En regardant les images des vidéos ci-dessous, sur les 2 principales explosions de la centrale nucléaire
japonaise, on peut ANALYSER les différences très inquiétantes.
Les autorités mentent, la situation est dramatique, nous avons un début de MASSE EN FUSION EXPLOSIVE TRèS RADIO-ACTIVE, qui va s’enfoncer dans le sol….JUSQU’AU MAGMA PEUT-ÊTRE…
La seconde explosion est EN EFFET nettement plus impressionnante que la première, elle s’oriente verticalement, on voit l’explosion à la base avec une boule de feu ROUGE éclatante, puis le dégagement provoqué par le souffle qui s’élève à quelques centaines de mètres de hauteur, puis une explosion verticale, en forme de champignon.
Capture d’écran de la chaîne japonaise NHK, lundi 14 mars, après l’explosion … au réacteur 3 de Fukushima 1.
La première a une forme explosive horizontale, moins grave.
Evacuation de centaines de milliers de personnes.
La Russie offre son territoire pour les réfugiés…
Des centrales en bord de mer avec des vagues de 10 mètres et à des centaines de km/h !
De nouvelles répliques et de nouveaux tsunamis peuvent arriver à tout moment !
On a très fortement spéculé contre le Japon juste avant le tremblement de terre !
Comment a-t-on pu construire ces centrales au bord de la mer ?
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
Tout à fait d'accord sur les risques inhérents au choix désastreux du nucléaire pour l'avenir de l'humanité. Tous les réacteurs de France comportent le même risque dit
improprement "du syndrome chinois" et nous sommes déjà passé très prêt quand les prises d'eau de refroidissement de la centrales du Tricastin ont gelées vers 1983.
Ne pas oublier qu'un réacteur de 1300 Mwe a une puissance thermique de l'ordre de 3900 Mwh dont 2600 doivent être évacués à l'atmosphère par les tours
paraboliques réfrigérantes par évaporation d'eau. Il s'ensuit une circulation d'eau de refroidissement de l'ordre de 60.000 m3/h, dont il faut évaporer quelque 110 m3/h
plus les purges de déconcentration du bassin tampon, pour conserver une eau en circulation à quelque 13 °C.
Bien sûr, les circuits de refroidissement sont généralement triplés pour avoir une meilleure certitude de secours en cas d'avarie sur l'un des circuits. Mais un défaut
global d'eau de refroidissement à l'aspiration des pompes de la prise d'eau se traduit par l'impossibilité, à court terme, de refroidir le coeur du réacteur avec la menace du
fameux syndrome chinois (fonte de la base de la cuve du réacteur avec fuite verticale d'une masse très dense de combustible nucléaire à très très haute température
qui fond les assises en béton puis le sous sol, juqu'à ce que une nappe phréatique soit rencontrée, ce qui provoque une expulsion du magma radioactif fondu vers le haut
avec pulvérisation dans l'atmosphère. C'est en gros ce qui est arrivé à Tchernobyl. En fait le Syndrome chinois signifiait une fusion du coeur du réacteur avec fusion du
sol sousjascent jusqu'à la Chine en traversant toute la terre. C'est tout à fait impossible car on suppose que l'attraction terrestre s'inverse au centre du globe terrestre.
M.S..
t dire que la centrale nucléraire de Fessenheim qui a 33 ans, qui se trouve sur une faille sismique et forcément, à côté du canal d'Alsace et du Rhin, vient d'être prolongée pour 10 ans le 9 mars dernier. (Le tribunal de Strasbourg a accordé la poursuite de l'exploitation par EDF de cette centrale qui avait été conçu pour durer 20 ans en 1977…) Et lorsque M. BESSON dit qu'en France cela ne pourrait pas arriver… j'ai juste envie de lui répondre… oui, un tsunami c'est clair, mais un problème sismique grave, moins sûr… Chers lecteurs, sachez également que cette centrale (la plus vieille de France) n'a pas d'enceinte de confinement… (C'est d'ailleurs pour cette raison que pendant la canicule de 2003, de nombreuses équipes de secours l'ont abondamment arrosé d'eau… A l'époque, les autorités nous disaient que c'était un exercice… en réalité, c'était pour la refroidir…) La réaction des politiques est honteuse en France. On l'a vu en 86 lors de Tchernobyl et on le voit encore aujourd'hui.
XAV,
Ces centrales utilisent du Mox comme combustible (déchets enrichis au plutonium). sic… Plutonium…
Beaucoup plus dangereux en cas de contamination.
Ce Mox va intoxiquer le monde pour des milliers d'années.
Fourni par Areva France…
Le pollueur doit payer, le peut-il ?
Ce métal est normalement absent dans la nature à la surface du globe, mais il a été produit et diffusé en quantité significative et encore mesurable dans l'atmosphère et la biosphère, essentiellement dans les années 1945 à 1970 par les essais et tirs nucléaires (et marginalement avec aussi des retombées plus locales ou régionales lors de la catastrophe de Tchernobyl).
Tous les isotopes et composés du plutonium sont toxiques et radioactifs.
Ce qui le rend dangereux est d'une part sa forte activité spécifique, et d'autre part l'énergie de ses émissions alpha (de l'ordre de 5 MeV, à comparer au 0,02 MeV du tritium). Le plutonium est d'autant plus dangereux que sa période radioactive est courte: le Pu 239 est comparativement quatre fois moins radioactif que le Pu 240. Le radio-isotope le plus dangereux est le Pu 241, qui est extrêmement radioactif (mille fois plus que les précédents), est un émetteur β- (donc plus pénétrant que les particules alpha), et présente dans sa chaîne radioactive des émetteurs de rayons gamma durs particulièrement dangereux, comme l'américium 241.
Source: Wikipedia