Les lignées cellulaires sont souvent obtenues à partir de cellules souches embryonnaires, puisque qu'elles peuvent se multiplier à l'infini.
La finalité du présent document est d’apporter une contribution au débat qui se développe et ne cesse de s’amplifier dans la littérature scientifique et éthique, comme dans l’opinion publique, sur la production et l’utilisation des cellules souches embryonnaires. Par conséquent, en raison de l’importance croissante que prend le débat sur leurs limites et leur licéité, une réflexion s’impose pour mettre en évidence leurs implications éthiques. Dans une première partie, on exposera très brièvement les données les plus récentes de la science sur les cellules souches, et les données de la biotechnologie sur leur production et leur utilisation. Dans une seconde partie, on attirera l’attention sur les problèmes éthiques les plus importants que soulèvent ces nouvelles découvertes et leurs applications. Aspects scientifiques L’expression “cellule souche” a pour définition communément acceptée – même si quelques aspects demandent encore un plus grand approfondissement – d’être une cellule qui a deux caractéristiques : 1) la capacité d’auto-renouvellement illimité, c’est-à-dire de se reproduire longtemps sans se différencier ; 2) la capacité de donner naissance à des cellules progénitrices de transition, avec une capacité limitée de prolifération, cellules dont proviennent des populations de cellules hautement différenciées (nerveuses, musculaires, hématiques, etc.). Depuis trente ans environ, ces cellules ont constitué un vaste domaine de recherches, soit dans des tissus adultes, soit dans des tissus embryonnaires et dans des cultures in vitro de cellules souches embryonnaires d’animaux d’expérimentation. Mais l’attention publique pour ces cellules a été récemment attirée par le franchissement d’un nouveau pas : la production de cellules souches embryonnaires humaines. Les cellules souches embryonnaires humaines La préparation de cellules souches embryonnaires humaines (ES, ESc, Embryo Stem cells) implique aujourd’hui : 1) la production d’embryons humains et/ou l’utilisation des embryons surnuméraires provenant de la fécondation in vitro ou de la cryoconservation ; 2) leur développement jusqu’au stade de blastocyste initial ; 3) le prélèvement des cellules de l’embryoblaste ou masse cellulaire interne (ICM) – opération qui nécessite la destruction de l’embryon ; 4) la mise en culture de ces cellules sur une couche nourricière de fibroblastes embryonnaires irradiés de rats en terrain adapté, où elles se multiplient et s’associent jusqu’à former des colonies ; 5) mises en culture répétées des cellules des colonies obtenues, qui conduisent à la formation de lignées de cellules capables de se multiplier indéfiniment, tout en conservant les caractéristiques de cellules souches (ES) pendant des mois et des années. Cependant, elles ne constituent que le point de départ pour la préparation des lignées de cellules différenciées, à savoir des cellules qui possèdent les caractéristiques propres aux différents tissus (musculaires, nerveux, épithéliales, hématiques, germinaux, etc.). Les méthodes pour les obtenir sont encore à l’étude ; mais l’inoculation d’ES humaines chez les animaux d’expérimentation (rat), ou leur culture in vitro en terrain conditionné jusqu’à leur association, ont démontré qu’elles sont capables de donner naissance à des cellules différenciées qui dériveraient, dans le développement normal, de trois petits follicules embryonnaires différents : endoderme (épithélium intestinal), mésoderme (cartilage, os, muscle lisse et strié) et exoderme (épithélium neural, épithélium squameux). Ces résultats ont ébranlé le monde scientifique autant que biotechnologique – en particulier médical et pharmacologique – de même que le monde commercial et médiatique : grandes apparaissaient les espérances laissant envisager que les applications qui pourraient en résulter ouvriraient des chemins nouveaux et plus sûrs pour la thérapie de maladies graves, chemins que l’on est en train de rechercher déjà depuis des années. Mais, c’est surtout le monde politique qui fut ébranlé. Aux États-Unis en particulier, face au Congrès, qui depuis des années déjà refusait de soutenir avec des fonds fédéraux des recherches dans lesquelles seraient détruits des embryons humains, les réponses furent entre autres : les fortes pressions du NIH (National Institutes of Health) afin d’obtenir des fonds au moins en vue de l’utilisation des cellules souches produites par des groupes privés ; et les recommandations de la part du NBAC (National Bioethics Advisory Committee), institué par le Gouvernement fédéral pour l’étude du problème, afin que soient octroyés des fonds publics non seulement pour la recherche sur les cellules souches embryonnaires, mais aussi pour leur production ; plus encore on insiste pour que soit définitivement annulé l’avis en vigueur qui fait office de loi sur l’usage des fonds fédéraux pour la recherche sur les embryons humains. Vont également dans le même sens la Grande-Bretagne, le Japon et l’Australie. Le clonage thérapeutique Il était apparu évident que l’usage thérapeutique des ES, comme telles, comportait des risques notables, puisqu’elles étaient cancérigènes, comme on l’avait constaté dans l’expérimentation sur le rat. Il aurait donc été nécessaire de préparer des lignées spéciales de cellules différenciées en fonction des besoins ; et il ne semblait pas possible de les obtenir dans un court laps de temps. En réalité, même si on avait réussi, il aurait été bien difficile d’être certain de l’absence totale de cellules souches dans ce qui est inoculé ou dans l’implant thérapeutique, avec les risques qui s’y rattachent ; et, de plus, on aurait dû recourir à des traitements ultérieurs pour surmonter l’incompatibilité immunologique. Pour ces raisons, on proposa trois chemins de “clonage thérapeutique”, qui puissent préparer des cellules souches embryonnaires humaines pluripotentes avec un patrimoine génétique bien défini, cellules auxquelles on ferait emprunter ensuite la différenciation désirée. 1. Transfert du noyau d’une cellule d’un sujet donné dans un oocyte humain énucléé, suivi d’un développement embryonnaire jusqu’au stade de blastocyste et de l’utilisation des cellules de la masse cellulaire interne (ICM), en vue d’obtenir les ES et, à partir d’elles, les cellules différenciées souhaitées. 2. Transfert du noyau d’une cellule d’un sujet donné vers un oocyte d’un autre animal. Un éventuel succès devrait conduire – comme on le suppose – au développement d’un embryon humain, qu’on pourrait utiliser comme dans le cas précédent. 3. Reprogrammation du noyau d’une cellule d’un sujet donné en fusionnant le cytoplasme des ES avec le karyoplaste d’une cellule somatique, obtenant ainsi un “cybride” : une telle possibilité est encore à l’étude. De toute façon, même cette voie semblerait exiger une préparation préalable des ES d’embryons humains. Au stade actuel, la recherche scientifique s’oriente de préférence vers la première voie, mais il est clair que, du point de vue moral, comme nous le verrons, les trois solutions envisagées sont inacceptables. Les cellules souches adultes À partir des études sur les cellules souches de l’adulte (ASC – Adult Stem Cells), réalisées durant une trentaine d’années, il était apparu clairement que, dans de nombreux tissus adultes, sont présentes des cellules souches, capables de ne donner naissance qu’à des cellules propres à un tissu donné. On ne pensait donc pas à la possibilité de leur reprogrammation. En revanche, au cours de ces dernières années, on découvrit aussi dans différents tissus humains des cellules souches pluripotentes – dans la moelle osseuse (HSCs), dans le cerveau (NSCs), dans le mésenchyme (MSCs) de divers organes et dans le sang du cordon ombilical (P/CB, placental/Cord blood) – capables alors de donner naissance à plusieurs types de cellules, en majorité hématiques, musculaires et nerveuses. On a vu comment les reconnaître, comment les sélectionner, comment les stimuler dans leur développement et comment les conduire à former différents types de cellules matures au moyen de facteurs de croissance et de protéines régulatrices. Un chemin notable a même déjà été parcouru dans le domaine expérimental, mettant également en application les méthodes les plus avancées d’ingénierie génétique et de biologie moléculaire par l’analyse du programme génétique qui agit dans les cellules souches, et par la transduction de gènes désirés dans des cellules souches ou progénitrices qui, implantées, sont capables de restituer leurs fonctions spécifiques à des tissus endommagés. Il suffit de souligner, sur la base de quelques travaux cités en note, que, chez l’homme, les cellules souches de la moelle osseuse, à partir desquelles se forment toutes les lignées de cellules hématiques, ont comme marqueur de reconnaissance la molécule CD34 et que, purifiées, elles sont capables de reconstituer l’intégralité de la population de cellules hématiques chez les patients qui reçoivent des doses ablatives de radiations et de chimiothérapie, et cela à une vitesse proportionnelle à la quantité utilisée de cellules. Plus encore, on a déjà des indices sur la manière d’orienter le développement des cellules souches nerveuses (NSCs) en utilisant différentes protéines – parmi lesquelles la neuroréguline et la protéine 2 osteomorphogène (BMP2, Bone Morphogenetic Protein 2) -, qui sont capables de conduire les NSCs à devenir des neurones ou des cellules gliales (cellules neuronales de soutien, productrices de myéline) ou encore du muscle lisse. La satisfaction, malgré tout prudente, avec laquelle se concluent beaucoup des travaux cités est un indice des grandes promesses que les “cellules souches adultes” permettent d’entrevoir pour une thérapie efficace de nombreuses pathologies. Ainsi, D. J. Watt et G. E. Jones affirment : “Les cellules souches musculaires, de la lignée myoblastique embryonnaire ou adulte, peuvent devenir des cellules de plus grand intérêt pour des tissus différents du tissu d’origine, et être la clé de thérapies futures, même pour des maladies autres que des maladies d’origine myogène” (p. 93) ; J. A. Nolta et D. B. Kohn soulignent : “Les progrès dans l’utilisation de la transduction génique dans les cellules souches hématopoïétiques ont conduit à lancer des expérimentations cliniques. Les informations que l’on en obtiendra guideront les développements futurs. En définitive, la thérapie génique pourra permettre de traiter des maladies génétiques et acquises sans rencontrer les complications dues aux transplantations de cellules allogènes” (p. 460) ; et D. L. Clarke et J. Frisén confirmaient : “Ces études suggèrent que les cellules souches dans les différents tissus adultes peuvent être beaucoup plus proches, malgré ce que l’on pensait jusque-là, des cellules embryonnaires humaines, jusqu’à avoir dans certains cas un répertoire très semblable” et ” elles démontrent que des cellules nerveuses adultes ont une large capacité de développement et sont potentiellement aptes à être utilisées pour produire une variété de sortes de cellules pour des transplantations en cas de maladies diverses”. Tous ces progrès et les résultats déjà obtenus en ce qui concerne les cellules souches de l’adulte (ASC) laissent donc entrevoir non seulement leur grande plasticité, mais aussi leur grande capacité d’utilisations, vraisemblablement pas différente de celle des cellules souches embryonnaires (ES), étant donné que la plasticité dépend en grande partie d’un contrôle génétique, qui pourrait être reprogrammé. Évidemment, il n’est pas encore possible de comparer les résultats thérapeutiques obtenus ou ceux qui peuvent l’être en utilisant les cellules souches embryonnaires et les cellules souches adultes. En ce qui concerne ces dernières, des expérimentations cliniques sont déjà en cours dans différents laboratoires pharmaceutiques ; elles laissent entrevoir de bons succès et offrent des espoirs sérieux dans un avenir relativement proche. En ce qui concerne les premières, même si différentes approches expérimentales donnent des éléments positifs, leur application dans le domaine clinique – en raison des graves problèmes éthiques et légaux qui y sont liés – demande une nouvelle et sérieuse prise en considération et un grand sens de la responsabilité face à la dignité de tout être humain. Problèmes éthiques Étant donné la nature du document, on formulera brièvement les problèmes éthiques essentiels posés par ces nouvelles technologies, indiquant la réponse qui se dégage d’une prise en considération attentive du sujet humain depuis le moment de sa conception ; cette prise en considération est à la base de la position affirmée et proposée par le Magistère de l’Église. Le premier problème éthique, fondamental, peut être ainsi formulé : “Est-il moralement licite de produire et/ou d’utiliser des embryons humains vivants pour la préparation d’ES ?" La réponse est négative, pour les raisons suivantes : 1. Sur la base d’une analyse biologique complète, l’embryon humain vivant est – à partir de la fusion des gamètes – un sujet humain avec une identité bien définie, qui, dès ce moment-là, commence son propre développement de façon coordonnée, continue et graduelle, de sorte qu’il ne pourra être considéré, à aucun stade ultérieur, comme un simple amas de cellules. 2. Il s’ensuit que, comme “individu humain”, il a droit à sa vie propre ; c’est pourquoi toute intervention qui n’est pas en faveur de l’embryon lui-même constitue un acte qui lèse ce droit. La théologie morale a depuis toujours enseigné que, dans le cas du “ius certum tertii”, le système du probabilisme n’est pas applicable. 3. Par conséquent, l’ablation de la masse cellulaire interne (ICM) du blastocyste, qui altère de façon grave et irréparable l’embryon humain, en arrêtant son développement, est un acte gravement immoral et donc gravement illicite. 4. Aucune fin considérée comme bonne, telle l’utilisation de cellules souches qui pourraient en être obtenues pour la préparation d’autres cellules différenciées en vue de traitements thérapeutiques dont on pourrait beaucoup attendre, ne peut justifier une telle intervention. Une fin bonne ne rend pas bonne une action en soi mauvaise. 5. Pour un catholique, cette position est confirmée par le Magistère explicite de l’Église qui, dans l’encyclique Evangelium vitæ – en se référant aussi à l’Instruction Donum vitæ de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi – affirme : “L’Église a toujours enseigné, et enseigne encore, qu’au fruit de la génération humaine, depuis le premier moment de son existence, doit être garanti le respect inconditionnel qui est moralement dû à l’être humain dans sa totalité et dans son unité corporelle et spirituelle : l’être humain doit être respecté et traité comme une personne dès sa conception, et donc dès ce moment on doit lui reconnaître les droits de la personne, parmi lesquels en premier lieu le droit inviolable de tout être innocent à la vie”. Le deuxième problème éthique peut être formulé ainsi : est-il moralement licite de réaliser le “clonage thérapeutique” à travers la production d’embryons humains et la destruction qui en résulte pour la production d’ES ? La réponse est négative, pour la raison suivante : Tout type de clonage thérapeutique qui implique la production d’embryons humains puis leur destruction, en vue d’en obtenir des cellules souches, est illicite, car on revient à la question éthique précédemment exposée, qui ne peut recevoir qu’une réponse négative. Le troisième problème éthique peut être formulé ainsi : Est-il moralement licite d’utiliser les ES et les cellules différenciées qui en proviennent, éventuellement fournies par d’autres chercheurs ou que l’on peut trouver dans le commerce ? La réponse est négative, car au-delà du partage, formel ou non, de l’intention moralement illicite de l’agent principal, dans le cas présent, il y a une coopération matérielle très proche dans la production et la manipulation d’embryons humains de la part des producteurs ou des fournisseurs. En conclusion, le sérieux et la gravité du problème éthique posé par la volonté d’étendre au domaine de la recherche humaine la production et/ou l’utilisation d’embryons humains, même dans une perspective humanitaire, apparaissent comme évidents. Le fait, désormais vérifié, qu’il est possible d’utiliser des cellules souches adultes pour atteindre les finalités auxquelles on souhaiterait parvenir avec les cellules souches embryonnaires – même s’il faut encore beaucoup de développements ultérieurs dans l’un et l’autre domaines avant d’avoir des résultats clairs et définitifs – indique la première position comme la voie la plus raisonnable et la plus humaine en vue d’un progrès convenable et valable dans ce domaine nouveau qui s’ouvre à la recherche et qui permet d’envisager des applications thérapeutiques prometteuses. Cela représente sans aucun doute une grande espérance pour un bon nombre de personnes qui souffrent. Le 25 août 2000 Le Président, Prof. Juan de Dios Vial Correa Le Vice-Président, S.E. Mgr Elio Sgreccia
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Déclaration sur la production et l’usage scientifique et (…)
"Un officier catholique de la Garde côtière étatsunienne, Joseph Healy, avait refusé la vaccination obligatoire contre l’hépatite A parce que le vaccin proposé était fabriqué à partir d’un enfant avorté à 14 semaines. La Garde côtière permet des exemptions religieuses pour ceux dont les croyances s’opposent à l’immunisation, mais ses supérieurs ont refusé l’exemption au lieutenant-commandant Healy sous prétexte que la foi catholique ne s’oppose pas à la vaccination (ce qui est certes vrai). L’officier ayant été en justice la Garde côtière vient – ce 9 mai – de dire qu’elle accordait l’exemption demandée. Ceci attire l’attention sur une horrible réalité : aujourd’hui de nombreux vaccins … sont fabriqués à partir d’enfants avortés !!! L’association Children of God lutte contre cette pratique et demande au moins l’obligation de renseignement sur les sources des vaccins. … L’Académie pontificale pour la vie a rédigé un excellent document sur la question, très précis, en anglais, intitulé : Moral Reflections on vaccines prepared from Stem Cells derived from aborted Human Foetuses. Le document fait une liste provisoire de vaccins provenant de cadavres d’embryons (e.g. Poliovax contre la polio, Imovax contre la rage…), puis étudie la gravité morale des différentes coopérations avec cette horreur : la préparation, la distribution et la publicité, pour de tels vaccins, sont illicites car constituent une coopération formelle passive à l’avortement; les producteurs de tels vaccins se rendent coupables d’une coopération matérielle passive s’ils ne recherchent pas d’autre source de vaccin pour la même maladie; les utilisateurs, simples citoyens, commettent une coopération matérielle passive et éloignée au mal, d’autant que cela renforce le consensus social d’acceptation de la pratique."
Ces entreprises fabriquent leurs vaccins avec des embryons tirés d'avortements
Par Philippe Edmond, vendredi 23 mai 2008 à 17:13 :: Eugénisme, laïcité, lumières et individualisme :: permalien #235 Merck, GSK Merck, GSK Sanofi, Berna GSK Sanofi Merck, GSK Merck GSK. Merck Merck. Merck. Sanofi Pasteur Sanofi Pasteur, GSK Sanofi Pasteur Amgen Eli Lilly Merck. Acambis Crucell/NIH MedImmune Vaxin, Sanofi Merck, Novartis
S. Ertelt: USA: Vaccins H1N1 moralement OK
En lisant l’article de la Tribune de Genève de ce samedi-dimanche sur le vaccin H1N1, j”ai particulièrement apprécié le fait que personne, y compris au niveau du personnel de la santé, ne sera obligé d’être vacciné. Cependant si l’article mentionne le scalène dans la composition du vaccin H1N1 (un risque ? http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=2009… http://desiebenthal.blogspot.com/2009/09/questions-sur-un… ) il ne répond pas à la question fondamentalement éthique : ce vaccin (ainsi que les vaccins saisonniers…) utilise t’il des cellules d’origine humaine ? Les citoyens américains ont réussi, dans ce cas précis, à faire prévaloir leur droit fondamental à l’objection de conscience ; ils seront donc vaccinés éthiquement. Et nous ? Un groupe pro-vie qui surveille les vaccinations a le plaisir de signaler que les nouveaux vaccins H1N1 de la grippe porcine que le gouvernement fédéral distribuera le mois prochain n’utilisent pas de cellules de bébés tués par les avortements. D’autres vaccinations ont été condamnées pour s’appuyer sur de telles cellules dans leur formulation de vaccins. Children of God for Life affirme à LifeNews.com que les 4 nouveaux vaccins H1N1 (grippe porcine) approuvés à la fin de la semaine passée par le FDA n’utilisent pas des lignées de cellules fœtales avortées. Les 4 vaccins sont faits par Sanofi Pasteur, Novartis, CSL and Medimmune et tous utilisent les oeufs de poussin au lieu des cellules des humains. Debi Vinnedge, directrice du groupe explique à LifeNews.com. : "Nous sommes satisfaits de constater que les compagnies pharmaceutiques ont choisi ces lignées cellulaires ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Lign%C3%A9e_cellulaire ) pour les vaccins H1N1 de cette année. Il y a suffisamment de préoccupations au sujet de la santé et de la sécurité publiques sans que l’on complique les problèmes avec des questions morales." Vinnedge fit remarquer qu’il y a deux méthodes pour produire des vaccins contre la grippe et le H1N1: Des embryons de poussins ou des cultures cellulaires. ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_cellulaire ). L’embryon de poussin est la méthode standard qui a été utilisée pour produire tous les vaccins contre la grippe depuis des années, dit-elle. Le problème avec cette méthode, c’est que chaque fois que l’on a besoin d’un nouveau lot de vaccins, on doit utiliser des oeufs frais ce qui rend plus difficile de mettre les vaccins à la disposition du marché en temps voulu pour correspondre à la saison grippale annuelle. De ce fait, l’industrie pharmaceutique a travaillé sur une méthode qui accélérerait le développement et le temps du processus en utilisant une culture cellulaire établie. A la différence de l’embryon de poussin, on a développé des lignées cellulaires approuvées par le FDA et on les a congelé pour un usage futur de façon à ce que le temps de production soit considérablement réduit. Plusieurs compagnies pharmaceutiques telles que Medimmune, Protein Science and Novavax sont en train de développer ces futurs vaccins contre la grippe en utilisant une culture cellulaire morale du type MDCK ou du type cellules d’insectes. Mais certains fabricants comme Sanofi Pasteur et Vaxin sont en train de développer les cultures cellulaires de leurs vaccins en utilisant des lignées de cellules fœtales avortées, PER C6. Pour Vinnedge, "Il n’est absolument pas nécessaire d’utiliser des lignées de cellules foetales avortées." Elle poursuit: "Si ces compagnies avaient vraiment à cœur la santé du public, elles prendraient en considération les préoccupations morales de millions de familles qui vont refuser leurs produits." Vinnedge a suivi de près les processus de culture cellulaire et les premiers essais cliniques montrent que les vaccins élaborés moralement seront les premiers à toucher le marché — un soulagement bienvenu à la fois pour les parents et les professionnels de la santé qui ont pressé l’industrie d’utiliser des lignées cellulaires produites éthiquement. Un peu plus tôt cette année, le FDA a également approuvé les vaccins habituels contre la grippe pour la saison 2009-2010 qui sont aussi produits moralement à base d’œufs de poussin. L’avocate pro-vie remarque que si les Centers for Disease Control et le FDA veulent s’assurer que le plus de gens possibles reçoivent ces futurs vaccins, il serait sage d’encourager les compagnies pharmaceutiques à utiliser des lignées cellulaires morales. "Il n’ y a pas de raison pourquoi quelqu’un devrait compromettre la santé et la sécurité de sa famille à cause de leurs profondes convictions morales et religieuses," conclut Vinnedge. "Il est grand temps que notre gouvernement et l’industrie pharmaceutique commencent à écouter le public." STEVEN ERTELT, New H1N1 Swine Flu Vaccines Don't Rely on Cells From Babies Killed in Abortion, 21 septembre 2009 http://www.lifenews.com/nat5490.html With permission and many thanks! Children of God for Life – http://www.cogforlife.org http://www.cogforlife.org/SCPIJune2009news.pdf Possible corrélation entre autisme et vaccination cannibale http://www.soundchoice.org/ Et pis… Ps 1. http://www.lifenews.com/int1328.html Le vote de l’Irlande – sous hautes surveillance et pression européennes – approchant, se on rappellera que la Pologne a été condamnée par la Cour Européenne pour être une nation pro vie (en pseudo violation de l’article 8) et qu’un journal polonais vient d’être condamné à payer une amende astronomique pour avoir critiqué la décision d’une femme à avorter. Ps.2 http://www.lepost.fr/article/2009/08/26/1670339_elle-recl… http://www.pi-news.net/2009/08/die-linke-embryos-sind-zel… http://wikileaks.org/leak/die-linke-spaetabtreibung.pdf Frau Huberty réclame le droit de tuer un enfant jusqu’à l’âge de 3 ans. Ps 3 http://www.libertepolitique.com/respect-de-la-vie/5552-eu… Tout est lié ? Euthanazie : les Pays-Bas montrés du doigt par les Nations Unies ! Les papis et mamies néerlandais se réfugient en Allemagne pour éviter le zèle exterminateur de leurs toubibs tout puissants et de leurs proches empressés. Ps.4 http://www.libertepolitique.com/actualite/54-internationa… Le Lancet, la production de 10 milliards de préservatifs et le réchauffement climatique… ps.5
http://www.zigonet.com/mariage/des-indiens-ont-pour-sloga… Inde: Des épouses pour nos votes! Ps.6: www.uklifeleague.com… Au 21.9.2009: http://www.medicalnewstoday.com/articles/164479.php Presque 400 avortements médicaux ont été pratiqués dans 2 cliniques de généralistes au cours de cette année (d’août 2008 à juillet 2009) depuis l’autorisation donnée au premier cabinet de GP. The LifeLeague says: We will continue to campaign against this truly disgusting development, please click here to urge your MP to do all in their power to oppose abortions being carried out in GP surgeries .http://www.guardian.co.uk/science/2009/sep/16/abort… Les femmes qui ont eu un avortement peuvent encourir un risque accru de donner subséquemment naissance à des bébés prématurés ou de faible poids, selon une étude qui va alimenter encore plus le débat sur l’avortement. The LifeLeague says: Nous accueillons cette révélation comme une autre preuve fondant la confirmation de la cause pro vie. http://www.guardian.co.uk/lifeandstyle/2009/sep/13/mother… Les femmes peuvent risquer leur vie et leur compte en banque avec les traitements in vitro http://www.youtube.com/watch?v=8Me2oOA_Ntg&NR=1
14:19 Publié dans Résistance | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note
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