Scandales à l’inauguration du tunnel du Saint Gothard.
Les illuminatis ne se cachent même plus, ils s’exposent…


Prosternation des figurants devant un ange déchu à la tête de bébé mort-né….
Vénération d’un bouc… avec scène sexuelle… 




Stop aux sociétés secrètes suisses & illuminatis. 4Si au Gothard

Main courante d’antipresse:

SUISSE | Gothard, portail des enfers?
Un étrange spectacle a marqué l’ouverture du plus long tunnel du monde. 


Procession d’ouvriers-zombies mécanisés, scènes d’esclavage, symboles de vie inversés, vénération d’un bouc et — apothéose — prosternation des figurants devant un ange déchu à la tête de bébé mort-né. 


On peut y voir un hommage aux divinités telluriques et païennes, ou alors un culte satanique aux symboles très explicites. 


Les médias suisses n’ont livré aucun commentaire approfondi sur le sens de cette étrange cérémonie. Laissant du coup le terrain libre aux spéculations des internautes.

https://www.google.ch/search?client=safari&rls=en&q=gotthard+satanic+ceremony&ie=UTF-8&oe=UTF-8&gfe_rd=cr&ei=pSNcV9Qyx9TyB8W3iYgF#q=gotthard+satanic+ceremony&start=10


Commentaire:


Quel est le sens de ces types de “cérémonies” qui relèvent du monde chtonien, souterrain, sinon infernal? … 
Là où les hommes ne devraient pas s’immiscer, sinon uniquement pour réaliser leurs stricts besoins légitimes avec tout le respect dû de la Création, voici la Kabale qui s’en mêle ! À ma connaissance, il n’y eut jamais dans les époques antérieures où l’on réalisa des ouvrages du même type, c’est à dire, l’ensemble des tunnels percés dans les Alpes (et ailleurs) depuis le 19ème siècle. Par exemple, à l’époque du Royaume de Sardaigne, l’on perça le tunnel de Fréjus sous le Mont Cenis reliant Modane (Savoie) à Bardonnechia (Piémont) Italie, il n’y eut rien de comparable (bien compris que les époques ont changées du tout au tout) sinon seulement des inaugurations classiques. 
En souhaitant me tromper, la présence à l’inauguration du tunnel sous le St-Gothard du couple infernal Merkel-Hollande n’augure rien de bon tout comme ces “cérémonies” déplacées et aberrantes. Qui donc a décider d’organiser ces frasques ? C’est presque une insulte à ceux qui ont produit par leur travail ce tunnel. De quoi les hommes se mêlent-ils à présent ??

Saint Michel Archange, de votre épée épargnez-nous !

Renaud


L’amour de l’argent est la racine de tous les maux http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/02/banquiers-il-faut-rembourser-largent.html

Incroyable ! Est-ce réel ?


Inauguration du tunnel du st Gothard il y a quelques jours !
j’ai rarement vu une cérémonie avec autant d’éléments ouvertement occultes et sataniques.

N’oublions pas que cette inauguration a eu lieu le 1er juin, jour d’ouverture du mois du Sacré-Coeur. Satan est vraiment au faîte de sa puissance, c’est trop visible.

« Les Suisses ont mis sur l’une des cérémonies d’ouverture auprès les plus bizarres de l’histoire à marquer l’achèvement du plus long tunnel du monde. Célèbre pour leurs trains, les organisateurs encordés dans plus de 600 danseurs, acrobates et acteurs dramatiques et même composé très propre thème musical de la nouvelle route comme ils ont tiré tous les arrêts pour l’inauguration de mercredi dans le tunnel du nord du portail à Erstfeld. 

La chancelière allemande Angela Merkel, le président François Hollande de la France et le Premier ministre italien Matteo Renzi sont tous venus dans le sud de la Suisse pour, une célébration fastueuse optimiste, avec des groupes de musique et des danseurs. »

Tout comme la bénédiction du tunnel y compris par l’imam (alors que l’islam n’est pas une religion reconnue … en SUISSE …).
PS : et pour éviter tout équivoque, la conseillère fédérale en charge des transports (donc du tunnel)


Le groupe de rock AC/DC a enchanté des milliers de spectateurs dimanche à Berne. Dans le public figuraient notamment Doris Leuthard, vêtue d’un perfecto en cuir noir, et l’ancien président du PLR Philippe Müller. Et ils n’ont pas boudé leur plaisir: comme de nombreux fans, ils ont des cornes rouges, emblème des rockeurs australiens depuis belle lurette. Les deux politiciens ont même été immortalisés dans une photo qui circule sur Twitter.
Pas approprié
Mais cette attitude décontractée n’est pas du goût de certains milieux conservateurs. «Se montrer avec des cornes clairement identifiées comme sataniques n’est pas approprié de la part d’une conseillère fédérale», critique ainsi Erich Vontobel, député au Grand conseil zurichois et membre de l’Union démocratique fédérale (UDF)….

“Élection” de Doris Leuthard au Conseil fédéral suisse 

Fraudes, un rappel des tricheries contre M. Letellier + …




Résistances:






Chaque scrutateur compte son petit tas et se garde bien de vérifier ceux de ses voisins…Fraudes trop faciles…



Après le vote, les parlementaires, élus pour ce faire, comptent les voix et les bulletins. Pas question de mettre en doute le décompte annoncé par le scrutateur d’à côté. C’est ainsi depuis la création de la Suisse moderne, en 1848.
Mercredi, chacun des huit parlementaires chargés de dépouiller les bulletins de l’élection au Conseil fédéral pourrait tricher en toute impunité
Philippe Miauton – le 12 septembre 2009, 23h19
Le Matin Dimanche
1 commentaire
L’amateurisme régnera à nouveau dans la petite salle du dépouillement le 16 septembre pour l’élection du successeur de Pascal Couchepin. Car aucune règle formellement écrite ne décrit en détail le décompte effectué par les parlementaires scrutateurs. «Une fois les bulletins sur la table, chacun prend un tas. Certains ont 40 billets d’autres 20, c’est aléatoire», décrit l’un d’eux. Et pas question de compter le tas de son voisin ni même de le surveiller.
Les scores annoncés par les huit scrutateurs constituent l’unique vérification, chacun se faisant une confiance aveugle. En clair: si un scrutateur avait l’idée saugrenue de tricher, il pourrait le faire en toute impunité.
Bulletins à la broyeuse
Car aucun recomptage n’est effectué. Pire, une fois le résultat transmis au président de l’Assemblée, impossible d’effectuer un contrôle ultérieur. «Tous les bulletins sont directement passés à la broyeuse», explique Christoph Lanz, secrétaire générale de l’Assemblée fédérale.
Les situations sont parfois rocambolesques. Le mercredi 10 décembre 2008, un bulletin égaré prolonge les calculs. La perte s’est en fait révélée n’être qu’une simple erreur dans les décomptes. Souvent, c’est un bulletin indéchiffrable qui complique la tâche. «Maurer ou Walter, seul le «er» de la fin du nom était lisible», reconnaît un scrutateur. Faute de pouvoir décrypter le papier, le billet est finalement déclaré nul.
Ce jour-là, ce n’est pourtant que d’une voix – 122 contre 121 -, que l’UDC Ueli Maurer l’emporte face à son collègue Hansjörg Walter. Dans un autre pays, une situation similaire aurait entraîné un recomptage automatique. Pas en Suisse.
Mais, il s’en est fallu de peu pour que l’élection prenne une tout autre tournure. Lors du troisième tour, confirme plusieurs scrutateurs, le nom de Hansjörg Walter est écrit sur le bulletin d’un parlementaire. Toutefois, son nom est biffé et celui d’Ueli Maurer est noté en dessous. Le chef du dépouillement, un juriste du service du Parlement, estime que le bulletin est valable. Le vote est donc reporté dans la colonne d’Ueli Maurer.


Georges Letellier


Candidat au Conseil fédéral, printemps 2006

Genève, le 16 juin 2006


Où sont donc passées les 24 voix annoncées ?

Il semblerait que la presse arrange les choses quelque peu. Le résultat réel de l’élection au Conseil fédéral, donnant une minorité symbolique à Georges Letellier, est passé sous silence. Doris Leuthard est élue avec un score soviétique, comme si le parlement suisse ne cherchait même plus à se donner une apparence démocratique. Réaction de notre candidat :Le chiffre nous a été communiqué à chaud par un employé du Palais fédéral, me demandant de me préparer à intervenir devant l’Assemblée. Les 4 ou 5 personnes présentes à ce moment, dont J. C. Kollros (qui a fait la traduction du suisse-allemand en français), ont entendu les propos du fonctionnaire :D. Leuthard ne va pas passer au premier tour, vous êtes le candidat le mieux placé. Préparez-vous à faire une intervention, suivez moi. Nous avons alors escaladé les gradins avec lui, j’ai sorti le discours que j’avais préparé au cas où, et nous avons attendu les instructions de la Chancellerie. Nous les attendons toujours…
Vous connaissez la suite : boycott total du citoyen Letellier. Je l’avais prévu, les 80 millions de subventions par année que touchent les groupes de presse doivent bien servir à quelque chose !
Georges Letellier

Georges Letellier,
avenue Théodore-Flournoy 3,
CH-1207 Genève,
tél. + 41 (0)22 736 70 47,
fax + 41 (0)22 736 70 65,

Lettre recommandée ( LSI )
Monsieur
Le Président de l’
Assemblée fédérale
3003 Bern

Genève, le 14 juillet 2006

Préambule au recours :

J’attire votre attention sur le fait que je ne suis pas avocat et que si la teneur de cette demande n’est pas conforme aux procédures judiciaires, il y a lieu de tenir compte de la jurisprudence suisse en la matière : …

En fait :
Droit de recours dans les 30 jours civils dès les faits. Il est déposé dans les temps.
M. Georges Letellier était candidat à la dernière élection au Conseil fédéral. Le chef des services de sécurité est venu le chercher à la galerie du public et l’a invité à préparer un discours après le 2ème tour, vu le nombre de voix sur son nom. Cette invitation n’a jamais été honorée.
33 voix se sont portées sur les « petits » candidats.
Le décompte n’alloue pas ces voix.
Les bulletins ont été détruits.
La lettre de vos services n’indique pas de voie de recours à leurs décisions.

DROIT

–    Loi fédérale d’organisation judiciaire, du 16 décembre 1943:
     –  art. 43, al. 2 et 68 (recours en réforme et recours en nullité, dans la mesure où la cognition du Tribunal fédéral est limitée quant aux faits et qu’aucune autorité judiciaire cantonale ne les a examinés avec plein pouvoir d’examen);
     –  art. 83 (réclamations de droit public, procédures dans lesquelles le Tribunal fédéral connaît de certains litiges en instance unique);
     –  art. 84 (recours de droit public au Tribunal fédéral contre les actes étatiques cantonaux, lorsque les autorités cantonales ou le Tribunal fédéral n’ont qu’une cognition limitée des faits ou du droit);
     –  art. 105, al. 2 (recours de droit administratif au Tribunal fédéral dirigé contre une décision d’un tribunal cantonal ou d’une commission de recours, dans la mesure où le Tribunal fédéral est lié par les faits constatés dans la décision de ces organes);
–    Loi fédérale sur la procédure administrative, du 20 décembre 1968:
     –  art. 44 ss (procédure de recours administratif devant le Conseil fédéral et les autorités fédérales administratives de recours);
     –  art. 71 (dénonciation auprès d’une autorité de surveillance de faits imputables à une autorité administrative fédérale);
     –  art. 79 (recours à l’Assemblée fédérale contre certaines décisions administratives et contre les décisions sur recours prises par le Conseil fédéral en vertu de l’art. 79, al. 1, let. a Constitution fédérale), délai à 30 jours.
·         Loi fédérale sur le principe de la transparence dans l’administration (Loi sur la transparence, LTrans)   (RO 2006 2319)
J’invoque donc subsidiairement les garanties minimales en matière de procédure déduites par le Tribunal fédéral de l’art. 4 de la Constitution fédérale (qui assure l’égalité devant la loi), ainsi que des garanties minimales fixées par la Convention européenne des droits de l’homme (et par d’autres conventions internationales). Ces principes et garanties valent pour toutes les procédures, même s’ils ne sont pas repris expressément (ce qui est cependant le cas normal) dans les dispositions de procédures. C’est ainsi que dans toute procédure il existe en règle générale, le droit d’être entendu, avec comme corollaire le droit de consulter le dossier, de participer à l’administration des preuves, le droit de voir son cas jugé dans un délai raisonnable par une autorité indépendante et impartiale, le droit de faire réexaminer son cas par une autorité de recours, etc.; en outre, tout participant à une procédure doit agir en respectant le principe de la bonne foi, ce qui signifie que l’abus de droit ne peut pas profiter à celui qui le commet, surtout dans ce cas qui touche les fondements de notre état démocratique.
Plusieurs fondements de la démocratie suisse sont violés, notamment :
L’article 4 de la Constitution fédérale qui consacre notamment le principe général de l’égalité de traitement. D’autres droits sont violés, notamment : L’égalité de traitement à un observateur lors du dépouillement, Droit d’être entendu. Droit de Recours et de participer à l’enquête, avec notamment les questions suivantes : qui était présent lors du dépouillement, qui a tenu le procès-verbal, peut-on en obtenir une copie ou au moins le lire ? Arbitraire. Principe de transparence. Déni de justice.
Conclusions :
Que les résultats soient publiés.
Que tous les candidats puissent assister au dépouillement des prochaines élections.
Toute autre mesure rendue nécessaire suite à la procédure.

Je voudrai aussi que toutes les pièces soient au dossier, y compris la correspondance et les articles de presse.

Je vous présente, Monsieur le Président, l’expression de ma considération distinguée.

Sujet : Notre recours du 14 juillet et votre réponse du 3 août 2006.

Monsieur,

Votre courrier daté du 3 août 2006 en réponse à notre courrier du 14 juillet 2006 (reçu dans une enveloppe sans indication de date d’expédition, ni timbre), nous est bien parvenu… le 11 ct et a retenu toute notre attention. En effet, outre cet envoi et ce délai peu usuel, nous devons malheureusement constater d’autres «anomalies».

En voici un inventaire succinct, et pour quels 7 points nous vous saurions gré – au vu de ce qui précède – d’apporter réponse, car la Démocratie suisse est ici en jeu, de surcroît, à sa plus haute charge et fonction.

1. Votre courrier ne porte aucune référence, et ne comporte également aucune mention de C.c. Devons-nous ainsi conclure que l’ensemble des personnes mentionnées dans votre courrier (du Président de la Confédération aux Parlementaires des deux Chambres qui furent scrutateurs le jour de l’«Election» de Madame Doris Leuthard, en passant par Madame la Chancelière de la Confédération) ne sont pas informées de vos réponses à notre courrier du 14 juillet 2006 ?

2. Avez-vous, en interne (suite au passage chez le Président le la Confédération et la Chancellerie), bien reçu l’ensemble des annexes de notre courrier, car nous sommes aussi étonnés par certaines lacunes dans vos réponses ?

3. Principalement, votre absence de toute réponse à notre recours, qui «trouverait» justification par le biais de votre réponse groupée à nos questions 6. et 7., à savoir qu’il n’y a (voir le libellé exact de votre réponse 1.) … aucune possibilité de recours ?

4. Ce constat est si énorme (sic!), et tendrait à prouver que les partis en place verrouillent une chasse gardée à tous les échelons, comme le confirment les scandales démocratiques passés lors d’élections et de votations dans plusieurs cantons, que nous nous «gênons» presque de vous poser la question (en sus de Constitutionnalistes suisses et étrangers d’ores et déjà choqués), pourquoi les Elections au Conseil fédéral sont-elles régie par le «principe de la confidentialité» (porte béante pour toutes les fraudes électorales, ici au détriment de Candidats indépendants) et pour le surplus, par un droit, voire des lois assimilant une telle Election à des travaux d’une Commission parlementaire ?

5. N’ayant reçu de votre part que des réponses très partielles et notamment pour la question 6, nous redemandons si les scrutateurs ont tenu un Procès-verbal du dépouillement qui leur aurait permis de vérifier la véracité des résultats annoncés à la Tribune, et qui n’offrent ainsi et à ce jour aucune garantie de fiabilité en tant que tel ?

6 : D’autant plus que Monsieur André Reymond, Conseiller national UDC de Genève, a affirmé avoir été scrutateur et, à ce titre, a discrédité M. Georges Letellier, notre candidat, en affirmant que celui-ci n’avait reçu aucune voix. Quels sont vos commentaires à ce sujet ?

7. Le Conseil fédéral et Madame Doris Leuthard sont-ils au courant des «détails» de votre procédure lacunaire et peu respectueuse des usages démocratiques suisses ?

En résumé, nous avons vraiment besoin de Glasnost aussi en Suisse, comme le confirme la nouvelle loi sur la transparence, et de simplement savoir le résultat par candidat, au moins celui de M. Letellier, qui y a droit en vertu du principe d’égalité.

Mouvement Citoyen Suisse
Grand-Vennes 25
1010 LAUSANNE


                                Recommandé

                                A l’attention de
                                Monsieur John CLERC
                                Secrétaire général adjoint
                                Assemblée fédérale
                                CH-3003 BERNE


                                Lausanne, le 5 septembre 2006


Concerne : votre courrier du 15 août 2006 en réponse à notre recours


Monsieur le Secrétaire général adjoint,

Au nom du Mouvement Citoyen Suisse et de M. Georges Letellier, Candidat du MCS à l’Election au Conseil fédéral, nous vous remercions d’abord pour votre clarification (suite aux allégations d’un Conseiller national genevois et Scrutateur auto proclamé), comme apportée au 3ième paragraphe de votre courrier cité en marge.

Nous y retiendrons ainsi votre liste de Scrutateurs, comme véridique et définitive.

Ceci admis, le reste de vos «réponses» nous laissent perplexes et insatisfaits à juste titre. Voici les nôtres – en regard des traditions démocratiques suisses et des lois qui en assurent le sain fonctionnement – dans l’ordre de vos paragraphes :

1. «J’accuse réception de votre lettre du 14 août au sujet d’un soit-disant recours contre l’élection du Conseil fédéral du 14 juin 2006.»

Nous avons, en effet, fait recours dans les délais, dans les formes et sur le fond, mais aussi sur la base de diverses lois en force, sans jamais avoir reçu de réponses satisfaisantes, ni de votre part, ni de vos Services… ni de la Chancellerie.

Pour le surplus, nous ne faisons pas recours contre ladite Élection en tant que telle, mais contre les nombreuses irrégularités et «pratiques» qui ont émaillé sa tenue, sans garantie aucune de fiabilité du «résultat» annoncé, ni égalité de traitement et de transparence pourtant garantie par des lois votées au Parlement (PJ précédentes).

Enfin, la destruction immédiate (sic!) des bulletins de vote par vos «soins» est déjà, en soi, un aveu plausible de fraude électorale, comme relevé par certains Média.

2. «Il n’y a pas de recours possible contre une Élection par l’Assemblée fédérale (arrêt du Tribunal fédéral du 6 novembre 2003) …

Même en cas de fraude électorale ? Nos Parlementaires fédéraux et le Souverain serait-il d’accord avec votre réponse, sinon même, avec l’arrêt précité du TF ?

./..



– 2 –

D’autant plus que la «méthodologie» utilisée par vos Services, et N.B. non pas par l’Assemblée fédérale en tant que telle, est complètement contraire aux lois et aux us et coutumes démocratiques, tant au plan communal, que cantonal… et fédéral.

Faut-il ajouter que cet arrêt du TF annexé (votre référence : 1P.658/2003 /bmt ?) est effectivement un déni complet de l’esprit démocratique de nos lois et Institutions, s’il ne fallait ajouter qu’il traita de l’Election de Juges et non pas de Conseillers fédéraux.

Du travail pour tous les Citoyen(ne)s suisses et pour tout Parlementaire lucide.

… Mme Leuthard a été élue conseillère fédérale puis a été assermentée. …

La méthode Coué n’est de loin pas le garant fiable d’une Élection sans fraude !

… Elle a pris ses fonctions le 1 aoùt 2006.»

Dito, et bien triste jour pour la plus vieille Démocratie au monde et sa transparence.

4. «Toutes les personnes qui avaient à recevoir une copie de ma lettre l’ont reçue.»

Nous voici bien (re-sic!) informés et cela confirme aussi le contenu étrange de votre précédent courrier, par exemple dépourvu de C.c. ! Nous ne manquerons donc pas de faire connaître les dols subis par les «petits» Candidat(e)s, dont notamment votre refus de publication des résultats réels, et les véritables enjeux de cette «Élection» (qui aurait du voir un deuxième tour… alors incertain pour la favorite d’une campagne soviétique des Média suisses), à toutes les personnes concernées à Berne.

5. «La procédure utilisée n’est pas contraire aux « us et coutumes démocratiques » puisqu’elle a cours depuis 158 ans et qu’elle est conforme à la loi. …

La non tenue d’un protocole des résultats du dépouillement des bulletins (ou si tenu, lui aussi détruit par vos soins ? souligné ici en l’absence de vos réponses à nos questions précédentes sur ces points cruciaux), voici les «us et coutumes» que nous subissons «soit-disant» depuis 158 ans, car vous nous citiez une autre date dans votre précédent courrier. Mais ne nous perdons pas dans des «détails» à ce stade.

… Elle est parfaitement connue des membres du Conseil fédéral et de la Chancellerie de la Confédération.»

Permettez-nous d’en doutez au vu de ce qui précède, et si tel devait être le cas, votre commentaire tendrait à accréditer la thèse que ces instances favoriseraient, en pleine connaissance de cause, des méthodologies facilitant les fraudes électorales.

6. Toutes les informations sur cette affaire ayant été données dans ma lettre du 3 août, il n’y a pas lieu de poursuivre au-delà de la présente lettre cet échange de correspondance.»

Comme constaté ci-dessus, nous sommes en souffrance de réponses satisfaisantes de vos Services par votre biais. Le MCS et son Candidat réservent ainsi tous leurs droits et cet échange de courrier, effectivement stérile, sera transmis en temps utile, c.-à.-d. délais, à d’autres instances, tant en Suisse que dans l’Union européenne.

Veuillez agréez, Monsieur le Secrétaire général adjoint, nos salutations distinguées.


Pour le MCS :                                                        i.a.  F. de Siebenthal

PJ

Rappel:

Le destinataire d’un acte doit interpréter la portée de celui-ci d’après le sens qu’il «pouvait raisonnablement lui attribuer en le considérant comme réellement voulu, sur la base de l’attitude antérieure du déclarant et des circonstances qu’il connaissait au moment où la déclaration lui a été faite (ATF 94 II101, pp. 104-105, JT 1969 I 27, P. 28, cité par Engel, Traité des obligations en droit suisse 2è éd. 1997, pp. 238-239). Une déclaration adressée à une autorité doit être comprise selon le sens que, de bonne foi, son destinataire doit lui prêter (ATF 102 Ia 92, c.2, rés. In JT 1978 I 30).

L’administration étant davantage versée dans les matières qu’elle doit habituellement traiter, du moins formellement, on peut attendre de sa part une diligence accrue dans l’examen des actes qui lui sont soumis, notamment lorsqu’ils sont rédigés par des profanes, afin de leur donner un sens raisonnable, sans avoir à s’en tenir aux expressions inexactes utilisées (Egli, la protection de la bonne foi dans le procès, en Juridiction constitutionnelle et Juridiction administrative, Recueil des travaux publiés sous l’égide de la Première cour de droit public du Tribunal fédéral suisse, pp. 225ss, spéc. Pp. 236-237 et les exemples cités).

De plus et selon la même logique, si le destinataire de ce recours ne répond pas aux formes de procédures, vous voudrez bien le faire suivre d’office à l’instance compétente. Il en est de même de l’application des articles invoqués.

Liens sur l’affaire Ferraye qui tenait au coeur de M. Letellier, que justice soit faite à l’inventeur du procédé révolutionnaire qui a permis la maîtrise rapide des puits de pétrole mis à feu par l’armée de Saddam Hussein au Koweit en 1991, et qui s’est vu escroquer de plusieurs milliards de dollars de royalties par les plus hautes instances politiques de plusieurs Etats. 


Quand la Suisse a offert 17 milliards de dollars pour les attentats du 11 septembre

Jacqueline de Croÿ – 20 janvier 2010

Tout commença en 1991, après qu’une milice incendia 1164 puits de pétrole Koweïtiens. La destruction des tours anéantira 4000 enquêtes sur le blanchiment d’argent, qui devaient mener au vol de 157 milliards de dollars issus de la mise à feu des puits de pétrole, dont 17 milliards ont été assurés par la Suisse. Le dossier a atterri dans le Secret Défense français, joint au dossier de pédopornographie Zandvoort, via le réseau Coral.

Deux inventions venaient de bouleverser la planète : l’une pour éteindre un puit de pétrole incendié en cinq minutes alors que le procédé original prenait six mois ; l’autre pour empêcher que le pétrole n’inonde le désert, alors que le procédé original obligeait à condamner le puit et en forer un nouveau.
Joseph Ferrayé pensait que le juste prix des royalties lui revenant pour ses inventions à 30 millions de dollars par extinction de puit de pétrole en feu. Il serait l’homme le plus riche du monde, si le système judiciaire européen n’avait pas été rodé à légaliser n’importe quelle escroquerie par le vol des pièces principales du dossier au greffe des tribunaux, pour ensuite déclarer le plaignant fou sur base d’un faux rapport psychiatrique.
Le procédé Ferrayé assurait l’extinction des incendies koweïtiens en trois mois, alors que le système traditionnel assurait une catastrophe économique et écologique de 8 à 12 ans, avec une retombée de 5.000 tonnes de suie par jour. L’administration française classe l’invention de Joseph Ferrayé “Secret Défense” français, puis fait chanter le Koweït pour lui extorquer 100 millions de dollars par puit de pétrole, alors que la convention originale prévoyait 30 millions. Les puits de pétrole étant hautement inflammables, une centaine d’incendie doivent être éteints chaque année. Le prix de l’extinction est descendu 80 millions. Les royalties n’ont jamais été versées à l’inventeur, mais volées par une multitude de sociétés et fondations, dont aux réseaux financiers d’Al Qaïda et deux sociétés contrôlées par le beau-père d’Oussama Bin Laden.
La famille Bin Laden vient d’un modeste village du Yémen, que le père quitta adolescent, pour trouver du travail en Arabie Saoudite. Il fonda une entreprise de construction prospère. Il se tua dans un accident d’hélicoptère en 1967, laissant 22 veuves et 54 orphelins. Le petit Oussama avait alors 11 ans et hérita de 80 millions de dollars, mais devenu grand, il préféra l’habit traditionnel et la protection du droit à la dignité des arabes, au faste nouveau riche. Il avait donc une prédisposition psychologique contre la multiplication du prix de l’extinction des puits de pétrole. La fortune familiale fut mystérieusement multipliée par cinq. Yeslam Bin Laden, l’un des grands frères d’Oussama, distribua 16.2 milliards à ses frères et soeurs dans le cadre d’une dite “sortie d’indivision” de la fortune de leur père, en 1994, soit 27 ans après son décès. Il leur versa 300 millions chacun, à partir de ses comptes suisses, alors que la part originale de l’héritage n’était que de 80 millions chacun, entreprises comprises, à la mort de leur père.
En 1995, des mystérieuses sociétés sont prêtes à verser 17 milliards de royalties à Joseph Ferrayé. Le montant qui lui revient est alors de 117 milliards pour les feux Koweitiens, et 34 milliards pour les quatre années suivantes, d’où 151 milliards. Les 17 milliards proposés représentent un montant équivalent à l’addition du brusque enrichissement de la famille Bin Laden, et d’un misérable 800 millions hors taxe que Jacques Chirac, alors président Français, lui “concède” pour qu’il retire sa plainte du 29 janvier 1996.
Les enjeux sont si gigantesques, que les pots-de-vin atteignent 200 millions de dollars pour priver Joseph Ferrayé de défense. Les 17 milliards se volatilisent. Les conseillers de Joseph Ferrayé deviennent soudain multimillionnaires. Curieusement, la fortune de Yeslam Bin Laden apparaît revenir à l’état auquel son père lui avait laissé. Ceci permet de supposer que la famille Bin Laden est susceptible d’avoir voulu rendre à Joseph Ferrayé ce qui lui revenait, pour qu’il puisse reprendre le contrôle de ses inventions, et les sortir des mains des bandits français.
Le plus extraordinaire vient de Bernard Bertossa, le Procureur Général de Genève, qui a jugé Joseph Ferrayé fou de réclamer ses royalties, tout en refusant de constater que les pièces principales du dossier avaient été volées au greffe, en plein nuage des attaques du 11 septembre !
Le World Trade Center, considérés comme les bâtiments les plus sûrs du monde, abritait les archives informatiques de Wall Street. Il y avait alors 4’000 enquêtes menées au sein des tours sur les transactions boursières louches portant sur le blanchiment d’argent, qui devaient inexorablement mener aux gigantesques royalties volées à Joseph Ferrayé.
En refusant à Joseph Ferrayé le fruit de son invention par une moquerie du droit international, la Suisse a payé 17 milliards de dollars les attentats du 11 septembre. Clairement, si Oussama Bin Laden avait voulu réduire un bâtiment en poussières, il aurait choisi le Palais de Justice de Genève.
Une étrange torsion du destin permettra à Joseph Ferrayé de croiser le chemin du Werkgroep Morkhoven, une ONG belge active au démantèlement des réseaux de production de photos de crimes réels. Ils furent frappés de constater les inventions classées “secret défense” français se retrouvent dans le même panier que la culotte d’un haut magistrat français, identifié en 1982, sur une photo pédopornographique. L’ONG a alors cherché la corrélation entre l’extinction de puits de pétrole et la culotte du magistrat.
En 1998, le parrain du réseau pédocriminel de Zandvoort a remis sa collection de 88’539 photos pédopornographiques à l’ONG pour flanquer la pagaille dans le réseau qui avait décidé de se débarrasser de lui. Parmi ces photos, celle du magistrat avec un garçon de 11 ans, tout deux culotte baissée. Ce magistrat a été exposé dans le dossier Coral en 1982, conjointement avec 340 personnalités, parmi lesquels les plus hauts fonctionnaires français qui s’entendent pour priver Mr Ferrayé de ses royalties.
Le Werkgroep Morkhoven a cherché durant dix ans, où ce magistrat avait caché sa culotte. Elle a été retrouvée en 2008, par l’intermédiaire de Patricia Poupard, une des parties civiles du dossier Zandvoort, dans le “Secret Défense” français, avec mention “dossier classé – interdiction d’y puiser”. Il est alors apparu que le dossier Zandvoort/France pouvait être rouvert par des faits nouveaux : la juge Ringot avait en effet déclaré un non lieu, en l’absence 80’000 pièces du dossier, et sans se prononcer sur la culotte de son confrère !
Il s’avère que tous les plaignants ont été victimes d’un piège identique à celui tendu à Joseph Ferrayé. De multiples faux accidents mettent la famille en danger. Une association de malfaiteurs, sous le couvert d’associations d’aide aux victimes, d’avocats marrons et autres prétendus “experts”, les poussent à fuir. Un barbouze offre d’assister la famille dans sa fuite. Ceux qui tombent dans le piège perdent généralement tous leurs acquis : maison, sécurité sociale, emploi, etc. Ils sont condamnés pour les faits qu’ils ont exposés, et incarcérés si possible, sur base d’un dossier incomplet assorti d’une expertise psychiatrique.
Il est piquant de constater que le Procureur Bertossa est incidemment à l’origine “piège suisse” des victimes françaises de Zandvoort. Il a en effet eu originalité d’ouvrir le dossier sur base d’une fraction des cédéroms qu’il a reçu d’une ONG suisse, le CIDE, (Comité International pour la Dignité de l’Enfant), sans inviter l’ONG belge en possession du dossier complet. Il a ensuite convoqué des citoyens français qui soupçonnaient que leurs enfants figurent dans le fichier pour visionner une FRACTION du dossier en Suisse. La procédure normale eut voulu d’envoyer officiellement des policiers suisses en Belgique pour interroger les auteurs de la découverte, puis éventuellement en France, dans le cadre des liens franco-suisse du réseau.
Le CIDE, par l’intermédiaire de son fondateur, le Sénateur Glatz, a donné le dossier Coral à Marcel Vervloesem, mais en lui cachant qu’il connaissait le fameux magistrat à la culotte “Secret Défense”. Il a également eut l’originalité de promettre un asile politique en Suisse aux parents français invités par Bertossa, alors que son ONG fournissait un avocat à l’ex-époux d’une de ces mères, afin de la poursuivre pour enlèvement parental. Glatz employait le psychiatre Salem, qui avait l’originalité de déclarer les mères folles, parfois même sans les avoir vu.
Toutes les mères françaises piégées par le rêve suisse ont été incarcérées pour “enlèvement parental”, déclarées folles, en l’absence de 80.000 pièces à leur dossier. De même, en Belgique, Marcel Vervloesem, chercheur du Werkgroep Morkhoven qui a signé la plainte sur le réseau pédocriminel de Zandvoort, a été incarcéré trois ans après une condamnation… en l’absence de 42 pièces de son dossier.
Le même Salem a porté plainte, en même temps que plusieurs personnes qui ont roulé Mr Ferrayé dans la farine, contre ses plus vifs défenseurs. Ils ont obtenu de faire condamner Mr Ulrich à 4.5 ans de prison, et Mr Burdet à 22 mois de prison pour “diffamation”.
Depuis, Glatz et Salem ont préconisé à un collectionneur de pédopornographie de la RSR, la Radio Suisse Romande, un traitement psychiatrique, parce que sa collection était “limite”, plutôt que de confier le dossier à la police afin de retrouver les victimes. La justice suisse a estimé que la collection dépassait les limites et a condamné le collectionneur à dix jours-amendes avec un sursis de deux ans. En revanche, Jorge Resende, l’informaticien qui a apporté la collection à la police, est menacé de prison pour avoir porter atteinte à l’honneur de ces messieurs !
Mr Resende est en réel danger. Mr Ulrich est détenu à la prison d’Orbes, malgré deux infarctus, donc manifestement dans des conditions de détention visant à le tuer. Les autorités suisses refusent de libérer Mr Burdet, alors qu’il a déjà effectué sa peine, dans l’espoir d’une grève de la faim de plus qui le tuerait. Les autorités belges sont encore plus sordides: elles ont interdit le traitement du cancer de Mr Vervloesem et l’ont mis en régime de déshydratation, donc aussi dans le but de le tuer.
Les pièces exposées par le dossier Zandvoort mènent à l’industrie du film snuff, donc des films de meurtres réels vendus à 25.000 euros pièce.
Je crois comprendre, dit Joseph Ferrayé, que ces gens ont volé tant d’argent et sont si pervertis, qu’ils ne savent pas comment dépenser cet argent.
Le Werkgroep Morkhoven recherche naturellement si le magistrat à la culotte “Secret Défense” ne serait pas tombé dans un puits de pétrole, par l’intermédiaire des sociétés et fondations créées pour détourner les royalties Ferrayé.
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Éditeur responsable: Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti – 10 Rue Faider – 1060 Bruxelles – Belgique – Droit de réponse: postmaster@droitfondamental.eu

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