Pays déjà en décroissance démographique

190 Saint-Siège 0
191 Iles Pitcairn 0
192 Iles des Cocos (Keeling) 0
193 Bosnie-Herzégovine 0
194 Tokélaou -0.01
195 Iles Svalbard et Jan Mayen -0.03
196 Nioué -0.03
197 Monaco -0.07
198 Pologne -0.08
199 Japon -0.08
200 Trinité-et-Tobago -0.09
201 Iles Vierges américaines -0.09
202 Croatie -0.09
203 Cuba -0.12
204 Maldives -0.13
205 République tchèque -0.13
206 Hongrie -0.18
207 Slovénie -0.19
208 Allemagne -0.2
209 Roumanie -0.26
210 Lituanie -0.28
211 Saint-Vincent-et-les-Grenadines -0.31
212 Géorgie -0.33
213 Guyana -0.33
214 Micronésie -0.34
215 Biélorussie -0.36
216 Liban -0.38
217 Afrique du Sud -0.41
218 Serbie -0.46
219 Russie -0.48
220 Lettonie -0.6
221 Ukraine -0.63
222 Monténégro -0.63
223 Estonie -0.65
224 Bulgarie -0.8
225 Syrie -0.8
226 Jordanie -0.97
227 Saint-Pierre-et-Miquelon -0.98
228 Moldavie -1.01
229 Mariannes du Nord -2.45
230 Iles Cook -3.14

Définition: Le changement pour cent
en moyenne annuelle dans la population, résultant d’un excédent (ou
déficit) des naissances sur les décès et le solde des migrants qui
entrent et sortent d’un pays. Le taux peut être positif ou négatif. Le
taux de croissance est un facteur dans la détermination grand fardeau
serait imposé à un pays par l’évolution des besoins de son peuple pour
l’infrastructure (par exemple, écoles, hôpitaux, logements, routes), les
ressources (par exemple, nourriture, eau, électricité), et l’emploi. La
croissance démographique rapide peut être vu comme une menace par les
pays voisins.
Source: CIA World Factbook – Version du Janvier 1, 2012

La Sardaigne, 27e canton suisse ?

La Sardaigne, 27e canton suisse ?

https://www.facebook.com/groups/cantonmarittimo/

Voir aussi à la page 7 de

http://www.20min.ch/printpdf/VD_20140220.pdf

Descrizione immagine
Descrizione immagine


C A N T O N   M A R I T T I M O

Marquer et partgaer

L’IDENTITÀ

Descrizione immagine
Ti senti più sardo o italiano?
Se la risposta è ITALIANO
queste informazioni possono non interessarti.

Se invece la risposta é SARDO allora ti consigliamo di
approfondire.

L’INIZIATIVA

Image description
Stiamo sondando la potenziale
volontà dei sardi di affrancarsi dalla Repubblica Italiana e di
annettere la Sardegna alla Confederazione Elvetica.
L’ipotesi sarebbe quella di una
cessione da parte dello Stato Italiano a fronte di capitali con cui
sanare parte del debito pubblico.

RIFLESSIONI

Descrizione immagine
La Svizzera non è stata interpellata.

Perchè la Svizzera potrebbe voler annettere la
Sardegna?
Quali sarebbero i vantaggi per gli uni e per gli
altri?
Quali gli svantaggi?

http://lanuovasardegna.gelocal.it/cagliari/cronaca/2014/02/14/news/la-sardegna-diventi-un-cantone-marittimo-della-svizzera-1.8667737

 http://www.cantonmarittimo.org/

https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzY1piS0NrVlV5N28/edit?usp=sharing

Monnaie locale, monnaie à taille humaine


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44 minutes

Monnaie locale, monnaie à taille humaine
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21.02.2014 – 18:15
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De nombreux citoyens se sont sentis démunis
devant la crise: toute cette masse d’argent déversée sur les banques
pendant qu’eux connaissent le chômage, l’austérité, les difficultés.
Beaucoup se sont simplement posés cette question : mais où va l’argent ?
L’idée
alors de reprendre en main les circuits économiques n’est pas absurde:
au lieu, avec de l’argent anonyme, d’acheter des tee-shirts fabriqués
en Chine par des enfants, pourquoi ne pas acheter avec notre monnaie,
des produits fabriqués chez nous et qu’on achètera au commerçant du
coin qu’on connaît très bien.
Ca c’est la première idée. Ce
n’est pas la seule : une monnaie locale complémentaire est lancée par
une association -c’est requis par la loi- et elle circule entre les
membres de l’association. Une fraction des euros convertis en monnaie
locale est reversée à des associations locales. Il ne s’agit pas
seulement de relocaliser un système économique: les promoteurs des
monnaies locales veulent tous recréer du lien entre les hommes qui
habitent un même territoire
Ce reportage montre deux expériences
apparemment très éloignées. L’une se déroule au Pays Basque. A Bayonne
et dans la région proche pour voir comment fonctionne l’eusko, la
monnaie locale basque. Qui, depuis un an et demi, connaît une belle
progression.
Et il y a la pêche que des citoyens de Montreuil vont lancer dans quelques semaines.
Ce
reportage montre que dans un territoire défini avec langue et culture
millénaires, ou dans une ville de la banlieue parisienne, small is beautiful.

“Monnaie locale, monnaie à taille humaine”, c’est un reportage  de Véronique Pellerin. Réalisation de Yassine Bouzar.

Invité(s) :
Jérôme Blanc, maître de conférences HDR à l’Université Lumière Lyon 2 et membre de l’UMR Triangle
Célina Whitaker, cofondatrice du réseau FAIR, Forum pour d’autres indicateurs de richesse

Document(s)

 

  1. François de Siebenthal: Déjà 2500 banques locales de riz à

    desiebenthal.blogspot.com/2009/…/deja-2500-banqueslocales-de-riz.ht…‎

    3 mars 2009 – Madagascar M. Rasoa Zanamanga, 52 ans, “pauvre” paysan malgache, est co-propriétaire d’une banque de riz locale à la suisse. Interview:

  2. François de Siebenthal: Banques sans intérêts à Madagascar.

    desiebenthal.blogspot.com/2011/…/banques-sans-interets-madagascar.ht…‎

    11 janv. 2011 – Quelques propriétaires de la banque locale du riz. Banques sans intérêts, qui a notamment plus que doublé sa production de riz et de légumes 

  3. François de Siebenthal: Pour un capital social local. Le Polypoly.

    desiebenthal.blogspot.com/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html‎

    10 mai 2011 – Comment ouvrir une banque locale sans intérêts par l’utilisation de simples cartes. Je vais maintenant vous apprendre à ouvrir une banque 

  4. François de Siebenthal: Points pour un revenu de base inconditionnel

    desiebenthal.blogspot.com/2013/10/points-pour-un-revenu-de-base.html‎

    10 oct. 2013 – de main-d’oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. …. 2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le 

  5. François de Siebenthal: Europe: plus de 100 monnaies locales

    desiebenthal.blogspot.com/…/europe-plus-de-100-monnaies-locales.html‎

    23 mars 2013 – Si la Banque de France ne frappe naturellement pas cette nouvelle monnaie, par le phénomène des monnaies locales complémentaires.

 

Monetary Reform from Switzerland



Campaign for Monetary Reform – News from Switzerland


 

The organisation for Monetary Reform in Switzerland, MoMo – short for Monetäre Modernisiering meaning Modernising Money – has recently renovated its website which we encourage you to visit here.
In addition, the MoMo team has created an entirely
new website in support of the monetary reform initiative it plans to
launch in Spring 2014.
Switzerland is politically unique in this regard as the Swiss Constitution provides a political instrument known as the Volksinitiative (Peoples’
Initiative) which enables Swiss citizens to launch an initiative aimed
at changing specific provisions within the Swiss Constitution. To do so
requires first of all the collection within an 18 month period of
100’000 valid signatures in support of the initiative. Should this
hurdle be surmounted, the initiative would then be put to a national
vote.
Preparations for the spring launch are well under
way, including the draft proposed amendments to the Swiss Constitution.
In a nut shell, the proposal extends the Swiss Federation’s existing
exclusive right to create coins and notes, to also include deposits.  With the full power of new money creation exclusively in the hands of the Swiss National Bank,
 the commercial banks would no longer have the power to create money
through lending. The Swiss National Bank’s primary role becomes the
management of the money supply relative to the productive economy, while
the decision concerning how new money is introduced debt free into the
economy would reside with the government. As is evident from the
foregoing, the MoMo monetary reform initiative is essentially based on
the monetary reform advocated by PositiveMoney.
For those interested in following the developments
of the campaign, or who would like to understand the detailed
provisions, including those relating to the transition period,  please
refer to the campaign website. 
The website is in German so language will present a limitation for many
of you. Nevertheless, we do encourage you to visit the website and if
you have specific questions, to leave a message in English. Someone from
the team who speaks English will get back to you. The biggest challenge
for the team at this stage of the campaign is to find the needed help
and financing for signature collection. The minimum amount of funding
required for a successful campaign is estimated to be 400’000 CHF or
just over 270’000 GBP. Although, this is a non-UK initaitive, should the
MoMo team succeed in putting such a fundamental reform proposal to a
national vote, this would be a momentous achievement for the monetary
reform movement in Europe and across the globe.  All eyes would be fixed
on Switzerland, because success for this small but significant player
in the financial arena would inevitably have a ripple effect in other
countries.

  1. Thousands of honest and hard working citizens are saddled with debts and living at or beneath the poverty line.  At the same time the government is shaving funding from citizen priorities such as health care, education, unemployment benefits, job creation initiatives, new start-up enterprise assistance incubators, environmental protection, infrastructure maintenance and local public transportation.  As well, at a time when Switzerland more frequently finds herself isolated on the inter-continental (European Union) and international stage, the government continues to slash public support to our diplomatic and embassy bureaus and our Post office modernization.  Pension funds continue to be under funded and in some cases are being stripped of their assets.  In this environment I it any wonder that our cherished bonds of cohesion and solidarity are fraying?


  1. The above “solutions” are part of a long series of sneaky, underhanded  forms of money grabbing through more efficient and effective parking meters, automated speed and other traffic code revenue generation automation in conjunction with a host of new user pays licences and registration requirements across all pastimes and activities.  As well the regressive sales tax, jokingly called “Value added” has been increased while the categories exempted have been reduced, penalizing all citizens but particularly the poorest as well as the once vibrant small and medium size enterprises (MSE) faced with reduced customer  purchase revenues and increased regulatory costs.  This reality has reduced both current employed numbers and positive expectations for the future, particularly among the young and recent graduates.
    1. Meanwhile the economic reality of production of goods and services, thanks to the many discoveries and inventions such as computers and robots is a constantly more efficient economic system producing a greater abundance of these goods and services but also dramatically reducing the human input required.  This off course results in a not infrequent over production of goods, while at the same time reducing the number of jobs and human hours of work required.  A growing proportion of the population is thus deprived of their “pay-cheque”, their only means to acquire the goods created within and by their own communities.  This unfortunately tempts and forces some into activities for money that are shameful and or illegal.
  2. A new crisis at Union de Banques Suisses  or any too big to fail banks could necessitate billions in Federal Council emergency funds underwriting the gambling losses of such bank.  This means that generations of current and future taxpayers will be paying for the bank’s mistakes, and also get to pay interest on this privilege!  So let’s stop right here and add up what we’ve looked at so far: production results and capacity are abundant having wisely built on our long traditions of inventiveness and innovation, particularly in the processes and equipment used in production; this progress while good in itself, had dramatically reduced the demand for human input , therefore employee or wage workers.  This means for many either a reduced pay cheque due to reduced hours or no job now nor in the future.  No pay cheque means no means to acquire the good which are being more abundantly produced.  Meanwhile, despite having less and less “pay cheque” money, we are being subjected to higher and higher punitive surveillance and regulatory requirements and fees.  And now, let’ get this right, the small minority that has excessive amount of pay cheque money, dividends from un-taxed trust funds, huge returns from capital invested who knows where and in what, the ones who guessed wrong or gambled unconsciously requiring these massive tax subsidized bailouts further reducing all our disposable or purchasing totals, these same people profit again by pushing down the price they pay for products and services since there are fewer and fewer buyers?  Does this all add up for you?  No, well it doesn’t seem to be adding up any better for the hundreds of thousands, millions of our fellow humans taking to the streets in Ireland, Greece, Portugal, Spain, Italy, anywhere in Europe.  If we widen our scope we quickly see it isn’t adding up anywhere else in the world either.
  3. Two Archetypes of this dysfunctional system are the privately owned Federal Reserve Bank of America and its privately chartered collection agency the Internal Revenue Service (IRS)  These systems were both designed by international bankers and vested individuals  who through verbal duplicity and ambiguity to tricked the unsuspecting American citizens by their Congressional representatives  to permit the “FED” exactly a hundred years ago  in December 1913.  These two archetype are representative of the “Too big to Fail” syndrome so  familiar today—their toxic assets create by the perverse mechanism of private money creation from nothing are hailed as saviours of the sovereignty.  For more than three centuries a small elite group has been creating billions and billions of dollar, francs, yen, based debts for all of us, plus interest off course, using our properties, homes, businesses and public treasures and common infrastructures.  They get the cash, we get the debt!  Our debt, besides being morally depraved, is also mathematically impossible to re-pay.  Every culture recognizes, as do all the moral codes, that contracts which by their terms of required performance are impossible to perform are void from the outset!!All sovereign jurisdictions and many corporations, families and individuals are beyond the point of no return due to this abdication of responsibility in the past at the sovereign or nation state level.  The few nations that have recently tried to resist , such as Libya, have been bombed back into the stone ages of anarchy, destitution and hopelessness.  This lopsided global system of systemic boom (new debts “borrow money to make money”) to bust ( dramatic contraction of the money supply)  is not an “invisible hand” any longer.  The liars’ talk of “fiscal responsibility” was conceived in inequity and implemented knowingly or unknowingly with the majority of head of state, elected representatives and international governing bodies such as the World Bank and International Monetary Fund (IMF) .  Will we continue with our children and their children to be slaves of this self appointed banking “elite” who have created the life blood of our economic exchange system (money) putting nothing in and yet essentially controlling everything?

  4. THERE ARE SOLUTIONS CURRENTLY BEING PROMOTED HERE IN SWITZERLAND


The GOAL is to regain control of money so that each and all can hare in the legacy of our predecessors and the fruits of our solidarity and search for our common good.  Notice “regain”  control; the goal is to regain the control that has been fraudulently stolen from the sovereign nation which is all of us.  Our Constitution states this , as do most countries, but we insist it must be even more clearly emphasized
This will include:
    The power to “coin” is to rest exclusively with our national sovereign; this  exclusive power includes the both the issue and the volume of money and credit created, and when necessary, the same powers controlling the amount to be destroyed (removed from circulation).
    Administrative salaries and costs of this service will be allocated of course, but most certainly no interest will be charged for the use of our own money and credit.
    The accounting and statistical mechanisms and procedure to insure stability of our medium of exchange will be exercised through coordination of the appropriate public authorities starting, as is our custom, from the commune to the canton to the regional to the national level.  The real wealth of material and intellectual resource o Switzerland, as in your country, are represented by the person, by the small and medium size enterprise and these wealth resources are most easily recognized and accounted for at the local level., as is “counting the economic votes” which is when each individual makes his or her countless buying decisions through purchasing.  Every purchase freely chosen is an “economic vote.”
    The stabilization of the dynamic between we the producer (some of us) and we the consumer (all of us) is continually to be re-calibrated and increased  as automation, computerization and robotic enhance the total national production.  These future discrepancies from what exits to what is becoming will be rectified through both reward compensation to all the actors in this production recognizing on an item by item basis the full and true costs of this new production and by increasing purchasing power to each and every consumer-citizen.  This increase is simply an increase in the monthly dividend cheque of each of us as a lifetime shareholder in “Switzerland Incorporated”.  Our dividend producing share is given to each at birth and is annulled at death.
    The above initiative will be accomplished immediately.  The information recording algorithms for production are already in use.  The detailed data for all producing enterprises with their myriad of suppliers, distributor and retail outlets, including obviously their virtual or “on-line” stores, are already installed and in use thanks to our sophisticated tax and regulatory reporting requirements.  The difference is now this information gathered from us will be used for us.   
    The mechanism to distribute dividends to each and every person and citizen already reside in multiple (too many?) public jurisdictions.  The need for daily sustenance is now, and each day thereafter, and this can be provided immediately with existing records and resources.


OTHER IMPORTANT CONSIDERATIONS AND MODIFICATIONS REQUIRED TO RESTORE PROPER SOVEREIGNTY
    Other important considerations must be addressed to restore within our society proper order and perspective.  A fundamental principle is that the earth and all its bounty was created for all,  and in  recognizing private property, that each should have access to a property that can be called their own, a patrimony to pass within  a family from generation to generation to generation.  Restoring this proper order will require much thought and respectful dialogue and discourse respecting both the Spirit and the letter of the Divine Law .  Some of these areas include length of mortgage contracts, right of redress to those who have lost their ancestral home and property, as well as those seeking to acquire public and private property
    The existing CHF (Swiss franc) Money Supply created through fictional or non-existent ownership claims and therefore illegal debt obligations will be simply cancelled.  Private individuals and cooperative saving groups will be compensated according to their just claims for monies invested into these instruments, but no recourse will be permitted those who are making claim without just title.
        The “reserve” of the National Bank of Switzerland (NBS) will be independent of gold, silver, or other precious metals or commodities which can be fraudulently manipulated by financial consortia internal or external to Switzerland.  The “reserve” will be a real reserve of wealth in the form of seven (7) years worth of edible foodstuffs such as grain, legumes, vegetables etc. and their non-GMO seed stocks
    Treaties, international agreements, standard contracts etc. will all be reviewed to insure they are compatible with both the means and desired ends of Swiss sovereignty.  Any that go against one of us or all of us will be identified and denounced at the Commune, Canton, regional and or national level
    The gigantic savings immediately available by refusing to pay unjust usurious interest on our own credit will make most if not all of the myriad of direct and hidden taxes shown above (#4) unnecessary.   The most obvious of thee effecting our daily cost of living will be removal of all value added sales tax as well as all the supplementary gasoline taxes   Those employed will no longer have their well earned pay cheque reduced by withholding taxes.  Our municipalities will once again be able to initiate ascetic, artistic, cultural or environment conserving community projects where and when the talent is locally available to undertake these enhancements.  Our police and security forces, once again scaled to community need, not to either “fiscal austerity” nor make work politics, will return to their primary role as peace and security custodians rather than their current  primary role as tax revenue collectors and parking meter maids.


TRANSITIONAL PROVISIONS
A restoration of our society of this magnitude will include transitional provisions.
    The Confederation to create on a per family size basis the requisite sized “Solidarity Fund” in a national purse.
    This national pure will then be dispersed to the Cantons using the same demographic distribution modelling determining representative seat in the Plenum of the Federal Assembly
    A referendum currently underway will determine Yes or No to restricting the highest paid salary in an organization, private, public, or NGO, to a maximum of 12X that of the lowest paid.  Another provision being voted upon could limit the maximum compensation to $500,000 per annum.

    To further reposition “money” from it current god-like, idolatrous status ruling mankind to its proper role as a useful tool serving all mankind, a number of provisions will be introduced restricting trading on margin, “short selling” credit default swaps etc.  The key principle to be employed will include i)full existing title of ownership and ii)full payment.  To reduce arbitrage trading {EDITOR; arbitrage trading is the practice of taking advantage of a price difference between two or more markets: striking a combination of matching deals that capitalize upon the imbalance; traders have been known to buy and sell in the same two areas hundred of times in a single day taking advantage of their not paying any transaction costs to capitalize of minute second by second price swings ]) in both stocks and currencies a price will be listed for the day   A number of sophisticated reforms a outlined by Maurice Allais, French Nobel Prize winner in Economics the thrust of which is to return the gambling mindset” from financial instrument and markets, a mindset, that while it ha always been present in the minds and actions of a few, has since the early nineteen seventies grown into endemic proportion to the extent that it may very well being the standard governing principle—the lives and livelihoods of billions of us being determined by a few who look on life as nothing but one giant ,non-top casino.   


Finance: la bombe atomique suisse !

Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse ! 

Objectifs

1. La Banque Nationale Suisse ( BNS) créera désormais seule de la monnaie scripturale des francs suisses, y compris électronique.
2. Les banques ne pourront plus elles-mêmes créer de la monnaie girale en francs suisses ( scripturale, d’écriture, ex nihilo), mais prêter seulement de la monnaie qui existe déjà.
3.
La Banque Nationale Suisse mettra en circulation de la nouvelle monnaie pleine en francs suisses  moyennant un don (sans dette) au gouvernement fédéral, aux Cantons ou
aux citoyennes et citoyens ( le maximum de la décentralisation ).

Avertissement:


La monnaie concernée est le franc suisse officiel. Les autres monnaies suisses restent légales, décentralisés et encouragées, notamment le Wir, Reka, sels, Tauschring, Zeitbanken…etc…







Nous devons éviter le piège de la centralisation et conserver le génie suisse du vrai fédéralisme et de la vraie subsidiarité.
http://desiebenthal.blogspot.ca/2012/07/principe-de-subsidiarite-surtout-en.html
http://desiebenthal.blogspot.ca/2016/02/trahisons-des-peuples-souverains.html


On encourage toutes les monnaies-pleines, partout dans le monde, égalitaires, justes et efficaces…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html


Les monnaies bancaires sont des monnaies-vides… sic, et qui pompent nos économies et diluent nos avoirs…



… L’initiative populaire peut être retirée par une décision prise à la majorité absolue des auteurs suivants:


1. de Siebenthal François, Chemin des Roches 14, 1010 Lausanne
2. Jenni Thomas, Charmilles 14, 1400 Yverdon
3. Mottier Pierre Dimitri, Av. du Petit Chasseur 40, 1950 Sion
4. Kornmann Ewald, Frank-Buchser-Strasse 8, 4532 Feldbrunnen
5. Weber Hansruedi, Weinbergweg 7, 5408 Ennetbaden
6. Brändle Thomas, Höfnerstrasse 54, 6314 Unterägeri
7. Demeter Konstantin, Campagna 103, 6523 Preonzo
8. Geiler Enrico, ai Casgnò 3, 6528 Camorino
9. Kallenberger Werner, Waserstrasse 83, 8053 Zürich
10. Joób Mark, Bergstrasse 5, 8103 Unterengstringen
11. Scheller Hans-Rudolf, Haldenstrasse 8, 8427 Rorbas
12. Meier Daniel, Austrasse 25, 8483 Kollbrunn
13. Harringer Reinhold, Bachweidstrasse 25, 9011 St. Gallen


Publications des départements et des offices de la Confédération suisse.


https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2014/3589.pdf

 http://www.srf.ch/player/tv/eco/video/radikale-geldreform?id=6d91617f-3b78-4f1f-948e-d6317c5bc827

Avant-hier, en parcourant ce « cerveau
collectif » qu’est Facebook, je suis tombé sur la publication d’un de
mes amis et par la même occasion, je suis tombé des nues. Les médias
« main stream », si prompts à sortir l’artillerie lourde contre les
votations des Suisses sur les minarets ou l’immigration massive, se sont
bien gardés de nous informer de cette initiative en cours, qui a
recueilli à ce jour près de 50 000 signatures mais il lui en faudra le
double pour déboucher sur un référendum. C’est de la bombe. J’en ai
rêvé, et les Suisses sont peut-être en train de le faire. Il faut
absolument qu’ils aboutissent. Non seulement pour eux mais pour nous
tous. C’est pourquoi nous devons les soutenir. J’invite tous ceux
d’entre nous qui ont des amis et connaissances au pays des Helvètes de
les contacter et de faire la promotion de cette initiative citoyenne. Si
l’insurrection des fils (et des filles) de Guillaume Tell contre les
Banksters (et les banques suisses sont puissantes !) est couronnée de
succès, alors tout espoir sera permis pour nous-mêmes et les générations
futures.

Voici donc de quoi il s’agit :
http://www.zeitpunkt.ch/news/artikel-einzelansicht/artikel/die-geldwende-in-der-schweiz-steht-am-start.html
J’ai traduit l’essentiel de l’article ci-après :
« L’initiative citoyenne la plus importante des 20 dernières années
devrait être lancée le 1er mai : la transformation du franc suisse
d’argent-dette en « plein argent » [100 % money comme disent les
économistes anglo-saxons]. C’est ce qu’ont décidé hier [le 8 janvier
2014 puisque l’article est daté du 9] à Zurich les responsables de
l’association pour la modernisation de la monnaie. L’initiative « Plein
argent – pour un argent à l’abri de la crise dans l’intérêt de tous : la
création monétaire à la seule banque centrale » veut mettre fin à la
création de la monnaie par les banques privées.
90 % de l’argent – la plupart des gens n’ont pas conscience de cette
monstruosité – est créé littéralement à partir de rien par les banques.
Le monopole de la banque centrale ne s’étend qu’à la monnaie fiduciaire
[pièces et billets]. L’argent scripturaire, utilisé pour la plupart des
paiements, est créé par les banques elles-mêmes chaque fois qu’elles
octroient un crédit. Elles ne prêtent pas l’argent des épargnants –
ceux-ci le conservent et peuvent s’en servir pour leurs paiements – ,
mais créent de l’argent qui n’existait pas par un simple jeu
d’écritures. (…) La loi ne les oblige qu’à avoir 2,5 % du montant des
prêts en dépôt. [c’est ce qu’on appelle le système des « réserves
fractionnaires »]

Le revers de la médaille n’est pas seulement l’insécurité de nos dépôts
bancaires, mais une montagne de dettes qui grossit sans cesse, qui est
de plus en plus difficile à rembourser et dont souffrent principalement
les salariés. Car la plus grande partie de la richesse nouvellement
créée n’irrigue pas l’économie réelle, où la majorité gagne son pain
quotidien, mais la finance qui permet de réaliser des gains rapides. (…)
Le privilège de la création monétaire draine des sommes
considérables dans des poches privées alors qu’elles devraient revenir à
la collectivité. L’article 99 de la Constitution (…) n’inclut pas la
monnaie scripturaire (…). C’est cette lacune que les initiateurs veulent
corriger. Le 100 % monnaie est ainsi appelé car toute la monnaie, même
la monnaie scripturaire, est garantie par la banque centrale, et pas
seulement 2.5 %. C’est pourquoi cet argent est à l’abri des faillites
bancaires. L’idée selon laquelle un tel scénario ne pourrait se produire
que dans les pays du Sud de l’Europe, fortement endettés, mais pas dans
l’opulente Suisse est malheureusement une illusion. (…)

Bien qu’il paraisse révolutionnaire, ce concept n’est pas
nouveau. Dans les années 1930, une large majorité de professeur
d’économie américains se sont prononcés pour le « 100 % money » pour
sortir de la crise. Dans une étude du FMI de 2012, le contrôle étatique
de la création monétaire a été préconisé. (…)
Pourtant, les obstacles à cette initiative sont considérables : la
compréhension générale de la vraie nature de l’argent bancaire est
faible, même parmi les banquiers et politiciens qui devraient bien
connaître le sujet. Les médias y portent peu d’intérêt, en particulier
ceux qui vivent de la publicité pour les banques. Et les banquiers n’ont
absolument pas intérêt à se soumettre à un débat public sur leurs
privilèges insoupçonnés (…). Les initiateurs et leurs conseillers
économiques (dont quelques professeurs émérites) sont ainsi dépendants
du soutien des rares personnes qui sont conscientes des énormes enjeux
de la création monétaire. Jusque là, 40 000 signatures [47 500 à ce
jour] et 30 000 francs de dons ont été recueillis, ce qui est encore
insuffisant. (…) »
Pour plus de renseignements et un suivi de cette initiative : http://www.vollgeld-initiative.ch/?&L=1
En quoi est-ce révolutionnaire ? Comme l’expliquent André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder dans La dette publique, une affaire rentable,
(1) le système bancaire vampirise littéralement l’économie réelle en
ponctionnant des sommes considérables et parfaitement indues, par
l’entremise de la dette publique. Un Etat n’a pas besoin d’emprunter aux
banques privées, il peut se prêter à lui-même, sa banque centrale peut
créer la monnaie dont il a besoin pour financer les services publics,
puis la détruire en se remboursant (l’opération n’est donc pas
inflationniste). Le tout sans intérêts.
Or, voici que notre souveraineté monétaire a été transférée à
l’Europe donc la banque centrale s’interdit de financer directement les
Etats (art. 104 du traité de Maastricht, confirmé par l’art. 123 du
traité de Lisbonne), les obligeant à emprunter à des banques privées
moyennant des intérêts dont le taux varie en fonction de la confiance
des investisseurs dans la capacité de remboursement du pays : la crise
grecque n’a pas d’autre origine. Quant à nous, qui bénéficions d’un taux
faible, notre stock de dette avoisinant les 2000 milliards d’euros nous
coûte quand-même près de 50 milliards d’intérêts par an ! Oui, vous
avez bien lu : cela fait une saignée de 130 millions PAR JOUR, et sans
que le premier centime du principal ne soit remboursé ! La dette
publique n’est d’ailleurs pas faite pour être remboursée, mais pour
assurer une rente ad vitam aeternam aux titulaires des emprunts d’Etats,
qui ne peut être extorquée qu’en sacrifiant les besoins légitimes de la
population en matière de santé, d’éducation, d’infrastructures, etc. En
ce sens, il est (à moitié) faux d’affirmer que la dette pèsera sur les
générations futures : elle pèsera sur les enfants des pauvres (ceux dont
les services publics sont le seul patrimoine) mais profitera aux
enfants des riches qui pourront continuer à ponctionner une part
considérable de la richesse nationale. C’est pourquoi les milieux
populaires et les classes moyennes ont un INTERÊT VITAL à ce que la
monnaie soit déprivatisée !
Si cette initiative suisse réussit, elle ne manquera pas de donner
des idées à toute l’Europe, et l’outil qui aura permis d’arracher la
création monétaire aux banques, le référendum d’initiative citoyenne,
deviendra une revendication incontournable (2). Autrement dit : c’est
l’avenir de la démocratie sur tout le continent qui est en jeu !

(1) Voir ce blog : http://postjorion.wordpress.com/2013/03/03/270-holbecq-que-serait-la-dette-publique-devenue/
(2) Pour rappel, l’association Article 3 (www.article3.fr) a le référendum d’initiative citoyenne pour seule revendication.

La version française est en cours de développement. Nous vous proposons le texte ci-dessous pour commencer.

Pour un pouvoir monétatif: La création monétaire dans les mains d’un pouvoir public indépendant

La crise financière actuelle prend ses racines dans notre système monétaire. Il émet des crédits en excédent et encourage de cette manière les bulles spéculatives, ainsi que l’inflation et le surendettement massif de nombreux participants. Les marchés financiers et l’économie réelle ne peuvent fonctionner que sur la base d’un système monétaire stable et juste. C’est pourquoi, nous demandons:
Le rétablissement de l’apanage de la création monétaire à la nation, plus précisément à la banque nationale indépendante
La cessation de toute création monétaire par les banques
La mise en circulation de tout argent créé́ sans dettes via les dépenses publiques

L’argent gouverne le monde. Mais qui gouverne l’argent ?

Tout le monde utilise l’argent, mais la manière de fonctionner du système monétaire demeure aussi nébuleux que les termes ‘système bancaire à couverture fractionnaire’ ou ‘création de monnaie multiple’. Ceci est dans l’intérêt des banques, qui se sont appropriées la création monétaire. Pour l’essentiel la Banque Nationale Suisse (BNS) émet l’argent en espèces, qui ne constitue que 10 % de la masse monétaire. 90% de l’argent existant est créé par les banques commerciales en accordant des crédits. Cet argent existe et circule sous la forme des avoirs sur les comptes courants auprès les banques commerciales.

Dernièrement, une grande partie de l’argent créé a servi à des opérations financières de plus en plus spéculatives et découplées des besoins de l’économie réelle. La bourse et les cycles conjoncturels sont poussés à l’extrême par la création de monnaie bancaire hors de tout contrôle – maniaquement excessive en haute conjoncture et période de hausse, et hésitante et dépressive dans les crises d’endettement suivantes. Lorsque les banques font faillite, ce sont toujours les avoirs des clients qui sont en jeu. Si ceux-ci sont sous garantie bancaire étatique, l’état privatise les profits des banques et fond les pertes dans la communauté.

Les banques ne sont pas tenues de remplir des objectifs économiques globaux, ni même des objectifs sociaux. D’avoir abandonné aux banques la création monétaire, activité porteuse en elle-même de nombreuses conséquences importantes, représente un faux développement du système entier. L’ordre monétaire représente une question fondamentale au même niveau que la constitution. Le fait d’utiliser la création monétaire pour faire des affaires est une activité dysfonctionnelle portant préjudice à la communauté.

Nationalisation de l’argent mais pas des banques

Toute monnaie ne devrait être créée que par un organisme public indépendant. Dans la Suisse, ce rôle est assumé par la Banque Nationale Suisse (BNS). La BNS doit devenir définitivement le quatrième pouvoir de l’état, le Pouvoir Monétatif, aux côtés des Pouvoirs Législatif et Exécutif, et de la Justice. Dans sa politique monétaire la BNS doit rester indépendante, tout comme les tribunaux dans leur juridiction. Dans un tel régime financier, les devises complémentaires locales ou les systèmes de compensation de type coopérative peuvent y trouver leur place.

Les gains provenant de la création monétaire – le seigneuriage – doivent être entièrement destines au trésor public et non pas aux banques sous la forme de profits supplémentaires immérités. C’est pourquoi l’argent nouvellement créé doit être remis sans intérêts à la Confédération Suisse, laquelle le remet en circulation via par exemple les dépenses publiques, un dividende populaire. Dans les années passées, le montant du seigneuriage échappé au trésor public s’élevait à un ordre de grandeur autour de 2,5 – 5 milliards d’francs par ans dans la Suisse. Il agissait d’environ 1 – 2% du PIB (croissance économique). Ceci permettrait de couvrir 1.8 – 3.6% du budget public total.

La reforme envisagée pour la création monétaire est simple: Les avoirs sur les comptes courants des banques commerciales doivent être transformés en moyen de paiement légal, comme le sont actuellement les billets et les pièces. Seul le système d’une banque nationale publique – la Monétative – est autorisé de créer ces moyens de paiement. De cette manière, l’argent sur les comptes bancaires se voit attribuer le même rôle que les billets de banque il y a 100–150 ans: les billets des banques privés ont alors été remplacés par les billets de la BNS. Aujourd’hui, il s’agit de transformer l’argent créé par les banques commerciales, instable et lié à des dettes, en argent pleinement valable créé, sans dettes, par la BNS en tant que Pouvoir Monétatif. Tout argent serait ainsi émis par l’état, pas seulement les 10% de la masse monétaire en espèces (billets et pièces), comme c’est le cas actuellement.

Les banques d’affaires privées et publiques peuvent continuer toutes leurs activités financières dans les limites fixées par les lois, mais elles ne peuvent plus créer ou démonétiser d’argent. Elles ne vont effectuer des opérations financières qu’avec l’argent obtenu comme revenu ou à titre de prêt sur le marché interbancaire ou par les clients, et qui existe en liquidité dans leur tiroir-caisse ou sur leur compte de banque central.

L’arrêt de la création de monnaie par les banques peut se faire de manière simple: en détachant les comptes courants des clients du bilan de la banque et en les gérant séparément.

Un ordre monétaire dans l’intérêt public

L’argent deviendrait ainsi sûr puisque les avoirs des comptes ne pourraient plus disparaître en cas d’insolvabilité. L’arrêt de la création monétaire commerciale imposerait des limites à l’expansion excessive ainsi que à la décroissance déficiente de l’offre monétaire. L’argent resterait en circulation, les cycles de conjoncture et de la bourse se dérouleraient de manière plus modérée. La création de monnaie inflationniste des banques commerciales serait remplacée par un régime du pouvoir monétatif dans lequel la BNS aurait le contrôle absolu de la masse monétaire. La BNS peut ainsi éviter l’inflation des prix des biens et des actifs en contrôlant la quantité d’argent circulant en accord avec le potentiel de développement économique réel. Le seigneuriage, les gains obtenus par l’émission de la monnaie, serait entièrement reversés au trésor public.

La justice commence par une bonne monnaie.

Battre monnaie seulement pour le peuple:

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent.

Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle.

Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement.

Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de revenus.

I. L’Etat doit donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

Soutenez une initiative constitutionnelle suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Initiative parlementaire ou populaire à la suisse.






Pour
une Suisse sans dettes, ni impôts, taxes, etc., grâce à la
robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création
modernisée de l’argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.






État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :






1.
Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent
endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral
rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation,
chômage, création d’emplois, relance, environnement, infrastructures,
transports, réduction du nombre d’Ambassades et d’outils d’informations
tel Swissinfo… à l’heure de crises et de l’isolement du Pays sur la
scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation
générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur
les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les
Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion
nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du
7.03. 2010).






2.
Les “solutions” sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings,
radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent
tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le chômage des
jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.


3.
Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et
inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de
plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en
même temps qu’il réduit les besoins de main-d’oeuvre locale et augmente
ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se
trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d’achat des biens créés
pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers
d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.


4.
La crise de l’UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux
contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves
dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais
de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les
habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce,
Portugal. A quand la Suisse ?

5.
La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs
Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous)
dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à
titre d’intérêts… SANS amortissement et pour certaines dettes
cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts
initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui
seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.

6. FED & IRS (deux
archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d’intérêt
conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes…
par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s)
, «Too big to fail», Toxic Assets sont
devenus des termes “familiers”, à contrario du mécanisme pervers de la
création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour
davantage.

Ainsi :

 –
le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir
de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts,
alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement
et ainsi, distribuer équitablement les plus values mensuelles à tous.


A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut
savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon
et surtout, des dettes non remboursables.
 Ces
dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats
impossibles sont nuls, d’autant plus que ces dettes sont créées à partir
de rien, par astuce en bande.


Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement
abdiqué, répercutent leurs “remboursements” sans amortissement aux chers
(sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.


Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les
Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la
majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.

Voulez-vous
continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer
le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent
ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de
bonnes solutions existent et les voici :

Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre
le contrôle de la création des masses monétaires (l’argent). C’est ce
que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de
tous et l’indépendance de la Suisse.

La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par un nouvel

Article 128a :

I.
Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo,
appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l’émission et du
volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.

Il.
Il l’exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes
locales jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ce but.

III.
Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse
représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions
sont la base de la monnaie et du crédit.

IV.
L’émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer
sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon
qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la
consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le
moyen d’un dividende et d’un escompte dont le taux variera
nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.

V.
Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué
par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende
mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à
consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception
à leur mort naturelle, qu’elle aie ou non des sources de revenus.

VI.
Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro
périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques,
comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés
intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l’erreur de Charlemagne
du 23 mars 789 qui a condamné le taux d’intérêt, mais qui a oublié la
remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des
dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce
aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées
et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au
moins tous les 49 ans.

     
VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant
(emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et
simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des
personnes physiques et morales sont respectées.

     
VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent – sans
Commission externe indépendante de type FINMA – de l’Assemblée fédérale
(Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.

     
IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse),
indépendant et fort sont constituées d’or physique stocké qu’en Suisse,
ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine,
épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM,
consommables, plantables et à même d’assurer pendant 7 ans la
subsistance de la Suisse.

X.
Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités,
passés ou futurs qui iraient à l’encontre de cette Initiative ou qui
viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan
cantonal que fédéral.

XI.
Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de
ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les
impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et
les droits sur l’essence.

XII.
De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur
fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages
subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
       

Dispositions transitoires :

La
Confédération crée une contribution de solidarité par des masses
monétaires sans taux d’intérêts et les fait affecter à chaque famille en
proportion du nombre d’enfants conçus.

Le
produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon
une clé de répartition démographique définie par la Confédération
représentée par l’Assemblée fédérale (Plénum).

L’écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500’000.-.

Tout
dividende social ou autre prestation sociale n’empêche personne de
travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant,
créateur d’entreprise, etc.

L’obligation
de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception
des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont
directement affectés aux besoins communs.

Tout
financement d’investissement à un terme donné doit être assuré par des
emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être
financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points
suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités
bancaires et leur attribution à trois catégories d’établissements
distincts et indépendants :

1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.

3) Banques d’affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.

Indexation
obligatoire de tous les engagements sur l’avenir : prêts, emprunts,
salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.

Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.

Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d’éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.

Supprimer
la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour
pour chaque place financière et pour chaque valeur.

Supprimer les programmes d’achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.

Abandonner
le système de changes flottants pour un système de taux de changes
fixes mais révisables par une commission indépendante.

Interdire toute dévaluation compétitive.

Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d’échange et de réserve.

Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d’indexation.
 
Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.

Aucune
puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé
dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique,
papier…).

Les
méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents,
billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous
les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire
aux familles.


Conclusions :

 «
Il s’agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les
jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n’ont été
réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés
de favoriser l’efficacité de l’économie, ni par les socialistes
justement attachés à l’équité de la distribution des revenus… Les uns et
les autres n’ont cessé d’être aveuglés par la répétition incessante de
toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »
               

Maurice Allais, prix Nobel d’économie.


Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette Initiative.


Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux “jouets” utilisés par certaines forces obscures. 






Pour
une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont
les parasites de l’économie, de la justice et de la politique. Ce sont
elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les
guerres…




 http://desiebenthal.blogspot.ch/2010/03/maurice-allais-prophetique.html

La réforme financière du Crédit
Social en France aussi.

par M. Christian Burgaud, Nantes et Rougemont.

Christian Burgaud est le représentant pour la France
du journal Vers Demain (adresse : 1001 rue Principale, Rougemont,
P.Q., Canada &emdash; J0L 1M0), fondé au Canada en 1939 par
Louis Even (1885-1974), pour faire connaître les principes
financiers du Crédit Social, énoncés pour la
première fois en 1918 par l’ingénieur
écossais Clifford Hugh Douglas (1879-1952). Ces principes
représentent une conception nouvelle de la finance, du
système d’argent, qui libérerait
définitivement la société des
problèmes purement financiers
.

Tout d’abord, définissons les mots «crédit
social» : au lieu d’avoir un argent créé par
les banques, à intérêt, un crédit
bancaire, on aurait un argent créé sans dette par la
société, un crédit social.
La première demande des créditistes, des
Bérets Blancs du journal Vers Demain, c’est que le
gouvernement souverain de chaque pays reprenne son droit de
créer l’argent de la nation. Une fois cela chose faite, il
sera possible d’appliquer les deux autres principes du
Crédit Social : le dividende mensuel à chaque
citoyen, et l’escompte périodique sur les prix, pour
empêcher toute inflation.
Pour ceux qui abordent ce sujet pour la première fois,
cette demande peut amener quelques questions. Nous citerons ici
les plus fréquentes, en y apportant une courte
réponse.
Question : Vous dites que le gouvernement doit créer
son argent. Mais ne le fait-il pas déjà, n’y a-t-il
pas les billets de la Banque du Canada, pour le Canada, ou ceux de
la Banque de France, pour la France ?

Réponse : Si le gouvernement canadien
fédéral créait son argent, comment se fait-il
alors qu’il ait une dette de plus de 600 milliards de dollars ? La
réalité, c’est que les billets de banque et les
pièces de monnaie ne viennent en circulation que s’ils sont
prêtés par les banques, à
intérêt. De plus, cette sorte d’argent (billets de
banque et pièces de monnaie, ou «argent
numéraire») représente moins de 10 pour cent de
l’argent du pays ; l’autre sorte d’argent, représentant
plus de 90 pour cent, est l’argent de chiffre créé
par les banques, qu’on voit sur les chèques ou les comptes
de banque.
Question : Pourquoi voulez-vous que le gouvernement
crée l’argent ? L’argent actuel des banques n’est-il pas
bon ?

Réponse : Les banques privées émettent
l’argent à intérêt, sous forme de dette, ce
qui crée des dettes impayables. Par exemple, supposons que
la banque vous prête 100 $, à 6 pour cent
d’intérêt. La banque crée 100 $, mais vous
demande de rembourser 106 $. Vous pouvez rembourser 100 $, mais
pas 106 $ : le 6 $ pour l’intérêt n’existe pas,
puisque seule la banque a le droit de créer l’argent, et
qu’elle n’a créé que 100 $, pas 106 $.
En fait, lorsque la banque vous accorde, un prêt, elle
vous demande de rembourser de l’argent qui n’existe pas. Le seul
moyen de rembourser 106 $ alors qu’il n’existe que 100 $, c’est
d’emprunter aussi ce 6 $ à la banque, et votre
problème n’est pas réglé, il n’a fait
qu’empirer : vous devez maintenant 106 $ à la banque,
à 6 pour cent d’intérêt, soit 112,36 $, et
plus les années passent, plus les dettes s’accumulent, il
n’y a aucun moyen de s’en sortir.
Certains emprunteurs, pris individuellement, peuvent
réussir à rembourser à la banque leur
prêt en entier, capital et intérêt, mais tous
les emprunteurs, pris dans leur ensemble, ne le peuvent pas. Si
certains réussissent à rembourser 106 $ alors qu’ils
n’ont reçu que 100 $, c’est qu’ils ont pris le 6 $ qui
manque sur l’argent mis en circulation par les emprunts des
autres, ce qui rend encore plus difficile pour les autres de
rembourser leurs propres emprunts. Pour que certains soient
capables de rembourser leurs prêts, il faut
nécessairement qu’il y en ait d’autres qui fassent
faillite. Et ce n’est qu’une question de temps avant que tous les
emprunteurs, sans exception, se retrouvent dans
l’impossibilité de rembourser le banquier, et cela, quel
que soit le taux d’intérêt exigé.
Certains diront que si on ne veut pas s’endetter, on n’a
qu’à ne pas emprunter. Mais le fait est que si personne
n’empruntait d’argent de la banque, il n’y aurait pas un sou en
circulation. Et cet argent emprunté de la banque ne peut
pas rester en circulation indéfiniment : il doit retourner
à la banque lorsque le prêt vient à
échéance… accompagné de
l’intérêt, évidemment. Cela signifie que l’on
veut simplement conserver la même quantité d’argent
en circulation dans le pays, année après
année, il faut accumuler des dettes impayables.
Question : Cet argent émis par le gouvernement
serait-il aussi bon que celui des banques ?

Réponse : Bien sûr que le gouvernement a le droit,
puisque c’est lui-même qui a donné ce droit aux
banques. Que le gouvernement se refuse un privilège qu’il
accorde lui-même aux banques, c’est le comble de
l’imbécillité ! C’est d’ailleurs le premier devoir
de chaque pays souverain d’émettre sa propre monnaie
&emdash; c’est d’ailleurs saint Louis IX, roi de France, qui
disait que le premier devoir d’un roi est de frapper l’argent
lorsqu’il en manque pour la bonne vie économique de ses
sujets &emdash; mais tous les pays aujourd’hui ont injustement
cédé ce droit à des compagnies
privées, les banques à charte. Le premier pays
à avoir ainsi cédé à des compagnies
privées son pouvoir de créer la monnaie fut la
Grande-Bretagne, en 1694.
Ce n’est pas le banquier qui donne à l’argent sa valeur,
c’est la production du pays. Le banquier ne produit absolument
rien, il ne fait que créer des chiffres, qui permettent au
pays de faire usage de sa propre capacité de production, de
sa propre richesse. Sans la production de tous les citoyens du
pays, les chiffres du banquier ne valent absolument rien. Donc, le
gouvernement peut très bien créer lui-même ces
chiffres, représentant la production de la
société, sans passer par les banques, et sans
s’endetter. Alors, pourquoi le gouvernement devrait-il payer de
l’intérêt à un système bancaire
privé pour l’usage de son propre argent, qu’il pourrait
émettre lui-même sans passer par les banques, sans
intérêt, sans dette ?
Question : N’y a-t-il pas danger que le gouvernement abuse
de ce pouvoir et émette trop d’argent, et que cela fasse de
l’inflation ? N’est-il pas préférable de laisser ce
pouvoir aux banquiers, afin de laisser ce pouvoir à l’abri
des caprices des politiciens ?

Réponse : L’argent émis par le gouvernement ne
serait pas plus inflationniste que celui émis par les
banques : que ce soit 100 $ émis par le gouvernement, ou
100 $ émis par les banques commerciales, ce seraient les
mêmes chiffres, basés sur la même production du
pays. La seule différence, c’est que le gouvernement
n’aurait pas à s’endetter ni à payer de
l’intérêt pour obtenir ces chiffres.
Au contraire, la première cause de l’inflation, c’est
justement l’argent créé sous forme de dette par les
banques : l’inflation, ça veut dire les prix qui
augmentent. Or, l’obligation pour les compagnies et gouvernements
qui empruntent de ramener à la banque plus d’argent qu’il
en est sorti oblige justement les compagnies à gonfler
leurs prix, et les gouvernements à gonfler leurs taxes.
Chose tout à fait incroyable, le moyen qu’utilisent
actuellement les gouverneurs des banques centrales pour combattre
l’inflation est précisément ce qui la fait augmenter
en pratique, soit hausser les taux d’intérêts ! Comme
l’ont dit certains premiers ministres provinciaux au Canada,
«c’est comme essayer d’éteindre un feu en l’arrosant
d’essence.»
Mais il est bien évident que si le gouvernement
fédéral se mettait à créer ou imprimer
de l’argent n’importe comment, sans aucune limite, selon les
caprices des hommes au pouvoir, et sans relation avec la
production existante, on aurait de l’inflation, et l’argent
perdrait sa valeur. Mais ce n’est pas du tout cela que les
créditistes proposent.

Comptabilité exacte

Ce que les créditistes de Vers Demain proposent,
lorsqu’ils parlent d’argent fait par le gouvernement, c’est que
l’argent soit ramené à son rôle propre, qui
est d’être un chiffre qui représente les produits, ce
qui en fait est une simple comptabilité. Et puisque
l’argent n’est qu’un système de comptabilité, il
suffirait d’établir une comptabilité exacte.
Le gouvernement nommerait une commission de comptables, un
organisme indépendant appelé «Office National
de Crédit», qui serait chargé d’établir
une comptabilité exacte : l’argent serait émis au
rythme de la production, et retiré de la circulation au
rythme de la consommation. On aurait ainsi un équilibre
constant entre la capacité de produire et la
capacité de payer, entre les prix et le pouvoir
d’achat.

Le dividende

De plus, parce que les salaires ne suffisent pas pour acheter
toute la production existante (les salaires ne forment qu’une
partie des coûts de production de n’importe quel article),
l’Office National de Crédit distribuerait à chaque
citoyen un dividende mensuel, une somme d’argent pour combler le
pouvoir d’achat, et pour assurer à chacun une part des
biens du pays. Ce dividende serait basé sur les deux plus
grands facteurs de la production moderne, l’héritage des
richesses naturelles et des inventions des
générations passées, tous deux dons gratuits
de Dieu, qui appartiennent donc à tous. Ceux qui seraient
employés dans la production recevraient encore leur
salaire, mais tous, salariés comme non-salariés,
recevraient le dividende.
Tous les membres d’une famille &emdash; le père, la
mère, et chacun des enfants &emdash; recevraient chaque
mois leur dividende, ou revenu garanti, qui assurerait au moins le
minimum vital. Le revenu familial augmenterait ainsi
automatiquement à la naissance d’un nouvel enfant, puisque
la famille recevrait un chèque de dividende de plus, ce qui
enlèverait un gros obstacle à la création de
familles nombreuses. (Les créditistes proposent en plus que
le gouvernement fournisse un revenu aux mères de famille
qui restent à la maison pour élever leurs enfants,
car même si ce travail n’est pas
rémunéré actuellement, il représente
une grande partie du Produit Intérieur Brut de la nation.
Ce revenu aux mères de famille répondrait à
la demande du Saint-Siège, qui émettait en 1983 un
document intitulé la «Charte des Droits de la
Famille», dont l’article 10 se lit comme suit : «Le
travail de la mère au foyer doit être reconnu et
respecté en raison de sa valeur pour la famille et la
société.»)
La formule du dividende serait infiniment
préférable que l’aide sociale,
l’assurance-chômage et autres lois actuelles de
sécurité sociale, car il ne serait pas pris dans les
taxes de ceux qui travaillent, mais serait financé par de
l’argent nouveau, créé par l’Office National de
Crédit. Personne ne se ferait donc vivre par les taxes des
contribuables ; ce serait un héritage dû à
tous les citoyens du pays, qui sont pour ainsi dire tous
actionnaires de la compagnie Canada Limitée.
Et contrairement à l’aide sociale, ce dividende serait
sans enquête, il ne pénaliserait donc pas ceux qui
veulent travailler. Loin d’être une incitation à la
paresse, il permettrait aux gens de s’occuper dans
l’activité de leur choix, celle où ils ont des
talents. D’ailleurs, si les gens arrêtaient de travailler,
le dividende baisserait automatiquement, puisqu’il est basé
sur la production existante. Sans ce revenu non lié
à l’emploi, le progrès devient non plus un
allié de l’homme, mais une malédiction, puisqu’en
éliminant le besoin de labeur humain, il fait perdre aux
travailleurs leur seule source de revenu.

Finance des travaux publics

Comment se ferait le financement des services et travaux
publics avec un tel système d’argent social ? Chaque fois
que la population désirerait un nouveau projet public, le
gouvernement ne se demanderait pas : «A-t-on l’argent
?», mais : «A-t-on les matériaux, les
travailleurs pour le réaliser ?» Si oui, l’Office
National de Crédit créerait automatiquement l’argent
nécessaire pour financer cette production nouvelle.
Supposons, par exemple, que la population désire un
nouveau pont, dont la construction coûte 50 millions $.
l’Office National de Crédit crée donc 50 millions $
pour financer la construction de ce pont. Et puisque tout argent
nouveau doit être retiré de la circulation lors de la
consommation, ainsi l’argent créé pour la
construction du pont devra être retiré de la
circulation lors de la consommation de ce pont.
De quelle manière un pont peut-il être
«consommé» ? Par usure ou
dépréciation. Supposons que les ingénieurs
qui ont construit ce pont prévoient qu’il durera 50 ans ;
ce pont perdra donc un cinquantième de sa valeur à
chaque année. Puisqu’il a coûté 50 millions $
à construire, il subira donc une dépréciation
de 1 million $ par année. C’est donc un million de dollars
qui devront être retirés de la circulation à
chaque année, pendant 50 ans. Au bout de 50 ans, le pont
sera complètement payé, sans un sou
d’intérêt ni de dette.
Est-ce que ce retrait d’argent se fera par les taxes ? Non,
cela n’est nullement nécessaire, dit Douglas, le concepteur
du système du Crédit Social. Il existe une autre
méthode bien plus simple pour retirer cet argent de la
circulation, celle de l’ajustement des prix (appelé aussi
escompte compensé). Douglas disait à Londres, le 19
janvier 1938 :
«Le système de taxation, avec sa complexité,
son caractère irritant, avec les centaines de personnes
qu’il emploie, est un gaspillage complet de temps. Tous les
résultats qu’il est supposé fournir pourraient
être accomplis sans aucune comptabilité, par le
simple mécanisme d’ajustement des prix.»

L’ajustement des prix

De quelle manière cet ajustement des prix
fonctionnerait-il ? L’Office National de Crédit serait
chargé de tenir une comptabilité exacte de l’actif
et du passif de la nation, ce qui ne nécessiterait que deux
colonnes : d’un côté, on inscrirait tout ce qui est
produit dans le pays durant la période en question
(l’actif), et de l’autre, tout ce qui est consommé (le
passif). Le 1 million $ de dépréciation annuelle du
pont, de l’exemple mentionné plus haut, serait donc inscrit
dans la colonne «passif» ou «consommation», et
ajouté à toutes les autres formes de consommation ou
disparition de richesse durant l’année.
Douglas fait aussi remarquer que le vrai coût de la
production, c’est la consommation. Dans l’exemple du pont, le prix
comptable était de 50 millions $. Mais le prix réel
du pont, c’est tout ce qu’il a fallu consommer pour le produire.
S’il est impossible de déterminer pour un seul produit quel
a été son prix réel, on peut, par contre,
facilement savoir quel a été, durant une
année, le prix réel de toute la production du pays :
c’est tout ce qui a été consommé dans le pays
durant la même période.
Ainsi, si les comptes nationaux du Canada montrent que, dans
une année, la production privée, la production de
biens consommables, a été de 500 milliards $, et que
pendant la même année, la consommation totale a
été de 400 milliards $, cela veut dire que le Canada
a été capable de produire pour une valeur de $500
milliards de produits et services, tout en ne dépensant, ou
consommant, que pour une valeur de 400 milliards $. Autrement dit,
cela démontre qu’il en a coûté
réellement 400 milliards $ pour produire ce que la
comptabilité des prix établit à 500 milliards
$.
Le vrai prix de la production est donc de 400 milliards $. La
population doit donc pouvoir obtenir le fruit de son travail, la
production de 500 milliards $, en payant seulement 400 milliards
$. Car il a été bien établi plus tôt
que l’argent ne doit être retiré que selon la
consommation : s’il s’est consommé pour 400 milliards $ de
produits et services, on ne doit retirer de la circulation que 400
milliards $, ni plus ni moins.

Escompte sur les prix

Comment faire pour que les consommateurs canadiens puissent
obtenir pour 500 milliards de produits et services tout en ne
payant que 400 milliards $? C’est très simple, il suffit de
baisser le prix de vente de tous les produits et services de 1/5,
soit un escompte de 20 % : l’Office National de Crédit
décrète donc un escompte de 20 % sur tous les prix
de vente pendant le terme suivant. Par exemple, le client n’aura
qu’à payer 400 $ pour un article étiqueté 500
$.
Mais s’il ne veut pas faire faillite, le marchand doit quand
même récupérer 500 $ pour la vente de cet
article, et non pas seulement 400 $, car ce prix de 500 $ inclut
tous ses frais. C’est pourquoi on parle d’un escompte
«compensé» : dans ce cas-ci, le marchand sera
compensé par l’Office National de Crédit, qui lui
enverra le 100 $ qui manque.
Pour chacune de ses ventes, le marchand n’aura qu’à
présenter ses bordereaux de vente à l’Office
National de Crédit, qui lui remboursera l’escompte
accordé au client. Ainsi, personne n’est
pénalisé : les consommateurs obtiennent les produits
qui, sans cela, resteraient invendus, et les marchands
récupèrent tous leurs frais.

Inflation impossible

Grâce à ce mécanisme de l’escompte sur les
prix, toute inflation serait impossible : en effet, l’escompte
fait baisser les prix. Et l’inflation, ce sont les prix qui
montent. La meilleure manière d’empêcher les prix de
monter, c’est de les faire baisser ! De plus, l’escompte sur les
prix est exactement le contraire de la taxe de vente : au lieu de
payer les produits plus cher par des taxes, les consommateurs les
paient moins cher grâce à cet escompte. Qui pourrait
s’en plaindre ?
S’il n’était question dans le Crédit Social que
d’imprimer de l’argent et rien d’autre, les craintes de
l’inflation seraient justifiées, mais justement, le
Crédit Social possède une technique pour faire face
à tout danger d’inflation. Il existe trois principes de
base dans le Crédit Social : 1. l’argent émis sans
dette par le gouvernement, représentant de la
société, selon la production, et retiré de la
circulation selon la consommation ; 2. le dividende mensuel
à tous les citoyens ; 3. l’escompte compensé. Les
trois sont nécessaires ; c’est comme un trépied :
enlevez un de ces trois principes, et le reste ne tient plus.
Toute cette technique du Crédit Social, telle
qu’expliquée très brièvement ci-dessus, n’a
qu’un but : financer la production des biens qui répondent
aux besoins ; et financer la distribution de ces biens pour qu’ils
atteignent les besoins. En examinant la circulation du
crédit sous un tel système de Crédit Social,
on s’apercevra que l’argent ne s’accumule en aucun temps, qu’il ne
fait que suivre le mouvement de la richesse, entrant en
circulation au rythme de la production, et prenant la voie du
retour vers sa source (l’Office National de Crédit) au
rythme de la consommation (lorsque les produits sont
achetés chez le marchand). En tout temps, l’argent demeure
un reflet exact de la réalité : de l’argent
apparaît lorsqu’un nouveau produit apparaît, et cet
argent disparaît lorsque le produit disparaît (est
consommé).

Les taxes et le Crédit Social

Que deviendraient les taxes actuelles avec un tel
système de Crédit Social ? Elles diminueraient de
façon drastique, et la plupart disparaîtraient tout
simplement. Le juste principe à observer, c’est que les
gens ne paient que pour ce qu’ils consomment. La consommation de
biens publics comme les ponts serait payée par l’ajustement
des prix, comme on l’a vu plus haut. Par contre, il serait injuste
de faire payer à la population de tout le pays des services
qui ne sont offerts que dans une rue ou une municipalité,
comme le service d’eau, d’égout ou de vidange ; ce sont
ceux qui bénéficient de ces services qui auraient
à payer la municipalité qui les fournit.
Par contre, les administrations ne traîneraient plus de
dettes publiques impayables, et on n’aurait donc plus à
payer pour le service de la dette (pour le gouvernement
fédéral seulement, cela représente plus d’un
tiers des taxes.) On n’aurait plus non plus à payer pour
les lois de sécurité sociale, qui seraient
avantageusement remplacées par le dividende mensuel
à tous les citoyens.
Tout cela ouvre des horizons et possibilités
insoupçonnés. Pour que ces possibilités
deviennent réalités, il faut que tous connaissent le
Crédit Social. Et pour cela, il faut que tous
reçoivent Vers Demain.
Christianisme appliqué
Les membres du Mouvement de Vers Demain mettent beaucoup
d’ardeur à faire connaître les principes financiers
du Crédit Social, car selon eux, ces principes
appliqueraient à merveille la doctrine sociale de
l’Église catholique, surtout en ce qui concerne le droit de
tous aux biens matériels. D’ailleurs, Clifford Hugh Douglas
a déjà dit : Les banquiers contrôlent
l’argent
L’argent devrait être un instrument de service, mais les
banquiers, en s’en réservant le contrôle de la
création, en ont fait un instrument de domination :
«Ce pouvoir est surtout considérable chez ceux qui,
détenteurs et maîtres absolus de l’argent et du
crédit, gouvernent le crédit et le dispensent selon
leur bon plaisir. Par là, ils distribuent le sang à
l’organisme économique dont ils tiennent la vie entre leurs
mains, si bien que, sans leur consentement, nul ne peut plus
respirer.» (Pie XI, encyclique Quadragesimo anno, 15 mai
1931.)
La création d’argent sous forme de dette par les
banquiers est leur moyen d’imposer leur volonté sur les
individus et de contrôler le monde :
«Parmi les actes et les attitudes contraires à la
volonté de Dieu et au bien du prochain et les
«structures» qu’ils introduisent, deux
éléments paraissent aujourd’hui les plus
caractéristiques : d’une part le désir exclusif du
profit et, d’autre part, la soif du pouvoir dans le but d’imposer
aux autres sa propre volonté.» (Jean-Paul II,
encyclique Sollicitudo rei socialis, sur la question sociale, 30
décembre 1987, n. 37.)
Puisque l’argent est un instrument essentiellement social, la
doctrine du Crédit Social propose que l’argent soit
émis par la société, et non par des banquiers
privés pour leur profit :
«Il y a certaines catégories de biens pour
lesquelles on peut soutenir avec raison qu’ils doivent être
réservés à la collectivité lorsqu’ils
en viennent à conférer une puissance
économique telle qu’elle ne peut, sans danger pour le bien
public, être laissée entre les mains de personnes
privées.» (Pie XI, encyclique Quadragesimo anno.)
On a lu précédemment que l’obligation de remettre
au banquier de l’argent qu’il n’a pas créé
entraîne des dettes impayables : En 1986, la Commission
Pontificale Justice et Paix émettait un document
intitulé «Une approche éthique de l’endettement
international», qui disait, entre autres :
«Les pays débiteurs, en effet, se trouvent
placés dans une sorte de cercle vicieux : ils sont
condamnés, pour pouvoir rembourser leurs dettes, à
transférer à l’extérieur, dans une mesure
toujours plus grande, des ressources qui devraient être
disponibles pour leur consommation et leurs investissements
internes, donc pour leur développement.
«Le service de la dette ne peut être acquitté
au prix d’une asphyxie de l’économie d’un pays et aucun
gouvernement ne peut moralement exiger d’un peuple des privations
incompatibles avec la dignité des personnes…
S’inspirant de l’Évangile, d’autres comportements seraient
à envisager, comme consentir des délais, remettre
partiellement ou même totalement les dettes… En
certains cas, les pays créanciers pourront convertir les
prêts en dons.»
Jean-Paul II écrivait aussi dans son encyclique
Centesimus annus (1er mai 1991, n. 35) : «Il n’est pas licite
de demander et d’exiger un paiement quand cela reviendrait
à imposer en fait des choix politiques de nature à
pousser à la faim et au désespoir des populations
entières. On ne saurait prétendre au paiement des
dettes contractées si c’est au prix de sacrifices
insupportables. Dans ce cas, il est nécessaire &emdash;
comme du reste cela est en train d’être partiellement fait
&emdash; de trouver des modalités d’allégement de
report ou même d’extinction de la dette, compatibles avec le
droit fondamental des peuples à leur subsistance et
à leur progrès.»
Et plus récemment, dans sa lettre apostolique Tertio
millenium advente, pour la célébration du
jubilé de l’an 2000, le Saint-Père proposait, dans
l’esprit des jubilés de l’Ancien Testament, l’effacement
total de la dette internationale.

Tous capitalistes
Que tous soient réellement «capitalistes»
(soient propriétaire d’un capital) et aient accès
aux biens de la terre, cela serait rendu possible par le dividende
du Crédit Social, qui appliquerait concrètement cet
autre principe de base de la doctrine sociale de l’Église :
les biens de la terre sont destinés à tous les
hommes :
«Dieu a destiné la terre et tout ce qu’elle
contient à l’usage de tous les hommes et de tous les
peuples, en sorte que les biens de la création doivent
équitablement affluer entre les mains de tous, selon les
règles de la justice, inséparables de la
charité.» (Concile Vatican II, Constitution Gaudium et
Spes, n. 69.)
Le dividende du Crédit Social est basé sur deux
choses : l’héritage des richesses naturelles et des
inventions des générations précédentes
:
«L’homme, par son travail, hérite d’un double
patrimoine : il hérite d’une part de ce qui est
donné à tous les hommes, sous forme de ressources
naturelles et, d’autre part, de ce que tous les autres ont
déjà élaboré à partir de ces
ressources, en réalisant un ensemble d’instruments de
travail toujours plus parfaits. Tout en travaillant, l’homme
hérite du travail d’autrui.» (Jean-Paul II, encyclique
Laborem exercens, sur le travail humain, 15 septembre 1981, n.
12.)
Progrès et plein emploi sont inconciliables
En 1850, alors que les manufactures venaient à peine
d’apparaître, au tout début de la Révolution
industrielle, l’homme accomplissait 20 % du travail, l’animal 50
%, et la machine 30 %. En 1900, l’homme accomplissait seulement 15
% du travail, l’animal 30 %, et la machine 55 %. En 1950, l’homme
ne faisait que 6 % du travail, et les machines accomplissaient le
reste &emdash; 94 %. Et nous n’avons encore rien vu, puisque nous
entrons maintenant dans l’ère de l’ordinateur,
l’équivalent d’une troisième révolution
industrielle.
L’auteur américain Jeremy Rifkin a écrit
récemment un livre intitulé La fin du travail
(Editions La Découverte, Paris, 1996), un best-seller qui a
été traduit dans neuf langues, dans lequel il
explique ce que les créditistes répètent
depuis plus de 70 ans : à cause du progrès, les
machines remplaceront de plus en plus les travailleurs, et il y
aura de moins en moins d’emplois disponibles.
Dans son livre, Rifkin cite une étude suisse selon
laquelle «d’ici 30 ans, moins de 2 % de la main-d’œuvre
suffira à produire la totalité des biens dont le
monde a besoin.» Rifkin affirme que trois travailleurs sur
quatre &emdash; des commis jusqu’aux chirurgiens &emdash; seront
éventuellement remplacés par des machines
guidées par ordinateur.
Les machines sont-elles une malédiction ou un bienfait
pour l’homme ? Si le règlement qui limite la distribution
d’un revenu seulement à ceux qui sont employés n’est
pas changé, la société se dirige tout droit
vers le chaos. Il serait tout simplement absurde et ridicule de
taxer 2 % des travailleurs pour faire vivre 98 % de chômeurs
! Il faut absolument une source de revenu non liée à
l’emploi &emdash; un dividende.
Mais si on veut persister à tenir tout le monde, hommes
et femmes, employés dans la production, même si la
production pour satisfaire les besoins de base est
déjà toute faite, et cela, avec de moins en moins de
labeur humain, alors il faut créer de nouveaux emplois
complètement inutiles, et dans le but de justifier ces
emplois, créer de nouveaux besoins artificiels, par une
avalanche de publicité, pour que les gens achètent
des produits dont ils n’ont pas réellement besoin. C’est ce
qu’on appelle «la société de
consommation».
De même, on fabriquera des produits dans le but qu’ils
durent le moins longtemps possible, dans le but d’en vendre plus,
et faire plus d’argent, ce qui entraîne un gaspillage non
nécessaire des ressources naturelles, et la destruction de
l’environnement. Aussi, on persistera à maintenir des
travaux qui ne nécessitent aucun effort de
créativité, qui ne demandent que des efforts
mécaniques, qui pourraient facilement être faits
uniquement par des machines, des travaux où
l’employé n’a aucune chance de développer sa
personnalité. Si l’homme n’est pas employé dans un
travail salarié, il occupera ses temps libres à
faire des activités libres, des activités de son
choix. C’est justement dans ses temps libres que l’homme peut
vraiment développer sa personnalité,
développer les talents que Dieu lui a donnés et les
utiliser à bon escient. De plus, c’est durant leurs temps
libres que l’homme et la femme peuvent s’occuper de leurs devoirs
familiaux, religieux et sociaux : élever leur famille.
Être libéré de la nécessité
de travailler pour produire les biens essentiels à la vie
ne signifie aucunement paresse. Cela signifie tout simplement que
l’individu est alors en position de choisir l’activité qui
l’intéresse. Sous un système de Crédit
Social, il y aura une floraison d’activités
créatrices. Par exemple, les grandes inventions, les plus
grands chefs-d’oeuvre de l’art, ont été accomplis
dans des temps libres. Comme le disait C. H. Douglas :
«La majorité des gens préfèrent
être employés &emdash; mais dans des choses qu’ils
aiment plutôt que dans des choses qu’ils n’aiment pas. Les
propositions du Crédit Social ne visent aucunement à
produire une nation de paresseux… Le Crédit Social
permettrait aux gens de s’adonner aux travaux pour lesquels ils
sont qualifiés. Un travail que vous faites bien est un
travail que vous aimez, et un travail que vous aimez est un
travail que vous faites bien.»
La misère en face de l’abondance
Dieu a mis sur la terre tout ce qu’il faut pour nourrir tout le
monde. Mais à cause du manque d’argent, les produits ne
peuvent plus joindre les gens qui ont faim : des montagnes de
produits s’accumulent en face de millions qui meurent de faim.
C’est le paradoxe de la misère en face de l’abondance, qui
«représente en quelque sorte un gigantesque
développement de la parabole biblique du riche qui festoie
et du pauvre Lazare. L’ampleur du phénomène met en
cause les structures et les mécanismes financiers,
monétaires, productifs et commerciaux qui, appuyés
sur des pressions politiques diverses, régissent
l’économie mondiale ; ils s’avèrent incapables de
résorber les injustices héritées du
passé et de faire face aux défis urgents et aux
exigences éthiques du présent… Nous sommes ici
en face d’un drame dont l’ampleur ne peut laisser personne
indifférent.» (Jean-Paul II, encyclique Redemptor
hominis, n. 15.)
Réforme du système financier
Le Pape Jean-Paul II a maintes fois dénoncé la
dictature de l’argent rare, et demandé une réforme
des systèmes financiers et économiques,
l’établissement d’un système économique au
service de l’homme :
«Je tiens encore à aborder une question
délicate et douloureuse. Je veux parler du tourment des
responsables de plusieurs pays, qui ne savent plus comment faire
face à l’angoissant problème de l’endettement…
Une réforme structurelle du système financier
mondial est sans nul doute une des initiatives les plus urgentes
et nécessaires.» (Message à la 6e session de la
Conférence des Nations unies sur le commerce et le
développement, Genève, 26 septembre 1985.)
«Il est nécessaire de dénoncer l’existence
de mécanismes économiques, financiers et sociaux
qui, bien que menés par la volonté des hommes,
fonctionnent souvent d’une manière quasi automatique,
rendant plus rigides les situations de richesse des uns et de
pauvreté des autres.» (Encyclique Sollicitudo rei
socialis, n. 16.)
Un autre qui était convaincu que le Crédit Social
est le christianisme appliqué, et qu’il appliquerait
à merveille l’enseignement de l’Eglise sur la justice
sociale, c’est le Père Peter Coffey, docteur en philosophie
et professeur au Collège de Maynooth, en Irlande. Voici ce
qu’il écrivait à un jésuite canadien, le
Père Richard, en mars 1932 :
«Les difficultés posées par vos questions ne
peuvent être résolues que par la réforme du
système financier du capitalisme, selon les lignes
suggérées par le Major Douglas et l’école
créditiste du crédit. C’est le système
financier actuel qui est à la racine des maux du
capitalisme. L’exactitude de l’analyse faite par Douglas n’a
jamais été réfutée, et la
réforme qu’il propose, avec sa fameuse formule d’ajustement
des prix, est la seule réforme qui aille jusqu’à la
racine du mal…»
Christian Burgaud

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de faire silence, comme beaucoup le prétendent ? Aurait-il mieux valu
que je ne parle pas du tout d’excommunication ? Eh bien, je réponds que
je ne suis pas d’accord. C’est une loi de l’Eglise, pour le bien de
l’Eglise
. Elle existe depuis plusieurs siècles. Le nouveau Code
de droit canonique, promulgué en 1983 par le serviteur de Dieu
Jean-Paul II, réitère cette loi, tout comme le Catéchisme de l’Eglise
catholique, publié par le même pape en 1992, répète cette loi et la
commente. Vaudrait-il donc mieux se taire ? Eh bien, à mon avis,
il est de la plus haute importance d’attirer l’attention de tous et
surtout des fidèles catholiques sur la gravité du crime de l’avortement
. C’est pour cela que la loi existe.
Nous autres, dans notre diocèse, avons reçu tant de messages de tant de personnes qui me disent : «Aujourd’hui, je comprends mieux la gravité de l’avortement, et je vais changer ma conscience.» A mon avis, le
fait d’attirer l’attention sur l’existence de cette excommunication
produit un bien spirituel chez les fidèles catholiques, mais aussi chez
les autres
qui réalisent en apparence tranquillement des
avortements et qui vont désormais, je le crois, peser dans leur
conscience la gravité de ce qu’ils font. Et telle est la finalité de cette loi de l’Eglise, de cette pénalité d’excommunication : elle est médicinale. C’est un remède en vue de la conversion de tous.
Et pour la personne qui l’encourt, un moyen de lui faire comprendre
qu’elle va devoir répondre de son acte devant Dieu. Avec l’Eglise, nous
désirons que tous, même ceux qui suivent aujourd’hui un chemin d’erreur,
se remettent à vivre en accord avec la loi de Dieu. Nous ne voulons la
condamnation éternelle de personne. A mon avis, le silence – ne pas parler d’excommunication – causerait un grave tort à l’Eglise.
S2
Plus encore, j’ai l’impression que certains parmi ceux qui s’expriment
contre moi sont quasiment en train d’insinuer qu’il vaudrait mieux
abroger le canon de l’excommunication. Mais l’Eglise ne pense pas cela. L’Eglise
maintient cette loi, parce que pour le bien commun de l’Eglise, il est
nécessaire, quand il s’agit de délits gravissimes, qu’il y ait une loi
claire, et que cette pénalité soit appliquée
. Ce sont des principes d’une très grande importance. Pour moi, le silence équivaudrait à de la complicité. […] C’est un remède spirituel.
L’Eglise est investie d’une mission, qui est de mener tous les hommes
au salut éternel, et de les faire vivre dans la grâce de Dieu. De fait,
il est des personnes qui font «tranquillement» des avortements, et qui
disent tout aussi tranquillement qu’elles vont continuer. Nous
autres, en tant que catholiques, et surtout les pasteurs de l’Eglise, ne
pouvons rester silencieux, comme si tout cela était très bien
.
C’est pourquoi je répète que ne pas parler, ne pas attirer l’attention
sur la gravité, sur le sérieux de ce problème, et surtout sur le fait
que l’Eglise, pour le bien commun, applique cette pénalité, serait de la
complicité. Cela reviendrait quasiment à accepter cette situation si
grave.
Ici au Brésil, on est en train de
préparer une loi de légalisation de l’avortement. Nous, les
catholiques, devons parler en premier lieu de la responsabilité morale
.
Il y a évidemment des catholiques dans notre Parlement qui défendent la
loi de Dieu, mais il y en a d’autres qui soutiennent ce projet, à
commencer par le président de la République. Nous ne pouvons pas rester
silencieux ! […] Il m’importe beaucoup de rappeler que les médecins qui ont réalisé l’avortement ont déclaré qu’ils pratiquent des avortements depuis longtemps, et avec « fierté». Et ils affirment qu’ils continueront. Nous ne pouvons rester silencieux face à cela. […]
Il faut bien le comprendre : dès les tout premiers siècles, il y a eu des lois d’excommunication dans l’Eglise. Elles visent à protéger le bien commun de la société ecclésiale : c’est pour cela qu’il faut un droit canonique, l’aspect juridique de l’Eglise en tant que société humaine est indispensable. Nous ne pouvons espérer simplement que chacun suive sa conscience.
L’Eglise doit évidemment d’abord prendre soin de la vie spirituelle de
chacun, mais le bien commun, au sens technique, est très important
aussi : il s’agit d’un environnement adéquat où chacun puisse vivre
tranquillement. Les pénalités prévues par le Code de droit canonique ont
aussi cette finalité. […]
S1 J’ai quant à moi la conscience tranquille. Je n’attendais pas et je ne souhaitais pas ces répercussions qui ont atteint des dimensions internationales. Je répète que le bien commun de l’Eglise a besoin de ces lois latae sententiae,
qui servent d’alerte permanente et qu’elle n’abrogera jamais. Elle a
toujours condamné l’avortement et elle a toujours expliqué pourquoi :
parce qu’il ne fait pas seulement du tort à la personne mais aussi à
toute la société. Aujourd’hui, je le répète, nous en sommes à 1 million
d’avortements tous les ans au Brésil, 50 millions dans le monde, et notre silence serait connivence.”
Ce long entretien est passionnant et il
faut le lire en entier si on veut vraiment comprendre ce qui s’est passé
au Brésil. Mgr Sobrinho ajoute par exemple que ses relations avec les
autres évêques sont très bonnes :
“Il y a deux semaines nous étions réunis
en Assemblée nationale des évêques à São Paolo : tous les évêques avec
qui j’ai parlé m’approuvent ; aucun n’est contre moi.
En revanche, j’ai lu ce qu’ont écrit certains évêques français. Il me
semble qu’ils ne connaissaient pas toutes les circonstances.”

Posté le 28 mai 2009 à 19h20 par Michel Janva | Catégorie(s): Culture de mort : Avortement



Commentaires:

Un jour, un prêtre, aujourd’hui évêque en France, m’a raconté qu’il
avait reçu en confession un homme d’une soixantaine d’année qui s’était
accusé d’un avortement commis par lui et sa femme….il y avait bien
longtemps.

Le prêtre lui a demandé pourquoi il avait attendu aussi longtemps pour
s’en confesser alors qu’il était pratiquant. Sa réponse fût toute simple
: c’est grâce aux homélies de ce prêtre qui revenait souvent sur la
défense de la Vie et la culture de mort qu’il s’était rendu compte de la
gravité de leur acte passé…

Comme quoi, il faut parler de l’avortement et éduquer au respect de la Vie et ne jamais baisser les bras.
Rédigé par : Edouard | 28 mai 2009 19:35:34
remarquable…
les 4 dernières lignes aussi, hélas!
Rédigé par : Journé Nicolas | 28 mai 2009 19:45:17
Un très grand merci pour cet article qui tombe vraiment à pic : dans
notre dernier bulletin paroissial certains se sont encore déchainés
contre l’Eglise et notre cher Pape. Pouvez-vous nous donner votre source
afin que nous puissions lire l’entretien en totalité ?

Si je peux me permettre, je voulais justement vous contacter pour vous
demander la source d’ une ancienne info (signée par vous ?)selon
laquelle “il est maintenant prouvé que les propos de Mgr Williamson ont
paru sur l’internet après la promulgation par notre St Père du décret
de levée d’excommunication” Vous avez été le seul à nous dire cela.
Merci pour tout et bien cordialement.

Dominique
[L’intégralité se trouve dans Présent, en lien. MJ]
Rédigé par : vast dominique | 28 mai 2009 19:51:18
Ya pas à dire… les *grands* ont une technique bien à eu pour faire remarquer leurs erreurs aux *petits*!
“Il me semble qu’ils ne connaissaient pas toutes les circonstances”
C’est beau…
Rédigé par : Vince | 29 mai 2009 10:17:52
@ Vast Dominique
C’est l’article extrait du n° 6850 du Vendredi 29 mai 2009.
[…]
Rédigé par : Roland | 29 mai 2009 10:25:11
la Miséricorde incarnée, en particulier dans le dernier paragraphe.Heureux Evêque persécuté!
Rédigé par : Sancenay | 29 mai 2009 10:44:58
Chers amis,
Présent n’a pas donné son accord pour la publication intégrale en ligne
de l’interview de Mgr Cardoso. Le Salon Beige a eu la délicatesse et la
correction de n’en publier que des extraits significatifs. Pourriez-vous
enlever le lien vers le “forum courtois” ?

Mille mercis
Rédigé par : Jeanne Smits | 29 mai 2009 11:54:52
Le Forum Courtois présente ses excuses pour avoir publié sans autorisation cet article.
Il est retiré en attendant son autorisation.
Rédigé par : Roland | 29 mai 2009 14:18:26
Merci au Forum courtois ! Nous sommes reconnaissants pour la
publicité qui nous est faite par la citation de nos articles, mais nous
ne sommes pas dans une logique de gratuité et une citation complète d’un
long article exclusif me paraît excessive. La règle est donc simple
pour “Présent” ; reproduction libre sur les supports écrits, à condition
de citer la source ; reproduction “raisonnable” en ligne avec lien vers
la source : une partie d’un grand article, par exemple, ou un article
de commentaires…

A moi de vous rappeler que Radio Courtoisie a aussi des frais, et que
pour cette source d’information libre puisse vivre elle a, comme
“Présent” besoin du soutien matériel de ceux qui l’apprécient !

Amicalement
Jeanne Smits
De plus, sur le fond du problème, un petit détour par le droit canon leur rappellerait que :

“Can. 1398 – Qui procure un avortement, si l’effet s’en suit, encourt l’excommunication latae sententiae”.

 Il y a grande pitié dans l’Église en France…
Ailleurs Benoît XVI écrit :

“J’ai
été peiné du fait que même des catholiques, qui au fond auraient pu mieux
savoir ce qu’il en était, aient pensé devoir m’offenser avec une hostilité
prête à se manifester”.

Comment ne pas penser alors à ces articles parus hier dans la Vie ou à ce blog de la Croix “Le Vatican et les intégristes – le débat”?
Bxvi 2
Plus que jamais, devant tant d’hostilité, nous devons par la prière, soutenir le Saint-Père, vicaire du Christ et successeur de Pierre et rappeler pour le bien et l’unité de l’Église :

“Que cette liberté ne soit pas un prétexte pour satisfaire votre
égoïsme ; au contraire mettez-vous, par amour, au service les uns des
autres. Car toute la Loi atteint sa perfection dans un seul commandement, et le
voici : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Si vous vous mordez
et vous dévorez les uns les autres, prenez garde : vous allez vous
détruire les uns les autres !”

Souhaitons que le silence, le respect du siège de Pierre et l’obéissance de ses ouailles succèdent aux scandales et à la douleur infligée au Saint-Père et à l’Église.
Le Salon Beige
PS:


Si vous ne comprenez pas, c’est qu’on a jeté des perles aux pourceaux…


Matthieu 7 :6

Dans ce verset, le Christ nous dit :
« Ne donnez pas les choses saintes
aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur
qu’ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent
».


Suisses excommuniés ? Avortement : le bienfait de l’excommunication !

Une
occasion de rédemption ? Ce péché est une abomination si grave qu’il
provoque une  excommunication automatique ( latae sententiae) et qu’il
ne peut être confessé qu’à un Évêque vraiment catholique …

Vous risqueriez l’enfer éternel… vraiment.


Que
ton oui soit oui et ton non soit non, tout le reste vient du
mauvais…



Le texte
juridique de l’initiative va dans le bon sens et le Pape Jean-Paul II
a écrit que si une loi va dans le bon sens contre l’abomination du
meurtre et de l’infanticide par avortement, un catholique doit la
soutenir … 



Le reste n’est
qu’arguties trop subtiles et vaines… ce qui restera ne sera que le
texte, pas les titres et publicités… 



Le Peuple dira que c’est un oui
ou un non contre l’avortement. 



Mgr Vitus Huonder recommande de voter
«oui» à l’initiative sur le financement de l’avortement, selon la «NZZ
am Sonntag» du 19 janvier 2014. Dans une lettre envoyée à ses quelque
900 collaborateurs, il qualifie l’avortement de «meurtre». Mais avec
beaucoup de miséricorde pour les personnes



L’excommunication
frappe également tous ceux qui contribuent à l’avortement (et ce, même
dans le cas de prescription de médicament abortif — par exemple la «
pilule du lendemain ») ou les hommes politiques qui défendent
l’avortement, en tant que participants à cette très grave structure de
pêché. Voir l’encyclique de Jean-Paul II L’évangile de la vie , Chapitre
3 § 59. Les sacrements (en particulier la communion, le mariage et
l’extrême-onction) leur sont donc interdits, ainsi qu’en principe
l’enterrement en terre consacrée.



http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/family/documents/rc_pc_family_doc_20051007_trujillo-synod_fr.html


Extrait
du texte en référence ci-dessus…La Parole de Dieu vaut pour tous !
Politiciens, Législateurs également : « Quiconque mange le pain ou boit
la coupe du Seigneur indignement …, mange et boit sa propre condamnation
» (1 Cor 11, 27.29). Pour les prêtres indignes aussi. ..Dieu vomit les
tièdes…à temps et à contre-temps… mais en toute miséricorde pour les
pécheurs qui regrettent l’abomination dont ils sont responsables. http://desiebenthal.blogspot.ch/…/monde-lhiver…



www.vatican.va


Il s agit d un problème brûlant dans non peu de nations et de parlements.  Aujourd hui,
les projets de loi et les choix faits ou à faire mettent en grave
danger « la merveilleuse nouvelle », c est-à-dire l évangile de la
famille et de la vie, qui forment une unité indissoluble.[1] 





Jean-Paul
II s’adressait dans notamment l’encyclique Evangelium vitae aux hommes
politiques pour qu’ils ne se “résignent” pas et fassent des “choix
courageux” en faveur de la vie . Ils auront à répondre, prévient
Jean-Paul II, “devant Dieu, devant (leur) conscience et devant la
société tout entière de choix éventuellement contraires au bien commun
authentique” (N° 90).

Pour
lui, c’est bien d’un profond “tournant culturel” dont il s’agit: “Il
est urgent de se livrer à une mobilisation générale des consciences et à
un effort d’ordre éthique, pour mettre en oeuvre une grande stratégie
pour le service de la vie, écrit-il en conclusion. Nous devons
construire tous ensemble une culture de la vie.” http://www.vatican.va/…/hf_jp-ii_enc_25031995…


Ce qui restera juridiquement: I. La constitution fédérale est modifiée comme suit:
Art. 117, al. 3 (nouveau)
Sous
réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de
grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par
l’assurance obligatoire.

II. Les dispositions transitoires de la constitution fédérale sont complétées comme suit:
Art. 197, ch. 8 (nouveau)
Disposition transitoire ad art. 117, al. 3 (Assurance-maladie et assurance-accidents).

Au
terme d’une période transitoire de neuf mois suivant I’acceptation de
I’initiative par le peuple et les cantons et jusqu’à ce que les
modifications législatives qu’elle induit soient entrées en vigueur,
toute disposition aux termes de laquelle I’interruption de grossesse ou
la réduction embryonnaire sont couvertes par l’assurance obligatoire est
remplacée par la règle prévue à I’art. 117, al. 3 de la constitution
fédérale.

Mgr Eleganti: prise de position sur l’initiative

source

Le 24 janvier 2014. Dans FINANCEMENT DE L’AVORTEMENT

marian-eleganti

Si
on regarde l’initiative de plus près, il s’agit plus d’une opposition
contre la normalité institutionnalisée de l’avortement que d’une
question d’argent. De même, l’initiative ne fait pas de l’avortement une
affaire privée, mais parle bien de son financement.
Je vois
en elle une nouvelle expression d’une volonté politique contre la
pratique établie de l’avortement, réglementée par la solution du délai
qui, pour moi et pour beaucoup d’autres, n’est pas une solution
acceptable pour répondre au problème des grossesses non désirées.
Le
co-financement de l’avortement est imposé implicitement à tous les
citoyens par le système de solidarité , même à ceux qui y sont opposés
en leur âme et conscience pour des raisons éthiques.
Ainsi,
on est ici face à un dilemme. Et des situations semblables se posent
également dans beaucoup d’autres domaines de la politique. Selon moi il
s’agit de trouver des mesures dans chacun des cas pour que l’objection
de conscience puisse être respectée..
Bien
sûr, en payant nos primes aux caisses maladie, nous ne sommes pas
directement co-responsables pour les cas individuels d’avortement. Nous
soutenons en premier lieu avec nos participations un système de
solidarité, souhaitable et qui a fait ses preuves. Mais, ce que fait
exactement cet organisme de l’argent nous concerne. C’est pour cette
raison que je soutiens cette initiative, parce qu’elle remet le sujet à
l’agenda politique.
Dans le
contexte actuel, le reproche du manque de solidarité ne reflète pas la
réalité et la situation de détresse éthique dans la laquelle se trouvent
beaucoup de citoyens et citoyennes.
Ainsi,
j’arrive de plus en plus à la conclusion que le « juste » (financement
de l’avortement par le système de la caisse maladie) ne peut exister
dans le « faux » (solution du délai, injustice contre les enfants à
naître qui perdent leur vie).
Même si
la mise à mort des enfants jusqu’au troisième mois est certes
dépénalisée, elle reste néanmoins anticonstitutionnelle. L’état et la
société se trouvent ici dans une auto-contradiction.
Sur le plan moral, l’avortement est pour beaucoup un profond malaise.
Les femmes concernées traversent elles-mêmes de grands conflits de conscience qu’on voudrait bien pouvoir leur épargner.
Cependant,
la responsabilité pour la situation d’urgence ne commence pas seulement
à ce stade mais beaucoup plus tôt notamment dans le comportement sexuel
de chaque personne.
On ne
peut pas se limiter à présenter la question de l’avortement uniquement
sous l’angle du droit de la femme en ignorant totalement le droit de
l’enfant à la vie, ainsi que le rôle, les droits et la coresponsabilité
des pères.
En tant
qu’évêque catholique et donc au nom de ma foi, je suis parfaitement
opposé à l’avortement. Mais, des arguments non religieux me conduisent
également à la même opposition. Comme je l’ai déjà dit en d’autres
occasions, je considère l’avortement comme un mal qui nuit profondément
et durablement à la société.
Les
conséquences apparaissent déjà au grand jour. La pyramide des âges
inversée avec toutes ses conséquences en est une. La mise à mort massive
des enfants à naître dans le but de réaliser « son propre bonheur »
n’est pas une solution, mais une lourde hypothèque et constitue pour
beaucoup de femmes une profonde blessure dans leur vie qui quelques
fois, recommence à se faire sentir d’une manière insoutenable des années
plus tard. Je le sais après avoir eu des entretiens personnels avec des
femmes à ce sujet.
L’église
catholique se bat pour tous les enfants à naître et voudrait également
aider les femmes en détresse afin que l’avortement ne soit plus une
option pour elles. Les efforts de la société devraient également aller
dans ce sens.
L’évêque des Jeunes
+ Marian Eleganti

Voir encore…
Évêques:

Les évêques en campagne contre l’initiative contre le remboursement?

Avortement: climat de guerre au sein de l’Eglise catholique

France: les évêques engagés pour la vie

Mgr Huonder: « Le fidèle veut une déclaration claire »



Initiative:

Dominique Baettig: IVG, « les masques tombent »

Valérie Kasteler-Budde: « J’entendais les questions de la gauche »

RTS: un bébé vaut-il moins qu’un condamné à mort ?

Infrarouge: un débat avorté ?

Avortement: le reportage qui a fait changer l’Espagne

Avortement: la RTS redécouvre l’eau chaude

De l’IVG à l’avortement : les sensibilités ont changé

La grossesse, une maladie. L’avortement, une sécurité…

Avortement: négation de la dignité humaine des embryons humains

Amnesty – avortement: cherchez la logique

RTS: « la grossesse, une souffrance, une détresse »

Financement de l’avortement: « des économies négligeables »

Avortement: les regrets de l’Unicef

Financer l’avortement: le débat parlementaire

Avion détourné. On se moque de nous !

L’avion éthiopien qui a été détourné lundi matin par son copilote a été
escorté par des appareils militaires italiens puis français jusqu’à son
atterrissage à Genève, car les forces aérienne suisses n’étaient pas en
service à cette heure-là.
 http://www.rts.ch/info/suisse/5620821-detourne-en-dehors-des-heures-de-bureau-l-avion-a-du-etre-escorte-par-des-forces-etrangeres.html

On se moque de nous, cet avion détourné aurait pu se jeter sur une centrale nucléaire ou un barrage comme la grande Dixence et nos FA/18 ou Gripen ne servent à rien … en dehors des heures de bureau… on a des fonctionnaires partout, y compris dans les services les plus importants.. Pauvre Suisse… qui ne se bouge que pour de riches étrangers à Davos, quelques nuits par année…

Fraudes démocratiques en suisse romande ?

Les cantons romands ont donné trop vite leurs résultats, ce qui prouve qu’ils ouvrent les premières enveloppes dans leurs grandes villes, ce qui permet toutes les fraudes…

 https://groups.google.com/forum/#!topic/credit-social/xPjbcZ493XQ

http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/10/rappel-de-fraudes-democratiques-lausanne.html

Les cantons penchent vers “la philosophie des lumières” grâce à leurs machines à lecture optique ultra-rapides et leurs enveloppes translucides qui permettent des fraudes honteuses, une seule ville peut faire pencher toute la Suisse ( voir les RFID…).

http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/09/votes-de-septembre-2003-enveloppes.html

Lettre ouverte à Olivier Guéniat, chef de la police judiciaire neuchâteloise

Par Bernard Migy

Monsieur le commissaire Olivier Guéniat – chef de la police judiciaire Neuchâteloise.

En tant que citoyen suisse, vous avez tous les droits de critiquer la politique et les résultats des votations.
Mais comme responsable de la police judiciaire du canton de
Neuchâtel, vous avez un devoir de réserve. En effet, comment faire
confiance au haut fonctionnaire que vous êtes, pour faire respecter le
droit des citoyens en tant qu’arbitre neutre, vous qui estimez que la
majorité a les mains sales ? Je vous cite :

“ La moitié des gens avec les mains sales, 50,3%, leurs paumes étaient devenues brunes ” 

Il est vrai que tout s’éclaire par votre référence au  “stalinien” 
Sartre, haineux de nos démocratie, ami de l’URSS de Staline et de ses
bagnes. Pour mémoire, ennemi d’Albert Camus et de Raymond Aron,
démocrates eux… et la liste est longue.
Et dans vos rêves délirants, vous mélangez tout. Le combat anti-LGBT
et le fascisme dites-vous. Donc, si je vous comprends bien, les
questions que pose l’idéologie du genre sont synonymes de fascisme ?!
Belle dialectique. Et vous osez nous dire:

 ”Ça rappelle quand même une certaine époque nauséabonde, non” ?

Tout en nuance !
Mais restons sur terre.  Suite à votre haine de notre pays,  ce
dernier vous faisant ”honte”, vous demandez des ”sanctions” contre cette
Suisse-là.  Elle mérite La gifle, La Grosse Baffe de la clause
guillotine….
Et dans vos délires, pourquoi pas le gaz Zyklon B ?

Plus sérieusement, en tant que citoyen suisse,  je demande au
Grand Conseil du Canton de Neuchâtel, de mettre fin à vos
responsabilités. Comment faire confiance à un homme qui ne peut tendre
la main à plus de la moitié de ses concitoyens, ceux aux “mains
sales”, comment vous faire confiance, à vous qui êtes responsable
de la garantie du droit ? 
Mais, soyez rassuré, M.Olivier Guéniat, des collabos de votre
espèce ont toutes leurs chances à Bruxelles ! Faites vos offres dans
cette capitale qui représente si bien, la pensée juste et les intérêts d’une minorité contre les peuples.

Bonne chance et bon débarras cher Monsieur ! 

Fichiers à télécharger

Taupe au MCG…fraudes démocratiques romandes et citadines…

Fraudes démocratiques romandes et citadines

Qui dans ce parlement genevois a forcé le peuple à
choisir le vote électronique ?
(Afin de mieux tricher en piratant ou  en
achetant les codes source de l’ordinateur du bureau central des votations
cantonales. Les Codes source sont similaires à des clés qui ouvrent une porte.
Si vous avez le bon code source, vous pouvez vous introduire à distance dans un
ordinateur et modifier son programme à votre avantage. Il est ainsi très aisé
et en cachette, d’ajouter des votes en sa faveur (Ni vu, ni connu)) Le trublion
en question a des amis hackers (pirate informatique) et est un grand ami du
directeur du service cantonal des votations. Cela fait réfléchir sur ses
intentions et ouvertures))
Qui dans ce parlement a fraudé des bulletins de
vote sur sa propre commune où il est élu conseiller municipal ?
(En retirant notamment des boîtes à déchets pour
vieux papiers sis dans chaque allée d’immeuble ou d’EMS, les courriers du
service des votations qui ont été  jetés par les non-votants de la commune
et en les remplissant lui-même et quelques membres de son  groupe afin de
s’approprier des voix en sus….
Il est
inadmissible qu’un seul canton ou même une seule grande ville puisse changer le
sens des votes de toute la Suisse en trichant…
Exemples: 

E-voting. Fraudes genevoises, refus du procureur

Le procureur genevois refuse de donner les résultats de l’autopsie
de Jean Chucri Canaan, malgré son décès très suspect à 40 ans…( battu à
mort, bleus partout sur le corps ).

Jean Chucri Canaan, seul recourant pour fraudes
démocratiques à Genève lors du vote RFID, passeports biométriques et
cartes d’identité avec mouchards RFID ( tricheries notamment par
e-voting et par votes par correspondance, qui avait vu plus de 500
recours pour fraudes sur toute la Suisse).

 

 
Genevoiseries, Genfereien…

code pénal suisse, nous dénonçons une grave infraction normalement punie d’office…

Nous invoquons l’article 105, lettres b et d…

1 Ont la qualité de partie:

a.
le prévenu;
b.
la partie plaignante;
c.
le ministère public, lors des débats ou dans la procédure de recours.
2 La
Confédération et les cantons peuvent reconnaître la qualité de partie,
avec tous les droits ou des droits limités, à d’autres autorités
chargées de sauvegarder des intérêts publics.

1 Participent également à la procédure:

a.
les lésés;
b.
les personnes qui dénoncent les infractions;
c.
les témoins;
d.
les personnes appelées à donner des renseignements;
e.
les experts;
f.
les tiers touchés par des actes de procédure.
2 Lorsque
des participants à la procédure visés à l’al. 1 sont directement
touchés dans leurs droits, la qualité de partie leur est reconnue dans
la mesure nécessaire à la sauvegarde de leurs intérêts.

 Procédure de dénonciation des fraudes…

En page 2 , avant dernier alinéa : 

Le canton de Genève confirme refuser  de donner le nombre de voix obtenus par électronique et par correspondance…

Il est donc impossible ( sic ) de
contrôler les votes électroniques et le canton refuse même de nous
donner leur nombre…( re-sic ).

Le comble, le vote électronique a été accepté par des votes électroniques incontrôlables…

et impossible de savoir combien de votes électroniques ont imposé ce
moyen qui facilite les tricheries incontrôlables…géniales pour les
tricheurs…

1.    En Fait: ( extraits de notre recours au TF ):

2.    Est notamment contesté (de manière documentée ci-après), la page – 4 –point 3 a de la décision du Conseil d’Etat genevois du 3 juin 2009 refusant le recours contre le résultat de la Votation populaire sur les passeports biométriques. Réf : 4596-2009), l’affirmation suivante:

3.    “… des résultats. Or cette publication est particulièrement
détaillée, complète et figure sur le site internet de l’Etat (www.ge.ch/votations )

4.    A contrario par évidence sur le site et même par écrit dans les
documents in concreto remis par décision du Conseil d’État genevoisdu 3 juin 2009 qui refuse le recours,
notamment dans ses annexes, et surtout dans la lettre datée du 27 mai
et provenant de la direction de l’organisation, des systèmes
d’information et du dépouillement centralisé, nous trouvons notamment
les informations suivantes sous la signature de M. Michel Warynski:

5.    En page 2 de cette lettre, avant dernier alinéa : Le canton confirme refuser  de donner le nombre de voix obtenus par électronique et par correspondance.
Leur argument selon lequel ce serait pour protéger le secret de vote
dans les petites communes ne tient pas la critique. En effet, ils
refusent de donner les chiffres même consolidés au niveau du canton, ce
qui est très suspect. Reste la garantie de secret du vote. De plus, Il
faut croire qu’elle n’est pas aussi essentielle que cela, puisque
certains citoyens votent encore à main levée dans une Landsgemeinde. De
toute manière, les principes de transparence, notamment démocratique, 
nous donnent le droit à avoir ces chiffres, au moins consolidés, et même
par bureau de vote, pour exercer un meilleur contrôle vu que la
confiance est rompue.

http://ferraye.blogspot.com/2009/06/rfid-passeports-biometriques-nos.html
Le tribunal fédéral n’a même pas ouvert l’enveloppe des preuves vaudoises…sic…


https://www.facebook.com/groups/votations/

RFID, passeports biométriques, nos recours au tribunal fédéral.

Quelle démocratie en Suisse et en Iran ?

“Quand les bornes sont dépassées, il n’y a plus de limites”

Georges Pompidou.

La crise est-elle sans limites ? Vous pouvez poser des limites. Comment ?

Plus de gens devraient lire cet article, tout simplement

Sur l’Internet les lecteurs ont le pouvoir! Ils décident quelle
information fera le tour du globe! Peut-être vous n’en êtes pas
conscient, mais si chaque lecteur envoie un lien à trois autres
personnes intéressées, il suffit de vingt pas pour atteindre
3,486,784,401 personnes! Vous voulez le voir se produire? Utilisez votre
pouvoir !

3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3x3 = 3,486,784,401

à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.

Lançons un label “sans RFID” comme il y en a un “sans OGM”.

François de Siebenthal: Décès de Jean

desiebenthal.blogspot.com/…/deces-bizarre-du-porteur-du-recours.html‎

19 mars 2011 – M. Chucri Christian Canaan (3C), alias Jean, 39 ans, vient de mourir. François de Siebenthal: Recours final au tribunal fédéral 09 juin 2009

Hommages – Pour que son souvenir demeure: Chucri Jean Canaan

21 mars 2011 – TG Avis Canaan Chucri Jean

François De Siebenthal
Chère Famille.
Voici toutes nos condoléances. Nous gardons un souvenir ému de notre ami
Jean, de son courage et de sa joie de vivre.
M. Chucri Canaan + , alias Jean, est à droite sur la photographie,
devant le Tribunal fédéral suisse.
http://desiebenthal.blogspot.com/2011/03/deces-bizarre-du-porteur-du-recours.html
Il
menait notamment avec courage un combat contre des tricheries
démocratiques et juridiques en Suisse et ce jusqu’à Strasbourg.
Nous le pleurons et prions pour lui. RIP.
Ses amis de Lausanne et de Genève.
Françoise, Isabelle, Patrick, Bruno, François, Jacques, Pierre-Maurice
et tout le groupe du lundi.

http://jumpcgi.bger.ch/cgi-bin/JumpCGI?id=01.10.2009_1C_257/2009

 http://ferraye.blogspot.com/2009/06/rfid-passeports-biometriques-nos.html 

 http://euroracket.blogspot.com/2009/06/recours-final-au-tribunal-federal.html

Anne-Marie Peysson
Il
n’y a pas de mots assez forts pour exprimer l’immense peine qui me
submerge. Je connaissais Jean depuis peu mais il m’a apporté tout
l’amour et la complicité que je recherchais chez un homme. Il me
répétait souvent qu’il avait enfin trouvé sa moitié et qu’il voulait
être le plus possible à mes côtés. Nous nous retrouvions dans tant de
domaines, l’humour, la dérision, des thèmes de société mais surtout dans
notre sens de la justice. L’injustice que nous combattions, lui, avec
son vécu, moi à travers mon association, nous a frappé de plein fouet et
n’avons rien pu faire. Il reste ma moitié pour toujours et je tiens, à
nouveau, et de toutes les façons possibles, à exprimer ma sympathie et
mon affection profonde et sincère à sa famille et je prie Dieu qu’il
leur donne la force de supporter l’insupportable.
Lemos Pedro
Tout
d’abord mes condoléances à ta famille pour ce moment de douleur et
tristesse que je partage profondément te voilà parti mon ami j’espère
que tu reposeras en paix toi un guerrier jamais aguerri toujours à la
recherche de la justice. Ton combat s’est terminé sans avoir été au bout
mais ce n’est pas grave d’autres prendront le relais en tout cas sache
que tu as été un ami. On se connaissait depuis 18 ans c’est pas rien.
Repose en paix mon frère tu vas nous manquer.
Senai Terrefe
Je
souhaite ici saluer le courage de mon frère et ami d’enfance Chucri que
son âme repose en paix. Dans son coeur il n’y avait que de la place
pour la tolérance pour tous et sans exception. Il aimait l’Afrique et
les Africains et le tiers monde dans son ensemble. Il était un citoyen
du monde soucieux de le rendre meilleur et mon sectaire. La vision de
Chucri du monde me manque raison qui me pousse a écrire ces quelques
mots en sa mémoire. Senai.
Rappels de
2003, 2006 et 1999, on triche…
.
Tous les
processus démocratiques vaudois étaient en fait concentrés à Berne, par la
société Bedag AG, en main du canton de Berne. Les programmes informatiques
étaient en anglais, de Cambridge Technology Partners, société appartenant aux
USA, Novell SA, qui venait de racheter le Linux allemand pour mieux contrôler
les logiciels dits libres. Les porteurs du dossier peuvent démontrer des
procédures identiques téléguidées pour les votations électroniques genevoises,
ou encore notamment par l’attribution des votes de l’étranger dans les cantons
bascules, par commune d’origine ou dernier lieu de résidence, voir par
affectation arbitraire ! N’oublions pas les votes trafiqués dans les EMS et les
hôpitaux (on prend les enveloppes des pensionnaires et on vote à leur place,
vote Lamal dans le canton de Glaris, 16 votes qui ont fait pencher toute la
Suisse, vote de “suisses” de l’étranger…), l’ONU en Valais, la
nouvelle constitution à Lucerne ou au Tessin.
L’un des
porteurs du dossier a travaillé pour les plus grandes sociétés US de
l’informatique, notamment sur l’appel d’offre des ambassades suisses dans le
monde, ou du matériel Tempes Otan avait été offert. Le choix fait à l’époque a
offert un véritable Emmental de sécurité avec des trous béants, qui se sont
confirmés lors de différents affaires, notamment celle des fonds en déshérences
Le vote
par correspondance, qui coûte une fortune, est une farce et une mascarade,
c’est si facile de tricher.
Affaires
de Bâle, de l’UDC, de l’ONU, de la révision de la constitution, de la vente
d’or de la BNS, de la LAMAL….
Les
résultats de Lucerne ont été probablement inversés, comme en 1999, les
résultats de Lucerne et du Tessin avaient simplement été inversés.
Je suis
moi-même sûr d’avoir vu en 1999 ces deux cantons comme NON sur teletext pendant
au moins 30 minutes…
Le nom du
lucernois UDC SVP témoin et actif contre ces tricheries doit être retrouvé,
espérons qu’il sera possible de le retrouver…
Tricheries
comme en 1999 ?
Votation no 453 en 1999
Résultats dans les cantons
Arrêté fédéral relatif à une “mise à
jour” de la Constitution fédérale
Canton
Electeurs
Votants
% Particip.
Oui
Non
% Oui
% Non
Zurich
779’916
313’406
40.18%
189’439
117’795
61.7%
38.3%
Berne
675’107
214’043
31.71%
131’661
81’091
61.9%
38.1%
Lucerne
230’080
120’602
52.42%
67’814
50’792
57.2%
42.8%
Uri
25’422
8’919
35.08%
3’490
5’258
39.9%
60.1%
Schwyz
83’803
35’828
42.75%
12’036
23’491
33.9%
66.1%
Obwald
22’008
10’520
47.8%
4’892
5’463
47.2%
52.8%
Nidwald
26’666
11’515
43.18%
4’641
6’702
40.9%
59.1%
Glaris
24’573
9’785
39.82%
2’934
6’819
30.1%
69.9%
Zoug
64’096
27’443
42.82%
14’693
12’546
53.9%
46.1%
Fribourg
156’258
38’417
24.59%
27’564
10’297
72.8%
27.2%
Soleure
163’583
77’159
47.17%
40’172
36’113
52.7%
47.3%
Bâle-Ville
122’032
51’271
42.01%
38’672
12’008
76.3%
23.7%
Bâle-Campagne
174’807
56’699
32.44%
36’998
19’087
66.0%
34.0%
Schaffhouse
48’361
30’575
63.22%
12’098
16’744
41.9%
58.1%
Appenzell
Rhodes-Ext.
35’439
17’833
50.32%
7’946
9’750
44.9%
55.1%
Appenzell
Rhodes-Int.
9’917
4’574
46.12%
1’549
3’006
34.0%
66.0%
Saint-Gall
282’785
102’763
36.34%
49’210
53’070
48.1%
51.9%
Grisons
127’450
39’508
31%
20’083
18’697
51.8%
48.2%
Argovie
350’264
118’724
33.9%
57’779
60’016
49.1%
50.9%
Thurgovie
140’451
62’439
44.46%
24’522
36’589
40.1%
59.9%
Tessin
192’487
120’313
62.5%
82’443
32’095
72.0%
28.0%
Vaud
365’099
63’892
17.5%
47’750
15’206
75.8%
24.2%
Valais
182’263
38’714
21.24%
18’905
19’073
49.8%
50.2%
Neuchâtel
104’636
25’971
24.82%
17’907
7’558
70.3%
29.7%
Genève
208’113
57’002
27.39%
47’438
7’806
85.9%
14.1%
Jura
47’905
8’954
18.69%
6’674
2’086
76.2%
23.8%
Suisse
4’643’521
1’666’869
35.9%
969’310
669’158
59.2%
40.8%
Rappel du
11 avril 1999
La
nouvelle constitution
Il
fallait la double majorité…
Doutes à Lucerne, Vaud (distribution trop tardive
des documents…) ou au Tessin, forts soupçons de tricheries, Valais avec 50,2
% (seulement 168 voix de différence) et d’Argovie avec 50,9 %., Grisons, par
51,8 % des voix, et à Soleure, par 52,7 %
Un des
présidents du comité contre était M. Ulrich Schlüer (UDC/ZH). Voir aussi Joseph
Huber de Kriens, Obernau…

Toute la campagne des pros était basée sur des mensonges.

Mensonges:

Ce n’est qu’une toilette du texte, rien de fondamental…

Vente de
l’or suisse
PACS
introduit en cachette…
La
nouvelle constitution n’est à l’évidence pas ancrée dans la population.
Bradage
des droits populaires au profit d’instances internationales.
Les
valeurs de la vieille Confédération ont été honteusement trahies
Les
intérêts des Suisses ont été vendus à bas prix.
En
Suisse, si l’annulation d’un important scrutin ne s’est encore jamais produite,
en revanche il arrive que certains fraudeurs soient mis en examen et avouent
leurs forfaits, comme à Bâle ou à Payerne.
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/fraudes-votations-surveillees-en-suisse.html
12 nov. 2013 – Fraudes: Votations
surveillées en Suisse. chambre sombre ou de nuit la petite
enveloppe, jaune en Vaud, bleue à Genève, verte à Fribourg.
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/votes-lecture-optique-fraudes-faciles.html
8 nov. 2013 – Votes à lecture optique, fraudes
faciles. enveloppes jaunes en Vaud, bleues à Genève, vertes à
Fribourg…, avant le dépouillement officiel et 
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/e-voting-fraudes-genevoises-refus-du.html
7 sept. 2013 – Jean Chucri Canaan, seul recourant
pour fraudes démocratiques à Genève lors du vote RFID, passeports
biométriques et cartes d’identité 
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/fraudes-ne-pas-plier-le-bulletin-pour.html
24 sept. 2013 – Une victime à Genève, le
recourant genevois au TF, battu à mort, impossible d’avoir les Fraudes
démocratiques en Suisse, de pire en pire.
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/vaud-encore-des-fraudes-democratiques.ht…
26 nov. 2013 – François de Siebenthal: Fraudes
électorales à Reconvillier ? recourant pour fraudes
démocratiques à Genève lors du vote RFID, passeports 
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/2013/11/vote-sous-surveillance-federale.html
11 nov. 2013 – François de Siebenthal: Fraudes
démocratiques et clés passe-partout. recourant pour fraudes
démocratiques à Genève lors du vote RFID, 
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/2013/09/stop-aux-fraudes-democratiques.html
16 sept. 2013 – Stop aux fraudes
démocratiques. Ministère public. Monsieur le Procureur Joël Schwarzentrub. Case
postale 3565. 1211 Genève
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/2013/10/fribourg-fraudes-democratiques.html
24 oct. 2013 – Fribourg, fraudes
démocratiques les CHANGER PAR LE Matériel DE Réserve…, comme
notamment à Lausanne, à Genève, à Soleure, 
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/fraudes-electorales-secret-du-vote-une.html
11 nov. 2011 – Le système est fait pour faciliter
les fraudes dans toute la Suisse. juridiquement, fraudes
électroniques et par correspondance à Genève etc.
  1.  
desiebenthal.blogspot.com/…/fraudes-democratiques-en-suisse-demande….
13 août 2013 – M. Chucri Canaan +, alias Jean de Genève,
est à droite sur la photographie, devant le Tribunal fédéral suisse, avec
François de Siebenthal en 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/08/fraudes-democratiques-en-suisse-demande.html

Fraudes, un rappel des tricheries

What overpopulation ???

What overpopulation ???

The world trend with a Total fertility Rate under 2…TFR below 2, North of Italy, 0,7…
In the year 2470, only 2 people on the whole planet…without any war or plague…

We need TFR above 2,2 just to reproduce humans…

One of my powerpoint given in Philippines, in Canada, in Poland, in Madagascar, Congo, Switzerland, France etc…


https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzOUxQSXFOQXA4SGJ1U29yQlMwbnBpck5rWjA4/edit?usp=sharing

Famous Conrad Black, … in his book “a Matter of Principle” (p.48) writes that
during a dinner given by the Cardinal Gerald Emmett Carter in 1990 …

[Pope Benedict]
“lamented ‘the slow suicide of Europe:’ its population was aging and
shrinking, and the unborn were being partly replaced by unassimilable
immigrants. He thought that Europe would awake from its torpor, but that
there were difficult days head.”
 http://en.wikipedia.org/wiki/Conrad_Black

In
the foreword to his biography If I Were An Animal, Prince Philip
wrote, “In the event that I am reincarnated, I would like to return as a
deadly virus, in order to contribute something to solve
overpopulation.”


What overpopulation ???

a big manipulation…

Manipulations
? Steve Moshe and Julian Simon : Human beings are the ultimate
resource.” 



Confessions of an economic hitman

overpopulation propaganda…


As the
very first line of Steven Mosher’s latest book reads, we have all
grown up “on a poisonous diet of overpopulation propaganda.”

Comme
on peut le lire dès la toute première ligne du dernier livre de Steve
Mosher, nous avons tous grandi “sous le régime empoisonné de la
propagande sur la surpopulation”.

Mosher’s book, Population Control-Real Costs, Illusory Benefits,
is, first and foremost, an answer to the allegation that the human
race is inexorably multiplying, hell-bent toward a giant demographic
cliff like so many lemmings. Le livre de Mosher, le Coût réel du contrôle de la population, bénéfices ilusoires,
est, tout d’abord et principalement, une réponse à l’allégation selon
laquelle la race humaine se multiplie inexorablement, acharnée à se
précipiter vers une falaise démographique géante comme tant de
lemmings.

The
numbers show that the world is not, has never been, nor ever shall
be, overpopulated. In fact, according to the world’s experts — even
the ones advocating population control — birthrates around the world
are dropping at a precipitous rate. Les
chiffres montrent que le monde n’est pas, n’a jamais été, ne sera
jamais non plus, surpeuplé. En fait, d’après les experts mondiaux – y
compris ceux prônant contrôle de la population – les naissances dans le
monde entier chutent à un taux vertigineux.

The
book thus torpedoes the lifeboat scenario, which argued that in order
to survive, we had to throw some of the earth’s passengers overboard.
Le livre, par conséquent, torpille le
scénario du bateau qui coule, qui argumentait que pour survivre, nous
devions passer quelques-uns des passagers par-dessus bord.

But it is much more than this. The history of the population control
movement is replete with human rights abuses. Those who were made to
walk the plank of abortion, sterilization, and contraception — all for
the supposed good of humanity — have some horrific tales to tell. Mais
c’est plus que ça. L’histoire du mouvement pour le contrôle de la
population est remplie de violations des droits de l’homme. Ceux qui
étaient faits marcher dans le programme d’avortement, de stérilisation,
et de contraception -tous pour le soi-disant bien de l’humanité- ont
quelques histoires atroces à raconter.

The
first chapters of Mosher’s book describe the history of the
population control movement, and how it is has never been the
scientific, intelligent or cultural phenomenon it styles itself to be.
Les premiers chaptres du livre de Mosher
décrivent l’histoire du mouvement pour le contrôle de la population,
et comment il n’a jamais été jamais été le phénomène scientifique,
intelligent et culturel dont il se donne l’apparence.

Rather,
this movement was started and sustained by figures like Thomas
Malthus, Margaret Sanger, John D. Rockefeller, and Hugh Moore, who led a
contentious movement dominated by cultural elitism, racial hysteria
and ignorance. As Mosher pointedly argues, their legacy has cost
millions their lives and tens of millions more their basic rights.
Plus exactement, ce mouvement a été lancé et soutenu par des
personnages comme Thomas Malthus, Margaret Sanger, John D. Rockefeller,
et Hugh Moore, qui dirigeaient un mouvement contesté dominé par
l’élitisme culturel, l’hystérie raciale et l’ignorance. Comme Mosher le
démontre de manière significative, leur héritage a coûté leur vie à
des millions de personnes, et à des dizaines de millions de plus leurs
droits les plus fondamentaux.

“Human
rights are nonnegotiable, or they are not rights at all,” contends
Mosher. “Abuses of basic rights, such as the right to bear children,
cannot be expunged by reference to any calculus of costs versus
benefits, any more than comparable violations of other basic human
rights can be explained away, excused, or justified by reference to a
supposedly larger social good.
“Les Droits de l’Homme ne sont pas négociables, ou bien ce ne sont
pas des droits du tout”, soutient Mosher. “Les droits fondamentaux,
comme le droit de porter des enfants, ne peuvent pas être supprimés en
référence à un quelconque calcul de coûts contre bénéfices ; pas plus
que des violations comparables d’autres droits de l’homme
fondamentaux ne peuvent être expliquées, excusées ou justifiées en
référence à soi-disant plus grand bien social.

The
book explains exactly how the population control movement continues
to violate these basic rights, in the pursuit for a false “good” —
fewer children. Le livre explique exactement
comment le mouvement pour le contrôle de la population continue de
violer ces droits fondamentaux, poursuivant un faux “bien” – moins
d’enfants.

Population Control-Real Costs, Illusory Benefits is, first and
foremost, an answer to the allegation that the human race is inexorably
multiplying. “le Coût réel du contrôle de
la population, bénéfices ilusoires” est, d’abord et avant tout, une
réponse à l’allégation selon laquelle la race humaine est en train de
se multilier inexorablement.

Mosher
lays out the China Model, based on China’s one-child policy, and how
population programs everywhere draw on its tactics. Nigeria provides
an apt case study of how Western population controllers continue to
strong-arm national governments into implementing abusive policies,
policies that undermine the basic rights and freedoms of their people. Mosher
expose systématiquement le modèle de la Chine, basé sur la politique
de l’enfant unique, et montre comment les programmes de population ont
entraîné partout ses tactiques. Le Nigeria fournit un cas d’étude qui
permet de voir comment les contrôleurs de population occidentaux
continuent d’utiliser la manière forte avec les gouvernements nationaux
pour les obliger à mettre en oeuvre des politiques abusives, des
politiques qui sapent les droits fondamentaux et les libertés de leurs
peuples.

But
the population controllers not only run roughshod over human rights
for the sake of the supposed “greater good” of population decline (the
chapter “Human Rights and Reproductive Wrongs includes a detailed,
annotated list of human rights abuses perpetuated in the name of
population control), they also sap primary health care programs and
marginalize real health needs. Mais les
contrôleurs de population ne se contentent pas de piétiner les Droits de
l’Homme par égard pour un soi-disant “plus grand bien” de déclin de
la population (le chapitre “Droits de l’Homme et injustices
reproductives” inclut une liste détaillée et annotée de violation des
Droits de l’Homme perpétrés au nom du contrôle de la population), ils
minent les programmes de santé prioritaires et ils marginalisent les
besoins réels de santé.

For
example, because of the time and money wasted on unwanted and
unnecessary contraceptives and abortifacient devices, malaria runs
rampant in Africa. Developing countries end up with thousands of health
clinics that literally carry nothing but contraceptives while people
die from treatable diseases. Par exemple, à
cause du temps et de l’argent dépensés dans des moyens contraceptifs
et abortifs non désirés et non nécéssaires, la malaria se déchaîne en
Afrique. Des pays en voie de développement se retrouvent finalement
avec des milliers de cliniques qui n’ont littéralement rien d’autre que
des contraceptifs pendant que les gens meurent de maladies curables.  

Neither do population control programs provide any real benefits. Les programmes de contrôle de la population n’apportent pas de bénéfices réels non plus.

Its
“benefits” are mere illusions designed to dupe developing nations
into submitting to an elitist, western agenda. Population control,
writes Mosher, is just that: control. Organizations like the UNFPA,
far from being “here to help,” have in fact been bearers of death to
our less developed neighbors. Ses
“bénéfices” sont de pures illusions mises au point pour duper les pays
en voie de développement et les amener à se soumettre à un ordre du
jour occidental et élitiste. Des organisations comme l’UNFPA, loin
d’être “là pour aider”, ont en fait été porteurs de mort pour nos
voisins moins développés.

Population
Control does not simply outline the problems; it proposes a solution
as well. Mosher dedicates his final chapter to possible ways that
developed nations can avoid the demographic disaster that now
threatens. Small tax credits and paltry child subsidies are not nearly
enough. Young couples, he argues, need to be sheltered from taxes
altogether.And population control programs needed to be ended as soon
as possible. Contrôle de la population…
n’expose pas seulement les grandes lignes des problèmes ; il propose
une solution aussi. Mosher dedie son dernier chapitre aux moyens
possibles par lesquels les nations développées peuvent éviter le désatre
démographique qui maintenant menace. Des crédits à faible taux et de
misérables subventions pour les enfants ne sont pas encore assez. Les
jeunes couples, argumente-t-il, ont besoin d’être protégés des taux et
des taxes. Et on a besoin d’en finir avec les programmes de contrôle
de la population aussi vite que possible.

Mosher ends by quoting the late Julian Simon: Human beings are the ultimate resource.”  Mosher termine en citant le regretté Julian Simon : “Les êtres humains sont la ressource suprême”.

John Perkins’s classic exposé, Confessions of an Economic Hit Man,
spent
over 70 weeks on the New York Times bestseller list and is published
in more than 30 languages. His follow-up, The Secret History of the
American Empire, provides a plan for creating a sustainable, just, and
peaceful world. He is the author of Shapeshifting, The World Is As You
Dream It, and other books on indigenous cultures and personal
transformation; is a founder and board member of Dream Change and The
Pachamama Alliance, nonprofit organizations devoted to establishing a
world our children will want to inherit; and has lectured at
universities in many countries.

Read more

My powerpoint given in Philippines, in Canada, in Poland etc…

https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzOUxQSXFOQXA4SGJ1U29yQlMwbnBpck5rWjA4/edit?usp=sharing

https://docs.google.com/document/d/1elrfw95H0sZFDlXQxCmRFuNsbdY6eoypZ9dFOYmdmgg/edit?usp=sharing

https://docs.google.com/document/d/1WJuZGi6DQITjAAj6DkcKCsN3b6cbwRf8QR3-FZwUKs4/edit?usp=sharing

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     2.1 Kids: A Stable

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      Overpopulation: The Making of a

Myth<http://overpopulationisamyth.com/overpopulation-the-making-of-a-myth-downloads>

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Meaning of the coat of arms: Chapel of Gstaad, St Niklaus.
Let the dragon that is in each of us within 7 locks.

Week of study  held in Rougemont, Canada in four languages end of August or in May followed by the Congress beg. of September or in May 2013, 9 au 18 May, week of studies and Jericho 19 up to 26 May with free pilgrimages.

 

Free meals, free pilgrimages ( St Joseph, N-D du Cap et St Anne )and free rooms for all our guests from countries outside of Canada.


http://books.google.ch/books?id=r68RzMwd6qIC&pg=PA10&lpg=PA10&dq=europe+hiver+d%C3%A9mographique+siebenthal&source=bl&ots=Zda35suirS&sig=0C71GcU1kHKMZFt63Q_MMyiI_a8&hl=fr&sa=X&ei=4Wn_Us-HLKfF7Ab224HYDA&ved=0CEMQ6AEwAw#v=onepage&q=europe%20hiver%20d%C3%A9mographique%20siebenthal&f=false

http://www.union-ch.com/file/Speeches_and_workshops_of_the_03_04_.pdf

https://docs.google.com/document/d/1MRXDMGi4zbTYwFiKI8qpqFeAg3ayEkLaufWq4OrlQ0o/edit?hl=fr&authkey=CLrT-IwK


see Matchafa.

http://www.interet-general.info/article.php3?id_article=7506

http://en.wikipedia.org/wiki/Confessions_of_an_Economic_Hit_Man

http://www.juliansimon.org/writings/


Below, the world trend with a Total fertility Rate under 2…TFR below 2 )
In the year 2470, only 2 people on the whole planet…

[Europe-hiver.jpg]


http://books.google.ch/books?id=r68RzMwd6qIC&pg=PA195&lpg=PA195&dq=siebenthal+europe+hiver&source=bl&ots=Zca64qAfmL&sig=cXpRrD_DYgFHrenhEKfoUUqXU-k&hl=fr&ei=7JA1TcaBI42TswaTyOGjCg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CB8Q6AEwAg#v=onepage&q=siebenthal%20europe%20hiver&f=false

  1. Manipulations ? Steve Moshe and Julian Simon

    22 oct. 2008 – Steve Moshe and Julian Simon : Human beings are the ultimate resource.”

  2. F PLEASE WATCH THIS HUNGER

    5 avr. 2009 – Julian Simon
    said in his book ” the ultimate Resource 1″ that he was paid by those
    people to prove that Earth was overpopulated, but he wrote 

  3. An interview with a former Swiss banker

    He recently spoke to Francois de Siebenthal, who is a former banker from Julian Simon said in his book “The Ultimate Resource 1” that he was paid by those 

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/02/homo-sapiens-population-is-crashing.html


Symptoms of the global demographic decline



Translated by Demographia.ru | Original version in Russian

"" Igor Beloborodov,
Ph.D, Editor-in-Chief of  Demographia.ru, member of  the Expert Council
of the CIS Affairs Committee of the Council of the Russian Federation,
Director of  Demographic Research Institute (Moscow), Head
of the Charity Fund for Protection of Family, Motherhood and Childhood (the first Russian crisis pregnancy center), Vice Chairman of the All-Russian public organization “For life and protection of family values”

E-mail: demographia@demographia.ru

""Based on the paper
Family Degradation in the Context of Demographic Changes.
Global depopulation as a consequence of value crisis

prepared for the round table discussion
“Family: Origins and Future of Civilizations”
took place within the framework of
World Public Forum
“Dialogue of Civilizations”
(October 7–11, 2010, Greece, Rhodes)

The time we live in will surely go down in history as a period of
great changes. The entire second half of the 20th century along with the
beginning of the 21st century is really an epoch of exceptional
technological innovations, scientific discoveries and significant
social progress.
Space exploration, IT, medicine,
service industry, education, social safety nets—all these and more have
been progressing at an unprecedented pace. As a result, human
abilities as well as the intellectual and technological potential of
humankind have increased tremendously.
Nevertheless, there are also negative processes against the
background of this material and technological success. The human being
has started to degrade both spiritually and morally. The world has been
overwhelmed by such phenomena—marginal in previous times—as
euthanasia, pornography, homosexuality, concubinage, mass adultery,
divorces, promiscuity (leading to AIDS and venereal disease epidemics),
teen pregnancy, abortion, fetal therapy, one- or two-child families,
rejection of procreation (childlessness by choice, or child free
phenomenon).
But in pursuit of material wealth, the humankind has unhappily
forgotten about the family. And this fact makes the expert community
feel apprehension about our demographic future. Family was always an
absolutely natural form of human existence and, as it seemed, was not
something to worry about.
However, today the traditional family
(i.e. the family that consists of two parents and several children) is
experiencing real crisis; and if appropriate steps to save the family
are not urgently taken, it can leave the stage of history forever.
Having allowed the anti-family ideology of so-called “family
planning” to dominate in the society, the humankind has set out on the
path towards its imminent death—physical, historical, and spiritual.
Here, it is important to note that when speaking of the family we mean the basic social unit (the arche) defined by the following inherent attributes.

A family is a union of a man and a woman, which

  • voluntarily entered into legal or/and ceremonial marriage;
  • initially intend to be together for life;
  • live together and share a common household;
  • want to reproduce themselves both biologically and socially.

Demographic Evolution: Failed Overpopulation or Forthcoming Depopulation?

Contrary to the statements of liberal-minded demographers and
sociologists, the today’s family crisis is not a natural process. Could
the extinction of entire nations even be considered natural? It is
possible only for a misanthropic, Nazi-like ideology.
The destruction of family is actually caused by:

  • secularization of mass consciousness,
  • moving away from traditional values (including those of religious),
  • long-standing attacks of anti-family forces on traditional family values.

For a long time we have been threatened with global overpopulation.
Family planning organizations as well as some funds acting under UN
auspices did all their best to reduce birth rate in Africa, Asia, Latin
America, and former Soviet Union countries. And what are the results?
The results have exceeded all expectations of traditional family
opponents. The birth rate was not merely declined but literally crashed.
However, once this has happened, not a single government in the world,
not a single scientist or an expert group has offered anything to
achieve the reverse effect.
The humankind has found a way to reduce fertility, but now nobody knows how to raise it back.

Rate of Population Reproduction Change

In the nearest future, according to all existing demographic
forecasts, the growth of world population will be steadily slowing down
and finally have transformed itself into a depopulating trend.
The most probable demographic forecast, World Population Prospect,
suggests that the rate of population reproduction over the period
2005–2050 will change in the following way as compared to the period
1950–1975 [1]:
Table 1 — Average Annual Rate of Population Change
(The World and Regions, 1950-2050), %

Regions 1950—1975 2005—2050 
World 1.92 0.38
Developed countries 1.01 -0.30
Africa 2.47 1.35
Asia 2.16 0.26
Europe 0.84 -0.60
Latin America 2.62 0.34
North America 1.4 0.28
Oceania 2.03 0.48

According to the data provided in the table, the rate of population growth in 2005–2050 will be:

  • more than 5 times less over the whole world;
  • 1.83 times less in Africa;
  • 8.3 times less in Asia;
  • 7.7 times less in Latin America;
  • 5 times less in North America;
  • 4.3 times less in Oceania.

In two groups of countries, the demographic trends are going to be sharply negative:

  • –0.3% in developed countries;
  • –0.6% in European countries.

Even China—the indisputable population front runner—will face
negative figures of fertility rate in the medium term. Already by 2048,
China’s population will start to rapidly decline.
During the same period, the rate of population growth in India—the
second demographic leader—will 5 times slow down: from 2 percent to 0.4
percent.
It should be emphasized that the historical low peacetime fertility
(0.7 children per one woman) was recently reached precisely in Asia—in
Macau and Hong Kong (special administrative regions of China).
Many European countries have also faced population decline. Russia,
Ukraine, Belarus, Germany, Romania, Bulgaria, Hungary, Czech Republic,
Italy, and Poland are now dying out states with many thousands of
annual population losses. Practically, all Europe became a region of
increasing depopulation.
Only in some European countries (France, Switzerland, and the
Netherlands) the negative demographic trends are still being moderated
by immigration. However, the immigration flow will soon have run its
course, and after that the ruthless depopulation will engulf the whole
of Europe.

Fertility Decline is the Key Family and Demographic Problem

The main statement of this article is that the global fertility
decline is the fundamental demographic problem of the human race. And
the reason for the decline is that the family has ceased to perform its
main function—the function that for thousands of years has provided
reproduction of new generations.
But it is the fertility—not the longevity or immigration—that is crucial to the human reproduction.
It gives new members to the society; it guarantees stability to
families (in addition to the naturalness of having children). Not
coincidentally, the family decay possibility decreases with every new
child born, according to the divorce statistics.
 
Further, the world demographic and family trends will be represented.
The study of reproductive behavior characteristics in different
parts of the world has revealed a widespread decrease of the average
number of children born by a woman. Over the last 18–20 years, the
fertility rate declined rather rapidly and now it does not reach 5
children per woman even in Africa, where only a few decades ago the
total fertility rate fluctuated around 7 children per woman.
""
Figure 1. The total fertility rate, as it declines in different parts of the world, 1990–2008.
The chart on Figure 2, where a change in fertility over the past 20
years (1990–2010) in ten most populous countries is shown, vividly
illustrates the onrushing demographic disaster.
It is also remarkable that the countries of this Top10—China, India,
USA, Indonesia, Brazil, Pakistan, Bangladesh, Nigeria, Russia, and
Japan—cover almost all continents and include followers of all the
world’s major religions. The total population of the Top10 is about 4 billion, which is the majority of the world population.
""
Figure 2. The change in total fertility rates over the 1990—2010 decade
in the world’s most populous countries.
Now let us take a wider time interval and look not only at the
“leaders.” The chart on Figure 3 shows how total fertility rates of 18
industrially developed countries reduced during the period from 1950 up
to the present day.
""
Figure 3. Fertility decline in 18 industrially developed countries
over the last 60 decades (1950—2010)
As you can see on Figure 3, each country’s curve steadily drops
down. Although different continents and even different civilizations are
shown on the chart, the demographic diagnosis is the same for all of
them: explicit or temporarily latent depopulation.
The next chart (see Figure 4) shows a retrospective comparison of
birth rates in 20 European countries over the period of last 100 years.
In this case, the situation is even sadder: the fertility drop looks
especially dramatic when we compare the today’s birth rates with those
in the beginning of the 20th century.
The birth rates in Eastern Orthodox countries—Russia, Serbia,
Bulgaria, Romania—stand out among the highest 100-years-old birth rates
on the chart (the most highest was precisely in Russia). It is well
known that the Orthodox doctrine considers the family as one of the
most important values. However, since having moved away from their
cultural and religious roots, these countries have become leaders in
reducing fertility and abortions (which are discussed below).
""
Figure 4. Crude birth rates (number of births per 1000 people per year)
in some European countries 100 years ago and today.

Abortions

Abortions are one of the most distressing aspects of degradation of the family.
According to various sources, 50–60 million abortions are performed
world wide each year. This means that 137–164 thousand unborn children
are killed every day in the world. More than 6,000 abortions are
carried out every hour. While you are reading this text, 3,000 innocent
babies are being lost.
In Russia, 2–2.5 million abortions are performed annually. I am
ashamed to say that our country was the first to legalize abortions—in
1920, i.e. about 40–50 years earlier than in Western countries and
36–37 years earlier that in socialist countries of Easter Europe
(Bulgaria, Hungary, Poland and Romania—in 1956, Czechoslovakia and
Yugoslavia—in 1957).
Currently, abortions are not only the violent way of denial of the
future but also a brutal kind of discrimination. Sex-selective abortions
in China, India, the Caucasus and Central Asia—when couples prefer to
give birth only to children of a particular sex (usually male)—have
become horrifically widespread. 
In China, this has led to a serious sex ratio imbalance: young men outnumber young women by more than 30 million.
Under pressure of international anti-family organizations, including
various UN agencies, many countries have been making a choice against
life.
In 2007, they were joined by Portugal, which passed a law allowing
abortion on demand. In the same year, the State Congress of Mexico City
legalized abortion during the first 12 weeks of pregnancy. In 2009,
Spain passed another permissive law, which allowed unrestricted
abortion at up to 14 weeks.
On Figure 5 you can see a so-called “abortion map” showing the legal regulation of abortion in all countries of the world.
""

   Legal on request    Illegal with exception for maternal life, health, and/or mental health
   Legal for rape, maternal life, health, mental health, socioeconomic factors, and/or fetal defects.    Illegal with no exceptions
   Illegal with exception for rape, maternal life, health, fetal defects, and/or mental health    Varies
   Illegal with exception for rape, maternal life, health, and/or mental health    No information.

Figure 5. Legal regulation of abortion in the world
(September, 2010)

Diminishing of the Prestige of Marriage

Increase of the age of marriage

The growing average age of marriage is another indicator of the
family’s ill-being. This trend has spread to many countries; and it
means that not only more time is required to obtain education and to
realize career aspirations but that the life priorities have
significantly changed. The family is now less regarded as a form of
self-actualization.
The increase of age of marriage also causes:

  • a higher probability of sexually transmitted infections (due to extramarital sexual relations);
  • reproductive health deterioration;
  • a decrease in the period of potential reproduction.

Additionally, the medical community thinks that giving birth to the
first child after age of 28 (and even after 25) is a definite risk
factor. This critical age, as it is shown on Figure 6, has long been
exceeded in many countries.
""
Figure 6. The average age at first marriage for women in some countries
in the late 19th and early 21st century.

Illegitimate births

The today’s unprecedentedly high rate of extramarital births is
another vivid illustration of the family and demographic crisis.
On the one hand, out-of-wedlock births are caused by widespread
cohabitation; on the other hand, by growing orientation towards
promiscuous sexual relation. Both the reasons, in turn, are caused by
diminishing of the prestige of lawful wedlock in the eyes of the modern
young people.
""
Figure 7. Illegitimate births in industrially developed countries,
1950—2008, %
Marital fidelity and monogamy are being replaced by a social chaos
in the form of so-called serial monogamy and promiscuity (a primitive
form of sexual relations).
In the U.S., more than 5 percent of men have several children
simultaneously in different families; and the men themselves are often
not aware of it. In Britain, every 10th child is brought up by a man
who mistakenly believes he is the father of the child. In Sweden and
Estonia, almost 60 percent of all the children are born out of wedlock.
In these countries, where the majority of population chooses anti-family behaviour, the family is actually becoming history.

Divorces

An important indicator of the family stability is the divorce rate.
For many decades, there have been two world’s leaders in divorces—Russia and the the U.S.
The Divorce Top10 (divorces per 1000 population in the year 2000) is as follows:

  • the U.S.—4.7;
  • Russia—4.3;
  • Belarus—4.3;
  • Ukraine—4.0;
  • Estonia—3.1;
  • Lithuania and the Czech Republic—2.9;
  • Finland—2.7;
  • Latvia—2.6.

At the same time, we can see a significant gap between the Top10 and
another group of countries, which have a much lower divorce rate. For
example, in the same year (2000), there were only 0.9 divorces per 1000
population in Greece, 0.8 in Uzbekistan, 0.7 in Azerbaijan and
Macedonia, 0.4 in Armenia, Georgia, and Tajikistan. [2].
Nevertheless, in spite of the differences in the statistics, a global trend of divorce rate increase is perfectly evident.
""
Figure 8. Divorce rate evolution in 19 industrially developed countries
for the period 1950–2008.

Cultivation of vice

Abortions, divorces and out-of-wedlock births are not something that
comes naturally. They are the results of the general moral decline and
anti-family propaganda.
We are witnessing an intensive cultivation of vice in the world.
Even marital intimacy has lost its basic meaning. The motivation of
sexual relations is changing dramatically. Respondents of a survey
carried out in the U.S. in August, 2007 mentioned 237 reasons for
having sex. The wish to propagate the species didn’t rank among even
the Top50.
The increasing rate of prostitution is another terrible evidence of
the social catastrophe. In India, there are 10 million women
engaged in prostitution, in Thailand—2 million, in the U.S.—1 million,
in Germany—200,000. 500,000 of women from Eastern Europe and 200,000
from the former Soviet Union are engaged in prostitution in Western
Europe. And those are just the official figures.
Increasingly, children are forced into prostitution as well:
400,000 children in India, 320,000 in the U.S., 100,000 in the
Philippines, 300,000 in Thailand, 500,000 in China.
In 2007, the annual turnover of the world’s pornography industry
exceeded $60 billion, of which 12 billion were attributed to the United
States. The porn video industry is a market worth €30 billion (thanks
largely to the Internet)—twice the worth of the market of all the other
video.
In the U.S., 10 percent of all the products being sold through the
Internet have sexual connotations. Half of all the videos downloaded
from commercial websites are child or pseudo-child pornography. There
are about 10,000 sites for pedophiles in the WWW. 40 million adult men
and children regularly visit porn websites. 12-17-years-old teenagers
are the core audience of the online pornography. [3]
Another ethical and, at the same time, demographic problem is
propaganda of homosexuality and attempts to legalize same-sex marriage.

Today it is officially allowed on four continents in such countries
as Holland, Belgium, Canada, Spain, South Africa, Norway, Sweden,
Iceland, Mexico, in some U.S. states. Besides, there are 20 countries
with other legal forms of same sex unions. Some experts predict
legalization of gay marriages also in China. According to Forbes, it is expected as early as 2019.

Conclusion

Now I have only to state that the modern family has a severe disease
that entails tragic consequences for almost all spheres of human
activity.
In this case, the successful
returning of the family to the demographically healthy state will depend
not so much on improving economic conditions, but mainly on its early
spiritual and moral recovery.
Unfortunately, there is no universal recipe for treating the family’s
disease. However, it is evident that the rehabilitation means
system-wide work on the following areas:

  • changing the informational climate;
  • familistic expert examining of regulatory framework;
  • reorienting values and goals of school education;
  • improving health care and obstetrics;
  • familization of social policy, business and labor relations;
    applying new family-oriented approaches to housing policy,
    town-planning, etc.


[1]World Population Prospect: The Revision 2004;
[2]Savinov
L. I., Kuznetsova B. Social Work with Children in families of divorced
parents: Textbook, Ed. prof. L. I. Savinov.—3rd ed.—M. 2004. P.13
[3]Jacques Attali. Amours

Дата публикации: 2010-12-16 17:10:06

François de Siebenthal
Economiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur.

23, av. ed. Dapples

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