La plupart des taxes ne servent qu’à payer les banquiers qui gagnent des sommes énormes sans rien faire, ni travailler, et qui fabriquent de la monnaie provisoire du néant et qui détruisent la même monnaie, sic, qui retourne au néant à chaque remboursement des crédits à intérêts composés.
Il volent notre temps.

Vu l’actualité et les critiques ignobles de mon pays, la Suisse, voici quelques explications à chaud pour mieux expliquer notre histoire et nos libertés en faveur des familles.
Les Suisses font passer la protection de la personne avant celle de l’Etat. Ils savent que celui-ci a un pouvoir exorbitant et qu’il accable souvent les familles et les PME d’impôts injustes. Les fonctionnaires impitoyables taillent sans merci. C’est pourquoi la loi suisse fait une distinction entre l’évasion fiscale et la fraude fiscale.


L’évasion fiscale consiste à omettre de déclarer une partie de sa fortune ou de ses revenus, aux autorités fiscales. Qu’il s’agisse d’oubli ou de sous-estimation, le droit suisse ne considère pas cela comme une fraude et c’est une simple infraction administrative. L’évasion fiscale fait l’objet d’une procédure conduite par les autorités fiscales et non pas par une instance judiciaire. Il s’agit donc d’une infraction administrative qui sera sanctionnée, pour les sujets suisses, par une amende ou un rattrapage. Pour les sujets étrangers le fisc suisse n’aura rien à leur reprocher s’ils ne sont pas résidents en Suisse. Les banques n’ont pas le droit de renseigner le fisc en cas d’évasion fiscale et ne peuvent le faire que pour les affaires pénales.


La fraude fiscale (escroquerie fiscale) est constituée par la soustraction frauduleuse de contributions commise au moyen de titres faux, falsifiés ou contenant de fausses indications. D’autres cas de tromperie astucieuse des autorités fiscales peuvent être qualifiés d’escroquerie en matière de contributions, alors même qu’ils n’impliquent pas de faux dans les titres. La fraude fiscal est punissable pénalement et les banques doivent renseigner l’autorité judiciaire, suisse ou étrangère, sur demande d’un juge suisse compétent.

D’ailleurs, sous un système de crédit social, du fait de la fin de l’escroquerie des abus bancaires et des créations monétaires du néant, les impôts diminueraient de façon drastique, et la plupart disparaîtraient tout simplement. Le juste principe à observer, c’est que les gens ne paient que pour ce qu’ils consomment.


En face, nous avons l’IRS et la FED, deux organismes iniques et privés, qui ont probablement fait assassiner le Président Kennedy et causé beaucoup trop de guerres atroces.


L’IRS est illégal et est basé au Puerto Rico (sic)…
http://supremelaw.org/sls/31answers.htm






Le FED appartient à une petite coterie très privée qui exploite le monde entier.
http://www.bankster.tv/creditsocial.htm


 www.michaeljournal.org/finsysteme.htm

« tous les problèmes économiques, et presque tous les problèmes politiques, sont surtout des problèmes d’argent. Nous ne prétendons jamais que la question monétaire soit la seule à régler, la seule qui doive nous occuper. Pas même que ce soit la question la plus élevée. Mais c’est la plus pressée, parce que tout le reste se heurte à un problème d’argent.» « Considérez tous les différents problèmes qui affectent la société actuellement, et vous verrez qu’ils sont pratiquement tous liés à une question d’argent: les employés du secteur public ou privé qui réclament des hausses de salaires, les gouvernements qui essaient de réduire leurs déficits et leurs dettes en coupant dans les services et en augmentant les taxes et impôts; les compagnies qui licencient leurs employés pour réduire leurs coûts, les familles qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts, etc. »

« Douglas a prédit que le système actuel d’argent-dette des banquiers finirait par devenir insoutenable et s’effondrerait de lui-même. Mais il ajoutait qu’il viendra un «moment psychologique», un moment critique où la population, étant donné la gravité de la situation, et cela malgré toute la puissance des financiers, aura assez souffert de leur système d’argent-dette qu’elle sera disposée à étudier et accepter le Crédit Social. Douglas écrivait ce qui suit en 1924, dans son livre Social Credit: »


«En raison de son importance, la situation sera épouvantable. Une période relativement courte permettra probablement de décider si nous pouvons maîtriser la puissante machine économique et sociale que nous avons créée, ou si c’est elle qui nous maîtrisera. Durant cette période, la moindre impulsion de la part d’un groupe d’hommes, qui savent quoi faire et comment le faire, pourra être la différence entre un nouveau recul dans l’âge des ténèbres, ou l’avènement en pleine lumière d’une ère d’une telle splendeur, que nous pouvons à peine imaginer. C’est cette nécessité de la connaissance du moment psychologique, et du choix de l’action appropriée, qui devrait être présente à l’esprit de cette minorité consciente de la gravité des temps présents«
Ce moment psychologique est arrivé maintenant ! 
La Suisse est le nid de résistance aux abus bancaires. Nous savons de quoi nous parlons vu nos expériences historiques.

Sur notre plus grosse pièce de monnaie, il y a la croix du Christ à l’avers, la Justice de Guillaume Thal à l’envers et la phrase “Dominus providebit” le long de la tranche.
Cherchez le Royaume de Dieu ET SA JUSTICE, tout le reste vous sera donné par surcroît…


Voir: http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=3126

5 -franc coin that is currently in circulation in Switzerland. (See picture above. ) On one side, one can see the Swiss cross, which represents the Kingdom of Christ, and on the other side, social justice is represented by William Tell, the Swiss national hero and liberator of the poor and of the oppressed. On the edge, one can read these Latin words: ” Dominus providebit — God will provide”, which specifically refers to the verse of the Gospel of Matthew mentioned below.

http://pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263

In all our meetings to organize local debt-free banks, we need to remind people that God does provide, that He is indeed very generous. In the Philippines, for example, they can raise three crops of corn. If you take one seed of corn, this seed will give you three stalks which will give you around 200 seeds. So if one gives you 200, then ten gives you 2,000; one hundred then gives you 20,000. Three crops per year (20,000 X 3) yields 60,000%. And the banker will probably give you 6%. This means that God is indeed generous.




Avec mes meilleures salutations.


François de Siebenthal
http://michaeljournal.org
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skype siebenthal
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