Cathédrale de Lausanne ?
Appel d’offre aux artistes et architectes, préparez-vous !
“Une nouvelle statue de Marie au portail de Montfalcon ?”
du 13 septembre 2017
Pour une nouvelle ou une ancienne statue de Marie, mère de Jésus, au portail de la cathédrale de Lausanne ?
…
Cette œuvre artistique devrait évidemment faire l’objet d’un concours, dans lequel l’Église évangélique réformée vaudoise pourrait jouer un rôle important; aux côtés bien sûr de nos frères catholiques et des milieux spécialisés dans la conservation des monuments historiques. Occasion pour les Réformés de rappeler qu’il existe aussi un art religieux protestant, dont des peintres comme Rembrandt et, chez nous, Robert Rivier ou Eugène Burnand ne sont que quelques exemples.
Qu’ils ne se satisfont pas, un demi-millénaire plus tard, d’une place laissée vide.
Et peut-être de mettre un terme à un combat qui a longtemps et dramatiquement divisé les chrétiens.
Merci de prier pour les embryons congelés
La Cathédrale pour sauver les embryons.
Oculos humeris, significations:
http://ferraye.blogspot.ch/2009/08/vaccins-avec-cellules-souches.html
Nouvelle initiative pour la Vie, le courage de dire oui à l’objection de conscience
Pour nous, cette nouvelle initiative pour la Vie n’est pas parfaite mais elle va au moins réveiller quelques consciences.
Le lien social de ces drames est clair. Ces abominations font souffrir surtout des femmes que nous ne jugeons pas.
Nous souffrons avec elles.
Les abus financiers des cupides poussent au désespoir de plus en plus de victimes.
Le lien est subtil mais réel.
http://ferraye.blogspot.com/2010/01/invitation-officielle-de-evo-morales.html
Pourquoi ces bonus en millions et même en milliards ?, sic, en milliards pour les banquiers de New-York ?
Pour acheter leurs consciences.
Ils savent que la cupidité tue des millions d’innocents, sous leurs fenêtres.
Faut-il laisser tout ce système infernal continuer ces sacrifices de petites victimes innocentes ?
Démographie : la chute a commencé
Courbe sans tenir compte d’une pandémie.par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement ou TFR en dessous de 2 ) qui sont à la baisse dans le monde entier, et presque partout en dessous de 2,2, taux minimum actuel pour maintenir notre civilisation.
La chute commence déjà dans les pays “riches” et en Russie…
Tout peut s’effondrer très vite…y compris l’immobilier et les “valeurs” les plus sûres…
Pour une objection de conscience.
Seule une réduction du nombre de prestations d’une part, et en récompensant les comportements responsables d’autre part, permettront d’avoir une influence durable et concrète des coûts de la santé.
On arrive à des abus odieux. Le conseil fédéral parle d’un coût “minime” des avortements ( 20 millions de Fr ). Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu’il est vivant.
Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des “soins” horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d’amende ( pas d’objection de conscience permise), de payer des soins qui n’en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l’avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres).
Les avorteurs mentent pour gagner beaucoup d’argent, leurs chiffres sont faux, leur cynisme absolu, leurs valeurs négatives, ils détruisent la Suisse qui n’a plus d’enfants.
L’amour de l’argent est la racine de tous les maux.
François de Siebenthal: U.E. La racine de tous les maux
François de Siebenthal: François dénonce le système économique …
La pédophilie et l’amour de l’argent qui est la racine de tous les maux.
“L’amour de l’argent est la racine de tous les maux” a déclaré le …
Joseph & Michel Ferraye pour Sa Justice: Gouverner, c’est prévoir …
L’initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale est modifiée comme suit:
Art. 117, al. 3 (nouveau)
3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l’assurance obligatoire.
Art. 117 Abs. 3 (neu)
3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.
Attention à la désinformation. exemples tout en bas de ce mail….
La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous “gratuits”.
Nous les payons par nos impôts et par nos primes d’assurances…
Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.
La plupart des vaccins viennent d’avortements …
Pour une objection de conscience.
Cette action a été rendue publique depuis des mois, preuves ci-dessous…29.09.2009…
Mammainfo: Avortements: Qui doit les payer?
Interview avec le Conseiller national Peter Föhn
Au cours de la session d’été des Chambres Fédérales, le schwytzois Peter Föhn, Conseiller national, est intervenu sur le thème du financement de l’avortement et des primes des caisses-maladie. Sa motion, déposée le 10 juin 2009 au Conseil national, exige que les avortements ne soient plus couverts par l’assurance de base obligatoire. Mamma-Info a interviewé Peter Föhn.
Mamma-Info : Monsieur Föhn, de quoi retourne-t-il dans votre motion ?
Peter Föhn : Pour moi, il s’agit surtout de sensibiliser la population au problème du financement de l’avortement, et de lui faire prendre conscience que les interruptions de grossesse sont financées par l’assurance-maladie de base. Les gens ne le savent pas. Et il faut alléger le poids supporté par les caisses-maladie.
La réduction des coûts du secteur santé est-elle votre unique motivation ?
Les coûts relatifs aux interruptions de grossesse ne constituent qu’une part réduite du sinistre affectant les caisses. Mais il faut bien commencer d’agir quelque part. Par conviction, je répugne à cofinancer l’avortement, cet acte inadmissible. Pour moi donc, ce sont tout particulièrement aussi des motifs éthiques qui importent.
S’il y avait moins d’interruptions de grossesse, il faudrait aussi moins de traitements psychologiques postérieurs. Ces traitements intervenant après un avortement ne font nulle part l’objet de statistiques. Mais sans aucun doute, ils existent en très grand nombre.
En conséquence, voyez-vous dans cette motion une possibilité de réduire le nombre d’avortements ? Tous les ans, en effet, le nombre des enfants avortés est, en Suisse, de l’ordre de la population d’une petite ville.
La réduction du nombre d’interruption de grossesse doit être un objectif que tout le monde peut soutenir. Si les personnes concernées doivent elles-mêmes subvenir à la dépense, il y aura moins d’avortements.
Une Conseillère cantonale de St-Gall, Helga Klee, dit ceci au sujet de votre motion : « Avec cela, le Conseiller national Föhn veut dissuader les femmes d’avoir recours à une interruption de grossesse. (…) Et il lie même cette exigence au prétexte d’une économie de 20 millions de francs par an. (…) Le calcul n’est visiblement pas son fort, car une naissance revient jusqu’à dix fois plus cher qu’un avortement. » Maintenant, qui sait le mieux compter ? Cette Conseillère cantonale, ou vous-même ?
En calcul, qu’elle n’essaie pas de m’en faire accroire. Les gens qui viennent au monde paient, durant leur vie, beaucoup plus, en terme de primes d’assurance (et même aussi d’impôts), que ce qu’a coûté leur naissance. Les morts ne paient rien. De surcroît, chaque enfant mis au monde apporte, non seulement à la famille, mais aussi à l’état, tant de bien qu’on ne peut en aucun cas l’évaluer en monnaie.
La Conseillère cantonale se dit persuadée que la conséquence de votre exigence sera que pour avorter, beaucoup plus de femmes s’adresseraient à des charlatans et que les coûts induits seraient de beaucoup supérieurs aux économies escomptées.
Je ne partage pas cette opinion. De surcroît, des assurances complémentaires peuvent toujours être contractées en plus de l’assurance de base. On pourrait alors faire une assurance complémentaire également pour les interruptions de grossesse.
Que dites-vous du reproche selon lequel sous couvert d’une éventuelle économie, vous vous opposeriez au référendum du 2 juin 2002 par lequel le suffrage populaire suisse a clairement dit oui à la solution des délais ?
Dans ma motion, il ne s’agit pas de mettre en question le régime des délais. A l’époque, on n’a pas demandé au peuple qui doit payer les interruptions de grossesse. La seule et unique question posée était de savoir si elles devaient être dépénalisées ou non.
Un dernier argument de l’adversaire : Les femmes doivent, soutenues par un conseil médical, décider elles-mêmes de leur vie, car l’autodétermination et la responsabilité individuelle sont notre bien le plus précieux.
Lors d’une interruption de grossesse, c’est-à-dire lors du meurtre d’une vie humaine, la limite de la responsabilité individuelle est largement dépassée.
Normalement, quiconque veut agir en responsabilité individuelle et en autodétermination est également prêt-à-porter lui-même les coûts issus de son acte. Lors d’un avortement, ceci n’est manifestement pas le cas. Quelles possibilités voyez-vous pour faire sentir concrètement aux personnes concernées la nécessité qui s’impose en l’occurrence ?
C’est l’objectif majeur de ma motion. Il serait bon qu’une large discussion publique ait lieu à ce sujet. La prévention elle aussi devrait être améliorée : premièrement, il faut expliquer aux gens à quel moment la vie commence. Il faut faire prendre conscience du fait que la vie ne commence pas après la 12ème semaine, mais que, avant déjà, l’embryon est une vie humaine à part entière. Deuxièmement, il faut parler du fait qu’après une interruption de grossesse, beaucoup de femmes souffrent d’énormes troubles psychologiques qu’elles ne peuvent quasiment plus surmonter. Troisièmement, pour le bien de la vie humaine, l’adoption devrait faire l’objet d’une simplification et d’une plus grande prise de conscience.
Interview : Gisela Bührer-Dinkel www.mamma.ch
Mille Mercis!
Un autre sujet à discuter franchement et calmement pour retrouver l’unité !
Les § 2438 et 2449 du Catéchisme de 1992 cité par le pape François, auxquels il faut ajouter le § 2269 (“Les trafiquants, dont les pratiques usurières et mercantiles provoquent la faim et la mort de leurs frères en humanité, commettent indirectement un homicide”), condamnent clairement l’usure …
Le dernier enseignement détaillé sur l’usure est l’encyclique Vix pervenit.
Votre défi, aidez-nous à trouver le texte ” Vix pervenit” envoyé par le Pape Grégoire XVI, ( 16 ) à tous les évêques du monde en 1836.
Voici ci-dessous le texte de Benoît XIV écrit en 1745.
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTzkycXl6bkI4NTNWZlJCQmFGOE5adU1YR2dj/view
L’ usure, l’ écart entre les prix et le pouvoir d’achat
L’ écart entre les prix et le pouvoir d’achat est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts composés exponentielles, nous voulons au contraire le remplir par la création d’argent nouveau sans dettes à travers notamment monnaie-pleine, des dividendes pour tous et des escomptes ou rabais compensés pour les producteurs. ( Vollgeld ).
Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires ( des milliers de milliards, sic ) en vue de gaspillages honteux et polluants…
Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation.
Libérons-nous des chaînes de la rareté…
Pour être clair, nous soulignons aussi que l’argent pour la production sous un système de monnaie-pleine ou créditiste continuerait être de l’argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.
C’est seulement le dividende et l’escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l’écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l’automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.
VIVE LA ROBOLUTION ou ROBOT-SOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.
Créons ces masses pour la paix sociale et la civilisation.
Libérons-nous des chaînes de la rareté… Unissons-nous… avec le lien ci-dessous…
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzZjV2eHZjOUNCNGtWOS1WZFRNSnZGaEY5UjY4/view?usp=sharing
http://desiebenthal.blogspot.it/2017/01/l-ecart-entre-les-prix-et-le-pouvoir.html
Deux extraits du Catéchisme catholique de Jean-Paul II:
2438 Diverses causes, de nature religieuse, politique, économique et financière confèrent aujourd’hui ” à la question sociale une dimension mondiale ” (SRS 9). La solidarité est nécessaire entre les nations dont les politiques sont déjà interdépendantes. Elle est encore plus indispensable lorsqu’il s’agit d’enrayer les ” mécanismes pervers ” qui font obstacle au développement des pays moins avancés (cf. SRS 17 ; 45). Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35), à des relations commerciales iniques entre les nations, à la course aux armements, un effort commun pour mobiliser les ressources vers des objectifs de développement moral, culturel et économique
2449 Dès l’Ancien Testament, toutes sortes de mesures juridiques (année de rémission, interdiction du prêt à intérêt et de la conservation d’un gage, obligation de la dîme, paiement quotidien du journalier, droit de grappillage et de glanage) répondent à l’exhortation du Deutéronome : ” Certes les pauvres ne disparaîtront point de ce pays ; aussi je te donne ce commandement : tu dois ouvrir ta main à ton frère, à celui qui est humilié et pauvre dans ton pays ” (Dt 15, 11). Jésus fait sienne cette parole : ” Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous : mais moi, vous ne m’aurez pas toujours ” (Jn 12, 8). Par là il ne rend pas caduque la véhémence des oracles anciens : ” Parce qu’ils vendent le juste à prix d’argent et le pauvre pour une paire de sandales … ” (Am 8, 6), mais il nous invite à reconnaître sa présence dans les pauvres qui sont ses frères (cf. Mt 25, 40) :
Il faut substituer à des systèmes financiers abusifs sinon usuraires (cf. CA 35),
interdiction du prêt à intérêt …voir les références qui font penser à une guerre nucléaire…Amos 8,6
L’initiative fédérale suisse www.monnaie-pleine.ch lutte contre ces autres formes d’usures dévorantes et voraces…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/09/fete-de-st-nicolas-de-flue-et-la-paix.html
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