Nouvelle affiche iMP

18 h 

 

Avec Chloé Frammery qui m’a bien aidé à la réaliser, voici une affiche pour le OUI à la votation le 10 juin prochain à laquelle j’y ajoute le hashtag#MonnaiePleine et le lien vers les informations complètes ou pleines ! 

http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/

Avec Chloé Frammery qui m’a bien aidé à la réaliser, voici une affiche pour le OUI à la votation le 10 juin prochain à laquelle j’y ajoute le hashtag#MonnaiePleine et le lien vers les informations complètes ou pleines ! 😉

http://www.initiative-monnaie-pleine.ch/

Soutiens du Canada


Stéphane Blais est en direct avec M. François de Siebenthal, banquier économiste. Ils parlent de monnaie pleine.
2,1 K vues

Citoyens au pouvoir en entrevue hier soir avec la Suisse et …  M. François de Siebenthal )
On a discuté du référendum initiative monnaie pleine qui aura lieu le 10 juin 2018.
Bien entendu, nos médias traditionnels n’en parlent pas.
Merci à Andre Pitre et au Stu-Dio pour l’arrimage technique ayant donné droit à cette rencontre historique qui a eu lieu hier soir, 18h , heure du Québec (minuit heure de la Suisse)
Merci à Micaël Masse pour la mise en contact entre moi et M. de Siebenthal.



Plus d ‘un million de vues, vois au moins les premières minutes


plus…

https://www.youtube.com/watch?v=5e1NKOV_B4s

Sophisme, affirmation fausse et ridicule:

Même avec monnaie-pleine, l’UBS aurait fait faillite les deux fois, la première sous Carter avec la LTCM et la deuxième après 2008
http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/05/une-3eme-faillite-de-lubs.html

Réponse:

Avec monnaie pleine, l’UBS n’aurait pas pu créer de l’argent ex nihilo pour acheter les subprimes qui vont entraîner sa faillite, en contribuant ce faisant pour sa part à créer le marché international des acheteurs des subprimes US avec de l’argent qui n’existe pas.

Les dès pipés de l’UBS

Ce n’est pas la Suisse qui a sauvé UBS

Aux faits, l’Histoire préfère toujours, ou presque, les contes de fées.

UBS, au bord du gouffre financier en octobre 2008, a fait l’objet d’un sauvetage public inédit pour la Suisse, qui a impliqué tant la Confédération que la Banque nationale (BNS). Or une bonne part de mythologie s’est construite autour du récit de ce sauvetage. 
Il est courant d’entendre dire que, déjouant les pronostics funestes émis en 2008 quant aux risques démesurés du sauvetage d’UBS, la Confédération et la BNS ont géré la situation haut la main, réalisant même des bénéfices au passage, et faisant taire les Cassandre. 
Sauf que ce salut ne doit rien à nos autorités. En réalité, ce n’est pas la Suisse qui a sauvé UBS de la débâcle des subprimes, mais les Etats-Unis. 

Mais où est le marché?

Le triomphalisme helvétique, qui navigue entre naïveté et calcul visant à justifier le sauvetage, repose sur de fausses prémisses, propagées par un coup d’œil trop superficiel aux chiffres de l’opération. 
Certes, suite à la recapitalisation d’UBS par la Confédération à hauteur de 6  milliards de francs, les autorités ont pu sortir de l’opération en août 2009 non seulement indemnes, mais bénéficiaires de 1,2 milliard. Une lecture plus détaillée révèle toutefois que la Confédération n’a tiré que 5,5 milliards de la revente de ses actions UBS, réalisant donc un demi-milliard de pertes.
Seule l’indemnisation de 1,8 milliard contractuellement versée par UBS a permis à la Confédération de rentrer dans ses fonds et de toucher un bonus. On concédera malgré tout que cette opération, globalement bénéficiaire, fut bien négociée par la Confédération.
Bien que symboliquement forte, cette opération est toutefois secondaire. Le principal volet du sauvetage, celui auquel UBS doit tout, c’est la création en octobre 2008 par la BNS du fonds de défaisance des actifs toxiques, ou «StabFund».
Ce fonds a recueilli 38,7 milliards de dollars de titres subprimes défaillants qui plombaient le bilan d’UBS. Or là aussi, l’opération s’est soldée, cinq ans plus tard, par un gain de 5,2 milliards de dollars pour la Banque nationale, le StabFund ayant pu écouler avec profit les titres subprimes qui, miraculeusement, ont recouvré de la valeur. 
Personne ne s’est enquis d’une explication. Qui donc a acheté ces actifs au StabFund? L’opération a été «favorisée par le redressement des marchés», a simplement évoqué le président de la BNS en novembre dernier. Mais de «marchés» il n’y en avait guère pour les actifs subprimes.
Il y avait juste une banque centrale, qui représente huit BNS réunies, et qui a créé à elle seule un marché acheteur – qui n’existait pas – pour des papiers sans valeur: la Réserve fédérale américaine.
Si la Fed a racheté plus de 2000 milliards de dette immobilière pourrie, ce n’est pas pour sauver UBS, mais pour nettoyer l’ensemble du système financier américain. Et ces actifs sont toujours entassés sur son bilan, sans racheteur possible dans un proche avenir.

Gain collatéral en Suisse

Ceux qui ont critiqué le sauvetage d’UBS par les autorités suisses avaient vu juste. Rien ne permettait de prédire que la Fed achèterait tout le marché subprime (avec les risques insoupçonnés que cela engendre pour la solvabilité du système financier à plus long terme). En d’autres temps, sur un marché réel, ces 40 milliards d’UBS étaient perdus, voués à l’«invendabilité».
La BNS aurait eu beaucoup de chance si elle avait pu écouler 50% de ce stock, sachant que la Fondation de valorisation de la Banque Cantonale de Genève a perdu, sur de l’immobilier romand moins toxique, 2 milliards sur 5,3 milliards. 
Bref, la Fed a créé des dollars, acheté le marché, et c’est à elle que la BNS a vendu ses titres. La Suisse a subi un gain collatéral, pour une fois. Mais les autorités avaient bel et bien pris un risque démesuré pour le pays. Il serait, dorénavant, plus décent de raconter la véritable histoire. La réalité est moins flatteuse que les mythes. Mais ses vertus explicatives s’avèrent en général nettement supérieures.
Myret Zaki

Monnaie pleine a toujours été voulue

Politik der Schweiz | Politique suisse

La monnaie pleine: ce que la Suisse a toujours voulu

Souvent, on attribue un radicalisme dangereux à l’initiative «Monnaie pleine», actuellement en cours de récolte de signatures. Ainsi, Thomas Jordan, président de la BNS, a récemment qualifié le système de la monnaie pleine d’«expérimentation géante pour laquelle les expériences et points de comparaison manquent» (discours tenu lors de la journée d’Uster le 23.11.2014). Toutefois, un petit retour historique sur le développement de l’ordre monétaire suissedémontre le contraire: durant plus de 100 ans, le franc suisse a été conçu comme une monnaie pleine.
La modernisation monétaire revendiquée par l’initiative «Monnaie pleine»comporte trois éléments centraux: premièrement, seule la Banque nationale suisse (BNS) doit être autorisée à créer de la monnaie, sous forme papier ou électronique. Deuxièmement, l’émission de monnaie ne doit plus être liée à l’endettement de l’économie et de la société. Et troisièmement, les bénéfices générés par l’émission de monnaie doivent servir à soulager les caisses publiques et bénéficier à la collectivité. Ces trois éléments sont ancrés dans la tradition helvétique.
La Suisse a dans les faits disposé d’un système de monnaie pleine de 1891 à 1999.
Helvetia et Guillaume Tell signent l’initiative  «Monnaie pleine»   sur la place fédérale à Berne, en juin 2014. Image/ Gian Ehrenzeller/Keystone

Helvetia et Guillaume Tell signent l’initiative «Monnaie pleine» sur la place fédérale à Berne, en juin 2014. Image/ Gian Ehrenzeller/Keystone
Le franc suisse a été créé en 1848 sous forme d’étalon-argent et son émission était régulée par la Confédération helvétique nouvellement formée. Cet étalon-argent représentait un moyen sûr et sans dette de créer de l’argent, la valeur de celui-ci émanant de sa teneur en métal précieux.
Ensuite, dans le courant de la deuxième moitié du 19e siècle, l’utilisation de billets de banque en tant que moyen de paiement s’est également répandue. A cette époque, les banques étaient autorisées à imprimer leurs propres billets. Ceux-ci étaient convertibles en monnaie et, sur le plan légal, ne constituaient qu’un substitut à l’argent. Il arrivait alors que certaines banques ne disposent plus d’une couverture en monnaie suffisante pour convertir leurs propres billets de banque. Pour mettre un terme à cette situation problématique ainsi qu’aux inconvénients que représentait la diversité des billets de banque en circulation, le peuple suisse octroya à la Confédération le monopole sur l’émission des billets de banque le 18 octobre 1891.
L’article relatif aux billets de banque qui fut alors inscrit dans la Constitution fédérale débute par la phrase: «Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient exclusivement à la Confédération». Ceci correspond précisément à ce que l’initiative «Monnaie pleine» entend aujourd’hui faire inscrire dans la Constitution. Mais pourquoi donc, si la décision a déjà été prise il y a longtemps? Parce que dans l’intervalle, la précision «et de toute autre monnaie fiduciaire» a été supprimée de la Constitution lors de la révision de l’article sur les billets de banque adoptée en 1999.
Phénomène étonnant: en vertu de la Constitution, la Suisse a dans les faits disposé d’un système de monnaie pleine de 1891 à 1999. La Confédération jouissait alors d’un monopole complet sur l’émission de monnaie, et la participation des cantons aux bénéfices de la BNS avait été ancrée dans la Constitution dès 1891.
Dans la pratique, les banques n’ont toutefois pas respecté le monopole de création de monnaie confié à la Confédération au moment où elles ont introduit des instruments de paiement autres que les espèces et débuté l’émission de monnaie scripturale. La Confédération a toléré cette pratique durant des années. En 1999, lors de la révision de l’article sur les billets de banque évoquée précédemment, la Constitution a finalement été adaptée à la pratique, sans que la question de la création de monnaie soit portée au débat public.
Depuis, l’émission de monnaie scripturale par les banques a explosé, constituant aujourd’hui 90% de l’argent en circulation en Suisse. La monnaie électronique est désormais placée sur un pied d’égalité avec les espèces, alors que sur le plan légal, il ne s’agit que d’un substitut, à l’instar des billets de banque à l’époque.
Les problèmes et dangers de l’émission de substituts d’argent par un grand nombre de banques sont les mêmes avec la monnaie scripturale d’aujourd’hui qu’ils l’étaient à l’époque avec les billets de banque. Par conséquent, les arguments qui avaient prévalu en leur temps lors de la création d’un monopole sur les billets de banque approuvée par le peuple en 1891 restent d’actualité dans le cadre de l’initiative «Monnaie pleine» qui défend l’introduction d’un monopole de la BNS sur la création de monnaie scripturale. L’objectif reste aujourd’hui encore de garantir un trafic des paiements résistant aux crises ainsi qu’un approvisionnement monétaire adéquat de l’économie dans le cadre d’une politique monétaire visionnaire et démocratiquement légitimée.
Par Mark Joób, 2. avril 2015

Monnaie-pleine, des chiffres

Partage du commentaire de Bernard Gva: Le bilan des banques c’est plutôt 3’000 milliards, 1’750 c’est seulement la partie exprimée en Francs.

Voici un panorama plus exact (et améliorable  ) qui intègre les Actifs sous Gestion…

Merci Bernard pour cette info!

Manipulations par les Medias





Manipulations par les Medias suisses, exemples…


http://desiebenthal.blogspot.com/2018/05/sophisme-ubs-monnaie-pleine.html



http://desiebenthal.blogspot.com/2018/05/la-tsr-desinforme.html



Les enveloppes translucides de votes sont imprimées par ces grands groupes, comme par hasard, et les machines de votes électroniques sont leur contrôle, notamment de Soros en France…



Le pré-dépouillement est illégal, notamment dans les cantons de Genève, Vaud etc, voir les lois sur les droits politiques et le simple bon-sens. Demandez à être observateur au nom de monnaie-pleine ou d’un simple groupe de citoyens ou en votre nom personnel afin de pouvoir visiter les bureaux électoraux pendant tous les semaines et jours avant et pendant le dépouillement. Les enveloppes grises doivent être dans des urnes scellées avec des sceaux en plomb, avec l’empreinte officielle d’une pince à sceller que vous vérifierez le dimanche du dépouillement.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/05/fraudes-en-valais.html



La réunion Bilderberg de 2018 se tiendra bien à Turin du 7 au 10 juin : l’emplacement de la conférence, à moins de 2 heures de Genève en voiture,  reste encore “secret” et sera divulgué aux participants 48h avant leur arrivée en Italie. Le 10 juin sera publié le résultat de la votation monnaie-pleine…

Sources:

  1. Teilnehmerlisten der Bilderberg-Konferenzen von 1954–2014, sowie von 2015–2017
  2. Jahresberichte der Atlantik-Brücke von 2006 bis 2016
  3. Wikipedia-Artikel zur Rive-Reine-Konferenz, der Bilderberg-Konferenz, der Atlantik-Brücke , dem Council on Foreign Relations und dem Project for the New American Century


Weitere Themen:



Le PDC & ses valeurs ?

à lire et méditer ,
vos valeurs,
votre conscience,
les valeurs PDC de vos électeurs
et le Vatican .

Parti chrétiem ? Vraiment ?
Dernier texte du Vatican, publié jeudi passé…. extrait…

22. Pour éviter les crises du système, il serait opportun de définir et de distinguer clairement, pour les intermédiaires de crédit bancaire, la sphère de l’activité de la gestion du crédit ordinaire et des épargnes, de ce qui est destiné à l’investissement et au pur business [43]. Tout cela permettra d’éviter autant que possible des situations d’instabilité financière.

Une bonne santé du système financier exige également l’information la plus complète possible afin que chaque personne puisse protéger, dans la pleine liberté et en toute conscience, ses intérêts : en effet, il est important qu’il sache si son capital est investi à des finalités de spéculation ou non ; ainsi il saura clairement le degré de risque et l’adéquation du coût des produits financiers auxquels il souscrit par rapport au risque encouru. Ceci est d’autant plus vrai que d’habitude, l’épargne, en particulier celle des familles, est un bien public à protéger et qu’elle vise une optimisation qui redoute le risque. Cette épargne, lorsqu’elle est placée auprès des mains expertes des conseillers financiers, exige qu’elle soit bien administrée et pas simplement gérée.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/05/le-pape-monnaie-pleine.html




Le pré-dépouillement est illégal, notamment dans les cantons de Genève, Vaud etc, voir les lois sur les droits politiques et le simple bon-sens. Demandez à être observateur au nom de monnaie-pleine ou d’un simple groupe de citoyens ou en votre nom personnel afin de pouvoir visiter les bureaux électoraux pendant tous les semaines et jours avant et pendant le dépouillement. Les enveloppes grises doivent être dans des urnes scellées avec des sceaux en plomb, avec l’empreinte officielle d’une pince à sceller que vous vérifierez le dimanche du dépouillement.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/05/fraudes-en-valais.html

Monnaie-pleine, de plus en plus de partis pour.





Oui au niveau national  :

Jeunes verts suisses 



JUSO Suisse
La politique intégrale en Suisse
Parti des automobilistes Suisse
Démocrates suisses
Parti du travail (PdA)
Parti populaire catholique de Suisse (PCC- KVP)
Alternative Populaire Suisse.CH
Résistance Helvétique


Liberté de vote :




Les verts suisses 




OUI  au niveau des Cantons, de toutes les tendances sauf les achetés par les banques :




Verts : Cantons du Tessin, Vaud, Genève, Saint-Gall, Zoug, Soleure, Argovie, Nidwald, Nidwald.



Parti socialiste-SP : Cantons de Schwyz, Genève, Soleure, Soleure, Zoug.
EDU : Canton de Berne, Soleure
Liste alternative : Berne, Schaffhouse, Zurich, Zurich
Jeunes Verts et JUSO : Presque tous les  cantons
Jeune SVP : Canton de Lucerne
Jeune BDP : Canton de Thurgovie
Parti des pirates : Canton de Bâle Ville & Campagne
MCG à l’unanimité à Genève
Solidarités à Genève et Neuchâtel
Egalité et équité à Genève


Fake news, aucun parti ne soutient monnaie-pleine

.. rien qu’à Genève, le canton des banques, il y a :


– Les Verts 
– Le PS
– Ensemble à gauche 
– Parti du Travail
– Parti communiste 
– les listes citoyennes 
– Les jeunes socialistes suisses
– Les jeunes verts…
– Le MCG à l’unanimité


notamment soutiennent l’initiative Monnaie pleine. Rien que cela …
et bientôt….
des banques, notamment privées, comme à Bâle ?




s.e.o.o.


Traduction »