Le journal sud-africain, « The Star » rapporte un procès concernant la mort d’un enfant de quatre ansBotha Jandre qui, selon les preuves données au tribunal a été battu  à mort pour avoir refusé d’appeler l’amante lesbienne de sa mère « Papa ». C’est une histoire horrible, qui s’est déroulée en Afrique du Sud… , mais qui se produira probablement bientôt en occident, vu le climat de folie qui souffle sur les pays des droits homosexualistes.

Dialogue de 2 gays qui ont adopté une fille qui pleure sa maman.

Mercredi, le tribunal régional de Vereeniging  a statué qu’Engeline de Nysschen (33 ans ), et la mère de l’enfant Hanelie Botha (31 ans ) sont coupables d’avoir assassiner l’enfant. À Bien que Nysschen a été reconnue coupable d’avoir infligé des violences, la juge Rita Willem se s’est prononcée contre la mére Botha pour ne pas avoir réagi face à la violence physique répétée de son enfant par Nysschen ainsi que pour avoir menti afin de la protéger. Engeline De Nysschen, reconnue coupable par le tribunal.
Après que les parents du petit Jandre Botha ont divorcé, sa mère obtint sa garde auprès d’un tribunal. Puis, elle se mit en « couple avec une femme »… Au bout d’un moment, celle-ci ne supporta pas que le petit garçon de 4 ans refuse de l’appeler « papa », malgré ses injonctions. Elle finit par battre le petit, sans que sa mère ne réagisse ni ne proteste, jusqu’à ce que mort s’en suive. Les deux mégères tentèrent sans succès de faire croire que le garçonnet avait glissé dans sa baignoire. Mais les médecins comprirent vite que cette version n’était pas crédible, au vu des terribles blessures subies par l’enfant : fracture du crâne et lésions cérébrales, jambes, clavicules, mains et bassin cassés…
Les Témoignages devant le tribunal des employés du couple de lesbiennes a indiqué que le garçon a été agréssé violemment pour avoir refusé les demandes répétées d’appeler  Nysschen « Papa ». Botha a affirmé que son enfant était mort après avoir glissé dans la baignoire, mais les experts médicaux ont rejeté ses affirmations en remarquant que les blessures, dont une fracture du crâne et des lésions cérébrales, ainsi que les jambes, la clavicule, les mains et le bassin brisées témoignaient que l’enfant avait subi des assauts répétés.
A l’heure où l’on veut chambouler la notion de parentalité, ne comptez pas sur les médias occidentaux pour rapporter ce genre de faits divers.


Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité : 

1 quart (23%) des enfants abusés sexuellement !



contre 2 %

L’article du “Star” (anglais) :

http://www.thestar.co.za/index.php?fSectionId=128&fArticleId=3171828


Pour la petite histoire, en France, le thème du concours science-po cette année est la famille. Je vous laisse deviner ce qui est attendu de la part des candidats pour qu’ils aient une bonne note. Déjà, dans un sujet d’ENS en 2013, une des meilleures copies mises en ligne (sic) pour l’anglaisn’est qu’une apologie du gender. Les étudiants intéressés peuvent la consulter facilement ici:
http://www.ens.fr/IMG/file/concours/2013/BL/rapports%20BL/copie%20anglais%20BL%202013.pdf CLIQUER SUR LIEN
ça se passe de commentaire. Un devoir désorganisé, et une idéologie clairement affichée. Et comme par hasard, on nous fait croire que la copie a été tirée au sort (et ce, juste après le million de personnes dans la rue du printemps 2013, la bonne blague !)
Etudiants, rentrez en résistance !
[La fameuse copie dont vous parlez a dûe être tirée au sort de façon aussi honnête que l’artiste des statues de Birmingham 😉 Rien n’est laissé au hasard pour faire avancer la culture de mort. Résistons. MB]

« Une étude scientifique parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévalait jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[1].

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité : 1 quart (23%) des enfants abusés sexuellement !

« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés[1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance…. »
la suite -> http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/14/discredit-scientifique-sans-appel-contre-lhomoparentalite-1-quart-23-des-enfants-abuses-sexuellement/
« No difference ». Telle était la sempiternelle conclusion de l’ensemble des travaux Outre-Atlantique comparant l’épanouissement psychique des enfants issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Un célèbre article de la psychologue Charlotte Patterson de l’Université de Virginie recensant au début des années 90 près de 30 études allant toutes dans le même sens représentait l’argument scientifique infaillible pour faire taire les opposants à l’homoparentalité et tenter d’influencer les choix politiques jusque dans les enceintes internationales[1]. Reprenant la compilation de Patterson, une seconde enquête publiée en 2005 par la prestigieuse American Psychological Association (APA) concluant qu’« aucune étude n’a montré que les enfants de parents gays ou lesbiens étaient désavantagés par rapport aux enfants de parents hétérosexuels » fut ainsi versée au dossier de l’affaire E.B. c. France par les lobbys gays et lesbiens pour défendre l’adoption « homoparentale » devant la Cour européenne des droits de l’homme[2].
Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.
A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère).[4]
Ces travaux sont d’autant plus intéressants qu’ils viennent contredire la théorie en vogue chez certains psychanalystes qui ont mis l’accent ces derniers mois sur l’importance de la « triangulation psychique », c’est-à-dire le fait d’avoir deux parents homosexuels plutôt qu’un seul parent hétérosexuel, pour assurer une croissance normale de l’enfant.(…) » (Pierre-Olivier Arduin –www.libertepolitique.com)

L’étude de Marc Regnerus traduite en français

La traduction en français sur familleliberte.org (document en format pdf).

-> Homoparentalité : Etat des lieux

Les homosexuels ne se soucient pas de l’homoparentalité,
contrairement à 1 élite pervertie et pédophile
Mariagegate : Pierre Bergé décide-t-il pour la France et les français ?megafono
Les français descendent dans la rue pour dénoncer la trahison
L’arrogance incroyable d’une association qui avoue manipuler 65 millions de français pour leur imposer l’homoparentalité !http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/06/une-association-lgbt-reconnait-manipuler-lopinion-pour-imposer-lhomoparentalite/
L’homoparentalité gravement discréditée par 1 étude scientifique : 1 enfant sur 4 (!) abusé sexuellement (23% contre 2%)
http://wp.me/p2IN2B-2s
Dénigrer la famille, saper les fondements culturels et sociaux… Quel est le projet ?
http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/11/17/denigrer-la-famille-saper-les-fondements-culturels-et-sociaux-quel-est-le-projet/
Colossal : on dépasse le million de manifestants !! (du jamais vu au cours de la dernière décennie)
http://enfantsjustice.wordpress.com/2013/01/13/pour-la-famille-et-contre-le-mariage-gay-1-raz-de-maree-humain-encore-jamais-vu/
CONCLUSION Vivons-nous les derniers temps de la LOBBYCRATIE ?
http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/12/02/vivons-nous-les-derniers-temps-de-la-lobbycratie/

Autres liens sur le sujet :

 Le leader d’une association LGBT militante condamné pour pédophilie aggravée (viol d’enfant et de nourrisson)
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 Jean-Marc, maire et homosexuel : « les LGBT ne nous représentent pas : ils n’ont pas à parler en notre nom »
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 Les philosophes inquiets : le mariage gay entraînera les femmes à louer leur utérus #féminisme ( PMA , GPA)
 Le Grand Rabbin de France opposé au projet
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 Un enfant de 4 ans, battu à mort par la lesbienne de sa mère « parce qu’il refuse de l’appeller Papa »
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Grande Bretagne : Une mère se voit arracher ses 2 garçons au profit d’un couple d’homosexuels
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 La grande dégringolade : Le «mariage» gay et l’adoption en chute libre dans les sondages
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 Des homosexuels expliquent pourquoi le mariage gay est une loi homophobe
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 Les associations d’enfants adoptés contre l’homoparentalité
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 Un congé paternité accordé à un couple de femmes
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 La France banni les mots « pére », « mére », « mari » et « femme » des documents officiels.
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NOTE :
Sites sud-africains qui rapportent les faits :

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