Le transhumanisme, symbole de l’ère postchrétienne

TOP DU WEB | 04/08/2015 | Par Benjamin Coste

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cyborg

©©P.COOKLIN-GETTYIMAGES

Réparer et améliorer le corps humain jusqu’à l’immortalité : c’est le projet fou poursuivi très sérieusement par des entreprises telles que Google. Cette nouvelle quête révèle la perte d’influence dans nos sociétés occidentales des religions traditionnelles au profit d’une nouvelle foi dévoyée en la science et la technique.
Benjamin Coste
  • Les dérives totalitaristes de Google

    Pour le philosophe Robert Redeker, transhumanisme rime avec totalitarisme. « La volonté de fabriquer un homme nouveau a connu de multiples figures dans la modernité. Le communisme et le nazisme en ont été de monstrueux exemples », explique-t-il sur le site du Figaro Vox. Google ne fait pas mystère de ses recherches sur le transhumanisme. Pour Redeker, l’entreprise californienne exprime des visées politiques en souhaitant « soumettre les hommes à son propre fantasme, à une idéologie unique, à fabriquer un homme unique (comme on parle de pensée unique) planétaire. »
    Accéder au site : Le Figaro Vox 
    http://premium.lefigaro.fr/vox/societe/2015/07/31/31003-20150731ARTFIG00341-robert-redeker-les-robots-tueurs-l-utopie-de-google-et-la-deshumanisation-de-l-homme.php
  • Les transhumanistes ont leur pape

    L’Américain Ray Kurzweil est considéré comme le pape du transhumanisme. Conseiller de Google Ventures sur la longévité, le scientifique a pour ambition de vivre éternellement. Aujourd’hui, cela signifie pour l’homme de 67 ans « préserver assez de santé pour parvenir à ce qu’il appelle “Pont numéro deux”, quand “la révolution de la biotechnologie reprogrammera notre héritage biologique”, et “Pont numéro trois”la nanotechnologie moléculaire qui nous permettra de reconstruire nos corps. » Pour Kurzwzeil, pas de fatalité dans la mort mais un dernier mal « à disrupter ». Ni plus ni moins.
    Accéder au site : Le Nouvel Economiste 
    http://www.lenouveleconomiste.fr/financial-times/ray-kurzweil-le-pape-du-transhumanisme-26896/
  • Le transhumanisme pour les riches

    L’Humanité consacre un dossier très complet au transhumanisme qu’il fait rimer de son côté avec capitalisme. « Qui pourra augmenter son audition par exemple, ou sa vision, afin de voir en haute définition ? Les riches, bien entendu », écrit le journaliste Benjamin König pour qui « ce n’est pas un hasard si cette idéologie prend racine dans la Silicon Valley, centre du capitalisme concurrentiel triomphant ».
    Accéder au site : L’Humanité 
    http://www.humanite.fr/ils-nous-preparent-le-meilleur-des-immondes-580576
  • « Le mal est sorti de chez nous »

    Auteur de la pièce Jeanne et les post-humains ou le sexe de l’ange, le philosophe Fabrice Hadjadj donne actuellement partout en France des conférences sur le transhumanisme. S’il en fixe les contours, s’il essaie également de dédramatiser (« n’oublions pas que l’intelligence artificielle est portée par des types assez cons ! »), il pointe également la responsabilité d’une « anthropologie dualiste portée par des gens d’Église même si elle n’est pas la doctrine de l’Église. En définissant l’Homme par sa seule conscience, son intelligence, le corps est envisagé comme un simple matériau que les transhumanistes appellent à faire évoluer. Le mal est sorti de chez nous. Une forme de spiritualisme est peut-être à l’origine du transhumanisme. »
    Accéder au site : YouTube 
    https://www.youtube.com/watch?v=0NVIwW6b7kk

Société suisse de bioéthique

Déclaration de principes de la Société Suisse de Bioéthique en 4 langues. La Société suisse de bioéthique, section romande

1. L’être humain, avec son individualité et toutes ses potentialités, est présent dès le premier instant de la vie embryonnaire (ovule fécondé, accidentellement son équivalent uni- ou pluricellulaire). Il s’agit d’une évidence pour l’homme de science contemporain. 2. L’être humain se distingue des autres êtres vivants par le fait qu’il est corps et esprit. À ce titre, chaque être humain est une personne unique pleine de dignité et de liberté, qu’on ne peut réduire à un animal ou un objet matériels. 3. L’embryon humain possède la dignité et les droits fondamentaux reconnus à l’être humain. On ne peut porter atteinte à son intégrité ni le détruire, que ce soit intentionnellement ou par négligence. Construire pour l’embryon un statut artificiel, au gré de nos désirs, d’une idéologie, au gré des besoins de la science ou de ceux de la société, constitue un détournement irrecevable de la raison. 4. Toute destruction ou atteinte à l’intégrité d’un être humain sous le prétexte de son âge, de son sexe, de sa race, religion, maladie ou infirmité, est à rejeter et prohiber. 5. La science et la technique ne sauraient s’engager dans une recherche qui ferait fi de la dignité et des droits fondamentaux d’un être humain. Une prouesse de la médecine, si prometteuse qu’elle puisse paraître, n’est pas, en tant que telle, licite. L’admettre reviendrait à consacrer le droit du plus fort. 6. La législation en ces matières ne peut se satisfaire de faits accomplis ou de perspectives séduisantes. Elle doit prendre en considération aussi des normes éthiques, compatibles avec les exigences de l’être humain. 7. Le mariage et la famille sont le cadre naturel de la transmission et du développement de la vie humaine. Ces institutions donnent à l’enfant protection, sécurité et la formation qui lui sont indispensables. Garantir leur valeur demeure la tâche fondamentale de la société. 8. Finalement, ces principes ne ressortissent pas à telle croyance, telle morale, ou telle éthique particulières; ils s’appuient avant tout sur un bon usage de la raison.

Grundsatzerklärung

2. 1. Naturwissenschaftlich steht heute fest, dass der menschliche Embryo, mit allen seinen Anlagen, in allen seinen Entwicklungsstadien, ein menschliches Individuum ist. Dies gilt insbesondere sowohl für die befruchtete Eizelle als auch fr jeden ein- oder mehrzelligen Embryo. 2. Als leibgeistiges Wesen unterscheidet sich der Mensch von allen andern Lebewesen. Jeder Mensch ist einmalig und einzigartig, eine Person mit Würde und Freiheit. Er darf nicht auf die Stufe anderer Lebewesen oder materieller Objekte reduziert werden. 3. Der menschliche Embryo hat die Würde und die Grundrechte, die allen Menschen zustehen. Man darf ihn daher weder fahrlässig noch absichtlich schädigen oder vernichten. Die Konstruktion eines fiktiven Status für den Embryo nach Wunsch- und Zweckdenken, nach irgend-einer Ideologie, nach vermeintlichen Bedürfnissen von Wissenschaft und Gesellschaft, ist eine folgenschwere Verkehrung der Vernunft. 4. Jede Tötung oder Misshandlung eines Menschen unter Vorwand von Alter, Geschlecht, Rasse, Religion, Weltanschauung, Krankheit oder Gebrechen muss zurückgewiesen und verboten werden. 5. Wissenschaft und Technik dürfen sich nicht in Forschung einlassen, die Würde und Grundrechte des Menschen missachtet. Spektakulre medizinische Leistungen, so verlockend sie scheinen mögen, sind nicht schon als solche gerechtfertigt; andernfalls wrde die Macht des Strkeren gebilligt. 6. Die Gesetzgebung darf sich diesbezglich weder vollendeten Tatsachen noch verfhrerischen Aussichten anpassen. Sie hat sich nach ethischen Normen zu richten,die dem Wesen des Menschen entsprechen. 7. Ehe und Familie sind der naturgemsse Rahmen fr Zeugung und Entwicklung des menschlichen Lebens. Diese Institutionen geben dem Kinde Geborgenheit, Sicherheit und Förderung, die ihm unentbehrlich sind. Ihre Werte zu schtzen, ist fundamentale Aufgabe der Gesellschaft 8. Diese Grundsätze sind keineswegs nur eine Frage einer bestimmten Religion, Moral, Ethik oder Weltanschauung; sie ergeben sich schon aus den wissenschaftlichen Erkenntnissen und der Vernunft.

Dichiarazione di principio

3. 1. L’essere umano con la sua individualit e le sue potenzialit, presente dal primo istante della vita embrionale (ovulo appena fecon-dato, oppure, accidentalmente, anche il suo equivalente uni- o pluricellulare). Si tratta ormai di una evidenza per l’uomo di scienza contemporaneo 2. L’essere umano si distingue dagli altri esseri viventi per il fatto che corpo-e-spirito. A questo titolo ogni essere umano una persona unica, soggetto di dignit e libert, che non si pu ridurre al livello di un animale o di un oggetto materiale. 3. L’embrione umano possiede la dignit e i diritti fondamentali riconosciuti ad ogni essere umano. Non si pu attentare alla sua inte-grit, n intenzionalmente, n per negligenza. Costruire uno statuto artifi-ciale per l’embrione, a misura dei nostri desideri o di un’ideologia, o in base ai bisogni della ricerca scientifica o di quelli della societ, costituisce un pervertimento della ragione. 4. Ogni distruzione o attentato all’integrit di un essere umano, sotto il pretesto dell’et, sesso, razza, religione, malattia o infermit, da rigettare e condannare. 5. La scienza e la tecnica non possono impegnarsi in una ricerca che costituisca una sfida alla dignit e ai diritti fondamentali di un essere umano. Ogni progresso della medicina, per quanto promettente possa apparire, non di per s stesso lecito. Ammettere questo vorrebbe dire consacrare il diritto del pi forte . 6. La legislazione in questo campo non pu accontentarsi dei fatti compiuti o di prospettive seducenti. Essa deve ugualmente prendere in considerazione le norme etiche compatibili colle esigenze di ogni essere umano. 7. Il matrimonio e la famiglia sono il quadro naturale della tras-missione e dello sviluppo della vita umana. Queste istituzioni forniscono ai figli protezione, sicurezza e la formazione loro indispensabili. Garan-tire a tali istituzioni i valori che rivestono, un principio fondamentale al quale la societ deve attenersi. 8. Questi princpi non derivano necessariamente da un credo spe-cifico o morale o etico particolare; essi si appoggiano avantutto su un buon uso della ragione.

Declaration of Principle (July 19, 1986)

4. 1. The human being, with its individuality and all its potentials, is present from the first instant of embryonic life (fertilized egg, by chance its uni- or pluri-cellular equivalent). It is an obvious matter for the contemporary man of science. 2. The human being is distinguished from other living beings by the fact of being body and spiritual soul. Thereby each human being is an unique person full of dignity and liberty who cannot be reduced to an animal or material object. 3. The human embryo possesses dignity and the basic rights identified with the human being. His integrity can be neither diminished nor destroyed, wether intentionally or through negligence. To construct an artificial status for the embryo, to suit our desires, an ideology, the needs of science or of society, constitutes an unacceptable diverting of reason ! 4. Any destruction or impairment of the integrity of a human being on grounds of age, sex, race, religion, illness or infirmity is to be rejected and prohibited 5. Science and technology cannot engage in research which scorns the dignity and basic rights of a human being. An achievement in medicine, however promising it may appear, is not, as such, licit. So admitting would amount to sanctioning the law of the strongest. 6. Legislation on these matters cannot look only at past deeds or seductive perspectives. It must also take into consideration ethical norms compatible with the exigencies of the human being. 7. Marriage and the family are the natural setting for the transmission and development of human life. These institutions give a child protection, security and the training which are indispensable for it. Guaranteeing their worth remains a fundamental task of society. 8. Finally, these principles do not spring from any particular belief, morality or ethic ; they rest above all on a good use of reason.

Prof. Jérôme Lejeune : Le début de l’être humain (p. 173-.185)

Congrès au CHUV /Lausanne ( Le CDC, www.familiaplus.com , www.finality.ch et www.pavie.ch avec la Société suisse de bioéthique)

Les pages qui suivent essaient d’attirer l’attention du lecteur sur les divers aspects de la question. Elles procèdent d’extraits de textes émanant du Comité présenté ci-contre, et communiqués par M. François de Siebenthal lors de sa conférence de presse du 20 janvier 2000 à Lausanne :

LA RECHERCHE SUR L’EMBRYON
Savez-vous
… que l’embryon humain constitue l’objet le plus intéressant pour la recherche ?
… que, une fois la voie ouverte, les abus dans la recherche sur les embryons ne peuvent être ni contrôlés ni arrêtés ?
… qu’ainsi l’être humain est abaissé au rang de cobaye ?
Avec un OUI à l’initiative PPD …
… nous refusons des manipulations sur la vie naissante qui ont pour suite la mort au lieu de la guérison.
LA DIGNITE DE LA FEMME
Malheureusement …
… la procréation in vitro ne se fait pas sans laisser de traces chez la femme.
… la femme peut, sans le savoir, être utilisée comme pourvoyeuse de matériel de base pour les manipulations sur les embryons.
Dites OUI à l’initiative PPD …
… pour que le sentiment du respect de soi chez la femme stérile ne soit pas blessé et que les tentatives de pression lui soient épargnées.
LES LIMITES DU FAISABLE
On doit savoir …
… que suite à une procréation in vitro, les statistiques démontrent une hausse des complications, comme les grossesses multiples, les naissances prématurées, les enfants morts-nés, les césariennes, l’augmentation de la mortalité des nourrissons, etc.
… que le traitement médical très coûteux prodigué par une équipe pluridisciplinaire de médecins est éprouvant et en plus, requiert un suivi psychologique avant et après le traitement.
Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… sait que le fait de ne pouvoir avoir des enfants n’est souvent pas dû à des raisons organiques et que, par conséquent, il ne peut pas être résolu par des moyens techniques.
LA STERILITE
Par bonheur …
… il arrive qu’après une bonne consultation ou après l’accueil d’un enfant en pension, une femme que l’on connaît stérile ait plus de chance d’avoir tout de même son propre enfant qu’après une fécondation in vitro. Mais la douleur est grande pour chacune des 8 femmes sur 10 qui, malgré de multiples traitements suite à une fécondation in vitro, restent sans enfant.
Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… croit que la stérilité n’est pas simplement un problème de technique médicale.
UN ETRE HUMAIN SUR MESURE
Nous craignons …
… que tout ce qui, pour le moment, est considéré comme maladif soit, à l’avenir, détruit sous prétexte que telle existence ne «mérite pas d’être vécue» … que les contrôles de qualité entraînent la demande d’un enfant garanti en bonne santé.
… que le droit à la vie des handicapés soit de plus en plus mis en question.
Nous disons OUI à l’initiative PPD …
… car nous n’avons pas l’arrogance de nous ériger en juges des vies qui méritent ou non d’être vécues.
LES MENSONGES SUR LA VIE
Peu de personnes savent …
… que les données concernant un donneur de
sperme doivent être conservées à Berne
pendant 80 ans .
… qu’un enfant procréé grâce à du sperme étranger n’apprend rien sur sa véritable origine sans un effort spécial.
… qu’un mariage entre demi-frères et soeurs est dès lors possible.
Seul un OUI à l’initiative PPD …
peut empêcher que des êtres humains soient trompés sur leur vraie origine.
LA SÉCURITÉ AU LIEU DE LA PEUR
La sécurité est préférable à la peur car … … elle tient compte des mauvaises expériences. … elle ne se fie pas aux promesses en l’air … sa devise est: la confiance c’est bien, le contrôle c’est mieux.
Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
évite un pas dangereux dans la mauvaise direction. Le fait qu’une chose soit faisable, ne veut pas dire qu’elle doit aussi être réalisée.
LE PEUPLE TROMPÉ
Tout le monde ne sait pas …
…que, en 1991, on a affirmé au parlement qu’il n’y aurait pas d’embryons surnuméraires et que le don de sperme pourrait toujours être interdit ultérieurement.
… que désormais on avoue l’existence d’embryons surnuméraires et que ceux-ci peuvent être utilisés à des fins de recherche.
Celui qui dit OUI à l’initiative PPD
… ne se laisse pas de nouveau duper.
… saisit l’occasion d’éviter l’impasse.

DES SUITES INCONNUES A LONG TERME
On devrait penser au fait …
…que l’on ne connaît pas du tout les effets de la fécondation artificielle sur les prochaines générations. … qu’en zootechnie, la fécondation artificielle a des effets secondaires inattendus.
… que nous agissons probablement selon la règle : «On commence par l’animal, on passe ensuite à l’homme».
Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… évite aux générations futures des problèmes insolubles.
UNE MARCHANDISE A CONGELER
Tout le monde ne sait pas …
… que les ovules fertilisés sont congelés à moins 196′ Celsius, et qu’on les décongèle selon les besoins. … que beaucoup ne survivent pas au choc du froid ou sont endommagés.


Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… empêche que l’être humain ne soit dégradé au rang de marchandise à congeler.
jetés à la poubelle. Seule façon d’échapper à cela: garantir une procréation digne dans le corps de la mère, avec les gamètes du couple (marié).
Evidemment , cet (ces) article (s) est ( sont ) plein(s) de bon sens , pour son temps il(s) mérite(nt) vraiment une motion spéciale 


il est étonnant que depuis il n’ait rien été dit sur le clonage humain , audelà de la monstruosité des avortements legalisés et “gracieusement offerts ” , la FIVETE , l’ISCI et choses semblables : J Testart – “”père””(!!) d’Amandine – s’insurge contre les derives eugénistes (tri embryonnaire ) d’autres comme les bebe-medicaments (pourtant bien entrés dans les moeurs: on en compte 38par exemple en Belgique ) 


Mais tout cela recouvre des pratiques qui sont des abominations abominables qui touchent au caractère sacré de la vie humaine dès sa conception : puisqu’il s’agit de tuer ces personnes , les manipuler, les congeler , les utiliser , les réduire à l’état d’objets et de matériaux 
Mais le clonage humain est une abomination d’un cran supérieur : on peut parler de “changement d’état” ( plus que de niveau )dans l’abomination : car là l’homme touche au lieu et au moment ou Dieu lui m^me crée une ame spirituelle et donne a cette personne humaine son caractère sacré , la marque de Sa Présence Créatrice Eternelle et Glorieuse . C’est entrer non seulement dans une création dévoyée mais aussi une profanation sacrilège de la création humaine . C’est bien pire dans ses conséquences que les pratqiues eugénistes mp^me si le clonage humain en est la figure la plus monstrueuse et satanique ….. Comme nt se fait il qu’aucune reflexion ne soit faite sur cette question :
– alors quele lois autorisent le clonage humain 
– alors que libre de toute opposition dans le public , les medias, les autorités religieuses :
les chambres sataniques de création de clones humains ( qui seront des êtres defigurés mais non dépourvus d’âme ce qui n’en n’est que plus un drame “humain” : “quand un membre souffre le corps entier souffre avec lui ” ) oeuvrent librement et légalement et sans denonciation ;
C’est cette dernière verité qui est la plus stupéfiante mais non étonnante : les plus grands crimes contre l’humanité se soont toujours faits dans le secret des medias et l’omerta organisée de leurs auteurs 


vergeronbruno@netcourrier.com

François de Siebenthal: NON au diagnostic préimplantatoire …

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23 mai 2015 – Le transhumanisme est un concept très peu connu du grand public. Pourtant, le mouvement qui est derrière ce concept vise la mutation de …

François de Siebenthal: Google change le monde et l …

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31 juil. 2014 – Enfin, précise L. Alexandre, leur programme d’intelligence artificielle a été confié au chef de file du courant transhumaniste, Ray Kurzweil.

François de Siebenthal: Pour une Banque Nationale ( BNS …

desiebenthal.blogspot.com/2015/…/pour-une-banque-nationale-bns-30.h…

23 juil. 2015 – http://www.slate.fr/life/74165/transhumanisme-clone-numerique- … sur la photographie, et F. de Siebenthal, le 3ème en partant de la droite.

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