Joyeuses Pâques, Christ est ressuscité.
Il nous offre sa miséricorde totale et absolue.


Une neuvaine (du latin novem, neuf) est dans l’Église catholique romaine une dévotion privée ou publique de neuf jours, destinée à obtenir des grâces déterminées.

La neuvaine de Miséricorde commence idéalement notamment le Vendredi Saint ou tout autre jour de l’année:


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Vous trouverez le message complet de Jésus à Sainte Faustine sur ce site:

A l’occasion de notre montée vers Pâques, en ce jour de vendredi Saint…

C’est l’occasion de voir ou de revoir ensemble ce film magnifique qui retranscrit vraiment bien le message Biblique concernant la Passion de Jésus Christ. Il est très dur, mais il est certainement à l’image de ce qu’à vécu Notre Sauveur. Soyons courageux et osons aller jusqu’au bout.

Je vous invite à prendre le temps pour cela.



La Passion du Christ:

Le film en araméen, la langue du Christ, relate les douze dernières heures de la vie de Jésus-Christ, considérées comme les plus intenses de sa vie dans lesquelles Jésus-Christ institue l’Eucharistie. Il montre Jésus priant au mont des Oliviers, et résister à la tentation de Satan. On voit ensuite Jésus capturé par les autorités juives, et flagellé du fait de sa dénonciation par Judas auprès des Grands Prêtres. 

Suite à cela on voit son jugement devant le préfet romain Ponce Pilate, ainsi que son passage devant Hérode, et sa condamnation à mort. 

Le film étant coupé de flash back sur les moments principaux de la vie publique du Christ, comme le sermon des Béatitudes. 

Heureux les pauvres en esprit,
car le Royaume des Cieux est à eux.
Heureux les doux,
car ils recevront la terre en héritage.
Heureux les affligés,
car ils seront consolés.
Heureux les affamés et assoiffés de la justice,
car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux,
car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs,
car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix,
car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux les persécutés pour la justice,
car le Royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on vous calomnie de toutes manières à cause de moi.
Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux.



Le film s’achève par la montée au Calvaire de Jésus et par sa crucifixion, avec Marie et Marie Madeleine comme témoins. Puis finit par la résurrection du Christ.


Que Dieu vous bénisse et vous garde.

(RV) Créant une immense surprise, le Pape François a annoncé le 13 mars dernier, au cours d’une célébration pénitentielle à la basilique Saint-Pierre, l’organisation d’une année jubilaire, une Année Sainte de la Miséricorde, qui s’ouvrira le 8 décembre prochain, jour de la fête de l’Immaculée Conception, et en cette année 2015, du 50e anniversaire de la clôture du Concile Vatican II. Cette Année Sainte extraordinaire s’achèvera au terme de l’année liturgique, le 20 novembre 2016. Pour formaliser cette annonce, le Pape présentera la bulle papale d’indiction du Jubilé de la Miséricorde ce samedi 11 avril.
Le texte, rédigé avec l’aide du cardinal Mauro Piacenza, pénitencier majeur, et du régent du tribunal de la Pénitencerie apostolique, Mgr Krzysztof Józef Nykiel, sera rendu public à 17h30, dans la basilique Saint-Pierre. Le rite prévoit la lecture d’extraits de la bulle devant la Porte Sainte de la basilique. Puis le Saint-Père présidera la célébration des Premières Vêpres du dimanche de la Divine Miséricorde mettant ainsi l’accent sur le thème central de cette année jubilaire : la Miséricorde de Dieu.
Cette célébration exceptionnelle sera à suivre en direct sur notre site internet, en son et en images, avec des commentaires en français.
Qu’est-ce qu’une bulle papale ?
A l’origine, le terme “bulle” désigne le sceau, en plomb ou en or, généralement réservé à l’empereur et au pape. Dans la bulle d’indiction d’un Jubilé sont précisés les dates d’ouverture et de conclusion, le déroulement, l’esprit, le sens, les conditions, les intentions et les attentes du Pape qui l’a convoqué pour l’Église.
Lors des deux dernières Années Saintes extraordinaires, en 1933 et en 1983, la bulle fut publiée à l’occasion de la Solennité de l’Épiphanie. Mais cette fois, en choisissant la date du 11 avril, le Pape François entend bien souligner l’importance de la Miséricorde. On peut enfin rappeler la bulle d’indiction du grand Jubilé de l’an 2000, convoqué par Jean-Paul II, qui s’intitulait : « Le mystère de l’Incarnation ».
Le choix de la miséricorde, un héritage de Jean-Paul II
Le Pape Jean-Paul II s’est éteint le 2 avril 2005, veille d’une fête liturgique qu’il avait lui-même institué : la fête de la Divine Miséricorde. Correspondant au au dimanche suivant Pâques, cette fête s’appuit sur les visions de soeur Faustine Kowalska (1905-1938). une religieuse polonaise canonisée par Jean-Paul II en l’an 2000. Répondant sur notre antenne au sujet de l’entretien de 1983 entre Jean-Paul II et Ali Agça, l’homme qui avait tenté de le tuer deux ans plus tôt mais auquel il avait offert son pardon, le journaliste et écrivain Bernard Lecomtedéfinissait ainsi la miséricorde selon Jean-Paul II : « La Miséricorde, c’est au fond le principal rempart que Dieu donne aux hommes contre le mal. La miséricorde, c’est beaucoup plus que la charité, ou la compassion, ou même le pardon. Cela va au-delà. La miséricorde, c’est d’accepter tout ce qui se passe et de le transformer en bien. L’espérance repose sur la miséricorde, c’est-à-dire sur le fait que Dieu ira jusqu’au bout pour combattre le mal, pour arrêter le mal. pour éliminer le mal. »
Bernard Lecomte rappelait que l’insistance du Pape François sur la miséricorde s’inscrit donc pleinement dans la continuité de Jean-Paul II. « Le Pape François reprend aujourd’hui cet héritage, mais ce n’est pas un héritage secondaire ou simplement culturel. Cela montre que le Pape François est l’héritier de ce qui faisait le fondement même de la pastorale de Jean-Paul II » a précisé le biographe de Jean-Paul II.
Interrogé par l’agence Imedia, le cardinal suisse Georges Cottier, théologien de la Maison pontificale au temps de Jean-Paul II, a réactualisé cette pensée de Jean-Paul II au regard de la forte laïcisation en cours actuellement en Occident, un mouvement de civilisation que le Pape polonais avait constaté et, d’une certaine façon, prophétisé. Aujourd’hui, la société sécularisée se débat avec le mal en le cachant. Le paradoxe actuel est qu’il y a des gens qui accusent Dieu devant des monstruosités commises et inexplicables, mais qui en même temps, veulent se libérer de l’idée de péché. L’homme issu de la sécularisation est dur et fier. Pourtant, le message de la miséricorde divine nous appelle à nous reconnaître fragiles », a rappelé le cardinal Cottier, situant cet enjeu dans le cadre de la vie personnelle de chacun comme dans celui des relations internationales.  « Nous faisons tous l’expérience personnelle du péché, mais il y a certaines grandes fautes, qui ont été commises dans l’humanité, qui dépassent la raison et qui ont quelque chose de diabolique. Face à cela, l’humanité qui a perdu la foi est sans armes, a précisé le cardinal Cottier. La réponse à ce grand drame est la miséricorde de Dieu, plus forte que tout »,

(Tratto dall’archivio della Radio Vaticana)

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