Edito: Dire oui à l’enfant

patriceLes
troupes sont squelettiques: les militants anti-avortement, une poignée
de politiciens évangéliques et quelques ténors de l’UDC comme Oskar
Freysinger ou Fabienne Despot. En face, toute la Suisse officielle ou
presque.
Déjà rejetée par les Eglises
protestantes, l’initiative qui veut interdire le remboursement de
l’avortement par les caisses-maladie n’a pas reçu le soutien des
évêques. Sur le site cath.ch, le philosophe François-Xavier Putallaz
parle d’une démarche «irréfléchie et déloyale» et les chroniqueurs et
lecteurs de l’Echo sont du même avis (voir en pages 9 et 46).
Les faiblesses de ce texte sont connues
et je ne vais pas les rappeler ici. Mais je ne me joindrai pas à la
curée. Parce que les opposants à l’initiative n’ont pas besoin de ma
voix. Et parce qu’un «non» le 9 février ne règlera rien. Dix mille
embryons sont éliminés chaque année en Suisse. La mort de ces petits
êtres ne peut pas nous laisser tranquilles comme s’ils étaient un déchet
inévitable de la sexualité humaine. L’avortement n’est pas un droit,
comme le disent les tracts féministes distribués ces jours-ci dans les
rues: c’est l’abandon du plus petit d’entre nous, de celui qui a le plus
besoin de notre aide..

“On n’avorte pas seulement par manque d’argent.”

Disant cela, je ne montre pas du doigt
celles qui renoncent à poursuivre leur grossesse, parfois bien malgré
elles. Je ne crois pas non plus – à la différence de mes jeunes années –
qu’une politique plus sociale suffirait à réduire leur nombre. La
France est généreuse avec les familles, mais les interruptions de
grossesse y sont proportionnellement plus nombreuses qu’en Suisse. On
n’avorte pas seulement par manque d’argent.
Le refus de la vie est complexe et
mystérieux. Dans la longue histoire des hommes, aucune société n’a été
aussi riche – globalement parlant – que la nôtre. Aucune n’a disposé
d’un tel pouvoir sur la nature, aucune n’a été aussi désireuse
d’épanouissement personnel. Mais les familles n’ont plus d’enfants.
Comme si la femme et le couple ne pouvaient plus accepter des bébés qui
sont toujours un souci avant d’être un cadeau. Par manque de confiance
en l’avenir? Par volonté de tout maîtriser, en particulier la
contraception? Par solitude? Il y a un peu de tout cela, sans doute, et
aussi l’incertitude sur ce qui fait que toute vie vaut la peine d’être
vécue.
L’initiative sera balayée le 9 février
prochain, c’est probable. Mais je rêve que chacun, quelle que soit son
opinion, profite de ce débat pour dire l’immense bonheur que donne un
enfant. Même quand il arrive au mauvais moment. Et qu’on retrousse ses
manches pour redonner à ce pays la joie de vivre qu’il a perdue.

 http://www.echomagazine.ch/index.php?option=com_content&view=article&id=571:dire-oui-a-lenfant&catid=18:edito&Itemid=81

Pour une initiative réaliste contre les dérives de l’avortement

Olivier Dehaudt, président de
l’association Choisir La Vie parle de l’initiative sur le financement de
l’avortement, des qualités qu’il lui trouve, et de son combat pour la
vie.

<p>Olivier Dehaudt (Photo: Pascal Fessard)</p>
Olivier Dehaudt (Photo: Pascal Fessard)

L’initiative pose un problème économique, mais ne sert pas la cause à défendre en abandonnant la question à la sphère privée.
Olivier Dehaudt: Je comprends la critique. Mais aujourd’hui difficile
de remettre en cause l’avortement en lui-même. Je suis profondément
pour la vie et je considère que chaque avortement est la suppression
d’une vie humaine. C’est un drame pour la famille, pour la société
entière. En même temps, c’est quelque chose qui existe et qui a toujours
existé, comme la prostitution. Essayez de l’interdire, les personnes
auront recours à des réseaux parallèles. Il vaut mieux le cadrer.
En 2002, un régime des délais a été voté, non pas avec un droit comme
disent les opposants, mais une dépénalisation de l’avortement dans des
situations très strictes et très précises. Simone Veil, quand elle a
promu la loi française sur l’avortement, disait qu’il doit rester
l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. Selon le
code pénal suisse, l’avortement reste un crime, il est punissable sous
certaines conditions, mais pas dans des situations de danger pour la
femme ou de profonde détresse.
Or, aujourd’hui, en dix ou onze ans, on observe un glissement vers un
droit à l’avortement, une liberté, une autodétermination face à la
grossesse. La majorité des avortements se pratique pour des motifs de
grossesse non désirée. L’initiative attaque sur le point de vue
financier, elle aurait pu attaquer sur d’autres sujets. Je n’ai pas
participé à sa rédaction, mais je la soutiens. Au moins rappelle-t-elle
l’esprit du régime des délais, conçu pour des exceptions. En 2010, le
message du Conseil Fédéral face à Doris Stump, qui demandait la gratuité
de la contraception, était de dire qu’il est de la propre
responsabilité des assurés d’éviter les grossesse non désirées. La vie
sexuelle des gens relève de la vie privée. J’ai entendu un certain
président le dire. Aujourd’hui, sur les 11’000 grossesses avortées par
année, il y en a au moins 10’000 conçues entre des adultes consentants,
dans une relation d’amour ou de désir. Des adultes tout de même
responsables, majeurs, il y a quand même une responsabilité à assumer.
Pourquoi la collectivité devrait-elle prendre en charge ce qui relève de
la responsabilité des individus. Voilà finalement la question.

En suivant l’initiative, on pourrait se retrouver avec des
complémentaires assurant contre la fertilité féminine. N’est-ce pas
abandonner la femme ?

Ca relève toujours de la responsabilité de la femme. Le discours est
biaisé. Aujourd’hui la femme peut demander l’avortement sans consulter
l’autre géniteur. J’ai rencontré des hommes qui pleuraient parce que
leur copine avait choisi d’avorter alors qu’eux-mêmes voulaient garder
l’enfant. D’un côté ils n’ont rien à dire et de l’autre ils se
déchargent en disant: «C’est pas mon problème, tu n’as qu’à avorter. De
toute façon c’est gratuit. Tu choisis, c’est le gosse ou moi.» Il y a
une pression faite par les hommes. Et je suis surpris du discours des
féministes qui proclament là une liberté. Mais les hommes peuvent se
désolidariser totalement alors que si l’avortement n’était pas pris en
charge, la femme pourrait exiger du géniteur qu’il aligne le poignon.
[rires]

Combien coûte un avortement ?
Les chiffres oscillent entre 600 et 3000 francs. Normalement, toutes
les prestations remboursées par la LaMal doivent faire l’objet d’études
scientifiques pour valider si le remboursement est nécessaire et
rentable. Or, en 11 ans, on ne dispose d’aucune étude scientifique et
économique sur le sujet de l’avortement. Alain Berset était parti, il y a
2 ans, en articulant un coût de 20 millions; avant l’initiative, comme
par hasard, on ne parlait plus que de 8 millions. Tous les frais
annexes, les consultations qui suivent l’avortement, les arrêts de
travail, les problèmes de dépressions, toutes les complications ne sont
pas prises en compte dans ces calculs. On se retrouve face à une
estimation faire par Alain Berset, pas une véritable étude. Cette
absence est contraire à la loi fédérale sur l’assurance maladie.

Et comment expliquer qu’on occulte, qu’on ne veuille pas connaître les faits ?
J’observe que, chaque année, des politiques de gauche proposent des
motions au parlement pour demander la gratuité des contraceptions, la
gratuité des pilules du lendemain et bientôt pour la gratuité de
l’avortement. C’est ce qui s’est passé en France avec le gouvernement
socialiste. Il a instauré depuis janvier 2013 la gratuité pour tout.
L’initiative est prophétique car elle veut mettre un frein à cette pente
glissante.

Est-ce que notre pays risque de suivre la pente française, qui a érigé la liberté d’avorter en paradigme ?
Les Suisses diffère des Français. La démocratie y est plus forte. Je
suis plus optimiste, mais je reste vigilant sur ces sujets. Il faut
relancer le débat.
Je trouvais très bien le témoignage sur Infrarouge d’une mère de trois
enfants, qui avait avorté du quatrième en le regrettant aujourd’hui,
disant: «Si ce n’était pas aussi facilité, si j’avais dû payer de ma
poche, j’aurais réfléchi et cet enfant je l’aurais gardé.» Moi-même, je
suis responsable d’un avortement et je pense que si j’avais dû payer
1000 francs, on l’aurait peut-être gardé. Si tout est gratuit, il n’y a
plus de conscientisation, de responsabilisation de l’individu.

1000 francs, est-ce déjà un chiffre permettant de prendre conscience d’un tel acte ?
Quelle que soit la somme, à partir du moment où il faut payer, nous
sommes interpelés. On réfléchit. Difficile de trouver d’autres moyens,
avec l’état d’esprit de notre société de consommation, pour interpeler
les gens. Je me situe dans un débat très réaliste, pas au niveau
éthique.

De plus en plus, on penche pour la liberté contre la vie.
On dérive vers la considération qu’un enfant est un bien de
consommation. Quand il doit venir, si ce  n’est pas le bon moment, on
l’élimine. Si on ne peut pas en avoir, on recourt à la procréation
médicalement assistée ou à la gestation pour autrui. S’il risque d’être
malade, on va manipuler l’embryon, les cellules. Comme si l’on voulait
construire un monde parfait, par nous-mêmes, avec nos propres forces et
notre propre intelligence, on risque de se planter assez gravement.
A long terme, dans 20 ans, plus personne peut-être ne pensera avorter.
On nous prendra pour des fous; toute époque a ses travers.

L’accueil d’un enfant c’est toujours un bouleversement dans une vie,
que ce soit pour la femme, pour la famille, pour la société. Il faut
apprendre à se laisser bouleverser. Aujourd’hui, on veut tout maîtriser.
La vie est là pour nous montrer que l’on ne maîtrise pas tout. L’enfant
ne se programme pas, il se reçoit. Si je veux offrir un cadeau à
quelqu’un, rien ne m’oblige d’attendre son anniversaire. Après la
personne peut me le reprocher. «Ce n’était pas le bon moment». Ou alors
elle peut simplement dire «merci beaucoup, c’est gentil». [rires]
On est amené à rencontrer des femmes, des jeunes filles de 17 ans qui
accueillent la vie dans des situations pas faciles, mais qui veulent
garder leur bébé: «Ce bébé c’est toute ma vie, mon bonheur, mon rayon de
soleil.» Je me dis voilà le bouleversement de la vie!

Est-ce que l’intérêt de l’association Choisir La Vie serait
d’offrir à des jeunes femmes que tout pousse à avorter de pouvoir garder
cette vie malgré tout?

Il existe le rôle institutionnel, par exemple le planning familial en
France, d’informer sur la contraception et l’avortement. Il devait y
avoir séparément une autre institution qui s’occupe de la famille, de la
promotion de la vie. On ne peut pas faire les deux sans ambivalence. On
ne peut pas, dans la même maison, annoncer qu’ici on va avorter, mais
«qu’éventuellement vous pouvez gardes votre enfant». Dans les années
quatre-vingt, il y avait plus de 1000 adoptions d’enfants suisses,
aujourd’hui il reste 180 adoptions par an pour 1000 avortements. Et
plein de gens ne pouvant avoir d’enfant attendent pour l’adoption et
finissent par recourir à la procréation médicalement assistée ou la
gestation pour autrui. On est dans un paradoxe. Alors qu’il y a tant
d’enfants qui pourraient faire le bonheur d’une autre famille. Ma femme
est une orpheline, je suis bien heureux qu’elle n’ait pas été avortée.

Qui est Olivier Dehaudt?

A l’âge de 14 ans, j’ai tout envoyé balader, le bon Dieu et l’Eglise.
Après, j’ai vécu ma période anarchiste, gauchiste, Marijuana, enfin
tout ce qu’on veut. [rires] J’ai bouffé du curé, j’aurais bouffé le pape
si je l’avais rencontré. Et il y a eu cet avortement. Une année plus
tard, j’ai sombré dans une grosse dépression avec une seule question,
quel est le sens de ma vie?
Je n’avais pas fait le lien tout de suite, mais après-coup, je crois
que ces deux évènements étaient profondément liés. J’ai commencé à
chercher, par instinct de survie, dans le New-Age, dans l’Islam,
jusqu’au jour où dans mon coeur il y a eu une parole très forte: «Tu as
reçu une éducation chrétienne, tu as été baptisé, tu n’as peut-être pas
besoin de tout recommencer ailleurs pour te découvrir.»
Pour moi, c’était Dieu qui me parlait. Enfin, c’est une expérience
difficile à expliquer. Du jour au lendemain je ne suis plus allé à la
mosquée. Il a encore fallu quelque temps avant que je m’asseye dans une
église. Ce jour-là, d’autres personnes sont venues, un prêtre aussi, qui
a célébré la messe. C’était la messe du mercredi des cendres. J’ai reçu
des cendres sur le front et puis c’était… voilà… «Convertis-toi et
crois à la bonne nouvelle!» Ce fut le début d’une redécouverte de
l’Eglise.
Du coup, j’ai rencontré les capucins, les évangéliques, des groupes de
prières, des jeunes qui chantaient. J’avais jamais vu ça. Je suis arrivé
en Suisse avec les capucins, à St-Maurice. Là, j’ai rencontré la
Fraternité Eucharistein. J’y ai passé sept années formatrices. Plus la
communauté se structurait en communauté religieuse, plus je me rendait
compte que ce n’était pas ma place. Je suis parti, j’ai trouvé un
travail, rencontré ma femme que j’avais déjà croisée à Eucharistein,
sans jamais penser qu’un jour elle serait mon épouse. Nous avons cinq
enfants aujourd’hui.
Je connaissais déjà Choisir La Vie. Son ancien président, Patrick
Progin m’a demandé de participer au comité. Au début j’hésitais à y
aller, je ne voulais pas remuer les choses du passé. Finalement, j’ai
été, je suis devenu vice-président, puis président et maintenant
directeur. Un jour, dans la prière, la réponse du Seigneur était: «Tu
n’as pas besoin de faire tout cela pour racheter ce que tu as fait,
parce que c’est pardonné par ma mort sur la croix [profond soupir]
fais-le par amour.» Voilà.
http://www.cath.ch/detail/pour-une-initiative-r%C3%A9aliste-contre-les-d%C3%A9rives-de-lavortement

Avortement : le pape dit son «horreur» et dénonce la «culture du déchet».

 «La seule pensée que des
enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l’avortement,
nous fait horreur», a-t-il lancé dans un passage où il critiquait la
«culture du déchet» qui ne s’applique «pas seulement à la nourriture ou
aux biens superflus qui sont objets de déchet, mais souvent aux êtres
humains eux-mêmes, qui sont “jetés” comme s’ils étaient des “choses non
nécessaires”».

Mais la mise au point la plus forte – et
sans aucune ambiguïté de sa part -, le Pape l’a donnée de façon plus
argumentée dans une exhortation apostolique, donc un document très
officiel, publié le 24 novembre 2013 et intitulé «La Joie de
l’Évangile». Dans un passage où François disserte sur la défense des
plus «faibles», il écrit: «Parmi ces faibles, dont l’Église veut prendre
soin avec prédilection, il y a aussi les enfants à naître, qui sont les
plus sans défense et innocents de tous, auxquels on veut nier
aujourd’hui la dignité humaine afin de pouvoir en faire ce que l’on
veut, en leur retirant la vie et en promouvant des législations qui font
que personne ne peut l’empêcher.»

Comme le disait et l’écrivait M. Dominique Giroud:
«Chaque civilisation a l’ordure qu’elle mérite.»

http://www.raphaelbaeriswyl.ch/pdf/Le-Pacte-des-Idoles.pdf

http://www.barruel.com/avortement-doc.html

.

copie de http://webhome.infonie.fr/saura/crime.html
L’AVORTEMENT EST UN
INFANTICIDE

en voici l’horrible preuve !!!

Sommaire : IntroductionLe début de la vie – La
loi Veil – Les
methodes d’avortement
Que deviennent les
foetus et les bébés avortés
Les risques de
l’avortement
Conclusion.

Début de l’article, cliquez ICI

LES METHODES
D’AVORTEMENT

Il est prouvé dans le chapitre “le début de la vie”
que l’enfant, dès sa conception, est un être humain qui se développe de façon
naturelle dans l’enveloppe maternelle. C’est donc une personne qui est tuée,
comme le montre très bien la vidéo “le cri silencieux” (ou en commandant la vidéo à
la DFT)
.
Les réactions de l’enfant dans le ventre de sa mère y sont filmé. On peut voir
comment l’enfant tente de résister à cette horrible agression extérieure. Comme
un adulte sous la torture, il ouvre la bouche comme pour pousser un hurlement de
douleur; l’enfant tente de fuir l’instrument chirurgical qui va le tuer et
cherche à se réfugier dans une autre partie du ventre de sa maman. Je vous
recommande particulièrement cette vidéo et de la présenter aux mamans avant que
l’irréparable ne soit accompli.

Les téchniques
employées

Les méthodes employées pour pratiquer un avortement sont les suivantes:
Le curtage : Un instrument coupant est introduit dans l’utérus afin de
détacher l’enfant de la matrice. Cette intervention découpe l’enfant par morceau
et l’arrache de la cavité utérine !!

L’aspiration : C’est la méthode la plus répendue
pour les avortements jusqu’à 10 semaines. Le col de l’ut’érus est dilaté,
puis à l’aide d’un aspirateur dix fois plus puissant qu’un aspirateur
ordinaire, l’enfant est littéralement déchiqueté, broyé et aspiré. Son
corps n’est plus qu’un amas informe. Les morceaux sont recueillis dans un
bocal relié à la canule.
photo 1

La pilule RU 486 : Cette pilule est une substance chimique qui stoppe
la survie de l’oeuf; l’enfant n’étant plus alimenté, il meurt de faim.
La
cible principale de ce produit était destiné à tuer des millions d’enfants du
Tiers-Monde; mais les puissants groupes de pression, dont le planning
familial
, ont tout fait pour autoriser cette pilule dans le monde
entier.

L’injection de sel : Cette méthode abortive est
sans aucun doute la plus barbare de toute. Elle est utilisé après la
16ème semaine lorsqu’il y a suffisamment de liquide
amniotique autour du bébé. On retire une certaine quantité de ce liquide
et on le remplace par une quantité équivalente d’une solution saline très
concentrée. Le bébé avale ce liquide qui va alors lui provoquer pendant de
nombreuses heures des convulsions extrèmement violentes qui vont le brûler
vif. La mère est sous anesthésie car cette torture embryonnaire la ferait
souffrir à elle aussi, et elle ressentirait très fortement les mouvements
de son enfant agonisant. Dans les 24 heures qui suivent, elle expulsera un
enfant mort dont la peau est complètement carbonisée.
enfant carbonnisé par injection de sel
Poubelle d'une clinique d'avortement  Injection de prostaglandines : Les
prostaglandines sont des hormones qui, injectées, vont provoquer des
contractions de l’utérus d’une extrème violence; à tel point que l’enfant
est éjecté dans les 48 heures. Il arrive parfois que la tête du bébé se
détache de son corps. Pire encore: parfois, le bébé survie à ce choc, et
dans ce cas il est tué, puis jeté à la poubelle.
(Les prostaglandines utilisées pour provoquer un avortement sont
toujours chimiques et administrées à très fortes doses. Avant la
législation réglementant cette tuerie, les produits utilisés étaient le
permanganate de potassium, le plomb, le mercure, l’arsenic, le phosphore
blanc, la quinine… ce qui bien sur provoquaient parfois aussi la mort de
la femme.
La législation n’a fait que légaliser ce qui existait déjà;
la science a fait le reste…)

Bébé laissé sans soin, jusqu'à sa mort! L’hystérotomie :Cette méthode est utilisée pour les
avortements tardifs et est identique à une césarienne. L’enfant nait
vivant, mais est tué par le médecin ou laissé sans aucun soin jusqu’à ce qu’il
meurt. L’agonie peut alors durer des heures…
L’hystérotomie est le prélude
à l’euthanasie, grand rève de Hitler! De l’aveu même d’un médecin
avorteur néo-nazi, celui-ci déclara déjà en 1974: “Nous envisageons le temps
où une mère aura le droit de faire tuer son enfant jusqu’à quelques heures après
sa naissance. Quand un bébé est né, sa mère devrait pouvoir l’examiner,
s’assurer de sa conformité à des normes, et décider s’il doit vivre ou non; mais
il reste bien du chemin à parcourir avant que cela soit admis par la société
dans son ensemble… Il faut avancer pas à pas. Ce qui vient ensuite sur
l’agenda, c’est l’euthanasie
. Nous essayons de comprimer la vie, de la
télescoper, de façon que l’existence de tous s’achève au soixantième
anniversaire et que le gros de la population soit entre vingt et cinquante ans.
Tout cela entre dans le cadre de la puissance nécessaire pour remodeler le
monde.”
(extrait du livre “babies for burning” (bébés au feu), publié
en 1974).
Dans le même registre, Jacques Attali, ancien conseiller économique de
François Mitterrand, a déclaré lors d’une interview, en 1980: “L’homme vit
plus longtemps que par le passé. Dès qu’il dépasse 60/65 ans, il ne produit plus
et il coûte cher à la société… L’euthanasie sera donc, dans tous les cas de
figure, un des instruments essentiels de nos sociétés futures. Des machines à
tuer permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou
économiquement trop coûteuse.”
(publié dans le livre de Michel
Salomon: “l’avenir de la vie”, ed. Seghers – ISBN: 2-221-50237-X). Le mot
est lâché!… Face à la dénatalité, aux nombres de chômeurs qui sont autant de
cotisants en moins pour payer les soins des malades et les pensions des
retraités qui vivent “plus longtemps que par le passé”, la solution la
moins “coûteuse” serait donc l’euthanasie!. Une société qui inscrit la
mort dans son idéal, court inéluctablement à sa perte
!.

Que deviennent les
foetus et les bébés ?

Les foetus sont incinéré ou jeté aux ordures… tout du moins c’est la
réponse officielle. Pourtant, en pratique, un véritable marché du foetus s’est
développé, rapportant des sommes d’argent considérables aux cliniques et
hôpitaux pratiquant des avortements.
Des médecins ex-avorteurs confient que lorsque les foetus peuvent être
mis de côté, ils sont vendu aux laboratoires de produits chimiques qui les
utilisent pour en faire des cosmétiques. Là encore, nous sommes en plein dans
des pratiques nazis puisque les SS fabriquaient eux aussi du savon avec la
graisse des juifs!…
Aux Etats-Unis, dont l’avortement est pratiqué jusqu’au 9ème mois de grossesse, les bébés sont vendu à la recherche pour
des expérimentations scientifiques (exposition à des radiations nucléaires et
autres…)
ou à la recherche médicales!.
En Belgique, des femmes sont payées pour porter leur enfant indésirable
jusqu’au sixième ou septième mois afin de le céder ensuite, bien vivant, à la
médecine ou à l’industrie cosmétique comme matière première.

En France, des embryons humains sont actuellement en congélation à
Jouy-en-Josas, et rien n’interdit de penser qu’ils pourraient être réimplantés
dans une ou plusieurs décénies dans la matrice de leur arrière petite-fille
génétique.
Enfin, pour clore ce chapitre, il est à noter qu’il existe une coïncidence
assez troublante entre ceux qui fournissaient à Hitler le gaz de la mort et ceux
qui fabriquent aujourd’hui la pilule abortive RU 486. Ceci nous ramène au procès
de Nüremberg: les dirigeants du cartel IG Farben y ont été inculpés pour
crimes de guerre, car ayant fourni à travers leur filiale Degesch le tristement
célèbre Zyklon B, gaz de la mort, utilisé pour l’extermination des juifs dans
les chambres d’Auschwitz. Ces livraisons du gaz mortel étaient parfaitement
légales car la loi allemande de l’époque autorisait la liquidation des juifs.
Comme IG Farben, Roussel-Uclaf fabrique légalement un poison mortel.
Curieusement, IG Farben n’a pas été démantelée après la seconde guerre mondiale;
mais a été simplement divisée en trois groupes:

  • Le groupe BASF
  • Le groupe Bayer
  • Le groupe Hoechst

Hors, Roussel-Uclaf est entièrement contrôlée (à 54% du
capital)
par le groupe Hoechst, issu de IG Farben!!.

Les risques de
l’avortement

Les chiffres de l’Organisations Mondiale pour la santé sont clairs: 180.000
femmes dans le monde meurent chaque année des suites d’un avortement légal, soit
1 décès pour 300 avortements. Il est donc prouvé que l’avortement a deux fois
plus de risques de tuer la femme qu’un accouchement normal.
Sur le plan médical, la femme multiplie par deux le risque d’un cancer du
sein en raison du bouleversement hormonal causé par l’arrêt brutal et prématuré
de la grossesse.
Il y a également risque pour les accouchements qui suivent un avortement: la
femme peut donner naissance à un enfant mort-né car le sang de la mère aura
fabriqué des anticorps.
Enfin, il est prouvé que 50% des stérilités sont consécutives à un ou
plusieurs avortements.

CONCLUSION
La femme peut, bien sur, décider en toute liberté si elle veut avoir une vie
sexuelle; mais par respect de sa personne elle doit exercer la maîtrise de son
corps avant la conception, car une fois que l’enfant est conçu, même s’il est
encore au stade de zygote, la décision de tuer ou de laisser vivre l’enfant ne
concerne plus la femme seule: elle concerne d’abord l’enfant, dont l’avis, et
pour cause, ne peut être demandé. En effet, si la femme a parfaitement le droit
de disposer de son propre corps, l’enfant dispose lui aussi d’un droit
absolu.
bébé de 21 semaines sauvé par les médecinsDu
point de vu biologique, le foetus n’est pas un appendice du corps maternel. Bien
que nourri et logé par lui, il est totalement distinct. Son patrimoine génétique
est différent et il fabrique son propre sang qui n’entre jamais en contact
direct avec celui de sa mère. Il lui arrive d’être malade, de mourrir, alors que
la mère est en bonne santé. Inversement, la mère peut-être malade sans que le
foetus s’en ressente. Bien des fois, on a retiré un foetus vivant du ventre de
sa mère qui venait de mourir, et on arrive même à maintenir parfois une femme
enceinte décédée en survie biologique artificielle afin de permettre au foetus
de pouvoir se développer in utero jusqu’au seuil de viabilité et le
retirer ensuite vivant pour qu’il achève sa gestation en couveuse.
Il y aurait encore beaucoup à dire sur l’avortement, aussi je vous conseille
de lire deux exellents livres et de regarder une vidéo sur ce sujet
(disponibles à la DFT):
– “Bébés au feu“, de Michael Litchfield et Susan Kentish – Ed.
apostolat des éditions, 1978, 243 pages. (ISBN France: 2-7122-0050-0): 50 F; ou
Ed. Paulines ( ISBN Canada: 0-88840-469-7)
– “L’avortement, la tragédie
cachée d’une société qui s’effondre
“, de Daniel Rivaud et Alexandre Lukasik
– Ed. Nouvelle alliance, 1994, 280 pages. (ISBN: 2-940054-02-9): 60 F
-Vidéo
le cri silencieux“, du Dr. Nathanson – Ref: TVP 993, 30 mn. – 150
F.

Où vont les âmes des enfants
avortés ?

Il vient donc d’être prouvé que l’embryon est un enfant au stade de
développement et que l’avortement tue ce bébé. A partir de là, il est légitime
de se poser la question où vont les âmes de ces petits êtres.
Nous le savons,
personne ne peut entrer dans le Royaume de Dieu s’il n’a pas été régénéré par
l’eau et par l’esprit (Bible: Jean III-5), c’est ce qu’on appele le
baptème
. Les bébés avortés n’échappent pas à cette règle dictée par Dieu.
Toutefois, beaucoup de grands saints, tel saint Augustin et les nombreux
docteurs de l’Eglise s’accordent à dire que les âmes de ces bébés sont dans un
lieu appelé “les limbes” où ils ne peuvent voir Dieu, mais où ils ne souffrent
pas non plus. Ils sont toutefois privé du bonheur du paradis. C’est pourquoi il
est nécessaire de baptiser l’embryon car, sans celà, en lui volant la vie
temporelle on le priverait également de la vie éternelle. Là encore, son sort
dépend complètement de la volonté des autres, et sutout des membres de la
famille.
Beaucoup de catholiques ne le savent pas, mais toute personne (même non baptisée) a le droit de baptiser en cas
d’extrême urgence. En conséquence, savoir donner ce sacrement est primordial
lorsqu’on se trouve face à un bébé non baptisé en danger de mort. L’absence de
parrains n’est pas, en soi, une nécessité dans ce cas là.
Dans le cas où l’embryon séparé de sa mère vit encore, il faut le baptiser
sans délai par trois aspersions d’eau en disant:
N, Je te baptise
au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit”.

(N étant un
prénom chrétien ; exemple: Joseph ou Marie)

S’il y a doute, il devra être baptisé conditionnellement:
N, Si
tu vis, ou si tu es capable d’être baptisé, je te baptise “au Nom du Père, et du Fils, et du
Saint-Esprit”.

Si l’embryon est encore enveloppé dans l’amnios, il faut ouvrir cette
membrane et donner le baptême par aspersions, toujours “Au Nom du Père, et du Fils, et du
Saint-Esprit”
, sans oublier de citer le prénom.
Enfin, si l’enfant vit encore après avoir été avorté, il devra être de
nouveau baptisé (pour être certain que les trois aspersions ont été faites
correctement)
.
C’est, bien entendu, un très grand malheur pour ces bébés avortés d’être à
jamais privé du royaume des Cieux parce que personne ne les baptisent. Si la
société leur refuse le droit à la vie dans ce bas-monde, ne les privons pas de
la vie dans l’au-delà auprès de Notre Seigneur Jésus-Christ… Faisons-nous un
très grave devoir de conscience de refuser l’avortement!.

Terminons simplement par une petite devinette:
Au XVIIIème siècle vivait une famille dont le père était
synphilitique et la mère tuberculeuse. Un an et demi après leur mariage ils
eurent un enfant, mais celui-ci, né aveugle et malade, mourut six jours
seulement après sa naissance. L’année suivante, la mère se trouve de nouveau
enceinte.

Question: Conseillez-vous l’avortement de cette seconde
grossesse?

OUI  . NON

Le
début de la vie
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