Moins de 2% de la main-d’oeuvre suffira à produire la totalité des biens dont le monde a besoin, voici le vrai défi…

Un appel d’Henry Ford: 

“La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire.”

Le “service” des dettes odieuses tue des innocents. 

La plupart des dettes (99 % ) ont été créées du néant, elles sont donc odieuses et iniques.

Ces contrats menteurs sont impossibles à honorer, donc nuls et non-avenus.


De plus, les escrocs qui les ont conçus doivent rendre ce qu’ils nous ont volé.

Voir les contrats Dexia à 40 % d’intérêts composés sur des collectivités publiques.

Le système monétaire actuel est voleur, pire, meurtrier par millions d’innocents.
Ne pas le comprendre est stupide, rester dans l’expectative, c’est la pire des attitudes…
« La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux monnayeurs. …»
Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d’économie en 1988
•      « La crise mondiale aujourd’hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).


 
Paroles de Thomas Edison, inspiration des 30 glorieuses du Général.
Création de prêts sans intérêts par la banque de France.
http://desiebenthal.blogspot.com/2011/11/loi-pompidou-giscard-rothschild.html 

English

«Il est absurde de dire que notre pays peut émettre 30 millions $ en obligations, et pas 30 millions $ en monnaie. Les deux sont des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre aiderait le peuple.»
Thomas Alva Edison
Pourquoi le gouvernement devrait-il payer un intérêt à un système bancaire privé pour l’usage de sa propre monnaie, qu’il peut émettre lui-même, sans intérêt? C‘est exactement ce que les créditistes du journal Vers Demain soutiennent, lorsqu’ils demandent au gouvernement fédéral de reprendre son pouvoir de créer l’argent du pays. L’inventeur américain Thomas Edison, qui était loin d’être un fou (quoique n’ayant fréquenté l’école que 3 mois, il comptait plus de 1000 brevets d’inventions à son actif), est aussi d’accord avec cette demande des créditistes. Voici ce qu’il disait dans une interview publiée dans le New York Times en 1928, alors qu’il était de retour d’une inspection à la centrale électrique en construction Muscle Shoals, sur la rivière Tennessee:
«Si la monnaie est émise par la nation, 30 millions $ pour le financement de Muscle Shoals, ce sera la bonne chose à faire. Une fois cette méthode d’émettre l’argent pour les développements publics essayée, le pays ne retournera jamais à la méthode des obligations…
«Maintenant, il y a (Henry) Ford qui propose de financer Muscle Shoals par une émission de monnaie (au lieu d’obligations). Très bien, supposons un instant que le Congrès suit sa proposition. Personnellement, je ne pense pas que le Congrès ait assez d’imagination pour le faire, mais supposons qu’il l’ait. La somme requise est émise directement par le gouvernement, comme toute monnaie doit l’être.
«Lorsque les travailleurs sont payés, ils reçoivent ces billets des Etats-Unis. A l’exception peut-être que ces billets porteraient la gravure d’un barrage au lieu d’un train ou d’un bateau, comme certains billets de la Réserve fédérale l’ont, ils seront la même chose que n’importe quel autre numéraire émis par le gouvernement, c’est-à-dire, ils seront de l’argent.
«Ils seront basés sur la richesse publique existant déjà à Muscle Shoals; ils seront retirés de la circulation par les salaires et bénéfices de la centrale électrique. C’est-à-dire le peuple des Etats-Unis recevra tout ce qu’il a mis dans Muscle Shoals et tout ce qu’il pourra y mettre durant des siècles… le pouvoir sans fin de la rivière Tennessee… sans taxes et sans augmentation de la dette nationale.
— Mais supposez que le Congrès n’y voit pas, qu’arrivera-t-il? demanda-t-on à Edison.
«Alors, le Congrès doit retourner à l’ancienne méthode. Il doit autoriser une émission d’obligations. C’est-à-dire, il doit aller chez les prêteurs d’argent et emprunter assez de notre propre monnaie nationale pour achever ces travaux, et nous devons payer de l’intérêt aux prêteurs d’argent pour l’usage de notre propre argent.
«C’est-à-dire, sous l’ancienne manière, chaque fois que nous voulons augmenter la richesse nationale, nous sommes forcés d’augmenter la dette nationale.
«C’est ce qu’Henry Ford veut empêcher. Il pense que c’est stupide, et je le pense aussi, que pour le prêt de 30 millions $ de son propre argent, le peuple des Etats-Unis soit obligé de payer 66 millions $ — le montant total à payer avec les intérêts. Des gens qui n’ont pas levé une pelle de terre ni contribué pour une seule livre de matériel vont ramasser plus d’argent des Etats-Unis que le peuple qui a fourni les matériaux et le travail.
«C’est ce qui est terrible avec l’intérêt. Dans toutes nos importantes émissions d’obligations, l’intérêt à payer est toujours plus gros que le capital. Tous nos grands travaux publics coûtent plus de deux fois le coût réel. Tout le problème est là.
«Si notre nation peut émettre une obligation d’une valeur d’un dollar, elle peut émettre un billet d’un dollar. L’élément qui fait que l’obligation est bonne est le même qui fait que le dollar est bon. La différence entre l’obligation et le dollar est que l’obligation permet aux prêteurs d’argent de ramasser 2 fois le montant de l’obligation plus un 20 pour cent additionnel, alors que l’argent mis en circulation ne paye que ceux qui ont directement contribué à la construction du barrage de quelque manière utile…
«Il est absurde de dire que notre pays peut émettre 30 millions $ en obligations, et pas 30 millions $ en monnaie. Les deux sont des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre aiderait le peuple. Si l’argent émis par le gouvernement n’était pas bon, alors, les obligations ne seraient pas bonnes non plus. C’est une situation terrible lorsque le gouvernement, pour augmenter la richesse nationale, doit s’endetter et se soumettre à payer des intérêts ruineux à des hommes qui contrôlent la valeur fictive de l’or.»

Thomas Edison   


Extraits de l’article d’ Alain Pilote

(Les détails sur les aspects techniques du Crédit Social sont disponibles dans le livre de Louis Even, “Sous le Signe de l’Abondance”, et dans les deux brochures “Une finance saine et efficace” et “Qu’est-ce que le vrai Crédit Social?”.)

Thomas Edison et Henry Ford

Edison: “A travers notre histoire, quelques-uns des plus grands Américains ont chercher à casser l’empreinte hamiltonienne (l’argent-dette d’Alexander Hamilton) sur notre politique monétaire, dans le but d’y substituer une monnaie stable en fonction des besoins physiques de la nation. Un manque de compréhension dans le public et chez les autorités, combiné au pouvoir des intérêts bancaires qui ont machiné des intérêts personnels dans la présente situation chaotique, ont jusqu’ici contrecarré tout effort.
“Ne les laissez pas vous embarrasser avec le cri de `monnaie de papier’. Le danger du papier-monnaie est précisément le danger de l’or – si vous en avez trop, ce n’est pas bon. Il n’y a qu’une règle pour l’argent et c’est d’en avoir assez pour mener tout le commerce légitime qui attend d’être fait…
“Si les Etats-Unis adoptent cette politique d’augmenter leur richesse nationale sans rien payer au collecteur d’intérêts – car toute dette nationale est faite d’intérêts à payer – alors vous verrez une ère de progrès et de prospérité dans ce pays qui n’aurait jamais pu arriver autrement.” Et un appel d’Henry Ford:
“La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire.”
Jeunes, affamés de vérité et de justice, avez-vous compris? Joignez les rangs des apôtres du journal Vers Demain, pour le salut de votre pays et de tous vos concitoyens. Les Pèlerins de saint Michel ont besoin de vous, ils vous attendent!


La fin du chomâge ?

Malgré les politiciens qui promettent, élection après élection, de créer plus d’emplois, de plus en plus de gens réalisent qu’il y aura de moins en moins d’emplois disponibles, tout cela à cause de l’automation.
En 1850, alors que les manufactures venaient à peine d’apparaître, au tout début de la Révolution industrielle, l’homme faisait 20% du travail, l’animal 50%, et la machine 30%. En 1900, l’homme accomplissait seulement 15% du travail, l’animal 30%, et la machine 55%. En 1950, l’homme ne faisait que 6% du travail, et les machines accomplissaient le reste – 94%.
Et nous n’avons encore rien vu, puisque nous entrons maintenant dans l’ère de l’ordinateur. Une “troisième révolution industrielle” a commencé avec l’apparition des transistors et de la puce de silicone, ou microprocesseur (qui peut effectuer jusqu’à un million d’opérations à la seconde). “Cette puce peut être programmée de manière à retenir de nouvelles informations et s’ajuster, et ainsi remplacer les travailleurs sur les lignes d’assemblage… De telles usines entièrement automatisées existent déjà, comme l’usine de moteurs de la compagnie Fiat en Italie, qui est contrôlée par une vingtaine de robots, et l’usine d’automobiles de la compagnie Nissan à Zama, au Japon, qui produit 1,300 automobiles par jour avec l’aide de seulement 67 personnes – ce qui représente plus de 13 autos par jour par travailleur.” (Eric de Maré, “A Matter of Life or Debt”, p. 17-18.)
En 1850, 75% de la population américaine travaillait sur des fermes pour fournir la nourriture pour eux et les autres 25% de la population; aujourd’hui, 3% de la main-d’oeuvre, malgré toutes les restrictions artificielles imposées à la production agricole (quotas, etc.), suffit à nourrir les autres 97% de la population américaine, et une grande partie du reste du monde en plus. L’automation va réduire ce pourcentage davantage.
L’auteur américain Jeremy Rifkin a écrit récemment un livre intitulé “The End of Work” (“La fin du travail”, un best-seller qui a été traduit dans neuf langues), dans lequel il explique ce que les créditistes répètent depuis plus de 70 ans: à cause du progrès, les machines remplaceront de plus en plus les travailleurs, et il y aura de moins en moins d’emplois disponibles.
Dans son livre, Rifkin cite une étude suisse selon laquelle “d’ici 30 ans, moins de 2% de la main-d’oeuvre suffira à produire la totalité des biens dont le monde a besoin.” Rifkin affirme que trois travailleurs sur quatre – des commis jusqu’aux chirurgiens – seront éventuellement replacés par des machines guidées par ordinateurs.
Les machines seront-elles une malédiction ou un bienfait pour l’homme? Si le règlement qui limite la distribution d’un revenu à ceux qui sont employés n’est pas changé, la société se dirige tout droit vers le chaos. Il serait tout simplement absurde et ridicule de taxer 2% des travailleurs pour faire vivre 98% de chômeurs! Il faut absolument une source de revenu non liée à l’emploi. Il n’y a pas à sortir de là, il faut un dividende.
Alain Pilote

Le système monétaire international n’est pas durable : 97% de l’argent correspond à de l’argent spéculatif et seulement 3% correspond à de l’économie réelle avec une monnaie devenue la marchandise la plus rentable du système. A partir de l’exemple de la nature, dans laquelle toute chose s’arrête de croître tôt ou tard, notre système économique actuel à un cancer ; la logique actuelle du système qui exige une productivité et une rentabilité allant toujours crescendo, devrait aboutir à terme à la destruction de notre civilisation, comme le prolifération anarchique des cellules cancéreuses conduit à la mort de l’organisme. Il est urgent de mettre en place d’autres systèmes monétaires qui pourront prendre le relais en cas d’effondrement du système monétaire principal. 

Le niveau idéal est le niveau régional, en commençant par le local. Le national est trop grand et sous le contôle des meurtriers…
De façon générale, Helmut Creutz et M. Kennedy nous démontrent chiffres et tableaux à l’appui, que plus de 40% des coûts proviennent des intérêts qui rentrent dans le prix des produits que nous achetons :
-   à chaque niveau, les entreprises répercutent le prix de l’intérêt sur leur clients immédiats.
-  80% de la population paie plus qu’elle ne reçoit
-  10% reçoivent beaucoup plus qu’ils ne pourraient jamais dépenser même en ayant plusieurs vies.

Prmière urgence, un nouveau système financier juste et efficace…

http://www.poodlecrap.com/Hateliars/HL_Video1.asp?Part=0

http://www.poodlecrap.com/Hateliars/HL_Video1.asp?Part=2

Ces dettes communales, cantonales, régionales, nationales, de régies, personnelles, internationales, supranationales, écrasent la génération actuelle et les générations futures. Plus de 90 % ne sont que des tigres en papier, à nettoyer au kärcher…Moins de service (serre-vis) de la dette pour plus de services aux humains.   


Nous Citoyens, avons été volés de dizaines de milliards de dollars et nos gouvernements nous annoncent des baisses continuelles de nos rentes de vieillesse, de nos prestations sociales, de notre Pouvoir d’achat, prétextant que les caisses sont vides…

Nous pouvons tous vivre dans l’abondance grâce aux machines, aux robots et au progrès. Des voleurs profitent de la productivité. Des salaires horaires de $­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ 15’000.- sont inadmissibles, alors que 18’000 enfants meurent de faim chaque jour…

Pour la Paix, une action commune.

La paix en soi, autour de soi , entre les peuples et avec la nature, grâce à une action commune qui peut se faire partout dans le monde.

Une monnaie alternative et libre pour les plus pauvres:

Toutes les autres « recettes » ont échoué, nous proposons une solution qui fonctionne depuis des siècles en Suisse et qui a contribué à rendre ce pays l’un des plus riches du monde.

 

Principes suisses :

La Suisse est un des seuls pays qui redistribue les profits de sa banque centrale, pourquoi ?

Parce que sa constitution commence encore avec une invocation divine:

La constitution Suisse a toujours été rédigée Au nom de Dieu Tout-Puissant, Im Namen Gottes des Allmächtigen, In nome di Dio Onnipotente, En num da Dieu il tutpussent ! Elle reprend le début du pacte fédéral  : In nomine Domini.
        Elle a été acceptée en votation populaire du 18 avril 1999, très probablement par tricheries électorales, notamment dans les cantons de Vaud, Lucerne et du Tessin, pour faire passer en cachette des articles honteux…

http://www.lexilogos.com/declaration/suisse_pacte_tableau.htm

  1. Il existe un capital privé et un capital appartenant à tout le monde, l’allmend territorial par exemple, les régies fédérales, cantonales, communales…contrôlés par des corps intermédiaires et sous le principe de subsidiarité.

  2. Les produits communs sont distribués selon une juste clé mutuellement définie (contrats de consortage, d’alpage, de fermages, baisses de prix, PTT, Swisscom, profits en milliards de la Banque Nationale Suisse, contrairement à la FED ou à la BCE qui restent en mains privées (sic…).

  3. Les conflits sont réglés localement par arbitrage, sans juges étrangers…La bonne foi personnelle et la sécurité des contrats prime.

  4. La notion des 7 sabbats festifs, des 7 jours (dimanche), des 7 semaines (vacances scolaires), des 7 mois (vacances patates), des 7 années ( année sabbatique et remise des dettes), des 3 fois 7 ans ( fête des vignerons) et des 7 fois 7 années ( 49 ans, Jubilé des 50 années avec remise des dettes et surtout hypothèque divine sur les propriétés agricoles et leur retour aux familles endettées, ou 10 lustres) et celui des 7 siècles après la mort et la résurrection de NSJC ( St Gall en Suisse, 732 Poitiers; 1432, St Nicolas de Flüe en Suisse, fin de la guerre de 100 ans, 2132 ?) est plus ou moins respecté en Suisse, à notre connaissance, le mieux au monde, surtout par les péréquations confédérales et les redistributions locales ( autonomie communale, Banque Nationale Suisse qui redistribue tous les profits de l’or après 50 ans, assurances mutuelles, banques cantonales, locales, Raiffeisen, Wir…).

  5. Il est indispensable de définir socialement ces remises à zéro périodiques ( 7 périodes) des compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique et ainsi de réparer l’erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d’intérêt pour 1’000 ans, mais qui a oublié la remise en cause des propriétés, au moins tous les 50 ans…

  6. Il existe un système de création monétaire local communal ou cantonal ou fédéral sans taux d’intérêt (monnaies locales, cantonales, création par les crédits des banques cantonales et système wir)

  7. La recherche de la paix prime, par convention collective. Les péchés publics, selon St Nicolas de Flüe, provoquent les guerres, en fomentant le vice dans les coeurs des confédérés, et sont donc à dénoncer publiquement. La paix est à ce prix…

Faiblesses suisses et internationales :

La monnaie est un bien commun, il est incroyable que les banquiers gagnent plus de US $­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ 15’000.- par heure…ou 18’000 $­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ ou même plus par bonus…?

Solutions pratiques rapides et immédiates (Vix, à peine…) :

Pourquoi ce lien entre Jubilé et “justice sociale” ? La réponse se trouve dans l’Ancien Testament, au chapitre 25 du livre du Lévitique. Nous y lisons que Dieu invite son peuple à célébrer, tous les 50 ans, une ” année sainte”au cours de laquelle il doit libérer les esclaves, remettre les dettes, permettre à chacun de retrouver sa terre. Car il est impossible d’honorer Dieu sans rendre à chacun de ses fils leur dignité, sans restaurer entre les humains des relations justes. Le système actuel fait exactement le contraire, ce qui provoque notamment les hausses infernales de prix, de taxes, d’impôts, de primes…et les guerres, conflits…
Le pire vol, celui de la création monétaire par des banquiers sans scupules…Un autre forme d’usure dévorante…qui tue les plus faibles, par millions…

L’encyclique Vix pervenit doit être mise en pratique, avec en plus une remise en vigueur de toutes les régles jubilaires, ce qui manque dans le texte original, y compris sur les propriétés, qui ne sont qu’en gérance sous le regard de Dieu, et non des idoles absolues…: Le mot jubilé vient du latin jubilæus (de jubilare, « se réjouir »), traduction par Jérôme de Stridon de l’ hébreu yôbel qui désigne un cor en corne de chèvre. Dans la Bible, ce cor est utilisé pour annoncer le début d’une année spéciale qui a lieu tous les cinquante ans. Cette année-là, les terres devaient être redistribuées de façon équitable et les esclaves libérés. Le Lévitique (25:8–11) déclare ainsi :
« Tu compteras sept semaines d’années, sept fois sept ans, c’est-à-dire le temps de sept semaines d’années, quarante-neuf ans. Le septième mois, le dixième jour du mois tu feras retentir l’appel de la trompe ; le jour des Expiations vous sonnerez de la trompe dans tout le pays. Vous déclarerez sainte cette cinquantième année et proclamerez l’affranchissement de tous les habitants du pays. Ce sera pour vous un jubilé : chacun de vous rentrera dans son patrimoine, chacun de vous retournera dans son clan.  »

articles.php?lng=fr&pg=337

 

Texte en français pages 18 et 19 http://www.michaeljournal.org/maijuinjuillet2005.pdf

 

Projet d’initiative fédérale:
 

I. L’Etat doit reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit en faveur des familles. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

IV. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de revenus.

Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux “jouets” utilisés par certaines forces obscures. Pour une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont les parasites de l’économie, de la justice et de la politique. Ce sont elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les guerres…
 

Point de vue sur la dette : Lérins, Cannes, le G20, la crise, le peuple…

Vendredi, 04 Novembre 2011 20:16 | Écrit par Bernard Largillier
Dans le théâtre quotidien de la vie politico médiatique où la tragédie fait davantage recette que la comédie, la Bourse salue les décisions du sommet européen du 19 octobre 2011, et le président de la République française parle à la population pour la rassurer. Patatra ! Les grecs parlent de référendum et tout semble s’effondrer à nouveau, on avance le rendez-vous du G20, etc.


Quelques jours auparavant, un colloque a rassemblé des observateurs de la vie économique et sociale, particulièrement des économistes issus de l’université et de la haute administration, et des professionnels issus du monde économique sur l’île Saint Honorat. Ce colloque était organisé sous l’égide de l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon, sous l’autorité de Mgr Dominique Rey, évêque du lieu, avec la collaboration de l’Association des Économistes Catholiques.

La même semaine, inscrit à un système d’alerte sur les mots « dette publique », je constate que les réflexions et explications vont bon train sur le net. Les regards portés sur le thème « dette-crise-monnaie » pour en connaître la vérité conduisent à une étrange identité de vues. Lorsque des personnes aussi diverses que des membres du très honorable et sérieux Cercle Turgot, des économistes, distingués par définition dont certains « s’excusent de ne pas avoir vu plus tôt », des professeurs anonymes, des pédagogues chevronnés, des chroniqueurs de gauche comme de droite, des écrivains allant du Front National à plus Rouge que Rouge disent la même chose, il y a présomption de vérité dans leurs constats.


Que disent-ils donc ? Quelque part ce que le colloque de Lérins où il était question de « monnaie » a également relevé : ce sont les États qui ont suspendu la convertibilité métallique de la monnaie, et qui ont décidé qu’aucun mécanisme correcteur ni aucun engagement de convertibilité ne freine la création monétaire. Là serait la cause principale de la double situation actuelle, la crise financière de 2008 et la crise de la dette publique aujourd’hui.

Ce sont donc les institutions politiques et leurs instigateurs qui sont aujourd’hui mis en cause, et non pas un système ou une doctrine économique. Messieurs Pompidou et Giscard d’Estaing sont pointés du doigt pour leur réforme de 1973 en France, lorsqu’ils ont institué l’interdiction pour l’État de se financer auprès de la Banque de France, la banque centrale, banque des banques, pour se financer auprès des marchés financiers. Cette disposition n’était rien d’autre qu’une manière pour l’État de cesser de battre monnaie, donc un abandon de pouvoir, l’abandon d’une très ancienne prérogative régalienne.

Ce sont ensuite les institutions européennes qui sont à leur tour pointées du doigt, tout particulièrement l’article 104 du traité de Maastricht qui vingt ans plus tard va très exactement dans le même sens que la loi Pompidou-Giscard en interdisant le financement des États auprès de leurs banques centrales. C’est aujourd’hui le traité de Lisbonne, c’est-à-dire le traité de l’Union Européenne dont l’article 123 interdit les « découverts et tout autre type de crédit aux institutions publiques… » par la BCE et par les banques centrales des États.

Pourquoi cela ? Il ne m’appartient pas de répondre ni de juger. Je n’ai pas retrouvé l’exposé des motifs de la loi du 3 janvier 1973. Concernant Georges Pompidou, on peut comprendre puisqu’il a été banquier privé chez Rothschild… Quant à Valéry Giscard d’Estaing, il semble qu’il ait pensé tout simplement que la France devait «faire comme les grands États modernes », en fait comme les USA. Le «pourquoi » et le « comment » des choses ne sont enseignés ni à Polytechnique ni à l’ENA et ils ne semblent pas poser de problèmes aux esprits considérés comme au dessus des autres.

« Le péché monétaire de l’occident » que décrivait Jacques Rueff en 1971 ne serait donc qu’un péché d’orgueil. Il ne suffit pas de s’en repentir, il faut le réparer. Lorsqu’on regarde notre traité européen et différents textes en vigueur, on est loin des textes fondateurs. La piètre qualité juridique de ces textes permet de comprendre qu’on puisse autant s’en prévaloir que s’asseoir dessus. Ils ressemblent parfois aux sentences de la Pythie. Il y a comme un péché juridique. Pourtant l’Europe est un superbe projet auquel la majorité de la population est attachée, toutes sensibilités confondues.

Au café du commerce comme dans les salons, il se dit tous les jours un peu plus que nos hommes
politiques ont commis une faute et qu’ils doivent reprendre le pouvoir qu’ils ont abandonné. Il se dit aussi que la dette n’est pas due, il se dit même qu’elle n’existe pas et qu’elle est virtuelle. C’est inexact, mais, la monnaie scripturale a tout de même quelque part quelque chose de virtuel.

Le peuple ne se trompe pas. Peut-être est-ce pour cela que les bourses ont peur. Il ne peut pas entendre qu’on dise que ses enfants n’ont pas de travail pour des raisons financières quand il y a beaucoup d’argent qui circule. Il ne peut pas non plus entendre que les États doivent rembourser de grosses dettes et qu’il devra payer pour eux. Rembourser qui ? Alors qu’il n’y a plus d’emploi ? Il ne peut entendre que la Chine viendrait au secours de nos États, il ne peut l’accepter car ça n’est pas une question d’argent, mais une question d’honneur… Qui est la Chine pour prendre le pouvoir chez nous ? Tout cela à cause d’un abandon de pouvoir sans véritable consultation populaire ? Chacun sait ce que les peuples peuvent accepter ou pas. Pour en sortir, il appartient aux techniciens de proposer des solutions techniques d’étalon pour la monnaie, et aux politiques d’en décider.

Je crois que je commence enfin à comprendre cette parabole étonnante du serviteur infidèle, celui qui fait le tour de ses créanciers pour se sortir de la mauvaise passe dans laquelle il se trouve. Il était malhonnête, il était en faillite, mais il a su trouver un accord avec chacun, chacun sachant fort bien quel était son intérêt, abandonner la moitié de sa créance ou ne pas être payé du tout. Non seulement il a réussi à se rétablir, mais il s’est fait des amis, et le Maître a fait son éloge. Il y a un moment où le montant de la dette n’a plus de sens, un moment où la question n’est plus financière mais de savoir comment on s’en sort, comme a fait le serviteur indélicat. Tous les espoirs sont donc permis.

Bernard Largillier
Culture d’Entreprise
1er novembre 2011

Mis à jour (Vendredi, 04 Novembre 2011 21:07)

  1. François de Siebenthal: Dettes publiques ? 99 % sont des tigres de

    desiebenthal.blogspot.com/…/dettes-publiques-99-sont-des-tigres-de…

    23 sept. 2011 – 2011 – François de Siebenthal: Etats, des milliards de dettes imbéciles. 18 mai 2010 … Les dettes publiques. Le gouvernement ne fait plus

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  2. François de Siebenthal: “La fin du dollar” de Myret Zaki

    22 avr. 2011 – Cette dette publique ne comprend pas la dette parapublique sinon elle …. François de Siebenthal: Etats, des milliards de dettes imbéciles.

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  3. François de Siebenthal: La dette publique: 83,2% du PIB en 2010, sic.

    desiebenthal.blogspot.com/…/la-dettepublique-832-du-pib-en-2010…

    1 avr. 2010 – La dette publique, quant à elle, a bondi à 1.489 milliards d’euros. Après 67,5% du PIB en 2008, elle continuerait de s’envoler à 83,2% en 2010

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  4. François de Siebenthal: Audit des dettes publiques.

    desiebenthal.blogspot.com/2011/01/audit-des-dettes-publiques.html

    11 janv. 2011 – Audit de la dette publique sous contrôle citoyen. Le CADTM propose une mesure centrale …. Posted by François de Siebenthal at 16:54:00

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    1. Louis Even, 1962. “La dette publique ? Une absurdité.”

      youtube.com16 juil. 2011 – 12 mn – Ajouté par walkingstranger78
      Source : Louis Even, 1962. “La dette publique ? Une absurdité.” Cette vidéo vous est offerte par Le Mini-Show Le
    2. Comprendre la dette publique en quelques minutes.flv

      youtube.com23 sept. 2011 – 13 mn – Ajouté par SurfOfPelican
      Vous pouvez aussi regarder : – “L’argent dette” de Paul Grignon – la première partie de “Zeitgeist II” – “L
    3. La dette publique 1/6

      dailymotion.virgilio.it28 juil. 2010 – 10 mn
      Conférence du 3 décembre 2009 dans la salle de la paroisse de Notre Dame de l’Oison à Caudebec-lès-Elbeuf
    4. La dette publique, n’existe pas!

      dailymotion.com19 mars 2009 – 8 mn
      Nous ne sommes pas endetté parce que le droit de créer l’argent nous a été supprimé!
    5. Marine Le Pen dénonce les responsables de la dette

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