Parmi les pires maltraitances et tortures morales, psychiques et manipulatrices, ignorer l’enfant, le menacer de l’ignorer ou faire croire que l’autre parent ne s’intéresse plus vraiment à l’enfant par des mensonges, ruptures affectives et conflits de loyauté. 

Selon les psychiatres, notamment le Dr Philip Ney, ces souffrances sont atroces, pires que des souffrances physiques, gifles, coups etc… et laissant des traces psychiques graves pour toute la vie…

Parmi les pires maltraitances et tortures morales, psychiques et manipulatrices, pires que des violences physiques, un seul acte verbal manipulateur ou symbolique non-accidentel d’un parent, d’un proche, d’un tuteur de l’enfant ou de toute autorité, pouvoir, loi, accord, règlement verbalisé ou non peut entraîner des séquelles psychologiques graves et significatives et même psychosomatiques  à l’enfant ou aux enfants. 


La langue ou même certains silences sont redoutables…


Un coup de langue est pire qu’un coup de lance.



Tenons notre langue « en bride » (Jacques. 1 : 26) 
            « La langue est un petit membre », mais quelle influence n’exerce-t-elle pas ? 
« Voyez comme un petit feu peut allumer une grande forêt ! 
Et la langue est un feu. La langue, un monde d’iniquité » 
(Jac. 3 : 5). 
« La mort et la vie sont au pouvoir de la langue » (Prov. 18 : 21). 

           Sachons exprimer la même demande que David : « Mets, ô Éternel ! une garde à ma bouche, veille sur l’entrée de mes lèvres » (Ps. 141 : 3)
Que de souffrances, que de larmes, la médisance n’a-t-elle pas causées ! C’est un des plus puissants moyens dont se sert l’Ennemi de nos âmes pour briser les cœurs, pour diviser des enfants de Dieu, pour ruiner des maisons entières et des assemblées florissantes. Combien, hélas, il est facile à des croyants de tomber dans ce piège ! (Prov. 12 : 13). 
 « Tu n’iras point çà et là médisant parmi ton peuple », lisons-nous en Lévitique 19 (v. 16). 


Lausanne, le 18.11.2014

Madame, Monsieur,

Indignés par l’indifférence du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg, une vingtaine d’amis, voisins et parents d’A. E. et de ses trois enfants se sont libérées ce mardi 18 novembre, jour de semaine et sont venus, pour la plupart de Lausanne et des environs, pour témoigner de l’injustice que subit cette famille. A 11h00, ils ont remis une lettre, signée par 70 personnes en tout, en mains propres à divers employés du SEJ. 


Encore un Noël sans
papa ?
lettre
ouverte
Aujourd’hui,
mardi 18 novembre 2014, 11:00 à Fribourg, boulevard de Pérolles 24, aux bureaux
du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ), nous sommes venus une
vingtaine pour témoigner d’une injustice grave :
Suite
à un divorce, alors que les enfants de cette famille, que nous connaissons
bien, avaient le droit de voir leur père un week-end sur deux et pendant quatre
semaines de vacances par année, brusquement, l’été 2013, la mère des enfants a
transmis des accusations absurdes mais terribles contre le père.
La
justice de Paix a immédiatement réagi en retirant le droit de visite au père,
sans faire d’enquête au préalable, ce dont la mère a profité en interdisant à
ses enfants tout contact avec leur papa.
Une
enquête est menée depuis un an déjà, dans un autre canton. De toute évidence
personne ne prend les accusations au sérieux et ce dossier n’est donc pas
prioritaire. On prend son temps. L’affaire dure déjà un an et trois mois.
L’avocate
du père a déposé une demande de reprise du droit de visite le 15 avril 2014.
Dans ces cas-là, on accorde généralement aux enfants le droit de voir leur père
dans un cadre surveillé. Mais cette possibilité n’est même pas envisagée
actuellement et la demande de l’avocate est restée lettre morte.
Le
Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg est mandaté
pour protéger les enfants et il devrait suivre l’affaire de près, mais il
prétend qu’il ne peut rien faire avant que l’enquête ne soit terminée. Il ne
tient aucun compte du rapport d’expertise du psychiatre, rendu pendant la
procédure de divorce déjà, qui avertissait des dangers de manipulation du côté
de la mère.
Pendant
ce temps les enfants ont l’interdiction de téléphoner ou d’écrire à leur père.
Tout est fait pour les convaincre que leur papa a commis une faute si grave
qu’elle justifie cette interdiction. Un des enfants avait d’ailleurs déjà fait
une déclaration qui accusait son père. Déclaration transmise par des
pédo-psychologues (qui n’avaient encore jamais rencontré le père à ce
moment-là), selon laquelle «sous l’effet
de la colère ou sous l’emprise de l’alcool, son père le mettrait à terre pour
le rouer de coups de pied»
. Cet enfant n’a jamais été amené chez un
médecin, comme il aurait fallu le faire s’il avait réellement subi une telle
violence et il n’y a évidement aucun constat médical prouvant cette allégation.
La mère elle-même déclarera quelques mois plus tard qu’elle «ne croit pas vraiment» à l’exactitude
de ce récit (elle risque d’être accusée de calomnie, mais n’est nullement
inquiétée pour le moment).
Mais
le rouleau compresseur de la justice ne s’arrête pas facilement (sans parler
d’un changement de cap). Les enfants risquent fortement de ne pas voir leur
père à Noël, une fois de plus.
Nous
ne communiquons pas ici les nom et prénoms des enfants, pour les protéger de ce
scandale, mais nous transmettons aujourd’hui même une lettre au SEJ, signée par
70 parents, voisins et amis de cette famille, lui demandant de prendre la
mesure de la gravité des faits et d’agir pour que les enfants puissent revoir
leur père. Nous savons, car nous avons pu le constater à maintes reprises,
combien ils l’aiment et nous savons combien il leur manque !

Par-dessus
nos manteaux, nous avons porté des t-shirts avec les inscriptions
suivantes :
Interdire à un enfant de voir
son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
Interdire à un enfant d’écrire
à son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
Interdire
à un enfant de téléphoner à son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
Utiliser
un enfant dans un conflit d’adultes, c’est de la maltraitance
Obliger un enfant à mentir
pour accuser son père, c’est de la maltraitance.
Les
psychologues doivent décoder la parole de l’enfant et non colporter la
manipulation.
Interdire à un enfant
d’aimer son papa, c’est de la maltraitance.
Que fait le Service de
l’enfance (SEJ) à Fribourg ?
La bureaucratie maltraite
les enfants !
« Notre plus beau cadeau de
Noël : revoir notre papa ! » L. 10 ans
            (cette
phrase a été prononcée en décembre 2013 déjà. L. attend toujours son cadeau)
« Pour mon anniversaire,
j’aimerais que l’enquête s’arrête » L. 10 ans
            (en
février 2014, l’enquête qui empêchait cette fillette de voir son papa durait
déjà 6 mois. A la suite de cette déclaration, L. ajoutait : «Je crois que
ça sera trop difficile à faire»)
« Si Maman apprend que je
t’ai téléphoné, papa, ça va barder ! » L. 10 ans
« Il ne faut pas que tu
restes trop longtemps avec moi, papa, autrement maman va te gronder » C. 9 ans
Encore un Noël sans
papa ?


Toutes les paroles d’enfants
citées ci-dessus sont authentiques.





« Tout ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites. » (Matthieu 25, 40)



Les pires maltraitances:



http://www.agapa-suisseromande.ch/00_donnees_utilisees/02_contenu/2006.pdf




SEJ, plus de 80 collaborateurs, plus de 3’000 cas…


Carte d’identité

  • Service de l’enfance et de la jeunesse SEJ
  • Pérolles 24
  • Case postale 29
  • 1705 Fribourg
  • Plan de situation
  •  
  • T +41 26 305 15 30
  • F +41 26 305 15 59
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  • Horaire de réception
  • Lundi-Vendredi
  • 08:00 – 11:30
  • 14:00 – 17:00
  • Veilles de fêtes
  • 16:00


Curatelle de gestion du droit de visite

Parmi les mandats de protection de l’enfance assumés par le Service de l’enfance et de la jeunesse figurent un bon nombre de curatelles de surveillance des relations personnelles.


Le service a étudié une nouvelle manière d’exécuter les mandats de surveillance des relations personnelles, plus directive et mieux définie dans le temps. Un dossier contenant la procédure de surveillance des relations personnelles a été élaboré à l’attention des parents afin de les aider à mieux organiser et comprendre les enjeux liés au droit de visite. Cette nouvelle manière de faire est appliquée depuis le mois de juillet 2008.


Un mandat défini par une tâche de protection à accomplir

Dorénavant, le Service de l’enfance et de la jeunesse pense que toute proposition ou décision de mandat doit être définie en termes de tâches à l’attention des parents. Ceux-ci doivent accomplir ces tâches, avec l’aide du curateur durant un certain temps, de manière à mieux protéger leur(s) enfant(s). Ces tâches pourraient être conçues aussi comme un programme d’action que les parents, avec l’aide du curateur, proposent à l’autorité pour approbation.


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  • Curatelle de droit de visite – Guide pour les parents

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