Copyright , François de Siebenthal, Lausanne
Arbres généalogiques
Jusqu’à la 6e et 7ème génération.
Total: 63 personnes (conjoints non compris).
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Linceul de Turin. Preuves peu connues.
Du point de vue scientifique il faut savoir notamment qu’un fait passionnant, encore peu connu, est intervenu lors de la réfection du Linceul en 2002 : selon les experts (mais pas encore selon Turin et le Vatican !), une faible image de la Sainte Face et des mains du Christ a pu être photographiée sur le côté arrière du Linceul, très similaire – mais pas identique – à l’image bien connue sur le devant.
Les professeurs Oswald Scheuerman et Giulio Fanti ont pu déterminer que ces images ne peuvent être venues d’autre chose que d’une irradiation ou une décharge électrique extrêmement contrôlée émanant du Corps. Pour que cette image puisse se former, uniquement par un brunissement superficiel de quelques brins extérieurs du lin sur chaque côté du lin, il aurait fallu pour chaque côté 14.000 Laser à tir orthogonal avec 60 à 100 millions de Volt, et cela pendant une nano-seconde, et tout cela en émanant d’un corps censé mort. A-t-on jamais vu un corps mort rayonner ? C’est la preuve matérielle de la RÉSURRECTION !
Ahurissant ! Depuis 8 ans que les autorités et Turin et du Vatican ont du mal à assimiler cette découverte ; pour l’instant ils ne savent pas mieux que d’assurer : « Il n’y a pas d’image sur le côté arrière du Linceul », en dépit de toute évidence scientifique (cf. la photo …ci-contre ).
Un mathématicien a calculé que l’improbabilité d’un faux, prônée par la télévision française et d’autres imbéciles, est de 200 milliards à 1. Le fait de la 2e image, sur le côté arrière, multiplie ce taux de 200 milliards de nouveau par lui-même. Dorénavant il faut plus de « foi » pour croire à l’inauthenticité du Linceul de Turin que de croire en son authenticité. Il faut dire aussi, si vous permettez, que Dieu a beaucoup d’humour face aux bêtises humaines aussi bien dans le domaine scientifique (Carbone 14) que dans le domaine religieux (le Linceul n’est qu’une « icône »). Dieu met une couche en plus, au grand étonnement de tous. Le « mystère continu » du Linceul ne s’arrête pas. Quand apprendrons-nous enfin à croire en Dieu, à Lui faire confiance et à L’aimer ?
source: RU
Le Saint Suaire et la zététique
La zététique… Un nom bien étrange qui ne vous dit certainement rien. Et pourtant, aux personnes soucieuses de connaître et défendre le vrai, elle donne du fil à retordre cette zététique ! C'est tout simplement la science qui s'attache à l'étude des phénomènes paranormaux pour leur trouver une explication rationnelle… ou les nier. Et le Saint Suaire est un morceau de choix sur lesquels ces chers zététiciens se déchaînent. En témoigne le dernier numéro de Science et Vie, revue de vulgarisation scientifique, dans laquelle l'authenticité du Saint Suaire est mise à mal. Il faut dire que Science et Vie se sent investi d'une mission colossale : « signaler les travaux qui, sous couvert de science, contribuent à la dévoyer ». D'où un article lapidaire qui réaffirme une nième fois la fausseté du linceul de Turin, preuves scientifiques à l'appui bien entendu ! Si vous croyez encore au Saint Suaire après la lecture de cet article, c'est que forcément, vous êtes idiot ou fanatique. C'est du moins ce qu'en conclut le français moyen, tout content de ne se découvrir ni idiot, ni fanatique, car bien évidemment, il savait déjà que le Saint Suaire était un faux et cet article ne fait que le conforter dans son opinion solidement établie. Bref, voilà un article qui vaut le détour pour un amoureux du vrai tant les techniques de subversion y sont présentes. C'est aussi l'occasion pour nous de rappeler brièvement quelques preuves de l'authenticité du Suaire et de revenir sur la datation au carbone 14 sur laquelle s'appuient toutes les négations du Suaire. Science et Vie n'y va pas par quatre chemins, et prend radicalement parti pour la thèse du faux. Dès le titre, le ton est donné : « La science aveuglée par la passion – Depuis 1988, la messe semblait dite : daté au carbone 14, le suaire de Turin, supposé avoir enveloppé le corps du Christ, avait avoué son âge : moins de 800 ans : Or, des scientifiques s'obstinent pourtant à clamer son authenticité, travaux à l'appui. Au risque de trahir la science qu'ils sont censés servir. » Et les pages qui suivent sont de la même veine : on s'attache à y démolir ces malheureux scientifiques égarés par leur passion pour le Saint Suaire. On les ridiculise tout d'abord : quel est l'intérêt que le coup porté par la lance l'ait été du côté droit ou du côté gauche ? Voilà qui ne justifie pas, aux dires de la journaliste, les heures de colloque, de discussions, de recherches scientifiques. Pour en être réduits à de telles extrémités, il faut vraiment que ces scientifiques aient perdu le sens commun. Ridiculisés, donc décrédibilisés… Ridiculisé lui aussi un livre [1] concluant à l'authenticité de la relique, livre « destiné au grand public ». Il est vrai que ce n'est pas le cas de Science et Vie, revue destinée à une élite… On n'hésite pas à extraire des phrases de leur contexte, rejetant ainsi aux fins fonds des oubliettes un autre ouvrage sur le Saint Suaire [2]. Raymond Rogers, scientifique venant de publier un article dans une (vraie) revue scientifique, décrivant une nouvelle méthode de datation, basée sur le taux de vanilline, composé chimique présent dans le lin et se dégradant avec le temps, se voit lui aussi sérieusement écorché : il faut dire que ses travaux l'ont fait conclure à un tissu datant de 2000 ans… Une telle affirmation lui vaut une sévère critique dans laquelle on n'hésite pas à remettre en cause sa compétence et son honnêteté scientifiques : « ses équations sont truffées de coquilles ». Le mensonge n'est pas oublié : on y affirme, preuve à l'appui, que la vaporographie (c'est-à-dire une réaction chimique entre les aromates utilisés pour ensevelir les morts et la sueur humaine) n'a pas pu produire l'image du Suaire, comme si, actuellement, les partisans du Suaire avaient conclu que la vaporographie était la cause de la formation de l'image. On déclare péremptoirement que la fraude a été attestée par l'Eglise en 1390 : effectivement, un évêque, Pierre d'Arcis, a nié en 1377 la véracité du Suaire. Mais, contrairement à ce qui est écrit, le pape Clément VII n'a pas donné raison à l'évêque, bien au contraire, puisqu'il lui ordonna de garder un silence perpétuel sous peine d'excommunication [3]. Les affirmations gratuites foisonnent dans cet article : l'analyse du sang, concluant à la présence d'hémoglobine sur le Suaire, est tout simplement mise de côté par la petite phrase suivante : « la publication de ces résultats dans une revue de référence (en l'occurrence, X-Ray Spectrometry) ne suffit pas à cautionner leur interprétation. » Au contraire, les détracteurs du Saint Suaire se voient honorés de multiples titres : « Henri Broch, professeur de physique et de zététique à l'université de Nice Sophia-Antipolis ». Cela sonne quand même mieux que « Raymond Rogers, ce chimiste américain, retraité du laboratoire national de Los Alamos de l'université de Californie, ex-membre du Sturp, célèbre organisation… dissoute en 1996. » Ce dernier n'est qu'un vieux radoteur, tandis que Henri Broch, visiblement, est un physicien émérite, au courant, lui, des avancées scientifiques. Le chimiste Walter Mac Crone est quant à lui encensé : « ce spécialiste de l'ultramicroanalyse » (vous savez ce que c'est ? Non ? Moi non plus, mais c'est un nom à rallonge qui en jette au commun des mortels) a publié 3 articles, notamment dans la revue Microscope concluant qu'aucune trace de sang n'était décelable sur le Suaire. Petit oubli de la journaliste : ces analyses ont été fortement remises en cause par la communauté scientifique, et Microscope est une revue appartenant à Mac Crone Association…. Le pompon du pompon est l'inversion de la situation : n'importe quel personne croisée dans la rue vous affirmera avec une bonne foi irréprochable que le Suaire est faux, puisque l'analyse au carbone 14 a conclu à un faux du Moyen Age. Et cette personne ignore bien sûr toutes les autres analyses scientifiques menées sur le sujet. Cela n'empêche pas notre journaliste d'écrire : « Mais alors que les analyses qui ont remis en cause l'authenticité du Suaire sont systématiquement écartées et leurs auteurs diabolisés, les plus contestables continuent d'être médiatisés et leurs conclusions assénées en dogme. » Les pauvres malheureux, on les traumatise, on les martyrise… Ca paraît dément ! Et pourtant, combien de personnes ont entendu parler de cet article à sensation dont les radios se font l'écho ces derniers temps, et combien prennent pour argent comptant les déclarations de Science et Vie, revue scientifique, donc ne pouvant pas se tromper (il est vrai que l'argument du « l'image du crucifié est trop parfaite pour être vraie » est un argument scientifique de haut vol…) N'hésitons pas de notre côté a rappeler autour de nous ce dont nos proches n'ont certainement jamais entendu parler : l'histoire du Saint Suaire et le panel (complet) des analyses qui ont été faites. La première trace du Saint Suaire remonte au Moyen Age : vers 1350, le Suaire est exposé à Lirey, en Champagne. Depuis lors, des documents attestent rigoureusement sa présence en Occident [4]. Il semblerait que le Saint Suaire ne soit autre que le Mandylion, un tissu replié ne laissant voir que le visage, découvert à Edesse en Turquie en 544, transféré à Constantinople en 944, et disparu en 1204 lors du sac de Constantinople. Cette hypothèse s'appuie sur l'iconographie byzantine : les représentations du Christ présentent des similitudes frappantes entre elles à partir de la découverte du Mandylion, suggérant ainsi l'hypothèse d'un modèle commun [5], et ces détails se retrouvent tous sur la face du Suaire. En 1898, la première photo du linceul révèle une image inconnue, bien plus nette que celle visible jusqu'alors : le Saint Suaire se comporte en fait comme un négatif photographique, et c'est à partir de ce moment que le Suaire, jusqu'alors simple objet de vénération, devient aussi une curiosité sur laquelle se sont penchés de nombreux scientifiques : étude du tissu, de l'image, le tout par des techniques à la pointe du progrès. On montre ainsi que le tissu est un sergé de lin originaire du Moyen-Orient et daté du premier siècle après Jésus-Christ, ayant entouré le corps d'un homme mort par crucifixion. Le Linceul de Turin retrace de manière impressionnante la Passion du Christ [6] : les Evangiles y trouvent une confirmation éclatante puisqu'on y voit les marques de l'agonie, de la flagellation, du couronnement d'épines, de la crucifixion… le tout avec des détails anatomiques extrêmement précis, inconnus au Moyen Age et qu'un artiste n'aurait jamais pu inventer (par exemple, l'enclouage au niveau des poignets, les sangs veineux et artériel…) D'autre part, cette image présente des caractéristiques impossibles à refaire : au niveau des yeux, il y a des pièces de monnaie (servant à fermer les yeux des morts), visibles uniquement en grossissant l'image. Ceci a été un moment remis en cause car un des leptons (datés de 29 et 31 après J.-C.) présentait une faute d'orthographe. Ce débat a passionné les numismates jusqu'à ce qu'on retrouve une pièce avec la même faute d'orthographe… Autour du visage, on relève aussi des caractères grecs composant entre autres les mots « Jésus », « le Nazaréen », ce qui accrédite l'authenticité du Suaire. L'image ne présente en outre aucune trace de pigmentation ni de coups de pinceaux : ce n'est pas une peinture ; c'est à une légère brûlure superficielle des fibrilles du tissu qu'est due la coloration rousse du Suaire. Mais aucune justification n'a été avancée pour expliquer le processus de formation de l'image, et ce d'autant plus que cette image est un négatif photographique codé en 3D : le nombre de fibrilles est inversement proportionnel au carré de la distance séparant le corps du tissu. La formation de l'image reste à ce jour inexpliquée. Autre mystère : les tâches de sang (apparaissant en clair sur le négatif du Suaire) ; elles sont antérieures à la formation de l'image (elles y ont fait écran), décalées par rapport à l'image, et les caillots comme les fibrilles sont intacts, ce qui est impossible à réaliser : lorsqu'on détache un tissu d'une plaie, on est forcé de déchirer le caillot ou les fibrilles du tissu. Ceci est là aussi inexplicable scientifiquement. Comment un faussaire aurait-il pu réaliser une image aussi nette, avec autant de détails visibles à l'oeil nu, et sans qu'on soit capable de refaire à l'heure actuelle, avec toute la technique dont nous disposons, une image semblable ? Ceci ne tient pas debout, et il faut toute la mauvaise foi de certains scientifiques pour affirmer le contraire. Venons-en donc à la datation au carbone 14. Son principe est relativement simple : tant qu'un organisme est vivant, des particules de C14 viennent se fixer sur lui grâce au rayonnement solaire. A sa mort, ce C14 se décompose lentement en azote, si bien qu'en mesurant le taux actuel de C14 sur un organisme mort (ici, le lin ayant servi à faire le tissu), et connaissant le taux normal de C14 sur les individus vivants, on peut calculer l'âge auquel remonte la mort. Mais ce calcul repose sur des hypothèses irréalisables en pratique : apport constant de C14 par l'atmosphère, conditions de conservation parfaites… Le Saint Suaire a été arrosé plusieurs fois (en particulier en 1532 lors de l'incendie de Chambéry, incendie qui a d'ailleurs bien endommagé le tissu) ; il a été exposé à la vénération publique, donc a été mis en contact avec d'autres organismes vivants, ce qui a pu modifier son taux de C14 [7]. De plus, l'analyse au C14 n'est pas fiable à 100%, loin de là, et les erreurs dont elle est à l'origine sont nombreuses. On pourrait aussi contester le mode opératoire de l'analyse du Linceul au C14, car les laboratoires ayant réalisé cette analyse se sont communiqué les résultats avant de rendre publiques leurs conclusions. Une fraude a donc pu être commise, mais le procédé, en soi caduc, suffit à remettre en cause l'analyse au C14. Quant à la technique médiévale, présentée par Science et Vie, permettant de fabriquer un suaire, elle est rocambolesque ; il faut d'abord fabriquer un buste de plâtre, y appliquer un tissu mouillé (afin d'épouser parfaitement les formes du plâtre), puis le tamponner avec une solution colorée aux endroits saillants. Le tour est joué, on a une image qui ressemble à celle du Suaire, mais ce n'est pas un négatif photographique (il suffit de voir le négatif que la revue présente pour s'en convaincre, il n'a rien à voir pour ce qui est de la précision et de la finesse des détails avec le négatif de la face du Saint Suaire). Ce n'est pas non plus une image 3D : les « scientifiques » ayant réalisé cette image auraient dû, pour observer une démarche honnête, la soumettre aux mêmes tests que ceux du Saint Suaire avent de hurler à la supercherie. L'article de Science et Vie fait actuellement beaucoup de bruit, mais absolument pas dans le sens développé ici : la thèse du faux y est accréditée par le rejet systématique des analyses effectuées. On y présente par contre des expériences grand-guignolesques, le tout étant orchestré par des scientifiques partant du postulat que le Suaire ne peut pas être vrai et rejetant en bloc les multiples analyses concluant à l'authenticité du Suaire. Il n'y a rien de pire qu'un aveugle qui ne veut pas voir ! Nous avons rappelé ici très brièvement les preuves de l'authenticité du Suaire, n'hésitons pas à les approfondir, car le Saint Suaire est un magnifique témoignage de la Passion et de la Résurrection du Christ, un outil apologétique précieux…
La démarche de la zététique est l'art du doute, face à un phénomène ses tenants prétendent adopter une attitude sceptique et mener leur étude sans a priori. On y adhère facilement losrqu'il s'agit de fantomes ou d'extraterrestres mais les choses se compliquent lorsque les auteurs abordent des sujets plus sensibles. Ainsi, pêle mêle on trouvera une remise en cause de l'existence de Jesus, une remise en cause du big bang, une explication farfelue de la nature de l'image du suaire de Turin, une charge contre la psychanalyse et j'en passe.
L'examen de ces sujets plus complexes dévoile au grand jour la démarche du "cercle de zététique": sous prétexte de soutenir une attitude sceptique les auteurs rejettent l'interprétation qui reccueille le consensus (jesus a existé, le big bang décrit les origines de l'univers, la nature de l'image du suaire est connue mais sa formation non expliquée, la psychanalyse a changé notre interpréation des rêves) pour mieux imposer leur point de vue marginal. En effet une posture de scepticisme extrême permet de rejeter les acquis de la science "officielle", celle des revues internationales indépendantes, des comités de lecture. Une fois fait table rase des acquis de la science le champ est libre pour la désinformation.Je donnerai un exemple (mais la démarche est la même pour les autres sujets), sur le suaire de Turin.
Pour expliquer l'image du suaire de Turin, le dossier du Cercle de Zététique s'appuie sur une unique source, un certain Dr McCrone. Or ce dernier n'a jamais publié un seul article sur le sujet dans une revue indépendante, ni même tenté de soumettre ses travaux à un comité de lecture indépendant. Ses travaux sont publiés par son propre organisme, il a été désavoué par ses pairs sur le sujet et est isolé dans son argumentation. En contradiction avec sa thèse, des dizaines d'articles produits par une équipe multidisciplinaire, internationalement reconnue, et publiés dans des revues indépendantes faisant autorité dans leur domaine.
Cela résume le rejet du cercle de zététique de la science officielle et ses réseaux.
Or je suis désolé mais la sciences se fait dans de tels réseaux de comités de lecture et de revues indépendantes. C'est dans Science, Nature, Applied Optics et autres que les charlatans n'ont pas leur place, que toute supercherie est immédiatement démasquée et son auteur "grillé" par la communauté scientifique. On comprendra alors l'intérêt de la court-circuiter pour les tenants de la zététique. Bref, un site partial qui ne satisfera que les convaincus pour les renforcer dans leurs a priori. Mais on est très loin de l'impartialité et de l'objectivité tant revendiquée. L'art du doute est au coeur de la démarche scientifique, le cercle de zététique le met en écharpe et le détourne à ses propres fins.http://www.ciao.fr/Unice_fr_zetetique__Avis_863572
Second Face on the Shroud of Turin
The peer-reviewed journal of the Institute of Physics in London, on April 14, 2004, announced that Giulio Fanti and Roberto Maggiolo, both of the University of Padua, Italy, have found a second face image on the back of the Shroud of Turin. This image corresponds to the front image but is much fainter. And this image, like the front image, is completely superficial to the topmost crown fibers of the cloth. Because both images are superficial (meaning there is no image or colorant of any kind between the two image layers on the extreme outer faces of the cloth) and because the images are in registry with each other, all so-far-proposed fakery proposals are moot. The images are not paintings and not some form of medieval proto-photography. When the Shroud was examined in 1978, the backside of the cloth was not accessible. At that time, the Shroud was sewn to a backing cloth. Quoting from the IoP press release of April 14, 2004:
Because the images are extremely faint, the duo [Fanti and Maggiolo] has used an array of image-processing techniques — including Gaussian filters, Fourier transforms and template matching — to highlight human features.
They found that the face of the man that can be seen on the reverse of the Shroud matches that observed on the front. The image shows faint details of a nose, eyes, hair, beard and moustache . . . The Italian duo was also able to make out weak images of the man's hands, but could not produce images of his shoulders or back.
These new findings could help to shed light on the origins of the cloth but are more likely to fuel further debate over it. In 1989 (sic 1988), carbon-dating techniques revealed that the Shroud dated from medieval times and therefore could not have been used to bury Christ. However, many scientists have argued that the carbon-dating techniques used to study the Shroud were flawed.
Fanti and Maggiolo are now saying that the Shroud is unlikely to be a fraud because the image of the face is superficial on both sides of the cloth and only involves the topmost fibres of the material. "It is extremely difficult to make a fake with these features," says Fanti.
While this discover of imaging on the backside of the cloth makes artistic and photographic methods significantly more implausible, it does lend credence to the possibilities that gaseous amines released by the body reacted with the carbohydrate layers. Some gases would have penetrated through the weave of the cloth and reacted with the backside carbohydrate layer. (And it does not rule out miraculous cause or effect). See: The Shroud of Caiaphas: a forensic science mystery
Using new photographs of the reverse side of the Shroud, two researchers at the University of Padua, Giulio Fanti and Roberto Maggiolo, discovered the faint indications of a second facial image that corresponded to the face on the front of the cloth. Their findings were reported in the scientific Journal of Optics published by the Institute of Physics in London (April 14, 2004). This image, like the image on the front side of the cloth, is completely superficial to the topmost fibers of the cloth. Both images are superficial. There is no image producing colorant between them. This rules out a liquid such as a paint or a dye. But it does not rule out a reactant gas as an agent in the image formation. Some have argued that the second face rules out photography. It does not. But it makes it implausible. It would have required that the photosensitive emulsion would have needed to have been superficially on both sides of the cloth and not soaked in and that the light used to make the image was strong enough to shine through the cloth. There are plenty of other scientific reasons to know that the image on the Shroud is not a photograph. The second face is an important criteria in any attempt to explain how the images were made.
The Sudarium of Oviedo and what it Suggests about the Shroud of Turin?
In the northern Spanish city of Oviedo, in a small chapel attached to the city's cathedral, there is a small bloodstained dishcloth size piece of linen that some believe is one of the burial cloths mentioned in John's Gospel. Tradition has it that this cloth, commonly known as the Sudarium of Oviedo, was used to cover Jesus' bloodied face following his death on the cross. Numerous historic documents tell us that the Sudarium has been in Oviedo since the 8th century and in Spain since the 7th century. It seems, too, to have arrived from Jerusalem. Documents from the late Roman period and the early Middle Ages are often sketchy and prone to chronological mistakes, and those pertaining to the Sudarium are no exception. But from a multiplicity of sources, scholars have extracted core elements of historical certainty and plausibility sufficient for a fair degree of historical reconstruction. We can be quite sure that the Sudarium came to Oviedo from Jerusalem, and there is some evidence it dates back to the 1st century CE. Its journey to its present location began in 644 CE. when Persians under Chosroes II invaded Jerusalem. To protect the Sudarium, it was moved out of the city to safety. We are uncertain of its route to Spain. It may have been first taken to Alexandria along with numerous other relics (real or otherwise, and stored in a chest or "ark") and from there, in succeeding years, along the coast of North Africa ahead of advancing armies. Some historians have suggested a more direct sea route to Spain, but forensic pollen evidence indicates that the Sudarium was in North Africa, just as the presence of other pollen spores evidences that it was at one time in the Jerusalem environs. Whatever the route, we know that after it arrived in Spain, it was kept in Toledo for about 75 years. For some time after it arrived, it was in the custody of the great bishop and an early-medieval scholar, Isidore of Seville. Then in 718, to protect it from Arab armies, which had invaded Spain only seven years earlier, it was moved northward with fleeing Christians. In 761, Oviedo became the capital of a northern, well-defended enclave of Christians on the Iberian Peninsula and it was to this city that the Sudarium was brought for safekeeping. It has been in Oviedo ever since.
The path of the Sudarium links its origin to the same time and place of the Shroud. Moreover, forensic analysis of the bloodstains suggests strongly that both the Sudarium and the Shroud covered the same human head at nearly the same time. Bloodstain patterns show that the Sudarium was placed about the man's head while he was still in a vertical position, presumably before he was removed from the cross. It was then removed before the Shroud was placed over the man's face.
In 1999, Mark Guscin, a member of the multidisciplinary Investigation Team of the Centro Español de Sindonología, issued a detailed forensic and historical report entitled, "Recent Historical Investigations on the Sudarium of Oviedo." Guscin's report detailed recent findings of the history, forensic pathology, blood chemistry, and stain patterns on the Sudarium. His conclusion: the Sudarium and the Shroud of Turin had been used to cover the same injured head at closely different times. Here are some highlights from Guscin's report:
It seems to be a funeral cloth that was probably placed over the head of the corpse of an adult male of normal constitution. The man whose face the Sudarium covered had a beard, moustache and long hair, tied up at the nape of his neck into a ponytail.
The man was dead. The mechanism that formed the stains is incompatible with any kind of breathing movement.
The man was wounded before death with something that made his scalp bleed and produced wounds on his neck, shoulders and upper part of the back.
The man suffered a pulmonary edema as a consequence of the terminal process. The main stains are one part blood and six parts fluid from the pulmonary fluid.
The only position compatible with the formation of the stains on the Oviedo cloth is both arms outstretched above the head and the feet in such a position as to make breathing very difficult, i.e. a position totally compatible with crucifixion. We can say that the man was wounded first (blood on the head, shoulders and back) and then 'crucified.'
On reaching the destination, the body was placed face up and for unknown reasons, the cloth was taken off the head.
The Sudarium contains pollen grains of Gundelia tournefortii, identical to that found of the Shroud that grows only east of the Mediterranean Sea as far north as Lebanon and as far south as Jerusalem.
The blood (stain symmetry, type and other indicators) on the Sudarium matches the blood on the Shroud.
In summary, Guscin wrote:
There are many points of coincidence between all these points and the Shroud of Turin – the blood group, the way the corpse was tortured and died, and the macroscopic overlay of the stains on each cloth. This is especially notable in that the blood on the Sudarium, shed in life as opposed to postmortem, corresponds exactly in blood group, blood type and surface area to those stains on the Shroud on the nape of the neck. If it is clear that the two cloths must have covered the same corpse, and this conclusion is inevitable from all the studies carried out up to date, and if the history of the Sudarium can be trustworthily extended back beyond the fourteenth century, which is often referred to as the Shroud's first documented historical appearance, then this would take the Shroud back to at least the earliest dates of the Sudarium's known history. The ark of relics and the Sudarium have without any doubt at all been in Spain since the beginning of the seventh century, and the history recorded in various manuscripts from various times and geographical areas take it all the way back to Jerusalem in the first century. The importance of this for Shroud history cannot be overstressed.
Image formation hypotheses, theories and findings (de shroud.wikispaces.com). Scientific issues and Shroud research in the 1990s, por Larry A. Schwalbe (1990). Image formation and the Shroud of Turin, por Emily A. Craig y Randall R. Bresee (1994). Is the Shroud of Turin a painting?, por Isabel Piczek (1995). Some say the image on the Shroud of Turin was painted, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com). The formation of the Shroud's body image, por Kitty Little (1995). Alice in wonderland and the Shroud of Turin, por Isabel Piczek (1996). Book review of 'The Turin Shroud: in whose image?', por Daniel Scavone (1996). Negativity and the Shroud, por M. Sue Benford (1997). The image formation mechanism on the Shroud of Turin: a solar reflex radiation model (the optical aspect),
por Serge N. Mouraviev (1997). The Shroud of Turin: genuine artifact or manufactured relic?, por Jack Kilmon (1998). The nature of the body images on the Shroud of Turin, por Alan D. Adler (1999). Photogrammetric responses from the Shroud of Turin, por Peter M. Schumacher (1999). The Shroud of Turin's 'blood' images: blood or paint? A history of science inquiry, por David Ford (2000). Is the Shroud of Turin a medieval photograph?, por Barrie Schwortz (2000). The Turin Shroud: from the photo to the three-dimensional, por Aldo Guerreschi (2000). The Turin Shroud and photo-relief technique, por Aldo Guerreschi (2000). The chemistry of autocatalytic processes in the context of the Shroud of Turin, por Ray Rogers (2002). The Image on the Shroud of Turin: Clues from the Volckringer and Russell Effects, por Allan Mills (2002). Scientific method applied to the Shroud of Turin. A review, por Raymond N. Rogers y Anna Arnoldi (2002). The Shroud of Turin: an amino-carbonyl reaction (Maillard reaction) may explain the image formation,
por Raymond N. Rogers y Anna Arnoldi (2003). Testing the Jackson 'theory' of image formation, por Raymond N. Rogers (2004). Frequently asked questions (FAQs), por Raymond N. Rogers (2004). Comments on Rogers 'Testing the Jackson 'theory' of image formation', por John P. Jackson y Keith E. Propp (2004). Evidences for testing hypotheses about the body image formation of the Turin Shroud,
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presentado en la Ohio Shroud Conference (14-17 de agosto de 2008). Tomado de ohioshroudconference.com. A Physical Hypothesis on the Origin of the Body Image Embedded into the Turin Shroud, por P. Di Lazzaroa, G. Baldacchinia, G. Fanti, D. Murraa, E. Nichelattic & A. Santonia, presentado en la Ohio Shroud Conference (14-17 de agosto de 2008). Tomado de ohioshroudconference.com. The ridiculous Picknett and Prince photograph theory, de Shroud of Turin Blog (octubre de 2008). Nicholas Allen's ridiculous photography idea, de Shroud of Turin Topics (febrero de 2009). Some say the image on the Shroud of Turin is Jacques de Molay, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com). Some say the image on the Shroud of Turin is Leonardo da Vinci, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com). A point of nuclear physics about the Shroud of Turin, por Gildas Rouvillois. The imprint, por Peter Carr. Battle of the chemists (animación .ppt), de shrouduniversity.com. The Shroud of Turin. Research at McCrone Research Institute (del McCrone Research Institute: mcri.org). VP-8 Shroud Image Analysis, Impact, and History (audio MP3), por Peter Schumacher (de shrouduniversity.com).
Puede verse un resumen de la conferencia aquí (en inglés).
Avec mes meilleures salutations et voeux pour de belles fêtes de Pentecôte.
François de Siebenthal
A l’origine du message que vous venez de recevoir, il y a une personne, qui a pris le temps et la peine de vous écrire. Il serait très agréable, que d’un mot et d’un clic, vous lui confirmiez l’avoir bien reçu. Autrefois, cela se faisait par une poignée de main ou un sourire de remerciement. Ne laissons pas la machine nous diminuer.
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U.E. La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois !
UN SCANDALE ! ! ! A SAVOIR AVANT LA « TONTE » DE 2010
Toujours plus d'impôts, de taxes, d'amendes, de primes, de frais, d'émoluments, de coupes sombres pour payer leurs bonus et primes indécents qui achètent leurs consciences et leurs silences.
Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l'administration européenne Et pourquoi ?
La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l'UE a été approuvée !!!!
Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une
pension de 9.000 Euros par mois. Oui, vous avez bien lu !!!
Afin d'aider l'intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de
l'UE (Pologne, Malte, pays de l'Est…), les fonctionnaires des anciens pays membres
(Belgique, France, Allemagne..) recevront de l'Europe un pont d'or pour partir à la
retraite. Rappelez-vous qu’ils ne sont pas élus, mais fonctionnaires assurés de
réintégrer leur administration d’origine en cas de révocation.
POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?
Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que
ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.
La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l'Olympe"
!!! RÉAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens.
Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs… Même
les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne
reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent… C'est dire ! Giovanni Buttarelli, qui
occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis
après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1
515 € / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du
secteur privé après une carrière complète (40 ans). Son collègue, Peter Hustinx,
vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à
près de 9 000 € de retraite / mois.
Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de
retraite par mois.
Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.
Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois.
Consultez la liste :
http://www.kdomailing.
com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286
Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont
assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du
dernier salaire. Car, c'est à peine croyable… Non seulement leurs pensions
crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une
carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche
pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.
Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles
recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012),
42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5
ans… De qui se moque-t-on ?
A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la
Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été
accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en
profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.
Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super
retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable…
Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement,
c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.
Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !
Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne
qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont
légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées…/
", profitent du système et ne paient pas de cotisations. Et que dire de tous ces
technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de
Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils
ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ? A l'heure où
l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise
économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens
bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement
15 ans de carrière et sans même cotiser… C'est une pure provocation !
Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des états membres de l'Union
Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos
frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds
sur terre.
Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve
par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-enor-
des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867
Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept
pays de l'Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!!
Etats escrocs à la botte des banquiers.
Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).
Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.
L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?
Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".
La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?
Est-ce la fin
du système financier actuel? C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.
http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news
Etats escrocs à la botte des banquiers.
Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ?
Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).
Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.
L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?
Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".
La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?
Est-ce la fin
du système financier actuel? C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.
http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news
Et si la Suisse montrait la voie ?
Des sociétés secrètes centralisatrices
Elles veulent détruire les nations et donc les États et obtenir un seul gouvernement mondial absolu…
Ils veulent fermer plus de la moitié des hôpitaux ( sic), planifient des queues pour tous les services publics et des euthanasies actives des personnes "inutiles" mais livrent des milliards (sic) de bonus aux banquiers de New-York…
Voici un courrier reçu de France…
On peut voir ceci qui vient d'ailleurs de Horizons et Débats, peut-être tu connais déjà:
http://www.mecanopolis.org/?p=17240
Et si la Suisse montrait la voie ?
Le FMI et la Banque mondiale se développent considérablement et se voient attribuer de nouvelles missions (1). Va-t-on créer une Banque globale? Les finances vont-elles être encore plus centralisées? Va-t-on même créer une nouvelle monnaie? Que va-t-il advenir de l’euro? Dans cet article, nous présentons la Banque nationale suisse et ses préoccupations. Un retour sur l’histoire suisse nous montre l’ancrage des finances dans la population et nous amène à nous demander si une centralisation accrue au niveau mondial est vraiment la solution qui convient aux problèmes actuels de la finance. La Banque nationale suisse (BNS) est une société anonyme. 53,5% des actions sont détenues par les cantons et les banques cantonales et les autres par des particuliers. La Confédération n’en possède pas. Si ses actions se négocient en Bourse, la BNS n’est pas comparable à une société anonyme privée. Son organisation et ses missions sont fixées dans la Constitution et dans la Loi fédérale sur la Banque nationale. Deux tiers des profits reviennent aux cantons et un tiers à la Confédération. Il y a deux semaines a eu lieu son Assemblée générale annuelle qui, en raison de la situation tendue du système financier et de la situation particulière de la Suisse, a suscité un grand intérêt. Le président nouvellement élu, Philipp M. Hildebrand, a analysé la situation actuelle et a envisagé l’avenir. Nous évoquerons et commenterons ici les points essentiels de son exposé. Problématique des banques «too big to fail» Hildebrand a détaillé les dangers que représentent pour la Suisse les deux grandes banques mondialisées. Elles sont devenues si importantes qu’une éventuelle faillite causerait de sérieux dommages à notre économie (cf. Horizons et débats du 19/4/10). Hildebrand a esquissé une stratégie propre à résoudre le problème à l’avenir. Voici un extrait de son exposé: «Les exigences en matière de fonds propres doivent être suffisamment strictes pour amener les banques à assumer les risques qu’elles reportaient jusqu’ici sur la collectivité. Des exigences accrues peuvent en outre constituer une base importante pour un modèle commercial d’avenir axé sur la durabilité. Dans les domaines où les établissements financiers suisses sont traditionnellement forts, les banques bien capitalisées ont un avantage concurrentiel certain. En outre, la Banque nationale est d’avis que l’organisation et la structure juridique des grandes banques doivent être adaptées afin de permettre une liquidation en bonne et due forme en cas de crise extrême. En particulier, elles doivent pouvoir poursuivre leurs activités d’importance systémique sans que l’on soit obligé de sauver le groupe tout entier. Au plan international également, des mesures sont proposées pour s’attaquer aux problèmes du too big to fail. Ces développements relatifs à la réglementation internationale doivent être considérés sous l’angle de la compétitivité globale de notre place financière. Les trente derniers mois l’ont toutefois montré de manière très éloquente: en cas de crise, chaque pays doit assumer lui-même la responsabilité pour ses banques. Lors de l’élaboration et de la mise en œuvre des mesures sur le plan national, il s’agira aussi de prendre en compte les particularités du pays. En Suisse, la problématique du too big to fail est particulièrement aiguë. C’est pourquoi un swiss finish s’impose.» Politique monétaire Ensuite, Hildebrand a parlé de politique monétaire. Il a insisté sur le fait que la BNS prenait des mesures pour stopper la baisse de l’euro. Quiconque étudie les documents de la Banque comprend de quoi il s’agit: Au cours du seul dernier trimestre, la BNS a acheté pour 40 milliards d’euros, ce qui représente deux tiers de ses réserves monétaires. Pourquoi? Grâce à ces achats massifs d’euros, Hildebrand entend aider les exportations. Environ 60% des exportations vont vers l’UE. Il y a encore quelques années, un exportateur obtenait 1 franc 60 pour un euro gagné à l’étranger. Il y a quelques mois ce n’était plus que 1 franc 50 et maintenant 1 franc 42. Il faut stopper cette tendance. Cependant les exportations ont déjà souvent été confrontées aux inconvénients d’un franc suisse fort. En 1973, un exportateur obtenait 4 francs 37 pour un dollar. Aujourd’hui, le franc vaut presque un dollar. Au cours des dernières décennies, cette dépréciation a touché également d’autres monnaies, par exemple la livre anglaise. Cette chute a pu être ralentie passagèrement mais pas stoppée. Aux dernières nouvelles, la BNS a cessé d’acheter des euros. Le cours est aussitôt descendu à 1 franc 40. Si la BNS achète des euros avec des francs nouvellement créés, la masse monétaire en circulation augmente. Hildebrand veut ainsi lutter contre la déflation intérieure, c’est-à-dire la baisse des prix. Pourquoi? Une baisse des prix n’est pas en soi une mauvaise chose, mais elle peut devenir un problème quand les gens réduisent collectivement leur consommation, par exemple parce qu’ils s’attendent à une nouvelle baisse l’année suivante. Toutefois ce phénomène ne s’observe guère actuellement. Un franc fort a également des avantages. Il a toujours incité à offrir des produits et des services d’excellente qualité et cela sans relâcher ses efforts. Comme le montre l’état actuel de l’économie, le handicap du franc fort n’a pas nui à long terme à l’économie. En outre, les produits d’importation sont moins chers. Cela aide aussi l’économie d’exportation parce qu’elle peut acheter moins cher à l’étranger les matières premières qu’elle transforme. 80% des importations viennent de l’UE. Notre plus important partenaire commercial est l’Allemagne avec un tiers du total des importations et un cinquième des exportations. Aujourd’hui, il est évident pour chacun que les risques du monde financier sont devenus plus divers et, d’une manière générale, plus importants. Les réserves de la BNS sont-elles suffisantes? Bradage des réserves d’or il y a dix ans En 2000, la BNS a commencé à vendre la moitié de ses réserves stratégiques d’or. Elle en a vendu quelque 1300 tonnes pour un prix moyen de 16 000 francs le kilo. En 2007, elle en a encore vendu 250 tonnes. A l’époque, le président de la Confédération Arnold Koller et le président de la BNS Hans Meyer avaient déclaré que l’or était «excédentaire» et qu’on n’en avait plus besoin. L’article sur la monnaie de la nouvelle Constitution, dont on prétendait qu’elle ne contenait rien de nouveau, ouvrit la voie aux ventes. Elles ont été accompagnées de deux votations populaires: finalement, les réserves d’or faisaient partie de la richesse nationale. Mais les deux fois, il ne fut pas question de savoir s’il fallait ou non vendre l’or mais à quoi le produit devait servir, au «fonds de solidarité» ou à l’AVS. Le peuple a dit «non» les deux fois. On ne lui a jamais demandé s’il estimait judicieux de vendre ces réserves d’or amassées en période de prospérité en vue de difficultés futures. Aujourd’hui, l’histoire a donné une réponse. Avec la quasi-faillite d’UBS, une situation de catastrophe est survenue de manière tout à fait inattendue. La BNS a dû utiliser une grande partie de ses réserves pour sauver la banque. Hildebrand a déclaré lui-même que la faillite d’une des deux grandes banques dépasserait les possibilités financières d’un petit État. Les réserves d’or stratégiques sont là pour les catastrophes. Aujourd’hui s’ajoutent les risques dus aux achats massifs d’euros. Les spécialistes de la Bourse parlent de «gros risque». Or on peut objecter à juste titre qu’en comparaison des autres pays, la BNS, avec ses 1040 tonnes d’or, possède encore des réserves importantes. Et c’est vrai. En outre, au cours des dernières années, la BNS a obtenu de bonnes notes pour sa politique. Cependant la Suisse a une économie restreinte et ouverte et l’on n’a pas besoin d’être pessimiste pour reconnaître que, d’une manière générale, les risques ont augmenté. L’or constitue une assurance en cas de catastrophe économique, une mesure de précaution pour parer à une crise. Les générations passées s’en sont rendu compte. Une politique qui se fait dans le dos du peuple est nuisible Il ne s’agit pas ici de calculer quel montant de notre argent les responsables ont «perdu» avec leur mauvaise décision de vendre une grande partie des réserves d’or. Le prix de l’or a presque triplé en francs suisses depuis le début des ventes. Il s’agit plutôt de pointer le fait que les responsables ont pris leur décision sans en référer au peuple. Cette question s’impose d’autant plus qu’après la Seconde Guerre mondiale, la décision d’accumuler d’importantes réserves stratégiques d’or avait été prise d’une manière parfaitement démocratique, c’est-à-dire en consultant la population. Les événements de l’époque sont exemplaires, si bien que nous les rappellerons ici brièvement. Nous montrerons également pourquoi la Suisse, petit pays, a conservé des réserves d’or si importantes et pourquoi elle passe pour un «havre de sécurité» pour l’argent étranger. Bretton Woods En 1944, à Bretton Woods (Etats-Unis), un accord monétaire a été conclu qui était fondé sur l’«étalon dollar-or». Pendant presque 30 ans, il détermina la vie économique et les transactions financières mondiales. Il reposait sur des taux de change fixes qui ne pouvaient être modifiés qu’à l’aide d’une procédure compliquée. Le dollar était la monnaie de réserve. La Banque centrale américaine, la FED, avait une mission essentielle dans la mesure où les différentes banques centrales pouvaient utiliser des dollars comme monnaies de réserve sans devoir posséder de réserves d’or propres. La FED leur offrait la possibilité d’échanger en tout temps leurs dollars contre de l’or. La Suisse dut prendre une décision: devait-elle se fier au dollar comme monnaie de réserve ou constituer d’importantes réserves d’or afin de rendre le pays moins dépendant des Etats-Unis? Le Conseil fédéral, le Parlement et la BNS rédigèrent un article sur la monnaie destiné à la Constitution, qui laissait jusque-là la question ouverte. Le nouvel article 39-6 prévoyait que la Confédération déterminait le type et le volume de la couverture de la monnaie. Comme le prévoyait la Constitution, il devait être soumis au peuple. Ce projet était incontestable pour l’élite politique qui pensait qu’il s’agissait d’une pure formalité. Or la réponse fut une surprise: un «non» clair et net. 61,5% des citoyens et 20 cantons et demi sur 22 rejetèrent le projet. Une large majorité s’opposait à ce que la Confédération laisse ouverts dans la Constitution le type et le volume de la couverture de la monnaie. Elle voulait inscrire la couverture-or dans la Constitution. Large débat de fond Un large débat de fond s’est alors instauré, non pas entre experts mais avec la population. Il ne s’agissait plus seulement de l’or, mais de la monnaie et du système monétaire en général. La BNS, le Conseil fédéral et le Parlement élaborèrent un nouvel article tenant compte du souhait de la population de voir figurer l’or dans la Constitution. Au centre du projet, il y avait l’alinéa 7 qui stipulait que «les billets de banque émis doivent être couverts par de l’or et des avoirs à court terme». Au Conseil national, le rapporteur de la commission expliqua le principe de la couverture-or de la manière suivante: «Le possesseur de billets de banque doit avoir la certitude qu’il existe une certaine contre-valeur en or. […] Certes, jusqu’à nouvel avis, les billets ne sont plus convertibles en or, mais la confiance de larges couches de la population dans la monnaie est associée à la couverture-or. Et c’est en particulier par rapport à cette couverture que l’on juge le plus souvent la monnaie. […] Si dans un pays, il existe à ce sujet des prescriptions sur une couverture-or minimale, il me semble que cela garantit qu’une réserve d’or correspondante a été accumulée et conservée.» Pour d’autres parlementaires, l’or conservé dans des coffres avait perdu son ancienne importance et n’était plus d’actualité. D’autres encore rappelèrent le fait que quelques années auparavant, pendant la guerre, c’est avec de l’or que l’on put acheter les matières premières et les produits alimentaires nécessaires à la survie du pays. L’or continuait d’être tout à fait justifié en des temps de difficultés monétaires. Et cela était d’autant plus valable pour un pays qui ne possédait pas de matières premières. Le conseiller aux Etats thurgovien Stähli renchérit en déclarant: «Les conditions d’une monnaie solide ne sont pas seulement une couverture-or décrétée mais en particulier une économie saine, des fondements juridiques clairs et avant tout la ferme volonté de travailler du peuple.» «La monnaie est un bien précieux» A la question de savoir ce qu’on pensait faire si les Etats-Unis favorisaient l’inflation et dévaluaient leur monnaie, le conseiller fédéral Nobs, qui défendait l’idée d’importantes réserves d’or, a déclaré ceci: «La réponse est claire: Nous conservons notre totale liberté de manœuvre. Nous ne dépendons d’aucun automatisme. […] Nous sommes tout à fait libres d’évaluer les conséquences économiques pour notre pays et ensuite de prendre les mesures monétaires adéquates en fonction des intérêts supérieurs du pays. La monnaie est un bien précieux, il faut en prendre soin, mais ce n’est pas une idole, pas plus que l’or.» Opposition La nouvelle proposition d’article constitutionnel ne fut pas approuvée partout. Le parti libéral-socialiste, issu du mouvement franchiste, s’opposait à la couverture-or pour des questions de principe. Pour lui, le contrôle de la masse monétaire était plus important. Il lança l’«initiative pour la monnaie franche» et recueillit en peu de temps quelque 90 000 signatures (il en fallait 50 000 à l’époque). L’article 39 de la Constitution fédérale devait être modifié de la façon suivante: «La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de régler la circulation de la monnaie en Suisse de telle façon que le pouvoir d’achat du franc suisse reste constant, autrement dit que l’indice des prix des marchandises de première nécessité reste constant, afin de garantir le plein-emploi des travailleurs.» La BNS devait maintenir la stabilité du franc en contrôlant la masse monétaire à cet effet. Une augmentation de la masse monétaire devait mettre à la disposition de l’économie en expansion les moyens permettant d’endiguer la flambée des prix. L’objectif était d’atteindre un équilibre grâce au plein emploi. Le franchiste Werner Schmid, au Conseil national, et le professeur Hans Bernouilli, au Conseil des Etats, défendirent leur initiative avec un courage et une sincérité remarquables face à une armée d’adversaires. Ils firent face également à des polémiques à propos de la «monnaie franche» ou «monnaie fondante» et de Silvio Gesell dont les idées avaient inspiré le mouvement franchiste. Ajoutons que dans l’initiative, il n’était pas question de «monnaie fondante» mais uniquement de l’idée d’arriver à la stabilité des prix au moyen du contrôle de la masse monétaire. Résultat du débat Quelle fut la décision du peuple? La votation eut lieu le 15 avril 1951. L’initiative fut rejetée par 87,9% des votants et tous les cantons. 71% des votants et tous les cantons approuvèrent le nouvel article qui inscrivait le principe de la couverture-or dans la Constitution. Dans les années qui suivirent la votation, la BNS fit passer les réserves d’or de 800 tonnes (quantité d’après la Seconde Guerre mondiale) à 2600 (source: Rapports mensuels de la BNS). L’or fut financé par les excédents de la balance des paiements réalisés pendant cette période. Cela représentait des centaines de millions d’heures de travail de la population. Après 1964, les réserves d’or ne furent pratiquement plus modifiées jusqu’à nos jours. Fin de Bretton Woods En 1971, le président Richard Nixon ferma la «fenêtre de l’or». Les Etats-Unis cessèrent de couvrir avec de l’or les dollars qui furent imprimés en trop grande quantité pour financer la guerre du Vietnam. Cela entraîna l’effondrement du système monétaire de Bretton Woods. C’est alors que le dollar, qui n’était plus lié à rien, entama sa chute. Si à l’époque, il fallait payer 4 francs 37 pour un dollar, aujourd’hui, comme nous l’avons dit, le dollar et le franc suisse sont à peu près à égalité. La dépréciation du dollar a également retenti sur le prix de l’or. Alors que l’once valait alors 35 dollars, elle en vaut aujourd’hui 1200. Les promoteurs de l’initiative pour la monnaie franche ont éprouvé une satisfaction tardive. La BNS fut l’une des premières banques centrales qui, en 1973, dans le système monétaire post-Bretton Woods, se fixa un objectif de masse monétaire pour garantir la stabilité des prix (exactement comme le demandait l’initiative). On ne toucha pas aux importantes réserves d’or stratégiques de 2600 tonnes déposées dans les coffres de la BNS. Elles y restèrent, évaluées à leur valeur historique de 4500 francs le kilo, en tant que garant de confiance et de mesure de précaution en prévision d’une crise (assurance catastrophe). Mais en 1997, les choses changèrent lorsque le président de la Confédération, Arnold Koller, en accord avec le président de la BNS, fit savoir au peuple que la moitié de ces réserves était superflue, qu’elle pouvait être vendue et que le produit de la vente pouvait être utilisé à d’autres fins. Il omit toutefois de demander aux citoyens s’ils étaient d’accord. Comment Arnold Koller en est-il venu à agir ainsi? Qui lui avait suggéré cette idée? Conférence de Zurich sur le système monétaire international Les faiblesses du système monétaire actuel sont bien connues. Depuis 1971, les dettes atteignent des sommets dans presque tous les pays. On crée de l’argent trop facilement. On fait trop facilement des dettes. A cela s’ajoute le fait que la spéculation déstabilise le système dans des proportions sans précédent jusqu’ici. Les citoyens se préparent à l’idée que non seulement les banques mais les Etats pourraient s’effondrer. Il est urgent de faire des réformes pour éviter une catastrophe générale. Il ne s’agit pas seulement d’une réglementation visant les banques. Il est temps de repenser le système monétaire. Le système monétaire actuel, qui a commencé en 1971 à la fin de Bretton Woods, constitue la plus importante expérience monétaire de l’histoire. Personne ne sait ce qui va en résulter. Le 11 mai, la BNS et le FMI ont convoqué à Zurich une «conférence au sommet» sur le thème du «système monétaire international». Elle a été assortie d’une conférence de presse du président de la BNS Philipp Hildebrand et du président du FMI Dominique Strauss-Kahn. Or le débat ne doit pas être uniquement l’affaire des experts; il doit impliquer la population. C’est à mon avis la leçon à tirer du débat ouvert qui eut lieu en Suisse en 1951 à propos de la monnaie et du système monétaire. Horizons et débats y contribuera par d’autres articles. Horizons et Débats n°19, 17 mai 2010 Notes 1. Voir Horizons et Débats n°18
Horizons et débats est un hebdomadaire publié en allemand et en français. Une sélection bimensuelle est disponible en anglais. Pour une lecture plus confortable qu’à l’écran, abonnez-vous à la version papier d’Horizons et débats. Tarifs 2010 : – 6 mois : 105 FS ou 58 € – 1 an : 198 FS ou 108 € Horizons et débats, Case postale 729, CH-8044 Zurich. CCP 87-7484485-6
*Monsieur le Député,
vous voudrez bien trouver, ainsi que vous me l'avez demandé, les références
et le libellé exacts de la citation prophétique de la page 234 du très
célèbre ouvrage en savoir plus…
Recueillir les déversements d’hydrocarbures dans le golfe du Mexique ?
Lettre à Monsieur le Président Barack Hussein Obama et au chef de la direction de BP
Un groupe suisse dispose de la technologie et du savoir-faire pour recueillir les déversements d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique, les arrêtez et récupérer l'utilisation des puits.
Nous l'avons fait au Koweït et nous avons de nouveaux brevets secrets pour ce travail très spécial, secret, parce qu'ils nous ont volés tous nos brevets antérieurs.
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E
Nos brevets antérieurs ( voir ci-dessous ) ont été enregistrés en avril et mai 1991 auprès de l'INPI à Paris. L'extension internationale a été affectée dans le délai, à l'OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle – Organisation mondiale de la propriété intellectuelle) ainsi que le prouve les documents suivants montrant les systèmes d'extinction et de blocage des puits de pétrole en feu enregistrées au nom de Joseph FERRAYE .
Les rapports de la recherche internationale en priorité intellectuelle ont établi par l'OEB (Office européen des brevets) qui a prouvé que les deux systèmes ont été incontestablement de nouvelles inventions utilisées de manière illicite par les voleurs de brevets.
Cela a été confirmé par les experts pétroliers, notamment M. Géraud VITRAC le 23.03.1997 !
Vous pouvez nous contacter à Lausanne.
De Siebenthal & Cie
François de Siebenthal.
1010 Lausanne
0041 21 616 88 88
Fax 0041 21 616 88 81
Skype: Siebenthal
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E
UN SYSTEME pour éteindre un puits de pétrole SOUMISES A très haute pression
Les données bibliographiques | Description | Prétentions | Mosaïque | Le document original | Situation juridique INPADOC | ||||||||||||||
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BLOCAGE DE ROBOT pour puits de pétrole HAUTE PRESSION
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Envoyé par François de Siebenthal DANS François de Siebenthal le 25/05/2010 12:27:00
A swiss group has the technology and the know how to collect Gulf of Mexico Oil Spill, stop the Gulf of Mexico Oil Spill and use again the wells.
Letter to Mr President Barack Hussein Obama and BP CEO
Dear Mr President Barack Hussein Obama and BP CEO
A swiss group has the technology and the know how to collect Gulf of Mexico Oil Spill, stop the Gulf of Mexico Oil Spill and use again the wells.
We did it in Koweït and we have new secret patents for this very special job, secret because we were stolen all our previous patents.
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E
Our previous patents were registered in April and May 1991 at the INPI in Paris. The international extension was affected within the correct time frame at the OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle – World Organisation for Intellectual Property) as proved in the following documents showing the systems of extinguishing and capping burning oil wells registered in the name of Joseph FERRAYE.
» Reports from international precedence research established by the EPO (European Patent Office) proved that the two systems were indisputably new. This was confirmed by the Petroleum expert Geraud VITRAC on 23.03.1997 ! » According to international conventions on intellectual property, France has an "incubation period" during which the administration is strictly bound to keep details of the patent confidential for a period 18 months, which in this case would have expired in October 1992.
You can contact us in Lausanne.
De Siebenthal & Cie
François de Siebenthal .
1010 Lausanne
0041 21 616 88 88
Fax 0041 21 616 88 81
Skype: siebenthal
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E
A SYSTEM FOR EXTINGUISHING AN OIL WELL SUBJECTED TO VERY HIGH PRESSURE
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Bibliographic data | Description | Claims | Mosaics | Original document | INPADOC legal status | ![]() |
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BLOCKING ROBOT FOR HIGH-PRESSURE OIL WELLS
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Banks are treacherous according to President Merkel. Banques perfides selon la présidente Merkel
Banks are treacherous according to President Merkel
Banks, including the Greeks banks, practiced until recently rates above 33% per year. They cheat most numbers. http://pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=94
The Orthodox Church continues to receive exorbitant tax exemptions on property and real estate. The Orthodox Church is a shareholder in banks Abusing interest rates, though condemned by including their great philosopher Aristotle and Christ.
Banques perfides selon la présidente Merkel
Les banques, notamment grecques, pratiquaient encore récemment des taux supérieurs à 33 % par année. Elles trichent les chiffres. http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=94
L’église orthodoxe continue à bénéficier exorbitantes exonérations fiscales sur le patrimoine et l’immobilier. L’église orthodoxe est actionnaire de banques qui abusent des taux d'intérêts, pourtant condamné par notamment leur grand philosophe Aristote et par le Christ.
[1256a] § 1. Ὅλως δὲ περὶ πάσης κτήσεως καὶ χρηματιστικῆς θεωρήσωμεν κατὰ τὸν ὑφηγημένον τρόπον, ἐπείπερ καὶ ὁ δοῦλος τῆς κτήσεως μέρος τι ἦν. Πρῶτον μὲν οὖν ἀπορήσειεν ἄν τις πότερον ἡ χρηματιστικὴ ἡ αὐτὴ τῇ οἰκονομικῇ ἐστιν ἢ μέρος τι, ἢ ὑπηρετική, καὶ εἰ ὑπηρετική, πότερον ὡς ἡ κερκιδοποιικὴ τῇ ὑφαντικῇ ἢ ὡς ἡ χαλκουργικὴ τῇ ἀνδριαντοποιίᾳ (οὐ γὰρ ὡσαύτως ὑπηρετοῦσιν, ἀλλ' ἡ μὲν ὄργανα παρέχει, ἡ δὲ τὴν ὕλην· λέγω δὲ ὕλην τὸ ὑποκείμενον ἐξ οὗ τι ἀποτελεῖται ἔργον, οἷον ὑφάντῃ μὲν ἔρια ἀνδριαντοποιῷ δὲ χαλκόν). Ὅτι μὲν οὖν οὐχ ἡ αὐτὴ ἡ οἰκονομικὴ τῇ χρηματιστικῇ, δῆλον (τῆς μὲν γὰρ τὸ πορίσασθαι, τῆς δὲ τὸ χρήσασθαι· τίς γὰρ ἔσται ἡ χρησομένη τοῖς κατὰ τὴν οἰκίαν παρὰ τὴν οἰκονομικήν;) § 2. Πότερον δὲ μέρος αὐτῆς ἐστί τι ἢ ἕτερον εἶδος, ἔχει διαμφισβήτησιν· εἰ γάρ ἐστι τοῦ χρηματιστικοῦ θεωρῆσαι πόθεν χρήματα καὶ κτῆσις ἔσται, … Ἥ δὲ κτῆσις πολλὰ περιείληφε μέρη καὶ ὁ πλοῦτος, ὥστε πρῶτον ἡ γεωργικὴ πότερον μέρος τι τῆς οἰκονομικῆς ἢ ἕτερόν τι γένος, καὶ καθόλου ἡ περὶ τὴν τροφὴν ἐπιμέλεια καὶ κτῆσις; § 3. Ἀλλὰ μὴν εἴδη γε πολλὰ τροφῆς, διὸ καὶ βίοι πολλοὶ καὶ τῶν ζῴων καὶ τῶν ἀνθρώπων εἰσίν· οὐ γὰρ οἷόν τε ζῆν ἄνευ τροφῆς, ὥστε αἱ διαφοραὶ τῆς τροφῆς τοὺς βίους πεποιήκασι διαφέροντας τῶν ζῴων. Τῶν τε γὰρ θηρίων τὰ μὲν ἀγελαῖα τὰ δὲ σποραδικά ἐστιν, ὁποτέρως συμφέρει πρὸς τὴν τροφὴν αὐτοῖς διὰ τὸ τὰ μὲν ζῳοφάγα τὰ δὲ καρποφάγα τὰ δὲ παμφάγα αὐτῶν εἶναι, ὥστε πρὸς τὰς ῥᾳστώνας καὶ τὴν αἵρεσιν τὴν τούτων ἡ φύσις τοὺς βίους αὐτῶν διώρισεν, ἐπεὶ δ' οὐ ταὐτὸ ἑκάστῳ ἡδὺ κατὰ φύσιν ἀλλὰ ἕτερα ἑτέροις, καὶ αὐτῶν τῶν ζῳοφάγων καὶ τῶν καρποφάγων οἱ βίοι πρὸς ἄλληλα διεστᾶσιν. § 4. Ὁμοίως δὲ καὶ τῶν ἀνθρώπων. Πολὺ γὰρ διαφέρουσιν οἱ τούτων βίοι. Οἱ μὲν οὖν ἀργότατοι νομάδες εἰσίν νἡ γὰρ ἀπὸ τῶν ἡμέρων τροφὴ ζῴων ἄνευ πόνου γίνεται σχολάζουσιν· ἀναγκαίου δ' ὄντος μεταβάλλειν τοῖς κτήνεσι διὰ τὰς νομὰς καὶ αὐτοὶ ἀναγκάζονται συνακολουθεῖν, ὥσπερ γεωργίαν ζῶσαν γεωργοῦντεσσ· οἱ δ' ἀπὸ θήρας ζῶσι, καὶ θήρας ἕτεροι ἑτέρας, οἷον οἱ μὲν ἀπὸ λῃστείας, οἱ δ' ἀφ' ἁλιείας, ὅσοι λίμνας καὶ ἕλη καὶ ποταμοὺς ἢ θάλατταν τοιαύτην προσοικοῦσιν, οἱ δ' ἀπ' ὀρνίθων ἢ θηρίων ἀγρίων· τὸ δὲ πλεῖστον γένος τῶν ἀνθρώπων ἀπὸ τῆς γῆς ζῇ καὶ τῶν ἡμέρων καρπῶν. § 5. Οἱ μὲν οὖν βίοι τοσοῦτοι σχεδόν εἰσιν, ὅσοι γε αὐτόφυτον ἔχουσι τὴν ἐργασίαν καὶ μὴ δι' ἀλλαγῆς καὶ καπηλείας πορίζονται τὴν τροφήν, [1256b] Νομαδικὸς, λῃστρικὸς, ἁλιευτικὸς, θηρευτικὸς, γεωργικός. Οἱ δὲ καὶ μιγνύντες ἐκ τούτων ἡδέως ζῶσι, προσαναπληροῦντες τὸν ἐνδεέστερον βίον, ᾗ τυγχάνει ἐλλείπων πρὸς τὸ αὐτάρκης εἶναι, οἷον οἱ μὲν νομαδικὸν ἅμα καὶ λῃστρικόν, οἱ δὲ γεωργικὸν καὶ θηρευτικόν· ὁμοίως δὲ καὶ περὶ τοὺς ἄλλους· ὡς ἂν ἡ χρεία συναναγκάζῃ, τοῦτον τὸν τρόπον διάγουσιν. § 6. Ἡ μὲν οὖν τοιαύτη κτῆσις ὑπ' αὐτῆς φαίνεται τῆς φύσεως διδομένη πᾶσιν, ὥσπερ κατὰ τὴν πρώτην γένεσιν εὐθύς, οὕτω καὶ τελειωθεῖσιν. Καὶ γὰρ κατὰ τὴν ἐξ ἀρχῆς γένεσιν τὰ μὲν συνεκτίκτει τῶν ζῴων τοσαύτην τροφὴν ὥσθ' ἱκανὴν εἶναι μέχρις οὗ ἂν δύνηται αὐτὸ αὑτῷ πορίζειν τὸ γεννηθέν, οἷον ὅσα σκωληκοτοκεῖ ἢ ᾠοτοκεῖ· ὅσα δὲ ζῳοτοκεῖ, τοῖς γεννωμένοις ἔχει τροφὴν ἐν αὑτοῖς μέχρι τινός, τὴν τοῦ καλουμένου γάλακτος φύσιν. § 7. Ὥστε ὁμοίως δῆλον ὅτι καὶ γενομένοις οἰητέον τά τε φυτὰ τῶν ζῴων ἕνεκεν εἶναι καὶ τὰ ἄλλα ζῷα τῶν ἀνθρώπων χάριν, τὰ μὲν ἥμερα καὶ διὰ τὴν χρῆσιν καὶ διὰ τὴν τροφήν, τῶν δ' ἀγρίων, εἰ μὴ πάντα, ἀλλὰ τά γε πλεῖστα τῆς τροφῆς καὶ ἄλλης βοηθείας ἕνεκεν, ἵνα καὶ ἐσθὴς καὶ ἄλλα ὄργανα γίνηται ἐξ αὐτῶν. Εἰ οὖν ἡ φύσις μηθὲν μήτε ἀτελὲς ποιεῖ μήτε μάτην, ἀναγκαῖον τῶν ἀνθρώπων ἕνεκεν αὐτὰ πάντα πεποιηκέναι τὴν φύσιν. § 8. Διὸ καὶ ἡ πολεμικὴ φύσει κτητική πως ἔσται (ἡ γὰρ θηρευτικὴ μέρος αὐτῆς), ᾗ δεῖ χρῆσθαι πρός τε τὰ θηρία καὶ τῶν ἀνθρώπων ὅσοι πεφυκότες ἄρχεσθαι μὴ θέλουσιν, ὡς φύσει δίκαιον τοῦτον ὄντα τὸν πόλεμον. Ἓν μὲν οὖν εἶδος κτητικῆς κατὰ φύσιν τῆς οἰκονομικῆς μέρος ἐστίν, καθὸ δεῖ ἤτοι ὑπάρχειν ἢ πορίζειν αὐτὴν ὅπως ὑπάρχῃ ὧν ἔστι θησαυρισμὸς χρημάτων πρὸς ζωὴν ἀναγκαίων, καὶ χρησίμων εἰς κοινωνίαν πόλεως ἢ οἰκίας. § 9. Καὶ ἔοικεν ὅ γ' ἀληθινὸς πλοῦτος ἐκ τούτων εἶναι. Ἡ γὰρ τῆς τοιαύτης κτήσεως αὐτάρκεια πρὸς ἀγαθὴν ζωὴν οὐκ ἄπειρός ἐστιν, ὥσπερ Σόλων φησὶ ποιήσας Πλούτου δ' οὐθὲν τέρμα πεφασμένον ἀνδράσι κεῖται. Κεῖται γὰρ ὥσπερ καὶ ταῖς ἄλλαις τέχναις· οὐδὲν γὰρ ὄργανον ἄπειρον οὐδεμιᾶς ἐστι τέχνης οὔτε πλήθει οὔτε μεγέθει, ὁ δὲ πλοῦτος ὀργάνων πλῆθός ἐστιν οἰκονομικῶν καὶ πολιτικῶν. Ὅτι μὲν τοίνυν ἔστι τις κτητικὴ κατὰ φύσιν τοῖς οἰκονόμοις καὶ τοῖς πολιτικοῖς, καὶ δι' ἣν αἰτίαν, δῆλον. § 10. Ἔστι δὲ γένος ἄλλο κτητικῆς, ἣν μάλιστα καλοῦσι, καὶ δίκαιον αὐτὸ καλεῖν, χρηματιστικήν, δι' ἣν οὐδὲν δοκεῖ πέρας εἶναι πλούτου καὶ κτήσεως· [1257a] Ἣν ὡς μίαν καὶ τὴν αὐτὴν τῇ λεχθείσῃ πολλοὶ νομίζουσι διὰ τὴν γειτνίασιν· ἔστι δ' οὔτε ἡ αὐτὴ τῇ εἰρημένῃ οὔτε πόρρω ἐκείνης. Ἔστι δ' ἡ μὲν φύσει ἡ δ' οὐ φύσει αὐτῶν, ἀλλὰ δι' ἐμπειρίας τινὸς καὶ τέχνης γίνεται μᾶλλον. Λάβωμεν δὲ περὶ αὐτῆς τὴν ἀρχὴν ἐντεῦθεν. § 11. Ἑκάστου γὰρ κτήματος διττὴ ἡ χρῆσίς ἐστιν, ἀμφότεραι δὲ καθ' αὑτὸ μὲν ἀλλ' οὐχ ὁμοίως καθ' αὑτό, ἀλλ' ἡ μὲν οἰκεία ἡ δ' οὐκ οἰκεία τοῦ πράγματος, οἷον ὑποδήματος ἥ τε ὑπόδεσις καὶ ἡ μεταβλητική. Ἀμφότεραι γὰρ ὑποδήματος χρήσεις· καὶ γὰρ ὁ ἀλλαττόμενος τῷ δεομένῳ ὑποδήματος ἀντὶ νομίσματος ἢ τροφῆς χρῆται τῷ ὑποδήματι ᾗ ὑπόδημα, ἀλλ' οὐ τὴν οἰκείαν χρῆσιν· οὐ γὰρ ἀλλαγῆς ἕνεκεν γέγονε. Τὸν αὐτὸν δὲ τρόπον ἔχει καὶ περὶ τῶν ἄλλων κτημάτων. Ἔστι γὰρ ἡ μεταβλητικὴ πάντων, ἀρξαμένη τὸ μὲν πρῶτον ἐκ τοῦ κατὰ φύσιν, τῷ τὰ μὲν πλείω τὰ δὲ ἐλάττω τῶν ἱκανῶν ἔχειν τοὺς ἀνθρώπους § 12. (ᾗ καὶ δῆλον ὅτι οὐκ ἔστι φύσει τῆς χρηματιστικῆς ἡ καπηλική· ὅσον γὰρ ἱκανὸν αὐτοῖς, ἀναγκαῖον ἦν ποιεῖσθαι τὴν ἀλλαγήν). Ἐν μὲν οὖν τῇ πρώτῃ κοινωνίᾳ (τοῦτο δ' ἐστὶν οἰκία) φανερὸν ὅτι οὐδὲν ἔστιν ἔργον αὐτῆς, ἀλλ' ἤδη πλειόνων τῆς κοινωνίας οὔσης. Οἱ μὲν γὰρ τῶν αὑτῶν ἐκοινώνουν πάντων, οἱ δὲ κεχωρισμένοι πολλῶν πάλιν καὶ ἑτέρων, ὧν κατὰ τὰς δεήσεις ἀναγκαῖον ποιεῖσθαι τὰς μεταδόσεις, καθάπερ ἔτι πολλὰ ποιεῖ καὶ τῶν βαρβαρικῶν ἐθνῶν, κατὰ τὴν ἀλλαγήν. Αὐτὰ γὰρ τὰ χρήσιμα πρὸς αὑτὰ καταλλάττονται, ἐπὶ πλέον δ' οὐθέν, οἷον οἶνον πρὸς σῖτον διδόντες καὶ λαμβάνοντες, καὶ τῶν ἄλλων τῶν τοιούτων ἕκαστον. § 13. Ἡ μὲν οὖν τοιαύτη μεταβλητικὴ οὔτε παρὰ φύσιν οὔτε χρηματιστικῆς ἐστιν εἶδος οὐδέν νεἰς ἀναπλήρωσιν γὰρ τῆς κατὰ φύσιν αὐταρκείας ἦνν· ἐκ μέντοι ταύτης ἐγένετ' ἐκείνη κατὰ λόγον. Ξενικωτέρας γὰρ γενομένης τῆς βοηθείας τῷ εἰσάγεσθαι ὧν ἐνδεεῖς ἦσαν καὶ ἐκπέμπειν ὧν ἐπλεόναζον, ἐξ ἀνάγκης ἡ τοῦ νομίσματος ἐπορίσθη χρῆσις. Οὐ γὰρ εὐβάστακτον ἕκαστον τῶν κατὰ φύσιν ἀναγκαίων. § 14. Διὸ πρὸς τὰς ἀλλαγὰς τοιοῦτόν τι συνέθεντο πρὸς σφᾶς αὐτοὺς διδόναι καὶ λαμβάνειν, ὃ τῶν χρησίμων αὐτὸ ὂν εἶχε τὴν χρείαν εὐμεταχείριστον πρὸς τὸ ζῆν, οἷον σίδηρος καὶ ἄργυρος κἂν εἴ τι τοιοῦτον ἕτερον, τὸ μὲν πρῶτον ἁπλῶς ὁρισθὲν μεγέθει καὶ σταθμῷ, τὸ δὲ τελευταῖον καὶ χαρακτῆρα ἐπιβαλλόντων, ἵνα ἀπολύσῃ τῆς μετρήσεως αὑτούς· ὁ γὰρ χαρακτὴρ ἐτέθη τοῦ ποσοῦ σημεῖον. § 15. Πορισθέντος οὖν ἤδη νομίσματος ἐκ τῆς ἀναγκαίας ἀλλαγῆς θάτερον εἶδος τῆς χρηματιστικῆς ἐγένετο, τὸ καπηλικόν, τὸ μὲν πρῶτον ἁπλῶς ἴσως γινόμενον, εἶτα δι' ἐμπειρίας ἤδη τεχνικώτερον, πόθεν καὶ πῶς μεταβαλλόμενον πλεῖστον ποιήσει κέρδος. § 16. Διὸ δοκεῖ ἡ χρηματιστικὴ μάλιστα περὶ τὸ νόμισμα εἶναι, καὶ ἔργον αὐτῆς τὸ δύνασθαι θεωρῆσαι πόθεν ἔσται πλῆθος, ποιητικὴ γὰρ εἶναι πλούτου καὶ χρημάτων. Καὶ γὰρ τὸν πλοῦτον πολλάκις τιθέασι νομίσματος πλῆθος, διὰ τὸ περὶ τοῦτ' εἶναι τὴν χρηματιστικὴν καὶ τὴν καπηλικήν. Ὁτὲ δὲ πάλιν λῆρος εἶναι δοκεῖ τὸ νόμισμα καὶ νόμος παντάπασι, φύσει δ' οὐθέν, ὅτι μεταθεμένων τε τῶν χρωμένων οὐθενὸς ἄξιον οὐδὲ χρήσιμον πρὸς οὐδὲν τῶν ἀναγκαίων ἐστί, καὶ νομίσματος πλουτῶν πολλάκις ἀπορήσει τῆς ἀναγκαίας τροφῆς· καίτοι ἄτοπον τοιοῦτον εἶναι πλοῦτον οὗ εὐπορῶν λιμῷ ἀπολεῖται, καθάπερ καὶ τὸν Μίδαν ἐκεῖνον μυθολογοῦσι διὰ τὴν ἀπληστίαν τῆς εὐχῆς πάντων αὐτῷ γιγνομένων τῶν παρατιθεμένων χρυσῶν. § 17. Διὸ ζητοῦσιν ἕτερόν τι τὸν πλοῦτον καὶ τὴν χρηματιστικήν, ὀρθῶς ζητοῦντες. Ἔστι γὰρ ἑτέρα ἡ χρηματιστικὴ καὶ ὁ πλοῦτος ὁ κατὰ φύσιν, καὶ αὕτη μὲν οἰκονομική, ἡ δὲ καπηλική, ποιητικὴ πλούτου οὐ πάντως ἀλλὰ διὰ χρημάτων μεταβολῆς. Καὶ δοκεῖ περὶ τὸ νόμισμα αὕτη εἶναι· τὸ γὰρ νόμισμα στοιχεῖον καὶ πέρας τῆς ἀλλαγῆς ἐστιν. Καὶ ἄπειρος δὴ οὗτος ὁ πλοῦτος, ὁ ἀπὸ ταύτης τῆς χρηματιστικῆς. Ὥσπερ γὰρ ἡ ἰατρικὴ τοῦ ὑγιαίνειν εἰς ἄπειρόν ἐστι, καὶ ἑκάστη τῶν τεχνῶν τοῦ τέλους εἰς ἄπειρον (ὅτι μ |