Clearstream, DdV relaxé… suite

Clearstream:

Dominique de Villepin relaxé, Florian Bourges condamné pour abus de confiance ! Alors qu'il avait révélé le vol de tous les contribuables du monde…

Leur axiome : si vous dites un mensonge suffisamment gros, suffisamment longtemps, ce mensonge deviendra la " vérité ".

La vraie histoire Clearstream Ferraye n'est pas finie. http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=3126

Voici le plus grand mensonge économique qui tue de plus en plus d'innocents…

Le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent contre paiement inique.

En contre-partie, il encaisse des intérêts et prélève des impôts.

Peu de personnes comprennent  vraiment cette duperie, qui tue sournoisement les plus faibles du monde entier…

De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Il a fait imprimer des dollars libres avec le sceau rouge, que vous pouvez encore trouver chez des collectionneurs.

http://dollardaze.org/blog/posts/2007/October/19/1/Kennedy5DollarLarge.jpg

Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

Le dollar des Etats-Unis au sceau vert est la monnaie privée de la haute finance, qui nous vole tous pour notre plus grand malheur.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c7/Un_dollar_us.jpg


dette du Canada
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie,
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
.
Pollution www.m-c-s.ch
L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression
 

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une “conspiration monolithique”..

Les douze qui veulent dominer le monde.

Le service Majestic ne comporte que 12 personnes cooptées, qui utilisent des couvertures diverses et parfois ridicules afin de brouiller les pistes.

Ce gouvernement mondial ne représente aucun pays. Son moteur est la cupidité.

Ceux qui le composent essaient de contrôler tous les pays par la création monétaire ou les guerres. Ce sont eux qui font élire ou éliminer  les dictateurs et les présidents.

http://desiebenthal.blogspot.com/2010/01/votations-truquees-elections-cheated.html

Ce sont eux qui décident des conflits, des épidémies, …

Genève est un point central pour eux, un point parmi d’autres ( New-York, Londres, Rome, Singapour…)
 

Le Président Kennedy et la presse : discours devant
l'association des patrons de presse américains

Les sociétés secrètes qui contrôlent les complexes militaro-industriel sont dangereuses…
http://versdemain.org/images/Compte-Goutte.gif
  Président John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel

New York City, le 27 avril 1961

Mr. Le Président, Mesdames et Messieurs,

J'apprécie beaucoup votre généreuse invitation à être ici ce soir.

Vous avez supporté de lourdes responsabilités ces jours derniers et un article que j'ai lu il y a quelques temps m’a rappelé combien le fardeau des événements en cours pouvait peser sur votre profession.

Vous savez peut-être qu'en 1851 le New York Herald Tribune, alors sous la direction de Horace Greeley, employait comme correspondant à Londres un obscur journaliste du nom de Karl Marx.

On raconte que le correspondant étranger Marx, fauché, et avec une famille malade et mal nourrie, demandait sans cesse à Greeley et au directeur de l'édition Charles Dana une augmentation de son mirifique salaire de 5$ par article, un salaire que lui et Engels nommèrent ingratement la "tricherie de l'infect et insignifiant bourgeois".

Mais lorsque toutes ses requêtes financières furent refusées, Marx chercha d'autres moyens de subsistance et de reconnaissance, mit finalement fin à sa collaboration avec le Tribune et consacra ses talents à plein temps à la cause qui devait léguer au monde le germe du léninisme, du stalinisme, de la révolution et de la guerre froide.

Si le journal capitaliste de New York l'avait traité plus correctement, si Marx était resté un correspondant étranger, l'histoire aurait été différente. J'espère que tous les éditeurs garderont cette leçon à l'esprit la prochaine fois qu’ils recevront une requête pour une misérable augmentation de la part d’un obscur journaliste.

J'ai choisi comme titre de mes observations de ce soir "Le président et la presse". D'aucuns pourraient suggérer qu'il devrait plus naturellement s'intituler "Le président contre la presse". Mais ce ne sont pas mes sentiments de ce soir.

Il est vrai, cependant, que quand un célèbre diplomate d'un autre pays demanda récemment que notre département d'état désavoue des articles attaquant son collègue, il n'était pas nécessaire pour nous de répondre que l'administration n'était pas responsable de la presse, puisque la presse avait déjà clairement indiqué qu'elle n'était pas responsable de cette administration.

Néanmoins, mon but ici ce soir n'est pas de délivrer une de ces attaques usuelles contre la presse. Au contraire, durant les derniers mois, j'ai rarement entendu de quelconques plaintes de pressions politiques sur la presse, à part de quelques républicains. Mon but ici ce soir n'est pas non plus de justifier ou discuter la diffusion télévisuelle des conférences de presse présidentielles. Je pense qu'il est fortement bénéfique qu'il y ait régulièrement quelques 20,000,000 d'américains assis devant leurs télévisions pour regarder, si l'on peut dire ainsi, les qualités courtoises et inspirées affichées par vos correspondants à Washington.

Finalement ces observations n'ont pas non plus pour but d'examiner le juste degré d'intimité que la presse devrait accorder à tout président et à sa famille.

Si durant les quelques derniers mois vos reporters et photographes à la maison blanche ont dû assister avec régularité à des offices religieux, cela ne leur a sûrement pas fait de mal.

D'un autre coté, je réalise que votre personnel et vos photographes de revues de presse peuvent se plaindre qu’ils n’aient pas profité de mêmes verts privilèges au parcours de golf que ceux dont ils ont profité une fois.

Il est vrai que contrairement à moi, mon prédécesseur ne refusait pas de faire des photos en action d'une de ses prouesses golfiques. Mais d'un autre coté il n'avait jamais assommé un agent des services secrets avec une balle.

Mon sujet de ce soir est plus sobre et s'adresse aussi bien aux rédacteurs qu'aux éditeurs.

Je veux parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des récentes semaines peuvent nous avoir, pour certains, aidés à mettre à jour le défi ; mais du fait de son ampleur la menace a envahit l'horizon pour de nombreuses années. Quels que soient nos espoirs pour le futur, pour réduire la menace ou vivre avec, on ne peut échapper à la gravite ou la globalité du défi pour notre survie et notre sécurité, un défi qui nous confronte de manières inhabituelles dans chaque domaine de l'activité humaine.

Ce défi mortel impose à notre société deux exigences concernant à la fois la presse et le président – deux exigences qui peuvent sembler presque contradictoires, mais qui doivent être réconciliées et satisfaites si nous devons rencontrer ce péril national. Je fais référence, premièrement, au besoin d'une plus grande information du public, et, deuxièmement, au besoin d'un plus grand secret officiel.

I

Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation. Aujourd'hui encore, il y a peu d'intérêt à assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec. Et il y a un très grave danger pour qu'un besoin annoncé d’une sécurité accrue soit saisi par des anxieux pour étendre la signification aux limites extrêmes de la censure et de la dissimulation officielles. Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information, étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaître.

Mais je demande à chaque rédacteur, à chaque éditeur, et chaque journaliste de notre nation de réexaminer ses propres principes, et de reconnaître la nature du péril de notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse se sont habituellement joints dans un effort largement basé sur l'autodiscipline, pour éviter des divulgations non autorisées à l'ennemi. En temps de danger clair et présent, les tribunaux ont conclu que les droits et privilèges du 1er amendement doivent céder devant les besoins en sécurité nationale du public.

Aujourd'hui, aucune guerre n'est déclarée – et cependant quelque féroce que soit la bataille, elle peut ne jamais être déclarée de manière traditionnelle. Notre mode de vie est en danger. Ceux qui se présentent comme nos ennemis progressent à travers la planète. La survie de nos amis est en danger. Et aucune guerre n'a été déclarée, aucune frontière n'a été traversée par des troupes, aucun missile n'a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant de s'imposer l'autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais représenté une telle menace pour notre sécurité. Si vous attendez un avis de "clair et présent danger", alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été plus clair et sa présence plus imminente.

Tout cela requiert un changement dans le mode de pensée, un changement des tactiques, un changement des missions – pour le gouvernement, le peuple, pour chaque patron, chaque ouvrier, et pour chaque journal. Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés. Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé. Cela conduit à la guerre froide, en bref, une discipline de temps de guerre avec laquelle aucune démocratie n'espérerait ou souhaiterait s'assortir.

Néanmoins, toute démocratie reconnaît les restrictions nécessaires à la sécurité nationale – et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous sommes opposés à ce type d'attaque plutôt qu'à une invasion absolue.

Car les faits sont que les ennemis de notre nation se vantent ouvertement d'acquérir par nos journaux des informations qu'ils auraient autrement acquises par le vol, l'espionnage ou la corruption, en embauchant des agents ; ces détails des préparations cachées de notre nation pour contrer les opérations cachées des ennemis ont été rendues disponibles à tout lecteur des journaux, ami ou ennemi ; la taille, la force, la position et la nature de nos forces et armes, nos plans et stratégies pour leur utilisation, ont tous été indiqués avec précision dans la presse, et d'autres medias, à un degré suffisant pour satisfaire toute puissante étrangère ; et, au moins dans un cas, la publication de détails concernant un mécanisme top-secret par lequel des satellites sont suivis a requis sa modification au prix d'une considérable perte de temps et d'argent.

Les journaux qui ont imprimé ces histoires étaient loyaux, patriotes, responsables et bien-pensants. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n'auraient sans aucun doute jamais publié de telles choses. Mais en l'absence de guerre ouverte ils subirent seulement le contrôle du journalisme et non le contrôle de la sécurité nationale. Et ma question ce soir et de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.

Vous devez répondre seuls à cette question. Aucun officiel ne devrait répondre pour vous. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses contraintes contre votre volonté. Mais je faillirais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous portons maintenant et tous les moyens à portée de main pour satisfaire à ces responsabilités, si je ne portais pas ce problème à votre attention, et ne vous pressais à sa considération réfléchie.

A diverses occasions par le passé, j'ai dit – et vos journaux l'ont constamment dit – que ce sont des temps qui appellent au sens du sacrifice et à l'autodiscipline de chaque citoyen. Ces temps invitent chaque citoyen à peser ses droits et conforts par rapport à ses obligations envers le bien commun. Je ne peux désormais pas croire que ces citoyens qui œuvrent dans le métier du journalisme se considèrent exempts de cet appel.

Je n'ai aucune intention de mettre en place un nouveau bureau de l'information de guerre pour gouverner les flux de nouvelles. Je ne suis pas en train de suggérer de nouvelles formes de censure ou de nouveaux types de classification des niveaux de sécurité. Je n'ai pas de réponse facile au dilemme que je viens de poser, et je ne chercherais pas à en imposer si j'en avais une. Mais je demande aux membres des professions de la presse et de l'industrie de ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de tenir compte du devoir d'auto-restriction que ce danger nous impose à tous.

Chaque journal se demande habituellement, pour chaque histoire: "Est-ce bien une nouvelle ?". Tout ce que je suggère, c'est d'ajouter la question : "Est-ce d'un intérêt pour la sécurité nationale ?". Et j'espère que chaque groupe en Amérique – les syndicats, les patrons, les officiels à tout niveau – se posera la même question au sujet de leurs projets, et soumettront leurs actions aux mêmes contrôles.

Et si la presse américaine envisage et recommande de nouveau contrôles et mécanismes, je peux vous assurer que nous coopérerons sans réserve à ces recommandations.

Peut-être n'y aura-t-il aucune recommandation. Peut-être n'y a-t-il aucune réponse au dilemme rencontré par une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, les discussions sur ce sujet, et les actions qui en résultent, sont douloureuses et sans précédent. Mais il s'agit d'un temps de paix et de péril qui ne connait aucun précédent dans l'histoire.

II

C'est la nature sans précédent de ce défi qui donne naissance à votre seconde obligation – une obligation que je partage : il est de notre obligation d'informer et d'alerter le peuple américain, pour être sûr qu'il connaisse tous les faits qu’il a besoin de connaitre, et qu’il les comprennent parfaitement bien ; les périls, les perspectives, les buts de nos programmes et les choix que nous devons faire.

Aucun président ne devrait craindre la surveillance citoyenne de son programme, afin que de cette surveillance vienne la compréhension, et que de cette surveillance vienne support ou opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne suis pas en train de demander à vos journaux de supporter l'administration, mais je vous demande votre aide dans l'énorme tâche qui est d'informer et d’alerter le peuple américain, afin que j'aie entière confiance en la réponse et l'implication de nos citoyens pourvu qu'ils soient parfaitement informés.

Je pourrais me contenter seulement de ne pas réprimer la controverse parmi vos lecteurs – je l'accueille volontiers. Cette administration a pour but d'être candide à propos de ses erreurs. Comme un homme avisé l’a dit "Une erreur ne devient pas une faute, à moins de refuser de la corriger". Nous avons l'intention d'accepter l'entière responsabilité de nos erreurs, et nous comptons sur vous pour nous indiquer quand nous les manquerions.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peut réussir, et aucune république ne peut survivre. C'est pour cela que le législateur athénien Solon décréta qu'il s'agissait d'un crime pour tout citoyen d'éviter la controverse. Et c'est pourquoi notre presse fût protégée par le 1er amendement, le seul métier en Amérique spécifiquement protégé par la Constitution, pas pour amuser et divertir, pas pour développer le banal et le sentimental, pas pour simplement "donner au public ce qu'il veut", mais pour informer, pour éveiller, pour réfléchir, pour faire état de nos dangers et nos opportunités, pour indiquer nos crises et nos choix, pour diriger, éduquer et quelques fois même irriter l'opinion publique.

Cela veut dire une plus grande couverture et analyse des nouvelles internationales, si ce n’est pas trop éloigné et à portée de main. Cela veut dire une plus grande attention pour une meilleure compréhension des nouvelles ainsi qu'une communication améliorée. Et cela veut dire, finalement, que le gouvernement, à tous les niveaux, doit satisfaire à ses obligations de vous fournir les informations les plus complètes, en dehors des limites restreintes de la sécurité nationale, et nous avons l'intention de le faire.

III

C'est au début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois récentes inventions déjà en train de transformer le monde : la boussole, la poudre à canon, l'imprimerie. Maintenant les liens entre les nations d'abord forgés par la boussole nous ont tous faits citoyens du monde, les espoirs et les menaces pour un devenant des espoirs et des menaces pour nous tous. Dans ces efforts pour vivre ensemble dans ce monde commun, l'évolution de la poudre à canon dans ses ultimes limites a averti l'humanité des terribles conséquences de l'échec.

Et ainsi, c'est dans la presse écrite, la mémoire des actions de l'homme, le gardien de sa conscience, le courrier de ses nouvelles, que nous cherchons force et assistance, confiant qu’avec votre aide l'homme sera ce pourquoi il est né : libre et indépendant.
Commentaires:
www.pavie.ch

  Certaines phrases expriment les dangers réels d'une manipulation de l'opinion publique : 

"Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son
rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information,
étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaitre…"

C'est pourtant exactement ce qui ce passe aujourd'hui voire même pire encore puisqu'à la suite du 9/11, presque tous les organes de presses ont relayé et confortent encore la version officielle faisant abstraction de toutes les incohérences évidentes.
(voir : www.reopen911.info )
et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.

Le président JFK n'a certainement pas étayé ainsi son discours par hasard, pourquoi mettre l'accent sur les méthodes utilisées par les Russes à l'époque quand on sait qu'elle sont exactement celles employées par les USA (entre autres) par la suite :

"Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés
pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du
libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement,
économiques, scientifiques et politiques.
Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés.
Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé…"

voir "Confessions of an Economic Hit Man" de John Perkins et ce n'est encore qu'un exemple…

Encore une phrase troublante dans ce discours :

"Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation…"

Je pense que l'auteur de ce blog à soigneusement choisi son titre "Skullsnbones" afin de diffuser par le biais des moteurs de recherches en particulier aux "conspiraplotistes" afin de mettre en évidence cette grossière manipulation et les faire douter de leurs convictions.
Mais ceux ci connaissent et de façon fort bien documentées les implications réelles de ces fameuses "sociétés secrètes" œuvrant dans l'ombre…
Si le peuple des US est toujours de l'avis de JFK, que font tous ces membres reconnus aux postes clés du pays ?

Pour conclure, même si le message de JFK avait effectivement pour but premier d'empêcher la divulgation de secrets à l'ennemi durant la guerre froide, il est possible aussi qu'il ai par ce biais, tenté de prévenir les journalistes, qui protégés par la constitution était les seuls à
pouvoir entraver la mise en place de ce que l'on appelle aujourd'hui le "Nouvel Ordre Mondial"…

En vain !!!

Aussi ne doutez pas de l'évidence

ILS POSSÈDENT LE MONDE !

et seule une insurrection généralisée et/ou un boycott total peut sauver les braves moutons que nous sommes…

Claro.  
Voir aussi :
Le discours d’adieu prononcé à la télévision américaine le 17 janvier 1961 par le Président Dwight D. Einsenhower à l’attention de tous ses concitoyens. Il est entièrement centré sur un avertissement solennel concernant le danger de la montée en puissance du complexe militaro industriel des USA. Eisenhower emploie l’expression "militaro industrial complex". Visiblement mal à l'aise, il avertit ses concitoyens que si cette entité n'est pas contrôlée, elle risque de constituer un véritable danger vis à vis du fonctionnement démocratique du pays.
http://www.dailymotion.com/video/x3yfxc_discours-dadieu-einsenhower-complex_politics

The President and the Press: Address before the American Newspaper Publishers Association

President John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, April 27, 1961 audio  Listen to this speech

    Mr. Chairman, ladies and gentlemen:      I appreciate very much your generous invitation to be here tonight.      You bear heavy responsibilities these days and an article I read some time ago reminded me of how particularly heavily the burdens of present day events bear upon your profession.      You may remember that in 1851 the New York Herald Tribune under the sponsorship and publishing of Horace Greeley, employed as its London correspondent an obscure journalist by the name of Karl Marx.      We are told that foreign correspondent Marx, stone broke, and with a family ill and undernourished, constantly appealed to Greeley and managing editor Charles Dana for an increase in his munificent salary of $5 per installment, a salary which he and Engels ungratefully labeled as the "lousiest petty bourgeois cheating."      But when all his financial appeals were refused, Marx looked around for other means of livelihood and fame, eventually terminating his relationship with the Tribune and devoting his talents full time to the cause that would bequeath the world the seeds of Leninism, Stalinism, revolution and the cold war.      If only this capitalistic New York newspaper had treated him more kindly; if only Marx had remained a foreign correspondent, history might have been different. And I hope all publishers will bear this lesson in mind the next time they receive a poverty-stricken appeal for a small increase in the expense account from an obscure newspaper man.      I have selected as the title of my remarks tonight "The President and the Press." Some may suggest that this would be more naturally worded "The President Versus the Press." But those are not my sentiments tonight.      It is true, however, that when a well-known diplomat from another country demanded recently that our State Department repudiate certain newspaper attacks on his colleague it was unnecessary for us to reply that this Administration was not responsible for the press, for the press had already made it clear that it was not responsible for this Administration.      Nevertheless, my purpose here tonight is not to deliver the usual assault on the so-called one party press. On the contrary, in recent months I have rarely heard any complaints about political bias in the press except from a few Republicans. Nor is it my purpose tonight to discuss or defend the televising of Presidential press conferences. I think it is highly beneficial to have some 20,000,000 Americans regularly sit in on these conferences to observe, if I may say so, the incisive, the intelligent and the courteous qualities displayed by your Washington correspondents.      Nor, finally, are these remarks intended to examine the proper degree of privacy which the press should allow to any President and his family.      If in the last few months your White House reporters and photographers have been attending church services with regularity, that has surely done them no harm.      On the other hand, I realize that your staff and wire service photographers may be complaining that they do not enjoy the same green privileges at the local golf courses that they once did.      It is true that my predecessor did not object as I do to pictures of one's golfing skill in action. But neither on the other hand did he ever bean a Secret Service man.      My topic tonight is a more sober one of concern to publishers as well as editors.      I want to talk about our common responsibilities in the face of a common danger. The events of recent weeks may have helped to illuminate that challenge for some; but the dimensions of its threat have loomed large on the horizon for many years. Whatever our hopes may be for the future–for reducing this threat or living with it–there is no escaping either the gravity or the totality of its challenge to our survival and to our security–a challenge that confronts us in unaccustomed ways in every sphere of human activity.      This deadly challenge imposes upon our society two requirements of direct concern both to the press and to the President–two requirements that may seem almost contradictory in tone, but which must be reconciled and fulfilled if we are to meet this national peril. I refer, first, to the need for a far greater public information; and, second, to the need for far greater official secrecy. I      The very word "secrecy" is repugnant in a free and open society; and we are as a people inherently and historically opposed to secret societies, to secret oaths and to secret proceedings. We decided long ago that the dangers of excessive and unwarranted concealment of pertinent facts far outweighed the dangers which are cited to justify it. Even today, there is little value in opposing the threat of a closed society by imitating its arbitrary restrictions. Even today, there is little value in insuring the survival of our nation if our traditions do not survive with it. And there is very grave danger that an announced need for increased security will be seized upon by those anxious to expand its meaning to the very limits of official censorship and concealment. That I do not intend to permit to the extent that it is in my control. And no official of my Administration, whether his rank is high or low, civilian or military, should interpret my words here tonight as an excuse to censor the news, to stifle dissent, to cover up our mistakes or to withhold from the press and the public the facts they deserve to know.      But I do ask every publisher, every editor, and every newsman in the nation to reexamine his own standards, and to recognize the nature of our country's peril. In time of war, the government and the press have customarily joined in an effort based largely on self-discipline, to prevent unauthorized disclosures to the enemy. In time of "clear and present danger," the courts have held that even the privileged rights of the First Amendment must yield to the public's need for national security.      Today no war has been declared–and however fierce the struggle may be, it may never be declared in the traditional fashion. Our way of life is under attack. Those who make themselves our enemy are advancing around the globe. The survival of our friends is in danger. And yet no war has been declared, no borders have been crossed by marching troops, no missiles have been fired.      If the press is awaiting a declaration of war before it imposes the self-discipline of combat conditions, then I can only say that no war ever posed a greater threat to our security. If you are awaiting a finding of "clear and present danger," then I can only say that the danger has never been more clear and its presence has never been more imminent.      It requires a change in outlook, a change in tactics, a change in missions–by the government, by the people, by every businessman or labor leader, and by every newspaper. For we are opposed around the world by a monolithic and ruthless conspiracy that relies primarily on covert means for expanding its sphere of influence–on infiltration instead of invasion, on subversion instead of elections, on intimidation instead of free choice, on guerrillas by night instead of armies by day. It is a system which has conscripted vast human and material resources into the building of a tightly knit, highly efficient machine that combines military, diplomatic, intelligence, economic, scientific and political operations.      Its preparations are concealed, not published. Its mistakes are buried, not headlined. Its dissenters are silenced, not praised. No expenditure is questioned, no rumor is printed, no secret is revealed. It conducts the Cold War, in short, with a war-time discipline no democracy would ever hope or wish to match.      Nevertheless, every democracy recognizes the necessary restraints of national security–and the question remains whether those restraints need to be more strictly observed if we are to oppose this kind of attack as well as outright invasion.      For the facts of the matter are that this nation's foes have openly boasted of acquiring through our newspapers information they would otherwise hire agents to acquire through theft, bribery or espionage; that details of this nation's covert preparations to counter the enemy's covert operations have been available to every newspaper reader, friend and foe alike; that the size, the strength, the location and the nature of our forces and weapons, and our plans and strategy for their use, have all been pinpointed in the press and other news media to a degree sufficient to satisfy any foreign power; and that, in at least in one case, the publication of details concerning a secret mechanism whereby satellites were followed required its alteration at the expense of considerable time and money.      The newspapers which printed these stories were loyal, patriotic, responsible and well-meaning. Had we been engaged in open warfare, they undoubtedly would not have published such items. But in the absence of open warfare, they recognized only the tests of journalism and not the tests of national security. And my question tonight is whether additional tests should not now be adopted.      The question is for you alone to answer. No public official should answer it for you. No governmental plan should impose its restraints against your will. But I would be failing in my duty to the nation, in considering all of the responsibilities that we now bear and all of the means at hand to meet those responsibilities, if I did not commend this problem to your attention, and urge its thoughtful consideration.      On many earlier occasions, I have said–and your newspapers have constantly said–that these are times that appeal to every citizen's sense of sacrifice and self-discipline. They call out to every citizen to weigh his rights and comforts against his obligations to the common good. I cannot now believe that those citizens who serve in the newspaper business consider themselves exempt from that appeal.      I have no intention of establishing a new Office of War Information to govern the flow of news. I am not suggesting any new forms of censorship or any new types of security classifications. I have no easy answer to the dilemma that I have posed, and would not seek to impose it if I had one. But I am asking the members of the newspaper profession and the industry in this country to reexamine their own responsibilities, to consider the degree and the nature of the present danger, and to heed the duty of self-restraint which that danger imposes upon us all.      Every newspaper now asks itself, with respect to every story: "Is it news?" All I suggest is that you add the question: "Is it in the interest of the national security?" And I hope that every group in America–unions and businessmen and public officials at every level– will ask the same question of their endeavors, and subject their actions to the same exacting tests.      And should the press of America consider and recommend the voluntary assumption of specific new steps or machinery, I can assure you that we will cooperate whole-heartedly with those recommendations.      Perhaps there will be no recommendations. Perhaps there is no answer to the dilemma faced by a free and open society in a cold and secret war. In times of peace, any discussion of this subject, and any action that results, are both painful and without precedent. But this is a time of peace and peril which knows no precedent in history. II      It is the unprecedented nature of this challenge that also gives rise to your second obligation–an obligation which I share. And that is our obligation to inform and alert the American people–to make certain that they possess all the facts that they need, and understand them as well–the perils, the prospects, the purposes of our program and the choices that we face.      No President should fear public scrutiny of his program. For from that scrutiny comes understanding; and from that understanding comes support or opposition. And both are necessary. I am not asking your newspapers to support the Administration, but I am asking your help in the tremendous task of informing and alerting the American people. For I have complete confidence in the response and dedication of our citizens whenever they are fully informed.      I not only could not stifle controversy among your readers–I welcome it. This Administration intends to be candid about its errors; for as a wise man once said: "An error does not become a mistake until you refuse to correct it." We intend to accept full responsibility for our errors; and we expect you to point them out when we miss them.      Without debate, without criticism, no Administration and no country can succeed–and no republic can survive. That is why the Athenian lawmaker Solon decreed it a crime for any citizen to shrink from controversy. And that is why our press was protected by the First Amendment– the only business in America specifically protected by the Constitution- -not primarily to amuse and entertain, not to emphasize the trivial and the sentimental, not to simply "give the public what it wants"–but to inform, to arouse, to reflect, to state our dangers and our opportunities, to indicate our crises and our choices, to lead, mold, educate and sometimes even anger public opinion.      This means greater coverage and analysis of international news–for it is no longer far away and foreign but close at hand and local. It means greater attention to improved understanding of the news as well as improved transmission. And it means, finally, that government at all levels, must meet its obligation to provide you with the fullest possible information outside the narrowest limits of national security–and we intend to do it. III      It was early in the Seventeenth Century that Francis Bacon remarked on three recent inventions already transforming the world: the compass, gunpowder and the printing press. Now the links between the nations first forged by the compass have made us all citizens of the world, the hopes and threats of one becoming the hopes and threats of us all. In that one world's efforts to live together, the evolution of gunpowder to its ultimate limit has warned mankind of the terrible consequences of failure.      And so it is to the printing press–to the recorder of man's deeds, the keeper of his conscience, the courier of his news–that we look for strength and assistance, confident that with your help man will be what he was born to be: free and independent.

Nouvelle initiative pour la Vie

Pour nous, cette nouvelle initiative pour la Vie n'est pas parfaite mais elle va au moins réveiller quelques consciences.

Le lien social de ces drames est clair. Ces abominations font souffrir surtout des femmes que nous ne jugeons pas.

Nous souffrons avec elles.

Les abus financiers des cupides poussent au désespoir de plus en plus de victimes.

Le lien est subtil mais réel.

http://ferraye.blogspot.com/2010/01/invitation-officielle-de-evo-morales.html

Pourquoi ces bonus en millions et même en milliards ?, sic, en milliards pour les banquiers de New-York ?

Pour acheter leurs consciences.

Ils savent que la cupidité tue des millions d'innocents, sous leurs fenêtres.

Faut-il laisser tout ce système infernal continuer ces sacrifices de petites victimes innocentes ?

Démographie : la chute a commencé

Courbe sans tenir compte d'une pandémie.
par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement ou TFR en dessous de 2 ) qui sont à la baisse dans le monde entier, et presque partout en dessous de 2,2, taux minimum actuel pour maintenir notre civilisation.
[Europe-hiver.jpg]
La chute commence déjà dans les pays "riches" et en Russie…

Tout peut s'effondrer très vite…y compris l'immobilier et les "valeurs" les plus sûres…

Nous avons jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires.

L’initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale est modifiée comme suit:

Art. 117, al. 3 (nouveau)

3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l’assurance obligatoire.

Art. 117 Abs. 3 (neu)

3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.

Attention à la désinformation. exemples tout en bas de ce mail….

La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous "gratuits".

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d'assurances…


Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.

Pour une objection de conscience.

Cette action a été rendue publique depuis des mois, preuves ci-dessous…29.09.2009…

Mammainfo: Avortements: Qui doit les payer?

Interview avec le Conseiller national Peter Föhn   Au cours de la session d’été des Chambres Fédérales, le schwytzois Peter Föhn, Conseiller national, est intervenu sur le thème du financement de l’avortement et des primes des caisses-maladie. Sa motion, déposée le 10 juin 2009 au Conseil national, exige que les avortements ne soient plus couverts par l’assurance de base obligatoire. Mamma-Info a interviewé Peter Föhn.   Mamma-Info : Monsieur Föhn, de quoi retourne-t-il dans votre motion ?   Peter Föhn : Pour moi, il s’agit surtout de sensibiliser la population au problème du financement de l’avortement, et de lui faire prendre conscience que les interruptions de grossesse sont financées par l’assurance-maladie de base. Les gens ne le savent pas. Et il faut alléger le poids supporté par les caisses-maladie.     La réduction des coûts du secteur santé est-elle votre unique motivation ?   Les coûts relatifs aux interruptions de grossesse ne constituent qu’une part réduite du sinistre affectant les caisses. Mais il faut bien commencer d’agir quelque part.  Par conviction, je répugne à cofinancer l’avortement, cet acte inadmissible. Pour moi donc, ce sont tout particulièrement aussi des motifs éthiques qui importent.  S’il y avait moins d’interruptions de grossesse, il faudrait aussi moins de traitements psychologiques postérieurs. Ces traitements intervenant après un avortement ne font nulle part l’objet de statistiques. Mais sans aucun doute, ils existent en très grand nombre.      En conséquence, voyez-vous dans cette motion une possibilité de réduire le nombre d’avortements ? Tous les ans, en effet, le nombre des enfants avortés est, en Suisse, de l’ordre de la population d’une petite ville.   La réduction du nombre d’interruption de grossesse doit être un objectif que tout le monde peut soutenir. Si les personnes concernées doivent elles-mêmes subvenir à la dépense, il y aura moins d’avortements.     Une Conseillère cantonale de St-Gall, Helga Klee, dit ceci au sujet de votre motion : « Avec cela, le Conseiller national Föhn veut dissuader les femmes d’avoir recours à une interruption de grossesse. (…) Et il lie même cette exigence au prétexte d’une économie de 20 millions de francs par an. (…) Le calcul n’est visiblement pas son fort, car une naissance revient jusqu’à dix fois plus cher qu’un avortement. » Maintenant, qui sait le mieux compter ? Cette Conseillère cantonale, ou vous-même ?   En calcul, qu’elle n’essaie pas de m’en faire accroire. Les gens qui viennent au monde paient, durant leur vie, beaucoup plus, en terme de primes d’assurance (et même aussi d’impôts), que ce qu’a coûté leur naissance. Les morts ne paient rien. De surcroît, chaque enfant mis au monde apporte, non seulement à la famille, mais aussi à l’état, tant de bien qu’on ne peut en aucun cas l’évaluer en monnaie.     La Conseillère cantonale se dit persuadée que la conséquence de votre exigence sera que pour avorter, beaucoup plus de femmes s’adresseraient à des charlatans et que les coûts induits seraient de beaucoup supérieurs aux économies escomptées.   Je ne partage pas cette opinion. De surcroît, des assurances complémentaires peuvent toujours être contractées en plus de l’assurance de base. On pourrait alors faire une assurance complémentaire également pour les interruptions de grossesse.     Que dites-vous du reproche selon lequel sous couvert d’une éventuelle économie, vous vous opposeriez au référendum du 2 juin 2002 par lequel le suffrage populaire suisse a clairement dit oui à la solution des délais ?   Dans ma motion, il ne s’agit pas de mettre en question le régime des délais. A l’époque, on n’a pas demandé au peuple qui doit payer les interruptions de grossesse. La seule et unique question posée était de savoir si elles devaient être dépénalisées ou non.     Un dernier argument de l’adversaire : Les femmes doivent, soutenues par un conseil médical, décider elles-mêmes de leur vie, car l’autodétermination et la responsabilité individuelle sont notre bien le plus précieux.   Lors d’une interruption de grossesse, c’est-à-dire lors du meurtre d’une vie humaine, la limite de la responsabilité individuelle est largement dépassée.     Normalement, quiconque veut agir en responsabilité individuelle et en autodétermination est également prêt-à-porter lui-même les coûts issus de son acte. Lors d’un avortement, ceci n’est manifestement pas le cas. Quelles possibilités voyez-vous pour faire sentir concrètement aux personnes concernées la nécessité qui s’impose en l’occurrence ?   C’est l’objectif majeur de ma motion. Il serait bon qu’une large discussion publique ait lieu à ce sujet. La prévention elle aussi devrait être améliorée : premièrement, il faut expliquer aux gens à quel moment la vie commence. Il faut faire prendre conscience du fait que la vie ne commence pas après la 12ème semaine, mais que, avant déjà, l’embryon est une vie humaine à part entière. Deuxièmement, il faut parler du fait qu’après une interruption de grossesse, beaucoup de femmes souffrent d’énormes troubles psychologiques qu’elles ne peuvent quasiment plus surmonter. Troisièmement, pour le bien de la vie humaine, l’adoption devrait faire l’objet d’une simplification et d’une plus grande prise de conscience.           Interview : Gisela Bührer-Dinkel www.mamma.ch Mille Mercis!  émoticône pays 19   La motion à l’Assemblée fédérale Parcours des instances. La motion permet à un membre du parlement de demander au Conseil fédéral d’élaborer une loi ou un décret fédéral, ou de prendre une mesure déterminée. Concernant la motion de Peter Föhn « Interruptions de grossesse. Fin du remboursement des prestations par l’assurance obligatoire des soins », le Conseil fédéral a entre-temps déjà demandé son refus au Parlement – ce avec un argumentaire fortement favorable à l’avortement. Prochaine étape de la motion : sa discussion au Conseil national.
Puis l'actuelle initiative fédérale vu le manque de soutien politique à Berne…
Le comité "Financer l'avortement est une affaire privée – Alléger l'assurance maladie en radiant les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance de base" est composé de représentants de l'UDC, du PDC, des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).

2010-0050 265
Délai imparti pour la récolte des signatures: 26 juillet 2011
Initiative populaire fédérale
«Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base»
Examen préliminaire
La Chancellerie fédérale suisse,
après examen de la liste de signatures présentée le 18 décembre 2009 à l’appui de
l’initiative populaire fédérale «Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption de grossesse de l’assurance
de base»,
vu les art. 68 et 69 de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques1,
vu l’art. 23 de l’ordonnance du 24 mai 1978 sur les droits politiques2,
décide:
1. La liste de signatures à l’appui de l’initiative populaire fédérale «Financer
l’avortement est une affaire privée – Alléger l’assurance-maladie en radient
les coûts de l’interruption de grossesse de l’assurance de base», présentée le
18 décembre 2009, satisfait, quant à la forme, aux exigences de la loi; elle
contient les indications suivantes: le canton et la commune politique où le
signataire a le droit de vote, le titre et le texte de l’initiative ainsi que la date
de sa publication dans la Feuille fédérale, une clause de retrait sans réserve,
la mention selon laquelle quiconque se rend coupable de corruption active
ou passive relativement à une récolte de signatures (art. 281 CP3) ou falsifie
le résultat d’une récolte de signatures à l’appui d’une initiative populaire
(art. 282 CP) est punissable, ainsi que les noms et adresses d’au moins sept,
mais pas plus de 27 auteurs de l’initiative. L’Assemblée fédérale ne se prononcera
sur la validité de l’initiative que lorsque celle-ci aura abouti.
2. L’initiative populaire peut être retirée par une décision prise à la majorité
absolue des auteurs suivants:
1. Bader Elvira, Co-Präsidentin, Nationalrätin, Vordere Bereten 547, 4717
Mümliswil
2. Föhn Peter, Co-Präsident, Nationalrat, Gängstrasse 38, 6436 Muotathal
1 RS 161.1
2 RS 161.11
3 RS 311.0
Initiative populaire fédérale
266
3. Kasteler-Budde Valérie, Co-Présidente, Responsable sociale, ch. du
Curé-Desclouds 4, 1226 Thônex
4. Albietz Daniel, Einwohnerrat, Im Hirshalm 10, 4125 Riehen
5. Baettig Dominique, Dr. med. FMH, Conseiller national, rue des Voignous
15, 2800 Delémont
6. Beutler Daniel, Dr. med. FMH, Hausarzt, Bahnhofstrasse 50, 3127
Mühlethurnen
7. Bortoluzzi Toni, Nationalrat, Betpurstr. 6, 8910 Affoltern a. Albis
8. Brönnimann Andreas, Nationalrat, Hühnerhubelstrasse 73, 3123 Belp
9. Büchler Jakob, Nationalrat, Matt, 8723 Rufi-Maseltrangen
10. Despot Fabienne, Députée au Grand Conseil, rue de la Madeleine 17,
1800 Vevey
11. Donzé Walter, Nationalrat, Grassiweg 34, 3714 Frutigen
12. Engelberger Edi, Nationalrat, Oberstmühle 3, 6370 Stans
13. Estermann Yvette, Dr. med. FMH, Nationalrätin, Bergstrasse 50A,
6010 Kriens
14. Flückiger-Bäni Sylvia, Nationalrätin, Badweg 4, 5040 Schöftland
15. Freysinger Oskar, Conseiller national, ch. de la Crettamalernaz, 1965
Savièse
16. Geissbühler Andrea, Nationalrätin, Thalmattweg 4, 3037 Herrenschwanden
17. Guillén Victor-Tobias, Kaufmann, Eierbachstrasse 1, 8155 Niederhasli
18. Helfenberger Melanie, Mitglied des Stadtparlaments Gossau, Bettenstrasse
1, 9212 Arnegg SG
19. Legrix Jean-Charles, Député au Grand Conseil, rue du Cerisier 44,
2300 La Chaux-de-Fonds
20. Messmer Werner, Nationalrat, Weinmoosstrasse 15, 8583 Sulgen
21. Meyer Marc, Dr. rer. pol., Gymnasiallehrer, Hellring 7, 4125 Riehen
22. Moor Michele, Banchiere, via Carivée 6, 6944 Cureglia
23. Müggler Dominik, Staatswissenschafter, Rebgasse 11, 4144 Arlesheim
24. Nussbaumer Urs, a. Nationalrat, Rainweg 14, 4533 Riedholz
25. Segmüller Pius, Nationalrat, Adligenswilerstrasse 109, 6006 Luzern
26. Streiff Marianne, Grossrätin, Wangentalstrasse 241, 3173 Oberwangen
27. Wäfler Markus, a. Nationalrat, Schopfstrasse 1c, 8162 Steinmaur
3. Le titre de l’initiative populaire fédérale «Financer l’avortement est une
affaire privée – Alléger l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base» remplit les conditions fixées à
l’art. 69, al. 2, de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques.
Initiative populaire fédérale
267
4. La présente décision sera communiquée au comité d’initiative, Comité
d’initiative ‘Financer l’avortement est une affaire privée’, Case postale 411,
4142 Münchenstein 1, et publiée dans la Feuille fédérale du 26 janvier 2010.
12 janvier 2010 Chancellerie fédérale suisse:
La chancelière de la Confédération, Corina Casanova
Initiative populaire fédérale
268
Initiative populaire fédérale
«Financer l’avortement est une affaire privée –
Alléger l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base»
L’initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale4 est modifiée comme suit:
Art. 117, al. 3 (nouveau)
3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de grossesse et
la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l’assurance obligatoire.
II
Les dispositions transitoires de la constitution fédérale sont complétées comme suit:
Art. 197, ch. 8 (nouveau)5
8. Disposition transitoire ad art. 117, al. 3
(Assurance-maladie et assurance-accidents)
Au terme d’une période transitoire de neuf mois suivant l’acceptation de l’initiative
par le peuple et les cantons, et jusqu’à ce que les modifications législatives qu’elle
induit soient entrées en vigueur, toute disposition aux termes de laquelle l’interruption
de grossesse ou la réduction embryonnaire sont couvertes par l’assurance
obligatoire est remplacée par la règle prévue à l’art. 117, al. 3 de la constitution
fédérale.
4 RS 101
5 L’initiative populaire ne vise pas à se substituer à une disposition transitoire existante de
la constitution fédérale: c’est pourquoi le chiffre de la disposition transitoire relative au
présent article ne sera fixé qu’après le scrutin, en fonction de l’ordre chronologique dans
lequel les différentes modifications constitutionnelles auront été acceptées. La Chancellerie
fédérale procédera aux adaptations nécessaires avant publication au recueil officiel du
droit fédéral (RO).
2010-0050 285
Sammelfrist bis 26. Juli 2011
Eidgenössische Volksinitiative
«Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache – Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten
des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen
Grundversicherung»
Vorprüfung
Die Schweizerische Bundeskanzlei,
nach Prüfung der am 18. Dezember 2009 eingereichten Unterschriftenliste zu einer
eidgenössischen Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache –
Entlastung der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten des
Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen Grundversicherung»,
gestützt auf die Artikel 68 und 69 des Bundesgesetzes vom 17. Dezember 19761
über die politischen Rechte,
gestützt auf Artikel 23 der Verordnung vom 24. Mai 19782 über die politischen
Rechte,
verfügt:
1. Die am 18. Dezember 2009 eingereichte Unterschriftenliste zu einer eidgenössischen
Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache-Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten des Schwangerschaftsabbruchs
aus der obligatorischen Grundversicherung» entspricht
den gesetzlichen Formen: Sie enthält eine Rubrik für Kanton und politische
Gemeinde, in der die Unterzeichnerinnen und Unterzeichner stimmberechtigt
sind, sowie für das Datum der Veröffentlichung des Initiativtexts im
Bundesblatt, ferner Titel und Wortlaut der Initiative, eine vorbehaltlose
Rückzugsklausel, den Hinweis, dass sich strafbar macht, wer bei der Unterschriftensammlung
für eine eidgenössische Volksinitiative besticht oder sich
bestechen lässt (Art. 281 StGB3) oder wer das Ergebnis einer Unterschriftensammlung
für eine Volksinitiative fälscht (Art. 282 StGB), sowie Namen
und Adressen von mindestens sieben und höchstens 27 Urheberinnen und
Urhebern der Initiative. Die Gültigkeit der Initiative wird erst nach ihrem
Zustandekommen durch die Bundesversammlung geprüft.
1 SR 161.1
2 SR 161.11
3 SR 311.0
Eidgenössische Volksinitiative
286
2. Folgende Urheberinnen und Urheber sind ermächtigt, die Volksinitiative mit
absoluter Mehrheit zurückzuziehen:
1. Bader Elvira, Co-Präsidentin, Nationalrätin, Vordere Bereten 547, 4717
Mümliswil
2. Föhn Peter, Co-Präsident, Nationalrat, Gängstrasse 38, 6436 Muotathal
3. Kasteler-Budde Valérie, Co-Présidente, Responsable sociale, ch. du
Curé-Desclouds 4, 1226 Thônex
4. Albietz Daniel, Einwohnerrat, Im Hirshalm 10, 4125 Riehen
5. Baettig Dominique, Dr. med. FMH, Conseiller national, rue des
Voignous 15, 2800 Delémont
6. Beutler Daniel, Dr. med. FMH, Hausarzt, Bahnhofstrasse 50, 3127
Mühlethurnen
7. Bortoluzzi Toni, Nationalrat, Betpurstr. 6, 8910 Affoltern a. Albis
8. Brönnimann Andreas, Nationalrat, Hühnerhubelstrasse 73, 3123 Belp
9. Büchler Jakob, Nationalrat, Matt, 8723 Rufi-Maseltrangen
10 Despot Fabienne, Députée au Grand Conseil, rue de la Madeleine 17,
1800 Vevey
11. Donzé Walter, Nationalrat, Grassiweg 34, 3714 Frutigen
12. Engelberger Edi, Nationalrat, Oberstmühle 3, 6370 Stans
13. Estermann Yvette, Dr. med. FMH, Nationalrätin, Bergstrasse 50A,
6010 Kriens
14. Flückiger-Bäni Sylvia, Nationalrätin, Badweg 4, 5040 Schöftland
15. Freysinger Oskar, Conseiller national, ch. de la Crettamalernaz, 1965
Savièse
16. Geissbühler Andrea, Nationalrätin, Thalmattweg 4, 3037 Herrenschwanden
17. Guillén Victor-Tobias, Kaufmann, Eierbachstrasse 1, 8155 Niederhasli
18. Helfenberger Melanie, Mitglied des Stadtparlaments Gossau, Bettenstrasse
1, 9212 Arnegg SG
19 Legrix Jean-Charles, Député au Grand Conseil, rue du Cerisier 44,
2300 La Chaux-de-Fonds
20. Messmer Werner, Nationalrat, Weinmoosstrasse 15, 8583 Sulgen
21. Meyer Marc, Dr. rer. pol., Gymnasiallehrer, Hellring 7, 4125 Riehen
22. Moor Michele, Banchiere, via Carivée 6, 6944 Cureglia
23. Müggler Dominik, Staatswissenschafter, Rebgasse 11, 4144 Arlesheim
24. Nussbaumer Urs, a. Nationalrat, Rainweg 14, 4533 Riedholz
25. Segmüller Pius, Nationalrat, Adligenswilerstrasse 109, 6006 Luzern
26. Streiff Marianne, Grossrätin, Wangentalstrasse 241, 3173 Oberwangen
27. Wäfler Markus, a. Nationalrat, Schopfstrasse 1c, 8162 Steinmaur
Eidgenössische Volksinitiative
287
3. Der Titel der eidgenössischen Volksinitiative «Abtreibungsfinanzierung ist
Privatsache – Entlastung der Krankenversicherung durch Streichung der
Kosten des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen Grundversicherung
» entspricht den gesetzlichen Erfordernissen von Artikel 69 Absatz 2
des Bundesgesetzes vom 17. Dezember 1976 über die politischen Rechte.
4. Mitteilung an das Initiativkomitee: Initiativkomitee «Abtreibungsfinanzierung
ist Privatssache», Postfach 411, 4142 Münchenstein 1, und Veröffentlichung
im Bundesblatt vom 26. Januar 2010.
12. Januar 2010 Schweizerische Bundeskanzlei
Die Bundeskanzlerin: Corina Casanova
Eidgenössische Volksinitiative
288
Eidgenössische Volksinitiative
«Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache – Entlastung
der Krankenversicherung durch Streichung der Kosten
des Schwangerschaftsabbruchs aus der obligatorischen
Grundversicherung»
Die Volksinitiative lautet:
I
Die Bundesverfassung4 wird wie folgt geändert:
Art. 117 Abs. 3 (neu)
3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch
und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.
II
Die Übergangsbestimmungen der Bundesverfassung werden wie folgt ergänzt:
Art. 197 Ziff.8 (neu)5
8. Übergangsbestimmung zu Art. 117 Abs. 3 (Kranken- und Unfallversicherung)
Nach Ablauf einer Übergangsfrist von neun Monaten nach der Annahme durch Volk
und Stände wird bis zum Inkrafttreten der geänderten Bundesgesetzgebung jede
Bestimmung, welche den Schwangerschaftsabbruch oder die Mehrlingsreduktion
obligatorisch versichert, durch die Regelung von Artikel 117 Absatz 3 der Bundesverfassung
ersetzt.
4 SR 101
5 Da die Volksinitiative keine Übergangsbestimmung der Bundesverfassung ersetzen will,
erhält die Übergangsbestimmung zum vorliegenden Artikel erst nach der Volksabstimmung
die endgültige Ziffer, und zwar aufgrund der Chronologie der in der Volksabstimmung
angenommenen Verfassungsänderungen. Die Bundeskanzlei wird die nötigen
Anpassungen vor der Veröffentlichung in der Amtlichen Sammlung des Bundesrechts
(AS) vornehmen.

Die Motion von SVP-Nationalrat Peter Föhn wühlt die Debatte um Schwangerschaftsabbrüche wieder auf. Dieses Mal geht es um die Kosten: Föhn will den Schwangerschaftsabbruch aus dem obligatorischen Krankenkassen-Leistungskatalog streichen.

Krankenkasse bezahlt Abtreibungen

10 vor 10 vom 18.06.2009

http://videoportal.sf.tv/video?id=0228d038-e9f8-4336-8996-4588b1b7758c

Fronde sur le remboursement des avortements

A défaut de revenir sur la dépénalisation de l'interruption de grossesse, les milieux anti-avortement s'attaquent à son remboursement.

Les initiants ont jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires. (Photo: Keystone)

Les milieux anti-avortement ont lancé mardi une initiative populaire pour supprimer la prise en charge par l'assurance maladie de base.Le comité «Financer l'avortement est une affaire privée – Alléger l'assurance maladie en radiant les coûts de l'interruption de grossesse de l'assurance de base» est composé de représentants de l'UDC, du PDC, des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).Devant la presse, Peter Föhn (UDC/SZ) et Elvira Bader (PDC/SO) ont reconnu s'être lancés dans la bataille sans attendre l'aval de leur partis respectifs. Pour eux, il s'agit avant tout de mobiliser à large échelle. Les deux conseillers nationaux sont convaincus de pouvoir rallier par la suite leur formation à leur cause.Réduire le nombre d'avortementsLes initiants jurent leur grands dieux ne pas vouloir interdire l'avortement même s'ils déplorent sa banalisation. Plus de 10 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) par an, c'est trop, selon Peter Föhn. A l'instar de leurs homologues américains, les anti-avortement suisses s'attaquent à la prise en charge médicale. En supprimant toute «incitation financière», le nombre des IVG s'en trouvera réduit.Selon le comité, les opposants aux interruptions volontaires de grossesse ne doivent pas co-financer de telles pratiques via leurs primes d'assurance maladie. L'avortement n'a pas a être supporté de manière solidaire: il ne s'agit pas d'une maladie, a souligné la co-présidente du PEV genevois Valérie Kasteler.Et de plaider la «responsabilité individuelle»: celui qui envisage la possibilité d'une IVG peut conclure une assurance complémentaire ou payer directement les coûts de l'intervention. Les initiants affirment haut et fort que leur proposition permettra de réduire les coûts de la santé. Les IVG pèsent entre 15 et 20 millions de francs par an, selon Peter Föhn.Protéger la vieQu'une naissance coûte plus cher (6000 à 10 000 francs) qu'un avortement (600 francs par voie médicamenteuse, 3500 francs via une opération) n'entre pas en ligne de compte. La constitution fédérale garantit la protection de la vie, a répondu Elvira Bader.Enfin, le comité souhaite renforcer les droits des parents. «Grâce à l'initiative, les adolescentes de moins de 16 ans ne pourront plus être poussées à un avortement à l'insu de leurs parents».Les initiants ont jusqu'au 26 juillet 2011 pour récolter les 100 000 signatures nécessaires. Leur texte réclame qu'à compter de neuf mois après l'acceptation de l'initiative l'interruption de grossesse mais aussi la réduction embryonnaire ne soit plus couverte par l'assurance de base.La loi pourrait prévoir de «rares exceptions concernant la mère». Selon Peter Föhn, il s'agit notamment des cas de viols ou dans lesquels la vie de la femme enceinte est en danger.

  Initiative populaire mardi26 janvier 2010

L’offensive contre l’avortement qui embarrasse le PDC et l’UDC

Un comité d’élus lance une intiative pour interdire le remboursement de l’interruption de grossesse. Remous politiques Surprise, malaise et consternation. Huit ans après le plébiscite populaire en faveur de la dépénalisation de l’avortement, ses opposants préparent – à l’étonnement général – une nouvelle offensive. Ce mardi, un comité composé d’UDC, de PDC, d’Evangéliques et de membres de l’Union démocratique fédérale (UDF), lance une initiative populaire afin que les interruptions de grossesse, de même que la pilule du lendemain, ne soient plus remboursés par l’assurance maladie obligatoire.Seules doivent être prises en charge, estiment les initiants, les interventions consécutives à un viol, ou si une femme court un danger de mort. Dans les autres cas, les avortements doivent rester l’affaire d’assurances complémentaires, auxquelles souscriraient les femmes qui «s’imaginent pouvoir recourir un jour à l’avortement»…Est-il opportun de rouvrir le débat sur l’avortement? Car tel est l’enjeu de ce texte. Si son promoteur, l’UDC Peter Föhn, insiste sur la nécessité de réduire les coûts à la charge de l’assurance de base, le Schwyzois admet que des «considérations éthiques et morales» guident sa pensée. La députée PDC Elvira Bader, qui siège dans le comité d’initiative aux côtés, notamment, de son collègue Jakob Büchler (SG), renchérit: «Les personnes opposées à l’avortement n’ont pas à le cofinancer.»

Le PDC pas au courantSi cette initiative a, a priori, peu de chances d’aboutir, elle embarrasse le PDC et, dans une moindre mesure, l’UDC. Deux partis traditionnellement divisés sur ces questions, car ils comptent une forte aile très à cheval sur les valeurs morales. D’autant que les initiateurs de ce texte n’avaient pas cru bon de prévenir leurs formations respectives. «J’en ai pris note par les médias, je suis très surprise», lâche la conseillère nationale Lucrezia Meier-Schatz, peu favorable à ce texte. «L’avortement n’est pas quelque chose à prendre à la légère. Certaines personnes se retrouvent dans des situations difficiles.»Le démocrate-chrétien Reto ­Wehrli n’avait, lui non plus, «jamais entendu parler de cette initiative». Sur le fond, le Schwyzois rappelle qu’il était personnellement opposé à la dépénalisation de l’avortement en 2002. «Mais ce type d’initiative soulève des questions au niveau de l’égalité de traitement entre les personnes qui pourraient financer une interruption de grossesse et les autres. Le PDC doit en discuter avant que chacun fasse des déclarations en public.» Enfin, du côté de l’UDC, le Zurichois Jürg Stahl se montre lui aussi sceptique. «Je ne suis pas sûr que le parti soutiendra cette initiative. Je suis d’accord qu’il faut revoir le catalogue des prestations remboursées par la LAMal. Mais les avortements ne posent pas de problème en terme de coûts. Il ne faut pas mélanger l’éthique et la politique.»Surtout, les partis le savent, le peuple s’est prononcé à 72,7%, en 2002, pour une modification du Code pénal dépénalisant l’interruption du grossesse durant les douze premières semaines et l’admettant dès la 13e semaine, sous avis médical, en cas de nécessité. Le même jour, le souverain rejetait à 81,8% l’initiative «Pour la mère et l’enfant», visant à criminaliser l’avortement.Risque de clandestinitéA noter que la loi sur l’assurance maladie a précisément été modifiée en 2002 de sorte que, «en cas d’interruption non punissable de la grossesse au sens de l’article 119 du code pénal, l’assurance obligatoire des soins prend en charge les coûts des mêmes prestations que pour la maladie».

Or, la remise en cause de ces acquis par une nouvelle initiative populaire fait hurler, du côté notamment de la gauche et des libéraux-radicaux. «C’est du fondamentalisme», dénonce la coprésidente des Femmes socialistes suisses, Maria Roth-Bernasconi. «Depuis dix ans, le nombre d’interruptions de grossesse est resté stable (ndlr: 10 848 en Suisse en 2008). Avec un tel texte, on risque de provoquer des avortements clandestins.»«Raviver de vieux démons»Le lancement d’un projet visant à exclure les interruptions de grossesse du remboursement déclenche également le courroux des Femmes libérales-radicales, qui ont abordé ce point lundi, lors de leur séance de comité. «Nous sommes choquées de voir de vieux démons ravivés», note leur présidente, Jacqueline de Quattro. «Les passions autour de cette question sont apaisées, la population a finalement laissé cette décision aux femmes au bout d’un long processus, et cette politique porte aujourd’hui ses fruits. Pourquoi mettre en péril un système qui fonctionne, sous prétexte d’une réduction des coûts?»Sans compter, ajoute la conseillère d’Etat vaudoise, que les frais à charge des caisses maladie, dans le domaine, sont peu élevés. Soit environ 600 francs durant les sept premières semaines de l’interruption de grossesse, 1500 pour les interruptions plus tardives. «Cela serait dévastateur si les femmes qui ne peuvent pas s’offrir un spécialiste s’adressent à un faiseur d’anges», poursuit Jacqueline de Quattro. Les frais qui en résulteraient seraient d’ailleurs bien plus élevés que les économies escomptées. Et la présidente des Femmes PLR de dénoncer «une parfaite hypocrisie. Les femmes confrontées à des décisions douloureuses sont de nouveau montrées du doigt. En plus, c’est un déni de démocratie».

http://www.genethique.org/parus/lettres/2009/septembre.as… L’objection de conscience des pharmaciens  http://www.genethique.org/revues/revues/2009/septembre/20…  Objection de conscience des pharmaciens : la loi française http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2009/09/exclu-e-deo-no… Nouveau film pro vie: Sois un homme http://www.youtube.com/colinpri1#play/uploads video 1,29m – Obamacare: Seniors need not apply

Texte français plus bas

Volksinitiative: Abtreibung soll privat finanziert werden

Bern, (Kipa) "Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache": Unter diesem Titel beginnt am 26. Januar ein überparteiliches Initiativkomitee aus Schweizerischer Volkspartei (SVP), Christlich-Demokratischer Volkspartei (CVP) und Evangelischer Volkspartei (EVP) mit der Unterschriftensammlung für eine neue Volksinitiative.

Die Initiative hat zum Ziel, den straflosen Schwangerschaftsabbruch aus der Grundversicherung zu streichen. "Wir wollen den Bundesrat unter Druck setzen. Dies, nachdem er eine gleichlautende Motion abgelehnt hat", sagte die Solothurner CVP-Nationalrätin Elvira Bader gegenüber dem Zürcher "Tages-Anzeiger". (23. Januar).   (kipa/job)

Abtreibungen selber zahlen?

Frauen, die ihre Schwangerschaft mit einer Abtreibung beenden lassen, sollen dafür selber bezahlen: Dies fordert eine Volksinitiative, die am Dienstag von einer Allianz aus CVP- und SVP-Politikern lanciert werden soll.

Interaktiv-Box

Initianten der Initiative «Abtreibungsfinanzierung ist Privatsache» sind die Nationalräte Peter Föhn (SVP, SZ) und Elvira Bader (CVP, SO). Mit «Blick auf die Gesundheitskosten» und aus «moralischer und ethischer Sicht» wolle er das Volk entscheiden lassen, ob eine Abtreibung von der Grundversicherung gedeckt werden solle oder nicht, sagte Föhn zur «SonntagsZeitung».Er hatte bereits letztes Jahr mit einer Motion im Parlament dasselbe Anliegen vorgebracht. Der Bundesrat lehnte es ab; die Kostenübernahme für Abbrüche sei restriktiv ausgestaltet und gerechtfertigt. 2008 wurden rund 10 800 Schwangerschaftsabbrüche durchgeführt. (20 Minuten)

La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous "gratuits".

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d'assurances…


Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.

Pour une objection de conscience.

Seule une réduction du nombre de prestations d'une part, et en récompensant les comportements responsables d'autre part, permettront d'avoir une influence durable et concrète des coûts de la santé.

On arrive à des abus odieux.

Le conseil fédéral parle d'un coût "minime" des avortements ( 20 millions de Fr ).

Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu'il est vivant.

Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des "soins" horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d'amende ( pas d'objection de conscience permise), de payer des soins qui n'en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l'avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres).

J.Smeaton: Ados et avortements à répétition

Aujourd’hui le Telegraph et le Daily Mail rapportent que, selon les statistiques officielles, plus de 5’000 adolescentes en dessous de 20 ans ont eu des avortements à répétition en 2008. Ces chiffres ont été révélés en réponse à la question parlementaire posée par Anne Milton, ministre de la santé du ‘shadow’ ministère. Il est rafraîchissant de lire le commentaire sur l’avortement de Mme Milton tel qu’il a été rapporté. : "Les avortements peuvent être incroyablement traumatisants pour les femmes et mettre un terme à une grossesse imprévue peut avoir un effet préjudiciable à la santé mentale L’une des solutions proposées par Mme Milton à la porte tournante des avortements à répétition des adolescentes est une information améliorée du gouvernement sur la contraception. Cependant, comme la doctoresse Judith Bury, ancienne directrice d’ Edinburgh's Brook Advisory Centre, une agence qui oriente vers l’avortement reconnaît : " Il y a des preuves écrasantes, que contrairement à ce que vous pourriez vous attendre, la disponibilité de la contraception conduit à une augmentation du taux d’avortement.."(1) " Sex Education for Bureaucrats", The Scotsman, 29 June, 1981 Je suis, néanmoins, d’accord avec Mme Milton sur le fait que le phénomène des avortements à répétition chez les adolescentes est une conséquence de la stratégie gouvernementale sur la grossesse adolescente et la santé sexuelle (consequence of the government ). Ainsi que Christine Hudson de SPUC Plymouth l’ a écrit ( wrote ) le mois passé pour ce blog: "l’avortement et la pilule du lendemain sont les instruments du lynchage de la stratégie gouvernementale quant aux grossesses adolescentes. Le but est de débarrasser les enfants et les jeunes femmes des grossesses imprévues. Ces grossesses sont le résultat de l’activité sexuelle encouragée par le gouvernement et notre société, avec peu ou pas d’attention accordée à l’age du consentement." Les propositions du gouvernement pour l’éducation sexuelle obligatoire résulteront en encore plus de promotion de l’avortement dans les écoles. Si le Parti Conservateur souhaite mettre fin à l’augmentation des avortements chez les adolescentes, alors il doit bloquer les propositions du gouvernement contenues dans le projet de loi sur les Enfants, Ecoles et Famille (contained in the Children, Schools and Families bill ). De même le Service d’Education Catholique (CES) en Angleterre et au Pays de Galles doit renverser son soutien général à l’éducation sexuelle obligatoire  (general support ) Les avortement des adolescentes ne diminueront pas tant que le droit des parents à agir comme premiers éducateurs de leurs enfants tel qu’il est reconnu dans la Déclaration Universelle des Droits Humains, (recognised in the United Nations Universal Declaration of Human Rights) , ne sera pas manifeste dans la loi et la politique.   Merci d’agir maintenant afin de mettre un terme à l’éducation sexuelle obligatoire et à l’agenda anti vie du gouvernement. Merci de lire et de répondre à l’alerte de la campagne de SPUC (campaign alert ).  John Smeaton, 8.12.2009 http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/prevent-teen-re…  http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2009/02/26/asme-toujours… ASME: Toujours plus d'adolescentes enceintes. http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/catholics-can-h… Les catholiques peuvent honorer l’Immaculée Conception en s’opposant au projet de loi sur l’éducation sexuelle obligatoire. L’analyse de John Smeaton pour la Grande Bretagne rejoint celle de Colin Mason ( www.pop.org ) pour les Etats-Unis d’Amérique, ainsi qu’on peut la lire dans son article du 7.12.2009 intitulé ‘Le sénateur Baucus veut enseigner la sexualité à vos enfants’ : « C’est marrant, les choses qui ne font jamais la une.  Prenez l’amendement récent au plan de la santé proposé au Sénat par Max Baucus (Sénateur démocrate du Montana), chairman du Senate Finance Committee. Ce langage alloue quelques centaines de millions de dollars de votre argent pour « L’Education à la responsabilité personnelle pour former à l’age adulte. » ( …). Vous voyez, on en revient toujours au sexe. Comment le fait d’être traité comme un animal est une recette pour une transition à succès vers l’age adulte= Si le droit d’avoir du sexe de promiscuité peut avoir été le cri de bataille de la génération actuellement en charge de la législation, il est injuste de présumer que tous les enfants d’aujourd’hui aspirent nécessairement à ce triste état. L’Amérique a l’un des taux les plus élevés de grossesses adolescentes en Occident précisément à cause de l’éducation au sexe graphique et sans valeurs à laquelle les enfants sont constamment exposés. N’est-il pas temps que nos législateurs arrêtent de souhaiter une génération d’enfants aussi débauchés qu’eux-mêmes ? Les jours de Woodstock et de l’amour libre ont disparu depuis longtemps et ce n’est pas une quantité de financement par les impôts et les mandats législatifs qui vont les faire revenir. » Les divers PS du jour:   http://politicalticker.blogs.cnn.com/2009/12/05/baucus-ad… 5.12.2009 Le Sénateur Baucus (promoteur d'éducation sexuelle pour enfants) reconnaît avoir nominé sa petite amie au poste d’US Attorney http://www.ontheissues.org/Social/Max_Baucus_Abortion.htm…  http://www.nrlc.org/press_releases_new/Release091609.html…  Baucus – 100% avortement http://www.lifenews.com/nat5736.html M. Obama viole encore sa promesse de ne pas financer l’avortement en soutenant le projet de loi au Sénat  Au Nevada d'Harry Reid – pro avortement-, seulement 39% des électeurs soutiennent Obama Care quand 53% s’y opposent. Autant pour des perspectives de réélection… http://www.gopusa.com/theloft/?p=170 Bobby Eberle sur la réforme de la santé et l'attitude de M. Reid , 8.12.2009: Quand tout le reste échoue, accuse tes opposants de racistes. http://www.lifenews.com/nat5740.html Les évêques américains encouragent les faiseurs de loi à soutenir l’amendement Nelson (pro vie) https://secure.conservativedonations.com/pijn_fax_bluedog… Encore temps pour sauver les bébés et les papies-mamies d’Obama Care http://www.uklifeleague.com/ http://www.uklifeleague.com/enews/071209.html les courriels d'UKLIFELEAGUE au 7 décembre http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/8366326.stm   3D MRI Scans : 1minute 53 Avec cette technologie de pointe destinée à mesurer la croissance du cerveau du bébé, comment oser persister à dénier l’humanité du tout petit pour lui tuer sa vie ? http://www.dailymail.co.uk/news/article-1232191/Dr-Kather…   Dr Katherine Rake, féministe radicale a été spécialement choisie par le gouvernement britannique – à la tête du Parenting and Family Institute – pour achever ce qui reste de la famille nucléaire dont elle aime se moquer en public. http://www.telegraph.co.uk/earth/copenhagen-climate-chang… Trilatéralement votre… Copenhague et l’empreinte – de quoi ? -… Tout le monde doit être égal mais certains en ont plus le droit que d’autres. Limousines, jets privés et caviar… pour ceux qui s’imaginent être les maîtres de notre droit de vivre (Socialisme de luxe à la Bilderberg – pour infos demander à M. Bayrou et Cie) – Transports compris, la conférence de 11 jours utilisera 41'000 tonnes de dioxine de carbone – plus que la production journalière de 30 pays…  http://www.zenit.org/article-22861?l=french Lettre du Conseil d'Eglises Chrétiennes à N. Sarkozy : Changer notre mode de vie. http://lebaldesdegueulasses.blogspot.com/2009/12/end-of-w…   Le bal des dégueulasses : la fin du monde : « nos crapauds nous promettent le bonheur sur Terre pour certains, ce qui exclue : les moches, les malades, les foetus pas désirés ou niés, les pauvres, les pas métissés, ceux qui dégagent du CO2, ceux qui n'aiment pas payer d'impôts, ceux qui aiment se sentir chez eux, etc, etc, bref, pas grand monde. Et bizarrement, leur altruisme militant ressemble de plus en plus à un égoïsme qui a pris goût au sang, et qui n'aime surtout pas qu'on lui tende un miroir où il puisse voire l'horreur et l'hypocrisie qui dégoulinent de sa bouche. » http://ciel-bleu.blogspot.com/2009/12/voila-un-exemple-du… L’avortement post natal : Ces médecins néerlandais qui en sont maintenant à euthanazier des bébés qui ne souffrent pas mais dont ils envisagent une mauvaise qualité de vie. http://euthanasier-c-tuer.org/blog/ Un regard catho sur l’eutha-nazie http://www.chretiente.info/200912050444/les-liens-entre-l… Les liens entre l’avortement et l’holocauste. La différence de votation quand les peuples reçoivent les images de l'avortement (Irlande = Niet) ou le baratin idéologique soft des droits de la femme (Portugal et Suisse = Da). http://www.sekotia.com/pdf/ft-isadora-bibiana.pdf ' Vient de paraître: 'D'Isadora à Bibiana: Le Nouvel Avortement et l'Holocauste' par Santiago Mata http://www.aciprensa.com/noticia.php?n=27757 Ce qui se passe en Espagne où les législateurs viennent de recevoir des albums avec photos des petits massacrés tels que retrouvés dans les poubelles des cliniques espagnoles. http://www.rte.ie/news/2009/1130/abortion.html Victoire pro vie à la cour de Belfast http://www.cailletm.com/  'J'étais franc maçon' vient de paraître en français et en portugais. Pour la première fois, l'auteur y décrit les initiations et les compromissions de son parcours maçonnique. http://www.genocidio.biz/

http://surlespasdessaints.over-blog.com/article-priere-pour-la-france-et-pour-le-monde—catherine…

Tous contre la LAMAL qui finance notamment le RU486… Non à la "solidarité du gaspillage qui finance la LAMAL (assurance-maladie). Nous vous recommandons de signer et faire signer cette nouvelle l'initiative contre la LAMAL, qui supprime cette obligation inique. Grâce à cette initiative, nous retrouvons notre liberté face aux abus manifestes et de plus en plus criants de cette loi qui porte bien son n o m ; elle porte au mal en soutenant la drogue dure (héroïne), l'homosexualité, l'avortement, le RU486 qui charge encore plus les femmes psychologiquement, car elles sont seules à pleurer. Nous sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois des sommes de plus en plus élevées pour des "soins" horribles, à des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse; nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d'amende ( pas d'objection de conscience permise), de payer des soins qui n'en sont pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui désirent être des femmes), l'avortement tellement banalisé (50 000 par année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les primes complémentaires des riches par les pauvres). Tous les soins hospitaliers peuvent être couverts par une assurance beaucoup plus efficace qui ne contribue pas aux gaspillages cités ci-dessus, avec la conscience en paix, car libérée des abus et du prix du sang des innocents sacrifiés à l'autel de notre société de consommation.
Les sommes économisées, placées à votre guise, sont votre assurance personnelle pour les autres cas, sans compter d'autres assurances moins chères possibles (Pro Life, Astra). La nouvelle idole, dont vous pouvez maintenant vous libérer par étapes, est la prétendue sécurité étatique et sociale ( qui est en fait un esclavage subtil ). Les enfants menacés de massacre doivent pouvoir bénéficier du Droit de grâce cantonal et être adoptés, car la peine de mort n'existe plus en Suisse. Ces sécurités "sociales" sont des mensonges pour les jeunes actuels, car les promesses faites par des irresponsables qui ne veulent ni voir ni comprendre nous amènent au trou démographique et à la chute de notre civilisation. Les prestations seront payées en monnaie de singe. En votant oui, vous donnez un signe fort des vertus de nos ancêtres attachés à la défense de leurs libertés. Se libérer du joug de l'obligation faite de financer les flèches qui tuent la descendance de Guillaume Tel] vous rendra heureux de tirer sur la pomme des liens subtils clé la consommation et, le coeur allégé de ce poids, vous pourrez remercier Nicolas de Flue qui nous a si souvent sauvés des pièges de l'histoire. En diffusant de suite ce message, vous rendez le monde plus beau et juste en protégeant les plus faibles, qui sont sans voix. Une famille nombreuse paye plus de 24'000 Fr par année, sans cas de maladie, ce qui représente une inflation d'environ 15 %, mais qui n'est pas dans le taux officiel, car les hausses des primes sont "oubliées".
Même les gouvernements cantonaux essaient de combattre la LAMAL.

Nous pourrions tous au moins vivre dans la simplicité et éviter ces
milliers d'avortements, de mort de faim et de maladies simples à
soigner, grâce aux machines, aux robots et au progrès. Des voleurs
profitent de la productivité. Il est bon de se partager ou mieux de
distribuer les profits et les produits des machines. Mais nous vivons
encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et
caché basé sur la peur de la disette.

« Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d'économie en 1988

De plus, Helmut Creutz a calculé que, du fait de l'ajout du coût de
l'intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits …que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système de petits
copains.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c'est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes…
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s'accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s'écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère. www.pervenit.com

Les petits de l'argent prennent la place des petits des hommes….la
démographie s'écroule et l'économie suit…notre civilisation est
mortelle…

Propositions de solutions  voir www.pavie.ch

Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d'amendes,
d'impôts…. Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.

Primes d'assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, amendes de stationnement,etc.… Politique des petits
copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogue,….

Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils.

Un pour tous,
tous pour un.

Gauche, droite, c'est vieux jeu.

Soyons unis pour défendre les plus faibles.
 

Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.
Assurance maladie et initiative fédérale.   La Suisse est le résultat d'une longue histoire de confiance mutuelle entre des minorités très différentes, réunies pour résister à la malice des temps.   Nous sommes obligés juridiquement de contribuer au meurtre de petits innocents, sous la menace de 6 mois de prison. (sic) .   1) En effet, l'assurance-maladie est obligatoire. Cette obligation est rendue "indispensable" par les colossaux gaspillages de notre système. Au lieu de réformer les gaspillages, on écrase les cotisants sous des hausses de plus en plus lourdes. 2) Le premier gaspillage à éradiquer est celui des vies humaines. En effet, le nombre d'avortements est si grand qu'il est maintenu secret (secret d'État). Il coûte si cher à la collectivité, surtout du fait des conséquences dramatiques sur les protagonistes de ces " opérations " dont les victimes sont les bébés tués et leurs mères qui souffrent souvent pour le restant de leurs jours. Il est de plus prouvé que l'avortement augmente considérablement les risques de cancer et de stérilité. 3) Mais le comble est la menace de prison à l'encontre des citoyens honnêtes, désireux de protéger les plus pauvres et les plus faibles de notre société, les nouveaux conçus.   4) Les objections: 4.1) Le compromis: Le principale objection viendra de ceux qui veulent vivre de compromis. Mais parfois leurs compromis équivalent à des compromissions. Il y a en effet des sujets non négociables. Accepteriez-vous de manger un superbe gâteau, mais avec une dose mortelle de cyanure noyée dans la masse ?   Ils ont vendus la contribution obligatoire au financement de meurtres contre un avantage pécuniaire de quelques sesterces. Ceci rappelle étrangement l'histoire, sous réserve de la nouveauté de l'obligation, sous menace de prison. …   4.2) La guerre civile: L'autre argument est que nous créons la guerre civile. Ceci est faux car la guerre civile a été créée par eux, guerre entre les vivants qui tuent (ou laissent tuer) les faibles par dizaines de milliers chaque année. (plus qu'en Irak). Ce n'est pas en fermant les yeux que vous effacerez cette réalité sanglante. Au contraire, en misant sur l'amour et l'adoption, vous apporterez la paix et la concorde. 4.3) L'article 120 CPS: Certains vous diront que ce n'est pas grave car on ne rembourse que les avortements faits sous l'article 120 CPS (choix entre la vie de la mère et de l'enfant). Cette position ne voit pas la réalité des faits. En effet, il est de notoriété publique car ces cas sont quasi-inexistants, alors que les avortements se comptent par dizaines de milliers. Ceux qui ne respectent ni la lettre ni l'esprit de la loi actuelle veulent nous obliger à tremper nos mains dans le sens d'innocents. Par paresse, par ignorance et souvent par compromission, ils veulent que rien ne se passe. Ils laissent ainsi les profiteurs (des gynécologues aux revenus exagérés) et leurs complices accomplir leur sinistre besogne. 4.4) Les économies seraient ridicules: Ils avancent même l'idée de généraliser le RU-486 afin de faire baisser les coûts. Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle sait qu'il est vivant.   4.5) C'est une loi sociale: Non, c'est une loi socialiste, centralisatrice et gaspilleuse. C'est l'habitude universelle des socialistes de dépenser l'argent des autres. Le problème, avec les déficits chroniques actuels, c'est que cet argent se raréfie. De plus, elle n'est pas du tout sociale. Elle écrase les petits, les familles, les femmes, les actifs et même les vieux sous des hausses de primes vertigineuses (de 40 à 60%). Pour les jeunes, vu l'expérience vaudoise, de 300 %. De plus elle aggrave le déficit démographique. En effet, elle consacre la plus petite augmentation des dépenses à la maternité (+0,7%). L'étatisation de la médecine menace, les gaspillages seraient pires, la centralisation certaine et la prolifération des fonctionnaires coûteuses. 4.6) C'est une loi moderne: Elle est surtout centralisatrice. Le système collectiviste a fait faillite partout. 4.7) Elle permet la maîtrise des coûts: Avec un catalogue de soins qui s'élargit, avec des subventions gourmandes, des médecins fonctionnaires et des patients à l'assistance publique du fait des hausses radicales des primes, les coûts seront vertigineux. Qui paiera? les contribuables. La Confédération a déjà 80 milliards de dettes, plus 7 milliards chaque année. 4.8) L'argent serait mieux utilisé: Quelle blague! Le message du Conseil fédéral confirme que 60% de la population sera subsidié. Le canton de Vaud, avec une loi analogue, devrait payer les primes d'environ 100'000 de ses habitants. 4.9) Elle est favorable aux femmes et aux personnes âgées: Les femmes en âge d'avoir des enfants verront des choses étonnantes et des hausses de primes colossales, si elles veulent pouvoir choisir leur gynécologue ou leur médecin traitant. De même pour les personnes âgées. 4.10) Une médecine de qualité pour tous: Ceci est un mensonge pur et simple. Les expériences françaises, anglaises, suédoises sont là pour le confirmer. De plus, les médecins ne seront plus libres de prescrire ce qu'ils veulent, en fonction du progrès technique, mais devront se limiter à un catalogue fédéral. 4.11) Elle rend les assurés plus responsables: Encore un mensonge. Elle les déresponsabilise et les pousse à abuser du système. 4.12) Elle restaure la solidarité: Ceux qui paient sont les faibles, les enfants à naître, les femmes enceintes, les personnes âgées (l'euthanasie active menace). Les pouvoirs exorbitants donnés à la Berne fédérale annonce le Leviathan des temps modernes. 5) Les dépenses supplémentaires: Elles avaient été budgétisées à 1,74 milliards la première année. Ce budget a été, comme toujours, largement dépassé…. Sans compter les hausses de subventions de 1,83 milliards la première année à 2,18 milliard la quatrième année, à compléter par les subsides cantonaux qui atteindraient 1,09 milliards. Ces dépenses supplémentaires sont en grande partie causés par les déséquilibres provoqués par l'avortement. En effet, les soins de longue durée aux femmes devenues dépressives ou même folles ( une bonne partie des 900 millions budgétés ) ou soumises à des traitements à répétition de psychothérapeutes qui représente une bonne partie des 135 millions budgétés. Il est symbolique de voir un très petit 0,7% (12 mio) qui avait été consacré à la maternité. D'autant plus que les pressions sont fortes pour financer les fécondations in vitro, très coûteuses et très aléatoires et qui répondent souvent à un abus d'avortement ou de contraceptifs abortifs. II. L'initiative socialiste d’un caisse unique.   Celle-ci est de la même eau que le projet analysé ci-dessus. Elle encourage la centralisation, le gaspillage et la déresponsabilisation. Le collectivisme a raté partout. Économisons un échec de plus et votons non à cette initiative.   III. Conclusions Mais restons optimistes. Trouvons les énergies nécessaires pour refuser l'inacceptable, la cotisation au meurtre rituel sur l'autel de la société de consommation. En signant cette initiative, nous misons sur l'avenir avec des enfants. Ouvrons notre pays à une jeunesse qui frappe à notre coeur, favorisons les adoptions, les aides aux familles, le salaire maternel, mesures qui relanceront notre économie. favorisant une demande solvable et positive  Nous avons eu le plan Wahlen, mobilisateur d'énergies et sauveur de la Patrie, ayons le plan de Mme Marie-Laure Beck, a. présidente du Grand-Conseil genevois, en faveur des familles et de l'adoption.    Comme le disait récemment le Professeur Jérôme Lejeune,  prix Robert Kennedy, Oh Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.   Merci d'avance pour votre signature. Faites sigber vos amis et vos proches en leur remettant l'argumentaire résumé ci-joint ou en vous en inspirant afin d'écrire des lettres de lecteurs ou des articles de fond.   L'heure est à l'action et à la défense de la substance de notre avenir, qui, comme toujours, passe par la femme.   François de Siebenthal

    Résumé (encadré)   Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l'enfant.     Sous menace de prison (sic) art. 92 de la Lamal (resic, en français fédéral, qu'elle porte bien son nom), nous sommes obligés: 1) de contribuer financièrement au crime abominable de l'avortement (art. 30 et art 3); 2) de creuser encore plus les déficits fédéraux et cantonaux (de plus de 2 mia par année ) et d'augmenter les impôts fédéraux et cantonaux; 3) d'accepter la violation du secret médical; 4) d'ancrer une loi collectiviste; 5) d'écraser les femmes et les personnes âgées sous des primes toujours plus lourdes et de tripler celles des jeunes; 6) de noyer les responsabilités et fonctionnariser les médecins; 7) d'accepter les gaspillages honteux en favorisant les parasites et les exploiteurs en surchargeant les actifs et les familles; 8) de favoriser un état policier, fouineur, tracassier et centralisé à Berne en acceptant des médecins imposés par l'État; 9) de confirmer la pratique anti-économique qui consiste à obliger les caisses bien gérées à combler les trous des caisses mal gérées. 10) REFUSONS DE NATIONALISER LES PERTES ET DE PRIVATISER LES BÉNÉFICES.   LE CONTRIBUABLE N'EST PAS UN MOUTON QUE L'ON PEUT INDÉFINIMENT TONDRE.

Demain, quelles politiques sociales de solidarité ? Pour un dividende universel.

Europe, l'hiver démographique / Lausanne : L'Âge d'homme – 1989

Titre : Europe, l'hiver démographique : [actes du colloque international, Lausanne, Ecole polytechnique fédérale, 18 février 1989]
Type de document : texte imprimé
Auteurs : Association des étudiants de l'Ecole polytechnique fédérale et de l'Université de Lausanne pour l'éthique et la société, Editeur (scientifique); Pierre Chaunu (1923-2009), Préfacier, etc
Editeur : Lausanne : L'Âge d'homme
Année de publication : 1989
Importance : 254 p.
Présentation : ill., couv. ill. en coul.
Format : 22 cm
Langues : Français (fre)
Catégories : [CEDIAS]DEMOGRAPHIE
[CEDIAS]Europe
Permalink : http://cediasbibli.org/opac/index.php?lvl=notice_display&id=7942
Mention de responsabilité : organisé par l'AEULES, Association des étudiants de l'Ecole polytechnique fédérale et de l'Université de Lausanne pour l'éthique et la société ; préf. de Philippe Pidoux ; introd. de Pierre Chaunu… ; textes assemblés par François Geinoz,… François de Siebenthal,… Antoine Suarez,… Michel Tricot,..

Démographie, une béance dramatique, les vraies causes du krach.

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/10/le-dividende-universel-la-nouvelle.html
Le contrôle global, le développement périphérique et le pouvoir de marché sont élaborés comme des méthodes pour asseoir l'efficacité de l'entreprise dans un contexte de globalisation des marchés, des outils d'analyse économique, prospective et stratégique du jeu énergétique mondial.
Nombreux se sont les auteurs, géopoliticiens et économistes, qui se référent à cette théorie, comme Marc Imbeault et Gérard A. Montifroy, in "Géopolitique et Pouvoirs" (2003), François de Siebenthal in "Crise immobilière, démographie russe et guerres à venir" (2008) ou Pierre Marie Gallois dans des réflexions sur des problématiques géopolitiques et énergétiques, notamment in "L'Heure fatale de l'Occident" (2004), in "Soif du pétrole" (2005), in "Ces Guerres qui abattent une civilisation" (2005)… http://desiebenthal.blogspot.com/2008/11/crise-immobilire-dmographie-russe-et.html

Demain, quelles politiques sociales de solidarité ? [publié le 20/07/2009]
SEMINAIRE DE FORMATION ET DE RECHERCHE

Septembre 2009 – janvier 2012

Demain, quelles politiques sociales de solidarité ?

Dans le cadre d’une solidarité collective, l’objet du Social est le respect du bien-être de la personne humaine ainsi que sa recherche. L’intérêt collectif le prend-il encore en compte ?

En effet, nous constatons que la réponse aux demandes et aux besoins de bien-être de chacun, est de plus en plus soumise à des objectifs marchands ou de contrôle social.

Devant l’accélération des processus de désocialisation et d’exclusion, nous voulons nous interroger sur les modalités les plus adaptées pour construire des politiques sociales réalistes. C’est pourquoi nous proposons ce séminaire qui, à partir d’une prise de conscience citoyenne, devrait aboutir à poser les fondements des politiques sociales de demain.

Le principe retenu est celui d’une information-formation réunissant des concepteurs, des théoriciens, et des praticiens de différents champs d’exercice (animateurs, assistants de service social, avocats, chercheurs, éducateurs, enseignants, magistrats, médecins, psychologues…) permettant une réflexion interactive et une confrontation pragmatique, ainsi qu’une élaboration progressive. Cette formation prendra la forme d’un séminaire composé de 2 parties : 1.       Analyser les politiques sociales de solidarité

7 séances de septembre 2009 à novembre 2010.

2.       Élaborer les politiques sociales de solidarité 5 séances de janvier à décembre 2011

suivies de 2 séances en 2012.
 

Chaque session, d’une durée de 3 heures, bénéficiera d’une part, de l’intervention d’une personnalité politique, institutionnelle, ou professionnelle, ayant assumé des fonctions ou des responsabilités de premier plan, et d’autre part, de l’expérience confirmée des participants. Chaque session donnera lieu à un compte rendu et fera l’objet d’un temps d’analyse.

La finalité de ce séminaire est l’approfondissement de la réflexion autour des politiques sociales qui devraient être menées compte tenu des mutations actuelles, et la production d’un DOCUMENT-GUIDE issu de ces réflexions qui puisse contribuer à définir de nouvelles propositions.

I. Contenu

1ère partie : ANALYSER DES POLITIQUES SOCIALES DE SOLIDARITE Après une introduction de méthodologie, ce premier temps du séminaire souhaite jeter un regard réel sur les politiques sociales de solidarité d’hier et d’aujourd’hui : comment elles se pensent et comment elles se réalisent. Des personnalités viendront apporter leurs témoignages d’abord sous les angles politique, juridique, et administratif.

Puis seront envisagés, les rôles et définitions des différents partenaires avec chaque fois le même questionnement : tenter d’analyser ce qui est, puis de dégager ce qui devrait être.

Cette première partie se propose de cerner les points-clé d’une politique sociale et de commencer à dégager « ce qui fait ensemble ». En voici le détail et le calendrier :

Samedi 26 septembre 2009 (10 h – 13 h)

Comment naissent les politiques sociales ? Quelles méthodes pour l’analyse ?  Intervenant:      François-Olivier MORDOHAY    Ingénieur École Nationale Supérieur des Arts et Métiers Discutants :       membres du groupe de pilotage (Jacques LADSOUS, Jean-Yves BARREYRE) La constitution de notre République affirme que tous les citoyens sont égaux devant la Loi. Il n’y aurait donc plus, en théorie, de privilèges. Mais la réalité nous montre des situations très disparates, des souffrances profondes chez certains, d’où la nécessité de chercher à traiter ces inégalités, à les compenser ou les réparer.

Cela nécessite une observation permanente des populations qui constituent cette République, afin de trouver les réponses utiles. Comment conduire cette observation, en la dégageant des émotions ponctuelles, pour en inscrire les éléments dans la durée ? Quelles méthodes pour faire cette analyse ? Comment nous l’approprier nous-mêmes dans la démarche du séminaire ?

Samedi 28 novembre 2009 (10 h – 13 h)

L’approche politique du Social : références, stratégies, moyens… Intervenant :      Nicole QUESTIAUX    Conseiller d’Etat, ancien ministre d’Etat de la Solidarité nationale Discutants :      Jean-Yves BARREYRE     Directeur du CEDIAS                         Pierre ROSANVALLON      Historien, professeur au Collège de France, directeur d’études à l’EHESS Une véritable politique sociale s’appuie d’abord sur des références. Celles de la République française et de notre constitution se situent autour de trois valeurs que sont la liberté, l’égalité, la fraternité. La politique sociale tend donc à réparer toutes les inégalités qui existent, en faisant en sorte que les droits des personnes que garantit la constitution puissent réellement s’exercer, et que l’accueil des étrangers puisse se réaliser dans les meilleures conditions possibles et dans une proportion supportable.

Cela suppose des engagements, cela suppose des stratégies envers l’ensemble des citoyens, cela suppose des moyens. Mais une politique ne saurait dépendre des moyens qu’on veut bien lui octroyer. Elle doit trouver les moyens nécessaires à sa réalisation. 

Samedi 30 janvier 2010 (10 h – 13 h.)

La part du droit : la place de la Loi, le rôle du législateur.

Intervenant    Jean-Michel BELORGEY   Conseiller d’État Discutants :       Un syndicaliste                         Michel BORGETTO          Professeur de Droit public à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) Pour réaliser une politique sociale, il faut un encadrement législatif, et ce sont les parlementaires qui sont chargés de le produire et de le voter.

Sur quelles bases peuvent-ils s’appuyer pour fournir ce cadre ? Attentifs aux mouvements de l’opinion publique, ne sont-ils pas tentés de répondre aux inquiétudes par des « Lois compassionnelles », votées sous le coup de l’émotion, et dont on ne peut vraiment tirer parti. N’est-ce pas en partant des droits, et des méthodes qu’utilisent les professionnels du social pour les faire respecter, que l’on peut réunir les textes fondateurs à l’intérieur desquels usagers et professionnels vont pouvoir trouver réponses et propositions d’action ? Que faire alors du « mille-feuilles » que représente aujourd’hui la superposition des textes dont la vie aura été éphémère, et qui se portent parfois contradiction.

Samedi 27 mars 2010 (10 h – 13 h.)

De la conception à l’exécution : la part de l’administration.
Intervenante :  Marie-Thérèse JOIN-LAMBERT        Inspecteur général honoraire des Affaires sociales

                                                                                  Enseignante à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris Discutants :       Jean-Michel BELORGEY   Conseiller d’Etat                         Yannick MOREAU            Présidente de la section sociale au Conseil d’Etat Quand une politique sociale est clairement définie, il y a lieu de veiller à son application. C’est le rôle de l’administration centrale. Quels en sont les canaux dans une France qui se voudrait de plus en plus décentralisée, et où les compétences se répartissent entre tous les niveaux du territoire ?

Comment l’administration peut-elle servir de va-et-vient entre les intentions de cette politique, et la manière dont elle est ressentie, à la fois émetteur de propositions et récepteur de satisfactions ou de récriminations ?

Quelle influence ont les changements politiques sur ces applications ? Quelle permanence garder tout en tenant compte de ces variations ? Comment et par qui l’administration se nourrit-elle des réalités vécues sur le terrain ?

 

Samedi 29 mai 2010 (10 h – 13 h)

Services publics, missions d’intérêt général et d’utilité sociale

Intervenants :    Pierre GAUTHIER       Ancien directeur général de l’action sociale

                                                           Directeur de l’ARH Midi-Pyrénées

                         Hubert ALLIER       Directeur général de l’UNIOPSS Discutants :       Nicole MAESTRACCI         Présidente de la FNARS                         Jacques LADSOUS           Educateur, inspirateur des « états généraux du social » Les politiques sociales de solidarité sont mises en œuvre à travers plusieurs modalités :        Les services publics directement gérés par l’État, et qui doivent constituer le minimum requis pour que les lois sociales s’inscrivent dans la pratique, que ces services soient nationaux ou décentralisés.

       Les missions d’intérêt général et d’utilité sociale mises en œuvre à travers des délégations, des mandatements ou des marchés publics. Ces missions sont exercées sous le contrôle de la puissance publique et avec son accord. Elles sont réalisées selon des méthodes diversifiées permettant l’expérimentation et l’évaluation de celles-ci, dans une diversité qui élargit l’action sociale en lui permettant de s’étendre et de progresser. Par leur engagement citoyen, leur non-lucrativité, les valeurs dont elles sont porteuses et leur force de proposition, les associations remplissent un rôle essentiel dans ce domaine qui risque cependant d’être livré au marché compte tenu de l’évolution de la réglementation européenne.

Ces modalités de mise en œuvre ne sauraient être antinomiques : elles se servent mutuellement pour le plus grand bien des usagers concernés. Elles appellent la plus grande vigilance du législateur pour éviter des dérives à caractère mercantile.

 

Samedi 25 septembre 2010 (10 h – 13 h)

Tensions sur les professionnalités (légitimités, qualifications, formations) Intervenante  Brigitte BOUQUET    Vice- présidente du CSTS                                                            Professeur titulaire de la Chaire de travail social au CNAM Discutants :        Robert LAFORE             Professeur de Droit Public, directeur de l’I.E.P. de Bordeaux                         Syndicats professionnels (salariés et employeurs) L’action sociale qui a longtemps reposé sur le bénévolat, encadré par quelques professionnels, a dû, en se développant, utiliser de plus en plus de professionnels, reléguant bien souvent le bénévolat à des tâches subalternes, ou au contraire à des fonctions administratives au sein des associations qui proposaient leurs services.

Cette professionnalisation a été un progrès car elle a permis des avancées significatives dans les modes d’accompagnement et de prise en charge. Mais avec les conventions et les réglementations du travail, elle a aussi en certains cas déshumanisé les relations avec les usagers. Soucieuse de répondre aux besoins à moindre coût, elle a aussi contribué à multiplier les intervenants professionnels substituant parfois la prestation de service au service social et éducatif rendu à la personne, dans sa globalité.

Comment redistribuer les rôles et les fonctions pour une plus grande clarté, constituer des filières de formation qui permettent à chacun de progresser dans l’emploi, et utiliser la VAE comme un moyen de promotion sociale qui ne soit pas vécu comme une sous-qualification ?

 

Samedi 27 novembre 2010 (10 h – 13 h)  

Usager – citoyen ou usager – client ?

Intervenant : Michel CHAUVIERE      Sociologue, Directeur de recherches CNRS, membre du CERSA

Discutants    Représentants des usagers

                     Philippe WARIN           Directeur de recherches CNRS, enseignant à l’IEP Grenoble Au tournant des années 2000, la problématique de l’usager est devenue centrale dans toute une série de lois visant l’ensemble des institutions sociales et médico-sociales, les habitants des quartiers, les malades, les personnes handicapées, etc. Même si cela n’était pas tout à fait nouveau dans l’histoire des mouvements sociaux, comment interpréter cette soudaine (re)découverte et le large consensus qui s’est installé pour l’affirmation des droits des usagers, quoi qu’il en soit ?

S’agit-il de mettre fin à une longue période plus paternaliste que soucieuse des populations prises en charge ? Mais alors que faisaient donc précédemment l’action sociale et le travail social ? S’agit-il d’une avancée démocratique, stipulant que l’usager est – du moins doit être – un citoyen actif dans le domaine particulier des services qui le concerne ? Mais alors vise-t-on l’usager individuel ou les groupements d’usagers ? S’agit-il d’un marqueur de la modernisation administrative, l’usager n’étant alors que le prétexte ou l’alibi de la réforme ? Ou bien, dernière hypothèse, ne s’agit-t-il pas finalement que d’une catégorie de transition accélérant la marchandisation de tout le secteur social le plus rentable à défaut d’être toujours solvable, où l’usager ne serait que le faux-nez d’un client ?

 

2ème partie: ELABORER LES POLITIQUES SOCIALES DE SOLIDARITE

Dans la première séance, la philosophie viendra élargir nos systèmes de représentations en questionnant « ce qui fait société » aujourd’hui.

Puis le séminaire abordera comment concrètement construire et conduire une politique sociale de solidarité, en tenant compte de la décentralisation, et en balayant pour cela les différents champs professionnels, les outils et moyens nécessaires juridiques ou financiers.

Une politique sociale s’établit dans la durée : comment mettre en place cette continuité nécessaire ? Seront donc envisagés régulation et gouvernance dans la dernière séance.

Ce séminaire se conclura par une journée de travail (janvier 2012) où les participants seront invités à faire aboutir les réflexions qui ont germé tout au long de ce séminaire.

Samedi 29 janvier 2011 (10 h – 13 h)

Approche philosophique : qu’est-ce qui fait société ? Quels repères ? Intervenant :     Marcel GAUCHET     Philosophe, directeur d’études à l’EHESS Discutants :       Robert CASTEL            Sociologue, Directeur d’études à l’EHESS                   Roland GORI              Psychanalyste, Professeur de Psychopathologie à l’Université De profondes mutations nous traversent qui touchent différents domaines de la vie : travail, famille, école, sentiment religieux, spiritualité, communications, milieu naturel… lesquels ont chacun fait repère. Il peut être utile de prendre du recul pour nous questionner plus largement : comment jusqu’à présent les sociétés ont-elles pu se construire dans le temps et dans l’espace, et comment l’institution y a-t-elle participé ?

Cette réflexion sur ce qui fait cohésion sociale, pose la question du sujet : s’adresse-t-on à un individu (lequel ne représente qu’une partie indivise) ou à une personne, laquelle intègre l’endroit où elle vit et l’endroit d’où elle vient, et incarne donc la différence ?

Ces remarques renvoient nécessairement à notre rapport au semblable et au différent, au processus d’exclusion et à la marge, et plus directement au positionnement de l’institution vis-à-vis des personnes qui ne sont pas dans le canon du plus grand nombre, physiquement, psychiquement, ou socialement.

Ne faut-il pas d’abord être reconnu  avant de pouvoir participer à la vie de la Cité ? Existe-t-il chez chacun d’entre nous un sentiment profond d’appartenance qu’il suffirait de cultiver ? Les notions de partage, de proximité, sont-elles aujourd’hui dépassées ? De multiples pistes pourront être abordées qui permettront d’approcher ce qui fait lien aujourd’hui, ce qui le favorise et ce qui le fragilise, afin de réfléchir sur de nouvelles directions. Chacun pourra décliner à l’endroit où il se trouve comment susciter les conditions d’un « vivre ensemble », et définir moyens et outils pour y parvenir.

 

Samedi 26 mars 2011 (10 h – 13 h)

Déclinaisons territoriales de la solidarité : Etat, collectivités locales, acteurs et citoyens. Intervenant :   Jean-Pierre WORMS  Rapporteur des Lois de décentralisation (1982), président de la FONDA Discutants :     Paulette GUINCHARD-KUNTSLER     Ancienne député du Doubs,                                                                        Ancienne secrétaire d’État aux personnes âgées.                      Claude VAZQUEZ               Maire de GRIGNY (91) (sous réserve)                      Michel CHAUVIERE            Sociologue, Directeur de recherches CNRS, membre du CERSA La décentralisation tente de rendre proches des citoyens les décisions qui les concernent. Elle vise à mettre en cohérence les acteurs des différentes politiques sociales : élus, administrations, associations, citoyens. Elle peut poser un certain nombre de problèmes concernant l’unité du pays, l’égalité de traitement, le découpage administratif, la répartition des compétences et le contrôle de l’exercice de ces compétences. En outre, l’Union Européenne vient questionner les répartitions faites dans chaque pays.

Comment parvenir au bon équilibre entre une organisation nationale et des organisations territoriales au moment où le découpage administratif du pays se trouve remis en cause (rapport Balladur) et où un certain nombre de compétences se redistribuent (RGPP, ARS…) ? Comment le citoyen peut-t-il être acteur de l’organisation de la cité ?

 

Samedi 28 mai 2011 (10 h – 13 h)

Table ronde – La multiplicité des champs professionnels : justice, santé physique et psychique, éducation, culture, exclusion, et la reconnaissance des droits et devoirs des individus. Quelle articulation ? Ces champs devraient-ils partager des concepts directeurs communs, lesquels ? Intervenants : Guy BAILLON                Psychiatre, ancien chef de service de l’hôpital public de Ville-Evrard                  Pedro MECA              Fondateur des Compagnons de la nuit                  Pascal RAMBERT          Directeur du THEATRE 2 GENNEVILLIERS (sous réserve)                  Alain BRUEL               Magistrat, ancien-président du TPE de Paris                      François DUBET         sociologue, professeur à l’université de Bordeaux 2,

                                                           Directeur-adjoint du CADIS

Ce sont les champs qui se croisent à l’intérieur d’une politique sociale. Il ne saurait donc y avoir de cloisonnements entre ces champs dont l’interaction est une évidence pour tous ceux qui contribuent à l’élaboration, et à la mise en œuvre des services proposés, puisque le lien commun est la reconnaissance de l’autre.

Comment donc envisager cette interaction ? Quels sont les concepts directeurs communs qu’ils doivent nécessairement partager ?

En réunissant autour d’une table un médecin psychiatre, un éducateur, un professeur d’université, un directeur de théâtre, un magistrat, nous souhaitons qu’ils communiquent leurs perspectives, leurs difficultés, leurs propositions.

 

Samedi 24 septembre 2011 (10 h – 13 h)

Les moyens : aspects juridiques et financiers. Intervenants : Yannick MOREAU         Conseiller d’État, présidente de la section sociale

                     Rémi PELLET            Professeur de Droit à LILLE 2, Directeur d’études à l’IEP de Paris

                                                                               Ex-rapporteur à la chambre sociale de la Cour des Comptes Discutants :     François ASTOLFI  Inspecteur principal des affaires sanitaires et sociales                                                                        DRASS de Bretagne                      Marie-Thérèse CORNETTE  Vice-présidente à la Cour des Comptes Toute politique nécessite des moyens, et ces moyens sont tributaires des choix qui sont faits par ceux qui gouvernent. Comment peser sur ces choix pour trouver les moyens d’une politique sociale de solidarité, à hauteur suffisante ? Quelle correspondance entre les lois et leur traduction financière ? Quelles ressources possibles, et sous quelle forme : subvention, délégation de service public, marché public ? Comment éviter la concurrence entre associations, mais aussi la compétition entre associations, et autres groupes privés à but lucratif ? Quelles autres solidarités faire jouer ? Comment rester dans la notion de service global, à la personne ou au groupe, qui comporte des prestations, sans tomber dans l’offre pur et simple de prestations, détachées des personnes ou des groupes qui en font la demande ?

La LOLF, la mosaïque des ressources en relation avec les compétences (région, département, État).

 

Samedi 26 novembre 2011 (10 h – 13 h)

Enjeux et impacts des politiques sociales de la solidarité.

 
Intervenant :   Patrick VIVERET          Philosophe        

Discutants :     Michel BORGETTO             Professeur de Droit public à l'Université Panthéon-Assas (Paris II                      Yannick MOREAU               Conseiller d’État, Présidente de la section sociale au Conseil d’État                      Michel LEGROS      Directeur de formation à l’EHESP (sous réserve) La dernière période a vu se développer tout un ensemble de nouveaux instruments d’accompagnement des politiques publiques qui complètent les missions de contrôle mais change aussi substantiellement le style de ces politiques et les rapports entre les administrations, les opérateurs et les professionnels.

Cet essor a suscité de nombreuses controverses que sont d’abord à examiner comme telles. Sachant que reste posée pour l’avenir une double question : celle de l’équilibre des valeurs (entre intérêt général et service des personnes) et des façons de le préserver, et celle du contrôle et de la démocratisation des procédures, qui ne peuvent être laissées au marché des experts.

 

Samedi 28 janvier 2012 (9 h. 30 – 17 h.)

Finalisation du travail des participants : approche des concepts directeurs. 9 h 30 – 12 h :       Répartition en 4 groupes de travail

       Animateurs :      François CHOBEAUX, Christine GARCETTE,

                                 Martine POTTIER, Jacques LADSOUS, Jean-Yves BARREYRE

14 h –17 h :          Mise en commun plénière

          Animateurs :      Jean-Michel BELORGEY, Michel CHAUVIERE Chaque participant aura reçu régulièrement les CR des 12 sessions et avec, les idées fortes qui s’en sont dégagées. Par ailleurs, il aura pu participer aux temps de synthèse du groupe de pilotage auxquels il est invité. Cette journée vient donc conclure une élaboration qui aura été progressive. La confrontation des réflexions de chacun démarrera en petits groupes le matin. Les travaux seront restitués l’après-midi, puis une première synthèse en sera proposée.

Le matériel de cette journée, mis en forme par le groupe de pilotage, sera soumis à la validation du comité scientifique avant d’être rassemblé en un document-guide qui dégagera de nouvelles propositions en matière de politiques sociales, à partir de notre réflexion transdisciplinaire. Ces propositions pourront ensuite être déclinées à l’échelon local.

 

Séance supplémentaire (date qui n’a pu encore être définie)

Politiques sociales et cadre européen.

Séance publique au Conseil Régional d’Ile de France avec intervenants de différents pays en vidéo-conférence. La convergence européenne, les principes d’activation des politiques sociales, la définition de l’intérêt général … Quelles pressions peut exercer l’idéologie européenne sur l’orientation des politiques sociales ?

 

II.      Méthode et conduite du séminaire

Ø      LES PARTICIPANTS

Panel représentatif de différentes disciplines (éducation, santé, justice, travail social) nécessairement engagés sur la totalité du séminaire (50 places). Ce que nous attendons des participants :          Ils questionnent l’intervenant (2h) au décours de son exposé (1h)

         C’est à eux que revient le travail de réflexion et d’élaboration à partir de la présentation des différentes composantes en jeu.

         Des réunions supplémentaires à des temps spécifiques font partie du possible, qui permettront l’élaboration de cette production, et que nous organiserons en fonction des disponibilités de chacun d’entre eux.

         Nous souhaitons donc que chacun se sente impliqué dans cette production collective, qui permettra l’approche de nouvelles politiques sociales.

Ø     LES INTERVENANTS 

Ce que nous attendons des intervenants :          Ils sont choisis pour leur expérience et leur ouverture au dialogue          Ils exposent durant une heure le thème qui leur est proposé et participent au débat qui s’ensuit.          Ils sont cordialement invités à assister à l’ensemble du séminaire dont l’ultime journée de travail.          En amont, ils proposeront un résumé de leur intervention et une bibliographie.

 
Intervenants pressentis 

Hubert ALLIER,, Alain BRUEL, Guy BAILLON, Michel BORGETTO, Brigitte BOUQUET, Michel CHAUVIERE, François DUBET, Marcel GAUCHET, Pierre GAUTHIER, Marie-Thérèse JOIN-LAMBERT, Pedro MECA, François-Olivier MORDOHAY, Yannick MOREAU, Rémi PELLET, Nicole QUESTIAUX, Pascal RAMBERT (sous réserve), Jean Pierre WORMS.

Ø     LES MODERATEURS

Deux par session, choisis pour leur connaissance du thème traité, parmi un groupe de douze. Ce que nous attendons d’eux:          Permettre l’expression plus complète de l’intervenant          Dynamiser les débats et reformuler les questions si nécessaire.          Ils devront être présents sur la totalité du séminaire, et prendront une part active à la dernière journée de travail.

 
 
Modérateurs pressentis :

Jean-Yves BARREYRE, Jean-Michel BELORGEY, Roger BELLO, Brigitte BOUQUET, Michel CHAUVIERE, Brigitte CHEVAL, François CHOBEAUX, Marcel JAEGER, Jacques LADSOUS, Karine METAYER, Stéphane RULAC.

Ø     LES DISCUTANTS

Ponctuellement, à chaque session, pourront être invités des personnalités dont les postures pourraient faire écho à l’intervention ou susciter la contradiction. Ce que nous attendons des discutants: Ils n’interviennent pas directement mais pourront interrompre l’intervenant quand ils le désirent, et participer au débat.

Ø      LE GROUPE DE PILOTAGE

 
Il se réunit entre chaque session.

Il est garant de la cohérence et de la continuité du séminaire. Il est chargé de faire le point sur la session précédente, en assurant la production d’un document qui rassemble d’une part la transcription de la totalité des débats et d’autre part la synthèse des idées fortes qui se sont dégagées.

Il est aussi possible d’imaginer un comité de pilotage « élargi » où sont invités les participants volontaires, qui soit l’occasion de faire d’une critique constructive des premières rédactions proposées.

Il est composé d’une majorité de membres du MIHL à l’initiative de ce séminaire.

Membres pressentis :

Jean-Marc ANTOINE, Jean-Yves BARREYRE, Roger BELLO, Jean-Michel BELORGEY, Jacques BOURQUIN, Alain BRUEL, Michel CHAUVIERE, François CHOBEAUX, Joël DUTERTRE, Victor GIRARD, Jacques LADSOUS, Martine POTTIER, Georges RANGASSAMY.

Ø     LE COMITE SCIENTIFIQUE

Il est garant de la bonne qualité des travaux et supervise le comité de pilotage en donnant son avis critique sur les synthèses. A mi- parcours, il fera le point et pourra au besoin proposer de remanier les programmes.

Animateur : Michel CHAUVIERE
 
Membres pressentis :

Jean-Michel BELORGEY, Jacqueline BONNEAU, Brigitte BOUQUET, Alain BRUEL, Robert CASTEL, Paul DURNING, Alain EHRENBERG, Victor GIRARD, Marc de MONTALEMBERT, Nicole QUESTIAUX, Bertrand SCHWARTZ.

Ø     LE CEDIAS – MUSEE SOCIAL

Le CEDIAS-Musée Social est porteur de ce séminaire, conformément à sa vocation : information, études, formation, études, recherches, production. Les séances se dérouleront dans ses locaux : 5, rue de Las Cases, PARIS 7°.

 

III. Supports et documents

Une bibliographie de départ sera remise à chaque participant. Avant chaque séance, un document de présentation sera envoyé à chaque participant. Un mois après chaque séance, un compte rendu de l’intervention et des débats sera également adressé à chacun Les intervenants auront aussi la faculté de préparer des documents audiovisuels s’ils le souhaitent.

 

IV. Finalité du séminaire

Permettre à chaque participant de globaliser les connaissances qui leur permettront de contribuer à l’élaboration des politiques sociales

Nous sommes persuadés que l’apport des professionnels est indispensable, mais qu’ils ne sont souvent pas préparés à étayer leurs propositions, n’ayant pas de connaissances globales suffisantes, quels que soient leur rôle, leur fonction, leur secteur d’intervention.

L’ensemble des connaissances fera l’objet d’un guide qui sera remis en fin de parcours et qui aura été élaboré tout au long du séminaire, à partir des apports nouveaux.

V.      Évaluation

Le comité scientifique évaluera le déroulement de ce séminaire au moins 3 fois au cours de sa réalisation.

D’une part à travers les comptes rendus qui préciseront les acquisitions, d’autre part à travers des questionnaires qui seront remis aux participants à la fin de chaque cycle.

 

Le guide constituera le document final qui permettra de vérifier les acquis de la formation. Chaque participant partira avec ce document qu’il pourra utiliser dans les assemblées locales, départementales, régionales, nationales auxquelles il sera mêlé.

 http://desiebenthal.blogspot.com/2009/10/le-dividende-universel-la-nouvelle.html

Paris. Marche pour la Vie, demain, 17.01.10

Les trois appels pressants de la Marche Pour la Vie 2010 du Dimanche 17 janvier 2010 ( demain).

De l’équipe bénévole à tous les Marcheurs : la Marche pour la vie 2010, dans quel esprit ?
Charte et règlement du marcheur
35 ans après la loi : de l’avortement légalisé à la désespérance d’une société
– un constat : la femme enceinte n’a pas de vraie liberté
– un appel à la solidarité politique et sociale
Pour un système économique libérateur des femmes et des enfants.

Banques, Etats…« Qui vole qui ? », là est la question !

« Qui vole qui ? », à qui profite ces crimes financiers ?  Qui possède

vraiment ces trilliards ?


Les gouvernements ont par exemple emprunté aux banques du néant ( ex nihilo…), par pure création comptable, des milliards de $ à un taux réel de plus de 1043% ( sic…plus de mille pour-cent ), jusqu'à récemment, voir les démonstrations en cliquant le lien ci-dessus…

Puis les banques ont pleuré en faisant croire à leur faillite possible, pour cacher leur vol séculaire et noyer le poisson.

Les dettes exponentielles écrasent une population solvable qui va diminuer dramatiquement, la classe moyenne se réduit déjà, et toujours plus.

Les intérêts nets ont augmenté dans une proportion par exemple de 1 à 259,5 (sic) aux USA de 1946 à 1990. 

Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « poussée des salaires », la « poussée atroce et meurtrière des intérêts et des impôts » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie…ni dans les catéchismes…sauf ceux des musulmans…ni dans les mass-media.


Départ de cars: Aix en Provence | Angers | Auxerre | Bergerac | Bergerac – Périgueux | Besançon | Bordeaux | Bourg-en-Bresse | Cannes | Clamecy | Condé-sur-Noireau | Dijon | Guérande – Saint Nazaire – Le Grand Fougeray – Montoire – Rennes | La Roche sur Yon | Le Mans | Le Puy en Velay – Issoire – Clermont-Ferrand | Lyon I | Lyon II | Marseille | Moulin | Muy | Nancy | Nantes | Paray le Monial | Reims | Rouen | Saint Etienne | Sélestat | Strasbourg | Toulon | Valence

Publié le samedi 16 janvier 2010 – 13:14

A la veille de la Marche pour la Vie, et avec le soutien de Mgr Chauvet, une veillée de prière est organisée en l'Église Saint François-Xavier à Paris.

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Lire la suite >>


Blog de Genève:

http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2010/01/15/bryan-kemp-mes-2-raisons-de-hair-37.html

http://enmarchepourlavie.fr Couleur de la Marche : ROUGE, couleur de la vie, BLANC, couleur de l’innocence T-shirt, foulards, écharpes, chapeaux,… Bienvenus ! Hommage du PS139 en ce jour a tous les amis pro-vie américains avec l'expression de ma profonde gratitude pour leur enthousiasme , simplicité et générosité. Et ce dimanche ? Place de la République /Opéra ? (mon sac à dos est prêt avec un superbe livre à faire dédicacer par son auteur, journaliste à la Tribune de Genève) "Les choses sont en train de changer de notre côté des Pyrénées. Moins de politisation chez les laïcs, plus de liberté de parole chez nos évêques. Pour les nouvelles générations, il s'agit moins de prendre une revanche – sur la loi Veil de 1975 – que d'apporter un peu de justice sociale. L'avortement reste un drame personnel sans étiquette politique ni frontière. C'est pourquoi le phénomène PRO LIFE peut traverser des océans ou des chaînes de montagnes.  A l'heure de la mondialisation, qui pourrait croire au déterminisme? Chacun sa culture, son contexte, certes. Pas au point de réduire le mouvement PRO LIFE à une coutume nationale. Défendre la vie, ce n'est pas du folklore. Cela fait partie de l'identité catho."
Epiphanie par Samuel Pruvot, rédacteur en chef de Famille Chrétienne (N.1670 p.9) http://www.famillechretienne.fr/societe/droit-de-la-famil…

12.1.2010 Mgr Aillet et les Marches pour la Vie: "Evitez la politisation mais engagez vous!" Dr. François Wolff de l'ACPERVIE à Famille Chrétienne (no.1670 p.8): " Comme la plupart des médias ne veulent pas entendre parler de nous, nous n'avons plus qu'à descendre dans la rue. Évidemment, dix mille ce n'est pas beaucoup, mais aux Etats-Unis, ils ont commencé à quelques centaines, et maintenant ils sont plusieurs centaines de milliers!" Cécile Ebel: "Il faut que les Français prennent l'habitude d'entendre, au moins une fois par an, une autre voix que celle du Planning Familial."

Bryan Kemper: Mes 2 raisons de haïr 37

Mon 37ème anniversaire a probablement été le pire de tous en ce qui me concerne; J’ai redouté ce jour pendant toute l’année qui m’ y a conduit. Pour une raison imprécise, le traumatisme psychique de savoir que j’étais proche de 40 ans m’a frappé alors que j’approchais des 37. Je n’avais pas de problèmes à 36 mais une fois que 37 a frappé, j’étais une ruine. J’ai  42 ans maintenant et ça va, j’aime en quelque sorte l’idée d’avoir cet âge. En fait, si je devais avoir 37 ans cette année, je ne sais pas si je serais tout simplement vivant. Si je devais avoir 37 ans cette année, alors cela signifierait que je serais né le 19 juillet 1973 et je ne crois juste pas que je serais parvenu à mon jour de naissance. J’ai toujours su que je suis né hors des liens du mariage et que ma mère a passé de mauvais moments alors qu’elle était enceinte de moi. Ce que je n’ai pas su jusqu’à cette année, c’est que mes grands-parents avaient eu tellement honte de ma mère qu’ils l’avaient expédiée dans un foyer à San Francisco jusqu’à l'accouchement de façon à ce que personne ne sache qu’elle était enceinte. On m’avait toujours dit que ma maman était en vacances à San Francisco et que c’est pourquoi  je suis né là; je n’ai jamais su comme, en fait, j’étais si peu désiré. Alors quoi, si l’année avait été 1973 au lieu de 1967 ? Quoi, si ma mère avait parlé de moi à mes grands parents juste après le 22 janvier 1973 ? Si mes grands parents étaient disposés à expédier ma mère pour qu'elle soit seule et effrayée pendant des mois, auraient-ils été aussi disposés à juste « régler le problème » ? Dans mon cœur, je crois vraiment que si ma mère avait été enceinte de moi en 1973, je ne serais jamais né. La semaine prochaine rappellera 37 ans de tuerie d’enfants en Amérique : pas un anniversaire dont nous devrions être fiers. Il y a 37 ans, notre Cour Suprême a rendu la décision la plus mortelle et sanglante de toute l’histoire de notre nation. Il y a 37 ans, le sang a commencé à couler alors que l’Holocauste de l’Avortement faisait rage laissant un sillon de mort, de douleur et de dévastation complète sur son passage Alors nous voilà 37 ans plus tard et je peux m’asseoir dans mon bureau ahuri d’avoir à me préparer pour une autre année et de me battre pour le plus fondamental de tous les droits : le droit à la vie. J’en suis presque malade au fond des tripes alors que je pense à une autre année d’excuses sur le pourquoi du silence des gens de Dieu et de leur confort dans leur apathie. Je redoute les commentaires que je vais lire de la part des soi-disant dirigeants chrétiens sur le pourquoi nous devons trouver cette entente commune : que l’avortement est juste un fait de vie et que nous pourrions tout aussi bien accepter qu’il est là pour rester. Si j’entends encore une personne de plus me dire qu’elle ne veut pas être activement pro vie parce que c’est juste trop controversé et qu’elle ne veut pas offenser qui que ce soit, je pourrai juste vomir sur le champ. Je n’ai jamais pensé que je pourrais haïr le chiffre 37 autant que je l’ai déjà fait mais maintenant que nous approchons le 37ème anniversaire de l’Holocauste d’Avortement j’ai trouvé un nouveau dégoût pour le chiffre. Je sais que le vendredi suivant alors que je me tiendrai au milieu de centaines de milliers de gens marchant à la Cour Suprême lors de la Marche pour la Vie annuelle, j’essaierai de retenir les larmes. Je sais que lorsque j’approcherai ce bâtiment où ces 9 hommes ont joué à Dieu et redéfini ce qu’est une personne humaine, je vais probablement serrer des poings en m’étranglant sur la colère refoulée. Je sais que s’ils avaient pris cette décision 6 ans plus tôt, je n’aurais probablement pas l’opportunité de me tenir debout et de lutter pour ceux qui n’ont pas été aussi chanceux que moi. Vous savez où je serai le prochain vendredi, samedi 22, maintenant je veux savoir où vous serez ? Je sais que tout le monde ne peut pas se rendre à Washington D.C., mais je sais que vous pouvez tous vous positionner où que vous soyez. Alors, où serez-vous ? Que ferez vous vendredi prochain alors que l’Holocauste de l’Avortement aura 37 ans ? Prendrez vous position vendredi prochain et serez vous une voix pour ceux qui n’auront jamais la chance d’en avoir une ? Voici quelques idées toutes simples pour vous à réaliser vendredi 22 janvier : 1.  Aller à Washington D.C. à la Marche pour la Vie. 2. Trouver où il y aura une Marche pour la Vie près de chez vous. Je sais qu’il y en aura une à San Francisco. 3. Vous rendre à votre avortoir local et tenir une veillée de prière avec vos amis et votre église. 4. Demander à votre pasteur d’organiser une veillée de prière à la chandelle Je suis sûr qu’il y a des milliers de choses que vous pouvez faire, le but est de faire quelque chose.  What if I Were Born After The Roe Abortion Decision? Two Reasons to Hate 37  Par Bryan Kemper, 14 janvier 2010  With many thanks for your generous permission to translate and repost this or any other, article you put out with reference back to  www.standtrue.com.   Bryan Kemper est le président de Stand True Ministries, un groupe pro vie qui tend la main aux jeunes et aux jeunes adultes. Il est l’auteur d’un nouveau livre, la Justice Sociale commence dans le Ventre Social Justice Begins In The Womb. Bryan Kemper sera à la Marche pour la Vie à Bruxelles le 28 mars 2010. http://www.lifenews.com/state4727.html www.maison-abba.com
http://enmarchepourlavie.fr Couleur de la Marche : ROUGE, couleur de la vie, BLANC, couleur de l’innocence T-shirt, foulards, écharpes, chapeaux,… Bienvenus !

Vie. Nouvelle tricherie démocratique pour le 7 mars 2009 ?

Votations du 7 mars 2009:

Erreur dans la brochure officielle…

La brochure explicative du CF sur les votations du sept mars contient une erreur.

Article concernant la recherche sur l'être humain.

La brochure précise en page 4 qu'il a été adopté par le Conseil national par 144 voix contre 61 et 18 abstentions.

Or le score exact est de 114 voix contre 61 et 18 abstentions.

Cette différence induit en erreur les peuples suisses.

Voici nos arguments en bref:

Une personne est là dès la conception, qui a lieu au moins à la fécondation.

La loi ne définit pas la personne dès la conception, elle doit le faire,

Seul un refus de la loi relative à la recherche sur notamment les cellules souches, qui sont des personnes, empêchera la destruction d'embryons humains surnuméraires.

D'autant plus que des cellules d'embryons humains sont trop souvent employées dans la recherche et la fabrication des vaccins.

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/11/les-vaccins-h1n1-base-de-cellules.html

Même un embryon de quelques jours a droit à être protégé dans le plein respect de la dignité humaine.

L'embryon n'est pas responsable, en définitive, de sa non-implantation. Il ne peut pas être sacrifié à des intérêts qui ne sont pas les siens (recherche).

Seul un non à la loi empêchera d'autres abus potentiels (clonage ou interventions génétiques, par ex.).

Seul un non à la loi favorisera la recherche sur les cellules souches adultes, qui a déjà permis d'obtenir des résultats prometteurs (guérison du cancer, traitement de l'infarctus du myocarde, par ex.) et qui n'oblige pas à tuer des êtres humains.

La brochure doit être corrigée et la votation renvoyée à plus tard.

Nous devons aussi voter NON à ce texte incomplet.

Annexes:

http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=73

Des thérapies comportent la manipulation d’embryons. Le clonage thérapeutique est assimilé à un meurtre, car il consiste à «créer des embryons dans le but de les supprimer». Et comme le prélèvement de cellules souches d’un embryon implique sa destruction, il est jugé «illicite».

Dans différents secteurs de la médecine reproductive on brave la dignité inhérente à tout être humain par l’instrumentalisation, voire la destruction d’embryons, comme cela arrive dans le cadre du DPI.»

Extraits de http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2009/10/26/jm-disposer-de-quel-corps-au-fait.html

JM: Disposer de quel corps, au fait?

On le sait un des multiples cris de mort dans la guerre qui oppose des adultes à leurs enfants non nés est 'droit de disposer de mon corps', ce qui laisse entendre que le corps du tout petit est celui de sa mère. Réflexions rassemblées :   Pourquoi le foetus n'est pas le corps de la mère : "La réponse est que c'est un être différent de sa mère n'ayant pas le même patrimoine génétique car s'ajoute celui du père. S'il était le corps de sa mère, le foetus serait obligatoirement de sexe féminin, avec la même couleur de cheveux, d'yeux, les mêmes empreintes digitales etc.
Ce serait en réalité un clone.

Mais le foetus tient de son père par moitié avec mélange des caractères morphologiques. Croisez un noir avec une blanche, vous avez un foetus (ou un bébé) couleur café au lait. S'il était le corps de sa mère, il serait blanc.

Par ailleurs, le fait que l'on puisse implanter un embryon à une femme qui n'est pas sa mère (gestation pour autrui) montre bien que le foetus n'est pas le corps de sa mère. Il en est l'hôte, le passager." Dr Jean-Pierre Dickes ———————————————————————————————————————————————  question : – le sexe de la mère : si le foetus était son corps, et que le foetus soit un garçon, le sexe de la mère serait androgyne puisque portant à la fois des "organes" mâles et femelles. Si ce n'est pas le cas, c'est bien que le foetus est une entité indépendante, hébergée temporairement par le corps de la mère ?

Dr François Volff : Oui, l'argument du sexe est valable. Autre argument: une greffe rénale par don de la mère à sa fille n'est pas forcément compatible.Le bon sens montre bien qu'il y a une différence entre une mère et sa fille.

  Question : Les cellules de l'enfant ne sont-elles pas issues de celles de la mère ? Réponse : Non. En accord avec la biologie et la génétique, c'est l'embryon qui entreprend, dans une véritable explosion de vitalité, sa propre "construction" dans les entrailles de sa mère. Le Dr Bart Hefferman décrit cette période dynamique du développement : "dès la conception, l'enfant est un individu complexe, dynamique, à la croissance rapide. Par un processus naturel et continu, un seul ovule fécondé se développera en plusieurs milliards de cellules de nouveau-né au cours des neufs mois.»

(Droit de Naître : "50 questions et réponses", question 26

  Le professeur Pierre-Paul Grassé, ancien président de l'Académie des Sciences, a dit le 15 novembre 1982 : "Il y a production de vie dès le croisement des deux gamètes au moment même de la conception. Il est admis par la science actuelle que le début de l'être remonte à la fécondation. "L'embryon, si jeune soit-il, est une personne riche de toutes les potentialités de son espèce. Dès la conception, il se produit une consitution génétique unique qui détermine tout le potentiel évolutif de l'homme. (…) Le Dr H.N. Lily, souvent appelé "le père de la foetologie", décrivait ainsi le développement du foetus : "Le jeune individu, aux commandes de son environnement et de sa destinée et dans la démonstration de son pouvoir physiologique, supprime les périodes de menstruation de sa mère. "Pour rendre habitable sa maison pour les 270 jours qui vont suivre, l'embryon développe le placenta et un liquide de protection. "Il résout également le problème de l' "homographie" : malgré le fait étonnant par lequel le foetus et la mère, comme des étrangers ne pourraient pas échanger des greffes de peau ou recevoir sans problème le sang de l'autre, ils se toléreront pour une durée de 9 mois. "Nous savons qu'il bouge dans son monde d'une manière pleine de grâce. Il est réceptif au toucher, au froid, au bruit et à la lumière. Il a le hoquet et il suce son pouce. Il pleure et il dort."   "L'avortement, la tragédie d'une société qui s'effondre" , Daniel Rivaud, Alexandre Lukasik, éd Nouvelle Alliance p 84

 

Compléments intéressants : http://biblio.domuni.org/imprimer/embryon_imp.htm   http://laissezlesvivre.free.fr/archives/sommaire_embryon…. , en particulier : http://laissezlesvivre.free.fr/archives/embryon/tolerance…   http://laissezlesvivre.free.fr/archives/embryon/debut.htm   et aussi : http://www.cerbafaso.org/textes/congres/acte_congres99/av…   http://le-cep.org/archive/CEP_33.pdf Avortement: Un argument s'effrondre par Alexander Willians –Résumé : Un des arguments habituels pour l'avortement consiste à dire que le foetus est produit par le corps de la mère et donc qu'il lui appartient. A preuve : il n'est pas rejeté par le système immunitaire, comme c'est le cas pour les organes transplantés. Une recherche récente vient de renverser cet argument : le système immunitaire de la mère travaille bien à rejeter l'embryon, et c'est la cause de nombreuses fausses couches. Mais l'embryon,  dès le sixième jour, secrète une enzyme spéciale, l'indoléamine 2.3-dioxygénase ou IDO qui  inhibe l'attaque des lymphocytes chargés de lutter contre les tissus étrangers. Indépendamment de l'argument génétique, on dispose donc d'un argument physiologique déterminant qui prouve l'individualité de l'embryon dès les premiers jours.     Commentaire sur le site de l'Humanité, suite à un article pro-choix : "Le droit des femmes -ou des hommes, à disposer de leur corps" est une énorme stupidité ! Imaginons qu'un pays ennemi déclare la guerre à la France. Au nom de ce principe que mon corps est ma propriété et que je peux en disposer comme je veux, j'aurais le droit de ne pas aller le sacrifier sur un champ de bataille ? Ou dans un autre registre en vertu du même principe je refuserais que l'État vaccine mes enfants contre des maladies mortelles ? En vérité ce principe découle d'une monstrueuse idéologie, celle de l'ultralibéralisme qui fait de l'homme un individu isolé, insularisé , un mini-État comme dit Wim Wenders qui n'a de compte à rendre qu'à lui-même. " (pseudo Briouzga)

Le Vatican condamne les nouvelles techniques biomédicales

15.12.08 | Rubrique(s): Revue de presse | Lien


Samedi, 13 décembre 2008 ETHIQUE. Une instruction doctrinale publiée vendredi rejette toutes les pratiques qui comportent la manipulation et la destruction d’embryons. Les énormes progrès réalisés par les sciences biomédicales ces dernières années inquiètent le Vatican. Surtout ceux qui touchent à la manipulation des embryons. De nouvelles questions de bioéthique sont apparues depuis la publication en 1987 de l’Instruction Donum vitae, qui abordait entre autres le sujet de la fécondation in vitro. Aussi la Congrégation pour la doctrine de la foi a-t-elle jugé nécessaire d’y répondre au moyen d’une nouvelle instruction, nommée Dignitas personae (dignité de la personne), rendue publique vendredi.
Approuvé par le pape, ce document estime que certains représentants des sciences médicales «considèrent le développement croissant des technologies biomédicales dans une perspective essentiellement eugénique». L’instruction répète donc que l’embryon doit être traité comme une personne. Elle réitère également la condamnation de la fécondation in vitro, et rejette toutes les propositions thérapeutiques comportant la manipulation de l’embryon.
Il n’y a rien de véritablement nouveau dans cette instruction, adressée «aux fidèles et à tous ceux qui cherchent la vérité». Le Vatican a déjà condamné à plusieurs reprises l’utilisation thérapeutique des cellules souches d’embryons, le clonage – qu’il soit reproductif ou thérapeutique -, les tentatives d’hybridation, etc. Mais au vu de la rapidité des changements, des évêques et des institutions catholiques ont manifesté le besoin d’avoir un document de référence. Dignitas vitae est donc une mise à jour de Donum vitae. Sa rédaction a demandé quatre ans de travail.
L’instruction pose comme principe fondamental que «la dignité de la personne doit être reconnue à tout être humain depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle.» Elle commence par évoquer les aspects anthropologiques, théologiques et éthiques de la vie et de la procréation humaine. Ainsi, pour le Vatican, une procréation responsable ne peut advenir que dans le cadre du mariage entre un homme et une femme. Cependant, même si cette condition est réalisée, tout n’est pas permis, dit le texte. L’Eglise catholique refuse ainsi toujours la fécondation in vitro, car cette technique implique «l’élimination volontairement acceptée d’un nombre conséquent d’embryons». De plus, la dissociation entre la procréation et l’acte sexuel est inacceptable pour elle. Pour cette même raison, le Vatican rejette aussi l’injection intracytoplasmique de spermatozoïdes, qui «instaure une domination de la technique sur l’origine et la destinée de la personne humaine». Le document désapprouve les méthodes utilisées pour améliorer le taux de réussite des techniques de procréation in vitro, comme la congélation d’embryons et d’ovocytes. Le diagnostic préimplantatoire est considéré comme l’expression «d’une mentalité eugénique», dans la mesure où il «vise en réalité une sélection qualitative (ndlr: des embryons) avec pour conséquence la destruction» d’autres embryons. L’instruction s’en prend aussi aux nouvelles formes de contraception que sont la pilule du lendemain et la RU 486, car elle y voit un «péché d’avortement».
Enfin, dans une troisième partie, le document condamne sévèrement les thérapies comportant la manipulation d’embryons. Le clonage thérapeutique est assimilé à un meurtre, car il consiste à «créer des embryons dans le but de les supprimer». Et comme le prélèvement de cellules souches d’un embryon implique sa destruction, il est jugé «illicite».
Le Vatican publie ce document alors que de nombreux pays ont déjà légalisé certaines techniques condamnées. La Conférence des évêques suisses a salué l’instruction, «spécialement d’actualité en Suisse, où l’on discute la nouvelle loi fédérale relative à la recherche sur l’être humain et l’éventuelle suppression de l’interdiction du diagnostic préimplantatoire (DPI). Le document du Vatican montre que dans différents secteurs de la médecine reproductive on brave la dignité inhérente à tout être humain par l’instrumentalisation, voire la destruction d’embryons, comme cela arrive dans le cadre du DPI.»

Invitation officielle de Evo Morales Ayma. Président de l’Etat Plurinational de Bolivie.

Invitation officielle à la Conférence Mondiale de tous les Peuples sur le Changement Climatique:

Une solution efficace, la démocratie économique, voir aussi tout en bas:

Copenhague, trop d' impôts.

Et maintenant des taxes mondiales, pour des incompétents menteurs et voleurs.
http://versdemain.org/images/DelugedeTaxes.gif http://versdemain.org/images/Veau_d_Or.gif
Toujours plus d'impôts.http://versdemain.org/images/Mort_aux_Taxes.gif COPENHAGUE (ru 15.12.2009) :

Pendant que les politiciens et autres NGO s'agitent pour débloquer des milliards d'Eurodollars pour « réduire le climat de 2 degrés  pour éviter l'effet de serre sur la terre », en se prenant pour Dieu, les scientifiques sont déjà une étape plus loin: « l'effet de serre » n'est qu'un hoax qui arrange bien les mondialistes néo-soviétiques.

Ainsi on peut lire depuis le 16 septembre 2009 sur la page Web de la BBC un article intitulé « Une vérité dérangeante sur le réchauffement global», et depuis le 9 octobre 2009 un autre article intitulé « Qu'est-ce qui est arrivé au réchauffement global ? », écrits l'un par Tom Feilden, et l'autre par Paul Hudson, rédacteurs scientifiques de la BBC.

On y apprend que depuis 11 ans on n'a plus constaté de montée de température, tout en observant qu'en même temps les valeurs de CO2 ont augmenté. On y discute l'influence du cycle des tâches solaires et des températures des océans. Ce dernier fait apparaître une phase de refroidissement de 30 années.

Des scientifiques, tels le professeur Mojib Latif (Institut Leibniz des sciences marines de l'université Kiel/RFA, membre du IPCC = Intergovernmental Panel of Climate Change), prédisent pour les 10 à 20 ans à venir des températures en constante diminution.

Mais à Copenhague on discute encore de l'effet de serre dû à l'Ozone et au CO2. Ils sont plus de 10 ans en arrière !

C'est logique, car leur visée est tout sauf écologique, elle est totalitaire.
http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758

Scandales bancaires, ordures, pollution, dioxines, un lien subtil à bien comprendre, cliquez svp…

Le paradoxe. Un manque de pouvoir d'achat provoque plus de pollutions, vu des produits de plus en plus camelotes.

Résumé:
Le bon marché camelote est toujours trop cher, et en plus il pollue à la fabrication, au transport, à l'usage et à sa destruction.
La Chine par exemple est utilisée par de grands industriels pour des profits devenus honteux vu les pollutions incroyables, de plus en plus graves et constantes dans une croissance devenue folle et aveugle. Les habitants risquent de graves maladies, par exemple par les dioxines et les PM1, les nano particules qui s'infiltrent partout, y compris dans le cerveau…

Démographie : la chute a commencé

Courbe sans tenir compte d'une pandémie.
par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement en dessous de 2 ) qui sont à la baisse.
[Europe-hiver.jpg]
La chute commence déjà dans les pays "riches" et en Russie…
Tout peut s'effondrer très vite…

La meilleure solution:

http://www.union-ch.com/file/Speeches_and_workshops_of_the_03_04_.pdf


Le gouvernement de l’Etat Plurinational de Bolivie convoque les peuples
et mouvements sociaux et les défenseurs de la Terre-Mère du monde,
invite les scientifiques, académiciens, juristes et gouvernements qui
souhaitent travailler avec leurs peuples à la Conférence Mondiale des
Peuples sur le Changement Climatique et les Droits de la Terre-Mère qui
aura lieu du 20 au 22 avril 2010 à Cochabamba en Bolivia.

a) dette climatique.
b) migrants-réfugiés du changement climatique.
c) réduction des émissions.
d) adaptation.
e) transfert des technologies.
f) financement.
g) forêts et changements climatiques.
h) vision partagée.
i) peuples indigènes
j) autres.

Bolivie, le 5 janvier 2010

Evo Morales Ayma. Président de l’Etat Plurinational de Bolivie

Nos annexes:

Une solution rapide et efficace, la démocratie économique à la Suisse:

http://ferraye.blogspot.com/2009/12/copenhague-trop-d-impots.html

http://desiebenthal.blogspot.com/2008/03/scandales-bancaires-ordures-pollution.html

Allmend suisse, la solution à la crise. Paris le 23 janvier 2010.

Biens Communs, RDV à Paris le 23 janvier 2010

Scandales bancaires, ordures, pollution, dioxines, un lien subtil à bien comprendre

http://desiebenthal.blogspot.com/

Il existe des complots d'initiés destructeurs:

Exemples: Contre Kennedy, Ferrayé
Les vraies raisons du meurtre de JFK,
causes des crises monétaires et du subprime (hypothécaires)

John F. Kennedy with wife Jacqueline and children, 1962

Nous appliquons ces méthodes des biens communs à la "suisse" à Madagascar par exemple: http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=263

Votations truquées. Élections cheated. RFID.

Confessions of an Economic Hit Man

Confessions of an Economic Hit Man  
Confessions of An Economic Hitman Cover.jpg
Author John Perkins
Publisher Berrett-Koehler Publishers
Publication date 2004
Pages 250p
ISBN 0-452-28708-1
OCLC Number 55138900

Confessions of an Economic Hit Man is a book written by John Perkins and published in 2004. It provides Perkins' account of his career with consulting firm Chas. T. Main in Boston. Before employment with the firm, he interviewed for a job with the National Security Agency (NSA). Perkins claims that this interview effectively constituted an independent screening which led to his subsequent hiring by Einar Greve, a member of the firm (and alleged NSA liaison) to become a self-described "economic hit man". The book was allegedly referred to in an audio tape released by Osama Bin Laden in September 2009.[1]

Extrait de "Let's make money": http://www.dailymotion.com/playlist/x14jur_tchels0o_lets-make-moneyvostfr
John Perkins était un assassin financier (ou economic hitman), agent de la National Security Agency, travaillant dans une firme de conseil internationale. Les "assassins financiers" sont des professionnels grassement payés qui escroquent des milliards de dollars à divers pays du globe. Leurs armes principales : les rapports financiers frauduleux, les élections truquées, les pots-de-vin, l'extorsion, le sexe et le meurtre. L'auteur sait de quoi il parle, c'était son "métier". Il a exercé pour le compte des États-Unis et il confesse aujourd'hui ses terribles manipulations dans 2 livres:
http://www.amazon.fr/confessions-dun-assassin-financier-manipulation/dp/2896260013/ref=pd_bxgy_eb_img_c
http://www.amazon.fr/Lhistoire-secr%C3%A8te-lempire-am%C3%A9ricain-financiers/dp/2923640047/ref=pd_bxgy_b_img_b

http://www.johnperkins.org

Contents

[hide]

[edit] Content

Perkins began writing Confessions of an Economic Hit Man in the 1980s. In the book, he states that, "Threats or bribes always convinced me to stop". "Covertly recruited by the United States National Security Agency and on the payroll of an international consulting firm, he traveled the world—to Indonesia, Panama, Ecuador, Colombia, Saudi Arabia, Iran and other strategically important countries…Perkins reveals the hidden mechanics of imperial control behind some of the most dramatic events in recent history, such as the fall of the Shah of Iran, the death of Panamanian president Omar Torrijos, and the U.S. invasions of Panama and Iraq."[2] According to his book, Perkins' function was to convince the political and financial leadership of underdeveloped countries to accept enormous development loans from institutions like the World Bank and USAID. Saddled with huge debts they could not hope to pay, these countries were forced to acquiesce to political pressure from the United States on a variety of issues. Perkins argues in his book that developing nationswealth gaps driven wider and economies crippled in the long run. In this capacity Perkins recounts his meetings with some prominent individuals, including Graham Greene and Omar Torrijos. Perkins describes the role of an EHM as follows: were effectively neutralized politically, had their

Economic hit men (EHMs) are highly-paid professionals who cheat countries around the globe out of trillions of dollars. They funnel money from the World Bank, the U.S. Agency for International Development (USAID), and other foreign "aid" organizations into the coffers of huge corporations and the pockets of a few wealthy families who control the planet's natural resources. Their tools included fraudulent financial reports, rigged elections, payoffs, extortion, sex, and murder. They play a game as old as empire, but one that has taken on new and terrifying dimensions during this time of globalization.

The epilogue to the 2006 edition provides a rebuttal to the current move by the G8 nations to forgive Third World debt. Perkins charges that the proposed conditions for this debt forgiveness require countries to sell their health, education, electric, water and other public services to corporations. Those countries would also have to discontinue subsidies and trade restrictions that support local business, but accept the continued subsidization of certain G8 businesses by the US and other G8 countries, and the erection of trade barriers on imports that threaten G8 industries. In the book, Perkins repeatedly denies the existence of a "conspiracy." Instead, Perkins carefully discusses the role of corporatocracy.

"I was initially recruited while I was in business school back in the late sixties by the National Security Agency, the nation’s largest and least understood spy organization; but ultimately I worked for private corporations. The first real economic hit man was back in the early 1950s, Kermit Roosevelt, Jr., the grandson of Teddy, who overthrew the government of Iran, a democratically elected government, Mossadegh’s government who was Time’s magazine person of the year; and he was so successful at doing this without any bloodshed—well, there was a little bloodshed, but no military intervention, just spending millions of dollars and replaced Mossadegh with the Shah of Iran. At that point, we understood that this idea of economic hit man was an extremely good one. We didn’t have to worry about the threat of war with Russia when we did it this way. The problem with that was that Roosevelt was a C.I.A. agent. He was a government employee. Had he been caught, we would have been in a lot of trouble. It would have been very embarrassing. So, at that point, the decision was made to use organizations like the C.I.A. and the N.S.A. to recruit potential economic hit men like me and then send us to work for private consulting companies, engineering firms, construction companies, so that if we were caught, there would be no connection with the government.[3] – Nov 4 '04 interview

[edit] Controversy and criticism

Perkins's first boss at Chas. T. Main, Einar Greve, initially declared to journalists that "basically [Perkins's] story is true" and that "what John's book says is, there was a conspiracy to put all these countries on the hook, and that happened. Whether or not it was some sinister plot or not is up to interpretation…"[citation needed] Subsequently, he denied Perkins's allegation that he ever worked as a liaison with the NSA and contradicted other claims made in Perkins's book, stating that Perkins "has convinced himself that a lot of this stuff is true."[4] Perkins comments on Greve's change of heart in the epilogue of Confessions of an Economic Hit Man. He points out that Greve initially supported the truth of the book, only to switch his opinion several months later. Perkins suggests that Greve was pressured by outside forces to denounce the book as false. Columnist Sebastian Mallaby disputes many of Perkins' arguments, including Perkins' claim that 51 of the world's 100 "largest economies" are companies, rather than countries; a value-added comparison done by the UN, he says, shows the number to be 29.[5] This comparison can be done oneself by looking at List of countries by GDP and List of companies by revenue which gives a rough answer of 46 for the year 2007 / 2008. If one looks at 2000, however, the number was 51.[6] Though in such a list, the corporations' revenue should subtract from countries' total revenue. Articles in the New York Times and Boston Magazine, as well as a press release issued by the United States Department of State, have referred to a lack of documentary or testimonial evidence to corroborate the claim that the NSA was involved in his hiring to Chas T. Main. In addition, the author of the State Department release states that the NSA "is a cryptological (codemaking and codebreaking) organization, not an economic organization" and that its missions do not involve "anything remotely resembling placing economists at private companies in order to increase the debt of foreign countries."[7]

[edit] Documentary Film

In 2009, the documentary film Confessions of an Economic Hit Man featuring interviews with Perkins, was shown at film festivals around the U.S. The film is a Greek– U.S. co-production directed by Stelios Kouloglou, and was filmed in 2007 and 2008.

[edit] References

[edit] Additional reading

[edit] External links

From Wikipedia, the free encyclopedia

Banques, Etats…« Qui vole qui ? », là est la question !

« Qui vole qui ? », à qui profite ces crimes financiers ?  Qui possède vraiment ces trilliards ?


Les gouvernements ont par exemple emprunté aux banques du néant ( ex nihilo…), par pure création comptable, des milliards de $ à un taux réel de plus de 1043% ( sic…plus de mille pour-cent ), jusqu'à récemment, voir les démonstrations ci-dessous…

Puis les banques ont pleuré en faisant croire à leur faillite possible, pour cacher leur vol séculaire et noyer le poisson.

Les dettes exponentielles écrasent une population solvable qui va diminuer dramatiquement, la classe moyenne se réduit déjà, et toujours plus.

Les intérêts nets ont augmenté dans une proportion par exemple de 1 à 259,5 (sic) aux USA de 1946 à 1990. 

Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « poussée des salaires », la « poussée atroce et meurtrière des intérêts et des impôts » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie…ni dans les catéchismes…sauf ceux des musulmans…ni dans les mass-media.

Entre 1946 et 1990, par exemple aux Etats-Unis, les revenus d'intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s'est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l'indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5 (sic). 


Les dettes exponentielles écrasent une population solvable qui va diminuer dramatiquement, la classe moyenne se réduit déjà, et toujours plus.

Dans son rapport de novembre 1993, le vérificateur général du Canada disait que sur la dette nette de 423 milliards $ accumulée par le gouvernement canadien de 1867 à 1992, seulement 37 milliards $ avaient été dépensés pour des biens et services, alors que le reste (386 milliards $, ou 91% de la dette) consistait en frais d'intérêt, ce qu'il a coûté au gouvernement pour emprunter ce 37 milliards $ (c'est comme si le gouvernement avait emprunté ce 37 milliards $ à un taux de 1043%!). En novembre 1995, une étude du Mouvement Desjardins arrivait à la même conclusion: sur la dette fédérale de 543 milliards $ en date du 31 mars 1995, 487 milliards $ (ou 90%) sont le résultat d'intérêts composés. En d'autres mots, le capital dépensé pour des biens et services a déjà été remboursé plus de dix fois! Tout cela pour démontrer que tout intérêt demandé sur de l'argent créé, même à un taux de 1%, est de l'usure, un vol, une injustice. dette des Etats-UnisLa dette des Etats-Unis suit la même courbe que celle du Canada, mais avec des nombres dix fois plus gros: Comme c'était le cas pour le Canada, les premières hausses significatives de la dette publique des Etats-Unis ont eu lieu durant les périodes de guerre: Guerre Civile américain (1861-65), Première et Deuxième Guerres mondiales. De 1975 à 1986, la dette est passée de 533 milliards $ à 2073 milliards $. En 2004, cette dette atteint les 7000 milliards $. Pour la même période, 1975-1986, la dette du Canada a donc augmenté plus rapidement que celle des Etats-Unis (9,3 fois pour le Canada, contre 3,8 fois pour les Etats-Unis). L'explication: les taux d'intérêts étaient plus hauts au Canada durant la même période. Qu'est-ce qu'un milliard? Quand nous parlons de millions et de milliards, nous parlons de très grosses sommes, qui sont peut-être difficiles à se représenter: Il y a un milliard de secondes, la première bombe atomique n'avait pas encore fait explosion. Il y a un milliard de minutes, le Christ était encore sur la terre. Et pour dépenser un milliard de dollars, un client devrait dépenser 100 $ à la minute pendant 19 ans. Mais quand nous parlons de la dette des Etats-Unis, ce n'est pas de milliards qu'il faut parler, mais de milliers de milliards, ou trillions (1 suivi de 12 zéros). En 1986, la dette des Etats-Unis était de 2 trillions $. 2 trillions de billets de 1 $ placés bout à bout feraient 186 millions de milles de long (300 millions de kilomètres), soit de la terre au soleil aller-retour. Si une personne avait à dépenser 2 trillions $ à un taux de 1900 $ à la minute, cela lui prendrait 2000 ans. En 1981, lorsque la dette des Etats-Unis atteignit le cap du premier trillion de dollars, le Président Reagan illustra ce chiffre par cette comparaison: «Si vous aviez dans votre main une pile de billets de 1000 $ de seulement 4 pouces (10 cm) de hauteur, vous seriez millionnaire. Un trillion de dollars représente une pile de billets de 1000 $ de 67 milles (107 kilomètres) de hauteur.» La pointe de l'iceberg Si les dettes des gouvernements représentent des sommes énormes, elles ne représentent que la pointe de l'iceberg: en plus des dettes publiques, il existe aussi les dettes privées (individus et compagnies)! Ainsi, en 1994, la dette totale du Canada était de 2800 milliards $, avec moins de 600 milliards $ d'argent en circulation. Et et 1992, aux Etats-Unis, la dette publique était de 4000 milliards $ (4 trillions $), et la dette totale, 16 trillions $, avec seulement 950 milliards $ d'argent en circulation. service de la detteLe service de la dette En 1996, le gouvernement canadien a dépensé 49 milliards $ pour payer l'intérêt sur la dette, soit environ un tiers des revenus du gouvernement. Pour financer cette dette, le gouvernement émet des obligations, dont la très grande partie est achetée par les banques et autres institutions financières.  Concernant la vente de ces obligations aux banques, le gouvernement est un vendeur imbécile: il ne vend pas ses obligations aux banques, il en fait cadeau, puisque ces obligations ne coûtent absolument rien aux banques, car elles créent l'argent pour les acheter. Non seulement les banques obtiennent ces obligations pour rien, mais elles en retirent de l'intérêt (payé par les taxes des contribuables). Marriner EcclesWright PatmanEst révélateur sur ce sujet l'échange qui eut lieu entre M. Wright Patman (photo de gauche), Président du Comité de la Chambre des Représentants des Etats-Unis sur la Banque et le Numéraire, et M. Marriner Eccles (photo de droite), Président de la «Federal Reserve Board» (Banque centrale des Etats-Unis), le 30 septembre 1941, au sujet de la création de 2 milliards $ par la «Réserve Fédérale»: Patman: «Où avez-vous pris l'argent pour acheter ces 2 milliards $ d'obligations du gouvernement?» Eccles: «Nous les avons créés.» Patman: «Avec quoi?»Eccles: «Avec le droit d'émettre du crédit, de l'argent.» Patman: «Et il n'y a rien d'autre en arrière, sauf le crédit du gouvernement.» Eccles: «Nous avons les obligations du gouvernement.» Patman: «C'est exact, le crédit du gouvernement.»  La solution: un argent sans dette créé par la société Cela nous met sur la piste de la solution au problème de la dette: si les obligations sont basées sur le crédit du gouvernement, pourquoi le gouvernement a-t-il besoin de passer par les banques pour faire usage de son propre crédit?  voir aussiThomas Edison Ce n'est pas le banquier qui donne la valeur à l'argent, mais le crédit du gouvernement, de la société. La seule chose que fait le banquier dans cette transaction, c'est d'apporter une écriture, des chiffres, qui permettent au pays d'utiliseer sa propre capacité de production, de faire usage de ses propres richesses. L'argent n'est pas autre chose que cela: un chiffre. Un chiffre qui donne droit aux produits. L'argent n'est qu'un signe, une création de la loi (Aristote). L'argent n'est pas la richesse, mais le signe qui donne droit à la richesse. Sans produits, l'argent n'a aucune valeur. Alors, pourquoi payer pour des chiffres? Pourquoi payer pour ce qui ne coûte rien à fabriquer? Et puisque cet argent est basé sur la capacité de production de la société, cet argent appartient aussi à la société. Alors, pourquoi la société devrait-elle payer les banquiers pour l'usage de son propre argent? Pourquoi payer pour l'usage d'un bien qui nous appartient? Pourquoi le gouvernement n'émet-il pas directement son argent, sans passer par les banques?

dette du Canada
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, 
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
.
Pollution www.m-c-s.ch
L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression



Comment nous volent-ils ?

Il faut réagir et exiger des gouvernements de changer le système monétaire actuel qui ne bénéficie qu'aux actionnaires des grandes banques privées que sont la BCE et la FED (qui sont d'ailleurs les actionnaires du FED, qui est une Société Anonyme privée comme Federal express ??) 

L'argent ne doit plus être une marchandise dont nos politiques ont laissé la création au seul monopole de ces banques. Elles créent de l'argent ex-nihilo (c'est à dire qu'elles ne le possèdent pas) sans fournir aucun effort et nous travaillons pour les rembourser. 

Pour le prix Nobel Maurice Allais ( voir le Monde du 25.10.1988), les banques sont quasi comparables à de faux monnayeurs dont nous blanchissons l'argent par notre travail à chaque remboursement de nos prêts… et en plus nous payons un taux d'intérêt…sur notre propre argent…

Ils ont abusé du système et prouvé que la monnaie peut être créée par l'État sans taux d'intérêt à leur verser.

Le système monétaire international n'est pas durable : 97% de l'argent correspond à de l'argent spéculatif et seulement 3% correspond à de l'économie réelle avec une monnaie devenue la marchandise la plus rentable du système. A partir de l'exemple de la nature, dans laquelle toute chose s'arrête de croître tôt ou tard, notre système économique actuel à un cancer ; la logique actuelle du système qui exige une productivité et une rentabilité allant toujours crescendo, devrait aboutir à terme à la destruction de notre civilisation, comme le prolifération anarchique des cellules cancéreuses conduit à la mort de l'organisme. Il est urgent de mettre en place d'autres systèmes monétaires qui pourront prendre le relais en cas d'effondrement du système monétaire principal.  

 

Le niveau idéal est le niveau régional, en commençant par le local. Le national est trop grand et sous le contrôle des meurtriers…

De façon générale, Helmut Creutz et M. Kennedy nous démontraient, chiffres et tableaux à l'appui, que plus de 40% des coûts proviennent des intérêts qui rentrent dans le prix des produits que nous achetons : 
-   à chaque niveau, les entreprises répercutent le prix de l'intérêt sur leur clients immédiats. 
-  80% de la population paie plus qu'elle ne reçoit 
-  10% reçoivent beaucoup plus qu'ils ne pourraient jamais dépenser même en ayant plusieurs vies.

  De plus, Helmut Creutz avait calculé que, du fait de l'ajout du coût de
l'intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits …que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système à intérêt qui s'ajoute à chaque cycle et valeur ajoutée.

La nouvelle situation de 2008-2009 monte ces coûts encore plus hauts, à environ 85 % de surcoût pour les logements…

 IL FAUT CHANGER LA MONNAIE DE SINGE ACTUELLE ET LA LIBÉRER.

Les physiocrates notamment, sans oublier les économistes Fisher, Quesnay, Proudhon, Douglas, Duboin qui démontrent que l'argent ne doit pas être créé par les banques, mais par un institut étatique en faveur des citoyens. C'est un bien commun, c'est le sang de la société… 

Mais nous vivons encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et 
caché basé notamment sur l'ignorance et sur la peur de la disette.

 « Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs. 

Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents » 

M. Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d'économie en 1988

La plupart des dettes sont donc des illusions qui tuent pour de vrai.

Nous devons simplement les ignorer et les faire effacer. 

Des milliards seront alors libérés pour les vrais besoins, la santé, l' éducation, 
la sécurité, la distribution de revenus pour les plus faibles qui meurent.

De plus, Helmut Creutz notamment a calculé avant la crise que, 
du fait de l'ajout du coût de l'intérêt dans chaque étape 
et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits …que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système de petits
copains.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c'est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes…
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s'accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s'écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère. www.pervenit.com

Les petits de l'argent prennent la place des petits des hommes….la 
démographie s'écroule et l'économie suit…notre civilisation est
mortelle…

Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d'amendes,
d'impôts…. Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.

Primes d'assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, amendes de stationnement,etc.… Politique des petits
copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogue,….

Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils. Un pour tous,
tous pour un. Gauche, droite, c'est vieux jeu. Soyons unis.

Soutenons la famille Ferraye dans sa lutte pour récupérer ce qui lui a été volé. 

Soutenons la famille Burdet qui aide la famille Ferraye et dont l'un des membres est 
injustement en prison pour avoir dit la vérité sur l'affaire Ferraye.

http://ferraye.blogspot.com/ 

www.burdet.info

C'est une chance historique, David contre Goliath. 

Nous sommes le réel, nous luttons pour vous et vos enfants. 

Aidez-nous concrètement dans notre combat. 

Vous recevrez le centuple déjà dans ce monde et la vie éternelle au paradis.

Votre aide est précieuse, aujourd'hui, en faisant circuler largement cette nouvelle, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité. 

Les dettes exponentielles écrasent une population solvable qui va diminuer dramatiquement, la classe moyenne se réduit déjà, et toujours plus.

[Europe-hiver.jpg]

page 240 du livre: " Europe: l'hiver démographique" qui en parlait déjà en 1989. ( Edition l'age d'homme, Lausanne et Paris )

Les courbes de population utilisées qui y étaient utilisées était notamment celles de Jean Bourgeois Pichat.

Ces graphiques mis en conclusion du livre démontrait que si aucune réaction sérieuse n'intervenait, nous aurions un maximum de population vers 8 milliards autour de 2040 puis l'effondrement très rapide d'une population vieillie retombant déjà en 2100 bien en dessous du niveau actuel. En vérité nous devons faire face aux deux problèmes à la fois et, sur le plan écologique, aboutir à de vrais efforts en matière de respect de la nature, de lutte contre les gaspillages, d'éducation des populations.

http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=3126

Lev. 25: 23


Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une "conspiration monolithique"..   

www.pavie.ch

venez au Congrès…

Grand congrès international en 4 langues chaque année début septembre à Rougemont, au Canada. ( Près de Montréal)
Venez avec vos amis au grand congrès international en 4 langues et aux semaines d'études chaque . Universités de printemps et d'été
Les semaines d'études concentrées sur le Crédit Social ont lieu la semaine qui précéde le congrès à fin août de chaque année et du 13 au 20 mars 2010.   Séances d'étude sur la Doctrine Sociale de l'Église et sur le Crédit Social pour les familles créditistes et pour tous ceux et celles qui voudront y assister.

Semaine d'étude de la Doctrine Sociale de l'Église et de son application pour vaincre la crise et la pauvreté du 13 au 20 mars 2010Suivra une semaine de prière, et une retraite prêchée par Son Excellence Mgr Marie-Daniel Dadiet, Archevêque de Korhogo, Côte d'Ivoire Siège de Jéricho 2010 7 jours et 6 nuits d'adorationdevant le Saint Sacrement Exposé du 21 au 27 marsMaison de l'Immaculée, 1101 Principale,
à Rougemont au Canada. 450- 469-2209 Venez nombreux à cette semaine d'étude et à cette semaine d'adoration et de retraite qui nous enflammera d'amour pour Dieu et notre prochain

Graphiken: Les intérêts dans les prix…

http://media.intellipoker.com/blog/wp-content/uploads/pioneer//Zins.jpg

Des députés suisses contre le vote électronique

Vaud

FRANCOIS+ET+JEAN+VENDREDI.jpg

Les adversaires du vote électronique montent au front. Des députés vaudois, allant d’A Gauche toute! jusqu’à l’UDC, le jugent même dangereux pour la démocratie. Ils ont déposé mardi une motion demandant au canton de l’interdire.

Même si Internet est entré dans la vie quotidienne de tout un chacun, cette tendance ne doit pas «franchir la porte des bureaux de vote», a affirmé le socialiste Jean Christophe Schwaab. Il y a péril pour la démocratie, selon lui, tout en reconnaissant qu’il se sert sans cesse de ce moyen pour diverses tâches, y compris financières.
Ce groupe «interpartis», où l’on retrouve notamment Fabienne Despot (UDC), Frédéric Borloz (PRD), Isabelle Chevalley (Alliance du Centre) et Bernard Borel (A gauche toute!), a détaillé une longue série d’arguments contre le vote électronique. Déficit démocratique, banalisation de l’acte civique, risque de fraude important: il n’a que des défauts.
Risque élevé de fraude
Présent à la conférence de presse, le conseiller aux Etats vaudois vert Luc Recordon a souligné que lui aussi allait déposer en mars à Berne un texte sur cette thématique. La menace de voir des votes truqués par l’électronique «n’est pas du tout une illusion». «Je ne suis pas le seul à m’inquiéter», malgré le fort «lobby» des Suisses de l’étranger en faveur d’une procédure électronique, a assuré le sénateur.
Pour Jacques-André Haury, la démocratie doit se transmettre de manière vivante et mérite un effort. Voter par un clic de souris mène à l’abrutissement, selon lui. Il faut maintenir «une différence claire» entre un sondage sur Internet et un acte aussi fondamental que de voter ou d’élire.
Réservé à une minorité
Pour Frédéric Borloz, chef du groupe radical au Grand Conseil, il ne faut pas banaliser l’acte civique, surtout que le processus du vote électronique n’est pas compréhensible par tout le monde. «Une bonne partie de la population n’est pas familière» de ces instruments, a-t-il déclaré.
Malgré l’exemple genevois, qui marche «assez bien», les députés considèrent qu’il faut «arrêter les frais» et stopper cette mode qui préconise de passer le plus vite possible au vote électronique. Leur motion demande au Conseil d’Etat de ne pas gaspiller l’argent des contribuables pour des projets «qui remettent en cause certains principes importants de notre démocratie».
(ats)

Effectivement, le vote par correspondance est aussi peu fiable que celui par électronique.

On appelle à revenir aux Landsgemeinde, aux votes papier avec urnes transparentes, à développer la démocratie locale, par les conseils de quartiers et les référendums locaux notamment, pour réengager les citoyens sur le chemin des urnes, grâce à “une écoute renouvelée des responsables politiques”.

Preuves des manipulations au plus haut niveau:

http://ferraye.blogspot.com/2009/06/rfid-passeports-biometriques-nos.html

réponse:

Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 1/2}
1C_257/2009
Arrêt du 1er octobre 2009
Ire Cour de droit public
Composition
MM. les Juges Féraud, Président, Reeb et Raselli.
Greffier: M. Kurz.
Parties
Chucri Canaan,
recourant,
contre
Conseil d’Etat du canton de Genève,
case postale 3964, 1211 Genève 3
Chancellerie fédérale, 3003 Berne,
Objet
votation fédérale du 17 mai 2009,
recours contre l’arrêté du Conseil d’Etat du canton de Genève du 3 juin 2009.
Faits:
A.
Le 17 mai 2009 a eu lieu la votation fédérale relative d’une part à l’arrêté fédéral du 3 octobre 2008 “Pour la prise en compte des médecines complémentaires” (article constitutionnel), et d’autre part à l’arrêté fédéral du 13 juin 2008 concernant la reprise du Règlement relatif aux passeports biométriques et aux documents de voyage. Les résultats de la votation sur les passeports biométriques sont, pour le canton de Genève, les suivants:
Bulletins valables: 91’714
oui: 43’246
non: 48’468
Ces résultats ont été constatés par arrêté du Conseil d’Etat genevois du 20 mai 2009. Au niveau fédéral, cet objet a été accepté par 953’136 oui contre 947’632 non.
B.
Le 24 mai 2009, le citoyen genevois Chucri Canaan a saisi le Conseil d’Etat. Il évoquait des soupçons de fraude et demandait qu’il soit procédé à une nouvelle votation dans certaines communes vaudoises ainsi que dans plusieurs autres cantons où diverses irrégularités auraient été constatées. Il exigeait également des contrôles par sondages. Il critiquait en particulier les modalités du vote électronique, et estimait que les résultats publiés n’étaient pas suffisamment détaillés. Il s’interrogeait sur le sort du matériel de vote de réserve et relevait que le vote par correspondance permettait lui aussi des fraudes.
C.
Par arrêté du 3 juin 2009, le Conseil d’Etat a rejeté le recours dans la mesure de sa recevabilité, selon la procédure sommaire prévue à l’art. 79 al. 2bis LDP. La publication des résultats, notamment sur le site Internet de l’Etat puis dans la Feuille d’Avis Officielle, était détaillée et complète. Les allégations de fraude n’étaient pas étayées par le moindre indice. Le vote dans les EMS faisait l’objet de précautions et de contrôles suffisants. Les griefs concernant des irrégularités commises dans d’autres cantons étaient irrecevables.
D.
Chucri Canaan forme un recours “de droit public” contre cette dernière décision. Il demande l’organisation d’un nouveau vote dans tous les cantons où le matériel de vote ne satisfait pas aux exigences légales, ainsi qu’une enquête dans d’autres cantons. Il demande que le Tribunal fédéral ordonne diverses mesures (publication du détail des votes électroniques, utilisation de matériel spécifique, abandon du vote électronique, vérification de la transparence des enveloppes de vote).
Le Conseil d’Etat conclut à l’irrecevabilité, subsidiairement au rejet du recours. La Chancellerie fédérale ne s’est pas déterminée.
Considérant en droit:
1.
Selon les art. 82 let. c et 88 al. 1 let. b LTF, le recours en matière de droit public est ouvert contre les décisions prises par les gouvernements cantonaux en matière d’élections et de votations fédérales, conformément à l’art. 80 de la loi fédérale sur les droits politiques (LDP; RS 161.1). Ces décisions peuvent notamment porter sur la violation de dispositions concernant le droit de vote (art. 77 al. 1 let. a LDP) ou des irrégularités affectant les votations (art. 77 al. 1 let. b LDP).
1.1 Le recours a été déposé dans le délai de cinq jours prévu à l’art. 100 al. 3 let. b LTF.
1.2 Dans la mesure où il dispose du droit de vote dans l’affaire en cause, le recourant a qualité pour agir (art. 89 al. 3 LTF). La Chancellerie d’Etat estime, dans sa réponse, que le recourant n’aurait pas qualité pour se plaindre des modalités du vote électronique, dans la mesure où il est électeur dans une commune – la Ville de Genève – où ce mode de scrutin n’a pas été utilisé. Il n’en demeure pas moins que le recourant a en principe qualité pour se plaindre de toutes les éventuelles irrégularités qui auraient pu affecter le résultat de la votation. La question de la qualité pour agir sur ce point peut toutefois demeurer indécise, car le recours apparaît manifestement mal fondé.
1.3 Le recours en matière de droits politiques peut tendre non seulement à l’annulation de la décision de première instance mais aussi à l’annulation du scrutin (ATF 129 I 185 consid. 1.2 p. 188) ainsi qu’à un recomptage des voix (ATF 131 I 442).
Le recourant demande aussi un nouveau scrutin dans tous les cantons où le matériel de vote ne satisfait pas aux exigences légales. Il s’agit là d’une conclusion nouvelle qui n’a pas été soumise à l’instance précédente (art. 99 al. 2 LTF); dans son recours cantonal, le recourant demandait en effet de nouvelles votations dans les communes – vaudoises – et les autres cantons où des irrégularités auraient été constatées. Le Conseil d’Etat s’est pour sa part limité aux griefs dirigés contre la votation cantonale, ce qui n’est pas critiquable puisque sa cognition était limitée au scrutin tel qu’il s’est déroulé dans le canton de Genève. Dans le cadre d’une votation fédérale, on pourrait certes envisager qu’un citoyen puisse, à certaines conditions, se plaindre par la voie du recours prévu à l’art. 82 let. c LTF d’irrégularités entachant le scrutin dans d’autres cantons (cf. arrêt 1C_253/2009 du 1er octobre 2009). En l’occurrence toutefois, les griefs soulevés à cet égard n’apparaissent pas suffisamment motivés et devraient, de toute façon, suivre le sort des autres griefs soulevés dans le recours (cf. consid. 3 ci-dessous). Quant aux autres conclusions présentées par le recourant – enquête sur les conditions de vote, injonctions sur le matériel à utiliser, interdiction du vote électronique -, elles sont irrecevables car elles apparaissent largement étrangères à l’objet de la contestation.
1.4 Selon l’art. 95 let. a LTF, le recours peut être formé pour violation du droit fédéral – y compris les droits constitutionnels – ainsi que pour violation de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens et sur les élections et votations populaires (art. 95 let. c et d LTF). Saisi d’un recours pour violation des droits politiques, le Tribunal fédéral revoit librement l’interprétation et l’application du droit fédéral (soit en particulier les principes découlant directement de l’art. 34 Cst. et les dispositions de la LDP) et du droit constitutionnel cantonal, ainsi que des dispositions de rang inférieur qui sont étroitement liées au droit de vote ou en précisent le contenu et l’étendue (ATF 129 I 185 consid. 2 p. 190).
Aux termes de l’art. 106 al. 2 LTF, le Tribunal fédéral n’examine la violation de droits fondamentaux que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. L’acte de recours doit donc, à peine d’irrecevabilité, contenir un exposé succinct des droits constitutionnels ou des principes juridiques violés et préciser en quoi consiste la violation. Lorsqu’il est saisi d’un recours, le Tribunal fédéral n’a donc pas à vérifier de lui-même si l’arrêt entrepris est en tous points conforme au droit et à l’équité. Il n’examine que les griefs d’ordre constitutionnel invoqués et suffisamment motivés dans l’acte de recours. Le recourant ne saurait se contenter d’invoquer le principe “jura novit curia”, ni de soulever de vagues griefs ou de renvoyer aux actes cantonaux (ATF 134 I 20 consid. 5.2 p. 30 s.; 133 II 249 consid. 1.4 p. 254; 133 III 393 consid. 6 p. 397 et la jurisprudence citée).
1.5 Le Tribunal fédéral conduit par ailleurs son raisonnement juridique sur la base des faits établis par l’autorité précédente (cf. art. 105 al. 1 LTF). Il peut néanmoins rectifier ou compléter les faits constatés de façon manifestement inexacte (soit arbitraire; ATF 133 III 393 consid. 7.1 p. 398) ou en violation du droit au sens de l’art. 95 LTF (cf. art. 105 al. 2 LTF). Le recourant peut soulever de tels vices relatifs à la constatation des faits si leur correction est susceptible d’influer sur le sort de la cause (cf. art. 97 al. 2 LTF); toutefois, il est également tenu de se conformer aux exigences de motivation prévues à l’art. 106 al. 2 LTF, soit d’exposer d’une manière circonstanciée ses griefs (cf. ATF 133 II 249 consid. 1.4.3 p. 254 ss).
1.6 Selon l’art. 79 al. 2bis LDP, le gouvernement cantonal rejette le recours sans approfondir l’examen de l’affaire s’il constate que les irrégularités constatées ne sont ni d’une nature ni d’une importance telles qu’elles ont pu influencer de façon déterminante le résultat principal de la votation ou de l’élection. En l’espèce, si le résultat de la votation sur l’arrêté fédéral du 3 octobre 2008 “Pour la prise en compte des médecines complémentaires” est suffisamment clair tant au niveau du peuple que des cantons, il n’en va pas de même s’agissant de l’arrêté fédéral du 13 juin 2008, accepté au niveau fédéral à une différence de 5’504 voix, soit de 0,289% des votants. On peut donc se demander si, dans un tel cas, le Conseil d’Etat pouvait comme il l’a fait liquider l’affaire en se fondant sur cette disposition. La question peut demeurer indécise car l’autorité intimée n’en a pas moins examiné les griefs soulevés de manière certes sommaire, mais suffisante au regard de l’obligation de motiver.
2.
Dans un grief d’ordre formel, le recourant invoque son droit d’être entendu. Il reproche au Conseil d’Etat de ne pas l’avoir entendu en audience publique. Il demande qu’une telle audience soit tenue devant le Tribunal fédéral.
2.1 Si le droit d’être entendu (art. 29 al. 2 Cst.) comprend celui de s’exprimer avant le prononcé de la décision, il n’implique pas en revanche le droit de s’exprimer oralement devant l’autorité (ATF 122 II 464 consid. 4c p. 469). Dans une procédure de recours, le droit d’être entendu s’épuise en principe par le dépôt du mémoire de recours. Par ailleurs, ce droit doit être exercé dans les conditions de forme prévues par le droit cantonal. Or, le recourant ne prétend pas avoir requis une audition personnelle. Il n’indique pas non plus quelle disposition lui accordait un tel droit, et ne démontre pas, par conséquent, que le Conseil d’Etat aurait violé son droit d’être entendu.
2.2 Le recourant n’indique pas non plus en quoi une audition en audience publique s’imposerait devant la cour de céans, dans la mesure où il a eu le loisir d’exposer l’ensemble de ses arguments dans son mémoire de recours. Il ne saurait en particulier se prévaloir de l’art. 6 CEDH, puisque le contentieux électoral ne tombe pas dans le champ de protection de l’art. 6 par. 1 CEDH (ATF 133 I 100 consid. 4.6 p. 104).
3.
Sur le fond, le recourant prétend pour l’essentiel que le vote électronique serait trop facilement falsifiable, et que le secret du vote serait également compromis.
3.1 Le vote électronique a été autorisé à titre expérimental, dans plusieurs communes genevoises, conformément à l’art. 8a LDP, par arrêté du Conseil fédéral du 25 février 2009 (FF 2009 1159) puis par arrêté du Conseil d’Etat du 16 mars 2009.
Selon l’art. 27c al. 2 ODP, ces essais sont limités à 10% des électeurs au niveau fédéral, et 20% des électeurs cantonaux. L’art. 27d ODP fixe les conditions de l’octroi de l’autorisation. Le canton doit notamment assurer que seuls les électeurs pourront prendre part au scrutin (contrôle de la qualité d’électeur), que tout électeur ne dispose que d’un suffrage (un citoyen, un vote), qu’il sera impossible à des tiers de capter, modifier, détourner systématiquement des suffrages électroniques et d’influencer de façon déterminante le résultat principal de la votation (assurance de l’expression sûre de la volonté des citoyens, y compris lors du dépouillement), que le secret du vote est assuré et que toute fraude systématique sera impossible. Le canton doit disposer de l’infrastructure technique, du personnel et des moyens financiers qui permettent de mener les essais en question. L’art. 27e ODP précise les mesures de protection contre les manipulations. Les art. 27f ss ODP imposent des mesures de codage permettant de contrôler la qualité d’électeur en garantissant le secret du vote. Selon l’art. 27l ODP, l’autorité compétente doit systématiquement s’adapter à l’état actuel de la technique. Les mesures de sécurité font l’objet d’un contrôle par un service externe indépendant, reconnu par la Chancellerie fédérale. La réglementation prévoit encore, notamment la possibilité de recomptages en cas d’irrégularité, et la possibilité d’établir la plausibilité du résultat électronique en cas de contestation (art. 27n et 27nbis ODP).
3.2 Le site de l’Etat de Genève expose les détails du vote par Internet et les mesures de sécurité. Pour sa part, le recourant se contente de généralités sur les risques inhérent au vote par Internet, en évoquant l’abandon de ce mode de scrutin dans d’autres pays, sans pour autant critiquer d’aucune manière le système adopté dans le canton de Genève, ni prétendre que celui-ci ne répondrait pas aux exigences de sécurité posées aux art. 27a ss LDP. Il ressort des résultats publiés par le canton que les votes exprimés dans les onze communes ayant pratiqué le vote par Internet sont comparables à ceux constatés au niveau cantonal, pour les deux votations fédérales en cause. Les allégations du recourant apparaissent ainsi dénuées de fondement et ont été écartées à juste titre par le gouvernement cantonal.
4.
Dans un grief nouveau – dont la recevabilité apparaît douteuse à ce titre déjà -, le recourant soutient que le matériel de vote rendrait possibles des fraudes électorales: les enveloppes de vote seraient suffisamment transparentes pour permettre la lecture de leur contenu avec un simple dispositif d’éclairage. Le matériel imprimé en supplément permettrait de procéder à des substitutions de bulletins. Le recourant mentionne aussi l’existence de sceaux falsifiés.
4.1 Le recourant ne conteste pas que le secret du vote est assuré lorsque la récolte des bulletins et leur dépouillement sont exécutés dans des conditions normales. Par ailleurs, l’utilisation du matériel supplémentaire, soit en particulier les enveloppes et les bulletins de vote, ne peut avoir lieu à l’insu des bureaux électoraux, lesquels sont composés d’un président et de jurés, tous assermentés. On ne saurait prétendre, en l’absence de tout indice dans ce sens, qu’il aurait été possible d’utiliser le matériel supplémentaire à l’insu, ou avec la complicité des bureaux concernés. Sur ce point également, le recourant se fonde sur de pures conjectures, auxquelles il n’y a pas lieu de donner suite.
5.
Le recours doit par conséquent être rejeté, dans la mesure où il est recevable. Le recourant a demandé à être dispensé des frais de justice. Il n’a toutefois présenté aucune demande d’assistance judiciaire. Au demeurant, les conditions n’en seraient pas réunies: le recourant ne démontre pas son indigence et le recours paraissait d’emblée dénué de chances de succès. Dès lors, conformément à l’art. 66 al. 1 LTF, les frais sont à la charge du recourant qui succombe.
Par ces motifs, le Tribunal fédéral prononce:
1.
Le recours est rejeté dans la mesure où il est recevable.
2.
Les frais judiciaires, arrêtés à 1000 fr., sont mis à la charge du recourant.
3.
Le présent arrêt est communiqué au recourant, au Conseil d’Etat du canton de Genève et à la Chancellerie fédérale.
Lausanne, le 1er octobre 2009
Au nom de la Ire Cour de droit public
du Tribunal fédéral suisse
Le Président: Le Greffier:
Féraud Kurz

Preuves:

http://desiebenthal.blogspot.com/2009/06/recours-final.html

réponse peu sérieuse, ils n’ont même pas ouvert l’enveloppe des preuves…

Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 1/2}
1C_245/2009
Arrêt du 1er octobre 2009
Ire Cour de droit public
Composition
MM. les Juges Féraud, Président, Reeb et Raselli.
Greffier: M. Kurz.
Parties
François von Siebenthal,
recourant,
contre
Conseil d’Etat du canton de Vaud, Château cantonal,
1014 Lausanne,
Chancellerie fédérale, 3003 Berne,
Objet
votation fédérale du 17 mai 2009,
recours contre la décision du Conseil d’Etat du canton de Vaud du 29 mai 2009.
Faits:
A.
Le 17 mai 2009 a eu lieu la votation fédérale relative d’une part à l’arrêté fédéral du 3 octobre 2008 “Pour la prise en compte des médecines complémentaires” (article constitutionnel), et d’autre part à l’arrêté fédéral du 13 juin 2008 concernant la reprise du Règlement relatif aux passeports biométriques et aux documents de voyage. Les résultats de cette votation sont, pour le canton de Vaud, les suivants:
arrêté du 3 octobre 2008:
bulletins valables: 164’778
oui: 129’312
non: 35’466
arrêté du 13 juin 2008:
bulletins valables: 163’006
oui: 74’098
non: 88’908
Au niveau fédéral, le premier objet a été accepté par 1’283’838 oui contre 631’908 non, ainsi que par l’unanimité des cantons; le second a été accepté par 953’136 oui contre 947’632 non.
B.
Le 20 mai 2009, le Mouvement Citoyen Suisse et François von Siebenthal ont saisi le Conseil d’Etat vaudois. Ils évoquaient le cas de trois communes vaudoises n’ayant pas reçu le matériel de vote. D’autres communes auraient connu des irrégularités, rendues possibles par la procédure de vote par correspondance. Ils se plaignaient de l’absence de publication des données du scrutin par bureau de vote. Selon eux, les 40’000 bulletins de vote et enveloppes supplémentaires pouvaient permettre des fraudes, de même que la transparence de l’enveloppe de vote. Les recourants demandaient de nouvelles votations, au moins dans les communes concernées, ainsi que des contrôles par sondages dans tout le canton. Ils concluaient également à la publication d’une décision rendue précédemment, sur recours, par le Conseil d’Etat.
C.
Par décision du 29 mai 2009, le Conseil d’Etat a rejeté le recours, laissant indécise la question de la qualité pour recourir du Mouvement Citoyen Suisse. En raison d’une erreur d’envoi, les 54 électeurs de la commune de Pizy ainsi que plusieurs habitants de Gimel et d’Avenches n’avaient pas reçu le matériel de vote. Un nouvel envoi avait été effectué pour la commune de Pizy et les habitants des autres communes concernées avaient pu demander du matériel de remplacement. La boîte aux lettres pour le vote anticipé dans la commune de Penthalaz avait été vandalisée, mais la population en avait été informée et les votants concernés avaient pu s’annoncer. Les informations sur le scrutin pour chaque commune étaient disponibles sur le site Internet de l’Etat de Vaud. La loi n’exigeait pas la diffusion des résultats des différents bureaux de section. Il n’y avait pas d’indice d’utilisation abusive du matériel de vote de réserve; il n’était pas possible de lire le contenu de l’enveloppe de vote, ce d’autant que le bulletin était sur papier gris. Les soupçons de fraude ne reposaient sur aucun élément concret.
D.
François von Siebenthal forme un recours “de droit public” contre cette dernière décision. Il demande l’organisation d’un nouveau vote dans tous les cantons où le matériel de vote ne satisfait pas aux exigences légales, ainsi qu’une enquête dans d’autres cantons. Il demande que le Tribunal fédéral ordonne diverses mesures afin de prévenir les fraudes, notamment l’abandon du vote électronique.
Le Conseil d’Etat se réfère à sa décision. La Chancellerie fédérale ne s’est pas déterminée.
Considérant en droit:
1.
Selon les art. 82 let. c et 88 al. 1 let. b LTF, le recours en matière de droit public est ouvert contre les décisions prises par les gouvernements cantonaux en matière d’élections et de votations fédérales, conformément à l’art. 80 de la loi fédérale sur les droits politiques (LDP; RS 161.1). Ces décisions peuvent notamment porter sur la violation de dispositions concernant le droit de vote (art. 77 al. 1 let. a LDP) ou des irrégularités affectant les votations (art. 77 al. 1 let. b LDP).
1.1 Dans la mesure où il dispose du droit de vote dans l’affaire en cause, le recourant a qualité pour agir (art. 89 al. 3 LTF). Le recours a été déposé dans le délai de cinq jours prévu à l’art. 100 al. 3 let. b LTF. La question de la qualité pour agir du Mouvement Citoyen Suisse, non résolue par le Conseil d’Etat, peut également demeurer indécise à ce stade puisqu’elle ne change rien à l’issue du recours.
1.2 Le recours en matière de droits politiques peut tendre non seulement à l’annulation de la décision de première instance mais aussi à l’annulation du scrutin (ATF 129 I 185 consid. 1.2 p. 188) ainsi qu’à un recomptage des voix (ATF 131 I 442). Le recourant demande aussi un nouveau scrutin dans tous les cantons où le matériel de vote ne satisfait pas aux exigences légales. Il s’agit là d’une conclusion nouvelle qui n’a pas été soumise à l’instance précédente (art. 99 al. 2 LTF). Elle ne pouvait toutefois pas l’être puisque la cognition du Conseil d’Etat était limitée au scrutin tel qu’il s’est déroulé dans le canton de Vaud. Dans le cadre d’une votation fédérale, on pourrait certes envisager qu’un citoyen puisse, à certaines conditions, se plaindre par la voie du recours prévu à l’art. 82 let. c LTF d’irrégularités entachant le scrutin dans d’autres cantons (cf. arrêt 1C_253/2009 du 1er octobre 2009). En l’occurrence toutefois, les griefs soulevés à cet égard n’apparaissent pas suffisamment motivés et devraient, de toute façon, suivre le sort des autres griefs soulevés dans le recours (cf. consid. 3 ci-dessous). Quant aux nombreuses autres conclusions présentées par le recourant – enquête sur les conditions de vote, injonctions sur le matériel à utiliser, interdiction du vote électronique -, elles sont irrecevables dans la mesure où elles apparaissent largement étrangères à l’objet de la contestation.
1.3 Selon l’art. 95 let. a LTF, le recours peut être formé pour violation du droit fédéral – y compris les droits constitutionnels – ainsi que pour violation de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens et sur les élections et votations populaires (art. 95 let. c et d LTF). Saisi d’un recours pour violation des droits politiques, le Tribunal fédéral revoit librement l’interprétation et l’application du droit fédéral (soit en particulier les principes découlant directement de l’art. 34 Cst. et les dispositions de la LDP) et du droit constitutionnel cantonal, ainsi que des dispositions de rang inférieur qui sont étroitement liées au droit de vote ou en précisent le contenu et l’étendue (ATF 129 I 185 consid. 2 p. 190).
Aux termes de l’art. 106 al. 2 LTF, le Tribunal fédéral n’examine la violation de droits fondamentaux que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. L’acte de recours doit donc, à peine d’irrecevabilité, contenir un exposé succinct des droits constitutionnels ou des principes juridiques violés et préciser en quoi consiste la violation. Lorsqu’il est saisi d’un recours, le Tribunal fédéral n’a donc pas à vérifier de lui-même si l’arrêt entrepris est en tous points conforme au droit et à l’équité. Il n’examine que les griefs d’ordre constitutionnel invoqués et suffisamment motivés dans l’acte de recours. Le recourant ne saurait se contenter d’invoquer le principe “iura novit curia”, ni de soulever de vagues griefs ou de renvoyer aux actes cantonaux (ATF 134 I 20 consid. 5.2 p. 30 s.; 133 II 249 consid. 1.4 p. 254; 133 III 393 consid. 6 p. 397 et la jurisprudence citée).
1.4 Le Tribunal fédéral conduit par ailleurs son raisonnement juridique sur la base des faits établis par l’autorité précédente (cf. art. 105 al. 1 LTF). Il peut néanmoins rectifier ou compléter les faits constatés de façon manifestement inexacte (soit arbitraire; ATF 133 III 393 consid. 7.1 p. 398) ou en violation du droit au sens de l’art. 95 LTF (cf. art. 105 al. 2 LTF). Le recourant peut soulever de tels vices relatifs à la constatation des faits si leur correction est susceptible d’influer sur le sort de la cause (cf. art. 97 al. 2 LTF); toutefois, il est également tenu de se conformer aux exigences de motivation prévues à l’art. 106 al. 2 LTF, soit d’exposer d’une manière circonstanciée ses griefs (cf. ATF 133 II 249 consid. 1.4.3 p. 254 ss).
2.
Dans un grief d’ordre formel, le recourant invoque son droit d’être entendu. Il reproche au Conseil d’Etat de ne pas l’avoir entendu en audience publique. Il demande qu’une telle audience soit tenue devant le Tribunal fédéral.
2.1 Si le droit d’être entendu (art. 29 al. 2 Cst.) comprend celui de s’exprimer avant le prononcé de la décision, il n’implique pas en revanche le droit de s’exprimer oralement devant l’autorité (ATF 122 II 464 consid. 4c p. 469). Dans une procédure de recours, le droit d’être entendu s’épuise en principe par le dépôt du mémoire de recours. Par ailleurs, ce droit doit être exercé dans les conditions de forme prévues par le droit cantonal. Or, le recourant ne prétend pas avoir requis une audition personnelle. Il n’indique pas non plus quelle disposition lui accordait un tel droit, et ne démontre pas, par conséquent, que le Conseil d’Etat aurait violé son droit d’être entendu.
2.2 Le recourant n’indique pas non plus en quoi une audition en audience publique s’imposerait devant la cour de céans, dans la mesure où il a eu le loisir d’exposer l’ensemble de ses arguments dans son mémoire de recours. Il ne saurait en particulier se prévaloir de l’art. 6 CEDH, puisque le contentieux électoral ne tombe pas dans le champ de protection de cette disposition (ATF 133 I 100 consid. 4.6 p. 104).
2.3 Le recourant invoque aussi le droit à la consultation de documents officiels et à l’information, garanti par l’art. 17 al. 2 let. c de la Constitution vaudoise. Il ne précise pas s’il entend consulter des documents indépendamment de la présente procédure – auquel cas un tel droit de consultation devait faire l’objet d’une requête distincte – ou s’il entendait consulter des pièces dans le cadre de son recours. Le recourant n’indique pas non plus quelles pièces il entendait consulter, et ne prétend pas qu’un droit de consultation lui aurait été indûment refusé devant l’instance précédente. Le grief doit lui aussi être rejeté, dans la mesure où il est suffisamment motivé.
3.
Sur le fond, le recourant prétend pour l’essentiel que le matériel de vote rendrait possible des fraudes électorales: les enveloppes de vote seraient suffisamment transparentes pour permettre la lecture de leur contenu avec un simple dispositif d’éclairage, ce d’autant que le bulletin est sur papier blanc et ne doit pas être plié; le matériel supplémentaire – près de 100’000 enveloppes et bulletins – permettrait de procéder à des substitutions de bulletins. Le recourant soupçonne ainsi des agents de l’Etat de procéder, de nuit, à l’ouverture des urnes, au remplacement de certaines enveloppes par d’autres, correspondant au résultat voulu, et à la fermeture des urnes au moyen de sceaux falsifiés.
3.1
Selon l’art. 79 al. 2bis LDP, le gouvernement cantonal rejette le recours sans approfondir l’examen de l’affaire s’il constate que les irrégularités constatées ne sont ni d’une nature ni d’une importance telles qu’elles ont pu influencer de façon déterminante le résultat principal de la votation ou de l’élection. En l’espèce, si le résultat de la votation sur l’arrêté fédéral du 3 octobre 2008 “Pour la prise en compte des médecines complémentaires” est suffisamment clair tant au niveau du peuple que des cantons, il n’en va pas de même s’agissant de l’arrêté fédéral du 13 juin 2008, accepté au niveau fédéral à une différence de 5’504 voix, soit de 0,289% des votants. C’est donc avec raison que le Conseil d’Etat a renoncé à faire application de cette disposition et est entré en matière sur les différents griefs qui lui étaient soumis.
3.2 Le recourant ne soulève plus, comme il le faisait devant le Conseil d’Etat, de griefs dirigés précisément contre la votation en cause. L’autorité intimée a écarté les arguments relatifs aux problèmes de distribution du matériel de vote dans différentes communes vaudoise. Elle en a expliqué la raison – qui ne tenait manifestement pas à une fraude – et a considéré que les démarches et informations des autorités communales avaient permis de réparer en temps utile ces irrégularités. Le recourant ne revient plus sur ces points.
3.3 Son argumentation repose sur la possibilité d’utiliser à des fins abusives le matériel supplémentaire remis aux communes. Alors que le Conseil d’Etat a considéré que le contenu de l’enveloppe était invisible, le recourant entend démontrer que celui-ci pourrait être lu par transparence devant une forte source lumineuse. Quand bien même les faits n’auraient pas été correctement établis sur ce point, on ne saurait suivre le recourant dans ses allégations: comme l’a estimé le Conseil d’Etat, le secret du vote est assuré lorsque la récolte des bulletins et leur dépouillement sont exécutés dans des conditions normales. Par ailleurs, l’utilisation du matériel supplémentaire, soit en particulier les enveloppes et les bulletins de vote, ne pourrait avoir lieu à l’insu des bureaux électoraux, lesquels sont composés d’un président et de scrutateurs, tous assermentés. Les bureaux électoraux ne peuvent délivrer du nouveau matériel – à l’exclusion des cartes de vote, art. 40 RLEDP – que si tout risque d’abus est écarté (art. 19 al. 1 LEDP). On ne saurait prétendre, en l’absence de tout indice dans ce sens, qu’il aurait été possible d’utiliser le matériel supplémentaire à l’insu, ou avec la complicité des bureaux concernés. Le recourant se fonde en définitive sur de pures conjectures, auxquelles il n’y a pas lieu de donner suite.
4.
Le recours doit par conséquent être rejeté, dans la mesure où il est recevable. Le recourant a demandé à être dispensé des frais de justice. Il n’a toutefois présenté aucune demande d’assistance judiciaire. Au demeurant, les conditions n’en seraient pas réunies: le recourant ne démontre pas son indigence et le recours paraissait d’emblée dénué de chances de succès. Dès lors, conformément à l’art. 66 al. 1 LTF, les frais sont à la charge du recourant qui succombe.
Le Tribunal fédéral prononce:
1.
Le recours est rejeté dans la mesure où il est recevable.
2.
Les frais judiciaires, arrêtés à 1000 fr., sont mis à la charge du recourant.
3.
Le présent arrêt est communiqué au recourant, au Conseil d’Etat du canton de Vaud et à la Chancellerie fédérale.
Lausanne, le 1er octobre 2009
Au nom de la Ire Cour de droit public
du Tribunal fédéral suisse
Le Président: Le Greffier:
Féraud Kurz
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 1/2}
1P.755/2003 /col
Arrêt du 23 janvier 2004
Ire Cour de droit public
Composition
MM. les Juges Féraud, Juge présidant, Reeb
et Eusebio.
Greffier: M. Thélin.
Parties
François de Siebenthal,
recourant,
contre
Grand Conseil du canton de Vaud, place du Château 6, 1014 Lausanne.
Objet
élection d’un membre du Conseil d’Etat
recours de droit public contre la décision du Grand Conseil du 9 décembre 2003.
Considérant:
Que le corps électoral cantonal vaudois a été convoqué pour l’élection complémentaire d’un membre du Conseil d’Etat;
Que les deux tours du scrutin se sont déroulés le 9 et le 30 novembre 2003;
Que François de Siebenthal s’est porté candidat pour le deuxième tour;
Que par arrêté du 4 décembre 2003, publié le 5, le Conseil d’Etat a proclamé le résultat de l’élection;
Que François de Siebenthal a ainsi obtenu 8’279 voix, soit 6,82 % des bulletins valables;
Que le candidat François Marthaler a remporté l’élection avec 105’851 voix;
Que François de Siebenthal a contesté ce résultat par un recours adressé au Conseil d’Etat, transmis ensuite au Bureau du Grand Conseil;
Que cet organe a rejeté le recours par décision du 11 décembre 2003;
Que François de Siebenthal a remis au Tribunal fédéral un recours dirigé contre cette décision, tendant à l’annulation de l’élection;
Qu’une demande d’effet suspensif était jointe à ce recours, tendant au report du serment à prêter par le vainqueur;
Qu’elle a été rejetée par ordonnance du 15 décembre 2003;
Que seul le recours de droit public en matière d’élections cantonales, prévu par l’art. 85 let. a de la loi fédérale d’organisation judiciaire (OJ), entre en considération;
Qu’aux termes de l’art. 90 al. 1 let. b OJ, l’acte de recours doit contenir un exposé des faits essentiels et un exposé succinct des droits constitutionnels ou des principes juridiques tenus pour violés, précisant en quoi consiste la violation;
Qu’en l’occurrence, le recourant développe une protestation confuse contre l’élection et la procédure cantonale de recours, avec de nombreuses digressions sur d’autres sujets;
Que les deux tours de l’élection sont prétendument entachés de “graves irrégularités” et de “fraudes électorales massives”;
Que ces affirmations ne constituent pas une argumentation suffisante au regard de la disposition précitée;
Que le recours de droit public est ainsi irrecevable;
Qu’il n’est pas perçu d’émolument judiciaire dans les contestations en matière de droit de vote et d’élections.
Par ces motifs, vu l’art. 36a OJ, le Tribunal fédéral prononce:
1.
Le recours est irrecevable.
2.
Il n’est pas perçu d’émolument judiciaire.
3.
Le présent arrêt est communiqué en copie au recourant et au Grand Conseil du canton de Vaud.
Lausanne, le 23 janvier 2004
Le juge présidant: Le greffier:

Krach à venir, encore pire…La Suisse se prépare.

Les Suisses et leurs réserves de guerre.

Un grand journal français relève que la plupart des patrons se sont empressé de vendre leurs options sur actions.

Plusieurs fonds d’investissement font de même.
Jean-René Fourtou a, le 11.12.2009, “acheté” ses 234.782 options/actions et les a revendues dans la même journée, avec un faible bénéfice.

Le président de Danone utilise ses 329.310 options, le 14 décembre, qu’il revend le même jour.

Les dirigeants de la BNP dont Michel Pébereau, président de la banque, lève 79.000 stock-options le 15 décembre. Il s’empresse d’en revendre 62.000, cinq jours plus tard. Baudoin Prot, revend 80% de ses 47.300 stock-options.

Chez Thales, un cadre a revendu, dans la même journée, ses 10.500 titres.

Chez Christian Dior (groupe Arnault-LVMH), ils ont, eux aussi, cédé plus de 80% des actions “achetées” quelques jours plus tôt.
Idem chez Bouygues, où deux administrateurs ont liquidé 90% de leurs options.

Ou encore chez Total, dont un directeur s’est défait, en cinq jours, de la totalité de 40.000 actions.
Source: Le Canard enchaîné

Krach mondial et stock de vivres, la solution suisse. Texte de la motion au Conseil National.

http://www.michaeljournal.org/images/Gouvernements-Vautour.gif
http://www.michaeljournal.org/images/Gros_Banquier.gif

Conseil national suisse.
08.3194
Motion von Siebenthal
Garantir l’approvisionnement de la population suisse
 par la politique agricole 2015

Texte de la motion au Conseil National,

Gouverner, c’est prévoir.

Le Conseil fédéral est chargé, dans le cadre de la politique agricole 2015, d’accorder
une importance primordiale au taux d’auto-approvisionnement net, et de proposer
des mesures qui permettront d’atteindre un taux d’auto-approvisionnement de 60%
au moins.
Cosignataires:  63 conseillers nationaux
Aebi, Aeschbacher, Amstutz, Baader Caspar, Baettig, Baumann, Bigger, Binder, Borer,
Bortoluzzi, Bourgeois, Brunner, Daguet, Donzé, Dunant, Estermann, Favre Laurent,
Flückiger, Freysinger, Frösch, Föhn, Füglistaller, Gadient, Geissbühler, Genner,
Giezendanner, Glauser, Glur, Graber Jean-Pierre, Grin, Haller, Hassler, Heer, Hurter
Thomas, Hutter Jasmin, Joder, Kaufmann, Killer, Kunz, Maurer, Miesch, Moser,
Mörgeli, Müller Thomas, Müri, Perrin, Pfister Theophil, Reimann Lukas, Reymond,
Rickli Natalie, Rime, Rutschmann, Schenk Simon, Scherer, Schibli, Schwander,
Stahl, Stamm, Waber, Wandfluh, Weibel, Zuppiger, von Rotz (63)

La meilleure solution, la vraie démocratie économique.

Pour une nouvelle démocratie économique basée sur la robotique.

Pour une nouvelle démocratie économique basée sur la robotique:

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions, notamment aux robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent croissant.

Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés.

Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer.

Ce dividende universel est versé à chaque personne, à titre d’ actionnaire du pays, qu’elle ait ou non d’autres sources de revenus. Ceci provoquera une relance réelle par la demande.

I. Nous devons donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit en l’exerçant par des commissions locales indépendantes jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ces buts.

II. Les ressources matérielles du pays représentées notamment par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

Exemple pratique:

http://pavie.ch/mobile/articles.php?lng=fr&pg=263

plus sur www.pavie.ch

Ce robot peut tous vous remplacer, vous êtes donc tous au chômage.

D’accord si nous avons tous un revenu pour consommer les biens produits par les robots et nous trouverons des tâches utiles à remplir ( éducation des enfants, art, agriculture pour nourrir les affamés, recherche, etc …


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