Votations et élections. Attention aux fraudes







La totalité des cantons alémaniques, sauf le demi-canton de Bâle-Ville, ont accepté l’initiative et rejeté le contre-projet, ainsi que le Tessin ( largement ). 


C’est le cas aussi du Valais, qui a dit oui de justesse au texte de l’UDC (51,8%) et non d’un cheveu (51,7%) au texte concocté par le Parlement. 

Bâle-Ville (56,6%/52,1%) est le seul canton alémanique se rangeant dans le camp du double non. On connaît la facilité de ce canton à tricher les votes par correspondance, des Suisses de l’étranger ou votes par électronique ( impossible d’en savoir le nombre, en tout cas à Genève ), il n’y même pas besoin de savoir la date de naissance des votants et il y des spécialistes qui savent tricher, comme l’actualité l’a déjà prouvé.

Les affaires Lumengo ( seulement 10 jours amende et il reste en place…, Letellier etc… 

Un député radical bâlois a avoué avoir falsifié des bulletins de vote, un autre candidat au Grand Conseil se trouve dans le collimateur du ministère public. Le Démocrate suisse Eric Weber aurait offert à une femme d’acheter son matériel de vote. Une information de la «Basler Zeitung» est à l’origine de l’enquête, avait indiqué  le ministère public.






Double “non” en Suisse romande, même méthodes.


En Suisse romande, les autres le rejettent, avec des pourcentages allant de 51,4 à 56,2% de non.






Le double rejet, prôné par la gauche, est donc dominant. 

Le canton de Vaud est très différent, pourquoi ? Parce qu’il triche les votes par correspondance, comme nous l’avons déjà prouvé et démontré plusieurs fois.

Le canton de Vaud a refusé l’initiative par 58,2% et le contre-projet par 57,4%. Idem pour Genève (55,7%/56,4%)dont x votes par électronique, le Jura (57,3%/54,3%), Fribourg (51,4%/52,4%)dont x votes par électronique et Neuchâtel (56%/53,1%)dont x votes par électronique
Le canton de Vaud imprime notamment beaucoup trop de matériel de réserve servant à tricher les votes. 

Vu les plus de 40’000 imprimées en plus, plus 15% de maculature sur les 406’379 électeurs inscrits…

…soit  61’000 plus 40’000 = 101’000 bulletins et enveloppes prêts pour tricher imprimés en plus dans le canton de Vaud. Il y a assez de matériel en réserve pour changer simplement les enveloppes par d’autres plus “justes” dans chaque greffe...


207 120 vote valables pour la 1ère votation, 33984 entre le oui et le non, soit 16’993 votes à bouger théoriquement pour changer le sens du vote ( la moitié de la différence plus une voix.

Il suffit d’agir dans la poste, ou dans quelques grands greffes dont Lausanne, Yverdon, Nyon, Montreux par exemple pour plus de 17’000 enveloppes, il y en a 101’000 à disposition…


Ces enveloppes jaunes transparentes sous fort spot lumineux et leur contenu potentiel sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. 


M. Mühl, responsable cantonal, a fait apparaître que ce problème était réel au niveau de chaque commune et qu’une motion parlementaire avait été déposée au niveau cantonal pour changer la procédure du vote par correspondance.


http://desiebenthal.blogspot.com/2009/06/tricheries-democratiques-par.html


http://www.elections.vd.ch/votelec/results.html?scrutin=CHVO20101128

Ce problème était possible au niveau de chaque commune et un postulat parlementaire, Réf : 03/POS/086, avait été déposé au niveau cantonal pour changer la procédure du vote par correspondance. 

Ces plus de 100’000 enveloppes jaunes et bulletins de vote supplémentaires et facturés sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. 

On peut même penser à un fichage politique dans certaines communes, vu qu’ils peuvent faire le rapprochement avec la fiche d’envoi signée.

Il est apparu aussi que les signatures des initiatives et référendum sont aussi saisies par informatique, sans oublier les courriers et mails de certaines personnes ouverts et fichés par leurs services…

Il n’y a plus de secret de vote vu la transparence des enveloppes jaunes, transparence jamais corrigée depuis des années malgré les promesses de notamment le Chancelier, M. Vincent Grandjean.

En fait, le même M. Mühl a dû faire un faux témoignage par écrit dans notre précédente procédure en y affirmant que ces enveloppes ne sont pas transparentes, ce qui est un mensonge avéré et prouvé et un pur mépris de la réalité que chacun peut vérifier chez soi. 

Ces enveloppes jaunes sont à disposition pendant plusieurs jours dans les bureaux de chaque greffe. Vu les plus de 40’000 imprimées en plus, plus 15% de maculature…il y a assez de matériel ( plus de 100’000, sic, cent mille facturé au canton ou aux communes à chaque votation dont au moins le 80 % gaspillé pour les tricheries ou la poubelle ) en réserve pour changer simplement les enveloppes par d’autres plus “justes”….. selon des règles dictées par la franc-maçonnerie et autres organisations occultes. 

D’autant plus que nous avons prouvé que plus de la moitié des sceaux en plomb ou même en plastic (sic) étaient faux selon un certificat établi par le fabricant des pinces à sceller…
Au niveau fédéral, à la demande du conseiller national Jean-Claude Rennwald (PS/JU), il est nécessaire de lancer une vaste enquête sur les risques de fraude lors de votations et d’élections en Suisse.

«On m’a rapporté des cas où des employeurs auraient soudoyé des employés pour voter pour tel ou tel candidat, explique le député. Le vote par correspondance favorise aussi la fraude: dans certains cantons un peu claniques, comme le Jura ou le Valais, il n’est pas rare d’entendre que certains font la tournée des homes pour récolter les enveloppes de personnes âgées influençables. Ou, pire, des enveloppes de vote inutilisées sont récupérées au vieux papier!» Fort de constat et du risque aussi lié à l’introduction du vote électronique, Jean-Claude Rennwald estime nécessaire de mener une enquête approfondie à l’échelle nationale et de voir comment élimer le risque de pression en particulier sur les personnes fragilisées et peu mobiles.
Le Conseil fédéral dit «suivre la situation avec attention et être prêt à établir le rapport demandé»

plus surhttp://www.union-ch.com/articles.php?lng=fr&pg=45



You posted an announcement to the cause No more secret of vote ? Check and balance democracy.


Extraits du Conseil fédéral…

La libéralisation du vote par correspondance en 1994 remonte à deux motions adoptées à l’unanimité (motions des députés Eva Segmüller, conseil national – BO 1987 N 993 s.; BO 1988 E 6 – et René Rhinow, conseil des Etats – BO 1988 E 940 s.; BO 1990 N 284). Ces motions constituaient une solution pour pallier le taux croissant d’abstention aux scrutins.
En ce qui concerne la problématique générale du risque d’irrégularités lors des votations et des élections, le Conseil fédéral a déclaré le 13 mai 2009 qu’il était prêt à accepter le postulat Rennwald 09.3174 (Votations et élections. Attention à la fraude) et à établir un rapport sur la question. 
Ce rapport présentera les différentes formes de participation au scrutin (par les urnes, par correspondance, par voie électronique) selon le risque de fraude. Il s’agit d’examiner la question de la sécurité en amont du scrutin par voie électronique, par les urnes ou par voie postale, de vérifier si les citoyens subissent des pressions et d’examiner l’effet de pressions éventuelles sur le bon fonctionnement de la démocratie. L’objectif global de ce rapport est de voir comment garantir le fonctionnement sans faille de notre démocratie.

Curia Vista – Objets parlementaires

09.3573 – Interpellation

Légitimité et fiabilité du vote par correspondance et du e-voting

Déposé par

Date de dépôt
10.06.2009
Déposé au
Conseil national
Etat des délibérations
Liquidé

Texte déposé

Les résultats serrés lors d’une votation récente (passeports biométriques) et l’avalanche de recours (environ 500) qui ont suivi incitent à poser des questions non seulement sur la sécurité et fiabilité du mode de dépouillement mais aussi sur les conséquences des votes par correspondance et du e-voting. Voter est un acte civique, solennel, qui implique une attitude active, responsable, de choix et d’engagement personnel. Voter par correspondance pourrait augmenter les risques de vote par influence (pressions émotionnelles, délégation à autrui, récupération de matériel électoral dédaigné par d’autres, ou abandonnés dans des poubelles) ou même acheté.
1. Le Conseil fédéral peut-il évaluer l’impact du vote par correspondance et du e-voting sur la fiabilité et la légitimité du résultat? En comparaison avec le vote traditionnel.
2. Quelles sont les fraudes, les erreurs possibles et repérées?
3. Quelle en est l’ampleur?
4. Quelles en sont les conséquences lors de votes au résultat serré?
5. Quelles sont les corrections possibles?
6. Un retour à un vote direct, en faisant se déplacer les électeurs (exception faite des malades et handicapés…) pourrait-il être envisagé pour rendre l’acte plus civique et solennel, et aussi plus fiable?

Réponse du Conseil fédéral du 19.08.2009

Sur l’ensemble de la Suisse, quelque 500 recours ont été déposés suite à la votation du 17 mai 2009 (passeport biométrique). Pour 95 pour cent de ces recours, il s’agissait de l’un des trois modèles de recours qui avaient été mis à disposition sur l’internet. Pour l’essentiel, il s’agissait de faire annuler le résultat de la votation et d’en organiser une nouvelle. Ces recours ont été rejetés en première instance, pour autant qu’il était possible d’entrer en matière. Les recourants se fondaient entre autres sur une erreur survenue dans la commune d’Embrach (ZH) dans le cadre d’une votation cantonale et sur une tentative de fraude dans la commune de Trimbach (SO) dans le cadre d’une élection communale. En ce qui concerne la votation fédérale, des problèmes se sont posés lors de l’impression des cartes de légitimation pour le vote électronique. Les autorités ont eu une attitude proactive pour informer les médias et la population qu’il était possible de voter par courrier ou dans les urnes sans difficulté. Cette manière de procéder est conforme à l’article 79 alinéa 2 de la loi fédérale sur les droits politiques (LDP; RS 161.1), en vertu duquel toutes les mesures nécessaires doivent être prises avant le scrutin pour que chacun puisse voter dans les règles.
La LDP ne prévoit de recomptage ou de mesures qui vont plus loin que si la nature ou l’importance des irrégularités invoquées permettent de penser que le résultat du scrutin a été influencé de façon déterminante. Dans la problématique exposée ci-avant, rien ne permet raisonnablement de considérer qu’il existait de graves irrégularités. Les correctifs nécessaires ont été apportés à temps. Par ailleurs, les scrutins communal et cantonal n’ont en aucun cas pu influencer le résultat du scrutin fédéral.
La libéralisation du vote par correspondance en 1994 remonte à deux motions adoptées à l’unanimité (motions des députés Eva Segmüller, conseil national – BO 1987 N 993 s.; BO 1988 E 6 – et René Rhinow, conseil des Etats – BO 1988 E 940 s.; BO 1990 N 284). Ces motions constituaient une solution pour pallier le taux croissant d’abstention aux scrutins.
En ce qui concerne la problématique générale du risque d’irrégularités lors des votations et des élections, le Conseil fédéral a déclaré le 13 mai 2009 qu’il était prêt à accepter le postulat Rennwald 09.3174 (Votations et élections. Attention à la fraude) et à établir un rapport sur la question. Ce rapport présentera les différentes formes de participation au scrutin (par les urnes, par correspondance, par voie électronique) selon le risque de fraude. Il s’agit d’examiner la question de la sécurité en amont du scrutin par voie électronique, par les urnes ou par voie postale, de vérifier si les citoyens subissent des pressions et d’examiner l’effet de pressions éventuelles sur le bon fonctionnement de la démocratie. L’objectif global de ce rapport est de voir comment garantir le fonctionnement sans faille de notre démocratie.

Paix mondiale. Rencontre “St-Nicolas et Dorothée de Flüe”

 

Près de 600 personnes, dont la moitié de jeunes, à la rencontre  “St-Nicolas et Dorothée de Flüe” intitulée “L’aventure passionnante de la foi dans la vie active” répartie sur les 3 jours de ce week-end.

Ils ont suivi à Saint-Maurice des conférenciers de qualité:

Michael Lonsdale (acteur, compositeur et scénariste) par téléconférence, Fabrice Hadjadj (philosophe français), Jean Sévillia (journaliste et écrivain), Marguerite A. Peeters (consultante), Roland Decorvet (directeur général de Nestlé Suisse), xxx, et un descendant de Mahomet devenu disciple de Jésus.

 

Qui veut la paix doit dire toute la vérité dans la charité.

Comme vient de le révéler wikileaks, des forces puissantes organisent de nouvelles violences, notamment contre l’Iran…

Un élément notamment manque à beaucoup dans cette recherche de la Vérité, plus grâce aux liens ci-dessous.

La Vérité dans le monde économique est encore trop cachée.

http://desiebenthal.blogspot.com/2010/07/dividende-universel-par-les-robots.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/11/crise-mondialedeux-livres-importants-si.html
Qui a détruit cette vérité et comment ?  Quelles sont les structures de péchés ?
http://desiebenthal.blogspot.com/2010/03/franc-maconnerie-et-rotary-instruments.html
Les conséquences désastreuses.
http://desiebenthal.blogspot.com/2010/07/une-3eme-guerre-mondiale-demandez.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2008/11/krach-mondial-et-stock-de-vivres-une.html
http://www.blogger-index.com/feed.php?id=220011

Quelles solutions ?
http://desiebenthal.blogspot.com/2010/07/dividende-universel-par-les-robots.html
http://desiebenthal.blogspot.com/2009/07/swiss-secret.html

Voter par électronique, tricher trop facilement.

Voter par électronique; tricher facilement.


E-voting, votes par électronique:  12 ( douze ) cantons, soit: 
Fribourg, Neuchâtel et Genève 
Zurich, St-Gall, Argovie, Grisons, Schaffhouse, Soleure,Thurgovie
Lucerne
et Bâle-Ville
ont pu voter par électronique.
Comme par hasard, ce sont surtout eux qui ont dit non à la dernière votation contre les criminels étrangers.

Des députés suisses, notamment vaudois, de gauche et de droite, contre le vote électronique.

Les adversaires du vote électronique montent au front. Des députés vaudois, allant d'A Gauche toute! jusqu'à l'UDC, le jugent même dangereux pour la démocratie. Ils ont déposé une motion demandant au canton de l'interdire.


Malgré ces risques prouvés, pour la première fois, 12 cantons (sic) ont voté électroniquement en novembre 2010…et tricher trop facilement.
C'est une première en Suisse a eu lieu cette fin de novembre: douze cantons dont trois romands (Fribourg, Neuchâtel et Genève) feront des essais de vote électronique.
Les cantons de Zurich, St-Gall, Argovie, Fribourg, Grisons, Schaffhouse, Soleure et Thurgovie se sont regroupés en un «Consortium vote électronique» qui a déjà voté par électronique.

Dans les autres cantons du consortium (Zurich, Argovie, Grisons, Schaffhouse et Thurgovie), le premier vote électronique interviendra lors du scrutin du 28 novembre 2010.

Lucerne s' est joint aussi au wagon des tricheries facilitées.

Les meilleurs experts sont contre les tricheries trop faciles.

Richard Stallman notamment est contre le vote électronique et même le vote par correspondance…
C'est ce qu'il m'a personnellement confirmé lors de son récent passage à Genève.
Postal voting used in the UK is already opening up avenues for fraud (which electronic voting will exacerbate). 
Richard Stallman expose son opposition au vote électronique, "dangereux", et souligne que "le danger ne peut pas être prévenu en n'utilisant que du logiciel libre", du fait des risques qu'un logiciel soit modifié avant le vote
Document à lire sur www.Ordinateurs-de-vote.org, une audition de l’expert en sécurité informatique Bruce Schneier devant la Chambre des Représentants des États-Unis (juin 2003), traduite en français, qui explique qu'Internet n’est pas sécurisé, n’est pas prêt de l’être, et que ce n’est pas qu’une question de technologie.
En anglais sur le site de la FSF France, Electronic voting and Free Software. Richard Stallman expose son opposition au vote électronique, "dangereux", et souligne que "le danger ne peut pas être prévenu en n'utilisant que du logiciel libre", du fait des risques qu'un logiciel soit modifié avant le vote. Voir aussi en français "La machine à voter open source est-elle vraiment une solution?" sur le site de Philippe Scoffoni.
Pas de démocratie sans confiance éclairée, par Chantal Enguehard, maître de conférences en informatique (Ordinateurs-de-vote.org, article paru dans la revue Archimède, #46, pages 8-9, octobre 2007).
Vidéo "Hacking Democracy" (voir présentation dans Wikipédia en français et en anglais), documentaire américain de 2006 sur le vote électronique
La Votation populaire sur les passeports biométriques a provoqué près de 500 recours sur toute la Suisse, dont 460 reconnus valables dans presque tous les cantons.
Les fraudes ont été prouvées dans le canton de Vaud, elles ont aussi lieu dans d'autres cantons.
Selon notamment la Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) et notamment de son article 82 al. 2, nous attaquons la décision du Conseil d'État vaudois car elle lèse gravement non seulement les droits démocratiques des Vaudois mais aussi des citoyens de toute la Suisse en couvrant de graves fraudes démocratiques.

http://euroracket.blogspot.com/2009/06/recours-final-au-tribunal-federal.html

Il existe une autre fraude encore plus grave. L'affaire des 66 milliards de l'UBS est la pointe d'un iceberg. En effet, le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus.

I. L'Etat doit reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.



La democratie piratee 1/5
envoyé par nane6538. –

Des possibilités de fraude à grande échelle

Dans Vote par Internet : des experts très sceptiques, un article dans ZDNet le 4 août 2006, j'écrivais notamment: "Enfin et surtout, le vote par Internet (par différence avec un vote électronique « simple », où le votant est « dans » le bureau de vote et non à distance) crée un changement radical à la « portée de nuisance d'un fraudeur potentiel » : le rapport Pellegrini mentionne les attaques par déni de service (ou DDoS) et surtout celles où l'électeur pourrait croire que son vote a été pris en compte alors qu'il aurait été bloqué et effectué pour lui en en changeant éventuellement le contenu sans qu'il s'en aperçoive.

François Pellegrini cite le rapport (également traduit en français) du FVAP américain (Federal Voting Assistance Program) début 2004 sur le système de vote Serve, qui amena le FVAP à clôre son programme. Et il souligne que ce n'était "pas une question de moyens (les Etats-Unis n'en manquent assurément pas) ou de faiblesse cryptographique, mais bien de principe". »

Lecture suggérée, "Vote électronique: les boîtes noires de la démocratie" (édité chez InLibroVeritas), dont je suis coauteur avec Perline, en téléchargement gratuit sous licence Creative Commons by-nc-sa.

For more information about the dangers of electronic voting, see http://www.fipr.org/eDemocracy/index.html


Postal voting used in the UK is already opening up avenues for fraud (which electronic voting will exacerbate). 

That article also points out the fundamental fallacy underlying the supposed reason for electronic voting. 


Serious Bio

Richard Matthew Stallman is a software developer and software freedom activist. In 1983 he announced the project to develop the GNU operating system, a Unix-like operating system meant to be entirely free software, and has been the project's leader ever since. With that announcement Stallman also launched the Free Software Movement. In October 1985 he started the Free Software Foundation.
The GNU/Linux system, which is a variant of GNU that also uses the kernel Linux developed by Linus Torvalds, are used in tens or hundreds of millions of computers, and are now preinstalled in computers available in retail stores. However, the distributors of these systems often disregard the ideas of freedom which make free software important.
That is why, since the mid-1990s, Stallman has spent most of his time in political advocacy for free software, and spreading the ethical ideas of the movement, as well as campaigning against both software patents and dangerous extension of copyright laws. Before that, Stallman developed a number of widely used software components of the GNU system, including the original Emacs, the GNU Compiler Collection, the GNU symbolic debugger (gdb)GNU Emacs, and various other programs for the GNU operating system.
Stallman pioneered the concept of copyleft, and is the main author of the GNU General Public License, the most widely used free software license.
Stallman gives speeches frequently about free software and related topics. Common speech titles include "The GNU Operating System and the Free Software movement", "The Dangers of Software Patents", and "Copyright and Community in the Age of the Computer Networks". A fourth common topic consists of explaining the changes in version 3 of the GNU General Public License, which was released in June 2007.
In 1999, Stallman called for development of a free on-line encyclopedia through the means of inviting the public to contribute articles.
After personal meetings, Stallman has obtained positive statements about free software from the then-President of India, Dr. A.P.J. Abdul Kalam, from French 2007 presidential candidate Ségolène Royal, and from the president of Ecuador Rafael Correa. In Venezuela, Stallman has promoted the adoption of free software in the state's oil company (PDVSA), in municipal government, and in the nation's military.
Stallman's writings on free software issues can be found in Free Software, Free Society (GNU Press, ISBN 1-882114-98-1). He has received the following awards:

  • 1986: Honorary life time membership in the Chalmers Computer Society
  • 1990: Receives a MacArthur Foundation Fellowship
  • 1990: The Association for Computing Machinery's Grace Murray Hopper Award "For pioneering work in the development of the extensible editor EMACS (Editing Macros)."
  • 1996: Honorary doctorate from Sweden's Royal Institute of Technology
  • 1998: Electronic Frontier Foundation's Pioneer award
  • 1999: Yuri Rubinsky Memorial Award
  • 2001: The Takeda Techno-Entrepreneurship Award for Social/Economic Well-Being
  • 2001: Honorary doctorate from the University of Glasgow
  • 2002: United States National Academy of Engineering membership
  • 2003: Honorary doctorate from the Vrije Universiteit Brussel
  • 2004: Honorary doctorate from the Universidad Nacional de Salta, in Argentina
  • 2004: Honorary professorship from the Universidad Nacional de Ingeniería del Peú
  • 2005: Fundazione Pistoletto prize
  • 2007: Honorary professorship from the Universidad Inca Garcilaso de la Vega, in Peru
  • 2007: First Premio Iternacional Extremadura al Conocimiento Libre
  • 2007: Honorary doctorate from the Universidad de Los Angeles de Chimbote, in Peru
  • 2007: Honorary doctorate from the University of Pavia
  • 2008: Honorary doctorate from the Universidad Nacional de Trujillo, in Peru
  • 2009: Honorary doctor of science degree from Lakehead University in Canada

Stallman graduated from Harvard in 1974 with a BA in physics. During his college years, he also worked as a staff hacker at the MIT Artificial Intelligence Lab, learning operating system development by doing it. He wrote the first extensible Emacs text editor there in 1975. He also developed the AI technique of dependency-directed backtracking, also known as truth maintenance. In January 1984 he resigned from MIT to start the GNU project.

Richard Stallman's 1983 biography

(this biography was published in the first edition of "The Hacker's Dictionary".)
I was built at a laboratory in Manhattan around 1953, and moved to the MIT Artificial Intelligence Lab in 1971. My hobbies include affection, international folk dance, flying, cooking, physics, recorder, puns, science fiction fandom, and programming; I magically get paid for doing the last one. About a year ago i split up with the PDP-10 computer to which I was married for ten years. We still love each other, but the world is taking us in different directions. For the moment I still live in Cambridge, Massachusetts, among our old memories. "Richard Stallman" is just my mundane name; you can call me "rms".
 [image of rms playing recorder to a butterfly that is visiting the computer room]  (jpeg 2k) (jpeg 64k) There is a black-and-white photograph of me as a 5820K Encapsulated Postscript file, a 3762K JPEG file, and a 5815K TIFF file.
Here is a color photo in JPEG format.

Curiosities

  • Sometimes people write asking questions about how I use software. Here is some info on my computer use
  • People also sometimes ask about my musical tastes as similar things. Some info on that is on this page.
  • Predicting the attack on Pearl Harbor

Photos and drawings

"You assist an evil system most effectively by obeying its orders and decrees. An evil system never deserves such allegiance. Allegiance to it means partaking of the evil. A good person will resist an evil system with his or her whole soul."

-Mahatma Gandhi

A photo taken by Bill Ebbesen at the Danish Technical University on 2007/03/31. It is free to use and redistribute (placed in the public domain worldwide by the original copyright holder).

Photos from Copyright vs. Community event, Jan 31, 2008.
photo from a recent interview.photo of RMS with a large "aureole" by Roberto Brenlla.
An imaginative painting of Richard Stallman, by Jin Wicked.
Another drawing of me, by Banlu Kemiyatorn.

Some humor

I like computers, music and butterflies—among other things.
Here I am wearing my "power tie".
Here I am struggling to open a bottle of water.
My application to an Ex Boyfriends List
What Republicans Believe.
I am also a saint, in the Church of Emacs–Saint IGNUcius. The Church of Emacs will soon be officially listed by at least one person as his religion for census purposes.
There are no godfathers in the Church of Emacs, since there are no gods, but you can be someone's editorfather.
Here are my funny poetry and song parodies and some puns.
Stallman Does Dallas: "I have to warn you that Texans have been known to have an adverse reaction to my personality . . . "
The Dalai Lama today announced the official release of Yellow Hat GNU/Linux.
I found A funny song about the Mickey Mouse Copyright Act (officially the Sonny Bono Copyright Act) which extended copyright retroactively by 20 years on works made as early as the 1920s.
If you are a geek and read Spanish, you will love Raulito el Friki, who said "Hello, world!" immediately after he was born. Here's an archive of this now-defunct comic strip.
My Puns in Spanish
Linguistic Swifties

Fiction

A science fiction story: Jinnetic Engineering (in PortugueseFarsi, and Spanish ).

Non-Political Articles

On Hacking: In June 2000, while visiting Korea, I did a fun hack that clearly illustrates the original and true meaning of the word "hacker".
My Childhood Sweetheart

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 A

Admiration.http://www.union-ch.com/file/portrait.wmv

à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.


Voter par électronique; tricher facilement.


E-voting, votes par électronique: 
Valid HTML 4.01!12 ( douze ) cantons, soit: 
Fribourg, Neuchâtel et Genève 
Zurich, St-Gall, Argovie, Grisons, Schaffhouse, Soleure,Thurgovie
Lucerne
et Bâle-Ville
ont pu voter par électronique.
Comme par hasard, ce sont surtout eux qui ont dit non à la dernière votation contre les criminels étrangers.

Des députés suisses, notamment vaudois, de gauche et de droite, contre le vote électronique.

Les adversaires du vote électronique montent au front. Des députés vaudois, allant d’A Gauche toute! jusqu’à l’UDC, le jugent même dangereux pour la démocratie. Ils ont déposé une motion demandant au canton de l’interdire.


Malgré ces risques prouvés, pour la première fois, 12 cantons (sic) ont voté électroniquement en novembre 2010…et tricher trop facilement.
C’est une première en Suisse a eu lieu cette fin de novembre: douze cantons dont trois romands (Fribourg, Neuchâtel et Genève) feront des essais de vote électronique.
Les cantons de Zurich, St-Gall, Argovie, Fribourg, Grisons, Schaffhouse, Soleure et Thurgovie se sont regroupés en un «Consortium vote électronique» qui a déjà voté par électronique.

Dans les autres cantons du consortium (Zurich, Argovie, Grisons, Schaffhouse et Thurgovie), le premier vote électronique interviendra lors du scrutin du 28 novembre 2010.

Lucerne s’ est joint aussi au wagon des tricheries facilitées.

Les meilleurs experts sont contre les tricheries trop faciles.

Richard Stallman notamment est contre le vote électronique et même le vote par correspondance…
C’est ce qu’il m’a personnellement confirmé lors de son récent passage à Genève.
Postal voting used in the UK is already opening up avenues for fraud (which electronic voting will exacerbate). 
Richard Stallman expose son opposition au vote électronique, “dangereux”, et souligne que “le danger ne peut pas être prévenu en n’utilisant que du logiciel libre”, du fait des risques qu’un logiciel soit modifié avant le vote
Document à lire sur www.Ordinateurs-de-vote.org, une audition de l’expert en sécurité informatique Bruce Schneier devant la Chambre des Représentants des États-Unis (juin 2003), traduite en français, qui explique qu’Internet n’est pas sécurisé, n’est pas prêt de l’être, et que ce n’est pas qu’une question de technologie.
En anglais sur le site de la FSF France, Electronic voting and Free Software. Richard Stallman expose son opposition au vote électronique, “dangereux”, et souligne que “le danger ne peut pas être prévenu en n’utilisant que du logiciel libre”, du fait des risques qu’un logiciel soit modifié avant le vote. Voir aussi en français “La machine à voter open source est-elle vraiment une solution?” sur le site de Philippe Scoffoni.
Pas de démocratie sans confiance éclairée, par Chantal Enguehard, maître de conférences en informatique (Ordinateurs-de-vote.org, article paru dans la revue Archimède, #46, pages 8-9, octobre 2007).
Vidéo “Hacking Democracy” (voir présentation dans Wikipédia en français et en anglais), documentaire américain de 2006 sur le vote électronique
La Votation populaire sur les passeports biométriques a provoqué près de 500 recours sur toute la Suisse, dont 460 reconnus valables dans presque tous les cantons.
Les fraudes ont été prouvées dans le canton de Vaud, elles ont aussi lieu dans d’autres cantons.
Selon notamment la Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) et notamment de son article 82 al. 2, nous attaquons la décision du Conseil d’État vaudois car elle lèse gravement non seulement les droits démocratiques des Vaudois mais aussi des citoyens de toute la Suisse en couvrant de graves fraudes démocratiques.

http://euroracket.blogspot.com/2009/06/recours-final-au-tribunal-federal.html

Il existe une autre fraude encore plus grave. L’affaire des 66 milliards de l’UBS est la pointe d’un iceberg. En effet, le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de revenus.

I. L’Etat doit reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.



La democratie piratee 1/5
envoyé par nane6538. –

Des possibilités de fraude à grande échelle

Dans Vote par Internet : des experts très sceptiques, un article dans ZDNet le 4 août 2006, j’écrivais notamment: “Enfin et surtout, le vote par Internet (par différence avec un vote électronique « simple », où le votant est « dans » le bureau de vote et non à distance) crée un changement radical à la « portée de nuisance d’un fraudeur potentiel » : le rapport Pellegrini mentionne les attaques par déni de service (ou DDoS) et surtout celles où l’électeur pourrait croire que son vote a été pris en compte alors qu’il aurait été bloqué et effectué pour lui en en changeant éventuellement le contenu sans qu’il s’en aperçoive.

François Pellegrini cite le rapport (également traduit en français) du FVAP américain (Federal Voting Assistance Program) début 2004 sur le système de vote Serve, qui amena le FVAP à clôre son programme. Et il souligne que ce n’était “pas une question de moyens (les Etats-Unis n’en manquent assurément pas) ou de faiblesse cryptographique, mais bien de principe”. »

Lecture suggérée, “Vote électronique: les boîtes noires de la démocratie” (édité chez InLibroVeritas), dont je suis coauteur avec Perline, en téléchargement gratuit sous licence Creative Commons by-nc-sa.

For more information about the dangers of electronic voting, see http://www.fipr.org/eDemocracy/index.html


Postal voting used in the UK is already opening up avenues for fraud (which electronic voting will exacerbate). 

That article also points out the fundamental fallacy underlying the supposed reason for electronic voting. 


Serious Bio

Richard Matthew Stallman is a software developer and software freedom activist. In 1983 he announced the project to develop the GNU operating system, a Unix-like operating system meant to be entirely free software, and has been the project’s leader ever since. With that announcement Stallman also launched the Free Software Movement. In October 1985 he started the Free Software Foundation.
The GNU/Linux system, which is a variant of GNU that also uses the kernel Linux developed by Linus Torvalds, are used in tens or hundreds of millions of computers, and are now preinstalled in computers available in retail stores. However, the distributors of these systems often disregard the ideas of freedom which make free software important.
That is why, since the mid-1990s, Stallman has spent most of his time in political advocacy for free software, and spreading the ethical ideas of the movement, as well as campaigning against both software patents and dangerous extension of copyright laws. Before that, Stallman developed a number of widely used software components of the GNU system, including the original Emacs, the GNU Compiler Collection, the GNU symbolic debugger (gdb)GNU Emacs, and various other programs for the GNU operating system.
Stallman pioneered the concept of copyleft, and is the main author of the GNU General Public License, the most widely used free software license.
Stallman gives speeches frequently about free software and related topics. Common speech titles include “The GNU Operating System and the Free Software movement”, “The Dangers of Software Patents”, and “Copyright and Community in the Age of the Computer Networks”. A fourth common topic consists of explaining the changes in version 3 of the GNU General Public License, which was released in June 2007.
In 1999, Stallman called for development of a free on-line encyclopedia through the means of inviting the public to contribute articles.
After personal meetings, Stallman has obtained positive statements about free software from the then-President of India, Dr. A.P.J. Abdul Kalam, from French 2007 presidential candidate Ségolène Royal, and from the president of Ecuador Rafael Correa. In Venezuela, Stallman has promoted the adoption of free software in the state’s oil company (PDVSA), in municipal government, and in the nation’s military.
Stallman’s writings on free software issues can be found in Free Software, Free Society (GNU Press, ISBN 1-882114-98-1). He has received the following awards:

  • 1986: Honorary life time membership in the Chalmers Computer Society
  • 1990: Receives a MacArthur Foundation Fellowship
  • 1990: The Association for Computing Machinery’s Grace Murray Hopper Award “For pioneering work in the development of the extensible editor EMACS (Editing Macros).”
  • 1996: Honorary doctorate from Sweden’s Royal Institute of Technology
  • 1998: Electronic Frontier Foundation’s Pioneer award
  • 1999: Yuri Rubinsky Memorial Award
  • 2001: The Takeda Techno-Entrepreneurship Award for Social/Economic Well-Being
  • 2001: Honorary doctorate from the University of Glasgow
  • 2002: United States National Academy of Engineering membership
  • 2003: Honorary doctorate from the Vrije Universiteit Brussel
  • 2004: Honorary doctorate from the Universidad Nacional de Salta, in Argentina
  • 2004: Honorary professorship from the Universidad Nacional de Ingeniería del Peú
  • 2005: Fundazione Pistoletto prize
  • 2007: Honorary professorship from the Universidad Inca Garcilaso de la Vega, in Peru
  • 2007: First Premio Iternacional Extremadura al Conocimiento Libre
  • 2007: Honorary doctorate from the Universidad de Los Angeles de Chimbote, in Peru
  • 2007: Honorary doctorate from the University of Pavia
  • 2008: Honorary doctorate from the Universidad Nacional de Trujillo, in Peru
  • 2009: Honorary doctor of science degree from Lakehead University in Canada

Stallman graduated from Harvard in 1974 with a BA in physics. During his college years, he also worked as a staff hacker at the MIT Artificial Intelligence Lab, learning operating system development by doing it. He wrote the first extensible Emacs text editor there in 1975. He also developed the AI technique of dependency-directed backtracking, also known as truth maintenance. In January 1984 he resigned from MIT to start the GNU project.

Richard Stallman’s 1983 biography

(this biography was published in the first edition of “The Hacker’s Dictionary”.)
I was built at a laboratory in Manhattan around 1953, and moved to the MIT Artificial Intelligence Lab in 1971. My hobbies include affection, international folk dance, flying, cooking, physics, recorder, puns, science fiction fandom, and programming; I magically get paid for doing the last one. About a year ago i split up with the PDP-10 computer to which I was married for ten years. We still love each other, but the world is taking us in different directions. For the moment I still live in Cambridge, Massachusetts, among our old memories. “Richard Stallman” is just my mundane name; you can call me “rms”.
 [image of rms playing recorder to a butterfly that is visiting the computer room]  (jpeg 2k) (jpeg 64k) There is a black-and-white photograph of me as a 5820K Encapsulated Postscript file, a 3762K JPEG file, and a 5815K TIFF file.
Here is a color photo in JPEG format.

Curiosities

  • Sometimes people write asking questions about how I use software. Here is some info on my computer use
  • People also sometimes ask about my musical tastes as similar things. Some info on that is on this page.
  • Predicting the attack on Pearl Harbor

Photos and drawings

“You assist an evil system most effectively by obeying its orders and decrees. An evil system never deserves such allegiance. Allegiance to it means partaking of the evil. A good person will resist an evil system with his or her whole soul.”

-Mahatma Gandhi

A photo taken by Bill Ebbesen at the Danish Technical University on 2007/03/31. It is free to use and redistribute (placed in the public domain worldwide by the original copyright holder).

Photos from Copyright vs. Community event, Jan 31, 2008.
photo from a recent interview.photo of RMS with a large “aureole” by Roberto Brenlla.
An imaginative painting of Richard Stallman, by Jin Wicked.
Another drawing of me, by Banlu Kemiyatorn.

Some humor

I like computers, music and butterflies—among other things.
Here I am wearing my “power tie”.
Here I am struggling to open a bottle of water.
My application to an Ex Boyfriends List
What Republicans Believe.
I am also a saint, in the Church of Emacs–Saint IGNUcius. The Church of Emacs will soon be officially listed by at least one person as his religion for census purposes.
There are no godfathers in the Church of Emacs, since there are no gods, but you can be someone’s editorfather.
Here are my funny poetry and song parodies and some puns.
Stallman Does Dallas: “I have to warn you that Texans have been known to have an adverse reaction to my personality . . . “
The Dalai Lama today announced the official release of Yellow Hat GNU/Linux.
I found A funny song about the Mickey Mouse Copyright Act (officially the Sonny Bono Copyright Act) which extended copyright retroactively by 20 years on works made as early as the 1920s.
If you are a geek and read Spanish, you will love Raulito el Friki, who said “Hello, world!” immediately after he was born. Here’s an archive of this now-defunct comic strip.
My Puns in Spanish
Linguistic Swifties

Fiction

A science fiction story: Jinnetic Engineering (in PortugueseFarsi, and Spanish ).

Non-Political Articles

On Hacking: In June 2000, while visiting Korea, I did a fun hack that clearly illustrates the original and true meaning of the word “hacker”.
My Childhood Sweetheart

Links

Other sites and organizations of interest:

Thanks

I would like to thank:

  • Positive Internet for sponsoring this web site.
  • Victor Cortiano, Mark Eriksen, William Demchick, and John C. Vernaleo for installing new text.
  • Mark Eriksen for providing the new search feature.
  • Craig Metrolis for working on making pages valid html.
  • Keith Goodman for typo corrects and proofing.
  • John C. Vernaleo for helping to run the site.
  • Graziano Sorbaioli for improving the layout of the main page.

Please send comments on these web pages to rms at gnu period org.
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photos subdirectory is permitted under the Creative Commons Noderivs license version 3.0 or later. You can copy and redistribute the photo of me playing music to the butterfly under the Creative Commons Noderivs Nocommercial license version 3.0 or later. Any other photos of me in this (the toplevel) directory may be copied and redistributed under the Creative Commons Noderivs license version 3.0 or later.


 A

Admiration.http://www.union-ch.com/file/portrait.wmv

à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.


Invitation gratuite: Les risques judiciaires

s



Mercredi 8 décembre, 19h : 

7à9 ( de 19h00 à 21h00 )

MBA et Gradués HEC et leurs ami(e)s:

Les riques judiciaires à ne jamais négliger pour toute jeune entreprise en Suisse

Informations et inscriptions [ici]!





Les risques judiciaires à ne jamais négliger pour toute jeune entreprise en Suisse

Conférence 7à9 le mercredi 8 décembre de 19h00 à 21h00, hôtel Alpha-Palmiers (Lausanne)

 

Le cas concret d’un gradué du MBA Lausanne, M. Denis Erni.
Avec la présence de
M. Denis Erni
Me Rudolf Schaller, conseiller juridique de M. Denis Erni,
Prof. François Chaudet, professeur honoraire à l’université de Lausanne, spécialiste du droit des affaires, qui animera et modéra cette séance.
Conférence en français organisée par Alumi MBA HEC-Lausanne, en collaboration avec les Gradués HEC.

Vous pouvez vous inscrire ici!

 

 

Pour consulter la liste des participants!

Dans le cours du MBA est enseigné le droit des affaires mais dans la réalité ces règles ne suffisent pas. Le jeune entrepreneur se croyant protégé par un contrat peut perdre son entreprise par la méconnaissance du monde judiciaire.
C’est l’expérience que va nous faire partager M. Denis Erni qui a fondé en 1993 une startup pour l’exploitation du commerce électronique sur TV interactive et PC /web. Démarche similaire à celle suivie à la même époque par Jeff Bezos qui lançait aux USA, le groupe Amazon. Ce témoignage poignant nous rappellera que si nul n’est sensé ignorer la loi, cela est souvent insuffisant: la loi étant appliquée par des hommes selon des usages non écrits, des précautions supplémentaires doivent être prises.
Au travers de ce cas concret médiatisé, M. Erni et Me Schaller présenteront une réalité judiciaire inconnue de la plupart d’entre nous ainsi que des pièges à éviter, en particulier lors de la définition des rôles respectifs des partenaires de la startup, ainsi que de la gestion d’un contentieux avec une personne ayant une bonne connaissance du monde de la justice. Vos questions seront les bienvenues en fin de conférence.
En espérant vous voir nombreux, inscription obligatoire via le lien suivant ….
Meilleures salutations,
 Votre Comité Alumni MBA.
PS
Le Comité Alumni MBA ne se prononce bien sûr pas sur le fond de cette affaire non close, et aucun autre nom lié à cette affaire ne sera cité lors de cette conférence. Nous resterons au niveau de l’expérience générale et de son intérêt pour tout entrepreneur (au sens large) actuel ou futur, en particulier de la différence entre l’attente que l’on peut avoir de la justice et sa réalisation.
Intervenants :
 M. Denis Erni, Dr ingénieur physicien, a fait le MBA-HEC à Lausanne en 1987. Il suit de près le passage de l’ère analogique (film argentique, disque vinyl) à l’ère numérique (film numérique, CD ROM). Il commence une carrière fulgurante en tant que Directeur général de Balzers Singapour, division d’Oerliko-Bührle. Au cœur des nouvelles technologies du multimédia, il introduit notamment les premières lignes de reproduction de CD en Asie. De retour en Europe, convaincu du grand potentiel du commerce électronique, il fonde son entreprise.
 Me Rudolf Schaller, très connu comme l’avocat de Franz Weber, est l’un des fondateurs des JDS. Il combat les privilèges du barreau. Il a gagné 3 fois contre la Suisse à Strasbourg.
 Prof. François Chaudet, professeur honoraire HEC à l’Université de Lausanne, doyen d’âge et de fonction de l’Etude CBWM & Associés, Me François Chaudet s’est beaucoup engagé sur le plan militaire, où il a atteint le grade de major, et civil, notamment en faisant partie pendant huit ans du Conseil synodal de l’Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud, en présidant la section vaudoise de la LICRA, en créant et présidant l’Association Libertas Suisse. Il préside encore Open Eyes, Fondation pour la recherche en ophtalmologie. A côté de ses activités d’avocat et d’arbitre dans le domaine du droit des affaires, Me François Chaudet est actif dans un certain nombre de sociétés, soit comme administrateur soit comme président, notamment dans les domaines de la grande distribution, de la banque, de l’immobilier, de la santé et de l’hôtellerie. (Source : http://www.cbwm.ch)

NO limits in money creation…by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich

At least 5 countries have NO limits in money creation…by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich, i.e.  a 0 (none)  limit, that means private banks can create debts with interests as much as they can…..leading to unfair competition and crisis… and wars…
Those very huge amounts are leading th huge amount of interests to be paid, even if the interest rate is low.

Country   Required reserve ratio/%   Note  
Australia None
Canada None
Mexico None
Sweden None
United Kingdom None

Other countries have required reserve ratios (or RRRs) that are statutorily enforced (sourced from Lecture 8, Slide 4: Central Banking and the Money Supply, by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich (based on 2003 survey of CBC participants at the Study Center Gerzensee[2]):
In crisis times, value ot many assets are collapsing but most debts are kept intact thanks to the support of the politicians t0 the bankers, leading to more troubles in all the others segments of the populations.
Politicians will protect taxes to be sure to have better conditions for themselves and for the bankers.
Most taxes are going first to pay the huge and insane salaries of the bankers.



Dear  Francois,
                                You  are  absolutely correct about the banks having the right to create   "credit"  with its  corollary of "Interest Bearing Debt  to the  creator",  such creation functioning  as  "Money"   wherever it is used.     New  Zealand Ministers  of the  Crown,  like  expert witnesses   in  Commission Hearings and investigations are  currently  acknowledging that  only  around  3% of   the national  so-called   "M1"  Money Supplies  exist as  legal  tender created  by  central government administrations.  
This  admits that the other 97%   of  the   official  "Money Supply"   has been created  out of nothing  as  debt by , and to , the banking system, by the  members of that sector.   Put  another way,   the  figures  in computers that  currently  function as  "Money"    are  just  reflections of  debts owed by  individuals,  enterprises,  and  all  local  and central governments,  to   members of the  Finance Sector;  mainly  the  Banks. 
When  the late President Abraham Lincoln stated , " If the American people ever discover how  the finance system really works,  there will be a revolution before  breakfast " ,  he was  dead  serious.   It is  fear of this   contingency  which  causes the  Finance Sector,  and all the  parties which,  for   whatever reasons  want the present  privileges and  arrangements to  continue ,  that  motivates  their  unofficial representatives  to  accept all  sorts of conventions  and  apparent  restrictions to  continue.   Such  concessions,  even extending to the payment of interest on deposits with   lending  institutions of all kinds,  are accepted because they  not only  confuse the issue,  they appear to  "prove"   that banks  lend their deposits.   Factually,  all they   do is  prop up the  "Myth"  of deposit  lending,  which  all supporters of the  Debt Finance System  hide  behind;  some  for reasons of  complicity,  and others  through outright ignorance. 
Until  the  right to  create  and own  national money supplies  is  reclaimed by  representative governments, and spent  into  circulation by  them, without  debt,  but  limited  to   the proper  balance with the circulating value of Goods  and  Services,   then  the legal  extortion by the  Finance Sector  will continue.       Only  then will it be possible for  we  human  beings  to have  and  enjoy   the  wealth we  are creating , using   currently
available  resources,  without  mortgaging our  children  to  the  Banking Sector.    We need  another  Abe Lincoln. 

NO limits in money creation…by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich

At least 5 countries have NO limits in money creation…by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich, i.e.  a 0 ( zero, none )  limit, that means private banks can create debts with interests as much as they can…..leading to unfair competition and crisis… and wars…
Those very huge amounts are leading to huge amount of interests to be paid, even if the interest rate is low.

Country   Required reserve ratio/%     
Australia None
Canada None
Mexico None
Sweden None
United Kingdom None

Other countries have required reserve ratios (or RRRs) that are statutorily enforced (sourced from Lecture 8, Slide 4: Central Banking and the Money Supply, by Dr. Pinar Yesin, University of Zurich ( based on 2003 survey of CBC participants at the Study Center Gerzensee[2] ):

In crisis times, value ot many assets are collapsing but most debts are kept intact thanks to the support of the politicians to the bankers, leading to more troubles in all the others segments of the populations.


Politicians will protect taxes to be sure to have better conditions for themselves and for the bankers.


Most taxes are going first to pay the huge and insane salaries of the bankers. Who are the real owners of all those very huge amounts, trillions and trillions ??? ). What do they do with ?  Wars ? Manipulations ? Viruses ?





Under Pres. Carter, prime rate was above 20 % !

Dear  Francois,
                                You  are  absolutely correct about the banks having the right to create   “credit”  with its  corollary of “Interest Bearing Debt  to the  creator”,  such creation functioning  as  “Money”   wherever it is used.     New  Zealand Ministers  of the  Crown,  like  expert witnesses   in  Commission Hearings and investigations are  currently  acknowledging that  only  around  3% of   the national  so-called   “M1”  Money Supplies  exist as  legal  tender created  by  central government administrations.  
This  admits that the other 97%   of  the   official  “Money Supply”   has been created  out of nothing  as  debt by , and to , the banking system, by the  members of that sector.   Put  another way,   the  figures  in computers that  currently  function as  “Money”    are  just  reflections of  debts owed by  individuals,  enterprises,  and  all  local  and central governments,  to   members of the  Finance Sector;  mainly  the  Banks. 
When  the late President Abraham Lincoln stated , ” If the American people ever discover how  the finance system really works,  there will be a revolution before  breakfast ” ,  he was  dead  serious.   It is  fear of this   contingency  which  causes the  Finance Sector,  and all the  parties which,  for   whatever reasons  want the present  privileges and  arrangements to  continue ,  that  motivates  their  unofficial representatives  to  accept all  sorts of conventions  and  apparent  restrictions to  continue.   Such  concessions,  even extending to the payment of interest on deposits with   lending  institutions of all kinds,  are accepted because they  not only  confuse the issue,  they appear to  “prove”   that banks  lend their deposits.   Factually,  all they   do is  prop up the  “Myth”  of deposit  lending,  which  all supporters of the  Debt Finance System  hide  behind;  some  for reasons of  complicity,  and others  through outright ignorance. 
Until  the  right to  create  and own  national money supplies  is  reclaimed by  representative governments, and spent  into  circulation by  them, without  debt,  but  limited  to   the proper  balance with the circulating value of Goods  and  Services,   then  the legal  extortion by the  Finance Sector  will continue.       Only  then will it be possible for  we  human  beings  to have  and  enjoy   the  wealth we  are creating , using   currently
available  resources,  without  mortgaging our  children  to  the  Banking Sector.    We need  another  Abe Lincoln. 

3 mensonges officiels

1984 : Bohpal en Inde.

Un accident dans une usine de pesticide libère un énorme nuage toxique, notamment de dioxines.

Cet accident industriel n' aurait tué officiellement que 3 500 personnes.

Plus de 15.000 personnes sont mortes simplement par suffocation. Il n'existait pas de secours préhospitaliers, le seul hôpital de la ville a été submergé, de très nombreuses victimes sont mortes faute de soins.

Cette catastrophe d'une ampleur majeure a fait plus de 350.000 victimes, brûlées ou intoxiquées, qui meurent encore tous les jours.
Brûlures des poumons, cancers, stérilité, malformations, maladies mentales, maux de têtes… 

Les responsables ne sont que très faiblement inquiété.
Union Carbide a versé 470 000 000 $ mais continue de refuser d'accepter la responsabilité.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Bhopal

http://www.rue89.com/2010/06/13/bhopal-apres-25-ans-le-nombre-des-victimes-augmente-154696

1986 : Tchernobyl en Ukraine.

La plus grande catastrophe nucléaire connue à ce jour.

L'effet sanitaire des radiations a été l'objet d'une polémique qui dure encore, les estimations du nombre de victimes seraient d'une cinquantaine de morts ( sic, 50 ).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Tchernobyl

Nous aurions déjà plus d'un million de morts.

2010 : Savoie et Suisse

Tridel, Gilly, incinérateurs incinératueurs. 1285 fois la norme maximale.


Le feu décuple les pollutions, surtout par les nano particules cancérigènes.
D'autres solutions efficaces ont pourtant fait leur preuve : Prévention – Tri – Recyclage – Compostage – Méthanisation … moins onéreuses, moins dangereuses, plus écologiques et créatrices de nombreux emplois locaux, plutôt que de nous imposer ces gigantesques usines cumulant tous les défauts :

 Incinérateur incinératueur.

http://desiebenthal.blogspot.com/2010/11/tridel-gilly-incinerateurs.html

Tchernobyl

La bataille des chiffres.

Le bilan provisoire de la catastrophe de Tchernobyl Tchernobyl, 21 ans après, c'est pour les «liquidateurs» de 25 000 à 100 000 morts et plus de 200 000 invalides, et pour les populations exposées à la contamination un bilan qui sera selon les estimations de 14 000 à plus de 560 000 morts par cancer, et autant de cancers non-mortels. Un message du Secrétaire Général de l'ONU, Kofi Annan, déclare que 9 millions d'adultes et plus de 2 millions d'enfants, souffrent des conséquences de Tchernobyl, et que la tragédie ne fait que commencer. "Un nombre qui ne fait qu'augmenter", selon Martin Griffiths, Directeur du département des affaires humanitaires des Nations Unies (Conférence OMS 1995).
Ces victimes souffrent de maux liés aux radiations: leucémies, cancers du côlon, du poumon, de la vessie, du rein, de la thyroïde, du sein…
Et surtout, l'irradiation aggrave la morbidité (incidence des maladies): maladies du coeur et des vaisseaux (dans des régions contaminées par 5 à 15 Ci de Cs137/km2, jusqu'à 80% des enfants souffrent de symptômes cardiaques), maladies du foie, des reins, de la glande thyroïde, altérations du système immunitaire, arrêt du développement mental chez des enfants exposés in utero, cataractes, mutations génétiques, malformations congénitales, malformations du système nerveux, hydrocéphalies, etc.   1) – Estimation NRC (autorité de sûreté américaine) à 14 000 morts et DOE (département de l'énergie des Etats-Unis) à 27 000 morts – Chernobyl: A Crossroad in the Radiation Health Sciences (http://www.ratical.org/radiation/CNR/RIC/chp24F.html#part4) "Estimate Issued by NRC:
The geographical distribution in the estimate is (Nrc87, pages 8-10, 8-14): EUROPEAN USSR: 10 000 fatal + 10 000 non-fatal.
NON-USSR EUROPE: 4 000 fatal + 4 000 non-fatal.   Estimate Issued by DOE:
EUROPEAN USSR: 11 410 fatal cancers.
ASIAN USSR: 2 500 fatal cancers
NON-USSR EUROPE: 13 000 fatal cancers.
NON-USSR ASIA: 620 fatal cancers.
USA + CANADA: 27 fatal cancers."   2) – Estimation soviétique (en août 1986) à 40 000 morts Délégation soviétique, AIEA, Vienne en août 1986, annexe 7 du document concernant les problèmes médico-biologiques. (Gazette Nucléaire 96/97 juillet 1989, http://www.dissident-media.org/infonucleaire/bilan_sanitaire_tcherno.html) Les experts soviétiques ont estimé les doses reçues par la population. Voici quelques chiffres pour résumer : a) pour la population évacuée dans un rayon de 30 km, 135 000 personnes, la dose moyenne pour le rayonnement externe est de 11,9 rem ; 24 200 d'entre elles reçurent plus de 35 rem. Cette estimation néglige toute contamination interne. Celle-ci n'a certainement pas été négligeable ; par exemple il est indiqué qu'à Pripyat l'activité béta totale dans l'air était de 15 000 Bq/m3, soit pour un homme standard inhalant 20 m3 d'air par jour une incorporation de 600 000 Bq en 48 heures. La nourriture consommée avant l'évacuation devait être très fortement contaminée. b) l'estimation porte sur 75 millions d'habitants de la partie européenne de l'URSS, essentiellement la population de l'Ukraine, Biélorussie et Russie. Les valeurs explicitées sont les suivantes pour cette population:
Dose engagée pour 70 ans
– par rayonnement externe 29 millions personnes x rem
– par contamination par les Césium 210 millions personnes x rem Mortalité par cancers de la thyroïde induits par l'Iode 131 : 1 500.
Les experts soviétiques se réfèrent à la publication 26 de la CIPR (1977) qui recommande un modèle de risque cancérigène sans seuil, directement proportionnel à la dose de rayonnement reçu. Le bilan de l'excès de mortalité par cancers radioinduits pourrait être de 30 000 à 40 000 pour les 70 ans à venir. Le rapport mentionne qu'il n'a pas été tenu compte du Strontium 90 faute de données fiables sur ses coefficients de transfert, mais il est signalé qu'il pourrait être une des composantes importantes de la contamination radioactive avec le Césium. c) aucune estimation n'est faite pour le reste de l'URSS. Ceci devrait alourdir le bilan car, même si la contamination y a été plus faible, elle touche une population bien plus nombreuse (200 millions d'habitants environ). d) effets génétiques : aucune estimation n'est faite pour ces effets.   3) Le bilan pour les 75 millions d'habitants d'Ukraine, de Biélorussie et de Russie est de 126 500 morts avec le nouveau facteur de risques officiellement admise par la C.I.P.R. (Commission Internationale de Protection Radiologique) depuis 1990 à partir de l'annexe 7 du rapport de l'A.I.E.A. de 1986. (Tchernobyl, une catastrophe, Bella et Roger Belbéoch, Éd. Allia, Paris 1993, http://www.dissident-media.org/infonucleaire/tcherno_une_catastrophe.html) Pour estimer l'excès de cancers mortels qui seront dus à la catastrophe de Tchernobyl, il est nécessaire tout d'abord de fixer le facteur de risque cancérigène et ensuite de connaître la dose engagée collective. En ce qui concerne le facteur de risque considérons deux valeurs extrêmes. La valeur minimale est celle officiellement admise par la C.I.P.R. (Commission Internationale de Protection Radiologique) depuis 1990: 500 cancers mortels supplémentaires pour 1 million de rem x homme de dose engagée (ou 10.000 sievert x homme). Pour la valeur haute, nous prendrons la valeur brute (sans corrections), établie à partir du suivi de mortalité des survivants japonais: 1.740 cancers mortels supplémentaires pour une dose engagée de 1 million de rem x homme (intitulée ci-dessous R.E.R.F. 1987). Cette valeur n'est pas la plus élevée de toutes les estimations proposées pour le facteur de risque cancérigène. L'étude du suivi de mortalité de l'usine nucléaire de Hanford (U.S.A.) par Mancuso, Stewart et Kneale conduit à une valeur 2 à 3 fois plus élevée. Ainsi ce que nous donnons ici comme valeur haute du bilan pourrait être aussi assez sous-estimée. La dose moyenne engagée sur 70 ans a été évaluée à 3,3 rem par les experts soviétiques en 1986, correspondant à une dose engagée collective d'environ 250 millions de rem x homme. Cela donne les valeurs suivantes pour le nombre possible de cancers mortels à venir:
C.I.P.R. 1990 = 125 000 morts
R.E.R.F. 1987 = 430 000 morts A ces bilans il faut ajouter les cancers radio-induits dans le reste de l'U.R.S.S. et sur l'ensemble de l'hémisphère Nord. Pour les régions très lointaines de Tchernobyl, la contamination radioactive ainsi que la dose engagée individuelle sont plus faibles, mais elles concernent par contre des populations beaucoup plus importantes et le bilan est loin d'etre négligeable même s'il est difficile à établir. Ces évaluations concernent l'excès de mortalité par des cancers radio-induits. On peut estimer que les cancers non fatals seront à peu près en nombre égal. Pour ceux qui sont intervenus ultérieurement, les liquidateurs, les diverses informations disponibles permettent d'évaluer à environ 600.000 au moins le nombre de décontaminateurs qui se sont relayés jusqu'à présent sur le site. Deux hypothèses ont été retenues pour la dose individuelle moyenne reçue:
– 5 rem (valeur officielle);
– 25 rem (valeur plausible d'autant plus qu'il faut tenir compte de la forte contamination interne par les poussières). Avec ces deux valeurs le nombre des morts serait:
C.I.P.R. 1990 : pour 5 rem = 1 500 ; pour 25 rem = 7 500
R.E.R.F. 1987: pour 5 rem = 5 220 ; pour 25 rem = 26 100 Pour être complet, il faudrait aussi inclure dans le bilan l'excès de mortalité par cancer parmi ceux qui, pendant des années encore, vont intervenir sur le site. Personne parmi les officiels n'a jusqu'à présent fourni d'indications sur ce point.   4) – Estimation J. W. Gofman à 475 000 morts + 475 000 cancers non mortels Chernobyl's 10th:   Cancer and Nuclear-Age Peace Don't Be Deceived By John W. Gofman, M.D., Ph.D. (http://www.ratical.org/radiation/CNR/Chernys10th.html)
"A Million Chernobyl-Induced Cancers
          My estimate in 1986, based upon releases of various non-iodine radionuclides, was 475,000 fatal cancers plus about an equal number of additional non-fatal cases, occurring over time both inside and outside the ex-Soviet Union. Such estimates, old and new, have to be based on real-world evidence from non-Chernobyl studies — because standard epidemiological studies (which "count" extra cancer cases) are the wrong tool for evaluating Chernobyl. No one can "see" even a half-million Chernobyl-induced cancers when they are spread among a half-billion people and occur over a century.
          There is great "beauty" in this situation, from the viewpoint of radiation enthusiasts. They can sponsor studies from which they can announce, "We didn't find a half-million extra cancers — we didn't find any provable excess at all."
          If a half-million people were rounded up in a stadium and shot to death, the corpses would be there to see. The same number of people killed by vicious cancers from Chernobyl — spread out in time over Europe, Britain, Scandinavia, and the ex-USSR — will never know what killed them. And assuredly the radiation community won't tell them. Then how can we assure you that the cancers are real? "   5) Le bilan pour les «liquidateurs» Pour les «liquidateurs», ces 600 000 à 800 000 soldats, civils et fonctionnaires qui ont été expédiés sur place juste après l'explosion pour neutraliser le réacteur et enterrer les déchets contaminés. En novembre 1995, le Ministre de la Santé de l'Ukraine a déclaré à Genève, que 10% des liquidateurs de son pays étaient déjà invalides. A la conférence de l'OMS à Kiev en juin 2001, le Ministre de la Santé d'Ukraine a déclaré que dans la plupart des républiques de l'ancienne Union Soviétique, la proportion des invalides parmi les liquidateurs dépassait les 30% !
S.I. Ivanov, Médecin chef de la Fédération de Russie a déclaré que: "Plus de 200 000 Russes ont été engagés dans les travaux de liquidation… Selon le Registre officiel, 50.000 sont invalides et 15.000 déjà morts." Selon Wladimir Tchertkoff qui a filmé la conférence de l'OMS à Kiev en 2001 (Cf. le documentaire "Controverses Nucléaires"): « L'estimation du nombre total des liquidateurs, appelés de toute l'Union Soviétique à construire le "sarcophage" et à décontaminer les territoires, varie entre 600 000 et 800 000 jeunes hommes en pleine santé (certaines associations de défense de leurs droits avancent le chiffre de 1 million). Leur âge moyen était de 33 ans en 1986. Les informations concernant la catastrophe de Tchernobyl étant couvertes du secret d'état pendant les 4 premières années (les dernières de l'existence de l'URSS), et les doses d'irradiation qu'ils ont reçues étant systématiquement diminuée […]. Les survivants de cette armée sont dispersés sur les 11 fuseaux horaires de l'ex-Union Soviétiques, nombreux sont inconnus des statisticiens et grâce à la désinformation, planifiée conjointement par le Krémlin et par les agences nucléaires de l'ONU, ils ne savent pas pourquoi ils sont malades et de quoi ils meurent si jeunes. Le chiffre officiel enregistré par la Fédération de Russie permet donc d'évaluer à 200 000 – 300 000 le nombre total des liquidateurs invalides et à 60 000 – 100 000 les décédés, à ce jour. » En avril 2004 dans le texte de commémoration (de la catastrophe de Tchernobyl) de l'Ambassade d'Ukraine en Belgique, il est dit que depuis 1986 sont décédés plus de 25.000 "liquidateurs" ! (http://www.ukraine.be/news/discours/d260404.html) Pour le physicien bélarusse Gueorgui Lepnine qui a travaillé sur le réacteur numéro 4 "Selon mon décompte, le nombre de « liquidateurs » décédés atteint aujourd'hui [septembre 2005] près de 100 000 personnes, alors qu'un million de personnes au total ont travaillé à la centrale de Tchernobyl " après l'accident, a estimé M. Lepnine. "Aujourd'hui, les médecins tentent d'expliquer ces morts par le stress, les maladies cardio-vasculaires. Mais pourquoi ces maladies sont-elles apparues?", s'interroge M. Lepnine. "Il n'y a aucune statistique sur le décès des "liquidateurs", personne ne les publie", a-t-il souligné. Selon le physicien bélarusse, la mortalité parmi les "liquidateurs" de Tchernobyl est 75 fois plus élevée que parmi les catégories comparables de la population.   6) Les cancers de la thyroïde

"C'est une maladie du petit enfant qui n'existait pratiquement pas autrefois, une affection très maligne, contrairement au cancer de la thyroïde plus commun chez nous. Dans 80% des cas, au moment du diagnostic il y a déjà des métastases dans les ganglions lymphatiques voire dans le poumon" (Professeur Michel Fernex, Vienne, 12-15 avril 1996). Officiellement 1 800 cas de cancer de la thyroïde attribués à Tchernobyl ont aujourd'hui été recensés. Dans les régions les plus contaminées, comme à Gomel, cette pathologie est 200 fois plus courante chez les enfants qu'en Europe de l'Ouest. Les prévisions sur le nombre de cas à venir vont de «quelques milliers», selon l'AIEA, à 66 000 pour les seuls enfants biélorusses âgés de moins de quatre ans en 1986, selon Elisabeth Cardis, une scientifique de l'OMS qui qualifie néanmoins cette estimation de «très incertaine» (http://www.unesco.org/courier/2000_10/fr/planet.htm).   7) Pathologies cardiaques "En 1989, le quotidien la Pravda publia une carte montrant que la zone contaminée était bien plus étendue qu'on ne l'avait annoncé. Environ 28 000 km2 étaient contaminés par des retombées de 5 à 15 curies de césium 137 par kilomètre carré (sans compter le strontium 90, le plutonium… ): 16 500 km2 en Biélorussie, 8 000 en Russie et 3 500 en Ukraine."
Et pour le Dr. Galina Bandajevskaya, cardiologue et pédiatre: Dans des régions contaminées par 5 à 15 Ci de 137Cs/km2, jusqu'à 80% des enfants souffrent de symptômes cardiaques.   8) Autre maladies Le diabète sucré a été évoqué au nombre des causes de mort considérées comme n'ayant aucun rapport avec Tchernobyl. Cependant le Ministre de la Santé de l'Ukraine avait, lors de la Conférence de l'OMS à Genève en novembre 1995, signalé une augmentation de 25% de l'incidence de cette maladie. Elle aurait également augmenté de 28% en Biélorussie. A Gomel, le nombre des cas de diabète sucré de l'enfant a doublé par rapport à la période qui précède l'accident. Par ailleurs, dans les zones contaminées, les maladies infectieuses augmentent de gravité, le rhume se complique de sinusite qui dégénère en abcès du cerveau, évolution autrefois excessivement rare. La même chose se produit avec les bronchites qui, chez l'enfant, entraînent une pneumonie qui évolue vers des pneumonies nécrosantes. Ces maladies exceptionnelles dans le service universitaire de pédiatrie à Minsk, deviennent communes et elle entraînent des séquelles irréversibles. D'autres maladies encore, comme l'asthme bronchique et des allergies, prouvent que le système immunitaire de ces enfants est atteint. (Professeur Michel Fernex, Vienne, 12-15 avril 1996)   9) Malformations à la naissance Le nombre des enfants nés avec des malformations majeures a dramatiquement augmenté dans les zones contaminées par les retombées radioactives. L'incidence des malformations a doublé à l'échelle nationale après l'accident de Tchernobyl par rapport à la période de 1982 à 1986. (Professeur Michel Fernex, Vienne, 12-15 avril 1996)
Viatcheslav Stanislavovitch médecin-chef du service pédiatrique de l'hôpital de Gomel (Bélarus) déclare : "… En 1985, 1 an avant la catastrophe, 200 cas de malformations étaient répertoriés. En 2000, plus de 800 cas, malgré pourtant une baisse considérable des naissances : actuellement 14 à 15 000 naissances/an, contre 28 à 30 000 avant la catastrophe de Tchernobyl" (Trait d'union n°25/26, Mission CRIIRAD au Bélarus en 2003). Dans la région de Vitesk, pourtant considérée comme propre, il y a une augmentation de 47 % des malformations intra-utérines de 1986 à 1994. Dans la région de Moguilev, où la contamination en césium 137 est de près de 15 curies/km2 (soit 555 000 becquerels/m2), l'augmentation est de 83 %, alors qu'elle est de 87% dans celle de Gomel [la région du Bélarus la plus contaminée]". Selon les données du ministère de la santé, le taux de malformations à la naissance est actuellement de 8,5 pour 1 000 ; En fait, précise-t-il, s'il n'y avait pas eu le dépistage et les avortements 12 enfants sur 1 000 (et non pas 8) seraient nés avec des malformations. Il ajoute que ces chiffres sont à prendre avec précaution, car toutes les malformations ne sont pas prises en compte. (professeur Lazjuk, Trait d'union n°25/26, Mission CRIIRAD au Bélarus en 2003) Quelques photos d'Adi Roche, responsable de la "Fondation les Enfants de Tchernobyl" d'Irlande. Elles proviennent de Minsk (fin 1995). Vous avez un enfant né avec des malformations multiples des extrémités, de la face, du cerveau. Il est mort au bout de quelques mois. Un autre enfant né avec une anencéphalie, c'est à dire une absence de cerveau. Il mène une vie végétative et ses parents l'ont abandonné. Ici vous voyez un enfant né avec une malformation de la face en bec de lièvre traversant. On l'a intubé après opération, mais il n'a pas survécu. La petite Nastia, parfaitement normale sauf une amélie des deux jambes avec pieds bots, a pu être opérée avec succès en Irlande [fig 13 – 20] (Solange Fernex, Vienne, 12-15 avril 1996).   Conclusion: Pour masquer l'augmentation de l'incidence des maladies et des cancers, la science peut être utilisée par l'AIEA et l'OMS pour éviter de trouver un lien entre une maladie et Tchernobyl (voir: Les liens contre-nature de l'OMS avec l'AIEA, leur accord de 1959). La technique à utiliser pour ce type de recherche "négative" est la suivante: Il faut tout d'abord choisir de mauvais indicateurs dans les protocoles de recherche. Par exemple, si l'on étudie les cancers, on choisira la mortalité au lieu de la morbidité, sachant qu'il faut beaucoup d'années avant que l'on ne meure d'un cancer. On choisira ensuite la fausse pathologie, par exemple on recherchera la cirrhose plutôt que le diabète sucré. Il est aussi important de choisir un délai inapproprié, pour que l'étude soit terminée avant la fin de la période de latence des tumeurs malignes, ce qui permet de conclure à l'absence de cancers radio induits. Le protocole exclura également de l'étude les groupes à risque comme les femmes enceintes ou les enfants. Sur ces bases, l'expert ne trouvera – comme souhaité – aucune différence statistiquement significative. C'est ainsi que ces "experts" prétendent avoir démontré l'absence de lien entre Tchernobyl et les pathologies étudiées. De plus, pour les autorités sanitaires, tout excès de cancers dus au rayonnement est considéré comme négligeable s'il est faible comparé aux cancers qui se développent naturellement. Ainsi, même les évaluations ci-dessus du bilan de la catastrophe de Tchernobyl sont pour eux totalement négligeables. En effet, la mortalité par cancers naturels sera d'environ 20 000 pour les 135 000 évacués de 1986, 90 000 pour les liquidateurs, 11 millions pour les 75 millions d'habitants pris en compte pour l'Ukraine, la Biélorussie et la Russie. Pour ces autorités, « négligeable » a un sens strictement social. Le fait qu'il s'agit d'individus dont la mort sera le résultat du fonctionnement catastrophique d'une installation nucléaire ne les concerne pas. Karl Morgan à propos de l'effet cancérigène des retombées des tests de bombes nucléaires écrit : « C'est comme si l'on disait à une mère dont l'enfant se meurt de cancer induit par les radiations de ne pas se faire de mauvais sang parce que 30 millions d'autres personnes dans la zone humide des USA mourront naturellement de cancers. »
http://www.dissident-media.org/infonucleaire/estimations.html

Tridel Lausanne pollue italien.







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Camions Della Santa et Friderici chargés d’ordures notamment italiennes devant l’entrée de Tridel, camions Della Santa qui viennent presque chaque nuit depuis des années à travers les alpes jusqu’à Lausanne.

Trop d’ordures très toxiques de l’étranger, surtout de l’Italie, sans aucun contrôle donc probablement de la mafia napolitaine
L’ énergie faite à partir d’ ordures est produite surtout à partir de sacs poubelles en plastiques et de déchets divers re-mélangés, donc dé-triés ( sic, Tridel, c’est en fait De-Trideg, ce que nous avons trié est re-mélangé sans vergogne: il leur manque en effet du combustible pour brûler près de 200’000 tonnes toxiques…)  , ce qui rajoute à l’effet de serre et à la pollution en nano-particules, parmi les pires polluants qui existent avec les dioxines.


Lausanne est la ville la plus polluée de Suisse. Qui pollue à part Tridel ?
L’ incinération est classée dans le monde parmi les activités très fortement polluantes. 
L’ incinérateur Tridel conduit donc à l’affaiblissement, sinon à la ruine des filières de tri et de valorisation. 
A cela, il faut ajouter que si l’incinération détruit deux tiers des volumes de déchets, il reste environ un tiers, de concentré de produits divers très toxiques, pour lequel il faut aussi une solution, donc de toute façon une décharge ou des décharges ( 500’000 m3, 50’000 camions aux Fenils  à Rougemont, Teilegg à Gessenay Saanen ?) et une STEP pour les 6’000 litres d’eau polluée à l’heure, pour “laver” très partiellement les fumées toxiques.
Les raisons économiques ne manquent pas non plus. 
Le coût de l’incinération est très élevé (14 euros la tonne à partir de 2013, coût moyen en Europe) supporté par le contribuable suisse.
A Lausanne Tridel, selon M.  Claude Monod, Ing. EPFL, le Président de l’Association pour la sauvegarde du Vallon du Flon et ancien conseiller communal, le coût d’incinération reste très élevé, Fr. 176.‑ par tonne TVA non comprise, soit Fr. 200/t à la charge des communes, un montant auquel s’ajoute la subvention de Fr. 35.‑ accordée par le Canton. Cette subvention correspond à un coût annuel de 4,9 millions. Le coût serait donc de Fr. 235.‑ la tonne, l’un des plus chers de Suisse.
Le taux de recyclage actuel des déchets est de 40% ; par conséquent, on incinère actuellement 60% des déchets. Le Canton est certain qu’on parviendra, à court terme, à un recyclage de 60%. Résultat : il ne restera donc plus que 40% à incinérer. Diminuant de 60% à 40%, le tonnage supportera des frais d’amortissement, d’intérêts, de salaires demeurés fixes. Multiplié par 1,5, le coût d’incinération à la tonne atteindra la proportion de 60%. Résultat : la tonne coûtera au moins Fr. 352,50, sans les coûts cachés dans d’autre budgets ( réfection de toutes les canalisations d’eau qui sautent vu la pression, STEP surchargée, tunnel de Sauvabelain à refaire, mâchefers…).
Sans compter les coûts de l’investissement et de l’entretien.
Troisième catégorie d’arguments, mais pas la moindre : les raisons sanitaires. 
Les incinérateurs rejettent dans l’air des dioxines et plus de 2 000 polluants, dont des métaux lourds et des particules ultrafines et nanométriques ( de l’ordre de l’atome ). 
Ces rejets sont à l’origine de maladies respiratoires, cardio-vasculaires, de cancers, de troubles de la reproduction, d’alzheimer etc…
La règle de trois
Ces données ont amené l’ordre français des médecins à demander, sans succès, un moratoire sur les incinérateurs, lors du Grenelle de l’environnement. 
Les professionnels de santé honnêtes sont contre l’incinération.
Cherchons ensembles les solutions :  le développement du tri et du recyclage avec un vrai tri des déchets ménagers polluants, la consignation de produits durables comme le verre, la taxation des emballages polluants et le développement de la méthanisation…
Soit « la règle de trois » : trois fois moins cher, trois fois moins de déchets et trois fois plus d’emplois.


http://desiebenthal.blogspot.com/2009/07/tridel-fr-35250-la-tonne-et-beaucoup.html

Des solutions simples et efficaces.

Un mazot walser suisse, grenier de vie, avec ses échasses couvertes de grandes pierres plates anti-rongeurs et anti inondations.



Mazot, remarquez les “échasses” et les pierres plates en-haut des échasses en bois pour stopper la vermine


                                          ========= 4  PIERRES PLATES SUR
                                                           (         )
                                                           (         )
                                                           (         )
                             


4 POTEAUX DE 60 CM DE HAUTEUR environ, 

PLUS SI LES RATS LOCAUX ET LES VERMINES LOCALES SAUTENT PLUS HAUT…

AU CENTRE DU VILLAGE SOUS LA SURVEILLANCE DE TOUS. 

RIEN NE DOIT ÊTRE Déposé CONTRE, CAR LES SOURIS SONT habiles à grimper tout et n’importe quoi.

Comment mettre ces solutions en pratique ?

Jeunes ET MOINS JEUNES, voici quelques autres vérités pour pouvoir sauver les plus pauvres.


Indignez-vous !  de Stéphane Hessel : 

L’appel aux jeunes du vieil homme indigné 



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C’est un petit livre (32 pages, 3 euros) qui triomphe en librairie. Sorti fin octobre, il vogue vers les 50 000 exemplaires. 

Son titre :

Indignez-vous !

Il est signé Stéphane Hessel. 

L’ancien résistant, co-rédacteur de la Déclaration universelle des droits de l’homme, ambassadeur de France à l’ONU, y engage les jeunes à faire bouger la société, le monde.

Il est d’un naturel optimiste, ce Hessel

Pour lui « tout ce qui est souhaitable est possible ». 

L’âge (93 ans) n’a pas entamé sa conviction. 

Il a publié «  Indignez-vous » aux éditions indigènes, pour la faire partager aux gens de 20 ans. «  L’indignation, c’était le motif de base de la résistance » dans laquelle il s’est engagé à 24 ans. 

Lorsqu’il a rejoint de Gaulle à Londres, les choses étaient certainement plus simples, reconnaît-il. « Il s’agissait de refuser l’occupation, le fascisme. Le monde est devenu plus complexe, mais cherchez, vous trouverez des motifs », dit-il aux jeunes.

” Une demande  d’éthique “

Il leur glisse des pistes : l’écart qui se creuse de plus en plus entre très riches et très pauvres, l’état de la planète. Mais aussi les acquis de la Résistance ( sécurité socialerégime de retraites) qu’il estime menacés, la situation des immigrés, celle de Gaza.
En partie d’origine juive, il ne peut accepter qu’un « millions et demi de Palestiniens y vivent comme dans une prison à ciel ouvert ».Devant tous les coups de pied aux droits de l’Homme, le co-rédacteur de la Déclaration Universelle de 1948 prône l’insurrection … mais attention, l’insurrection pacifiste.
« Avec ce livre, Hessel a percuté une modernité, une demande d’éthique, partagée par toutes les classes sociales, les générations. Les 8 000 premiers exemplaires sont partis en cinq jours. Nous avons procédé à un retirage de 35 000 et on en prépare un autre », se réjouit Sylvie Crossman, des éditions indigènes à Montpellier.

Indignez-vous est actuellement 9ème sur la liste des meilleures ventes de Livres Hebdo ; 1er dans le classement Datalib des libraires indépendants, catégorie essais et documents.

Pascale Vergereau – Ouest-France du 13 novembre 2010

A revoir sur le site pluzz.fr : Stephane Hessel, un Sisyphe heureux. Ce document de la série Empreintes ( France 5 ), perce les secrets des engagements du vieux jeune homme de 93 ans, anticonformiste et poète.

Jeunes, voici quelques autres vérités pour pouvoir sauver les plus pauvres.


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