Etonnantes déclarations de l’ancien président italien Cossiga au sujet du 11 septembre 2001

Etonnantes déclarations de l’ancien président italien Cossiga au sujet du 11 septembre 2001

Francesco Cossiga, un des présidents de la République qui a le plus marqué l’histoire politique italienne récente, vient de faire une déclaration incroyable au Corriere della Sera, un des principaux quotidiens du pays : selon ses dires l’attaque du 11 septembre 2001 aurait été planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad… Coup de folie ? Illumination ? Provocation ? Quoi qu’il en soit pratiquement aucun média traditionnel n’a repris cette étonnante affirmation.

Après le « coming-out  », tout aussi peu médiatique, de Jean-Pierre Chévènement en 2006, voici venu le tour d’un autre ministre de la Défense et de l’Intérieur, devenu en 1985 président de la République italienne.

Des déclarations étonnantes et peu médiatisées Les déclarations du président Francesco Cossiga du 30/11/2007, à la principale agence italienne (Ansa) et reprises par le Corriere della Sera, (700 000 lecteurs quotidiens), ne peuvent laisser personne indifférent. En effet, en faisant référence à un récent enregistrement attribué au chef d’Al-Qaeda, voici ce que déclare le sénateur à vie italien : "[Dans cet enregistrement] Ben Laden aurait confessé être l’auteur de l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours de New York, alors que tous les milieux démocrates américains et européens, et parmi eux le centre gauche italien, savent très bien que cette attaque désastreuse a été planifiée et exécutée par la CIA américaine et le Mossad avec l’aide du monde sioniste afin d’accuser les pays arabes et pour persuader les puissances occidentales d’intervenir tant en Irak qu’en Afghanistan." Curieusement, dans son article, le Corriere della Sera ne met pas trop l’accent sur cette incroyable déclaration de Cossiga, mais insiste davantage sur les accusations que Cossiga lance à Berlusconi. En effet tant le titre que le sous-titre ainsi que le chapeau de l’article se focalisent sur une polémique entre Cossiga et Berlusconi. Plus précisément, en faisant référence à l’enregistrement en question (dans lequel Ben Laden « menace » Berlusconi, Sarkozy, Brown, Blair et Aznar). Cossiga déclare qu’il ne s’agit en réalité que d’un montage fictif réalisé dans les studios télévisés (Mediaset) de l’ancien Premier ministre italien… Etonnante déclaration. Cossiga précise par ailleurs que ce piège a été élaboré afin de créer une vague de solidarité en faveur de Berlusconi au moment même où le Cavaliere était mis en cause par des informations concernant les collusions entre les chaînes publiques de la RAI et les chaînes privées de son groupe Mediaset. En effet, comme le précise une récente dépêche de l’AFP, Berlusconi a été récemment accusé d’avoir infiltré la RAI pendant sa propre présidence au sommet du gouvernement… Silence radio sur les médias traditionnels. Ceci est d’autant plus étrange qu’habituellement les médias italiens adorent reprendre et commenter à l’infini les déclarations de l’ancien président…
Un président respecté, parfois craint mais pas toujours fiable
Francesco Cossiga n’est pas n’importe qui. Comme nous le rappelle Wikipedia, « professeur de droit constitutionnel à l’université de Sassari, entré tout jeune dans la Démocratie chrétienne, proche de l’ancien président de la République Antonio Segni, Francesco Cossiga a finalement rejoint l’aile progressiste de son parti, dont le chef était Aldo Moro. Député de 1958 à 1979, sénateur de 1979 à 1985, il a été deux fois sous-secrétaire d’Etat à la Défense (1966-1970) et cinq fois ministre (1974-1978). En particulier, il a été ministre de l’Intérieur de janvier 1976 à mai 1978. Il a re-structuré la police italienne, la protection civile et les services secrets. Il était ministre de l’Intérieur au moment du kidnapping et du meurtre d’Aldo Moro par les Brigades rouges. Il démissionna quand Moro fut retrouvé mort, Via Michelangelo Caetani, le 9 mai 1978. Il a exercé les fonctions de président du Conseil des ministres italien dans deux gouvernements successifs (…). Il a été élu président du Sénat en juin 1983. Il a ensuite exercé, de juin 1985 à 1992, les fonctions de président de la République italienne. Il est élu à une majorité écrasante de députés, de sénateurs et de délégués des régions, y compris ceux du Parti communiste italien qui étaient dans l’opposition. A partir de 1990, il a pris ses distances de la Démocratie chrétienne et ses déclarations (les «  esternazioni ») à la presse et à la télé se sont faites fracassantes. Il démissionna de son poste en avril 1992, donc deux mois avant la fin de son mandat, pour protester contre certains aspects du système politique italien ». D’une manière générale, même s’il aime souvent mêler vérités, ironie et bluff dans ses attaques, il est globalement respecté par une bonne partie de la classe politique italienne pour son passé, pour son honnêteté intellectuelle et pour son franc parler même si certains affirment en rigolant qu’il est devenu fou depuis quelques années… En même temps, ses déclarations et ses attaques passées le font aussi craindre par certains hommes politiques et industriels (cf. le réseau Gladio plus bas). Cossiga est connu par ailleurs pour ses réflexions "assassines" qui lui ont valu le surnom de "picconatore" (celui qui démolit un mur à coups de pioche). Cela dit, il possède aussi une tendance à attaquer tous azimuts ses adversaires pour ensuite tout oublier… Cette attitude énigmatique laisse craindre à certains qu’en réalité les déclarations de Cossiga sur le 11/09 seraient une pure provocation, voire du second degré ou un simple piège (même le député Giulietto Chiesa qui pourtant ne croit pas à la théorie officielle des attentats semble avoir quelques doutes)… Mais quelle serait sa motivation à se décrédibiliser ainsi si tel était le cas ? Par ailleurs, il est utile de rappeler que les doutes de Cossiga au sujet du 11-Septembre remontent à 2001. En effet, Cossiga a soupçonné, tout de suite après les attentats, des complicités à l’intérieur du système de sécurité américain (cf. l’interview dans le quotidien italien La Stampa le 14 septembre 2001, reproduite dans l’ouvrage de Griffin Tarpley).


Cossiga et le réseau Gladio
Pour mieux cerner Cossiga, sa personnalité et son rôle dans l’histoire récente italienne, il est utile de se remémorer ce qu’a été l’organisation Gladio dont Cossiga était membre et qu’il a contribué à faire connaître au grand public à la fin de son mandat présidentiel (avec également Giulio Andreotti). Wikipedia offre une synthèse assez claire de ces événements troubles de l’histoire récente italienne et européenne : "Gladio (Glaive en italien) désigne le réseau italien des stay-behind, cette structure clandestine de l’Otan créée après la Seconde Guerre mondiale pour parer à une menace d’invasion soviétique. On désigne couramment par ce nom l’ensemble des armées secrètes européennes (…). Gladio a été mis en place dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale sous l’égide de la CIA et du MI6, comme structure de l’Otan répondant directement au SHAPE. Cette structure avait comme fonction de «  rester derrière » en cas d’invasion soviétique, afin de mener une guerre de partisans. Dans cet objectif, des caches d’armes étaient disposées un peu partout. Cependant, sous direction de la CIA, Gladio aurait aussi tenté d’influencer la politique de certains pays, notamment en Italie, en Grèce ou en Turquie. Ces influences furent désignées en Italie par l’expression «  stratégie de la tension », qui aurait débuté avec l’attentat de la place Fontana, à Milan le 12 décembre 1969, qui devait, selon Vincenzo Vinciguerra, pousser l’État italien à déclarer l’état d’urgence [avec l’aide de la loge maçonnique P2]. Le massacre de la gare de Bologne, de 1980, est également imputé par certains à Gladio. (…) Le Premier ministre italien Giulio Andreotti a confirmé qu’en 1964 les renseignements militaires italiens avaient rejoint le « comité clandestin allié » dont les États-Unis, la France, la Belgique, la Grèce faisaient notamment partie."
Conclusion

Difficile de se faire une opinion sur cette histoire abradacabrantesque. Une seule chose est sûre : depuis plusieurs mois la désinformation autour du 11-Septembre atteint son paroxysme comme le démontre notre dossier ainsi que l’article de ce jour d’Eric Laurent consacré à la guerre en Iran. Au sujet de Cossiga, il est peut-être devenu fou, néanmoins il demeure sénateur à vie, activement impliqué dans la vie politique et médiatique de son pays. D’ailleurs, depuis la victoire d’un souffle de Prodi sur Berlusconi, ses votes au sénat ont été souvent déterminants pour empêcher le gouvernement actuel de tomber… Toute la presse italienne commente abondamment le dernier vote salvateur de Cossiga (le 7 décembre dernier), mais n’évoque absolument pas ses déclarations de la semaine précédente… Ce qui fait dire à l’AFP que le gouvernement Prodi reste suspendu à un fil. Un fil bien difficile à dérouler apparemment…





Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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9/11, les 3 tours et les 115 mensonges.

On parle trop souvent des 2 tours, mais on doit parler des 3 tours.
La 3ème tour, la WTC 7, ou tour Salomon, jamais touchée par aucun avion, éloignée des 2 autres tours, est tombée par démolition contrôlée. Elle contenait beaucoup de dossiers chauds de la SEC, notamment les dossiers Madoff, Enron, Ferraye, CIA, DEA etc… sans compter l’amiante cancérigène…
Effondrement de la 3ème tour n°7 du World Trade Center.
La commission d’enquête n’a même pas abordé le sujet. Ce bâtiment n’a été touché par aucun avion et son effondrement présente les caractéristiques d’une démolition contrôlée (cf. vidéo).

Cliquez ici : 115 mensonges sur les attentats du 11 septembre dans le rapport de la « commission d’enquête » présidentielle –


115 mensonges sur les attentats du 11 septembre dans le rapport de la « commission d’enquête » présidentielle

mondialisation.ca – Il n’existe toujours pas de version officielle des attentats du 11 septembre 2001. Aucune enquête judiciaire n’a été ouverte sur les attentats eux-mêmes, ni d’enquête parlementaire d’ailleurs. Tout au plus dispose-t-on d’une version gouvernementale explicitée par un rapport rendu par une commission présidentielle. Le professeur David Ray Griffin, qui a consacré un ouvrage de référence à l’étude de ce rapport, y a relevé 115 mensonges dont il dresse ici la liste.
Effondrement de la tour n°7 du World Trade Center
La commission d’enquête n’a pas abordé le sujet. Ce bâtiment n’a été touché par aucun avion et son effondrement présente les caractéristiques d’une démolition contrôlée (cf. vidéo).
Pour chaque mensonge, on se référera aux analyses du professeur David Ray Griffin dans son ouvrageLes chiffres entre parenthèse renvoient aux pages du livre dans son édition originale états-unienne. Omissions et manipulations de la Commission d’enquête.
1. L’omission de la preuve qu’au moins six des pirates de l’air présumés (dont Waleed al- Shehri, que la Commission accuse d’avoir poignardé une hôtesse de l’air du vol UA11 avant que celui-ci s’écrase sur la tour Nord du World Trade Center) sont toujours vivants (19-20).
2. L’omission des preuves concernant Mohamed Atta (comme son penchant signalé pour l’alcool, le porc et les danses érotiques privées – lap dances – ) sont en contradiction avec les affirmations de la Commission selon lesquelles il était devenu un fanatique religieux (20-21).
3. La confusion volontairement créée autour des preuves que Hani Hanjour était un pilote trop incompétent pour amener un avion de ligne à s’écraser sur le Pentagone (21-22).
4. L’omission du fait que les listes des passagers (flight manifests) rendues publiques ne contenaient aucun nom d’Arabe (23).
5. L’omission du fait qu’un incendie n’a jamais causé l’effondrement total d’un bâtiment à structure d’acier, ni avant ni après le 11 Septembre (25).
6. L’omission du fait que les incendies des Tours Jumelles n’étaient ni extrêmement étendus, ni particulièrement intenses, ni même très longs en comparaison avec d’autres incendies dans des gratte-ciels (de structures) similaires, qui eux ne se sont jamais écroulés (25-26).

7. L’omission du fait qu’étant donné l’hypothèse que les effondrements aurait été provoqués par l’incendie, la Tour Sud, touchée plus tard que la Tour Nord et en proie à des flammes de moindre intensité, n’aurait pas dû s’effondrer la première (26).
8. L’omission du fait que le bâtiment n°7 du WTC (qui n’a pas été touché par un avion et qui ne fut le théâtre que de petits incendies localisés) s’est aussi écroulé, un événement que l’Agence Fédérale pour le Traitement des Situations d’Urgence (FEMA) a reconnu ne pouvoir expliquer (26).
9. L’omission du fait que l’effondrement des Tours Jumelles (et du bâtiment n°7) présente au moins 10 caractéristiques d’une démolition contrôlée (26-27). 10. L’assertion que le coeur de la structure de chacune des Tours Jumelles était « un puits d’acier vide », une affirmation qui nie la présence de 47 massives colonnes d’acier qui constituaient en réalité le coeur de chaque tour et qui, selon la théorie de « l’empilement des étages » (the « pancake theory ») explicative des effondrements, aurait dû restées dressées vers le ciel sur de nombreuses dizaines de mètres (27-28).
11. L’omission de la déclaration de Larry Silverstein [le propriétaire du WTC] selon laquelle il décida, en accord avec les pompiers, de « démolir » (to « pull », argot technique) le bâtiment n°7 (28).
12. L’omission du fait que l’acier des bâtiments du WTC fut rapidement déblayé de la scène du crime et embarqué sur des navires à destination de l’étranger AVANT qu’il puisse être analysé pour y déceler des traces d’explosifs (30).
13. L’omission du fait que le bâtiment n°7 ayant été évacué avant son effondrement, la raison officielle invoquée pour le déblaiement rapide de l’acier [sur ce site] (que certaines personnes puissent être encore vivantes sous les décombres) ne faisait aucun sens dans ce cas précis (30).
14. L’omission de la déclaration du maire R. Giuliani selon laquelle il avait été prévenu que le WTC allait s’effondrer (30-31).
15. L’omission du fait que Marvin Bush, le frère du Président, et son cousin Wirt Walker III étaient tous les deux directeurs de la société chargée de la sécurité du WTC (31-32).
16. L’omission du fait que l’aile Ouest du Pentagone [celle effectivement touchée] était la moins susceptible d’être prise pour cible par des terroristes de al-Qaida, pour plusieurs raisons (33- 34).
17. L’omission de toute discussion pour établir si les dommages sur le Pentagone étaient compatibles avec l’impact d’un Boeing 757 se déplaçant à plusieurs centaines de kilomètres/heure (34).
18. L’omission du fait qu’il existe des photos montrant que la façade de l’aile Ouest ne s’est effondrée que 30 minutes après la frappe, et aussi que le trou d’entrée apparaît bien trop petit pour un Boeing 757 (34).
19. L’omission de tout témoignage contradictoire au sujet de la présence ou de l’absence de débris visibles d’un Boeing 757 que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Pentagone (34-36).
20. L’absence de toute discussion pour établir si le Pentagone disposait d’un système de défense anti-missile capable d’abattre un avion de ligne commercial, bien que la Commission suggéra que les terroristes d’al-Qaida n’attaquèrent pas une centrale nucléaire parce qu’ils assumaient qu’elle serait ainsi défendue (36).
21. L’omission du fait que les images de différentes caméras de surveillance (y compris celles de la station service en face du Pentagone, dont le film fut confisqué par le FBI immédiatement après la frappe) pourraient sans doute donner une réponse à ce qui a réellement percuté le Pentagone (37-38).
22. L’omission de la référence du Ministre de la Défense D. Rumsfeld à « un missile [utilisé] pour endommager [le Pentagone] » (39).
23. L’approbation apparente de la réponse totalement insatisfaisante à la question de savoir pourquoi les agents des Services Secrets permirent au Président Bush de rester dans l’école de Sarasota à un moment où, selon la version officielle, ils auraient dû assumer qu’un avion détourné aurait pu prendre l’école pour cible (41-44).
24. L’échec à expliciter pourquoi les Services Secrets n’ont pas demandé la protection de chasseurs pour [l’avion présidentiel] Air Force One (43-46).
25. Les affirmations selon lesquelles lorsque le cortège présidentiel arriva à l’école [de Sarasota], personne dans l’assistance ne savait que plusieurs avions avaient été détournés (47-48).
26. L’omission du rapport selon lequel le Ministre de la Justice John Ashcroft fut averti d’arrêter de prendre des lignes aériennes commerciales avant le 11 Septembre (50).
27. L’omission de l’affirmation de David Schippers qu’il avait, sur la base d’informations fournies par des agents du FBI à propos d’attaques prévues dans le Sud de Manhattan, tenté en vain de transmettre cette information au Ministre de la Justice John Ashcroft pendant les 6 semaines précédant le 11 Septembre (51).
28. L’omission de toute mention que des agents du FBI auraient affirmé avoir eu connaissance des cibles et des dates des attaques [terroristes] longtemps à l’avance (51-52).
29. L’affirmation, par une réfutation circulaire qui présume la question résolue, que le volume inhabituel des achats d’options à la baisse avant le 11 Septembre n’impliquait pas que les acheteurs savaient à l’avance que les attaques se produiraient. (52-57)
30. L’omission des rapports selon lesquels le maire [de San Francisco] Willie Brown et certains responsables du Pentagone reçurent des mises en garde sur le fait de prendre l’avion le 11 Septembre (57).
31. L’omission du rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA (59).
32. L’omission des articles suggérant qu’après le 11 Septembre, l’armée américaine laissa délibérément Oussama ben Laden s’échapper (60).
33. L’omission de rapports, incluant celui sur la visite par le chef des services de renseignements saoudiens à Oussama ben Laden à l’hôpital de Dubai, qui sont en contradiction avec la version officielle selon laquelle Oussama fut renié par sa famille et son pays (60-61).
34. L’omission du compte-rendu de Gerald Posner sur le témoignage de Abu Zubaydah, selon lequel trois membres de la famille royale saoudienne (qui périrent tous mystérieusement à huit jours d’intervalle) finançaient al-Qaida et avaient une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (61-65).
35. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve du financement d’al-Qaida par les Saoudiens (65-68).
36. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve que de l’argent de la femme du Prince Bandar, la Princesse Haifa, alla à des agents d’al-Qaida (69-70).
37. Le démenti, en ignorant tout simplement la distinction entre vols privés et vols commerciaux, que le vol privé transportant des Saoudiens de Tampa à Lexington le 13 Septembre violait les règlements de l’espace aérien en vigueur à cette date (71-76).
38. Le démenti que des Saoudiens furent autorisés à quitter le territoire des États-Unis peu de temps après le 11 Septembre sans avoir été l’objet d’une enquête appropriée (76-82).
39. L’omission de la preuve que le Prince Bandar obtint une autorisation spéciale de la Maison-Blanche pour les vols des Saoudiens (82-86).
40. L’omission de l’affirmation de Coleen Rowley que des responsables au Q.-G. du FBI avait vu le mémo de Phoenix de l’agent Kenneth Williams (89-90).
41. L’omission du fait que l’agent du FBI à Chicago Robert Wright affirme que le Q.-G. du FBI referma son enquête sur une cellule terroriste, puis tenta de l’intimider pour l’empêcher de publier un livre relatant expériences (91).
42. L’omission de la preuve que le Q.-G. du FBI sabota la tentative de Coleen Rowley et d’autres agents [du FBI] de Minneapolis pour obtenir un mandat pour rechercher l’ordinateur de Zacarias Moussaoui (91-94).
43. L’omission des trois heures trente de déposition devant la Commission par Sibel Edmonds, ancienne traductrice au FBI, déposition qui selon une lettre rendue publique par elle et adressée au Président [de la Commission] Kean, révélait de sérieuses dissimulations de la part de responsables du FBI, en relation avec le 11 Septembre, et ce au Quartier Général même du FBI (94-101).
44. L’omission du fait que le Général Mahmoud Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais], se trouvait à Washington une semaine avant le 11 Septembre, et rencontra le Directeur de la CIA George Tenet ainsi que d’autres haut-responsables étasuniens (103-04).
45. L’omission de la preuve que Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais] avait ordonné l’envoi de $100,000 à Mohamed Atta avant le 11 Septembre (104- 07).
46. L’affirmation de la Commission qu’elle ne trouva aucune preuve qu’un seul gouvernement étranger, y compris le Pakistan, avait financé des agents d’al-Qaida (106).
47. L’omission du rapport selon lequel l’Administration Bush fit pression sur le Pakistan pour limoger Ahmad de son poste de Chef de l’ISI après la divulgation de l’information selon laquelle il avait ordonné l’envoi d’argent de l’ISI à Mohamed Atta (107-09).
48. L’omission de la preuve que l’ISI (et pas seulement al-Qaida) était derrière l’assassinat de Ahmad Shah Massoud (le commandant de l’Alliance du Nord en Afghanistan), qui se produisit juste après une rencontre qui dura une semaine entre des responsables de la CIA et de l’ISI (110-112).
49. L’omission de la preuve que l’ISI est impliqué dans l’enlèvement et le meurtre de Daniel Pearl, journaliste au Wall Street Journal (113).
50. L’omission du rapport de Gerald Posner selon lequel Abu Zubaydah affirma qu’un officier militaire pakistanais, Mushaf Ali Mir, ayant des liens étroits avec l’ISI et al-Qaida avait une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (114).
51. L’omission de la prédiction faite en 1999 par Rajaa Gulum Abbas, un agent de l’ISI, que les Tours Jumelles « s’effondreraient » (114).
52. L’omission du fait que le Président Bush et d’autres membres de son Administration évoquèrent à plusieurs reprises les attaques du 11 Septembre comme des « opportunités » (116-17).
53. L’omission du fait que le Projet pour le Nouveau Siècle Américain (« The Project for the New American Century »), dont de nombreux membres devinrent des figures clés de l’Administration Bush, publia un document en 2000 disant qu’un « nouveau Pearl Harbour » aiderait à l’obtention de fonds pour une transformation technologique rapide de l’appareil militaire américain (117-18).
54. L’omission du fait que Donald Rumsfeld, qui était le président de la commission de l’US Space Command et avait recommandé l’accroissement du budget alloué, utilisa les attaques du 11 Septembre le soir même pour s’assurer de tels crédits (119-22).
55. Le fait de ne pas mentionner que les trois hommes responsables de l’échec à prévenir les attaques du 11 Septembre (le Ministre Rumsfeld, le Général Richard Myers, et le Général Ralph Eberhart) étaient également les trois principaux promoteurs de l’US Space Command (122).
56. L’omission du fait que Unocal avait déclaré que les Talibans ne pouvaient pas garantir une sécurité adéquate pour commencer la construction de ses pipelines (de pétrole et de gaz) depuis le bassin Caspien au travers de l’Afghanistan et du Pakistan (122-25).
57. L’omission du rapport selon lequel des représentants des États-Unis dirent à l’occasion d’une rencontre en juillet 2001 que, parce que les Talibans refusaient leur proposition de développer la construction d’un oléoduc, une guerre contre eux commenceraient en octobre (125-26).
58. L’omission du fait que dans son livre publié en 1997 Zbigniew Brzezinski avait écrit que pour que les États-Unis maintiennent leur primauté globale, ils avaient besoin du contrôle de l’Asie Centrale, avec ses vastes réserves de pétrole, et qu’un nouveau Pearl Harbour serait utile pour obtenir l’adhésion de l’opinion publique américaine à ces visées impériales (127-28).
59. L’omission du fait que des membres clés de l’Administration Bush, dont Donald Rumsfeld et son délégué Paul Wolfowitz, s’étaient démenés en faveur d’une nouvelle guerre contre l’Irak pendant de nombreuses années (129-33).
60. L’omission des notes des conversations de Donald Rumsfeld le 11 Septembre qui montrent qu’il était déterminé à utiliser les attaques comme un prétexte pour une guerre contre l’Irak (131-32).
61. L’omission de la déclaration contenue dans le Projet pour un Nouveau Siècle Américain que « le besoin pour une présence américaine forte dans le Golfe dépasse le sujet du régime de Saddam Hussein » (133-34).
62. L’affirmation que le protocole de la FAA (Federal Aviation Agency) au sujet du 11 Septembre requérait le long processus de passer par plusieurs étapes dans la chaîne de commandement, même si le Rapport Officiel [de la Commission] cite des preuves du contraire (158).
63. L’affirmation que ces jours-là, seules deux bases de l’US Air Force dans le secteur Nord- Est du NORAD (North American Aerospace Defense Command pour Centre de Commandement de la Défense de l’Aérospatial de l’Amérique du Nord) conservaient des chasseurs en alerte et qu’en particulier il n’y avait pas d’avions de combat en alerte à McGuire ou à Andrews (159-162).
64. L’omission du fait que la base Andrews de l’US Air Force convervait plusieurs avions de chasse en alerte de façon permanente (162-64).
65. L’acceptation de la double affirmation que le Colonel Marr du NEADS (North East Air Defense Sector) devait téléphoner à un supérieur pour obtenir la permission d’envoyer des chasseurs depuis [la base] d’Otis et que cet appel nécessita huit minutes (165-66).
66. L’approbation de l’affirmation que la perte du signal du transpondeur d’un avion rend virtuellement impossible sa localisation par for par les radars de l’armée américaine (166- 67).
67. L’affirmation que l’interception de Stewart Payne n’a pas montré que le temps de réponse du NORAD au vol AA11 fut extraordinairement lent (167-69).
68. L’affirmation que les chasseurs de la base d’Otis restèrent cloués au sol sept minutes après qu’ils en eurent reçu l’ordre parce qu’ils ne savaient pas où aller (174-75).
69. L’affirmation que l’armée américaine n’était pas informée du détournement du vol UA175 avant 9h03, moment exact où il percutait la tour Sud du WTC (181-82).
70. L’omission de toute explication sur (a) la raison pour laquelle un rapport antérieur du NORAD, selon lequel la FAA avait notifiée les militaires du détournement du vol UA175 à 8h43, était maintenant considéré comme faux et (b) comment ce rapport, s’il était faux, a pu être publié et ensuite laissé non corrigé pendant près de trois ans (182).
71. L’affirmation que la FAA n’a installé de téléconférence qu’à partir de 9h20 ce matin-là (183).
72. L’omission du fait qu’un mémo de Laura Brown de la FAA affirme que la téléconférence fut établie à environ 8h50 et qu’elle porta notamment sur le détournement du vol UA175 (183-84, 186).
73. L’affirmation que la téléconférence de la NMCC, (le Centre National de Commandement Militaire ou National Military Command Center) ne débuta pas avant 9h29 (186-88).
74. L’omission, dans l’affirmation de la Commission que le vol AA77 n’a pas dévié de sa course avant 8h54, du fait que des rapports précédents avaient annoncé 8h46 (189-90). 75. L’échec à mentionner que l’annonce du crash d’un jet dans le Kentucky, à peu près au moment où le vol AA77 disparaissait du radar de la FAA, fut prise suffisamment au sérieux par les responsables de la FAA et de l’unité du contre-terrorisme du FBI pour être relayée à la Maison-Blanche (190).
76. L’affirmation que le vol AA77 vola près de 40 minutes dans l’espace aérien américain en direction de Washington sans être détecté par les radars des militaires (191-92).
77. L’échec à expliquer, si le précédent rapport du NORAD selon lequel il fut notifié du vol AA77 à 9h24 était « incorrect », comment ce rapport erroné a pu voir le jour, c’est-à-dire, de savoir si les responsables du NORAD ont menti ou furent « embrouillés » pendant près de trois ans (192-93).
78. L’affirmation que les avions de combats de Langley, dont le NORAD avait tout d’abord dit qu’ils furent dépêchés pour intercepter le vol AA77, furent réellement déployés en réponse à un rapport erroné de la part d’un contrôleur (non-identifié) de la FAA à 9h21 que le vol AA11 était toujours en l’air et se dirigeait vers Washington (193-99).
79. L’affirmation que les militaires ne furent pas contactés par la FAA à propos du probable détournement du vol AA77 avant que le Pentagone soit touché (204-12).
80. L’affirmation que Jane Garvey ne s’est pas jointe à la vidéoconférence de Richard Clarke avant 9h40, c’est-à-dire après que le Pentagone soit percuté (210).
81. L’affirmation qu’aucune des téléconférences ne parvint à coordonner la FAA et les réponses des militaires aux détournements parce « qu’aucune [d’elles] incluait les bons responsables au sein de la FAA et du Ministère de la Défense », bien que Richard Clarke dise que sa vidéoconférence incluait la Directrice de la FAA Jane Garvey comme le Ministre de la Défense Rumsfeld et le Général Richard Myers, le Chef des Forces Armées par intérim (211).
82. L’affirmation de la Commission qu’elle ne savait pas qui, au sein du Ministère de la Défense, participa à la vidéoconférence avec Richard Clarke alors que Clarke affirme dans son livre qu’il s’agissait de Donald Rumsfeld et du Général Myers (211-212). 83. L’approbation de l’affirmation du Général Myers qu’il se trouvait sur Capitol Hill pendant les attaques, sans mentionner le compte-rendu contradictoire de Richard Clarke, selon lequel Myers était au Pentagone et participait à la vidéoconférence avec Clarke (213-17).
84. L’échec à mentionner la contradiction entre le témoignage de Clarke au sujet de l’emploi du temps de Rumsfeld ce matin-là et les propres déclarations de Rumsfeld (217-19).
85. L’omission du témoignage du Ministre des Transports Norman Mineta, donné à la Commission elle-même, que le Vice-Président Cheney et les autres [personnes présentes] dans l’abri souterrain étaient avertis à 9h26 qu’un avion s’approchait du Pentagone (220).
86. L’affirmation que les responsables du Pentagone ne savaient rien d’un avion s’approchant d’eux avant 9h32, 9h34, ou 9h36, et dans tous les cas seulement quelques minutes avant que le bâtiment soit touché (223).
87. L’acceptation de deux versions contradictoires au sujet de l’appareil qui percuta le Pentagone : une qui relate l’exécution d’une spirale à 330 degrés vers le bas (un « piqué à grande vitesse ») et une autre dans laquelle il n’est pas fait mention de cette manoeuvre (222-23).
88. L’affirmation que les avions de chasse de Langley, qui reçurent soit-disant l’ordre de décoller rapidement pour protéger Washington contre le « vol fantôme AA11 » n’étaient nulle part près de Washington parce qu’ils furent envoyés vers l’océan par erreur (223-24).
89. L’omission de toutes les preuves suggérant que ce qui frappa le Pentagone n’était pas le vol AA77 (224-25).
90. L’affirmation que les militaires ne furent pas informés par la FAA du détournement du vol UA93 avant qu’il ne s’écrase (227-29, 232, 253).
91. La double affirmation que le NMCC n’a pas contrôlé la conférence initiée par la FAA et donc fut incapable de connecter la FAA à la téléconférence initiée par le NMCC (230-31).
92. L’omission du fait que les Services Secrets sont capables de savoir tout ce que sait la FAA (233).
93. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le NMCC lança sa propre téléconférence, si, comme Laura Brown de la FAA l’a dit, cela n’est pas le protocole standard (234).
94. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le Général Montague Winfield fut non seulement remplacé par un « bleu » (a rookie), le Capitaine Leidig, en tant que Directeur des Opérations du NMCC mais encore l’a laissé au commandement quand il fut clair que le Pentagone était confronté à une crise sans précédent (235-36).
95. L’affirmation que la FAA notifia (de façon erronée) les Services Secrets entre 10h10 et 10h15 que le vol UA93 était encore dans le ciel et se dirigeait vers Washington (237).
96. L’affirmation que le Vice-Président Cheney ne donna l’autorisation de tir qu’après 10h10 (plusieurs minutes après que le vol UA93 se fut écrasé) et que cette autorisation ne fut pas transmise à l’armée US avant 10h31 (237-41).
97. L’omission de toutes les preuves indiquant que le vol UA93 fut abattu par un avion militaire (238-39, 252-53).
98. L’affirmation que [le Tsar du Contre-Terrorisme] Richard Clarke ne reçut la demande d’autorisation de tir qu’à 10h25 (240).
99. L’omission du propre témoignage de Clarke, qui suggère qu’il reçut cette demande d’autorisation de tir vers 9h50 (240).
100. L’affirmation que Cheney ne gagna l’abri souterrain du PEOC [ou CPOU pour Centre Présidentiel d’Opérations d’Urgence]) qu’à 9h58 (241-44).
101. L’omission de multiples témoignages, dont celui de Norman Mineta [le Ministre des Transports] à la Commission elle-même, que [le Vice-Président] Cheney se trouvait dans le CPOU avant 9h20 (241-44).
102. L’affirmation que l’autorisation d’abattre un avion civil devait être donnée par le Président (245).
103. L’omission de rapports que le Colonel Marr donna l’ordre d’abattre le vol UA93 et que le Général Winfield indiqua que lui et d’autres [officiers] au NMCC s’attendaient à ce qu’un chasseur atteigne le vol UA93 (252).
104. L’omission de rapports indiquant qu’il y avait deux avions de chasse dans le ciel à quelques kilomètres de New York et trois à seulement 320 kilomètres de Washington (251).
105. L’omission du fait qu’il existait au moins six bases militaires avec des chasseurs en état d’alerte dans la région Nord-Est des États-Unis (257-58).
106. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD avait défini sa mission en termes de défense seulement contre des menaces dirigées [vers les Etats-Unis] depuis l’étranger (258-62).
107. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD n’avait pas envisagé la possibilité que des terroristes pourraient utiliser des avions de ligne détournés comme des missiles (262-63).
108. L’échec de mettre en perspective la signification du fait, présenté dans le Rapport lui-même, ou de mentionner d’autres faits prouvant que le NORAD avait effectivement envisagé la menace posée par des avions de ligne détournés d’être utilisés comme des missiles (264- 67).
109. L’échec de sonder les implications de la question de savoir comment les manoeuvres militaires (« war games ») programmées ce jour-là purent influer sur l’échec des militaires à intercepter les avions de ligne détournés (268-69).
110. L’échec de discuter la pertinence possible de l’Opération Northwoods avec les attaques du 11 Septembre (269-71).
111. L’affirmation (présentée pour expliquer pourquoi les militaires n’obtinrent pas l’information au sujet des avions détournés à temps pour les intercepter) que le personnel de la FAA inexplicablement faillit à suivre les procédures standards quelques 16 fois (155-56, 157, 179, 180, 181, 190, 191, 193, 194, 200, 202-03, 227, 237, 272-75).
112. L’échec de mentionner que l’indépendance proclamée de la Commission fut fatalement compromise par le fait que Philip Zelikow, son directeur exécutif, était virtuellement un membre de l’Administration Bush (7-9, 11-12, 282-84). (ndt : un proche collaborateur de Mme. Condoleeza Rice)
113. L’échec de mentionner que la Maison-Blanche chercha d’abord à empêcher la création de la Commission [Officielle d’Enquête sur les Attaques Terroristes du 11 Septembre], puis plaça de nombreux obstacles sur sa route, comme le fait de lui accorder un budget extrêmement restreint (283-85). (ndt : estimé à environ 15 millions de dollars, quand le film de fiction « Vol 93 » de Paul Greengrass en a coûté 18, et « World Trade Centre » d’Oliver Stone 4 FOIS PLUS soit 60 millions de dollars ; concernant le premier point, il a fallu attendre 441 jours pour que cette Commission soit créée et M. Bush proposa que M. Kissinger en soit le président…avant de se rétracter sous les critiques virulentes de l’opinion publique.)
114. L’échec de mentionner que le Président de la Commission, la plupart des autres Commissionnaires, et qu’au moins la moitié du personnel avait de sérieux conflits d’intérêt (285-90, 292-95).
115. L’échec de la Commission, qui se vantait que la présentation de son rapport final s’était faite « sans dissension », de mentionner que cela n’avait été possible que parce que Max Cleland, le Commissionnaire le plus critique à l’encontre de la Maison-Blanche qui jura « qu’il ne serait pas complice d’un traitement partial des informations » dut démissionner pour accepter un poste à la Banque Export-Import, et que la Maison-Blanche transmit sa nomination seulement après qu’il soit devenu très direct dans ses critiques (290-291).
Je terminerai en précisant que j’ai conclu mon étude de ce que je suis venu à appeler « le rapport de Kean-Zelikow » en écrivant ceci : Au final, le Rapport de la Commission d’enquête sur le 11 septembre, loin de chasser mes soupçons sur une complicité officielle ne servit qu’à les confirmer. Pourquoi les responsables chargés de la rédaction de ce rapport final s’engageraient dans une telle entreprise de supercherie, si ce n’était pour tenter de couvrir de très grands crimes ? (291).




David Ray Griffin est un ancien professeur de logique et de théologie à l’université de Claremont.

Deux ouvrages du professeur David Ray Griffin sont disponibles en français : Le Nouveau Pearl Harbor et Omissions et manipulations de la commission d’enquête sur le 11 Septembre. Tous deux ont été traduits par le commandant Pierre-Henri Bunel et publiés en 2006 par les éditions Demi-lune.



 Articles de David Ray Griffin publiés par Mondialisation.ca

Commentaires

1. Le vendredi 21 septembre 2007, 22:29 par olivier
hello, Je sais ce n’est pas très constructif, mais il est tard et j’ai plein de boulot en retard (“plus de boulot, pour plus de …”…). Après cette brève escuse en guise d’introduction, voici un lien bien marrant sur la vidéo “loose change” et autres “c’est un coup du gouvernement américain”. (oui c’est en anglais) http://www.thebestpageintheuniverse… Je vous laisse découvrir la vérité par vous même et je conseil, en plus, l’excellente vidéo sur le titanic (sur le même site). Surtout n’oubliez pas : “il n’y a aucune preuve que le gouvernement américain n’ai pas fait le coup, alors je continuerais à croire qu’il a fait le coup”. A+ Olivier PS: le réseau voltaire est bien, maintenant, en lien avec Mr Messian ?
2. Le dimanche 23 septembre 2007, 10:44 par Pascal
Olivier vous conviendrez avec moi que quand il y a autant de doutes sur une affaire de cette ampleur le meilleurs moyen de lever ces doutes est d’ordonner une enquête complémentaire où le maximum sera fait afin de se rapprocher au plus près d’une connaissance exacte des faits. Ce qui implique des moyens conséquents en temps, argent et que tous les témoins cités à comparaître par les uns et les autres puissent déposer. Après il sera toujours tant de faire la synthèse. Le reste n’est que spéculation et je suis bien d’accord avec vous que rien ne vaut une bonne enquête indiscutable pour couper court aux scénarios étranges qui parfois peuvent germer dans l’exprit de certains citoyens au sens critique anormalement éveillé.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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La femme est, comme toujours, l’avenir de l’homme, et réciproquement. Si qua fata sinant…:-)

« Omissions et manipulations de la commission d’enquête sur le 11 septembre »
Le livre de D. Ray Griffin, en version française, est disponible à la vente sur le site des Éditions Demi-lune.

Des dioxines dans nos ordinateurs et nos portables.

Guiyu, champion mondial de la toxicité

À peine arrivée à Guiyu, municipalité du sud de la Chine, je sens le poison. Dans ce village de 200 000 habitants, l’air tropical du sud ne berce pas. Il frappe. Partout autour de moi, des débris jonchent le sol. Avec des noms connus : Epson, HP, Dell, Microsoft, Nokia… Je suis au milieu d’un village chinois enseveli sous les déchets électroniques, des déchets de chez nous… Selon la Loi canadienne sur la protection de l’environnement, un produit toxique a le potentiel d’affecter la santé lorsque sa présence est suffisante dans l’environnement pour causer des effets. Par cette définition, les déchets électroniques ne sont pas considérés comme toxiques. Le Canada exporte des conteneurs remplis d’ordinateurs et de téléphones cellulaires désuets en toute légalité. D’ici 2010, les foyers et les entreprises du Canada auront produit plus de 400 000 tonnes de ces déchets. Respirer à s’empoisonner Les toxicologues s’intéressent aux records mondiaux de Guiyu, devenu un laboratoire à ciel ouvert. Les cours à l’école du village doivent parfois être suspendus, quand l’odeur devient insupportable. Selon la revue Environmental Science and Technology, le taux de plomb et de cuivre sur les routes autour de Guiyu atteint un sommet : 300 fois plus élevé que le site contrôle à 8 km du village. L’air rend malade, ça ne fait aucun doute. Deux heures après notre arrivée, mon interprète et moi souffrons d’une sévère migraine et de nausées. Un peu étourdie, je rencontre Wei Peng, un fils de pêcheur de 18 ans. Depuis deux ans, son entreprise recycle des produits électroniques. Il travaille entre huit et dix heures par jour, sept jours par semaine. Sans protection et chaussés de sandales, Wei Peng et ses trois employés séparent les matériaux : cuivre, aluminium, composantes plastiques, circuits électroniques imprimés. Lorsque Wei Peng ne connaît pas le plastique, il le brûle et sent les vapeurs qui s’en dégagent pour reconnaître les composantes. « Lorsque ça fait longtemps qu’on fait ce métier, on n’a plus besoin de brûler les matériaux pour les reconnaître. Mais tous les travailleurs doivent au départ apprendre à détecter l’odeur des plastiques brûlés. » Wei Peng sait que cette pratique lui vaudra des problèmes de santé à long terme. Mais selon lui, c’est mieux de mourir en travaillant que de mourir de faim… La majorité des familles de Guiyu travaillent dans le recyclage de l’électronique. Nos appareils contiennent des produits chimiques retardant la propagation des flammes. Or, une étude de l’Académie chinoise des Sciences de Guangzhou et de l’Université Lancaster en Angleterre révèle que ces produits chimiques, les éthers diphényliques polybromés (EDPB), se retrouvent dans le sang des habitants de Guiyu, à un taux jusqu’à 200 fois plus élevé que dans le sang des travailleurs industriels. Ces produits ignifuges n’existent pas à l’état naturel, mais se retrouvent dans de nombreux produits de consommation, dont les boîtiers d'ordinateurs et de téléviseurs. Chauffés, les EDPB se transforment en dioxines. Elles sont présentes à Guiyu à des niveaux jamais retrouvés dans l’air ambiant à travers le monde, conclut une étude publiée en août 2007 dans le magazine Environnemental Science & Technology. Les mêmes dioxines qui ont empoisonné Viktor Iouchtchenko, président ukrainien, lors de la Révolution Orange en 2004. Il a été malade, hospitalisé, et est à risque de cancer. Manger à en mourir Je me promène à Guiyu depuis quelques heures. Les maux de tête et de ventre me font souffrir. Manger un peu me ferait peut-être du bien? Près de l’abri de Wei Peng, une dame vend des oranges, couvertes d’une poussière grise et opaque… Les habitants de Guiyu s’en régalent. Dans les champs, où l’on brûle les parties inutiles qui dégagent une épaisse fumée noire, on cultive aussi les aliments. Une étude publiée dans la revue Chemosphere en avril 2008 révèle que le riz dépasse les normes de toxicité internationales. Rien qu’avec cet aliment, les habitants ingèrent leur consommation maximale quotidienne de plomb recommandée par l’Organisation mondiale de la santé. Pour le mercure et l’arsenic, la norme maximum n’est pas atteinte chaque jour, mais ces métaux lourds s’accumulent dans l’organisme. L’eau de la mort… Je longe une rivière, presque à sec. Des amoncellements de plastique ornent les rives de Liangjiang, la rivière d’eau noire qui coule au village. Wei Peng, poli et heureux d’accueillir une étrangère dans sa demeure, m’offre du thé. Et si l’eau provenait de la rivière? Du bout des lèvres, mon interprète et moi acceptons par politesse le thé de Wei Peng. Des analyses faites par Greenpeace en 2001 autour de Guiyu révèlent que des substances chimiques toxiques comme le mercure, le plomb et les dioxines se retrouvent aussi dans l’eau de la rivière, noircie par les activités de recyclage. Plusieurs villageois ignorent que l’eau est impropre à la consommation. Ils croient simplement qu’en la faisant bouillir, elle pourra être consommée sans danger. Conséquences déjà visibles Depuis quelques années, des problèmes de santé commencent à se manifester dans la communauté : problèmes respiratoires, saignements de nez et maux de tête fréquents; certains développent de l’anémie et même la leucémie. « Plus de 80 % des enfants dépassent la concentration de plomb maximale selon l’Organisation mondiale de la santé », explique Yun Lai, coordonnateur de la campagne Anti-Toxicité pour Greenpeace Chine, en citant une recherche du collège médical de l’Université de Shantou. Sachant l’impact des déchets électroniques sur la santé, plusieurs lois chinoises interdisent l’importation de déchets dangereux. Par contre, les autorités locales semblent ignorer cette industrie du recyclage, car elle permet à des villages entiers de s’enrichir et fait rouler l’économie. Depuis que Greenpeace et d’autres organisations tentent de sensibiliser le gouvernement chinois, c’est la loi du silence. Les travailleurs ne veulent pas perdre leurs revenus. L’exportation de produits électroniques continuera vers les pays émergents. La corruption des gouvernements locaux permet ce genre de commerce. En Chine, il suffirait de coller un billet de 100 $ américain à l’intérieur du conteneur pour que celui-ci soit accepté dans le port même si les lois chinoises empêchent l'importation de tels produits.

 
Mariève Paradis
Guiyu, champion mondial de la toxicité
Agence Science-Presse – Montréal,Québec,Canada
Chauffés, les EDPB se transforment en dioxines. Elles sont présentes à Guiyu à des niveaux jamais retrouvés dans l’air ambiant à travers le monde,
 


Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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Révélations suisses par M. Burdet, résumé…Une base de données à ce jour (08.2008) de plus de 16’000 sociétés

Révélations suisses par M. Burdet, résumé…

Une base de données à ce jour (08.2008) de plus de 16'000 sociétés démontre incontestablement comment le crime économique organisé, avec la complicité du crime judiciaire, ont pris le contrôle de fleurons de l'économie, et comment ils créent artificiellement des crises économiques pour faire disparaître des sociétés (Swissair – Sabena – Alusuisse – Winterthur – etc… bientôt UBS ?) pour blanchir des milliards de francs..

voir www.burdet.info

Rolex, la pointe d'un iceberg de $ qui vont couler comme le Titanic ?…


Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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Violences judiciaires…Affaire Ferraye, M. Burdet sous menaces. Censure politique des sites de l’appel au peuple et de googleswiss.com

Urgent, message à diffuser largement tout-de-suite. le monde est déjà meilleur grâce à vous.

Dictature sournoise ou démocrature à la suisse…La dernière ligne de la convocation suggère une "folie" soviétique du résistant "condamné" pour ses actions de lutte contre les corruptions aggravées du système.

Ils ont déclaré MM. Ferraye et Conus fous sans même les examiner. Ils veulent faire la même chose en "examinant"  M. Burdet.

Nous vivons dans un monde de fous dirigé par les plus remarquables d'entre eux.

fds

Message de M. Burdet.

Bonjour Monsieur,

Plusieurs Providers censurent désormais googleswiss.com.

Vous trouverez des informations sur cette censure sur www.burdet.info (lien censure)

….

Je vous rappelle que pour le reste du monde, le Site www.googleswiss.com reste accessible normalement.

Nouvelle Dictature après avoir été la plus vieille Démocratie du Monde, la Suisse prend exemple aujourd'hui sur le Gouvernement Chinois pour juguler la dénonciation de sa corruption et les escroqueries que les milieux politiques cautionnent.

Meilleures salutations

M.-E. Burdet

P.S.: Vous pouvez faire suivre l'information à qui de droit.

Mise à jour
18.08.2008
Ordre incarcération
 
Censure
Incarcération
Pétition
Pièces en ligne
Chaque jour de nouvelles pièces mises en ligne.
Etat de santé
Escroquerie des Royalties de Joseph FERRAYE
Communiqué de
Presse
Autres links :
Googleswiss.com
Le vote électronique met en danger la Démocratie
Franc-Maçonnerie
Stop à la Censure de l'Information Débloquez votre PC
Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
  Site Officiel de Marc-Etienne BURDET
Attention à la désinformation fournie sur les Sites détracteurs…
Marc-Etienne BURDET
1400 Yverdon-les-Bains
Nouvelle incarcération ordonnée aux Etablissements de la Plaine de l'Orbe…
J'ai refusé de me présenter à la convocation précitée de mon propre gré et tout intervenant qui contribuera d'une quelconque manière à
mon incarcération ou à ma détention, à l'instar de sa hiérarchie, sera poursuivi en temps opportun en dommages et intérêts et compte tenu des enjeux financiers, la facture va être salée ! Le moment est venu que les fonctionnaires assermentés prennent conscience que quand ils obéissent à des ORDRES DEBILES donnés par des CRIMINELS, ils deviennent complices de ces derniers. De plus, tant les autorités judiciaires que politiques, n'ont pas répondu à ce jour, à ma demande d'effet suspensif du 11 juillet 2008. Le Tribunal Fédéral, instance nationale suprême du Crime Judiciaire suisse, a rejeté mon recours du 1er octobre 2007, démontrant ainsi clairement que l'Etat de Droit n'est qu'une chimère en Suisse et que le "pouvoir" judiciaire est aujourd'hui sous contrôle de la secte luciférienne des FRANC-MACONS. Dès lors, nos procès arbitraires ne découlent plus que de l'application de la Constitution franc-maçonne à l'encontre de l'application des Lois édictées par le Législateur… Comme on peut le voir dans les pièces en ligne, j'ai transmis un recours à la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) à Strasbourg, en date du
26 février 2008
, soit il y a maintenant près de 6 mois… Bien que les violations des Droits de l'Homme commises dans les deux recours précités soient évidentes, la CEDH n'a toujours pas statué et laisse ainsi toute liberté au Crime Judiciaire Suisse d'appliquer ses mesures totalitaires. De là à penser que la CEDH est complice des crimes de la secte luciférienne Franc-maçonne, alias Pouvoir Judiciaire Suisse, il n'y a qu'un pas à franchir qui ne fait dès lors plus aucun doute. Sous couvert d'autorité supérieur de contrôle de la "justice européenne, la CEDH semble n'être en fait qu'un rempart supplémentaire mis en place par le crime judiciaire au niveau européen, pour mieux préserver les intérêts d'une secte franc-maçonne financée par les pouvoirs publics et dont le seul objectif est de prendre le contrôle de l'économie au détriment des populations. Il est vrai que le laxisme et la soumission des populations naïves qui gobent toutes les couleuvres que leurs font avaler des pouvoirs politiques de plus en plus dégénérés, facilitent grandement cette évolution aberrante et l'esclavagisme toujours plus étendu des Peuples européens ! Ce n'est qu'à partir du moment où l'égoïsme de chacun à regarder et à laisser faire touchera finalement ceux-là même qui auront préféré ne pas réagir pour préserver leurs acquis, qu'un électrochoc se produira, mais il sera alors trop tard…
^
Une base de données à ce jour (08.2008) de plus de 16'000 sociétés démontre incontestablement comment le crime économique organisé, avec la complicité du crime judiciaire, ont pris le contrôle de fleurons de l'économie, et comment ils crèent artificiellement des crises économiques pour faire disparaître des sociétés (Swissair – Sabena – Alusuisse – Winterthur – etc… bientôt UBS ?) pour blanchir des milliards de francs… La crise de CFF Cargo n'échappe pas à cette règle et je peux démontrer clairement le détournement du patrimoine CFF au profit d'une douzaine d'individus corrompus… Les politiciens le savent, certains en font parite, ils savent que je détiens ces preuves et font tout pour étouffer l'affaire… ! Il est plus facile pour les élus de faire incarcérer un Citoyen innocent, capable de prouver leur participation au Crime Economique Organisé, que de faire face à leurs responsabilités et à servir les intérêts de leurs Electeurs… Dès lors, quelle sécurité peut-on me garantir à partir du moment où je serais incarcéré ???

HISTORIQUE Libéré le 2 novembre 2007 après une grève de la faim de 56 jours, on constate ajourd'hui que cette libération n'était en fait qu'un sursis avant une nouvelle incarcération abusive en totale violation des droits de l'Homme ? Le Tribunal Fédéral a rendu son jugement sur mon recours du 1er octobre 2007 et l'a rejeté… D'ores et déjà, cette haute instance judiciaire fédérale tient à montrer son cynisme et sa volonté de braver tous les interdits. Une manière de me faire comprendre qu'elle n'a rien à faire de la Convention Européenne des Droits de l'Homme (CEDH), de la Constitution Fédérale, ou encore des codes de procédures cités dans mon recours et qui sont sont les bases fondamentales de mon argumentation. Tribunal composé de Francs-Maçons, notre Haute Cour démontre son mépris pour le Droit mis en place par le Législateur et qu'elle applique avant tout la "Constitution" Franc-Maçonne rédigée en faveur des "frères" de loges contre les intérêts du Citoyen Lambda. Vous constaterez sur l'ordonnance du 31.10.2007, que la décision de ma libération, due à l'effet suspensif accordé par le Tribunal Fédéral, a été prise par le juge fédéral Roland Max SCHNEIDER. Or, Roland Max SCHNEIDER aurait dû se récuser d'office dans toute procédure me concernant, puisque je le dénonce pour escroquerie sur mon Site www.googleswiss.com/schneider. Compte tenu des dénonciations dont il est l'objet de ma part, tout juge, avec un minimum d'éthique et de morale, aurait confié la responsabilité de juger cette affaire me concernant, à l'un de ses confrères. Mais ce n'est pas comme ça que fonctionne la MAFIA franc-maçonne ! Par leur cynisme, ces individus défient systématiquement le Citoyen qui n'est pas maçon et piétinent les Lois rédigées par le Législateur, au profit de leurs principes internes.
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Ce n'est que grâce à ce système, que depuis 16 ans, des milliards sont détournés, qui échappent totalement au FISC et bien sûr aux intérêts du Contribuable, par le seul fait que les auteurs du complot, dont Pierre MOTTU, "notaire" genevois en tête, et Bernard BERTOSSO, ex procureur général de Genève, aujourd'hui vice-président du Tribunal Pénal Fédéral (sic!), échappent à la Justice. Dès lors, outre les bénéficiaires des fonds volés, les Victimes de cette MAFIA, sont aussi les Contribuables qui devraient bénéficier de l'imposition de ces capitaux C'est pour m'opposer à de tels abus d'autorité et à cette MAFIA Franc-Maçonne que j'ai déposé systématiquement, lors de tous mes recours au Tribunal Fédéral, qui devrait être la plus Haute Cour Judiciaire du Pays, mais qui n'est dans les faits qu'une parodie de justice en mains de Criminels, une demande de récusation en bloc des "magistrats" du TF. Il sera intéressant dès lors, d'observer le comportement de la Commission de Gesion du Conseil National qui est l'Autorité de surveillance du Tribunal Fédéral, pour comprendre si l'Etat de Droit a totalement disparu et que nous sommes en Dictature… Les faits dénoncés dans mes recours, tout commes les abus d'autorité, ma privation de LIBERTE et la répression à mon encontre, les violations des Droits de l'Homme, nous font comprendre que le comportement de notre Gouvernement comporte beaucoup de similitudes avec celui du Gouvernement militaire du Myanmar (BIRMANIE).

A méditer : "La plupart de gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu'un citoyen reconnait que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrumpu, il doit décider de ce qu'il compte faire. Poser des actions face à un gouvernement corrompu représente des risques d'atteintes à sa vie ou à celle d'êtres chers. D'un autre coté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie personnelle de "défense de ses principes". La majorité des gens n'ont pas le courage de faire face à ce dilemme. Par conséquent, la plupart de la propagande n'est pas conçue pour tromper l'esprit critique, mais simplement pour donner aux lâches d'esprit, une excuse pour ne pas penser du tout." Michael Rivero, webmestre du site www.whatreallyhappened.com La citation de Vladimir Poutine, président de la Russie, mais que les autorités Suisse s'empressent de suivre, est significative pour décrire le comportement des pseudos grandes "démocraties" mondiales, pour appliquer leurs principes totalitaires : "La démocratie, c'est la dictature de la loi." "Il faut frapper le premier, et frapper si fort que votre adversaire ne se relèvera pas." L'économiste Howard Scott (1890-1970), était réaliste et un visionnaire sur le sujet, quand il a décrit ainsi la criminalité : "Un criminel est une personne avec des instincts prédateurs qui n'a pas suffisamment de capital pour former une corporation."
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Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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Record mondial : une villa de Safra, l’ un des voleurs de Ferraye, vaut près de 500 millions d’ Euros !

Record mondial : une villa de la Cote d'Azur achetée près de 500 millions d'euros !

La Villa Leopolda de Villefranche-sur-mer vient d'être rachetée, selon Nice Matin, par le milliard russe Mikhail Prokhorov pour la somme astronomique de 496 millions d'euros. Du jamais vu.

La villa la plus chère du monde.

La villa la plus chère du monde.

Qui a dit que l'immobilier était en crise ? Pas sur la Cote d'Azur pour les villas de luxe en tout cas et pas pour les milliardaires russes. Un record mondial vient d'être enregistré en effet selon le quotidien régional Nice Matin. Le milliardaire russe Mikhail Prokhorov, âgé de 43 ans, aurait acheté la villa Leopolda, à Villefranche-sur-mer, près de Saint-Jean Cap Ferrat, pour 496 millions d'euros. La somme et l'identité de l'acheteur restent bien sûr à confirmer. D'autant que ces dernières semaines, d'autres montants (moindres, on avait parlé de 300 millions d'euros) et d'autres noms d'acquéreurs potentiels – dont d'autres milliardaires russes – avaient circulé. Certes Mikhail Prokhorov, ex PDG du géant minier russe Norilsk Nickel et patron aujourd'hui du fonds d'investissement Onexim spécialisé dans les nouvelles technologies, a les moyens. Sa fortune personnelle est estimée à 19,5 milliards de dollars (13 milliards d'euros) selon le dernier classement du magazine Forbes qui le place au sixième rang des fortunes de Russie et à la vingt-quatrième place mondiale. Cette villa doit son nom à son constructeur, le roi des Belges Leopold II, en 1902 qui aurait acheté le terrain pour un franc symbolique (!). Elle a été notamment la propriété du charismatique patron du groupe Fiat, Giovanni Agnelli et était jusqu'alors détenue par Lily Safra, veuve du banquier suisse d'origine libanaise, Edmond Safra, mort mystérieusement et tragiquement en 1999 dans l'incendie de son appartement monégasque.


Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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Guerre USA contre Russie en Géorgie: un major US accuse Washington ! Toujours plus d’illuminati fauteurs de guerre, pour cacher leurs erreurs et gagner toujours plus…

Guerre USA contre Russie en Géorgie: un major US accuse Washington!

On m'a transmis ce courrier-choc d'un ancien officier des Forces Spéciales US, donc peu susceptible d'être un anti-patriote. Le style est typiquement américain, et le contenu est très intéressant. Et l'accusation est claire: les USA soutiennent un bandit.


From: John Aleshin jaleshin at yahoo.com
Subject: Comments concerning conflict in South Ossetia
To: comments at whitehouse.gov
Date: Sunday, August 10, 2008, 11:20 PM

Dear Mr. President,

First some background on who I am:

My name is John Aleshin. I am a 1974 West Point graduate, a classmate of GEN Petreaus. I am a former US Army Special Forces major, and also a former army Foreign Area Officer, with expertise in Russia/FSU and Latin America. I speak fluent Russian and Spanish. I also served in
Grenada in the 82d Abn Div (received a Bronze Star) and as a Trainer/ Advisor in El Salvador.

I have been a Reagan conservative Republican my entire adult life, and have unashamedly declared my firm belief in Our Lord and God and Savior Jesus Christ my entire life.

Comment:

I have been following the conflict in Georgia's South Ossetia very closely for the past week or so. It is quite obvious that Georgian President Saakashvili made a terrible blunder by ordering a full-scale invasion of South Ossetia in contravention of all logical, ethical, and legal norms. At a minimum, hundreds of innocent civilians perished during this unprovoked attack. Reports indicate that perhaps 1-2 thousand have perished, and perhaps up to half of the population of
South Ossetia (some 35,000 people) have become refugees.

As a former military man, I am furious with the support that the US has been providing this man, and believe that your administration has a lot to answer for. How could Saakashvili have committed such a suicidal blunder? How could Georgia, supposedly a US ally, do such a thing? How could US intelligence not have known about the invasion? And if US intelligence, and thereby you, knew about the invasion, how could you not have prevented such an idiotic military endeavor? Mr. President, this geopolitical blunder and the consequential fiasco reflects very poorly on your leadership and the policies and capabilities of your administration.

While observing the news re ports over the last few days, it was abundantly clear that something was brewing. Even the Russian Federation warned repeatedly that Georgia was up to no good, and mobilizing for war. The RF also tried to warn the US to reign in Georgia, or a humanitarian disaster would result. And regarding the actions of the Russian Federation since, it doesn't take a rocket scientist to have been able to predict their very logical responses after the invasion. Whether one agrees with what they did or not, the fact of the matter is that the response they would take was easily predictable.

Instead of having your UN ambassador criticize Russia's actions and the alleged disproportionate use of force, you had better advise him to stop making propaganda points to try to cover up for this colossal US blunder. Experienced military people are able to easily see beyond the rhetoric and hype. The Russian version of "shock and awe" to achieve its military objectives is not much different from w hat the US has done in the past. And to try to denigrate Russia's actions as
morally deficient is shear hypocrisy, especially when one remembers US and/or NATO military actions over the last 15-20 years. Need I remind you of the bombing of Serbia in 1999, way outside the zone of conflict in Kosovo at the time?

Mr. President, take the high road. Admit that Georgia, and thereby the US, made a colossal blunder that could have been avoided. The goal should be to stop the conflict as soon as possible, and save as many lives as possible. Since Russia is the key, this means working WITH the Russian Federation, not against it. Swallow your pride and get down to saving lives, Mr. President. Russia-bashing just prolongs the conflict that your counterpart proxy, President Saakashvili, clearly started.

Additionally, I recommend that you start relieving some incompetent individuals within your administration, namely the diplomatic corps and the intelligence establishment, for obvi ously contributing to this horrendous and unacceptable blunder.

God bless you, Mr. President. I pray that the Good Lord will illuminate you to do the right thing in serving our country. I also recommend that you reason with President Medvedev, a very decent man who chose to be baptized as a young man of 23, when the USSR still existed. Don't insult him and Russia. Learn to work together. You will get a lot more done that way, for the good of the world.

Respectfully,

John N. Aleshin

Intéressant site, des gradués de Westpoint qui n'ont pas la langue dans leur poche et dénoncent la sale guerre pour le pétrole irakien camouflée en pseudo libération :
http://www.westpointgradsagainstthewar.org/
ça n'empêchera pas m. Georges Walker Bush de dormir, ni m. Dick Cheney de compter ses dollars gagnés grâce à cette guerre et à toutes les autres qu'il a fomentées en tant que vice-président des USA, mais c'est rassurant de voir que tous les militaires de haut niveau aux USA ne sont pas des moutons de Panurge.

STOP
THE
DYING
FOR
LIES

STOP

THE
KILLING
FOR
LIES


"When people speak to you about a preventive war, you tell them to go and fight it. After my experience, I have come to hate war." (2)

"I hate war as only a soldier who has lived it can, only as one who has seen its brutality, its stupidity. War settles nothing." (3)

"Here in America we are descended in blood and in spirit from revolutionists and rebels – men and women who dare to dissent from accepted doctrine. As their heirs, may we never confuse honest dissent with disloyal subversion." (4)

"If all that Americans want is security, they can go to prison. They’ll have enough to eat, a bed and a roof over their heads. But if an American wants to preserve his dignity and his equality as a human being, he must not bow his neck to any dictatorial government." (5)

Dwight D. Eisenhower
34th President of the United States
(1953-1961)


Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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Gomora et Mafia en France, aux USA et au Canada. Courriel 41 du “groupement d’associations de défense environnement du finistere”

Bonsoir,
 
Que vous dire de plus que ce qu'il y a dans ce courriel ?
 
Que va devenir notre espace vital que représente notre campagne ?
 
assos.gadef.
 
roger
 
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Rivières polluées au PCB, le Rhône se venge ! Le périple mondial des matières dangereuses !!! 
Les courriels 39 et 40 nous ont dévoilé l’organigramme d’une de nos principales sociétés nationales, qui monnaye ses services auprès de nos collectivités locales. Ce prestataire de service est spécialisé en élimination de nos déchets et distribution d’eau : http://www.lavf.com/archives/Nettoyer_la_planete-0325504401.html Avec étonnement, en deuxième position, nous avions trouve le directeur de la gestion d’une de nos mutuelles d’assurance, –– surtout spécialisée en agriculture. –– Selon nous, et de ce fait, ce numéro deux se trouve un peu trop au four et au moulin. De toute évidence, il est face à un grave conflit d’intérêt avec l’éthique et avec l’occupation des sols agricoles. Il couvre les terres productrices de nourritures en les assurant au prix fort, puis, avec son autre société prestataire de service, il détourne ces mêmes terres des zones rurales pour y stocker des déchets polluants et dangereux ??? Que vont en penser les populations en état de famine, trimant sur des terres sèches, improductives ??? Nous ne comprenons pas ??? D’autre part, les risques afférents aux parts prises chez ce prestataire de service ne sont pas gratuits pour les mutualistes, et nous allons expliquer le pourquoi !!! 
Les Tribunaux américains ne sont pas tendres avec les sociétés fautives, –– principalement : les étrangères. –– Ils viennent d’ailleurs de condamner la société VIVENDI/UNIVERSALL à rembourser les actions des petits porteurs américains et français, le coût s’annonce astronomique. Voir cet article, la société a été condamnée le 13/08/2008 : http://tf1.lci.fr/infos/france/2002/0,,957945,00-vivendi-indices-graves-concordants-.html  
Malheureusement pour les mutualistes, la leçon –– donnée –– juridiquement à ce restant du groupe VIVENDI ne semble pas avoir porter ses fruits, –– tempérance et transparence. –– La société prestataire de service, ayant repris la branche environnement du groupe, fonce tête baisée dans les mêmes difficultés. Aux USA, cette société prestataire de service possède un incinérateur industriel dans une bourgade en banlieue de PORT-ARTHUR, au TEXAS. Ce choix n’était pas anodin, l’article qui retrace l’affaire est parlant : http://translate.google.com/translate?sourceid=navclient&hl=fr&u=http%3a%2f%2fwww%2etreehugger%2ecom%2ffiles%2f2008%2f06%2fimporting%2dpcbs%2ephp  Le ton monte avec raison, parce que partout où a agi cette société, des traces graves sont restées dans les populations et les lieux !!! La pollution est là, évidente pour les associations de défense de l’environnement, d’ailleurs tout est bon pour cette société ”Antre des enfers”, même les armements chimiques. Dans le forum associé à l’article, nous noterons l’étonnement général de voir des PCB (= BPC) importés aux USA, alors que la loi fédérale l’interdit formellement ??? Des doutes apparaissent quant à l’intégrité des responsables. Par ailleurs, ces méthodes sont bien connues chez nous, où le prestataire de service passe outre à l’ensemble de nos lois, protégé qu’il est par l’administration préfectorale. Fonctions de Préfet définitivement détournées de la défense de l’Etat, soit, du citoyen et féale qu’au fric le plus sale !!! Actuellement, un profond dégoût gagne le citoyen lambda, sa République devient celle des préfets malhonnêtes !!! Jean Moulin s’en retourne dans sa tombe !!! Qu’en a à foutre le PDG de cette société de services : http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2247/articles/a361323.html Qui a une philosophie pour le moins dictatoriale du code des marchés publics et donc de l’argent des contribuables !!! Rapace !!! 
Dans cette affaire américaine, notons aussi la remarque du journaliste américain, signalant que la société s’était installée dans une banlieue pauvre, parce que les résidents y seraient moins enclins à déclencher des procédures juridiques, évidemment trop coûteuses pour leur petits revenus. Les avocats américains savent pourtant très bien se payer sur la bête !!! C’est exactement le même raisonnement que nous avions découvert pour la mise en lotissement des terres se trouvant sous l’Incinéra-tueur du Spernot à BREST, voir la première page du Blog :  http://incineration29.skyblog.com/  et  http://www.lepoint.fr/content/societe/article?id=66299  Qui a influencé l’autre ??? Nous devons savoir que le conseil municipal de Brest semble être devenu le prestataire de services de la société qui y règne en maître absolu ???                                                                         Notons l’emplacement décidé pour construire cet incinérateur ‘américain’, proche d’un port important, parmi divers complexes pétroliers, d’où peuvent être embarqués les PCB comme huile lourde ou autres produits pétroliers. Sans doute, ces ‘Poisons’ finissaient-ils, en partie, par être ‘retraités’ le long du RHÔNE, et, en partie, au fond des estomacs de nos ‘retraités’ amateurs de pêche au ‘Poisson’ !!! Après les dénonciations, –– dues à la vigilance de l’association internationale WWF, –– le RHÔNE se venge un peu, parce qu’il n’y a plus de possibilités d’expédier des matières dangereuses par mer, –– (Loi communautaire), –– la police des affaires maritimes de l’Europe semble efficace et très vigilante, la leçon de l’ERIKA va faire réfléchir les voyous des Mers !!! Parade incroyable, la société tente de détourner les lois fédérales américaines, exactement comme elle est habituée à le faire en France sans risque d’être poursuivie !!! 
Exemple de ce bras d’honneur aux lois : à Plourin-les-Morlaix, où les forages ont été effectués au mépris de la réglementation en vigueur. Le Préfet, passant outre ce code, tente de régulariser cet acte par détournement de la loi, nous sommes dans un pays ubuesque, en folie et ne sachant plus où situer le citoyen !!! Constat : De toute évidence l’administration préfectorale est en faillite, obsolète !!! 
Que va-t-il se passer à Port-Arthur ??? Il serait étonnant que la loi fédérale soit détournée, créant un antécédent grave pour tous les autres Etats de l’Union. Alors, où vont finir ces poisons, chez d’autres poissons ??? Or, comme par miracle, au même moment se vend l’incinérateur de BENNET au Canada, exactement sur la frontière entre les deux Etats. Le prix de vente du complexe semble ridicule, environ 10% de sa valeur. Autre anomalie criante, la nouvelle exploitation serait la méthanisation. Comment transformer le site d’un incinérateur pour qu’il produise du méthane ??? Nouvelle interrogation, l’acheteur est totalement inconnu et plus particulièrement dans ce domaine très spécialisé. GADEF a bien entendu prévenu nos amis canadiens du Nouveau-Brunswick. Les associations canadiennes sont sur leurs gardes, et le RHÔNE se venge !!! En effet, il sera difficile de les déplacer vers la France. Certes, en le disant, nous ne prêtons qu’aux riches, mais avouons qu’en cas de coups tordus, hors des lois, la société prestataire de service se pose là. Disons même qu’elle en est une spécialiste internationalement reconnue et que bien peu de sites ont été ouverts et ont fonctionné en respectant les normes des Etats !!! 
La question qui se pose, est de savoir où vont finir ces PCB que plus personnes ne veut. Si des procès sont ouverts aux Etats Unis, nous tenons le pari que la note à payer sera très salée pour la société prestataire de service. Alors, Messieurs les mutualistes, vous voilà prévenus !!! Ca va caqueter au CAC40 !!! 
Dans le dernier courriel 40, –– faisant suite à un article paru dans ”Science et Vie”, –– nous annoncions la découverte scientifique d’un produit aux effets néfastes sur la santé, provoqués par la respiration des PM 10, des micro poussières qui favorisent notamment les attaques veineuses, Phlébites, Thromboses, etc. Toujours grâce à ”Science et Vie” du mois d’août, n° 1091, page 34, article : ”L’exposition aux pesticides peut favoriser le diabète”, voici qu’apparaît de nouveau un risque autour des incinéra-tueurs. http://eddylal38.over-blog.com/article-20311102.html Dans son développement, l’article scientifique signale que certaines molécules sont reconnues dans l’augmentation de cas de diabète 2, et plus l’exposition dure dans le temps et plus le risque augmente. Ces molécules  sont au nombre de sept composés chlorés à être mis en cause : Aldine, Chlordane, Heptachlore, Dichlorvos, Trichlorfon, Alachlore, Cyanazine. Dans la nature, nous noterons que le principal outil, qui forment les molécules associant le Chlore aux autres éléments par le feu, dont les sept citées, se trouve être l’incinéra-tueur. Ceci conforte notre remarque, disant que l’INVS n’avait pas tout dit et que d’autres éléments chimiques dangereux restent à découvrir !!! Ca commence !!! N’oublions pas qu’à l’INVS siègent des conseillers des sociétés prestataires de services, alors…. 
 
(––– Toutes nos adresses sont liées par Internet, un clic ouvre le dossier en bleu foncé. –-– ) . Sites recommandés : http://www.adpnp.fr/      Plouray e.mail :  npcb56@orange.fr     http://incineration29.skyblog.com/      http ://epkg.free.fr/ Contact : assos.gadef@gmail.com GADEF : Groupe d’Associations de Défense de l’Environnement du Finistère. ––


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François de Siebenthal
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Dailymotion – à voir Denis Robert et clearstream




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Dominique Strauss Kahn, alias DSK, de clearstream 3, alias fonds Ferraye, cynique et sans pitié.

Brèves /
DSK : nourrissons quelques pauvres pour sauver le système libéral !
10 juillet 2008 – 17:38
10 juillet 2008 (Nouvelle Solidarité) – Dans une tribune parue aujourd'hui dans le Miami Herald, le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) précise son plan, supposé capable de « Garantir l'approvisionnement en nourriture des pauvres ». Pour surmonter le double choc provoqué par la hausse des prix énergétiques et alimentaires, affirme DSK, les « pays à revenus faibles et moyens seront obligés d'imaginer des façons de nourrir les pauvres sans nourrir au même temps l'inflation et manquer de devises étrangères ». Ces solutions, continue DSK résulteront « d'arbitrages difficiles », une politique que ressemble odieusement à celles imaginées par un autre magicien de la finance, Hjalmar Schacht, ministre des Finances d'Hitler. Adepte de la théorie classique de l'offre et de la demande, DSK n'a aucune honte à écrire que : — « du point de vue économique, il est justifié de répercuter toute la hausse des prix sur les consommateurs puisque ceci incitera les producteurs à augmenter l'offre et les consommateurs à baisser la demande ». Il oublie seulement que celui qui consomme est souvent le même qui produit. « En même temps, rajoute DSK en versant une larme de crocodile, les pauvres, qui supportent la plus grande partie du choc des prix, doivent être protégés. La meilleure façon de le faire, c'est de développer un filet social bien ciblé. » Vous l'avez compris, faire du socialisme fabien anglais à l'échelle de la planète ! Sans dire un mot sur l'énorme bulle spéculative, DSK ajoute : « Les pays doivent garder à l'esprit les conséquences macroéconomiques de leurs actions. Un défi critique c'est la maîtrise de l'inflation. Certains pays peuvent avoir besoin de politiques monétaires plus serrées afin d'éviter que la flambée des prix de l'énergie et de l'alimentaire provoque des hausses plus larges des prix. » Dans une défense d'une des recettes parmi les pires du FMI, DSK affirme que « quelques importateurs nets de nourriture et de carburant risquent d'avoir besoin d'une réelle dévaluation de leur monnaie. » — « Les politiques fiscales doivent refléter la situation économique réelle de chaque pays. Certains pays peuvent financer des mesures pour aider les pauvres en allégeant la pression fiscale, tandis que d'autres auront besoin d'augmenter leurs recettes fiscales ou de se voir obligés de couper les dépenses dans d'autres secteurs. Le besoin de soutien de la part de la communauté internationale est le plus urgent pour les pays ayant du mal à augmenter leurs dépenses. » — « Le commerce est une autre question fondamentale : le marché global de la nourriture doit rester ouvert. Quelques exportateurs clefs ont plafonné leurs exportations. Bien que le besoin d'approvisionner le marché national corresponde à un besoin légitime, de telles politiques ne font qu'exporter la faim et aggravent le problème global en décourageant la production. Ainsi, les taxes à l'exportation et les barrières douanières devraient être démantelées afin de permettre aussi bien aux producteurs qu'aux consommateurs de s'adapter à des prix plus élevés. L'abaissement des tarifs douaniers peut aider à réduire les distorsions au commerce et à modérer les hausses des prix. Dans ce contexte, la conclusion d'un accord au Cycle de Doha (à la réunion de l'OMC à Genève), y compris sur l'agriculture, est absolument essentielle. » Ainsi, DSK rejoint les dogmes du libre échange britannique prônés par Peter Mandelson et Pascal Lamy et conclut ainsi son article : « La communauté globale doit assurer que la nourriture et l'argent atteignent le plus vite possible les pays les plus affectés. Nous devons reconnaître l'ampleur du défi auquel tant de pays doivent faire face et les aider à mettre en place des mesures d'aide qui ne mettent pas en danger la stabilité économique. Leur défi est le nôtre. » N'hésitez pas à faire parvenir vos commentaires à DSK en écrivant à publicaffairs@imf.org Pour creuser le sujet : focus PS : On nous a signalé que nous n'avons fait que traduire des passages de ce qui n'est qu'une traduction d'une tribune publié dans Libération le 9 juillet 2008. Vous pouvez donc vous référez au texte d'origine.

  • Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ? d'Eva Joly, 337 Pages, Editions des Arènes, 2004 : à partir de son expérience de l'affaire Elf, l'auteur nous permet de comprendre un peu mieux la tâche parfois si difficile des juges, et les pressions et menaces qui peuvent s'exercer sur eux. Ce livre est dédié "à tous ceux qui ont payé de leur vie le refus de la corruption"

Fait exceptionnel en France, cet ouvrage avait été retiré de la vente à parution, en juin 2003, pendant l'instruction du procès Elf. En effet, le bâtonnier de Paris avait saisi le garde des Sceaux pour protester contre la parution du livre au nom d'un "manquement au droit de réserve", Eva Joly ayant été le magistrat en charge du dossier Elf jusqu'en 2002. Une fois le réquisitoire prononcé et les jugements rendus, le lecteur a pu enfin accéder à cet ouvrage… Il n'y a pas, à vrai dire, de révélations dans Est-ce dans ce monde que nous voulons vivre ? C'est à la fois le récit de l'instruction de l'affaire Elf et une réflexion sur le rôle de la justice dans un monde dirigé par quelques puissants jouissant d'une totale impunité. Mais on y découvre tout de même l'incroyable système qui sous-tend l'affaire. Après la privatisation du groupe Elf en 1994, Eva Joly découvre progressivement la trace de sociétés off-shore, de comptes numérotés, de systèmes de malversation. Au fur et à mesure qu'elle et son équipe progressent dans leur enquête sur le triumvirat Le Flock, Sirven, Tarallo, les menaces et les intimidations surviennent sous forme de lettres anonymes, de portes forcées, de bureaux visités, de téléphones piratés, de pressions physiques. Eva Joly raconte ces sept ans d'instruction où elle fut mise sous protection judiciaire, perdant toute possibilité de vie privée, vivant dans une anxiété constante. On lit entre les lignes un sentiment de reproche à l'égard de la corporation des juristes en général et du système français en particulier. Facilement accusée d'être devenue une sorte de star de la justice à la fois paranoïaque et mythomane, Eva Joly s'est sentie seule, abandonnée et ostracisée. De la bouche d'un ami avocat, elle s'entendit dire : "Mais c'est la France, Madame ! Vous avez voulu changer la France, mais c'est impossible…" Devant tant de pressions, elle a préféré retourner en Norvège, son pays d'origine, où elle est conseiller auprès du ministre de la Justice et du ministre des Affaires étrangères. En annexe du récit se trouve la Déclaration de Paris, projet d'action contre la grande corruption. Eva Joly y propose comme projet de lois européennes une "veille bancaire" des grandes sociétés, la création d'un délit de grande corruption, une coopération internationale contre le blanchiment d'argent et, surtout ' révolution ! ', "la suspension des immunités diplomatiques, parlementaires, judiciaires, le temps des enquêtes financières". Vaste programme : une fois de plus, Eva Joly ne va pas se faire que des amis… Présentation de l'éditeur En prêtant serment comme magistrat, je ne savais pas que certains soirs, j'aurais peur en ouvrant ma porte. C¹est pourtant ce que j'ai vécu pendant sept ans en instruisant l¹affaire Elf. J¹ai été surveillée, intimidée et menacée de mort. Des campagnes de presse ont été lancées pour me déstabiliser. Malgré tout, nous sommes allés jusqu'au bout. Cette instruction dévoile un monde édifiant : caisses noires, prélèvements en tout genre, sociétés écrans, dépenses privées somptuaires. Une élite revendique l'impunité : une manière de vivre au-dessus des lois parce qu¹on est plus fort que la loi. Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ? En écrivant ce livre, je veux rendre cette histoire à mes contemporains. Et tirer les leçons du scandale. Nous ne pouvons pas laisser la corruption se répandre au coeur du pouvoir. Des hommes et des femmes, à travers le monde, ont accepté de porter ce combat avec moi : c¹est la Déclaration de Paris. Demain, si nous le voulons, il sera possible d'empêcher d'autres affaires Elf. Aussi ce récit est-il un livre d¹espoir. L'auteur vu par l'éditeur Magistrat, Eva Joly est conseiller auprès du ministre de la Justice et du ministre des Affaires étrangères de Norvège Pour commander l'ouvrage

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