Le DG de Redémarre était donc un génie, méthode basée sur le Crédit social notamment du canadien Louis Even.
Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource. Des centaines de milliers d’adhérents orphelins.

Plusieurs organisations appellent les populations à battre le pavé pour protester contre la détention « arbitraire » de l’administrateur de Redémarre, Sama Essohamlom et pour demander la démission du président de l’Assemblée nationale Abass Bonfoh pour des propos jugés « négationnistes et révisionnistes » qu’il aurait tenu.

Le DG de ReDéMaRe, Sama Essohamlom, le directeur général, a croupi en prison sans jugement, sur pression de 4 ministères, du FMi et des banksters locaux et internationaux qui sont les véritables escrocs, comme l’actualité le démontre.

La Ligue togolaise des droits de l’homme (LTDH) a demandé mardi la libération de Sama Essohamlom, le directeur général du « Réseau de développement de la masse sans ressource (Redemare).
M. Sama est écroué depuis 40 jours à la prison de Lomé pour tentative d’escroquerie et usage de faux.
Pour la ligue, cette détention provisoire, qui ne doit passer dépasser 10 jours, est en flagrante violation du code des procédures pénales.

Le DG de Redémarre était donc un génie

Le gouvernement a décidé de restituer aux épargnants ce qu’il reste sur les comptes bancaires du groupement Redémarre, c’est à dire 5 milliards, selon le ministre de économie et des Finances. S’y ajoutent les actifs de la structure pas encore évalués à ce jour.
Si l’avocat de Redémarre approuve la décision des autorités de suspendre les activités du groupement, Me Riad Kassa-Traoré (photo) dénonce l’incarcération du directeur général et se dit convaincu de son innocence.
Sur les intérêts mirobolants ( en fait, un partage des bénéfices basés sur les dividendes obtenus par la dynamisation rapide des échanges et les nouvelles technologies et surtout sur les économies dues à la libération des taux d’usure qui sont souvent à plusieurs centaines de %, plus de 1’000% réels sur les canadiens par exemple http://desiebenthal.blogspot.com/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html , NdE ) proposés par Redémarre (212% !), l’avocat se déclare lui aussi étonné, mais il invoque une « innovation », « un nouveau système mis en place par son client à partir d’une méthode canadienne, française, indienne et suisse », soit le crédit social ou capital social local, méthode 3C, Cercles de création de capital, ou allmend à la suisse. ( Commons en anglais, voir le prix Nobel,
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/12/allmend-suisse-la-solution-la-crise.html ).
Les investisseurs lésés aimeraient connaître la recette.

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/12/allmend-suisse-la-solution-la-crise.html


http://desiebenthal.blogspot.com/2009/02/solution-to-krach-mechanics-in-few.html
l

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/10/swiss-and-barack-obama-nobel-peace.html

Republicoftogo.com : Comprenez-vous la mesure préventive prise par le gouvernement de suspendre les activités de votre client ?

Me Riad Kassa-Traoré : Nous comprenons parfaitement l’attitude des autorités qui ont décidé de prendre cette mesure conservatoire. Depuis mai, le gouvernement a commencé à vérifier la crédibilité des activités du groupement. Ces démarches ont conduit au retrait de l’autorisation d’installation grâce à laquelle la société proposait ses prestations de services. Mais la société continuait à évoluer et il y avait un engouement auprès des populations.

Le gouvernement a cru bon, dans son souci de protéger les populations, de suspendre les activités de Redémare. C’est son droit et personne ne peut le lui refuser surtout avec l’incident qui est arrivé au Bénin voisin.

Republicoftogo.com : Que contestez-vous alors ?

Me Riad KassaèTraoré : Nous contestons deux choses : la détention arbitraire de notre client à la prison civile de Lomé ( Sama Essohamlom, le directeur général, ndlr) et la décision du gouvernement de procéder à la distribution des fonds de Redémare aux adhérents.

Après la suspension des activités, le gouvernement n’avait pas besoin de déclencher une procédure judiciaire. Il aurait pu simplement convenir avec les responsables de Redémare des modalités de remboursement des adhérents.
Cela n’a pas été le cas. Le gouvernement a préféré pousser le DG vers la justice avec des chefs d’accusations infondés qui n’aboutissent pas et ensuite il met en place une commission pour indemniser les gens en dehors du premier responsable de Redémare et de ses avocats.

Nous nous posons la question de savoir comment l’exécutif va procéder pour décaisser les fonds de Redémare sans la signature du représentant légal.

Si la banque cède ces fonds, elle devra les rembourser à son déposant.

Republicoftogo.com : Une structure qui offre des intérêts à 212%, vous trouvez ça crédible ?
Me Riad Kassa-Traoré : Dans notre système économique, personne ne peut comprendre la crédibilité de cette activité. C’est un fait.
Mais mon client dit clairement que c’est son innovation à lui et elle n’a rien à avoir avec les systèmes de pyramides de Ponzi qui ont été utilisés sous d’autres cieux.
C’est un nouveau système qu’il a mis en place à partir d’une méthode canadienne, française, indienne etc…, tout comme la microfinance a été inventée par un Indien.

Sama Essohamlom face aux juges
Sama Essohamlom face aux juges

Les juges de la Chambre d’accusation de Lomé ont longuement entendu mercredi Sama Essohamlom (photo), le directeur général de Redémarre, une structure de placement pyramidal, fermée par les autorités.
L’audience s’est déroulée à huis clos.
Deux chefs d’accusation avaient été retenus contre M. Sama : fausse déclaration et tentative d’escroquerie.
Seule la tentative d’escroquerie est reproché à M. Sama, selon ses avocats.
Pour Me Kassa Traoré, «L’escroquerie ne peut exister que s’il y a des victimes.

Or dans le cas espèce, personne n’a déposé plainte.

Si les juges disent le droit, M. Sama sera libéré vendredi ».
Sama Essohamlom a manifesté son optimisme en déclarant brièvement à la sortie du Palais de justice que « son moral était très haut »….
ReDéMaRe, IMF, ONG ou société commerciale?

Une dénomination barbare ou rébarbative pour une institution originale ou du moins étonnante : ReDéMaRe. Entendez par ce sigle Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource. Les premières informations que vous aurez des activités de cette structure vous apparaîtront comme des rumeurs sans fondement au relent d’escroquerie massive. Mais ReDéMarRe existe bel et bien au Togo, jouit de surcroît du statut envié de Société Anonyme et dispose d’un “manifeste” qui condense toutes les idées des promoteurs et toutes les informations relevant de ses objectifs et stratégies.

Une société avec son “manifeste”; l’idée n’est pas complaisante; c’est à voir de près , un moyen destiné à convaincre les dubitatifs vue que les actions du réseaux présentent un caractère inédit pour la masse populaire dont l’aversion pour le risque se justifie d’autant plus que les arnaques sont fréquentes dans le système des IMF(1) et compagnies. Le document est intitulé L’identité ReDéMaRe (SA). Il est publié à dessein pour faire en sorte que les adhérents -ou les associés -puissent s’imprégner d’un imbroglio d’idées où les velléités communiste, socialiste ou capitaliste s’entremêlent.

Cette entreprise s’est fixé un objectif principal consistant à tirer bénéfice de la réalisation de l’enrichissement collectif et du bien être social. Elle compte sur des investissements provenant de toutes les échelles sociales. Pour attirer ses adhérents, elle promet une juste et équitable répartition des fruits du brassage de leurs investissements en nature et en espèce. Argent, titres, biens et compétences peuvent y être investis librement.

Là où le mercantilisme prend le dessus, c’est au niveau du calcul du profit dégagé pour chaque membre. Dans leur première phase de démarrage la société distribue déjà à ses nombreux adhérents des vivres contre un déposit d’une certaine somme et cela pour une période minimale de 3 mois. Mais, pour l’instant ceux-ci ne disposent d’aucun moyen pour vérifier l’équitabilité du partage de profit ou la justesse des avantages attribués aux membres. Il y a manifestement un problème de transparence si les opérateurs de cette affaire doivent être seuls à connaître les coûts d’achat ou d’acquisition des biens et vivres distribués. Une chose est sûre, les adhérents ont déjà fait leur calcul : payer un certain montant pour voir le panier du ménage se remplir à chaque fin du mois est une réponse à la préoccupation quotidienne de beaucoup de Togolais qui consiste à se demander : Que faire pour avoir sa ration journalière? Dans la foulée, beaucoup d’informations se propagent à Lomé concernant de nombreuses offres dont la prise en charge par la société des loyers des adhérents.

La société a été repérée dans les milieux d’affaire, et notamment au près des opérateurs économiques, négociant âprement la mise en route d’un système qui permettrait aux importateurs de produits agro-alimentaires de contribuer aux actions de l’entreprise en lui fournissant des marchandises à un prix préférentiel. La société nourrit aussi l’ambition de créer à l’avenir un technopole où fonctionneraient des entreprises et des usines de production. Elle envisage à moyen terme une internationalisation de son système d’affaire qui aurait déjà fait l’objet d’un dépôt de brevet.

De toute évidence, la lecture du “manifeste” vous donne l’impression d’avoir affaire à une entreprise panacée qui s’engage à tout faire dans toutes les dimensions de l’homme. Les activités de l’organisation sont basées sur une philosophie collectiviste caractérisée par la propriété commune des ressources, des moyens de production et du produits. Karl Marx se réjouirait dans sa tombe car malgré le temps qui passe et la vulgarisation du capitalisme, ses idées sont vivaces surtout dans les pays où règnent la pauvreté et la mal gouvernance. ReDéMaRe apparaît en définitive comme une structure charnière entre l’assurance ou la sécurité sociale, le développement à la base et le business. Une telle structure, pour se couvrir des risques de son aventure- aventure non pas forcément vouée à l’échec, doit s’assurer elle même. Mais en ce temps de crise, cette démarche est à tout point de vue difficile à faire aboutir.

Ce qu’il faut retenir pour l’instant, les initiateurs ont de la jugeote, l’ambition et l’appétence à l’acte. Cependant le doute persiste sur les garanties de fiabilité et de viabilité de leur entreprise. Une entreprise peut- elle allier collectivisme et capitalisme sans faire long feu? Aux économistes de répondre à cette interrogation pour éclairer l’opinion sur la crédibilité de cette affaire qui se passe de commentaire à Lomé.

IMF :Institution de Micro Finance

Lutte contre la vie chère : le gouvernement de Faure créé -t-il son ReDéMaRe?

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Qui a dit que le gouvernement togolais ne croit pas à l’utilité du modèle économique de ReDéMaRe ? Ce groupement d’intérêt économique devenu une institution de placement d’argent au taux exorbitant dont le gouvernement a mis fin les activités pour de nombreux chefs d’accusation. Le Directeur Général de l’ex-ReDéMaRe croupit toujours en prison malgré le remboursement des actifs à une partie des ayant droit après dissolution de cette institution.

Mais aujourd’hui le gouvernement semble mettre en place une nouvelle opération commerciale fonctionnant peu ou prou comme ReDéMaRe sur toute l’étendue du territoire dans le cadre d’une démarche politico-économique dénommée Opération Vie Chère. Elle consiste à accorder des avantages bancaires uniquement, selon le document d’appel d’offre, et ceux liés aux formalités douanières, selon le communiqué publié dans le quotidien national Togo Presse du 25/02/11, aux importateurs sélectionnés suivant la procédure de consultation. Dans un communiqué en date du 24/02/11 publié sur les médias officiels, le gouvernement dit avoir sélectionné par voix d’appel d’offre deux opérateurs économiques griffés « grands importateurs » selon je ne sais quels critères. Le communiqué du gouvernement indique que l’OVC prend effet le 1er mars de cette année. Apparemment cette opération est préparée à la va-vite sous l’impulsion des importateurs cooptés, selon les dire des autres importateurs togolais. La consultation alambiquée qualifiée de restreinte, comme on en a l’habitude au Togo, a donc permis de sélectionner deux sociétés. Il s’agit du groupe HALELUA et de la société ELISE COTRANE. Cette dernière est dirigée par madame Julie Bèguèdou.

Ce vendredi matin un groupe de commerçants a rencontré le premier ministre pour lui exprimer son mécontentement face à cette décision du gouvernement de mettre en exécution son OVC au profit de ces deux sociétés sélectionnées faisant fi des règles de la concurrence. La réunion organisée, suivant le conseil du Premier Ministre par les commerçants, sous la houlette du délégué du patronat chargé du commerce, Mr BRUCE, s’est penchée sur les solutions à apporter à la crise née de la signature du protocole d’accord entre une partie des importateurs et le gouvernement. Cette réunion a permis aux deux sociétés sélectionnées de s’expliquer sur les tractations souterraines qu’elles ont eu avec le ministère du commerce pour aboutir au protocole d’accord signé. Les autres commerçants et importateurs ont demandé l’annulation de cet accord et ont exhorté, à cet effet, les sociétés sélectionnées à renoncer à le mettre en œuvre en attendant que des discussions franches soient menées avec le gouvernement pour peser et soupeser les avantages et les inconvénients de l’OVC sur le secteur commercial en général. Demande qui a semblé ne pas requérir leur adhésion. Néanmoins une délégation des importateurs est constituée pour rencontrer le ministre du commerce lundi prochain au plus tard. Les deux sociétés sélectionnées ont décliné leur participation à cette rencontre quand bien même elles y ont été invitées. Le bras de fer entre les partisans de l’OVC et les opposants ne fait que commencer. Cela risque de faire des étincelles avec la révolte probable des femmes et hommes d’affaires que le gouvernement tente de mettre à contribution dans sa stratégie de lutte contre la vie chère. Les importateurs redoutent les conséquences de l’OVC qui paraît être une opération de sauvetage en faveur des sociétés sélectionnées qui ont reconnu avoir des stocks de marchandises en souffrance.

ReDéMaRe : Trois économistes de renom donnent raison à Sama Essohamlon
Samedi, 11 Juin 2011 19:08

Enquête sur le modèle d’économie sociale proposé par Sama Essohamlon ReDéMaRe, un système viable qui réduit la pauvreté, selon un groupe d’experts

Sama Essohamlon est en prison depuis sept (07) mois, non pour avoir été cité dans la fameuse affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat ou dans une affaire de viol, comme l’ancien patron du Fonds monétaire international (Fmi) Dominique Strauss-Kahn. Il lui est reproché d’escroquer les Togolais par la structure qu’il a créée en 2008, le Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource (ReDéMaRe). Où trouve-t-il l’argent pour payer les adhérents avec autant d’intérêt ? Quel investissement lui rapporte-t-il autant pour rembourser les épargnants à vie ? C’est un système de Ponzi. Essohamlon, c’est le Madoff togolais. Voilà les griefs qui sont portés contre lui, des arguments qui ont légitimé l’intervention de l’Etat, qui argue vouloir protéger les populations. Le Monsieur a été arrêté, sa société fermée et les adhérents remboursés. Et pourtant le produit proposé n’était pas aussi nocif comme on le faisait croire. Mieux, le système est viable et participe énormément à la réduction de la pauvreté

Ce ne sont pas des allégations de journaliste, mais les conclusions d’une étude entreprise par des experts togolais en économie, professeurs d’université sur le modèle d’économie sociale de marché commun proposé par M. Sama Essohamlon, et précisément sur sa solvabilité sur le long terme et son impact sur la réduction de la pauvreté au Togo. Le rapport de l’étude a été présenté hier au public. C’était à la FOPADESC à Agoè-Nyivé.

L’étude a été conduite par un trio d’économistes, le Professeur Aimé Tchabouré Gogué et les Docteurs Couchoro Mawuli et Soddokin Koffi, sous le parrainage du cabinet d’expertise PALM’S (Programme d’Analyses, Leadership, Management et Stratégies), qui regroupe en son sein une équipe de consultants. Elle a concerné cinq cents (500) ménages et cinquante (50) entreprises répartis sur l’ensemble du territoire togolais ayant adhéré à ReDéMaRe. L’objectif est d’analyser les impacts de ses activités sur la pauvreté des ménages au Togo, sur la rentabilité des entreprises clientes et s’interroger sur la solvabilité à long terme du système en répondant si oui ou non, ReDéMaRe est une autre pyramide de Ponzi.

« Le pouvoir d’achat des ménages a augmenté pendant la période d’adhésion et a chuté après la cessation de fonctionnement de ReDéMaRe. En conséquence, le bien-être des adhérents s’est amélioré durant la période de fonctionnement du réseau et s’est détérioré après la fermeture du système », disent les chercheurs, qui appuient leurs affirmations par des données chiffrées. A titre d’illustrations, la dépense moyenne mensuelle des enquêtés est passée de 75 813 Fcfa avant leur adhésion à 94 825 Fcfa durant la période où ils bénéficiaient des services de ReDéMaRe, avant de chuter à 77 156 Fcfa après la fermeture ; les enquêtés prenaient 2,34 repas par jour avant leur inscription, 3 durant l’adhésion à la société et 2,19 après sa mise sous scellés. Plus parlant, l’indicateur de la pauvreté alimentaire est passé de 0,63 avant l’adhésion, à 0,53 durant l’adhésion pour remonter à 0,68 après la fermeture.

ReDéMaRe est-il un genre de système Ponzi ? Non, répondent les chercheurs, du fait que dans le Ponzi, c’est exclusivement avec les dépôts des adhérents suivants que les premiers sont remboursés, et il y a problème lorsque la chaîne d’adhésion est rompue, alors que le système de Sama Essohamlon donne large place à l’investissement et à la production et les profits générés sont partagés entre ses membres. La comparaison entre les deux systèmes s’arrête au taux de « rendement» élevé, indiquent-ils. ReDéMaRe diffère donc par la « dynamique de production » qui le caractérise. Quant à l’origine de ses sources de revenus qui servent au remboursement pérenne des adhérents, les experts ont indiqué que la structure fait énormément dans l’intermédiation, avec des exemples à l’appui.

ReDéMaRe a même été comparé à d’autres systèmes d’économie sociale de marché commun déjà acceptés, comme le « Cash Transfer » de l’Unicef, le système de retraites par répartition, puis par capitalisation, et des similitudes ont été trouvées entre eux.

« Le système ReDéMaRe est viable dans le temps tant que le système d’investissement, de production, de commercialisation et de consommation est fonctionnel », a conclu Dr Koffi Soddokin qui présentait le rapport de l’étude au nom du trio de recherche. Pour lui, ReDéMaRe a même rendu service à l’Etat en montrant la « capacité de mobilisation interne des ressources au Togo », et de recommander que le gouvernement planche sur cette piste pour financer le développement de notre pays.

A titre de rappel, les fonds mobilisés par la structure en deux ans d’existence se chiffrent à 18,5 milliards Fcfa et représentent 1,3 % du Produit intérieur brut (PIB). Les conclusions de cette étude, somme toute séduisantes, balaient du revers de la main les allégations d’escroquerie et tous les autres griefs qui ont été portés contre M. Sama Essohamlon. Ce qui a davantage peint l’homme comme victime d’un acharnement des gouvernants et a du coup augmenté son estime auprès de l’auditoire. Le président de la Ligue togolaise des droits de l’Homme (Ltdh), Me Raphaël Kpande-Adzaré, présent à la présentation du rapport ne s’est pas empêché de lui envoyer des dithyrambes, parlant d’un « génie » qui a mis en place un produit pour sauver ses compatriotes de la misère et leur redonner vie. « Le mensonge a beau se lever tôt, la vérité finit toujours par le rattraper », a-t-il déclamé, la voix remplie d’émotion, faisant ainsi allusion à la version servie par les gouvernants pour coffrer le bonhomme.

Les conclusions de cette étude vont-elles faire revenir l’Etat à la raison et entraîner l’élargissement de M. Sama Essohamlon ? C’est le wait and see.
Tino Kossi Liberté Hebdo

Toni KOSSI, “ReDéMaRe : Trois économistes de renom donnent raison à Sama Essohamlon », in Liberté Hebo, repris sur LynxTogo, Samedi, 11 Juin 2011, voir accédé le 16 juin 2011 ; il s’agit des économistes suivants : le Professeur Aimé Tchabouré GOGUE, Dr Mawuli COUCHORO et Dr Koffi SODDOKIN qui ont réalisé une étude scientifique avec le financement et les termes de référence du cabinet d’expertise PALM’S (Programme d’Analyses, Leadership, Management et Stratégies). ↩

Plus:

Lien pour une meilleure lecture

http://www.togocity.com/IMG/pdf/CVU_togo_Analyse20101209.pdf

ANALYSE DU 9 DECEMBRE 2010
LE GOUVERNEMENT RPT/AGO NATIONALISE ReDéMaRe
Halte à l’arbitraire et aux tortures gratuites
Depuis le 9 juillet 2010, l’affaire ReDéMaRe (Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressources) est venue s’ajouter à la longue liste de dossiers économiques et judiciaires, où le Gouvernement RPT/AGO se distingue en privilégiant l’arbitraire et l’abus du droit, pour justifier un hold-up économique sur les populations togolaises, privées d’accès au crédit, plus particulièrement celles qui sont dans les zones rurales et actives dans l’agriculture.
ReDéMaRe est un Groupement d’Intérêt Economique (GIE) avec environ 44.809 adhérents dont 43.320 personnes physiques et 1.489 personnes morales. Le GIE ReDéMaRe a comme Administrateur Monsieur Essohamlom SAMA. Jusqu’à ce que le Gouvernement RPT/AGO ne fasse de l’ingérence unilatérale dans les affaires de cette structure de droit privé, aucun adhérent du GIE ne s’est présenté sans être satisfait, à l’un des multiples guichets répartis sur l’ensemble du territoire pour déposer son épargne ou obtenir un prêt dans le cadre de toute opération régulière et courante. Autrement dit, tous les adhérents ont toujours obtenu satisfaction, c’est cela qui explique qu’à ce jour, aucun membre de ReDéMaRe n’ait porté plainte contre l’Administrateur, agissant dans l’intérêt de ses membres et de la collectivité pour la création de richesses à partir du développement des capacités productives locales. ReDéMaRe ne servait en fait que de fonds de roulement aux adhérents pour promouvoir une activité génératrice de revenus et d’emplois.
1. LE DROIT DES AFFAIRES REGIONAL SUPERIEUR A L’ARBITRAIRE DU DROIT AU TOGO
Le Togo est signataire du traité instituant l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) avec les quinze (15) autres Etats suivants : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo, Côte-d’Ivoire, Gabon, Guinée Conakry, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Mali, Niger, Sénégal, Tchad. Le traité OHADA a pour objectif principal de favoriser au plan économique le développement et l’intégration régionale ainsi que la sécurité juridique et judiciaire du monde des affaires. Ce traité a mis en pratique la subsidiarité qui institue la primauté des Actes uniformes sur le droit national sauf dans le domaine de la fiscalité qui reste un domaine réservé à une décision nationale.
L’acte uniforme adopté dans le cadre de l’OHADA du 17 avril 1997 relatif au droit des sociétés commerciales et du GIE est applicable au Togo. Il convient de rappeler les Actes Uniformes du 10 avril 1998 portant organisation des procédures simplifiées de recouvrement et des voies d’exécution, l’Acte Uniforme du 10 avril 1998 portant organisation des procédures collectives d’apurement du passif et l’Acte Uniforme du 11 mars 1999 relatif au droit de l’arbitrage.
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Lesdits traités instituent la primauté des Actes Uniformes au niveau régional sur le droit national et leur applicabilité directe. Toutefois, il ne s’applique pas à la fiscalité qui est un domaine réservé des Etats Parties au traité.
Les Groupements d’Intérêt Economique (GIE) font partie des formes de sociétés commerciales prévues dans le cadre de l’OHADA1. Aussi, selon l’OHADA, le GIE :
 est défini comme une structure ayant exclusivement pour but de mettre en oeuvre, pour une durée déterminée, tous les moyens propres à faciliter ou à développer l’activité économique de ses membres ainsi qu’à améliorer ou accroître les résultats de cette activité ;
 n’a pas vocation à réaliser et à partager par lui même des bénéfices, doit avoir un objet qui se rattache essentiellement à l’activité de ses membres et qui ne peut être qu’auxiliaire à celle-ci ;
 peut être constitué sans capital social et il a la personnalité juridique, à compter de son immatriculation au Registre du commerce et du crédit mobilier (obligatoire) ;
 se constitue sur la base d’un contrat dans lequel se détermine librement son organisation et son fonctionnement ; il est soumis aux mêmes formalités de publicité que les sociétés commerciales ;
 est administré par une ou plusieurs personnes physiques ou morales qui, vis à vis des tiers, disposent de tous pouvoirs pour agir en son nom, dans la limite de son objet ;
 a des membres qui ont des obligations vis à vis des tiers, indéfiniment et solidairement tenus des dettes du groupement, sauf conventions contraires conclues avec les cocontractants ;
 est tenu à une gestion saine et ses comptes sont contrôlés par un ou plusieurs contrôleurs de gestion et commissaires aux comptes ;
 peut se constituer à partir et uniquement entre Sociétés anonymes qui remplissent les conditions requises pour émettre des obligations, peuvent eux-mêmes, émettre des obligations.
Le GIE ReDéMaRe n’est donc ni une société anonyme (SA), ni une société à responsabilité limitée (SARL), ni une société en nom collectif (SNC), ni une société en commandite simple (SCS), ni une société en participation encore moins une société de fait. Il s’agit d’un aspect particulier du droit des sociétés commerciales. Tout procès contre le GIE ReDéMaRe peut avoir lieu mais doit respecter les formes et procédures en vigueur et doit donc se faire devant le tribunal de 1ère instance en charge des affaires commerciales. L’Etat togolais, arbitrairement a choisi de se mettre hors la loi en se substituant à l’autorité juridique. L’Etat togolais s’est donc octroyé le rôle de « juge et partie », violant ainsi les dispositions régionales OHADA et refusant de fournir jusqu’à ce jour un ou des
1 OHADA, Acte uniforme relatif au droit des Sociétés Commerciales et du Groupement d’Intérêt Economique, Acte adopté le 17 avril 1997 et paru au JO OHADA n°2 du 1er octobre 1997, in Droit Afrique.com, p. 100, voir , accédé le 6 décembre 2010.
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motifs précis de sa décision de suspendre brutalement et unilatéralement les activités du GIE ReDéMaRe. Celui-ci faisait vivre de nombreuses personnes au Togo dont de nombreux Togolais actifs dans l’agriculture et dans l’armée togolaise.
Une procédure en référé devant le tribunal d’instance de Lomé, la chambre commerciale, aurait permis de respecter le droit et permis à la défense de s’organiser pour combattre l’arbitraire et faire jaillir la vérité des comptes. Le gouvernement a-t-il donc peur de la vérité des comptes dans l’affaire ReDéMaRe ? Certainement, puisque tout est fait pour que ni les médias, ni la défense du GIE ReDéMaRe, ne puissent offrir tout l’éclairage et la lumière nécessaire sur ce dossier où l’Etat pourrait se révéler être celui qui usurpe les facilités de crédit offertes et l’épargne des pauvres.
2. OHADA, ETAT TOGOLAIS ET GIE REDEMARE : INTERDICTION DE POURSUITE INDIVIDUELLE
Le 20 juillet 2010, l’Etat togolais, au mépris de la réglementation OHADA qu’il a lui-même signée, a inculpé Monsieur Essohamlom SAMA, Administrateur du GIE ReDéMaRe, à la prison civile de Lomé, sur la base de présomption non vérifiable de « tentative d’escroquerie et de faux et usage de faux en écriture publique » selon les articles 4, 107 et 174-5 du code pénal.
Pourtant la constitution togolaise dans son article 18 relaye et conforte l’article 11 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme selon laquelle la « présomption d’innocence » prime sur les présomptions non motivées et non vérifiables du Gouvernement togolais.
Les faits de fausses déclarations reprochés à Essohamlon SAMA se rapportent à la constitution du GIE ReDéMaRe. L’Acte Uniforme OHADA relatif au droit des Sociétés Commerciales et du Groupement d’Intérêt Economique ayant prévu en la matière des infractions, c’est à tort que le gouvernement togolais a cru devoir appliquer à l’Administrateur de ReDéMaRe les dispositions de l’article 174-5° du code pénal.
Les incriminations généralement visées par l’Acte Uniforme sont intentionnelles. Elles supposent, à la lumière de ce qui est reproché à monsieur Essohamlon SAMA, la mauvaise foi de l’auteur. La plupart de ces infractions notamment en matière de constitution de société, telle dans le cas d’espèce, sont classiques et initialement prévues par les articles 13, 14 et 15 de la loi de 1867 (délits concernant la souscription et la déclaration de versements, ceux concernant l’émission ou la négociation d’actions).
Les Administrateurs des GIE, personnes physiques ou représentants permanents des personnes morales, engagent leur responsabilité civile et pénale dans les mêmes termes que les Administrateurs des Sociétés Anonymes (articles 421, 740 à 743). Une lecture des dispositions de l’article 879 dudit Acte Uniforme ne permet pas de douter de cela. Mais il n’est nulle part mentionné que les prétendues irrégularités intervenues dans la constitution du GIE ReDéMaRe sont
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susceptibles d’être analysées comme une infraction de nature à conduire monsieur Essohamlon SAMA en prison.
Du reste, le législateur communautaire ne renvoie aux législations des Etats parties, que pour ce qui concerne les sanctions applicables.
Le Gouvernement togolais est donc actuellement incapable de prouver qu’il y a eu infraction et d’en apporter la preuve. Il ne lui reste donc qu’à donner plein effet à l’article 112 du code togolais de procédure pénale qui dispose que « la détention préventive est une mesure exceptionnelle » et suppose que des règles strictes doivent être observées. En effet l’article 113 du Code pénal dispose « qu’en matière correctionnelle, lorsque le maximum de la peine prévue par la loi est inférieure à deux ans d’emprisonnement, l’inculpé domicilié au Togo, ne peut être détenu plus de 10 jours après sa première comparution devant le Juge d’instruction s’il n’a pas déjà été condamné soit pour un crime, soit à un emprisonnement de plus de trois mois sans sursis pour délit de droit commun ».
Mais voilà où réside l’arbitraire et l’abus de droit du Gouvernement togolais ! Monsieur Essohamlom SAMA, Administrateur du GIE ReDéMaRe n’a jamais été condamné pour crime et n’a jamais été emprisonné. Ainsi, au lieu de 10 jours de détention préventive, le Gouvernement togolais, en tout abus de droit et de pouvoir, a unilatéralement décidé d’étendre à une date inconnue, la détention provisoire sans d’ailleurs donner les raisons de la mise en détention.
Par ailleurs, le Gouvernement n’offre aucun argument permettant de justifier et prouver que Monsieur Essohamlom SAMA aurait participé de près ou de loin, directement ou indirectement, à des faits de blanchiment d’argent. C’est pourtant sous cet argumentaire que le Gouvernement RPT/AGO a décidé unilatéralement et sur la base de rumeurs de geler les avoirs du GIE ReDéMaRe et d’ordonner mainlevée après des investigations dont les méthodes et procédures sont très éloignées d’un processus transparent visant à faire éclater la vérité. Il était donc impossible au Gouvernement d’imputer une amende variant entre 20 000 et 100 000 FCFA pour une infraction que le Gouvernement n’arrive pas à prouver et il se rétracte derrière la loi du plus fort. Sans infraction et sans irrégularité avérée, l’Administrateur du GIE ReDéMaRe doit être libéré pour absence de preuves de la part du Gouvernement RPT/AGO. La présomption d’innocence prime et les délais de détention préventive sont largement dépassés. L’Administrateur du GIE ReDéMaRe doit retrouver sa liberté et se voir offrir les chances de contester la décision arbitraire et unilatérale et sans explications convaincantes du Gouvernement RPT/AGO.
3. ZONES D’OMBRES ET BOUC EMISSAIRE
Ainsi, sans que la moindre clarté ne soit venue éclairer les véritables motifs qui ont justifié la suspension des activités du Groupement d’Intérêt Economique (GIE) ReDéMaRe, la gouvernance
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par décret pris en Conseil des Ministres2 a conduit de fait à la fermeture d’un établissement qui fonctionnait comme un collecteur de capitaux d’investissement et de soutien à des Togolais et Togolaises pour redémarrer dans la vie et créer des richesses. L’originalité résidait donc dans la capacité à accompagner les adhérents et clients dans leurs projets de création de richesses. Ainsi, la plupart des adhérents privés d’accès au crédit ont pu se relever économiquement et retrouver leur dignité. En filigrane, c’est la capacité de ReDéMaRe à financer et orienter l’épargne des citoyens togolais vers des activités génératrices de revenus et d’emplois qu’il y a lieu de préserver et que le Gouvernement est en train de tuer.
Dans une précédente analyse du CVU du 22 septembre 20103, le gouvernement RPT/AGO a été interpellé sur l’interventionnisme assez peu orthodoxe de l’Etat : « Une affaire dans laquelle l’Etat refuse pour le moment de laisser un procès se dérouler, afin que les nombreuses zones d’ombre relatives aux responsabilités partagées, les complicités non révélées…ne soient révélés au grand jour. Le système du RPT/AGO abuse de l’interventionnisme étatique pour promouvoir les « angles morts » de la vérité des comptes publico-privés au Togo »…« La société ReDeMaRe a été fermée sur la base de présomptions, et son principal dirigeant enfermé plus pour qu’il ne parle pas que pour protéger les épargnants…».
Le fait qu’à partir du 15 novembre, certains adhérents, sur décisions arbitraires et non-transparentes du Gouvernement, puissent progressivement commencer à récupérer une partie de leurs fonds, change-t-il quelque chose à l’évolution de l’affaire ? Comment se fait-il que les adhérents aient dû attendre plus de 129 jours pour récupérer partiellement leurs fonds ? Pourquoi l’Etat togolais gère-t-il ce dossier dans la plus grande opacité ? La relation fondée sur des rumeurs, entre l’expérience récente malheureuse de certains pays voisins où les citoyens ont été spoliés, ne peut à elle seule servir de justificatif pour suspendre l’activité d’une structure qui a sa raison d’être économique, et qui vient compléter la défaillance de l’Etat en matière de soutien à la création d’emplois et de création de pouvoir d’achat. A ce titre, ReDéMaRe contribue plus que d’autres à soutenir les objectifs du millénaire du développement consistant à réduire de moitié l’extrême pauvreté à l’horizon 2015. Le Gouvernement togolais serait-il contre ceux qui défendent les intérêts des pauvres ?
De très nombreuses questions restent sans réponse, six mois après le début de cette affaire! Nous en posons une nouvelle fois quelques unes avec pertinence, afin de montrer que de trop nombreuses zones d’ombre subsistent et les pressions discrètes sur les adhérents pour venir prendre une partie ou tout de leur capital d’investissement ne saurait cacher la disparition d’une partie importante de fonds dont la responsabilité incombe à ceux qui ont choisi de ne pas passer
2 Ambassade de France au Togo, « Revue de Presse 6-12 juillet 2010 », in Portail Ambassade de France, voir , accédé le 4 décembre 2010.
3 Y.E. Amaïzo et F. Fabregat, « Faut-il supprimer les militaires dans la société togolaise », in CVU-Togo-Diaspora.org, voir < http://cvu-togo-diaspora.org/2010/09/22/faut-il-supprimer-les-militaires-dans-la-societe-togolaise/2610>, accédé le 5 décembre 2010
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par un tribunal compétent pour clarifier les difficultés passagères et éventuelles du GIE ReDéMaRe. Il n’est pas possible dans un Etat de droit, sauf au Togo, qui à ce titre n’est pas un Etat de droit, de créer unilatéralement des zones d’ombres sur la gestion d’un GIE tel que ReDéMaRe, d’en profiter pour distribuer les sommes trouvées en caisse sur une base arbitraire, et tenter de coller la responsabilité au seul Administrateur, ceci en tout non-respect de l’Acte Uniforme de l’OHADA, des procédures pénales et civiles au plan national et au mépris des conventions internationales et des droits de l’homme, puisque Monsieur Essohamlom SAMA serait torturé dans des cellules spéciales.
Il est demandé aux institutions de protection des droits humains d’intervenir, notamment Amnesty International en appui avec la Ligue Togolaise des Droits de l’Homme, et toutes institutions protégeant les droits des citoyens en général, des Togolais en particulier. Le Gouvernement togolais ne peut cacher son appropriation des biens du GIE ReDéMaRe sur la base de rumeurs et explications sans fondements. Il ne peut utiliser l’Administrateur SAMA comme un bouc-émissaire, privé de ses droits les plus élémentaires, tant pour assurer sa défense personnelle que pour assurer la défense des nombreux Togolais et Togolaises qui bénéficiaient de son système de collecte de capitaux d’investissement et d’ouverture de crédit, sur la base d’un projet générateur d’emplois et de revenus.
Il importe de corriger les inexactitudes qui circulent sur les activités de ReDéMaRe. Ce GIE bénéficiait d’une autorisation administrative pour fournir des services à la population avec une priorité pour la distribution des produits de consommation courante et les prestations diverses dans le domaine social y compris l’accès au crédit pour les populations marginalisées au Togo. Aussi, les opérations de recyclage de capitaux des adhérents qui relèvent de facilitations financières sont parfaitement légales et rentrent dans les attributions du GIE ReDéMaRe.
4. UNE NATIONALISATION DU GOUVERNEMENT RPT/AGO QUI NE DIT PAS SON NOM ?
Au moment où le gouvernement togolais a prononcé unilatéralement la fermeture, le Ministre de l’Economie et des Finances AYASSOR annonçait qu’il restait 5 milliards de F CFA dans les caisses de ReDéMaRe. Cela ne ressemble pas à une situation de faillite ou de cessation de paiements ! Alors qu’aucun adhérent du réseau n’a déposé de plainte en justice contre ReDéMaRe et souhaite au contraire continuer les services d’utilité publique rendus par ce GIE, il faut bien constater qu’il y avait de l’argent dans les caisses et que ReDéMaRe n’était donc pas en faillite. Aucun membre n’a demandé le remboursement de son épargne ou contribution auprès du GIE ReDéMaRe. Ce constat est corroboré par le Collectif des Adhérents de ReDeMaRe qui déclarait au mois de septembre : «Les membres déclarent ne pas être prêts à demander le remboursement de leurs sous. S’il doit y avoir remboursement, cela doit se faire avec la collaboration des responsables de ReDéMaRe ». Clairement, les adhérents de ReDéMaRe considèrent que le risque de spoliation n’est pas du côté des dirigeants de ReDéMaRe, mais bien des agissements du Comité Intersectoriel dit « d’Experts » mis en place par le Gouvernement RPT/AGO pour gérer ce dossier.
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Ainsi, avec la principale décision prise en Conseil des ministres le 9 juillet 2010 retirant la carte d’autorisation de ReDéMaRe sur la base de la décision 025/MCTSP/2010, l’argumentation développée par le Gouvernement RPT/AGO est loin de répondre aux interrogations et aux craintes légitimes des adhérents du réseau et des observateurs indépendants de ce dossier. Le Gouvernement a décidé depuis cette date de suspendre les activités du GIE ReDéMaRe sur toute l’étendue du territoire national. Le seul argument utilisé repose sur des présomptions que ce que fait ReDéMaRe ne peut qu’être équivalent à des malversations effectuées ailleurs notamment :
 l’expérience passée de structures de financement dans lesquelles le promoteur principal a disparu après avoir escroqué les adhérents et plus particulièrement le cas d’un pays voisin où les citoyens ont été spoliés d’environ 100 milliards de FCFA ;
 L’expérience malheureuse aux Etats-Unis de l’affaire Bernard MADOFF qui a participé à l’aggravation de la récente crise financière mondiale et fait perdre plusieurs milliards de dollars américains (environ 50 milliards de $US) aux épargnants.
Le GIE ReDéMaRe avait en dépôt autour de 34 millions de $US soit (18 658 603 338 F CFA), ce qui ne peut être comparé à l’affaire MADOFF où 50 milliards de $US ont réellement disparu. Si le cas MADOFF relevait effectivement de l’escroquerie, le GIE ReDéMaRe aurait réussi la prouesse de distribuer sous forme de prêts près de 11 milliards de F CFA (exactement 10 976 037 583 F CFA) destinés principalement à des activités génératrices de revenus et d’emplois. Par ailleurs, les comptes du GIE présentaient un solde positif réel disponible de près de 5 milliards de F CFA (4 832 795 274 F CFA exactement) au moment de la suspension unilatérale par le Gouvernement.
Autant de raisons qui peuvent inciter à conclure à une véritable opération de nationalisation unilatérale de la part du Gouvernement RPT/AGO et de destruction d’une capacité institutionnelle génératrice de richesses. Le Gouvernement togolais, sur la base de l’arbitraire a choisi de spolier une partie des Togolais et Togolaises qui réclament la vérité des comptes de ReDéMaRe. En procédant à une distribution selon des règles elles-mêmes opaques alors que le GIE n’est pas en soi dissous ou fermé mais simplement suspendu, l’Etat togolais méprise les dirigeants togolais qui tentent de pallier à la défaillance de l’Etat et de plusieurs années d’une mauvaise gouvernance économique qui a été incapable de réduire la pauvreté endémique dans le pays.
ReDéMaRe a été empêché de continuer à se mettre au service des populations les plus vulnérables. Le Gouvernement en profite pour détruire toute tentative de soutien à l’émergence de capacités productives. De là, parler d’un véritablement détournement doublé d’abus des droits humains et de violence perpétuée sur la personne de l’Administrateur Essohamlom SAMA dans la prison civile de Lomé, alors qu’il est au pain sec et à l’eau polluée, pose le problème du rôle de l’Etat dans une démocratie palliative, où les instruments de l’Etat servent à préserver les intérêts de ceux qui détiennent la force et les armes. La communauté internationale si prompte à réclamer le respect des droits humains et la bonne gouvernance est bien silencieuse. Ce véritable détournement basé sur une décision arbitraire de l’Etat mérite une enquête. Les parlementaires togolais ne peuvent se
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permettre de l’envisager, ils sont en crise. Les militaires togolais non républicains ne peuvent se permettre de parler, ils sont aux ordres d’un système où la loi du silence règne en maître jusque dans les obédiences secrètes et occultes. L’Etat, l’ombre de lui-même, n’est au service que d’une minorité qui gouverne d’abord pour contrôler et s’accaparer les richesses du pays, d’où qu’elles puissent émerger.
Au moment où la société a été suspendue, elle n’était pas déficitaire ! Où sont les comptes négatifs de ReDeMaRe, pour justifier un tel acharnement à l’égard de son Administrateur principal qui a le seul tort de vouloir aider ceux que l’Etat togolais a oublié au point de les mépriser ? La vérité, paradoxalement, tient dans l’absence de compréhension du processus économique qui permet de générer de la richesse en transformant l’épargne en investissement par la magie de l’accès au crédit. Mais, cela s’apprend à l’école et non au Gouvernement. Le juge compétent qui aurait pu expliquer tout ceci n’est même pas reconnu recevable, puisque le Gouvernement, afin d’éviter que la vérité ne se sache, refuse malgré une décision judiciaire récente favorable, de libérer l’Administrateur Essohamlom SAMA. ReDéMaRe est l’objet d’un véritable hold-up économique de la part de l’Etat. Si l’Etat souhaite la preuve du contraire, il n’a qu’à stopper son attitude qui consiste à être juge et partie dans ce dossier et laisser la défense porter l’affaire devant les tribunaux compétents, afin que la vérité, la vraie, pas celle de l’Etat RPT/AGO, soit promulguée.
5. POURQUOI LA JUSTICE TOGOLAISE N’EST-T-ELLE PAS EN CHARGE DE CE DOSSIER ?
Les adhérents de ReDeMare sont à juste titre très inquiets des pratiques du Comité Intersectoriel dit d’Experts nommé par le Gouvernement pour la circonstance, lorsque au mois d’octobre, ils ont vu ce comité commencer par prélever une somme de cent (100) millions de FCFA sur les fonds déposés par les adhérents, comme «Frais de gestion, d’expertise et imprévus ». Ces frais ont été enlevés avant même d’avoir annoncé le plan de remboursement de certains membres du GIE ReDéMaRe et sans justifier des pondérations qui profitent à certains plus qu’à d’autres4.
Cette inquiétude fut confirmée lorsque les adhérents ont pris connaissance de la clé de répartition des remboursements établie par le Comité Intersectoriel dit d’Experts de la manière suivante :
 Adhérents n’ayant perçu aucune mensualité : 74,28% du solde ou du dépôt,
 Adhérents ayant perçu une mensualité : 68,69% du solde,
 Adhérents ayant perçu deux mensualités : 60% du solde,
 Adhérents ayant perçu trois mensualités : 44,60% du solde,
 Adhérents ayant perçu quatre mensualités : 10% du solde.
4 Olivier ADJA, « En attendant la redistribution des fonds aux adhérents de ReDéMaRe – Les membres de la Commission technique du gouvernement se partagent 100 millions de FCFA », in Liberté Hebdo, Jeudi 28 Octobre 2010, voir :
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Celle-ci laisse augurer un large différentiel entre le solde positif effectivement récupéré dans les comptes de la société et les remboursements dont bénéficieront effectivement les déposants, à la fin des opérations. Par ailleurs, sur un autre point capital en termes de justice, le même Comité Intersectoriel dit d’Experts ne pousse pas la logique économique jusqu’au bout. Il ne donne aucune précision pour savoir comment seront récupérés les 10 976 037 583 F.CFA de capitaux consommés jusqu’ici, et surtout ne mentionne pas jusqu’à présent le nom des bénéficiaires.
Il s’agit là d’une très grave lacune. N’importe quel Tribunal indépendant aurait commencé par poser cette question et y aurait apporté une réponse. Mais, il semble que le Comité Intersectoriel dit d’Experts considère ce point comme mineur et s’en exonère, du moins jusqu’à maintenant. Ce comité établi unilatéralement par le Gouvernement RPT/AGO n’a de comptes à rendre à aucune Cour de justice, mais au seul Gouvernement togolais qui a décidé de manière unilatérale et non-contradictoire la suspension-cessation d’activités de ReDéMaRe. Le Gouvernement togolais construit donc un système judiciaire parallèle où il est juge et partie et berne ainsi la communauté internationale et la justice internationale, qui se laissent piéger par cette justice palliative où les apparences sont sauves dès lors que l’on désigne un bouc-émissaire en la personne de l’Administrateur Essohamlom SAMA.
Même libérée, une personne bénéficiant d’une présomption d’innocence et avec aucune plainte de la part des adhérents, aucune infraction, aucune fraude, aucune illégalité prouvées par le Gouvernement, continue à poser un problème dans un Togo où la justice est bafouée par des abus de droit. La popularité même de l’Administrateur Essohamlom SAMA conduit le Gouvernement RPT/AGO à isoler le faux accusé dans la partie de la prison civile de Lomé réputée pour ses tortures, ses humiliations et ses vexations les plus barbares. Le CVU demande aux représentants des droits humains au Togo, dans la sous-région comme au plan international de saisir les membres de la communauté internationale et surtout les ambassadeurs en poste au Togo, afin de demander une visite officielle dans la prison civile de Lomé pour s’enquérir de l’état exact de santé de l’Administrateur SAMA, qui serait malade du fait des sévices et tortures subis d’une manière ou d’une autre de la part du pouvoir en place.
Au plan économique, l’affaire ReDeMaRe, illustre une nouvelle fois la question de la séparation des pouvoirs exécutif et judiciaire au Togo, comme l’avaient illustrée les actes du Gouvernement RPT/AGO dans sa détermination à :
 fermer sans succès le parti politique OBUTS au mois d’août 2010 ;
 à tenter d’affaiblir l’ANC et le FRAC par une nouvelle tentative d’exclusion abusive intentée au niveau parlementaire contre les ex-membres du parti de l’Union des forces du changement.
Faut-il répéter qu’aucun adhérent sérieux du réseau GIE ReDéMaRe n’a déposé de plainte en justice contre le responsable de ReDéMaRe ? La très grande majorité des membres lui est restée fidèle et souhaite voir continuer l’activité qui leur a permis de retrouver leur dignité face au niveau de
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chômage enregistré par le pouvoir depuis plusieurs années. Incarcéré depuis cinq mois alors que le délai maximum était de 10 jours de détention préventive, l’Administrateur Essohamlom SAMA est actuellement encore l’objet d’un véritable bras de fer judiciaire entre la Chambre d’Accusation qui a ordonné sa mise en liberté et le Parquet, aux ordres du pouvoir RPT/AGO qui a rejeté la décision5 et choisit de se pouvoir en cassation afin de conserver Monsieur SAMA en prison.
6. LIBERER SAMA, CE N’EST QUE JUSTICE FACE A L’ARBITRAIRE DE L’ETAT RPT/AGO
Dans ce contexte nauséabond d’arbitraire et de bouc-émissairisation d’une personnalité dédiée au Peuple togolais, il est remarquable que M. Essohamlom SAMA continue à garder la confiance absolue du Collectif des Adhérents de ReDéMaRe qui devrait se mobiliser pour aller voir toutes ambassades des pays influents pour expliquer le système arbitraire qui prévaut au Togo.
A un niveau moindre, c’est comme si le Gouvernement togolais décidait de fermer la Grameen Bank et de mettre en prison sans explications le prix Nobel de la Paix, Muhammad YUNUS, père du microcrédit et Administrateur de la Grameen Bank.
Les avocats de SAMA Essohamlon, n’ayant toujours pas obtenu, cinq mois après son incarcération, la signification officielle des motifs de celle-ci, sont fondés à la qualifier d’arbitraire. Les raisons invoquées par le Gouvernement méritent d’être partagées avec le Public togolais et international :
 « Dossier complexe » ou « faits graves et complexes » sans spécifier les faits sont les motivations du Gouvernement qui en profite pour faire rejeter les demandes de mise en liberté provisoire ;
 Absence de partie civile et donc aucune plainte permettant de justifier l’incarcération et le maintien en prison pour tentative d’escroquerie de la part de Monsieur SAMA ;
 Le gouvernement ayant choisi la procédure de dissolution normale d’un Groupement d’Intérêt Economique prévu par l’Acte Uniforme de l’OHADA relatif aux sociétés commerciales et aux GIE, il faut savoir que toute décision nationale d’ouverture de la décision régionale suspend ou interdit toutes les poursuites individuelles. Le Gouvernement ne prend manifestement pas cela en compte ;
 De surcroît, les mesures conservatoires au Togo ne permettent pas de garder légitimement une personne privée en prison plus de 10 jours ;
En retirant l’autorisation d’installation no 040446/MDPRCPSP/DCIC en date du 21 décembre 2009 sans prouver une quelconque irrégularité, le Gouvernement s’est donné les moyens de geler les avoirs du GIE ReDéMaRe, ce qui constituerait une véritable nationalisation hors-la-loi, et donc une
5 Lambert ATISSO, « Détention du DG de l’ex-ReDéMaRe: Ses avocats “surpris du comportement du parquet » in Savoir News, Lundi 15 Novembre 2010, voir , accédé le 3 décembre 2010.
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usurpation des biens du GIE ReDéMaRe par l’Etat togolais. Il faut s’interroger sur le rôle du Doyen des juges d’instruction qui a ordonné la levée des scellés apposés sur les locaux des différentes agences du GIE afin de procéder à l’inventaire (ordonnance no 34/10 daté du 2 août 2010) et comme par enchantement, c’est le même Doyen qui par l’ordonnance no 35/10 daté du même jour qui accompagné de deux inspecteurs (un du Trésor et l’autre des Finances) et d’un huissier de justice sont allés « ramasser l’argent » dans les agences du GIE ReDéMaRe.
La décision de restituer l’argent aux membres du GIE ReDéMaRe est sans fondement juridique et n’a jamais été sollicitée par aucun adhérent ou membre du GIE.
Au mépris de l’Acte Uniforme de l’OHADA, alors que le GIE ReDéMaRe n’est :
 ni dans une situation de règlement préventif prévu pour éviter une cessation de paiement ou d’activité afin d’apurer le passif,
 ni dans une situation de redressement judiciaire qui aurait permis la sauvegarde de l’activité et un concordat discuté avec les dirigeants du GIE,
 ni dans une situation de liquidation judiciaire des biens afin de récupérer ce qui peut l’être du passif et d’apurer le passif,
Le Gouvernement RPT/AGO ne respecte par les conventions régionales et le juge d’instruction en charge du dossier de l’Administrateur SAMA n’a pas été désigné par l’Acte Uniforme OHADA. Mais l’abus de droit le plus caractéristique de l’arbitraire du régime RPT/AGO est que c’est le Doyen des juges d’instruction, est aussi le Président du comité de restitution des fonds à des adhérents qui n’ont rien demandé et préfèrent voir le GIE ReDéMaRe reprendre ses fonctions. Surtout lorsque le Gouvernement n’apporte aucune preuve de dissolution du GIE, surtout lorsque le retrait arbitraire de l’autorisation d’installation par le Gouvernement RPT/AGO est en contradiction avec l’article 883 de l’Acte Uniforme de l’OHADA, qui prévoit que le GIE ne peut être dissous que par l’arrivée du terme, la réalisation ou l’extinction de son objet, la décision de ses membres (dans les conditions spéciales, voir 877 de l’AU de l’OHADA), ou par décision judiciaire pour des motifs justes, ou par décès d’une personne physique ou dissolution d’une personne morale membre du GIE, sauf clause contraire du contrat.
Le Gouvernement RPT/AGO s’est substitué à la justice et à l’Acte Uniforme de l’OHADA et profite de la privation des droits de la défense, des humiliations, tortures morales et physiques de l’Administrateur Essohamlom SAMA dans la prison civile de Lomé, pour mener un règlement hors-la-loi, extrajudiciaire, en toute violation de règles élémentaires des droits humains.
7. AGIR OU FAIRE L’AUTRUCHE FACE AUX TORTURES GRATUITES AU TOGO ?
Le Collectif pour la Vérité des Urnes exhorte le Gouvernement à respecter les conventions régionales signées, à respecter les conventions sur les droits humains et à procéder à la libération sans conditions de M. Essohamlom SAMA. Au cas où l’état de santé de ce dernier serait affecté par
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les mois d’emprisonnement et de torture, le Gouvernement togolais est prié de prendre en charge les soins médicaux et de rétablissement et de manque à gagner pour sa famille et pour les adhérents du GIE ReDéMaRe.
Le Collectif pour la Vérité des Urnes appelle l’opinion publique togolaise, la communauté internationale, l’ensemble des organisations de défense des droits humains, la Ligue togolaise des droits de l’Homme et Amnesty International en particulier, à peser de tout leur poids pour que justice soit faite pour toute personne présumée innocente au Togo.
Amnesty international et les organisations de la communauté internationale qui soutiennent les objectifs pour le Millénaire du développement devraient se pencher sur ce cas, dans lequel un Gouvernement décide unilatéralement de mettre entre parenthèses le travail acharné des combattants du retour de la dignité humaine des populations du Togo, qui leur accordent un droit à l’accès au crédit et les accompagnent dans la création de revenus et d’emplois. Comment peut-on empêcher des acteurs de la société civile de contribuer à la réduction de pauvreté, notamment dans les zones rurales ? Comment peut-on empêcher des gens honnêtes de travailler pour le Peuple togolais sans se servir d’abord ?
Le CVU estime que la vérité des comptes dans le dossier ReDéMaRe suppose que le Gouvernement n’intervienne pas, sans plainte, dans la gestion d’une structure privée, et surtout laisse la défense et les avocats de ReDéMaRe faire leur travail devant les juges togolais, en toute transparence, sans injonction, sans emprisonnement, sans intimidation.
A défaut, le Gouvernement RPT/AGO est juge et partie, et en l’espèce s’arroge le droit de s’approprier l’épargne d’autrui, les biens des pauvres, en tuant les opportunités d’accès au crédit proposées par ReDéMaRe. Il semble qu’il y a plus d’ignorance sur le fonctionnement d’une structure fondée sur un système où le crédit s’investit dans les capacités productives locales, avant de produire des bénéfices, recyclés auprès des populations privées d’accès au crédit. Empêcher ce système de continuer, c’est mépriser le petit peuple, les gens honnêtes et acteurs du développement du Togo dans les zones les plus reculées.
Les agents des Nations Unies en charge de la réduction de la pauvreté ne peuvent rester muets, sous le couvert de l’obligation de réserve, alors que l’on torture gratuitement dans les prisons togolaises.
9 décembre 2010
Coordinateur international provisoire
Dr Yves Ekoué AMAÏZO
Responsable de la communication
François FABREGAT

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LE GOUVERNEMENT RPT/AGO NATIONALISE ReDéMaRe Halte à l’arbitraire …
9 déc. 2010 … Le GIE ReDéMaRe a comme Administrateur Monsieur Essohamlom SAMA. Jusqu’à ce que le Gouvernement RPT/AGO ne fasse de l’ingérence unilatérale …
Le CMDT s’indigne de l’immixtion inacceptable du Gouvernement …
15 févr. 2011 … Le CMDT demande donc la libération immédiate et sans conditions de Mr E. SAMA, Directeur Général du Groupement d’intérêts économiques (GIE) …
le Grand Débat sur Africa N°1 : la crise sociale au Togo …
22 juin 2011 … L’étude a aussi conclu à la bonne gouvernance économique du DG de ReDeMaRe, Mr Sama Essohamlon. Paradoxalement, personne dans le …
RPT/AGO ET CRISE SOCIALE AU TOGO : Entre mensonges, arbitraires et …
17 juin 2011 … Comment des économistes de renom peuvent-ils conclure à la bonne gouvernance de Mr Sama Essohamlon, Directeur Général de ReDeMaRe sans que …
Radio Kanal K – Fenêtre sur l’Afrique du 05 Février 2011 …
6 févr. 2011… La libération des prisonniers politiques au Togo a été demandée à l’ unanimité par le CMDT notamment celle de M. E. Sama directeur …
François FABREGAT commente la presse Togolaise et Africaine : N°8 …
16 juin 2011 … Forts de ce nouveau soutien de poids, nous espérons que le gouvernement relâchera dans les meilleurs délais M. Essohamlom SAMA, auquel nous …
C’EST NOTRE MANIÈRE DE FAIRE NOTRE PART Il y a un peu plus d’un …
8 juil. 2011 … l’emprisonnement de Monsieur Essohamlon Sama initiateur de Redémarre. Pour preuve l’arrestation du député Robert Olympio sans autre forme de …
François FABREGAT commente la presse Togolaise et Africaine : N°3 …
12 mars 2011 … A la différence du dossier « ReDeMaRe » dont le DG M. SAMA, actuellement gravement malade, est toujours arbitrairement détenu, …
François FABREGAT commente la presse Togolaise et Africaine : N°2 …
28 févr. 2011 … La libération des prisonniers politiques au Togo a été demandée à l’unanimité par le CMDT notamment celle de M. E. SAMA directeur général de .

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• Ce certificat comporte un numéro d’ordre indiquant sa position par rapport à l’enrôlement pour l’obtention de sa carte de crédit consommation (cas des démunis et des moins nantis)

• L’achat de ce document vous identifie au fichier central de la fondation Re Dé Ma Re.

• Ce document est aussi l’invitation aux colloques, conférences et aux campagnes de sensibilisation autour des grandes idées novatrices qui y sont inscrits pour tout acquéreur.

• De plus, comme son nom l’indique, document de base, il permet d’éclairer le fonctionnement du nouveau système.

Préface

Notre monde aujourd’hui est devenu un gros village planétaire. Y éradiquer la pauvreté équivaut à supprimer la plupart de ses maux à coup d’importants capitaux. Dans cette lutte contre la pauvreté, pour le développement harmonieux et durable, de grandes portes de gros financements s’ouvrent pour le secteur privé. Pour garantir un véritable résultat positif aux nobles objectifs de ces financements, il faut recenser les maux identifiés faisant entrave à l’atteinte des objectifs et leur apporter des solutions convenables, qu’elles soient novatrices ou même révolutionnaires. Car en réalité, trouver de solutions à ces maux, n’est pas uniquement une question financière, mais c’est aussi et surtout trouver un système pour gérer ces moyens, là où les actuels systèmes sont en train de démontrer leur inefficacité. En effet les systèmes de gestions publiques de l’économie des régimes politiques des pays en voie de développement surtout, ont montré pour la plupart, leur défaillance face à la montée flagrante de la pauvreté qui, de plus en plus s’amplifie malgré les efforts d’investissement faits pour la lutte contre ce fléau.

Ainsi les regards se sont tournés vers le secteur privé notamment le patronat, qui dans la plupart des cas, n’a aussi pour système que ce capitalisme intolérant. Bien que minoritaire, il semble tout simplement relayer le secteur public dans son extrême enrichissement, s’octroyant les grands efforts de la masse contre des miettes, germe de la paupérisation. Cependant c’est cette masse qui est censée promouvoir le développement par le pouvoir d’achat.
C’est ce constat d’insuffisance de résultat des secteurs publics et privés qui a poussé le monde des investisseurs à se mettre en quête d’un troisième secteur. Les recherches pour cet objectif ont orienté des innovateurs vers une économie sociale privée. C’est dans cette ligne de recherche qu’est né le système que propose ce livret : une économie sociale et privée, participative, laïque, apolitique, portée par un réseau dénommé : Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource, en abrégé Re Dé Ma Re, (SA). Il prend en compte les grands maux qui, dans les deux précédents secteurs et systèmes, font entrave au développement harmonieux et durable par des solutions innovantes voire révolutionnaires. C’est un système qui met la personne humaine, au premier plan de l’enrichissement général.

En effet l’homme, est la principale pièce de toute production de richesse et nul ne pourra parler de production de richesse sans consommateur.

Voilà la démarche d’analyse qui a jeté les bases et pausé les jalons de Re Dé Ma Re, (SA). C’est en apportant des réponses à cette thématique que Re Dé Ma Re, (SA) s’est retrouvé fondateur d’un système d’économie sociale qui restitue à l’homme sa dignité, faisant de lui une véritable mine de richesse qui gravite autour de deux points essentiels à savoir, son existence et sa productivité (l’existence qui exige une consommation satisfaisante de tout ce qui contribue à son bien-être social et sa productivité qui doit entretenir et améliorer cette consommation, une productivité dont tout homme en bon état dispose un tant soit peu).

La méthode que se propose Re Dé Ma Re, (SA) se formule ainsi « vendre à l’homme tout ce qui contribue à son bien être social, c’est lui vendre d’abord, tout ce dont à besoin sa productivité pour se mettre en valeur » : les créneaux porteurs, l’expertise, la technologie, des outils de financement adéquat et une zone économique protégée fiable et viable.

C’est justement à ce niveau que l’on doit développer des stratégies d’opérations lucratives pour mieux s’enrichir tant au niveau de sa productivité que de sa consommation. C’est une base de données économiques fondamentales. Une pièce maîtresse de l’équilibre social que les systèmes économiques actuels ignorent. Un concept qui avorte tout idée de bénévolat, d’assistant et de gratuité. « L’homme est au centre de tout développement économique et ne devrait pas supplier pour cela ! Car en réalité aucun développement n’a intérêt à se faire en marge de la pauvreté puisque ayant tous les atouts pour l’absorber dans son propre intérêt. »

Le but réel de ce livret est de vulgariser le système Re Dé Ma Re, (SA), susciter l’engouement à l’adhésion au réseau de tous par ce cheminement qui n’est pas une idéologie, son fonctionnement, ses champs d’actions, dimensions, tout ceci de façon sommaire, bien entendu !

En effet, loin de supposer avoir fini d’énoncer tout ce qui concerne le système Re Dé Ma Re, (SA), cet ouvrage est plutôt une toute première invite au débat. Un instrument dont doit disposer toute famille, tout groupe social, enseignant et apprenant, opérateur de tous secteurs confondus pour apporter son soutien positif, par ses critiques et suggestions constructives, pendant que l’on se sera déjà mis au travail.

EXEMPLES DE LEURS DOCUMENTS. Leus site est encore censuré… www.redemare.org

Re Dé Ma Re, (SA) : Schéma descriptif tenant lieu de projet

I- Introduction

Le fossé se creuse de plus en plus entre les riches et les pauvres dans un monde géré par deux secteurs : le public aux mains des politiques, le privé qui doit faire face à plus de responsabilité du fait de la faillite des politiques. Il s’impose donc la recherche d’un troisième secteur en vue de créer une économie populaire, participative et apolitique. Soit une Zone Economique Protégée au service de la masse sans ressource et des personnes à faible pouvoir d’achat pour faire face aux enjeux de la mondialisation. C’est pour cet objectif qu’est née une Société Anonyme dénommée Re Dé Ma Re, (SA) (Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource) qui se veut un technopôle universel pour transférer à l’homme où qu’il soit, les meilleures technologies de sa productivité pour un pouvoir d’achat consistant au service duquel se fera un transfert des grandes technologies pour sa meilleure consommation à tout point de vue. Ce qui aura pour conséquence, la mise à niveau rapide du développement général des quatre coins du monde pour son envol spectaculaire, car c’est de cela qu’il s’agit dans la mondialisation.

II- Objectifs

• Globaux : Atteindre la mise à niveau du développement global qui va au-delà des huit Objectifs de Développement du Millénaire.
• Spécifiques : Renforcement des capacités des membres en matière de compétence, moyens financiers en vue de la création de richesse et d’emplois.

III- Stratégies

• Trouver des capitaux
• Connecter la masse à ces capitaux pour en faire des actionnaires dans une Société Anonyme géante en vue du bénéfice et de l’emploi (renforcement du pouvoir d’achat) pour les maintenir dans une zone économique protégée.

IV- Attentes

• A court terme : l’organisation d’une série de colloques internationaux pour divulguer les idéaux de Re Dé Ma Re, (SA) en vue de susciter l’engouement de tous à la mise sur pied de l’institution partout où besoin sera.
• A moyen terme : la création du technopôle universel par le biais des accords de partenariats de tous genres.
• A long terme : création progressive de la Zone Economique Protégée à caractère universel.

V- Localisation

Re Dé Ma Re (SA), est appelé à agir partout où se trouve la masse sans ressource dans le monde entier, donc l’issue du premier colloque l’amènera à décider du lieu de son siège social.
Re Dé Ma Re, (SA) : La société anonyme par excellence

L’organisation structurelle visant la place qu’occupe l’intérêt porté sur la personne de chacun des actionnaires en vue d’une bonne gestion et la bonne répartition de la chose commune dans une SA, est le principal élément qui a orienté le choix de Re Dé Ma Re, (SA) à l’adopter pour sa vulgarisation au service de la prise en charge économique de notre société humaine en proie à une véritable crise de bonne gouvernance socio-économique.

Actionnaire, chaque être humain aura le plein droit de jouir de son appartenance à la société humaine, productrice d’une richesse aujourd’hui en voie de globalisation, dans laquelle il a une part sociale raisonnable. Une identité qui dépasse de très loin celle que pourrait lui offrir un Nation, un Etat, une Association ou, que savons-nous encore ?

La société anonyme a un caractère essentiellement industriel. Elle confère l’éminence à toute personne physique ou morale qui en détient le monopole, prouve sa pertinence à user de sa possibilité d’accroissement vers tout niveau de robustesse, afin de s’affirmer suffisante pour tout besoin de développement de l’humanité.

Il se trouve que ces niveaux d’excellence lui sont offerts par la consistance, l’étendue et l’extension progressive de son marché dont la molécule n’est que l’être humain. Ce sont les stratégies pour composer ce marché à mettre à la disposition de nos Sociétés Anonymes actuelles, qui alimentent la concurrence qui à son tour occasionne des pertes d’énergie contribuant ainsi à la fraction de la société humaine en pauvre et riches. Cependant ces deux pôles ont existé et ont toujours droit d’exister au sein de l’humanité. C’est la relativité de ce fait qui est mise en évidence, car dans un développement harmonieux des humains, l’on dira plutôt les plus riches et les moins riches, parce que tous en fait seraient riches et le mot pauvre n’aura de sens que moins riche étant dit que l’on ne saura jamais trouver une formule d’égalité parfaite sur ce point.

Donc, composer un marché où pourraient se retrouver tous les humains dans le seul but de se mettre à disposition personnelle de la Société Anonyme dont chacun est actionnaire, c’est trouver la meilleure des formules pour un développement sans légal dans un gouvernement économique universel, qui pourra dicter son excellent caractère pacifique à tous les autres gouvernements quels qu’ils soient.

Ce sont là les objectifs que vise la zone économique protégé universelle que voudra édifier Re Dé Ma Re, (SA). Un marché idéal où les statistiques seront des plus précises dans tous les domaines et à tout point de vue, en vue de rationaliser la productivité humaine, évitant ainsi le gaspillage, la destruction abusive de l’environnement, bref tous ces maux actuels qui menacent l’épanouissement et la prospérité du monde. De plus le niveau élevé de pacifisme et de quiétude qu’offre ce marché idéal libère tout actionnaire Anonyme, de stress de tous genres dus aux contraintes et obligations individuelles de la concurrence actuelle déjà trop tendue.

LE SYSTÈME

Le système Re Dé Ma Re vise à se créer un marché de nouveaux consommateurs d’environ 68% de nos populations que représentent les personnes sans ressource ou celles à faible pouvoir d’achat. Pour y parvenir, le réseau préconise :
• L’orientation des investissements externes fiables et la revalorisation des ressources endogènes de tout bord vers cette frange de nos populations

• Axer ces investissements mixtes au nom et pour le compte des adhérents, sur leur émission dans une structure de fructification et de gestion aux dimensions multiples, colossales et modernes (technopôle) en vue de leur faire participer au partage de tout ce qui en découlera en terme de droit, de salaire et de dividende, pour leur pouvoir réel d’achat.

• Et enfin cantonner la consommation de cette masse devenue « nouveaux consommateurs », à la commercialisation des produits et prestations de la structure, composés de tout ce qui contribue au bien-être social tels que : maisons, logements, alimentation générale, habillement, soins, scolarisation, formation, voyages, moyens de déplacement et de communication, des prestations de toutes sortes surtout celles des entretiens et des services domestiques, sans oublier celles dans le cadre des confessions et loisirs, bref tout ce qui leur fera dépenser par le biais du système de crédit en nature crée par le réseau pour la construction de sa zone économique dans laquelle le recouvrement de la consommation est automatiquement sur les bénéfices permettant le remboursement de l’investissement externe.

Ou encore un groupement d’intérêt et société d’insertion économique, Re Dé Ma Re, (SA) (Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource) est un système dont le fonctionnement prendra en compte les aspects qui entravent les processus de développement et de la lutte contre la pauvreté à savoir : le manque de revalorisation et d’accès aux ressources, d’action commune et de partage équitable.

C’est un regroupement de personnes morales et physiques pour l’action commune axée sur l’exécution des projets d’opérations économiques, tous secteurs confondus, dont le financement proviendra des apports de fonds propres (en nature, en numéraire ou en industrie) des adhérents et à défaut de ces fonds propres, d’emprunts, d’investissements et financements de tous genres qui seront contractés par Re Dé Ma Re, (SA) au nom et pour le compte de tout individu, toute famille ou institution, demandeurs, en vue de les insérer dans la zone économique protégée dans laquelle le recouvrement de la consommation est automatique sur les bénéfices permettant le remboursement de l’investissement interne.

Un système basé sur le partage équitable, excluant toute forme d’usure, assistanat, bénévolat et gratuité, mettant en relief la recherche pour la masse d’un réel pouvoir d’achat pour faire d’elle un véritable marché inédit de ses propres produits et prestations. Le pouvoir de consommer ici mis en relief sera sans aucun doute, le vrai levier pour un développement général, tant et très longtemps recherché par tous.

SYNTHESE

C’est une société Anonyme qui va se mettre à la disposition de toute personne physique (individus) ou morale (société, établissement, groupement, association etc.) riche ou pauvre, de façon à faire de tous des actionnaires ou des adhérents, en vue de leur faire vivre tous leurs droits économiques par l’emploi et le bénéfice.

Cette société de la population va faire toutes les activités qui génèrent des bénéfices dans tous les domaines d’opérations économiques. Chaque secteur d’activité sera mis en chaîne pour travailler en réseau avec les autres en capitaux et en bénéfices.

Ce réseau va organiser chaque chaîne d’activité, les moderniser et renforcer leur capacité pour plus de rendement. Le bénéfice de cette mise ensemble sera partagé à chacun selon ce qu’il aura mis comme fonds dans la société. En plus du bénéfice, un salaire sera payé à tous ceux qui auront du travail dans le réseau. Ces deux revenus (salaire + bénéfice) seront calculés selon un procédé comptable, pour envisager le bénéfice de chacun à court, moyen et long terme.

Selon ces estimations chacun pourra commencer, dès son adhésion, à acheter à l’aide d’une carte de crédit, tout ce qu’il voudra sur le marché de toutes les chaînes : construction de maison, location de logement, alimentation générale, habillement, scolarisation des enfants, soins médicaux, pharmacie, moyens de déplacements et de communication bref tout ce qui contribue au bien être social.

Le remboursement de chacun se fera automatiquement par la société au fur et à mesure que les bénéfices seront faits. Pour adhérer au réseau, on distinguera trois catégories de personnes :
• Celles qui voudront mettre leurs propriétés (maisons, terrains et tout ce que le réseau pourra utiliser pour faire du bénéfice) : c’est l’apport en nature.
• Celles qui voudront mettre leurs activités, sociétés, établissements, entreprises etc. : c’est l’apport en industrie
• Celles qui voudront mettre leur argent tout simplement : c’est l’apport en numéraire.

Pour le cas de celles qui n’auront rien à mettre, le réseau pourra traiter leur cas avec ses partenaires qui prêtent de l’argent ou qui aident les gens à se prendre en charge en vue de leur trouver de l’argent pour leur constituer des actions dans la société.

Il y aura une limite minimale d’actions exigée pour permettre à chacun d’être à la hauteur d’une consommation acceptable pour vivre mieux en mieux. Donc pour tout adhérent qui n’aura pas atteint cette limite le complément pourra lui être aussi cherché.

Tout le monde pourra être adhérent de plus riche au plus pauvre, ainsi que toutes les institutions et surtout l’Etat.

Il y aura également une limite maximale d’actions définie à ceux qui voudront mettre de gros capitaux afin que l’excédent au-delà de cette limite soit prêté dans le but du partage de bénéfice, à ceux qui n’auront rien ou à ceux dont les actions auront besoin d’être complétées pour atteindre le minimum d’actions exigé.
L’objectif est de créer la richesse à ceux qui n’en avaient pas et de l’augmenter à ceux qui en ont par la capacité de tout le monde à pouvoir acheter ce que chacun produit et vend sur toutes les chaînes du réseau de la société Re Dé Ma Re, (SA). C’est ce que nous appelons la Zone Economique Protégée (ZEP) car elle constitue une entité autonome en soi face au marché extérieur avec lequel elle va exister en partenaire.

CHAPITRE I

Introduction

Plusieurs problèmes empêchent au ralentissement les processus de développement et la lutte contre la pauvreté dans nos pays. Ce sont essentiellement : le manque de revalorisation et d’accès aux ressources en vue de toute activité, le manque d’action commune, et le manque de volonté pour le partage équitable…

La plupart des nations dites développées au monde ont dû passer par des systèmes de gestion de la chose commune en plaçant la personne humaine au centre de leur développement, l’on y découvre sûrement qu’il est fondé sur ces trois éléments principaux :
• La recherche de ressources fiables pour l’autonomie de chacun
• La recherche de l’action commune pour mieux fructifier
• Et la recherche du partage équitable du fruit de l’effort commun, dans le but de stimuler la consommation satisfaisante de chacun au grand bonheur de la production. Ces éléments sont fondamentaux et restent les mêmes pour tout développement qui se veut durable, fort et harmonieux.

Et toute équipe dirigeante qui n’en tiendra pas compte fera sûrement payer des frais à sa nation.

Aujourd’hui, ayant opté pour le troisième secteur qui est un modèle de gestion économique populaire, privé, laïc, et participatif, nous sommes de facto des dirigeants. C’ est pourquoi nous voudrions passer humblement par ce document pour dire à tout lecteur qu’il fait partie des dirigeants de cette nation.

Il trouvera dans cet ouvrage sur sa route de dirigeant : la présentation des choses qui font l’empêchement de chacun des trois éléments fondamentaux du développement, ensuite comment les éliminer et enfin quelques opportunités qui s’offrent une fois que ces empêchements seront éliminés.

Les empêchements

1- LE MANQUE DE REVALORISATION ET D’ACCES AUX RESSOURCES.

Les salaires

La grille salariale du commun des acteurs des secteurs actuels (public et privé) de nos nations fait preuve pour la plupart d’une insuffisance notoire qui est cause de l’affaiblissement du pouvoir d’achat, donc du manque de ressource financière fiable entretenant ainsi une partie des germes de notre pauvreté.

Or, les non salariés ayant pourtant les mêmes droits que les précédents sont appelés pour une raison ou une autre, à se prendre en charge. Se prendre en charge suppose s’auto employer, entreprendre une activité génératrice de revenus, se créer personnellement un pouvoir d’achat, s’abriter contre la pauvreté et s’atteler au train du développement en marche. Pour éviter des gens à cela, il leur faudra indispensablement un certain nombre de ressources au préalable pour éviter les empêchements néfastes. Ont-ils ces ressources ? Sinon qu’est ce qui les en empêche ?

Les conditions d’accès aux crédits

Il y a une inadéquation notoire entre l’état d’évolution de nos populations de base avec les structures fiables de crédit, en ce qui concerne leur libre entreprise pour le développement. Car on ne peut parler de développement sans l’accès aux capitaux fiables.

S’agissant des structures de micro crédit pour la lutte contre la pauvreté, leurs accès pour le commun des populations à la base prennent souvent l’allure qu’aurait un chameau à passer par le chas d’une aiguille, mettant du coup un grand nombre en marge de ces processus.

Nombreux sont ceux aussi mis en marge du processus, tout simplement par ce que n’ayant pas de garanties nécessaires pour la réussite à coup sûr de leurs projets ; ils s’abandonnent à la méfiance à cause de l’enfer que font subir la plupart de ces institutions à leurs clients défaillants.

Le problème de l’usure

La pratique de l’usure telle que conçue par la plupart des religions qui l’interdisent (l’islam en particulier), n’implique que l’idée de prêter de l’argent et d’en attendre un surplus au remboursement et rien d’autre ! Ce concept dicte déjà un mode de vie que ne peut abandonner sous aucun prétexte le vrai pratiquant. Dans ce concept donc, toutes nos institutions financières sont illicites ! C’est l’un des éléments qui contribue à l’appauvrissement de la grande partie de cette population non négligeable, qui ne peut jusqu’ici orienter sa libre entreprise vers le crédit.

Et ceux de cette population qui ne s’y sont pas mis en marge, se voient même en conflit avec leur religion !

Cette exclusion se doit de s’amplifier puisque les instruments actuels de développement et de la lutte contre la pauvreté ne viennent pas en correcteurs de la situation. Quel résultat voudrions-nous obtenir avec notre système actuel de financement jugé illicite par cette population qui représente la majeure partie de ces gens que l’on voudrait bien sortir de la pauvreté ?

Rester sourd devant cette situation, c’est aller en conflit direct avec la lutte contre la pauvreté et le succès de l’aide au développement dans une partie du monde sous développement ! Voilà un empêchement qu’il faut éliminer coûte que coûte. C’est l’une des choses auxquelles s’évertuera Re Dé Ma Re, (SA) dans son système.

Ressource en nature

Nos populations sont essentiellement des agriculteurs, artisans et commerçants disposant des ressources en nature pour ces filières (terres, bétail, etc.) dont on a plus à vanter la place dans le développement mondial. Quel développement voudrions-nous obtenir, lorsque aucune orientation n’est faite en direction de la revalorisation pour l’exploitation intensive et industrielle de ces ressources ? S’agissant des ressources en nature et en industrie en milieux urbains surtout : immeubles, maisons, terrains etc. …, leur énormité effraie lorsque l’on les met ensemble pour servir de caution de garantie à une institution commune donnée en vue de son obtention du crédit.

Ressources humaines

Tout développement durable passe par une bonne éducation et une formation professionnelle adéquate. Or nos populations sont, pour la plupart, restées analphabètes, en raison du passage forcé par l’école du colonisateur, qui n’est venu trop tard. Mais comment pourrions nous envisager le développement des gens disposant essentiellement des potentialités dans un nombre de secteur donné, sans que l’éducation et la formation professionnelle de leur progéniture (relève de demain) ne soient essentiellement orientées vers un développement basé sur ces secteurs ?

Aujourd’hui, les ressources humaines de bon nombre de ces filières sont restées analphabètes, sans formation professionnelle adéquate, pendant que leur progéniture traîne dans les rues avec en poche des diplômes dont on en fait rien. C’est comme demander aux poissons de se développer après que l’on les a sortis de leur eau !

Les ressources matérielles

Le manque de toutes ces énergies mentionnées fait que la plupart des secteurs d’activités économiques de nos milieux appelés pauvres sont restés à leurs état embryonnaire, où les outils traditionnels font encore parler d’eux, pendant que l’évolution du monde économique en ce 3ème millénaire est déjà en plein cœur de la haute technologie.

2- LE MANQUE D’ACTION COMMUNE

Aujourd’hui, le monde prouve par sa tendance à la mondialisation, les bienfaits de l’action commune en matière de développement.

Cet élément devrait être celui utilisé aussi bien aussi au plus bas qu’au plus haut niveau. Malheureusement le monde, parlant de la lutte contre la pauvreté et l’aide au développement des populations démunies, semble ignorer qu’il n’a jamais pu réussir à trouver une vraie stratégie allant dans le sens de la création des zones de grandes synergies en faveur de cette population. La voilà donc embourbée de plus en plus dans cette artificielle pauvreté, dans un environnement qui pourtant regorge de toutes les potentialités de richesse, mis à part celles du besoin de sa productivité et sa consommation (deux facteurs créateurs de richesse) qui lui sont inhérentes.

Les Etats providentiels n’existant plus, les jeunes surtout doivent se prendre en charge. Mais comment le peuvent-ils, en rangs dispersés et surtout sans moyens ni marché de consommateurs fiables ? Les initiatives peuvent beau être là. Le fait que chacun coure de son côté dans la même initiative parfois parce qu’elle est plus porteuse, l’anarchie s’y installe, les choses se font à tout prix et l’initiative parfois se sature et ne porte plus de fruits sérieux ou tout simplement s’engouffre, emportant souvent avec elle de très gros efforts d’investissement. On court tous, si possible, vers d’autres secteurs, qui subissent le même sort et ainsi de suite pendant que le mal reste connu de tous ; c’est-à-dire le manque de marché occasionné par l’incapacité de la masse à consommer véritablement. Cependant, chacune de ces initiatives ou entreprises, dans une synergie sérieuse indiquant la recherche d’un réel pouvoir d’achat pour tous avant tout, devraient constituer de vrais éléments de développement durable. C’est en cela que, tout seul, il sera très difficile aux micros financiers de résoudre efficacement le problème du développement dans cette globalisation par leur multiplication de micro projets au sein d’une masse suffisamment vulnérable aux méfaits de la concurrence mondialiste. Car le bas niveau, pour s’y intégrer efficacement, a besoin d’autant plus de gros investissements de toutes sortes que le haut niveau : investissements au plan financier, technologique, d’équipement et d’expertise. Seule, une action commune bien coordonnée d’une équipe multidisciplinaire, de gens rompus chacun à sa spécialité et canalisée dans des projets de développement durable savamment peaufinés, peut porter de tels investissements. Cette action commune doit impliquer la masse à la recherche de consistants pouvoirs d’achat en vue d’une consommation satisfaisante. Il faudra pour mieux réussir, ‘‘cantonner’’ cette masse dans une zone économique protégée, offrant ainsi une bonne garantie aux financements et un bon essor à toutes les initiatives.

3- LE MANQUE DE VOLONTE POUR LE PARTAGE

Le partage équitable ici, n’a aucun sens étique ou moral, ni n’est un acte de charité, mais une condition indispensable pour le développement. Pour tout développement, il faut produire. Lorsque l’on produit, il faut des consommateurs, et il faut pour ces consommateurs des moyens pour mieux consommer. Ainsi donc, il faut provoquer des moyens pour tous ces potentiels consommateurs, en vue de mettre en valeur leur inhérentes richesses que représentent leur productivité et leur consommation. Provoquer les moyens au sein de la masse, c’est lui reconnaître le droit de participer à la redistribution des revenus, en l’impliquant à la propriété, le fruit raisonnable de l’effort ainsi que le bénéfice obtenu de toute activité lucrative dont il a le droit de faire partie des actionnaires tant que les moyens pourraient lui être accessibles.

En effet, cette masse n’est pas pauvre, parce qu’il n’y a rien pour l’enrichir ! Mais, c’est plutôt, parce que justement, l’on ne crée ni ne favorise en son sein le pouvoir de consommer ce que l’on pourra produire mieux et davantage.

C’est là le sens réel du partage équitable. Aussi longtemps que, contre des miettes, l’on fera produire une population qui n’aura pas le pouvoir d’achat pour consommer véritablement, l’on créera et contribuera d’amplifier la pauvreté de celle-ci tout en perdant une grande quantité de richesse que devrait normalement occasionner sa consommation raisonnable, si elle en avait les moyens, vue son nombre sans cesse croissant.

Ce sont là autant de maux qui freinent les processus d’aide au développement de la lutte contre la pauvreté dans nos pays dits pauvres.

Pour cesser de pallier et dans le but de trouver des solutions définitives à ces problèmes, il faudrait innover, voire même révolutionner, par un système qui intègre tous à l’accès au financement, l’action commune et au partage équitable des revenus, en vue d’un développement harmonieux et durable pour tous, sans exclusion aucune.

C’est dans cette ligne que s’inscrit la création du Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource, en abrégé Re Dé Ma Re, comme pour dire à tous ceux qui ouvrent dans l’aide au développement et la lutte contre la pauvreté de redémarrer à l’aide de ce système qui en fait, n’est qu’un système qui défère et corrige un peu les leurs. Egalement comme pour dire aux actuels opérateurs économiques, aux nantis en général qu’à la masse sans ressources elle-même, de redémarrer, car ils sont dès à présent « Re Dé Ma Re (SA) ».

CHAPITRE II : Le réseau

Le Réseau Re Dé Ma Re (SA) est une société qui est au centre d’un partenariat qui a en amont, des investisseurs et financiers de tout bord et, en aval des opérateurs économiques des toutes sortes de secteurs d’activités génératrices de revenus, producteurs et distributeurs de divers produits et prestations, pour créer un gros marché de nouveaux consommateurs.

Ses forces

Sa première force, c’est le partenariat justement. En effet : c’est l’instrument qui donne le nom de réseau au système et sur lequel il pause ses bases d’action.

Il est vrai que le système Re Dé Ma Re (SA) veut se créer un marché de nouveaux consommateurs en marge du marché existant. Mais pour vite et bien y parvenir, son seul instrument efficace et indispensable sera son partenariat avec, en amont, des partenaires investisseurs et financiers et en aval des opérateurs économiques de tout bord du marché existant, qui seront forcément attirés par ce nouveau marché auquel ils ne pourront accéder que par un partenariat qui doit obligatoirement rapporter de sérieux revenus à la Re Dé Ma Re (SA) au service de tous. Toutefois aucune contrainte n’entravera l’accès au marché des consommateurs ordinaires à Re Dé Ma Re (SA) qui au contraire pourra lui constituer une meilleure offre. C’est en cela également qu’elle suscitera l’engouement du reste des opérateurs à ce partenariat qui, pour eux deviendra indispensable.

Ce partenariat permet en outre de mettre en synergie la réussite actuelle de différentes sortes d’opérations économiques de la planète au service du développement dans les zones défavorisées en vue de leur mise à niveau pour l’envol harmonieux fort et durable.

Sa seconde force est celle de la conservation de ce nouveau marché pour soi, qu’il cantonnera absolument dans l’option « Crédit Nature », instaurée par le réseau à ses adhérents dont le remboursement sera automatiquement déduit du compte de revenu de chacun, se trouvant exclusivement auprès de la Re Dé Ma Re (SA).

Ceci pour la création d’une des premières zones économiques protégées capables de répondre positivement et efficacement à tous les enjeux de la mondialisation naissante.

2- Les partenaires d’appui

Dans le cadre des programmes de l’organisation des secteurs d’activité en vue de les rendre formels pour le bon déroulement des projets Re Dé Ma Re (SA), un partenariat avec l’Etat et ses institutions de tutelle de ces projets s’imposera, pour l’appui de ces instances officielles aux dits programmes. Ensuite ce sera le tour des syndicats, organisations, associations et groupements régulièrement constitués de tout secteur d’opération économique de jouer leur rôle que le réseau entend utiliser pour la réussite de ses objectifs.

ORGANISATION STRUCTURELLE

Le réseau pourra s’organiser de plusieurs manières du point de vue structurel :
• Son volet social d’insertion économique peut avoir la forme structurelle d’Organisme Non Gouvernementale (ONG) qui appuiera une structure de forme d’organe d’exécution des activités génératrices de revenus, dont il dépendra intrinsèquement.
• Une grosse structure d’exécution d’opérations économiques, sous forme de société anonyme (SA) à laquelle sera incorporée l’action sociale d’insertion de la masse à la chose économique.

Il n’y a aucun inconvénient à adopter pour l’un ou l’autre des deux cas, pourvu que l’on choisisse le cas qui conviendra le mieux, à l’adaptation du réseau au milieu dans lequel il va évoluer, pour faciliter l’épanouissement des objectifs définis par le système Re Dé Ma Re (SA).

Concernant cette deuxième option, le réseau doit avoir à sa tête un organe suprême, le conseil suprême composé des représentants de toutes les forces vives de la société civile, locale, membre du réseau pour constituer le véritable groupe d’appui et de pression (lobby). Il s’agit des représentants de confessions religieuses, grands groupes syndicaux, grandes associations, d’institutions civiles de défense des droits humains en général, d’ONG, de médias, d’opérateurs économiques, de personnes physiques influentes, représentants des couches défavorisées etc. …

Cet organe nommera à sa tête un bureau directeur. Celui-ci jouera des rôles très importants de l’insertion de la masse dans le réseau, la gestion de l’adhésion de tous les membres, la supervision pour la bonne gouvernance au sein du réseau l’appui et du lobby pour défendre les causes de Re Dé Ma Re (SA) partout où le besoin se fera sentir. Ensuite suivront les autres organes selon la définition des statuts, clauses, règlements intérieurs et pactes.

ELIMINER LES EMPECHEMENTS

I – ACCES ET REVALORISATION DES RESSSOURCES

RESSOURCES FINANCIERES

Pour enrôler la masse, un département du réseau sera mis sur pied pour vulgariser au maximum son accès aux financements. Son devoir sera de localiser ou de négocier les appuis financiers en faveur de la masse sans ressource (financements publics et privés).

Les financements publics

Le réseau par l’entremise de son conseil suprême dans son rôle de lobby, cherchera des acteurs publics des ressources dont devraient bénéficier de droit les personnes défavorisées, en vue de leur insertion dans le réseau. C’est pour ces ressources publiques que tout homme laissé pour compte doit adresser sa demande d’insertion dans le réseau. Loin d’être des dons, subventions ou que savons-nous encore, ce sera un outil financier public de crédit, créé pour l’insertion de la masse dans Re Dé Ma Re (SA).

Les financements privés

Le concept du financement privé ici désigné, est celui du troisième secteur que représente le système de Re Dé Ma Re (SA). Des outils de financement adaptés aux conditions de son fonctionnement.

Ce sera une porte ouverte pour les capitaux privés d’où qu’ils soient, de se mettre à la disposition du développement harmonieux pour tous, de la lutte contre la pauvreté des sans ressources mais, dans le souci ardent de lucre. Ce sera sans aucun doute le retour des énormes capitaux privés des citoyens qui gonflent les comptes des banques extérieurs. Il sera crée un climat, de sorte que l’investissement pour la cause du développement de la masse sans ressource qui implique un développement général soit encouragé, brisant les tabous et les anathèmes. Car si l’on n’a pas pu, ou ne pourra empêcher le mal de ces investisseurs potentiels, qu’on accepte au moins que leurs investissements servent à tous. Il suffira seulement de créer un véritable climat de confiance, garantissant leur bénéfice et la protection de leurs capitaux, et le mal, s’il ne pourra jamais devenir le bien, du moins en moins douloureux ! Ainsi quelle que soit la nature de ces capitaux privés, ils seront sollicités par le conseil suprême du réseau au service de l’insertion de la masse. Ceci pourra se faire par l’entremise de banques d’investissement privées créées pour Re Dé Ma Re (SA), ou par l’entremise de l’adhésion directe au réseau. Ces financements pourront également être en nature ou en numéraire.

S’agissant des structures financières actuelles, une forme de partenariat va être créée entre elles et le réseau, en vue d’instaurer un climat de confiance sérieux entre eux pour garantir l’accès à leurs crédits, à tout membre demandeur du réseau. De sorte que par de simples formalités des demandeurs de crédits à intérêt (pour ceux qui n’y trouvent pas d’inconvénient), la banque leur alloue des fonds qui seront, par virement, déposés pour leur compte au réseau, pour servir uniquement de placement, ne pouvant faire l’objet de retrait du bénéficiaire que, lorsque la banque aura été entièrement remboursée. Les comptes seront pourvus des revenus de chaque client auprès du réseau qui, se chargera par virements réguliers, de verser à la banque le taux consenti jusqu’à épuisement.

Entre le don et le bail, il y a une troisième forme d’opération qui consistera à déposer des fonds sur des comptes des personnes de son choix, en vue de leur faire bénéficier les services du réseau. Ce sont des fonds dont les gains sont donnés en totalité ou en partie, sachant que le donateur peut réclamer pour son propre compte, une part du bénéfice.

Les ‘anti-usures’’

Pour cette catégorie de personnes, plusieurs transactions sont possibles avec les bailleurs de fonds pour contourner ce qui dans cette pratique s’apparente à l’usure. Deux éléments fondamentaux caractérisent l’usure :
1) L’imputation d’un taux d’intérêt par le bailleur, au lieu d’atteindre une part du bénéfice (pour le cas de financement de projet lucratif)
2) La non implication du bailleur dans les pertes et incidents malheureux que subirait le fonds dans les transactions lucratives.
Ceci étant, le réseau représente un très efficace moyen pour contourner ces deux éléments par :
1) Son option : bénéfice au lieu de l’intérêt en son sein. Pour cela le réseau mettra à la disposition de tous, les informations concernant le taux de bénéfice qui, par une clause, pourra être partagé, par le bailleur, le bénéficiaire et le réseau.
2) L’option action commune entraîne la globalisation de capitaux et donc de dividendes : les activités du réseau étant multiples et vu que ces activités subissent avant leur exécution, une étude sérieuse de rentabilité et disposant de marché fiable, la perte ne sera pas envisageable ; du moins pas facilement. Car, s’il y a perte dans une activité, il y aura gain ailleurs à moins d’un incident partiel ou général, que devrait normalement prendre en charge, la compagnie d’assurance qui assurera les activités du réseau. Dans ce cas, le réseau qui servira de garant, ayant son assurance, de concert avec le bailleur, négociera en vue du règlement de la situation, en faveur de tous.

Donc le bailleur de fonds et son client anti-usure peuvent tous s’appuyer sur ces atouts qu’offre le réseau pour contourner leurs divergences actuelles.

Une fois ce problème d’usure réglé, il sera possible de créer à l’instar des autres, des instruments d’investissement et de financement pour le réseau avec pour différence, l’option de bénéfice plutôt que d’intérêt.

Voilà ce qui ouvrira la porte du réseau aux gros capitaux islamiques et autres jadis empêchés que le réseau, par son conseil suprême, négociera partout où besoin sera au service de l’insertion de la masse. Cependant la formule d’investissement direct et sans intermédiaire d’outils financiers restera l’idéal.

Ces investissements pourront également être en nature comme en numéraire.

N.B. L’option en faveur de la masse sans ressource, n’admettra pas aux organismes bailleurs de fonds, d’être membres bénéficiaires du réseau sur un compte « d’organisme bailleur de fonds ». C’est-à-dire qu’il ne leur sera pas autorisé, d’investir directement en vue du bénéfice au réseau, pour le compte d’organisme bailleur de fonds du moins pour un capital trop élevé ou illimité. Il devra pour ce faire, passer forcément par l’insertion de personnes physiques ou morales (clients), en acceptant les clauses du partage de bénéfice ou celles de l’intérêt.

De toute façon, il sera limité un quota maximum qui verra l’excédent du capital des titulaires, passer à l’insertion des tiers au réseau à titre d’usufruitiers avec qui l’on pourra partager le bénéfice

Processus d’insertion par les crédits dans le réseau de familles et individus.

Pour un projet quelconque par lequel l’on voudrait connecter un certain nombre de personnes sans ressource au réseau, un quota minimum dont le revenu est jugé suffisant pour offrir un réel pouvoir d’achat à chaque type de famille ou individu, sera défini. Le nombre de demandeurs à insérer sera déterminer par le rapport de montant global du projet sur le quota minimal.

Plusieurs cas sont envisageables : cas des financements où sont exigées des cautions de garanties et déposits.
1) Concernant les cautions, il va sans dire que cela relèvera du ressort du réseau qui, pour tout prêt, devra en disposer, pou remplir les conditions nécessaires, puis que la charge de ces fonds lui incombe.
2) S’agissant des déposits : les dossiers de prêt qui seront constitués par le réseau au nom de chacun des postulants, viseront d’abord les apports en fonds propre de chacun, un minimum au moins pour permettre au dossier de passer par les micros finances pour des prêts primaires, qui lorsqu’ils ne seront pas suffisants, passeront aux prêts secondaires et ainsi de suite jusqu’aux instances supérieures en vue d’obtenir pour chacun, un fonds égal au quota minimum exigé pour un réel pouvoir d’achat au bénéficiaire.

Toutefois le réseau mettra à la disposition de ceux qui ne pourront pas disposer de ce minimum des structures de micro crédit à l’aide des fonds excédents des investissements informels, où il n’y aura aucune exigence en vue du prêt.

En outre, il sera également institué des services spéciaux pour la quête de fonds propres. Des travaux sont les revenus sont affectés pour cette cause.

C’est pour tout cela que, des portes du réseau seront ouvertes pour toute personne laissée pour compte et sans ressource, ou qui se trouverait dans le besoin de complément de fonds à ses ressources propres en vue de constituer un dossier de demande d’insertion selon la modalité qui conviendra à sa situation, chercher à être membre du réseau pour y disposer d’une identité.

Ceci dit, au pire des cas, avec une simple identité Re Dé Ma Re (SA), l’on pourra avoir quelle que soit son indigence pour son compte au réseau, le quota exigé pour son réel pouvoir d’achat, même si ce quota était de (5.000.000 FCFA).

Il faudra donc des projets vraiment très ambitieux, très rentables et, plus ils se multiplieront, plus ils absorberont du monde de cette pauvreté qui cédera forcément sa place au développement durable au vrai sens du mot.

Ceci étant, la taille des capitaux dépendra non pas du montant de la part émise par chacun, mais plutôt du nombre de personnes puisque la croissance de ces capitaux ne dépendra que de leur consommation.

Ce dernier élément étant celui recherché par le réseau pour alimenter son marché de plus en plus de nouveaux consommateurs, et aussi pour l’éradication de la pauvreté, il doit donc faire en sorte que la couche défavorise soit extrêmement nombreuse à l’être au rendez-vous de ces financements de sorte que, d’un crédit à l’autre et de projet en projet, l’élément croissance soit trouvé et de croissance en croissance, l’on aboutisse au développement recherché.

Le but du réseau n’étant pas que social mais aussi et surtout lucratif (économique), le privilège sera donné en premier à ceux d’entre les demandeurs qui, le mieux, renforceront par leur productivité, la capacité de leurs revenus pour une meilleure consommation.

S’agissant des invalides, en vue de leur donner la chance de disposer de fonds propres, même si ceux-ci sont infimes par rapport au quota minimum à atteindre, le réseau pourra faire recours exclusivement aux dons, subsides, subventions etc. … Ceci permettra de diminuer leurs redevances et accroîtra leurs revenus pour de meilleures consommations, comblant ainsi le vide laissé par le salaire dont ils sont handicapés. Cette action peut se faire de deux façons :

• Soit l’organisme donateur choisira de confier au réseau, des personnes qu’il aura lui-même choisi d’aider.
• Soit, il choisira de se confier au répertoire des besogneux figurant sur la liste d’attente du réseau. C’est aussi le choix de ces organismes de déposer des fonds dont les revenus serviront pour la même cause.

Les fonds publics mis en dépôt au réseau dont le bénéfice constitue une subvention seront au profit de tous les membres. Ces fonds peuvent être en nature ou en numéraire.

Les jeunes, leur formation et la quête de fonds propres

Un vaste programme d’insertion de la jeunesse au réseau sera organisé autour de certaines industries de production de produits de rente ainsi que certaines activités qui mettent du temps pour leur rendement.

Il sera créé de grands centres comprenant des centres de formations professionnelles de toutes sortes et de logements pour les jeunes de 17 à 21 ans orientés vers la formation professionnelle. Pendant trois à cinq ans, ils seront au travail dans ces centres de production en quête de fonds propres, simultanément à l’apprentissage, en quête de bon niveau professionnel. Tout ceci servira à la fin de chaque cycle d’évaluer ce qu’a coûté leur consommation et de le constituer en redevance au réseau. De la même manière, il sera évalué leur travail au cours de ce cycle en vue de le mettre à leur actif au réseau comme fonds propre.

Par ce passage cyclique de ces jeunes dans ces grands centres de production industrielle, naîtront pour le réseau, de vastes industries de café, cacao, coton, canne à sucre, anacardier, palmiers à huile, banane, ananas bref, toutes sortes de grandes industries rentables de notre secteur agricole et une main d’œuvre adéquate et de bonne qualité pour ces filières confondues.

Cette occasion sera offerte aux jeunes pour permettre l’auto financement de leur placement au réseau, ainsi que celui de leur formation professionnelle pour de meilleur emploi.

RESSOURCES EN NATURE

Toute ressource en nature qui entre en jeu, dans l’exécution d’une quelconque activité du réseau ou qui satisfait les besoins d’un projet du réseau, constitue une ressource d’investissement pour le propriétaire qui peut opter, soit pour la location, soit pour le bail ou la vente tout simplement dont le revenu en terme numéraire, lui sert de placement ou d’action.

C’est l’option qui sera mise à la disposition de la masse en vue de mettre en valeur ses ressources inexploitées de tout genre dans le souci de développer les capacités du réseau à créer des fonds propres aux titulaires de ses ressources dont l’excédent, au cas où le quota maximum aura été franchie, sera affecté pour l’insertion des tiers.

C’est également la porte qui s’ouvrira aux opérateurs économiques, disposant de biens en nature : marchandises de toutes sortes, immobiliers, équipements, matériel logistique etc. … de s’élancer dans l’investissement via l’insertion de la masse dans le réseau par ce biais d’investissement en nature et en industrie.

Re Dé Ma Re (SA) : Les apports en nature

Les propriétés privées (immobilières) de nos populations constituent une caution de garantie suffisante pour avaliser tous crédits à des montants robustes auprès de toutes sortes d’institutions financières de notre planète.

Par ces biens immobiliers : terrains, maison etc. … Le réseau voudra disposer à titre personnel au profit de la population, une multitude de titres fonciers en guise de caution de garantie, pour l’accès aux crédits en vue du financement de ses projets.

Il va donc s’opérer une collecte systématique de ces biens, ensuite, déclencher de façon tactique et rapide, les procédures pour régulariser les titres fonciers à ceux qui n’en disposeraient pas encore.

Des mécanismes seront mis sur pied pour auditer de façons objectives ces biens y compris toutes sortes de trésors bancables pouvant servir de caution bancaire en vue d’une évaluation exacte, que le réseau entend mettre ensemble pour la constitution de son capital de caution.
C’est ainsi que le réseau pourra devenir propriétaire de presque tous les biens immobiliers d’une nation économique ainsi que ces trésors et deviendra à cet effet crédible pour de puissants crédits en vue de la réalisation de projets quels qu’ils soient.

Par ces crédits, le réseau pourra reconstruire ou réaménager toutes ces maisons, immeubles, espaces libres, jardins, industries et édifices de toutes sortes dans le seul but de créer d’avantage de richesse à ses actionnaires et adhérents tout en leur offrant des cadres de vie améliorés concurrentiels sur le plan mondial.

Les actionnaires ou adhérents propriétaires de ces biens qui constituent pour eux selon le contrat de ces biens fait avec le réseau, des fonds propres, jouiront dès ce contrat, d’énormes sommes sur leur carte de crédit, entraînant leur consommation pour créer de nouvelles richesses.

L’excédent après que le quota maximal aura été atteint, sera affecté pour le compte de leurs proches en vue de leur complément ou création via l’insertion.

Donc les prêts pour lesquels ces biens serviraient de caution, seront destinés au complément ou à la création de compte par l’insertion des tierces personnes dans le but de l’extension de la zone économique du réseau.

Etant dit que l’on parle de prêt, il faudrait envisager plusieurs aspects puisque l’on distingue au réseau de deux types de membres : membres anti- intérêts et membres n’y trouvant pas d’inconvénients ; ainsi que l’on distinguera plusieurs sortes de financements tels que : les financements à intérêts, les financements nus et les financements pour bénéfice. Les financements nus pourraient définir leurs destinataires. Au cas contraire ils seront équitablement orientés vers le complément de compte de tous ceux qui en auraient besoin, sachant que les prêts avec bénéfices seraient l’option du profit exclusif des anti-intérêts, tandis que les prêts à intérêts seront réservés à ceux qui n’y trouvent aucun inconvénient.

L’excédent de tout compte issu de la limite maximale instaurée par le réseau ainsi que les investissements de toutes sortes visant le partage de bénéfice et autres investissements suffiront largement pour mettre tout le monde au réseau. Il suffira à chacun de s’identifier moyennant l’achat forfaitaire de ce document de base ‘‘l’identité’’ Re Dé Ma Re (SA) en vue de se faire inscrire par un numéro d’ordre qui sera le seul et unique répertoire pour la quête de personnes à insérer au réseau.

Les propriétaires intellectuelles

Les propriétés intellectuelles reconnues comme telles qui entreront en jeu, dans une quelconque activité du réseau, seront pris en compte et jouiront des droits légaux de sorte qu’il soit possible de les évaluer en vue d’en constituer des fonds propres aux titulaires.

Ressource humaine du réseau

La qualité des prestations sur laquelle se reposera la survie, dépendra de la qualité professionnelle de sa ressource humaine.
Si la plupart des secteurs d’activités demeurent encore à leur état actuel, c’est en partie dû au manque de bonne qualité professionnelle de cette ressource. Vu que le contexte n’était pas celui de la revalorisation de ces secteurs, la formation s’en est désorientée, laissant place aux longues études dont la plupart de nos jours ne conduisent qu’à l’impasse.

La prise de conscience qui se dessine aujourd’hui, traduite par la prolifération des écoles de formation professionnelles de tous genres, risque elle aussi de subir le même sort, puisque leur ultime issue donnée leurs professionnels n’est que de se prendre en charge. Au lieu qu’ils se prennent en charge individuellement aujourd’hui pour occasionner le « go slow » de demain, le réseau va en faire sa grande élite en amont, orientée vers toutes ses filières, au service de la masse analphabète, ou sans formation, à qui l’on ne devra plus demander de s’alphabétiser ou de se former forcément à l’heure actuelle avant de sortir de sa pauvreté. Ce faisant, le réseau, offrira plutôt à leurs progénitures, relève de demain, la chance de ne plus subir le même sort. C’est ainsi que progressivement, le réseau transformera les acteurs de toutes ses activités en de vrais professionnels. Cependant, les tâches à assumer aujourd’hui, n’étant pas à confier à qui voudra ou à qui l’on voudra, le réseau fera recours à la compétence et à l’expertise d’où qu’elles proviendront. Toutefois il mettra à la disposition des écoles en général et de ces écoles en particulier, un répertoire de prévision de ses besoins en personnel, en vue de transformer ces écoles en de vraies premières dont le produit est commandé d’avance.

Pour l’heure, et dans l’ultime but de la recherche de la réussite des activités de tous les domaines, une recherche des compétents s’imposera là où ils auront déjà fait leur preuve. Ainsi se mettra en place le partenariat entre le réseau et les autres sociétés à travers les pays pour l’embauche des compétences de l’expertise et de compétence, donc de technologie plutôt que celui de son transfert.

C’est ainsi que pour la recherche de performance, il sera initié également des stratégies de sorte qu’une catégorie de jeunes formés soit orientée vers l’immigration pour deux principales raisons :
• La recherche de performance, par l’exercice de leur métier, pendant un certain nombre d’années défini dans des sociétés partenaires du réseau à travers les pays.
• L’orientation d’une partie ainsi obtenue vers son investissement au réseau en guise de fonds propre en vue d’accroître le pouvoir d’achat aux bénéficiaires, une fois revenus au bercail. Un retour qui sera systématiquement organisé de façon organisée de façon à céder la place aux autres et à ramener au réseau la performance acquise.

Le réseau, l’éducation et la formation

L’adhésion au réseau permet à tout bénéficiaire, d’orienter ses revenus dan son éducation et sa formation, ou ceux des tiers selon la taille de se revenus. Pour cela, le jeune sorti du cadre familial, cherchera sa connexion au réseau en son nom, en vue d’obtenir auprès du réseau, les moyens et les cautions exigées par les écoles qu’il voudra, où que celles-ci soient.

La classe des manœuvres

Pour tous les travaux du réseau ne nécessitant pas de connaissances professionnelles spéciales, il sera mis sur pied une stratégie administrative de façon à donner la valeur à toute productivité humaine utile. Car vu, les objectifs du réseau, son besoin en main d’œuvre à ce niveau sera très considérable. Et l’on dispose aujourd’hui d’hommes et de femmes dits non formés qu’il ne sera plus indispensable de former forcément. Il faudra simplement rendre utile ce capital humain le plus disponible, dont le réseau pourra se vanter de posséder de façon suffisante, par des procédés simples de leur adaptation à la tâche suffisante, par des grands défis que se lancera le réseau, afin d’absorber le chômage jusqu’à ses souches par une valorisation du fruit de l’effort.

L’EQUIPEMENT

Un département managé par de vrais techniciens en la matière permettra de créer des conditions favorables à l’approvisionnement en équipement dans tous les domaines où besoin sera. Des démarches seront faites pour le partenariat avec les fournisseurs en vue d’obtenir sur la base du système Re Dé Ma Re (SA), des contrats divers de fournitures tels que : les contrats de fournitures à crédits remboursables en nature ou en numéraire, directs ou par personnes intermédiaires :
• le fournisseur pourra accepter un quelconque produit que pourra fournir le réseau, en remboursement de sa fourniture ;
• à crédit, si le remboursement n’est pas immédiat
• en numéraire, quand c’est une vente à crédit ordinaire
• directe quand le contrat est fait directement entre le fournisseur et le réseau.
• par personne intermédiaire, sous-entendu les cas suivants : le réseau fera les mêmes contrats, mais cette fois avec des personnes intermédiaires, telle une institution qui acquiert des produits auprès du réseau qui remboursera directement en lieu et place du réseau, le ou les fournisseurs des équipements qui lui ont été fournis en réponse aux prêts financiers si ce prêt était demandé pour cet équipement. Bref il y aura mille et une possibilités de transactions de ces genres pour vulgariser l’approvisionnement.

Les contrats de fournitures d’équipement sous forme d’investissement en nature au réseau

Des projets d’achat d’équipements ou qui incluront leur achat pourrait être soumis aux fournisseurs (la partie équipement) en demande d’investissement à titre d’insertion de personnes dans le réseau. Ce sera bien entendu un investissement en vue de bénéfice et non une vente à crédit

Au même titre que les prêts d’insertion où, le ou les investisseurs pourront être simples partenaires, investisseurs, ou investisseurs adhérents.
a) Partenaire investisseur : qui attend le remboursement de son investissement avec bénéfice, de manière progressive.
b) Investisseur adhérent : dont une partie de l’investissement est fait pour son propre compte et l’excédent pour l’insertion d’autres personnes, en vue du bénéfice dont le remboursement est fait via sa consommation ou son investissement de nouveau au réseau.
Tout ce qui précède démontre la capacité du réseau à mobiliser des ressources quelles qu’elles soient. Rien ne nous manque donc au réseau pour la réalisation des projets, quelle que soit leur taille même s’ils étaient pour alimenter le monde entier. Le reste, la qualité, (tant recherchée pour le bien-être de nous-mêmes consommateurs et aussi recherchée en vue d’accéder aux meilleurs marchés mondiaux) ne peux effrayer une entreprise à la taille du réseau à ce 3ème millénaire. Réseau qu’il faudra différencier d’une nouvelle zone de prédilection, de dictateurs ou de malins qui pour leurs intérêts personnels, mettaient en péril par leur gestion non transparente, clientélisme, incompétence, corruption, détournements de tout bord etc. …

2- ACCES A L’ACTION COMMUNE

Le volet accès à l’action commune développé par le système Re Dé Ma Re (SA), n’est plus à démontrer. Puisqu’il transparaît clairement dans la présentation des solutions des deux volets accès aux ressources et accès au partage équitable, ainsi que dans la présentation de ces quelques opportunités qui s’offrent au réseau.

Il faut quand même rappeler que sans l’action commune, on ne parlerait pas de réseau. Tout comme sans avoir ouvert ses portes à la masse sans ressource, on ne parlerait non plus de nouveau système. Car des réseaux, il y a en a et en aura toujours.

Cependant Re Dé Ma Re (SA), s’offre à la masse sans ressource et tous ceux qui en ont besoin pour le développement, comme une entreprise personnelle (où ils sont comme tous les autres des patrons jouissant de tous les droits du patronat, de propriétaires, d’actionnaires, de fonctionnaires et de clients privilégiés) au service de laquelle, se sont mis pour une question principale de lucre, des opérateurs financiers en amont, opérateurs prestataires et producteurs au milieu et ceux de la distribution en aval.

Cette action commune est le principal des éléments nouveaux que ce système apporte au secteur privé actuel, pour répondre de façon efficace en terme de développement économique harmonieux généralisé, qui n’est plus l’apanage d’aucun pouvoir au monde depuis qu’il transcende tous les clivages.

Le réseau pour les domaines miniers, énergétiques, industriels, bref tout domaine de travaux de grande envergure va intéresser les investisseurs multinationaux, pour leur intervention dans le cadre de l’accès à l’action commune du système Re Dé Ma Re (SA). Ainsi pour un marché donné du réseau, lorsque l’investisseur arrivera avec ses capitaux, le quota maximal qui limite l’investissement en son compte personnel l’obligera à intégrer d’autres personnes au réseau avec l’excédent sur lequel il percevra du bénéfice qui, à terme, sera plus important, de sorte qu’il n’envie en rien le bénéfice de son investissement direct, car cet excédent investi au nom et pour le compte d’autres personnes sera un prêt à lui rembourser par le réseau. Alors le bénéfice gagné par ces personnes insérées sera dépensé au réseau en vue du bénéfice supplémentaire où l’investissement représente une action ou un placement. De plus l’excédent de son capital lorsqu’il lui est remboursé, pourra servir à réinvestir automatiquement par l’insertion d’autres personnes via d’autres projets du réseau, si ces fonds lui étaient propres. Ainsi le bénéfice global gagné sur son investissement lui permettra de bénéficier de la consommation par le biais du crédit en nature.

Le système Re Dé Ma Re (SA), offrira également un cadre propice d’investissement de personnes richissimes, qu’elles soient physique ou morales, dans leur souci de développement harmonieux général et par le désir de rendre utiles leurs énormes capitaux à tous, dans un objectif final qui sera la recherche davantage de gain.

ACTION COMMUNE AVEC :

L’Etat et ses institutions

Le réseau ne se substitue en aucune façon à l’Etat, dans aucun de ces droits et devoirs envers la population.

Apolitique, le réseau n’est et reste qu’un groupement d’intérêt économique pour la participation de la masse à la chose économique. Et il luttera de toutes ses forces pour éviter qu’il ne devienne un instrument au service d’aucun pouvoir quel qu’il soit. C’est en cela qu’il jouera le rôle de contre- poids aux abus de toutes sortes qui entraveraient son bon fonctionnement au service de la nation.

Pour cela, le réseau doit veiller à ce que l’Etat revoie ses lois contraignantes de tout bord qui pourraient compromettre l’épanouissement effectif du réseau.
• L’Etat en appui au réseau lui facilitera ses relations internationales visant à rallier ses actions dans les autres pays du monde. Le réseau reçoit auprès de l’Etat les droits légaux en vue de donner une suffisante garantie aux organisations d’aide au développement.
• L’Etat doit ouvrir ses grands chantiers lucratifs au réseau, accepter ceux proposés par le réseau et œuvrer à conquérir au profit du réseau des chantiers à travers le monde, des zones franches surtout.
• L’Etat doit également utiliser tous les moyens nécessaires pour aider à l’intégration des jeunes et autres démunis au réseau.

Les banques et les micros financiers

Aucune menace ne pèse sur ces institutions dans leurs prestations. Le réseau ne se substitue pas à elles. Il constitue plutôt un cadre idéal pour leurs prestations.

Le réseau doit chercher un partenariat avec les banques surtout, afin qu’elles diminuent leurs exigences de garanties, en acceptant une adhésion de leurs clients au réseau comme suffisante ; car au risque de nous répéter :

Primo, ces crédits seront transférés directement de la banque pour le compte du client au réseau.

Secundo, ces crédits n’étant pour le client au réseau qu’un placement, celui-ci n’en a’aura accès que si le réseau par le bénéfice généré a pu solder la banque selon la modalité de remboursement requise.

Tertio, c’est le réseau lui-même qui se chargera de défalquer des revenus du client la part convenue qu’il envoie par transfert à la banque. En fonction donc des prévisions de bénéfice faites par le réseau, il sera négocié la part mensuelle à verser à la banque pour éviter trop de charges capables d’affaiblir le pouvoir d’achat aux bénéficiaires.

Le réseau doit également plaider la cause des anti-usures auprès de ces institutions pour insérer leurs conditions de prêts dans leurs programmes.

Les ONG

Le réseau doit, par tous ces efforts, établir des voies légales de partenariat entre lui et tous ces organismes qui oeuvrent dans le domaine de l’aide au développement, partenariat qui s’avère très indispensable pour l’éradication effective de la pauvreté qui est l’objectif commun visé.

Les organismes qui oeuvrent dans les domaines des droits de tout bord et surtout celui des affaires seront sollicitées pour s’ingérer dans les affaires du réseau partout où le besoin sera.

En effet, le réseau aura des droits qu’ils doit défendre pour justice équitable, vrai moteur du développement ; ceci dans le strict exercice de ses devoirs.

Les personnes morales et physiques qui également oeuvrent dans le domaine de l’aide au développement par leurs œuvres de charité telles que la construction des infrastructures de toutes sortes, seront sollicitées pour confier leurs services au réseau.

Les bonnes volontés qui agissent dans les prises en charge de démunis de tous genres, ou dans les jumelages avec les villes et villages défavorisés ou seront sollicitées de même par le réseau dans leurs diverses actions.

Les Opérations Economiques du Système Actuel.

Ce sera essentiellement un partenariat dont le choix sera axé sur la qualité de prestation, de sorte que le réseau, pour cet élément qualité pour démarrer et asseoir ses activités. Eléments qu’il cherchera par tous les moyens à améliorer en vue du renforcement des capacités pour son marché. Comme pour dire : « sur la meilleure ancienne corde, on tissera la nouvelle »

Un partenariat se mettra en place pour inviter les opérateurs nationaux, internationaux et les multinationaux au service du développement par l’action commune version Re Dé Ma Re (SA) ; un partenariat donc qui n’aura que pour seul mot d’ordre : « enrichir et enrichir davantage la masse sans ressource pour élargir davantage le marché de nouveaux consommateurs et accroître sa consommation de nos produits pour augmenter davantage notre richesse ».

Les Associations et syndicats

Les syndicats ou associations de chaque secteur permettront au réseau de coordonner les actions d’ordre réglementaire entre les membres et les non membres du réseau en vue de renforcer l’action syndicale dans l’intérêt de tous.

Les investisseurs informels

Le réseau étant une société légalement constituée, avec pour option : « partage de bénéfice généré par ses opérations entre les bénéficiaires » il devient alors clair que tout investisseur pourra, pour ce faire, y fructifier son argent. Cependant étant dit que le réseau est essentiellement orienté vers l’insertion de la masse dans la chose économique, il sera fixé un quota maximal pour chacun. Lorsque celui-ci sera atteint, l’investisseur sera obligé pour le reste de son argent d’investir au nom et pour le compte des personnes de son choix, en vue d’une part de leur bénéfice.

La diaspora

Le réseau, par une vraie campagne d’information, se mettra entièrement à la disposition de cette catégorie de société pour toutes leurs transactions avec leur pays d’origine. Mais essentiellement, la diaspora sera le lieu de prédilection pour le réseau dans sa recherche de meilleure qualité de sa ressource humaine, sans oublier l’appui de cette diaspora dans les propositions d’opérations lucratives avec son pays d’accueil.

LES AVANTAGES QU’OFFRE LE RESEAU

A l’Etat

Le réseau permet à l’Etat de voir sa société s’organiser de façon à lui faciliter l’exercice de ses droits et devoirs au sein de celle-ci. Vu les fonctions assignés à l’Etat en faveur de sa population, que voudrait un Etat de plus que ce qu’offre le réseau pour se hisser au sommet, au nombre des meilleurs Etats de la planète ? Si le jeu est bien joué, chacun de son côté, entre l’Etat et le réseau, ce sera alors un Etat avec une population qui s’est prise entièrement en charge pour éviter à l’Etat d’être là que pour jouer le rôle permanent du donateur avare devant son mendiant toujours insatisfait, mais plutôt une population avec laquelle ils coexistent en vrais partenaires.

Dans ce partenariat l’Etat trouvera forcément en Re Dé Ma Re (SA), son lieu de prédilection pour le placement de ses capitaux en vue de sa consommation par le crédit en nature des produits et prestations de toutes sortes qui répondent à ses objectifs. La multiplication de ces capitaux servira à l’insertion progressive de ces citoyens jadis laissés pour compte. Ceci lui permettra également de relever sans difficulté le pouvoir d’achat à tous ses salariés de façon concertée avec Re Dé Ma Re (SA). Bref l’Etat trouvera en Re Dé Ma Re (SA), l’interlocuteur valable pour ses rôles économiques vis-à-vis de ses citoyens : le chômage, l’éducation, la santé, le pouvoir d’achat, renforcement des capacités, soit un taux de croissance satisfaisant pour une capacité, soit un taux de croissance satisfaisant pour une vraie relance en vue d’une émergence spectaculaire.

Aux ONG et ONG

Ceux qui oeuvrent dans les actions d’aide au développement trouveront le réseau comme l’élément incontournable jamais obtenu pour mieux établir leurs actions. C’est le lieu également pour eux d’obtenir des résultats jamais obtenus par le simple fait de la motivation très poussée du réseau au moyen de son système inédit à obtenir le résultat communément escompté.

Les personnes morales et physiques qui oeuvrent dans les actions caritatives trouveront le réseau à leur service tel un meilleur gérant de leur dons pour une meilleure restitution de leurs désirs sur le terrain ainsi qu’un meilleur entretien de ces édifices au service de la population. Les prises en charge et les jumelages trouveront un partenaire sûr pour un meilleur investissement.

Aux Syndicats, Associations, Groupements, Collectivités etc.

Toutes ces institutions pourront adhérer au réseau pour y constituer comme tout le monde un compte sur lequel seront virés les subventions, cotisations, dons, legs etc. de leurs membres et autres. Lorsque le quota maximal sera atteint, comme dans tous les cas, l’excédent servira à l’insertion d’autres personnes dans le réseau plus principalement leurs membres non encore adhérés. Le bénéfice de plus en plus grandissant généré par ces capitaux servira à ces institutions par le crédit en nature du réseau à vivre une vie économique saine et prospère.

Aux anti-usures

Le réseau permettra à ceux d’entre eux qui doivent faire recours au prêt d’être à l’abri de l’usure. L’argent qu’ils y gagneront sera du licite. A ceux qui parmi eux en auront suffisamment à prêter, le réseau leur offre un cadre de transaction sécurisant, les mettant également à l’abri de l’usure. L’argent que générera leur fonds sera du pur bénéfice et non de l’intérêt. Ce sera l’occasion pour eux d’œuvrer de toute leur énergie, comme tout le monde, pour l’envol économique, en marge duquel ils ne seront restés que trop longtemps.

A l’Economie Confessionnelle

Toutes les instances confessionnelles en vue d’une meilleure de leur vie économique pourraient adhérer au réseau ou y constituer leur compte sur lequel les dons, les cotisations, dîmes, charités, « zakats » etc. de leurs fidèles, membres du réseau et d’autres seront imputés. Les situations périodiques se feront pour dresser le niveau de ses fonds propres de ces institutions afin qu’à la limite de quota maximal, l’excédent puisse être affecté à l’insertion d’autres fidèles non encore adhérents ou compléter les comptes des adhérents qui en ont besoin pour atteindre le quota minimal.

Le bénéfice que vont générer ces capitaux de plus en plus grandissants servira à ces institutions à réaliser leurs projets économiques par le biais du crédit en nature du réseau.

Aux personnes physiques et morales

Le réseau pourra contenir tout le monde sans exception, sans diminuer de chances ni à l’un, ni à l’autre. Au contraire l’entrée de chacun ne fera que renforcer les capacités du réseau pour le bien de tous.

Lorsque la modalité des ressources va atteindre ses niveaux élevés, de grandes possibilités d’emploi s’ouvriront devant toute personne qui en aura besoin. Les ressources pour les intégrations seront disponibles à qui en fera la demande. La jeunesse pour la formation sera dans sa meilleure prise en charge. Les initiatives privées trouveront toutes leur intérêt à être dans le réseau pour de meilleurs profits. Leurs soucis néfastes de toutes sortes deviendront collectifs sinon en existants. Et leur prospérité sera celle de tous en toute quiétude.

Aux acteurs des systèmes autres que celui du réseau

En vue de bénéficier des services du réseau, les acteurs des autres systèmes, salariés ou particuliers de tous genres, peuvent pour cet objectif placer des fonds au réseau dont les revenus, s’ils remplissent les conditions, leur en donnent tous accès.

Comment se constituer ses actions dans Re Dé Ma Re (SA), pour les personnes à faible pouvoir d’achat de ces secteurs

Les fonctionnaires d’Etat

Pour le placement de fonds en vue de devenir membre Re Dé Ma Re (SA), pour un fonctionnaire d’Etat client d’une banque auprès de laquelle il voudra un crédit :
• La caution de la tierce personne est constituée par Re Dé Ma Re (SA)
• Le virement est fait directement au nom et pour le compte du fonctionnaire sur le compte de Re Dé Ma Re (SA), domicilié auprès de ladite banque. Dès que le crédit est imputé sur le compte, Re Dé Ma Re (SA), lui délivrera sa carte de crédit consommateur sur toutes les chaînes du réseau. Le voilà devenu membre d’une nation économique à vie.

Les travailleurs du secteur privé

Pour le placement de fonds en vue de devenir membre de Re Dé Ma Re (SA), d’un travailleur du secteur privé disposant d’un compte auprès d’une banque de laquelle il voudra un crédit :
• La caution de la tierce personne est constituée par Re Dé Ma Re (SA).
• Le virement est fait directement au nom et pour le compte du fonctionnaire sur le compte Re Dé Ma Re (SA), domicilié auprès de ladite banque. Dès que le crédit est imputé sur son compte, Re Dé Ma Re (SA), lui délivrera sa carte de crédit consommateur sur toutes les chaînes du réseau. Le voilà devenu membre d’une nation économique à vie.
N.B. : Pour le cas des personnes ayant besoin de fonds pour leur placement au réseau et qui y seront empêchées par le crédit à intérêt, les dispositions sérieuses sont prises en vue de drainer l’excédent des capitaux au-delà du maximum défini, les investissements nus (sans intérêt ni bénéfice) ainsi que la création des investissements externes qui viseront le partage des bénéfices plutôt que l’intérêt pour leur permettre à tous d’avoir des fonds licites en placement au réseau. Pour le cas de ceux d’ente eux qui ont des moyens (financiers, en nature et autres) le problème ne se posera pas, car aucun procédé usuraire ne sera interne au réseau.

Aux bailleurs de fonds

Le réseau constitue le cadre idéal de leur prestation de prêt. Il leur assure la garantie nécessaire de leurs capitaux ainsi que leur intérêt. Et dans le cas des outils initiés pour le système anti-usures, le partage du bénéfice pourra de loin dépasser leur taux d’intérêt.

Aux investisseurs informels

L’option « bénéfice » du réseau permet de fructifier son argent, en investissant aussi bien pour son propre compte que pour le compte des personnes de son choix, étant dit qu’un quota limite tout investissement. De plus, investir davantage au réseau signifiera s’offrir davantage de possibilités de consommer sans dépenser son capital, le prélèvement des consommations ne se fera que sur les dividendes. Ainsi, plus le réseau sera puissant, plus les grandes portes de la consommation des produits et prestations s’ouvriront devant soi, empêchant les retraits inutiles des revenus qui serviront à investir systématiquement lorsqu’ils excéderont sa consommation).

A la diaspora

Les services du réseau permettront de mettre en confiance la diaspora pour les besoins d’investissements en général.
L’option « bénéfice » lui ouvre des portes inédites pour fructifier son argent.
• L’option « insertion » lui permet de prendre en charge ses proches, par leur connexion
• L’option du crédit en nature lui permet de faire des réalisations au pays, au vu du revenu de ses investissements sans toucher au capital.
• Et enfin, la possibilité de rentrer au pays par le biais de l’emploi qu pourra lui offrir le réseau, si cela lui convenait.

3- ACCES AU PARTAGE EQUITABLE

Dans toute activité du réseau, comme dans toute société d’opération économique, le bénéfice est une chose et le salaire est une autre.
• Le bénéfice est le fruit que génère l’argent mis en jeu par chacun auprès du réseau. Selon qu’il provienne de l’action ou du placement, il sera versé sur le compte du bénéficiaire, au réseau, au terme de chaque partage. Ce sera bien entendu un partage obtenu du bénéfice global de toutes les opérations du réseau et jamais le connaître.
• Le salaire quant à lui est le fruit de l’emploi dans le réseau.
En effet, le quelconque travail dans une activité quelconque du réseau est pris en compte et organisé de façon à en faire des emplois pour lesquels l’on pourra avoir de différentes modes de rémunération. Le but est de faire en sorte que dans leur motivation à augmenter davantage leur possibilité à consommer, chacun puisse avoir un emploi digne de lui ouvrir des portes à l’accroissement sans cesse de son pouvoir d’achat. C’est ainsi que pour tous ses domaines d’activités, le réseau va promouvoir une création d’emploi répondant à ce besoin pour ses adhérents.

Pour y parvenir, il utilisera : la méthode de conservation de chaque prestataire dans le créneau auquel il appartient lors de sa connexion, tout en renforçant ses capacités si besoin se fait sentir, en vue de l’adapter aux nouvelles pratiques ensuite, il ira dans une promotion accrue de création de nouveaux emplois pour les sans -empois dont les gigantesques objectifs attestent sa capacité à y arriver.

Ces deux revenus à savoir : le bénéfice et le salaire, seront mis à l’actif de chacun, d’où seront prélevés ses redevances s’il y en avait, ainsi que le recouvrement de sa consommation à crédit auprès du réseau. Ainsi ce sera de la capacité financière de chaque compte que dépendra la taille des crédits en nature qu’offre le réseau à ses membres, dans le cadre de sa politique de stimulation à la consommation qui créera la richesse en faveur de développement pour tous.

Insertion dans le réseau des personnes morales (investissement en industrie) et la connexion des personnes physiques par l’emploi.

Lorsqu’une personne morale quelconque voudra se connecter au réseau, elle en fera la demande. Une étude est faite pour intégrer au créneau d’évaluation du réseau auquel il appartient. Il va donc s’opérer une étude d’évaluation des biens matériels qui répondent aux aspirations du réseau en vue de lui constituer des fonds propres pour son insertion. Lorsque le montant dépassera le quota maximum requis, le surplus ira dans l’insertion des autres dans le réseau, commençant d’abord par ses proches parents puis les employés régulièrement embauchés ou des personnes de son choix, en vue du partage avec eux du bénéfice. C’est par ce biais que seront formées de grandes chaînes dans tous les domaines et dans toutes les zones de couverture de Re Dé Ma Re (SA).

Domaine scolaire et estudiantin.

Un chaîne de complexe scolaire et de grands centres de formation (en vue de la création d’université dont les écoles seront disséminées) équipées d’infrastructures modernes dignes de nom et d’une ressource humaine performante, où les structures privées adhérées au réseau se verront fusionnées pour le renfort de leur capacité lucrative. La foule de cadres supérieurs, moyens et le personnel en général ainsi que leur recherche de performance créeront de grands revenus au réseau.

Domaine hôtelier …

Une sérieuse chaîne d’hôtels verra également le jour avec de grandes infrastructures d’entreprises dignes pour donner du souffle à tous les hôtels privés adhérents du réseau pour créer de vraies ambiances de lucre sous l’effet du drainage de la clientèle que le réseau mettra en place.

Dans le domaine de l’alimentation générale.

Une vraie chaîne de service alimentaire sera mise sur pied, avec une performance de distribution moderne qui aboutira aux livraison à domicile suivant les objectifs du réseau dans ce domaine. Des supermarchés partenaires se mettront à la disposition des consommateurs en tout lieu. Une chaîne de restaurations modernes où se verront améliorés les cadres et les prestations de nos restaurants, bars etc. une fois connectée à l’entreprise de restaurant du réseau, en vue de faire d’eux de vrais créneaux porteurs.

Dans le domaine de l’habillement

De sérieuses chaînes seront créées pour les mêmes causes que les autres citées plus haut, dans les secteurs suivantes du domaine en vue de faire un mixage lucratif des produits avec les fabriques importés.

La production

Une chaîne sera mise à la disposition de nos ateliers avec des infrastructures performantes et modernes pour en faire de vraies unités de production de nos divers effets vestimentaires où pourront se fusionner tous les ateliers connectés au réseau : nos ateliers de couture, cordonnerie, bijouterie et perle, coiffure etc. Avec pour objectif leur mise à niveau concurrentiel à l’échiquier international.

La distribution

Dépendant de la qualité de production, la distribution se verra obligée de prendre une vraie place aux marchés desquels notre section de distribution ne voudra pas se mettre à l’écart bien qu’ayant en plus d’eux son propre marché. Donc une vraie chaîne de distribution se mettra en place pour donner de beaux visages et une performance à la prestation de nos magasins et boutiques.

La buanderie ou les entretiens vestimentaires.

Une chaîne sera initiée dans chaque volet, opérateur de façon à organiser ces secteurs dans le but de les professionnaliser et de créer des revenus. Donc des chaînes de collecte et de livraisons à domicile, centralisées dans des grands pressings, seront à la disposition des prestataires de ces secteurs en vue de leur connexion au réseau.

Dans les domaines des soins médicaux sanitaires.

La pharmacie

Une grande chaîne de pharmacie sera créée pour répondre au besoin du réseau qui devra mettre fin à ses adhérents, l’automédication alimentée par le marché noir, pour en faire de nouveaux consommateurs sur son marché pharmaceutique moderne. Elle se mettra à la disposition de tout prestataire désireux de se connecter au réseau pour les mêmes objectifs que tous les autres.

Les hôpitaux et centres de santé

Une vraie chaîne de ces structures se mettra au service du réseau pour phagocyter les centres de santé désireux de s’atteler au réseau en vue d’en faire de grands hôpitaux et centres modernes de santé lucratifs et performants avec une infrastructure, un matériel et personnel à la taille des prestations qui n’auront rien à envier à ce que l’on pourra trouver plus performant ailleurs, car ayant les moyens et un système capable d’en faire autant. Ainsi se créera ces structures dans toute la zone de couverture du réseau selon les besoins et compte tenu des agglomérations créées par celui-ci.

Le domaine du transport urbain.

De vraies compagnies modernes seront mises sur place dans tous les volets du transport. Particulièrement le transport routier qui s’opère presque de façon informelle.
Les taxis : une compagnie de taxis, répondant à toutes les exigences formelles et modernes, sera mise sur place en vue du bon rendement et de meilleures prestations, où tous les propriétaires seront attendus pour leur insertion dans le réseau. Bien que cette compagnie dans ces diverses prestations n’aura pas à utiliser les deux roues, ils pourront, si leur état est bon, servir de ressource d’investissement des propriétaires pour d’autres usages du réseau.

C’est ainsi que plus la compagnie par ses cars et voitures s’étendra (répondant de manière efficace au besoin des clients) plus les partisans des anciennes méthodes chercheront à s’y joindre, puisque de toutes façons, se connecter au réseau sera de loin plus rentable que de valoir se mettre en marge.

Le transport inter urbain et international

Dans les mêmes stratégies que le volet précédent, les compagnies seront mises à la disposition du transport des personnes et des biens, dans les sections inter urbaines qu’internationales pour dynamiser leurs prestations et rentabilités énormes.

Comme cela se voit, l’objectif de ce livret porte sur des domaines de compétence variée que le réseau se propose de couvrir. A vrai dire c’est un peu le mécanisme de fonctionnement qui est ici énoncé. C’est l’occasion pour chacun de s’y adapter eu égard à sa compétence que son domaine soit ici implicitement ou explicitement mentionné.

Le réseau, les assurances et les compagnies d’assurance

Les assurances sont un créneau économique très porteur. Pour tout le bien qu’offrent ces assurances, le réseau dans toutes ses opérations mettra ce créneau à une place de choix, sous toutes ses formes et dimensions de couverture. Ceci implique une affaire de gros capitaux et transactions. Le réseau ayant un marché conservé, évitant en son sein la fuite de capitaux qu’il appelle dispersion d’énergie, y gagnera énormément par l’attraction qu’il suscitera auprès des compagnies d’assurance, par son contrat de partenariat qui tournera toujours autour de trois points suivants : gagner au réseau, consommer au réseau, réinvestir au réseau en y insérant des personnes sans ressources.

Ainsi une compagnie pourra faire d’énormes capitaux de bénéfice, car même une aiguille du réseau n’existera sans être couverte de toutes sortes d’assurance possible, à plus forte raison les humains, les affaires et les grosses propriétés du réseau. Cependant en gagnant ces capitaux, elle doit les consommer au réseau : c’est-à-dire que pour toute réparation de dommage au réseau, les achats et prestations seront confiés aux services du réseau, pendant que le bénéfice gagné par ces compagnies d’assurance leur servira à jouir du service de la consommation du réseau au profit de tous.

La culture et les sports

Ce sont deux éléments non négligeables vu leur place dans la consommation du public.

Le réseau s’évertuera à faire de ces secteurs de vrais créneaux porteurs. De vrais dispositifs seront mis sur pied pour rendre notre culture et notre sport vendables à l’échelle internationale pour l’intérêt de tous. Les produits de ses industries seront, bien évidemment, des talents retenus comme tels, que le réseau va fabriquer pour vendre. Et il disposera d’énormes moyens pour cela, ainsi que pour les dispositifs lucratifs de toutes sortes qui entrent en jeu dans ces deux vastes domaines ! Et les contrats du réseau avec ces talents seront des meilleurs et qui n’auront rien à envier aux autres. Avec pour seule particularité ces trois choses : gagner au réseau, consommer au réseau, réinvestir en insérant d’autres personnes dans le réseau.

Donc de vraies chaînes d’entreprises de tous les domaines de ces deux secteurs seront mises sur pied pour se mettre à la disposition de nos traditionnelles unités en vue d’en faire des concurrentiels sur le plan international.

Les crédits en nature

Quand les revenus d’un membre au réseau rempliront les conditions d’accès à un crédit en nature quelconque : habitat, moyen de déplacement, alimentation santé, éducation, vestimentaire, loisirs etc. … il en aura accès. Cependant quels qu’ils soient, ces crédits auront un but lucratif, et pour objectif principal, la stimulation à la consommation des produits et prestations du réseau. Consommation qui représentera « le bouster » d’emploi et de revenu. Ils permettront également d’améliorer la condition de vie de la masse. Ce qui constituera un des maillons forts du développement auquel aspire le réseau. Ces crédits seront disponibles à chaque adhérent régulièrement inscrit dès sa connexion, puisque l’on n’aura pas besoin après cela d’attendre quoi que ce soit pour consommer.

Ainsi donc, les richesses se créent pour être consommées. Et ceci passera forcément par cette consommation des produits et prestations du réseau par les adhérents eux-mêmes afin de créer un véritable marché local. C’est une formule qui vise à protéger ce marché face au marché mondial presque saturé. Car ce potentiel marché local que représente cette masse aujourd’hui sans ressource, lorsqu’il se mettra sur la route de la prospérité, il sera très désavantageux, voire catastrophique, pour le réseau de ne pas en avoir fait son marché personnel. Ce sera une dispersion d’énergie qui ternira sûrement ce réseau. Mais à chaque fois que l’on arrivera à contenir cette masse sur le marché du réseau, ce sera un coup de bâton magique donné au développement.

C’est pourquoi nos hameaux, fermes, villages et villes doivent par leur création de richesse s’impliquer dans la consommation de celle-ci, en prenant le chemin de leur métamorphose. Occasion de voir nos prestations de construction s’amplifier jusqu’à ce qu’elles ne transforment ces lieux à l’instar des lieux dits développés.

L’exécution des travaux, la production des matériaux entrant dans la construction de ces lieux ainsi que l’ameublement moderne, ouvriront de grands enjeux à notre industrie de construction et celle du bois (la menuiserie notamment).

Le matériel moderne pour les travaux, l’équipement industriel, et d’autres, tout cela ouvrira de grandes perspectives de transaction au réseau.

L’alimentation générale de cette masse constituée essentiellement de la commercialisation, production et transformation des produits par le réseau ouvre de grands horizons pour l’essor de notre agriculture, l’élevage, la pêche, le maraîchage etc.

Le vestimentaire amélioré de la masse (complets de service, les uniformes et habillements de toutes sortes etc.) verra notre industrie vestimentaire se développer.

Les soins de santé consommeront les produits de nos pharmacies, de mêmes que nos prestations de santé. Les moyens de déplacement, communication, les voyages, et les transports en général, et l’éducation de cette masse généreront des revenus. Les loisirs de cette masse auront un impact sur les revenus etc.

Le réseau et la gestion de la chose commune

Il sera posé au réseau des conditions de sorte que les avantages et privilèges liés à tout poste de responsabilité soient contenus dans les revenus des bénéficiaires, de façon que, comme partout ailleurs, ses consommations soient faite en dépensant ses revenus par le biais du crédit en nature. C’est-à-dire que les avantages et privilèges d’un responsable tels que logement, eau, électricité, employés domestiques, voiture, chauffeur, carburant, téléphone etc. seront compris dans les revenus (salaire, prime de bon, rendement et surtout la part du bénéfice). C’est une question de principe, car au réseau, il n’y aura pas de gratuité et les richesses seront créées pour être consommées, en vue de bouster l’économie. Par ce principe donc, le meilleur sera et restera celui qui consommera le mieux ses revenus, comme si l’on voudrait dire : les meilleurs clients seront des rois. Donc les avantages, les privilèges ne seront pas l’apanage de qui que ce soit. Un manœuvre, lorsque ses revenus lui permettront ces atouts, pourra s’en procurer autant que bon lui semblera au grand bonheur de tous. C’est ainsi que le titulaire d’un poste de responsabilité quelconque ne sera pas obligé, lorsqu’il quittera son poste, d’abandonner ces atouts, car il pourra sans trop de peine continuer à se les payer dans l’intérêt de tous, également.

LES GRANDS DOMAINES D’ACTION

LE SECTEUR AGRICOLE

C’est le secteur prioritaire du réseau, vu qu’il est resté la véritable mine d’enrichissement jusqu’ici inexploitée de façon convenable.

De véritables stratégies seront mises sur pied par le réseau pour l’intégrer aux nouvelles technologies agricoles afin de rendre à l’agriculture sa place de poumon de notre économie.

Toutes ses filières doivent être étudiées pour déceler, en vue de leurs exploitations, ses créneaux les plus porteurs.

La mécanisation

L’approvisionnement en équipement issu de chaque projet agricole permettra au réseau de finir par disposer d’une énorme firme agricole moderne équipée, pour des projets agricoles de grandes envergures sur toutes les zones de couverture du réseau et au même moment, étant dit qu’une partie de ces grands travaux agricoles (notamment la constructions des pistes, dalots et ponts, retenus d’eau en vue de l’irrigation, des bâtiments agricoles etc.…) sera soutenue par l’équipement du secteur de la construction (BTP) du réseau. Cet autre secteur, eu égard à sa politique des grands travaux qu’il a en vue, devra s’imposer par cet élément équipement.

L’irrigation

Une vaste politique d’irrigation ainsi que d’autres nouvelles technologies agricoles permettant de pallier les aléas pluviométriques et interruptions des activités de la production pour cause climatique, seront mises sur pied pour donner à l’agriculture ses moyens pour son envol en vue de sa mise à niveau réel. Cette irrigation ne servira pas qu’à l’agriculture, mais aussi au maraîchage, pisciculture, préparation d’eau potable, à l’alimentation en eau de l’élevage et pourquoi pas à des fins énergétiques !

Les systèmes intensifs de production

Le principal objectif du réseau, que ce soit en agriculture ou autre, est d’atteindre le niveau intensif de production. C’est l’ultime moyen de se créer des lendemains meilleurs en produits intérieurs bruts, seule véritable opportunité pour sa prospérité indispensable à survie.

LA REFORME DES FILIERES

L’industrie du bois

Dans cette industrie du bois, on note à l’état traditionnel les secteurs tels que : le bois de chauffe, le charbon de bois, la menuiserie, pour ne citer que ceux-là.

En effet, parmi les ressources énergétiques les plus dispersées, il y a les produits issus du bois. Sachant ce qu’elles représentent en consommation dans nos milieux, on comprend en réalité le monde perd face à l’anarchie qui règne sur le marché de ces éléments. Anarchie qui occasionne une consommation égale au gaspillage. Nous n’y sommes pas pour énumérer les méfaits auxquels cette anarchie nous confronte. Mais étant dans la lutte contre la pauvreté, il faut simplement souligner que cette anarchie contribue, de multiples façons à nous appauvrir. C’est le manque à gagner total. Un jeu néfaste sur notre faune dont la perte en richesse est inestimable, ainsi qu’une flore dont la dégradation provoque les aléas pluviométriques dont souffre notre fébrile agriculture. Il faut donc estimer ces dégâts et savoir le vrai prix à donner à nos produits énergétiques issus du bois, en vue de contenir cette anarchie et reconstituer la richesse que représente pour nous cette industrie du bois. C’est l’un des enjeux qui ouvrent de vrais horizons au réseau.

Le reboisement

Il sera créer un vaste programme de reboisement soutenu par des projets de grande envergure en vue de créer, non seulement des emplois, mais aussi et surtout faire de masse à travers le réseau, la propriétaire de ces ressources dont les sélections seront orientées vers de meilleures essences en bois de menuiserie, chauffe et charbon. C’est des essences qui seront choisies, de part leur courte durée de maturité et aussi surtout leur capacité de permettre, à leur jeune âge, l’accouplement avec d’autres cultures, de sorte qu’il soit possible d’intégrer le reboisement à l’agriculture pour de multiples avantages.

Cependant pour contenir l’anarchie actuelle, il faudra donner à chaque secteur de l’industrie du bois, une gestion organisée.

Le charbon de bois

Pris par le réseau, le charbon de bois va être orienté vers de grands dépôts du réseau pour son emballage selon le poids et ceci de façon pratique à tout usage. Son secteur deviendra formel par la connexion de tous ses acteurs au réseau. De nouvelles techniques de production de ce charbon vont voir le jour pour l’amélioration de sa qualité, pendant que sa quantité répondra désormais aux normes de la demande sur le marché, en vue d’éviter le désordre de tous genres, que subit sa rentabilité.

Le bois de chauffe

Le bois de chauffe subira le même sort. Sur place à l’exploitation ou orienté vers des dépôts, il sera coupé de façon conventionnelle pour sa mise sur le marché, emballé si possible selon le poids. Son secteur sera rendu formel et ses acteurs connecteurs au réseau.

La menuiserie

Dans la même industrie du bois, il y a la menuiserie. L’industrialisation totale de ce secteur représente un grand enjeu. Aujourd’hui nous exploitons le bois sans en produire et ne consommons les produits dérivés qu’à l’état déplorable et en quantité insignifiante. Combien sont-ils à meubler de façon raisonnable leur maison de ces produits ? Nos administrations privées et publiques ainsi que la plupart de nos nantis qui devraient en être les vrais consommateurs le font plutôt en enrichissant l’occident et les autres producteurs industriels à qui nous continuons de fournir nos produits bruts.

Vu le grand besoin que le réseau aura en bois de menuiserie dans sa politique de construction et ameublement accessible à tous, nos unités, du début à la fin de la chaîne, suivront de modernisation très responsable. Il faudra :
• L’unité d’exploitation à la base équipée pour la circonstance dirigée au sommet par une expertise d’exploitants qui concilieront l’environnement et l’offre à la demande
• Une unité de transformation de ces bois en matériaux bien équipée également de manière moderne, managée aussi par une expertise, quitte à donner des valeurs concurrentielles à nos produits.
• Et enfin une unité d’assemblage de ces matériaux en meubles ainsi qu’en construction, unité très stratégique pour sa grande politique de création d’emplois et de revenus.

Il y a aussi d’autres dérivés du bois tels que les papiers et autres dont nos objectifs ne sont pas loin de couvrir.

La faune

Une vraie entreprise de gestion de faune sera mise sur pied pour offrir son service aux structures déjà existantes. De nouvelles structures pourront être créées pour tous leurs avantages économiques.

Les filières agricoles organisées : coton, café cacao, karité, arachide, anacardier etc. …

Ce sont d’innombrables atouts au réseau, étant dit qu’elles débouchent déjà sur des marchés organisés. Il ne restera au réseau qu’à renforcer leurs capacités à tout point de vue au niveau de la base au sein de la masse productrice surtout.
Il s’agira de moderniser leur culture par son intégration aux technologies nouvelles, après justement avoir ouvert les portes du réseau aux producteurs.

Ceci permettra au réseau de représenter au profit de la masse un interlocuteur valable des institutions qui gèrent ces filières.

Dans la même ligne de ces filières, le réseau étudiera, en vue de leur introduction à notre industrie agricole, d’autres produits de rentes dont les chances de productivité seront acceptables.

Les énergies renouvelables agricoles

De grands enjeux qui méritent d’être donnés en exemple. La culture des produits de base en vue d’obtenir du biocarburant.

Les essences : l’éthanol

Il y a de très nombreux produits desquels peuvent s’obtenir ces essences en dehors de ceux qui sont déjà connus tels que : la canne à sucre, le maïs etc. … Leur recherche se fera de façon à avoir le choix en vue de leur culture intensive.

De la culture de ces produits jusqu’à leur raffinerie, le réseau entend non pas seulement créer d’emplois, mais surtout faire de la masse, la propriétaire de cette industrie.

Le bio diesel : le palmier à huile ou tout ce qui, le mieux, produit du bio diesel. De leur culture à leur raffinerie, le réseau n’entend pas seulement, une création d’emploi, mais surtout, et comme dans tous les cas, faire de la masse, la propriétaire de ces industries dont on ne démontre plus la place dans l’économie et le développement du monde.

Cependant, notons seulement que ceci et tant d’autres produits de rentes seront cibles du réseau pour sa vision de disposer de façon intensive du produit intérieur brut.

L’ALIMENTATION

L’industrie du maïs

Il y a nécessité d’industrialiser le secteur de ce produit qui, en dehors de son volet carburant, représente également l’aliment de base dans la plupart de nos milieux. Il faudra donner à ses éléments dérivés (surtout la farine de maïs) une meilleure qualité pour la consommation. De sa culture, passant par les grands moulins à ses emballages pratiques pour tout usage, le maïs offrira une industrie sans doute rentable.

Son secteur sera véritablement formel par la connexion au réseau de ses acteurs et actrices, producteurs et revendeurs acteurs et actrices avant toute réforme.

C’est dans cette même ligne que seront les industries des autres produits tels que le riz, soja, manioc, l’igname, pour ne citer que ceux-là.

La filière des fruits

Les techniques modernes d’exploitation des fruits en vue de leur productivité sur les marchés internationaux, vont supplanter l’état dans lequel cette filière se trouve aujourd’hui. De plus, leur transformation en des produits dérivés par les industries dignes du nom, nous permettra d’accroître leur production, éliminant ainsi le véritable manque à gagner et le gaspillage actuel.

Tout comme pour les autres produits, son secteur deviendra par l’entremise du réseau un véritable secteur formel et ses acteurs seront connectés au réseau.

Les cultures recherchées

Ce sont des cultures dont les essences sont très prisées et recherchées pour leur usage dans la pharmacie, la parfumerie, les cosmétiques etc. …

Dans la même ligne de ces produits se trouvent également : les oléagineux, les épices, les thés, les encens, le miel etc. … Le réseau aura à axer une sérieuse étude sur leur marché, localiser leur demande en vue de leur intensive exploitation.

N.B. :
Le maraîchage, la pisciculture, la pêche et l’élevage sont d’aussi grands enjeux pour la ligne de mire du réseau, qui en a de grandes ambitions pour offrir à la masse, davantage de créneaux porteurs qui ouvriront des portes à son insertion dans la chose économique.

L’agropastoral

De vrais matériels et techniques modernes d’exploitation de l’industrie agropastorale seront mis sur pied pour faire de nos bétails disséminés un véritable créneau porteur pour tous.

De grands centres de productions et d’exploitation de cette industrie seront crées, pour rallier les bétails de tous propriétaires désireux de s’adhérer au réseau par ce fonds propre en nature que représente leur bétail.

Par ce fait, de vraies firmes seront créées pour accroître les revenues, pour éviter ensuite tous les méfaits qu’occasionnent ce secteur à cet état traditionnel et artisanal, enfin améliorer la condition de ces prestataires aujourd’hui pour la plupart nomades.

Les autres productions et exploitations du secteur animalier en général (volaille y compris) seront également améliorées en qualité et en capacité pour tous leurs avantages au service du réseau.

Le textile

Une compagnie du textile va très rapidement se mettre à la disposition de tous les prestataires de ce domaine pour éliminer le mal actuel de l’anarchie. La mise sur chaîne de ces branches, ira des derniers de la chaîne de distribution jusqu’aux partenaires fabricants.

LA CONSTRUCTION

Travaux publics (Génie civil et autres ….)

Une unité centrale d’entreprise sera créer par le réseau, sur laquelle peuvent se greffer toutes les autres entreprises de construction adhérentes du réseau. L’objet est d’en faire une vraie firme de taille géante et moderne par le matériel, la technique et le personnel en vue d’accéder aux marchés les plus importants dans ce domaine. Ceci pour ouvrir aux membres du réseau jadis sans ressources, les portes de la manne de bénéfice que génère cette industrie.

L’habitat

La filière de l’habitat se tournera essentiellement vers les technologies modernes d’habitat (en terre cuite surtout) pour ajouter à notre ciment, vu tous les avantages que ces matériaux offrent. La formation pour acquérir les meilleures techniques pratiques de qualité sera vulgarisée sur le terrain. La création des industries de préfabrication sera de mise pour accroître la fourniture en briques et parpaings de toutes sortes ainsi que la tuilerie en terre cuite pour la toiture, associée à la technologie moderne de la menuiserie appartenant à notre industrie de bois déjà mentionnée, le tout complété par un dispositif de quincaillerie qui sera mis en place. Ainsi le tour sera joué pour voir nos nouvelles et belles maisons pousser comme des champignons au grand bonheur des clients qui peuvent se les offrir aisément par le biais du crédit en nature.

Il s’agira de favoriser la modernisation de notre masse par la maîtrise des techniques modernes et pratiques en habitat, habillement, alimentation, éducation, santé etc. tout ceci pour un but qui n’est autre que le but lucratif auquel aspire le réseau pour assurer le maximum de bénéficiaire à partager et d’emploi à créer.

Le secteur de l’immobilier

Une grande opération de synergie sera mise en place pour fédérer les actions des acteurs de ce domaine pour des objectifs suivants :
• Permettre aux propriétaires de biens immobiliers de se constituer auprès du réseau des fonds propres par la vente, le bail ou la location de leurs biens.
• Transformer ces cadres en de cadres performants et modernes pour le bien de tout consommateur du réseau en général et celui de ses adhérents en particulier pou lui habiter ces meilleurs cadres deviendra possible par le biais du crédit en nature
• Enfin, faire de ce secteur un des créneaux porteurs du réseau.

Une voirie urbaine

Un équipement adéquat, une équipe compétente et des stratégies modernes du réseau, seront mis à la disposition de nos villes pour leurs travaux d’assainissement en général, la gestion de leurs eaux usées, déchets de toutes sortes et ordures ménagères.

LE COMMERCE GENERAL

Il faut noter que le secteur du commerce général import export devrait pouvoir offrir à la masse une des sérieuses occasions de se faire une bonne place au soleil. Malheureusement le secteur est laissé comme dans le secteur agricole, sans ressource humaine de formation adéquate et en grande partie analphabète, confiné pour la plupart à l’informel et tenu au sommet par des expatriés et même par des aventures qui n’ont de souci que le gain, même si pour cela tout devra s’effondrer, comme nous le prouve la tendance actuel sur nos marchés.

A force de faire, sous facturer les marchandises pour contourner les taxes d’autre part, corrompre nos agents de taxes pour émietter davantage ce qui devrait permettre à l’Etat d’accroître le pouvoir d’achat à ses citoyens, les marchandises deviennent presque toutes à liquider à des prix parfois en dessous de leur réelle valeur à la fourniture. Comment en serait il autrement ? Puisque rien de ce pareil commerce ne profite à la grande masse qui, malgré le rabaissement de ces prix, n’arrive pas à consommer véritablement. La situation pourra être plus grave, si rien de concret ne se fait pour empêcher l’effondrement total. C’est ce défi que tentera de relever le réseau par son département d’import – export.

De vraies stratégies seront mises sur pied, vu la grande capacité qu’a le réseau à drainer d’importants moyens financiers, nerf de cette guerre à laquelle, aucune société sur la place ne saura résister. Ceci pour revaloriser le fruit du commerce, au profit de la grande masse et assurer par la discipline, une meilleure réussite à tout prestataire de ce secteur d’où qu’il soit.

L’organisation du secteur

En amont

Par une technique fédérale, le département d’import export devra s’imposer comme une vraie puissance face à tout le reste. C’est à ce titre qu’il finira par être incontournable et pourra faire régner les lois commerciales au profit de la masse. La concurrence déloyale pourra être maîtrisée. Les produits qui, sur le marché menaceraient les autres par la chute des prix d’une façon déraisonnable, feront l’objet d’étude pour prouver leur conformité avec la réalité, qui une fois établie, va servir à ses fournisseurs d’arracher le marché aux plus cher, tout en respectant l’épuisement du stock précédant. Toutes ces tractations et tant d’autres se feront en amont pour assainir ce secteur.

En aval

Le réseau se mettra à la disposition des commerçants et revendeurs de tout bord, pour de meilleures conditions d’exercice de leur activité par leur connexion physique ou morale au réseau. En se connectant au réseau, chaque créneau d’activité commerciale se verra organisée, de façon à éliminer les pratiques qui entravent leur bon rendement. Il sera orienté le trop plein de gens de certaines lignes d’activité vers de nouvelles initiatives du réseau.

LE SECTEUR DES MINES

L’accès au marché des mines et impératifs pour le réseau pour accroître les chances de dividende à la masse. Ce vaste domaine que représente ceci des mines sera investi par le réseau, dans leur recherche, exploitation et commercialisation sur tous les plans.

L’ENERGIE

Sachant qu’aucun développement à la taille visée par le réseau n’est possible que s’il se reposait sur les ressources énergétiques fiables, il serait donc impérieux que le réseau fasse de ce secteur une de ses grandes priorités, pour lesquelles de très gros projets de mobilisations de ressource se feront, en vue de la production d’énergie dans toute sa diversité.

Dans le cadre de l’énergie électrique, de vrais partenariats se feront avec les tenants de cette filière en vue du renfort de capacité pour les objectifs industriels du réseau. De nouvelles stratégies de mise à la disposition d’autres sources, telles que les renouvelables, et autres seront mises sur pied.

Les divers programmes qui visent l’évolution de la technologie des gaz à l’effet de serre, nous permettront d’entamer de gros projets de production d’énergies, telles que le biocarburant l’un des éléments sur lequel se reposera le produit intérieur brut du réseau. Pour l’heure, les sources d’énergies fossiles attireront les investissements du réseau pour son besoin en consommation ainsi que celui en commercialisation.

LE TRANSPORT

Ce domaine est un élément central sur lequel jouera beaucoup le réseau, vu son importance dans tous les domaines.

Une puissante entreprise moderne sera créée, en vue d’un travail de synergie de tous les volets de ce secteur : équipement moderne de transport, garages modernes pour le dépannage de tout type de véhicules, unités de vente de pièces de recharges etc. (transport routier)

Des agences de toutes sortes pour le transport général sur terre, mer, air seront mise sur pied pour donner au réseau une vraie place au cœur de la communication.

De grandes agences de fret et de transit seront mises sur pied pour absorber le secteur informel de ces domaines en vue d’en faire de vrais créneaux porteurs.

TELECOMMUNICATIONS ET MEDIAS

La téléphonie

La grande consommation de la téléphonie que doit occasionner le réseau ouvrira des portes de revenus considérables, que le réseau doit entretenir par l’intégration, aussi bien à la production qu’à la consommation, et aussi bien au niveau des prestations que du matériel. C’est ainsi que le réseau pourra créer pour les consommateurs une puissante entreprise qui offrira son service de fusion au sein du réseau du service des entreprises existantes pour l’accès à tous les créneaux et au même tarif.

Les masses médias

Qui dit média dit grands moyens. Hormis son pourvoir (le quatrième pouvoir) dont doit jouir le réseau, il lui faudra faire de toutes les branches de ce domaine, de véritables sources de revenus. Une grande entreprise du réseau dans chaque branche sera mise sur pied avec une technologie concurrentielle pour les prestations compétitives au-delà des frontières. Ceci ouvrira des portes de connexion au réseau à tout prestataire physique ou moral de ce secteur d’y trouver sa place.

L’IMPRIMERIE

Le regroupement en son sein de tous les secteurs d’activité qui naturellement sont des consommateurs des travaux d’impression de grande envergure, les grands marchés d’impression issus d’appels d’offres que gagnera le réseau demanderont une industrialisation sérieuse de notre imprimerie. Une vraie chaîne de ce secteur sera mise sur pied, à la disposition de tous ses prestataires adhérents, en vue du renfort de leur capacité par le partenariat, l’expertise internationale pour rendre compétitive les personnes de cette industrie.

LES TAXES

La constellation que sera le réseau, l’étendue de ses activés fera qu’il ne pourra ne pas s’ingérer dans les affaires des taxes, un des maillons des entrées de capitaux pour la construction de nos pays. Plus le réseau luttera à les revaloriser, plus il les devra d’une manière considérable. C’est là, que la chose deviendra très intéressante ! Etant dit que le réseau, par ses opérations, sera présent dans presque tous les domaines où doivent être investies ces taxes, il les reversera tout simplement donc par le biais des travaux et prestations de toutes sortes commandés par l’état et confiés au réseau. Ceci évitera à ces taxes de subir les méfaits de la corruption au profit de la masse.

LE TOURISME

Le réseau touristique, composé d’agences de voyages, de sites touristiques au nombre desquels se trouveront nos parcs animaliers, nos services hôteliers etc., est aussi un grand enjeu sur lequel le réseau pour un plus grand accès aux richesses.

De grands efforts se feront pour la mise à niveau de tous ces domaines, en passant par la mise à leur disposition des cadres compétents et par la suite, la formation de haut niveau de sa ressource humaine, ainsi que la mise en œuvre des grands travaux de réaménagement et de construction des dispositifs pour répondre de façon compétitive au marché de ce secteur très porteur.

EXECUTION DES AFFAIRES COURANTES

C’est un domaine très stratégique sur lequel le réseau mettra un sérieux accent. ‘‘Des affaires brûlantes’’ comme cela se dit dans le jargon, se perdent pour la plupart par faute de financement. Ce sont des propositions d’affaires clairement établies, ce sont des commandes expressément attendues l’argent à la main. Mais le mal pour le livreur reste l’argent liquide dont le temps ne permet pas de faire recours aux transactions en vue des prêts bancaires. Pour le but du partage du bénéfice, tout prestataire disposant d’affaire toute faite, dont le seul mal reste le besoin de financement instantané, pourra la confier au réseau qui en fera son affaire personnelle.

Par ce procédé, toute opération lucrative de tout secteur confondu, une fois qu’elle devient une affaire toute faite, trouvera le réseau comme étant le meilleur endroit pour un meilleur devenir de l’opération, au grand bonheur de son initiateur, aussi longtemps que durera le contrat entre les deux parties. Avis donc aux internautes pour s’ouvrir au monde des affaires par le biais cybernétique.

L’INSERTION MASSIVE ET RAPIDE DE LA MASSE DANS LE RESEAU

Dans le but de l’insertion massive et rapide de la masse, il sera demandé à tous les opérateurs partenaires du réseau, l’élaboration de projet d’extension de leur entreprise dont les investissements pour leur exécution sera confié au réseau en vue du financement. Etant entendu qu’ils auront par ce fait un marché consistant et de plus en plus croissant. La mise ensemble des moyens du réseau (capitaux, humains, matériels immobiliers et produits commerciaux) lui permettront une sorte d’autofinancement pour l’exécution de tous ces projets d’extension qui ne nécessiteront pas forcément trop d’effort financier externe. De façon progressive, cette autonomie financière renforcera les capacités du réseau, d’une part à l’enrôlement de la masse de façon autonome et de l’autre au remboursement de ses crédits pour d’autres plus consistants donc une insertion massive et rapide de la masse.

LES CORPS DE METIERS

Le secteur non négligeable que représente celui des métiers en ce qui concerne ces revenus pour la masse ainsi que la main d’œuvre qu’il draine, offre au réseau un aussi important créneau pour faire valoir ses objectifs. Leur état artisanal va céder à une industrialisation progressive qui verra nos pléthoriques ateliers, salons et garages … disparaître au profit des unités de production modernes par l’équipement et la technique, en vue de meilleures prestations pour la conquête de meilleurs marchés. Comme tous les autres, acteurs et actrices seront connectés au réseau. Occasion de voir nos corps de métiers contribuer de façon efficace au développement général par ce secteur formel que représente le réseau.

DECONNNEXION DE PERSONNES PHYSIQUES OU MORALES DU RESEAU

Volontaire

En dehors des actions dont les titulaires pour se déconnecter devront nécessairement faire recours aux principes posés par les règlements et statuts du réseau, le reste appelé adhérents, ne seront par leur adhésion au réseau que des placeurs de fonds dont la mobilité se définira par des contrats à long ou court terme.
• Les placements en nature ou numéraire : il sera bien défini, les clauses du retrait en nature contre investissement en nature. Là se dessineront les accords concernant la question de l’état initial et l’état après usage (réaménagé ou usé).
• Les clauses du retrait en numéraire contre l’investissement en nature
• Et les clauses du retrait numéraire contre les placements en numéraire.

Sanctions

Les clauses des déconnexions sanctions, qu’elles soient pour les actionnaires ou pour le reste, elles seront stipulées dans chacun des contrats. C’est pour signifier en clair que l’entrée au réseau de tous, étant libre, la sortie restera automatiquement libre pour tous. Même en cas de crise grave ou faillite totale et générale le réseau ne restera après tout qu’une société. Le règlement de ses crises sera contenu alors dans les textes juridiques des statuts, dans le cas contraire ceux des règlements intérieurs, clauses et pactes rédigés par l’expertise juriste du réseau.

ACTIONS ET PLACEMENTS

Le capital social qui aura servi à créer le réseau et qui donnera tous les droits légaux aux titulaires des parts qui le constitueront et qui sont ici les actions, va régulièrement s’ouvrir en vue d’y insérer les adhérents, en priorité la masse sans ressource, pour laquelle il faudra cette étape pour atteindre la plénitude de son appartenance au réseau. Car c’est à ce niveau qu’elle deviendra comme tous les autres actionnaires, patronne et propriétaire.

Tout fonds donc qui pour une raison ou une autre, n’aura pas été transformé en action reste alors un placement. Cependant les actions et les placements jouiront des mêmes droits de partage au niveau du bénéfice, pendant que la propriété de toute réalisation appartiendra aux actions. En d’autres termes le réseau appartiendra aux actionnaires, tandis que les placeurs seront partenaires pour uniquement le partage de bénéfice de leur placement avec le réseau.

Re Dé Ma Re (SA)
Comment démarrer ?

Une fois la société créée, le bureau du conseil d’administration élu élira à sa tête un président.

Celui-ci cherchera avec le concours de ses collègues administrateurs celui avec en son sein ou non aura le meilleur profil et la meilleure compétence pour être le directeur général de la société.

Nommé à l’issue de la pertinence et l’efficacité de sa vision pour les objectifs du réseau, le Directeur Général s’appuiera sur les premiers partenaires du réseau en son domaine, c’est-à-dire : des cabinets de conseil en gestion et management pour mettre sur pied, les différents départements selon leur nécessité, managés par une équipe et un programme de haut niveau pour le démarrage.

Telle sera la méthode qu’adoptera cette première équipe composée du Directeur Général, de ses conseillers (les cabinets) et collaborateurs nommés pour l’installation de manière efficace de tous les départements qui doivent aussi immédiatement utiliser dans leur domaine respectif, l’élément fondamental « partenariat » tant souligné dans ce document de base. Ceci permettra à tous ces départements de la société d’utiliser la réussite existant déjà dans leur respectif domaine, afin de pouvoir se donner autant que faire se pourra, les moyens pour leur amélioration, ainsi que l’accroissement de leurs capacités.

Ainsi, étant dit que les fonds d’exercice doivent dépendre des projets, leur étude et élaboration seront confiées à des cabinets partenaires qui sur ce plan, ne seront déjà illustrés en ce qui concerne la qualité de prestation.

Des projets dont la rentabilité sera rapide et qui prendront en compte en priorité l’insertion du personnel nouvellement recruté des membres fondateurs et premiers adhérents, seront les premiers comme pour dire : « la charité bien ordonnée commence par soi ».

Vu la délicatesse et l’étendue des objectifs du réseau, une équipe d’expertise comptable de haut niveau avec des moyens de haute technologie sera le repose pieds de l’agrégat comptable du réseau, sous l’œil vigilant d’un commissariat au compte composé d’experts qui, également sera basé sur les partenaires des cabinets d’audit contrôlé de renommée internationale.

C’est l’issue du financement des projets et selon leur plan d’exécution, que se verront installées les structures une à une selon le besoin, basées avant tout, sur le partenariat.

CONCLUSION

Groupement d’intérêt et société d’insertion économique, le Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource constitue une réponse à l’éradication rapide de la pauvreté dans les milieux défavorisés de nos pays. Il se veut un endroit où, même sans aucune ressource, l’on puisse accéder à un fonds de roulement en vue de jouir pleinement du travail que génère ce fonds ainsi que le bénéfice.

A partir de ces revenus, le réseau veut faire une place sur terre où, la consommation raisonnable de la richesse créera la richesse. Mieux l’on consommera, mieux l’on s’enrichira.

Projet extrêmement réaliste à toute échelle, il peut déjà démarrer, par un simple regroupement de quelques personnes physiques ou morales.

Par des procédés légaux d’installations, ce premier noyau informera la population et invitera à son identification en vue de se frayer sa place pour son enrôlement, la souscription des actions (pour ceux qui ont les moyens), puis au postulat d’emploi. Les voilà en route progressive et puis au postulat d’emploi. Les voilà en route progressive et sûre, de l’extension du réseau jusqu’aux confins du monde.

Que Dieu bénisse ce travail
pour l’éradication entière de la
pauvreté, le pire des fléaux de
notre planète.

CHAPITRE III

Re Dé Ma Re (SA) : Une révolution

Constitution de la zone économique protégée de Re Dé Ma Re (SA) :

Diagramme

L’investissement fait pour le projet n°1 réseau va satisfaire le quota minimal jugé satisfaisant pour un pouvoir réel d’achat d’un nombre « x » de personnes connectées.
• L’exécution dudit projet doit générer un bénéfice ainsi que le salaire à chacun entraînant leur capacité dans l’immédiat à se mettre sur le marché du réseau.
• Chaque produit de consommation demandé par ce nombre « x » constitue un secteur d’activité à mettre en place, donc élaboré en projet pour être financé. Ainsi pour « x » personnes il y aura un besoin « A » de logement, « B » d’alimentation générale, « C » d’habillement, « D » de moyens de déplacement et de communications etc.

Le projet « A » de logement demandera un investissement qui prendra en compte et satisfera le quota à « Y » de nouvelles personnes connectées.

L’exécution du projet « A » générera bénéfice et salaires différents de ceux de l’exploitation du projet proprement dit. D’emblée la consommation de ces personnes « Y » créera une nouvelle demande des mêmes produits. C’est ainsi que le nombre « X » du premier projet Re Dé Ma Re (SA) va créer les projets « A », « B », « C », « D » etc. qui vont insérer dans le réseau un nombre de personnes « U », ira provoquer « A’ », « B’ », « C’ », « D’ » etc. , de projets dont le financement à leur tour insérera « U’ », « V’ », « W’ », « Z’ » et le diagramme ira en grandissant jusqu’à l’infini.

Lorsque vont se mettre en place les gros projets n°2, 3, 4etc. la zone économique ira en grandissant à une vitesse qu’auraient tous les démunis à vouloir sortir de leur situation, tous les riches à vouloir s’enrichir d’avantage, un état à vouloir émerger, un continent à vouloir devenir économiquement puissant, le monde à vouloir constituer la meilleure civilisation humaine de notre existence.

Lorsque la demande appellera l’offre, un équilibre s’établira de façon naturelle sur le marché de la zone répondant de facto à tous les critères d’économie sociale de marché par excellence dont a tant besoin plus que jamais notre stabilité.

Re Dé Ma Re (SA) et les appels d’offres

Les appels d’offre nationaux et internationaux, publics et privés seront les lieux de prédilection du réseau en vue de faire valoir ses incontestables raisons d’être. La qualité de prestation due à son volet partenariat qui lui confère des compétences internationalement reconnues de ses futurs partenaires, la redistribution directe du fruit de ses prestations à la masse actionnaire, adhérente et employée, la restitution transparente des impôts et taxes, la mise en application automatique des droits des employés (assurance, sécurité sociale etc.), sont des mobiles dont disposeront les offres de Re Dé Ma Re (SA) qui ne laisseront pas indifférents aucun maître d’ouvrage et d’autres à plus forte raison les Etats.

Par ailleurs ces marchés çà et là gagnés par Re Dé Ma Re (SA) provoqueront les revenus énormes à tous ses sociétaires actionnaires et adhérents sont la demande en consommation créera de gros autres projets internes, et les choses iront à l’image illustrée par le diagramme plus loin.

Donc une fois que les départements seront mis en place, chacun développera ses partenaires et se renforcera les capacités pour tout éventuel appel d’offres et ceci dans tous les domaines possibles.

Re Dé Ma Re (SA) et la quête de Marché propres

En dehors des travaux, fournitures et diverses prestations dus en contrepartie des impôts ou adjugés, certains marchés dans tous les domaines de grands travaux seront directement négociés par le réseau auprès des bailleurs de fonds par son procédé d’insertion dans le compte des Etats, dans le cadre de l’aide au développement, compte tenu de l’impact direct que les revenus de ces marchés auront sur la masse à la base. Ainsi nos pistes, (leurs ouvrages de drainage et d’assainissement), routes à bitumer (pour desservir toutes les contrées où les intérêts de Re Dé Ma Re (SA) s’étendront), travaux énergétiques, hydrauliques et de communication etc. associés aux gros travaux en vue de la commercialisation sur le marché interne et externe du réseau, feront du boom inégalé de l’emploi et de la création de richesses, qui iront renforcer les capacités en moyens de production et d’échange du réseau pour le hisser au sommet des bourses, où il ira rafler de gros capitaux à la conquête de gros marché mondiaux.

Les consommateurs et le Marché du Réseau

La commercialisation de tout produit et prestation vise un bénéfice. C’est ce bénéfice que recherchera le réseau pour ses adhérents à travers leur propre consommation et celle des consommateurs extérieurs au réseau. Le bénéfice provenant de l’argent, des moyens de production et de la main d’œuvre en vue de la production de ces marchandises est le deuxième bénéfice que recherchera le réseau pour ses adhérents. Le bénéfice ou l’intérêt généré par l’amortissement de l’argent mis en jeu par chacun, directement ou indirectement, celui de l’amortissement des moyens de production ainsi que la plus-value sur les salaires, générée par la main d’œuvre sont trois autres bénéfices que recherchera le réseau à ses adhérents : c’est la troisième série de bénéfices. Enfin la sécurité du capital ou l’autonomie financière créée par la suite du remboursement systématique des redevances du réseau, l’appropriation pour la suite des moyens de production une fois amortis, représentera la quatrième série de bénéfices que le réseau recherchera à ses adhérents.

Au vu de la diversité de ces bénéfices, (d’où la taille lorsqu’il sont calculés pour chacun) et vu que leur croissance ne dépendra que de leur consommation, le réseau va faire de son crédit en nature l’instrument idéal pour la prospérité générale. Eu égard à tout cela, tout adhérent au réseau, qu’il soit un Etat, organisme, une association, un groupement, syndicat, une confession, individu bref toute personne physique ou morale de tous genres, pour ce qu’elle voudra consommer, que ce soit en marchandises, en prestation de travaux ou de service etc. pourra, compte tenu de ses bénéfices à court, moyen et long terme, anticiper sa consommation par le biais du crédit en nature de la rationalisation incombera au réseau. Un véritable marché bouillant où la concurrence actuelle des vendeurs à la recherche des clients cédera place à la compétition des clients à la recherche de la première place en consommation soit, un marché sur lesquels, seuls les clients se disputeront les meilleures places de consommateurs au profit de tous. Une révolution n’est-ce pas ?

Re Dé Ma Re (SA) et l’élite des humains

L’élite des humains, toutes catégories de tous les domaines confondus du développement économique et social, tout cerveau et cadre de toutes sortes trouveront désormais en Re De Ma Re (SA) un cadre propice pour l’épanouissement de leur devoir à se mettre au service du développement dans un but essentiellement lucratif qui n’attirera plus aucun soupçon électoraliste, soupçon qui généralement entraîne leur fuite vers des destinations parfois inadaptées à leur profil, ou qui entraîne leur rejet tout simplement ou alors leur nomination à des postes qui finissent par les éloigner souvent de la précieuse restitution de leur bagage intellectuel. Rassemblée en de constants colloques où il ne sera plus que questions du développement à but lucratif, au-delà de tout autre clivage, l’élite des humains tant en moyens humains, en moyens de production qu’en moyen d’échange, se mettre au service d’une Direction Re De Ma Re (SA) comme un seul homme à la recherche déclarée d’avantage de profit personnel (excluant toute idée de gratuité, bénévolat, assistant) bénéfique pour tous comme l’on le sait si bien. Par ailleurs il ne sera plus nécessaire à une quelconque élite, pour des objectifs de développement de passer forcément par une quelconque prise de pouvoir.

Re Dé Ma Re (SA), Instrument au Service de l’Investissement du Monde Musulman

Spécialement pour ces investissements et financements, il sera initié au sein de Re De Ma Re (SA), la branche « Al Halal ». C’est-à-dire, le licite. Car une fois libérés de tous les freins créés par l’incompatibilité du système actuel que les dispositifs financiers comportent pour eux, les fonds musulmans (qui dorment actuellement dans des cachots de fortunes, nos marchés et maisons, souvent sans aucune utilité), des capitaux énormes des Etats Arabes et ceux de leur population nantie (qui n’attendent qu’à servir l’humanité par leur fructification), de même que les fonds de coopération d’ordre éthique (pour le développement entre le monde musulman riche et le monde musulman pauvre) ainsi que ceux des coopérations publiques et privées, formelles et informelles qui se cantonnent actuellement sur des maigres projets, (hormis quelques officiels) du fait du manque de structure fiable pour la mise en œuvre des dispositifs pour leur objectifs, ainsi que les garanties nécessaires pour la sécurisation de ces fonds remboursables surtout. Donc tous ces fonds, passant par l’insertion de la masse en vue d’en faire de nouveaux consommateurs, iront s’embouteiller sur le marché Re De Ma Re (SA) qui, pour mieux le leur ouvrir, va leur créer la branche « Al Hala ». Elle sera une des plus grandes branches de Re De Ma Re (SA) avec ses banques, agences d’assurance, toutes intrinsèques à Re De Ma Re (SA) avec l’option « sans usure » ainsi que certains de leurs marchés, eux aussi intrinsèques à Re De Ma Re (SA) avec l’option « achat et vente licites ».

Re Dé Ma Re (SA) et les puissances émergentes

L’émergence spectaculaire actuelle de certains pays fait la fierté de l’humanité. Cependant l’écart de fossé qui se crée de plus en plus dans ces milieux entre les milieux favorisés (les riches) et les milieux défavorisés (les pauvres) est alarmant.

Le mal reste ce système par lequel le riche s’enrichira plus, pendant que le pauvre, sous lui, cherchera toujours à survivre. Paradoxalement pour ce système, cette masse pauvre est la cible visée par la plupart de ces productions. La stratégie pour palier le mal est la vente à bas prix. Or cette vente passe forcément par les salaires misérables réservés aux travailleurs de ces structures, le non respect des droits de travail à ces derniers, les fraudes fiscales, l’achat à vil prix des produits bruts de base bref, tout ce qui affaiblit le plus le pouvoir d’achat de cette masse qui, quelles que soient la qualité, quantité et détérioration des prix de ces produits se verra toujours incapable de bien consommer. Ce qui par conséquent mettra également en difficulté les avoirs de ces riches.

Une masse en difficulté face à une richesse en voie de difficulté, au service de laquelle Re Dé Ma Re (SA) se verra forcément sollicité. Donc, que ce soit ou là de vrais capitaux attendent pour investir, financer, en vue de faire de la masse aujourd’hui pauvre un gros marché planétaire de nouveaux consommateurs.

Toutes ces ressources financières draineront des projets qui à leur tour, draineront une ressource humaine à taille d’une reconstruction du monde où seront ignorées, les questions de frontières, races, d’ethnies, de clans, religions et nous en passons. A chacun sa place, selon sa compétence, partout où besoin sera, au gré de son désir du mieux-être.

Vu sa capacité à drainer de ces énormes ressources financières, humaines, matérielles et technologiques, rien ne manquera au Re Dé Ma Re (SA) de devenir la machine la plus puissante contre les graves crises face auxquelles le monde reste jusqu’ici dans une totale impasse. Il suffira de lui ouvrir la perte aux plus grands chantiers porteurs et il pourra transformer la terre en un véritable gros village où mieux vivre, travailler, s’enrichir et s’épanouir ne seront plus qu’une question de se constituer une identité Re Dé Ma Re (SA), qui mettra toutes les compétences humaines ensemble, partout où besoin sera, avec une égalité des chances, poussée à un tel niveau que le monde n’ait jamais atteint.
N’est-ce pas l’objectif unanimement recherché par l’humanité à travers tous ses systèmes face auxquels Re Dé Ma Re (SA) sera incontestablement « une Révolution » ?

Re Dé Ma Re (SA) : la zone économique protégée pour policer la mondialisation.

La course à la quête pour soi de plus en plus de gros marchés, qui constitue l’effet levier pour les riches et un effet marteau pour les pauvres, en compétition à armes inégales représente de plus en plus de danger pour l’épanouissement de l’humanité dans cette mondialisation. Rien au monde ne pourra imposer la mise à niveau des milieux pauvres par rapport aux milieux riches, malgré le désir des uns et des autres qui, par voie éthique ou morale, d’aide et charité, la conscientisation et que savons-nous encore, tendent d’y parvenir. Rien de tout cela en réalité ne pourra arrêter les plus forts de chercher à être plus forts. Cependant ils ne seront plus forts que sur un marché ! Donc disposer pour soi d’un marché fiable et attrayants, c’est amener ces plus forts dans sa cour. Faire en sorte que ce marché soit assuré, sécurisé, protégé, grandissant et même capable d’envahir le reste des marchés, c’est toucher aux points vitaux de « nos plus forts ». Par conséquent, c’est les transformer en des serviteurs (pour la cause du gain), par lequel l’on deviendra forcément roi comme le dit l’adage : « le client est roi ». Disposant donc de tous les moyens pour policer, c’est-à-dire pour civiliser ce monde, « nos plus forts » se mettront en lutte acharnée, à repasser sur leurs traces, cherchant pour davantage de profit, les zones jadis laissées pour compte en vue d’une mise à niveau généralisée comme le feraient de vrais civilisés. Re De Ma Re (SA) international vient donc à point nommé : une Zone Economique Protégée sans frontière dans cette mondialisation qui pour lui n’est qu’une formidable chance pour inviter les plus forts dans sa cour, afin que la vie des hommes soit confondue, de l’Argentine à l’Assaka, la Russie à l’Australie, l’Afrique du Sud à la Suède. Une société anonyme mondiale d’opérations économiques confondues, constituées de vrais agrégats aux mains d’éminents macro économistes de la gent humaine, au service d’un développement harmonieux fort et durable, au centre duquel se trouvera une recherche acharnée, de plus en plus d’hommes à enrichir, pour s’enrichir mieux.

C’est une affaire de tout le monde et suffisamment de créneaux porteurs, nous dira-t-on ! Il y a tout le monde et suffisamment de créneaux porteurs répondrons-nous !

C’est une affaire d’organisation géante et sophistiquée à haute technologie et de haute expertise !

Le monde dispose déjà de la haute technologie en vitesse croissante et effrayante ainsi que d’expertise suffisamment puissante pour organiser de façon la plus sophistiquée possible une société économique mondiale dans laquelle pourra être actionnaire et employé toute l’humanité entière quelle que soit sa croissance démographique et maîtriser de façon harmonieuse et parfaite les enjeux néfastes liés à l’économie, écologie, environnement, politique et au social.

C’est une affaire de grands équipements et de très gros capitaux !
Il y a de tout cela qui n’attend que des consommateurs fiables pour s’étendre au-delà des besoins de toute l’humanité.

C’est une question de motivation ! Il y a plus que jamais de motivations qui suscitent un engouement réel de tous à atteindre ces niveaux plus élevés de la civilisation humaine, motivations inhérentes à toute génération !

C’est enfin une question de système de maîtrise pour tous les marchés conséquents, de sécurisation de capitaux et de la capacité de maintenir la croissance sans cesse de ces capitaux ?

Voilà justement ce qui manquait au monde et que Re De Ma Re (SA) mondiale va apporter à la mondialisation pour atteindre les sommets les plus hauts de notre civilisation. Rien ne manque plus au monde en voie de globalisation de se civiliser véritablement.

Re De Ma Re (SA) : le technopôle universel

Devenu le ou l’un des marchés les plus attrayants, Re Dé Ma Re (SA), contrairement aux autres systèmes n’a rien à commencer en matière de recherches pour la technologie. Il bénéficiera plutôt de l’avancée de la technologie actuelle et de la robustesse des capitaux pour se constituer en un véritable technopôle au service de la robuste demande de son marché universel. Il sera donc le site spécialement aménagé pour accueillir l’extension des entreprises à haute technologie, renforcer leur capacité et en favoriser la création d’autres qui s’imposeraient. Ceci pour rendre accessible à l’Homme, où qu’il soit, les meilleures technologies au service de sa productivité pour un pouvoir d’achat consistant au service duquel se mettront de grandes technologies pour sa meilleure consommation à tout point de vue. Ce qui aura pour conséquence la mise à niveau rapide du développement général des quatre coins du monde pour son envol spectaculaire, car c’est de cela qu’il s’agit, parlant de la mondialisation.

Lorsque ce niveau sera atteint la concurrence actuelle qui se traduit à son plus haut niveau aujourd’hui par l’armement et qui engendre les guerres destructives va libérer sa grande et compétente ressource humaine, haute technologie et ses énormes capitaux qui seront obligés de changer de manteau en vue de prendre place sur cet incontournable technopôle au service d’une paix durable du monde qui s’imposera à tous, sans aucune violence ni lutte.

ANALYSE

Comparé aux systèmes actuels, Re Dé Ma Re (SA) est une révolution. Car il entraîne une course à la richesse nouvelle version : « enrichir les autres pour mieux s’enrichir », c’est-à-dire que pour fructifier son agent, il faudra avoir investi au nom et pour le compte des gens qui, en gagnant une partie du bénéfice, deviendront consommateurs pour prospérer et pérenniser les activités dont on tire sa richesse. De la même manière, plus on voudra consommer à la façon de « vrai riche », plus l’on redistribuera la richesse au sein du système, où tous gagneront de nouveau par le biais du bénéfice du travail.

Peu seront les riches qui ne voudront pas s’enrichir de cette manière là.
La première conséquence sociale de ce fait sera la disparition progressive de la précarité au sein de notre société.

La seconde conséquence sera la disparition de la peur de la pauvreté dont la fuite, le plus souvent pousse certains à créer la pauvreté, la contenir, l’amplifier autour d’eux par le fait d’accaparer par la force des biens publics, détournements, corruption, vols, tricherie… Ces fonds illicitement acquis finissent dans des édifices souvent inutiles, drôles de cachots, comptes obscurs et parfois bloqués sans aucune utilité, pendant que la course pour en avoir davantage continue éperdument, comme pour dire : « s’enrichir, c’est appauvrir les autres »

La troisième conséquence est que : les objectifs pour la paix pourront vite être atteints puisque pour s’enrichir, tout tenant de richesse se verra en train d’enrichir les autres autour de lui. Egalement, la consommation de sa richesse, entraînera le redistribution de celle-ci autour de lui par le biais du bénéfice et du travail qui intégrera tous, évitant à chacun, tous les maux sociaux actuels.

Stratégie de consommation anticipée (crédit en nature) formule « stimule » de Re Dé Ma Re (SA)

Les actionnaires et adhérents émettront leurs fonds. Ils iront consommer à l’aide de leur carte de crédit selon la taille qui y est prédéfinie (selon un procédé de calcul comptable qui envisagera leur revenu à court, moyen et long terme) sur le marché du réseau dont les distributeurs eux-mêmes, actionnaires ou adhérents, disposeront en dehors de leur carte de crédit consommateur, d’une carte de crédit distributeur leur permettant de se ravitailler auprès des grossistes. Ces grossistes également actionnaires ou adhérents, disposeront en plus de leur carte de consommateur une autre carte de crédit de grossiste, leur permettant à leur tour de se ravitailler auprès des importateurs, qui eux aussi actionnaires ou adhérents, disposeront en dehors de leur carte de crédit consommateur, une seconde carte de crédit dite d’importateurs pour se ravitailler auprès de leurs fournisseurs, qui enfin se confieront au réseau en vue du remboursement selon des accords de partenariat, qui vont rapidement se transformer en accord de partenariat type Re Dé Ma Re (SA).

C’est ainsi que la possession des cartes de crédit de tous ces adhérents et actionnaires confondus ira stimuler la consommation généralisée au sein du réseau. Laquelle consommation va stimuler la production sur toutes nos chaînes d’activité. Les exigences de cette production iront stimuler les investissements. Ces investissements vont stimuler l’élargissement de la zone économique par l’insertion de nouveaux membres pour qui seront créés emplois et richesses. Cette création d’emplois et de richesses va stimuler le pouvoir d’achat et le pouvoir d’achat de chacun ira stimuler le remboursement de son crédit. D’où cette formule « stimule » de Re Dé Ma Re (SA) :

Le crédit stimule la consommation,
La consommation stimule la production,
La production stimule l’investissement,
L’investissement stimule la création d’emploi et de richesses,
La création d’emploi et de richesses stimule le pouvoir d’achat,
Le pouvoir d’achat stimule le remboursement.

Dans cette formule, c’est la consommation qui crée la richesse et rien d’autre. Bien qu’elle dépende du pouvoir d’achat du consommateur, elle n’en demeure pas moins puisque l’on pourra disposer de pouvoir d’achat sans pour autant créer de la richesse si ce pouvoir d’achat n’est pas orienté vers une franche consommation. Une non consommation dans ce cas précis, qui souvent n’est qu’une émanation du sens trop aigu de l’économie, la méfiance, la peur de diminution ou de l’épuisement de ses biens etc. que cette formule « stimule » vient éliminer. Dans tous les cas, le crédit ouvrira devant toute personne des portes de réalisions de ces désirs surtout que son remboursement sera assuré par des revenus sûrs et à plus forte raison si celui-ci n’a aucun impact sur son avoir propre. Au contraire il est appelé à s’augmenter par la stimulation du pouvoir d’achat sans cesse croissant que va instituer cette formule.

C’est la raison pour laquelle l’accent porté sur la recherche du pouvoir d’achat de plus en plus croissant à chacun, devra être compris par tous comme n’étant pas une faveur faite les uns aux autres, ni une banalisation, vulgarisation néfaste ou dévaluation de la richesse jadis réservée à certains, mais le fondement de la croissance, puissance pour le développement durable d’une zone économique qui se voudra forte devant l’affront d’une mondialisation à l’allure d’une jungle.

Mis à part ce contexte, le pouvoir d’achat est et restera l’élément d’enrichissement général dont dispose potentiellement tout être humain par le travail, tant intellectuel, moral que physique. Les moyens pour mettre en valeur cette productivité ne viennent qu’en seconde position. C’est l’accès à ces moyens, de production et d’échange, qui malheureusement permet à certains d’obtenir au détriment des autres, non seulement le maximum du fruit de leur travail, mais aussi et surtout d’autres éléments qui devraient augmenter leur pouvoir d’achat. Celui qui travaille pour son propre compte sait très bien ce qu’il perdait du fruit de son travail s’il était employé. Et il sait également combien il serait très difficile de prospérer si chacun avait à faire comme lui, puisque dans ce cas, il y aurait plus d’offres que de demandes. Donc un employeur, grâce à ces moyens de production, non seulement s’approprie une partie du fruit du travail de l’employé, mais aussi et surtout occupe une des places sur leur marché commun, empêchant du coup l’autre qui ne pourra faire la même chose et prospérer de la même manière sur le même marché et unique marché. Heureusement la prospérité harmonieuse ne dépend ni des contextes employés et employeurs, ni du contexte travail pour tous, ni d’aucun contexte que ce soit mais la qualité et de la quantité de biens et services fruit du pouvoir d’achat que devront obtenir l’une et l’autre. Vouloir ignorer cette réalité et l’échanger contre ces supposées supériorités et chercher tous les moyens à les entretenir, gérer les uns au-dessus des autres, peut avoir prévalu il y a longtemps et puisse sembler être accepter par tous, cependant cette situation est et demeure le mal qui jusqu’alors n’est que pallié. Une tombe à retardement donc que va désamorcer à point nommé Re Dé Ma Re (SA), par son système qui restitue à ceux qui en ont moins ou qui n’en n’ont pas, un pouvoir d’achat réel d’achat, ouvrant par ce fait toutes les portes d’accroissement de richesses à ceux qui en ont. Une véritable lame tranchante qui aura déjà égorgé celui qui aura voulu lui résister. Et tout effort qu’il aura déployer dans ce sens ne serait que le droit de se débattre de l’agonisant qui finira par le trépas. Car toute tentative de résistance ou de refus de ce système relèverait de son incompréhension ou de l’ignorance de irrésistible force. Il ne sera question que de bannir le bénévolat et la gratuité pour celui qui croit par ce système perdre son bonheur, de comprendre que celui qui lui donne cet honneur n’est qu’un producteur de cette denrée ainsi que les courbettes, considérations, recherchées par le partisan de la supériorité, denrée qu’il va falloir désormais acheter de la même manière que tous les produits. C’est pour insinuer que l’on devra désormais dépasser ces clivages négatifs et penser le développement harmonieux et général autrement. Le calcul est simple ! Nous avons tous besoin du pouvoir d’achat les uns des autres. C’est de ce pouvoir d’achat que dépend la productivité des uns et des autre. Limiter donc le pouvoir d’achat rien qu’à nos salaires d’aujourd’hui et même de demain n’est que produire, accepter et entretenir la pauvreté qui n’a jamais été une fatalité, mais un produit fait de la main des hommes, situation que va éradiquer à coup sûr Re Dé Ma Re (SA) par son système. Car le pouvoir d’achat, fruit de la production de l’homme va au-delà de son salaire.

Re Dé Ma Re (SA) et les fonds d’aides au développement

Pris à grande échelle, au niveau des décideurs des investissements et financements, le système Re Dé Ma Re (SA) pourra à lui seul constituer le remède à la plupart de nos problèmes sociaux, politiques, économiques et autres, qui hypothèquent dangereusement la paix du monde. Cela se passe de commentaire du fait du volet « insertion » de chacun à la chose économique du monde que Re Dé Ma Re (SA) instaure.

Aujourd’hui, plusieurs instruments sont créés pour investir et financer à titre d’aides au développement les populations démunies.

Il suffira simplement d’amener Re Dé Ma Re (SA) à l’existence, en lui donnant une vraie place au cœur du monde des affaires, lui concédant une puissance de prestation de qualité, avec l’orientation des fonds de ses institutions au service de l’insertion de ces populations démunies dans le créneau. Il s’agit des fonds tels que ceux des coopérations de toutes sortes, des fonds des grands financiers du monde issus de l’annulation des dettes faite par le FMI, la Banque Mondiale et autres, des fonds des Etats (pour la prise en charge en vue du développement de leur population), des Nations Unies, Etats-Unis d’Amérique, de l’Union Européenne, des Etats arabes, Chinois, Russes, Japonais, etc. … Pour l’aide au développement et la coopération, les fonds créés pour lutter contre les immigrations illégales, la prise en charge des sinistrés, déshérités, et handicapés, les fonds créés pour contrer la faim, l’analphabétisation, les exactions de tout bord faites aux Droits Humains en général, Droits des enfants, des femmes, des fonds créés ça et là pour l’éradication des maladies de toutes sortes et de la pauvreté, des fonds créés pour la protection de l’environnement etc. tous ces fonds pourront être vus à la hausse, de façon à pouvoir être investis sous la forme d’insertion de ces populations dans Re Dé Ma Re (SA) et, la réalisation des dispositifs pour lesquels ils sont créés, lui sera confiée de façon à amener progressivement, toute cette masse à son autonomie financière pour un développement durable et harmonieux pour tous. Et à défaut pourquoi pas, un fonds mondial créé pour Re Dé Ma Re (SA) ?

Re Dé Ma Re (SA) Partenaire Apolitique du Monde pour le Développement Harmonieux, Fort, Durable et Général

La mondialisation ouvre une porte à la problématique de développement qui ne saura être l’apanage d’aucun système quelconque de gouvernement. Les quelques éléments fondamentaux démontrés çà et là comme constituant la base de tout développement prouvent la proximité de la société civile aux solutions que tout autre. C’est à cet effet qu’il vaudrait mieux à nos organisations de tous genres de privilégier cette piste en vue du développement harmonieux et général. Il suffira seulement de jouer sur les éléments : productivité, consommation, protection de marché par et pour cette société, pour comprendre qu’en fait, le développement n’a pas besoin de ces mille et un protocoles et diplomates. C’est plutôt une affaire de savants, d’inventeurs, de découvreurs, d’innovateurs, de concepteurs, créateurs, d’experts, de technocrates, d’ouvriers qualifiés, ouvriers, de manœuvres bref, de toute la force de productivité confondue au service d’une demande de consommation humaine.

Si le partenariat est le terme qui signifie la mise ensemble pour plus d’efficacité face à ces problématiques du développement général, il vaudrait mieux aller droit au but en le conférant dans tous ses aspects à cette société civile. Face à cette responsabilité et mise au courant de la place qu’occupe désormais chaque être humain dans le processus de ce développement, la société civile se constituera en une Société Anonyme d’opérations économiques par excellence et par le truchement d’un partenariat attrayant à tout point de vue finira par libérer le monde de tous ses jougs. Réseau pour le Développement de la Masse sans Ressource, Re Dé Ma Re (SA) finira par développer ce monde sans pour autant le gouverner. Il fera le partenariat apolitique du monde pour le développement harmonieux, fort, durable et général qui lorsqu’il sera compris et accepté de tous, deviendra tout simplement le « PARTENARIAT MONDIAL POUR LE DEVELOPPEMENT » (PM)

Re Dé Ma Re (SA) : une propriété Intellectuelle, un Droit inaliénable

Le système Re Dé Ma Re (SA) est un e innovation, une invention, une création qui vise avant tout le profit et qui avorte tout bénévolat ou gratuité. Par ce principe donc des droits pécuniaires sont réservés à sa propriété intellectuelle, pour toutes adhésions et toutes exécutions quelles soient partielles ou totales de ce programme de développement sous une quelconque dénomination que ce soit et où qu’il sera implanté dans notre village planétaire. Cependant où qu’elle soit implantée la société Re Dé Ma Re (SA) sera une et indivisible dans le profit comme dans les objectifs, étant dit qu’elle ne vise que le développement à la dimension planétaire. Par conséquent son émiettement ou son appropriation par quelque individu ou groupe d’individus que ce soit ne sera qu’une corruption du système, simplement réparable par son rattachement à la société mère où qu’elle soit implantée et quelle que soit la distance. Car aucune distance ne pourra empêcher une mise ensemble d’opérations économiques à ce troisième millénaire.

FIN

Certificat d’Identité Re De Ma Re (SA)

N° 000000000000

Raison sociale :
Présenté par :
PRENOMS :
Profession actuelle :
Formation :
Nationalité :
Né (e) le :
à :
Sexe : Masculin Féminin
Fils / fille de :
Et de :
Situation Matrimoniale
Célibataire
Marié (e) père de :
mère de :

ADRESSES :

Domicile :
Boîte Postale :
Téléphone :
Portable :
E-mail :
N° de compte bancaire :

Signature et cachet Empreinte pouce gauche

Cachet et signature Re Dé Ma Re (SA) Nom, Prénoms signature et
N° de Badge Distributeur

Date d’achat
« Enrichir les autre pour mieux s’enrichir »
« Allez chercher le pauvre pour l’enrichir devient une opération très lucrative »
« Vendre à l’homme tout ce qui contribue à son bien-être social, c’est lui vendre d’abord tout ce dont a besoin sa productivité pour se mettre en valeur »
Car en réalité, cette masse n’est pas pauvre, parce qu’il n’y a rien pour l’enrichir ! mais c’est plutôt, parce que justement, l’on ne crée ni ne favorise en son sein le pouvoir de consommer véritablement ce que l’on pourra produire mieux davantage.
C’est dans cette logique que ce livret amène les hommes à découvrir une Société Anonyme d’économie populaire mixte dans laquelle ils sont appelés par ‘‘l’identité’’ à faire partie des dirigeants. Ils y trouveront sur leur route de dirigeant de cette nation économique, la présentation des choses qui font l’empêchement harmonieux fort et durable de notre humanité.

https://docs.google.com/leaf?id=1SPkmf88VGK1VuBCC-ICvVxhUCXghoebcuCC2g5vUC36kb2TWkQu8LBjBlwtI&hl=fr

Du Bon

Usage

De la

Monnaie

Décembre 2008 © Editions

MERPUB
Résumé

L’homme contraint à l’échange et ses activités représentent les principales molécules du marché, un ensemble d’agrégats à savoir l’investissement, la production, la transformation, la distribution et la consommation fondus dans deux grandes opérations : offre et demande dont le langage principal est la monnaie. C’est dans ce rôle de langage que cette dernière (la monnaie), à l’ère actuelle où tout langage peut être transmis à l’outil révolutionnaire informatique, où de nouvelles opportunités s’offrent à la donne marchande, confrontée à la précarité née du mauvais usage de la monnaie dans sa quête du bien ou du mieux-être, soit se saisir de l’aubaine en vue de la poursuite de sa perpétuelle évolution. Ceci requiert une rationnelle disposition et une solidarité des agrégats susmentionnés, qui incluent toute personne physique ou morale, sous la forme de l’ESMC dont le MCNP illustre ici une des pistes.

Introduction

La simplification des échanges par un bien ayant une valeur d’usage universel, facile à transporter et à conserver que représente la monnaie est un usage essentiel à maintenir coûte que coûte pour tout le bienfait qu’il apporte face à la lourdeur jadis imposée par le vieux système de troc à notre économie marchande.

Il faudrait cependant s’interroger, précarité oblige, sur le double aspect positif et négatif que la monnaie dans son usage actuel impose à notre économie pour se demander si cet usage doit être une finalité ou une transition en ce qui concerne les échanges dans ce monde en perpétuelle évolution.

Ainsi, ce n’est pas de la monnaie qu’il va s’agir dans notre analyse mais bien de son usage bon ou mauvais sur notre marché. En effet la monnaie est une chose et son usage sur un marché en est une autre. C’est l’usage bon ou mauvais de la monnaie sur un marché qui détermine la stabilité, l’équilibre, la croissance exponentielle de celui –ci et ceci de façon pérenne ou bien l’exclusion, la précarité des éléments essentiels de ce marché que sont ses molécules principales : l’être humain , ses activités et ses biens.

Le bon et le mauvais usage de la monnaie

Le bon usage de la monnaie signifie un marché serein, crédible, confiant, sûr optimiste, sécurisant, la permission à l’anticipation, ma flexibilité donc le crédit sous toutes ses formes positives. Dans le mauvais usage par contre nous entendons la méfiance, le scepticisme, la thésaurisation, l’épargne, l’égoïsme, la singularisation, la rigidité, d’où l’absence du crédit ou à la rigueur un crédit sous toutes ses formes néfastes, dures, réservées, précaires entraînant l’obligation du « argent comptant » ou même du prépayé, un écran réfractaire qui empêche l’expression productive pénalisant ainsi les transactions marchandes.

Dans ces deux usages nous débouchons sur deux réalités fondamentales à savoir le marché à la monnaie virtuelle c’est-à-dire celui de la permission à l’anticipation (le crédit) qui dans notre analyse est appelé le bon usage de la monnaie.

Le crédit, un pourvoir d’achat donc une monnaie

La loi du marché qui se définit par gain et profit différents d’aide, d’assassinat, de don, de gratuité ou du bénévolat, marche sur des roulettes : pouvoir d’achat donne pouvoir de vente qui donne pouvoir d’achat. Cela suppose que le premier pouvoir d’achat, s’il doit être par la monnaie espèce doit provenir d’une vente préalable de produit, service ou emploi ou alors d’un prêt c’est-à-dire du crédit. Dans tous les cas, dans la logique marchande, le circuit commence par le crédit en dehors d’échanger un acquis pour la monnaie espèce en vue de disposer de quoi vendre pour d’autres pouvoirs d’achat.

Donc le crédit, l’anticipation à la consommation n’est qu’une monnaie, produit de : caution, garantie, confiance par rapport au gain à venir. Ceci étant, tout marché devrait se soucier avant tout de cette monnaie virtuelle qui est un produit existant et connu de tous.

C’est pourquoi pour rectifier le mal tangible capitaliste de l’usage actuel de la monnaie espèce, il faut transformer le marché en un marché de la monnaie virtuelle formalisé par un système pérenne autorégulateur et ré distributeur automatique pour le mettre à la disposition du grand public sans exclusion en vue de la circulation monétaire normale.

Le marché, l’investissement et la création de richesse

Le marché c’est l’investissement, c’est le créateur de richesse par l’offre et la demande. Dans la mesure où l’offre signifie avoir quelque chose à vendre donc avoir investi pour répondre à une demande génératrice de revenu,demande qui à son tour n’est aussi après tout qu’un investissement dans la mesure où l’offre a été acquise pour une cause. Nous pouvons alors admettre sans contestation que la création de richesse objet du marché est l’œuvre essentielle de l’investissement. C’est aussi vrai que c’est l’investissement qui donne la production, la transformation, la distribution et donc la consommation que nous venons d’assimiler à l’investissement. Encore une fois l’investissement est la création de toute richesse sur le marché et la richesse créée, crée à son tour le pouvoir de vente et d’achat.

C’est pourquoi dans la société humaine marchande, être riche c’est appartenir à l’investissement et être pauvre c’est en être exclu. Donc il faudrait l’investissement pour tous en vue de la richesse pour tous, élément indispensable pour un marché sûr.

L’investissement sous-entend deux réalités : avoir de quoi investir et avoir dans quoi investir ! Connectée donc à l’investissement tel que défini ci-dessus, toute personne physique ou morale devient potentiellement riche. Ainsi l’autorisation à la consommation anticipée de ces richesses, en nature, pourra être applicable pour stimuler la consommation en vue d’assurer la production, transformation et distribution. L’offre étant essentiellement : produit et / ou service, la consommation anticipée ou à crédit en nature une fois formalisée devient de facto la demande attendue dès lors que le remboursement est cautionné et garanti grâce à la formalisation.

Dans quoi investir ?

La rentabilité de l’investissement : réponse de la demande à l’offre.

Première condition à remplir pour la rentabilité de l’investissement, ‘‘dans quoi investir’’ consiste à la mise sur pied d’un mécanisme marchand qui recherche et assure la demande pour l’offre de chacun.

Un mécanisme naturel que le mauvais usage de la monnaie a enlevé à notre marché y laissant en contre partie, le hasard, le risque, la méfiance, le scepticisme, la thésaurisation, l’épargne, la mise de côté… En effet dans le vieux système du troc il y a échange équitable ; car l’on obtient toujours en contrepartie de sa vente la vente de l’autre. Un équilibre qui assurait à chaque acteur à la fois offreurs et demandeurs du marché, sérénité, confiance, assurance dans l’échange mutuel pour le bien de l’investissement dont le produit aura échappé au péril ou à l’effet de pourrissement. Aujourd’hui, malheureusement, chacun avec sa monnaie espèce choisit sans contrepartie d’achat son vendeur alors qu’il en est un lui-même. C’est là que la règle jadis du marché devient un jeu du hasard. En d’autres termes, toute personne qui vend est avant tout un acheteur tout comme tout acheteur est un vendeur !

La contrepartie devrait se faire automatiquement si la demande et l’offre des uns et des autres coïncidaient. Mais à défaut, il faudrait pour le bon usage de la monnaie, trouver un terrain de solidarité marchande pour assurer à chacun la vente de sa marchandise par le fait qu’il achète aux autres des leurs ! Trouver ce terrain d’entente pour la solidarité marchande, c’est régler de façon absolue, à la fois le problème de l’équité marchande qui voudrait que le marché, producteur de richesse appartienne à tous et le problème de la mévente qui pénalise l’investissement. Ainsi la règle du marché « je n’achète que chez celui qui achète chez moi » devient le produit idéal du bon usage de la monnaie ; un marché d’acheteurs pour échanger l’achat des vendeurs.

Mettre sur pied ce mécanisme marchand pour les uns et les autres revient à constituer un grand marché de demande aux dimensions jusqu’ici inexplorées ! Car acheteurs et vendeurs y deviendront tous de fidèles demandeurs. Le meilleur acheteur à plus forte raison étant le meilleur vendeur, il s’en suit un monopole le plus naturel possible d’un ensemble de toutes les demandes des deux acteurs du marché mis ensemble qu’il faudra échanger désormais contre les achats des acteurs du marché extérieur. L’investissement de ce monopole devient alors l’investissement le plus sûr, le plus fructueux du bon usage de la monnaie au service du financement aujourd’hui précaire. C’est ce monopole que nous avons appelé l’Economie Sociale de Marché Commun (ESMC) dans le but absolu de mettre à la disposition de toute personne physique ou morale, ‘‘dans quoi investir’’ pour le bon usage de sa monnaie.

Un monopole qui féconde des oligopoles pour absorber l’oligopsone

Devenu l’endroit le plus serein, le plus sûr, confiant, crédible, sécurisant parce que la demande attend l’offre, toute personne physique ou morale pour tout investissement utilisera ce monopole pour des revenus sûrs. Plus question de porter des petits plateaux, d’ériger des petites tables, des petites cabines et de petits cabinets des petits coins de vente de toutes sortes de produits et services. Tout cet oligopsone cédera place aux grands centres commerciaux devenus des oligopoles, lieux de prédilection pour le financement dans le cadre du bon usage de la monnaie (le crédit). Encore faudra-t-il, pour toute personne physique ou morale demandeuse de crédit auprès des financiers, appartenir au monopole pour sa crédibilité.

Lorsque la crédibilité en vu du financement et son investissement se résument à son appartenance au monopole, il s’agira tout simplement pour le commun des mortels et toute personne morale opératrice économique ou non d’obtenir du monopole son identité qui lui confère caution et garantie pour tout crédit auprès de tout acteur du marché (institution financière pour le cas de l’espèce, distributeurs de produits et services pour les autres)

Le crédit lui servira à l’investissement dans le monopole en vue de sa connexion aux richesses créées par le marché désormais organisé.

L’informatique, le canevas idéal

Demeurant dans cette logique du bon usage de la monnaie, nous réalisons que la formalisation pour la caution et garantie en du crédit permettant l’investissement de chacun dont il est question plus haut se résume à l’identité économique. Et grâce au génie de l’informatique nous pourrons valablement trouver à cette identité un canevas qui pourra faire d’elle une seconde expression monétaire concomitante à la monnaie espèce qui ne saurait être une finalité en soi avec sa précarité mais le meilleur tremplin pour l’économie marchande désormais libérée de tous les jougs du mauvais usage de la monnaie au service de l’Homme et ses activités.

De quoi investir !

Etant entendu que la monnaie espèce est l’expression qu’utilise le marché, monnaie définie par l’investissement ou du moins l’avoir à investir, son bon usage signifie : simplifier ses transactions pour en faire le réel soubassement de la productivité dont a besoin le marché.

Le financement de la monnaie espèce étant essentiellement un marché de crédit, il traduit clairement notre souci d’avoir pour lui un marché (de produits et services) crédible qui sécurise tout crédit ou prêt et assure la rentabilité de tout investissement en vue du remboursement, un mécanisme qui servira l’économie marchande pour tous et pour toujours. En effet lorsque les conditions sont créées pour créer de la richesse par l’investissement, le financement s’y intéresse. Reste donc encore une fois au marché une formation absolue, respectant tous les contours d’infaillibilité marchande pour voir définitivement le rôle positif exclusif de la monnaie.

Avoir de quoi investir se résume alors aux pratiques marchandes qui favorisent la consommation par anticipation de la monnaie espèce (à crédit ou prêt), un mécanisme qui permet au commun des mortels d’y obtenir de quoi investir en vue de sa productivité objet des échanges (une façon d’obtenir du réel à partir du virtuel).

L’économie Sociale de Marché Commun et le Capital Minimal d’Investissement pour tous (CMIT)

Différente de tous les marchés communs connus à nos jours, l’ESMC est un marché qui regroupe le capital espèce et le capital produits et services de tous les acteurs membres personnes physiques ou morales pour en faire en amont son capital commun dans le but d’interposer les transactions marchandes à l’interne comme à l’externe.

Nous pouvons rappeler à ce niveau une chose très importante : l’appartenance à l’ESMC qui donne identité, caution et garantie devient une monnaie virtuelle et un centre d’affaire à toute personne physique ou morale auprès des financiers pour obtenir, de quoi y investir. Car le crédit, le prêt ou le financement en monnaie espèce n’a de monnaie que la bonne affaire, l’identité, la caution et la garantie (donc monnaie virtuelle). Il restera à l’ESMC de définir avec ses partenaires financiers, la valeur de base de la monnaie espèce admise que pourra obtenir chaque personne identifiée selon qu’elle soit morale ou physique dans le souci de l’équité ou l’égalité des chances.

Ce capital est qualifié de Capital Minimal d’Investissement pur Tous (CMIT). Il sera un capital requis identique pour tous sans distinction (sauf en cas de refus volontaire) obtenu auprès des financiers grâce à l’identité ESMC au-delà duquel l’on pourra valablement émettre ses avoirs propres étant entendu qu’en matière de propriété, les Hommes ne seront jamais égaux. Cependant la notion de pauvreté cédera désormais place à celle de moins riches par rapport aux plus riches.

MCNP : implications de l’ESMC

Centre d’affaire pour le crédit ou la monnaie virtuelle ou encore l’identité économique nation providentielle acquise, l’ESMC conduit à une autre réalité bénéfique : la possibilité de son usage en tant que moyen d’échange sans intervention de l’espèce. En effet l’identifié ayant reçu caution et garantie obtiendra une anticipation de consommation de ses revenus, le prorata de sa mise étant connu. Cet élément conduit aussi à d’autres réalités que sont : d’abord la pérennité de l’investissement puisqu’il n’est consommé que les revenus de celui-ci, ensuite le double usage en tant que capital espèce avec l’externe, pendant qu’il détermine le pouvoir d’achat anticipé entre les identifiés. Entre ces derniers du coup, il s’instaure un mécanisme nouveau qui est un marché de la monnaie virtuelle ou Marché du crédit en nature pérenne (MCNP).

Cette monnaie virtuelle est l’expression la plus franche de la circulation monétaire au service de toute création de richesse et d’emploi.
Ainsi donc chacun est identifié par rapport à son appartenance au monopole (ESMC) pour son pouvoir d’achat requis du premier capital espèce pour sa part d’investissement sur le fonds commun du marché. Celui-ci lui génère des revenus au prorata de sa mise de façon pérenne. Ce fait va également engendrer une succession d’anticipation dans la demande sur ce marché de produits et services en prélude à ses revenus assurés. D’où la naissance de la confiance marchande absolus : « J’accorde le crédit en nature à celui qui est avec moi, car je connais d’avance ses revenus grâce à son appartenance à l’ESMC et suis confiant de son remboursement automatisé. »

Le Marché de Crédit en Nature Pérenne (MCNP) et l’usage des deux faces de la monnaie.

Economie sociale de marché commun, une solidarité légitimée par son caractère universel et adéquat au langage harmonieux dont a besoin toute économie pour ses bienfaits au service de l’être sociale qu’est l’Homme, le Marché de Crédit en Nature Pérenne (MCNP) regroupe les acteurs physiques et moraux opérateurs et non opérateurs économiques dans ses cinq agrégats que sont l’investissement, la production, la transformation, la distribution et la consommation de biens et services) dont nul au requise pour tourner l’aiguille marchande dans son sens normal à l’opposé du marché actuel. Car comme il a été bien démontré plus haut, tout le monde est consommateur avant de produire, transformer, distribuer ou investir, actes qui ont tous pour objectif la vente (l’offre) dont la consommation anticipée requise devient l’achat (la demande).

Les deux actes, vente et achat, utiliseront sur le marché commun désormais comme support d’expression et d’intermédiation les deux faces de la monnaie que sont : la face espèce à l’externe et la face virtuelle à l’interne.

Cependant la virtuelle sera conditionnée par la mise en commun de l’espèce dont elle tire toute substance. Ce capital commun, fonds de fonctionnement est le troisième élément complémentaire pour chapeauter et conditionner la pérennité du pouvoir d’achat requis du marché.

On aura ainsi le monopole triangulaire participatif, inclusif, constitué de ses trois piliers que sont : l’investissement commun en espèce, l’achat commun de biens et services en espèce, la vente commune de produits et services pour l’espèce.

Un couvert ouvert sur l’externe qui animera désormais le marché de crédit en nature de façon pérenne.

Le fonctionnement pour la pérennité du pouvoir d’achat requis dans le triangle

L’achat en espèce du triangle sort le fonds commun en espèce. La vente pour l’espèce le ramènera suivi de bénéfice. Le pouvoir d’achat requis qui représente ce bénéfice trouve par ce fait la pérennité et sa croissance exponentielle par le mécanisme de remboursement automatique, étant donné que des rétentions l’autonomie de chaque investisseur par rapport envers l’externe. A l’autonomie donc commence l’accroissement du capital de façon ‘exponentielle entraînant de facto un niveau supérieur du pouvoir d’achat d’une part et sa croissance exponentielle de l’autre.

Le schéma est le suivant : 1
2 12
Dépenses 3 11Recettes 4 4 10 10

6 7 8 9

BIC = Bénéfice sur Investissement Commun
BPS = Bénéfice sur Prestation et Salaire
CONSO PERSO CN = Consommation à crédit en nature (Pouvoir d’achat anticipé)
DISTRIBUTION PREFINANCEE = Marché informatisé préalablement approvisionné de produits et services par les acteurs de distribution.
CNPROD = Crédit en Nature Producteur
CN TRANS = Crédit en Nature Transformateur

Commentaire

1°) Première étape pour l’appartenance au marché commun
2°) Compte bancaire cautionné et garanti pour le remboursement du crédit d’investissement sur le fonds commun canevas pour l’investissement direct des avoirs propres fongibles

1, 2,12 : L’identification et le partenariat bancaire apportent à toute personne physique ou morale, caution, garantie et sûreté de remboursement, donc monnaie virtuelle pour accéder à la monnaie en vue de sa part de fonds sur le fonds communs du marché commun.

3, 4, 10, 12 : Monopole commun de fonds et d’entrepôts pour le maintien de la pérennité du pouvoir d’achat fruit du bénéfice de chacun des investisseurs selon sa mise.

5, 6, 7, 8, 9 : Zone chapeauté permettant le marché de la monnaie virtuelle dite Marché du Crédit en Nature Pérenne (MCNP).

4, 7, 8 : Réapprovisionnement du marché pré financé

5, 6, 9 : Consommation à crédit en nature

10 : Collecte en nature de produits et services dus au fonds commun (BIC, redevance des financements en nature) ou devant sortir pour le marché de l’espèce.

L’anticipation du pouvoir d’achat CN, FN

Sous le couvert de ce chapeautage le marché pourra valablement procéder à la consommation anticipée des pouvoirs d’achat CN ainsi qu’au financement en nature FN à volonté sans complexe, sans réserve, sans épargne ni thésaurisation au grand bonheur de l’autosuffisance d’emploi et de création de richesse aux acteurs du marché commun.

Ce financement FN accordé aux producteurs, transformateurs, distributeurs ainsi que les salaires et bénéfices anticipés CN sont destinés à répondre à l’offre du marché préalablement approvisionné par les acteurs distributeurs de produits et services. Le réapprovisionnement des produits pré financés par ces acteurs, produits livrés à la consommation anticipée est la demande attendue par l’entrepôt de vente commune pour fructifier le capital de l’investissement commun à l’interne.

La consommation anticipée et la stimulation

Dans tous les cas le pouvoir d’achat est une chose et sa consommation en est une autre. Car l’on pourra disposer de pouvoir d’achat sans pour autant être consommateur. Or ce dont le marché a besoin pour le circuit normal conduisant à sa prospérité, c’est le pouvoir d’achat consommé. Le non consommé pendant ce temps ne l’intéresse pas. La consommation anticipée est ici le pouvoir d’achat consommé. Puisque la consommation est l’investissement créateur de toute richesse sur le marché et vu que nous en faisons l’élément servant à tourner désormais l’aiguille marchande dans sons sens normal, il en ressort que l’anticipation ou le crédit devient son élément stimulateur. D’où la formule marchande dite formule MCNP suivante :

« Le crédit stimule la consommation
La consommation stimule la distribution
La distribution stimule la production et / ou la transformation.
La production et transformation stimulent l’investissement
L’investissement stimule la création de richesse et d’emploi
La création de richesse et d’emploi stimule le pouvoir d’achat
Et le pouvoir d’achat stimule le remboursement pour de nouveaux crédits. »

La péremption, pression indéniable contre l’accumulation d’un pouvoir d’achat renouvelable, thésaurisation zéro épargne zéro.

Le pouvoir d’achat qui ne serait pas consommé dans la logique de cette formule MCNP n’aura pas de fonction et donc sera périmé, aboli, annulé, d’où thésaurisation zéro et épargne zéro. Toute richesse créée par le marché pour la pérennité de la création de nouvelles richesses doit être consommée. Car rien ne serre de retenir le pouvoir d’achat attendu de chaque acteur pour le bon fonctionnement du marché commun.

Cependant le facteur péremptoire de tout pouvoir d’achat impliquant une périodicité autorise sa consommation à court, moyen et long terme d’où l’autorisation dans l’anticipation, à la consommation anticipée par engagement.
Eu égard à tout ce qui précède et dans le but d’accomplir la parfaite fluidité de la circulation monétaire recherchée en vain sur le marché actuel, toute personne physique ou morale du marché commun pourra, compte tenu de ses revenus, les consommer de façon anticipée à court, moyen et long terme sous la pression de la péremption.

Les effets de la virtualité sur l’espèce.

L’anticipation de la consommation sur le marché commun étant devenu un pouvoir d’achat réel permettra à tout détenteur d’identité économique de ne plus user de sa monnaie en espèce mais de la porter sur le fonds commun pour accroître son pouvoir d’achat (bénéfice sur investissement commun). Cette identité économique devenue la monnaie virtuelle retournera toute l’espèce en circulation sur le fonds commun pour son double usage : l’un en virtuel (le bénéfice anticipé) et l’autre en espèce (investissement).

La robustesse de l’espèce est créée indéniablement pour toutes les conséquences positives que cela revêt en matière de compétitivité sur les marchés. Et tout comme une porte ouverte à une extraordinaire fidélisation de la clientèle, tout achat en espèce du membre client devra passer par un achat de CN (unité de crédit en nature) un procédé de renfort de son capital investi qui déclenche un renouvellement périodique du montant à crédit en nature (CN) correspondant au débours de façon pérenne.

Il se produit de facto un miracle absolu qui avorte à jamais la dépense de sa monnaie espèce au profit de son investissement en vue plutôt de la dépense du bénéfice qu’elle génère de façon pérenne. C’est une panacée (au vrai sens du mot) contre la mévente, la vie chère, le chômage, le sous-emploi de la main d’œuvre, l’expansion du secteur informel, le manque de nation providence, la précarité, le manque ou la faiblesse du pouvoir d’achat, l’enchérissement et l’inflation néfaste … puisque le marché commun est stabilisé par la monnaie virtuelle qui n’est qu’un mécanisme auto ajusteur géré par la loi naturelle de l’offre et de la demande de l’économie marchande dans son aspect économie de marché sans la main d’un quelconque dictat.

Une situation marchande qui provoque une expansion économique rapide et un plein emploi de la main d’œuvre dans un jeu démocratique libéral, déconcerté, décentralisé dont l’autorité est chaque personne physique ou morale face à la gestion de la quantité de biens et services (pouvoir d’achat) qu’elle peut acquérir grâce à ces revenus sur le marché où quelque soit le coût, elle retrouvera son implication sous la forme de bénéfice régénéré sur sa part du bénéfice au prorata de sa mise sur le capital commun.

Un marché d’acheteurs pour échanger l’achat des vendeurs (Achat commun)

Les factures de consommation des acheteurs du marché commun se regroupent pour la sortie de l’espèce vers les fournisseurs du marché d’espèce. En échange, à titre d’anticipation, un pouvoir d’achat est proposé à ces derniers sur le marché commun devenu très puissant et compétitif. Ce mécanisme permet de sortir de moins en moins l’espèce qui de plus en plus deviendra robuste. C’est ainsi que les partenaires consommateurs des infrastructures (Etats et leurs institutions marchandes surtout) qui fournissent produits et services ou qui attendent redevances et taxes etc. de la part du marché commun, y gagneront énormément dans la loi du partenariat gagnant-gagnant ou du commerce rationnel dont le mot d’ordre est : je t’alimente de mon pouvoir d’achat, tu dois m’alimenter du tien pour un co-développement durable.

Le financement en nature FN et la vente commune

Le financement en nature l’une des ventes à l’interne est le procédé par lequel tout opérateur économique membre du marché obtient produits et services à crédit dans le but d’accroître ses capacités pour tout niveau de développement possible.

Le bénéfice fait sur les capitaux communs en espèce comme en nature étant, surtout en nature, constituent des biens et services à vendre pour l’espèce. Ces produits et services s’augmentent tant que le financement en nature augmente. Cette disponibilité en biens d’exportations, de même que l’interposition des échanges en nature avec les fournisseurs représentent la vente commune. Si l’interposition fait la rétention de l’espèce, la vente pour l’espèce, elle, la ramène et l’augmente pendant que sa sortie devient de plus en plus réfractaire au fur et à mesure que l’autonomie et l’autosuffisance s’acquièrent.

La robustesse des capitaux et l’extension du marché communaux grands marchés mondiaux.

Au fur et à mesure que ces capitaux se regroupent et au fur et à mesure que la robustesse s’affirme de façon exponentielle, le marché commun acquiert la performance, intensifie sa production en biens et services capables de s’imposer de façon concurrentielle. Dès lors commence la conquête des grands marchés de construction d’infrastructures technologiques, agricoles, miniers, énergétiques, communicationnels, manufacturiers, de transport, bref la grande politique industrielle au profit de la base pour la mise à niveau générale.
L’économie sociale de marché commun et son porte–monnaie virtuelle informatique

Le pouvoir d’achat du marché commun sera de trois sortes :

• Le premier, bénéfice et salaire (bénéfice pérenne issu du fonds commun, le bénéfice des acteurs marchands et les salaires des employés) ;
• Le deuxième, le réapprovisionnement des marchands par rapport aux marchandises pré financées,
• Le troisième, le financement en nature accordé aux promoteurs marchands (producteurs, transformateurs, distributeurs).

Ces trois sortes de pouvoir d’achat sont portées par le logiciel du marché commun. Un support permettant d’identifier le porteur et le type de pouvoir est édité et attribué à chacun.

Le montant de chaque porteur n’est identifié que par le marché commun, grâce à l’identité comme une carte de compte bancaire qui identifie le porteur par rapport à son avoir.

Telles sont les caractéristiques du porte- monnaie virtuel du marché commun. Il n’y a donc qu’un simple support d’identité économique que portent les acteurs du marché commun, pour, exécuter les échanges compte tenu de la valeur portée par le logiciel du marché.

Le porte-monnaie espèce du marché commun.

Ici le porte-monnaie n’est plus individuel. Son usage par une seule personne qu’est le marché pourra le transformer en une unique carte comme les porte-monnaie ordinaires émis par les banques. Le capital commun entier du marché peut donc se réduire en porte-monnaie unique pour toutes ses transactions, une révolution à saisir absolument par les banques centrales pour tous les bienfaits que cela revêt s’agissant de la précarité et du coût tangible de même la multiplicité des porte-monnaie électroniques bancaires à chacun, (s’ils devraient utiliser en lieu et place de l’espèce n’aura atteint !
Tout ce qui précède est d’intérêt majeur économique en général, monétaire et financier en particulier. Aussi s’avère-t-il indispensable de trouver en cette vision un intérêt scientifique avéré pour notre économique en pleine impasse devant ces multiples crises, en quête de refonte systémique dont le mal reste le mauvais usage actuel de la monnaie.

Le marché de crédit en nature pérenne (MCNP) et la population de la base

Plutôt que l’émiettement, le libéralisme, aujourd’hui un acquis, requiert de grands regroupements. La privatisation en saisit l’occasion pour se constituer de grandes oasis multinationales. Contrairement aux autres multinationales, l’économie sociale de marché commun draine tout sur son parcours, car elle ne fera que rechercher de plus en plus de personnes physiques ou morales à identifier pour leur enrôlement en tant qu’acteurs principaux de la constellation marchande hors de tout bénévolat, tout assassinat et de toute gratuité. Elle pourra valablement aujourd’hui se constituer société anonyme populaire d’intermédiation des affaires du marché commun ou des groupements d’intérêt économique (GIE) déconcentrés, décentralisés.

Ces marchés communs s’implanteront un peu partout dans les sous- régions comme des toiles d’araignées en extension vers une toile unique. Ces multitudes de toiles se poseront chacune sur trois piliers principaux :
– un centre d’identification,
– un partenariat bancaire ou un fonds solidaire d’insertion marchande pour le compte CMIT, capital minimal d’investissement pour tous
– enfin le marché informatisé, aires de marché que relie un service d’approvisionnement aux entrepôts de biens et services d’exportations et d’importation.

Par ce fait l’absorption du secteur informel est déclenchée à grande échelle, de même que la professionnalisation et la spécialisation de toutes nos filières marchandes. Désormais capables d’acheter les services de bureaux d’étude performants, l’expertise et prestation des cabinets performants, les infrastructures d’exploitation adaptées aux nouvelles technologies pour la qualité, les normes et l’intensification, nos filières deviendront de géantes entreprises et industries compétitives au service du mieux-être et de la qualité de vie de chaque personne physique et morale à tous les niveaux.

Entraînée dans la mêlée économique, la masse devient une très grande valeur ajoutée pour nos Etats dans leur volonté et effort e modernisation. Désormais la politique des grands travaux et tout ambitieux investissement se résumeront en enrichissement populaire sans exclusion. Ce résultat, s’il est obtenu, c’est grâce au bon usage de la monnaie et rien d’autre ! Car lorsque ces grands travaux seront lancés, ils seront à la merci du marché commun qui y vendra ses services, produits, emplois grâce aux financements en monnaie virtuelle ou financement en nature. Ces financements feront réserver les capitaux espèces de ces marchés exécutés sur le fonds commun pour d’autres plus grands financements en nature.
La compétitivité désormais acquise grâce à cette mise ensemble, ces marchés communs vont progressivement regrouper leur monnaie espèce jadis thésaurisée, épargnée ou en circulation au profit de sa collecte, comme cela se voit non pas parce qu’on en aura plus besoin mais au contraire !

En outre orientée vers des utilisations essentiellement transactionnelles externes par nos oligopoles, donc de moins en moins individuelle, et la recherche de plus en plus de simplification du moins du point de vue réduction de la taille, la monnaie espèce cherchera des supports uniques dans ses transactions. Un effet qui pourra être d’un intérêt majeur pour les banques centrales. Celles-ci renforceront certainement leurs capacités par cette innovation qui leur abrite contre leurs lourdes charges et les risques que leur imposent leurs pratiques actuelles.

Le marché informatisé, une utopie ?

Un logiciel à plusieurs modules hébergé par un serveur central bien maîtrisé qui relie par le marché par une connexion réseau inter ou intranet dont les interfaces des utilisateurs marchands les transactions des identifiés, et le tour est joué ! Les aires de ces marchés se positionnent au cœur des quartiers, spécialisés ou regroupant des spécialistes marchandes selon les types d’utilisateurs des interfaces.

Les banques de la monnaie virtuelle ou services du CN sont reliées aux entrepôts de produits et services des grands marchés ordinaires de la place ainsi que des entrepôts propres au marché commun. Avec un bon service d’approvisionnement pour servir nos aires de marché qui utiliseront chacun son interface du logiciel de la monnaie virtuelle.

En réalité tout existe déjà : le marché et le crédit en nature (produits et services) sauf leur informatisation et organisation formelle en un marché commun du bon usage de la monnaie. Chacun rompu à sa spécialité, on apprendra rien aux acteurs marchands habitués à se faire des crédits en nature malgré les conditions précaires de l’actuel marché. Dans cette perspective où se trouverait l’utopie ?

L’ESMC, le MCNP et les Institutions Financières

Tout ce que draine cette innovation dénote l’intérêt qu’auront les institutions financières à l’identité nouvelle procure au commun des mortels et à toute personne morale tout ce dont elles jugeront nécessaire pour l’octroi de prêt. Ainsi la loi dite « toute personne physique ou morale un compte bancaire en vue de son insertion au marché commun par le CMIT » apportera à ces institutions une augmentation de la clientèle pour la croissance de leurs produits ordinaires, une porte ouverte sur la maximisation des simplifications des produits jadis trop onéreux pour les banques ainsi que l’innovation des produits suivants la nouvelle donne. Les risques d’insolvabilité ayant été éradiqués, les services de recouvrement seront affectées à d’autres fonctions.

En ce qui concerne le mouvement des capitaux sur les fonds MCNP, comptes bancaires dans les livres de chaque institution partenaire en dénote le caractère hautement anodin.

Quant aux effets de la monnaie virtuelle sur l’espèce octroyée et transférée au compte du marché commun permet à ce dernier de supplanter les institutions qui devraient en souffrir puisque surliquidité signifie pour le MCPN un extrême pouvoir d’achat face aux restes des marchés. La maîtrise du jeu étant déjà connue (la demande provoquée de produits et services tant externe qu’interne), il n’y aura pas de surliquidité mais de réserve excédentaire si jamais elle épuisait ses ambitions et sa gourmandise. Cette gourmandise de la demande concerne aussi bien l’espèce que la monnaie virtuelle dont elle tire subsistance puisque les fonds remboursés trouveront forcément de preneurs tant du côté des anciens que des nouveaux demandeurs, poussées à la conquête du mieux-être, au rythme des transactions de produits et services.

L’ESMC, le MCPN et les Banques Centrales

L’objectif visé par la mise sur pied de ce marché de la monnaie virtuelle est, non pas de suppléer la monnaie actuelle par une autre, mais plutôt d’en faire un bon usage et de surcroît un double usage. C’est une vulgarisation d’un procédé déjà connu par les érudits de la science monétaire qui n’est pas notre spécialité ! Mais en tant que marchands nous vivons à court, moyen et long terme renforcer par le marché de crédit en nature pérenne (MCPN) les capacités monétaires du marché de notre mondialisation en grand danger de même que celle de ces banques centrales. Ces dernières s’enrichiront énormément par la réduction des coûts d’émission, de protection, du risque, de la précarité ainsi que tous les autres avantages que maîtrise mieux l’école monétaire.

Quant aux désavantages il y a matière à les rechercher, un exercice à l’apanage des spécialités financiers, monétaires ou bancaires pour, d’une part, les déceler et de l’autre leur proposer des solutions qui se conforment au bon usage de la monnaie bien sûr ! Car il est plus difficile à la base profane de porter les fardeaux du mauvais usage actuel de la monnaie qu’aux scientifiques au sommet, dotés de toutes les capacités, de porter les fardeaux de recherche de solutions aux désagréments éventuels causés par le bon usage de la monnaie à la base. C’est pourquoi la mondialisation devrait se saisir de ce nouvel outil (MCPN) de l’ESMC pour en faire un bon usage et le répandre rapidement dans ses zones d’implantation actuelle afin de s’imposer au-delà.

En voici quelques pistes :

1. Encourager partout jusqu’aux hameaux la mise sur pied de ces marchés
2. Concourir à la vulgarisation des logiciels de marché informatisé, des manuels de procédure administrative, financière et comptable pour la bonne gouvernance, les normes et qualités de ces marchés.
3. Concourir également à la performance des cadres de la banque de la monnaie virtuelle etc.

Tout cela en s’appuyant bien attendu, sur les bases de données et les termes de référence dont nous disposons désormais par la grâce de Dieu en qui nous portons notre confiance.

Telle est, à notre sens l’ultime démarche typiquement africaine que nous aurons proposé pour amorcer réellement l’émergence en vue de la mise à niveau généralisée tant attendue par la globalisation mondialiste.

Conclusion

En perpétuelle évolution, le monde devenu un gros village planétaire se résume aujourd’hui en un vaste marché.

Aucun de ses problèmes n’est sans être lié à celui-ci. Ceux-ci sont, pour la plupart liés au mauvais usage de la monnaie et le remède reste et ne restera que les modèles du bon usage de la monnaie qui, quelle que soit l’approche, devront prendre en compte :
• Une identité économique transformant toute personne physique ou morale sans distinction de classe, de race, d’origine, de religion en investisseur avortant ainsi le manque à gagner de l’exclusion marchande actuelle.
• Une solidarité marchande pour la réponse à l’offre et la demande de chacun des acteurs marchands pour éviter tout hasard dans l’investissement.
• Un pouvoir d’achat extrêmement accessible n’admettant aucune thésaurisation ni épargne pour une vraie expression des échanges en vue de la production, transformation, distribution, au-delà de celle obtenue jusqu’ici de la monnaie espèce ; le tout aboutissant à la pérennité des capitaux numéraires et en nature qui, de ce fait, deviennent des sources fongibles inépuisables, recyclables, renouvelables, d’où la durabilité d’un développement social paisible, écologique, capable d’harmoniser enrichissement et environnement, car « s’enrichir » sera désormais compatible à « enrichir les autres » version marchande erronée actuelle qui semble dire « tout pour moi, rien pour l’autre » fruit du mauvais usage de la monnaie, comme pour dire « s’enrichir, c’est appauvrir les autres ».
FIN.
TABLES DES MATIERES

Résumé Page 2
Introduction 2
Le bon et le mauvais usage de la monnaie 3
Le crédit, un pouvoir d’achat donc une monnaie 3
Le marché l’investissement et la création de richesse 3
De quoi investir ? 4
Un monopole qui féconde des oligopoles pour absorber l’oligopsone 5
L’informatique, le canevas idéal 6
De quoi investir ? 6
L’économie Sociale de Marché Commun et le Capital Minimal
d’Investissement pour tous CMIT 7
MCPN implications de l’ESMC 7
Le Marché de Crédit en Nature Pérenne (MCPN) et l’usage
des deux faces de la monnaie 8
Le fonctionnement pour la pérennité du pouvoir d’achat
requis dans le triangle 9
Le schéma 9
L’anticipation du pouvoir d’achat 10
La consommation anticipée et la stimulation 11
La péremption, pression indéniable contre l’accumulation d’un pouvoir d’achat renouvelable, thésaurisation zéro épargne zéro 11
Les effets de la virtualité sur l’espèce 12
Un marché d’acheteurs pour échanger des vendeurs (Achat commun) 13
Le financement en nature et la vente commune 13
La robustesse des capitaux et l’extension du marché commun aux grands marchés mondiaux 13
L’économie sociale de marché commun et son porte-monnaie virtuel informatique 14
Le porte-monnaie espèce du marché commun 14
Le marché de crédit en nature pérenne (MCPN) et la population de la base 15
Le marché de crédit informatisé, une utopie ? 16
L’ESMC, le MCPN et les autres institutions Financières 16
Les banques Centrales l’ESMC, le MCPN 17
Conclusion 18
Table des matières 19

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