Dans certains pays, on ne vaccine que les filles avec des produits contraceptifs cancérigènes.






à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.


Loi
sur les épidémies : arnaques et désinformation

Je pratique la médecine générale depuis plus
de 25 ans en cabinet, et m’efforce de garder les yeux  largement ouverts. Donc j’ai aussi lu les
ouvrages des nombreux collègues qui mettent 
en doute les prétendues vertus des vaccinations, leur prétendue
innocuité, leur prétendu rôle dans la fin de certaines épidémies, la prétendue
protection collective, etc. J’y ai trouvé de très nombreuses études
soigneusement cachées d’habitude, tant au public qu’aux médecins. Mon
observation clinique m’a confirmé aussi les effets secondaires beaucoup plus
fréquents, graves ou durables que ce qu’on nous affirme officiellement.
Mais qu’on soit pour ou contre les  vaccins n’est pas la question principale de
cette votation. Le fait est, pour moi, que SI les vaccins avaient toutes les
vertus et toutes les “garanties d’innocuité qu’on nous dit, je serais
pour. Or, ce n’est pas le cas. Le simple fait qu’il y ait doute devrait inciter
à la prudence, et garantir la liberté de chacun. Cependant, la nouvelle loi
ouvre la porte à des vaccinations obligatoires, pour des “groupes à
risque” d’abord, mais pouvant être étendues à toute la population si les
autorités le jugent utile. Avec des possibilités d’amende, de fichage, de perte
d’emploi (interdiction de pratiquer sa profession), et d’emprisonnement !!!  Et cette nouvelle loi pourrait permettre
aussi l’extension de l’obligation à toutes les vaccinations recommandées
actuellement, ainsi que de l’usage de médicaments tels le Tamiflu, cher et
riche en effets secondaires.
Les commentaires du Conseil fédéral prétendent
qu’il n’y aura pas contrainte à la vaccination. Mais en même temps, la loi dit
le contraire. Une fois votée, est-ce la loi, ou le commentaire contradictoire
incitant à accepter la loi, qui aurait force de loi ? Pas besoin d’être juriste
pour répondre. Il y a tentative de tromperie du peuple !
Le droit à l’intégrité corporelle, acquis
démocratique fondamental, est remis en cause ! Le peuple suisse, qui est en
majorité contre l’usage alimentaire et humain des OGM, est invité à accepter
qu’on l’oblige à se faire injecter des OGM !! 
Et cela même si le microbe qui se répand est simplement très contagieux,
sans forcément être dangereux ! Se souvenir de la vaccination H1N1  il y a 4 ans : l’OMS avait changé sa
définition de la pandémie avant même le moindre mort, ce qui lui a permis de
susciter panique et achat en masse de vaccins par tous les
gouvernements….Ensuite, le public apprenait que : 1/ il y avait eu collusion d’intérêt
avec les producteurs de vaccins (qui continuent à financer très largement l’OMS
!) 2/ que cette fameuse pandémie était une grippette moins dangereuse que la
grippe banale.
Moins de 10% des stocks de vaccins utilisés :
le bon sens des Suisses s’est alors montré par un scepticisme de bon aloi
devant les positions officielles !
Autre aspect : la nouvelle loi blanchit de
toute responsabilité les fabricants de vaccins ! Curieux, pour des vaccins
prétendument sans risques ! La Confédération (donc nous autres contribuables)
garantit un maximum de 70000.- frs d’indemnité 
(et si tant est que le lien de causalité entre le vaccin et les
séquelles soit établi…et par qui ?). C’est ridicule ! Demandez donc aux parents
qui ont vu leur enfant, se développant parfaitement, devenir autiste après un
vaccin rougeole…70000.- !  N’importe quel
médecin honnête est assuré en RC pour au moins 2 ou 3 millions par cas, en cas
de faute grave aux conséquences graves…
Halte à une dictature médicale grave : votons
NON à la nouvelle Lép !
Références : 
Sylvie Simon : Vaccinations , l’overdose / Prof Michel Georget :
Vaccinations, les vérités indésirables 
etc
Dr Philippe Corajod / Médecine générale et
médecines naturelles  /  1635 La Tour-de-Trême


 
NON à la Loi révisée sur les épidémies
http://loi-epidemies-attention.ch/fr/journal-de-votation

 

Moins de protection et davantage de diktat! La LEpr met la Suisse sous la 
tutelle de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de son Règlement
Sanitaire Internationale (RSI) (LEpr Art. 80.3).

L’OMS est
contrôlé par
les entreprises pharmaceutiques et financé par la fondation Rockefeller (
on se souvient du scandale H1N1, alias grippe porcine).

Selon le RSI tout pouvoir est concentré auprès de l’OMS. La force prime
sur le droit.

Si l’OMS, comme dans le cas de la grippe porcine, déclare
une situation particulière (ou extraordinaire) (Art. 6.1.b + 7), le
Conseil fédéral n’a plus le pouvoir d’intervenir et alors ne peut par
prévoir ce que l’OMS va faire. Il suffit d’une situation particulière et
l’OMS peut ordonner les cantons via l’OFSP (Art. 8.2 + 80.3 + RSI)
d’imposer des vaccinations obligatoires en masse (Art. 6.2.d + 22), des
mesures ordonnées avec exécution par voie de contrainte (Art. 32 ff),
des interdictions totales d’exercer votre profession (Art. 38), la
fermeture de vos entreprises privées (Art. 40.b) et des amendes non
limitées (Art. 83).

Non à l’explosion des coûts de la santé! La LEpr va accélérer la hausse
des primes d’assurance de santé. Pratiquement, toutes les modifications
législatives depuis l’introduction de la Loi sur l’assurance maladie ont
inexorablement entraîné une hausse du coût pour nous les citoyen(ne)s
et de profits pour l’industrie pharmaceutique. L’obligation de se faire
vacciner permet aux entreprises pharmaceutiques de vendre leurs vaccins,
y compris les frais de publicité obligatoire avec l’argent de nos
impôts. De plus le grand public se doit également de prendre en charge
les coût élevés liés aux dégâts de santé sur un nombre incalculable de
personnes (des coûts encore plus élevés liés à l’enseignement spécial de
nos enfants des écoles et aux soins des personnes âgées etc.).

La loi révisée sur les épidémies et la propagande des morts de Berset:
Le Conseiller Fédéral Alain Berset affirme dans le livret de votation
concernant la révision de la loi sur les épidémies que 2’000 personnes
meurent chaque année d’infections nosocomiales (en milieu hospitalier)
en Suisse. L’avocat Markus Erb dénonce ce chiffre fantaisiste. Ces 2’000
décès de la propagande – ainsi que l’erreur très arrangeante concernant
les droguistes – ont été imaginés par un groupe de travail qui, sous la
houlette du porte-parole du CF André Simonazzi, a conçu et rédigé le
fascicule des votations. La Chancellerie fédérale précise que toutes les
informations factuelles ont été fournies par le département en charge
du thème. Cela veut dire que c’est l’OFSP et le secrétariat général
d’Alain Berset qui portent la responsabilité des faux chiffres et
citations.

Finalement, le Conseil Fédéral à validé le document sans
vérifier la pertinence de son contenu. Pour cela le 22.9.13 NON à la loi
révisée sur les épidémies!

http://www.weltwoche.ch/weiche/hinweisgesperrt.html?hidID=548622

http://data.over-blog-kiwi.com/0/72/53/18/201308/ob_d1966c3e040dca0805f5189b61885f32_weltwoche-berset.pdf »

« Celui qui ne gueule
pas la Vérité,
quand il connaît la vérité,
se fait complice des menteurs
et des faussaires »
(Charles Péguy)

Les cancers
en Afrique étaient
apparus cinq ans après les premières campagnes
de vaccination !!!
Dr. Albert SCHWEITZER Prix Nobel 

Que penseriez-vous di vos données de santé et vos habitudes de voyage venaient à être
fichées, partagées et divulguées?

Voulez-vous qu’une base de données de santé nationale et centralisée
puissent peut être créée (art. 60) et transmis aux institutions
nationales et étrangères (art. 62)?

Si vous allez chez le médecin, vous
êtes présumé malade. Par conséquent vos données médicales peuvent être
enregistrées à l’OFSP.

Ainsi le système système d’information de l’OFSP
va être transformé en une base de données “big brother” jamais vue.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie cybersanté “eHealth
Suisse”, la collecte de données va inclure non seulement les enquêtes
épidémiologiques, mais les données de tous les dossiers des patients à
base de papier et électroniques – c’est-à-dire des résultats d’analyses
médicales, l’appartenance à un groupe à risques etc. En outre, des
informations sur vos itinéraires empruntés, lieux de séjour, vos
contacts avec d’autres personnes etc. Art. 59 + 62 permettent la
divulgation de vos données les plus intimes aux institutions nationales
et étrangères, les organisations internationales etc. Après le secret
bancaire, le secret médical va internationalement à sa perte. En tant
que citoyen jouissant d’une répu­tation intègre, vous pourriez, à cause
de – éventuellement fausses – données médicales, être détenu par une
douane étran­gère, être mis en quarantaine ou être soumis à un
traitement médical forcé, et bien plus encore.
Roger B.





Votation du 22 septembre 2013
NON à la Loi révisée

sur les épidémies (LEpr)
Forum Suisse •
Les arguments en un coup d’œil
1.

La Suisse dispose déjà d’une excellente loi sur les épidémies
2.
Le fédéralisme est un grand avantage –
le centralisme est contraire à la conception de l’Etat suisse
3.

Pas de concentration du pouvoir dans un seul office fédéral (OFSP)
4.
Pas de droit d’urgence au quotidien! ou:
Qu’est-ce qu’une «situation particulière»?
5.

Informer objectivement la population au lieu
d’«influer sur les comportements»

6.
Faire confiance à la population au lieu
d’exiger des vaccinations obligatoires douteuses
7.
Ni surveillance, ni transmission de données personnelles

à l’étranger
8.
Non à l’explosion des coûts pour la Confédération et les cantons
9.
Pour la santé des hommes –

pas pour les gros profits de l’industrie pharmaceutique
10.
Qu’est-ce qui se cache derrière la LEpr?


  1. François de Siebenthal: Non aux vaccins obligatoires

    desiebenthal.blogspot.com/2013/08/non-aux-vaccins-obligatoires.html‎

    13 août 2013 – Pour
    notamment toutes ces raisons, NON à la loi révisée sur les épidémies le
    22.9.13: NON à la mise sous tutelle du souverain sous prétexte 

  2. François de Siebenthal: Plaintes pénales contre des vaccins très

    desiebenthal.blogspot.com/2009/…/plaintes-penales-contre-des-vaccins.h…‎

    5 août 2009 – Des autorités (US) tentent de découvrir comment la compagnie Baxter International Inc., qui fabrique des vaccins, a pu produire du « matériel 

  3. François de Siebenthal: Vaccins H1N1 à partir de cultures

    desiebenthal.blogspot.com/2009/08/vaccins-h1n1-partir-de-cultures.html‎

    7 août 2009 – Novartis par exemple base sa production de vaccins à partir de cultures cellulaires d’embryons humains. Ceci est scandaleux. En cas de 

  4. François de Siebenthal: H1N1, stop vaccins, la suite ?

    desiebenthal.blogspot.com/2010/01/h1n1-stop-vaccins-la-suite.html‎

    9 janv. 2010 – Prenez
    le temps de lire ce courriel et de le méditer, ainsi que d’examiner les
    nombreuses références que j’y ai placées. Et surtout, transmettez 

  5. François de Siebenthal: Vaccins: dangers

    desiebenthal.blogspot.com/2011/11/vaccins-dangers.html‎

    2 nov. 2011 – Certains vaccins sont faits avec des cellules d’embryons humains, du mercure, de l’aluminium, d’autres produits souvent toxiques. S’ ils ne 

  6. François de Siebenthal: Vaccins avec cellules souches

    desiebenthal.blogspot.com/2009/08/vaccins-avec-cellules-souches.html‎

    24 août 2009 – Novartis par exemple base sa production de vaccins à partir de cultures cellulaires humaines. Ceci est scandaleux. En cas de vaccination 

  7. François de Siebenthal: Vaccins H1n1. Les corrompus prennent le

    desiebenthal.blogspot.com/…/vaccins-h1n1-les-corrompus-prennent-le.ht…‎

    9 déc. 2009 – Werner
    Autericky, chef de l’Office de Vienne pour la Protection de la
    Constitution et la Lutte contre le Terrorisme, a démissionné,
    apparemment 

  8. François de Siebenthal: Vaccins, danger…Thousands of women

    desiebenthal.blogspot.com/…/vaccins-dangerthousands-of-women-report…‎

    12 nov. 2009 – Is
    vaccine causing miscarriages? Thousands of women report miscarriages
    after getting the shots, many doctors or midwifes confirmed, look at 

  9. François de Siebenthal: Tamiflu, vaccins au mercure et H1N1, des

    desiebenthal.blogspot.com/…/tamiflu-vaccins-au-mercure-et-h1n1-des.ht…‎

    27 oct. 2009 – La grippe H1N1, fabriquée pour faire du fric ? La presse s’intéresse ce mardi aux commandes pharaoniques de doses de vaccins anti-grippe 

  10. François de Siebenthal: Vaccins à embryons avortés ou cellules

    desiebenthal.blogspot.com/…/vaccins-embryons-avortes-ou-cellules.html‎

    31 oct. 2009 – Merck,
    GSK Merck, GSK Sanofi, Berna GSK Sanofi Merck, GSK Merck GSK. Merck
    Merck. Merck. Sanofi Pasteur Sanofi Pasteur, GSK Sanofi 

1.
La Suisse dispose déjà

d’une excellente loi sur les épidémies
La Suisse dispose déjà d’une excellente Loi sur les épidémies (LEp). Nous n’avons

pas besoin d’une nouvelle mouture. Dès 1970, elle a été adaptée au fur et
à mesure aux nouvelles exigences. Elle remplit entièrement sa fonction.
Les compétences et les devoirs sont clairement réglés
selon notre système fédéral suisse.
Les échanges scientifiques au niveau mondial ont lieu.
Les droits de la personne sont respectés.
La santé publique suisse est reconnue comme une des meilleures au monde.
«Ma conclusion est la suivante:
Cette Loi révisée sur les épidémies
(LEpr) ne sert pas le peuple.»

L’union des droguistes «a renoncé à
prendre position face à la Loi sur les
épidémies, parce qu’en tant que dro
guiste nous croyons au citoyen re

sponsable […] Les autres acteurs im

portants au sein de la santé publique
se comportent différemment: les phar

macies veulent développer une nou
velle activité commerciale dans le

domaine des vaccinations, les méde
cins pourvoient ce domaine depuis

assez longtemps et les multinationa
les pharmaceutiques veulent conti

nuer à développer ce commerce. En
tant que droguiste et député au Grand

Conseil bernois j’ai lu cette loi attenti
vement et me suis formé mon opinion.

Ce n’est pas l’opinion d’une personne
ésotérique ou d’un extrémiste reli

gieux mais d’un entrepreneur de PME
éveillé. Ma conclusion: cette révision
de la Loi sur les épidémies (LEpr) ne
sert pas le peuple.»
Peter Eberhart, député au

Grand Conseil bernois et droguiste,
«Schweiz am Sonntag» du 11/8/13
Chers lecteurs et lectrices,
Il vaut la peine d’étudier soigneusement le texte de cette loi avant de remplir votre bulletin de vote.

Il en va de sa propre responsabilité et de sa liberté individuelle. Le contenu est lourd de conséquences.
Dans ce document informatif que vous tenez en main, nous vous expliquons pourquoi
• le
«Non»
protège
mieux
la
population
• le
«Non»
s’impose
également
pour

des
raisons
institutionnelles.

Une grande partie de la population et
un grand nombre de personnes travail
lant dans le domaine de la santé pu

blique ont lu soigneusement le texte de
cette loi et ont, suite à cela, lancé le ré

férendum. Il a abouti avec un bon score
de 77

750 signatures.
La Loi révisée sur les épidémies (LEpr)
– moins de protection et davantage de diktat


2

Le 22 septembre: NON à la Loi révisée sur les épidémies.

Cette réglementation qui a fait ses
preuves serait jetée au panier avec la
Loi révisée sur les épidémies (LEpr).
Une des
raisons de la révision

est,
selon le Conseil fédéral, d’
«affermir

le rôle directeur de la Confédéra
tion»

(Message du Conseil fédéral
p.
318).

Une partie importante de la santé
publique serait ainsi retirée à la com
pétence des cantons pour la trans

mettre à la Confédération ou à un
Office fédéral spécifique. Les com

munes et les cantons ne fonctionne
raient plus qu’en tant qu’exécutants
des directives centralistes.
Cela est antidémocratique et viole

notre fédéralisme.
Les conséquences peuvent être fa

tales: toute maladie s’avère d’abord
«sur place». Ce sont toujours les pa
tients et les médecins qui y sont con

frontés en premier. Ils doivent réa
gir, décider, prendre des mesures.
Le médecin est en contact avec ses
collègues, connaît les possibilités

qu’offrent les environs, les démarches
à faire et les personnes compétentes.

C’est ainsi qu’il est possible de réa
gir dans les meilleurs délais. En outre,
les médecins et les laboratoires sont
tenus d’informer le médecin cantonal

de toute maladie transmissible dont
la déclaration est obligatoire.
La collaboration internationale va
de soi dans le domaine de la méde

cine.
Jusqu’à présent la quarantaine
d’une personne malade à l’hôpital et
les mesures de protections des soi

gnants sont toujours infiniment plus
efficaces que des mesures imposées
de manière centraliste
. Lors de nou

velles maladies, il n’y a, par exemple,
souvent pas de vaccins disponibles
et ils ne peuvent être développés à
temps avec le soin nécessaire et les
contrôles appropriés.

Les structures et la bureaucratie cen
tralistes sont dans de tels cas beau
coup plus lourdes et les erreurs dans

les domaines décisifs ont des con
séquences bien pires et aussi plus

coûteuses.
C’est ainsi que l’éruption de la très
infectieuse maladie EHEC à Ham
bourg en 2011 a pu être délimitée,

puis stoppée avec succès. Cela n’a
été possible que grâce aux structu

res fédéralistes, c’est-à-dire grâce à
l’étroite collaboration entre les au
torités des divers Länder allemands.
La Santé publique, qui relève de la com

pétence des cantons sera en grande partie
soustraite à la souveraineté de ces derniers
qui deviendront des auxiliaires d’exécution.
L’arrière-pensée semble être la volonté de
réduire les lieux de souveraineté et par là
la force de résistance. Il sera pour l’OMS
beaucoup plus facile de convaincre les bu

reaucrates de l’OFSP et les 26
directeurs
cantonaux de la Santé publique de suivre
les instructions de l’OMS afin de pouvoir,
comme lors de la grippe porcine, semer la

panique pour mieux imposer des mesures
coercitives. Les gouvernements cantonaux
et avant tout les administrations commu
nales sont en grande majorité plus proche

du peuple. Avec ce projet de loi, on veut éli
miner cela.

Dominque Baettig,
ancien conseiller national et médecin,
Conférence de presse à Berne, 15/8/13
2.
Le fédéralisme est un grand avantage –

le centralisme est contraire à la conception de l’Etat suisse
Dispositions de la Loi sur les épidémies en vigueur (LEp)

La santé publique est de la compétence des cantons.
Lors de l’apparition d’une épidémie, chacun sait ce qu’il a à faire –

le corps médical, les hôpitaux, les communes, les cantons
et la Confédération.
La Confédération n’est active que là où les cantons
ne sont pas en mesure de venir à bout de leurs tâches (art. 9 LEp).
Le corps médical et les autorités sont informés régulièrement
des derniers développements de la science. (art. 3 LEp)



Le 22 septembre: NON à la Loi révisée sur les épidémies.
3
Quand l’OFSP
mène la barque
2003: le SRAS se répand en Asie et au Canada.
Le Salon mondial de la bijouterie et des montres devait avoir lieu à Zu
rich et Bâle. Un grand nombre de commerçants se trouvent déjà en Suisse.

Après consultation, la direction du Salon, les responsables politiques des deux
cantons et l’OFSP décident de prendre les mesures médicales suivantes: «Con
trôles médicaux à l’aéroport et port d’une protection buccale au sein du Salon»

(cf. «Messe Suisse dépose recours contre l’ordonnance SRAS de l’OFSP», 15/3/2003).
Dans cette situation, l’OFSP intervient de manière dictatoriale en passant outre
aux prérogatives des cantons et exige auprès du Conseil fédéral le droit de
nécessité (art.
185 Cst). Ainsi il s’est procuré un pouvoir d’injonction pour trois
mois: diktat de Berne, alors que sur place, le problème était déjà résolu.
Que contenait l’ordonnance de l’OFSP? Interdiction d’emploi pour
tout Asiatique au sein du Salon mondial de la bijouterie et des montres
à Bâle et à Zurich. Sans aucune autre mesure!
En pratique, la situation était la suivante: les exposants asiatiques
et tous les visiteurs asiatiques pouvaient voyager librement dans
toute la Suisse et vendre leurs marchandises en dehors du
Salon. En tant que visiteurs, ils pouvaient circuler libre

ment dans le Salon. (Source: NZZ du 16/5/03)
Selon le projet de loi, un simple of

fice fédéral pourrait commander
dans tout le pays.

Avec la loi révisée, l’OFSP pourrait
• imposer
ses

programmes
nationaux à toute la Suisse
(art. 5 LEpr)

• ordonner
aux
cantons

de
prendre des mesures visant
la population (art. 8 LEpr)

• «mener
des
campagnes

à
large
échelle afin d’influer sur les

comportements» (cf. Message
du Conseil fédéral p. 350)
• collecter

nos
données
person­

nelles, y compris celles concer
nant la santé (art. 59, 60 LEpr)

• transmettre
nos
données

per­
sonnelles également à des
autorités étrangères ou à des

organisations internationales
(art. 62 LEpr).
Pouvoir totalitaire pour l’OFSP
Suppression de la séparation
des pouvoirs

Avec la loi révisée, l’OFSP occuperait
tous les trois pouvoirs:
il pourrait défi
nir les bases de la lutte contre les épi

démies
(fonction législative),

parallèle
ment il donnerait des instructions aux

cantons, à la population, au personnel
soignant et aux laboratoires
(fonction
exécutive),
et pour terminer, il «contrô

lerait» et «évaluerait» ses propres acti

vités abusives
(fonction permettant de
judiciariser ce domaine politique).
On ne peut pas accepter que notre
santé et la manière dont on gère les

questions sanitaires soient l’affaire
d’une bureaucratie centralisée – nulle

part dans le monde un tel système s’est
avéré supérieur à l’échange d’idées
entre les hommes et les spécialistes.
Selon les «Explications destinées
aux électeurs» la suppression de

l’indépendance des cantons au
rait eu lieu «à la demande des

cantons». Par «cantons» le Con
seil fédéral entend une petite dé

légation de la «Conférence des di

rectrices et directeurs cantonaux
de la santé» (CDS), qui ne corre

spond nullement à un gouverne
ment élu par le peuple et qui n’a

aucun pouvoir de décision.
Voilà une solution sensée, trouvée
d’un commun accord, annulée par
une directive centraliste de l’OFSP.
S’il y avait réellement eu un danger

rieux, cette directive de l’OFSP au

rait pu avoir des conséquences cata
strophiques.

L’OFSP se souciait-il vraiment de la
protection de la population ou vou
lait-il utiliser cette occasion pour
créer un précédent pour s’arroger da

vantage de pouvoir?
«Si la Suisse est capable de résoudre une

situation de crise ou non, dépend des per
sonnes et pas des lois. Une bonne loi se
rait utile mais la loi révisée ne créerait

que de la confusion.»
En réponse à une question, il a dé

claré: «Pour moi, la raison principale de
m’opposer à cette loi est que c’est une
législation très imprécise qui continent
beaucoup d’articles malléables, voire
modulables à souhait. Avec ceux-ci nous

donnons à l’OFSP la liberté de tout régle
menter par voie d’ordonnance.»

Peter Eberhart,
député du Grand Conseil bernois
Conférence de presse à Berne, 15/8/13

3.
Pas de concentration du pouvoir
dans un seul office fédéral (OFSP)!

Quelles étaient les véritables inten
tions de l’OFSP?

Avec la loi révisée, l’OFSP obtiendrait
de manière permanente un droit de
nécessité.



4

Le 22 septembre: NON à la Loi révisée sur les épidémies.

4.
Pas de droit d’urgence au quotidien! ou:
Qu’est-ce qu’une «situation particulière»?
Qui décide quand il y a une «situation particulière»?
Pour la première fois, l’OMS obtient un
droit décisionnel en Suisse ancré dans
une loi suisse.

«Il y a situation particulière quand:
[…] l’Organisation mondiale de la
santé (OMS) a constaté la présence
d’une urgence sanitaire de portée in

ternationale menaçant la santé de
la population en Suisse (art.
6, al.

1b
LEpr).»
Le terme de la santé publique corre

spond au terme américain de «public
health». C’est un terme qui contient
aussi la notion d’intérêts économiques.
Il ne s’agit donc pas uniquement et en
première ligne de la santé des per

sonnes, mais aussi des affaires. Avec
cette loi, la Suisse transférerait une

partie de sa souveraineté à une orga
nisation internationale. En Suisse, nous
pouvons corriger les décisions erronées
de nos autorités. Sur les organisations
internationales nous n’avons guère
d’influence.

L’exemple de la grippe porcine
En 2009, l’OMS a proclamé le niveau de
pandémie le plus élevée pour la grippe
porcine (niveau
6). Toutes le mesures

que l’OMS a conseillé, ont été reprises
par l’OFSP pour la Suisse – sans qu’il y ait

eu un réel danger: très rapidement, on
a constaté, que la grippe porcine était

moins dangereuse qu’une grippe sai
sonnière normale.

Néanmoins, le niveau
6 de pandémie
a été maintenu. Un grand nombre de

personnes ne se sont pas fait vacciner,
avec de bonnes raisons. Le contrôle des

vaccins laissait beaucoup à désirer: on
ne connaissait réellement ni le contenu,

ni les effets, ni les effets secondaires. En
outre, on a appris par d

autres sources
qu’un des vaccins contenait du mercure
mais l’autre pas – à qui voulait-on appli
quer le mercure?

Avec la loi révisée la porte serait
grande ouverte pour des mesures co
ercitives dans de tels cas ou des cas
semblables («situation particulière»).

Depuis que des informations multip
les sur les prises d’influences masquées
et les pressions exercées par l’industrie
pharmaceutique sur l’OMS sont acces
sibles, des doutes sérieux envers cette

loi révisée sont indiqués.
Et qui a payé la facture? Sur recom

mandation de l’OMS, la Confédération
et quelques cantons à eux seuls s’étaient

procurés du Tamiflu pour 4
millions et
également pour 56

millions de francs
des doses de vaccins contre la grippe
porcine. Quelques temps plus tard, la
grande partie de ces substances a dû
être incinérée dans des fours spéciaux

et à grand frais.
Exemple pour
une «situation particulière»

Selon le Message du Conseil fédéral
(p. 344), la grippe saisonnière annu
elle, c’est-à-dire une «pandémie mo

dérée d’influenza», en fait partie …
Pour réduire les infections dans les hôpitaux,

la loi révisée n’est pas nécessaire
Pour empêcher les infections nosoco
miales, il faut une
bonne hygiène des

mains
(Hugo Sax, La vie économique
12-2006) – la Loi révisée sur les épidé
mies ne sert strictement à rien. Les ré

sistances contre les antibiotiques sont
un problème sérieux, il faut soigneu
sement réfléchir à l’utilisation de ces

substances pour l’homme mais aussi
pour les animaux. Cela fait partie de
l’instruction de base et de la formation
continue des médecins.
Lors de troubles existants ou immi

nents menaçant gravement l’ordre
public, le gouvernement suisse peut,
selon la Constitution fédérale, édic

ter des ordonnances limitées dans le
temps (art. 185 Cst). D’après la Loi
sur les épidémies en vigueur, le Con
seil fédéral ne peut ordonner des

mesures urgentes (droit d’urgence)
qu’en cas de «circonstances excep

tionnelles».
Avec la loi révisée, on introduirait
le terme de «situation particulière»
(art. 6 LEpr). Ainsi le Conseil fédé

ral pourrait par la bande restreindre
massivement les droits de liberté du
citoyen. En se référant à des «situa
tions particulières», l’OFSP obtien

drait la possibilité de gouverner par
droit d’urgence, même s’il n’y a pas
d’épidémie dangereuse en vue.
La Confédération obtiendrait la

compétence, de «déclarer obliga
toires des vaccinations» pour certains
groupes de la population. Le comité
de soutien à cette loi révisée tente de

faire croire qu’il s’agit «uniquement»
du personnel médical – mais cela
n’est pas vrai. Car dans la loi, il est dit:
«vaccinations obligatoires pour les
groupes de population en danger»

(art. 6, al. 2d LEpr) – et cela pourrait
vous concerner autant que moi.





GrippeA,
H1N1, (Grippe porcine) lettre à distribuer
autour de vous!
H1N1
un peu de logique Messieurs les experts !
Pourquoi
je refuse catégoriquement le vaccin
contre la grippe H1N1 ?
Grippe
“porcine” vacciner ou pas ? (Dr
Marc Girard)
Quelques
statistiques des chiffres qui parlent !
Des
preuves médicales irréfutables
du danger des vaccins
La
responsabilité de la presse
H1N1,
Discours de la ministre polonaise de la santé devant
le parlement
Un
petit garçon de 4 ans, proche de la
mort après avoir reçu le vaccin
H1N1


…..Les
Vaccins
Le
tétanos
La
diphtérie
La
poliomyélite
A suivre………..
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