La triple mort de Pierre Bérégovoy. Ted Maher du groupe Safra

  • LCP dimanche 29 juillet 2012 à 14h30
  • 24-24 dimanche 29 juillet 2012 à 14h30
  • LCP samedi 11 août 2012 à 19h30
  • 24-24 samedi 11 août 2012 à 19h30
  • 24-24 mardi 14 août 2012 à 23h30
  • LCP mardi 14 août 2012 à 23h30
  • LCP samedi 18 août 2012 à 11h30
  • 24-24 samedi 18 août 2012 à 11h30

Ted Maher du groupe Safra avec Bérégovoy – François de Siebenthal

…Quid de la présence de Ted Maher dans sa voiture une heure avant sa mort ?
Ted Maher est le tristement célèbre personnage a l’ origine de l’ “incendie” qui cause la mort d’ Edmond Safra.
Accessoirement aussi le seul détenu qui a pu s’échapper de la prison de Monaco…avec des sacs plastiques !!!
Quelle est votre opinion…
auteur inconnu sur le blog cité.

http://www.bakchich.info/spip.php?page=forum&id_article=3601&id_forum=35341

  1. François de Siebenthal: La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy

    desiebenthal.blogspot.com/…/la-vraie-liste-remise-pierreber

    30 avr. 2009 – Je le souhaite, je le demande et je rends juges les Français du grave avertissement que porte en elle la mort voulue de Pierre Bérégovoy“.

  2. François de Siebenthal: Pierre Bérégovoy exécuté. Explications des

    desiebenthal.blogspot.com/…/pierreberegovoy-execute-exp…

    2 mai 2009 – Pierre Bérégovoy exécuté. Explications des morts rituelles aux plus hauts niveaux, cherchez à qui les crimes profitent ?

  3. François de Siebenthal: Bérégovoy a-t-il été assassiné pour rien

    desiebenthal.blogspot.com/…/beregovoy-t-il-ete-assassine-p…

    28 avr. 2009 – François de Siebenthal L’acteur Daniel Russo prêtera ses traits à Pierre Bérégovoy et donnera la réplique à Dominique Blanc qui incarnera

  4. François de Siebenthal: En France, le Service Central de Prévention

    desiebenthal.blogspot.com/…/en-france-le-service-central-d…

    4 mai 2009 – François de Siebenthal le Service Central de Prévention contre la Corruption (SCPC), créé en 1993 à l’initiative de Pierre Bérégovoy,

  5. François de Siebenthal: France 2, la manipulation de trop…La Mort

    desiebenthal.blogspot.com/…/france-2-la-manipulation-de-t…

    2 mai 2009 – La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d’Etat ! Successivement, en 2003 La thèse de l’assassinat de Pierre Bérégovoy est relancée

  6. François de Siebenthal: L’usure tue, autres exemples.

    desiebenthal.blogspot.com/…/lusure-tue-autres-exemples.ht…

    31 mai 2012 – François de Siebenthal: Pour un capital social local. ….. de transferts (prélever sur Paul pour donner à Pierre), et d’intérêts …. P. Beregovoy en référence au “pire” atteint par les socialistes durant leurs errements de 1981-1983.

  7. François de Siebenthal: Destruction de la monnaie par la rigueur.

    desiebenthal.blogspot.com/…/destruction-de-la-monnaie-par…

    5 mai 2012 – 8, http://desiebenthal.blogspot.com/2009/04/beregovoy-t-il-ete-assassine- …. Zilveren Dolfijn – Jean Pierre van Rossem: De schat van de arme .

  8. François de Siebenthal: Clearstream, la vérité. DSK impliqué

    desiebenthal.blogspot.com/…/clearstream-la-verite-dsk-impl…

    2 mai 2011 – François de Siebenthal: La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy … 30 avr. 2009 … François de Siebenthal. “D’abord ils nous ignorent, .

  9. François de Siebenthal: PLEASE WATCH THIS HUNGER

    desiebenthal.blogspot.com/…/please-watch-this-hunger-scen…

    5 avr. 2009 – Posted by François de Siebenthal at 14:29:00 …. climatique, mythes et réalités · La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy CEDEL – C..

  10. Ted Maher du groupe Safra avec Bérégovoy – François de Siebenthal

    desiebenthal.blogspot.com/…/ted-maher-du-groupe-safra-av…

    19 mai 2008 – Pierre Bérégovoy, un mort toujours embarrassant. jeudi 1er mai 2008 www.pavie.ch. Posted by François de Siebenthal at 12:44:00


Docs ad Hoc : Docs dédicaces : La double mort de Pierre Bérégovoy

A propos de cette vidéo

Les documentaires offrent une autre
appréhension du monde qui nous entoure et portent un regard différent
sur la vie politique et ses acteurs.
Face au vertige de l’information en
continu, les documentaires imposent cette distance nécessaire pour une
nouvelle expérience du réel.
Ainsi, l’écriture documentaire vient indispensablement renforcer les
moyens d’expression et de connaissance proposés à l’antenne à travers
les journaux, les magazines et autres débats.
Depuis de nombreuses années, LCP a choisi de faire la part belle à
la démarche documentaire sur son antenne à travers une programmation
sur-mesure et une politique de coproduction ambitieuse. LCP achète ou
coproduit une cinquantaine de documentaires par an et collabore avec de
nombreux producteurs porteurs de savoir-faire différenciés.
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Les commentaires sur cet article :

Col5952 le 14 janvier
Excellent documentaire, qui renforce
indubitablement, témoignages à l’appui, le mystère qui entoure le
soi-disant suicide ce cet homme, dont l’honneur a été sali et la vie
volée, pour des raisons d’Etat. Aucune enquête judiciaire n’a pu être
réalisée sur cette affaire. Au contraire une chappe de plomb a été mise
sur toute information ou preuve. Qui nous parlera encore de
l’indépendance de la justice française ? Je rêve en pensant qu’une
autorité au-dessus de tout soupçon, puisse rouvrir ce dossier. Je me
console naïvement en sachant que beaucoup de ceux qui savent la vérité, à
quelques niveaux que ce soit, doivent avoir une conscience difficile à
supporter. Peut-être qu’un jour …….
eric le 23 janvier
j’aurai bien aimé voir l’excellent
d’après le commentaire ci-dessous “la double mort de pierre beregovoy”
programmée le 22//o1 que j’avais enregistrée. Au lieu de quoi j’ai eu
droit à un chanteur de variétés suivi de la longue harangue d’un trrbun.
Déception et colère !!!
“Face au vertige de l’information en continu, les documentaires imposent
cette distance nécessaire pour une nouvelle expérience du réel.”
CREDO de LCP Qu’es-tu devenu ?
Le PS garde toujours la main sur cette affaire ?
Ne pourrait-on pas intituler la rediffusion précédée d’explications
voire d’excuses : “la triple mort de Pierre Bérégovoy ”
Vous êtes une chaîne politique soit ! mais rétrospectivement on craint
le pire si certains arrivant au ppouvoir, vous vous permettiez certaines
déprogrammations à venir de plus en plus fréquentes.
Votre indépendance est-elle restreinte ? menacée ?
N.B : j’ai toujours voté à gauche.
D’autre part j’apprécie au plus haut point votre chaîne et notamment
Docs ad hoc et l’Echo des lois.
Ma déception est grande et coléreuse.
J’espère voir ce commentaire publié mais surtout avoir quelques
explications en retour.
Mes Salutations Citoyennes.
tulipe28 le 1er février
J’ai vu ce documentaire à deux reprises
et je reste étonné devant le silence de tous les journalistes, de tous
les politiques de tous bords et spécialement des socialistes qui ont
tiré un trait éternel sur leur ancien compagnon de route.
Comment peut-on ainsi ignoré le parcours, le combat, les idées de Pierre
Bérégovoy. Comment a-t-on pu ignorer Madame Bérégovoy dans sa recherche
de la vérité ? Comment a-t-on pu empêcher toute autopsie sur le corps
de Pierre Bérégovoy ?
Cette mort laisse entrevoir beaucoup de questions, beaucoup de zones
d’ombre qu’aucun journaliste parisien n’a osé aborder.
Pourquoi ? Mystère !!!

DSK, Ted Maher, Safra et Pierre Bérégovoy ?

  • LCP dimanche 29 juillet 2012 à 14h30
  • 24-24 dimanche 29 juillet 2012 à 14h30
  • LCP samedi 11 août 2012 à 19h30
  • 24-24 samedi 11 août 2012 à 19h30
  • 24-24 mardi 14 août 2012 à 23h30
  • LCP mardi 14 août 2012 à 23h30
  • LCP samedi 18 août 2012 à 11h30
  • 24-24 samedi 18 août 2012 à 11h30

Selon certaines versions, Pierre Bérégovoy a été transporté encore vivant à l’hôpital
de Nevers ( Ce qui aurait été logique, vu la grandeur et la qualité de
cet hôpital et surtout l’urgence de ses blessures et la perte de
sang…mais faux, justement pas, (sed, contra,,,) au Val de Grâce,
beaucoup trop loin, à 246 km, dans un vol trop lent, blessé de jour, il
meurt de nuit, après des retards voulus et provoqués, du sur place à Nevers sans décoller (sic) plus de 30 minutes, du “mauvais” temps, des détours…, il décède dans l’hélicoptère… Il faut être stupide pour ne pas comprendre…l’évidence…

Il faut attendre 2003 pour qu’Eric Raynaud, journaliste en poste dans la Nièvre depuis 1981, la partage.


En mai 2003, à l’occasion du dixième anniversaire de la mort de Béré,
j’ai regardé les archives de mon journal. J’ai été intrigué par une
photo publiée le 2 mai 93 où l’on voit le député maire allongé sur une civière mouillé.
Pierre Bérégovoy avait été attrapé par les 2 hommes grenouilles et
s’était échappé : il avait fait de la boxe durant sa jeunesse.  On y
constate nettement un trou sur le sommet du crâne, … Rien à voir avec une balle tirée dans la tempe.
Il y aurait eu deux coups de feu et deux balles.

Nous n’avons jamais vu l’analyse balistique…les témoins ont entendu deux coups de feu…
Il
avait rendez-vous et a voulu se défendre probablement contre Ted Maher
et ses complices US, les chacals dévoués aux intérêts “américains”…
Donc une de trop. Bérégovoy n’était pas assez stupide pour se loger 2
balles de moyen  calibre ( pas de magnum selon la thèse officielle, magnum qui aurait fait exploser la tête et qui aurait tué à coup sûr ) dans le sommet de la tête, c’est impossible. La thèse du complot comme JFK est
née et c’est la vérité aujourd’hui..

Ted Maher du groupe Safra avec Bérégovoy

…Quid de la présence de Ted Maher dans sa voiture une heure avant sa mort ?
Ted Maher est le tristement célèbre personnage a l’ origine de l’ “incendie” qui cause la mort d’ Edmond Safra.
Accessoirement aussi le seul détenu qui a pu s’échapper de la prison de Monaco…avec des sacs plastiques !!!
Quelle est votre opinion…
auteur inconnu sur le blog cité.


http://www.bakchich.info/spip.php?page=forum&id_article=3601&id_forum=35341

Dans la gorge et sous la plume de François Mitterrand, le 4 mai
1993, il y avait de la tristesse, de la colère, et des mots qui rendent
hommage tout en faisant réfléchir :

l’émotion, la
tristesse, la douleur qui vont loin dans la conscience populaire depuis
l’annonce de ce qui s’est passé samedi, en fin de journée, près de
Nevers, sa ville, notre ville, au bord d’un canal où il était souvent
venu goûter la paix et la beauté des choses, lanceront-elles le signal à
partir duquel de nouvelles façons de s’affronter tout en se respectant
donneront un autre sens à la vie politique ? Je le souhaite, je le
demande et je rends juges les Français du grave avertissement que porte
en elle la mort voulue de Pierre Bérégovoy
“.


“Je n’ai pas le pouvoir, la France comme le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout.”

François
Mitterand, cité par la Tribune de Genève, le 22.11.2007 dans l’article
au sujet de Danielle Mitterand par M. van Berchem, Paris.

Quelques images en vidéo pour mieux saisir les enjeux…
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés…
http://video.google.fr/videoplay?docid=-7751407403451499540
Vidéo ( trop souvent censurée…)
« Sans aucun doute »
Julien COURBET – TF1 12 mai 2000
Emission censurée sur ordre de Dominique Strauss Kahn, alias DSK,
maintenant PDG du FMI, le jour même de sa diffusion prévue et annoncée !
Bernard Nicolas, qui était présent sur le plateau de « Sans Aucun Doute » Julien COURBET – TF1 12 mai 2000, censurée… Julien Courbet: Vers quelles pistes il va falloir se diriger ? Réponse de Bernard Nicolas à 13:10 Et
bien, écoutez, Jacques Martin et Kader Ben Riba, qui ont commencé à
travailler sur ce dossier ont vu, au travers des documents qu’ils ont pu
consulter et des gens qu’ils ont pu contacter par téléphone qu’il y
avait une foultitude de personnages, c’est-à-dire vous avez d’anciens
policiers de la DST, devenus détectives privés, des hommes d’affaires
qui sortent d’on ne sait où, attirés par le gâteau financier apparemment
et surtout des comptes ouverts dans plusieurs grandes banques dans le
monde entier. L’argent s’est tout d’un coup évaporé, escamoté.
Et,
à l’évidence, il faut, comme le disait feu le juge Falcone, en Italie,
un des grands magistrats anti-corruption italien qui a payé de sa vie
son courage. Il disait: ” Pour trouver le criminel, il faut suivre la
piste de l’argent, donc il va falloir que vos deux journalistes suivent
la piste de l’argent pour essayer de trouver qui s’y intéresse
aujourd’hui et qui va tenter de retirer le maximum du magot.
14:27 Me Vergés… Autre source, plus tard…
Bernard Nicolas, journaliste d’investigation , interrogé par Sophie
Coignard (Le Rapport OMERTA 2 – page 261) – Vous avez déjà été victime
de censure dans l’exercice de votre métier ?


«
Plusieurs fois. Dès lors qu’il était question de personnage politique
de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j’avais fait
un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait
passer dans l’émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la
journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction
de TF1 s’inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique
Strauss-Khan ?…..J’étais interloqué : rien n’indiquait dans mon enquête
que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se
trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les
téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n’ont jamais vu la suite… »

Plus
une deuxième vidéo de 17 minutes d’entretien entre l’inventeur et M.
Burdet pour vous expliquer les grandes lignes de la corruption des
pouvoirs judiciaires et politiques.
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés…
http://video.google.fr/videoplay?docid=-698047735755472484&q=ferraye
Et attendre quelques minutes le chargement des images, merci.
http://www.googleswiss.com/fr/geneve/jf/video.html Pour large diffusion, merci.

Voir la suite par Sophie Coignard

http://ferraye.blogspot.com/2009/04/la-franc-maconnerie-et-laffaire-ferraye.html

Listes du chapitre ” Mémoire” dans le lien ci-dessous.

http://www.googleswiss.com/fr/geneve/f/jf-princ.html



  1. La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy

    desiebenthal.blogspot.com/…/la-vraie-liste-remise-pierreber

    30 avr. 2009 – Je le souhaite, je le demande et je rends juges les Français du grave avertissement que porte en elle la mort voulue de Pierre Bérégovoy“.

  2. Pierre Bérégovoy exécuté. Explications des

    desiebenthal.blogspot.com/…/pierreberegovoy-execute-exp…

    2 mai 2009 – Pierre Bérégovoy exécuté. Explications des morts rituelles aux plus hauts niveaux, cherchez à qui les crimes profitent ?

  3. Bérégovoy a-t-il été assassiné pour rien

    desiebenthal.blogspot.com/…/beregovoy-t-il-ete-assassine-p…

    28 avr. 2009 – François de Siebenthal L’acteur Daniel Russo prêtera ses traits à Pierre Bérégovoy et donnera la réplique à Dominique Blanc qui incarnera

  4. En France, le Service Central de Prévention

    desiebenthal.blogspot.com/…/en-france-le-service-central-d…

    4 mai 2009 – François de Siebenthal le Service Central de Prévention contre la Corruption (SCPC), créé en 1993 à l’initiative de Pierre Bérégovoy,

  5. France 2, la manipulation de trop…La Mort

    desiebenthal.blogspot.com/…/france-2-la-manipulation-de-t…

    2 mai 2009 – La Mort étrange de Pierre Bérégovoy, un crime d’Etat ! Successivement, en 2003 La thèse de l’assassinat de Pierre Bérégovoy est relancée

  6. L’usure tue, autres exemples.

    desiebenthal.blogspot.com/…/lusure-tue-autres-exemples.ht…

    31 mai 2012 – François de Siebenthal: Pour un capital social local. ….. de transferts (prélever sur Paul pour donner à Pierre), et d’intérêts …. P. Beregovoy en référence au “pire” atteint par les socialistes durant leurs errements de 1981-1983.

  7. Destruction de la monnaie par la rigueur.

    desiebenthal.blogspot.com/…/destruction-de-la-monnaie-par…

    5 mai 2012 – 8, http://desiebenthal.blogspot.com/2009/04/beregovoy-t-il-ete-assassine- …. Zilveren Dolfijn – Jean Pierre van Rossem: De schat van de arme .

  8. Clearstream, la vérité. DSK impliqué

    desiebenthal.blogspot.com/…/clearstream-la-verite-dsk-impl…

    2 mai 2011 – François de Siebenthal: La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy … 30 avr. 2009 … François de Siebenthal. “D’abord ils nous ignorent, .

  9. PLEASE WATCH THIS HUNGER

    desiebenthal.blogspot.com/…/please-watch-this-hunger-scen…

    5 avr. 2009 – Posted by François de Siebenthal at 14:29:00 …. climatique, mythes et réalités · La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy CEDEL – C..

  10. Ted Maher du groupe Safra avec Bérégovoy – François de Siebenthal

    desiebenthal.blogspot.com/…/ted-maher-du-groupe-safra-av…

    19 mai 2008 – Pierre Bérégovoy, un mort toujours embarrassant. jeudi 1er mai 2008 www.pavie.ch. Posted by François de Siebenthal at 12:44:00




Docs ad Hoc : Docs dédicaces : La double mort de Pierre Bérégovoy

A propos de cette vidéo

Les documentaires offrent une autre
appréhension du monde qui nous entoure et portent un regard différent
sur la vie politique et ses acteurs.
Face au vertige de l’information en
continu, les documentaires imposent cette distance nécessaire pour une
nouvelle expérience du réel.

Ainsi, l’écriture documentaire vient indispensablement renforcer les
moyens d’expression et de connaissance proposés à l’antenne à travers
les journaux, les magazines et autres débats.

Depuis de nombreuses années, LCP a choisi de faire la part belle à
la démarche documentaire sur son antenne à travers une programmation
sur-mesure et une politique de coproduction ambitieuse. LCP achète ou
coproduit une cinquantaine de documentaires par an et collabore avec de
nombreux producteurs porteurs de savoir-faire différenciés.
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Col5952 le 14 janvier
Excellent documentaire, qui renforce
indubitablement, témoignages à l’appui, le mystère qui entoure le
soi-disant suicide ce cet homme, dont l’honneur a été sali et la vie
volée, pour des raisons d’ État. Aucune enquête judiciaire n’a pu être
réalisée sur cette affaire. Au contraire une chape de plomb a été mise
sur toute information ou preuve. Qui nous parlera encore de
l’indépendance de la justice française ? Je rêve en pensant qu’une
autorité au-dessus de tout soupçon, puisse rouvrir ce dossier. Je me
console naïvement en sachant que beaucoup de ceux qui savent la vérité, à
quelques niveaux que ce soit, doivent avoir une conscience difficile à
supporter. Peut-être qu’un jour …….



La triple mort de Pierre Bérégovoy…
 
eric le 23 janvier
j’aurai bien aimé voir l’excellent
d’après le commentaire ci-dessous “la double mort de
Pierre Bérégovoy
programmée le 22//o1 que j’avais enregistrée. Au lieu de quoi j’ai eu
droit à un chanteur de variétés suivi de la longue harangue d’un tribun.
Déception et colère !!!
“Face au vertige de l’information en continu, les documentaires imposent
cette distance nécessaire pour une nouvelle expérience du réel.”
CREDO de LCP Qu’es-tu devenu ?
Le PS garde toujours la main sur cette affaire ?
Ne pourrait-on pas intituler la rediffusion précédée d’explications
voire d’excuses : “la triple mort de Pierre Bérégovoy ”
Vous êtes une chaîne politique soit ! mais rétrospectivement on craint
le pire si certains arrivant au ppouvoir, vous vous permettiez certaines
déprogrammations à venir de plus en plus fréquentes.
Votre indépendance est-elle restreinte ? menacée ?
N.B : j’ai toujours voté à gauche.
D’autre part j’apprécie au plus haut point votre chaîne et notamment
Docs ad hoc et l’Echo des lois.
Ma déception est grande et coléreuse.
J’espère voir ce commentaire publié mais surtout avoir quelques
explications en retour.
Mes Salutations Citoyennes.
tulipe28 le 1er février
J’ai vu ce documentaire à deux reprises
et je reste étonné devant le silence de tous les journalistes, de tous
les politiques de tous bords et spécialement des socialistes qui ont
tiré un trait éternel sur leur ancien compagnon de route.
Comment peut-on ainsi ignoré le parcours, le combat, les idées de Pierre
Bérégovoy. Comment a-t-on pu ignorer Madame Bérégovoy dans sa recherche
de la vérité ? Comment a-t-on pu empêcher toute autopsie sur le corps
de Pierre Bérégovoy ?
Cette mort laisse entrevoir beaucoup de questions, beaucoup de zones
d’ombre qu’aucun journaliste parisien n’a osé aborder.
Pourquoi ? Mystère !!!


Le vote électronique n’est pas démocratique

 Voici une confirmation de nos dénonciations pour fraudes électorales en Suisse.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/04/electionsfraudes-trop-faciles-machines.html
Le vote électronique sévèrement critiqué dans une étude menée aux USA.
Julien L. | numerama.com | jeudi 26 Juillet 2012

jeudi 26 juillet 2012

aaa

Le vote électronique sévèrement critiqué dans une étude menée aux USA
Julien L. | numerama.com | jeudi 26 Juillet 2012

L’issue de l’élection présidentielle américaine sera-t-elle affectée
par les déboires du vote électronique ? Une étude menée par deux
organismes et une université s’en inquiète. Elle pointe les faiblesses
des systèmes mis en place dans certaines circonscriptions et invite les
États concernés à se mettre à niveau au plus vite.



Le 6 novembre prochain se déroulera l’élection présidentielle
américaine. À cette occasion, plusieurs millions d’électeurs se
déplaceront pour désigner le prochain président. Mais à quelques mois du
scrutin, une étude conduite
(.pdf) par deux organismes (Common Cause et Verified Voting Foundation)
et la faculté de droit de l’université Rutgers s’inquiète des effets
néfastes du vote électronique sur le décompte final.

Le jour des élections, le 6 novembre, les enjeux seront élevés.
Un certain nombre de scrutins seront très serrés et pourraient se jouer
à quelques voix près. […] Il est hautement probable que des systèmes
électroniques de vote ne fonctionneront pas à travers le pays. En fait,
dans chaque élection nationale au cours de la décennie passée, les
systèmes de vote électronique ont failli
“, résument les auteurs du rapport.

Machines qui ne démarrent pas, plantage pendant le vote, cartes
mémoires illisibles, bulletins électroniques perdus… les problèmes ne
manquent pas. “Nos élections sont si complexes, avec tellement de
juridictions différentes et de technologies impliquées que les soucis
sont inévitables. Et à mesure que la technologie utilisée se
complexifie, l’éventualité d’une erreur a sensiblement augmenté
“.

Impossible évidemment de ne pas avoir en tête l’élection
présidentielle de 2000, où le duel entre George W. Bush et Al Gore s’est
joué en Floride, l’un de ces fameux États pivots (swing state) où ni le
parti républicain ni le parti démocrate n’a vraiment l’ascendant. Les
résultats finaux ont séparé les candidats de 537 voix, ce qui a conduit
plusieurs recours devant la Cour suprême et la plus haute juridiction de
Floride. Sans succès.

Ce scénario, Common Cause, Verified Voting Foundation et la faculté
de droit de l’université de Rutgers veulent l’éviter. En effet, certains
États-clés peuvent faire basculer une élection dans un sens ou dans
l’autre. Le moindre soupçon sur la sincérité du scrutin, le moindre
problème de décompte des bulletins, et c’est l’image de la “plus grande
démocratie du monde” qui est ternie.

Dans le rapport, quelques États américains sont ainsi invités à
prendre des mesures pour atteindre de meilleurs standards de fiabilité
et de contrôle. C’est le cas de la Louisiane et du Mississippi.
Cependant, des efforts sont à faire partout, selon le rapport. Six États
obtiennent une note moyenne satisfaisante : le Minnesota, le Wisconsin,
l’Ohio, New York, le Vermont et le New Hampshire.

Pour corriger ces défauts, plusieurs pistes sont avancées. Une
sauvegarde sur papier doit être systématiquement réalisée, afin de
procéder, si nécessaire, à un nouveau décompte ou un audit. “Il faut des bulletins en papier […] si les ordinateurs ou Internet ne fonctionnent plus“,
expliquent les auteurs du rapport. Le vote par Internet est d’ailleurs
critiqué, celui-ci pouvant être altéré et affecter le secret du vote.

( photo : CC BY-NC-ND Robin Stevens )

Voir en ligne : Le vote électronique sévèrement critiqué dans une étude menée aux USA

Page 1 of 4
Summary of testimony of Andrew W. Appel before N.J. State Senate, State Government
Committee, May 26, 2005.
My name is Andrew Appel. I am a Professor of Computer Science at Princeton
University, where I have been on the faculty for 20 years. My specialties in research and
teaching include computer security and the design and analysis of computer software,
especially at the interface between software and computer hardware. The kind of
problem I study is, how do you analyze a piece of software to tell whether it does what
it’s supposed to, and how do you tell whether software has security weaknesses that
permit fraudulent operations?
These questions are particularly relevant to voting machines. In fact, I have
studied voting machine issues in great depth over the past year, and last fall I taught a
course at Princeton University on election machinery, particularly as it relates to practices
in New Jersey.
I support S.29/S.2463, requiring a voter-verified, auditable paper record of each
vote cast. With paper ballots, the voter gets a chance to make sure that his or her vote is
recorded accurately, and in a recount, Republican and Democratic observers can see for
themselves that county officials are adding them up correctly. S.29 would be an even
better bill if it provided for mandatory recounts of randomly selected precincts, to make
sure there’s been no funny business with the machines. In addition, I would say that
precinct-based optical scan technology has many advantages—not only does optical scan
have a voter-verified auditable paper record, but voting doesn’t have to be interrupted if
the machines break down, and it’s easier to accommodate unexpectedly large voter
turnout.
Without voter-verified paper records, we would have to trust that the voting
machine software and hardware is working correctly. As I’ll explain, it’s not realistically
possible to verify that voting-machine software will accurately count the votes. I’ll
explain what the problems are, and why there are no good solutions.
When you push the button for your candidate, a computer program inside the
machine decides what to do about it. It’s supposed to add your vote to the total for your
candidate; this total is not a mechanical counter, it’s just a number in the memory of the
Page 2 of 4
program. It’s easy to write a program that will count the votes correctly; but it’s also
easy to write a program that cheats, that moves half the Republican votes into the
Democratic column. Of course, when election officials test the machine before the
election they might notice that! But computer programs are very flexible; we can make
one that behaves correctly on every day except the first Tuesday after the first Monday of
November, and cheats just between noon and 5 p.m. on election day; or only cheats after
the first 100 votes are cast; or only cheats after a certain write-in vote is entered. Voting
on a direct-recording electronic machine without a voter-verified paper record is like
walking into the booth and telling your choice to a little leprechaun; you have no way of
knowing whether he’ll accurately remember it.
You might think that someone could look at the software in the machine to make
sure it doesn’t cheat, but that’s not really possible. In my testimony today I have time to
explain just two of the reasons why that doesn’t work. First, it is prohibitively difficult to
analyze the computer program inside a voting machine to make sure that it accurately
counts the votes under all circumstances; and second, even if the that could be done, it’s
really difficult to tell whether that program that was examined and analyzed is still
installed in the machine on election day, or whether it has been fraudulently replaced
with another program that manipulates elections by adding votes to the wrong candidate.
First, the difficulty of analyzing computer programs. The typical voting machine
has about 30,000 to 60,000 lines of computer source code. If we think of a computer
program as a kind of “machine,” that’s like a machine with 30,000 different moving
parts—an incredibly complex device. It’s incredibly difficult to analyze how all those
parts will interact with each other in response to any conceivable combination of inputs.
Computer scientists have been working for years on this, and I can tell you that while we
continue to make progress on this problem in the laboratory, the problem is far from
solved for real-world applications like voting-machine software.
Consider this: major software vendors, who have every incentive to produce good
programs, still can’t manage to produce software that’s perfectly reliable and resistant to
fraudulent takeover by computer viruses. For example, if your computer uses the
Windows operating system, every week or two you’re asked to update with new patches
to correct bugs and security vulnerabilities. Microsoft spends a billion dollars a year in
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software testing and software review, and still there are bugs, and still there are security
holes found by malicious outsiders every month: that’s the state of the art. For any
computer program of substantial size, it’s impossible for even the most expert computer
scientists to guarantee its correct operation without an expenditure of millions of dollars
to pay for hundreds of person-months of effort.
The problem is actually worse than that with voting machines. For most kinds of
software we can assume that nobody inside the company would have much to gain by
making the program malfunction. But in elections, the stakes are very high: there’s
certainly enough motive for an insider at a voting-machine company to try to throw
elections by writing fraudulent software. It’s easy to write software that behaves well
whenever it’s tested—on every day except the first Tuesday after the first Monday in
November—but moves votes around during the election. Furthermore, an electionfraudster
could try to hide his fraud among the 30,000 or 60,000 lines of legitimate
software, making it even more difficult to detect. Even without a fraudulent insider, this
could happen; for example, when computer viruses take over your machines, it’s not
because there’s a fraudulent insider at Microsoft corporation, it’s because even Microsoft
finds it very difficult to write software without vulnerabilities that allow fraudulent
outsiders to take control. In summary, we cannot rely on the computer software in a
voting machine, and we cannot effectively review and audit that software.
Finally, even supposing that New Jersey were willing to spend the millions of
dollars that it would take just to audit and review the computer program designed by a
voting-machine manufacturer; we have no way of knowing whether that program is the
one actually installed on the voting machine at election day! If we ask the machine to
print out what program is installed, then we’re really asking the software in the machine
to tell us about itself. It’s easy to write software that cheats on the election, but when
asked about itself, will print out a copy of the certified software.
On some models of voting machine, such as the Sequoia AVC Edge, used in one
county in New Jersey, installing new software is as easy as inserting a smart card and
typing in a password. My colleague Professor David Dill, a computer scientist at
Stanford University, had this procedure demonstrated to him by a county election official
in Santa Clara, California. On other models, such as the Sequoia AVC Advantage used
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in Mercer County, a simple hardware modification is necessary, as I’ll demonstrate right
now with this circuit board.
Inside a voting machine is a circuit board about a foot square, depending on what
model of machine it is. I have here a similar circuit board, from a personal computer but
very similar in technology to what voting machines use, and you can see here two
important components: the central processor that executes the instructions and the ROM
memory that contains the instructions. These instructions control everything the
computer does; you could put instructions here for the Space Invaders video game, or for
a voting machine, or even for a voting machine that fraudulently moves votes from the
Republican column to the Democratic column. Now suppose I show up at an elementary
school or a firehouse in Mercer County the day before an election or the day after. I’ll
find a few Sequoia AVC Advantage machines, unattended—most schools don’t have
round-the-clock security guards. I’ve seen the machines just sitting there in the John
Witherspoon Middle School lobby two days after the recent school board election. I
could pick the lock on the cabinet, unscrew 10 screws to remove a metal panel inside, and
pull out the software ROM just like this. Now I can install a fraudulent ROM that cheats
on elections, like this. Screw the screws back in, and now this machine will cheat on
elections for the next 20 years.
The only foolproof way to check that the computer still has the authorized
software is to pull out this ROM chip—let me do that now—and install it into an analyzer
machine to examine its contents. Are we prepared to let each of the partisan pollwatchers
do that on the morning of election day? That doesn’t seem like a good idea. But it
illustrates the lengths we’d have to go to, if we try to audit elections without a voterverified
paper record that permits recounts that are independent of the computer software.
If the machine prints out voter-verified paper ballots, so that we can conduct
recounts to check that the machine is accurately counting votes, then erroneous or
fraudulent software will be caught. Without a voter-verified paper record, there’s no way
to be sure that the vote totals reported by the machines actually correspond to the voters’
choices. I urge you to provide for voter-verified paper ballots, and to remember that this
can be accomplished not only by equipping DRE machines with printers, but perhaps
even more effectively by the use of optical-scan ballots.

http://www.cs.princeton.edu/~appel/papers/NJSenate.pdf 

Stop debts

‘The People’s Bank’ Community Credit (Social Credit)
The right of banks to
create the nations money supply must be completely removed. It is also
important that all governments be denied this right on the grounds that it
could lead to totalitarianism. Money should never be created as debt again.  There have been many instances in history
where nations have created their own money supply. The Common Wealth Bank in Australia, also known as ‘The People’s Bank’ was a more recent
example. Major projects such as the Indian Pacific Railway System and the First
World War
were funded this way by releasing the nation’s credit.

In
recognition of the people’s individual ownership of the nation’s credit and
resources, a People’s Bank should be
set up.  It would be administered by the
nation’s National Credit Office and act like a central bank using the
principals of Social Credit. It will be the sole provider of new credit
creation. The private banks will loose this ability and will function in an intermediate
capacity only.  The main objective of the
National People’s bank will be to provide the government with enough money to
cover its services as required by the people debt free. By releasing the nation’s credit, it is anticipated that
next to nothing will be required in taxes to fund government infrastructure and
services. Like wise a State People’s Bank would be set up in every state,
duplicating the services at state and local level. An Independent Credit Office
in every state will administer each of the People’s State banks.

A National Dividend will
be issued at a regular basis to the population
in response to correcting the shortage in purchasing power of the consumer.
(The inherent cost of production to the nation is always greater than the wages
paid out. This leads to a deficit in the purchasing power of the consumer) The
gab in purchasing power is thus put on an even keel to the real costs
associated in producing the goods. The Price Compensation paid to the retailer
on the other hand will ensure the goods remain below a certain price to the consumer
and keep a hold on inflation. (This is basically what the A + B Theorem is about)

As more and more jobs are increasingly being replaced by
machines and other technology advances, the need to compensate real wages lost
with additional new money from the National Dividend gathers more importance.
It must be understood that all technical advances in manufacturing and
production has lead to a greatly reduced no of workers required. This should be
a benefit to all mankind and should be recognised as a nationally owned
heritage to every one.  The opposite is
true and people in general are thrown out on the scrap heap with the
unemployed. The shockingly low benefits provided guarantee a poverty that is
almost impossible for a family to live on.

Social Credit is the solution to the world’s problems. It is
the only monetary reform I Know that recognizes the growing gap in consumer purchasing
power. CH Douglas certainly knew what he was talking about. The
people will be
guaranteed minimum income that is above the standard wage accepted today
no matter how many hours the working week has been reduced by or lost.
There
will be no room for poverty.  The removal
of national debt will be the next job and this is easily done. All existing
private debt will no longer be subjected to interest payments.

Additional money for
private and business loans will be made available interest free from a
net work of banks. This money is created and distributed from the People’s bank
through out the net work of banks. The banks do not create this money and will
only provide a service in distributing it. They do not make any profits in
supplying this service and are paid accordingly. This money must be paid back. As
the banks role is to supply this money in an intermediate capacity only there
is no risk to the banks if a default takes place.

The core elements of Social Credit
remain unchanged. The policy to remove the banks right to create money is
important for Social credit to work properly. The People’s Bank is a proven and
obvious necessity of Social Credit. The additional Independent Credit Offices
to the National Credit Office is also an important necessity in providing the
decentralisation of credit control. Effectively removing the power of credit
from the hands of individual, group and government control.

 It does not matter if Douglas mentioned any of what I propose. This and other
measures can be used for the better of Social Credit. Anything can be improved,
nothing is perfect. We need to go forward. Above all
Social Credit needs to be written in a way that every one can understand. I do
not have much faith in economists or people tough in our brainwashed
universities. Every one should be given a chance to understand Social Credit.
It is futile to rely on these so called intellectuals. I much prefer the type
who can think for themselves and question what they have been taught. It is
they who will make the difference. Let’s write it in a language that they can
understand.
Regards,
Andrew Webb

 www.bleedingindebt.com

Ferraye: brevets volés, DSK, conseils

DSK, alias Dominique Strauss-Kahn est toujours mis en cause notamment pour son implication dans une
escroquerie internationale portant sur une somme de plus de 22 milliards de dollars
( dans une première phase .. ).

http://www.youtube.com/watch?v=Qc0EtoN2c5M&feature=relmfu

Au vu de cette histoire sordide de vol de brevet, les jeunes étudiants,
mais aussi les inventeurs individuels en déduiront facilement que le
système de brevet de l’INPI et de l’OMPI n’est pas fait pour protéger
les inventeurs individuels, mais bien pour permettre à une certaine
mafia de spolier ces mêmes inventeurs individuels.

Je conseille
d’ailleurs de déposer de façon concomitante un brevet français (ou autre
nationalité) avec dans les minutes qui suivent sur la même journée une
convention de BERNE “scientifique” (voir convention de Berne : “domaine
littéraire, scientifique et artistique”) … et ne dite surtout pas que
cela n’existe pas, il vous suffit pour vous en convaincre de lire le
texte complet des conventions de berne modifié à Paris le 24 juillet
1971.

http://www.admin.ch/ch/f/rs/0_231_13/a2.html

http://www.wipo.int/wipolex/fr/wipo_treaties/text.jsp?doc_id=131032&file_id=189922

Marie 

Qu’est-ce que l’affaire Ferrayé ?

Joseph Ferrayé est
l’inventeur des systèmes d’extinction et de blocage qui ont maîtrisé en
trois mois au lieu de six à huit ans les 1164 puits explosés en 1991 au
Koweït. (Sur le chiffre de 1164, voir Abdullah Yusuf Al Ghunaïm, Devastating Oil Wells as Revealed by Iraqi Documents, Center for Research and Studies on Kuwait, fondation d’Etat koweïtienne.)
Révolutionnant plus de 15 000 fois tous les
procédés classiques, les systèmes Ferrayé ont été déclarés stratégiques
et vendus en fraude à tous les pays producteurs de pétrole sous la
couverture de la compagnie Elf, pour le compte du gouvernement de François Mitterrand et des hauts responsables français de gauche et de droite, ainsi que par le biais de la société américano-saoudienne Aramco, commanditée par l’administration Bush père et la compagnie Halliburton.
 Système d'extinction - Heller
Système d’extinction Ferrayé en application au Koweït – Photo: Dr. Jack Heller, USACHPPM, Mai 1991.
Brevets des systèmes Ferrayé déposés à l’INPI et l’OMPI :
A l’Office européen des brevets :
Pour les dates de dépôt visionner les documents dans le registre européen.
A preuve de l’application frauduleuse des systèmes Ferrayé en 1991 au Koweït, voir l’article
“How well control techniques were refined in Kuwait” (Comment les
techniques de contrôle des puits ont été perfectionnées au Koweït)
publié dans le magazine World Oil en mai 1992 par Larry Flak,
l’ingénieur texan chargé de coordonner les travaux des extinctions des
puits au Koweït du 19 mars au 15 novembre 1991. L’article décrit les
caractéristiques techniques des nouveaux systèmes, mais les attribue à ABB VETCO GRAY, dont le PDG n’était autre, à l’époque, que Percy Barnevik et où siégeait, à l’office de Zürich, le futur Secrétaire à la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld,
qui fit de sa place au conseil d’administration le moyen pour ses
complices et lui d’encaisser en toute discrétion une partie des
royalties escroqués à Joseph Ferrayé. Notons aussi bien, qu’en tant que
membres du Bilderberg Group, organe archi-secret de politique
mondiale, Donald Rumsfeld et Percy Barnevik en ont toujours profité pour
demeurer en constante collusion avec d’autres de ses membres tels que Loïk le Floch-Prigent et Philippe Jaffre d’Elf, ou pour citer quelques ministres des premiers gouvernements responsables du vol des brevets, Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin, Bernard Kouchner, Jacques Toubon. Voici comment débute le rapport de Larry Flak : « ABB VETCO GRAY, qui a dirigé l’atelier mécanique de Kuwait Oil Company
à Ahmadi, a été capable de réaliser des procédés géométriques. » Puis
l’auteur entre dans la description des caractéristiques techniques des
nouveaux systèmes de Joseph Ferrayé.
Chargée de vendre les systèmes, la Saudi Aramco, opérant sous l’inspiration du Prince Bandar ben Sultan ben Abd al-Aziz Al Saoud, ambassadeur à Washington et de l’homme d’affaires libanais, artisan des accords de Taëf, Rafic Hariri, faisait en sorte de blanchir en partie les comptes provenant de leur vente par des livraisons de pétrole couvrant les parts des plus hauts responsables. Ainsi, l’Arabie Saoudite et le Koweït fournissaient du pétrole aux sociétés désignées par François Mitterrand (Total, Fina, Elf et x) de manière à couvrir les montants revenant aux plus hauts responsables français, comme aux sociétés désignées par George Bush (Tam Oil et x) pour couvrir les montants revenant aux américains. Pour la France, Total-Fina-Elf renvoyait le prix de ce pétrole au directeur d’Elf Aquitaine International,  Alfred Sirven, qui le déposait sur des comptes collectifs dans tous les paradis fiscaux du monde et particulièrement en Asie du Sud-Est.
A cette époque, comme le raconte Naggy Bressot, l’épouse aujourd’hui séparée de l’ambassadeur Jean Bressot, alors en poste au Koweït, les ministres du second gouvernement Rocard, Pierre Joxe (Défense), Roland Dumas (Affaires étrangères) et les autres, avaient coutume de se réunir à son domicile parisien, 7 rue de Javel dans le 15ème, pour discuter des suites de leur escroquerie.
Le 13 mai 1991, deux jours avant qu’il ne présente à Mitterrand sa démission, le Premier Ministre, Michel Rocard, signe le décret complémentaire relatif à l’organisation de l’INPI n° 91-432, légalisant la délégation à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), qui s’était prêté au pillage des brevets Ferrayé, des compétences de surveillance et de contrôle dévolues
au ministre de l’Industrie. Désormais, le directeur général de l’INPI,
comme l’affirme le décret, « peut recevoir délégation de signature du
ministre chargé de la propriété industrielle pour exercer les
compétences dévolues à celui-ci dans le domaine de la propriété
industrielle et des droits annexes à la propriété industrielle ». Ainsi
dissociait-on le pillage des brevets de leur exploitation illégale à
travers l’Institut Français du Pétrole (IFP) et la compagnie Elf,
en préparant à Dominique Strauss-Kahn, par son indépendance de façade à
l’égard de l’INPI, des conditions optimales pour succéder au Ministre
de l’Industrie Roger Fauroux et poursuivre avec une pleine
maîtrise les opérations frauduleuses. Enfin, par le remaniement du
gouvernement, Mitterrand croyait tourner la page sur l’abject complot
qu’il avait ourdi et les multiples violations légales dont il s’était
rendu coupable.
A la demande du Doyen de la Faculté des Sciences de Nice, Guy Turcot,
qu’il a contacté le 22 mai, dans l’espoir de faire appliquer ses
systèmes au Koweït par l’intermédiaire du Gouvernement français, Joseph
Ferrayé se met en contact avec l’escroc Etienne Tillié, lequel se fait passer pour un chercheur, et l’expert-comptable, Christian Basano.
Celui-ci, comprenant la nécessité de soudoyer des membres du
Gouvernement ayant autorité sur Strauss-Kahn, pour lui retirer la
mainmise déjà solide qu’il a sur la gestion du complot, prend, le 4
juin, l’avion pour Paris, pour s’y rencontrer avec Aurélien Garcia, chargé de mission du Premier Ministre, Edith Cresson
à qui, sans en avoir avisé Ferrayé, qu’il ne connaissait en personne
que depuis la veille, il propose, par l’intermédiaire de Garcia, 500 000
francs français sur chaque puits traité par les systèmes Ferrayé, en
échange de sa coopération et de l’éviction de Strauss-Kahn.
Profitant de l’aubaine, Edith Cresson adresse, dès le lendemain, une lettre en trompe-l’œil à Jean-Michel Baroche,
dans laquelle elle feint de lui faire croire que la nouvelle
technologie inventée par Joseph Ferrayé est prête à passer sous le
contrôle exclusif de la Sofremi dépendante du Ministère de
l’Intérieur, dans l’intention de rappeler à tous, et surtout à
Strauss-Kahn, la priorité de ses propres droits sur les revenus de
l’escroquerie. Message auquel ne manque pas de réagir aussitôt le
ministre de l’Industrie qui lui promet une commission équivalente à
celle qu’offrait Basano mais prélevée sur les fonds occultes de la
société Elf.
Cette contre-proposition
permet à Cresson de jouer la surenchère et le 17 juin, Christian Basano
confirme à Aurélien Garcia l’attribution au Premier Ministre d’un
million de francs par puits, de sorte que les accords secrets avec le
Koweït étant en passe de changer, cet Etat délègue à l’inventeur et ses
nouveaux associés dans la société CONIRA (Compagnie Niçoise de Recherche Avancée), Etienne Tillié, Christian Basano et François Colonna, le général Mohammed Al Bader, en
charge du Comité de sécurité de l’Etat du Koweït, qu’ils reçoivent
officiellement avec Garcia, présent en qualité de représentant du
Gouvernement, le 8 juillet 1991, au célèbre Hôtel Negresco à Nice.
Mais des divisions qu’ils
surent adroitement susciter entre les ministres, les associés de Joseph
Ferrayé n’avaient nulle intention de le faire profiter : aussi ne
tardent-ils pas à se rallier à Strauss-Kahn, devenu le principal maître
d’œuvre du complot, lorsque Mitterrand, comme l’a rapporté Naggy Bressot
chez qui toutes les tractations mafieuses se déroulaient, parvient à
réconcilier les deux camps du gouvernement.
Puisque le système
d’extinction était depuis le 7 mai 1991 frauduleusement appliqué au
Koweït par les quatre principales compagnies d’extinction des puits : Red Adair, Boots and Coots, Safety Boss et Wild Well Control, sous la direction logistique de Bechtel, dont l’ancien chef du FBI et de la CIA, William Webster, signait les contrats, et la haute main de l’administration Bush, avec qui le gouvernement français l’avait partagé (voir ici
ce reportage du journal télévisé d’Antenne 2, daté du 7 mai
précisément, où l’entreprise américaine Boots & Coots le met à
l’essai avec succès dans le champ pétrolifère d’Al Ahmadi au Koweït),
il ne restait plus qu’à détourner le système de blocage, en vue de
quoi, Dominique Strauss-Kahn remit, le 26 juillet 1991, à François
Colonna, l’un des perfides associés de l’inventeur, une lettre adressée
au ministre koweïtien du pétrole, par où d’une part il attestait son
rôle prépondérant dans la gestion du complot et de l’autre accréditait
les négociateurs associés de Ferrayé comme ses loyaux acolytes.
Système de blocage
Système
de blocage Ferrayé en application à Rumaylah en Irak sous la
surveillance d’Aisa Bou Yabes, chef de l’équipe d’extinction de la
Kuwait Oil Company – Photo: Peter Menzel, 1991.
Il ne fait aucun doute que
les lettres du 5 juin 1991 d’Edith Cresson, Premier Ministre, à
Jean-Michel Baroche et du 26 juillet 1991 de Dominique Strauss-Kahn,
Ministre de l’Industrie et du Commerce Extérieur, à Hmoud Al Raqaba, Ministre koweïtien du Pétrole, constituent des preuves de leur implication consciente et résolue dans l’escroquerie.
Edith Cresson à Jean-Michel Baroche :
« J’ai pris connaissance
du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de
l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu
de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise
des puits de pétrole au Koweït. Je souhaite vivement que la qualité de
cette technologie, que la société du Ministère de l’Intérieur Français
SOFREMI s’apprête à prendre sous sa responsabilité, vous permette de
mener à bien vos négociations avec les autorités koweïtiennes. »
(CM/EC/n° 897/GP , Châtellerault, le 5 juin 1991)
[N.B. Il faut avoir en tête
que la Sofremi, qui sert ici d’épouvantail, était étroitement contrôlée
comme l’Institut Français du Pétrole, par les politiques de droite au
premier rang desquels Charles Pasqua, qui par l’intermédiaire de son homme de paille en Suisse, Patrick Chamarre,
n’aura de cesse de blanchir les royalties astronomiques de Joseph
Ferrayé. Le complot qui a commencé avec les chiraquiens, comme on le
verra se continuera sous leur constante surveillance.]
Dominique Strauss-Kahn à Hmoud Al Raqbah (Al Raqaba) :
« J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL
en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de
votre pays. Le gouvernement français est très sensible à cette
intention. Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans
les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission. »
(CAB. n° 7702 Paris, le 26 juillet 1991)
[N.B. HORWELL est une filiale
de l’IFP (Institut Français du Pétrole), spécialisée dans le forage
horizontal. En 1991 la société obtient de la Fédération Nationale des
Travaux Publics (FNTP) le Prix de l’Environnement pour la « remise en
état de puits de pétrole en feu au Koweït » grâce à la technologie
dérobée à Joseph Ferrayé. Quelle ironie quand on pense d’ailleurs, que
pour en cacher l’utilisation et le partage frauduleux avec d’autres
puissances au mépris des intérêts de la France, où les brevets en
étaient déposés, le Gouvernement français et l’Institut Français du
Pétrole avaient exclu la possibilité, malgré le danger encouru par les
soldats français stationnés au Koweït, d’une mission d’évaluation et de
maîtrise du risque écologique et sanitaire inhérent à l’incendie des
puits de pétrole, quoique celle-ci ressortît en propre aux attributions
de l’IFP et fût tout à la fois d’un intérêt vital et national.
Auditionné le 22 novembre 2002 par des membres de la Commission de la
défense nationale et des forces armées dans le cadre d’un rapport d’information sur les conditions d’engagement des militaires français dans la Guerre du Golfe, le Directeur de l’environnement à l’IFP, Alain Feugier
n’avait ou su ou voulu, à la consternation déjà grande de ses
intervieweurs, fournir d’éclaircissement significatif sur la question
des puits incendiés au Koweït en 1991 et sur le rôle imparti à l’IFP à
cette occasion, d’autant que le gouvernement français avait veillé à ce
que le Koweït et ses champs pétrolifères en particulier fussent
« hermétiquement fermés » pour reprendre les mots du député Aloyse Warhouver à toute mission publique d’intérêt général.]
Les comptes provenant du
Koweït furent séquestrés au printemps 1995 au nom de Joseph Ferrayé, et
ceux provenant de la vente des systèmes aux autres pays pétroliers en
juillet 1995 au nom de la société Wildrose Investors Group, société désignée dans le mandat établi le 3 octobre 1995 par le notaire genevois auxiliaire des escrocs, Pierre Mottu, enregistrée au Panama et gérée par Jean-Marie Ghislain, qui apparaît par ailleurs dans les société d’Oussama Ben Laden, dans le but prétendu de restituer tous ses droits à Joseph Ferrayé.
Suite au dernier
séquestre, les gouvernements impliqués dans l’escroquerie s’entendirent
pour verser à Joseph Ferrayé, au travers de conventions, ou cessions de
droits, signées en l’Etude de Me Mottu les 16 et 23 novembre 1995, près
de 17 milliards de dollars (une partie des royalties provenant de
l’application de ses systèmes au Koweït) en l’escroquant du même coup,
par ces mêmes accords que les notaires suisses à leur solde lui firent
abusivement signer, des centaines de milliards provenant de la vente de
ses systèmes aux autres pays pétroliers.
De même avaient-ils
escroqué l’Irak en multipliant par 2.7, selon les propres aveux de
Pierre Mottu et les révélations du Procureur de Genève Bernard Bertossa au banquier André Strebel, l’offre proposée par Joseph Ferrayé au Koweït pour l’application de ses systèmes (offre envoyée le 16 juin 1991 à Issam Al Sager), passant à plus de 80 millions de dollars par puits en feu au lieu de 30, devant être officiellement prélevés, par la United Nations Compensation Commission (UNCC),
sur les ventes de pétrole de l’Irak, c’est-à-dire aux dépens du peuple
irakien : 1164 puits x 30 millions = 34 920 milliards x 2.7 = 94 284 milliards de dollars.
Une plainte fut alors
déposée en Suisse par Joseph Ferrayé le 29 janvier 1996, suite à
laquelle la Kuwait Oil Company, à l’instigation du procureur Bertossa,
du notaire de Genève Pierre Mottu et des avocats Marc Bonnant et Dominique Warluzel (tous deux décorés de la légion d’honneur, par Jacques Chirac,
pour services rendus au Crime Organisé) réduisit à 610 millions de
dollars (Cf. Rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU, S/AC.26/1996/5 du
18 décembre 1996, par le Comité de Commissaires chargé d’examiner la
demande  d’indemnisation de la Kuwait Oil Company des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits : Résumé du rapport en anglais, Rapport complet en anglais, Résumé du rapport en français),
correspondant soi-disant aux montants versés aux sociétés de services
(Red Adair, Wild Well Control, Safety Boss, Boots & Coots, Horwell,
etc.), sa demande d’indemnisation pour les frais engagés dans la remise
en état des puits de pétrole du Koweït – que le Prof. Tahir Husain,
de la King Fahd University of Petroleum and Minerals de Dhahran en
Arabie Saoudite, estimait en 1995, pour les seuls efforts d’extinction, à
1,5 milliard de dollars (Kuwaiti Oil Fires : Regional Environmental Perspectives, Pergamon Oxford, 1995, p. 68.)
–, en reportant la différence, avec la complicité active de l’UNCC, qui
prétendit à faux dans le rapport précité que la Kuwait Oil Company
avait réclamé en 1993 un dédommagement de 951 millions de dollars, sur
des réclamations fictives
à l’Irak, du reste éloquemment documentées par les soins, ô combien
louables, de l’ancien Chef adjoint de la Bibliothèque de l’ONU à Genève,
aujourd’hui décédé, Theodore Dimitrov.
La surfacturation au
départ imaginée par l’ancien associé de Joseph Ferrayé, Etienne Tillié,
passé au service des escrocs, fut découverte par Daniel Levavasseur,
le détective et ancien agent de la DST que Ferrayé avait mandaté pour
récupérer son dû et qui bénéficiant de l’aide du cabinet d’investigation
Kroll Associates, avait retracé quelques 100 milliards de
dollars de comptes bancaires provenant du détournement des royalties de
son mandant, selon sa déposition officielle du 24 novembre 1999 à la
juge d’instruction et présidente du Collège des juges de Genève, Christine Junod,
confirmée d’ailleurs par les déclarations d’un des principaux escrocs
de l’affaire, le notaire de Genève, actuel patron du groupe Rolex,
Pierre Mottu, dans sa déposition à la Brigade financière de Genève, le 6
février 1996. Joseph Ferrayé, quant à lui, ne vit jamais la couleur
d’un centime.
Puis, en octobre 1999,
sans qu’il la connût auparavant, quoiqu’elle fût en liaison permanente
avec Daniel Levavasseur, il reçut un coup de téléphone de la commissaire
des Renseignements Généraux, Brigitte Henri : de sa voix grave, celle-ci l’avertit qu’elle avait reçu instruction de tous les hauts responsables de l’Etat et du Président Chirac en
particulier, de lui proposer 800 millions de dollars, sans
imposition, pour qu’il retire sa plainte générale déposée le 29
janvier 1996 contre les commanditaires et les exécuteurs du complot.
Joseph Ferrayé, auquel les conventions signées précédemment donnaient
droit au moins à 17 milliards de dollars, et qui répugnait à se laisser
acheter par une organisation criminelle, rejeta son offre.
En février 2003, soit un mois avant son audition par Christine Junod,
à qui Levavasseur avait en 1999 remis des documents bancaires
concernant 24 milliards de dollars provenant de l’utilisation
frauduleuse des systèmes Ferrayé au Koweït, cet enquêteur était
assassiné dans le Var, près de Saint-Raphaël et son assassinat,
probablement dû aux services secrets français, maquillé en accident de
varappe. Christine Junod, bien qu’elle eût attesté devant témoins, que
les documents de Levavasseur étaient en sa possession (Cf. déclaration de l’avocat André Clerc), s’empressa de les faire disparaître.
Les investigations menées
jusqu’à présent ont déjà permis d’identifier 14 000 sociétés de
blanchiment d’argent, parmi lesquelles les réseaux financiers de
l’organisation Al Qaïda qui tira profit d’une partie des fonds détournés, notamment à travers la BCCI et la financière suisse SBA, contrôlées par Khaled ben Mahfouz, le beau-père d’Oussama ben Laden, et via les comptes suisses de Yeslam bin Laden, le frère d’Oussama.
Pour conclure, cette
escroquerie a permis à ses auteurs de faire main basse sur l’économie
mondiale en extorquant avec la complicité active de l’ONU plus de
100 milliards de dollars au peuple irakien, en outre de plusieurs
centaines de milliards aux contribuables de tous les pays pétroliers.
De plus, elle a rendu
possible aux dirigeants d’Al Qaïda, dont les réseaux financiers
servirent, en connaissance de cause, à blanchir une partie des sommes
détournées, de financer leurs nombreux attentats, parmi lesquels ceux du
11 septembre 2001.
Enfin, si l’on en croit les révélations de l’homme d’affaires américain, Tullio Ponzi
à Joseph Ferrayé, elle ne serait pas non plus étrangère à la décision
prise par l’administration américaine d’envahir l’Irak en 2003, comme la
preuve lui en fut donnée, lorsque cet affidé de William Webster, pour
se crédibiliser, l’avertit, plus de deux mois avant, de la date
secrètement fixée pour l’entrée en guerre officielle des Etats-Unis en
Irak, à savoir le 19 mars 2003.
De tous ces crimes,
association de malfaiteurs, escroquerie, corruption, falsification de
documents, abus de pouvoir, homicides, jusqu’à l’impardonnable extorsion
des ressources vitales de l’Irak, et jusqu’au financement du terrorisme
islamiste, la preuve est faite que les responsables politiques français
de gauche et de droite sont pleinement coupables et doivent en
conséquence subir la juste sanction.

7.Posté par
Jean-Marie
@ michel

Si l’INPI est une ADMINISTRATION, elle a mal
fonctionné puisque les brevets de monsieur Joseph FERRAYE auraient du
passer par le filtre du “secret défense” et être bloqués en tant que
“procédé stratégique d’intérêt mondial pour l’énergie” surtout à cette
époque où le pétrole brulait au Koweït sur plus de 750 puits.

Au lieu de cela :

1.
Le Ministre de l’Industrie obtient la possibilité de recevoir
délégation de signature du ministre chargé de la propriété industrielle
[…] du registre du commerce et des sociétés […] par décret du
premier ministre de l’époque en date du 13 mai 1991 (Les brevets de
Joseph FERRAYE ont été enregistrés à l’INPI les 11 avril 1991, 16 avril
1991 et 2 mai 1991).

2. L’ADMINISTRATION ou plutôt “La Défense
Nationale” ne fait pas usage de son droit de “mise au secret” dans
“l’intérêt de la nation” comme on aurait été en droit de l’attendre au
vu des implications énergétiques mondiales de ces brevets.

3. Ces
brevets ont vraisemblablement été divulgués à certaines personnes, au
mépris de la réglementation de la propriété industrielle qui tient au
secret les brevets tant qu’ils ne sont pas officiellement publiés (ce
qui peut prendre jusqu’à 18 mois)

4. On voit arriver sur ce
marché une coquille vide dénommée HORWELL qui serait une filiale de
l’IFP (“Institut Français du Pétrole” n’est-il pas une émanation de
l’ADMINISTRATION française en tant qu’Etablissement Public National ?)

5.
On découvre que l’ADMINISTRATION ou plutôt les Ambassades de France
mais aussi les services secrets français sont impliqués dans toute cette
affaire (ce qui démontre aussi que ces brevets auraient du bénéficier
du “secret défense” dans l’intérêt de la nation).

6. Les services
anti-fraudes et anti-concurence de l’ADMINISTRATION (DCRI aujourd’hui)
n’ont pas fonctionné au bénéfice de l’inventeur qui avait pourtant
déposé des brevets en bonne et due forme, sachant qu’aucune société
intervenant sur ces puits de pétrole en feu n’a jamais obtenue de
licence d’exploitation avec la signature originale de monsieur Joseph
FERRAYE.

7. Durant plus de 20 ans l’ADMINISTRATION ou plutôt les
magistrats ont tout fait pour entraver le bon déroulement de la justice,
très certainement sur ordre, malgré les multiples plaintes déposées par
les personnes spoliées dans cette affaire.

Si pour vous il n’y a
pas fautes multiples de l’ADMINISTRATION française dans le cas de cette
affaire, que vous faut-il de plus pour vous en convaincre ?

A
moins que vous considériez que la spoliation des petits inventeurs soit
une chose normale dans le système libéral que nous subissons
actuellement, comme par exemple la célèbre affaire de l’inventeur
américain du mouvement intermittent pour les essuies-glace à qui les
juges ont concédés quelques centaines de millions de dollars pour éviter
de mettre en faillite définitive tous les fabricants de voitures du
monde (mais là, nous sommes aux USA pas en France !).

http://www.2477news.com/Assignation-devant-le-TGI-de-Paris-de-Monsi…

Pourquoi DSK a vanté les mérites d’une société fantôme pour escroquer un inventeur?

Dominique Strauss Kahn impliqué
dans une affaire d’escroquerie internationale d’un montant de 22
milliards de dollars. En 1991, au lendemain de la 2e guerre du Golfe,
les puits de pétrole du Koweït sont en feu. Une société française,
dirigée par un chercheur libanais, Joseph Ferrayé, soumet aux autorités
koweitiennes un devis d’un montant de 22 milliards de dollars. Arrivé
sur place pour défendre ce devis, Christian Basano, un associé de Joseph
Ferrayé s’aperçoit que leur société venait d’être doublée par une autre
société, française, Horwell, une filiale de l’IFP (Institut français du
pétrole), qui a frauduleusement exploité les brevets déposés par Joseph
Ferrayé. A l’époque des faits, DSK est ministre délégué auprès du
ministre d’Etat chargé de l’Industrie et du Commerce extérieur. C’est à
ce titre qu’il a écrit personnellement au ministre koweitien du pétrole
pour lui vanter l’expérience d’une société en réalité quasiment fantôme,
la fameuse société Horwell. Il était par ailleurs aisé au même Strauss
Kahn d’avoir accès aux brevets que Joseph Ferrayé avait déposés auprès
de l’INPI (Institut national de la propriété industrielle) puisque
l’INPI, tout comme l’IFP, est précisément l’un des services qu’il
chapeautait. Touchante preuve d’amour conjugal, c’est en sa qualité
d’épouse du ministre que le 12 mai 2000 sur TF1, Anne Sinclair fait
intégralement censurer un reportage sur l’extinction des puits de
pétrole du Koweït. Strauss Kahn a été assigné par MM. Ferrayé et Basano
devant le Tribunal de grande instance de Paris, lequel va diligenter une
enquête approfondie sur l’affaire dans les prochains mois.

Le Candide, Naïf et TRES Aimable Eric VII

Liste expressions et mots clés :
Christian Basano, Assignation TGI de Paris, Joseph Ferrayé,
puits de pétrole en feu, extinction des puits de pétrole, visa
pour le Koweït, Dominique Strauss-Kahn, Ministre délégué à
l’industrie et au commerce extérieur, Hammoud Abdallah Al Raqbah,
ministre du pétrole de l’Émirat du Koweït, gouvernement de
madame Edith Cresson, brevet à l’INPI, IFP, Horwell, Kuwait
Bank, Maitre Motu, Levavasseur agent DST, ADER, Ayant Droit
Économique Réel, PBE OIL, Ambassade de France au Koweït,

Stop Anders Behring Breivik à Utoya, James Holmes à Aurora, Columbine etc… Comment peut-on arrêter un massacre ?

Les francs-maçons veulent nous désarmer ! Comment et pourquoi ?

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=KjH3ZMUks1o

(NaturalNews) Dans la foulée de la fusillade Aurora, Colorado dans la première de Batman au cinéma, une vidéo de surveillance a fait surface qui montre la réponse simple et évidente à la question à l’esprit de tout le monde: Comment peut-on arrêter un massacre?

La réponse est révélée dans la vidéo surprenante ci-dessus. Cette solution est remarquable:

Ne nécessite pas de police.
• Les coûts pour les contribuables est nul.
Ne nécessite pas de formalités administratives à l’avance.
Protège des vies innocentes.
est déployée en cinq secondes.
Fonctionne partout.
Décourage la criminalité violente.
Fait fuir les méchants immédiatement.
Est facile à apprendre.
• Fonctionne au niveau local.
Ne nécessite pas de contrôle ou d’intervention des Nations Unies ou de toute autre entité gouvernementale.

En savoir plus: 
http://www.naturalnews.com/036551_how_to_stop_massacre_video.html # ixzz21QmYpWo0

Le suspect des attentats d’Oslo serait un Franc-Maçon norvégien de 32 ans

Article placé le 23 juil 2011, par Spencer Delane (Genève)

Dernière mise à jour à 12h00

Le
principal suspect du double attentat perpétré hier à Oslo serait un
homme de 32 ans d’origine norvégienne. Islamophobe déclaré, l’individu
serait également membre d’une loge maçonnique.
Alors que
les deux attaques perpétrées vendredi à Oslo auraient fait plus de 90
morts, selon un bilan encore provisoire, les médias norvégiens ont
divulgué l’identité du principal suspect, arrêté lors de la fusillade
sur l’île.
Selon la
chaine TV2, Anders Behring Breivik, un Norvégien de 32 ans (né le 19
février 1979), serait passé aux aveux lors de son interrogatoire par la
police en fin d’après-midi. L’appartement où il vivait dans le comté de
Hedmark, au sud-est du pays, aurait été perquisitionné en début de
soirée.

Photographie d’Anders Behring Breivik en tenue maçonnique publiée par le DailyMail

Selon le
quotidien norvégien VG, l’homme serait membre d’une loge maçonnique,
comme le confirme notre photographie, où Anders Behring Breivik apparait
en « tenue ».
L’individu
serait également un islamophobe déclaré, précise le quotidien qui
publie des extraits de ses messages postés un site xénophobe, ainsi que
des commentaires issus de son compte Facebook, sur lequel il déclare
être un « fan de Winston Churchill » ainsi que du héros norvégien
anti-nazi Max Manus.
Anders
Behring Breivik ne serait connu des services de police que pour des
délits mineurs datant d’il y a plus de dix ans. Il aurait servi dans
l’armée norvégienne dans le cadre du service militaire obligatoire.

Mises à jour du samedi 23 juillet:

Membre de l’obédience Den Norske Frimurerorden

Selon un article publié sur le site de la chaîne TV2, que nous reproduisons ci-dessous au cas où il viendrait à disparaitre, Anders Behring Breivik serait membre de l’obédience Den Norske Frimurerorden.
L’information serait issue du bulletin des loges maçonniques
norvégiennes datant de 2008. La loge serait basée à Oslo et compterait
813 membre. Le site TV2 en révèle la liste complète (
le nom d’Anders Behring Breivik y apparait en deuxième page).

(cliquer sur les images pour les agrandir)

Plusieurs tireurs ?

Selon le site norvégien NRK,
des témoins auraient rapporté que plusieurs tireurs se trouvaient sur
l’île d’Utoeya au moment de la fusillade. Une information qui n’est pour
l’heure pas confirmée par la police.

L’armée prend position dans le centre-ville

L’armée
norvégienne a bouclé la zone du quartier gouvernemental d’Oslo où s’est
produit l’explosion d’hier, relevant ainsi les forces de police. Un
reporter du site NRK décrit la capitale comme si elle était « abandonnée » ce samedi matin
.

Directeur d’une ferme agricole

Anders
Breivik Behring serait le directeur de Geofarm, une entreprise agricole
située à Rena, un lieu isolé du comté d’Hedmark, dans le sud-est du
pays. Selon le registre du commerce, Geofarm avait pour objectif de se
livrer à la culture biologique de « légumes, melons et racines et tubercules
», une activité qui permet également de commander de grande quantité
d’engrais, dont un des composants, le nitrate d’ammonium, est connu pour
servir à la fabrication d’engins explosifs.
Kurt
Sivertsen, un journaliste norvégien qui est arrivé sur les lieux dans la
soirée de vendredi avant la perquisition des forces de police a trouvé
la « ferme déserte, sans aucun occupant, bien que la lumière soit allumée à l’intérieur. »
Spencer Delane, pour Mecanopolis
Sources : TV2, VG, DailyMail, NRK
Les francs-maçons veulent nous désarmer! Comment et pourquoi ? 



 Selon leurs propres textes:


« Cette concentration de l’Armée maçonnique a lieu quand le
signal, qui est un coup de canon, est donné par le chef qui en a le
commandement suprême. Le premier coup de canon et la première
concentration eurent lieu quand Luther se mit à la tête de la révolte de
l’intelligence contre la Forme.

« Le deuxième coup de canon et la deuxième concentration eurent
lieu quand l’affirmation que tout gouvernement humain tient son autorité
du peuple et seulement du peuple, se produisit en Amérique.

« Le troisième coup de canon et la troisième concentration eurent
lieu quand la proclamation de la doctrine de Liberté, Égalité et
Fraternité eut lieu en France.

« Le quatrième et le cinquième coup de canon, et la quatrième et
la cinquième concentration n’ont pas encore eu lieu. À la cinquième
concentration succédera le règne du Saint Empire, c’est-à-dire le règne
de la Raison, de la Vérité et de la Justice. »

Tel est le texte… prophétique du rituel du Grand-Orient de France (Marqués-Rivière, L’Organisation secrète, pp. 150-152).

Dieu avant l’argent. La dictature des terroristes financiers.

desiebenthal.blogspot.com/…/dieu-avant-largent-la-dictature-des.html

29 avr. 2010 – Prudence avec les terroristes financiers qui produisent tous les S.Exc. Mgr Vincent Michael CONCESSAO, Archevêque de Delhi (Inde).

Il y a de plus en plus de “lois” immorales.
Avortement,
FIVETE, recherches sur les embryons humains et vaccins composés de
foetus humains, euthanasie active, aides au suicides, “mariages” de même
sexes, “adoptions” par des pedo-criminels, sélections eugéniques,
peines de prison sans limites pour des prétextes débiles et morts de
prisonniers sous des rires sardoniques et même diaboliques en Suisse dans la plaine de l’Orbe, salaires et
bonus déments, lois agricoles absurdes, tricheries électroniques, vols
légaux, impôts exagérés, taxes, amendes, émoluments, primes, bonus,
malus, mesquineries et rapacités avaricieuses “légales”…

Les lois financières violent allégrement l’ encyclique Vix Pervenit et la simple raison.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/vatican-les-fumees-de-satan-en-economie.html

La
seule solution pour s’en sortir, une robotisation massive et le
dividende universel pour tous qui seul permettra de distribuer la
productivité incroyable des robots.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/tahrir-puerta-del-sol-bellecour.html
Prudence
avec les terroristes financiers qui produisent tous les autres
terrorismes. L’amour de l’ argent est la source de tous les maux…

S.Exc. Mgr Vincent Michael CONCESSAO, Archevêque de Delhi (Inde).

Archbishop Concessao

Il
y a quelques jours tout le monde a été étonné lorsque la
télévision a annoncé la destruction du World Trade Center et
la mort de plus de six mille personnes innocentes.
Aujourd’hui, dans le monde, c’est une affaire de tous les jours,
et souvent un signe d’un désespoir résultat de l’impuissance.
Il
existe une autre forme de terrorisme, subtil, caché, dont
on parle peu. Je me réfère au terrorisme d’un système
économique injuste qui écrase et fait mourir des milliers de
personnes chaque jour. Selon une étude internationale sur la
dette qui a été publiée il y a deux ans, 11 millions d’enfants
au-dessous de cinq ans meurent chaque jour dans le monde
principalement par manque d’aliments et de soins pour la
prévention des maladies.
Avec la
présente orientation vers la globalisation la situation des
pauvres va s’aggraver. De petites industries ont été
fermées, privant des milliers de personnes d’un emploi
rémunéré: Les dépenses de l’Etat pour les nécessités des
pauvres ont été réduites à cause des programmes d’ajustement
structurel, ainsi les pauvres sont de plus en plus marginalisés et
amenés au désespoir, ils deviennent des victimes faciles pour
les politiciens et les fondamentalistes. Est-ce que nous
avons un message d’espérance à leur donner, non seulement en
paroles, mais plutôt en programmes concrets d’action?
Dans
ce troisième millénaire, la situation statistique de la
pauvreté est épouvantable. Alors qu’un milliard de personnes
sont analphabètes et plus de 110 millions d’enfants en âge
scolaire ne fréquentent pas l’école, presque 1,3 milliard de
personnes manquent d’eau potable et presque la moitié de la
population mondiale n’a pas accès à un système sanitaire
adéquat, le monde dépense 400 milliards en narcotiques et 780
milliards pour la défense, et l’Europe à elle seule dépense 50
milliards en cigarettes et 105 milliards en boissons alcooliques.
Il y a une phrase qui fait peur dans le Concile Vatican II (Gaudium et spes)
qui provient du Décret de Gratien: donne à manger à l’homme
qui est en train de mourir de faim, parce que si tu ne le
nourris pas, tu es en train de le tuer. C’est un cas de
meurtre par omission.
Dans le monde
actuel il y a assez de ressources pour les besoin de tous,
mais il n’y a pas assez pour leur avidité, (Mahatma Gandhi).
Ne
devrions-nous pas prendre une claire position avec et pour
les pauvres et contre le système dans lequel ils ne comptent
pas? Ce sera une partie de notre engagement pour la culture
de la vie et la civilisation de l’amour. Les raisons de l’espérance
doivent se refléter dans notre célébration de la Parole et des
Sacrements et encore dans notre interaction de tous les
jours avec les personnes. Mathieu était un percepteur
d’impôts, de rang social élevé. Jésus l’appela: Viens,
suis-moi. Mathieu le suit et une transformation se produit
en lui. Zachée est un autre exemple. Émerveillé par
l’invitation de Jésus, il est changé. Notre ministère est
celui de donner l’espérance à tous.
[00143-03.05] [in118] [Texte original: anglais]

http://ferraye.blogspot.com/2008/10/la-banque-corrompt-la-majorit-des.html

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/10/le-dividende-universel-la-nouvelle.html

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/01/les-usa-terroristes-notamment-lopration.html

http://pavie.ch/

Le plus grand terroriste de l’histoire était aussi franc-maçon!


Il faut croire que la maçonnerie mène à tout et pas forcément à la
lumière divine…ou alors pour les victimes de ces « frères » illuminés.
Certes la vitrine de la franc-maçonnerie est belle et bien agencée, mais
évidemment je ne parle pas des frères de province qui essayent
d’intégrer la maçonnerie pour bénéficier de protection judiciaire ou de
complicité d’affaires, non cela n’est que du simple pipi de chat par
rapport à la maçonnerie de haut niveau qui n’a rien de franche je vous
assure.


Les citoyens français peuvent trouver normal que règne en république
un pouvoir occulte dont on ne connaît pas les tenants et les
aboutissants qui se glorifie de faire les lois, d’imposer ses valeurs et
ses hommes au pouvoir politique, et de modeler la politique
internationale de notre pays. Moi non je trouve cela anormal dans une
société humaine qui se prétend démocratique de voir les décisions prises
dans des réunions secrètes. De plus sachant qu’il existe dans tous les
partis politiques et dans tous les niveaux du pouvoir de notre pays,
cela crée des accointances, des conflits d’intérêts comme on dit, qui
ont tout de l’anti-démocratie. Mais il paraîtrait que la
franc-maçonnerie on ne doit pas y toucher, comme le lobby juif, et que
si on tente de le dénoncer alors on est un fachiste. J’avoue que cela ne
me fait ni chaud ni froid.

Surtout depuis que la lumière se pose sur ce tueur norvégien
franc-maçon. Un maître de loge capable d’abattre de sang-froid 80
personnes et qui a pu gravir les degrés de la maçonnerie sans que cela
ne perturbe le moins du monde cet ordre occulte. Au contraire même il
s’y est épanoui. Il faut dire que la maçonnerie, surtout celle alliée à
Israël, ne s’embarrasse pas d’humanisme ni de droits de l’homme. Ce qui
compte c’est le pouvoir et le garder c’est tout. Et pour cela il faut
contrôler les ressources énergétiques du moyen-orient si possible
militairement. On met en scène donc le choc de civilisations, on accuse
l’Islam de terrorisme, et on bombarde les musulmans pour mettre la main
sur leur pays…que du bonheur! Enfin pour eux et pour les dévots de
l’ordre mondial occidentaliste qui pensent que nous sommes l’axe du
bien.

Il est vrai que l’on pourrait penser plutôt travailler en commun avec
des sociétés humaines éloignées de nous pour progresser mutuellement
vers la compréhension via le respect mutuel. Mais cela est sûrement une
pensée hérétique voire fachiste alors…

Alors revenons sur le plus grand terroriste de l’histoire qui
appartenait bien évidemment à la franc-maçonnerie, était la créature du
B’nai B’rith, la franc-maçonnerie réservée aux juifs (ils n’aiment
vraiment pas le métissage eux), comme l’est Obama. Ce terroriste
franc-maçon du 33 ème degrè a pour nom Harry Truman et fût le 33 ème
(chiffre magique) président des USA. Il aura laissé son nom dans
l’histoire de l’humanité pour sa grande fraternité humaine…Non je
plaisante bien sûr le concept de fraternité n’existe plus à ce
niveau-là, ce qui compte c’est le pouvoir.

Ce
franc-maçon aura donc ordonné, sur les conseils de ses amis juifs, de
bombarder la population civile japonaise à coup de bombes atomiques. Les
deux seules bombes atomiques activées dans le monde auront donc été
l’œuvre de la franc-maçonnerie mondiale. Et elle ne s’est pas
embarrassée de concepts humanistes ou d’honneur, elle a bombardé
directement la population civile rayant de la carte Hiroshima et
Nagazaki faisant 200 000 morts recensé fin 1945. Je n’inclue pas les
méfaits de la radioactivité sur les populations par la suite. Ne peut-on
pas dire dès lors que ce fût le plus grand attentat terroriste de tous
les temps?

J’en connais qui osent encore défendre cet attentat au nom de la fin
de la guerre contre le Japon, c’est la propagande officielle relayée
massivement dans nos livres d’histoire de bons et gentils occidentaux
que nous sommes. C’est vrai que l’axe du bien c’est nous j’avais oublié.
Or cette propagande est bullshit puisque l’on sait très bien qu’en 1945
le Japon était exsangue militairement et était même prêt à signer
l’armistice. La franc-maçonnerie mondiale n’a pas voulue parce qu’elle
n’a pas d’honneur. Elle poursuit d’autres buts moins avouables aux gogos
et aux dévots. En tout cas Harry Truman fût par la suite un fervent
zélateur de la création de l’état d’Israël. A croire que le terrorisme
mondial ne peut se dissocier de cette entité maléfique et satanique. A
vous de juger de quel côté est vraiment le fachisme.

Un bon film pour rappeler cette époque glorieuse où l’empire
américain a construit la bombe atomique et, surtout, l’a balancé sur une
population civile…deux fois. Un film intitulé: « Les maîtres de
l’ombre ». Marrant pour parler d’illuminés…
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:wzqilaB1zVwJ:lesouffledivin.fr/2011/07/27/le-plus-grand-terroriste-de-lhistoire-etait-aussi-franc-macon/+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=ch&client=firefox-a

http://www.dailymotion.com/videoxk590f

Initiative suisse pour un revenu de base, 17’063 signatures.

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Initiative suisse pour un revenu de base, récolte de signatures, dates et lieux. 

http://www.inconditionnel.ch/index.php?id=80&L=1

Sammelinfos: Bedingungsloses Grundeinkommen

Chers amis et complices d’une vraie redistribution des pouvoirs.La Suisse est actuellement en quasi léthargie, parce que, dans de nombreux endroits, il règne une ambiance de vacances. Cela
présente l’avantage que beaucoup de gens sont tellement détendus et
ouverts, qu’ils donnent facilement leur signature : 17’063 l’ ont déjà
fait.
L’esprit des Fêtes  ( jazz festival, Paléo Festival…), permet la collecte sous le ciel étoilé ou sous un  soleil mitigé. Par exemple, certains matins à sept endroits en même temps dans toute la Suisse:



NyonSamedi 21 Juillet, 10:00 à 20:00 Récolte de signatures au Paléo Festival Dimanche 22 Juillet, 10:00 à 20:00 Récolte de signatures au Paléo Festival LuzerneSamedi 21 Juillet, 9h00-14h00 théâtre de Lucerne page Groupe SchaeferJeudi 26 Juillet, 17:00-20:00 Bureau de poste principalVendredi 27 Juillet, 14h00-18h00 Bureau de poste principalEstSamedi 21 Juillet, 10h00-16h00 Saint-Gall MarktgasseSamedi 28 Juillet, 10h00-16h00 Saint-Gall MarktgasseSamedi 21 Juillet, 10:30 – 14:00, Winterthur TibitsSamedi 28 Juillet, 10:30 – 14:00, Winterthur TibitsBerneSamedi 21 Juillet, 8:30-12:00 Märit devant un tribunal fédéralSamedi 28 Juillet, 08 heures 30-11h00 Märit devant un tribunal fédéralGrisonsSamedi 21 Juillet, 11h00-17h00 Stradun Scuol Festa SulSamedi 28 Juillet, 10h00-18h00 Guarda GuardissimoZurichSamedi 21 Juillet, 10h00-14h00 BellevueJeudi 26 Juillet, 10h00-14h00 BellevueSamedi 28 Juillet, 10h00-14h00 BellevueEn
outre la collecte de données et d’information est disponible à
www.bedingungslos.ch / calendrier ou sur Facebook. 
http://15850.cleverreach.de/c/7785442/4dd27ad92fa5
S’il vous plaît aidez-nous.  
Feuilles de signature peuvent être commandées à tout moment.
info@bedingungslos.chFeuilles de signature dans les journaux et les magazines.

L’hebdomadaire
“WOZ”, le magazine de l’union Syna http://www.syna.ch/nos-enjeux/revenue-de-base-inconditionnel.html , le Bulletin de la Banque  alternative et son journal  “moneta” http://www.bas.ch/fr/a-propos-de-la-bas/ et d’autres ont intégré la feuille de
signature dans leurs publications.
Cette opportunité  est pratique parce que les personnes sont ciblées par ces envois qui  peuvent
être adressés à des militants qui sont plus ouverts à l’initiative populaire.
S’il
vous plaît faîtes-nous savoir à info@bedingungslos.ch si vous avez des idées ou des relations
avec l’ une ou l’autre de ces publications qui pourrait faire de même et faciliter ainsi les signatures – merci!
Nous vous souhaitons bonne chance à tous – et surtout du plaisir tout en la collecte de signatures! 
 Au revoir, 
pour le comité d’initiativeDaniel Straub et Christian Müller
 Liebe Machtumverteilungskomplizen

Die
Schweiz dreht zur Zeit etwas langsamer, weil vielerorts Ferienstimmung
ist. Das hat den Vorteil, dass viele Leute entspannter und damit offener
sind, ihre Unterschrift für eine gute Sache zu geben: 17’063 haben es übrigens schon getan. Wir
lassen uns von der Ferienstimmung nicht einlullen – sondern nutzen den
Sommer für das Sammeln draussen. Morgen zum Beispiel gleich an sieben
Orten:

 Diese und weitere Sammeldaten der nächsten Tage hier auf einen Blick. Schliesse dich an, wenn in deiner Nähe gesammelt wird:

Nyon
Samstag, 21. Juli, 10:00 – 20:00 Récolte de signatures au Paléo Festival
Sonntag, 22. Juli, 10:00 – 20:00 Récolte de signatures au Paléo Festival

Luzern
Samstag, 21. Juli, 09:00 – 14:00 Luzerner Theater Seite Schäfergruppe
Donnerstag, 26. Juli, 17:00 – 20:00 Hauptpost
Freitag, 27. Juli, 14:00 – 18:00 HauptpostOstschweiz
Samstag, 21. Juli, 10:00 – 16:00 St.Gallen Marktgasse
Samstag, 28. Juli, 10:00 – 16:00 St.Gallen Marktgasse
Samstag, 21. Juli, 10:30 – 14:00, Winterthur Tibits
Samstag, 28. Juli, 10:30 – 14:00, Winterthur Tibits


Bern
Samstag, 21. Juli, 08:30 – 12:00 Märit Bundesplatz
Samstag, 28. Juli, 08:30 – 11:00 Märit Bundesplatz
Graubünden
Samstag, 21. Juli, 11:00 – 17:00 Scuol Festa sül stradun
Samstag 28. Juli, 10:00 – 18:00 Guarda Guardissimo


Zürich
Samstag, 21. Juli, 10:00 – 14:00 Bellevue
Donnerstag, 26. Juli, 10:00 – 14:00 Bellevue
Samstag, 28. Juli, 10:00 – 14:00 Bellevue

Weitere Sammeldaten und Infos findest du unter www.bedingungslos.ch/kalender oder bei der Sammler-Facebookgruppe. Bitte dazustossen und mitsammeln. Unterschriftenbogen können jederzeit hier bestellt werden.

Unterschriftenbogen in Zeitungen und Zeitschriften

Die
Wochenzeitung «WOZ», das Gewerkschaftsmagazin der Syna, das
Kundenbulletin der Alternativen Bank «moneta» und weitere haben den
Unterschriftenbogen bereits einmal in einer Ausgaben beigelegt. Das ist
praktisch, weil über solche Kanäle gezielt Menschen angesprochen werden
können, die eher offen für unsere Volksinitiative sind. Bitte teile uns mit,
wenn du Ideen oder Beziehungen hast zu einer weiteren Publikation, die
den Unterschriftenbogen ebenfalls beilegen könnte – herzlichen Dank!


Wir wünschen allen viel Erfolg – und vor allem Freude beim Unterschriften Sammeln! Auf Wiedersehen, für das Initiativkomitee
Daniel Straub & Christian Müller

www.bedingungslos.ch/kalender

Syna salue l’initiative pour le RBI

L’initiative fédérale pour un revenu de base inconditionnel (RBI) était lancée en avril. A l’occasion de leur Congrès d’octobre 2010,
les déléguées et délégués du syndicat interprofessionnel Syna avaient
décidé de suivre l’évolution du concept de RBI. L’activité syndicale
jusqu’ici essentiellement axée sur les salariées et salariés a besoin de
nouvelles stratégies pour faire face à la déstabilisation mondiale des
conditions de travail.


«Syna ne craint pas de formuler et de discuter d’utopies sociales ni
d’encourager ses membres à réfléchir et à agir contre la tendance
actuelle», précisait le dossier du Congrès Syna de 2006. Forts de ce mot d’ordre, nous avons longuement débattu du revenu de base inconditionnel (RBI) lors du Congrès 2010.
Il garantit un revenu minimal à tous les citoyens et citoyennes et
constitue une chance pour les travailleuses et travailleurs de pouvoir
exercer sans contrainte une activité utile qui leur plaise.

L’instauration du RBI renforce la position de la population active.
Les travaux simples ou actuellement mal payés devront obligatoirement
être mieux rémunérés. Le RBI engendrera une véritable garantie de revenu
qui contribuera à éradiquer la pauvreté et à renforcer la dignité de la
personne. Le RBI est un instrument qui favorise la créativité et, dès
lors, stimule l’innovation économique.

Pas un substitut des assurances socialesL’initiative
pour un revenu de base inconditionnel a été lancée le 11 avril 2012.
Elle a été saluée par le Comité de Syna qui estime que cela permettra
d’élargir les débats et de préciser une idée considérée aujourd’hui
encore comme plus que visionnaire. Le texte de l’initiative
volontairement bref demande à la Confédération l’instauration du RBI
afin que l’ensemble de la population puisse mener une existence digne et
participer à la vie publique. Le financement et le montant du revenu de
base inconditionnel seront fixés dans la loi: On estime le RBI à 2500
francs par adulte, il sera évolutif pour les enfants et les jeunes.

Le RBI serait un complément indispensable mais ne se substituerait en
aucun cas aux assurances sociales existantes. Le RBI n’est pas une
mesure d’économie de l’Etat social. L’AVS s’intègre parfaitement dans un
revenu de base de 2500 francs. Toutefois, il y a de nombreux droits
légitimes dans l’Etat social qui vont au-delà du montant du RBI et qu’il
faut absolument préserver.

Une économie qui met l’accent sur l’exclusion et la répression a
besoin de nouvelles solutions. Syna salue l’idée du RBI. Le syndicat
veut s’associer activement aux discussions et contribuer à l’éclosion de
la vision d’un avenir plus juste.

Pour ou contre le revenu de base inconditionnel ?

lundi 6 juin 2011


Un revenu minimal d’existence ; sans
lien avec le travail ; pour tout le monde. L’idée est si simple qu’elle
secoue tous les schémas de pensée. REISO lance le débat en donnant la
parole à Albert Jörimann qui défend ce principe. Il définit le revenu de base et répond aux critiques émises jusqu’ici.


Thomas Moore par Holbein

L’idée d’un revenu de base a été émise par Thomas More (portrait par Holbein) qui en a conçu une forme embryonnaire dans son Utopia
en 1516 déjà. Des penseurs rationalistes, dont quelques pères
fondateurs des Etats-Unis, ont creusé ce concept repris dans les années
1930 après la Grande Dépression. Le revenu de base occupe à nouveau les
esprits depuis les années 1980. C’est effectivement en 1986, en Belgique
et sur l’impulsion de l’économiste-philosophe Philippe Van Parjis, qu’a
été fondée BIEN, acronyme de Basic Income European Network (aujourd’hui
Basic Income Earth Network). Parmi les autres activistes de la première
heure, signalons Guy Standing et Eduardo Suplicy (portrait), qui
a joué un rôle important lors de l’introduction du revenu de base dans
la Constitution brésilienne en 2004. En Allemagne, les professeurs
Michael Opielka (portrait), Claus Offe, Georg Vobruba travaillent
sur ce thème depuis des décennies. Des Prix Nobel d’économie, des
Hautes Ecoles et des Universités se penchent dorénavant sur le sujet.

En Suisse, la filiale de BIEN [1]
s’est constituée en 2001 pour préparer le congrès européen à Genève. En
Suisse alémanique, c’est surtout autour de l’« Initiative
Grundeinkommen » de Bâle – proche des milieux anthroposophiques autour
de l’entrepreneur allemand Goetz Werner – que se sont développées de
nombreuses activités depuis 2006, notamment l’essai cinématographique Le revenu de base – une impulsion culturelle [2]. BIEN-Suisse, de son côté, vient de publier le livre Le financement d’un revenu de base [3].
Depuis l’automne dernier, deux positions politiques importantes ont été
officialisées en Suisse : le syndicat Syna (second syndicat du pays,
d’orientation chrétienne-sociale) s’est déclaré favorable au revenu de
base lors de son Congrès à Saint-Gall ; le Parti socialiste l’a inscrit
dans son programme de fond lors de son Congrès (après Les Verts qui se
sont prononcés en faveur d’un revenu de base depuis 1999).

En Suisse, le débat va encore gagner en intensité puisque
l’« Initiative Grundeinkommen » a annoncé le lancement, en 2012, d’une
initiative populaire pour l’introduction d’un revenu de base. Il est
donc grand temps de définir cette idée, en soi pas si nouvelle que cela,
mais qui n’a pour autant rien perdu de sa force novatrice.

Une définition si simple et si radicale


L'économiste brésilien Eduardo Suplicy


Le revenu de base est un paiement de transfert de l’Etat à tou-te-s les
habitant-e-s du pays ; il est payé aux individus, sans rabais ou
pénalités pour les couples ; il doit être d’une hauteur suffisante pour
couvrir les besoins de base ; il est versé indépendamment d’autres
sources de revenu ou de la fortune ; et il est payé sans conditions ou
contre-prestations requises.

Le revenu de base permet donc à tout un chacun de mener une vie
modeste, mais digne, sans aucune obligation d’exercer une activité
lucrative. En cela, il rompt le lien classique entre revenu et travail –
au moins partiellement. Il remplace les prestations des assurances
sociales jusqu’à hauteur de son montant. Au-delà, les assurances
sociales restent en vigueur au titre d’« assurances complémentaires ».
Dans le cas de l’invalidité par exemple, l’assurance continue de couvrir
tout ce qui concerne les mesures de réadaptation, de qualification, de
réinsertion, les moyens auxiliaires, etc.

La « beauté » de l’idée saute aux yeux : pour la première fois dans
l’histoire de l’humanité, une vie autonome et souveraine est à la portée
de tous les individus et pas seulement le privilège de ceux et celles
qui bénéficient de grandes fortunes ou gagnent des revenus faramineux.
Bien que l’on puisse mettre en question le degré d’autonomie et de
souveraineté des individus (sont-ils capables d’en user à bon escient et
de les développer de façon à en profiter au maximum ?), le revenu de
base incarne le rêve de l’autonomie individuelle généralisée. Le fait
qu’il soit versé à tous les membres de la société, donc aussi aux
riches, témoigne de sa dimension profondément démocratique et
républicaine.

Une grande idée, une utopie… et donc une illusion ? Certes, des
questions de fond se posent à plusieurs niveaux. Abordons d’abord le
domaine de l’économie et du financement. Le fait que, jusqu’à présent,
cinq Prix Nobel d’économie se sont prononcés en faveur d’un revenu de
base peut être interprété comme un premier indice de sa viabilité
économique. En pratique, les calculs développés dans Le financement d’un revenu de base apportent la preuve qu’un tel revenu serait réalisable et financièrement viable.

Les arguments de l’opposition

D’autres questions se posent autour des effets du revenu de base sur
la motivation au travail ou sur les bas salaires. Dans un pays moderne,
post-industrialisé et basé sur le savoir-faire et les services, ces deux
types de conséquences ne devraient pas affecter la création de valeur
dans sa substance. Quant à l’effet macro-économique le plus important du
projet, il consiste sans doute dans la stabilisation de la
consommation, un aspect important pour nos économies qui dépendent de
façon importante de la consommation interne (elle représente deux tiers
du Produit intérieur brut en moyenne).

Un autre type de remarques critiques émane de spécialistes en
sciences sociales ainsi que de professionnels des services sociaux des
communes, des villes et des cantons. Pour lutter contre le démantèlement
social, ils donnent la priorité à la lutte contre les défauts du
système actuel de protection sociale ainsi qu’au combat contre les
pressions fortes de la droite politique visant à réduire la quote-part
sociale du Produit intérieur brut. En filigrane, ils craignent que le
revenu de base soit utilisé par la droite afin de diminuer les
prestations sociales. Ils prétendent aussi – et pas entièrement à tort –
que notre système fonctionne et que les buts de la politique sociale
sont en principe atteint.


Le sociologue allemand Michael Opielka

En effet, s’il fallait réinventer toute la protection sociale
pour concrétiser le revenu de base, son introduction serait très
difficile. Mais dans les faits, le revenu de base peut s’appuyer sur
cette fameuse quote-part sociale qui n’est plus à justifier (même si
elle fait quotidiennement l’objet de guéguerres politiques). Cette
quote-part constitue la base essentielle de financement du système. Le
reste doit être prélevé – de la façon la plus efficace et organique qui
soit – chez les personnes qui gagnent suffisamment d’argent, surtout par
leurs salaires, tout en veillant à ce que, pour la grande majorité, il
n’y ait pas de modifications.

Le principe de la neutralité des coûts

Dans ce contexte, le but de BIEN-Suisse a toujours été de calculer
les modèles selon le principe de la neutralité des coûts. Cet objectif
ne peut toutefois pas entièrement être atteint parce que, par rapport au
système en vigueur actuellement, une large couche de la population
toucherait sensiblement plus de moyens financiers, notamment les enfants
et les jeunes adultes. Il est prévu qu’ils reçoivent un demi revenu de
base au lieu des maigres allocations familiales d’aujourd’hui (coût
supplémentaire d’environ 15 milliards de francs).

Dans l’organisation actuelle, les sommes versées sont en général
« satisfaisantes ». Dès lors, les défauts du système n’en restent que
plus encombrants. Ainsi, les personnes ayant besoin d’aide sociale sont
soumises à des procédures souvent humiliantes. Pour avoir accès aux
prestations, elles doivent d’abord avoir dépensé tout ce qu’elles ont pu
épargner (même si c’est un tout petit pécule) au cours de leur vie
professionnelle antérieure. Ensuite, l’aide reste soumise à une série de
conditions (concernant surtout la recherche d’emploi) qui confinent
souvent à l’absurde. Sur ce point, le système a un urgent besoin de
réforme. Il s’agit de transformer le caractère de l’aide sociale : au
lieu d’être une aumône, elle devrait devenir un droit fondamental. Et
c’est justement, à nos yeux, le revenu de base qui offre la méthode la
plus radicale et satisfaisante d’atteindre cet objectif.


Tiré du film de Daniel Häni et Enno Schmidt

Dans la société moderne, il est inconcevable que le droit
d’existence d’un individu soit soumis à des conditions imposées ou
contrôlées par des fonctionnaires. Ce droit d’existence est un droit
fondamental, inaliénable et inconditionnel. En toute logique, le revenu
de base inconditionnel en est sa forme monétaire. Le revenu de base doit
par conséquent être versé durant toute la vie et à toutes les couches
de la population (pauvres ou aisées). Il constitue un socle, un
fondement qui n’est ébranlé ni par d’éventuelles phases économiquement
critiques de la vie des personnes ni par les crises qui secouent notre
système capitaliste dans le cadre de son évolution (ou parfois
révolution) structurelle.

Petits et gros sous

Rappelons-le : on ne peut pas faire fortune avec le revenu de base.
Dans son livre, BIEN-Suisse suggère un revenu d’environ 2500 francs par
personne et par mois (chiffres pour l’année 2007). La « liberté » dans
ce contexte est donc une notion assez différente de la « liberté » dont
peuvent jouir les personnes qui gagnent 100’000, 200’000, 500’000 ou 1
million de francs par année. Avec le revenu de base, le volume de
redistribution augmenterait dans le principe, mais il n’y aurait pas
grand-chose qui changerait dans les chiffres pour l’économie, pour
l’Etat ou pour les individus.

Soulignons deux aspects à l’intention des spécialistes impliqués dans
le travail social ou dans les bureaux des assurances sociales :

  1. Il est grand temps de transformer en « droit » les
    prestations conçues jusqu’ici comme « aides » ou prestations de
    solidarité. Ce changement du statut juridique et éthique de la
    solidarité passe nécessairement par un changement structurel profond. Et
    seul un changement profond permettra d’éradiquer la pauvreté.
  2. Nous sommes pleinement conscients que nous ne parlons ici que de
    l’aspect financier. Le revenu de base ne résout pas tout les problèmes
    et il ne rend pas tous les gens capables de jouir de la nouvelle liberté
    qu’il met à leur portée. Par la suite, il faudra maintenir et peut-être
    même – durant un certain temps – renforcer les services d’assistance
    dans les villes et les cantons. Le revenu de base est un processus, une
    nouvelle donne que la société et les individus doivent assimiler au fil
    du temps.

Une multitude d’autres aspects sont en débat autour du revenu de
base. Sur le droit d’accès au système pour les immigrés par exemple, les
dispositions légales actuelles permettent d’introduire un délai de
carence – entre 2 et 5 ans – durant lequel les personnes concernées
auront accès aux assurances sociales, mais pas au revenu de base. Par
ailleurs, des mesures devront être prises afin que toute la population
soit en mesure de vraiment profiter des nouvelles libertés que le revenu
de base met en perspective. Enfin, il faudra beaucoup de travail de
conviction pour relativiser un peu cette pensée productiviste qui domine
encore et toujours une bonne partie des cerveaux.

Pour le reste, le revenu de base est un projet parti d’une utopie. Il
a récemment évolué en direction d’une proposition concrète de réforme
qui pourrait être mise en œuvre dans un futur très proche.

Albert Jörimann, président de BIEN-Suisse, Genève

Proposer un commentaire à cet article.


Vignette du sommaire tirée du film de Daniel Häni et Enno Schimdt.


[1] B.I.E.N – Suisse, ou BIEN-Suisse :
association fondée à Genève en 2001 dans le but de promouvoir le projet
du revenu de base en Suisse. Appartient au réseau mondial pour un
revenu de base (en anglais : « basic income earth network » dont les
initiales constituent l’acronyme BIEN.

[2] Ce film de Daniel Häni et Enno Schimdt est disponible en visualisation directe ou téléchargement sur cette page internet.

[3]


Couverture du livre de BIEN-Suisse

« Le financement d’un revenu de base », Seismo, 204 pages, octobre
2010. CHF 38.– Trois contributions suisses, dont l’« Initiative
Grundeinkommen », et cinq contributions internationales (France,
Grande-Bretagne, Allemagne et Afrique du Sud).


Commentaires

Logo de Marc

mardi 20 mars 2012
à 13h19
– par  Marc

oui rien ne vaut l’avis de quelqu’un qui se
trouve entre l’usager/demandeur et la politique/décideur des lois :
l’assistante sociale ou le professionnel de l’action sociale doivent
être mieux entendu. Comme ici dans le “ras le bol” .

encens

Logo de Sophie

mardi 31 janvier 2012
à 16h56
– par  Sophie

Je suis parfaitement d’accord avec ce coup de gueule ! Il est grand temp de tout remettre à plat. porno mature

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Logo de Jean-Baptiste Carré

samedi 5 novembre 2011
à 21h03
– par  Jean-Baptiste Carré

Je suis ravi que l’idée d’un revenu de base
inconditionnel se répande autour du globe, comme c’est le cas ces
dernières années. Ce changement de paradigme a été proposé il y a
longtemps déjà et nous n’avons que trop attendu pour l’appliquer alors
qu’il est une des meilleures réponses aux diverses crises que nous
traversons (environnementale, sociale, économique, ). J’encourage les
lecteurs de cet article qui veulent en savoir plus à consulter le blog
de Stanislas Jourdan (http://www.tetedequenelle.fr/)
qui est un très bon complément sur ces sujets et leurs pertinences dans
notre monde d’aujourd’hui. Merci à BIEN-Suisse et Albert Jörimann pour
cet article !

Logo de REISO

mercredi 3 août 2011
à 09h35
– par  REISO

La rédaction de REISO a reçu ce commentaire :

Ras le bol !

J’en ai assez d’aider des usagers à remplir des formulaires impossibles à comprendre sans une formation supérieure.

J’en ai assez de les pousser à se plier aux exigences de l’aide
sociale – par exemple informer scrupuleusement sur tous les faits de
leur vie privée et familiale.

J’en ai assez d’encourager des malades à supplier leurs médecins de
prouver qu’ils sont suffisamment malades pour avoir droit à la rente et
aux prestations complémentaires – alors qu’ils voudraient tant consacrer
toutes leurs forces à guérir et redevenir actifs.

J’en ai assez d’expliquer à des personnes profondément dépressives
qu’il faut accepter le refus de l’AI et rester durablement à l’aide
sociale.

J’en ai assez d’aider à obtenir les allocations familiales à chaque
fois que le parent change de statut – de salarié à chômeur, de chômeur à
assisté, d’assisté à indépendant… puis de nouveau travailleur mais dans
un autre canton…

J’en ai assez de chercher des fonds pour aider des familles
nombreuses, parce que les prestations d’assistance ne permettent pas de
payer les chaussures des enfants.

Notre système de protection sociale construit au 20e siècle avait
atteint une assez grande efficacité. Mais le monde a changé, et ça ne
fonctionne plus, ni pour les prestations, ni pour le financement.. Je ne
crois pas qu’il soit possible de d’améliorer ici ou là, d’ajouter des
prestations ciblées, de combler les déficits, de jongler entre les
niveaux fédéraux, cantonaux et communaux.

Ayons le courage de changer de système. Il existe une seule
proposition réaliste, pour le financement comme pour les objectifs
sociaux : le revenu de base inconditionnel.

Elisabeth Di Zuzio

 

RÉPUDIONS LES DETTES ODIEUSES, NOT. VENUES DU NéANT

LA TUNISIE RÉPUDIE
SA DETTE

LA TUNISIE REPUDIE SA DETTE
http://www.facebook.com/upr.francoisasselineau

== TUNISIE: LE « MODÈLE » FMI NE FAIT PLUS RECETTE ==
1)- LE GOUVERNEUR DE LA BANQUE CENTRALE NABLI
DÉFINITIVEMENT LIMOGÉ PAR L’ASSEMBLÉE CONSTITUANTE
2)- LA TUNISIE INVOQUE LE PRINCIPE DE « DETTE ODIEUSE »
POUR REFUSER LES DETTES HÉRITÉES DE LA DICTATURE
3°- L’ANCIEN PRÉSIDENT BEN ALI CONDAMNÉ À LA PRISON À
VIE
=======================================


[En photo :
– en haut à gauche, l’ex-dictateur tunisien Ben Ali, condamné par
contumace à la prison à vie le 19 juillet 2012 ;
– en haut à droite le logo officiel du Fonds Monétaire International (FMI),
“International Monetary Fund” en anglais) ;
– en bas : M.Mustapha Kamel Nabli, gouverneur de la Banque centrale de
Tunisie (BCT), limogé définitivement le 18 juillet 2012)]
———————————————————————-
En l’espace de 3 jours, la Tunisie a pris des décisions, peu médiatisées en
France, mais qui n’en sont pas moins extrêmement importantes pour
l’avenir de ce pays, si proche de la France à tous égards.
———————————————————————–
LE GOUVERNEUR DE LA BANQUE CENTRALE, MUSTAPHA NABLI,
DÉFINITIVEMENT LIMOGÉ PAR L’ASSEMBLÉE CONSTITUANTE
———————————————————————–
L’assemblée constituante tunisienne (ANC) a approuvé mercredi soir le
renvoi de M. Mustapha Kamel Nabli, gouverneur de la Banque centrale de
Tunisie (BCT), une décision qui avait été prise fin juin par le président
Moncef Marzouki.
Lors de son audition à l’ANC, M. Nabli avait dénoncé son limogeage comme
étant une décision politique : « Les raisons de mon limogeage sont de
nature politique, le but est une domination partisane étroite sur les
institutions du pays. » Cette accusation vise l’actuelle coalition
gouvernementale, constituée par le parti islamiste Ennahda et ses deux
alliés de gauche : Ettakatol et le Congrès pour la République (CPR).
Certains opposants soutiennent que ce limogeage de M. Nabli ne serait
qu’une réaction épidermique à l’extradition de l’ancien Premier ministre
libyen Al-Mahmoudi vers Tripoli le 24 juin, une décision prise par le chef du
gouvernement, l’islamiste Hamadi Jebali, sans l’aval du président
Marzouki.

Mais le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des affaires
économiques, M. Ridha Saïdi, a expliqué ce limogeage de façon plus
convaincante, par un désaccord structurel sur le rôle qui doit être celui
d’une Banque centrale.
Alors que M. Nabli était un défenseur intransigeant de
« l’indépendance » de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) et un opposant
au recours à a monétarisation des déficits publics,
(la fameuse parabole de la « planche à billets »), le ministre a révélé
implicitement que c’était justement ces positions qui constituaient le coeur
du problème. Il a reproché à M. Nabli :
– le manque d’harmonisation et de coordination entre le gouvernement et
la BCT,
– l’absence de confiance entre les deux parties,
– les retards de la réforme bancaire,
– une perte de valeur du dinar tunisien,
– la baisse des réserves en devises,
– et le retard du recouvrement des biens mal acquis par les proches du
président déchu.
En bref, le nouveau gouvernement tunisien souhaite reprendre en mains la
BCT et remettre en cause le principe “d’indépendance de la Banque
centrale”, imposé par la “vulgate” ultra-libérale venue des États-Unis
depuis une trentaine d’années.
Notons que c’est, grosso modo, ce qu’ont souhaité faire ou ont fait
récemment des pays comme le Venezuela ou la Hongrie.
——————————————————————–
LA TUNISIE INVOQUE LE PRINCIPE DE « DETTE ODIEUSE »
POUR REFUSER LES DETTES HÉRITÉES DE LA DICTATURE
——————————————————————–
Par ailleurs, une députée du parti du nouveau président tunisien, M.
Moncef Marzouki, a annoncé qu’elle allait déposer un projet de loi, soutenu
par les autres formations politiques, pour remettre en cause la « dette
odieuse » tunisienne.
Rappelons que la « dette odieuse » est une jurisprudence, avancée par
certains auteurs en matière de droit international, relative à une dette
contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l’intérêt
des citoyens de l’État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle
aussi de « dette odieuse » lorsqu’elle a été contractée par une dictature et
qu’elle doit être remboursée lors de la transition démocratique.
Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du
régime qui les a contractées, et non pas de l’État en entier.
(cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Dette_odieuse)

Cette annonce du refus de la Tunisie de payer la « dette odieuse » du
régime Ben Ali (qui pourrait être imité par d’autres pays concernés par le
“printemps arabe” comme l’Égypte, la Libye ou le Yémen), a déjà été
précédé par le refus, fin juin, du président Marzouki de signer un accord
passé avec le Fonds monétaire international (FMI).
Le nouveau pouvoir à Tunis renvoie ainsi le FMI dans ses cordes, en
invoquant la nécessité, « de mener un audit des dettes pour vérifier si ces
dernières sont légalement à la charge de l’État tunisien ou de l’ancien
régime. »
Il est actuellement envisagé de créer une commission mixte indépendante,
composée notamment de quatre experts internationaux, pour évaluer les
emprunts contractés par l’ex-dictateur tunisien Ben Ali, au pouvoir de
1987 jusqu’au 14 janvier 2011, aujourd’hui réfugié en Arabie saoudite.
Or, sur les 30,8 milliards de dinars de la dette tunisienne (environ 15
milliards d’euros) évalués en 2010 par la Banque mondiale depuis 1970,
plus de la moitié serait imputable à l’ancien régime. Les partisans du refus
de rembourser estiment qu’il est hors de question que le peuple tunisien
hérite, sans conditions, de cette dette dont le remboursement représente
chaque année, 6 fois le budget de la santé, 3 fois celui de l’éducation, et 6
fois celui du développement régional.
L’exemple de l’Équateur, dont le président Rafael Correa, un économiste
de gauche élu en 2006, avait lancé un vaste audit après les dictatures
militaires, est invoqué par la Tunisie. En 2008, l’Équateur était parvenu à
démontrer l’illégitimité de certaines dettes et avait récupéré 7 milliards de
dollars, qui furent réaffectés dans des projets sociaux et
environnementaux.
———————————————————————–
L’ANCIEN PRÉSIDENT BEN ALI CONDAMNÉ À LA PRISON À VIE
———————————————————————–
Enfin, on a appris, le 19 juillet, que le président tunisien déchu Zine El
Abidine Ben Ali a été condamné par contumace à la prison à perpétuité
pour complicité de meurtre de 43 manifestants durant le soulèvement
populaire qui a fini par le renverser.
Il était jugé avec une quarantaine de responsables de son régime, dont :
– le général Ali Seriati, ancien chef de la sécurité présidentielle condamné à
20 ans de réclusion,
– l’ex-ministre de l’Intérieur, Rafik Belhaj Kacem, condamné à 15 ans,
– et l’autre ex-ministre de l’Intérieur, Ahmed Friaa, qui bénéficie, lui, d’un
non-lieu.
(Ces verdicts ont été considérés comme trop cléments par les familles des
victimes).

—————————————————————-
CONCLUSION : UN CHANGEMENT D’ÉPOQUE S’ANNONCE
—————————————————————-
Le limogeage du gouverneur ultra-libéral orthodoxe de la Banque centrale
de Tunisie, et le refus du nouveau pouvoir à Tunis de payer toute la dette
publique héritée de l’ancien régime, sont des événements dont la
signification profonde va au-delà de la seule Tunisie.
Ils témoignent d’une évolution des esprits au niveau planétaire.
De l’Argentine à l’Islande, de l’Équateur à la Hongrie, du Venezuela et de la
Bolivie à la Tunisie, c’est tout le modèle ultra-libéral imposé par
Washington à la planète entière – par FMI, Banque Mondiale, OMC et UE
interposés le cas échant – qui est en train d’être remis en cause.
Lentement mais sûrement, la prise de pouvoir mondial par les financiers
privés commence à être contrecarrée et combattue.
Ce que l’on peut appeler le « modèle FMI » ne fait donc plus recette.
Rien n’est plus cruel et emblématique à cet égard que de revisionner cette
vidéo accablante où M. Strauss-Kahn, à l’époque Directeur général du FMI,
félicitait chaleureusement à Tunis le dictateur Ben Ali (aujourd’hui
condamné à la prison à vie !) pour la prétendue réussite exceptionnelle du
modèle tunisien d’alors :
http://www.dailymotion.com/video/xgkxca_quand-dsk-soutenait-leregime-
de-ben-ali_news
—————————————–
S’agissant de la France, je me permets de rappeler ici que j’ai prévu, dans
mon programme présidentiel présenté le 3 décembre dernier, des mesures
tout-à-fait comparables à celles annoncées à Tunis sur ces deux sujets de
la Banque centrale et de la dette publique.
J’ai en effet proposé aux Français :
a)- de replacer la Banque de France sous la tutelle de l’État et de revenir
sur l’interdiction de la loi de 1973 de monétarisation des déficits publics
(fixée par la loi de 1973 et reprise dans l’article 123 du TFUE). C’est
d’ailleurs l’une des nombreuses raisons de sortir de l’UE.
(cf. chapitre 6, page 10, http://www.u-p-r.fr/wpcontent/
uploads/2012/03/Programme-presidentiel-Francois-
Asselineau.pdf )
5 sur 5
b)- de remettre en cause le montant de notre dette publique, en ouvrant
un grand débat, fondé justement sur un audit, quant à son caractère
justifié ou non, et en demandant par référendum au peuple français s’il
souhaite ou non considérer notre dette publique comme relevant en partie
de la « dette odieuse ».
(cf. chapitre 19, page 22, http://www.u-p-r.fr/wpcontent/
uploads/2012/03/Programme-presidentiel-Francois-
Asselineau.pdf ; pour plus de précisions, visualiser la vidéo du discours
programmatique http://www.u-p-r.fr/presidentielles-2012/leprogramme-
de-l-upr)
On me pardonnera de faire remarquer que, sur ces deux propositions
comme sur tout le reste, les événements mondiaux ne cessent de conforter
le bien-fondé des analyses, et la pertinence des propositions, de ce
programme.
Le programme de l’UPR est donc plus actuel que jamais.

François ASSELINEAU
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  1. François de Siebenthal: Inflation ? Comment la diminuer ? En tout

    desiebenthal.blogspot.com/…/inflation-comment-la-diminuer-en-tout….

    7 déc. 2011 – Le “service” des dettes odieuses tue des innocents. La plupart des dettes (99 % ) ont été créées du néant, elles sont donc odieuses et iniques.

  2. François de Siebenthal: Destruction de la monnaie par la rigueur.

    desiebenthal.blogspot.com/…/destruction-de-la-monnaie-par-la.html

    5 mai 2012 – François de Siebenthal intérêts sur des masses de monnaie toujours plus grandes créées du néant. ….. Elles ne font que la rendre plus odieuse. Toutes les dettes publiques, municipales, provinciales, nationales, ont leur

  3. François de Siebenthal: Entrée de l’abbaye de Lérins.

    desiebenthal.blogspot.com/2012/02/entree-de-labbaye-de-lerins.html

    20 févr. 2012 – François de Siebenthal …… Réponse à M. de Siebenthal En Suisse, la Masse monétaire créée du néant par les crédits M2 est d’environ …. Donc, un prêt à une famille pauvre sur 50 ans à 10 % entraîne une dette, si on fait “L’usure fut toujours un crime très grave et très odieux, même chez les païens…

  4. François de Siebenthal: L’escroquerie des prêts aux étudiants

    desiebenthal.blogspot.com/…/lescroquerie-des-prets-aux-etudiants.ht…

    13 août 2010 – 480 000 en dette au cours des 45 prochaines années. qu’ils font de l’argent crée de nouvelles dettes du néant, de plus en plus grandes comme un crime très grave et très odieux” et le concile ajoute, “c’est ce qui fait dire

  5. François de Siebenthal: Le paradoxe Sarkozy. La finance dans tous

    desiebenthal.blogspot.com/…/le-paradoxe-sarkozy-la-finance-dans.ht…

    14 oct. 2008 – Au fait, qui sont les créanciers de ces dettes créées du néant de par le passé ? Pourquoi ne pas les mettre à contribution ? Ces dettes odieuses

  6. François de Siebenthal: L’argent “pour alléger” leurs “dettes” part

    desiebenthal.blogspot.com/…/largent-pour-alleger-leurs-dettes-part.ht…

    1 juin 2009 – La plupart de ces dettes n’existent plus, il faut expliquer que ces dettes” sont devenues odieuses et surtout ne pas les entériner et pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c’est à dire de la fausse monnaie,

  7. François de Siebenthal: 01/01/10

    desiebenthal.blogspot.com/2010_01_01_archive.html

    28 janv. 2010 – François de Siebenthal dette du Canada Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c’est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix …… On arrive à des abus odieux.

  8. François de Siebenthal: la Californie libérera 55 000 de ses

    desiebenthal.blogspot.com/…/la-californie-liberera-55-000-de-ses.ht…

    21 mai 2009 – Des milliers de milliards pour des dettes tirées du néant mais rien pour le prime rate était de 20 %, tous ces contrats sont iniques et odieux.

  9. François de Siebenthal

    www.blogger-index.com/feed220011.html – États-Unis

    23 déc. 2011 – Le “service” des dettes odieuses tue des innocents. La plupart des dettes (99 % ) ont été créées du néant, elles sont donc odieuses et iniques.

  10. Joseph & Michel Ferraye pour Sa Justice: Lagarde Sarkozy usuriers

    ferraye.blogspot.com/…/lagarde-sarkozy-usuriers-et-sacrileges.html

    11 oct. 2009 – http://www.de-siebenthal.com/image_089.gif Des symboles tirés du néant par des contrats “iniques ” croissants et a-synallagmatiques dans le Sous le président Carter, le prime rate était de 20 %, tous ces contrats sont iniques et odieux. La Californie veut légaliser la drogue pour payer ses dettes.

La Finlande résiste bien, un modèle.



 

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FLASH ! === LA FINLANDE OBTIENT DE L’ESPAGNE L’OUVERTURE
D’UN COMPTE SÉQUESTRE A SON PROFIT EXCLUSIF EN CAS DE
NON-REMBOURSEMENT
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Le Premier ministre finlandais Jyrki Katainen vient d’annoncer
avoir trouvé un accord avec Madrid sur des garanties en échange
de la participation finlandaise au plan de sauvetage
européen sur les banques espagnoles.

Fait exceptionnel, les garanties seront versées en numéraire
sur le compte de garantie de la Finlande, au fur et à mesure
que les prêts seront accordés à l’Espagne. 

Helsinki n’a donc pas réclamé des parts dans les banques
espagnoles viables en échange de son aide, comme elle
l’avait pourtant envisagé en juin.

Le Premier ministre finlandais Jyrki Katainen a précisé que
« ces versements en liquide sont la meilleure manière
d’organiser le collatéral [i.e “les garanties”] cette
fois-ci. C’est plus clair peut-être que d’autres types de
collatéraux, et c’est plus sûr pour nous aussi. »

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LE FONCTIONNEMENT DU COMPTE SÉQUESTRE 
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Les garanties couvrent 40% de la participation de la
Finlande au plan de sauvetage européen pour les banques
espagnoles, soit 769,9 millions d’euros. Le montant total de
la participation de la Finlande au plan de sauvetage s’élève
à 1,9 milliard d’euros.

En cas de défaut de paiement des banques espagnoles, la
Finlande ne touchera les garanties qu’une fois les prêts du
Fonds européen de stabilité financière (FESF) seront arriver
à échéance, soit dans 12 ans. Mais les Finlandais sont
néanmoins assurées de récupérer au moins 40 % de leur
apport.

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CONCLUSION : POURQUOI LA FRANCE NE FAIT-ELLE PAS PAREIL ? 
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Interrogé sur les raisons profondes de cette défiance de la
Finlande, le Premier ministre Katainen s’est voulu
rassurant.. mais pas trop : 

« Nous devons résoudre ce problème [de la crise de la dette
en zone euro] très rapidement, et face à cette crise, tous
les Européens sont dans le même bateau. J’entrevois qu’il y
aura un fin à la crise. Mais je ne sais pas quand…. »

Le Premier ministre Katainen gère donc la situation en ayant
pour première priorité la défense des intérêts de son
peuple. Pourtant, les sommes en jeu (1,9 milliard d’euros)
restent une goutte d’eau par rapport à ce à quoi s’est
engagée la France.

La question se pose donc avec une aveuglante évidence pour
la France : quand les Français ont-ils donné leur accord
pour que le gouvernement français décide, en leur nom, de
risquer de perdre définitivement, et sans aucune garantie de
remboursement, quelque 158 milliards d’euros, montant
prévisionnel de la part de la France dans le FESF ? Et cela,
qui plus est, au profit de banques étrangères !

Pour avoir un ordre de
grandeur, ce montant colossal représente environ 5
fois le budget annuel de notre Défense nationale…

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Pour parler clair, le refus des dirigeants français
d’exiger le même type de garantie que la Finlande
relève à la fois de l’abus de biens publics et de
la haute trahison de nos intérêts nationaux
. 

 

Principe de Subsidiarité, surtout en finance. Évitons trop de centralisation.

Définition du Principe de Subsidiarité

pour un bon fonctionnement de toute cellule sociale ou ecclésiale

Définition de la subsidiarité

Définition du Principe de Subsidiarité
Pour développer la confiance et l’efficacité dans les relations sociales :
La subsidiarité est le caractère de ce qui est subsidiaire,
c’est-à-dire de ce qui s’ajoute à l’élément principal pour le renforcer.

En politique, le principe de subsidiarité est le principe
selon lequel une responsabilité doit être prise par le plus petit niveau
d’autorité publique compétent pour résoudre le problème. C’est donc,
pour l’action publique, la recherche du niveau le plus pertinent et le
plus proche des citoyens.

Dans le fonctionnement de toute
organisation sociale ( et ecclésiale), le principe de subisidiarité
assure une délégation efficace et juste de l’autorité et l’application
harmonieuse des décisions prises.

La doctrine sociale à la source du principe de subsidiarité

Définition du Principe de Subsidiarité
Le principe de subsidiarité conduit à ne pas faire à un échelon
plus élevé ce qui peut être fait avec la même efficacité à un échelon
plus bas. Le niveau supérieur n’intervient que si le problème excède les
capacités du niveau inférieur (principe de suppléance). Ce principe
trouve son origine dans la doctrine sociale de l’Eglise catholique.

Par exemple, dans la construction européenne, le principe de
subsidiarité, est une règle de répartition des compétences entre l’Union
et ses Etats membres. En dehors des domaines de compétences qui lui
sont propres, l’Union Européenne n’agit que si son action est plus
efficace que celle conduite au niveau des Etats ou des régions.

Origine dans le droit canonique de l’Eglise

Définition du Principe de Subsidiarité
Le principe de subsidiarité a été repris du droit canonique. On
trouve déjà cette notion dans les pensées de Thomas d’Aquin mais il a
été formulé pour la première fois par le pape Léon XIII, dans
l’encyclique Rerum novarum, première formalisation de la doctrine
sociale de l’Église catholique. Celle-ci avait été rendue nécessaire par
les abus de la révolution industrielle et ses conséquences sur la
société civile.

Importance du principe corrélaire : le principe de suppléance

Définition du Principe de Subsidiarité
Le principe de subsidiarité va de pair avec le principe de suppléance,
qui veut que quand les problèmes excèdent les capacités d’une petite
entité, l’échelon supérieur a alors le devoir de la soutenir, dans les
limites du principe de subsidiarité.

Principe de
subsidiarité et principe de supppléance permettent l’harmonisation des
décisions à tous les échelons de la cellule sociale ou ecclésiale :
états, fédérations d’états, mais aussi entreprise, associations,
communautés écclésiales.

Commencer par…appliquer le principe dans nos vies quotidiennes !

“Ce serait de la part des chrétiens
une erreur de n’appliquer les bienfaits de la doctrine sociale que pour
remédier aux dysfonctionnements de la vie politique et de l’Etat. C’est
bien évidemment au niveau de notre devoir d’état quotidien ( sans jeu de
mot), qu’il est bon d’appliquer en tout premier lieu le principe de
subsidiarité. Dans nos familles, dans nos comunautés de travail, dans
notre vie associative, dans nos paroisses..et dans nos diocèses ! Car
c’est en appliquant le principe dans la management quotidien de nos
communautés humaines que nous formerons des personnes aptes à agir de
façon autonome et non assistée. C’est là le meilleur moyen de faire
valoir l’efficacité et les bienfaits de la doctrine sociale de
l’Eglise.”
( p.Y. Bonnet)

A chaque échelon : autant de liberté que possible, autant d’autorité que nécessaire.

Définition du Principe de Subsidiarité
Le principe de subsidiarité vise à reconnaître à chaque échelon
hiérarchique toute l’autonomie dont il a capacité selon la formule du
père Tapareli : ” Autant de liberté que possible, autant d’autorité que nécessaire”.

Si les réflexions sur la subsidiarité remontent à l’antiquité (
Aristote, notamment), il a fallu la Renaissance pour que les
principautés allemandes fassent appel au ” subsidiaritätsprinzip” pour
défendre leur autonomie face au pouvoir impérial. Ne nous étonnons donc
pas que, plus tard au 19ème siècle, ce soit l’évêque de Mayence, Mgr
Ketteler qui en ait facilité l’introduction dans la pensée sociale de
l’Eglise Catholique. En 1931, Pie XI a consacré l’importance du principe
en en donnant dans l’Encyclique Quadragesimo Anno un énoncé précis :

Définition par Pie XI

” On ne saurait changer ce
principe si grave de philosophie sociale : de même qu’on ne peut enlever
aux particuliers pour les transférer à la communauté, les attributions
dont ils sont capables de s’acquitter de leur seule initiative et par
leurs propres moyens, ainsi ce serait commettre une injustice en même
temps que troubler d’une manière très dommageable l’ordre social que de
retirer aux groupements d’ordre inférieur , pour les confier à une
collectivité plus vaste d’un rang plus élévé, les fonctions qu’ils sont
en mesure de remplir eux-mêmes”.

Le texte se poursuit par cette phrase :


L”objet naturel de toute intervention en matière sociale est d’aider
les membres du corps social, et non pas de les détruire ni de les
absorber.”

C’est seulement après ces deux
paragraphes, qui montrent bien que l’organisation sociale doit
s’élaborer sans enlever aux particuliers ni aux corps intermédiaires ce
qui est de leur compétence et qu’elle doit viser à aider ses membres,
sans les détruire ni les absorber, que l’encyclique aborde réalistement
le cas où l’autorité publique a déjà abusé de son rôle en intervenant
dans des ” affaires de moindres importances”. Il faut alors qu’elle
abandonne ces domaines d’intervention pour se consacrer à ce qui
n’appartient qu’à elle. Et elle ajoute :


Que les gouvernants en soient bien persuadés : plus parfaitement sera
réalisé l’ordre hiérarchique des divers groupements selon ce principe de
la fonction de subsidiarité de toute collectivité, plus grandes seront
l’autorité et la puissance sociale, plus heureux et plus prospère l’état
des affaires publiques”.

Autorité du groupe d’ordre supérieur et limites

Cette autorité du groupe d’ordre supérieur, l’encyclique en précise bien le contenu :

” Diriger, surveiller, stimuler, contenir”, ” selon les circonstances ou les exigences de la nécessité”.

En très peu de mots, le principe est dit. Plus un organisme se situe
haut placé dans la hiérarchie sociale, moins il doit ” faire” par
lui-même. Son rôle est de donner la direction que doit prendre l’action,
de stimuler, de contrôler, de contenir dans un cadre, élaboré en tenant
compte du bien commun.

Fonctionnement du principe de subsidiarité : élaboration du bien commun

Définition du Principe de Subsidiarité
A chaque niveau, le groupe social considéré émet vers le ” haut”
ses desiderata ou ses suggestions en matière de bien commun et consulte
vers le ” bas” pour élaborer son bien commun spécifique.

Il
est clair que le bien commun d’un niveau (n) soit s’incrire
harmonieusement dans l’enveloppe du bien commun du niveau supérieur (
n-1). On pourrait dire que les biens communs s’emboîtent comme des
poupées russes, la plus grosse poupée représentant le bien commun de
l’univers ( où se situe , par exemple, la sauvegarde de la planète
Terre). Le pape Benoît XVI dans son encyclique Caritas in Veritate
fait une synthèse irremplaçable du bien commun et de l’application de
la Doctrine sociale aujourd’hui, introduisant les principes de gratuité
et de solidarité.

Le bien commun s’organise dans une constante concertation entre ” le bas” et ” le haut”.

Définition du Principe de Subsidiarité
Dès qu’il s’agit de réaliser les opérations qui concourrent à ce
bien commun, il faut regarder l’organisation sociale ” par l’autre
bout”, en partant de la personne d’abord, ce que précise bien
l’encyclique : pas question d’enlever aux particuliers les attributions
dont ils sont capables. Autrement
dit, si le bien commun s’organise à partir du haut, les pouvoirs se
répartissent à partir du bas. Le bien commun résulte du constant va et
vient de l’information et de la concertation entre ces deux réalités,
dans une définition précise de ” qui fait quoi” à chaque échelon.

Si on décentralise les pouvoirs, c’est qu’ils ont été auparavant abusivement confisqués par des échelons supérieurs.
Le système hiérarchique devient, lorsque le principe de subsidiarité
est respecté, le lieu de maintien de la cohésion du corps social.
L’autorité supérieure veille à l’application du principe de
subsidiarité, et vérifie ( au besoin, rectifie) l’application des
décisions.( Principe de suppléance.)

On voit qu le principe
de subsidiarité peut et doit être appliqué en tout domaine et à tout
niveau, dans la famille, dans l’école, l’entreprise, l’association, les
collectivités territoriales, la nation, la construction de l’Europe,
etc… sans oublier les réalités d’ Église : communautés, associations de
fidèles, paroisses, diocèses, l’ ‘Église s’appliquant à elle-même sa
propre doctrine sociale.

Mercredi 20 Avril 2011
Lu 5944 fois
http://www.saintjosephduweb.com/Definition-du-Principe-de-Subsidiarite_a336.html

L’Europe le définit exactement de manière inverse:

  1. François de Siebenthal: Sarkozy et Clovis.

    desiebenthal.blogspot.com/2012/05/sarkozy-et-clovis.html

    5 mai 2012 – M. François de Siebenthal est MBA et licencié en économie HEC de Lausanne …. Leur doctrine pratique se résume donc en fédéralisme, subsidiarité, corps l’inverse dans les Traités européens de Maastricht et les suivants.

  2. François de Siebenthal: Suisse: Le premier pays du monde avec un

    desiebenthal.blogspot.com/…/suisse-le-premier-pays-du-monde-avec-…

    11 avr. 2012 – Principes inversés, notamment celui de subsidiarité. Selon l’article 3 B du Traité de Maastricht, “dans les domaines qui ne relèvent pas de sa

  3. François de Siebenthal

    desiebenthal.blogspot.com/

    7 juil. 2012 – François de Siebenthal ….. www-de-siebenthal.com ….. Depuis novembre 1993, l’article 104 du Traité de Maastricht (l’actuel article 123 du

  4. François de Siebenthal: Inflation ? Comment la diminuer ? En tout

    desiebenthal.blogspot.com/…/inflation-comment-la-diminuer-en-tout….

    7 déc. 2011 – par des corps intermédiaires et sous le principe de subsidiarité. …. tout particulièrement l’article 104 du traité de Maastricht qui vingt ans plus tard va très exactement François de Siebenthal: “La fin du dollar” de Myret Zaki

  5. page97_Maxence-subsidiarité – Famille de Siebenthal

    www.de-siebenthal.com/page97_maxence-subsidiarit.htm

    particulièrement Monsieur Jean de Siebenthal qui m’honore de sa. confiance en me le principe de subsidiarité et la nécessité des élites à tous les. niveaux du corps …. qui s’appelle l’Europe de Maastricht ou l’ONU. En terme politique,

  6. Famille de Siebenthal

    www.de-siebenthal.com/

    Jean de Siebenthal : La formation des élites en Suisse. …. sur des personnes, dont l’autonomie reconnue conduit au principe de subsidiarité. …… à voir avec l’Europe de Maastricht et d’Amsterdam mais qui, au contraire, s’oppose à celle-ci

  7. François de Siebenthal – Blogger-Index

    www.blogger-index.com/feed220011.html – États-Unis

    23 déc. 2011 – Il y a donc obligation de subsidiarité du pouvoir, le dernier niveau, celui du roi ….. François de Siebenthal: Tridel, 5 milliards de m3 de nano-particules ….. tout particulièrement l’article 104 du traité de Maastricht qui vingt ans

  8. Principe de subsidiarité en droit de l’Union européenne – Wikipédia

    fr.wikipedia.org/…/Principe_de_subsidiarité_en_droit_de_l’Union_…

    Le principe de subsidiarité vise à privilégier le niveau inférieur d’un pouvoir de la Communauté européenne, introduit par le traité de Maastricht, disposait que

  9. Veritas in Caritate: Esprit suisse. Redonner un visage humain à la

    veritasincaritate.blogspot.com/…/esprit-suisse-redonner-un-visage-hu…

    15 juin 2010 – européenne et plus largement les institutions de l’Union Européenne issues de Maastricht. …. par des corps intermédiaires et sous le principe de subsidiarité. …. Publié par François de Siebenthal à l’adresse 07:49

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