Lettre ouverte au Président de la France.

Sarkozy et Clovis ( dire Glovis). Le G de Gott plus Lovis qui a donné Louis.

Clovis
en train de perdre la bataille face aux païens promet au Dieu de
Clotilde ( dire G lothilde ) qu’il se convertira en cas de victoire.

La crise financière est-elle sans limites ? Vous pouvez poser des limites. Comment ?

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La France, Fille Aînée de l’Église,
grâce à Ste Clotilde, épouse de Clovis.
Une Suisse Burgonde qui convertit Clovis, chef des Francs
La Suisse dit non aux abus de l’ Union européenne
Nous aimons citer une partie d’une conférence de M.
François de Siebenthal, de la Suisse, lors de notre
réunion du 28 mars, à la Maison de
l’Immaculée, à Rougemont. M. François de
Siebenthal est MBA et licencié en économie HEC de Lausanne et
licencié en sciences juridiques de l’Université de
Lausanne. Il est a. Consul général honoraire des Philippines et Secrétaire général du Corps Consulaire à Lausanne.
M. de Siebenthal a un grand amour de sa patrie. Il souhaite de
tout cœur que la Suisse n’adhère pas à l’Union
européenne afin qu’elle puisse garder sa civilisation
chrétienne, sa culture.
«La Suisse a dû résister pendant des
siècles, dit M. de Siebenthal et elle doit encore
résister maintenant à ce que l’on appelle l’Union
européenne. C’est une union qui ne veut pas Dieu dans sa
Constitution et qui veut de nouveau écraser la Suisse. La
Suisse a dit encore une fois «non» à l’Union
européenne et elle a déjà refusé
plusieurs fois. Et l’Union européenne continue d’attaquer
la Suisse…»
Le drapeau suisse que vous m’avez fait l’honneur de remettre en
évidence sur la scène et par vos chants est un
drapeau carré qui a une grande signification dans
l’héraldique. Sur ce drapeau carré, le seul dans le
monde avec celui du Vatican, les trois symboles de la
Trinité, le carré est le symbole de la
création divine par le Père, le rouge, c’est la
couleur du Saint Esprit. La croix représente la croix du
Christ. Lors d’une bataille où les Suisses combattaient
pour l’Église, un crucifix était attaché haut
près de la hampe. Dans l’histoire, ce crucifix est
descendu, il s’est agrandi et il est devenu le drapeau de la
Suisse. Le culte des Dix Mille Martyrs (la
vénération des saints Maurice, Victor, Ursus et
leurs camarades de la légion thébaine, qui subirent
le martyre à l’actuel Saint Maurice en Valais), très
répandu en Suisse à l’époque, aurait
influencé le choix de la croix blanche sur fond rouge, car
dans beaucoup représentations des saints on les voit avec
de telles armoiries ou même un tel drapeau. De plus, le
pennon impérial, rouge à la croix blanche
traversante lui aussi, a contribué au choix de
l’emblème confédéré.
L’hymne national de la Suisse est l’hymne le plus ancien du
monde. Il parle de Dieu dans ses strophes. Le corps des gardes de
Suisse est le corps armé le plus ancien du monde encore en
mission. Il défend sa seule fonction qui est de
défendre le Pape, l’Église, l’Épouse du Christ.
La Suisse, mon pays, s’appelle aussi la
Confédération helvétique. Nous sommes un
petit pays mais qui respecte plusieurs cultures.
Saint Nicolas de Flue.
Notre patron est saint Nicolas de Fluë, un père de
famille avec 10 enfants, qui sous l’injonction de la Sainte
Trinité, s’est éloigné de 300 mètres
de sa maison. Il a vécu 19 ans sans rien manger ni boire
que la Communion. Et il a une très grande influence sur la
spiritualité de la Suisse. C’est lui qui nous a
protégés de nombreuses guerres mondiales. Nous
sommes en paix depuis bien des siècles, grâce
à un père de famille qui s’est consacré
à Dieu pendant plus de 20 ans de sa vie.
Civilisation remontant aux apôtres selon St Pierre Canisius.
C’est bien important pour comprendre les paramètres
économiques que nous vivons présentement, de
connaître un petit peu la civilisation suisse.
Historiquement, il faut savoir que la Suisse dépend en
premier lieu, par une tradition orale, de saint Materne qui
était le fils de la veuve de Naïm, qui était
mort et qui a été ressuscité par le Christ.
Il est venu évangéliser l’Europe, notamment la
Suisse, l’Alsace et la montée vers la Pologne. C’est notre
premier lien avec les apôtres. C’est un saint qui a
été ressuscité du temps du Christ et qui est
ressuscité une deuxième fois avec l’aide de saint
Pierre, sur le territoire proche de la Suisse…
Saint Materne a vécu à un endroit qui s’appelle
Hel vet, en Alsace, qui était proche d’Helvétie, de
la Confédération helvétique. Saint Materne a
eu une grande influence sur la formation chrétienne en
Suisse, dans le temps du Christ. D’Israël, il est venu
directement dans ces régions.
Le deuxième grand saint qui influence aussi la Suisse,
c’est saint Maurice qui était un Égyptien de couleur noire,
officier de l’armée romaine. Il a été
tué comme martyr avec ses compagnons à Agaune qui a
pris le nom de Saint-Maurice, en sa mémoire, avec une
abbaye très célèbre dans le monde entier
où il y a les reliques de saint Maurice.
Premier roi catholique en Europe
La Suisse a été influencée aussi par le
premier roi chrétien d’Europe. Beaucoup de livres
d’histoire sont faux. Le premier roi catholique d’Europe c’est
saint Sigismond qui était un roi burgonde. Toute sa famille
a été massacrée à titre de martyre,
parce que le roi voulait convertir l’Europe de l’époque au
christianisme. Lui et toute sa famille ont été
jetés dans un puits. Il y a eu toute une alliance de
différents blocs contre cette christianisation.
Déjà, à l’époque, les puissants
s’alliaient contre les catholiques.
Le royaume burgonde est venu de Worms, au bord du Rhin. Les
Burgondes catholiques chrétiens ont combattu Attila (le
chef des Huns) qui attaquait l’Europe. Cela a donné une
gigantesque bataille sur le Rhin qui a causé plus de 20’000 morts.
Pour l’époque, c’était colossal. Cette grande saga,
qui était la lutte entre chrétiens et
non-chrétiens, a donné une mystique
européenne des Nibelungen qui est sous-jacente dans
beaucoup de cultures européennes : anglaise,
française, allemande, danoise, suédoise, etc.
Donc, le premier roi catholique de l’Europe, c’est
Saint-Sigismond. Une princesse burgonde, Idilco, a tué
Attila pendant la nuit de « noce ». Elle a sauvé
l’Europe d’un danger terrible de destruction parce que les Huns
tuaient leurs ennemis très facilement. Les Huns sont
retournés en Asie.
Sainte Clotilde, une Burgonde de Genève.
La princesse burgonde, Clotilde qui était de la famille
de saint Sigismond, est devenue l’épouse de Clovis. Elle
l’a converti au catholicisme. Grâce à cette princesse
burgonde, la France qui est reliée à la Bourgogne,
est devenue chrétienne catholique. Les Burgondes avec
Clotilde ont donc été les fondateurs de la Fille
Aînée de l’Église, la France.
Le Sanctuaire des Rois français qui est Saint-Denis a
été complètement profané par les
révolutionnaires. Le Sanctuaire des Rois burgondes qui est
Saint-Maurice, grâce à Dieu, n’a jamais
été profané. Ce sanctuaire est près de
Lausanne.
Le frère de ce Roi Sigismond s’appelait Godomar. Il
s’était réfugié dans les montagnes de Suisse,
près de Saint-Maurice. Il a fondé la civilisation
valser. Le Roi Godomar, pratiquant l’Évangile, a reconnu
que tous les citoyens burgondes étaient des prêtres,
prophètes et rois, base de la démocratie
directe.
Semblable au Crédit Social
Le Roi Godomar a pratiqué la méthode du Ring. La
notion du Ring, qui rejoint la notion du Crédit Social de
Louis Even, définit que le pouvoir doit rester le plus
local possible. Tous les hommes se réunissaient en Ring,
c’est-à-dire en cercle. Et dans les montagnes, ils
définissaient localement leur vie sociale,
économique et politique.
La coutume était prise de partager les domaines. Tous
les domaines communs burgondes s’appelaient des allmends. Ce
système économique du Ring était basé
sur la maternité et le respect de la famille. Les femmes,
contrairement au droit romain, avaient le droit d’agir en justice
et même de se battre lors des guerres
Contrairement à tout le reste du monde, dans la
tradition burgonde, la tradition valser aussi, ce n’est pas le
fils aîné qui hérite du domaine mais c’est le
cadet. Le dernier des garçons, le petit cadet, c’est
l’assurance-vie, l’assurance-maladie.
Étant donné que les montagnes suisses étaient
très pauvres, les aînés devaient partir avec
une partie du troupeau et aller coloniser la vallée
voisine. C’est ainsi que la civilisation valser s’est
répandue dans toutes les Alpes, dans toutes les montagnes.
Si les aînés rataient leur expédition, ils
pouvaient revenir au point de départ. Comme le cadet
était l’assurance-vieillesse du père et de la
mère, les petits s’occupaient des malades et aussi des
parents. Cette coutume d’avoir toujours un responsable en dernier
ressort, favorisait la démocratie parce qu’autour de la
table familiale, le petit, on l’écoutait. On savait qu’il
était l’assurance de la famille.
Leur doctrine pratique se résume donc en
fédéralisme, subsidiarité, corps
intermédiaires, communes, cantons,
confédération, fiscalité proche des
citoyens.
Hofer le tyrolien a défendu ces valeurs même
contre les troupes napoléoniennes.
La démocratie directe unique en Suisse (initiative
constitutionnelle, référendum) vient de leur
histoire.
Les Valsers ont perfectionné la technique de la montagne
dans toute l’Europe. Il ont colonisé, depuis leur
vallée d’origine, le Siebenthal (Gstaad, Saanen, Gessenay, Gsana, Gsteig…)
la Suisse, l’Allemagne ( Bavière), l’Autriche, la France,
l’Italie, le Liechtenstein et même des vallées
yougoslaves (Sbrinz).
Ils sont les spécialistes de la construction des bisses,
des routes de montagne, des ponts ( le pont du diable au Gothard,
du GSanetsch….).
Un des noms de famille est par exemple von Flüe en
allemand, de La Pierre en Français, de la Pierraz en
italien….
Doctrine sociale de l’Église incarnée dans
l’histoire
Une des caractéristiques de la Suisse, de cette
civilisation valser, qui est une assimilation de Français,
d’Allemands, d’Italiens, d’Autrichiens, de Yougoslaves, etc.,
c’est un respect de la Doctrine Sociale de l’Église
incarnée dans l’histoire. Avant peut-être même
que la Doctrine Sociale de l’Église existe, en tant que
Doctrine Sociale, les Valsers la pratiquaient en respectant
l’Évangile. Tous les villages valsers avaient un
prêtre, un cimetière autour de l’église. Les
maisons étaient réparties sur les territoires en un
réseau respectueux de la nature. La deuxième loi
promulguée fût celle du respect des forêts pour
éviter les avalanches.
Chez les Valsers, pendant une longue période de
l’histoire, il n’y avait pas d’argent. Cette civilisation s’est
très bien développée, non polluante.
La famille à l’honneur
La grande coutume valser, c’était donc d’offrir dans une
grande fête, lors du mariage d’un couple, une maison aux
mariés, la maison toute équipée, construite
pendant la fête. L’art musical (yodle, tyroliennes, la
valse…) et pictural est joyeux.
Quand un enfant arrive, on dresse une grande pique ornée
de son prénom pour en informer toute la vallée.
Cette grande pique a servi de modèle pour faire les
hallebardes avec une pique, une hache et un crochet sur la
même lance pour la défense des familles.
La famille était mise à l’honneur. Donc, la
première unité de la Doctrine Sociale de
l’Église, la famille, était aidée par la
communauté comme un cadeau. La deuxième unité
était la commune (la paroisse), des foyers de familles.
Les familles des communes sont les cantons. Le canton, en
Suisse, c’est un petit Etat qui a son organisation, sa police, son
système scolaire. Ce sont des états assez
indépendants. Et certains cantons sont eux-mêmes des
confédérations de petits Etats. Au niveau de la
Suisse entière, c’est une Confédération de
petits Etats, de plusieurs cultures, de plusieurs langues qui
vivent en bonne intelligence depuis des siècles.
Principes de la Doctrine Sociale
Le deuxième principe de la Doctrine Sociale de
l’Église : les corps intermédiaires. Et cela
fonctionne depuis des siècles en Suisse.
Troisième principe de la Doctrine Sociale de
l’Église qui a été mis en pratique de
manière automatique et historique, en Suisse : c’est le
principe de «subsidiarité».
«Subsidiarité» veut dire que le pouvoir doit
rester le plus bas possible. Le principe constitutionnel suisse :
tous les pouvoirs sont en bas, sauf ceux qui ont été
expressément délégués au niveau
au-dessus et par écrit. Si quelque chose n’a pas
été écrit et défini dans un texte par
écrit, cela reste au niveau du bas. C’est exactement
l’inverse dans les Traités européens de Maastricht
et les suivants…
Notre Constitution commence par le nom de Dieu Tout-Puissant.
C’est l’une des rares constitutions du monde qui commence encore
au nom du Créateur.
Petites banques locales
Au niveau économique, en Suisse, il y a
énormément de petites banques locales, des banques
mutuelles. Très souvent ces banques ont été
fondée dans une ferme ou une salle paroissiale. Et le
banquier est un paysan. Il tient les comptes. Il y a des milliers
de petites agences comme ça. C’est ça, la vraie
force des banques suisses. Dans les villages, ce sont de bien
petites agences tenues par des paysans.
Une démocratie économique
La Suisse décentralisée travaille par
référendum, par initiative. Les Suisses qui ne
sortaient pas l’hiver à cause des montagnes, de la rigueur
du climat, avaient le temps de penser à de nouvelles lois,
aux initiatives à prendre, à un
référendum à faire au printemps. Tous les
hommes se réunissaient à un endroit «Le
Ring». Ils devaient gérer les possessions communes qui
appartenaient à tout le monde. Tout le reste de l’Europe,
c’était des monarchies. La Suisse était un rare
endroit du monde où il y avait une démocratie qui
gérait l’économie locale : le Crédit Social
appliqué localement et historiquement, pendant des
millénaires. (NDLR : Cette phrase de Louis Even
était mise en pratique : «Une aristocratie de
producteurs au service d’une démocratie de
consommateurs.»)
La civilisation valser existait sans argent, sans
intérêt, sans usure, sans tout le système qui
actuellement étrangle tous les pays. Nous voyons que notre
pays, la Suisse, comme tous les autres pays, est en voie de
disparition. Alors ma formation d’économiste, de banquier
me permit de mieux comprendre ce qui se passe.
Il est clair que les banques suisses profitent d’une situation
d’actif, d’un héritage qui vient de l’histoire, en paix, au
milieu de l’Europe en guerre. La Suisse est devenue très
riche. Tout le monde avait confiance en ce petit pays. Le facteur
essentiel en économie, c’est la confiance. Crédit,
qui vient du mot latin credere, signifie avoir confiance, donner
son cœur, cuore dare. Le capital se réfugiait en
Suisse et les banquiers suisses sont devenus des acteurs
incroyables dans l’économie mondiale. Ils profitent donc
d’une situation qui est un don de Dieu, un héritage qui
fait que la Suisse a une bonne réputation dans le monde
entier.
Cela rejoint un principe de notre fondateur, Louis Even :
Chacun a un héritage, chacun est un héritier. Que ce
soit les biens de la création, que ce soit des biens
technologiques, des biens du savoir, des biens de l’organisation,
des structures de la société, il y a tout un
héritage qui fait que chacun d’entre nous devrait
participer à cet héritage et vivre grâce
à cet héritage.
C’est un peu l’histoire en résumé du pays
d’où je viens. En fait, on a incarné le
Crédit Social de Louis Even et du Major C.H. Douglas.
François de Siebenthal
http://www.inconditionnel.ch/index.php?id=73&L=1

Monsieur le Président Sarkozy, vous pourriez promettre la même chose dans votre coeur, de vous convertir chaque jour et d’aller vous confesser régulièrement chez un bon évêque, Mgr Rey par exemple, alors vous gagnerez cette élection du mois de mai, le mois de Marie.

Partage de l’abondance et du bonheur


Cher ami,

J’ai lu avec intérêt le texte que vous m’avez envoyé. 
J’ai fait un pèlerinage il y a environ dix jours à Gstaad http://www.gstaad.ch/fr/index.cfm
qui était la capitale fortifiée du royaume de Burgondie, premier
royaume chrétien du monde.
Traduction en allemand moderne : God + Staat,
c’est à dire Dieu et l’Etat ! 
Les Burgondes avaient été convertis par Saint Materne au Ier siècle, “ “le fils décédé de la veuve de Naïm, ressuscité par
Jésus+”, selon les écrits de Saint Pierre Canisius à Fribourg. Il
semble aussi que de nombreux juifs convertis se soient établis,
notamment en Suisse romande et ont apporté de nombreuses traditions
juives davidiques et chrétiennes du pouvoir, dont par exemple
l’organisation de la vie des bourgs et villages en communauté de partage
des biens, dites “organisation bourgeoisiales” (ex. http://www.bourgeoisie-de-sion.ch/)
qui existent encore aujourd’hui en Suisse et qui géraient en commun
les terrains et le fruit de la terre, les distribuaient au prorata du
nombre des enfants par famille, géraient des lots communs au profits des
veuves et indigents, construisaient “gratuitement” en commun la maison
et les meubles d’un nouveau couple marié, plaçaient le pouvoir sur le
respect du plus faible de la communauté, etc. On ne peut exercer la
royauté, disait les rois burgondes que si chaque homme est roi au sens
biblique, c’est à dire éduqué à gérer le bien commun avec
responsabilité, soit en se confrontant aux difficultés du pouvoir au
plus bas niveau et en résolvant les difficultés présentes avec équité,
apprentissage voulu par Dieu pour croître en sagesse. Il y a donc
obligation de subsidiarité du pouvoir, le dernier niveau, celui du roi
ne s’occupant que de la protection du royaume et des relations
“diplomatiques” et favorisant partout l’exercice d’une vraie justice au
profit des plus faibles.

C’est
une princesse burgonde, la princesse Clothilde ( lire Glothilde ou Clotilde ) qui se mariant avec
Clovis le convertit au Christianisme au environ de l’an 500, permettant
aux Francs de jouir librement du Christianisme. Toutes ces traditions
chrétiennes du pouvoir ont disparus avec la perte de la foi, mais aussi
par ce que dans le Protestantisme, l’individu est prédestiné et qu’un
des signes de sa prédestination est sa richesse matérielle. En effet, la
qualité des oeuvres est moins importantes dans le protestantisme et le
sur-activisme est bien vu. Cette attitude devenant leader dans notre
pensée, elle a forgé un individualisme et un libéralisme économique
totalement opposés aux traditions de gestion communautaires des biens et
du savoir développées jusqu’à la fin du Moyen-Age. 

Je
vous envoie ci-joint les armoiries de ma famille, originaire de
Gstaad, photos prises dans la chapelle moyenâgeuse de Gstaad, dans le
premier vitrail à droite de l’autel. C’est le symbole des deux poissons
qui ont servis à la multiplication de la nourriture par le Christ avec
les 5 pains. C’est donc le symbole de la justice de la répartition des
biens communautaires et en surabondance lorsqu’il y a partage des
charismes des métiers humains et respect de la loi divine. La deuxième
armorie sur la photo est celle de mon ami François de Siebenthal qui a
fait avec moi ce pèlerinage, soit un dragon signifiant le démon
emprisonné par les 7 sceaux de Dieu (fin de la fin des temps dans
l’apocalypse). symbolisant le combat de la fin des temps avec le dragon
voulant prendre le pouvoir sur la terre, jusqu’à la crucifixion
matérielle de l’église catholique sur la terre qui suit l’histoire de
la vie terrestre du Christ. Il y a donc un temps d’apostasie
progressive jusqu’à cette crucifixion où se généralise un système de
valeurs non chrétiennes et injustes, concentrant le pouvoir pour le
céder au démon. La concentration du pouvoir est l’opposé de la
subsidiarité puisqu’elle est nécessaire pour une transmission à un
pouvoir autoritaire anti-chrétien.

A
mon avis, le système monétaire définit par la philosophie du pouvoir
et surtout les acteurs du pouvoir en place, suit la même logique. On
peut donc être audacieux dans sa critique, surtout si dans l’apocalypse
le signe de la puissance de l’antéchrist semble être l’exercice de
l’économie réservée exclusivement à ses adeptes, au travers du contrôle
très strict de son droit d’usage, lié à une nécessité de parjurer sa
foi au vrai Dieu. On pourrait développer ce point et le système qu’il
convient de mettre en place pour arriver historiquement au contrôle
décrit dans l’apocalypse, mais je reviens sur votre article en vous
communiquant un exemple de fonctionnement transversal du système de
subsdiarité qui subsiste en droit suisse au travers de la préréquation
financière qui était à l’époque une aide des régions riches vers les
régions pauvres sur la base de dons des régions riches sur les régions
pauvres pour favoriser leur développement et le système éducatif.
Aujourd’hui ce système est aussi l’enjeu des philosophies modernes, mais
vous trouverez sa version actuelle sur ce lien de l’administration
fédérale suisse  : http://www.efv.admin.ch/f/downloads/finanzpolitik_grundlagen/finanzausgleich/revisionp_grundlagen/NFA-Brochure_f.pdf

En vous souhaitant un joyeux Noël en famille, très cordiales salutations,

Y. R.

http://www.de-siebenthal.com/site03.htm

http://www.de-siebenthal.com/SITE05.HTM

http://desiebenthal.blogspot.com/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html
https://docs.google.com/document/d/1MRXDMGi4zbTYwFiKI8qpqFeAg3ayEkLaufWq4OrlQ0o/edit?hl=fr&authkey=CLrT-IwK

Comment créer et partager les surplus:
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=explorer&chrome=true&srcid=1Kxlo32UKwGx0fVhNYmkul1mr0oKs6RyIIdzKOUAlcWVv6n83Z-Cnr8lc-EHs&hl=fr
 

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