Parmi les pires maltraitances et tortures morales, psychiques et manipulatrices, pires que des violences physiques, un seul acte verbal manipulateur ou symbolique non-accidentel d’un parent, d’un proche, d’un tuteur de l’enfant ou de toute autorité, pouvoir, loi, accord, règlement verbalisé ou non peut entraîner des séquelles psychologiques graves et significatives et même psychosomatiques à l’enfant ou aux enfants.
La langue ou même certains silences sont redoutables…
Un coup de langue est pire qu’un coup de lance.
Sachons exprimer la même demande que David : « Mets, ô Éternel ! une garde à ma bouche, veille sur l’entrée de mes lèvres » (Ps. 141 : 3)
Lausanne, le 18.11.2014
Indignés par l’indifférence du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg, une vingtaine d’amis, voisins et parents d’A. E. et de ses trois enfants se sont libérées ce mardi 18 novembre, jour de semaine et sont venus, pour la plupart de Lausanne et des environs, pour témoigner de l’injustice que subit cette famille. A 11h00, ils ont remis une lettre, signée par 70 personnes en tout, en mains propres à divers employés du SEJ.
papa ?
ouverte
mardi 18 novembre 2014, 11:00 à Fribourg, boulevard de Pérolles 24, aux bureaux
du Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ), nous sommes venus une
vingtaine pour témoigner d’une injustice grave :
à un divorce, alors que les enfants de cette famille, que nous connaissons
bien, avaient le droit de voir leur père un week-end sur deux et pendant quatre
semaines de vacances par année, brusquement, l’été 2013, la mère des enfants a
transmis des accusations absurdes mais terribles contre le père.
justice de Paix a immédiatement réagi en retirant le droit de visite au père,
sans faire d’enquête au préalable, ce dont la mère a profité en interdisant à
ses enfants tout contact avec leur papa.
enquête est menée depuis un an déjà, dans un autre canton. De toute évidence
personne ne prend les accusations au sérieux et ce dossier n’est donc pas
prioritaire. On prend son temps. L’affaire dure déjà un an et trois mois.
du père a déposé une demande de reprise du droit de visite le 15 avril 2014.
Dans ces cas-là, on accorde généralement aux enfants le droit de voir leur père
dans un cadre surveillé. Mais cette possibilité n’est même pas envisagée
actuellement et la demande de l’avocate est restée lettre morte.
Service de l’enfance et de la jeunesse (SEJ) du Canton de Fribourg est mandaté
pour protéger les enfants et il devrait suivre l’affaire de près, mais il
prétend qu’il ne peut rien faire avant que l’enquête ne soit terminée. Il ne
tient aucun compte du rapport d’expertise du psychiatre, rendu pendant la
procédure de divorce déjà, qui avertissait des dangers de manipulation du côté
de la mère.
ce temps les enfants ont l’interdiction de téléphoner ou d’écrire à leur père.
Tout est fait pour les convaincre que leur papa a commis une faute si grave
qu’elle justifie cette interdiction. Un des enfants avait d’ailleurs déjà fait
une déclaration qui accusait son père. Déclaration transmise par des
pédo-psychologues (qui n’avaient encore jamais rencontré le père à ce
moment-là), selon laquelle «sous l’effet
de la colère ou sous l’emprise de l’alcool, son père le mettrait à terre pour
le rouer de coups de pied». Cet enfant n’a jamais été amené chez un
médecin, comme il aurait fallu le faire s’il avait réellement subi une telle
violence et il n’y a évidement aucun constat médical prouvant cette allégation.
La mère elle-même déclarera quelques mois plus tard qu’elle «ne croit pas vraiment» à l’exactitude
de ce récit (elle risque d’être accusée de calomnie, mais n’est nullement
inquiétée pour le moment).
le rouleau compresseur de la justice ne s’arrête pas facilement (sans parler
d’un changement de cap). Les enfants risquent fortement de ne pas voir leur
père à Noël, une fois de plus.
ne communiquons pas ici les nom et prénoms des enfants, pour les protéger de ce
scandale, mais nous transmettons aujourd’hui même une lettre au SEJ, signée par
70 parents, voisins et amis de cette famille, lui demandant de prendre la
mesure de la gravité des faits et d’agir pour que les enfants puissent revoir
leur père. Nous savons, car nous avons pu le constater à maintes reprises,
combien ils l’aiment et nous savons combien il leur manque !
Par-dessus
nos manteaux, nous avons porté des t-shirts avec les inscriptions
suivantes :
son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
à son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
à un enfant de téléphoner à son papa pendant un an, c’est de la maltraitance
un enfant dans un conflit d’adultes, c’est de la maltraitance
pour accuser son père, c’est de la maltraitance.
psychologues doivent décoder la parole de l’enfant et non colporter la
manipulation.
d’aimer son papa, c’est de la maltraitance.
l’enfance (SEJ) à Fribourg ?
les enfants !
Noël : revoir notre papa ! » L. 10 ans
phrase a été prononcée en décembre 2013 déjà. L. attend toujours son cadeau)
j’aimerais que l’enquête s’arrête » L. 10 ans
février 2014, l’enquête qui empêchait cette fillette de voir son papa durait
déjà 6 mois. A la suite de cette déclaration, L. ajoutait : «Je crois que
ça sera trop difficile à faire»)
t’ai téléphoné, papa, ça va barder ! » L. 10 ans
restes trop longtemps avec moi, papa, autrement maman va te gronder » C. 9 ans
papa ?
citées ci-dessus sont authentiques.
« Tout ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites. » (Matthieu 25, 40)
Les pires maltraitances:
http://www.agapa-suisseromande.ch/00_donnees_utilisees/02_contenu/2006.pdf
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Curatelle de droit de visite – Guide pour les parents
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