui a osé dire ça ait une discussion avec les personnes tellement désespérées qu’elles se sont suicidées.

L’église nous enseigne que penser au sexe dans le cadre d’une relation extraconjugale, sans le faire, revient au même que de passer à l’acte. Cependant, penser à donner de l’argent pendant la

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quête sans le faire et le faire réellement ne revient pas au même. –

Red Pritchard, 1973

Model Emergency Health Powers Act

Inutile de préciser que cela n’a rien à voir avec la santé, mais plutôt avec le contrôle exercé par le gouvernement. Vous savez qui est propriétaire de votre corps, à moins que vous n’ayez fait les démarches nécessaires pour le protéger. Selon cette loi :

1. La vaccination est obligatoire ou vous serez accusé d’avoir commis un crime. 2. vous vous soumettrez à un examen médical obligatoire ou vous serez accusé d’avoir commis un crime
3. Un médecin réalisera cet examen ou vous serez accusé d’avoir commis un crime. 4. votre propriété peut être saisie s’il y a une « Raison justifiée de croire » qu’elle pourrait être une menace pour la santé publique … elle peut être brûlée ou détruite et vous n’aurez AUCUN recours ou compensation.

Ces informations circulent en boucle sur Internet et bien que je ne doute pas qu’elles soient avérées, la personne qui est à leur origine voit cela comme une attaque contrairement aux personnes chargées de recueillir les intérêts du prêt. La menace au-dessus de nos têtes et de nos « possessions » supposées se fait de plus en plus effrayante simplement parce que les autorités supérieures sont menacées et subissent des pressions du style : « la collecte de la dette, …. ou la vie ». Rappelez-vous que le gouvernement et toutes ses branches ne sont que des agences qui collectent les revenus. Si vous possédez un titre privé et légal sur votre propriété, elle ne peut en aucun cas vous être confisquée et par aucun moyen. Votre propriété comprend votre corps. Lorsqu’ils émettent des ordres d’exécution afin que vous veniez vous faire vacciner, n’oubliez pas qu’ils font allusion aux corps pour lesquels ils disposent du titre légal alors que vous ne disposez que du droit d’utilisation. Si vous possédez déjà le titre légal sur votre corps, vous pouvez en fournir les pièces justificatives. Je suis content d’avoir appris quelques années avant la naissance de mes enfants que les vaccins tuent, c’est pourquoi aucun d’eux n’est vacciné. De plus, de toutes les maladies

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considérées comme « maladies infantiles habituelles », ils n’ont eu que la varicelle.

Dette Nationale

Les intérêts sur les bons doivent également être engendrés par une augmentation des emprunts. La réserve d’argent doit constamment être augmentée car les intérêts doivent être payés. Les intérêts sur les emprunts (dette nationale) sont payés avant toute dépense du gouvernement. Si ce n’est pas le cas, tout le système s’effondre. La dette ne peut être réduite car lorsque les fonds sont rémunérés afin de la réduire (racheter les emprunts et les supprimer), l’argent disparaît de la circulation étant donné qu’il retourne d’où il vient, c’est-à-dire de nulle part. En absence d’argent, on assiste à la dépression, le niveau de vie s’effondre, c’est pourquoi les classes moyennes ont disparu. La dette doit être « annulée » pour toutes ces raisons plutôt que d’être « payée », car elle NE PEUT PAS ETRE PAYEE.

Le discours de Jim Trafficant sur la faillite des Etats-Unis pourrait vous intéresser. Regardez bien, il a raconté toute l’histoire, raison pour laquelle il est aujourd’hui en prison, mais les Réserves Fédérales ne le reconnaîtront jamais.
Un pays [société] qui fait planer la menace d’un holocauste nucléaire sur le monde entier depuis cinquante ans et qui déclare que le terrorisme a été inventé par quelqu’un d’autre est un pays [société] en décalage avec la réalité. – John K. Stoner.
J’avais juré que je ne parlerais pas de George Bush Bush dans ce livre… Il ose déclarer que son pays [société] (celui qui est en guerre tous les ans depuis les 60 dernières années) est le pays le plus pacifiste de la Terre.

Recours

Il doit y avoir une solution. Etant donné que nous sommes des acteurs du commerce, la réponse doit se trouver dans le Code commercial uniforme. Rappelez-vous :

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1. Le fait de signer une demande pour acquérir une licence n’est pas obligatoire. Vous avez le droit de réaliser ces activités normales sans de telles demandes ;

2. Les demandes concernent les « bénéfices », « privilèges » et « opportunités », ce qui justifie le déni des droits innés avec lesquels vous êtes né, mais qui ont été transférés via votre acte de naissance ;
3. Nous ne pouvons obtenir de titre « réel » ou « allodial* » sur une propriété acquise par le biais de telles demandes. Cela n’est possible que grâce à l’échange de votre exonération de titre. Vous ne pouvez posséder une propriété en payant pour elle ;
4. Nous ne pouvons pas payer nos dettes selon la loi, nous pouvons seulement annuler nos dettes en toute équité.

*Allodial, adj., épithète d’un héritage qui est tenu en franc-alleu. Une terre Allodiale était une terre dont quelqu’un avait la propriété absolue, et pour raison de laquelle le propriétaire n’avait aucun seigneur à reconnaître, ni redevance à payer.

En ce sens, Allodial est opposé à feudal, ou féodal, ou bénéficiaire.
D’après le Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France.

Avantages à faire une demande d’UCC / PPSA

Le fait de demander un PPSA/UCC-1 est plutôt comparable au mari qui fait passer une petite annonce dans le journal local (plus souvent le cas que l’inverse) où il déclare qu’il n’est plus responsable des dettes de sa femme. Cela me fait penser au mari qui n’a pas signalé le vol de la carte de crédit de sa femme car le voleur dépense moins qu’elle. La demande fait état de quelque chose de similaire.

Lorsque vous remplissez un état de financement (EF) UCC/PPSA, n’oubliez pas que le créancier garanti (CG) doit être une fiction / un homme de paille car seules les fictions peuvent opérer dans le commerce. Donc le CG déclare que l’homme de paille est le débiteur (HD). Alors, le HD cède par écrit au CG, dont vous, la personne vivante, êtes l’agent, tout ce qu’il possède via un contrat connu sous le nom de Contrat de Garantie (SA). Ne renseignez pas ce SA, mentionnez simplement son numéro en tant que pension générale sur l’EF. Ce SA vous confère, à vous l’agent,

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plus de droits qu’au HD, vous permettant ainsi de vous soustraire au rôle de caution pour l’homme de paille. Le seul moyen dont vous disposez pour réfuter leur présomption selon laquelle vous êtes la caution, consiste à leur faire part de l’EF. Pourtant, vous ne pouvez pas être impliqué dans le commerce, c’est donc l’homme de paille qui agit pour vous et qui renseigne l’EF. Le créancier garanti dépose donc une plainte contre le HD. Maintenant, toute charge contre le HD peut être annulée par vos soins, la tierce partie intéressée, qui dispose désormais du contrôle sur les droits, les titres et les intérêts de l’homme de paille. Les greffes rencontrent des problèmes lors du dépôt de ces plaintes car le HD et le CG sont une seule et même entité étant donné que leurs deux noms sont en lettres majuscules. Laissez donc libre cours à votre imagination : utilisez des orthographes différentes, ou les femmes peuvent faire passer leur nom de jeune fille pour leur nom d’épouse, ou commencez par indiquer le nom des enfants mineurs afin d’éviter qu’ils ne remarquent que le créancier garanti est également énuméré dans la liste des débiteurs. S’ils rejettent votre demande, faites comme moi : je me suis rappelé qui j’étais. Etant donné qu’ils sont mes serviteurs, j’ai réalisé que la chose que j’avais à faire était de leur « notifier », leur envoyer le document par recommandé avec accusé de réception. Premier arrivé, premier servi. Mes enregistrements indiquent qu’ils ont reçu la notification et qu’elle n’est pas « inscrite », mais plutôt « enregistrée ». Nous devons ordonner et non demander à nos serviteurs publics de s’acquitter de notre obligation.

L’état de financement est le seul contrat au monde qui ne peut être rompu. Etant donné que nous disposons d’un crédit illimité avec la Réserve Fédérale, nous pouvons y accéder grâce à un compte. Vous savez bien que l’argent n’existe pas, donc ce n’est pas comme si vous vous rendiez à la Réserve Fédérale ou à la Banque du Canada pour retirer du liquide dès que l’envie vous en prend. Cela n’est valable que pour l’annulation de la dette publique. Nous avons l’intention de nous libérer du besoin d’argent, vous ne voulez certainement pas vous compliquer les choses en en accumulant toujours plus. Nous contrôlons désormais les fonds, les Réserves Fédérales vont donc procéder au transfert de chiffres, entrées, nombres à notre avantage et plus au leur. En remplissant correctement un EF, nous pouvons devenir le propriétaire légitime

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de l’homme de paille. Lorsque nous sommes taxés, nous pouvons alors simplement annuler ces charges sans avoir besoin d’exonération de taxe. Il s’agit de commerce, pas de loi. Pas d’illusions. Nous acceptons simplement la charge pour valeur et la renvoyons pour annulation, accord et clôture. Etant donné que la plainte est prépayée et que notre compte à la Réserve Fédérale est exonéré de charges, on assiste à une sorte d’annulation de la dette, au moins tant que nous n’avons rien pour la payer.

Etant donné que vous permettez aux autorités supposées d’exercer un certain contrôle sur vous, je vous suggère de ne jamais céder ce pouvoir par inadvertance à un tribunal ou à une entité publique. N’oubliez pas qui vous êtes.
Un « juge » m’a demandé un jour si je comprenais les charges. Je lui ai répondu que nous ne pouvions continuer tant qu’il n’aurait pas prouvé qu’il a le pouvoir sur moi. Il est resté assis là, confus. Silence.
Une fois que nous avons rempli un état de financement, nous pouvons “annuler” toutes les plaintes publiques nous concernant. Si nous « honorons » la plainte en l’acceptant, nous pouvons l’annuler. Si nous la « déshonorons » (par la résistance, le combat, l’ignorance, le débat), nous créons une controverse qui doit être jugée devant un tribunal pour résolution. « Accepter » ne signifie pas acquiescer, cela signifie simplement que nous contrôlons désormais l’offre. Ex. : Si vous devez 10 000 dollars ou euros à la banque pour un véhicule que vous pensez posséder et que vous avez du retard dans le paiement, la banque peut récupérer le véhicule car il ne vous appartient pas. Si vous stipulez dans un état de financement que vous avez investi 10 000 dollars/euros dans un véhicule, et que vous avez du retard dans le paiement, la banque devra vous rembourser 10 000 $/€ avant de récupérer le véhicule.
Le Code commercial uniforme énumère à l’article 3, § 505 les droits d’une partie qui se voit réclamer un paiement, peu importe le demandeur supposé (ex. : IRS/CRA/Fisc) ou la nature de la plainte (ex. : impôt foncier ou sur le revenu). Personne ne peut prouver l’existence d’une dette de votre part, seulement une demande de $$$. Voilà pourquoi les soi-disant créanciers me font beaucoup rire. Ils continuent à m’envoyer des rappels, je continue à demander une facture signée et prouvant leur plein engagement commercial. Je précise que je me ferai une joie de solder la facture

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s’ils m’envoient ce justificatif, mais ils ne le font jamais ! Cela reviendrait à une escroquerie. Comment puis-je régler une facture s’ils ne me l’envoient pas.

Les autorités supérieures – l’Elite mondiale

La classe sociale la plus élevée, qui représente à peu près 1 % de la population mondiale, dispose d’un revenu égal à celui de la classe sociale la plus basse (57 %), et cette disparité ne cesse d’augmenter. En haut de la pyramide des décisionnaires, on trouve l’élite dirigeante. Ils font délibérément appel à la psycho politique pour agir sur les neuf étapes du processus de décision. Ils les contrôlent toutes en :

1. Créant des événements et en prédéterminant leurs issues ;
2. Fabriquant des détails d’événements et en contrôlant l’infrastructure de diffusion des informations ;
3. Faussant la faculté d’alerte des personnes par la diffusion choisie d’informations contrôlées ;
4. Formatant les systèmes de connaissances et d’opinion via l’ « éducation » ;
5. Proposant intentionnellement une éducation de faible niveau aux enfants des familles de classe inférieure par le biais de l’éducation publique, alors que les enfants de l’élite dirigeante fréquentent les meilleurs lycées et écoles ;
6. Contrôlant les émotions des peuples grâce à la rhétorique sociale et aux dogmes religieux ;
7. Promulguant des règles et des règlements qui influencent les décisions du peuple grâce à un système de récompenses espérées et de châtiments redoutés ;
8. Intimidant les personnes lors de la prise de décision grâce
1 l’application de codes, règles, règlements et avec coercition, sous la menace de l’usage de la force, de la torture, d’amendes, ou d’emprisonnement ;
9. Développant des systèmes de surveillance capables de contrôler les comportements et les agissements de groupes de personnes ou d’individus.

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Investissements

Nous ne verrons la couleur ni de notre plan d’épargne retraite, ni de notre pension de retraite. Ne vous méprenez pas, c’est une bonne nouvelle. Cela signifie que la structure économique que nous avons connue est en train de s’effondrer et qu’elle va connaître une période difficile. Bien sûr, il y aura des blessés, mais pour la plupart d’entre nous, cela nous permettra de nous réveiller et de reconnaître que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Il y a quelques années, un ami m’a conseillé d’investir en bourse dans du « café de Mars ». Chaque fois, quelque chose m’en a empêché. Je n’ai jamais pu faire ce que j’avais prévu. Les opportunités s’amenuisaient après chaque semaine passée, et mon exaspération a atteint ses limites lorsque le fax a décidé de ne pas passer ma commande. J’ai fini par me dire : « Quelqu’un ne veut pas que je fasse cet investissement ». J’ai envoyé un e-mail à mon courtier pour lui expliquer que les éléments étaient tous contre moi : les vacances de Noël, les banquiers, les mauvais numéros de téléphone, les fax, l’impossibilité d’avoir des nouvelles de mon ami pour connaître la date limite, etc. »

Il m’a répondu, « Patience, ma chère. Si tu avais investi lorsque tu en avais l’intention, tu y aurais laissé 2500 ». Je pensais que c’était impossible étant donné que j’aurais pu au pire perdre 1400 $. Néanmoins, je me suis rendu sur leur site Web et j’y ai vu que si j’avais investi dans du café de Mars, je n’aurais plus possédé le moindre centime sur le marché et perdu tout mon investissement. Cela m’a tellement fait rire que j’ai dû m’asseoir. Malheureusement, mon ami qui avait fait cet investissement pendant que je me démenais sans savoir quoi faire, avait perdu beaucoup d’argent.
Cette leçon a été la dernière dans le genre – Il n’y a aucun investissement ! En fait, il y a des investissements, mais ils n’engendrent aucun retour matériel. Le jeu des investissements fait partie de ceux qui sont menés par l’élite pour s’emparer de nos fonds. Nous ne pouvons en aucun cas gagner. C’est comme aller à Las Vegas. Si vous vous y rendez pour autre chose que l’amusement, alors tous vos espoirs reposent dans quelque chose qui n’existe pas. Je suis prêt à admettre que certains ont réussi à faire sauter la banque, pourtant ce qu’ils n’arrivent pas à comprendre c’est que la seule chose qu’ils y ont gagné est leur solvabilité. Plus

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important, ils n’ont pas encore rencontré la personne vivante qui a perdu pour leur permettre de gagner. J’ai enfin compris que je n’avais pas besoin d’avoir une situation sûre financièrement, je dois m’empêcher de penser de la sorte, plus particulièrement car une telle situation est complètement impossible.

Soixante pour cent (60 %) du marché boursier est constitué d’investissements provenant des comptes CAFR (Rapport financier annuel complet) des différentes villes. Voilà à quoi sert le paiement de vos contraventions, impôts fonciers, etc., à financer les paris des fonctionnaires de votre ville. Ils investissent avec nos fonds et gagnent (ou perdent), puis ils dissimulent leurs gains dans un compte CAFR et se lamentent qu’ils n’ont pas assez de $$$ pour rémunérer les services d’urgence comme les pompiers, le personnel paramédical, etc.
Les sociétés (telles Enron) peuvent nous escroquer aujourd’hui en raison d’une mauvaise comptabilité. C’est leur seul crime. Il n’y a aucun fonds à voler, la seule chose qu’ils ont dérobé, c’est l’exonération de leurs (anciens) employés. La vraie question c’est de savoir pourquoi les employés n’ont pas utilisé eux-mêmes leur exonération plutôt que de la laisser à portée de main de la première société frauduleuse venue. Lorsque Bush affiche sa contrariété et son envie de lutter contre la cupidité des sociétés (quelle blague) !, il ne s’agit pas de les punir, mais de leur rappeler de bien effacer leurs traces avant que le troupeau ne se rende compte qu’elles falsifient les comptes. Etant donné que l’argent n’existe pas, la seule chose qu’elles volent c’est le crédit / les actifs, lorsqu’elles jonglent avec le côté positif des comptes, chose qu’elles peuvent se permettre étant donné que les personnes leur ont transmis leur exonération. La supercherie est dévoilée. Ces sociétés vont avoir une belle surprise.
Une femme que je connais panique pas mal à propos de son avenir et m’a un jour déclaré : « Bon, au moins je bénéficierai de la retraite de ma société quand j’aurai 65 ans ». Très marrant ! Au moins autant que lorsqu’on me dit que je devrais épargner pour les études de mes enfants. Il me reste cinq ans et l’économie aura tellement changé d’ici là qu’elle sera méconnaissable, pour ne pas rajouter que je ne veux pas que mes enfants soient encore plus formatés que ce qu’ils le sont déjà par l’ « éducation supérieure ».

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Libertés civiles

Aujourd’hui, l’Amérique serait choquée de voir les troupes des Nations-Unies Unies débarquer à Los Angeles Angeles pour rétablir l’ordre [par rapport aux émeutes de LA en 1991]. Demain, ils en seront reconnaissants ! Ce serait d’autant plus vrai si on leur annonçait la présence d’une menace extérieure venue d’ailleurs [une invasion « extraterrestre »], peu importe qu’elle soit réelle ou non, pourvu qu’elle menace notre existence. C’est à ce moment-là que tous les peuples du monde imploreront qu’on les délivre du mal. Ce que l’homme craint par-dessus tout, c’est l’inconnu. Lors d’un tel scénario, les droits individuels seront abandonnés de plein gré sous prétexte que le Gouvernement Mondial leur apporterait la garantie de leur bien-être. – Dr. Henry Kissinger, Conférence de Bilderberger, Evians, France, 1991

Nos gouvernements n’ont qu’un seul objectif : nous faire abandonner les rares droits dont nous disposons encore.

Gouvernement

Lorsque le gouvernement craint le peuple, on vit en liberté. Lorsque le peuple craint le gouvernement, on subit la tyrannie. –
Thomas Jefferson

La Réserve Fédérale a fourni tous les efforts pour dissimuler son pouvoir, mais en vérité… Le système de Réserve Fédérale a usurpé le gouvernement. Il contrôle tout ici (Congrès) et à l’étranger. Il crée et supprime les gouvernements comme bon lui semble. – Louis McFadden, ancien président du House Committee on Banking and Currency

L’histoire démontre que plus un gouvernement est puissant, plus la liberté diminue. – Thomas Jefferson

En politique, rien n’est dû au hasard. Si quelque chose arrive, c’est que c’était prévu ainsi. – FDR

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Un gouvernement assez important pour vous fournir tout ce dont vous avez besoin est également assez important pour vous prendre tout ce que vous possédez. – Thomas Jefferson

Un gouvernement est au mieux un serviteur irascible, au pire un maître tyrannique. – George Washington

Il n’y a PAS de gouvernement américain et cela fait des années qu’il n’y en a plus. On évoque en réalité l’USG, une société étrangère et belligérante qui se fait passer pour le « gouvernement américain ». Elle se fait appeler le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique dans le seul but d’escroquer le peuple américain, de lui faire croire qu’elle le représente et qu’elle est son gouvernement. L’USG, une société privée, fictive et à but lucratif a aussi peu à voir avec le peuple et le territoire américains que Mc DONALDS, une autre société privée, fictive et à but lucratif. Aucune personne vivante actuellement n’a connu de gouvernement représentatif. Nos pays sont en état de siège depuis si longtemps que je me demande si nous réussirons à les récupérer un jour.

Gouvernement – Canada

La Constitution et la Charte des droits et libertés ne s’appliquent pas au Canada. Rappelez-vous des quatre éléments de validité d’un contrat légal : 1) Pleine connaissance, 2) Considération équitable, 3) Termes et conditions légaux, 4) Signatures de toutes les parties. Votre signature est-elle sur le contrat ? Non vous n’êtes pas une des parties impliquées. Etant donné que le CANADA est une société, la Charte porte bien son nom, c’est une charte pour une société à responsabilité limitée et non un contrat vous concernant, car les sociétés ne peuvent pas prendre part à un contrat, seules les personnes vivantes le peuvent.

La Constitution est un code rédigé par l’état afin de contrôler le gouvernement. Le CAG est contrôlé par une société fictive, étrangère et belligérante appelée Eglise Anglicane et connue sous le nom de Couronne Britannique. « Leur » Constitution ne s’applique pas au peuple du pays connu sous le nom de Canada. Comme tous les autres codes, règles, règlements, ordonnances et statuts, elle ne s’applique qu’aux employés de la Couronne, à savoir les

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gouvernements nationaux et provinciaux et tous leurs employés, et à toute personne qui choisit de s’impliquer. Voir la section « Application de la Charte » de la Charte canadienne des Droits et Libertés.

32. (1) Ce chapitre s’applique :
a) Au Parlement et au gouvernement du Canada pour tout ce qui est du ressort du Parlement y compris tous les sujets relatifs aux territoires du Yukon et du Nord-Ouest ; et.b) À la législature et au gouvernement de chaque province pour ce qui est du ressort de la législature de chaque province.

Etant donné qu’aucun Canadiens n’a signé ce contrat, il ne les concerne pas. Vos « droits de la Charte » sont enfreints en toute impunité par la franchise privée du système légal de l’Eglise Anglicane connue comme une association juridique via le Vatican et la Couronne Britannique.

Il y a une différence entre le CAG et l’USG : les Réserves Fédérales au Canada ne se désignent pas seulement elles-mêmes comme des « serviteurs publics », elles sont peut-être réellement les serviteurs du peuple, mais cela leur permet éventuellement d’avoir moins de difficultés à penser que le peuple canadien est souverain. Même si les Américains sont par nature plus souverains que les Canadiens, les Réserves Fédérales aux Etats-Unis sont plus que très loin de l’admettre.

Gouvernement – Amérique

Le gouvernement n’avait que 4 objectifs :

1) Fournir des effectifs militaires pour protéger les républiques américaines ;
2) Contrôler le commerce / les transactions de ces républiques ;
3) Garantir le bien-être général pour TOUS (et non pour certains groupes ou personnes) ;
4) Gouverner le commerce international de l’union.

La charte des droits pose les limites de l’action du gouvernement. Le peuple des Etats-Unis d’Amérique n’a jamais bénéficié de « droits constitutionnels », il vivait avec un gouvernement au

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pouvoir limité afin de préserver leurs « droits naturels ». Ce n’est, hélas, plus le cas.

Socialisme : le gouvernement contrôle les services publics (chemins de fer, poste, communications, etc.).
Fascisme : le peuple « possède », mais le gouvernement contrôle tout.
Communisme : le gouvernement détient et contrôle toute la productivité.

Etant donné que le nom sur l’acte de vente de votre maison est un NOM créé par le gouvernement, le gouvernement détient votre maison. Vous remarquerez que ce cas de figure appartient à la catégorie du communisme. Le seul objectif de l’Elite mondiale consiste à créer une Force économique esclave, soit « un système économique détenu par les travailleurs et contrôlé par l’état, une croissance et une planification économiques contrôlées par une entité centrale, les sociétés et leurs stocks régulés par le gouvernement, une Réserve Fédérale privée contrôlant les taux d’intérêt et l’impôt sur le revenu, enfin, un contrôle politique exercé par un parti autoritaire » – FDR.

Il faut distraire le peuple avec des sujets idiots comme le sport, la politique (en faisant croire qu’il y a une différence entre les leaders des différents partis), via la télévision afin qu’ils ne remarquent pas ce qu’il se passe réellement.

Le premier objectif du manifeste communiste : l’abolition de la propriété privée. L’Elite mondiale voulait saisir les propriétés, contrôler les familles, l’éducation, mettre en place une banque centrale privée, promouvoir un comportement immoral et supprimer les pays et les nationalités. C’EST FAIT !
Les vrais dirigeants à Washington sont invisibles et exercent leur pouvoir en coulisse. – Juge de la Court Suprême Felix Frankfurter, 1952

Je m’inquiète pour la sécurité de notre grande nation, pas vraiment en ce qui concerne les menaces venant de l’extérieur, mais plutôt à cause des forces insidieuses qui le rongent de l’intérieur. –

Général Douglas MacArthur

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Communisme

Les 10 objectifs du manifeste communiste

1. Abolition de la propriété privée.
2. Alourdissement progressif de l’impôt sur le revenu.
3. Abolition de tous les droits sur les héritages.
4. Confiscation des propriétés de tous les émigrants et rebelles.
5. Mise en place d’une Banque centrale.
6. Contrôle par le gouvernement des services de communication et de transport.
7. Possession par le gouvernement des usines et de l’agriculture.
8. Contrôle par le gouvernement du travail.
9. Fermes corporatives, planification régionale.
10. Éducation libre pour tous les enfants des écoles contrôlées par le gouvernement.

Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou… la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée. –

American’s Bulletin.
L’ « État » a la mainmise sur votre corps, votre terre, vos affaires, votre mariage, vos enfants, votre voiture, etc. Il s’agit du communisme, car l’état détient le titre, il crée les lois et l’état communiste garde un œil sur vos avantages et vos obligations grâce à un système de comptabilité et non grâce au service et à l’amour.
Des 10 objectifs du manifeste communiste, tous ont été mis en œuvre. Ils ont fait croire aux femmes qu’elles avaient le « droit » de travailler (#8), alors que leur travail est en réalité devenu incontournable en raison de (#2) l’alourdissement progressif de l’impôt sur le revenu.
La démocratie est indispensable au socialisme. – V. I. Lenin. Le socialisme engendre le communisme. – Karl Marx

Par conséquent, les classes inférieures accablent (plus précisément, parasitent) les esclaves de la classe moyenne. La classe supérieure bénéficie des profits de ses sociétés grâce à cette même classe d’esclaves. Les « sociétés » (créations de l’État) ont remplacé les « entreprises » (privées et sans contrôle du gouvernement) et les

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« services des ressources humaines » ont remplacé les « services du personnel » au travail.

Le gouvernement fédéral est impliqué dans environ 50 % du Produit National Brut (PNB). Il y a 25 ans, il s’agissait de 10 %. Le communisme a débarqué sous l’apparence d’un système capitaliste de marché.
Il est complètement absurde de supposer que le gouvernement s’emparerait de notre argent sans notre consentement, sous prétexte de nous protéger. On ne peut raisonnablement penser qu’une personne paierait de son plein gré les terrocrates qui se font passer pour “le gouvernement”, afin que ces derniers assurent sa protection, sans d’abord faire la demande d’un contrat explicite et strictement volontaire dans cet objectif. –
Lysander Spooner

Lorsque l’USG/CAG crie à l’injustice alors qu’il s’agit de l’un de ses choix et sous le prétexte de la « sécurité nationale », ce n’est jamais par égard pour la « nation », ou le peuple de cette nation, ou le territoire de cette nation ; mais plutôt pour garantir la « sécurité de la société », son propre club privé. Ses membres ne pensent qu’à protéger leurs propres intérêts et non ceux des habitants ou du peuple.

La « nécessité » est l’argument avancé pour justifier toute transgression de la liberté humaine. C’est l’argument des tyrans et le credo des esclaves. – Wm. Pitt, 1783

Tout ce que l’état dit n’est que mensonge. – Nietzsche

Tous les gouvernements sont dirigés par des menteurs et rien de ce qu’ils disent ne doit être cru. – I. F. Stone.
Ça me rappelle l’histoire d’un homme horrible qui retenait prisonnière une petite fille. Il lui a raconté qu’il avait mis dans un sac en toile une pierre noire et une pierre blanche trouvées sur le chemin. Si elle tirait la pierre blanche, il la libérerait, si c’était la noire, elle devrait rester avec lui. Elle mît sa main dans le sac, en retira une pierre et la fit aussitôt tomber sur le chemin où il était impossible de la distinguer des autres. Elle sembla agir à contrecœur puis replongea sa main dans le sac pour en retirer une pierre noire. Elle dit : « Étant donné que la pierre noire était la dernière dans le sac, je suppose que j’ai dû tirer la blanche en premier ». Bien sûr,

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l’homme avait mis deux pierres noires dans le sac et pourtant, en raison de l’intelligence de la petite fille, il fut obligé de la libérer. Nous devons développer la même sorte d’intelligence lorsque nous avons affaire à des tyrans.

Liberté

L’homme moyen ne veut pas être libre. Il veut juste être en sécurité. – H. L. Mencken

Nos agissements afin d’être en sécurité finissent par nous mener à notre perte. – R. Moss

Celui qui négocie sa liberté contre la sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre. – Ben Franklin

Le comportement psychologique est tel par nature que ceux qui agissent sous la contrainte ont toujours l’impression qu’ils agissent de leur propre chef. La victime dont l’esprit est manipulé ne se rend pas compte qu’elle est une victime. Pour elle, les murs de sa prison sont invisibles et elle se considère comme libre. Seules les personnes extérieures remarquent qu’elle n’est pas libre. Son asservissement est strictement objectif. – Aldous Huxley – Brave New World Revisited, 1958

Le problème avec la prise de conscience, c’est qu’il n’y a aucun retour possible, c’est comme choisir la pilule rouge dans Matrix. Suis-je prêt à échanger ma liberté contre une vie plus facile en tant qu’esclave ? Au final, notre liberté dépendra du choix d’abandonner contractuellement nos droits ou de rester conscient de la nature des avantages impliquant l’existence d’un contrat et de notre incapacité à faire objection à la présomption d’un contrat.

La « liberté » n’est pas le chemin le plus facile, pourtant l’autosatisfaction devrait être plus grande lorsque nous choisissons cette voie.
Notre capacité à « décider » constitue la liberté. Ainsi, vous pouvez entrevoir la lumière au bout du tunnel, et ce n’est pas celle

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d’un train qui fonce sur vous, c’est plutôt celle qui vous annonce un destin encourageant.

Si nous devions un jour vivre en harmonie, les politiques et les bureaucrates devraient se contenter de ne s’occuper que de leurs affaires et tirer parti de ceux qui accepteraient de coopérer avec eux. La vie appartient aux êtres vivants, non à l’État ou à toute autre abstraction inexistante. – B. Shaffer

Personne n’est plus désespérément esclave que celui qui pense être libre. – Goethe

Si une nation accorde plus d’importance à toute chose autre que la liberté, alors elle la perdra. L’ironie, c’est que si elle accorde plus d’importance au confort ou à l’argent, elle les perdra également. – W. S. Maugham

Il est dangereux d’avoir raison lorsque le gouvernement à tort. –

Voltaire.
Le miracle est la patience avec laquelle les hommes et les femmes se sont de tout temps soumis aux fardeaux inutiles apportés par les gouvernements. – William H. Borah

Nous devons défier activement l’étendue de l’autorité du gouvernement acceptée par le public. – Inconnu.
Le fait de se protéger de la tyrannie du gouvernement doit pousser le peuple à se battre pour son droit de porter et de conserver les armes comme dernier recours. – Thomas Jefferson

L’autorité suprême… ne repose que sur le peuple…. – James Madison, Federalist Paper No. 46

Je n’aurais jamais donné mon accord pour la fondation de l’Agence centrale de renseignement (CIA) en 1947, si j’avais su qu’elle deviendrait la Gestapo américaine. – Harry S. Truman (1961)

Nous devons choisir entre l’économie et la liberté, ou la profusion et la servitude. Si nous pouvons empêcher le

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gouvernement de gaspiller le travail du peuple sous prétexte qu’il prend soin de lui, les gens seront heureux. – Thomas Jefferson

Le niveau de vie de l’Américain moyen doit décliner… je pense que c’est inéluctable. – – Paul Volcker, ancien président de la Réserve Fédérale

Si le peuple américain permet un jour aux banques privées de contrôler l’émission de sa monnaie, tout d’abord par l’inflation puis par la déflation, les banques… priveront le peuple de toutes ses possessions jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri sur le continent conquis par leurs pères. Le pouvoir d’émission devrait être retiré aux banques et rendu au peuple qui est le propriétaire des possessions. – Thomas Jefferson

Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressées par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts. – Rothschild Brothers of London

Quoi, moi travailler ?

Le fait de croire que son travail est extrêmement important est l’un des signes avant-coureurs de la dépression nerveuse. –
Bertrand Russell

Le commerce est un jeu que seuls les banksters peuvent remporter. Ils nous ont programmés pour croire que plus nous gagnons d’argent, plus la vie est facile. C’est pour cela qu’aujourd’hui les hommes ont deux boulots et que les femmes pensent qu’elles devraient « travailler ». Beaucoup de femmes sont entrées dans la vie active en pensant pouvoir changer le monde, que la vie serait plus facile s’il y avait moins de testostérone aux postes haut placés. Malheureusement, les femmes qui ont atteint ces postes

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sont devenues des hommes. Elles portent le costume trois-pièces et aggravent encore plus la situation. Les femmes qui se prennent pour des hommes dirigeant le monde sont encore pires que les hommes qui dirigent le monde. Les femmes souhaitent un monde plus sûr et plus gai pour leurs enfants, pourtant, au final on leur a fait croire qu’elles avaient besoin de passer leurs journées loin de leurs enfants.

Il est désormais illégal de prendre soin des personnes infirmes sans une autorisation. Quelle entité compatissante a mis au point ce plan ? C’est du bankster tout craché. Et ils se demandent pourquoi on « manque d’infirmières ».
Le salaire minimum est une vaste plaisanterie et personne ne pourrait se contenter de ça pour vivre. Ces boulots sont pour les jeunes qui vont encore à l’école, qui vivent toujours chez leurs parents et qui ont besoin d’argent de poche pour le week-end. Ils ne sont pas faits pour ceux qui ont l’intention de « gagner leur vie » et pourtant beaucoup de personnes sont reconnaissantes d’avoir ces boulots inutiles, car la plupart des anciens bons boulots ont été exportés de leur pays (“délocalisés”). Les gens n’ont jamais été autant au chômage, même pendant la Grande Dépression.
Vous avez entendu des histoires de femmes qui partent travailler et après les dépenses de transport / vêtements / garde d’enfants plus ce que le gouvernement confisque en impôt sur le revenu, la famille est en fait bien en dessous en matière de bénéfice net. Qu’est ce qu’ils pensaient ? J’ai déjà un gros problème avec le concept de « travail » pour les gens, mais encore plus particulièrement pour les femmes. Leurs responsabilités dans la vie sont déjà énormes, par exemple celle de sortir leur mari du « monde » pour lui faire découvrir le royaume du spirituel. Et je n’aborde même pas le sujet des dépenses de temps et d’énergie nécessaires pour prendre soin de ses enfants et fonder un foyer.
Mon amie qui est divorcée doit payer des impôts sur la pension alimentaire de son mari qu’il doit de son côté « déduire » comme une dépense. Mais elle, qui a absolument besoin de cet argent, doit en reverser la plus grande partie en tant que taxes. Il y a quelque chose qui ne va pas, pourtant, ça ne surprend personne. Donc pourquoi les femmes travaillent-elles ? Cela me rappelle la femme qui laisse une note sur le frigo à l’attention de son mari : « Le dîner est dans le four, je vais à la faculté de droit, je serai de retour dans 4 ans ».

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Lorsque la vérité sur le système bancaire sera révélée, nous verrons que leurs vols et contrefaçons ont eu pour effet économique de faire croire que les femmes doivent travailler pour assurer la survie de la famille. Si le problème bancaire est réglé, les femmes auront la possibilité d’arrêter de travailler tout en conservant le même niveau de vie ou de continuer à travailler en doublant les richesses de la famille. Si un nombre suffisant d’entre nous apprenait l’existence d’un système bancaire frauduleux, nos prêts pourraient être effacés ou annulés, le budget du gouvernement équilibré et la taxe personnelle réduite à néant sans autres taxes. Si la banque réglait ses dettes, nous pourrions tous être exonérés de dette.

Crédit illimité

Le crédit réalisé par les Réserves Fédérales en investissant en titres est un crédit qui nous a été emprunté, via l’enregistrement de nos naissances, il a prépayé tout ce dont nous avons toujours rêvé ou eu besoin. Ils nous doivent des intérêts car ils utilisent notre crédit, pourtant, étant donné qu’ils (le service public) sont en faillite, il n’y a pas d’ « argent matériel ». Nous, en tant que créditeurs, devrons alors être payés en investissant dans des maisons, voitures comme « déduction », l’équilibre du compte. Ils nous doivent des intérêts sur notre crédit qu’ils utilisent pour payer la fabrication de tous les biens et services que nous achetons. Nous avons déjà payé pour le produit avant même de l’avoir acheté. Nous sommes toujours les mandants des titres, car lesdits investissements ne nous ont jamais été révélés. Les Réserves Fédérales espèrent que nous ne demanderons pas la restitution des profits de nos investissements, cependant, si nous le faisons et au moment où nous le faisons, ils seront assez conséquents pour que nous n’ayons plus jamais besoin de travailler. Nous ne pourrions jamais tout dépenser.

NOUS N’AVONS PAS BESOIN, ET NOUS N’AVONS JAMAIS ÉTÉ FAITS POUR « TRAVAILLER POUR GAGNER NOTRE VIE”.

Le gouvernement a émis un bon pour récupérer nos futurs gains en utilisant nos actes de naissance comme caution de notre

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« promesse de dette ». Ils vous ont « éduqués » pour payer les intérêts du prêt que VOUS LEUR avez accordé, c’est ce qui constitue l’impôt sur le revenu. Si nous pouvions accéder à nos comptes directs de trésorerie, ceux qui sont détenus à la BC/ FRB/BCE sous notre numéro de Sécurité Sociale, nous n’aurions plus « besoin » de travailler. En attendant, nous allons continuer à :

1. Travailler comme des esclaves pour des entités qui n’existent que dans l’objectif de réaliser des profits ;
2. Faire autre chose que ce à quoi nous sommes destinés ;
3. Croire que nous (prolongement de notre Créateur) sommes assez inutiles pour avoir à payer pour notre existence.

Le travail de notre vie et tout ce que nous avons créé sert désormais de caution légale et commerciale à la société en faillite USA/CA/EU Inc.

Les Réserves Fédérales nous rendent juste les bénéfices de notre travail nécessaires pour nous faire croire que nous gagnons réellement assez notre vie pour acheter ce que nous désirons. Alors qu’en vérité la plupart d’entre nous ne pouvons nous offrir ce qu’on croit vouloir, et même si nous voulons réellement ce que nous croyons désirer, c’est déjà prépayé.
Donc, non seulement nous ne sommes pas supposés travailler pour quelqu’un (banksters) ou quelque chose (sociétés) mais seulement pour chacun et pour notre propre plaisir, nous disposons déjà d’un crédit suffisant pour acheter ce dont nous rêvons ou avons besoin. Jusqu’ici, on nous a simplement empêché d’y accéder. Etant donné que notre crédit représente la SEULE monnaie qui existe aujourd’hui, il devrait être facile de réaliser que nous pouvons utiliser notre PROPRE crédit (provenant de notre exemption).
Pensez à ce qu’il arriverait aux banksters si nous possédions tout à coup tout ce dont nous rêvons. Ils perdraient alors tout contrôle sur nous. Nous n’aurions pas besoin de travailler, de nous soucier de « payer les factures » ou encore de croire qu’il existe une autorité supérieure en dehors de nous. (Nous sommes le prolongement, non séparés, de notre Créateur). C’est notre inquiétude et nos soucis en matière d’ « argent » qui leur confèrent un tel contrôle sur nous. Comment les autorités supérieures, celles qui dirigent le monde d’une manière qui ne pourrait être plus

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désastreuse, pourraient-elles continuer à faire ce qu’elles veulent ? Par ex. la GUERRE. Nous n’aurions plus besoin de travailler comme des esclaves. Nous travaillerions tous à faire quelque chose de beaucoup plus amusant. Inutile de dire que si nous « travaillions » tous à quelque chose qui nous plaît, toutes les tâches seraient exécutées. Le reste, la fabrication d’ADM, par exemple, cesserait ou les autorités supérieures devraient les fabriquer elles-mêmes. Quel concept ! Ce monde pourrait devenir un endroit où il ferait si bon vivre !

Si vous voulez mettre quelqu’un en colère, mentez-lui, si vous voulez le rendre furieux, dites-lui la vérité. Au risque de vous irriter, ne trouvez-vous pas étrange que toutes ces années vous ayez travaillé pour ce que vous désiriez, et qu’à votre insu, tout ce que vous avez acheté auprès de n’importe quelle société était déjà payé. Tout ce que vous aviez à faire était de vous déplacer, de réclamer, de signer pour ce que vous désiriez et de repartir avec à la maison, et cela comprend d’ailleurs également votre maison qui était prépayée. Vous n’aviez pas à travailler ne serait-ce qu’un jour dans votre vie pour « payer » quelque chose. On nous a fait croire que nous avions besoin d’une bonne éducation pour obtenir un bon travail… toute cette théorie se base sur la supposition que c’est la seule chose que nous souhaitons.
Si vous voulez vraiment détester ce que vous adorez faire …
faites le pour l’ « argent », et ce ne sera pas long. – Nicholas Grachanin

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CHAPITRE III

CE QUI S’EST VRAIMENT PRODUIT

CE QUE NOUS POUVONS FAIRE
RAPPELEZ-VOUS QUI VOUS ETES

Le « Système »

La Matrice est un système, Néo. Ce système est notre ennemi et quand vous êtes à l’intérieur, et que vous observez, que voyez-vous ? Des hommes d’affaires, des professeurs, des avocats, des charpentiers, les esprits mêmes du peuple que nous essayons de sauver. Mais jusqu’à ce que nous réalisions ce sauvetage, ces personnes font toujours partie de ce système et donc ils sont notre ennemi. Vous devez comprendre : la majeure partie de ces personnes ne sont pas prêtes à être « déconnectées » de ce système, et bon nombre d’entre elles sont tellement dépendantes de ce dernier, qu’elles vont même se battre pour le protéger. – Morpheus

– Matrix

La plupart des personnes dépendent complètement du « Système » et elles ne peuvent pas fonctionner sans lui. Ce système les force à vivre dans un cercle vicieux, celui de la dette. Le système perpétue une dépendance au matérialisme afin de produire l’intérêt qui est créé à partir de la dette. Puisque la dette n’existe pas vraiment, l’intérêt n’existe pas non plus. Par conséquent, la dette nationale est un canular perpétré par les Décideurs.

Le plus grand jeu que le monde ait jamais connu a été créé par ceux qui contrôlent l’éducation, la loi, les médias, les églises, les banques, et la médecine. Ils ont joué sur le fait que nous croyons que nous devons gagner notre droit à la vie, que nous sommes indignes de ne pas faire confiance à notre intuition, que nous devons dépendre des autorités, que toute peine est justifiée et méritée, que nous n’avons aucun pouvoir personnel. Ils ont confisqué notre santé, notre richesse, notre amour, et notre paix intérieure avec cette Ruse. Cette arnaque est connue sous le nom de Matrice.
Comment avons-nous pu croire que nous sommes contraints de « gagner » notre vie ? La perpétuation de ce mythe détruit notre

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véritable nature spirituelle. Si mon créateur et moi Co-créons mon existence physique, cela me rend-t-il souverain ? Pourquoi est-ce que je ferais quelque chose d’autre que d’être et de vivre librement, d’éprouver des choses ? Quelques personnes pensent que nous devons payer pour ce privilège… qui ? Comment pouvons-nous croire à ce charabia ? Comment cela est-il arrivé ? Quelqu’un sur cette planète a eu l’idée la plus brillante et la plus virulente de toute l’histoire de l’humanité – faire appel à notre conviction égotiste, que nous sommes tous coupables et que nous méritons la punition, que nous sommes quelqu’un d’autre … et que nous capitulons face au système.

Quand j’ai commencé à étudier le droit, avec l’intention de comprendre pourquoi le monde était aussi stupide, j’ai été étonné de voir que j’étais le seul à être méfiant envers ce système. L’énorme différence, entre d’un côté ma demande de paix intérieure et de l’autre côté ma résistance à l’autorité, faisait que je devenais de plus en plus dingue. Je savais à quoi je résistais, je persistais sur quelque chose qui a été conçue pour ne pas fonctionner – l’entière corporation/ le système bancaire alias « un ensemble congressionnel alliant industrie et militarisme», (d’après la suggestion d’Eisenhower.) J’essayais de comprendre quelque chose qui était complètement absurde.
Cependant, on se rend compte que le système sous lequel nous fonctionnons a été conçu par l’égo lui-même même. Notre esprit nous montre qu’essayer de vouloir changer quelque chose qui n’est pas réel, c’est comme faire « un effort inutile ». Il m’a fallu des années pour cesser de changer ce qui ne va pas afin de me focaliser sur le changement de celui qui perçoit les choses – c’est-à-dire moi-même même. Le monde était comme il était seulement parce que je me le disais comme étant ainsi.
La plupart des soi-disant « patriotes » que je connaissais étaient occupés à étudier les lois, le Code des Impôts, les statuts, le Code des Règlements Fédéraux, les affaires et les décisions rendues par la cour Suprême et les jugements qui étaient en cours, etc. Pour une quelconque raison, je ne me suis jamais intéressé à tout ceci. Ces patriotes pourraient tous citer ces choses, de façon intuitive…. Et alors qu’est ce que cela changerait ?
Le seul cas que j’ai trouvé significatif et intéressant c’était l’affaire Miranda contre l’Arizona, où l’on dit « … Tout ce que vous

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pourrez dire sera utilisé contre vous devant une cour de justice. » (Comprenez : CHAQUE chose que vous dites sera utilisée CONTRE vous.) Aucun « peut- être » ici. Cette règle particulière de la cour suprême était l’une des choses les plus importantes que j’ai apprises et… j’avais raison. Le but c’est de ne rien dire – apprendre à ne pas contracter inconsciemment.

Un Cours de Miracles

Après 30 ans de connaissances erronées, mais pourtant ne sachant pas comment changer les choses, ma recherche de paix intérieure m’a mené à un ensemble de trois textes appelés, Un cours de Miracles.

Le cours enseigne que tout ce que nous éprouvons c’est seulement une projection de nos esprits basés sur notre foi en notre culpabilité du fait que nous nous croyons différent (séparé) de Dieu, ce qui naturellement est impossible. Ainsi… rien ne se passe sauf dans nos esprits. Chaque événement est seulement une autre occasion pour nous pardonner de penser que nous avons abandonné Dieu, ce qui est un concept risible.
Je pense que tout ce qui concerne l’UCEM nécessite la foi jusqu’à ce qu’on ait la preuve de l’évidence même, par notre expérience. En fait, ce que l’UCEM dit c’est que nous (chacun de nous), pensons à chaque instant comme si nous étions le prolongement de Dieu, et par conséquent Dieu. Tout ce qui semble exister – le temps, les dimensions, etc. « ont été créé » comme un hologramme, pourtant ceci n’était pas une réelle création parce que tout ceci n’existe que dans nos esprits – comme une pensée. Le cours nous dit également que « les idées ne quittent pas leur Source », par conséquent, ce que nous appelons « création » est en fait une « création de l’esprit ». Ce qui nous démontre que cela ne se passe que dans nos esprits, c.-à-d. : que notre créateur n’est pas directement impliqué, c’est la dualité entre toutes les choses dans notre univers connu – haut bas, obscurité lumière, féminin masculin, mauvais bon, etc. Si l’amour est tout ce qu’il y a – Dieu étant seulement une énergie d’amour, de lumière (et non pas une entité avec des caractéristiques humaines qui est influencée par son ego) – Alors ce qui est tout – omniprésent et englobant ne peut pas avoir

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d’opposé. Quoique nous ressentions qui n’est pas de l’amour (et disons le, c’est que nous ressentons la plupart du temps, merci l’ego !), ne peut surement pas exister ailleurs que dans nos esprits. Nous avons crée les choses comme un rêve, et notre Créateur est juste en train d’attendre que nous nous réveillons et « retournons chez nous » quoique nous ne soyons jamais parti, excepté dans nos pensées, parce que comment pourrions nous quitter quelque chose qui est omniprésent ? Notre seul péché est de croire que nous sommes séparés de Dieu.

Pensez à notre créateur/Dieu comme à un parent affectueux qui observe son enfant qui fait un mauvais rêve (la vie comme nous le savons est souvent désigné comme un « cauchemar »). Le parent n’a aucune idée du rêve de son enfant ; il sait seulement que le rêve cause de la peine à l’enfant. Le parent ne peut pas intervenir dans le rêve et le changer afin qu’il soit plus plaisant parce que le rêve existe seulement dans l’esprit de l’enfant. Il n’y a rien à faire d’autre que de prendre l’enfant dans ses bras, le réveiller afin que ce dernier se rende compte que son rêve n’était que pure imagination. Ce n’est que lorsque l’enfant se réveillera, qu’il comprendra qu’il s’est lui même causé une peine inutile. Mais quand il est dans le rêve cela lui semble réel. La nuit suivante, l’enfant va-t-il de nouveau rêver avec l’intention de vouloir changer le mauvais rêve de la nuit précédente, ou passera-t-il juste à de nouvelles aventures ? L’intention de l’enfant est non seulement de changer le thème de son rêve mais aussi d’éprouver ses rêves comme quelque chose de plaisant. Ne serait-il pas particulièrement judicieux qu’il reste conscient lors du rêve de sorte que si c’était un mauvais rêve, il saurait alors que celui-ci n’est pas réel, qu’il était juste dans un rêve, qu’il se réveillerait ensuite et donc qu’il n’avait aucune crainte à avoir ?
Thomas Szasz, dans son livre Mythe des Maladies Mentales, reconnaît les dualités de la vie et ces choses que nous pensons être des fléaux de la société ne sont en fait que des créations, pour que l’on puisse nous voir comme le contraire de quelqu’un par exemple : pour apaiser la culpabilité, les avocats ont besoin de criminels ; pour se sentir en bonne santé, les médecins ont besoin de patients malades ; pour se sentir érudits, les professeurs ont besoin d’étudiants ; pour se sentir justes, les pratiquants ont besoin de pécheurs ; pour se sentir privilégiés, les riches ont besoin des pauvres ; pour se sentir généreux, les philanthropes ont besoin de

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bénéficiaires de l’aide sociale ;  pour  se  sentir  puissants,  les
« autorités » ont besoin d’obéissants, etc. Nous avons tous créé
l’opposé de « ce que nous pensons être » afin de croire en notre propre existence. Nous avons tous essayé de définir et de défendre notre existence. L’inverse est également vrai – qui sommes nous vraiment – il ne nous ait pas nécessaire de nous projeter sur notre contraire parce qu’il n’y a aucune dualité en réalité. Nous existons indépendamment de notre conviction. Notre « crainte de la mort » n’est pas la crainte de la mort elle même mais la peur de cesser d’exister en tant que qui nous pensons être.

Les Professeurs ne connaissent pas « l’éducation »

Les Médias ne connaissent pas « l’information »
Les Religieux ne connaissent pas « la spiritualité »
Les Financiers ne connaissent pas « le commerce »
Les Législateurs ne connaissent pas « la loi »

Ceux d’entre nous qui sont étrangers à ces disciplines, sont conscients de la manipulation de l’esprit faite par ces disciplines. Ceux qui sont à « l’intérieur » même de ces disciplines ne peuvent pas s’échapper parce qu’ils craignent de perdre leur identité – qui ils pensent être. S’ils se réveillaient un jour alors, qui SERONT-ils ?

Par conséquent, dans notre travail, nous révélons souvent ce qui nous répugne le plus. Les jobs représentent la façon dont nous voulons que les autres nous perçoivent. Je demande à chaque infirmière, « pourquoi voulez vous devenir infirmière ? » « Je veux aider le peuple. » Toute personne qui a déjà fait ce travail sait que nous ne pouvons « aider » qui que ce soit. Nous pouvons seulement accompagner les autres dans la guérison. Nous devons tous faire notre propre travail. Les infirmières ont tendance à croire que prendre soin des autres est plus honorable que de prendre soin de soi même et leur propre dégoût est révélé par leur dépendance ainsi que par leur comportement. La plupart des infirmières sont victimes de l’un ou de plusieurs de ces méfaits: le poids excessif, la cigarette, la boisson, ou les drogues. Celles qui ne le sont pas, ne peuvent pas s’identifier comme étant infirmière. Elles savent certainement qu’ « elles ne sont pas leur travail ». Celles qui essayent de se cacher avec leurs professions ne se rendent pas service, sans parler de ceux avec lesquels elles entrent en contact. Les flics, les agents de

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recouvrements, et tous ceux qui sont destinés à intimider des personnes veulent que le monde les perçoive comme des personnes « puissantes » – mais seulement parce qu’ils convaincus qu’ils ne le sont pas. Nous savons tous que les flics deviennent de véritables voyous parce que leurs travails font qu’ils se croient impuissants. Leur travail peut paraître être un travail qui leur donne un pouvoir, de la puissance pourtant la réalité est toute différente du fait de leur propre estime d’eux même, ou ils n’auraient pas choisi cette vocation particulière. Comme RAM Dass a dit, les « flics ne sont que Dieu en travesti. »

Arrête d’avoir peur

Puisque nous sommes attirés seulement par des personnes, des endroits, et des choses qui vibrent au même degré que nous, il est facile de découvrir à quel degré nous vibrons en jetant un œil sur ce que nous avons attiré. Je n’étais pas conscient que j’avais peur de la vie, je l’étais tout simplement, jusqu’à ce que je m’aperçoive du degré de la crainte, qu’avait la mère de mes enfants. Je dois avoir été effrayé moi aussi car nous avions été attiré l’un vers l’autre. A cette époque, je n’avais pas vu à quel point elle était effrayée par

« l’autorité » car je la voyais selon ma propre perspective, étant moi même également effrayé. Je m’aperçois maintenant que ma vie entière n’était qu’une quête pour vaincre ma crainte et la voie que j’ai choisi c’était d’examiner qui j’étais vraiment – ma réalité, ma souveraineté, ma puissance, ma spiritualité – contre les prétendues
« autorités » de ce monde. Comme pour un ex-fumeur en présence d’un fumeur de cigarettes, il m’est difficile d’être au côté des personnes qui sont effrayées – celles qui continuent à faire comme si elles étaient détenues par les « autorités » dans leurs vies quotidiennes – les médecins, les avocats, les professeurs, les bureaucrates, les ministres, la police, etc.

Culpabilité

Basé sur la conviction que nous sommes à part de notre Créateur – la seule entité qui nous aime au delà de ce que nous

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pouvons comprendre – tant que nous avons un ego – nous nous sentons quelque peu stupide d’avoir quitté une telle énergie d’Amour. Qui ferait cela ? Ainsi, non seulement nous nous sentons coupable d’être stupide mais notre ego nous a également convaincus que nous craignons une punition de notre Créateur, le jour où finalement nous reviendrons « chez nous ». Notre esprit fait de son mieux pour nous persuader que ce Créateur est affectueux et qu’il n’est pas capable de blâme et de punition, mais notre ego nous dit que nous sommes mauvais et que nous méritons la punition et que lors de notre mort, nous rencontrerons « notre Créateur », que nous serons jugés, et que nous irons en Enfer.

Ceci n’est juste qu’un mauvais rêve. Nous avons projeté notre ego pensant sur une entité qui n’a aucun ego. C’est simplement une énergie d’Amour, la plus grande qui n’ait jamais existé, et nos petits esprits sans importance, pensent que cette Energie ne souhaite que nous punir ? Pour quoi ? D’avoir fait un mauvais rêve ? Nos parents nous punissent-ils lorsque nous nous réveillons d’un mauvais rêve ? Non, notre maman est très contente que nous ayons retrouvé notre paix intérieure et que nous ne souffrons plus. Est ce qu’elle nous demande de lui raconter notre mauvais rêve et quel rôle nous avons joué dans le rêve, prolongeant de ce fait l’agonie ? Non ; elle nous dira simplement que cela n’est rien et que nous ne devons plus nous inquiéter car – c’était « juste un mauvais rêve ».
Mais, sur cette planète – nous ressentons les choses comme si nous rêvons – que nous sommes distincts de Dieu – c’est une attaque contre Dieu lequel cherchera certainement la vengeance quand il posera ses mains sur nous. Pourquoi est-ce que la plupart d’entre nous craignons la mort ? Parce que nous craignons la punition que nous accordera Dieu quand il jugera que nous avons été mauvais. La maman nous a-t-elle punis lorsque nous avons raconté les choses horribles que nous avons faites dans notre mauvais rêve ou bien nous a-t-elle juste étreints et nous a dit à quel point elle était heureuse que nous soyons réveillés de notre cauchemar ?
Nous ne pouvons pas usurper le pouvoir d’une entité toute-puissante, une lumière affectueuse omniprésente. Quel genre d’arrogance a cet ego qui pense qu’il peut s’enlever de quelque chose qui est partout, tout le temps ? Néanmoins, nous sommes

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coincés avec cette culpabilité absurde durant nos vies entières. Ce que nos ego nous disent, c’est que le mieux pour nous est d’infliger cette culpabilité sur quelqu’un d’autre, afin qu’aux yeux de Dieu nous ne soyons plus coupables. Et bien, le problème c’est qu’il s’agit de Mon mauvais rêve, et que d’infliger ma culpabilité sur quelqu’un d’autre que moi ne fera qu’empirer ma situation. Il n’y a personne là-bas prête à accepter ma culpabilité et la seule chose que j’ai accompli s’est d’aller plus loin inconsciemment. Maintenant je suis dans une situation qui finalement me cause plus de peine parce que je ressens plus de culpabilité pour avoir attaqué un autre aspect de moi-même. Il n’y a personne là-bas. TOUT cela n’est que mon mauvais rêve.

La vie est en partie intéressante mais elle ne peut pas se substituer à la réalité des choses. – Douglas Adams

Un Cours de Miracles

Rien de réel ne peut être menacé ; rien d’irréel n’existe. En cela réside la paix de Dieu.

Le point crucial du cours est la renonciation de la crainte et l’acceptation de l’amour. Comme ce processus mental s’opère à l’intérieur même de l’individu, alors cela revitalisera la vie de ceux qui l’entourent.

Le moyen utilisé par ce processus c’est le pardon. Le but du cours est d’atteindre la paix intérieure.

On nous a donné le Cours pour trois raisons :

1) La nécessité de guérir l’esprit de sa conviction en « le salut par l’attaque » ceci est accompli par le pardon et la prise de conscience que nous ne sommes distincts de Dieu et de notre non-culpabilité.
2) Pour corriger les erreurs du Christianisme, en particulier là où il a mis l’accent sur la douleur, le sacrifice, la séparation, et le sacrement comme inhérent au plan de Dieu pour le salut.

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3) Pour souligner l’importance de l’intuition comme notre professeur affectueux et doux, et pour développer des relations personnelles avec ce professeur.

Quoi que je pense sur ce qui se passe dans le monde, cela ne vient que de mon esprit.

Je remarque que mon rêve inclut tous ceux qui semblent être en désaccord avec moi. Je les appelle les Banksters. Aucun bon rêve n’est sans « mauvais types », n’est-ce pas ? Jetez un coup d’œil sur ce qui se passe dans mon rêve :

95% de la richesse est détenue par 5% de personnes, ainsi à l’âge de 65 ans, parmi eux:

1% sont riches
4% peuvent partir en retraite
29% sont morts
63% sont dépendants de l’aide sociale/pension de retraite ou de la charité

Vous pouvez voir ce qui incite mon ego à vouloir blâmer les Décideurs, à les rendre misérables. Le problème c’est que si je les blâme, alors je les rends réels. Si je pense que quelqu’un essaye de me blesser, ceci est révélateur de ma conviction que je mérite la punition. Puisque je comprends maintenant parfaitement que ma colère vient de ma croyance en ma propre culpabilité et que je travaille chaque jour pour me libérer de ma culpabilité, je remarque que mon esprit maintenant paisible – prend en compte des actions qui bénéficient à nous tous – même aux « Cœurs Noirs ». J’ai l’intention de ne pas les combattre ou même de ne pas les rendre particulièrement malheureux ; mon intention est de faire ce qui fonctionne pour moi, en sachant parfaitement que la résistance ne cause seulement que la persistance d’une situation. Cela lui donne de l’énergie. J’emploie mon énergie pour obtenir ce que je veux, et pas pour empêcher quiconque d’avoir ce que mon ego ne veut pas qu’il ait.

Comme parmi tant d’autres, nos chances de devenir riches sont toujours de 50/50 – soit nous le serons, soit nous ne le serons pas, cependant, les chances que le gouvernement nous confisque

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cette richesse augmentée de jour en jour. Ainsi, parmi les solutions à ceci il y a :

1. l’abandon
2. travailler encore « plus dur» pour toujours moins grâce à l’inflation
3. trouver une meilleure solution, c.-à-d. : changer d’avis sur la chose.

Seule la dernière solution nous offre une liberté. En creusant toujours dans le même trou, celui-ci nous semblera alors que plus profond. Nous devons entreprendre une autre démarche et cherchez au-delà de ce que nous disent les Décideurs, c’est-à-dire soit de « travailler » plus longtemps/plus durement, soit d’investir astucieusement, ou enfin d’avoir une chance de gagner le gros lot. Chacune de ces prétendues solutions ne nous amène nulle part. Cela ne nous conduira pas à ce que nous voulons. Les gens sont désespérés « de gagner de l’argent ». Que faut-il en conclure ? Nous nous mettons tous le doigt dans l’œil. La CRAINTE autour de l’argent en est la preuve.

Tout ce que je demande c’est une chance de montrer que l’argent ne me rendra pas heureux. – Ashleigh brillant

Si les femmes veulent vraiment travailler alors qu’elles le fassent. Si elles ne veulent pas travailler, et qu’elles le font uniquement pour $$$, elles doivent comprendre dans ce cas, qu’il s’agit là d’une peine perdue. Elles se feront confisquer une grande partie de leur argent sous quelque forme que ce soit ; elles n’auront plus le temps de faire ce qu’elles veulent réellement faire ; elles deviendront un numéro dans les livres fédéraux ; et le plus important, c’est qu’elles seront convaincues que face à leur problème d’argent, la seule solution est d’en gagner davantage. Ce qui n’est pas le cas. La solution pour stopper le manque d’argent c’est d’apprendre d’une part qu’il n’y a pas assez d’argent et qu’elles courent après une chose qui non seulement n’existe pas, mais les enfonce de plus en plus dans le gouffre.
En se rappelant que la cause et l’effet sont toujours l’opposé de ce que notre ego croit, l’idée est alors de se débarrasser de notre prétendu argent. Je sais que pour la plupart des personnes, cette idée

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peut paraître comme une condamnation, mais si l’argent représente la dette, alors pourquoi en vouloir ? Tout ce que nous pensons avoir « acheté » avec lui ne nous appartient pas parce que comment pouvons-nous posséder quelque chose pour laquelle nous n’avons pas donné de valeur. Ceux d’entre vous, qui sont fiers d’avoir travaillé dur toute leur vie et qui peuvent maintenant vivre dans une maison qui « est payée » et conduire une voiture qui est également déjà « payée », et avoir assez d’argent pour leur retraite du fait de leurs sages investissements auront une grande surprise. Tout ce que vous avez fait au cours de ces années de labeur et d’investissement n’aura servi à rien. Le système est sur le point de s’effondrer.

Lorsque vous jouez au Monopoly®™ et qu’en cours de partie vous vous rendez compte qu’il n’y a aucune possibilité pour vous de gagner : votre adversaire possède la plupart des bonnes propriétés, vous ne possédez que des propriétés bon marché et il n’y a plus aucune propriété ou gare à acquérir. Faire avancer votre voiture, sur les cases jaunes/rouges, vertes/bleues, c’est pour vous comme traverser un champ de mines. Vous savez que vous ne pouvez que tomber sur une case qui appartient à votre adversaire, sur laquelle il y aurait un hôtel et 3 maisons. Vous regardez alors l’argent dont vous disposez encore. Les chances de tomber sur la case « départ » et d’obtenir ainsi les $200 sont maigres, vous décidez de jeter l’éponge. Est-ce juste parce que vous êtes un mauvais perdant ? – faites-vous partie de ces « défaitistes » habituels ? Ou votre abandon est-il une preuve de sagesse ? Pourquoi ne pas admettre la défaite ? Pourquoi souffrir de tant d’indignités ? Pourquoi jouer jusqu’à atteindre la faillite ? Pourquoi perdre davantage de temps ? Pourquoi ne pas jouer à autre chose… ?
Le jeu du commerce est un jeu que seuls les Banksters peuvent gagner. Ils ne peuvent pas perdre ; ils ont forcé tout le monde à jouer et ils nous conduisent à une dette à laquelle nous ne pouvons pas échapper. USA/CA/EU, en tant que société en faillite, sont possédés complètement par ses créanciers – les banquiers. Ils possèdent les médias, le gouvernement, l’éducation, la religion, tout ; si vous avez un acte de naissance, ils le possèdent aussi. Ils contrôlent chaque transaction ; ils contrôlent ce qui se passe dans le monde ; ils ont même le contrôle de la marionnette sur laquelle le monde rejette la responsabilité de la terreur et de la menace de guerre. Aimez-vous les résultats de ce contrôle ? Appréciez-vous le

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jeu ? La seule manière de gagner le jeu du commerce c’est de ne pas y jouer. Nous ne sommes pas faits pour fonctionner dans le commerce ; ils nous ont dupés, et ceci dans leur propre intérêt. N’y a-t-il pas quelque chose que nous préférerions faire ?

Que font les banques avec ce crédit que nous avons créé en signant des reconnaissances de dettes ? Elles le prêtent. Les banques ne sont pas autorisées à prêter leur argent ou leurs capitaux ; il leur est seulement permis de prêter du crédit – crédit que NOUS avons créé. Aujourd’hui les banques facturent des frais de service à tout le monde et pour toutes les transactions et la plupart des personnes déclarent que cela est tout à fait normal. Quand je vous paie $50 pour un service que vous m’avez fourni, puisque je vous paye avec des fonds qui ont été empruntés, et sur lesquels un intérêt court, comment l’intérêt peut-il être remboursé ? Si je vous emprunte votre voiture, comment est-ce que je peux vous rapporter plus que votre voiture que j’ai elle-même même emprunté ? Cela n’est pas possible. Chaque transaction nous plonge dans une dette qui n’EXISTE PAS, excepté dans les esprits des Banksters.
La seule manière pour nous de gagner c’est de ne pas jouer. Gagner et/ou utiliser les billets des banksters, c’est un cercle vicieux qui se refermera sur nous. Il n’y a aucune solution possible à moins qu’on ne cesse simplement toute transaction, c.-à-d. : qu’on sorte du jeu du commerce. Nous ne pouvons pas gagner en accumulant plus de ce qui nous appauvrit.
Ce qui est plus important que cette prétendue dette à laquelle nous ne pouvons pas échapper, ce sont les répercussions émotives et spirituelles des circonstances créées par ce cercle vicieux, qui d’ailleurs sont intentionnelles. Quelle meilleure manière de contrôler des personnes que de les appauvrir ? Un seul moyen – les maintenir dans la CRAINTE de la pauvreté.
C’est là tout le dilemme. Comment pouvons-nous être dispensés d’un jeu dans lequel tout le monde joue ? Penser que nous avancerions mieux « si nous avions juste plus d’argent » est une pure folie. Beaucoup prennent un deuxième et un troisième travail dans le but de « gagner plus d’argent ». Ils contournent simplement le problème en aggravant de plus en plus leur situation. Nous pourrions avoir à supporter les effets du repli, mais dans ce cas, pensons à la liberté si nous pouvons y survivre ! Nous devons penser à notre liberté, et nous détacher de notre conviction que

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« l’argent » est notre unique solution pour nous assurer une certaine sécurité. Ce qui n’est pas la réalité. Il nous fait devenir dépendants de lui, comme un toxicomane pour sa drogue, rendant notre situation de plus en plus mauvaise au fil des jours qui passent. Nous pourrions avoir à quitter nos emplois afin de nous éloigner de la fiscalité confiscatoire, d’arrêter de croire que nous aurons un jour une pension lorsque nous serons en âge de prendre notre retraite…

Nous ne pouvons nous sentir en sécurité et libre avec quelque chose qui n’existe pas. Il n’y a pas d’argent.

Beaucoup d’adeptes du « New Age Age » affirment « qu’il y a assez d’argent pour tout le monde ». Je veux leur dire : « l’argent » auquel vous vous référez ne représente que 263 milliards de dollars en circulation aux USA. Vu que Bill Gates à lui seul vaut $46 milliards (ou presque), à cela s’ajoute l’argent qui « s’évapore dans la nature », puis les sommes investies dans le trafic de drogues, et des millions de dollars qui sont toujours aujourd’hui encore sous les matelas, il ne reste environ que $700 par individu, $1.400 pour des adultes/couples. Ainsi, il n’y a pas assez « d’argent » pour tout le monde. Ce qui existe, c’est le crédit et cette quantité-là est illimitée.
Qui parmi nous cessera de penser que « plus j’ai de $$$, plus je serai en sécurité ?» Quel homme quittera l’entreprise qui assure sa carrière, mais qui en même temps l’asservit pendant toute sa vie, pour à peine recevoir de quoi se débrouiller. Sur nos lits de mort, nous demanderons nous pourquoi nous avons continué à faire ce que nous avons fait ? Je m’imagine rencontrant mon créateur qui me demanderait, « alors pourquoi vous n’avez pas fait ce que vous aviez envie de faire ? » Il n’y a aucune réponse à ceci. C’est,… « La crainte » ? Mon Créateur rit et demande, « ne m’avez-vous pas cru quand je vous ai dit que je vous guiderai dans la bonne voie… que vous n’aviez rien à craindre… que vous étiez un prolongement de moi et ainsi que vous aviez accès à mon pouvoir ? Qu’est-ce qui vous a effrayé ? » « On m’a dit que je devais travailler pour vivre ; je devais justifier mon existence ; je devais faire quelque chose d’utile ; je devais prouver ma valeur, l’éthique protestante du travail… – blah, blah, blah » Le Créateur rit, « pourquoi devriez-vous écouter la propagande de ceux qui voudraient vous prendre votre pouvoir, qui voudraient vous effrayer et vous intimider, alors

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que vous auriez pu choisir de vous rappeler ce que je vous ai promis, ce qui vous aurait accordé la paix ? » que dire ?

Ainsi, nous devons commencer à travailler l’un pour l’autre. Je dois faire pour vous ce que je pense faire le mieux – mon talent m’a été conféré par mon Créateur – pour ce que j’aime faire. N’est-ce pas précisément ce que je dois faire ? Feriez-vous pour l’autre ce que vous aimez faire ? Votre ami ferait-il pour moi ce qu’il aime faire ? Serait-il heureux de faire ceci pour moi ? Un peu ! Et comment ! Ne serions-nous pas très heureux si nous faisions pour les autres ce que nous faisons déjà pour nous ? Si en effet « nous ne formons qu’un ». À qui facturons-nous, et combien et pour quoi ? Que la paix règne sur la Terre et qu’elle commence avec moi.
Les sociétés, par définition, n’existent pas. Ce sont des fictions légales. Le but de leur existence c’est leur responsabilité limitée et celle des individus qui les dirigent. La « loi » ne fonctionne pas pour une entité qui « ne possède » rien. Les sociétés n’ont rien à donner. Vous ne pouvez pas obtenir du sang d’une pierre. Maintenant vous voyez pourquoi l’homme le plus riche du monde « ne possède rien et pourtant il contrôle tout ». Nous devons en tirer une leçon. Nous devons cesser de vouloir posséder des choses, puisque nous ne le pouvons pas de toute façon parce que nous n’avons pas le titre juridique des choses que nous pensons posséder ; nous avons seulement le titre équitable. Nous sommes autorisés à « utiliser » ce que l’État nous permet d’utiliser. Ceci inclut nos corps. Nous ne pouvons « posséder » ce que nous « n’avons pas payé » ou ce dont nous avons abandonné le titre, par exemple : nos corps par l’intermédiaire de l’acte de naissance. Puisque nous n’avons rien payé, nous « ne possédons » rien – à moins que – nous utilisons des fonds « pour payer » le titre juridique. Malheureusement, à moins que nous ayons traité nos affaires commerciales correctement, nous ne pouvons plus « contrôler » quoi que ce soit.
Nous devons reprendre nos vies et faire ce que nous voulons faire avant que nous soyons forcés de faire ce que les personnes morales veulent que nous fassions et pour moins que ce que nous obtenons maintenant. Nous devons remettre en ordre nos affaires commerciales.
Nous devons sortir du Jeu du Commerce et s’habituer à l’idée du « service ». Pour ceux d’entre nous qui ne peuvent pas

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faire le grand saut, nous pouvons et faisons des « échanges ». Nous pouvons échanger notre temps, notre talent, notre travail, ou un autre produit dès lors que nous sommes d’accord. Ceci est généralement connu sous le nom de « troc ». Au final, nous devons libérer l’inquiétude qui se cache derrière la dépendance puisque c’est la « crainte » qui fait que nous faisons la chasse à $$$. Nous aurons atteint notre but quand nous pourrons admettre « Je fais pour toi ce que je dois faire, et toi fais pour moi ce que tu dois faire». Fais le juste dans la joie. Depuis que je fais ce que je veux faire, je n’ai jamais été aussi heureux et j’ai reçu plus, que ce que j’avais prévu, plus que ce que je n’ai jamais reçu.

Par comparaison, le Jeu du Commerce est équivalent à un Cauchemar ; bien plus impitoyable que ne l’est le Troc/échange; ceci transformera le cauchemar en rêve tout à fait agréable. Cependant, plaisant ou pas, un rêve signifie que nous sommes encore endormis. Donc que ce soit un échange / un troc / un agréable rêve, peu importe, car faire ce que nous aimons faire signifie en fait que nous devons nous réveiller !
Quand nous prenons position sur quelque chose et que nous savons que ceci est parfaitement moral, l’énergie provenant de l’inconscient collectif (ce qui nous encourage) nous permet de réussir. Nos choix moraux commencent alors une spirale ascendante pour obtenir les résultats qui nous sont destinés. C’est la modification de la crainte qui crée le vide afin que ces résultats puissent apparaître. Est-ce que vous voudriez que lors de votre passage dans la « dimension après la mort », votre Créateur vous demande, « pourquoi avoir fait ce que vous avez fait, alors que vous saviez que ceci était contraire à l’éthique ? Pourquoi avez-vous brisé votre intégrité ? » Aiiiieeee.

« Aller de l’avant » alias « Diviser pour vaincre »

Croire que nous avons besoin d’argent pour payer des dettes, c’est affligeant quand on s’aperçoit qu’on nous exploite par la crainte. Pourtant au cours de nos vies, nous concourrons tous les uns contre les autres. Cela convient-il aux Banksters ? S’ils peuvent nous maintenir soit dans une situation dans laquelle nous envierons une autre personne, ou au contraire dans une situation où nous

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mépriserons quiconque dont la situation financière serait différente de la nôtre, ils réussiront alors à nous prouver que nous sommes différents les uns des autres. Diviser et conquérir. Tant que nous croyons que nous sommes différents, nous continuerons à être en concurrence, et nous resterons seuls contre eux afin qu’ils puissent nous asservir. C’est ce qui se passe.

Pour que le commerce fonctionne, il doit y avoir un débiteur et un créancier. Un compte est créé pour assurer le suivi des dettes et des crédits. Dans le commerce, la seule façon de gagner, c’est d’avoir plus de débiteurs que de créanciers. Ceci est le point de départ de toute affaire. Nous vendons alors aux autres, notre temps et notre talent. Plus vous trouvez de personnes qui ont des besoins, plus vous aurez de débiteurs. Le problème avec ce système c’est que nous sommes forcés d’entrer en concurrence avec d’autres qui offrent le même temps et le même talent que nous. Pour qu’on puisse gagner, l’autre doit perdre. Plus j’anéantirai de personnes dans les affaires, mieux je pourrais subvenir aux besoins de ma famille. Nous faisons de notre frère un de nos débiteurs, en travaillant pour «l’amour de l’argent » au lieu de « l’amour du service » en donnant notre temps et notre talent dans (par) l’amour.
Quand nous tenons des comptes – qui doit quoi, à qui – nous tenons une trace des torts de chacun d’entre nous. En outre, pour gagner dans le commerce nous devons détruire la concurrence. Rien de personnel, c’est juste les affaires. – Nicholas Grachanin

C’est perdu d’avance, parce que c’est basé sur le concept de différence/séparation. Le Jeu du Commerce est le modèle même de notre conviction égoïste qui consiste à croire que nous sommes différents les uns des autres.

Non seulement nous « nourrissons » l’élite, mais ils vivent en outre de notre énergie qui est traduite sous forme d’impôt que nous payons, de permis qui nous permettent de travailler – un cercle vicieux qui est une perte pour nous. Notre temps, notre talent, notre énergie et notre spiritualité sont perdus et mal dirigés. Il vaut mieux recevoir ce dont vous avez besoin par l’échange puis le don, de quelque façon que ce soit, du moment que vous le faites par amour.

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Il ne faut pas une majorité de personnes pour régner (l’emporter) mais plutôt une minorité d’infatigables minoritaires désireux de mettre le feu (aux) dans les esprits – Samuel Adams

Frapper à la racine du Mal équivaut à en couper mille branches. –

H.D. Thoreau

Le commerce c’est l’achat et la vente de biens ayant comme objectif principal le profit, c’est -à-dire le gain. Le gain/profit n’est pas qu’une question d’échange, mais inclut l’idée d’augmentation, le plus souvent au détriment des autres.

Il n’y pas « d’aller de l’avant» – à l’avant de quoi ou de qui ? Votre statut actuel ? Celui de vos camarades ? La seule façon de dépasser quelqu’un c’est de le considérer comme quelqu’un d’autre que vous-même. « Avancer » signifie plus que « de rentrer dans ses frais» par exemple: vivre de chèque de paie en chèque de paie, mais il n’y a rien de mal à cela parce que nos besoins sont satisfaits et que nous rentrons dans nos frais. Ceux qui pensent avoir besoin d’un amortissement créent généralement ce besoin – comme ceux qui dépensent une fortune dans chaque type d’assurance – médicale, de voiture, professionnel, etc. J’ai passé ma vie à essayer d’avancer, de progresser, mais, hélas, nous en voulons toujours plus, et nous ne serons jamais en paix.
À la question, « Combien cela vous a-t-il coûté ? », Rockefeller a répondu, « Juste un peu plus que ce que j’ai. »
Le Communisme a connu une mauvaise passe dans les années 50 avec McCarthy et la Commission sur les « activités antiaméricaines ». L’état possède maintenant les titres sur votre corps, votre maison, votre automobile, votre mariage, vos enfants, vos biens, il ne faut pas prétendre que nous ne vivons pas sous le Communisme – ce n’est pas vrai ; nous avons juste été dupés parce que cela a été déguisé. Kruschev a avoué – « Nous vous aurons sans bombes, d’une manière que vous ne pourrez jamais soupçonner. » Ils nous détruiront de l’intérieur – pas en faisant feu sur nous.
Pourquoi pensez-vous qu’ils soient allés jusqu’à la « loi sur les crimes de haine raciale » ? Pour nous inciter à la haine raciale. Comme les « Fédéraux » font la guerre sur tout – ils nous disent sur quoi doit porter notre attention et par conséquent l’énergie qui en découle. Ces personnes ne sont pas stupides ; elles sont diaboliques.

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Comment empêcher vos enfants de faire quelque chose qui ne fonctionne pas pour eux ? En leur disant simplement de ne pas le faire ? Non, tout cela ne fait que leur rappeler de le faire. Si les Fédéraux veulent vous obliger à détester les autres – le mieux pour vous c’est de vous rappeler de ne pas le faire – alors ils vous obligeront à remettre votre $$$ pour financer les besoins de « l’autre » et ils auront gagné. Les gens ne voient pas le tableau dans son ensemble parce qu’ils le voient de l’intérieur. Les Fédéraux conservent nos egos en mode de survie et nous persuadent que ce qui n’est pas vrai est vrai et vice-versa.

Permettez-moi de vous rappeler que l’ego comme guide n’est pas fiable et même il est regrettable. – UCEM
Rappelez-vous d’un ancien épisode de la Quatrième Dimension où un groupe de gens se sont tous réunis dans la rue, au beau milieu de la nuit parce que quelque chose d’étrange s’était produit et qu’ils essayaient de comprendre ce phénomène. Je ne me rappelle pas si c’était une soucoupe volante ou un bruit très sourd, ou d’étranges lumières, mais ils étaient effrayés car ils commençaient à comprendre que quelque chose était en train de se produire. Du fait de leur crainte, ils se sont accusés les uns les autres, de comportements soupçonneux et donc de leur implication éventuelle dans le phénomène observé. Comme chaque homme ou femme se sentait attaqué, ils/elles se défendaient en attaquant quelqu’un d’autre. Ceci a dégénéré et a laissé place à la méchanceté. La caméra faisait un plan de plus en plus loin, jusqu’à ce que nous voyions deux hommes situés dans un endroit étrange (comme un vaisseau spatial) qui observaient tout ceci. L’un dit à l’autre, « Vous voyez ? Nous ne devons rien faire – ils se détruiront eux-mêmes. » Rod Serling était en avance sur son temps.
Bien que je savais que pendant des années, j’ai rattaché ma valeur à celle de mes atouts économiques, lorsque le penny a commencé récemment à chuter, cela m’a permis de voir qu’à chaque fois, j’ai assimilé ma valeur à quelque chose qui n’existait pas, excepté dans les esprits de l’Homme. Ce fut un rêve brutal et très révélateur. Cela m’a permis de voir d’autres personnes dans la lumière. Je nous ai pardonné à tous de n’avoir rien fait pour le monde; J’ai même pardonné à ceux qui avaient fait quelque chose pour ce monde, puisque, après tout, nous savons tous que nous essayons de faire le mieux que nous pouvons.

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Nous avons tous entendu durant nos vies que nous ne devons pas prendre la vie au sérieux, que nous devons nous arrêter et sentir les roses, que nous avons besoin de temps pour nous détendre, etc. Il s’agit là d’un exemple banal de quelque chose que nous savons au plus profond de nous, mais pourtant nous nous comportons complètement différemment. C’est ce qui cause notre détresse, généralement entendu comme « J’ai beaucoup de stress. » Si en travaillant trop dur pendant de nombreuses heures loin de nos proches – nous le ferions en accord avec nos véritables natures nous n’aurions pas ce sentiment de détresse. C’est le conflit qui provoque notre angoisse. J’ai une vision de mon Créateur giflant son front (si en effet les Créateurs ont des fronts) se demandant pourquoi nous nous torturons ainsi.

Cauchemar

Comment se fait-il que les « bons gars » comme les « méchants » pensent que Dieu est de leur côté ? Dieu n’a rien à voir avec tout ceci, nous avons conçu l’ensemble du cauchemar et Dieu (énergie d’amour/lumière) attend simplement que nous nous réveillions. Nous sommes des prolongements de notre créateur, pas différents de lui, comme l’enseignent la plupart des religions. Les religions enseignent que Dieu a créé la beauté du monde, mais pas des enfants affamés à travers le monde. Comment un esprit peut-il réconcilier cette contradiction ? Dieu n’a eu rien à voir avec ce monde et la preuve de ceci c’est la dualité du monde. Le concept de Dieu c’est qu’il EST, il n’a pas d’autre côté. Ce qui est omniprésent et englobant ne peut pas avoir d’opposé. Dieu ne peut pas avoir un impact sur les événements qui se produisent seulement à l’intérieur de nos esprits.

Puisque le créateur ne peut pas créer quelque chose qui n’est pas de lui-même, comment Dieu pourrait -il créer quelque chose qui n’est pas de Dieu ? Nous sommes tous issus d’une même vitre brisée – chaque fragment, apparemment différent des autres, provient de la même vitre ; pourquoi continuer à s’y référer comme à autre chose qu’une partie de nous-mêmes . Ainsi, Dieu n’a probablement aucune idée de ce que nous faisons. Il ne connaît que l’amour et la lumière. Aussi convaincant que notre cauchemar semble être, cela ne le rend

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pas pour autant réel. Tout que nous avons à faire c’est de NOUS RÉVEILLER.

« Qu’est ce que je fais à un niveau de conscience ou ceci semble réel » – Werner Erhard

TOUT ce qui nous a été enseigné comme étant la vérité ne l’est PAS. Nous devons recommencer. Le plus grand coupable c’est le système d’éducation. John Taylor Gatto a quitté l’enseignement parce que, dit-il « Je refuse de nuire à un autre enfant ». Lisez son livre, L’Histoire Secrète de l’Education Américaine. C’est la même histoire que les banksters. Notre monde/univers est un hologramme qui n’est qu’une projection de notre CRAINTE. Vous vous demandez ce que nous faisons ici, n’est ce pas ? Nous sommes tous impliqués dans le plus grand et mauvais jeu. Pouvons-nous nous réveiller à temps et en sortir ? Si oui, comment ?

La plupart des solutions du monde sont des solutions « tampons » – réparant l’effet – les signes et les symptômes. La meilleure manière de changer l’effet c’est de guérir la cause, toutefois ceci nous fait toujours croire qu’il y a un problème. En traitant soit « la cause », soit « l’effet » on se focalise sur le problème. La seule solution est de créer une troisième option qui n’a rien à faire avec la « cause » ou « l’effet ». Cela a un rapport avec la création de ce qui fonctionne. Concentrons-nous sur ce que nous voulons. Concentrons-nous sur quelque chose qui semble ne pas exister en ce moment. Il vous suffit juste de créer son apparence parce qu’elle était toujours là – comme toute chose dans l’hologramme.

Affirmations

Les affirmations vous apporteront ce que vous pensez que vous voulez, mais cela ne vous apportera pas la paix. – Ken Wapnick

J’ai toujours su que les affirmations ne servaient à rien parce qu’à chaque fois que j’en prononçais une, tout ce que je pensais c’était, « Qui est ce que j’essaie de convaincre ? » Je me suis rendu

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compte que si quelque chose était vraie, je n’avais pas besoin de l’affirmer. Elle le serait tout simplement.

Si quelque chose est vraie vous n’avez pas besoin d’y croire.
– Werner Erhard

Ainsi, les notes inscrites sur le miroir de ma salle de bains ne m’ont pas rappelé que je n’avais pas encore ce que je déclarais vouloir. J’ai utilisé: JE SUIS sain, JE SUIS prospère, etc. – cela n’a pas fonctionné.

Un matin j’ai su que le hic dans tout cela c’est que ce que j’affirme était déjà vrai ; le problème était que je ne le ressentais pas. Que quelque chose soit vraie ou non, ce qui importe c’était comment moi je le ressens. Je me suis souvenu de Paul MCARTNEY qui a déclaré que malgré tous les millions qu’il possédait, il craignait toujours le jour où il deviendrait peut-être sans ressource (démuni). L’ultime dilemme c’est la paix intérieure. Clairement son $$$ (à ce moment de sa vie) ne lui avait pas apporté la paix. Oui, je vous entends dire, « eh bien, ce serait moi. » Ça n’est pas le cas, alors passons. Ce que nous voulons c’est se sentir prospère et en sécurité, puisque de toute façon ce qui importe, c’est ce qui se passe dans nos esprits. Nous voulons ressentir. Puisque tout ce que nous éprouvons c’est de l’interprétation, qui se soucie de savoir quelle est la base de cette interprétation ? Si tout n’est qu’un rêve, souhaitons-nous que ce rêve soit joyeux ou effrayant ?
Ainsi, en changeant mes affirmations en « Je me sens en sécurité, je me sens prospère, etc. » tout a commencé à changer. Puisque mon état d’esprit – mon attitude – est tout – et que c’est mes pensées qui ont le pouvoir de créer, j’ai maintenant les moyens de créer tout ce dont j’ai besoin et ce dont je désire consciemment. Les pensées provenant des vibrations dues à l’amour / aux émotions de joie attireront naturellement et rapidement ce que vous voulez. L’astuce consiste à surveiller ses pensées et son esprit. Nous devons rester vigilants. Le secret de la vie est « la gestion de l’esprit ». Nous devons changer d’avis sur ce que nous pensons du monde. Je vous recommande vivement le visionner le film « The Secret »

Ne cherchez pas à changer le monde ; cherchez seulement à changer d’avis sur le monde – UCEM

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L’homme raisonnable s’adapte au monde ; l’homme peu raisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui même. Par conséquent, le progrès dépend de l’homme peu raisonnable. Le progrès est impossible sans changement, et ceux qui ne peuvent pas changer d’avis ne peuvent rien changer. – G. Bernard Shaw

Imaginez comment nous nous sentirions si nous savions que nous étions justes en train de rêver à tout cela, que rien n’est important et que nous pourrions ressentir ce que nous avons nous-mêmes choisi de ressentir, et que le sentiment lui-même créerait la partie suivante du rêve. Rappelez-vous de ceux qui se retournent pour voir le monstre qui les chasse. Et si nous riions ?

Livergood Norman parle du livre de Von Senden ; « … les personnes qui ont acquis leur vue grâce à la chirurgie montrent une certaine réticence « à voir ». Pour la plupart d’entre nous, il semblerait que celui a qui on a donné la vue serait immédiatement désireux d’apprendre comment utiliser cette nouvelle fonction. Mais les vieilles habitudes de la cécité sont de puissantes influences. »
« De la même manière, les personnes qui ont la possibilité de « voir » le monde souvent ils refusent de regarder ce qui se passe vraiment. Ils préfèrent se réfugier derrière la « cécité » : ce sont les autres qui nous disent ce qu’il faut penser et ce qu’il faut faire. Il n’est pas bon de montrer à ces personnes ce qu’est la vérité ; elles ne veulent simplement pas la voir. Les vieilles habitudes de préjugés et de soumission à « l’autorité » sont beaucoup trop confortables. »
« C’est l’ignorance qui fait que nous nous identifions au corps, à l’ego, aux sens, ou tout ce qui n’est pas de la Conscience Objective. Il est un homme sage celui qui surmonte cette ignorance par la dévotion à la Conscience Objective. » – Shankara, The Crest Jewel of Wisdom

Durant les années 70 et 80, les conférences sur les potentiels de l’être humain ont catégoriquement déclaré que l’on doit avoir non seulement des buts, mais également des moyens, écrits en triple exemplaire afin d’exécuter les buts dits personnels ou professionnels.

Ils nous ont écrit des affirmations du Ying Yang dans l’espoir que notre subconscient mette en application ce que notre conscient semble incapable de faire. Nos listes étaient sans fin. En

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1989 Kenneth Wapnick a indiqué, « Travaillez vos affirmations. Elles vous apporteront ce que vous pensez vouloir. Pourtant, obtenir ce que nous pensons vouloir ne nous apportera pas la paix. Nous n’avons aucune idée de ce que nous voulons vraiment. »

La seule manière de maîtriser le plan physique (le niveau physique), c’est d’éviter des actions dont les buts sont orientés. –
Barbara Miller

Le « besoin » vient de l’ego qui est basé sur la crainte – « il cherche mais ne trouve pas ». Mon ami corrobore ceci en me disant qu’une femme pourrait écrire une liste de toutes les qualités qu’elle recherche chez un homme et quand elle obtient finalement l’homme, elle pense, « OUPS ! J’ai oublié d’écrire « un maniaque non meurtrier» ? »

Un homme avait écrit des affirmations au sujet de l’obtention d’un petit rôle dans Hill Street Blues (série policière) et il a demandé à Marianne Williamson s’il avait tort de faire ceci. Elle lui a dit « non, vous parviendrez probablement à décroché un petit rôle dans Hill Street Blues si vous continuez à écrire des affirmations. Le problème se situe plutôt dans ce que vous excluez. Quand Dieu / l’Univers / la Vie / la Source / votre Moi Supérieur créera un rôle pour vous dans un film important, vous serez indisponible parce que vous serez sous contrat avec Hill Street Blues ». En d’autres termes, nos esprits ne jouent pas à fond. Nous jouons petit parce que nous agissons à partir de la crainte créée par une conviction que nous ne méritons pas d’avoir ce que nous voulons. L’espoir des Décideurs c’est que nous continuons à agir ainsi et que nous déjouons toutes les tentatives visant à acquérir de la conscience – continuez à regarder la TV où ils peuvent contrôler ce que nous pensons. Ce qui pourrait nous être réservé est beaucoup plus grand que ce que nous pouvons imaginer. Nos egos nous limitent. Nos esprits nous libèrent.
Les gens me demandent de temps en temps, « Comment gagnez-vous votre argent ? » Je réponds, « Je ne sais pas – il apparaît juste ? Je n’ai pas besoin de savoir. Mon travail est de faire ce que je veux ; J’attribue à mon Moi supérieur d’obtenir dans le travail ce dont j’ai besoin et ce que je veux. »
Les Décideurs nous maintiennent dans la colère et la crainte
– c’est pourquoi eux survivent – sur notre faible énergie. Ils ont

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besoin de nous pour tout ; ils ont besoin de notre énergie psychologique et négative et ils ont besoin de notre énergie commerciale. Si nous n’acceptons plus de jouer, ils ne pourraient pas survivre. Quand nous ne tolérons pas notre ego négatif, il s’en va. Nous ne devons plus donner à ces gangsters notre énergie parce qu’ils l’aiment. Nous devons « nous focaliser au-delà ». Nous devons conserver une puissante énergie psychique. Nous devons être « légers ». Les circonstances négatives ne survivront pas dès lors que nous refusons de les soutenir avec de l’énergie émotionnelle.

Nous pensons que nous savons ce que nous voulons et jurons que nous ne sommes pas heureux parce que nous n’avons pas ce que nous voulons et que nous ne serons pas heureux tant que nous n’obtenons pas ce que nous voulons. Dans un épisode de la Quatrième Dimension, un homme voulait seulement lire. La seule distraction dans sa vie c’était qu’on le laisse lire ses livres. Son épouse, son fils, son travail, tout était un problème pour lui parce qu’il voulait seulement qu’on le laisse seul. Un jour il s’est réveillé et toute sa vie était identique sauf qu’il n’y avait personne dans son monde pour l’empêcher de lire. Son épouse et son fils n’étaient pas présents au petit déjeuner ainsi il pouvait lire son journal en toute tranquillité ; et quand il est arrivé au travail, tout était normal sauf qu’il n’y avait pas de collègue qui lui gaspillait son précieux temps ainsi il a passé la journée à lire. Il était finalement heureux. Quand il est rentré chez lui, son dîner était sur la table mais aucune épouse pour l’empêcher de lire. La vie était finalement parfaite. Tout semblait être comme il l’avait toujours voulu, c’est à dire personne ne pouvait l’empêcher de vivre sa passion – la lecture.

Un soir, il est descendu à la cave pour chercher quelque chose. En remontant les escaliers, pour une raison inconnue, il s’est abaissé et ses lunettes sont tombées et se sont fracassées sur le plancher. Il a alors réalisé qu’il n’y avait plus d’opticien pour remplacer ses verres, et à partir de ce moment là, il a commencé à émettre des doutes sur ce qu’il a toujours pensé vouloir.
Nous avons tous entendu cette phrase, « Vous ne pouvez changer personne sauf vous même. » Essayer de changer ceux qui nous gouvernent est une perte de temps et d’énergie. Le gouvernement n’existe pas ; c’est une entité factice, ainsi les seules

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entités qui tentent de nous gouverner ceux sont des entités privées comme nous. Ils ne sont pas le gouvernement (comme, « Je fais parti du gouvernement et je suis ici pour vous aider. ») . S’ils n’ont personnellement aucune revendication contre nous, ils n’ont alors aucun pouvoir. Ils doivent avoir une revendication afin qu’il puisse exiger de nous que nous l’accomplissions. Nous pouvons soit changer nos esprits sur la façon dont nous interprétons ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas, ou alors nous pouvons changer notre statut – idéalement les deux à la fois, ainsi nous ne serons plus sous l’effet de ceux qui confisquent nos fonds. Heureusement, il y a des solutions pour faire ceci.

Racine de tout Mal ?

Beaucoup de thérapeutes « New Age », praticiens, utilisent très souvent les termes suivants « prospérité, abondance, l’argent, mérite de la richesse », etc. Inutile de dire que cette remarque est faite due à notre conviction que nous ne les avons pas, ne les méritons pas, ou cela nous résistent d’une quelconque manière. Beaucoup de livres ont relaté que « l’argent » n’est pas un ennemi et que nous devons aller au-delà de notre traumatisme psychologique, qu’il s’agisse de l’enfance ou juste de notre conviction actuelle en la

« conscience de la pauvreté » afin que nous puissions prospérer dans notre monde. Même la bible est employée pour clarifier la citation,
« l’amour de l’argent est la racine de tout le mal » et non « l’argent est la racine de tout le mal ». Inévitablement quelqu’un va mentionner que Jésus dans le temple avait renversé les tables des percepteurs. Pourquoi a-t-il fait cela ? C’est l’une des rares références de la bible où Jésus se met en colère. Était-ce les percepteurs qu’il détestait ou était-ce le commerce qui était entré dans son temple ? Qui sait ? J’ai eu dans ma vie, des périodes au cours desquelles j’aimais l’argent puis des périodes où je le détestais. Et je suis certain de ne pas être le seul. Il m’a fallu des années pour me faire à cette idée ; je me suis rendu compte que
« l’argent » est en effet le problème – plutôt, il représente le problème. J’étais fatigué d’entendre que « l’argent est juste un
échange d’énergie », « il est mauvais si vous le dites mauvais », « l’argent n’est pas mauvais – c’est seulement la manière dont il est

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utilisé qui importe », « l’argent, comme avec toute autre chose du monde, est comme nous le pensons », « il y a assez d’argent pour tout le monde », etc. Tout ceci ne sont que des inepties avec pour but unique de justifier et de soulager notre crainte, car dans nos cœurs, nous savons qu’il y a quelque chose de fondamentalement mauvais avec le concept de « l’argent ». Tout ce qui est « mauvais » sur cette planète est dû au fait que des individus croient que « l’argent » améliorera leurs situations.

Dans son livre, la Révolte d’Atlas, Ayn Rand dit, « Les amoureux de l’argent sont disposés à travailler pour lui. Ils sont capables de le mériter. » J’aime la philosophie d’Ayn Rand, l’Objectivisme – une éthique de l’intérêt rationnel – elle est proche de la conviction que « l’argent » existe, puisque tous ses livres ont été écrits avant la révélation que « l’argent n’existe pas ». Cela était pratiquement inconnu jusqu’a récemment quoique la faillite ait duré 70 années (aux USA, plus anciennement au Canada puisque le Canada n’était jamais solvable, mais plus récemment en Europe). Ceci, et toutes les philosophies traitant de l’argent incluent que nous sommes censés travailler pour lui. Je n’ai aucune crainte de travailler, mais pas pour quelque chose qui n’existe pas et certainement pas pour quelque chose qui m’asservit. Je remarque que c’est la misère qui coince les personnes dans un travail qu’elles détestent. Nous, les individus n’avons jamais été censés fonctionner dans le commerce ; seul l’Homme de Paille le peut.
Comme dans le Monopoly™, nous déplorons à payer des dettes que la voiture/ l’Homme de Paille encourt. Quand j’étais enfant, mes amis pensaient que j’avais touché le fond après avoir ramassé une carte Chance qui m’indiquait que je devais payer au banquier une cérémonie de mariage. Je leur ai dit que je ne devrais jamais payer quelque chose de pareil parce que je ne me marierais jamais ! Je l’ai payé – au « banquier » – et je me suis rendu compte que je prenais ce jeu trop au sérieux. Je maudissais les règles du jeu, mais j’avais toujours envie d’aller sur la case « DEPART » afin d’obtenir mes $200. Nous l’avons tous fait. Nous devons accepter les règles du jeu et arrêter de nous plaindre ou arrêter de jouer.
L’argent est la meilleure preuve que nous nous croyons différents les uns des autres. Ceci, et seulement ceci, explique pourquoi l’argent est la racine de tout Mal. C’est la plus grande et la plus forte démonstration de notre croyance, celle qui consiste à

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penser que nous sommes séparés les « uns » des « autres » que nous ne sommes pas tous « un ». Tous les jours, nous utilisons l’argent, quoique souvent il est interprété comme un échange, cependant il est le plus souvent considéré comme un « paiement pour »…pas grand-chose.

Une de mes histoires favorites est celle de Ram Dass qui a fait un album il y a quelques années. Son père lui a demandé à quel prix il comptait vendre son album. « Environ $6 – juste mes frais. » Son père (un avocat) était stupéfait. « Tu peux obtenir beaucoup plus pour cela. » Ram Dass a répondu, « Souviens-toi l’été dernier, Oncle Harry est venu chez toi pour obtenir un conseil légal ? Que lui as-tu demandé en échange ? » « Rien, Oncle Harry fait parti de la famille. » Ram Dass a répondu, « Quiconque achète mon album fait parti de ma famille. »

Étendons-nous pour inclure

Nous avons tous éprouvé des sentiments d’importance, de gratitude, et également de soulagement quand quelqu’un nous baisse un prix. Est-il possible que nous étendions notre cercle d’amis et notre famille pour inclure « Tout ami de votre ami qui deviendrait alors l’un de vos amis» ? Il se dit que chacun de nous est distant de 7 « connaissances » de n’importe quel autre être humain sur la planète. Je pense que nous sommes tous « connectés » à un tel niveau de conscience que d’une façon ou d’une autre, nous nous rendons compte que toute personne qui, même d’une culture, de religion, de pays ou de race, complètement différente à la nôtre, EST « mon Moi ».

Si nous étions tous une même et unique famille, nous n’aurions aucun scrupule à faire ce que nous faisons. Bien, puisque nous sommes tous de la famille – pourquoi facturons-nous ce que nous faisons ? Est-ce que c’est parce qu’un trop grand nombre d’entre nous font ce qu’ils ne veulent pas faire et ainsi exigent de nous une compensation pour leur douleur ? Ne sont-ils pas fautifs de faire quelque chose qui ne leur procure pas de joie ? Pourquoi ne pas cesser de faire ce qui ne nous fait pas plaisir ? Et si nous faisions tous ce que nous aimons faire ? Aurions-nous le sentiment de devoir être compensés ? Pourquoi ? J’ai entendu plusieurs techniciens (y

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compris moi), qui disent que « J’aime tellement faire mon métier que je n’ai pas besoin d’être payé, je pourrais l’exercer gratuitement. »

Nous avons également évoqué cette idée absurde que si nous ne payons pas quelque chose nous ne l’aimons pas. Qui a dit ça ? – les gens qui se sentent coupables du commerce qu’ils font et qui essayent alors de le défendre – certains de mes biens les plus chers, je les ai reçus à titre gratuit. Pensez à un article que vous avez acheté « en solde » – ne ressentez-vous pas avoir fait une bonne affaire avec l’achat de cet objet ? Je conviens que l’ego croit qu’il ne mérite pas « quelque chose pour rien », cependant, c’est le problème avec le système égotiste qui exige la délivrance et l’apaisement ; ce n’est jamais les circonstances qui exigent l’apaisement – il n’y a rien en dehors de l’esprit. Donc payer quelque chose dans le but de « l’apprécier » C’est simplement une escroquerie de l’ego et les personnes qui répètent cette idée absurde sont une fois de plus tombées dans la croyance que nous sommes différents les uns des autres.
Mon grand-père disait de mon Oncle qu’« Il sait le prix de tout et la valeur de rien. » J’ai appris que :
1. Plus le prix d’une chose est élevé, moins elle finit par avoir de valeur;
2. Si quelqu’un me facture une somme exorbitante pour une quelconque chose, c’est qu’il ne veut pas vraiment que je l’ai. S’il ne veut pas que je l’aie alors pourquoi l’aurai-je ?
3. Depuis que j’ai commencé à faire ce que je veux faire, j’ai reçu beaucoup plus que je ne n’aurais facturé… en faisant ce que je veux faire ou en faisant ce que je ne veux pas faire. Pour moi, ma victoire c’est qu’il y a plus de personnes dans ma vie. Puisque c’est seulement des personnes qui peuvent m’obtenir ce que je veux et ce dont j’ai besoin, ceci est préférable, que d’avoir de l’argent et de devoir le remettre aux sociétés pour quelque chose qu’elles m’ont fait croire que je veux – alors que je ne le veux pas vraiment.

Si nous faisons en effet ce que nous aimons faire, nous pourrions alors attirer vers nous non seulement ce dont nous avons besoin, mais également ce que nous désirons. Beaucoup de livres, par exemple : Lynn Grabhorn, Excuse Me, Your Life is Waiting, font référence à ceci et donc je n’éluciderai pas. Après des années à

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comprendre intellectuellement, j’ai finalement « pigé» : si je vais vers quelque chose avec un sentiment que je risque de perdre, que ce soit de $$$, du temps, ma compensation, ou de l’énergie, je ne fais pas ce que j’aime faire et par conséquent, cela ne marchera pas. Quand nous faisons précisément ce que nous voulons faire, avec le but unique de nous satisfaire nous-mêmes, c’est gagnant-gagnant pour tout le monde – l’objectivisme contre le collectivisme.

Nous avons été ainsi trompés par tout le monde – l’école, l’église, la famille – que l’égoïsme ne fonctionne pas et que la charité elle fonctionne… pour qui ? Tout ce qui s’est produit c’est que ceux qui avaient acquis des droits nous ont essentiellement fait du chantage dans le but que nous fassions quelque chose pour eux et non pour nous. Ceci peut être interprété comme de « l’esclavage ». La culpabilité liée à ceci ne nous sert pas, mais sert à celui pour qui nous devons travailler. L’Éthique Protestante du Travail était composée de propriétaires d’esclaves et non d’esclaves.
« Ne renoncez pas à votre travail quotidien » est un exemple parfait du chantage émotionnel. Si mon fils veut devenir musicien ; mon travail est de l’encourager et de ne pas dire, « mais comment vas-tu subvenir à tes besoins ? » Une définition du « mal » est : la vente ou l’échange de notre vie en faveur de la survie. Deepak Chopra disait à ses enfants : « Vous êtes censé faire ce qui vous permet d’être heureux. Je m’assurerai toujours que vous ne manquiez jamais ni de toit, ni de nourriture. Votre travail est de refléter la puissance, l’amour et la joie de votre Créateur en faisant ce pourquoi vous avez été créé. »
Maintenant, relions ces idées. Quand nous « travaillons » pour quelqu’un, ceci inclut « Je travaille pour moi » et « en indépendant » ? (Ceux-ci ne sont-ils pas de grands clichés à la fois pour mieux nous manipuler et aussi pour nous faire croire que seuls nous, sommes les directs bénéficiaires de notre travail ?) Quand nous « travaillons », par définition, la compensation financière c’est le résultat. Mais quelle est exactement la compensation financière ?
$$$ est une maigre consolation pour faire ce que nous ne voulons pas faire.
Je sais que vous pensez que vous allez recevoir quelque chose en compensation de vos heures de travail. Et bien non. Vous recevez un morceau de papier sur lequel sont inscrits des nombres, une date, le sigle « dollar » ou « euro », un nom Homme de Paille, et

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une signature. Jusqu’ici, vous n’avez rien reçu qui a de la valeur en échange de votre travail. Maintenant, apportez ce bout de papier à la banque et signez votre nom au dos de ce morceau, généralement appelé endossement, et ainsi vous recevrez « l’argent ». Essayez. L’argent n’existe pas. Ce que vous avez reçu ce n’est rien qu’un autre morceau de papier avec des nombres dessus. Pouvez-vous les utiliser ? Plutôt. Si vous êtes futé, vous vous débarrasserez aussi rapidement que possible, pour plusieurs raisons :

1. Ils n’ont aucune valeur intrinsèque ; les billets coûtent de l’argent lors de la création et quelque soit leur valeur. Cela coûte aux Fédéraux le même prix d’imprimer un billet de $500 qu’un billet de $5, ainsi votre dollar vaut à peine le prix du papier sur lequel il est imprimé.

2. Vous avez des reconnaissances de dettes ; les reconnaissances de dettes peuvent donner lieu à des intérêts. Vous resterez coincé avec l’intérêt sur cette dette si vous ne l’échangez pas pour quelque chose qui a de la valeur – dès que possible ;

3. Tant qu’ils sont en votre possession, vous n’avez pas encore été compensé pour votre travail. Puisqu’ils ne vous apporteront rien jusqu’à ce que vous les échangiez, alors garder ces morceaux de papier ne vous servira à rien.

Cela me rappelle une Poésie indigène :

Seulement quand le dernier arbre sera tombé

Seulement quand la dernière rivière aura été empoisonnée Seulement quand le dernier bout le poisson aura été pêché Seulement alors vous comprendrez que l’argent ne peut pas être mangé.

Je demande aux gens, « Si je pouvais vous donner n’importe quoi que voudriez-vous que ce soit ? » Ils disent toujours, « de l’argent ». Mais si ça, c’est tout ce qu’ils veulent alors ils l’obtiendront – mais PAS ce qu’ils pensent que l’argent va acheter. Si je devais leur donner 1 million de $, dans un coffre-fort (sans la

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combinaison du coffre-fort), à quoi cela leur servirait-il ? Ils pensent maintenant qu’ils pourront acheter une maison avec cet argent. Cependant, si la maison était ce qu’ils voulaient, alors pourquoi ne m’ont-ils pas clairement dit « une maison » ? Les gens ne savent pas vraiment ce qu’ils veulent. Pourquoi faire un cheminement en 2 étapes ? Pourquoi doivent-ils « aller faire des emplettes » quand ils peuvent simplement dire la maison. Pourquoi l’argent fait que les gens hésitent. Dites précisément ce que vous voulez, et pas ce que vous pensez vouloir.

L’attachement à quoi que ce soit en dehors de nous-mêmes épuise notre paix intérieure. Pourrions-nous un jour nous détacher de $$$ ? Puisque $$$ et son utilisation représentent la conviction que nous sommes différents et en concurrence permanente les uns avec les autres, si nous devions changer d’avis à ce sujet, alors $$$
cesserait d’exister. Nous n’aurions simplement plus besoin de lui.
Quand on règle nos affaires personnelles, on peut devenir cosmique. – Barbara Marciniak

Impôts fonciers

Je ne pense pas que nous avons beaucoup de temps. Nous devons acquitter les dettes à leurs places ou elles deviendront de plus en plus inquiétantes. « Aux grands maux, les grands remèdes. » Si la dette que les banksters ont créée en utilisant comme garantie les biens que nous utilisons actuellement et que nous croyons comme étant les nôtres – nos maisons, nos automobiles, nos corps, etc. – n’est pas acquittée, nous nous trouverons dans une situation dans laquelle nous ne pourrions plus utiliser ladite propriété parce que nous avons négligé de les déclarer comme étant les nôtres. Les impôts fonciers avec tous les autres impôts augmenteront jusqu’à ce que nous ne puissions plus nous permettre de nous accrocher à ce bien. Qu’importe que ce soit une hypothèque, un intérêt, ou le marché ; les Fédéraux/les banques augmenteront les impôts jusqu’à ce que nous n’ayons plus les moyens de payer, et donc ainsi ils pourront hypothéquer notre bien, tout simplement.

Le but de leur jeu c’est de confisquer autant de biens que possible. Les Fédéraux deviennent plus effrénés au fil des jours qui passent pendant que le FMI resserre les vis sur eux. Le fait que les

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taux d’intérêt étaient récemment faibles nous a octroyé une courte pause. Pensez à cela : les bas taux d’intérêt nous incitent à acheter la propriété. Quand nous serons tous « endettés » ils augmenteront les impôts/taxes et les taux d’intérêt (inflation) et obtiendront de nouveau « leur » propriété – à moins que nous savons comment arrêter de payer des impôts, en le refusant tout simplement. Prenez l’avantage sur eux. J’ai écrit à mon premier ministre, le ministre des Finances, le conseiller des impôts et aucun d’eux n’a été en mesure de me fournir la loi qui exige que je paye des impôts fonciers.

Je fus appréhendé et mis en prison parce que, comme je l’ai déjà cité dans les pages précédentes, je n’avais pas payé d’impôt, ou reconnu l’autorité de «l’État » qui achète et vend des hommes, des femmes, et des enfants comme du bétail, à la porte de son Sénat. J’étais allé aux bois pour d’autres raisons, mais partout où un homme se rend, des hommes le poursuivront et leur feront part de leurs sales institutions et si ils le peuvent, ils le contraindront à rejoindre leur désespérante société de vieux camarades. Il est vrai que j’aurai pu résister avec plus de force, j’aurai pu être pris d’une crise de folie contre la société, mais j’ai préféré que ce soit la société qui soit prise d’une crise de folie contre moi, elle étant la partie désespérante. – Henry David Thoreau 1854

Pensez au jeu des chaises musicales. Il n’y a simplement pas assez de chaises ($$$ pour payer l’intérêt) pour tout le monde. Ceux qui sont forcés de quitter le jeu, comme il n’y a pas assez d’argent dans l’économie pour rembourser toutes les dettes que les banques ont créées avec le crédit, vont perdre tout ce qu’ils ont. Ce sont les banques qui recevront l’actif immobilisé, représentant les fruits de votre travail, et vous devrez recommencer toute votre vie, avec rien. Le taux d’intérêt, par exemple : 5% est toujours proportionnel au pourcentage de ceux qui feront faillite.

Le crime des banksters sur l’expansion préméditée de la dette au-delà du montant d’argent en circulation créera un grand nombre de victimes innocentes, proportionnel au pourcentage d’intérêt que les banques facturent chaque année. Cependant, les banques ne peuvent pas commettre ce crime sans que nous leur donnions notre billet à ordre signé pour que nous puissions hypothéquer un certain nombre d’années de notre futur travail et

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utiliser ainsi l’argent équivalent de la banque dans le présent. Jusqu’à ce que l’intérêt, qui est appliqué aux prêts octroyés par les banques, soit éliminé, le peuple restera esclave du « système de crédit » qui est le système des opérations bancaires et le système monétaire du monde.

La propriété sera perdue – parce que nous avons été délibérément induits en erreur en croyant que cette propriété était la nôtre, et nous ne sommes pas parvenus à prendre les mesures nécessaires pour la protéger. Le processus dans son entier est de prendre ce que nous pensons être à nous pour leur but final de contrôle. Ça se fera par l’intermédiaire de notre négligence. Tout ce qu’ils veulent c’est acquitter leurs dettes. Tant que nous « payons » ce que nous pensons être nos dettes avec des instruments d’emprunt, leur dette deviendra de plus en plus massive. Déjà ils disent qu’il est impossible de « rembourser » ; bien, naturellement qu’il est impossible de « payer » parce qu’il n’y a rien avec quoi nous pouvons payer.
On pourrait se demander, « et bien, s’ils veulent que nous acquittions leur dette à leur place, pourquoi ne le disent-ils pas simplement, nous serons tellement heureux de nous conformer à eux ; et donc, nous serions tous heureux. Pourquoi le subterfuge ? Vous oubliez qu’ils veulent la dette dans le but unique de confisquer notre propriété pour leur contrôle final. Tous les biens iront à une société belligérante et étrangère, le FMI, et nous petit à petit nous perdrons tout, maison, puis voitures. Oserais-je dire qu’il s’agit de camps de détention ? Des milliers de propriétés seront saisies chaque jour. Croyez-vous que c’est parce que vous vivez au-dessus de vos moyens ? Bon nombre d’entre nous classent leurs papiers correctement pour s’assurer que ce que nous croyons « avoir payé » reste en effet à nous. Ceci doit être fait. Si vous n’avez pas activement enregistré vos biens (vos enfants y compris et petits-enfants) sous votre vrai titre/nom, vous perdrez vos biens (et vos descendants) ; c’est juste une question de temps. Ceci ne doit pas se produire. Nous avons deux solutions et je suggère que vous commenciez dès maintenant à les mettre en application.
La première solution est d’établir votre propriété comme étant la vôtre et la seconde solution, qui bien plus importante c’est de vous entraîner à vous rappeler que tout ceci n’est sans aucune importance. Ce qui importe c’est notre paix intérieure. Nous devons

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faire ce qui nous apportera la plus grande paix et la plus grande joie. Nous devons pardonner aux autres pour ce que nous pensons qu’ils nous ont fait, y compris les Banksters internationaux. Nous devons apporter à nos âmes un peu de liberté en sachant que maison ou pas maison, nous pouvons vivre dans la joie. La majeure partie des personnes sur cette planète vivent sans maisons (telles que nous l’entendons), je ne dis pas qu’elles vivent dans la joie, mais j’affirme qu’elles pourraient en effet vivre dans la joie si elles ne pensaient pas incessamment à la façon dont nous nous vivons. Ces personnes pensent réellement que nous sommes plus heureux qu’eux en raison des choses que nous pensons posséder. Tous les esprits pensent de même. Ceci est une croyance égoïste classique dans la punition. Ils croient comme le reste d’entre nous qu’ils ne sont pas « assez bons » ; ça se manifeste seulement différemment en se fondant sur leurs expériences individuelles.

Erhart a dit, « la seule chose que je n’ai pas c’est l’expérience directe qu’il n’y a rien dont j’ai besoin et rien que je n’ai pas ».
Nous n’avons pas besoin de $$$ pour notre survie et si pour « survivre » nous faisons ce que nous ne voulons pas faire, alors nous devons nous souvenir que selon une perspective spirituelle, échanger notre âme pour de $$$ c’est « mal ».

Le cerveau holographique

Toute énergie qui était, est, ou peut être, est déjà ici. L’énergie est présente partout. L’énergie n’est ni créée ni détruite. Nos pensées sont de l’énergie ; l’énergie n’est rien d’autre, puisque tout se passe dans nos esprits.

Notre conscience peut aller n’importe où si elle veut et peut se focaliser sur n’importe quoi, à n’importe quel moment, dans n’importe quel espace, sous n’importe quelle entité. Dans un hologramme il n’y a pas de temps et pas d’espace. C’est là où se trouve notre conscience. Ce que nous continuons à faire c’est juste courir autour de cet hologramme comme un enfant – essayant différentes perspectives, de vies, de périodes, de lieux, de gens, etc. Quel amusement ! Quelle expérience !
Comprendre la façon dont l’esprit fonctionne est exigeant. Ce qui se passe c’est que nous avons une pensée, ou plutôt « les

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pensées nous ont ». 85% d’entre elles sont négatives parce qu’elles résultent de l’ego qui vit dans la crainte. C’est pourquoi ce que nous expérimentons dans la vie nous semble être quelque peu négatif. Les pensées sont l’énergie qui crée… chaque chose. Puisque nous avons des sens, nous sentons que les choses ne vont pas comme nous le voudrions et nous tâchons de changer la situation plutôt que de changer nos pensées. Comme Marianne Williamson a dit, « changer la situation c’est comme réarranger les chaises du pont sur le Titanic. » Ce qui se produit parfois à travers un accroissement d’information, non connu de notre esprit conscient, c’est que nos pensées changent et nous permettent de changer nos situations, ce qui change alors nos perceptions, ce qui change alors notre croyance, qui commence alors à créer des pensées plus réalisables, qui créent davantage de conditions plus à nos goûts. Ce qui fonctionne le mieux c’est de libérer la vieille programmation parce qu’alors nous sommes certains de créer ce que nous voulons. Nous devons arrêter de penser avec la crainte qui est tellement enracinée que nous la considérons comme normale. Elle ne l’est pas.

Ensemble nous « avons créé » notre monde. La vérité c’est que si nous voulons savoir ce qui se passe dans nos esprits, nous devons aussi observer nos situations. Si nous sommes heureux dans nos situations, nous pouvons conclure que nos esprits sont également heureux et vice-versa. Nos circonstances suivent nos pensées. Rien n’est créé sans pensée, la pensée est la seule source d’énergie, l’énergie c’est ce qu’il faut pour créer, et l’énergie est tout ce qu’il y a. Nous inversons la « cause et l’effet ». Nos situations sont le résultat de notre pensée. En clair, vous ne broyez pas du noir à cause de votre situation, vous êtes dans cette situation parce que vous avez broyé du noir.
Puisque les pensées sont des énergies créatrices, nous devons être vigilants dans la façon dont nous dépensons notre énergie. En priant ou souhaitant des choses qui n’existent pas, c.-à-d. : les choses de ce monde, nous n’obtiendrons rien. Ainsi, nous essayons de changer nos perceptions ou nous prions dans la gratitude.

Les Décideurs ne veulent pas que nous, qu’ils considèrent comme « ennemis», connaissions leurs secrets. Ils nous poussent à entrer en concurrence les uns contre les autres, alors que notre plus grand « concurrent » est bien plus proche de nous, c’est notre propre

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esprit. Si nous voulons changer le monde, qui existe seulement dans nos propres esprits, nous devons d’abord changer d’avis au sujet du monde. Quand nous avons peur, nous servons uniquement les sombres entités (mauvaises) qui prospèrent grâce à notre crainte. Quand nous combattons cette crainte et que nous nous plaçons au dessus de celle- ci, les mauvaises entités cessent alors d’exister, du moins dans nos esprits… Et nous nous apercevons que toutes ces choses existent seulement dans nos esprits… qu’elles cesseront d’exister – excepté pour ceux qui choisissent de les maintenir en vie, en leur prêtant toute leurs attentions. Nous gagnerons.

Je déteste les emails (messages) qui détaillent tous les malheurs du monde. Je réponds ceci à ces messages « J’espère que les Décideurs vous paient pour la publicité que vous leurs faîtes. »
Quand on nous dit quelque chose à plusieurs reprises, comme si on voulait manipuler votre esprit, que ce soit, le système public imbécile, les médias, la propagande du gouvernement, la publicité à la TV, les nouvelles à la TV, les rituels de culte, les panneaux publicitaires, les abus sexuels, etc., avec toute l’émotion que cela entoure (par exemple : l’histoire officielle sur les démolitions du World Trade Center)… alors, le subconscient l’accepte comme quelque chose de réel et l’incorpore dans son système. Quand on se confronte à la vérité, cette dernière est automatiquement rejetée ; elle ne s’adapte simplement pas dans notre système de pensées. C’est comme si on essayait de classer dans un même dossier (répertoire) deux fichiers différents avec le même titre ; l’ordinateur rejette le second, même si celui-ci a une information plus précise. L’ordinateur est du moins assez intelligent pour vous inviter à changer le nom du deuxième dossier ou à jeter l’original, ce que font d’ailleurs la plupart des personnes, puisque l’original n’est plus d’actualité. Mais l’ego est plus tenace qu’un ordinateur parce qu’il y a une identité émotionnelle derrière lui. Par conséquent, nous trouvons des personnes fermées d’esprit, qui pensent réellement qu’elles savent ce qui se passe dans le monde, alors qu’en fait, tout ceci n’est que pure propagande.
Là-dessus, j’offre une solution à ce qui semble être le problème unique du monde avec pour intention, qu’une fois que nous aurons les informations sur ce qui semble être le problème alors, nous pourrons changer d’avis à son sujet, ce qui nous permettra de changer notre conviction sur ce que nous sommes, ce qui nous

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permettra de changer le monde, qui, d’ailleurs, n’existe pas sauf comme une projection de nos esprits. Les pensées ne quittent jamais leur source – elles reviennent toujours.

Problème – Réaction – Solution

L’esprit nous dit qu’il résoudra tous nos problèmes à notre place. Ce qu’il ne nous dit pas c’est que c’est lui la cause de tous nos problèmes. Est-ce que ça sonne comme quelque chose venant d’une autre entité ? « Je suis du gouvernement et je suis ici pour aider. » L’ego/gouvernement a un plan :

1. Créez un problème ;
2. Attendre jusqu’à ce qu’il y réclamation et exigence à résoudre ledit problème,
3. Acceptez à contrecœur de trouver une solution pour ledit problème, quel qu’en soit le coût, une diminution de nos droits et/ou de notre intégrité, sans mentionner que ceci est déjà mis en œuvre parce que c’était le but initial de l’égo/ créateur du problème.

Il n’y a aucun problème, mis à part l’esprit – Krishnamurti

Gary Renard a écrit un livre, sur UCEM, qui est intitulé, La Disparition de l’Univers. Intuitivement, je sens que ceux parmi nous qui agissent en fonction de ce que nous sommes, sont en fait en train de faire « disparaître » l’univers. Nous arrêtons notre projection de l’esprit et par conséquent la manifestation de la crainte. Puisque le gouvernement est seulement une projection de l’esprit et que nous choisissons de nous relever et que nous agissons selon une perspective à savoir qui nous sommes et en traitant les Fédéraux et les autres en conséquence, nous causerons bientôt leur perte – ils cesseront d’exister. Renard explique très bien que dès que nous cesserons de prêter l’attention aux mirages de faibles énergies, ils disparaissent simplement parce que la seule chose qui leur permet d’exister en premier lieu c’est notre attention, notre énergie. Lorsque nous choisirons de ne plus nous concentrer sur ce que les Décideurs veulent de nous, et que nous commençons à regarder ailleurs – vers nos camarades, ils cesseront simplement d’exister.

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Quand nous changeons la manière de regarder les choses, les choses que nous regardons changent. – Dr. Wayne Dyer

Je pense que c’est nous qui créerons « la société sans fric », qui semblera effrayante au début, mais qui aura comme conséquence de nous enlever du Jeu du Commerce.

L’esprit et le temps sont inséparables – si nous faisons face au temps, nous sommes dans nos esprits et si nous sommes dans nos esprits nous sommes face au temps.
Rien ne se passe sans énergie. La seule source d’énergie c’est la pensée. Si on ressent l’émotion, la joie, la vibration dans le corps est augmentée et se propage et attire les semblables.

Psychothérapie

Toute émotion vient d’une pensée qui vient d’une interprétation, qui vient d’une perception d’un événement commençant par une projection de l’esprit. Si nous ne voyons pas cela et que l’émotion est négative et qu’on n’arrive pas à la libérer, elle sera alors cachée au fond de nous et nous l’affecterons inconsciemment à une partie de notre corps que nous associons à ce prétendu événement.

Les psychothérapeutes créent « réellement » un incident traumatique en parlant à un client de la façon de « s’en sortir », plutôt que de reconnaître l’anxiété du client et de permettre sa guérison. Leur but c’est de composer des plans afin de traiter diverses situations ainsi le client est coincé avec des « solutions aux problèmes » au lieu d’avoir été « encourager à créer lui même ses solutions » une perception dans laquelle chacun y gagne. Trop d’heures d’entretiens et par conséquent, le temps est gaspillé par l’étude de cette information sans valeur alors que ce qui est utile c’est d’être vigilant, d’observer toutes les situations négatives comme une ouverture vers la guérison – l’occasion de les guérir – et de les guérir dès MAINTENANT – parce qu’il n’y a plus de temps à perdre. Plutôt que de nombreuses stratégies qui ne font que renforcer la conviction que ce qui se produit est bien réel, il n’existe qu’une seule réponse créatrice : reconnaissez-la, libérez-la et pardonnez-la. Simple, mais pas facile.

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L’Ego est à des kilomètres de la « psychothérapie ». Tristement, la plupart des thérapies renforcent un problème en le rendant réel et puis prétendent résoudre un problème qui n’a jamais vraiment existé excepté dans l’esprit et ils essaient habituellement de le résoudre en dehors même de l’esprit. Ils encouragent la

« thérapie d’écoute » et enseignent les mécanismes pour faire face au problème – ils rendent de ce fait le prétendu problème bien réel, venu d’une présomption due à une cause qui peut être changée, et à la fin c’est la diminution de nos droits personnels, alors que tout ce qui est nécessaire c’est d’obtenir la guérison (libération) du problème. Plus nous travaillons à résoudre ce problème, plus le problème semble réel et moins nous avons de chance de nous débarrasser de ce prétendu problème.
Notre comportement est toujours le résultat de nos émotions, c’est la raison pour laquelle nous faisons de telles choses étranges… la plupart du temps. Nous réagissons à partir d’un vieux traumatisme émotionnel qui a imprimé non seulement l’événement, mais aussi la réaction. Nous continuons à retourner vers ce qui était une fois une solution à un événement traumatisant, pourtant, à l’âge adulte, cela ne fonctionne plus. C’est pourquoi il faut travailler à libérer les traumatismes et l’esprit qui est programmé sur l’enfance. C’est difficile pour nous de nous comporter comme des adultes quand les réponses à nos troubles ont été formées quand nous étions très jeunes – « Personne ne guérit de son enfance ». Nous devons garder à l’esprit que chacun de nous a probablement eu accès à une expérience similaire dans l’hologramme, nos réponses ne sont jamais inventives ; ce sont juste de vieilles bandes qui se jouent à plusieurs reprises encore et encore. Aucun de nous n’est vraiment ici maintenant – habituellement. Épisodiquement, nous pourrions être ici, pourtant si nous le sommes, ce n’est pas maintenant, et si nous sommes dans le « maintenant », nous ne sommes probablement pas

« ici ». Selon Krishnamurti « il n’y a pas de problème indépendamment de l’esprit », tous les problèmes peuvent être guéris seulement grâce à l’esprit, pourtant puisque notre ego pense qu’il est notre seul esprit, il nous dit alors qu’il a la réponse. Pourtant, c’est l’esprit qui a créé le problème en premier lieu. On dit que « c’est l’hôpital qui se moque de la charité ».

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Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée quand nous avons créé les problèmes. – Einstein

Imaginez le nombre d’heures gaspillées et les dollars/euros dépensés dans des thérapies où la cause du problème est apaisée, choyée, et même aggravée par un thérapeute qui a été choisi pour débarrasser le client de son problème. Puisque la libération de quelque chose qui n’existe pas vraiment, excepté dans l’esprit, est instantanée, les quelques heures de « thérapie » sont superflues. Les gens ont tendance à croire que leurs problèmes prendront du temps à être résolu et que c’est l’argent qui permet de les résoudre ; tout ce qui doit se produire c’est de libérer les problèmes. C’est un processus très bref. Mais puisque l’ego est déjà responsable, et que nous savons ceci en raison de l’effet qu’il a eu sur nous, tout ce que nous faisons c’est de consulter un psychothérapeute et nous y allons avec une notion préconçue, ce psychothérapeute est d’accord avec nous sur l’idée que nous avons un problème. En fait, le thérapeute fait plus de mal que de bien en nous soutenant qu’un problème existe.

La plupart de nos problèmes disparaissent simplement au cours de la vie. – Werner Erhard

Les « statistiques » prouvent que 66% de clients sont guéris grâce à la psychothérapie ; lesquelles statistiques ne montrent pas que 72% des problèmes sont résolus sans elle. – Thomas Szasz, Le Mythe de la Maladie Mentale

Les femmes font face à leurs problèmes en se plaignant à leurs amies qui les écoutent avec compassion. C’est habituellement tout ce qui est nécessaire. Les psychothérapeutes sont juste des amis très chers. Les femmes exhalent, elles se sentent écoutées (elles ne sollicitent pas de conseil, que les hommes ne donneront pas et par conséquent, voila pourquoi aucune femme avec un cerveau ne raconte à un homme ses problèmes), elles se sentent aimées c’est d’ailleurs ce que veut l’esprit de toute façon, et elles repartent chez elles avec le sentiment d’aller mieux. Celles qui considèrent que ce n’est pas tellement un problème de nos jours qui les retarde, mais plutôt quelque chose dans leur programmation qui doit être jeté à la

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poubelle et qu’un nouveau programme doit être réinstallé, doivent alors rechercher de l’aide pour libérer (guérir) le programme.

Je me rappelle de cette plaisanterie, « Combien faut-il de psychothérapeutes pour changer une ampoule ? Seulement un mais l’ampoule doit vraiment vouloir être changée. » C’est la vérité. Les gens ne peuvent pas et ne deviendront pas ceux qu’ils veulent devenir à moins qu’il y ait un réel désir de changer. J’ai remarqué que la plupart des suggestions faites aux gens ne sont pas prises en compte parce qu’ils ne veulent pas vraiment changer. « Si je change, qui serai-je ? » La plupart des personnes s’identifient à leurs problèmes. Ils croient que leurs problèmes c’est eux. L’ego croit ÊTRE ce qu’il pense être, et cette entité est définie par les « problèmes » qu’il crée.

Culpabilité / Faute (responsabilité) / Punition

L’objet de notre blâme n’est jamais un obstacle plus grand que notre décision de blâmer – D.Patrick Miller
Il y a qu’une maladie – la culpabilité – et elle est guérissable. –
Kenneth Wapnick

La psychologie énergétique facilite la libération de la culpabilité parce que toutes les émotions négatives proviennent de la culpabilité. La colère, par exemple, n’est jamais justifiée. C’est seulement une projection de notre manque à nous pardonner. La culpabilité fait que le monde tourne. Dès que nous cesserons tous de nous sentir coupables, nous cesserons alors de projeter la culpabilité sur les autres et nous cesserons de vouloir qu’ils payent pour ce que nous pensons avoir fait. Nous n’avons rien fait sauf « penser ». La seule manière de libérer la culpabilité c’est de se pardonner.

N’oubliez jamais que celui qui se pardonne libère l’énergie qui est emprisonnée ce qui pourrait être bénéfique au monde. L’auto-accusation n’est jamais noble ; elle ne rend service à personne. – D. Patrick Miller

La psychologie énergétique permet d’obtenir que l’émotion de quelqu’un soit « en accord » avec ses sentiments. En d’autres termes, cela nous permet de blâmer la personne qui nous a causé des

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torts (c’est ce que nous pensons) alors qu’en fait, ce qui se passe réellement c’est que notre esprit se projette dans l’autre personne, dans sa propre culpabilité. Puisque chacun « là-bas » n’est seulement qu’une réflexion de soi même, nous voyons que ce que nous avons fait c’est nous blâmer nous même (pour s’être mis dans cette situation), puis nous libérons la culpabilité pour laquelle nous nous punissons, puis enfin nous nous pardonnons à nous même. Parfois il est plus facile de pardonner à celui que nous pensons qui nous a causé du tort plutôt que de se pardonner à soi même. J’ai vu ainsi que la culpabilité/blâme/punition est toujours la seule issue finale, ainsi je traite toujours la culpabilité, même lorsque la colère semble être la cause. Une fois que nous voyons la façon dont nos esprits/egos l’ont déformé, nous pouvons alors commencer à pardonner. Le pardon est le seul moyen d’obtenir la paix.

Je n’essaye pas de défaire une vie basée sur « la culpabilité catholique », pourtant au moment où ils meurent, ce sont les catholiques qui s’attardent et qui souffrent. Je me suis finalement rendu compte que, bien qu’ils me disent avoir foi en Dieu, ils craignent que Dieu les punisse pour la culpabilité qui leur a été jetée durant leurs vies entières par l’église.
Les Chrétiens sont les personnes les plus culpabilisées et leur façon de mourir en est la preuve. Je suis désolé pour ceux qui ont été terrorisés par l’église et j’espère qu’ils pourront commencer à réparer les dégâts de sorte qu’ils ne puissent plus souffrir inutilement.
Le fait de croire que quelqu’un est malade ne fait que renforcer la crainte de ce malade, corroborant de ce fait leur conviction qu’ils ont besoin d’« aide ». Tant que nous « combattons le cancer », nous le renforçons en le rendant réel. En fait, faire quelque chose sur quelque chose même si cette action paraît positive, cela ne fait que renforcer notre conviction que quelque chose ne va pas. Je ne parle pas de ce qui se passe après la vie. Quelque chose se produit et nous faisons ce qu’il faut pour le rendre comme nous le voulons. Nous rendons les choses réelles en les reconnaissant. Nous les introduisons et/ou maintenons celles auxquelles nous résistons simplement en dirigeant notre attention sur elles et en essayant de les corriger. Celles à quoi nous résistons persistent. L’énergie s’écoule là où va l’attention. Concentrez-vous sur ce que vous voulez et pas sur ce que vous ne voulez pas.

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Travaillez pour libérer la colère, la peine, et la culpabilité au-delà de votre traumatisme. Ne vous trompez pas vous-même et vos biens aimés en contribuant au Grand Génocide Pharmaceutique de la Mafia Médicale qui peut vous causer une grande douleur à la fois physique et/ou financière. Vous pensez mériter ce traitement, car vous vous sentez coupable de cette situation, que vous avez créée vous même, vous pensez « Je préfère mourir que de faire face à ceci » il n’y a rien de mal à vouloir mourir; c’est le manque de prise de conscience qui est malsain. Je voudrais vous préciser qu’il y a une manière plus facile, plus rapide et plus agréable de traiter votre traumatisme que celle de mourir. Il existe de nombreuses thérapies d’énergie qui pourraient vous aider à libérer vos traumatismes émotionnels auxquels vous n’arrivez pas à faire face. Le travail de l’énergie est sûr, rapide, et n’exige pas que la personne revive le traumatisme. Le traumatisme disparaît juste énergétiquement. Le Cancer n’est pas « une maladie incurable ». Cette conviction est le résultat de manipulation, de même que la conviction au sujet des finances, de l’éducation, de la religion, des relations, etc. Je veux que les personnes cessent de croire aux charabias, prennent en charge leur situation, ainsi elles seules auront la force de créer lesdites circonstances et aussi le pouvoir de créer d’autre chose.

Pendant des années j’ai dit aux gens « guérir du cancer c’est quelquefois aussi simple que de libérer le traumatisme émotionnel qui l’a causé » et pendant des années personne n’a semblé intéressé par mon aide. Je restais sidéré jusqu’à ce que je me sois rendu compte qu’un des aspects de la « personnalité du cancer » est qu’inconsciemment, certains patients atteints par le cancer veulent mourir, ou alors ils n’auraient pas développé le cancer. C’est leur conviction, grâce à la propagande médicale, qui leur a fait penser que le cancer signifie qu’ils ne devront plus faire face au traumatisme ou, plutôt, à leur interprétation du traumatisme qui diminue leur force de vie. Le Cancer c’est juste un suicide socialement acceptable.
L’intervention médicale ne guérit PAS le cancer. Pour mémoire, 80% des médecins admettent qu’ils ne suivraient pas leur propre médecine, ce qui signifie que ce qu’ils conseillent à leurs patients – chimiothérapie, rayon, chirurgie – ils ne s’y soumettraient pas eux-mêmes. Je n’ai connu personne qui soit mort du cancer – les personnes mourraient seulement du fait de leur traitement médical

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du cancer. Cependant, là encore, inconsciemment et pour ne pas prendre ses responsabilités, on se soumet à un avis du médecin parce qu’en lui, on a trouvé un allié. Comme les proches sont généralement horrifiés par le fait que le patient est en train de mourir, car ils étaient très attachés à ce dernier, ils expriment leur tristesse, etc., et le patient fait semblant, pour leur bien, de vouloir rester encore en bonne santé. Si on voulait vraiment améliorer ceci, on mettrait en évidence la cause de sa maladie, le traumatisme émotionnel qui le détruit littéralement ; ceux qui combattent et qui soutiennent leurs corps dans le processus de guérison récupèrent. Cependant, la plupart d’entre d’eux, emportent leur traumatisme dans leurs tombes parce qu’elles ne le connaissent pas et en partie parce que, bien qu’au départ, ils ressentent la colère vers d’autres personnes qui sont impliquées, ils se blâment inévitablement lui-même. Quelques personnes ont guéri « miraculeusement » leur cancer grâce au pardon. Le plus grand pharmacien du monde c’est votre esprit.

Le corps ne guérit pas parce que le corps n’est pas en difficulté ; seul l’esprit peut guérir parce que seul l’esprit est en difficulté. Le corps ne souffre pas ; le corps NE FAIT rien. Il fait seulement ce que l’esprit lui dit de faire. – Kenneth Wapnick.

Ainsi, je suggère à tout le monde de commencer, pour leur bien, à pardonner aux autres en se rappelant que seule leur interprétation de la situation leur a causé leur douleur, ce n’est pas l’incident lui-même. Rappelez-vous toujours, « il n’y a pas de problème indépendamment de l’esprit. » Comme je l’ai dit, la colère sur les autres n’est qu’une tentative de notre ego à cacher la culpabilité que nous ressentons et la punition que nous croyons mériter.

Imposer notre culpabilité aux autres pourrait permettre à notre ego de se justifier, cependant, nous créons une spirale de colère / d’attaque / de culpabilité / de blâme / de punition…. À l’infini. Il nous a été suggéré de nous accrocher à notre colère et ensuite de la contrôler comme si cela nous permettait de la libérer. Ainsi, nous n’aurions plus qu’à la contrôler. Ce comportement démontre ce que nous croyons soit :

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1) Qu’en causant à quelqu’un d’autre la douleur, elle soulagera la nôtre, ou
2) que nous méritons tous seulement de souffrir

La seule manière d’y mettre fin c’est de pardonner, d’absoudre la culpabilité, et d’arrêter le cercle vicieux qui ne fonctionne pour personne. Finalement, nous serons tous obligés de faire ceci. L’introduction d’un cours de miracles dit, « Ceci est un cours obligatoire ; seulement le temps que vous prenez est facultatif. » Ainsi, nous pouvons le faire maintenant ou nous pouvons le faire plus tard. Mais dans tous les cas nous devrons le faire.

La plupart n’ont pas encore intégré le concept que toute maladie est provoquée par l’interprétation faite par l’esprit d’un traumatisme émotionnel. Malheureusement, en raison de la baisse continue des éléments nutritifs dans notre alimentation durant les 60 dernières années, pour ne pas dire, un environnement toxique toujours croissant, nos corps fonctionnent dans un état de famine. Nos corps sont en déficit – par conséquent, nous assistons à la prépondérance des maladies du système immunitaire et du vieillissement prématuré. Les éléments nutritifs de notre alimentation nous fournissaient tout ce dont nous avions besoin pour faire face aux émotions de la vie. Maintenant, en raison du manque d’éléments nutritifs, avec 75.000 toxines environnementales qui n’existaient pas avant 1930, à l’instant où nous interprétons un événement comme un traumatisme, nos corps sont touchés et deviennent donc malades. Il y a soixante ans nous aurions pu le gérer et le combattre ; maintenant nous succombons. L’esprit découragé ralentit la vibration du corps, limitant de ce fait l’oxygène aux cellules que le patient identifie comme étant lié au traumatisme émotionnel. Les cellules du Cancer sont anaérobique – elles prospèrent quand il y a réduction de l’oxygène.
Nous savons tous que les toxines sont omniprésentes dans notre environnement actuel – nourriture, air, eau, vêtement. Ainsi, lavez tout ceci dans la mesure du possible. Ceux que je considère comme les fléaux, parce que la plupart des gens sont ignorants quant à ses effets, ce sont les parfums de synthèses, en particulier, les adoucissants. Personne ne peut guérir dans un environnement toxique et ceux qui sont victimes de ce poison y sont exposés 24h

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sur 24, puisque c’est le cas des draps de leur lit également. Si vous êtes parents et que votre enfant souffre de « troubles déficitaires de l’attention/hyperactivité », laver toutes les choses avec lesquelles l’enfant entre en contact avec du détergent naturel environ 9 fois – ceci vous montre à quel point cette substance est toxique.

La Science a découvert que notre corps a besoin de vitamines/minéraux essentiels, d’acides aminés essentiels, d’acides gras essentiels, et maintenant de monosaccharides essentiels. Ces 8 sucres font la différence la plus significative et la plus dramatique dans l’augmentation ou dans la prolongation de la santé/vie de quelqu’un. Le dernier et le plus formidable supplément alimentaire ceux sont les – aliments fonctionnels, les alicaments – les « gluconutriments ». Quel que soit votre problème de santé, fournir à votre corps l’alimentation dont il a besoin lui permettra de se guérir tout seul. Les Gluconutriments ne sont pas destinés à des maladies spécifiques, contrairement aux produits pharmaceutiques, ainsi vous pouvez les prendre « quelque soit votre mal ». Les patients du cancer qui prennent des gluconutriments guérissent du cancer bien plus rapidement. C’est l’une des maladies ou l’effet des gluconutriments est le mieux mis en évidence, car seul un système est en cause – le système immunitaire – et une fois qu’il est soigné, il peut très rapidement et efficacement soigner le cancer à son tour. Le corps peut se guérir lui même ; le seul problème c’est le temps qu’il faut pour le faire, cela dépend du nombre de systèmes impliqués – endocrinien, nerveux, etc. Peut-être que lorsque votre corps se sentira mieux vous pourrez faire face au traumatisme émotionnel qui a causé la maladie en premier lieu.
La voie vers la santé (guérison) c’est :
1. libérer l’émotion entourant le traumatisme
2. le sommeil, l’exercice, l’oxygène, la vraie nourriture, la vraie eau
3. les suppléments alimentaires dont le corps exige désespérément afin de gérer les émotions toxiques et un environnement toxique, et,
4. Rester à l’écart de la Mafia médicale.

Différence/pardon

L’interprétation de chaque événement qui se passe dans nos vies est basée sur nos précédentes expériences. Nous rapportons nos

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expériences antérieures à chaque perception. C’est pourquoi « nous ne sommes jamais choqués de la façon dont nous pensons. » Nous sommes rarement dans le présent. Nous basons chacune de nos expériences sur tous les évènements passés puisque c’est là où nous consultons le dossier (cerveau de l’ordinateur) afin de déterminer comment répondre. Rien de vraiment nouveau. Ram Dass a écrit dans son livre, Be Here Now, que si nous pouvions rester dans le présent, que nos esprits détestent tant, alors nous ne pourrions probablement pas avoir de peine. Nos peines ne représentent qu’un souvenir de quelque chose qui existe seulement dans notre passé. La prochaine fois que vous serez triste, demandez-vous quelle situation cela vous rappelle. Vous êtes simplement en train de rejouer le même film et de répondre de la même façon. Arrêtez le mauvais film et voyez-le comme quelque chose de neutre; pas-bon, juste neutre.

Les situations que nous créons dans la vie sont seulement l’occasion pour nous de nous pardonner d’avoir « jugé » (généralement comme « mauvais » et par conséquent cela nous maintient dans la culpabilité) des circonstances antérieures semblables. C’est pourquoi ce que nous considérons comme, « la même fichue chose encore et encore » continue en effet à apparaître au cours de nos vies. La peine/colère elle-même est l’occasion de prendre ses responsabilités, de libérer l’émotion, et de pardonner le jugement. Chaque jour je libère de l’énergie que je pourrais avoir retenue sur le « regret du passé, la crainte du futur, les émotions basées sur la crainte, et toute chose non synonyme d’amour. »
Nous avons tous le sentiment de devoir bien paraître parce que nous pensons que cela a quelque chose à voir avec notre force d’attraction; – ce n’est pas le cas.
Notre vision de la situation peut faire que nous ignorons le but de toute relation, causant de ce fait sa perte. Ceci est la démonstration même que nous pensons qu’il existe quelque chose de plus valorisant pour nous que de savoir que l’âme vivante en face de nous est nous même est son seul objectif est de nous rappeler que nous pouvons vaincre n’importe quelle souffrance en s’associant à elle. Burt Hotchkiss, dans son livre, Your Owner’s Manual, décrit une collision de voitures où « l’autre gars » était clairement en faute, il était très contrit, et a immédiatement fait appel à sa compagnie d’assurance.

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Pendant des années Burt a souffert d’une douleur dorsale et maintenant, celle-ci s’aggravait de jour en jour. Une employée de la compagnie d’assurance est venue chez lui et a demandé à Burt combien d’argent il lui faudrait « pour l’ensemble de son préjudice ». La somme «d’argent » qu’il pourrait récupérer de cet

« accident » était substantielle ; tout ce qu’il devait faire c’était remplir le formulaire de déclaration de sinistre et l’envoyer par courrier. Il a passé des jours devant ce formulaire, ne sachant pas se décider sur ce qu’il devait faire ou non, au final, il a choisi de remplir la déclaration de sinistre et s’est rendu à la poste. Il a tourné avec sa voiture, plusieurs fois autour de la poste, car il hésitait encore à envoyer le formulaire, ce document était la preuve que l’autre conducteur était différent de lui. Finalement, il n’a pas envoyé le formulaire; il l’a déchiré, et a mis l’incident derrière lui. Le jour suivant, il s’est réveillé, complètement guéri et n’a jamais plus souffert de douleurs dorsales.
Qui aurait pu croire que cet accident serait en fait pour lui une opportunité pour ne plus souffrir ? « Un bien pour un mal ! ». Tout est possible, nous devons juste saisir l’occasion lorsqu’elle se présente, mais pour cela nous devons la percevoir.
L’histoire de Burt nous interpelle sur la différence/séparation en raison de $$$. L’histoire sépare les personnes qui « ont » des personnes qui « n’ont pas », les PDG des cols bleus (et vous savez que cela n’a rien à voir avec les cerveaux), le Jet setter du légume (c’est-à-dire celui qui passe tout son temps dans son canapé devant la télé), les châteaux des bicoques, la Riviera du terrain de camping, le prêteur de l’emprunteur …… le créancier du débiteur. Cependant, ceci n’est pas aussi évident dans la vie de tous les jours lorsque nous choisissons de faire de quelqu’un notre débiteur, si c’était quelqu’un qui ne faisait pas son travail alors il nous aurait forcés à le faire, si c’est quelqu’un qui profite de nous, nous vole notre temps, nos efforts, notre talent, notre amour – nous traduirons alors cela comme une « dette » qu’ils nous doivent. Sauf en cas de mort injustifiée, nous sommes capables de permettre à $$$ de nous dédommager pour tout ce que nous ressentons comme quelque chose qui nous est
« dû » par la personne qui nous a infligé ce dommage. Ceci explique le fait qu’il y a autant de litiges – nous croyons à l’indemnisation, nous pensons que $$$ nous guérira, nous reconstruira en tant que qui nous pensons être. Mais nous ne pouvons pas ressentir que

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quelqu’un nous doit quelque chose sans simultanément ressentir qu’il est différent/séparé de nous. Notre croyance que quelqu’un nous est redevable nous maintient dans quelque chose qui n’est pas vrai.

LE   DEGRÉ   AUQUEL   NOUS PERMETTONS   À
« L’ARGENT » DE NOUS MAINTENIR COINCÉ DANS LE
CONCEPT  DÉBITEUR/  CRÉANCIER  EST  LE  DEGRÉ
AUQUEL   NOUS   CROYONS   QUE NOUS   SOMMES
SÉPARÉS. LE FAIT DE CROIRE QUE NOUS SOMMES DIFFÉRENTS LES UNS DES AUTRES DÉTRUIT NOS VIES.

Je  pense  que  nous  avons  honte  du  concept  de  $$$

uniquement parce que nous savons qu’à un certain niveau, il nous maintient séparés les uns des autres. Un accord prénuptial est un grand exemple. « Ce qui est à moi est à moi; ce qui est à toi est à toi ». Quelle meilleure manière de commencer une relation, alors que ceci impose par définition un certain degré « d’unité », que de déclarer à l’avance ce qui est séparé. Je ris de moi quand je pense qu’il y avait un temps où j’aurai probablement pu étudier un tel contrat en prenant un visage très sérieux, très grave.
Le plus souvent, je me comporte comme si personne n’est différent de moi. C’est une pensée qui donne la chair de poule, saisir chaque occasion pour venir en aide aux autres alors que ma vie importe le plus. Mais je prendrais toujours soin d’abord de moi, parce que si je ne le faisais pas, je ne serais pas capable d’aider les autres. Ainsi, je dois d’abord faire attention à mon propre bien-être. Souvenez-vous des masques à oxygène dans les avions – mettez le vôtre avant d’aider les autres. Ma santé, mon esprit, ma force, mon intuition et mon courage me permettront d’être capable de venir en aide aux autres.
Nous aidons mieux les autres, en nous aidant nous même – Wm. Shakespeare

Mon ami, le docteur fou, a dit à l’Assurance maladie qu’il n’aura plus besoin de ses services, il soignera gratuitement les patients qui ne peuvent pas le « payer » et il ne soumettra plus de factures à l’Assurance-maladie pour le remboursement de ses frais. Si les patients choisissent de le compenser d’une autre manière, par exemple avec des légumes de leurs jardins, ou qu’ils ne le

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compensent pas pour son travail, il n’y fera rien. La vérité, c’est qu’il avait d’autres patients dans le privé qui le payaient, et pourtant il avait réalisé que soutenir l’Assurance maladie, c’est une manière détournée, de fournir des bénéfices au gouvernement – qui fait de nous tous ses esclaves. Sa paix intérieure était plus importante que tous les fonds qu’il pourrait recevoir des Fédéraux. Il aimait se référer à l’article 35 des Droit de l’Homme et du Citoyen.

Le fait de déclarer que nous ne facturerons plus nos services cela fait peur, mais c’est quelque chose que nous devons faire si nous voulons devenir de vrais individus. Tant que nous restons dans le Jeu de Commerce, parce que nous avons peur des répercussions de notre sortie, nous ne deviendrons jamais les puissants individus que nous sommes destinés à devenir. Je sais que ce que j’ai l’intention de mettre en application se propagera, ne serait-ce que pour que la vie des gens devienne meilleure. Ceux qui veulent nous maintenir enfermés dans la densité de l’interminable matrice, ce que les hindous appellent le cycle interminable de la mort et de la renaissance, échoueront simplement, ce qui explique pourquoi ils veulent nous empêcher d’y voir plus clair. Ceci est fait. C’est une époque excitante, nous allons l’expérimenter.

La Fin du Monde tel que Nous le Connaissons

Pourquoi est-ce une telle menace ? Je pense que la vie sur cette planète « telle que nous la connaissons » est inacceptable pour environ 95% de la population du monde. J’attends avec impatience « la fin du monde que nous connaissons ». Non seulement mon intuition me dit qu’il est en train de changer rigoureusement, mais beaucoup d’autres sources me donnent à penser la même chose.

Nous sommes tous confrontés à une série de grandes occasions déguisées sous la forme de situations impossibles.
Je veux la liberté et l’imperturbabilité plus que le contrôle, la sécurité, et l’approbation.

Si vous pensez que quelque chose en dehors (à l’extérieur) de vous-même est la cause de votre problème, vous devriez regarder en vous-même pour y trouver la réponse.

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Avez-vous peur quand je dis qu’il y aura un effondrement économique, et qu’il n’y aura plus rien pour vous quand le temps sera venu de toucher votre pension/retraite ? Soyez sûr que votre crainte n’est pas due au futur ; elle est due au fait que vous croyez être impuissant. Pourquoi devriez-vous penser que le fait qu’il n’y aura pas de sécurité financière issue du gouvernement dans votre futur a quoique ce soit à voir avec qui vous êtes et ce que vous pouvez faire ? Si vous voulez provenir d’une position puissante, si vous voulez que les autres pensent de vous que vous êtes puissant, alors provenez de l’amour. Les gens perçoivent l’amour comme quelque chose de tout-puissant ….. parce que ça l’est. Rappelez-vous qui vous êtes.

Vous n’êtes pas ce que vous pensez être ; ce que vous pensez, vous l’êtes. – Red Pritchard

Inévitablement, je me suis demandé, « Tu penses que tu peux changer le monde ? » Bien, oui et non. Oui, parce que le monde n’est seulement qu’une vaste manifestation de ma conscience ainsi je peux le changer comme je veux. Et non parce qu’il n’y a aucun monde à changer ; ce qui se passe, c’est juste une manifestation dans mon esprit. Dès lors que je change d’avis et que j’élève mon niveau de conscience (Dass Ram dit, « égalise l’énergie, l’amour, la lumière, la conscience, la sagesse, la beauté, la vérité, la pureté ») je peux changer ce qui me semble être présent dans ce « monde ».

Ce concept est anathème aux Décideurs et à leur programme. Ils ne leur profitent pas ; leur façon de nous maintenir dans la crainte échouera finalement ; nous régnerons aussi longtemps que nous garderons à l’esprit qu’ils sont également une projection de nos craintes. Dès que nous changerons notre pensée, ils cesseront alors d’exister. Ils font seulement partie du cauchemar que nous sommes en train de rêver parce que nous croyons en la culpabilité. Dans notre rêve, les Banksters internationaux sont simplement les personnages que nous avons créés pour nous punir de notre conviction en notre culpabilité. Ils continuent à nous faire penser que nous sommes coupables – d’une chose ou d’une autre – afin qu’ils puissent nous contrôler. Mais c’est nous qui devons simplement dire, « NON ! »
Il s’agit simplement de se retourner dans notre rêve ou nous sommes poursuivis par le monstre afin de lui faire face et pour

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réaliser que ceci est fait dans le but unique de nous effrayer afin d’augmenter nos craintes créant de ce fait un cercle vicieux. Si nous cessons d’avoir peur, les mauvais types disparaîtront simplement parce que c’est notre crainte qui les alimente. Ils sont seulement une manifestation de notre crainte. Si nous élevons notre niveau de conscience, nous pouvons ne plus penser à ce type d’horreur. Pour exister, ils ont besoin de notre crainte. Nous observons simplement les parties laides d’un film parce que nous savons que la fin est heureuse. C’est juste une question de « temps » – qui existe juste que dans nos esprits.

Mais nous devons prendre conscience et le reconnaître. Beaucoup mettent cette « fin du monde que nous connaissons » entre parenthèses – en prétendant que cela ne peut pas se produire. En d’autres termes « qui vivra, verra !». Nous devons reconnaître que nous sommes les créateurs de tout ce charabia et que comme nous étions assez puissants pour le créer nous sommes assez puissants pour créer quelque chose de meilleur. Rappelez-vous qui vous êtes.
Comment augmenter notre niveau de conscience ? En se rappelant de la Règle d’Or. Toutes les fois que je ressens la colère envers quelqu’un – en général, un membre de la famille – je note immédiatement que cette colère est due au fait que je crois que cette personne est différente/séparée de moi, et que ma réponse à son comportement est seulement l’occasion pour moi de pardonner cette croyance. Aussi vite que possible, je me rappelle que ce que mon ego me dit actuellement c’est qu’il est différent de moi et qu’il mérite une punition pour son comportement. Ce qui est vrai c’est qu’il est une autre manifestation de ma conscience et que j’ai (le vrai moi – le prolongement de mon Créateur, Mon esprit) créé cet instant seulement pour me rappeler la vérité.
L’occasion est venue pour moi d’arrêter de me dire que je peux sauver mon âme en projetant ma culpabilité sur les autres. Mais :
1. il n’y a pas de culpabilité, mais seulement ma conviction en ma culpabilité ;
2. il n’y a pas ‘d’autre’, seulement ma conviction que cette manifestation de ma conscience/énergie n’est pas reliée à moi d’aucune façon ;

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3. en projetant ma culpabilité sur les autres – en devenant colérique – je renforce seulement ma conviction en ma culpabilité, de ce fait je réduis et non augmente mon niveau d’énergie et de conscience. Je suis convaincu que c’est la plus grande cause d’épuisement – physique, émotif, mental, et spirituel.

La solution est de se rappeler que j’ai créé la scène entière pour le salut de mon âme et que je veux saisir cette occasion en ce moment, puisque « le présent » c’est tout ce qu’il y a.
Je me rappelle que la seule raison pour que cette circonstance existe c’est pour que je pardonne ma conviction en ma culpabilité. Je peux saisir l’occasion ou la laisser partir. Je la saisis et je me rappelle que cette « autre entité » est moi-même et je me demande de quelle façon je veux être traité (guéri) ? Je veux être traité avec amour. C’est la seule réponse acceptable. Je veux ressentir l’amour. Dès que j’ai choisi de faire ceci, ma conviction en ma culpabilité a disparu. Je suis plus heureux, plus joyeux, et j’ai élevé mon niveau de conscience pour équilibrer un peu davantage l’énergie négative de l’univers, que j’ai créé dans beaucoup d’autres aspects (des périodes et des endroits) de l’hologramme.
Je suis maintenant capable de voir chaque seconde de ma vie comme cette occasion – c’est tout ce qu’il y a. Je n’ai plus vraiment une vie avec un passé et un futur et c’est ce que je veux. Je continue juste à créer des occasions pour que je me pardonne de ma conviction en ma culpabilité. Je n’ai aucun autre but. Je prévois certaines situations pour permettre à ces occasions de se produire, par exemple : pour trouver un ami qui a cette même intention. Cela devient plus facile pour moi d’attirer ceci parce qu’à chaque occasion de pardon, mon niveau de conscience augmente et je suis alors susceptible d’attirer celui que ma conscience considère comme significatif. Quand notre niveau d’énergie (vibration) est lent, nous attirons les choses et les entités qui résonnent à ce niveau. Nous pouvons réellement rester à un bas niveau d’énergie pendant de longues périodes ce qui nous fait croire que le monde n’est pas bon. Ceci fait que nous nous sentons découragés, ce qui abaisse notre énergie et notre conscience encore plus et nous continuons de créer des situations à faible énergie. Voilà comment nous sommes arrivés à ce niveau lent, dense, épais et lourd de la Matrice. Elle continue à devenir plus épaisse et la preuve c’est ce qui se passe dans le monde.

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Nous pouvons changer d’avis et commencer une spirale ascendante afin de sortir de cette pagaille.

Ken Wapnick disait, « Si vous voulez vraiment changer quelque chose dans le monde, qu’il s’agisse de maltraitance d’enfant, de la guerre, de la pollution de l’environnement, faites votre travail chez vous – pardonnez à vos parents, vos enfants, votre conjoint… » J’ai pensé qu’il était à côté de la plaque. Je sais maintenant qu’il avait parfaitement raison. Il y a des maltraitances d’enfants, des guerres, des pollutions, etc. seulement parce que je pense que les personnes sont différentes de moi dans ma vie. C’est aussi simple que ça. Appliquez la règle d’or, en sachant ce que cela signifie; ne l’acceptez pas comme un dogme religieux ; réalisez simplement que c’est notre billet de sortie de ce désordre. Nous pouvons seulement devenir prospères en éliminant $$$ de nos vies. Les moyens pour le faire c’est de se rappeler de faire pour les autres ce que nous ferions pour nous.
La majeure partie de notre comportement est motivée par la crainte qui est due à notre esprit subconscient. Notre comportement est motivé par la crainte, car nous avons été hypnotisés, afin que nous croyions en la crainte. Ceci n’est pas une coïncidence. L’école, la TV, la presse, la radio, les visuels, les nouvelles, tous n’ont qu’un seul but, nous faire peur, et par conséquent nous évoluons dans la crainte et non dans l’amour. Dès lors que nous ressentons la crainte, nous pouvons être contrôlés et manipulés. En sachant ceci, nous pouvons intrinsèquement savoir que pour chaque situation que notre esprit subconscient a créée on a le choix entre le croire comme il nous apparaît ou le voir comme une occasion de se pardonner de créer quelque chose d’effrayant.

Quand je pardonne à mon père de m’aimer seulement quand je travaille et gagne de $$$, les choses suivantes se produisent :

1. Je réalise que lui et son comportement existent seulement dans mon esprit dans le but unique du pardon ;
2. Je me rends compte que c’était Moi qui m’aimais uniquement qu’à la condition que je travaille et que je gagne beaucoup $$$
3. Mon énergie et ma conscience augmentent;
4. Je me rappelle que tout ceci est ma création afin de me rappeler que l’Amour Infini c’est tout ce qui existe ; tout le reste n’est qu’illusion.

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Les pensées qui ne sont pas surveillées (contrôlées) sont à 85% négatives. Si nous sommes vigilants, nous pouvons choisir de penser autre chose quand nous les détectons. Si notre choix est bon, nous avons économisé beaucoup de notre temps et de notre énergie. L’amour est exponentiellement plus puissant que la crainte.

UTILLISEZ ceux proches de vous à cette fin – c’est leur fonction unique dans votre vie. C’est pourquoi vous les avez créés – pour vous servir. Mais elles doivent vous servir seulement dans un seul sens parce que c’est la seule façon pour elles de fonctionner. La vie c’est seulement « l’amour » ou « pas l’amour » ; il n’y a pas d’autre option. Choisissez ce qui fonctionne. Je sais que cela peut être difficile pour votre esprit, cependant, si vous êtes diligent je propose que vous fassiez l’expérience, les résultats vont vous convaincre. Nous devons faire ceci à chaque instant – désolé, mais ceci est la seule manière pour que ça fonctionne. Prenez l’exemple du cœur, ainsi nous devons respirer presque à chaque instant ceci est une condition à notre survie, alors incorporer juste « le pardon » à votre perception comme moyen primordial pour votre survie. Restez conscient.

Troc

Bien que je suis certain que nous allons y « arriver », je pense que le troc sera l’étape intermédiaire. Il n’y a pas de mal à cela. Les habitants d’Ithaca New York utilisent leur propre monnaie locale « l’Ithaca Hours » – je note que les « Hours » n’ont pas de valeur, ce n’est pas de l’$$$. « L’Hours » du dentiste n’a pas plus de valeur que « l’Hours » de la femme de chambre. Apparemment, Cambridge Ontario emploie également sa propre devise appelée Community Dollars. Le peuple d’Argentine l’a appris de la manière forte. Le FMI a volé tous leurs biens, leurs productions, leur travail, et leurs vies parce qu’ils ne pouvaient plus payer le taux arbitrairement croissant de l’intérêt sur le prêt factice. Comme une femme a dit, après que les banques se soient effondrées et que le peuple a pratiqué l’échange de leur travail et de leur productivité « Nous avions décidé, que si ils ne nous donnent pas leur argent, et bien – nous créerons le nôtre. » Et ils l’ont fait. Ils prospèrent

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maintenant grâce à leur propre devise exempte d’intérêts. Il n’y a plus de pauvreté. Ils ne doivent plus produire trois fois leurs besoins et vendre les deux tiers pour verser des intérêts artificiels aux banques ! Ils n’accepteront plus le cash sous toutes ses formes et il en va de même pour la valeur fictive de l’or. Avec le troc, si nous utilisons notre propre devise que nous avons nous-mêmes créée ou si nous utilisons des crédits commerciaux électroniques à travers des réseaux d’échange ceci constituera la prochaine étape dans notre prise de conscience que nous ne sommes tous qu’un parce qu’on s’éloignera des banques qui volent littéralement notre santé, notre richesse, notre amour, notre paix intérieure, notre travail, notre production, notre talent, notre esprit… nos vies. Le troc est un fabuleux moyen pour se débarrasser des Banksters internationaux ; le gouvernement lui-même utilise le troc et 68% des 500 plus grandes sociétés réalisant le plus important chiffre d’affaires sont impliquées dans le troc. Vous pensez qu’ils ne savent pas que cela fonctionne ?

Puisque les banques sont frauduleuses, alors n’importe quel autre système de banque alternatif et incorporé dans un système banquier usurier est une fraude. Comme Tim Madden l’a dit « À moins que quelqu’un possède un quatrillion de dollars, pour renflouer les banques, nous nous dirigeons vers un effondrement financier. » Si nous ne mettons pas en place le troc, il y a aura alors énormément de souffrance. « L’argent » est purement et simplement une illusion utilisée par les banques pour voler les efforts de notre production et pour nous asservir.
Le troc cependant, entraînera toujours une relation débiteur/créancier. Nous sommes plus heureux quand nous sommes qui nous sommes vraiment, que ce soit en prêtant notre énergie, en exposant nos talents ou en donnant notre temps. J’affirme que les femmes seront les premières à faire avancer les choses sur ce point, car les hommes eux vont continuer à se concurrencer les uns contre les autres, la nature des femmes est d’être coopérative.
Vous les femmes pouvez et ferez le grand pas du Cauchemar vers le Réveil….. de $$$ vers l’Amour.

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Paix

Le message est de suivre nos cœurs, nos bons sentiments et notre intuition, et non pas notre intellect. Nous devons faire preuve de discernement avec les sentiments et l’information que nous traitons. Est-ce que cela résonne en nous ? Travaillez pour guérir la planète et l’individu et dites « non » à ceux qui souhaitent nous contrôler.

Erhard dit, « Quand je suis éclairé, tout m’entraine ». Je ne savais pas de quoi il parlait. Maintenant je le sais ! Nous devons saisir chaque occasion pour pardonner et nous souvenir que ce qui peut sembler être opposé est seulement là pour nous rappeler qu’il l’ait, le rendant de ce fait plus facile et moins long. C’est ce qu’une « relation » est, et en particulier avec ceux qui nous sont proches … ceux qui nous rendent fous… ceux avec qui nous vivons.
Tara Singh a expliqué que nous savons que le but de la vie est de pardonner et que nous promettons que s’il nous est donné la chance de vivre une autre vie nous l’aimerons et nous pardonnerons. Hélas, quand nous sommes là, nous avons tendance à oublier notre promesse et vivons notre vie d’une manière qui ne peut pas fonctionner – dans la crainte.
Chaque situation illusoire que notre esprit programmé et subconscient a créée est une occasion de pardonner consciemment notre conviction en notre culpabilité par le pardon des autres qui sont en cause (impliqués). Je veux la liberté et l’imperturbabilité plus que le contrôle, la sécurité, et l’approbation. Nous ne faisons jamais rien de mauvais ….. ou bon pour ça ; nous faisons simplement des choix qui doivent être faits afin de rester dans le jeu. Notre interprétation des faits dicte notre état d’esprit. Les événements sont peu importants et non pertinents. Où nous allons avec nos choix est tout ce qui compte
Le Commerce lui-même n’est qu’une manifestation de ce qui se passe dans nos esprits. Tout n’est qu’une manifestation de l’énergie de nos pensées. Nous croyons que nous sommes différents les uns des autres et nous croyons que nous sommes séparés de notre Créateur. Les Décideurs se reflètent dans nos croyances. Ils nous « mènent vers la banque ». Pourtant, ils sont nos sauveurs parce qu’ils nous enseignent, quoique brutalement, à mon avis, que nous devons honorer nos contrats, que nos mots sont notre

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approbation et que nous ne devons pas faire de promesses que nous ne tiendrons pas.

Si nous avons le moindre doute concernant une offre de contrat, nous avons alors l’autorité de rejeter n’importe quelle offre de contrat. Ceci s’applique à chaque secteur de nos vies – généralement appelé, apprendre à Dire Non. Si nous nous déshonorons en signant un contrat quand nous ne le voulons pas vraiment, il y a de sérieuses conséquences – les principales étant que notre intégrité et notre morale sont compromises. Puisque c’est primordial dans notre croissance spirituelle, je dis que les Fédéraux ne font juste que nous rappeler quelque chose, même si généralement c’est très pénible. Si nous pouvons les voir de cette manière, nous pouvons les utiliser pour améliorer nos vies en plaçant nos intentions à un niveau plus élevé. Là encore, nous devons écouter notre intuition et ne laisser personne en dehors de nous même, avoir de l’autorité sur nous. Ne laissons pas la peur nous envahir. Une réponse qui ne viendrait pas de nous ne peut pas avoir de valeur à notre égard. « Si vous rencontrez le Bouddha sur la route tuez-le » ce qui signifie, n’ayez aucun gourou. Ne suivez pas les conseils donnés par vos craintes.
Le Jeu du Commerce est un résultat direct de la projection de nos propres pensées – que nous sommes différents les uns des autres, de notre Créateur, que nous concurrençons non seulement les uns avec les autres, mais luttons également pour l’amour et l’acceptation de notre Créateur – tout ceci est basé sur notre conviction que nous serons punis pour… nous être détaché de lui. Comment pouvons-nous être séparés de quelque chose qui est omniprésent ? Une des manifestations les plus éclatantes de cette crainte c’est que nous croyons qu’il y a une « autorité » en dehors de nous. Notre véritable autorité c’est notre propre individu, qui est le prolongement de notre Créateur. Il n’y a AUCUNE autorité en dehors de nous-mêmes. Nous ne pouvons même pas dire que Dieu est notre autorité parce que Dieu n’est pas différent de nous bien que nos egos veuillent très certainement que nous le pensions afin de perpétrer la fraude qui consiste a croire que nous sommes seuls, pas en sécurité et non relié aux autres. Nous pouvons choisir à tout instant de changer d’avis.

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« Gagner notre vie »

Comment avons-nous été contraints de croire que nous sommes obligés de « gagner notre survie » ? Le film, The Matrix nous représente comme des batteries – l’énergie servant à alimenter le plaisir des Décideurs, ceux qui n’ont jamais, et ne penserons jamais à travailler un seul jour de leurs vies. Quand une personne est née dans l’esclavage, elle ne cherche pas à le remettre en cause. Malheureusement, l’Ethique Protestante du Travail est encore en vie (existe) et nous oblige honteusement à « gagner notre vie ». Bon nombre d’entre nous ont eu les carrières/ les jobs qu’ils aimaient, mais rarement je vois quelqu’un qui fait ce qu’il veut vraiment faire. L’expression, « travailler pour quelqu’un d’autre » est très mal comprise. Tout le monde se plaint à ce sujet ; peu comprennent sa gravité. Elle est dite habituellement dans le contexte suivant « Vous ne deviendrez jamais riche en travaillant pour quelqu’un d’autre ». Pourquoi ferait-on quelque chose pour quelqu’un d’autre alors que cela ne nous profite pas ? Il ne s’agit pas de profiter ou de ne pas profiter ; c’est au sujet du non-accomplissement du droit donné par Dieu, pour ne pas dire de l’ordre donné par dieu, à savoir « Soyez Heureux ».

En tant que prolongement de notre Créateur, nous sommes des Co-créateurs. Tout ce que nous éprouvons, nous le créons. Avec nos signatures nous créons les fonds que nous utilisons pour obtenir ce que nous pensons vouloir, pourtant ceci a peu à voir avec de l’argent ; ça a plutôt à voir avec notre capacité, notre désir, notre droit, et notre pouvoir à créer. Pourquoi avons-nous le sentiment que nous sommes faits pour payer … Quoi que ce soit ?
La CRAINTE nous a obligés à jouer ce jeu insidieux – courir après l’argent tout-puissant, en croyant que cela nous sauverait. Je me suis extirpé de ce qui me maintenait prisonnier à travers les règles de l’Élite – ceux qui prévoyaient de m’asservir – physiquement, intellectuellement, émotionnellement, et spirituellement. La seule manière de gagner c’est de ne pas jouer.

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Succès

Je me suis demandé, « À quoi ressemblerait le succès de mon livre ? » « La Gloire ou la Fortune » sont mes options. Je me suis rendu compte que le succès commercial serait anathème à ma paix intérieure. L’alternative serait « La Gloire ». Des remerciements tels que « Je lu votre livre – vous êtes étrange » serait préférable. Mon but est d’entendre des remarques telles que, « Votre livre m’a permis de demander à l’IRS de signer leur « offre » sous peine de parjure. », « Je ne facture plus mon art – j’aime juste peindre », « Après avoir lu votre livre, j’ai quitté mon travail – ce qui me donne la chair de poule, pourtant… Je suis maintenant dans le contrôle » ; « J’ai lu votre livre – qu’est-ce que vous avez vécu ? », « J’ai eu un procès verbal ; je sais que je ne suis pas obligé de le payer, dites-moi comment », « Je sais que je ne suis pas obligé de payer l’impôt foncier… », « J’ai reçu une offre de contrat de CRA ; je leur ai juste dit que je ne souhaite pas contracter avec eux… ».

Remettre en question l’Autorité

Nous savions tous que les prétendues autorités n’avaient pas le droit de nous dire ce que nous devons faire et pourtant personne n’a pris la peine de poser les bonnes questions qui auraient démontré ce fait « la seule autorité dans la vie c’est Moi. » Ainsi, je vous demande de vous interroger sur tout – en particulier chaque fois que vous vous trouvez dans une situation en train de remettre votre argent à quelqu’un sans raison apparente. Demandez à voir la loi qui vous oblige à faire ceci, et bien sûr, la clause d’application – c’est à dire « que se passera-t-il si vous ne payez pas ? » et le plus important, vous devez demander la preuve que « la loi » s’applique bien à vous. Souvenez-vous que la loi s’applique uniquement à l’entité dont le nom ressemble au vôtre, qui est une fiction créée par le gouvernement, conçue pour vous obliger à payer ce que les Feds doivent au FMI. Utilisez votre intuition ; n’utilisez pas les agences, les gens, les livres, par exemple : la Bible, les associations, etc. comme votre « autorité ». Aucun d’eux n’est réel. Seul votre savoir est fiable.

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Économie spirituelle

La chose la plus difficile que nous devrons faire dans la vie c’est de changer nos esprits au sujet de ce que nous pensons être « la vérité ». Durant nos vies entières nous avons été programmés, contraints, avons été sujet à la propagande, dupés, manipulés, on nous a menti, on nous a trompés. Nous avons tous entendu les nombreux clichés, les aphorismes, et les citations qui suggèrent que nous devions évoluer et apprendre. La leçon est : nous sommes la source de tout ce que nous éprouvons. Si nous voulons changer ce que nous pensons, ce que nous éprouvons, nous devons changer nos perceptions.

La plus grande découverte de toute génération, c’est qu’un être humain peut changer sa vie en modifiant son attitude. – William James

La seule chose raisonnable est de se rappeler que puisque j’ai réussi à tout créer dans mon esprit, je peux alors modifier mon avis sur tout et à n’importe quel moment. En me rappelant que ceci n’est pas réel, que cela ne se produit pas vraiment, excepté dans mon esprit, je sais que tout ce que je dois faire c’est de me pardonner de juger mes situations, puisque, pourquoi juger quelque chose qui ne se produit pas vraiment ? Pourquoi repartir à nouveau dans un rêve la nuit suivante pour changer les « mauvaises choses » ? Le mauvais rêve s’est produit uniquement dans mon esprit. Je ressens de grands remords en permettant a des principes précédents d’empêcher le progrès présent – je suis disposé à changer mon esprit. Accidentellement, c’était une allitération.

Comment allons-nous nous enlever d’un système conçu pour ne pas fonctionner si nous continuons à faire ce qu’ils veulent que nous fassions – (esclave/travail) pour eux pendant qu’ils nous contrôlent avec leur bout de papier ?
Que faudra-t-il avant que nous disions, non et seulement « NON », ou plutôt « PUTAIN, NON ! » Je pense qu’il faudra un grand nombre de personnes parmi nous parce que nous devrons cesser d’utiliser les banques. La majeure partie du peuple que je connais se plaint « de ne pas avoir assez d’argent ». Plutôt qu’occupez un deuxième et un troisième travail, c’est précisément ce que les Feds veulent que nous fassions, afin de garder toute notre

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attention, pour ne pas dire générer plus de taxes, ceux qui parmi nous savent que nous ne sommes en rien obligés de répondre à leurs attentes, doivent passer du temps et faire preuves de grands efforts pour soulever le système. Nous nous enfonçons de plus en plus dans le trou que nous creusons nous même. Nous devons commencer « à travailler (fonctionner) plus intelligemment ».

Ce n’est pas une attaque, puisque l’attaque engendre seulement plus de culpabilité qui crée de ce fait la colère, ce qui nous ne sert pas. Ce n’est pas une vengeance – pour toute la détresse qu’ils nous ont causée ; c’est simplement le choix de ne plus jouer le jeu. Quand il y aura assez de personnes qui auront quitté le jeu, alors nous pourrons gagner, le jeu cessera, et nous serons libres.
Je comprends qu’une question très importante pourrait être soulevée, « Pourquoi pensons-nous que notre liberté dépend de l’argent ? » C’est une pensée très difficile à enlever, car nous pensons que c’est ainsi que fonctionne le monde entier, alors que ceci est faux. Nous pouvons seulement nous convaincre qu’elle est vraie en continuant à jouer et par conséquent être sous l’effet de celle-ci. Quand nous changeons nos avis au sujet de la puissance apparente de ceux qui ont l’intention de nous détruire, nous réalisons que nous sommes notre propre puissance et autorité, nous changerons nos situations.
L’absence de la tyrannie et de l’oppression financière nous feront croire que nous ne sommes pas opprimés financièrement ce qui changera notre opinion au sujet de notre liberté financière. Ainsi, nous verrons que notre liberté n’est pas dictée par l’état de nos finances.
Ce qui est époustouflant c’est que tout ceci est financé par les peuples eux-mêmes grâce à leurs propres impôts. En d’autres termes, le peuple garantit la destruction de sa propre liberté et de son mode de vie en finançant largement par des subventions fédérales et nationales de très grands sociologues qui ébranlent notre souveraineté nationale et qui préparent nos enfants à devenir les vassaux du Nouveau Monde. – Samuel L. Blumenfeld

Ceux que nous pensons être des gangsters sont justes très effrayés parce qu’ils savent que le FMI peut faire appel à un prêt à tout moment et ils essayent de confisquer autant d’argent que possible. Plus longtemps ils pourront faire ceci, plus longtemps ils

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éviteront le crash, mais si nous ne les payons pas, le système s’effondrera comme un château de cartes. Rappelez-vous, que leur intention n’est pas de vous faire du mal, mais de sauver leurs propres peaux. Ayez de la compassion ; rappelez-vous – c’est seulement les affaires.

C’est une goutte d’eau dans l’océan. Ce sont seulement des domestiques effrayés qui conspirent à voler l’argent du maître de maison. Ce que nous, les maîtres/souverains ne voulons pas c’est le vol de notre productivité, notre travail, et nos biens. Mais si nous les laissons nous intimider, nous effrayer, donner nos maisons, nous devrions alors avoir honte de tomber dans leur tactique basée simplement et purement sur la crainte.

En principe aucune offre de contrat ne finit devant la Cour, mais si ça vous arrive parce que vous avez contracté avec eux : ne discutez pas avec eux ; n’étudiez pas leurs lois pour trouver une échappatoire à leurs arrangements ; ne mentionnez pas la Constitution ou la Charte des droits et des libertés – ils ne peuvent pas l’entendre ; ne leurs donnez rien d’autre que votre mot ferme comme quoi vous refusez de contracter avec ceux qui n’ont pas vos intérêts à cœur. Rappelez-vous qu’ils sont désespérés ; nous devons seulement être aimables avec eux, mais ne pas avoir à donner nos vies pour eux.

Ce refus de signer l’offre de contrat fonctionne pour chaque invitation à contracter que vous recevez – si c’est une invitation à faire la guerre ou une incitation à comparaître devant une cour; ça marche aussi. Ils essayent de vous obliger à contracter et vous voulez rester libre. Si vous restez vigilant, vous pourrez les repérer de loin avec leur tactique subreptice.

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Pour ceux d’entre vous qui pourraient avoir lu ceci à partir de leur perspective publique et qui croiraient que « je donne un conseil légal / financier » ou que « j’exerce la loi / la médecine sans autorisation », aucun doute vous avez réalisé que je pratique seulement le bon sens et suggère une meilleure manière de jouer le Jeu du Commerce et mieux encore, de ne plus y jouer du tout.

Pour le reste d’entre vous : Souvenez-vous de Qui Vous Etes

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ÉPILOGUE

J’ai bien peur que le citoyen ordinaire n’aime pas qu’on lui dise que les banques peuvent créer de la monnaie, et le font…. Et ceux qui contrôlent le crédit de la nation dirigent la politique du gouvernement et portent au creux de leurs mains la destinée du peuple. – Reginald McKenna, ex-président du conseil de la Banque d’Angleterre du Milieu

Les banques ne peuvent employer ce système monétaire qu’avec la coopération active du gouvernement. Tout d’abord, les gouvernements font passer des lois instituant l’usage de la monnaie fiduciaire nationale, deuxièmement ils autorisent que les crédits privés bancaires soient convertis en devises gouvernementales, troisièmement les tribunaux font respecter les dettes et finalement les gouvernements font passer des régulations pour protéger le fonctionnement du système monétaire et sa crédibilité auprès du public, sans rien faire pour l’informer de la provenance réelle de l’argent. La simple vérité est que quand nous signons sur les pointillés un “prêt hypothécaire”, notre engagement signé de payer, soutenu par les possessions que nous nous engageons à abandonner en cas de non -paiement, est la seule chose de réelle valeur mise en jeu dans cette transaction.

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. – Art. 35 Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Pour toute personne croyant que nous honorerons notre promesse, ce contrat de prêt, ou hypothèque, est maintenant un morceau de papier portable, échangeable, et vendable. C’est une reconnaissance de dette. Cela représente de la valeur, et est en conséquence une forme de monnaie. Cette monnaie (scripturale), l’emprunteur peut l’échanger contre de l’argent réel et palpable (fiduciaire). Dans la vie réelle, un prêt signifie que le prêteur doit avoir quelque chose à prêter. Si tu as besoin d’un marteau, le fait que je te prête une promesse de fournir un marteau que je n’ai pas ne sera pas d’une grande utilité. Mais dans le monde artificiel de

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l’argent, la promesse d’une banque de payer de l’argent qu’elle n’a pas est reconnue comme monnaie, et nous l’acceptons telle quelle.

Ainsi, notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas. – Irving Fisher, économiste et auteur
Une fois que l’emprunteur a signé sa reconnaissance de dette, la banque compense la transaction en créant, en quelques frappes de clavier, sur un ordinateur, une dette correspondante de la banque vers l’emprunteur. Du point de vue de l’emprunteur, cela devient de l’argent au crédit sur son compte, et parce que le gouvernement autorise cette dette de la banque envers l’emprunteur à être convertie en devises, tout le monde doit l’accepter comme de la monnaie. Encore une fois la vérité est très simple. Sans le document signé par l’emprunteur la banque n’aurait rien à prêter. Ne vous êtes-vous pas déjà demandé comment se fait-il que tout le monde, gouvernements, entreprises, PME, familles, puissent être tous endettés en même temps, et pour des montants si astronomiques ? Ne vous êtes-vous pas posé la question : comment se fait-il qu’il y ait autant d’argent à prêter ? Maintenant vous savez. Il n’y en a pas. Les banques ne prêtent pas d’argent. Elles le créent simplement à partir de la dette et cette dette étant potentiellement illimitée, il en est de même pour l’argent à prêter. Et comme il apparaît, la situation contraire est également vraie.

Pas de dette, pas d’argent

N’est-il pas stupéfiant que malgré l’incroyable richesse des ressources de l’innovation, et de la productivité qui nous entourent, nous soyons presque tous, gouvernements, entreprises, individus, lourdement endettés envers les banquiers ? Si seulement les gens s’arrêtaient et pensaient :

Comment cela est-il possible ? Comment se fait-il que les gens qui produisent les vraies richesses du monde soient endettés envers ceux qui ne font que prêter l’argent qui représente la richesse
?
Encore plus étonnant, une fois que nous réalisons que l’argent est de la dette, nous réalisons que s’il n’y avait pas de dette,

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il n’y aurait pas d’argent. C’est ainsi qu’est notre système monétaire.

S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent. – Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed
Si tout cela est une découverte, vous n’êtes pas les seuls. La plupart des gens imaginent que si toutes les dettes étaient payées, l’état de l’économie s’améliorerait. C’est certainement vrai à l’échelle individuelle. De même que nous avons plus d’argent à dépenser lorsque nous avons remboursé nos prêts, nous pensons que si tout le monde était dans le vert, il y aurait plus d’argent à dépenser en général.
Mais en vérité, c’est exactement le contraire. Il n’y aurait pas d’argent du tout. C’est ainsi, nous sommes complètement dépendants de crédits bancaires continuellement renouvelés pour qu’il y ait existence de l’argent. Pas de prêts, pas d’argent. C’est ce qui est arrivé pendant la Grande Dépression. La masse monétaire s’est effondrée au fur et à mesure que les prêts s’asséchaient. C’est une pensée déconcertante.
Nous sommes totalement dépendants des banques commerciales. Au départ, il faut toujours quelqu’un qui emprunte chaque dollar que nous avons en circulation, en espèces ou en crédit.

Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi. –
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie

Une dette perpétuelle

Ce n’est pas tout. Les banques ne créent que le montant du principal. Elles ne créent pas l’argent pour payer les intérêts. D’où celui-ci est-il censé provenir ? Le seul endroit où les emprunteurs peuvent aller pour obtenir l’argent pour payer les intérêts est dans la masse monétaire globale de l’économie, mais presque toute cette masse monétaire a été créée exactement de la même façon, il s’agit de crédit bancaire devant être remboursé avec plus que ce qui a été

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créé. Donc partout il y a d’autres emprunteurs dans la même situation essayant frénétiquement d’obtenir de l’argent dont ils ont besoin pour payer à la fois le principal et les intérêts à partir d’un réservoir d’argent qui ne contient que les principaux.

Il est clairement impossible que tout le monde rembourse le principal et les intérêts, car l’argent des intérêts n’existe pas. Cela peut même être exprimé par une simple formule mathématique. P/(P+I) honoreront leur contrat. I/(P+I) seront saisis.
Le grand problème est que pour les prêts à long terme, telles les hypothèques et les dettes gouvernementales, le total des intérêts excède de loin le principal, donc à moins que beaucoup d’argent supplémentaire ne soit créé pour payer les intérêts, cela engendre une grande proportion de faillites, et donc une économie non fonctionnelle. Pour maintenir une société fonctionnelle, le taux de faillites doit être bas. Et donc, pour accomplir cela, de plus en plus de nouvel argent-dette doit être créé pour satisfaire la demande actuelle d’argent pour payer les dettes précédentes. Mais bien sûr, ça rend juste la dette totale plus grande et donc encore plus d’intérêts doivent être payés résultant en une grandissante et inexorable spirale d’endettements.
C’est uniquement le délai temporel entre la création de l’argent des nouveaux prêts et les remboursements qui empêchent le manque global d’argent d’émerger et de mettre ainsi le système total en banqueroute. Cependant, comme le monstre insatiable du crédit grandit et grandit, le besoin de créer de plus en plus d’argent pour le nourrir se fait sentir de plus en plus urgemment. Pourquoi les taux d’intérêt sont-ils si bas ? Pourquoi recevons-nous des cartes de crédit non sollicitées ? Pourquoi le gouvernement US dépense-t-il plus que jamais ? Cela serait-il pour empêcher l’effondrement complet du système ? Une personne rationnelle se doit de demander
:
Cela peut-il vraiment continuer pour toujours ? L’effondrement n’est-il pas inévitable ?
Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants. –
Andrew Gause, historien de la monnaie
L’argent facilite la production et l’échange, et avec la croissance de la masse monétaire, l’argent est de plus en plus

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dévalorisé à moins que le volume de production et d’échange dans le monde réel ne croisse de la même proportion. Ajoutez à cela le fait que quand nous entendons que l’économie croît de 3% chaque année, cela ressemble à une croissance constante, mais ça ne l’est pas. Les 3% de cette année représentent plus que les 3% de l’année dernière parce qu’il s’agit des 3% du nouveau total. Au lieu d’une ligne droite, telle que naturellement visualisée à partir des mots, la courbe de croissance est en fait exponentielle, de plus en plus abrupte.

La plus grande déficience de la race humaine est notre incapacité à comprendre la fonction exponentielle. – Albert A. Bartlett, physicien
Le problème, bien sûr, est que la croissance perpétuelle de l’économie réelle exige une escalade permanente de l’utilisation des ressources et de l’énergie. De plus en plus d’objets doivent passer des ressources naturelles à la poubelle chaque année, sans arrêt pour éviter l’implosion du système.
Toute personne croyant qu’une croissance exponentielle peut continuer à jamais (infini) dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. – Kenneth Boulding, économiste
Que pouvons-nous faire face à cette situation effrayante ? [Il peut y avoir épuisement des ressources et des talents, mais pourquoi devrait-il y avoir un jour épuisement d’argent ?] Une chose est sûre, nous avons besoin d’un concept d’argent radicalement différent. Il est temps que plus de personnes posent à elles-mêmes et à leurs gouvernements 4 questions simples. Partout dans le monde les gouvernements empruntent de l’argent à des banques privées, avec des intérêts. La dette des gouvernements est une composante importante de la dette totale, et le règlement de cette dette constitue L’immense majorité de tous nos impôts.
Maintenant, nous savons que les banques créent simplement l’argent qu’elles prêtent et que les gouvernements les ont autorisées à faire cela. [Création de monnaie soutenue uniquement par la dette.]
Donc la première question est : pourquoi les gouvernements choisissent-ils d’emprunter de l’argent avec intérêts alors qu’un gouvernement pourrait créer lui-même, sans intérêts, l’argent dont il a besoin ?

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Et la deuxième grande question est : pourquoi créer l’argent comme dette ? Pourquoi ne pas créer de l’argent circulant en permanence sans qu’il ait besoin d’être perpétuellement réemprunté

– avec intérêts – pour exister ?
La troisième question : Comment un système monétaire qui ne peut seulement fonctionner qu’avec une croissance en accélération permanente peut-il être employé pour bâtir une économie durable ? N’est-il pas logique qu’une accélération permanente de la croissance et la durabilité ne soient pas compatibles ?
Et finalement : Qu’y a-t -il dans notre système monétaire qui le rende totalement dépendant d’une croissance perpétuelle ? Que devrait-il être modifié pour permettre une économie durable ?

L’usure

Il fut un temps où facturer des intérêts sur un prêt était appelé “usure”, et était passible de sanctions sévères, y compris la mort. Chaque grande religion a interdit l’usure. Les arguments contre cette pratique étaient essentiellement moraux. Il était maintenu que la seule finalité légitime de l’argent était de faciliter l’échange de biens et services réels. Toute forme de gain d’argent basée uniquement sur la possession d’argent était jugée comme l’acte d’un parasite ou d’un voleur. Cependant, comme les besoins en crédits du commerce grandissaient, les arguments moraux ont cédé face à l’argument selon lequel le prêt implique pour le prêteur un risque et un coût d’opportunité et conséquemment la tentative de faire un profit sur un prêt est justifié.

Aujourd’hui cette notion semble incongrue, aujourd’hui l’idée de gagner de l’argent avec de l’argent est vue comme un concept que chacun essaye d’employer. Pourquoi travailler quand tu peux faire travailler ton argent pour toi ?
Cependant, si on essaye de concevoir un futur durable, il est très clair que la facturation d’intérêts est à la fois un problème moral et pratique. Imaginez une société et une économie qui peuvent perdurer des siècles parce que, au lieu de piller ses ressources primaires d’énergie, elle se restreint à ce qui est produit chaque jour : pas plus de bois n’est coupé que ce qui pousse pendant la même

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période, toute l’énergie est renouvelable : solaire, gravitationnelle, géothermique, magnétique, ou toute autre méthode découverte. Cette société vit à l’intérieur des limites de ses propres ressources non renouvelables en réutilisant et recyclant chaque chose. Les populations s’y succèdent ainsi. Une telle société ne pourrait jamais fonctionner avec un système monétaire fondamentalement dépendant d’une croissance accélérant perpétuellement. Une économie stable aurait besoin d’une masse monétaire au moins capable de rester stable sans s’effondrer.

Disons que le volume total de cette masse monétaire stable est représenté par un grand cercle. Imaginons aussi que les prêteurs doivent avoir préalablement l’argent pour le prêter. Si des gens, au sein de cette masse monétaire, se mettent systématiquement à prêter de l’argent avec intérêt, leur part de la masse monétaire va croître. S’ils continuent à prêter avec intérêt tout l’argent remboursé, quel est la conséquence inévitable ? Que ce soit de l’or, de la monnaie fiduciaire, de la monnaie basée sur la dette, cela importe peu, les prêteurs finiront avec tout l’argent et après que les recouvrements et les banqueroutes soient réglés, ils finiront également avec tous les biens. C’est seulement si les rendements des prêts à intérêts étaient uniformément distribués parmi la population que ce problème central serait résolu. Une lourde taxe des profits bancaires pourrait accomplir cet objectif, mais dès lors pourquoi les banques voudraient-elles exister ?
Si nous étions capables de sortir un jour de la situation actuelle, nous pourrions imaginer un système bancaire fonctionner comme service non lucratif pour la société, répartissant les intérêts gagnés comme un dividende universel pour les citoyens, ou prêtant sans facturer aucun intérêt.
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué. – Wright Patman, membre démocrate du Congrès 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975

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Changer le système

Si c’est la nature fondamentale de notre système qui pose problème, bricoler le système ne pourra jamais résoudre ces problèmes ; le système lui-même doit être remplacé. Beaucoup de critiques monétaires appellent à un retour à une monnaie basée sur l’or prétendant que l’or a pour lui un long historique de fiabilité. Ils ignorent les nombreuses arnaques pouvant être pratiquées avec l’or : ajustement des pièces, alliances du métal, prise de contrôle du marché, tout cela a été fait dans la Rome antique, et a contribué à sa chute. Certains défendent que l’argent est plus abondant que l’or et donc plus difficile à monopoliser.

Beaucoup mettent en doute la nécessité d’un retour aux métaux précieux. Personne ne veut recommencer à porter de lourds sacs de pièces pour les courses. Il est certain que de la monnaie papier, numérique, plastique, ou plus probablement biométrique, serait le moyen d’échange ultime, avec le même potentiel pour créer une dette aussi illimitée que nous avons aujourd’hui. En plus de cela, si l’or redevenait la seule base légale d’argent ceux qui n’ont pas d’or n’auraient soudain plus d’argent. D’autres demandeurs de réforme monétaire ont conclu que la cupidité et la malhonnêteté sont les principaux problèmes et qu’il y aurait de meilleurs moyens pour créer un système honnête et équitable que le retour à l’or ou à l’argent.

Des esprits inventifs ont proposé toute une panoplie de systèmes alternatifs pour créer de l’argent. Beaucoup de systèmes de troc privé créent de l’argent comme dette, comme le font les banques, mais c’est fait ouvertement et sans paiement d’intérêts. Un exemple est un système de troc où la dette est exprimée en promesses d’heures de travail, tous les travaux étant également équivalents à un nombre de dollars permettant aux heures d’être converties avec le prix des biens en dollars. Ce type de système monétaire peut être mis en place par toute personne pouvant trouver un moyen de faire la comptabilité ainsi que des participants volontaires et dignes de confiance.
La mise en place d’un système monétaire de troc local, même étant actuellement de peu d’utilité, serait une prudente mesure préventive, pour toute communauté. La réforme monétaire, comme la réforme électorale, est un vaste sujet, requérant une

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volonté de changement et une capacité à penser hors du système. La réforme monétaire, comme la réforme électorale, ne viendra pas facilement en raison des intérêts immensément puissants bénéficiant du système actuel qui feront tout leur possible pour maintenir leurs avantages.

À présent que nous avons vu que l’argent n’est qu’une idée, et qu’en réalité l’argent peut être ce que nous décidons, voici une idée très simple de concept alternatif à considérer. Ce modèle est basé sur des systèmes ayant autrefois fonctionné en Angleterre et en Amérique, systèmes ayant été rongés et détruits par les orfèvres-banquiers et leur système de réserve fractionnaire. Pour créer une économie basée sur de l’argent en permanence libre d’intérêts, l’argent pourrait être simplement créé et injecté dans l’économie par le gouvernement, préférablement sur des infrastructures durables facilitant l’économie, comme les routes, les voies ferrées, les ponts, les ports, et les marchés publics.

Cet argent ne serait pas créé comme dette, il serait créé comme valeur, la valeur résidant dans l’objet de la dépense. Si cet argent neuf facilitait une augmentation proportionnelle des échanges, faisant en sorte qu’il soit utilisé, cela ne causerait pas d’inflation. Si les dépenses du gouvernement causaient une inflation, il y aurait deux voies d’action à considérer.
L’inflation est essentiellement équivalente à une taxe sur l’argent ; que la valeur de l’argent diminue de 20% ou que le gouvernement prenne 20% de notre argent, l’effet sur notre pouvoir d’achat est le même. De ce point de vue, l’inflation à la place des impôts peut être politiquement acceptable si elle est bien dépensée et contenue. Ou, le gouvernement pourrait choisir de contrer l’inflation en collectant de l’argent des impôts et en le mettant hors d’usage réduisant la masse monétaire et restaurant la valeur de l’argent. Pour contrôler la déflation, qui est le phénomène de la chute des rémunérations et des prix, le gouvernement dépenserait simplement plus d’argent déjà existant. Sans compétition de la création de monnaie-dette privée, les gouvernements auraient plus de contrôle effectif de leur masse monétaire nationale. Le public saurait qui blâmer si les choses tournaient mal, les gouvernements grandiraient et tomberaient sur leur capacité à préserver la valeur de l’argent.

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Le gouvernement fonctionnerait essentiellement grâce aux impôts comme aujourd’hui, mais l’argent des impôts serait bien plus utile puisque rien ne serait commis pour payer des intérêts aux banques privées. Il n’y aurait pas de dette nationale si le gouvernement créait simplement l’argent dont il a besoin. Notre perpétuelle servitude collective envers les banques à travers le paiement des intérêts de la dette gouvernementale serait impossible.

L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave. – Léon Tolstoï

La force invisible

Personne n’est plus en esclavage que celui qui croit à tort qu’il est libre. – Goethe
Ce qui nous a été enseigné de voir comme la démocratie et la liberté est devenu en réalité une forme ingénieuse et invisible de dictature économique. Aussi longtemps que notre société entière restera fondamentalement dépendante du crédit bancaire pour sa masse monétaire, les banquiers seront en position de décider qui aura l’argent dont il a besoin et qui ne l’aura pas.

Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de main ils créeront assez d’argent pour la racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique, car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage, laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.

– Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)

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L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance. – Benjamin Franklin

Peu de gens sont conscients aujourd’hui que l’histoire des États unis depuis la révolution en 1776 a été en large part l’histoire d’une lutte épique pour la libération et l’indépendance vis-à-vis des banques européennes internationales. Cette lutte fut finalement perdue en 1913 quand le président Woodrow Wilson ratifia le Federal Reserve Act plaçant le cartel bancaire international en charge de la création de la monnaie américaine.

Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé.

La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes.
Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité, mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. – Woodrow Wilson, président des États-Unis 1913-1921

La puissance de ce système est profondément enracinée de même que le silence de l’éducation et des médias à ce sujet. Il y a quelques années, le premier ministre canadien a fait mener un sondage chez les non-économistes: à la fois auprès de professionnels hautement qualifiés et de “monsieur tout le monde”. L’enquête a conclu qu’aucun d’entre eux n’avait une idée précise de la façon dont l’argent est fabriqué. En fait, il est probablement sûr de dire que la plupart des gens, y compris les employés de banque en première ligne ne se sont jamais donné le temps de considérer la question. Et vous ?

Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu, mais de notre

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ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.
– John Adams, père fondateur de la Constitution américaine

Le système moderne d’argent en tant que dette naquit il y a un peu plus de 300 ans quand la première Banque d’Angleterre fut mise en route avec un contrat royal pour le prêt fractionnaire de reçus d’or au taux modeste de 2 pour 1. Ce taux modeste n’était que le proverbial pied dans la porte. Le système est maintenant mondial créant des montants virtuellement illimités d’argent à partir d’air pur et a enchaîné presque chaque personne de cette planète à une dette perpétuellement croissante qui ne pourra jamais être payée.

Tout cela a-t-il pu arriver par accident ?

Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent. – James A. Garfield, président des États unis, assassiné

Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité. – Abraham Lincoln, président des États unis, assassiné

Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnu comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile…

Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes,

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coule n’importe quelle nation. – William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada (qui nationalisa la Banque du Canada)

Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. – David Rockefeller, s’adressant à la Commission Trilatérale, 1991

Seuls les petits secrets doivent être protégés. Les grands sont gardés secrets par l’incrédulité du public. – Marshall McLuhan, “gourou” des médias

***

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RÉSUMÉ

1. Le nom sur ‘l’instrument à charge’, ex.: billets de la circulation, liasse fiscale, déclarations, emprunts, procès, dettes, etc. n’est pas votre nom. C’est le nom d’une fiction crée par le gouvernement, intelligemment déguisée, en lettres majuscules par les bureaucrates, pour ressembler à votre nom. N’oubliez pas ce fait. Ça vous trompe à croire que vous êtes responsable pour ses dettes. Vous ne l’êtes pas. Vérifiez le nom sur n’importe quelle PIECE D’ IDENTITÉ crée par le gouvernement. Votre nom n’est pas dessus. À ce propos, cela s’applique aussi dans le sens inverse: ce que vous vous pensez ‘possédez’, ex.: votre maison, parce que vous pensez qu’elle est à votre nom, elle n’est pas à votre nom, donc, vous ne la possédez pas. Le Jeu du Commerce a été installé par l’Élite Global / Banque Mondiale pour confisquer vos fonds et propriétés et pour faire de la population entière des esclaves économique d’un Nouvel Ordre Mondial sous leur contrôle complet.

2. La seule loi en existence aujourd’hui est la Loi du Contrat. Ce que vous pensez être des ‘lois’ ne sont que des statuts/codes et ils ne s’appliquent pas à vous : ils s’appliquent seulement aux sociétés. Si vous n’avez pas de contrat avec l’entité de qui vous recevez un instrument à charge, vous n’êtes pas financièrement redevable… et…

vous n’avez pas pu avoir de contrat parce que les corporations ne peuvent pas contracter légalement. Ce que vous avez signé était un unilatéral, et d’où, inapplicable contrat. Toute Loi est Commerce; tout Commerce est Contrat; aucun Contrat – Aucun Cas. Il n’y a pas une agence du gouvernement, département ou ministère dans le monde qui peut prouver que vous devez payer ce que nous avons tous été endoctrinés à croire que nous sommes ‘contraints par loi’ à payer. Ne succombez pas à cette incroyable tromperie plus longtemps. Votre billet pour la liberté financière c’est SE SOUVENIR DE QUI VOUS ÊTES.

3. La seule voie de sortie de ce désordre c’est de nous enlever du Jeu du Commerce – complètement – afin que nous ne soyons plus dépendants des banksters. Leur ordre du jour est de nous contrôler et de nous détruire. La seule façon de gagner c’est de ne pas jouer. Nous pouvons créer pour nous-mêmes tout ce qui existe en

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beaucoup plus grand et bien meilleure – amour et lumière, paix et joie, compassion et pardon – ce que nous sommes destinés a Etre, Faire et Avoir. En se souvenant de qui nous sommes nous apprendrons à faire ce qu’on aime faire et servir les autres en nous servant nous-mêmes, de cette façon, nous laisserons les banksters hors de notre nouvelle façon de vivre. C’est en train de se passer.

Soyez le changement que vous voulez voir – Mahatma Gandhi

***

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Souvenez-vous, si vous ne vivez pas sur la bordure vous prenez trop d’espace.

Mon livre est libre de tous droits;

Sentez-vous libre de le partager.

Puisque nous avons encore à manifester un monde sans commerce, j’accepte toujours avec reconnaissance et apprécie les contributions / donations. En conséquence, s’il vous plaît contactez-moi, pour mon emplacement postal présent, à:

whosdaboss@gmail.com

Saches que je t’aime;

Restes aussi libre que tu peux.

Ce livre est une traduction officielle française de l’e-Book gratuit:

How I Clobbered Every Bureaucratic Cash-Confiscatory Agency Known to Man …… A Spiritual Economics Book on $$$ and Remembering Who You Are

www.spiritualeconomicsnow. net/solutions/How_I_06.pdf

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BIBLIOGRAPHIE

Harry Browne – Comment j’ai trouvé la liberté dans un monde non libre
Donna Eden – Médecine d’Energie
Fondation pour la paix intérieure – Un cours de miracles
Bob Frissell – Rien dans ce livre n’est vrai mais c’est comme cela que les choses sont
John Taylor Gatto – L’histoire clandestine de l’éducation américaine
Lynn Grabhorn – Excusez-moi, Votre vie Attend G. Edward Griffin – Créature de l’île Jekyll

David Hawkins – Pouvoir contre Force; l’Œil du JE; JE Burt Hotchkiss – Votre Manuel du Propriétaire
Riz McLeod – lectures sur “Qui êtes-vous ? “
Peter McWilliams – N’ai Aucune Infraction Si tu peux Gary Renard – La disparition de l’univers

Thomas Szasz – Mythe de la maladie mentale Théodore R. Thorne. – Vérité en argent

Kenneth Wapnick – lectures et livres sur Un Cours De Miracles Marianne Williamson – lectures sur Un Cours De Miracles

Soyez sûr de regarder le film, Le secret.

http://www.what-is-the-secret.com/

Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou, perdre d’un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre Et, te sentant haï sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leur bouche folle, Sans mentir toi-même d’un seul mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,

Si tu peux rester peuple en conseillant les rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frère Sans qu’aucun d’eux ne soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître

Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ; Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n’être qu’un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage

Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront,

Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un Homme, mon fils. – Rudyard Kipling

Crédit Social

L’ILE DES NAUFRAGES – Louis Even

Sauvés du naufrage

Une explosion a détruit leur bateau. Chacun s’agrippait aux premières pièces flottantes qui lui tombaient sous la main.

Cinq ont fini par se trouver réunis sur cette épave, que les flots emportent à leur gré. Des autres compagnons de naufrage, aucune nouvelle.
ImageDepuis des heures, de longues heures, ils scrutent l’horizon: quelque navire en voyage les apercevrait-
il? Leur radeau de fortune échouerait-il sur quelque rivage hospitalier ? Tout à coup, un cri a retenti: Terre! Terre là-bas, voyez ! Justement dans la direction où nous poussent les vagues!
Et à mesure que se dessine, en effet, la ligne d’un rivage, les figures s’épanouissent.
Ils sont cinq : François, le grand et vigoureux charpentier qui a le premier lancé le cri: Terre ! Paul, cultivateur; c’est lui que vous voyez en avant, à gauche, à genoux, une main à terre, l’autre accrochée au piquet de l’épave; Jacques, spécialisé dans l’élevage des animaux: c’est l’homme au pantalon rayé qui, les genoux à terre, regarde dans la direction indiquée; Henri, l’agronome horticulteur, un peu corpulent, assis sur une valise échappée au naufrage; Thomas, le prospecteur minéralogiste, c’est le gaillard qui se tient debout en arrière, avec une main sur l’épaule du charpentier.

Une île providentielle

Remettre les pieds sur une terre ferme, c’est pour nos hommes un retour à la vie. Une fois séchés, réchauffés, leur premier

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empressement est de faire connaissance avec cette île où ils sont jetés loin de la civilisation. Cette île qu’ils baptisent L’Ile des
Naufragés.

Une rapide tournée comble leurs espoirs. L’île n’est pas un désert aride. Ils sont bien les seuls hommes à l’habiter actuellement. Mais d’autres ont dû y vivre avant eux, s’il faut en juger par les restes de troupeaux demi-sauvages qu’ils ont rencontrés ici et là. Jacques, l’éleveur, affirme qu’il pourra les améliorer et en tirer un bon rendement.
Quant au sol de l’île, Paul le trouve en grande partie fort propice à la culture. Henri y a découvert des arbres fruitiers, dont il espère pouvoir tirer grand profit. François y a remarqué surtout les belles étendues forestières, riches en bois de toutes sortes: ce sera un jeu d’abattre des arbres et de construire des abris pour la petite colonie.
Quant à Thomas, le prospecteur, ce qui l’a intéressé, c’est la partie la plus rocheuse de l’île. I1 y a noté plusieurs signes indiquant un sous-sol richement minéralisé. Malgré l’absence d’outils perfectionnés, Thomas se croit assez d’initiative et de débrouillardise pour transformer le minerai en métaux utiles. Chacun va donc pouvoir se livrer à ses occupations favorites pour le bien de tous. Tous sont unanimes à louer la Providence du dénouement relativement heureux d’une grande tragédie.

Les véritables richesses

Et voilà nos hommes à l’ouvrage. Les maisons et des meubles sortent du travail du charpentier. Les premiers temps, on s’est contenté de nourriture primitive. Mais bientôt les champs produisent et le laboureur a des récoltes. À mesure que les saisons succèdent aux saisons, le patrimoine de l’Ile s’enrichit. I1 s’enrichit, non pas d’or ou de papier gravé, mais des véritables richesses: des choses qui nourrissent, qui habillent, qui logent,
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qui répondent à des besoins. La vie n’est pas toujours aussi douce

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qu’ils souhaiteraient. Il leur manque bien des choses auxquelles ils étaient habitués dans la civilisation. Mais leur sort pourrait être beaucoup plus triste. D’ailleurs, ils ont déjà connu des temps de crise dans leur pays. Ils se rappellent les privations subies, alors que des magasins étaient trop pleins à dix pas de leur porte. Au moins, dans l’Ile des Naufragés, personne ne les condamne à voir pourrir sous leurs yeux des choses dont ils ont besoin. Puis les taxes sont inconnues. Les ventes par le shérif ne sont pas à craindre.

Si le travail est dur parfois, au moins on a le droit de jouir des fruits du travail. Somme toute, on exploite l’île en bénissant Dieu, espérant qu’un jour on pourra retrouver les parents et les amis, avec deux grands biens conservés: la vie et la santé.

Un inconvénient majeur

Nos hommes se réunissent souvent pour causer de leurs affaires. Dans le système économique très simplifié qu’ils pratiquent, une chose les taquine de plus en plus: ils n’ont aucune espèce de monnaie. Le troc, l’échange direct de produits contre produits, a ses inconvénients. Les produits à échanger ne sont pas toujours en face l’un de l’autre en même temps. Ainsi, du bois livré au cultivateur en hiver ne pourra être remboursé
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en légumes que dans six mois.
Parfois aussi, c’est un gros article livré d’un coup par un des hommes, et il voudrait en retour différentes petites choses produites par plusieurs des autres hommes, à des époques différentes. Tout cela complique les affaires. S’il y avait de l’argent dans la circulation, chacun vendrait ses produits aux autres pour de l’argent. Avec l’argent reçu, il achèterait des autres les choses qu’il veut, quand il les veut et qu’elles sont là.
Tous s’entendent pour reconnaître la commodité que serait un système d’argent. Mais aucun d’eux ne sait comment en établir un. Ils ont appris à produire la vraie richesse, les choses. Mais ils ne

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savent pas faire les signes, l’argent. Ils ignorent comment l’argent commence, et comment le faire commencer quand il n’y en a pas et qu’on décide ensemble d’en avoir… Bien des hommes instruits seraient sans doute aussi embarrassés; tous nos gouvernements l’ont bien été pendant dix années avant la guerre. Seul, l’argent manquait au pays, et le gouvernement restait paralysé devant ce problème.

Arrivée d’un réfugié

Un soir que nos hommes, assis sur le rivage, ressassent ce problème pour la centième fois, ils voient soudain approcher une chaloupe avironnée par un seul homme. On s’empresse d’aider le nouveau naufragé. On lui offre les premiers soins et on cause. Il parle français, bien que les traits de son visage indiquent une autre origine.

On apprend que c’est un Européen échappé lui aussi à un naufrage et seul survivant. Son nom: Martin Golden. Heureux d’avoir un compagnon de plus, nos cinq hommes l’accueillent avec chaleur et lui font visiter la colonie. –”Quoique perdus loin du reste du monde, lui disent-ils, nous ne sommes pas trop à plaindre. La terre rend bien; la forêt aussi. Une seule chose nous manque: nous n’avons pas de monnaie pour faciliter les échanges de nos produits.”

–”Bénissez le hasard qui m’amène ici! répond Martin. L’argent n’a pas de mystère pour moi. Je suis un banquier, et je puis vous installer en peu de temps un système monétaire qui vous donnera satisfaction.”
Un banquier !… Un banquier !… Un ange venu tout droit du ciel n’aurait pas inspiré plus de révérence. N’est-on pas habitué, en pays civilisé, à s’incliner devant les banquiers, qui contrôlent les pulsations de la finance ?

Le dieu de la civilisation

–”Monsieur Martin, puisque vous êtes banquier, vous ne travaillerez pas dans l’île. Vous allez seulement vous occuper de notre argent.

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–”Je m’en acquitterai avec la satisfaction, comme tout banquier, de forger la prospérité commune.

–”Monsieur Martin, on vous bâtira une demeure digne de vous. En attendant, peut-on vous installer dans l’édifice qui sert à nos réunions publiques ?
–”Très bien, mes amis. Mais commençons par décharger les effets de la chaloupe que j’ai pu sauver dans le naufrage: une petite presse, du papier et accessoires, et surtout un petit baril que vous traiterez avec grand soin.”
On décharge le tout. Le petit baril intrigue la curiosité de nos braves gens.
–”Ce baril, déclare Martin, c’est un trésor sans pareil. I1 est plein d’or !”
Plein d’or ! Cinq âmes faillirent s’échapper de cinq corps. Le dieu de la civilisation entré dans l’Ile des Naufragés. Le dieu jaune, toujours caché, mais puissant, terrible, dont la présence, l’absence ou les moindres caprices peuvent décider de la vie de 100 nations !
–”De l’or ! Monsieur Martin, vrai grand banquier! Recevez nos hommages et nos serments de fidélité.”
–”De l’or pour tout un continent, mes amis. Mais ce n’est pas de l’or qui va circuler. I1 faut cacher l’or: l’or est l’âme de tout argent sain. L’âme doit rester invisible. Je vous expliquerai tout cela en vous passant de l’argent.”

Un enterrement sans témoin

Avant de se séparer pour la nuit, Martin leur pose une dernière question: –”Combien vous faudrait-il d’argent dans l’île pour commencer, pour que les échanges marchent bien ?” On se regarde. On consulte humblement Martin lui-même. Avec les suggestions du bienveillant banquier, on convient que $200 pour chacun paraissent suffisants pour commencer. Rendez-vous fixé pour le lendemain soir. Les
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hommes se retirent, échangent entre eux des réflexions émues, se

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couchent tard, ne s’endorment bien que vers le matin, après avoir longtemps rêvé d’or les yeux ouverts.

Martin, lui, ne perd pas de temps. I1 oublie sa fatigue pour ne penser qu’à son avenir de banquier. A la faveur du petit jour, il creuse un trou, y roule son baril, le couvre de terre, le dissimule sous des touffes d’herbe soigneusement placées, y transplante même un petit arbuste pour cacher toute trace.
Puis, il met en œuvre sa petite presse, pour imprimer mille billets d’un dollar. En voyant les billets sortir, tout neufs, de sa presse, il songe en lui même: –”Comme ils sont faciles à faire, ces billets ! Ils tirent leur valeur des produits qu’ils vont servir à acheter. Sans produits, les billets ne vaudraient rien. Mes cinq naïfs de clients ne pensent pas à cela. Ils croient que c’est l’or qui garantit les piastres. Je les tiens par leur ignorance !” Le soir venu, les cinq arrivent en courant près de Martin.

A qui l’argent frais fait?

Cinq piles de billets étaient là, sur la table.
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–”Avant de vous distribuer cet argent, dit le banquier, il faut s’entendre.
“L’argent est basé sur l’or. L’or, placé dans la voûte de ma banque, est à moi. Donc, l’argent est à moi… Oh! Ne soyez pas tristes. Je vais vous prêter cet argent, et vous l’emploierez à votre gré. En
attendant, je ne vous charge que l’intérêt. Vu que l’argent est rare dans l’Ile, puisqu’il n’y en a pas du tout, je crois être raisonnable en demandant un petit intérêt de 8 pour cent seulement.
–”En effet, monsieur Martin, vous êtes très généreux.
–”Un dernier point, mes amis. Les affaires sont les affaires, même entre grands amis. Avant de toucher son argent, chacun de vous va signer ce document: c’est l’engagement par chacun de rembourser capital et intérêts, sous peine de confiscation par moi de ses propriétés. Oh ! Une simple garantie. Je ne tiens pas du tout à jamais

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avoir vos propriétés, je me contente d’argent. Je suis sûr que vous garderez vos biens et que vous me rendrez l’argent.

–”C’est plein de bons sens, monsieur Martin. Nous allons redoubler d’ardeur au travail et tout rembourser.
–”C’est cela. Et revenez me voir chaque fois que vous avez des problèmes. Le banquier est le meilleur ami de tout le monde…
Maintenant, voici à chacun ses deux cents dollars.”
Et nos cinq hommes s’en vont ravis, les piastres plein les mains et plein la tête.

Un problème d’arithmétique

L’argent de Martin a circulé dans l’Ile. Les échanges se sont multipliés en se simplifiant. Tout le monde se réjouit et salue Martin avec respect et gratitude.
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Cependant, le prospecteur, est inquiet. Ses produits sont encore sous terre. I1 n’a plus que quelques piastres en poche. Comment rembourser le banquier à l’échéance qui vient?

Après s’être longtemps creusé la tête devant son problème individuel, Thomas l’aborde socialement:

“Considérant la population entière de l’île, songe-t-il, sommes-nous capables de tenir nos engagements? Martin a fait une somme totale de $1000. Il nous demande au total $1080. Quand même nous prendrions ensemble tout l’argent de l’île pour le lui porter, cela ferait 1000 pas 1080. Personne n’a fait les $80 de plus. Nous faisons des choses, pas des $$$. Martin pourra donc saisir toute l’île, parce que tous ensemble, nous ne pouvons rembourser capital et intérêts.
“Si ceux qui sont capables remboursent pour eux-mêmes sans se soucier des autres, quelques-uns vont tomber tout de suite, quelques autres vont survivre. Mais le tour des autres viendra et le banquier saisira tout. Il vaut mieux s’unir tout de suite et régler cette affaire socialement.”

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Thomas n’a pas de peine à convaincre les autres que Martin les a dupés. On s’entend pour un rendez-vous général chez le banquier.

Bienveillance du banquier

Martin devine leur état d’âme, mais fait bon visage. L’impulsif François présente le cas:
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–”Comment pouvons-nous vous apporter $1080 quand il n’y a que $1000 dans toute l’ile ?
–”C’est l’intérêt, mes bons amis. Est-ce que votre production n’a pas augmenté ?
–”Oui, mais l’argent, lui, n’a pas augmenté. Or, c’est justement de l’argent que vous réclamez, et non pas des produits. Vous seul pouvez faire de l’argent. Or vous ne faites que $1000 et vous demandez $1080. C’est impossible!
–”Attendez, mes amis. Les banquiers s’adaptent toujours aux conditions, pour le plus grand bien du public… Je ne vais vous demander que l’intérêt. Rien que $80. Vous continuerez de garder le capital.
–”Vous nous remettez notre dette ?
–”Non pas. Je le regrette, mais un banquier ne remet jamais une dette. Vous me devrez encore tout l’argent prêté. Mais vous ne me remettrez chaque année que l’intérêt, je ne vous presserai pas pour le remboursement du capital. Quelques-uns parmi vous peuvent devenir incapables de payer même leur intérêt, parce que l’argent va de l’un à l’autre. Mais organisez-vous en nation, et convenez d’un système de collection. On appelle cela taxer. Vous taxerez davantage ceux qui auront plus d’argent, les autres moins. Pourvu que vous m’apportiez collectivement le total de l’intérêt, je serai satisfait et votre nation se portera bien.”
Nos hommes se retirent, mi-calmés, mi-pensifs.

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L’extase de Martin Golden

Martin est seul. Il se recueille. Il conclut:

“Mon affaire est bonne. Bons travailleurs, ces hommes, mais ignorants.
Leur ignorance et leur crédulité font ma force. Ils voulaient de l’argent, je leur ai passé des chaînes. Ils m’ont couvert de fleurs pendant que je les roulais
Image”Oh! Grand Rothschild, je sens ton génie de banquier s’emparer de mon être. Tu l’as bien dit, illustre maître: “Qu’on m’accorde le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois”.

Je suis le maître de l’Ile des Naufragés, parce que je contrôle son système d’argent.
Je pourrais contrôler un univers. Ce que je fais ici, moi, Martin Golden, je puis le faire dans le monde entier. Que je sorte un jour de cet îlot: je sais comment gouverner le monde sans tenir de sceptre.
“Ma délectation souveraine serait de verser ma philosophie dans des têtes de chrétiens: banquiers, chefs d’industrie, politiciens, sauveurs du peuple, professeurs, journalistes, ils seraient mes valets. La masse des chrétiens s’endort mieux dans son esclavage, quand les contremaîtres d’esclaves sont eux-mêmes des chrétiens.”
Et toute la structure du système bancaire rothschildien se dresse dans l’esprit ravi de Martin.

Crise de vie chère

Cependant, la situation empire dans l’Ile des Naufragés. La productivité a beau augmenter, les échanges ralentissent. Martin pompe régulièrement ses intérêts. I1 faut songer à mettre de l’argent de côté pour lui. L’argent colle, il circule mal.

Ceux qui paient le plus de taxes crient contre les autres et haussent leurs prix pour trouver compensation. Les plus pauvres, qui ne

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paient pas de taxes, crient contre la cherté de la vie et achètent moins.

Le moral baisse, la joie de vivre s’en va. On n’a plus de coeur à l’ouvrage. A quoi bon? Les produits se vendent mal; et quand ils se vendent, il faut donner des taxes pour Martin. On se prive.
ImageC’est la crise. Et chacun accuse son voisin de manquer de vertu et d’être la cause de la vie chère.
Un jour, Henri, réfléchissant au milieu de ses vergers, conclut que le “progrès” apporté par le système
monétaire du banquier a tout gâté dans l’Ile. Assurément, les cinq hommes ont leurs défauts; mais le système de Martin nourrit tout ce qu’il y a de plus mauvais dans la nature humaine.
Henri décide de convaincre et rallier ses compagnons. Il commence par Jacques. C’est vite fait: “Eh ! dit Jacques, je ne suis pas savant, moi; mais il y a longtemps que je le sens: le système de ce banquier-là est plus pourri que le fumier de mon étable du printemps dernier !”
Tous sont gagnés l’un après l’autre, et une nouvelle entrevue avec Martin est décidée.

Chez le forgeur de chaînes

Ce fut une tempête chez le banquier:

–”L’argent est rare dans l’île, monsieur, parce que vous nous l’ôtez. On vous paie, on vous paie, et on vous doit encore autant qu’au commencement. On travaille, on fait de plus belles terres, et nous voilà plus mal pris qu’avant votre arrivée. Dette! Dette! Dette par-dessus la tête !
–”Allons, mes amis, raisonnons un peu. Si vos terres sont plus belles, c’est grâce à moi. Un bon système bancaire est le plus bel actif d’un pays. Mais pour en profiter, il faut garder avant tout la confiance dans le banquier. Venez à moi comme à un père… Vous voulez d’autre argent ? Très bien. Mon baril d’or vaut bien des fois

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mille dollars… Tenez, je vais hypothéquer vos nouvelles propriétés et vous prêter un autre mille dollars tout de suite.

–”Deux fois plus de dette ? Deux fois plus d’intérêt à payer tous les ans, sans jamais finir?
–”Oui, mais je vous en prêterai encore, tant que vous augmenterez votre richesse foncière; et vous ne me rendrez jamais que l’intérêt. Vous empilerez les emprunts; vous appellerez cela dette consolidée. Dette qui pourra grossir d’année en année. Mais votre revenu aussi. Grâce à mes prêts, vous développerez votre pays. -“Alors, plus notre travail fera l’île produire, plus notre dette totale augmentera ?
–”Comme dans tous les pays civilisés. La dette publique est un baromètre de la prospérité.”

Le loup mange les agneaux

–”C’est cela que vous appelez monnaie saine, monsieur Martin ? Une dette nationale devenue nécessaire et impayable, ce n’est pas sain, c’est malsain.

–”Messieurs, toute monnaie saine doit être basée sur l’or et sortir de la banque à l’état de dette. La dette nationale est une bonne chose: elle place; les gouvernements sous la sagesse incarnée dans les banquiers. A titre de banquier, je suis un flambeau de civilisation dans votre île.
Image–”Monsieur   Martin,   nous   ne sommes que des ignorants, mais nous  ne  voulons  point  de  cette  civilisation-là  ici.  Nous

n’emprunterons plus un seul sou de vous. Monnaie saine ou pas saine, nous ne voulons plus faire affaire avec vous.
–”Je regrette cette décision maladroite, messieurs. Mais si vous rompez avec moi, j’ai vos signatures. Remboursez-moi immédiatement tout, capital et intérêts.
–”Mais c’est impossible, monsieur. Quand même on vous donnerait tout l’argent de l’île, on ne serait pas quitte. –”Je n’y puis rien. Avez-vous signé, oui ou non? Oui? Eh bien, en

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vertu de la sainteté des contrats, je saisis toutes vos propriété gagées, tel que convenu entre nous, au temps où vous étiez si contents de m’avoir. Vous ne voulez pas servir de bon gré la puissance suprême de l’argent, vous la servirez de force. Vous continuerez à exploiter l’Ile, mais pour moi et à mes conditions. Allez. Je vous passerai mes ordres demain.

Le contrôle des journaux

Comme Rothschild, Martin sait que celui qui contrôle le système d’argent d’une nation contrôle cette nation. Mais il sait aussi que, pour maintenir ce contrôle, il faut entretenir le peuple dans l’ignorance et l’amuser avec autre chose.

Martin a remarqué que, sur les cinq insulaires, deux sont conservateurs et trois sont libéraux. Cela paraît dans les conversations des cinq, le soir, surtout depuis qu’ils sont devenus ses esclaves. On se chicane entre bleus et rouges.
De temps en temps, Henri, moins partisan, suggère une force dans le peuple pour faire pression sur les gouvernants… Force dangereuse pour toute dictature.
Martin va donc s’appliquer à envenimer leurs discordes politiques le plus possible.
I1 se sert de sa petite presse et fait paraître deux feuilles hebdomadaires: “Le Soleil”, pour les rouges; “L’Étoile”, pour les bleus. “Le Soleil” dit en substance: Si vous n’êtes plus les maîtres chez vous, c’est à cause de ces arriérés de bleus, toujours collés aux gros intérêts.
“L’Étoile” dit en substance: Votre dette nationale est l’œuvre des maudits: rouges, toujours prêts aux aventures politiques.
Et nos deux groupements politiques se chamaillent de plus belle, oubliant le véritable forgeur de chaînes, le contrôleur de l’argent, Martin.

Une épave précieuse

Un jour, Thomas, le prospecteur, découvre, échouée au fond d’une anse, au bout de l’ile et voilée par de hautes herbes, une chaloupe de

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sauvetage, sans rame, sans autre trace de service qu’une caisse assez bien conservée.

I1 ouvre la caisse: outre du linge et quelques menus effets, son attention s’arrête sur un livre-album en assez bon ordre, intitulé:
ImagePremière année de Vers Demain Curieux, notre homme s’assied et ouvre ce volume. Il lit. Il dévore. I1 s’illumine:
“Mais, s’écrie-t -il, voilà ce qu’on aurait dû savoir depuis longtemps. “L’argent ne tire nullement sa valeur de l’or, mais des produits que l’argent achète.
“L’argent peut être une simple comptabilité, les crédits passant d’un compte à l’autre selon les achats et les ventes. Le total de l’argent en rapport avec le total de la production.
“A toute augmentation de production, doit correspondre une augmentation équivalente d’argent… Jamais d’intérêt à payer sur l’argent naissant… Le progrès représenté, non pas par une dette publique, mais par un dividende égal à chacun… Les prix, ajustés au pouvoir d’achat par un coefficient des prix. Le Crédit Social…”
Thomas n’y tient plus. Il se lève et court, avec son livre, faire part de sa splendide découverte à ses quatre compagnons.

L’argent, simple comptabilité

Et Thomas s’installe professeur:

“Voici, dit-il, ce qu’on aurait pu faire, sans le banquier, sans or, sans signer aucune dette.
“J’ouvre un compte au nom de chacun de vous. A droite, les crédits, ce qui ajoute au compte; à gauche, les débits, ce qui le diminue. “On voulait chacun $200 pour commencer. D’un commun accord, décidons d’écrire $200 au crédit de chacun. Chacun a tout de suite $200.
“François achète des produits de Paul, pour $10. Je retranche 10 à François, il lui reste 190. J’ajoute 10 à Paul, il a maintenant 210.

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“Jacques achète de Paul pour $8. Je retranche 8 à Jacques, il garde 192. Paul, lui, monte à 218.

“Paul achète du bois de François, pour $15. Je retranche 15 à Paul, il garde 203; j’ajoute 15 à François, il remonte à 205.
“Et ainsi de suite; d’un compte à l’autre, tout comme des piastres en papier vont d’une poche à l’autre.
Image”Si l’un de nous a besoin d’argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt. Il rembourse le crédit une fois la production vendue. Même chose pour les travaux publics.
On augmente aussi, périodiquement, les comptes  de  chacun  d’une  somme additionnelle, sans rien n’ôter à personne, en correspondance au
progrès social. C’est le dividende national L’argent est ainsi un instrument de service.

Désespoir du banquier

Tous ont compris. La petite nation est devenue créditiste. Le lendemain, le banquier Martin reçoit une lettre signée des cinq:

“Monsieur, vous nous avez endettés et exploités sans aucune nécessité. Nous n’avons plus besoin de vous pour régir notre système d’argent. Nous aurons désormais tout l’argent qu’il nous faut, sans or, sans dette, sans voleur. Nous établissons immédiatement dans l’Ile des Naufragés le système du Crédit Social. Le dividende national remplacera la dette nationale.
Image”Si vous tenez à votre remboursement, nous pouvons vous remettre tout l’argent que vous avez fait pour nous, pas plus. Vous ne pouvez réclamer ce que vous n’avez pas fait. Martin est au désespoir. C’est son empire qui s’écroule. Les cinq devenus créditistes, plus de mystère d’argent ou de crédit pour eux.

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“Que faire? Leur demander pardon, devenir comme l’un d’eux ? Moi, banquier, faire cela ?… Non. Je vais plutôt essayer de me passer d’eux et de vivre à l’écart.

Supercherie mise à jour

Pour se protéger contre toute réclamation future possible, nos hommes ont décidé de faire signer au banquier un document attestant qu’il possède encore tout ce qu’il avait en venant dans l’île.

D’où l’inventaire général: la chaloupe, la petite presse et… le fameux baril d’or.
Il a fallu que Martin indique l’endroit, et l’on déterre le baril. Nos hommes le sortent du trou avec beaucoup moins de respect cette fois. Le Crédit Social leur a appris à mépriser le fétiche or.
ImageLe prospecteur, en soulevant le baril, trouve que pour de l’or, il ne pèse pas beaucoup: “Je doute fort que ce baril soit plein d’or”, dit-il.
L’impétueux François n’hésite pas plus longtemps. Un coup de hache et le baril étale son contenu: d’or, pas une once !
Des roches – rien que de vulgaires roches sans valeur !…
Nos hommes n’en reviennent pas:
–”Dire qu’il nous a mystifiés à ce point-là, le misérable ! A-t-il fallu être gogos, aussi, pour tomber en extase devant le seul mot OR ! –”Dire que nous lui avons gagé toutes nos propriétés pour des bouts de papier basés sur quatre pelletées de roches ! Voleur doublé de menteur !
–”Dire que nous nous sommes boudés et haïs les uns les autres pendant des mois et des mois pour une supercherie pareille ! Le démon!
À peine François avait-il levé sa hache que le banquier partait à toutes jambes vers la forêt.

***

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Faire sa Part

En 1970, Louis Even écrivait, dans un article intitulé “Crédit Social, oui – Parti, non” que les gouvernements étaient menés par les Financiers, que changer le parti au pouvoir ne changeait absolument rien à cette situation. Mais il ajoutait aussitôt l’exemple de David terrassant le géant Goliath, avec sa fronde : toute une leçon nous est donnée là. Les créditistes se la font souvent rappeler et tâchent d’en tenir compte. Le Ciel veut quand même que nous fassions notre part, de notre mieux, mais sans nous fier uniquement à notre action. Le jeune David ne dit pas : “Je ne ferai rien, à quoi bon en face d’une force qui se rit de ma faiblesse?” Non, il fit sa petite part. Il prit les armes à sa portée – bâton, fronde, pierres – sans doute ridiculisé et traité de fou. Et Dieu fit le reste, la grosse part. Il a suivi son intuition.

« Le créditiste ne s’arrête ni devant sa propre faiblesse en face d’une force ennemie humainement invincible, ni devant des moqueries, des critiques, ni devant des trahisons. Il sait que chaque pas fait pour une cause juste, chaque témoignage rendu à une vérité, chaque rayon d’espoir communiqué à des abattus, chaque élévation d’âme ou chaque conversion suscitée par son exemple et par le message qu’il porte, est un gain. Et seuls les Anges savent ce que ce message, ces prières et ces exemples ont fait de bien. L’apôtre, s’il s’en rend compte, s’en réjouit, mais en rend grâce à Dieu. S’il l’ignore, s’il ne voit pas pousser le grain semé, il continue quand même de semer, de labourer, de peiner, dans la joie intérieure du désintéressement personnel, de l’unique recherche du bien pour ses frères. »

Nécessité du Crédit Social

L’intuition et la bonne volonté sont certainement nécessaires pour arrêter le plan des Financiers. Mais il faut aussi une technique, un moyen temporel pour contrecarrer le plan des Financiers. Et ce moyen, c’est la réforme du Crédit Social, conçue par l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, la seule que les Financiers

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craignent réellement, et qui mettrait fin à leur pouvoir de domination sur les nations.

Douglas avait tout d’abord cru qu’une fois sa découverte et ses implications auraient été portées à l’attention des gouvernements et de ceux responsables de l’économie, ils se seraient hâtés de l’appliquer. Mais Douglas fit aussitôt une autre découverte : les Financiers qui dirigeaient l’économie n’étaient nullement intéressés à changer le système financier actuel, que ses défauts étaient exactement ce qu’ils souhaitaient, et même entretenaient à dessein dans le but d’imposer leur solution d’un gouvernement mondial. Et alors, les Financiers firent tout pour stopper l’idée du Crédit Social : conspiration du silence dans les médias ; falsification intentionnelle de la doctrine de Douglas dans le but de la rendre vulnérable ; calomnies et ridicule contre les apôtres de Vers Demain ; création de partis politiques portant le nom de “Crédit Social”. Douglas écrivait dans son livre “Warning Democracy” :

« Le progrès des idées du Crédit Social fut si rapide entre 1919 et 1923, tant ici (en Grande-Bretagne) qu’à l’étranger, et des commentaires favorables en parurent si abondamment dans les pages des journaux, que les intérêts menacés par ces idées s’en alarmèrent considérablement et prirent des mesures jugées par eux efficaces pour endiguer leur publicité. »

« En ce pays (Grande-Bretagne), l’Institut des Banquiers alloua une somme de 5 millions de livres (équivalant alors à 24 millions de dollars), pour combattre les idées dites “subversives” émises par nous-mêmes, ou par d’autres qui oseraient mettre leur nez dans le système financier. Les grandes associations de presse reçurent des directives expresses leur enjoignant de ne jamais mentionner notre nom dans la presse publique. Les journaux métropolitains, tant de ce pays que des États-Unis, ne devaient publier ni correspondance ni articles portant sur ce sujet. Malgré cela, l’enquête parlementaire canadienne sur les questions bancaires, devant laquelle je fus appelé à témoigner à Ottawa, en 1923, eut comme effet d’exposer, d’une part, l’ignorance de problèmes fondamentaux même par des banquiers notoires, et d’autre part, jusqu’où la puissance financière était prête à aller pour garder le contrôle de la situation. »

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Le moment psychologique

Douglas a prédit que le système actuel d’argent-dette des banquiers finirait par devenir insoutenable et s’effondrerait de lui-même. On n’a qu’à penser aux dettes énormes des pays civilisés, on s’en va tout droit vers la catastrophe, tout en sachant très bien qu’elles ne pourront jamais être remboursées. D’autres facteurs annoncent cet écroulement du système : l’automation qui rend impossible le plein emploi, la chute du dollar américain comparativement au yen japonais, etc.

Douglas disait qu’il viendra un “moment psychologique”, un moment critique où la population, étant donné la gravité de la situation, et cela malgré toute la puissance des financiers, aura assez souffert de leur système d’argent-dette qu’elle sera disposée à étudier et accepter le Crédit Social. Douglas écrivait ce qui suit en 1924, dans son livre “Social Credit” :

« En raison de son importance, la situation sera épouvantable. Une période relativement courte permettra probablement de décider si nous pouvons maîtriser la puissante machine économique et sociale que nous avons créée, ou si c’est elle qui nous maîtrisera. Durant cette période, la moindre impulsion de la part d’un groupe d’hommes, qui savent quoi faire et comment le faire, pourra être la différence entre un nouveau recul dans l’âge des ténèbres, ou l’avènement en pleine lumière d’une ère d’une telle splendeur, que nous pouvons à peine imaginer. C’est cette nécessité de la connaissance du moment psychologique, et du choix de l’action appropriée, qui devrait être présente à l’esprit de cette minorité consciente de la gravité des temps présents. »

Louis Even, à la fin de son article déjà cité (“Crédit Social, oui – Parti, non”), reprend cette idée de Douglas :

« Les créditistes maintiennent, comme Douglas, qu’en matière de Crédit Social, le travail efficace à faire est d’éclairer la population sur le monopole du crédit financier, lui imputant les fruits mauvais dont il est la cause dans la vie des personnes, des familles, des institutions ; et, en regard, exposer la doctrine lumineuse, si

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conforme au bon sens, du Crédit Social authentique. Ils s’efforcent aussi de développer chez eux-mêmes et rayonner l’esprit créditiste : esprit de service et non de domination, et non de poursuite insatiable d’argent ou de biens matériels qui est de même nature, avec des moyens moins puissants, que l’esprit des seigneurs de la Haute Finance. »

« Que vienne l’écroulement du système sous le poids de ses propres énormités, ou qu’adviennent des événements maintes fois prédits par des âmes privilégiées et dont on ne peut guère douter à la vue de la décadence des mœurs, de l’apostasie, de la paganisation des peuples qui furent les mieux nantis de biens matériels – dans l’un ou l’autre cas, les vivants ou survivants d’alors ne seront pas sans lumière pour se donner un organisme économique et social digne du nom. »

Quelques citations qui avaient leur place…

“Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.” – Napoléon Bonaparte (1769-1821), Empereur français

“La plupart des erreurs des hommes ne tiennent point tant à ce qu’ils raisonnent mal à partir de principes vrais, mais bien plutôt à ce qu’ils raisonnent juste à partir de principes faux ou de jugements inexacts”. – Fénelon (1651-1715)

“Les électeurs doivent insister pour que l’émission de l’argent soit placée entre les mains du gouvernement, auquel elle appartient de droit.” – Carr

“Le crime est souvent fécondé par l’injustice.” – Youssoupha

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La préhistoire du système monétaire :

de la déclaration d’indépendance en 1776 à la crise de 1907

L’action des “barons voleurs” et la décision de 1913 qui en sera le point d’orgue n’est pas un acte isolé. C’est le dernier et le plus décisif des coups de boutoir des financiers dans la guerre féroce, tant en Europe qu’en Amérique, entre le pouvoir politique et le pouvoir des banquiers, et notamment celui des Warburg et des Rothschild d’Angleterre. Cette guerre durait depuis la Déclaration d’indépendance des colonies anglaises. Elle se termina par une victoire par KO de la finance internationale sur le pouvoir politique de l’État naissant et ouvrit la voie à une domination exponentielle des financiers sur le monde entier.

La bataille avait d’ailleurs commencé avant même la déclaration d’indépendance, en 1776, lorsque les banquiers de la City de Londres réussirent à faire voter par le gouvernement anglais une loi qui interdisait aux treize colonies d’Amérique de créer une monnaie locale, le Colonial Script, et de n’utiliser, pour leurs échanges, que la monnaie or et argent des banquiers. Comme cette monnaie était obtenue moyennant un intérêt, elle devenait automatiquement une dette des colonies.

Les monétaristes l’appellent une monnaie-dette et cette monnaie est un rackett permanent des banques sur l’État soumis à ce régime.

Au moment de la déclaration d’indépendance du nouvel État, méfiants, les Pères fondateurs inscrivirent dans la Constitution américaine signée à Philadelphie en 1787, dans son article 1, section 8, § 5, que “c’est au Congrès qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur”.

Thomas Jefferson était si persuadé du rôle pervers des banquiers internationaux qu’il a pu écrire : “Je considère que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu’une armée. Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d’elles vont dépouiller les gens de leurs biens jusqu’au jour

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où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leurs Pères avaient conquis.’

Et voilà comment Jefferson a prophétisé, il y a plus de deux siècles, la crise actuelle des “subprime”, qui jette de plus en plus de citoyens américains à la rue.

Mais les banquiers ne s’avouèrent pas vaincus. Ils trouvèrent des soutiens auprès du nouveau gouvernement et notamment auprès du Secrétaire au Trésor, Alexander Hamilton et du Président George Washington lui-même. Ils obtinrent en 1791 le droit de créer une banque, abusivement appelée Banque des États-Unis de manière à faire croire qu’il s’agissait d’une banque de l’État central alors que c’était une simple banque privée appartenant à ses actionnaires.

Cette banque privée obtint, pour vingt ans, le privilège d’émettre la monnaie-dette du nouvel État.

Lorsqu’au bout de vingt ans, le Président Jackson voulut mettre fin à ce droit exorbitant, sortir du cycle de la monnaie-dette et revenir au droit inscrit dans l’art. 1 de la Constitution, les banquiers anglais, menés par Nathan Rothschild, suscitèrent en 1812, sous divers prétextes commerciaux – taxe sur le thé – et maritimes – contrôle des navires – une guerre de l’Angleterre contre ses anciennes colonies et ils mirent en action toute leur puissance financière afin de ramener le nouvel État au rang de colonie. “Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur avait crié le Président Jackson. J’ai l’intention de vous déloger, et par le Dieu Éternel, je le ferai !”

Mais il échoua à les déloger et les banquiers eurent le dernier mot.

En 1816, les privilèges de la Banque des États-Unis étaient rétablis et les banquiers menés par la famille Rothschild avaient définitivement terrassé les hommes politiques qui, comme Jefferson et plus tard, Lincoln, tentèrent de s’opposer à leur racket.

C’est donc à juste titre que James Madison (1751-1836) , le quatrième Président des États-Unis a pu écrire: “L’histoire révèle que les banquiers utilisent toutes les formes d’abus, d’intrigues, de

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supercheries et tous les moyens violents possibles afin de maintenir leur contrôle sur les gouvernements par le contrôle de l’émission de la monnaie. “

Car il s’agit bien d’un racket. La guerre que mena – et perdit – Abraham Lincoln contre les banquiers en est une nouvelle illustration éclatante.

Durant la guerre de Sécession (1861-1865), la banque Rothschild de Londres finança les Fédérés du Nord, pendant que la banque Rothschild de Paris finançait les Confédérés du Sud en application d’un scénario mis au point en Europe durant les guerres napoléoniennes. Les deux groupes, profitant de la situation, exigeaient des intérêts usuraires de 25 à 36%.

Le président Lincoln, qui avait percé à jour le jeu des Rothschild refusa de se soumettre au diktat des financiers européens et, en 1862 , il obtint le vote du Legal Tender Act par lequel le Congrès l’autorisait à revenir à l’art. 1 de la Constitution de 1787 et à faire imprimer une monnaie libérée du paiement d’un intérêt à des tiers – les dollars “Green Back” – ils étaient imprimés avec de l’encre verte. C’est ainsi qu’il a pu, sans augmenter la dette de l’État, payer les troupes de l’Union.

” Le pouvoir des financiers tyrannise la nation en temps de paix et conspire contre elle dans les temps d’adversité. Il est plus despotique qu’une monarchie, plus insolent qu’une dictature, plus égoïste qu’une bureaucratie. Il dénonce, comme ennemis publics, tous ceux qui s’interrogent sur ses méthodes ou mettent ses crimes en lumière. J’ai deux grands ennemis : l’armée du sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis.”

Il aurait ajouté ces paroles prémonitoires : ” Je vois dans un proche avenir se préparer une crise qui me fait trembler pour la sécurité de mon pays. […] Le pouvoir de l’argent essaiera de prolonger son règne jusqu’à ce que toute la richesse soit concentrée entre quelques mains. ” (Letter from Lincoln to Col. Wm. F. Elkins, Nov. 21, 1864).

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Lincoln voyait clairement combien il était néfaste pour une nation souveraine que des puissances autres que l’État central aient le pouvoir de créer la monnaie. Il a été tué à Washington le 14 avril 1965 par John Wilkes Booth qui lui tira une balle dans la tête alors qu’il assistait à une représentation théâtrale dans la loge du Ford’s Theater.

Les causes réelles de sa mort n’ont pas été élucidées, bien que la version officielle prétende toujours que son assassin vengeait la défaite des sudistes. De nombreuses recherches, abondamment documentées, orientent la recherche de la vérité vers un complot beaucoup plus complexe et révèlent, notamment, que Booth reçut à ce moment-là des sommes d’argent très importantes de la part d’hommes d’affaires connus et qu’il bénéficia de nombreuses et efficaces complicités, tant pour accomplir son crime que pour quitter les lieux.

Toujours est-il que le successeur de Lincoln, Andrew Johnson, semble, lui, n’avoir eu aucun doute quant à la cause de la mort de son prédécesseur : il a immédiatement et sans donner d’explication, suspendu l’impression des greenbacks et les États-Unis sont revenus à la monnaie-dette des banquiers.

Le 12 avril 1866, le Congrès officialisait sa décision par le vote du Contraction Act qui stipulait que les billets greenbacks de Lincoln seraient progressivement retirés de la circulation monétaire.

Il est une autre personnalité qui elle non plus, n’avait aucun doute sur les commanditaires de l’assassinat perpétré par Booth, c’est Otto von Bismarck, Chancelier de Prusse depuis 1862, qui écrivait : “La mort de Lincoln fut un désastre pour la chrétienté. Il n’y avait pas dans tous les États-Unis d’homme qui méritât de seulement porter ses bottes. Je crains que les banquiers étrangers ne dominent entièrement l’abondante richesse de l’Amérique et ne l’utilisent systématiquement dans le but de corrompre la civilisation moderne. Il n’hésiteront pas à précipiter les États chrétiens dans les guerres et le chaos, afin de devenir les héritiers de la terre entière.”

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John Fitzgerald Kennedy et la nouvelle tentative de réforme monétaire

Il est impossible de ne pas évoquer, à la suite de celle du Président Lincoln, la tentative du Président John Fitzgerald Kennedy de dépouiller la FED de sa puissance, tellement elle lui est parallèle. Elle eut lieu un siècle exactement après celle de Lincoln. Les coïncidences biographiques, politiques et même numérologiques qui rapprochent les destins de ces deux hommes politiques sont, il faut le reconnaître, tout à fait extraordinaires et ont fait saliver de nombreux Sherlock Holmes amateurs. Leurs morts violentes semblent les avoir liés pour l’éternité dans un parcours historique en miroir.

En effet, le 4 juin 1963, le Président Kennedy signait l’Executive Order n° 11110 (4) par lequel le gouvernement retrouvait un pouvoir inscrit dans la Constitution, celui de créer sa monnaie sans passer par la Réserve Federale. Cette nouvelle monnaie, gagée sur les réserves d’or et d’argent du Trésor, rappelait les greenbacks et le coup de force du Président Lincoln.

Le Président Kennedy fit imprimer 4,3 milliards de billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 100 dollars. En 1994 il restait l’équivalent de 284 125 895 dollars en circulation aux États-Unis, détenus, probablement par des collectionneurs (source: The 1995 World Almanac).

Les conséquences de l’Executive Order nº 11110 étaient énormes. En effet, d’un trait de plume John Fitzgerald Kennedy était en passe de mettre hors jeu tout le pouvoir que les banques privées de la FED s’étaient arrogé depuis 1816 et qu’elles détenaient officiellement depuis 1913. Car, si, dans un premier temps, les deux monnaies avaient circulé parallèlement, la monnaie d’État, gagée sur les réserves d’argent, aurait fini par terrasser la monnaie créée ex nihilo par les banquiers. Cette nouvelle monnaie aurait considérablement diminué l’endettement de l’État, puisqu’elle éliminait le paiement des intérêts.

Les 26 volumes du rapport Warren n’ont pas réussi à apporter une explication crédible à l’assassinat du Président Kennedy à Dallas le

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26 novembre 1963, cinq mois après sa réforme monétaire. Il n’est nul besoin d’être un ” complotiste ” primaire ou secondaire pour n’accorder qu’un crédit poli à la thèse officielle, non pas seulement à cause de l’analyse des conditions de l’exécution, mais parce que le fait que tous les témoins oculaires de l’événement soient morts dans les deux ans ; que la disparition ou l’élimination de 400 personnes en relations même lointaines avec cet événement – y compris le personnel médical de l’hôpital Parkow où Kennedy a été admis, du portier au personnel médical, ainsi que des proches du tireur accusé, Lee Harvey Oswald – que tous ces événements soient le fruit du hasard relève d’un pourcentage de probabilités si infinitésimal qu’il est proche du zéro absolu. Le calcul des probabilités devient un juge plus efficace que n’importe quelle vérité officielle.

De puissants comploteurs ont donc sévi, y compris longtemps encore après le crime initial. Parmi les innombrables pistes avancées par les uns et par les autres, la piste monétaire était évidemment tentante. Elle fut relativement peu explorée au début de l’enquête. Cependant, beaucoup la tiennent pour d’autant plus avérée qu’ils rapportent une phrase du père du Président, Joseph Kennedy, lorsqu’il apprit la décision de réforme monétaire de son fils : ” Si tu le fais, ils te tueront”.

Le message semble, une nouvelle fois avoir été reçu cinq sur cinq par le Vice-président Lyndon B. Johnson, devenu Président par la grâce de cet assassinat. Comme son homonyme Andrew Johnson un siècle auparavant, et avec une célérité particulièrement remarquable, il suspendit la décision monétaire prise le 4 juin 1963 par le Président assassiné alors que le cadavre de ce dernier n’était pas encore froid.

“L’ordre exécutif 11110 a été abrogé par le Président Lyndon Baines Johnson, trente-sixième président des États unis – de 1963 à 1969 – alors qu’il se trouvait dans l’avion présidentiel AirForce One, entre Dallas et Washington, le jour même de l’assassinat du Président Kennedy ” écrivait un chroniqueur. Cette affirmation n’est pas exacte : le décret présidentiel n’a jamais été officiellement abrogé, mais son application fut suspendue. Fut abrogée l’autorisation d’imprimer de nouveaux billets et de frapper de

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nouvelles pièces, si bien que l’Executive Order n° 11110 demeure officiellement en vigueur … dans la stratosphère.

Cet assassinat était peut-être un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à John Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette. John Fitzgerald Kennedy aurait payé de sa vie cette provocation à la puissance de la finance internationale. Mais nous sommes là dans le domaine des innombrables coïncidences troublantes qui ont jalonné la vie de ce Président même si la célérité de la décision du Président Johnson donne du crédit à cette supposition. Eustace Mullins rappelle que le Président Abraham Garfield avait lui aussi été assassiné le 2 juillet 1881 après avoir fait une déclaration sur les problèmes de la monnaie. Que de coïncidences !

Depuis le Président Kennedy, aucun successeur ne s’est avisé d’apporter la moindre réforme au fonctionnement de la FED.

De plus, des Israéliens s’étant félicité de ce que l’élimination de J.F. Kennedy ait laissé le champ libre à l’accession d’Israël au statut de puissance nucléaire, cette conséquence s’est métamorphosée en cause pour certains.

En effet, le journal israélien Ha’aretz 5 février 1999 écrivait, dans sa critique de l’ouvrage d’Avner Cohen, “Israël et la bombe:

“L’assassinat du Président américain John F. Kennedy mit un terme brutal à la forte pression de l’administration des États-Unis sur le gouvernement d’Israël afin de l’amener à interrompre son programme nucléaire… ” L’auteur ajoute que ” si Kennedy était resté vivant, il est douteux qu’Israël ait aujourd’hui une défense nucléaire.” Le Président Kennedy avait, en effet, fermement annoncé au Premier Ministre israélien David Ben Gourion qu’en aucun cas il n’accepterait qu’Israël devînt une puissance nucléaire.

Peut-être faudra-t-il encore vingt-six autres volumes d’enquête pour éclaircir cette énigme ?

267  Copyright © Aout 2008

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