LE JEÛNE, UN TRÉSOR À DÉCOUVRIR ET À EXPÉRIMENTER

Jeuner

LE JEÛNE, UN TRÉSOR À DÉCOUVRIR ET À EXPÉRIMENTER

Durant le carême, une cinquantaine de groupes dans toute la Suisse romande, rassemblant environ 600 personnes, vont à nouveau se lancer dans l’aventure du jeûne et s’ouvrir à une expérience où le corps se met au repos grâce à l’absence de nourriture, mais où l’âme est travaillée par ce qui surgit d’essentiel dans la vie. Une pratique qui permet également à chacun de vivre une expérience de solidarité en partageant le prix du repas non consommé avec des personnes défavorisées au Sud.

De tout temps, le jeûne a offert un cadre propice à l’expérience spirituelle pour faciliter la rencontre… la rencontre avec Dieu, à travers sa Parole, et la rencontre avec son prochain, comme lieu de pratique de cette Parole vécue. Ancré dans une ascèse personnelle, dans un cadre donné et sur un temps limité, le jeûneur, ayant mis son corps au repos, fait siens les mots de Jésus: «L’homme ne vit pas seulement de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu» (Dt 8,3). La Parole est nourriture et lumière. 
Finalement, quelles que soient les motivations qui poussent quelqu’un à se mettre en chemin à la rencontre de Dieu, de l’autre et de soi, c’est une puissante expérience à vivre, à partager, à intensifier… et vous, amis lecteurs? de quoi avez-vous faim ?
Infos pratiques
Santé
Spiritualité
Solidarité
Echos

Semaines de jeûne en carême 2015

 19 au 26 février à Sion
Emmanuel Theler, 079 734 01 15 ; theler@netplus.ch,
info: 26 janvier, 18h, Crypte de la cathédrale
 20 au 27 février à Delémont,
Centre St-François
Possibilité aussi en résidentiel du 20 au 28 février
Marie-Josèphe Lachat, 032 421 48 63
info : 22 janvier, 20h15, Centre Saint-François
 21 au 27 février à Genève, Aïre-Le Lignon
Vincent Baertschi, 079 259 75 62 v.baertschi@bluewin.ch
info: 04 février, 20h, Paroisse Epiphanie, Pl. Lignon 32
 21 au 27 février à Mulhouse (France)
Jane-Marie Nussbaumer, 078 611 13 51
info: 06 février, 20h, Eglise Tabor, rue des Vergers 34,
Mulhouse
 22 au 28 février aux Franches-Montagnes
Marulier Françoise, 079 421 13 75
francoise.marulier@bluewin.ch
info: 26 janvier, 20h, salle sous l’Eglise, Le Noirmont
 22 au 28 février à Genève, Eaux-Vives
Abbé Olivier Jelen, Monique Chatelain, 022 736 66 66,
mochatelain@bluewin.ch
info: 06 février, 20h15, Paroisse St Joseph, Eaux-Vives
 23 février au 1er mars à Savièse
Véronique Luyet, 027 395 20 44
info : 04 février, 19h, salle paroissiale (entrée nord)
 24 fév. au 03 mars à Sierre,
Monastère Géronde
Catherine Poscio, 027 455 73 00, 027 455 69 19
cat.@varioweb.ch
 27 fév. au 03 mars à Fribourg,
Centre Ste Ursule
Philippe Hennebicque, 026 347 14 00
philippe@centre-ursule.ch
Elisabeth Erb, 079 509 58 26, erbelisabeth@sensemail.ch
info: 04 février, 20h, Centre Ste Ursule, rue des Alpes 2
 27 février au 06 mars à Fully – Saxon
Francine Ançay 077 / 454 25 05 fran6n.ancay@outlook.com
info: 23 janvier, après la messe de 19h, Saxon
 28 février au 07 mars à Aigle
Eliane Martin, 024 466 56 74 ; elianemartin2@yahoo.fr
info: 28 janvier, 19h, Chapelle St Jean
 01 au 08 mars à Savièse
Véronique Luyet, 027 395 20 44
info : 04 février, 19h, salle paroissiale (entrée nord)
 04 mars au 10 mars à Vétroz / Ardon
Corine Fournier, 079 455 19 45,
fournier.corine@bluewin.ch
Marie-Madeleine Gillioz, 078 895 52 78
info: 10 février, 20h15, Cure de Vétroz
 04 au 10 mars à Montreux, Temple St Vincent
Marie-Claire Chavan, 079 533 55 71
chavan.mc@bluewin.ch
info: 11 février, 20h15, centre paroissial d’Etraz
rue du Marché 10, Montreux
 06 au 12 mars à Aubonne, chapelle St-Etienne
Michel Durussel, pasteur, 021 331 58 02
michel.durussel@eerv.ch
Info : 19 février, 19h, Chapelle des Charpentiers, Morges
 06 au 12 mars à Grens
Cécile Bailly, 022 362 00 49, cecilebailly@bluewin.ch
info: 12 février, 20h, Chapelle de Signy
 06 au 12 mars en Lavaux – Temple de Lutry
Roland Besse, 079 656 00 22, rmc.besse@hispeed.ch
info: 19 février, 20h15, Caveau du Singe Vert,
Grand Rue 41, Lutry
 06 au 13 mars à Courrendlin
Abbé Maurice Quéloz, 032 435 51 75 ; 079 256 26 37
info: 27 janvier, 20h, Maison des Œuvres, Courrendlin
 06 au 13 mars à Lausanne, St Amédée
paroisse catholique, Rte du Pavement 97
Philippe Vaucher, 079 318 91 07, phv@bluewin.ch
info : 19 février, 19h, chapelle de Béthusy
 06 au 13 mars à Morges, paroisse catholique
Brigitte Reymond, brigittereymond@bluewin.ch
078 790 14 17
info: 04 février, 19h30, paroisse catholique, salle 2
 07 au 13 mars à Cheseaux-sur-Lausanne
Katrin Fabbri, 079 332 38 09, katrin.fabbri@artdevie.ch
info: 09 février, 20h, paroisse cath. du Bon Pasteur,
Av. des Cerisiers 2, Prilly, salle sous l’église
 07 au 13 mars à Renens
Astrid Belperroud, 079 537 33 31
info: 12 février, 20h, chapelle Ste Claire, St-Sulpice,
Ch. du Bochet 37, bus 30 (arrêt Russel)
 08 au 14 mars, Les Fontenelles (Doubs-France)
Jeûne et séance de yoga
Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179
retraite.chretienne@orange.fr
info :09 février, 20h, chez les Soeurs
 09 au 15 mars, à Boudry – Paroisse du Joran
Sandra Conne, 032 842 54 24 ; 079 270 49 72
sandra.conne@eren.ch
info: 04 février, 20h, Cure de Boudry,
R. des Vermondins 18
 11 au 18 mars à Mallerey, salle catholique
Aline Gagnebin, 079 750 87 23
terrenouvelle.usbj@bluewin.ch
info: 02 février, 20h, Foyer réformé (R. du Clos 3),
Moutier
 11 au 18 mars à Moutier, Foyer réformé
Aline Gagnebin, 079 750 87 23
terrenouvelle.usbj@bluewin.ch
info: 02 février, 20h, Foyer réformé (R. du Clos 3),
Moutier
 11 au 18 mars à St Imier,
Maison paroisse réformée
Aline Gagnebin, 079 750 87 23
terrenouvelle.usbj@bluewin.ch
info: 02 février, 20h, Cure réformée de St-Imier
 11 au 18 mars à Sierre, Monastère Géronde
Josette Theytaz Délétroz, 078 605 38 60
jo@varioweb.ch 13 au 19 mars à Bussy-Chardonney
Temple de Bussy, pasteur Sandro Restauri
Joan Bachmann, 021 801 29 90 ; pybachmann@yahoo.fr
info: 19 février, 19h, Chapelle des Charpentiers, Morges
 13 mars au 20 mars à Bex, La Pelouse
Silke Reymann, 024 463 04 76,
silke.reymann@lapelouse.ch
info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice
 13 au 19 mars, Basse Broye
(Payerne, Domdidier, Avenches)
Abbé Joseph Demierre, 079 778 70 06,
jose.demierre@bluewin.ch
info: 18 février, 20h, Cure catholique, Domdidier
 13 au 19 mars à Vich
André Sauter , 021 331 58 03, andre.sauter@eerv.ch
André Bourqui, 022 366 36 92,
andre.bourqui@swissline.ch
info: 04 février, 20h, Temple de Vich
 13 au 20 mars à Martigny
Gérard Puippe, 079 583 57 45
info: 13 février, 19h , à La Visitation à Martigny
(bâtiment derrière l’église de Martigny-Ville)
 13 au 20 mars à Genève, Servette-Vieusseux
Micheline Gueissaz, 022 345 62 94,
michelinegueissaz@bluewin.ch
info : 19 février, 18h30, Paroisse Servette-Vieusseux,
salle du Colibri (sous-sol)
 13 au 20 mars à Lausanne, St-Joseph
Paroisse catholique, Av. de Morges 66
Corinne Menthonnex, 078 842 98 65
c.menthonnex@bluewin.ch
info: 09 février, 20h, paroisse cath. du Bon Pasteur,
Av. des Cerisiers 2, Prilly, salle sous l’église
 14 au 20 mars à Pomy, salle de paroisse
Alexandre Mayor, 021 331 58 71
alexandre.mayor@eerv.ch
info: 19 février, 20h, salle de paroisse, Pomy
 14 au 20 mars à Lausanne, St-Sulpice
Florence Delachaux, 079 675 95 12
Michel Duranton, 021 691 77 97 ; 079 881 82 01
info: 12 février, 20h, chapelle Sainte Claire St-Sulpice, Ch.
du Bochet 37, bus 30 (arrêt Russel)
 15 au 22 mars à La Chaux-de-Fonds
Nicole Rochat, 076 412 31 71, nicole.rochat@eren.ch
info : 10 février, 20h00, rue de la Cure 9
 17 au 23 mars à Conthey
Elisabeth Haymoz, 079 811 43 53
elise-haymoz@netplus.ch
Marylène Bianco, 079 586 10 04, mbianco@netplus.ch
info : 12 février, 19h30, Maison des jeunes, Plan-Conthey
 18 au 24 mars à Chamoson
Marguerite Carrupt, 079 66 88 571
marguerite.carrupt@gmail.com
info : 26 février, 20h, Cure de Chamoson
 18 au 25 mars, Payerne, Estavayer-le-Lac
Salle Ste Anne, Estavayer-le-Lac
Marie-Jeanne Sandoz, 026 663 35 58,
m.j.sandoz@bluewin.ch
Michèle Treuthardt, 026 660 23 43, mwt@pamatrex.ch
 20 au 26 mars à Genève, Onex
Gisèle Pellet, 022 792 40 55
info: 16 février, 20h, Eglise St-Marc, rue Racettes 2, Onex
 20 au 27 mars à Genève
Michel Genoud, 022 793 97 17, michel.genoud@gmail.com
info: 02 mars, 19h, salle paroissiale du Christ-Roi,
Ch. de l’Epargne 6, Petit-Lancy (TPG : 14, 21, 22, 23, K, L)
 20 au 27 mars à St-Maurice
Marguerite Giron, 024 485 19 44
info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice
 22 au 28 mars à Neuchâtel
Joseph Christe 032 724 29 72, 079 274 77 46
christejo@bluewin.ch
Info: 18 février, 19h, Basilique (Eglise rouge)
 22 au 29 mars à Savièse
Fabienne Luyet, 079 723 26 57, fab.luyet@netplus.ch
info : 04 février, 19h00, salle paroissiale,
St-Germain/Savièse
 24 au 31 mars à Lausanne (chapelle Béthusy)
Pascal Veillon, 021 652 74 78, 079 353 67 27
mveillon@worldcom.ch
info : 19 février, 19h, chapelle de Béthusy
 26 mars au 1er avril à Bôle
Paroisse de la BARC
Sylvane Auvinet, 032 855 10 84,
sylvane.auvinet@eren.ch
info: 03 mars, 20h, Maison de paroisse de Bôle,
rue de la Moraine 5
SEMAINES DE JEUNE EN RESIDENTIEL
 20 au 27 février à Delémont,
Centre St-François
Possibilité aussi en résidentiel du 20 au 28 février
Marie-Josèphe Lachat, 032 421 48 63
info : 22 janvier, 20h15, Centre Saint-François
 08 au 14 mars, Les Fontenelles (Doubs-France)
Jeûne et séance de yoga
Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179
retraite.chretienne@orange.fr
info :09 février, 20h, chez les Soeurs
 13 mars au 20 mars à Bex, La Pelouse
Silke Reymann, 024 463 04 76,
silke.reymann@lapelouse.ch
info: 24 février, 20h, Grand Parloir, Abbaye St Maurice
SEMAINE JEUNE & MARCHE 2015
 20 au 27 mars à Genève
Michel Genoud, 022 793 97 17,
michel.genoud@gmail.com
info: 02 mars, 19h, salle paroissiale du Christ-Roi,
Ch. de l’Epargne 6, Petit-Lancy, (TPG : 14, 21, 22, 23, K, L)
SEMAINE JEUNE & YOGA 2015
Sr Rose-Marie Prongué, 0033 3 81437179
retraite.chretienne@orange.fr
info :09 février, 20h, chez les Sœurs.

Clearstream, quels rideaux de fumée


Pour brouiller les pistes, ils ont trafiqué les listes.

Toujours se baser sur la première liste.

HSBC est une banque anglaise et pas une banque suisse.

Swissleaks, fait pour brouiller Luxleaks, est en fait U.K.leaks ou the Cityleaks…

HSBC, banque des guerres des drogues, opium…

Si on ne saisit pas le contenu des coffres forts des banques 
avec les listes papiers des comptes numérotés 
et de leurs ayant-droits, 
on se moque du monde.

Le compte à numéro n’offre pas l’anonymat complet,

il n’en demeure pas moins que tous les documents 
portant adresse et nom du client 
sont déposés en coffre.

Seul un nombre très restreint de fondés de pouvoir 
de la banque y ont accès.

«Un collègue d’une autre filiale de notre banque ne pourra pas connaître l’identité de mon client qui a un compte chez nous».

A la différence essentielle des autres catégories de comptes,

les recoupements entre titulaire et numéro de compte 
ne sont saisis

dans aucune base de donnée informatique. 


«De quoi assurer une protection accrue de la sphère privée du client».


Les grands requins sont protégés… 


Seul le menu fretin est touché actuellement…

L’enquête : le film révélation qui retrace l’affaire Clearstream


L’enquête : le film révélation qui retrace l’affaire Clearstream

Le film « L’enquête » sorti le 11 février dernier, réalisé par Vincent Garenq, nous emmène sur les pas du journaliste Denis Robert. Il quitta son poste au journal Libération afin de pouvoir enquêter librement sur une affaire de blanchiment d’argent et d’évasion fiscale. Ainsi naîtra « L’affaire Clearstream ». L’investigation de Denis Robert, interprété par Gilles Lellouche, débuta en 2001 …
Tout le monde a plus ou moins entendu parler de l’affaire Clearstream, mais cette dernière est tellement complexe qu’il est difficile d’en connaître tous les détails en un claquement de doigts. Connaître les tenants et les aboutissants de cette vaste affaire de corruption à échelle internationale va prendre des années à Denis Robert.
C’est là où le long métrage de Vincent Garenq prend toute son importance, par le fait de pouvoir rendre cette affaire accessible à un plus large public. Ce film est également un moyen de rendre justice à Denis Robert qui, en une dizaine d’années d’investigation, va subir les pires menaces, pertes financières et multiples attaques en justice.
L’investigation de Denis Robert dévoile que des comptes dits « non publiés » chez Clearstream ont permis l’effacement de certaines grosses transactions financières. Des transactions non-déclarées qui auraient permis à de grandes entreprises et groupes industriels de blanchir et détourner de grandes sommes d’argent. Selon le journaliste, Clearstream serait ainsi devenu une immense « lessiveuse à billets » mais aussi un autre paradis de l’évasion fiscale. Une lessiveuse qui aurait pu permettre de « recycler l’argent de la drogue, du terrorisme, des activités mafieuses, du trafic d’armes, des sectes ou encore de la corruption en tout genre. » selon certains  intervenants du documentaire Clearstream : la finance occulte.
L
Les entreprises Shell Petroleum Group, Unilever ou encore Siemens seraient impliquées dans l’affaire Clearstream (pour ne citer qu’elles). Certaines banques comme la LCL ou la Barclays le seraient également. Le scandale digne d’un film de Scorsese est tellement grand qu’il ne semble que peu émouvoir la population et les médias, telle une fiction tristement réelle. A la lueur de ces révélations, on observe que les puissants ne souhaitent visiblement pas cotiser pour renflouer une dette qu’ils créent en partie. Une surprise ?
L’enquête réalisée par Vincent Garenq apparaît comme un film sérieux, documenté et recherché. Il plonge le spectateur en immersion totale dans une affaire complexe. Le long métrage proprement monté et très précis pourrait inviter le plus grand nombre à mieux se documenter sur une fraude qui symbolise une problématique de civilisation.
Clearstream (chambre de compensation internationale située au Luxembourg) n’a pas été condamnée par la justice à ce jour. Le groupe a tout de même perdu tous ses procès contre Denis Robert. L’intérêt général et le sérieux de l’investigation du journaliste ont été reconnus par la Cour de Cassation en 2011. Pour les « coupables » l’affaire est à suivre.
NB : Denis Robert a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet : La Justice ou le Chaos (1996) / Révélation$ (2001) / La Boîte noire (2002)
 Via YouTube : Sources : allocine.fr / wikipedia.org 1 – 2 / Clearstream : la finance occulte /

News story

HMRC confirms HSBC Suisse bank data can now be shared

From:
HM Revenue & Customs
First published:
25 February 2015
Part of:
Tax and revenue

HMRC’s Chief Executive, Lin Homer, today announced in a Treasury Select Committee hearing that the French authorities have formally agreed that HMRC can share stolen HSBC Suisse customer account data with other law enforcement agencies and regulators, for the purposes of pursuing criminal offences.
placeholder
HMRC received the data from the French in April 2010 under very strict international treaty conditions, which limited its use to tax purposes only and prevented HMRC from sharing the data with other law enforcement authorities for investigating other potential offences.
HMRC first asked for the conditions to be relaxed in August 2010. Following a number of more recent representations, the French authorities gave written confirmation on 23 February that they were lifting restrictions on the use and sharing of the data with other law enforcement agencies and regulators for the purpose of investigating criminal offences.
HMRC has arranged a multi-agency meeting next week, to discuss how the stolen HSBC Suisse data can be shared with them. The agencies are the Serious Fraud Office, the Financial Conduct Authority, Crown Prosecution Service, City of London Police, National Crime Agency and EuroJust.
HMRC has already been in discussion with some of these agencies about the potential for further investigation of crimes or offences.

PAMPLEMOUSSE Le meilleur des antibiotiques naturels !

L’EXTRAIT DE PÉPINS DE PAMPLEMOUSSE Le meilleur des antibiotiques naturels !


Les vertus de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse sont aujourd’hui reconnues.
Découvrez dès maintenant ses bienfaits sur votre santé !
Petite histoire du Pépin de Pamplemousse :
En 1980 dans un petit village de Floride, le docteur Jacob Harich, jardinier à ses moments perdus, remarque que les Pépins de Pamplemousse se trouvant dans le compost de son jardin n’y pourrissent pas. Poussé par la curiosité, le docteur qui est aussi Physicien Lauréat du prix Einstein et immunologiste spécialisé dans la recherche des médicaments naturels, décide d’analyser de plus près l’étrange phénomène, le résultat est remarquable : le Pépin de Pamplemousse contient diverses substances qui ont une activité anti-microbiennes extrêmement efficace et plus inoffensive que tout antibiotique connu à ce jour.
Mais ce n’est pas tout ! De nombreux instituts de recherche mondiaux lui découvrent vite de vastes propriétés. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse s’avère efficace non seulement dans l’élimination d’environ 800 types de bactéries et virus mais aussi dans celle de 100 sortes de champignons ainsi qu’un qu’un grand nombre de parasites avec une efficacité redoutable. Il est 100% non toxique ! Il ne détruit pas les bactéries bénéfiques. Des tests récents ont montré son efficacité contre l’influenza (une forme pathogène très virulente) mais aussi en cas d’eczémas, de psoriasis, de pellicules, de verrues, de vaginite, gingivite et troubles intestinaux.
En comparaison l’efficacité d’antibiotiques conventionnels se limite aux seules bactéries. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse renforce les défenses immunitaires et allège les souffrances des personnes séropositives ou atteintes du sida.
Substances des Pépins de Pamplemousse :
Les pépins contiennent des bioflavonoïdes, du glucoside, de l’isosacuranétine, du néohespéridine, de l’hespéridine, du glucoside,… Arrêtons-nous là avec les termes scientifiques ce qu’il faut savoir c’est que l’Extrait de Pépins de Pamplemousse est un anti-microbien naturel des plus puissants. Il s’obtient généralement grâce à des installations industrielles lourdes où les pépins et les membranes de pulpe de pamplemousse sont pressés ou moulus.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse  est efficace pour :
Bouche : aphtes, lèvres gercées, herpès des lèvres, maux de dents, gingivite, désinfection de la brosse à dents etc.
Nez – Oreilles – Visage : rhume, pharyngite, rhinite, toux, enrouement, laryngite, maux d’oreille, hygiène des oreilles, acné, boutons, impuretés de la peau, rasage etc.
Cheveux : shampooing médical, pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux de tête etc.
Peau : petites coupures, petites brûlures, éruptions cutanées, dermatite, piqûre d’insecte. Il participe grandement à la guérison de psoriasis, zona, eczéma, urticaire, ulcère variqueux sur les jambes, verrues, mycose.
Pieds : eczéma des orteils, hyper sudation, durillons, cors, verrues plantaires, ampoules etc.
Ongles : onychomycose, panaris.
Organes génitaux : vaginite, infections vaginales à germes divers, parasites du vagin, soins des organes génitaux, maladies des organes génitaux masculins.
Et aussi : les grippes, les coups de froid, les gastro-entérites, les problèmes digestifs, les diarrhées, le déséquilibre dû au Candida Albicans. ulcère de l’estomac et du duodénum, candidoses et autres mycoses, maladies parasitaires et allergies etc.
Usages interne :
Ne jamais utiliser l’Extrait de Pépins de Pamplemousse pur, mais toujours dilué dans un verre d’eau, un jus de fruit, un jus de légume ou une boisson chaude. Verser 3 à 5 gouttes par jour à prendre en 2 ou 3 fois (suivant usage ou proposition thérapeutique) pendant ou en dehors des repas jusqu’à disparition des symptômes.
Il est important d’observer les réactions de l’organisme et de partir d’une faible dose pour l’augmenter progressivement par la suite. En général, l’estomac s’habitue rapidement à ce traitement.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse s’impose comme premier remède capable d’atteindre les multiples sortes de micro-organismes. Il est très efficace comme traitement des dysfonctionnements intestinaux et des rhumes.
Il peut être avantageusement combiné avec d’autres médicaments naturels et peut même renforcer les effets d’autres plantes médicinales. Il ne faut cependant pas perdre de vue que toute maladie se manifeste dans le but de faire prendre conscience d’un certain malaise, l’Extrait de Pépin de Pamplemousse n’éradique donc pas la cause psychologique.
Usages externes :
Il est conseillé d’utiliser en même temps l’Aloe Vera qui favorise et accélère la régénérescence de la peau et des muqueuses. Il faut savoir que l’Extrait de Pépins de Pamplemousse se dilue dans de l’huile (amande douce, olives) pour l’application externe, et s’il arrive qu’il entre en contact avec les yeux, rincez immédiatement avec de l’eau tiède.
Tolérance :
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse est 100% naturel. Cadeau de la nature, il est extrêmement bien toléré, il est aussi apprécié pour ses utilisations aussi diverses qu’efficaces, même dans le cas où tout autre remède aurait échoué. Le docteur Leo Galland de New York déclare : “Cette substance a une particularité unique. Quoiqu’elle fasse, elle le fait sans effet secondaire néfaste. Elle a le mérite d’être 100% non toxique.
Dans certains pays ce produit est accepté officiellement comme un remède contre les candidoses et contre différentes formes de diarrhées. Ses applications thérapeutiques s’étendent jusqu’en médecine vétérinaire, et les animaux en tirent un grand bénéfice (vermifuge naturel).
Un antibiotique idéal :
Le Dr Allan Sachs aux Etats-Unis, a démontré que cet Extrait de Pépins de Pamplemousse si particulier répond aux critères qu’un antibiotique idéal devrait avoir :
L’antibiotique idéal doit avoir une efficacité aussi large que possible puisqu’on connaît rarement avec précision les agents pathogènes.
L’antibiotique idéal doit agir avec puissance et très rapidement.
L’antibiotique idéal ne devrait pas avoir d’effets toxiques. (Pour cela il faudrait boire près de 1,3 litre d’Extrait de Pépins de Pamplemousse pour s’intoxiquer gravement).
L’antibiotique idéal ne devrait pas affaiblir le système immunitaire.
L’antibiotique idéal ne doit pas détruire les bactéries utiles à l’organisme.
L’antibiotique idéal doit être naturel parce que les produits chimiques de synthèse peuvent avoir des effets secondaires imprévus sur l’organisme.
L’antibiotique doit être hypoallergène. Cependant, certaines personnes sont allergiques aux agrumes donc aux pépins de pamplemousse, dans ce cas il est préférable de faire des essais à petites doses.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse répond à tous ces critères, d’autre part il est à un prix très abordable. On ne connaît pas encore tous ses effets positifs et certains laboratoires s’y attèlent.
Blindez vos défenses immunitaires :
Parmi tous les compléments alimentaires l’Extrait de Pépins de Pamplemousse se distingue par son utilisation pratique en cas d’infections, inflammations, mycoses, allergies et nombreuses affections.
Un agent désinfectant :
Des études ont montré in vivo que l’Extrait de Pépins de Pamplemousse présente une efficacité de 100% (à 100 ppm) pour la désinfection de la peau à l’occasion de la préparation chirurgicale alors que l’efficacité de l’alcool est de 72%, et celle du savon chirurgical est de 98% (J-A. Botino et coll., Sao Paulo, Brésil).
En raison d’absence de toxicité de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse et surtout de son efficacité obtenue avec de très petites quantités, l’Extrait de Pépins de Pamplemousse est devenu l’agent désinfectant de choix utilisé dans plusieurs hôpitaux aux USA : 10 à 15 gouttes d’Extrait de Pépins de Pamplemousse sont utilisées dans l’eau de rinçage du linge. Deux à 4 gouttes par litre d’eau permettent de détruire les staphylocoques, streptocoques, l’aspergillus, la salmonelle et d’autres agents pathogènes retrouvés dans les tapis. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse à des concentrations plus élevées (1%) est utilisé pour désinfecter les salles d’opération.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse est aussi un moyen sûr et simple pour rendre potable l’eau : après avoir filtré, ajouter à l’eau claire 3 gouttes, agiter puis laisser reposer quelques minutes. En usage domestique, il est recommandé d’utiliser 2 gouttes par litre d’eau de rinçage.
De même, l’Extrait de Pépins de Pamplemousse permet de traiter efficacement les fruits et légumes et de prolonger leur salubrité et leur qualité. À des concentrations aussi faibles que 30-50 ppm, leur durée de vie a été multipliée par 3 ou 4.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse pourrait être un moyen pour désinfecter les eaux domestiques usées : 40 cl d’Extrait de Pépins de Pamplemousse permettent de traiter 1 million de litres d’eaux usées, laissant un résidu de coliformes fécaux inférieur à 1:100 ml (la norme en vigueur étant de 200:100 ml).
Contre les maux de gorge :
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse a, in vitro, à faible concentration (1:80.000) une action bactéricide vis à vis des streptocoques. L’utilisation de 2 ou 3 gouttes d’Extrait de Pépins de Pamplemousse dans 15 cl d’eau, en gargarisme, pour traiter des angines occasionnées par ce germe a été conseillée.
Contre les problèmes digestifs :
Pour prévenir la diarrhée du voyageur, l’Extrait de Pépins de Pamplemousse est efficace à la dose quotidienne de 1 à 2 gouttes dans un verre d’eau ou de jus de fruit. Il est aussi efficace curativement à la dose de 2 gouttes dans un verre d’eau à midi et au coucher  (C-W. Lynn, Orlando, Floride).
Un antibiotique naturel :
Signalons, que l’Extrait de Pépins de Pamplemousse a permis de réduire la mortalité chez les Alpagas du Pérou, de 50% à 2%, alors que les vaccins et les antibiotiques classiques ne donnent que des résultats irréguliers pour traiter l’entérotoxinémie, la colibacillose et l’entérite chez les bébés Alpagas (G. Calderon et coll., Université San Marco, Lima).
Un antivirus efficace :
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse a aussi des actions antivirales : inactivation in vitro de l’herpès virus de type 1 (10 minutes dans une solution à la concentration de 1:256), du virus de la grippe (W-M. Shannon, Southern Research Institute).
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse s’est montré aussi efficace vis à vis du virus de la rougeole en Amérique du Sud (Interlab, S.A.) et vis à vis de virus responsables d’affections chez l’animal : fièvre aphteuse, fièvre porcine africaine, le virus vésiculaire porcin et la grippe aviaire (ministère de l’agriculture, USA).
Pour assainir la peau :
Les actions antivirales, antifongiques et antibactériennes de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse expliqueraient ses effets sur diverses affections cutanées : kystes, verrues, herbe à poux et sumac.
Il est conseillé d’associer l’Extrait de Pépins de Pamplemousse, à la concentration de 1%, à d’autres huiles essentielles (camomille, thé des bois) et de réaliser une vaporisation. On peut aussi appliquer 2 à 3 gouttes du bout des doigts sur la région à traiter, puis d’imbiber d’eau, et de rincer quelques minutes après à l’eau froide. Pour les kystes et les verrues, des concentrations plus fortes peuvent être nécessaires (1 goutte recouverte, après absorption, d’un bandage).
Des précautions d’utilisations de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse sont conseillées. Il doit toujours être dilué avec 15 cl ou plus de liquide. En cas de contact avec les yeux, rincer avec de l’eau pendant 10 minutes. En cas de contact de produit pur avec la peau, rincer aussi (à l’exception des kystes et des verrues).
De faibles dilutions de l’Extrait de Pépins de Pamplemousse appliquées sur la peau peuvent déclencher une sensation de picotement ou un blanchiment local, qui sont transitoires et anodins. En traitement d’attaque, on peut débuter par 6 gouttes trois fois par jour dans un verre d’eau, à prendre avant les repas.
Intérêts pour les personnes séropositives :
Des personnes séropositives ont obtenu rapidement des résultats très intéressants pour traiter des candidoses cutanées, ou de la bouche, avec un Extrait de Pépins de Pamplemousse, un traitement rarement évoqué dans le traitement classique des mycoses.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse a été utilisé chez 20 personnes atteintes de vaginite à candida albicans (L.E. Todd et coll., Université de Nuevo Leon, Monterey, Mexique). L’Extrait de Pépins de Pamplemousse a été délivré toutes les 12 heures au cours de douches, pendant 3 jours. Quinze personnes furent guéries ; une fut guérie après une seconde séquence de traitement, suivie d’une application locale. Aucun effet toxique n’a été rapporté.
L’Extrait de Pépins de Pamplemousse présente aussi d’autres actions qui pourraient être intéressantes aussi bien pour les personnes séropositives que pour les autres personnes. L’Extrait de Pépins de Pamplemousse a été utilisé pendant deux mois, avec succès, chez 200 personnes atteintes d’amibiase ou présentant une affection à Gardia intestinalis (L. Parish et coll., Food and Drug Administration). Ce traitement serait plus efficace que les traitements classiques. Ces résultats sont d’autant plus importants à souligner que ces affections parasitaires, qui ne sont pas limitées qu’aux régions tropicales, concerneraient un cinquième de la population mondiale (avec une fréquence plus élevée chez les homosexuels), et le plus souvent sans symptôme.
L’extrait de pépins de pamplemousse possède des vertus antibiotiques naturelles sur de nombreuses souches de bactéries et même de virus, mais il agit aussi sur les souches de champignons provoquant des mycoses et sur des parasites unicellulaires. De nombreuses études ont été publiés sur l’extrait de pépins de pamplemousse et son action assainissante sur l’organisme en général. L’extrait de pépins de pamplemousse sera extrêmement utile dans les affections hivernales mais aussi au quotidien pour l’appareil digestif, le système uro-génital, l’arbre respiratoire ou la peau. Il contient essentiellement des bioflavonoïdes et différents glucosides ainsi que quelques protéines. Parmi les flavonoïdes, on retrouve la naringine et parmi les limonènes on trouve la limonine. Ces 2 substances ont des propriétés anti prolifération de cellules cancéreuses notamment les cancers du sein, de l’estomac, poumon et bouche. Si les études sont encore au stade de l’animal, il semble que les résultats soient très encourageant (de nombreux médecins le recommande en cure)
Composition: Extrait hydro-alcoolique de pépins de pamplemousse, extraits de membrane de la pulpe de pamplemousse, bourgeon de cassis et glycérine d’origine végétale. 15% vol. alcool
Conseils d’utilisation: 1 cuillère à café 2 fois par jour matin et soir dans un grand verre d’eau

La vérité sur le
pépin de pamplemousse

 

2 avis

rédigé le 25 février 2014 à 18h10
Dominique Vialard
  • Pepin de pamplemousse - alternativesante.frPepin de pamplemousse – alternativesante.fr
L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d’années comme le meilleur antibiotique naturel. Et l’on a raison de le considérer comme tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l’ont popularisé dans les années 80/90, on n’a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès de cette médication n’avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de toutes espèces à l’affût d’un marché juteux…
Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l”huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient). Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux. En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :
  • Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires…
  • Les ulcères de l’estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
  • Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
  • Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques…
  • Les infections urinaires et cystites.
  • La fatigue chronique et l’affaiblissement immunitaire.
  • Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
  • En usage externe, l’EPP est aussi un recours dans bien des situations :
  • La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite…
  • La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d’insectes, verrues, mycoses…
  • Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux?
  • Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
  • Les ongles : onychomycose, panaris.
  • Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites…

Pourtant, à l’expérience, il y a de quoi douter

Malgré la réputation justifiéee de l’EPP, il m’est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j’ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J’ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l’ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien… Peut-être cela vous est-il arrivé aussi ! Un jour pourtant, j’ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J’en ai appliqué sur une piqure d’araignée qui s’infectait? Et là, ça m’a d’abord chatouillé fort puis tout a disparu.
Alors j’ai compris qu’il y avait différentes qualités d’EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?

On n’y comprend plus rien sur les étiquettes

Pas facile de s’y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s’avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux. Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d’écorces » ou « de pépins et de pulpe »… Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l’on trouve même de l’EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.

De nombreuses fraudes signalées

À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n’étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d’entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d’antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000. Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n’importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !

Une légende merveilleuse… bien qu’écornée

Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis,  jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique…
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l’EPP, seul, n’avait aucune activité antibactérienne (2). Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l’EPP et il s’agissait bien d’un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.

D’ailleurs, les cultivateurs bio font grand usage de l’EPP

La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l’utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d’infections à champignons, on s’en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles?). Alors si la méfiance s’impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l’EPP reste un excellent produit qu’il faut simplement savoir bien choisir.

Des études rassurantes… enfin !

Les troublantes constatations d’une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l’ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l’EPP n’a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l’Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).
L’étude citée plus haut a ainsi confirmé que l’action de l’EPP s’étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L’extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes. Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l’EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l’ensemble de la flore s’en trouve améliorée.

Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard

L’EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima. Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d’une extraction à sec.
Grosso modo : les pépins sont séchés et réduits en poudre. Cette poudre est ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine). Une autre opération de séchage permet d’obtenir une poudre concentrée. Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l’eau puis chauffé sous haute pression. Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.
Américains ou Chinois fournissent les marchands Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l’EPP. Car la réalité, c’est que si l’on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l’Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D’où vient-elle ?
Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands. Difficile de vérifier la qualité de l’extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse… Et ça, les marchands d’EPP concernés se gardent bien de nous le dire. En plus, l’EPP est maintenant au centre d’une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement?

La guerre des bioflavonoïdes

Même si certains fabricants font valoir des procédés d’extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque. C’est ainsi que la norme est d’utiliser 20% en moyenne d’extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit. Comment expliquer alors que l’on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C’est à qui proposera le plus…

Les petits calculs des marchands d’EPP

Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée. Il existe en effet deux techniques d’analyse quantitative des molécules :
– la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
– le test U.V. (l’absorption U.V. visible). Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus. Si l’on vous annonce 1 200 mg, c’est que l’on a utilisé la méthode d’analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l’extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.
Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes. A moins que l’on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d’où viennent-ils ?) dans le produit, ou l’écorce ou le péricarpe (l’enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.
Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l’extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.
Quant au péricarpe, rien n’indique qu’il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m’échappent, on m’explique qu’il permet d’obtenir plus facilement la mention bio…

Faut-il préférer le bio ?

Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d’intrants. Mais l’on en paiera le prix, pour une différence qui, en l’espèce, n’est pas déterminante. Pour le geste, on privilégiera tout de même l’achat de pépin de pamplemousse dans les boutiques bio.
Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d’Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.

Alors comment choisir sans se tromper ?

Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
  • Assurez-vous qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradisi.
  • Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
  • Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
  • Vérifiez qu’il n’y ait aucun additif autre qu’un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
  • Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l’EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l’étranger.

Enfin des formules fiables !

A force de chercher la meilleure formule possible, j’ai fini par en trouver une – ce qui n’exclut pas, bien entendu, qu’il y en ait d’autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d’une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins.Vous pourrez vous la procurer en suivant ce lien.
Les pépins importés d’Asie, entiers, sont mis en macération dans un mélange d’eau et de glycérine à raison de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération successives, on extrait ainsi l’ensemble des principes actifs et « non actifs » (ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que l’action est déjà optimum.
Au final, avec cet EPP basé sur le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif. La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains petits laboratoires.

Passez un hiver tranquille !

N’hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d’EPP. L’authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées. C’est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s’adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.
Sources :
(1) Identification of Benzethonium Chloride in Commercial Grapefruit Seed   Extracts ? Takeoka et al. J. Agric. Food Chem. 2001, 49, 3316-3320. Cosmetics and grapefruit seed extracts / quaternary ammonium compounds – 2004 – Kant. Laboratorium BS.
(2) Aspects of the Antimicrobial Efficacy of Grapefruit Seed Extract and Its Relation to Preservative Substances Contained. – von Woedtke et al. Pharmazie. 1999 Jun ; 54(6):452-6.
(3) Selon quelques sources scientifiques, les polyphénols du pépin de pamplemousse seraient convertis durant l’opération d’extraction (par une réaction chimique spontanée) en un ammonium quaternaire, l’hydroxybenzene diphenol (du triclosan en fait). La présence de ce composé en petite quantité dans le produit final serait donc plus ou moins naturelle (le procédé d’extraction étant, on l’a vu, souvent industriel) et expliquerait l’action antibactérienne de l’EPP. Mais en l’état de la recherche, ce n’est encore qu’une hypothèse parmi d’autres, hypothèse évidemment mise en avant par les gros industriels américains ou chinois (certains parlant même de présence naturelle de chlorure de benzéthonium !) mais qui est loin de faire l’unanimité.
Pour les plus curieux, voir ici :
http://www.mountainroseherbs.com/learn/grapefr.php 
http://www.nhiondemand.com/viewcontent.aspx?mgid=503#207
 
http://www.encyclopedia.com/doc/1G2-3435100356.html
http://chemicaloftheday.squarespace.com/most-controversial/2010/1/27/the-truth-about-grapefruit-seed-extract.
html
 http://www.itmonline.org/jintu/grapefruit.htm (
4) Antimicrobial activity of grapefruit seed and pulp ethanolic extract – Cventniz et Vladimir-Knezevic. Acta Pharm. 54 (2004) 243?250. The effectiveness of processed grapefruit-seed extract as an antibacterial agent: II. Mechanism of action and in vitro toxicity. – Heggers JP et al. J Altern Complement Med. 2002 Jun; 8(3):333-40.

Energie: batteries supercondensateurs

Première ligne de production de supercondensateurs en graphène en Chine

Etude de graphène pour supercondensateur

Etude de graphène pour supercondensateur
La société chinoise Changzhou Cubic Energy Technology Co., Ltd a annoncé l’achèvement de la première ligne de production de supercondensateurs à base de graphène de la Chine. Cette ligne de production desupercondensateurs nouvelle génération à base de graphène a été mise en place à Changzhou le 10 janvier 2014.
Cubic Energy Technology est spécialisée dans le développement de produits de stockage d’énergie à base de graphène pour les énergies renouvelables, les transports, l’électronique grand public et l’industrie. Son ambition est de fournir des composants de stockage d’énergie efficaces et fiables.
Avec cette ligne de production automatisée, la société s’est dotée d’une capacité de production annuelle de 50 000 supercondensateurs en graphène de 3000 Farads.
La société marque ainsi une nouvelle avancée dans les applications du graphène à Changzhou et fait un pas de plus dans le processus d’industrialisation du graphène. “Chaque installation sur la ligne de production est conçue et mise en place par nos soins. Nous avons tous les droits de propriété intellectuelle sur ces installations”, a déclaré le Dr Zhang Xin, chercheur de la ligne de production.
“Le graphène que nous utilisons est inférieure à 2 nm d’épaisseur avec une surface spécifique élevée et une conductivité électrique élevée”, a ajouté Zhang. Les supercondensateurs sont des dispositif de stockage d’énergie très fiables et qui peuvent être chargés et déchargés des centaines de milliers de fois. La fonction magique du graphène s’est révélée avec succès lors des essais des premiers échantillons sortis de la ligne de production : les supercondensateurs se rechargent entièrement en quelques secondes.
Le supercondensateur est un nouveau dispositif de stockage d’énergie, qui a un temps de recharge très court, une longue durée de vie, supporte une large plage de température, permet des économies d’énergie et une meilleur protection de l’environnement par rapport aux batteries. Le supercondensateur peut fournir une forte puissance électrique et peut remplacer entièrement ou en partie les batteries traditionnelles.
La société Cubic Energy Technology n’a pas encore donné tous les détails sur lesperformances atteintes par ses supercondensateurs en graphène : densité d’énergie, taux d’auto-décharge, tension de fonctionnement… En effet, comme nous l’avons vu, tous les supercondensateurs en graphène n’offrent pas les mêmes capacités. Les performances dépendent de la qualité du graphène, des points de supports et espacements entre les feuilles de graphène, de l’électrolyte utilisée, de la qualité de fabrication du supercondensateur (chasser le plus d’air et d’eau possible), etc.

La Chine met le paquet sur les technologies du futur

Nous avions déjà parlé des avancées de la Chine dans le domaine des supercondensateurs dans notre article 5000 supercondensateurs CSRCAP 7500 Farads livrés en Chine. En fait, la Chine investit beaucoup dans les technologies d’avenir et notamment dans le graphène qui est un vrai matériau miracle découvert seulement en 2004 (cf Un supercondensateur en graphène stockant autant qu’une batterie plomb-acide bientôt commercialisé).
Ainsi, depuis 2011 la ville-préfecture de Changzhou soutient l’industrie du graphène, encourage les instituts universitaires et les entreprises a collaborer pour mettre en place une industrialisation de la production de graphène, et recherche les entreprises en aval qui peuvent concevoir des applications de démonstration utilisant du graphène.
L’institut Jiangnan pour le graphène a construit 11 laboratoires et centres d’analyse. 8 équipes de chercheurs travaillent sur les films conducteurs transparents en graphène, les batteries au lithium graphène, les supercondensateurs, la biomédecine, le graphène en trois dimensions, le refroidissement du film de graphite, etc.
Pour les applications du graphène, la ville a construit la plus grande ligne de production nationale avec une capacité annuelle de production de 30 000 m² de film de graphène. La ville produit également 100 tonnes d’oxyde de graphite par an pour alimenter la ligne de production de graphène. Changzhou est ainsi à la pointe des avancées mondiales et à la tête du pays dans l’industrie des matériaux en carbone.

Voici une vidéo sur ce matériau exceptionnel qu’est le graphène :

Cet article est libre de reproduction en tout ou en partie à condition de mettre un lien vers celui-ci ou vers la page d’accueil du site : www.supercondensateur.com
Les supercondensateurs peuvent créer une rupture technologique pour un avenir meilleur.
Faites connaître cette technologie en partageant cet article sur les réseaux sociaux :

6 commentaires

Juste un merci au passage pour ce site qui est vraiment au top de l’actualité des supercondensateurs, avec des articles bien détaillés et bien vulgarisés.
Salut merci pour l’article super intéressant, je voudrais savoir si vous avez des informations quant au prix de ces supercondensateurs et où on peut s’en procurer. Stan
@Stan :

Bonjour,
Non, nous n’avons pas encore d’informations sur le prix de ces supercondensateurs.
Ils seront certainement vendus à un tarif très élevé dans un premier temps. Et rappelons aussi que nous n’avons pas eu d’information sur les performances atteintes par ces supercondensateurs : l’utilisation de graphène ne veut pas obligatoirement dire performances exceptionnelles…

Bonjour,
tout dépend de ce que l’on considère quand on parle de prix et performances élevées : si un assemblage de ces super-super-condensateurs offre un coût/performances équivalent à celui des actuelles batteries ion lithium (qui reste élevé, malgré leur prix en baisse), ce serait tout gagné : même à prix équivalent, leur durée de vie (cycles charge/recharge) serait sans commune mesure avec les actuels accumulateurs, sans parler du temps de charge (utilisables dans les transports comme ballastes ET comme accumulateurs de masse : aujourd’hui on couple batteries et de supercap…)
cette découverte n’a t-elle pas été faite en premier par Richard Kaner et Maher El-Kady qui ont découvert cette nouvelle type de pile ? Ils ont accidentellement fait cette découverte en essayant de créer du graphène. Ca signifie que les chinois se sont très vite pencher sur le sujet et piquer l’idée ?

Quoi qu’il en soit j’ai hâte de voir ces piles sur le marché, car mon smartphone se décharge très vite. le galaxy S4. Et est-ce qu’il y a moyen de reproduire ce genre de pile soit même à la maison ? Si oui comment ?

@Ray31 :

Bonjour Ray,

Richard Kaner et Maher El-Kady sont loin d’être les seuls à avoir créé des super-condensateurs en graphène. Il existe aujourd’hui de nombreuses techniques pour créer du graphène de plus ou moins bonne qualité. De même, plusieurs techniques sont désormais possibles pour créer des supercondensateurs à base de graphène, et offrant des performances sensiblement différentes…

Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande

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Par:  FTSR
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Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande

Les jeudis 19 et 26 février, 5, 12, 19 et 26 mars 2015 (18h00-19h00) – Palais de Rumine, Lausanne – Musée de Zoologie, auditoire XIX. Le 12 mars, la conférence sera donnée par Yann Dahhaoui (UNIL, Institut religions, cultures, modernité), “Inventer les origines du saint Nicolas : des frères Grimm au folklore catholique”.
Les liens:

Cours public


Le Centre d’études médiévales et post-médiévales
de l’Université de Lausanne vous invite à son cours public annuel

Saints et sainteté au Moyen Âge à Lausanne et en Suisse romande

Le jeudi de 18 à 19 heures, au cœur de la ville.
Musée de Zoologie, auditoire XIX
Palais de Rumine
Place de la Riponne 6, Lausanne
L’entrée est libre.

19 février

  • Stéphanie Manzi (UNIL, Section d’histoire), Le couvent des franciscains de Lausanne : de l’idéal de pauvreté de saint François aux réalités matérielles du XVIe siècle

26 février

  • Alain Corbellari (UNIL, Section de Français), Sainte Elisabeth : une sainte allemande et “moderne” au prisme de l’hagiographie francophone

5 mars

  • Jean-Claude Mühlethaler (UNIL, Section de Français) L’envers du décor : les saints facétieux

12 mars

  • Yann Dahhaoui (UNIL, Institut religions, cultures, modernité), Inventer les origines du saint Nicolas : des frères Grimm au folklore catholique.

19 mars

  • Brigitte Pradervand (Historienne de l’art indépendante), La représentation des saints au Moyen Âge en Suisse occidentale et le carrefour des Alpes.

26 mars

  • Jean-Daniel Morerod (UniNe, Institut d’Histoire), La petite fabrique des saints dans l’Eglise de Lausanne, avant et après la Réforme

Valère orgue ste Catherine phot BP Basse déf..jpg
Sion, église de Valère, Mariage mystique de sainte Catherine d’Alexandrie, peinture attribuée à Pierre Maggenberg, détail, vers 1434-1437.

Plan d’accès

  • Métro : M2, arrêt Riponne-M.Béjart.
  • Bus : 7 et 8, arrêt Riponne – 16, arrêt Pierre Viret.
Le Musée de Zoologie se trouve au dernier étage du Palais de Rumine (ascenseur: niveau 5). Accès possible via la passerelle de la Cité.
Une signalétique est mise en place pour l’auditoire XIX.
Plan_Rumine.png
De manière concise, la
« sainteté » s’exprime comme le désir et la vocation de
tout homme à rejoindre le Christ dans
un état que l’on nomme « communion ». C’est, selon l’Évangile,
une action impossible à l’être humain mais
pas à Dieu et
qui se fait par la collaboration de l’être humain à l’action divine dans le
monde. Le « saint » est donc toute personne qui parvient à cette
proximité.
Tout au long de l’Ancien Testament,
on retrouve, comme dans le judaïsme,
l’affirmation que seul Dieu est Saint. Cependant, par le baptême et
l’adoption filiale qui
s’ensuit, les chrétiens sont associés et appelés à cette sainteté, qui
est une vocation universelle. L’apôtre Paul parle
des saints pour désigner les chrétiens vivant dans telle ou
telle ville 
1. En ce sens, la
sainteté exprime l’état de communion avec Dieu, dans l’Église, par le baptême.
St Nicolas de Flüe :

Aluminium, notre poison quotidien

Aluminium, notre poison quotidien -France 5-janvier 2012

https://www.youtube.com/watch?v=-gAsSR6g7SU&app=desktop

Sans le savoir, nous absorbons de plus en plus d’aluminium, pourtant toxique pour notre organisme. Quels sont les risques ?


Valérie Rouvière mène l’enquête, auprès de scientifiques et de spécialistes, dans ce Doc du dimanche. 

« Alerter les populations sur la toxicité de l’aluminium me paraît important. C’est un produit inutile. (…) Il n’apporte rien à l’organisme, si ce n’est des ennuis. » Président de Santé Environnement France, un réseau de 2 500 médecins français, le docteur Pierre Souvet s’alarme de voir cette substance chimique envahir notre quotidien. Extraite d’un minerai, la ­bauxite, l’alumine est présente dans une multitude de produits de consommation. Agent levant dans le pain, conservateur dans les charcuteries et les plats préparés, anti-agglomérant dans le sel, colorant dans les confiseries… l’aluminium se cache derrière les additifs et même dans le lait infantile. Il entre aussi dans la composition de cosmétiques — il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis, blanchit les dents, bloque la transpiration — et les laboratoires pharmaceutiques l’utilisent comme adjuvant dans des médicaments et des vaccins. L’Autorité européenne de sécurité des aliments, qui a tiré la sonnette d’alarme il y a trois ans, conseille de ne pas consommer plus de 1 milligramme d’aluminium par semaine et par kilo de poids corporel. Mais comment éviter la surdose ? La quantité d’aluminium utilisée n’est jamais précisée sur les emballages et il n’existe aucune réglementation sur son utilisation. 
Pourtant, les études sur la nocivité de l’aluminium se multiplient. Cette neurotoxine multiplierait par deux les risques de développer la maladie d’Alzheimer et l’hydroxyde d’aluminium présent dans les vaccins provoque chez certains une maladie grave : la myofasciite à macrophages. Neuropathologiste à l’hôpital universitaire de Créteil, le professeur Romain K. Gherardi pronostique : « Sur les métaux, on a des histoires qui se répètent. Ce qui est arrivé pour le plomb, le mercure et l’amiante arrivera aussi pour l’aluminium. »

 
Vaccins …évitez -les , faites confiance à votre organisme , renforcez plutôt votre immunité par des moyens simples et naturels ; une bonne hygiène de vie , nourriture saine , fraîche et variée , bio le plus possible , limiter la viande ( remplie de vaccins et autres produits  ) , s’aérer ; balade en nature , sport , et éviter les personnes toxiques , celles qui génèrent du négatif en nous ,car ça a aussi des effets sur notre santé , ce que le corps ne dit pas avec des mots , il le dit avec des maux ) quant aux vaccins c’est un non -sens …ils affaiblissent votre corps , il y a derrière tout cela une grosse industrie qui se fait du fric au détriment de votre santé …C’est par la peur que l’on maintient  une société …

Autorisons la BNS à distribuer de l’argent!

L’INVITÉ Mardi 17 février 2015

Autorisons la BNS à distribuer de l’argent!

Michaël Malquarti*
Afin de combattre efficacement le risque de déflation, je propose d’introduire un nouvel instrument de politique monétaire agissant directement sur la consommation: la distribution d’une ration monétaire individuelle
Depuis la crise de 2008, les banques centrales ont déployé des moyens sans précédent afin d’éviter une crise systémique, puis de combattre la déflation. Si le premier objectif a été atteint, on ne peut pas en dire autant du deuxième. Pourtant, les outils utilisés par les banques centrales à travers le monde se limitent aux champs d’action conventionnels que sont le marché des taux, pour agir sur l’investissement, et éventuellement celui des changes, pour agir sur les exportations nettes. Ce n’est donc pas par leur originalité que ces mesures sont extraordinaires, mais par leur ampleur. Or, ces actions sont controversées à plusieurs titres: elles suscitent des doutes sérieux quant à leur efficacité; elles créent des distorsions au niveau de l’allocation des ressources; enfin, elles nécessitent des mesures macroprudentielles – parfois liberticides et inéquitables – afin d’en atténuer les effets collatéraux indésirables.
L’investissement et les exportations nettes ne représentent généralement qu’une fraction relativement faible du PIB (en Suisse, en 2013, 23% et 12% respectivement). Celui-ci comprend encore deux autres composantes, les dépenses publiques courantes (11% du PIB) et surtout la consommation (54% du PIB), sur lesquelles les banques centrales n’agissent pas directement.
Afin de combattre efficacement le risque de déflation, je propose d’introduire un nouvel instrument de politique monétaire agissant directement sur la consommation: la distribution d’une ration monétaire individuelle. Il s’agit en fait de mettre en application de manière concrète et équitable le fameux hélicoptère de Milton Friedman – dans le cadre d’une expérience de pensée, celui-ci a proposé de combattre la déflation en lâchant des billets de banque depuis un hélicoptère. Si ce concept est parfois évoqué, il prend presque toujours la forme d’une monétisation des dettes publiques. Ici, l’idée est radicalement différente: en pratique, chaque résident reçoit directement de la banque centrale une somme d’argent dont le montant et la fréquence éventuelle de renouvellement sont déterminés indépendamment du gouvernement et purement à des fins de politique monétaire. Il faut souligner qu’il ne s’agit pas de l’introduction d’un revenu inconditionnel, instrument de politique budgétaire dont le but est la redistribution des richesses et dont l’allocation est en principe stable en montant et dans le temps.
Ce nouvel instrument est libéral car chacun décide librement de l’utilisation de la ration reçue. Il est équitable car celle-ci, à défaut d’avoir la même utilité marginale, a le même impact pour tous. En outre, la ration augmente le pouvoir d’achat des ménages et les recettes fiscales sans augmenter le coût du travail ou le taux d’imposition, elle augmente la consommation tout en diminuant l’endettement. Enfin, étant donné que la banque centrale agit en toute indépendance, elle ne comporte pas de risque d’aléa moral particulier et garde intacte la nécessité de la discipline budgétaire.
La question du canal de distribution de cette ration n’est pas anodine et représente vraisemblablement la raison principale qui a empêché l’idée de Milton Friedman de dépasser le stade de l’expérience de pensée, en particulier si l’on veut que cet outil soit un vrai outil de contrôle pour la banque centrale. Or en Suisse, un tel canal existe: il suffirait de passer par l’assurance maladie de base, comme on le fait pour la redistribution du produit de la taxe sur le CO2. C’est simple, éprouvé et peu coûteux.
A titre d’exemple et pour donner un ordre de grandeur, en Suisse cette ration pourrait s’élever dans un premier temps à 100 francs par personne et par mois, c’est-à-dire, en termes annualisés, à environ 1,5% du PIB et, selon l’agrégat utilisé, à 1 ou 2% de la masse monétaire. Les moyens déployés seraient donc bien inférieurs aux achats de devises effectués par la BNS ces dernières années. En partant du principe qu’une grande partie de cette ration serait rapidement consommée, l’impact sur l’inflation devrait être ceteris paribus du même ordre de grandeur. En outre, l’introduction d’une telle ration, ou même la simple allusion à sa possible distribution, pourrait pousser les investisseurs étrangers à vendre la devise helvétique et donc à affaiblir le franc.
La Suisse peut jouer un rôle pionnier dans l’introduction de ce nouvel outil. Comme il comble aussi bien les partisans de la rigueur budgétaire que ceux du soutien au pouvoir d’achat, comme il n’entrave pas la dynamique du libre marché tout en améliorant le sort des plus démunis, il devrait obtenir un large consensus politique. De plus, l’exemple suisse pourrait inspirer le reste du monde, et en particulier nos proches voisins qui en ont encore plus besoin.
(Article paru dans la NZZ 
du lundi 16 février).

Directeur Adjoint, Banque SYZ
Vive les fonds souverains suisses ! 
Dividendes pour tous, comme en Alaska par exemple…

  • François de Siebenthal: Alaska Dividend program was …

    desiebenthal.blogspot.com/…/alaska-dividend-program-was-designed.ht…

    20 août 2009 – Alaska Dividend program was designed thanks to… Social Credit individuals. Come please to the social credit international congress.

  • François de Siebenthal: Alaska dividend and Sarah Palin …

    desiebenthal.blogspot.com/…/alaska-dividend-and-sarah-palin-history.ht…

    10 oct. 2008 – See Alaska: In a state where citizens already pay neither sales tax nor income tax, Alaska’s Permanent Fund provides an annual dividend to …





  • Questions à la Banque Nationale Suisse. URGENT, délai à demain


    Quelques résistants suisses.


    Tout le monde peut être actionnaire de la Banque nationale suisse.
    Le plus grand actionnaire est un allemand (sic), voir plus bas.



    Si vous voulez participer à cette action chaque année, contactez-nous au 021 616 88 88 ou par mail siebenthal at gmail.com


    Nous avons déjà plusieurs dizaines d’ actionnaires de la BNS qui soutiennent notre action et nos questions à l’ AG. Vous pouvez venir et posez vos propres questions.

    Nos questions et motions posées à l’ assemblée Générale de la BNS le 24 avril 2015:

    4
    questions et 4 motions pour l’Assemblée Générale 2015 de la BNS

    Question 1 traitant de l’indépendance de la BNS
    La Constitution suisse
    est la référence absolue en matière de mission assignée par la Confédération à
    la BNS. L’alinéa 2 de son article 99 est très clair quant à l’indépendance de
    la BNS (Note1).
    La loi sur la BNS (2003)
    va jusqu’à préciser dans son article 6 : « « Dans
    l’accomplissement des tâches de politique monétaire visées à l’art. 5, al. 1 et
    2, la Banque nationale et les membres de ses organes ne peuvent ni solliciter
    ni accepter d’instructions du Conseil fédéral, de l’Assemblée fédérale ou
    d’autres organismes.
     »
    Or,  En se fixant un
    taux plancher en septembre 2011, la BNS a de facto transféré le leadership
    de  la gestion de sa politique monétaire
    à la Banque centrale européenne. En effet, tous les économistes savent que la politique monétaire d’un pays
    ne peut être indépendante si la monnaie du pays est liée par un taux fixe à une
    autre monnaie d’une part et que de l’autre côté, il y a libre circulation des
    capitaux (principe du triangle de l’incompatibilité). Or, il ne fait aucun doute
    qu’aussi bien juridiquement qu’économiquement, fixer un taux plancher avec
    l’euro équivaut à un taux qui vous soumettais à la zone euro, donc à une puissance
    étrangère.
    Deux
    économistes ont confirmé la perte de l’indépendance de la BNS. L’un est le chef
    économiste de UBS qui a clairement dit sur la Radio suisse romande que la BNS
    n’était pas indépendante (2). L’autre est un professeur d’Economie à l’Université et
    directeur du Centre International d’Etudes monétaires et bancaires (3)  qui dit que la Suisse a été de fait membre de
    la zone euro avec le franc suisse « scotché » à 1.20 franc (Note 4)
    Enfin
    on
    relevait 
    dans un article
    du Temps du 15 juillet 2011 le passage suivant :


    « Alors que le franc s’envolait mercredi vers
    de nouveaux sommets, Thomas Jordan,
    vice-président de la Banque nationale suisse, a fermement rejeté toute idée
    d’arrimer la monnaie helvétique à l’euro. «Notre mandat principal est d’assurer
    la stabilité des prix. Lier le franc à l’euro entraînerait de nouveaux
    problèmes, comme la hausse des taux d’intérêt en Suisse. En outre, une telle
    opération nécessiterait de modifier la Constitution. Nous ne pourrions plus
    assurer l’indépendance de notre politique monétaire», a-t-il rappelé mercredi à
    Zurich lors d’un podium de discussion organisé par l’Efficiency Club. »
    (Note5).

    La Constitution n’a pas été modifiée et le taux-plancher a été posé.
    Au vu de ce qui précède, notre question est la
    suivante :
    Quelle base légale, claire et pertinente, vous a permis
    d’enfreindre la Constitution en matière d’indépendance monétaire?
    NOTES :
    1.      Art. 99 Politique
    monétaire
      de
    la Constitution
    Suisse :
    1 La
    monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie
    et celui d’émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la
    Confédération.
    2 En
    sa qualité de banque centrale indépendante,
    la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts
    généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance
    de la Confédération.
    3 La
    Banque nationale constitue, à partir de ses revenus, des réserves monétaires
    suffisantes, dont une part doit consister en or.
    4 Elle
    verse au moins deux tiers de son
    bénéfice net
    aux cantons.

    5.       Extrait de l’article du
    temps 
    «Lier le franc à l’euro créerait de nouveaux
    problèmes
     » de Juillet 2011

     http://www.letemps.ch/Page/Uuid/823b8ba4-ae59-11e0-8d13-d03d80d505be/Lier_le_franc_%C3%A0_leuro_cr%C3%A9erait_de_nouveaux_probl%C3%A8mes

    Question 2 traitant de l’abandon du franc suisse
    Il
    semblerait qu’avec la nouvelle plateforme de transactions financières T2S vous
    ayez renoncé volontairement (sans raison réglementaire) à utiliser le franc
    suisse au profit de l’euro. Votre vice-président explique ce choix dès le 3
    novembre 2011 dans sa conférence publiée sur votre site Internet intitulé
    « Le franc fort et l’avenir de l’infrastructure des marchés financiers
    suisses » (Note 1).
    Notre
    question est la suivante :
    Votre choix est-il compatible avec le rôle
    institutionnel de la BNS de défenseur de la monnaie nationale mais surtout de
    son indépendance et de l’indépendance du pays dont la stratégie monétaire ne
    peut pas dépendre des décisions, de nature politique, de l’Union européenne ?
    Notes:
    Question 3 traitant
    du bilan de la BNS
    Au moment précis de la fixation du taux plancher, nous avons relevé dans
    plusieurs articles anglo-saxons que la BNS était prête à racheter toutes sortes
    de titres en échange de liquidités illimitées. Nous étions alors en pleine
    crise des banques européennes  et de la
    zone euro.
    Depuis, effectivement les grandes banques se sont délestées de certains
    actifs pourris. Actuellement, les dettes grecques par exemple ne sont plus en
    possession des banques commerciales privées mais bien des banques centrales
    européennes.
    Or, alors que vous avez le privilège d’être aux commandes d’un
    établissement dont la prospérité était à la fois l’image du succès du pays et
    de la solidité de sa monnaie, la BNS a vu, sous votre leadership, non seulement
    fondre ses fonds propres mais les a vus basculer dans le négatif ! Quel
    paradoxe lorsqu’on se souvient que le dirigeant principal de la BNS a toujours
    insisté sur l’importance de renforcer 
    les fonds propres du bilan (1).
    En d’autres termes, cette gestion calamiteuse aurait mis l’institution
    en faillite si elle n’avait le soutien illimité de la productivité de la Suisse
    mais aussi et surtout le patrimoine tant actuel que futur des suisses. A quel
    titre vous octroyez-vous ce droit et correspond-il toujours à la mission de
    l’établissement que vous dirigez ?
    Cette dégradation de vos passifs a servi à investir les actifs du bilan
    pour 50% (environ) en euros et pour 85% en obligations d’Etat (dettes
    publiques). Il semble que tout le monde, excepté vous, a bien compris qu’il y
    aurait tôt ou tard des remises de dettes. Quel est donc le but masqué que vous
    poursuivez puisqu’il est objectivement impossible de maintenir des peuples
    entiers sous le joug d’intérêts privés ?
    Des voix s’étaient élevées pour réclamer un fond souverain. Or, vous
    dites à la page 66 de votre rapport d’activités de 2012 :
    « Associer
    le placement des réserves monétaires de la BNS à des intérêts stratégiques de
    la Suisse engendrerait un risque de conflit d’intérêts et mettrait
    potentiellement en danger l’indépendance de la BNS. Cette dernière pourrait
    même, à la limite, ne plus être en mesure de remplir sa tâche fondamentale. En
    plaçant de manière très diversifiée une partie de ses réserves monétaires en
    actions et en obligations d’entreprises, la Banque nationale peut tirer profit
    de la contribution positive du rapport risque/rendement qu’offrent ces
    catégories de placements ».
    Les Fonds Souverains ayant précisément pour nature de protéger les
    intérêts des pays qui les détiennent, on voit mal en quoi il y aurait conflit
    d’intérêts dans le cas de la BNS. A moins bien entendu que ce ne fut de ces
    intérêts-là auxquels vous faisiez référence ! Mais dans ce cas, de quels
    intérêts peut-il s’agir ? Il n’est pas davantage possible, aujourd’hui, de
    voir où se trouve la diversification prônée.
    Le bilan de la BNS est le bilan de votre gestion. Nous nous abstiendrons
    de le qualifier par respect pour le passé de cette institution. En revanche,
    toute cette gestion d’entreprise ne s’explique que si vous aviez décidé de
    forcer la Suisse à adhérer à la zone euro.
    Alors la question
    est la suivante :
    « Planifiez-vous d’adhérer à  la zone euro ? »
    NOTES :
    1- Pages 2 et 3 du document «  Conférence de presse de décembre 2009.
    http://www.snb.ch/fr/mmr/speeches/id/ref_20091210_tjn/source/ref_20091210_tjn.fr.pdf
    Question 4 traitant du monopole de battre monnaie
    La
    Constitution suisse a confié dans son article 99 alinéa 1 à la Confédération
    ceci :
    « 1 La
    monnaie relève de la compétence de la Confédération; le droit de battre monnaie
    et celui d’émettre des billets de banque appartiennent exclusivement à la Confédération. »
    Or, nous constatons
    avec beaucoup d’inquiétude qu’un pouvoir de création monétaire a été confiée
    hors cadre légal et en tout cas de manière parfaitement illégitime à des
    entités privées -qui se trouvent être des banques- la liberté de créer de la
    monnaie ex-nihilo.
     Ces sommes créées par les banques commerciales
    hors de tout cadre légal (non prévues par la loi ni par la Constitution) sont
    considérées par certains experts comme de la fausse monnaie. Par ailleurs,
    voici ce qu’en dit le Conseil Fédéral dans une réponse à une interpellation par
    le député Muller Geri :
    «  Réponse
    du Conseil fédéral du 25.04.2012
    1. Les moyens de paiement légaux
    et ceux considérés dans les faits comme tels sont loin d’être sur pied
    d’égalité. Les moyens de paiement ayant cours légal font l’objet d’une
    énumération exhaustive à l’article 2 de la loi fédérale sur l’unité monétaire
    et les moyens de paiement (LUMMP). Etant donné les différences de solvabilité
    des établissements gérant des comptes, les avoirs à vue auprès des banques ne
    jouissent pas des caractéristiques des dépôts auprès de la banque centrale: la
    standardisation et la fongibilité.
    Contrairement aux moyens de
    paiement légaux, nul n’est tenu d’accepter la monnaie scripturale des banques,
    à moins qu’un tel moyen de paiement ait été convenu par contrat, ou que les
    circonstances (l’usage) ou une disposition légale particulière l’exigent.
    2. La fixation de l’unité
    monétaire et la désignation des moyens de paiement ayant cours légal font
    partie des compétences conférées par le monopole de la Confédération en matière
    d’émission du numéraire (art. 99 al. 1 de la Constitution). L’article 2 LUMMP
    précise que les moyens de paiement légaux sont les espèces métalliques, les
    billets de banque et les avoirs à vue auprès de la Banque nationale suisse
    (BNS). L’argent au sens du droit constitutionnel ne comprend pas la monnaie
    scripturale des banques qui, contrairement aux avoirs à vue auprès de la BNS,
    connaît un risque d’insolvabilité. La croissance des substituts monétaires est
    laissée à la libre appréciation des
    marchés
    , conformément à la conception du secteur privé ancrée
    dans la Constitution. La Confédération a toutefois la possibilité, dans le
    cadre de sa compétence législative, d’intervenir contre les développements qui
    échappent au contrôle du processus de création monétaire exercé par la BNS, ou
    qui sont susceptibles de miner d’une autre manière la confiance placée dans le
    numéraire émis par l’Etat. Le législateur a limité les possibilités des banques
    de créer de la monnaie scripturale, par le biais de dispositions légales
    régissant les réserves minimales, ainsi que par les prescriptions relatives aux
    fonds propres et aux liquidités inscrites dans la loi sur les banques.
    3. Voir les chiffres 1 et 2.
    L’article 2 LUMMP indique clairement quels sont les moyens de paiement légaux.
    Comme l’ont montré les débats sur la garantie des dépôts menés dans le sillage
    de la crise financière, la population est consciente que les avoirs à vue en
    francs déposés auprès de banques ne sont pas garantis par la BNS. »
    http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20123305
    Par le
    fait que vous fermiez les yeux sur la création monétaire faite par des banques
    commerciales, vous contrevenez à la législation (Constitution et loi sur la
    BNS) à plusieurs niveaux dont les principaux seraient :
    1.      Vous partagez votre
    responsabilité de battre monnaie avec des entités privées et étrangères mettant
    de ce fait en danger l’indépendance du pays et la valeur réelle de la monnaie.
    2.      La liberté de battre monnaie  – même scripturale-  en quantité quasi illimitée par des  tiers privés vous empêche de mener votre
    politique monétaire. Il semble bien au vu des quantités créées par les marchés
    que la masse monétaire que ce que vous gérez encore ne semble pas dépasser les
    10% de la masse totale. Le graphique ci-dessous reconstitué par un spécialiste
    de la monnaie montre que vous semblez avoir perdu le contrôle de la politique
    monétaire.
    Enfin, en autorisant d’autres entités illégitimes de créer de la
    monnaie, on peut se demander si vous n’outrepassez pas  les prérogatives que le législateur vous a
    octroyées.
    Notre question est la suivante :
    Le droit de battre
    monnaie est de la compétence exclusive de la Confédération. Ce droit a été
    délégué à la BNS. Or force est de constater que vous partagez cette compétence
    avec des organismes privées et étrangers. Qui a autorisé la monnaie scripturale
    bancaire qui aujourd’hui menace l’équilibre économique et financier et qui met
    en danger épargnes et caisses de pension ?

    -Motion
    1: Pour que la BNS protège efficacement la marque Franc suisse !

    Le
    Conseil Fédéral a écrit :
    “L’argent
    au sens du droit constitutionnel ne comprend pas la monnaie scripturale des
    banques”.
    Si
    “l’argent au sens du droit constitutionnel” s’appelle “Franc
    suisse”, alors comment s’appelle la « monnaie scripturale des banques » ?
    Du fait
    que ni la Confédération ni la BNS ne protège cette marque essentielle, les
    citoyens font la confusion entre la monnaie légale Franc suisse créée et gérée
    par la BNS, et les autres monnaies d’origine bancaire.
    Or cette
    confusion diminue fortement la valeur de la propriété intellectuelle de la BNS
    et donc désavantage ses actionnaires.
    Nous
    demandons le vote suivant :
    Que la BNS protège
    la marque Franc Suisse contre tout usage par tout autre organisme que la BNS,
    et pour toute autre monnaie que la monnaie légale créée et gérée par la BNS, et
    protège cette marque par tous les moyens possibles, y compris par des actions
    en justice, ou en fermant ou ne donnant pas de compte de réserve à la BNS aux
    organismes qui utilisent cette marque”.

    -Motion
    2: Pour que la BNS mesure et publie la création monétaire distinctement du
    stock monétaire.

    Actuellement,
    la BNS publie seulement le stock monétaire disponible dans ses comptes, et les
    stocks monétaires disponibles dans les bilans des banques commerciales.
    Or la
    création monétaire est un paramètre très important pour comprendre et contrôler
    l’économie. Par exemple un crédit de 10 milliards fait par une banque pendant 2
    jours est invisible dans les statistiques actuelles, alors que son rôle sur
    l’économie peut être énorme, en faisant par exemple monter les prix d’une
    action ou d’une matière première.
    Nous
    demandons le vote suivant :
    “Que la
    BNS publie au moins mensuellement le montant de toute création monétaire de la
    période mensuelle, en complément du montant du stock monétaire, dans ses
    comptes et dans les comptes des banques qu’elle surveille, et récole toutes les
    informations nécessaires à cet effet.”


    Motion 3 : méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale Franc
    suisse

    Aujourd’hui
    nul ne sait si les taux de change publiés s’appliquent ou non à la monnaie
    légale ou à d’autres monnaies, et nul ne sait comment ces taux sont calculés.
    Nous
    demandons le vote suivant :
    ” Que la
    BNS publie la méthode mathématique précise qui permet de calculer le taux de
    change de la monnaie légale Franc Suisse, monnaie légale dont elle est seule
    responsable, et différencie clairement le taux de change de la monnaie légale
    Franc suisse des autres taux de change.”


    Motion 4 : pour que la définition des banques en tant que seul pratiquant du
    dépôt de la monnaie légale Franc suisse soit appliquée.

    Le mot «
    banque » est défini par la loi suisse comme le seul type d’organisation pouvant
    accepter des dépôts du public : cf LB article 1 §2 « Les personnes physiques ou
    morales qui ne sont pas assujetties à la présente loi [sur les banques] ne
    peuvent accepter des dépôts du public à titre professionnel. »
    Le terme
    « dépôt » n’étant pas légalement défini, il est trompeur car l’usage actuel des
    banques montre que les dépôts sont traités comme des prêts envers la banque.
    Cela diffère largement du sens commun qui voit un dépôt en banque comme un
    dépôt dans le coffre d’une banque : le dépôt appartient au déposant et la
    banque ne peut l’utiliser à son propre compte et ne peut donc pas l’intégrer
    dans son bilan.
    Or le
    public ne sait pas quelles banques offrent effectivement des dépôts en monnaie
    légale Franc suisse, monnaie légale gérée par la BNS.
    Nous
    demandons le vote suivant :
    « Que la
    BNS publie chaque mois la liste des banques qui offrent des dépôts en monnaie
    légale Franc suisse, monnaie légale dont la BNS est seule responsable, en ayant
    vérifié qu’il s’agit bien d’un dépôt qui reste en pleine propriété du déposant
    et qui n’est pas intégré au bilan de la banque.”
    Documents préparés notamment par Mme Liliane Held Khawam et MM Bernard
    Dugas, Patrick-Etienne Dimier et François de Siebenthal.

    Un poids-lourd de la Ruhr

    ACTIONNARIAT DE LA BNS • A qui appartient la Banque nationale? La récente envolée en bourse de l’action BNS a braqué un projecteur sur les actionnaires principaux de la banque centrale helvétique. En tête, figure la Banque cantonale de Berne avec 6,63% des actions. Mais cette personne morale est talonnée par une personne physique qui ne cesse de prendre du poids depuis son «coming out» en 2009. Theo Siegert détenait alors moins de 5% des actions. Aujourd’hui, il en possède 6,49%, ce qui vaut à cet économiste allemand de devancer confortablement les banques cantonales de Zurich, Vaud et Saint-Gall.
    Qui est Theo Siegert? Né en 1947 à Düsseldorf, dans l’industrielle Ruhr, ce fils de commerçant débute par un apprentissage de banquier et finit par exercer une fonction dirigeante au sein de la holding qui contrôle le géant allemand du commerce de détail Metro. En 1997, il obtient un poste de professeur de management à l’Université de Munich. Il siège surtout au conseil d’administration du pharmacien Merck, de l’électricien E.ON et de la Deutsche Bank, ténors de l’indice boursier allemand. Accessoirement, il exerce la vice-présidence de l’Industrie-Club Düsseldorf, un réseau d’influence centenaire noyauté par les familles Krupp et Thyssen.
    Que le peuple se rassure: une clause statutaire plafonne le droit de vote pour tout possesseur de titre figurant hors du cercle des collectivités publiques. Avec 6500 actions, soit un investissement de quelque 6 millions de francs dans la BNS, M. Siegert n’a pas plus d’influence qu’un détenteur de 100 actions.
    Un drôle de système, quand même, que la BNS partagerait notamment avec la banque centrale de… Saint-Marin. Sacrée Suisse, elle nous épatera toujours avec ses particularismes!
    Votre avis nous intéresse. Mais GHI refuse toute forme de message haineux, diffamatoire, calomnieux ou attentatoire à l’honneur. Les propos racistes ou xénophobes, les menaces, injures ou autres incitations à la violence seront immédiatement supprimés de notre site. Nous vous invitons donc à toujours garder, en toute circonstance, un ton et des propos respectueux. GHI

    N:B: Prière de n’inscrire que vos noms et adresse sur la procuration ci-dessous, merci:

    Procuration pour modification de l’ordre du jour et pour l’Assemblée
    Générale des Actionnaires 2015 de la Banque nationale suisse, ci-après BNS ou
    SNB.

    IMPORTANT: afin d’être valide, la procuration doit être dûment complétée, datée
    et signée et doit parvenir à la BNS immédiatement. ( jetzt, vix, sofort…).



    Exemple de procuration, Vollmachtbeispiel.
    à envoyer à
    M. François de Siebenthal,
    ch. Des Roches 14,
    CH 1010 Lausanne,
    tél : 021 616 88 88.
    Procuration pour modification de l’ordre du jour et pour l’Assemblée
    Générale des Actionnaires 2015 de la Banque nationale suisse, ci-après BNS ou
    SNB.

    Le soussigné [nom et prénom / ou société]
    ………………………………………………………………………………………


    demeurant à / siège social à
    ………………………………………………………………………………………

    Désigne, pour me représenter ou agir en mon nom vis-à-vis de la BNS, avec
    pouvoir de substitution.


    M. François ou Mme Maria Cecilia de Siebenthal, ch. Des Roches 14, CH
    1010 Lausanne, tél : 021 616 88 88.

    aux fins de le/la représenter à l’Assemblée Générale, ou à toute autre
    Assemblée Générale ayant le même ordre du jour, et d’y voter ou s’abstenir en son
    nom sur tous les points figurant à l’ordre du jour ou à faire figurer au dit
    ordre du jour les questions idoines ou encore de le faire inscrire au rôle des
    actionnaires.

    En l’absence d’instructions de vote, le mandataire votera en faveur des
    résolutions mises à l’ordre du jour selon sa conscience.

    Cette procuration restera valable au cas où de nouveaux éléments ou des
    propositions de résolution sont mis à  l’ordre du jour .


    Date, lieu, signature :


    https://docs.google.com/document/d/1n67DEu0tsiKLPckcanPlihXCP_7OwU5SSyB4XY3iK4g/edit?usp=sharing


    Tableau des personnes positives:




    Suite à donner à l’action protection du franc suisse à la BNS
    Quelques idées en plus des questions et des motions, à préparer pour l’année
    prochaine.
    Pour une BNS plus démocratique ! Propositions pour une nouvelle
    BNS.
    La justice commence par une bonne monnaie.
    Battre monnaie seulement pour le peuple:
    Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et
    inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et
    efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il
    réduit la main-d’œuvre et engendre un chômage permanent. 
    Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi
    privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle.
    Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent
    honteusement. 
    Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par
    leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité
    sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à
    chaque personne, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de
    revenus. La BNS ouvre un compte à chaque suisse et lui alloue une action et un
    dividende fixé démocratiquement.

    I. L’Etat doit donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la
    monnaie et du crédit. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant
    de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

    II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production
    constituent la base de la monnaie et du crédit.

    III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur
    le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne
    constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré,
    partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait
    nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

    Pour une Suisse avec moins de dettes, d’impôts, de taxes, etc., grâce à
    la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de
    l’argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.
    État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système
    bancaire inadapté actuel :
    1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais
    vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral
    rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation,
    chômage, création d’emplois, relance, environnement, infrastructures,
    transports, réduction du nombre d’Ambassades et d’outils d’informations tel
    Swissinfo… à l’heure de crises et de l’isolement du Pays sur la scène
    internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service
    public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes
    et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus
    en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis
    en cause (Votation du 7.03. 2010).
    2. Les “solutions” sont une nouvelle fiscalité sournoise
    (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui
    pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le
    chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.
    3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et
    inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en
    plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps
    qu’il réduit les besoins de main-d’œuvre locale et augmente ainsi un chômage
    permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de
    tout travail et pouvoir d’achat des biens créés pour elle et non pas pour
    quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers
    et spéculateurs.
    4. La crise de l’UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux
    contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du
    Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système
    bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre
    entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?
    5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs
    Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous) dépensent
    chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d’intérêts…
    SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants
    représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines
    de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.
    6. FED & IRS (deux archétypes américains du
    dysfonctionnement systémique du taux d’intérêt conçu par les Banquiers et du
    «remboursement» autoritaire des dettes… par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s),
    «Too big to fail», Toxic Assets
     sont devenus des termes
    “familiers”, à contrario du mécanisme pervers de la création
    monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.
    Ainsi :
     – le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à
    partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts,
    alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et
    ainsi, distribuer équitablement les plus-values mensuelles à tous.
    – A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut
    savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et
    surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles
    sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d’autant
    plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.
    – Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement
    abdiqué, répercutent leurs “remboursements” sans amortissement aux
    chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.
    – Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et
    les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité
    des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.
    Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers
    et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer
    l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé,
    de bonnes solutions existent et les voici :
    Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué par
    leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre le contrôle de la
    création des masses monétaires (l’argent). C’est ce que nous voulons graver
    dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l’indépendance de la
    Suisse.
    La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par
    un nouvel
    Article 128a :
    I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo,
    appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l’émission et du volume
    de la monnaie et du crédit, sans intérêt.
    Il. Il l’exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes
    locales jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ce but.
    III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la
    Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions
    sont la base de la monnaie et du crédit.
    IV. L’émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se
    mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon
    qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la
    consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen
    d’un dividende et d’un escompte dont le taux variera nécessairement avec les
    fluctuations mêmes de la production automatisée.
    V. Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué
    par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel
    dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende
    sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu’elle
    ait ou non des sources de revenus.
    VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro
    périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme
    demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles
    (Copyright) et ainsi de réparer l’erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a
    condamné le taux d’intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés
    agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49
    ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles,
    toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront
    franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.
          VII. Les anciennes masses monétaires en
    francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.)
    sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles
    des personnes physiques et morales sont respectées.
          VIII. La BNS est directement placée sous
    le contrôle permanent – sans Commission externe indépendante de type FINMA – de
    l’Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque
    Session.
          IX. Les réserves de la BNS qui
    garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d’or
    physique stocké qu’en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines
    alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz,
    etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d’assurer pendant 7 ans la
    subsistance de la Suisse.
    X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités,
    passés ou futurs qui iraient à l’encontre de cette Initiative ou qui
    viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que
    fédéral.
    XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et
    de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts
    fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur
    l’essence.
    XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur
    fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils
    pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
           
    Dispositions transitoires :
    La Confédération crée une contribution
    de solidarité par des masses monétaires sans taux d’intérêts et les fait
    affecter à chaque famille en proportion du nombre d’enfants conçus.
    Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon
    une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée
    par l’Assemblée fédérale (Plénum).
    L’écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois,
    avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500’000.-.
    Tout dividende social ou autre prestation sociale n’empêche personne de
    travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur
    d’entreprise, etc.
    L’obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la
    perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont
    directement affectés aux besoins communs.
    Tout financement d’investissement à un terme donné doit être assuré par
    des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être
    financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points
    suivants sont notamment respectés :
    
Dissociation totale des activités bancaires et leur
    attribution à trois catégories d’établissements distincts et indépendants :
    1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de
    leurs clients.
    2) Banques de prêts :
    le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.
    3) Banques d’affaires
    : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux
    banques de prêts.
    Indexation obligatoire de tous les engagements sur l’avenir : prêts,
    emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.
    Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation
    par la création de moyens de paiement ex nihilo.
    Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d’éviter les
    créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.
    Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation
    par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.
    Supprimer les
    programmes d’achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices
    et les produits dérivés.
    Abandonner le système
    de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables
    par une commission indépendante.
    Interdire toute dévaluation
    compétitive.
    Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d’échange et de
    réserve.
    Etablir
    progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec
     un système approprié d’indexation.
     Interdire la spéculation
    aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.
    Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être
    dissimulé dans la monnaie, quelle que soit la forme de la monnaie( métallique,
    papier…).
    Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka,
    talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous
    les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux
    familles.
    Conclusions :
     « Il s’agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de
    tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n’ont été
    réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de
    favoriser l’efficacité de l’économie, ni par les socialistes justement attachés
    à l’équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n’ont cessé
    d’être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités
    et par des préjugés erronés. »
                   
    Maurice Allais, prix Nobel d’économie.

    Plus:



    http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/02/initiative-monnaie-pleine-questions.html


    Assemblée générale 2015 – Dates et conditions d’admission

    Dates et autres informations pour l’année 2015:

    Date de l’Assemblée générale

    24 avril 2015, à 10 heures

    Lieu

    Kulturcasino, Herrengasse 25, 3011 Berne

    Envoi des invitations et des bulletins-réponse

    27 mars 2015

    Inscription

    Les actionnaires souhaitant prendre part à l’Assemblée générale sont priés de commander leur carte d’admission, soit par courrier (en retournant le bulletin-réponse dûment rempli et signé à ShareCommService AG, Assemblée générale BNS 2015, Europastrasse 29, CH-8152 Glattbrugg), soit par voie électronique (sur la plate-forme en ligne de ShareCommService AG). S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires peuvent commander leur carte d’admission jusqu’au 22 avril 2015 à midi.

    Qualité d’actionnaire

    Tout actionnaire inscrit au Registre des actions est autorisé à participer à l’Assemblée générale (art. 37, al. 1, LBN).
    Toute personne inscrite au registre des actions le 16 avril 2015 et n’ayant pas vendu ses actions jusqu’à l’Assemblée générale peut participer à celle-ci.
    Seules seront prises en considération les demandes de reconnaissance reçues au registre des actions jusqu’au 15 avril 2015 à 9 heures.
    La BNS ne reconnaît qu’un seul représentant par action (art. 3 du règlement régissant la reconnaissance et la représentation d’actionnaires de la Banque nationale suisse).

    Envoi des cartes d’admission et des bulletins de vote

    A partir du 10 avril 2015

    Remise de propositions

    Les actionnaires peuvent soumettre des propositions. Pour qu’elles soient portées à l’ordre du jour, elles doivent être signées par vingt actionnaires au moins et adressées au président du Conseil de banque, par écrit, d’ici le 13 février 2015 (art. 35, al. 2, LBN).
    Aucune décision ne peut être prise sur des objets qui n’ont pas été portés à l’ordre du jour (art. 35, al. 3, LBN).

    Représentation par la représentante indépendante

    Le Conseil de banque a désigné Maître Beatrice Stuber-Jordi, notaire, ambralaw, Bundesgasse 26, 3001 Berne, et, en cas d’empêchement, Maître Adrian Müller, avocat, ambralaw, Bundesgasse 26, 3001 Berne, comme personne indépendante que les actionnaires peuvent charger de les représenter au sens de l’art. 689c CO.
    Les actionnaires souhaitant se faire représenter par la représentante indépendante lors de l’Assemblée générale peuvent lui donner procuration et lui transmettre des instructions soit par courrier, à l’aide du formulaire de procuration et d’instructions, soit par voie électronique, au moyen de la plate-forme en ligne de ShareCommService AG. S’ils choisissent la voie électronique, les actionnaires doivent transmettre leur procuration et leurs instructions à la représentante indépendante jusqu’au 22 avril 2015 à midi.
    La représentante indépendante observe, jusqu’au scrutin organisé lors de l’Assemblée générale, le secret absolu sur les instructions reçues, et ce y compris vis-à-vis de la BNS.
    La représentante indépendante s’abstient de voter si elle reçoit des pouvoirs de représentation sans instructions de vote.
    La BNS transmet à la représentante indépendante les bulletins-réponse signés qui lui sont adressés et qui ne comprennent ni déclaration personnelle de participation ni mention d’un mandataire, mais sont accompagnés d’ instructions de vote. En l’absence d’instructions de vote, la BNS considère ces bulletins-réponse comme inscriptions personnelles des actionnaires concernés.

    Représentation par un autre actionnaire

    Tout actionnaire peut autoriser par écrit un autre actionnaire à le représenter à l’Assemblée générale (art. 37, al. 2, LBN).
    Les actionnaires souhaitant se faire représenter par un autre actionnaire sont priés de désigner ce dernier sur le bulletin-réponse.

    Rapport financier et rapport de l’organe de révision

    Le Rapport financier et le rapport de l’organe de révision peuvent être consultés à partir du 26 mars 2015 sur le site www.snb.ch, Publications, et à partir du 2 avril 2015, aux sièges de Berne et de Zurich de la Banque nationale. Ils peuvent être commandés par courrier (au moyen du bulletin-réponse) ou par voie électronique (sur la plateforme en ligne de ShareCommService AG).

    Transmission d’informations

    La convocation de l’Assemblée générale et les communications aux actionnaires sont faites par lettre envoyée aux adresses figurant dans le Registre des actions et par une publication unique dans la Feuille officielle suisse du commerce (art. 28 LBN).

    Initiative monnaie pleine, questions fréquentes. FAQ.

    Monnaie pleine, Vollgeld, positive money, moneta intera…

    Nous sommes le Souverain et nous ne recevons actuellement pas notre part juste des créations monétaires, notamment électroniques. Ce n’est que justice que d’en exiger la distribution à tous, équitablement et automatiquement, selon les progrès techniques de plus en plus efficaces. 
    Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe par dilutions des valeurs.

    Toutes les monnaies diluées par la création monétaire ex nihilo, du néant, des abus qui détruisent les économies. On tue les poules aux oeufs d’or, sic.






    OBJECTIFS

    1. La Banque Nationale suisse 3.0 créera désormais seule de la monnaie scripturale en vrais francs suisses notamment électronique, à côté des autres monnaies qui seront respectées mieux que maintenant, francs wir, www.wir.ch , reka www.reka.ch  ou autres http://www.sel-suisse.ch/.
    2. Les banques commerciales ne pourront plus elles-mêmes créer de la monnaie scripturale du néant comme les abus honteux actuels, par milliers de milliards, sic, pour leurs poches et bonus honteux, mais prêter seulement de la monnaie qui existe déjà ou sera produite équitablement selon les possibilités physiques.
    3. La Banque Nationale 3.0 mettra en circulation cette nouvelle monnaie pleine moyennant un don (sic, sans dette et donc sans intérêts, sic) au gouvernement fédéral, aux Cantons ou surtout aux citoyennes et citoyens.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2017/01/la-creation-monetaire-par-les-banques.html


    La Suisse continuera de respecter les autres monnaies alternatives, notamment le franc privé wir, www.wir.ch ou les systèmes à points, reka, sels, miles, etc: http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html


    Un banquier suisse explique en 3 minutes l’arnaque de la création monétaire actuelle pratiquée presque partout dans le monde:

    youtube.com/results?search_query=françois+de+siebenthal

    Nous voulons un système qui corresponde simplement à ce que la population croit qu’il est déjà actuellement… avant que ce système n’explose en laissant des millions de victimes sur le carreau… et des guerres terribles ou des révolutions sanglantes… et des migrations honteuses et mortifères… et des malades somatiques ou psychiques, des alcooliques, des drogués, des stressés, des abusés, esclaves modernes de mensonges honteux et de manipulations mentales qui profitent des silences complices de nos “élites” corrompues…

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/06/monnaie-pleine-vollgeld-positive-money.html


    Il n’y a pas deux monnaies mais au moins trois, la monnaie réelle, les billets et les pièces, la fausse monnaie, celle émise par la banque ex nihilo, du néant, ex nihilo, à intérêts composés qui restent dans le monde réel et monnaies détruites, sic, à chaque remboursement, ad nihilo, en fait une fausse monnaie par abus de marque et du public, qui dilue les vraies monnaies et valeurs. Et il y a une troisième monnaie de compte, uniquement bancaire, qui ne circule qu’ entre les banques commerciales et centrales. Signalons que celles-ci veulent la mondialisation car les changes de devises sont des créations monétaires ex nihilo énormes qui influencent le réel vers la décadence, car un pouvoir immérité en main d’abuseurs patentés.

    Il y a en plus des cent autres  monnaies en suisse, la principale étant le wir, www.wir.ch, les multiples systèmes de points, miles, sels, talents, tauchrings, etc…

    Voir une liste partielle à la fin du lien ci-dessous

    Parmi le comité devant la BNS à Berne, deux romands, MM P. Mottier, tout à gauche sur la photographie, et François de Siebenthal, le 3ème en partant de la droite.

    Ce banquier suisse explique en 3 minutes l’arnaque de la création monétaire… Voir ci-dessous, sur youtube…

    youtube.com/results?search_query=françois+de+siebenthal



    Entre 1946 et 1990, les intérêts nets ont augmentés dans une proportion de 1 à 259,5: Un vol “légal” colossal, le taux de croissance de l’intérêt correspond au taux de croissance du PNB réel porté à la puissance 5

    Entre 1946 et 1990, aux Etats-Unis, les revenus d’intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s’est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l’indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5.



    Explications plus philosophiques à l’ Université de Lausanne:   

    La solution ci-dessous…


    Remarque liminaire:


    Les machines, robots, ordinateurs rendent le “travail humain rémunéré ” (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c’est un fait. 
    Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées.  
    Ce sont des gaspillages stupides . La seule solution est de promettre des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de plus en plus par des robots et des machines. 

    La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de la liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus des gens, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes – le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement qui est aussi différent.

    En effet, l’ oeuvre humaine noble et digne n’est financée ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d’argent nouveau sans dettes.

    MONNAIE PLEINE OU VOLLGELD.



    Puisque, VU L’AUTOMATION GRANDISSANTE, les salaires ne suffisent pas pour acheter toute la production,

    LA BNS 3.0 peut combler la différence par l’émission d’un dividende périodique à tous les citoyens.

    VOIR ART.99a du projet monnaie-pleine…

    3 Dans le cadre de son mandat légal, elle met en circulation, sans dette, l’argent nouvellement émis, et cela par le biais de la Confédération ou des cantons ou en l’attribuant directement aux citoyens. Elle peut octroyer aux banques des prêts limités dans le temps. 


    De l’argent est avancé au producteur (industrie) par LA BNS 3.0 OU L’ OFFICE NATIONAL DU CRÉDIT OU LES BANQUES CANTONALES, pour la production de nouveaux biens, ce qui amène (flèche de gauche) un flux de produits étiquetés avec des prix et (flèche de droite), des salaires distribués aux employés.

    La rencontre des consommateurs et des produits se fait chez le marchand, et lorsqu’un produit est acheté (consommé), l’argent qui avait été avancé au début de la production de ce produit retourne à sa source,

    LA BNS 3.0, ayant ainsi accompli sa fonction et terminé sa course dans le circuit financier, puisque le produit a atteint le consommateur.

     En tout temps, il y a une égalité entre les moyens d’achat entre les mains de la population, et les prix à payer pour les biens consommables mis en vente sur le marché.

     La création monétaire est actuellement volée (sic) par le système bancaire. 

    L’ écart entre les prix et le pouvoir d’argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le remplir par la création d’argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l’escompte.

    Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants… Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté…

    Pour être clair, nous soulignons aussi que l’argent pour la production sous un système créditiste continuerait être de l’argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.

    C’est seulement le dividende et l’escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l’écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l’automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.

    VIVE LA ROBOLUTION ou ROBOT-SOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.

    Créons ces masses pour la paix sociale et la civilisation. 

    Libérons-nous des chaînes de la rareté…


    Slogans possibles:

    Expérience faites, quelques arguments courts et percutants:

    Loyers moins chers avec monnaie-pleine ! 
    Moins de chômage avec monnaie-pleine !
    Moins de dettes avec monnaie-pleine !
    Moins d’inégalités avec monnaie-pleine !
    Moins de crises avec monnaie-pleine !
    Plus de démocratie avec monnaie-pleine !
    Plus de paix avec monnaie-pleine !
    Plus de stabilité avec monnaie-pleine !
    Moins de peurs avec monnaie-pleine !
    Distribuons la création monétaire !
    Battons une monnaie-pleine !
    Nous, le Souverain, battons monnaie !La monnaie bien commun ? réfléchissons-y et signons !

    Austérité ? Stop !

    Profits distribués / Pertes privées !

    Perd, passe et banques-casinos, STOP

    Recadrer les banques.

    Recadrer la monnaie électronique

    Mieux cadrer les banques.

    Pour un argent serviteur.

    Pour une monnaie servante

    Pour une monnaie pleine

    Souveraineté monétaire

    Argent double ou plein ?

    Francs suisses aux Suisses

    Monnaie du 21ème siècle


    de G.M.

    déspéculer l’épargne !

    notre argent, notre choix !

    resécuriser le Franc suisse !


    Images:





    L’HISTOIRE DE LA MONNAIE EN SUISSE

    « En 1891, le peuple suisse interdit aux banques l’émission de billets de banques. Que disait, à l’époque, le texte de la votation ? »Voici les données de la votation de 1891 :

    www.admin.ch/ch/d/pore/va/18911018/det37.html

    Et voici le document contenant l’adaptation de la Constitution :

    www.amtsdruckschriften.bar.admin.ch/viewOrigDoc.do


    Un viol de plus de notre constitution !


    QUESTIONS FONDAMENTALES AU SUJET DE L’INITIATIVE « MONNAIE PLEINE »

    « Que signifie le nom ‘Monnaie pleine’ ? »‘Monnaie pleine’ signifie que l’argent des comptes en banque deviendra un moyen de paiement légal à part entière, créé uniquement par la Banque nationale, comme actuellement les pièces de monnaie et les billets.
    « Que vise l’initiative ‘Monnaie pleine’ ? »
    Elle veut introduire ce que beaucoup croient être réalisé, à savoir :
    • Seule la Banque nationale créera désormais de l’argent électronique.
    • Les banques ne pourront plus créer leur propre argent, mais seulement prêter l’argent qui aura été mis à leur disposition.
    • La finance sera mise au service de l’économie réelle et de la société.
    « Quels sont les avantages essentiels de la monnaie pleine ? »
    • Le système monétaire redeviendra compréhensible pour les citoyennes et les citoyens.
    • L’argent des comptes privés sera entièrement sécurisé, même en cas de faillite bancaire.
    • La création monétaire par les banques, actuellement incontrôlée, sera limitée, et ainsi de futures bulles financières seront évitées.
    • Le système bancaire sera considérablement démêlé, de sorte qu’il sera plus difficile de mettre l’Etat sous pression par des faillites bancaires.
    • Tous les gains issus de la création monétaire seront exclusivement mis à la disposition de la collectivité.
    • La répartition inégale entre riches et pauvres due précisément à la mise en circulation d’argent par des crédits à intérêt n’existera plus.
    • Une concurrence loyale entre banques et entreprises de même qu’entre petites et grandes banques sera réalisée.
    • L’impératif de croissance subi par l’économie sera réduit.
    « Qui est désavantagé par la monnaie pleine ? »La monnaie pleine ne réjouit pas tout le monde :
    • Les banques d’investissement devront renoncer aux affaires lucratives de la spéculation boursière, affaires réalisées avec de l’argent créé par elles-mêmes. Les opérations pour compte propre en francs suisses seront fortement limitées, mais pourront être poursuivies dans d’autres devises.
    • Si les dettes de l’Etat sont remboursées, à la suite de la réforme de monnaie pleine, les banques devront renoncer au business lucratif du financement de l’Etat avec de l’argent créé par elles-mêmes.
    • Les détenteurs de titres de l’Etat devront chercher d’autres possibilités de placement, peut-être plus risquées.
    • Comme il y aura moins de fluctuations sur les marchés financiers, les spéculateurs auront moins d’opportunités de gains à très court terme.
    • Les affaires bancaires deviendront, dans l’ensemble, plus ennuyeuses et n’attireront plus les yuppies et les chasseurs de bonus.
    « La monnaie pleine ne pourrait-elle pas être testée d’une quelconque manière auparavant ? »C’est déjà fait depuis longtemps. Depuis plus de 2000 ans, il y a des pièces de monnaie, et depuis plus de 100 ans, des billets de banque, qui sont de la monnaie pleine.
    « D’où provient la valeur de la monnaie pleine ? »La monnaie pleine est couverte par toute l’économie nationale, alors que l’argent électronique, créé par une banque, peut s’évaporer en cas de faillite. L’argent a de la valeur lorsqu’il sert de moyen de paiement. Un facteur décisif pour la valeur de l’argent est le fait que la masse monétaire concorde avec la production réelle de l’économie. Autrefois, la couverture par l’or assurait une limitation de la création monétaire. Aujourd’hui, ce couperet manque. Les banques peuvent créer de la monnaie de façon quasi illimitée et gonfler la masse monétaire, ce qui conduit à des crises financières ou à de l’inflation. Comme les banques sont principalement soumises à des impératifs de profitabilité, elles ne sont pas particulièrement aptes à contrôler la masse monétaire. Cette tâche doit être assignée à une institution publique indépendante, engagée pour le bien public, à savoir à la Banque nationale. La monnaie pleine garde sa valeur, car la Banque nationale garantit la stabilité des prix et contrôle la masse monétaire.

    QUESTIONS PAR RAPPORT À LA CAMPAGNE

    «  L’initiative ‘Monnaie pleine’ veut un grand changement de système et n’apporte rien, si que l’idée n’a pas été mise sur le tapis pendant des années et si d’autres pays ne suivent. Il y aura donc un enterrement de première classe, comme pour l’initiative 1:12, puis le silence. »
    Nous voyons les choses autrement.
    Premièrement, la monnaie pleine ne représente pas un grand changement de système. Nous introduisons seulement ce que la plupart des gens croient déjà réalisé, à savoir que seule la Banque nationale crée la monnaie. Dans ce sens, l’initiative ‘Monnaie pleine’ ne se heurte pas à la résistance d’attitudes actuelles et a de bonnes chances de trouver une majorité lors du scrutin. Ce n’était pas le cas de l’initiative 1:12.
    Deuxièmement, il n’est pas nécessaire que d’autres pays nous suivent au même moment. Dans les opérations financières internationales, il est indifférent que l’argent d’un compte en banque ait été créé par une banque commerciale ou par la Banque centrale.
    Troisièmement, le thème de la monnaie pleine n’apparaîtra vraisemblablement à l’ordre du jour que s’il y a une votation fédérale à ce sujet ; l’attente ne sert à rien.

    MALENTENDUS FRÉQUENTS

    La plupart du temps, les arguments contre la Monnaie pleine proviennent d’une pure méconnaissance du sujet. Bon nombre de nos contemporains sont persuadés de savoir d’avance pourquoi ce projet ne peut pas fonctionner, alors qu’ils n’ont encore rien compris au sujet. Cette stratégie est mise en place dans le but même de brouiller le débat. Nous en savons quelque chose. Voici donc les malentendus les plus fréquents.
    « Il s’agit en fait d’une nationalisation des banques ! »
    Complètement faux ! Les banques ne seront pas nationalisées; c’est la création de monnaie scripturale qui l’est. Les banques continueront de travailler comme avant, mais elles ne pourront plus émettre de monnaie scripturale.


    « La Banque centrale ne pourra pas vérifier la solvabilité de tous les débiteurs. »
    Elle n’aura pas besoin de le faire, puisque ce sont les banques qui octroieront les crédits aux particuliers. La Banque centrale n’émettra pas de crédits individuels et ne sera donc pas obligée d’effectuer de vérification de solvabilité.


    « La centralisation de l’octroi de crédits mènera à une économie planifiée. »
    C’est absolument faux ! Premièrement l’octroi de crédits ne sera pas centralisé. Deuxièmement la Monnaie pleine sera à l’exact opposé d’une économie planifiée, puisque le subventionnement des banques privées par l’Etat sera levé. Comme nous avons cédé l’émission de monnaie scripturale aux banques, celles-ci se trouvent en position de force par rapport aux autres entreprises. Le marché libre suppose cependant que toutes les entreprises soient sur un pied d’égalité. L’initiative Monnaie pleine désire que les banques deviennent plus indépendantes par rapport à la Banque centrale et qu’elles se financent auprès des investisseurs et des épargnants. Par le biais d’une bonne réglementation cadre, il faudra faire en sorte que l’intervention étatique dans l’activité économique concrète soit la plus faible possible. La BNS devra faire en sorte d’éviter qu’il y ait une pénurie ou au contraire une surabondance de monnaie sur le marché. Cela n’a rien à voir avec une centralisation étatique mais, au contraire, avec la mise en place d’une infrastructure nécessaire. L’entretien du réseau routier par l’Etat permet à chacun de se déplacer librement. Il en sera de même de la Monnaie pleine : elle garantira un ordre monétaire compréhensible et libre de toute crise, dans lequel l’économie et la société pourront se développer librement.


    « Cela mènera à une situation de libre-service pour le gouvernement et donc à de l’inflation. »
    Cela est exclu. La BNS déterminera la masse monétaire dans le cadre de sa politique monétaire et non sur la base des besoins du gouvernement. La BNS sera complètement indépendante du gouvernement –  tout comme un tribunal –  et obéira à des prescriptions légales claires. La politique monétaire de la BNS devra servir l’intérêt général du pays, elle contrôlera la masse monétaire, garantira la stabilité des prix et empêchera la pénurie ou la surabondance monétaire. L’octroi de crédits à l’Etat par la Banque nationale sera interdit par la loi.
    Depuis plus de 100 ans, la Banque nationale travaille de manière fiable et sérieuse. Il est absurde de présumer qu’elle se mettrait soudainement à enfreindre la loi de façon systématique.
    De fait, la réforme de Monnaie pleine restreindra fortement le financement de l’Etat par la création monétaire. Aujourd’hui, l’Etat obtient des crédits de façon quasiment illimitée grâce à la monnaie qui est créée exprès par les banques. Il n’en sera plus ainsi à l’avenir. Les banques ne prêteront que l’argent qui aura été mis à leur disposition sous forme de dépôts.


    « En bradant ainsi la monnaie, on ébranlera le principe de méritocratie. »Cela est complètement faux, puisque c’est uniquement par la Monnaie pleine que l’on cessera de céder les profits de la création monétaire aux banques. La réforme de Monnaie pleine prévoit que la monnaie créée sera mise en circulation par les dépenses publiques, autrement dit par des contreparties immédiates. L’État utilisera l’argent qu’il aura lui-même créé. Cet argent ne sera pas offert en cadeau mais utilisé de manière intelligente et économique. L’État, c’est la Confédération, les cantons, les communes et nous, les citoyennes et citoyens.


    « Si l’octroi des crédits par les banques est limité aux dépôts, un resserrement du crédit se produira. »Non, cela ne se produira pas. Après la réforme, les banques auront plusieurs moyens de financer leurs crédits :
    – Par les amortissements de tous les crédits existants.
    – En prospectant de nouveaux capitaux, ou en vendant des emprunts bancaires.
    – Dans la mesure où la Confédération et les cantons rembourseront leurs emprunts grâce aux gains réalisés par la réforme, les investisseurs actuels proposeront leur argent aux banques.
    – En ce qui concerne les pénuries de liquidités à court terme, il existe un marché interbancaire et un marché monétaire. Si véritablement une pénurie de crédits se produisait dans l’économie réelle, la Banque nationale octroierait aux banques des crédits supplémentaires et arrondirait ainsi les angles. Le projet de Constitution de la réforme de Monnaie pleine prévoit expressément que « dans la phase de transition, la Banque nationale suisse veillera à éviter la pénurie ou la surabondance monétaire. Pendant cette période, elle accordera aux prestataires de services financiers un accès facilité aux emprunts. »
    Dans le système de Monnaie pleine, ce sera le rôle de la Banque nationale de réguler la masse monétaire de manière à ce que l’approvisionnement en crédits de l’économie réelle soit suffisant. En même temps, elle empêchera une augmentation inflationniste de la masse monétaire, cause majeure des bulles immobilières et financières qui se sont produites dans de nombreux pays. Une réduction des crédits attribués à la spéculation financière serait également possible et même désirable.


    « Il est illusoire de promettre un avenir sans crises financières et sans inflation. »
    L’initiative de Monnaie pleine ne promettra pas une absence d’inflation, mais une absence d’inflation monétaire d’origine interne, pour autant que la BNS fasse bien son travail. L’importation d’inflation (p.ex. à cause des prix élevés des matières premières) continuera d’exister. Ce type d’inflation ne pourra de toute manière être résorbé que faiblement par une politique monétaire. Nous ne promettons pas non plus une absence totale de crise financière, mais une prévention des crises financières considérablement plus efficace par le biais d’une augmentation contrôlée de la masse monétaire, augmentation strictement proportionnelle à la croissance du produit intérieur brut. Ainsi la Banque nationale pourra mettre un terme au surplus de création monétaire actuel. Au cours des dernières décennies, la masse monétaire a augmenté annuellement dans une proportion cinq fois supérieure à celle de l’économie. Cet excès de monnaie a afflué vers des produits financiers générateurs de crise, c’est-à-dire de bulles financières dans le marché des titres, actions, dérivés ou actifs immobiliers.

    CONSÉQUENCES POUR LES CLIENT(E)S DE BANQUE

    « Qu’est-ce qui se passera si je suis en vacances lors du passage à la monnaie pleine ? Est-il possible que je rate quelque chose ? »
    Non, les client(e)s de banque n’auront aucune obligation dans cette affaire. Tous les comptes en banque et tous les contrats de crédit suivront leur cours habituel.

    « Quel sera le rôle des banques dans le système de la monnaie pleine ? »

    Les banques continueront d’offrir toutes leurs prestations financières comme avant. Rien ne changera à cet égard. La seule différence résidera dans le fait que les banques ne pourront plus émettre de l’argent; seule la Banque nationale sera autorisée à le faire. Les banques ne pourront plus que prêter l’argent qui aura été mis à leur disposition.


    « Qu’en sera-t-il de mon compte bancaire privé ? »
    Dès le moment de la transition, il y aura de la monnaie pleine dans tous les comptes servant aux transactions financières. Il s’agira donc de monnaie à part entière de la Banque centrale. Cet argent appartiendra entièrement à la / au titulaire du compte et ne pourra plus être perdu, même en cas de faillite de la banque. La banque ne pourra que gérer ces comptes, comme c’est le cas des dépôts de titres. Elle ne pourra donc pas faire travailler cet argent. C’est pourquoi les comptes privés ne rapporteront plus d’intérêts.


    « Existera-t-il une garantie d’État pour les comptes privés ? »
    Oui, avec la monnaie pleine, les comptes privés seront garantis à 100% par l’Etat, à tout moment et quel que soit le montant, comme les billets de banque et les pièces de monnaie. Comme les banques ne feront qu’administrer les comptes privés, comme les dépôts de titres, ils ne tomberont pas dans la masse en faillite en cas de faillite d’une banque. De plus, la garantie des dépôts en vigueur sera préservée dans le système de la monnaie pleine.

    « Qu’en sera-t-il de mes comptes d’épargne ? »

    Ici rien ne changera. Sous le régime de la monnaie pleine, les banques auront besoin de l’argent des comptes d’épargne. Cet argent leur est prêté afin qu’elles s’en servent pour accorder des prêts. En contrepartie, on reçoit des intérêts, et cela comporte un certain risque, comme dans toute affaire financière.


    « Les comptes d’épargne seront-ils sûrs sous le régime de la monnaie pleine ? » 
    Les comptes d’épargne seront aussi sûrs que dans le système actuel. La banque sera responsable du remboursement, et il existe une garantie des dépôts allant jusqu’à 100’000 francs (esisuisse). Des pertes peuvent se produire notamment si la banque fait faillite et que les dépôts soient supérieurs à 100’000 francs, ou si l’on a investi dans des immobilisations financières comportant une importante participation aux risques.


    « Les comptes privés des non-résident(e)s seront-ils aussi transformés en comptes de monnaie pleine ? »
    La réforme monétaire s’appliquera à tous les comptes privés et comptes de transactions, indépendamment du fait que la/le titulaire du compte soit de nationalité suisse ou de nationalité étrangère avec un permis de séjour ou domicilié(e) en dehors de la Suisse. La monnaie pleine restera de la monnaie pleine, à qui qu’elle appartienne.


    « Si les banques ne peuvent plus créer d’argent elles-mêmes, qui octroiera des crédits à l’économie ? »
    Les épargnant(e)s mettront l’argent à disposition, car l’argent existe étant donné que la masse monétaire actuelle ne sera pas réduite par la réforme introduisant la monnaie pleine.  En cas de besoins supplémentaires, les banques pourront continuer à emprunter de l’argent auprès de la Banque nationale.


    « De quelle manière la monnaie pleine influencera-t-elle le niveau général des taux d’intérêt ? » 
    Le passage à la monnaie pleine n’aura aucun effet direct sur les taux d’intérêt. Dans le système de la monnaie pleine, le taux d’intérêt des crédits sera déterminé par l’offre et la demande et sera de ce fait imprévisible.
    Par la concurrence directe de l’économie de marché libre, les banques continueront à devoir offrir des crédits à de bonnes conditions. Cette loi de la concurrence est comparable à celle qui s’applique aux compagnies aériennes.
    Si le niveau général des taux d’intérêt devait atteindre un niveau extrêmement élevé ou au contraire extrêmement bas et ainsi nuire à l’économie nationale, la Banque nationale pourrait à tout moment influencer cette évolution, et cela de manière plus efficace qu’elle ne le fait déjà aujourd’hui.
    L’argent mis en circulation hors dette ne produira pas d’intérêts, et en conséquence, l’économie nationale sera préservée.


    « Y aura-t-il de l’inflation dans le système de la monnaie pleine ? »
    Dans un tel système, la Banque nationale contrôlera la masse monétaire. Elle pourra ainsi prévenir les bulles spéculatives et l’inflation des prix de manière efficace, en gérant la masse monétaire conformément au potentiel de développement de l’économie réelle. Une inflation monétaire nulle sera tout à fait possible sous le régime de la monnaie pleine. Cela a été démontré par le rapport du Fonds monétaire international « Chicago Plan revisited ».

    A PROPOS DU RÔLE DE LA BANQUE NATIONALE

    « La monnaie pleine ne causera-t-elle pas un surcroît de bureaucratie à la Banque nationale? »Non, car la réforme “Monnaie pleine” ne donnera pas de nouvelles tâches à la Banque nationale, mais des instruments plus efficaces pour remplir ses tâches.
    « La Banque nationale pourra-t-elle se procurer et traiter les informations nécessaires à la politique monétaire de manière aussi efficace que c’est le cas dans un marché financier qui fonctionne bien? » Bien sûr. D’ailleurs, la Banque nationale fait cela depuis des décennies. Elle rassemble les données politico-économiques, possède les meilleures statistiques, a donc une vue d’ensemble et agit consciente de sa responsabilité globale. Certaines banques ne tiennent pas compte des données politico-économiques, mais elles doivent agir sous la perspective gestionnaire de l’entreprise, qui est souvent celle de la création de valeur. La Banque nationale ne s’occupe que de la masse monétaire et non pas de l’octroi de crédits particuliers. De ce fait, les informations du marché financier ne seront pas supprimées dans le système de la monnaie pleine; ce marché fonctionnera comme aujourd’hui et fera des estimations de risque et des prix. Et au cas où les banques n’auraient pas les moyens d’octroyer des crédits, elles pourront en demander à la Banque nationale. Cela signifie qu’en fin de compte, tout ce qui est essentiel se trouvera auprès de la Banque nationale et que les connaissances des marchés financiers ne se perdront pas.
    « Comment la Banque nationale saura-t-elle quelle masse monétaire sera nécessaire dans l’avenir? »Pour garantir la stabilité des prix, le principe directeur pour déterminer la masse monétaire sera donné par la production économique, c’est-à-dire par le produit intérieur brut. La Banque nationale observera quotidiennement l’économie et les marchés financiers et pourra ainsi adapter constamment sa politique monétaire. Pour faire cela, elle n’aura pas besoin d’être « clairvoyante », mais devra simplement rester flexible et mettre continuellement en rapport la réalité et les attentes – comme chaque entrepreneur et tout autre acteur économique. Les banques commerciales, les entreprises et les autres acteurs économiques ne peuvent jamais « savoir » eux non plus ce qui va se réaliser ni ce qui s’impose. Ils doivent et peuvent tous seulement adapter leurs estimations. Les ingénieurs en automation et les techniciens de régulation savent eux aussi  comment réguler des processus très compliqués – mais eux non plus ne savent pas quelles influences gêneront le processus dans l’avenir.
    « Si la monnaie est créée et mise en circulation uniquement par le biais du budget de l’État, sera-t-il encore possible de contrôler rapidement la masse monétaire? »L’initiative pour une monnaie pleine considère que cela n’est pas nécessaire. Seule la masse monétaire dont on aura constamment besoin pourra être mise en circulation au moyen de dépenses de l’Etat et des cantons ou au moyen de versements aux citoyennes et citoyens. Comme par le passé, la Banque nationale pourra permettre d’autres fluctuations de la masse monétaire en consentant des prêts aux banques ou en achetant des titres.
    « Si les banques reçoivent des prêts de la Banque nationale, cette dernière ne sera-t-elle pas soumise à un lobbying considérable de la part des banques commerciales? Et pourra-t-elle encore décider de manière indépendante de l’attribution de crédits? »En démocratie, l’influence d’un lobby ne peut jamais être exclue. Pour cette raison, la Banque nationale sera légalement chargée, par l’initiative pour une monnaie pleine, de « contrôler la masse monétaire » ; elle ne sera responsable que devant la loi, comme le Tribunal fédéral; et elle aura des instruments efficaces de politique monétaire. Tout cela représente un avantage important par rapport à l’heure actuelle, où la Banque nationale n’a pratiquement aucune influence sur la masse monétaire.

    A PROPOS DE L’IMBRICATION INTERNATIONALE

    «L’imbrication internationale de la finance peut-elle provoquer des problèmes économiques majeurs?»
    Non, car la monnaie pleine ne change rien au marché des devises tel qu’il est organisé aujourd’hui; les monnaies étrangères pourront être changées en francs suisses comme jusqu’ici.
    «Si la monnaie pleine n’est instaurée que par la Suisse, cela serait-il un risque pour les entreprises multinationales (en particulier les entreprises productives)? Pour la production, l’attractivité de la place suisse se dégraderait-elle?»
    Non, le passage à la monnaie pleine ne changera rien pour les entreprises multinationales. Les entreprises de production réelle continueront à recevoir les crédits nécessaires, et le marché des changes fonctionnera exactement comme aujourd’hui. De plus, un système financier stable est très attractif pour les entreprises.
    «Si la Suisse est seule à passer au système de la monnaie pleine, cela aura l’effet d’une goutte d’eau dans la mer lors d’une prochaine crise financière comme celle que nous venons de subir.»Chaque Etat est responsable de lui-même. Nous autres Suisses, nous ne pouvons naturellement pas réformer le dollar ni l’euro. Mais si nous montrons, en Suisse, comment on organise un système monétaire et bancaire sûr et équitable, cela constituera un exemple pour d’autres Etats, exemple qui sera imité tôt ou tard par d’autres Etats.
    «La place bancaire suisse est en concurrence avec celle d’autres pays. Un tel changement de système ne causerait-il pas la ruine de la place bancaire suisse?»Non, bien au contraire! Avec la monnaie pleine, le franc suisse deviendra la monnaie la plus sûre du monde. L’argent déposé sur des comptes sera aussi sûr que l’argent comptant. C’est un grand avantage concurrentiel pour les banques suisses. Celles-ci auront beaucoup de nouveaux clients. Cependant les banques d’investissement ne pourront plus émettre des francs elles-mêmes. Les grandes banques compenseront cela en déplaçant davantage les activités de banque d’investissement vers Londres, New York ou Singapour.
    «Comment seront traités les comptes en francs suisses à l’étranger?»Pour ceux-ci, les mêmes règles qu’à l’intérieur du pays s’appliqueront. Aucune banque étrangère ne pourra émettre elle-même des francs suisses.
    «Quelles seront les mesures possibles ou nécessaires, si la Suisse introduit la monnaie pleine de manière isolée? Y aura-t-il une ruée vers l’argent réel, avec la pression à la hausse correspondante, vu qu’il ne sera plus soumis au risque de réforme monétaire?»Le risque de pression haussière dû à une forte demande de francs suisses après l’introduction de la monnaie pleine est réel. La Banque Nationale devrait alors, comme aujourd’hui, stabiliser le cours du franc suisse par des achats de devises. Si cela ne suffisait pas, il y aurait d’autres mesures effectives, comme un intérêt négatif pour les investisseurs étrangers (cf. le Danemark et la Suède) ou des restrictions à la circulation des capitaux (p.ex.: marché des devises uniquement pour des activités concrètes de production et non plus pour la spéculation).
    «Si un Etat instaure la réforme «Monnaie pleine» tout seul, ne sera-il pas soumis à des mesures de contournement comme, par exemple, la création de mécanismes de crédit offshore par les instituts financiers dans les Etats voisins?»Si un Etat entame la réforme “Monnaie pleine”, les avantages seront visibles pour les autres Etats, qui suivront probablement à court ou à long terme. Et si des tentatives de contournement existent, cela n’empêchera pas une régulation légale; en effet, quelle que soit la loi, des tentatives de contournement de celle-ci se produisent. Il faudra essayer d’empêcher ces contournements, ce pour quoi il existe de nombreuses possibilités (également d’ordre pénal). La Banque nationale pourrait, par exemple, demander aux banques qu’elles financent une certaine partie de leurs crédits par des dépôts nationaux. Cela empêcherait les mécanismes de crédit offshore; cette méthode a été utilisée, par exemple, par la Hongrie et d’autres Etats pour enrayer l’expansion de crédits en devises étrangères.

    A PROPOS DE LA RÉPARTITION SANS DETTE DE LA MONNAIE NOUVELLEMENT ÉMISE À LA CONFÉDÉRATION, AUX CANTONS ET AUX CITOYENNES ET CITOYENS :

    « Il est question, d’une part, de répartir sans dette la monnaie pleine aux citoyens et, d’autre part, de conserver les crédits commerciaux avec intérêts. Où est la limite entre ces deux manières d’obtenir de l’argent ? Est-ce que les citoyens prendront leur hypothèque directement auprès de la Banque nationale suisse (BNS), alors que les banques commerciales continueront d’accorder des crédits à but lucratif ? »Non. La BNS n’accordera pas de crédits hypothécaires aux particuliers. Seules les banques commerciales les accorderont, exactement comme aujourd’hui. La mise à disposition d’argent aux banques par la BNS ne se fera que contre intérêt et avec obligation de remboursement. C’est à sa propre initiative que la BNS émettra de la monnaie supplémentaire, en fonction de la croissance attendue de l’économie. C’est dans ce cadre uniquement qu’elle répartira la nouvelle monnaie ainsi émise à la Confédération, aux cantons ou directement aux citoyennes et citoyens, afin de mettre cet argent en circulation.
    « Vous dites que grâce à la «Monnaie pleine», les bénéfices de l’émission monétaire reviendront aux citoyennes et citoyens et ne profiteront plus aux banques. Comment est-ce possible ? »C’est de trois manières que l’émission monétaire génèrera des gains :
    • Les revenus d’intérêts : pendant plusieurs décennies, la BNS a réalisé un bénéfice annuel de 1 à 2,5 milliards de francs, essentiellement en prêtant contre intérêt de la monnaie fiduciaire (billets et pièces de monnaie) aux banques commerciales. Or aujourd’hui, la monnaie fiduciaire ne représente que 10% de l’argent en circulation. Les autres 90% sont de la monnaie scripturale (simple écriture sur un compte bancaire depuis un ordinateur), et cette monnaie «électronique» est émise par les banques commerciales. Il est clair que si la BNS n’émet plus 10% mais 100% de la nouvelle monnaie, après le passage à la «Monnaie pleine», elle prêtera aux banques davantage d’argent et en retirera des bénéfices plus élevés. Même si la BNS n’exige qu’un intérêt minime de la part des banques, cela rapportera beaucoup : avec les environ 500 milliards d’argent qui sont actuellement en circulation et un intérêt de 0,25%, ce sont 1,25 milliards d’intérêts annuels qui seraient versés à la Confédération et aux cantons (2,5 milliards avec un taux de 0,5%).
    • La croissance de la masse monétaire  : la future augmentation annuelle de la masse monétaire ne devrait plus donner lieu à des crédits de la BNS aux banques commerciales, mais devrait être mise en circulation par des versements sans intérêts à la Confédération, aux cantons et aux citoyennes et citoyens. Si l’on suppose une croissance annuelle de 1 à 2% de l’économie, ce sont 4 à 8 milliards de francs suisses qui devront être émis annuellement et mis à la disposition de l’État et de la population.
    • Remplacement des crédits de la BNS aux banques commerciales par la répartition d’argent sans intérêt : au moment du passage à la «Monnaie pleine», la masse monétaire en circulation sera constituée essentiellement des crédits faits par la BNS aux banques commerciales. Au cours des années suivantes, ces crédits seront remplacés par de l’argent émis sans dette. Si ainsi la masse monétaire durablement nécessaire d’environ 300 milliards de francs est mise en circulation sans dettte sur une durée de 15 ans, cela permettra des versements annuels d’environ 20 milliards de francs à l’État et à la population.
    « On fait croire aux électeurs que la réforme «Monnaie pleine» augmentera de milliards de francs les bénéfices de la Banque nationale suisse (BNS). Mais si les banques commerciales doivent détenir auprès de la BNS la contre-valeur des dépôts de leurs clients, ces dépôts ne pourront plus produire d’intérêts. Et la BNS sera probablement vite contrainte de verser aux banques des intérêts sur leurs avoirs. Les gains promis de milliards de francs grâce à l’augmentation du passif au bilan de la BNS fondront alors comme neige au soleil. »
    Ces craintes sont fondées sur une compréhension erronée de la «Monnaie pleine».
    1. Après le passage à la «Monnaie pleine», les comptes des clients auprès des banques commerciales ne seront plus des dépôts dont la banque peut disposer, mais de l’argent réel et à valeur «pleine», propriété exclusive du titulaire du compte, garantie par la BNS. Cet argent ne pourra pas produire plus d’intérêt qu’un billet de banque. Mais comme les comptes bancaires des particuliers ne rapportent aujourd’hui presque plus rien, le changement ne devrait pas être problématique.
    2. Après le passage à la «Monnaie pleine», les banques commerciales n’auront en principe plus d’avoirs auprès de la BNS. Celle-ci n’a donc pas à craindre d’être mise sous pression pour les rémunérer par des intérêts.
    3. Les crédits dus aujourd’hui par les banques à leurs clients, qui constituent essentiellement la masse monétaire M1 (c’est-à-dire billets, pièces et dépôts à vue), seront transformés lors du passage à la «Monnaie pleine» en crédits dus par les banques à la BNS. Celle-ci en exigera la rétribution par un intérêt faible dans une première phase, pour éviter des distorsions du marché au moment de la mise en œuvre de la réforme. Même avec un intérêt de seulement 0,25%, la masse monétaire en circulation d’environ 500 milliards de francs produira un revenu supplémentaire de 1,25 milliards pour la BNS.
    4. Après la réforme «Monnaie pleine», les gains essentiels de l’émission monétaire proviendront de la répartition sans dette de la monnaie nouvellement émise. Si la masse monétaire est augmentée de 1% – en raison d’une croissance attendue de 1% – , la Banque nationale suisse versera environ 4 milliards de francs à la Confédération, aux cantons et aux citoyennes et citoyens. Ceux-ci peuvent utiliser cet argent pour réduire leur dette ou pour des dépenses supplémentaires. Au fil du temps, la mise en circulation d’argent sans dette pourra remplacer la masse monétaire qui était en circulation au moment de la réforme «Monnaie pleine», ce qui mettra de nouveaux milliards à disposition pour les dépenses publiques.
    « Un bénéfice de quelque 300 milliards de francs sur l’émission monétaire résultant du passage à la «Monnaie pleine» n’est pas réaliste, car les banques commerciales ne réduiront pas volontairement leurs dettes envers la Banque nationale suisse (BNS). C’est pourtant la condition requise d’une répartition sans dette de la nouvelle monnaie pleine. »
    Si les banques ne réduisent pas de leur plein gré leurs emprunts à la BNS, celle-ci pourra en augmenter le taux d’intérêt ou refuser de les renouveler. La BNS peut, en tout cas si elle le désire, prendre les mesures incitatives adéquates pour obtenir une diminution de ses prêts aux banques.
    Lorsque la BNS mettra en circulation de la monnaie nouvellement émise par une répartition sans dette à l’État ou aux citoyennes et citoyens, ceux-ci placeront une partie de cet argent auprès des banques commerciales. Cela se produira en particulier quand la nouvelle monnaie sera utilisée pour rembourser des obligations de l’État, car les investisseurs remboursés se tourneront naturellement vers d’autres types d’obligations et achèteront davantage d’obligations émises par les banques. Grâce à ces dépôts supplémentaires, les banques pourront rembourser leurs emprunts auprès de la BNS. Les banques devront alors moins à la BNS et davantage à d’autres créanciers. En fonction des crédits remboursés par les banques, la BNS sera alors capable d’émettre à nouveau de la monnaie sans dette et de provoquer ainsi une nouvelle ronde de remboursements. Un tel désendettement progressif des banques envers la BNS est important afin que celle-ci ne reste pas la créancière principale ni un facteur de risque pour les banques.
    « La réforme «Monnaie pleine» part du principe que la dette de l’État baissera, parce que la Banque nationale suisse (BNS) mettra à la disposition de l’État la monnaie nouvellement émise sans dette. Cependant personne ne nous garantit que l’État ne choisira pas plutôt d’augmenter ses dépenses ! »L’utilisation concrète de la nouvelle monnaie sera décidée selon un processus démocratique. Depuis la mise en place du frein à l’endettement en 2003, la Confédération et les cantons ont régulièrement réduit leurs dettes. Il est donc raisonnable de s’attendre à ce que cela continue.  Pourtant les institutions démocratiques pourraient décider d’utiliser les gains de la «Monnaie pleine» autrement, par exemple en faveur de l’AVS, ou pour une baisse d’impôts, ou en finançant des projets écologiques, ou en en versant une partie à la population. Cela profiterait également au bien-être des citoyennes et des citoyens.

    D’AUTRES QUESTIONS SUR LA MONNAIE PLEINE

    L’initiative sur l’or rend celle sur la Monnaie pleine superflue.
    Rien ne serait plus faux :
    Le standard-or, même partiel, ne permet pas de mener une politique monétaire efficace. Tout au contraire ! L’or étant limité, la masse monétaire deviendrait au mieux elle-même limitée, non pas en fonction des besoins de l’économie, mais en fonction de la disponibilité, voire du prix de l’or ! Ce n’est pas d’une limitation aléatoire mais d’un contrôle mûrement réfléchi de la masse monétaire dont l’économie a besoin.L’initiative Monnaie pleine propose un remède simple pour rendre à la Banque centrale le contrôle total sur la création monétaire.90 % de l’argent que nous utilisons est de l’argent scriptural crée par les crédits des banques commerciales et il ne devient en rien plus sûr ou stable si une partie des actifs de la BNS est de l’or. Le volume de l’argent scriptural continuera en effet à varier comme auparavant en fonction du bon vouloir des banques, qui créent trop d’argent et donc des bulles spéculatives quand tout va bien et qui, frileuses, privent l’économie réel de moyens financiers en situation de crise, comme actuellement. L’initiative sur l’or n’aura aucune influence sur ces problèmes qui sont la raison principale de nos crises systémiques à répétition.L’histoire a démontré qu’une monnaie liée à l’or n’empêche pas les crises. Ce qui est plus grave, en situation de crise, la limitation de la masse monétaire par l’or aggrave la crise comme c’était le cas entre les deux guerres mondiales.
    En résumé, l’initiative sur l’or empêchera la BNS de continuer à vendre son or et l’obligera même à en racheter, mais elle ne donnera en aucun cas à la BNS les moyens de contrôler dorénavant la masse monétaire.Cela dit, l’initiative sur l’or et celle sur la Monnaie Pleine ne s’excluent pas mutuellement. Quelque soit le sort de l’initiative sur l’or, Monnaie pleine mérite pleinement votre soutien, surtout après le 30 novembre !
    « Ne serait-il pas préférable à ce passage à la monnaie pleine de réguler plus fortement les banques et d’interdire directement certaines formes de spéculation ? »
    Il y a des régulations raisonnables, mais elles ne remplacent pas un système de monnaie pleine. Seule la monnaie pleine conduira à un contrôle exact de la masse monétaire par la Banque nationale, à une sécurisation complète de l’argent des comptes privés, à la suppression d’inégalités et d’impératifs de croissance propres à la création monétaire actuelle, à une mise à disposition complète de tous les gains dus à la création monétaire au profit de la collectivité, etc. .
    L’initiative ‘Monnaie pleine’ a pour but de mettre la finance et les marchés financiers à nouveau au service de l’économie réelle et de la société. C’est pourquoi le nouvel art. 99 (1) doit être rédigé en ces termes: « La Confédération garantit l’approvisionnement de l’économie en argent et en services financiers. Pour ce faire, elle peut déroger au principe de la liberté économique. » Ce n’est que sur la base de cette disposition constitutionnelle que le législateur pourra, par exemple, limiter les produits dérivés, interdire le négoce des actions à haute fréquence et établir des règles sociales et écologiques pour les banques. Autrement cela ne pourrait pas se faire en Suisse, parce que tout cela est couvert par le principe constitutionnel de la «liberté économique».
    « L’émission monétaire des banques commerciales n’existe pas. Celles-ci enregistrent toujours une dette sur le passif de leur bilan au moment d’émettre des crédits (actif). Ils jouent donc un simple rôle d’intermédiaire dans les opérations de crédit. En fin de compte, celles-ci se déroulent entre débiteurs et investisseurs. »
    Cette affirmation présente une erreur de raisonnement. En effet, lorsque les banques émettent un crédit (actif), elles enregistrent aussi une dette sur le passif de leur bilan. La banque n’utilise pas d’anciennes dettes, mais en crée de nouvelles. Ces nouvelles dettes sont la monnaie électronique présente sur les comptes bancaires privés, et cette monnaie est utilisée comme moyen de paiement. Lorsque une banque verse un crédit, elle enregistre le montant à la fois sur le compte crédit du client et sur son compte privé. C’est pourquoi les banques n’ont pas besoin d’épargne pour octroyer des crédits. Elles produisent elles-mêmes l’argent qu’elles prêtent. Comme la comptabilité du bilan n’est pas vraiment connue et comprise par les non-spécialistes, ce type d’émission monétaire par les banques passe inaperçu. En réalité, c’est bien ce qui se passe : les banques émettent la monnaie électronique qui se trouve sur nos comptes. La Banque nationale n’émet pas la monnaie électronique qui est injectée dans le circuit économique. Vous trouverez plus de détails à ce sujet ici …
    « Les transactions financières s’effectuent aujourd’hui via le système de paiement en ligne «Swiss Interbank Clearing». 
    Via ce système, les banques règlent leurs obligations et créances mutuelles avec des dépôts à vue de la BNS. Cependant, après la réforme de monnaie pleine, il ne devrait plus y avoir de dépôts à vue des banques auprès de la BNS. Comment les opérations financières s’effectueront-elles ? »
    Après la réforme, il n’y aura plus que de la monnaie de la Banque nationale. La monnaie électronique sera une monnaie à part entière, comme le sont aujourd’hui les pièces et billets de banque. Les comptes de transactions financières de monnaie pleine ne se trouveront plus dans le bilan des banques. Ils seront gérés par les banques comme le sont aujourd’hui les dépôts de titres. L’argent du compte des clients appartiendra exclusivement au client, comme l’argent en liquide du coffre-fort, et ne sera plus une simple créance auprès de la banque, comme c’est le cas aujourd’hui. Ainsi les opérations financières ne seront plus en rapport avec les obligations et créances existant entre les banques. Le clearing bancaire deviendra donc obsolète. Quand un client effectuera un paiement pour un autre client, la monnaie pleine de son compte sera simplement transférée à celui de l’autre client. La plupart des gens croient que c’est ainsi que s’effectue aujourd’hui un versement bancaire.
    « Que pourrait-il se passer à cause de la réforme ? Comment est-ce que les banques et les clients se comporteront, quels types de fraudes ou de situations inattendues pourraient se produire ? »
    Il est évidemment très difficile de prédire le comportement des différents acteurs, mais cela n’est pas nécessaire. En effet, si les choses ne fonctionnent pas comme prévu, la BNS dispose de tous les outils nécessaires pour réagir de manière adéquate et efficace dans un système de monnaie plaine. La BNS est soumise à l’intérêt général et est ainsi plus apte à veiller à la stabilité et au bon fonctionnement de la monnaie que les banques qui ne suivent que leur intérêt privé.
    « La monnaie pleine a beaucoup d’avantages. Mais au final cette monnaie ne va-t-elle pas tout autant servir à la finance que la monnaie actuelle, qui s’accumule en grandes quantités dans les mains d’un nombre limité d’acteurs et se transforme en pouvoir peu démocratique, sans apporter de contribution positive au bien-être général ? »
    La monnaie pleine renforce l’économie réelle, elle ne peut cependant complètement résoudre le problème décrit plus haut :
    – La monnaie mise en circulation sans dette arrive en majeure partie dans l’économie réelle via les dépenses publiques et civiles. A l’opposé, l’argent mis aujourd’hui en circulation via les crédits bancaires sert plutôt à la spéculation financière. Ce sont les gens fortunés qui sont solvables, mais l’argent qu’ils empruntent ne va pas à la consommation. Les personnes moins aisées reçoivent moins de crédits, leurs dépenses se dirigent cependant vers l’économie réelle. Pour cette raison, les faibles taux d’emprunts des banques centrales n’apportent généralement pas grand-chose à l’économie réelle mais nourrissent les bulles spéculatives. Les banques centrales le constatent sans cesse amèrement. Ce problème sera résolu par la mise en circulation d’argent sans dette.
    – Lorsque la banque centrale octroie des crédits aux banques, elle peut le faire en posant des conditions, en demandant, par exemple, que l’argent emprunté soit investi dans l’économie réelle.
    – Lorsque les États pourront rembourser leurs dettes publiques grâce à la réforme, ils économiseront des coûts d’intérêts considérables. Pour la Suisse, cela représente environ 5 milliards de francs. Les intérêts de la dette remboursés aux dépens des contribuables finissent essentiellement dans les mains des plus riches. Cette redistribution continue des richesses prendra fin grâce à la réforme.
    Le système de Monnaie pleine contribue ainsi bien plus que notre système bancaire actuel à ce que l’argent s’écoule dans l’économie réelle et non pas dans la spéculation financière. Afin que l’argent se maintienne dans l’économie réelle de façon durable, la monnaie pleine ne suffira pas. Nous avons besoin de lois ultérieures et d’un changement de mentalité dans la société.
    «  On exige sans cesse des banques qu’elles augmentent leurs fonds propres afin de stabiliser le système financier. Est-ce nécessaire dans un système de Monnaie pleine ? »
    Cela ne sera probablement pas nécessaire. Les parts de fonds propres plus élevées impliquent  que les banques peuvent supporter elles-mêmes plus de pertes. Cela est censé protéger l’État contre ce type de risques. Aujourd’hui, l’État est amené à sauver des banques afin de maintenir les transactions financières.
    Avec la monnaie pleine, les transactions financières seront indépendantes des bilans des banques, et l’État ne sera pas forcé de les sauver. Et comme les banques ne pourront pas augmenter elles-mêmes la masse monétaire, le danger de bulles spéculatives diminuera.
    Seule la BNS contrôlera la masse monétaire. Il n’est donc pas certain que la part de fonds propres doive augmenter sous un régime de Monnaie pleine. Cela rendrait l’octroi de crédits plus compliqué. Par ailleurs ce problème se règlera de lui-même : si les banques prennent trop de risques et font faillite, elles disparaîtront du marché. Par contre, si les banques agissent prudemment, elles seront durablement stables.
    « D’où viendra l’argent des intérêts sur les crédits de banques privées, si les banques ne peuvent plus émettre de la monnaie ? »
    Les intérêts devront être gagnés par les emprunteurs. Ils pourront le faire lorsque les banques réinjecteront le capital perçu dans le circuit économique via les charges d’exploitation ou la répartition des bénéfices. De plus la BNS injectera constamment de la monnaie supplémentaire, par exemple pour s’adapter à la croissance économique. Si les acteurs économiques stockent des quantités de monnaie importantes qui manqueront dans le circuit économique, la BNS équilibrera la situation aussi longtemps que le législateur ne réagira pas.
    « Ne vaudrait-il pas mieux que l’émission monétaire soit régulée par le marché libre plutôt que par la Banque nationale ? »
    Non. Dans une société basée sur la répartition du travail, il est indispensable d’avoir accès à la monnaie. Sans argent, il n’existe aucun accès au marché; et sans accès au marché, il n’y a pas de moyen d’exister, aussi bien du côté du consommateur que du côté du producteur. Aujourd’hui, ce sont les banques qui déterminent qui peut obtenir de l’argent, à quelles conditions, dans quel but et à hauteur de quelle somme ; de plus elles produisent cet argent à volonté et à partir de rien !
    Le «marché libre», que l’on évoque volontiers, est donc soumis à l’arbitraire des banques (tout comme y est soumis l’«État souverain»). Ce monopole du pouvoir devrait indigner tout individu se qualifiant de libéral. Afin de le briser, il est nécessaire de séparer l’émission monétaire de l’utilisation de la monnaie. La réforme de Monnaie pleine est donc inéluctable. C’est la seule manière de permettre l’existence d’une vraie démocratie et d’une liberté économique. Les utilisateurs de la monnaie (= tous les individus vivant dans une société régie par la division du travail)  pourront ainsi être libérés de la dictature des producteurs de monnaie.

    Questions fréquentes:
    Questions et réponses.

    La Constitution et l’argent.

    Comment la vie physique et personnelle est-elle maintenue ?

    Par l’échange de produits et services.

    Comment cet échange de produits et services s’accomplit-il ?

    Au moyen de l’argent, qui existe de par nécessité sociale, afin de rendre
    possibles les échanges de différents articles de valeurs différentes.

    Est-ce que la matière dont l’argent est fait a de l’importance?

    Non.  C’est le statut légal donné à
    l’argent par le sceau du gouvernement qui fait que cet argent peut être accepté
    par tous comme étant de l’argent véritable, qu’il soit fait de métal ou de
    papier.

    Qui doit créer l’argent ?

    Le gouvernement, représentant tout le peuple et les cantons.

    Dans notre pays (la Suisse), quel corps gouvernemental représente tout le
    peuple?

    L’assemblée fédérale.

    Est-ce que la Constitution stipule qui doit créer notre argent?

    Oui. C’est clairement défini:

    Sous les lois actuelles, est-ce que notre gouvernement national crée notre
    argent?

    Non, seulement dans une très faible mesure.

    Qui crée l’argent ?

    Des compagnies privées, communément appelées banques, créent présentement
    pratiquement tout notre argent.

    Pourquoi des particuliers ont-ils usurpé et exercé le pouvoir souverain
    d’émettre notre argent?

    Parce que lorsque ce pouvoir est détenu et exercé par des particuliers, ils
    peuvent contrôler — et contrôlent effectivement — tout le système économique,
    social et gouvernemental, et en tirer des profits énormes et illicites.

    Sous notre système privé actuel de création de l’argent, qu’est-ce que les
    banquiers obtiennent pour rien ?

    Ils obtiennent l’intérêt sur l’argent qu’ils ont créé et prêté, et les propriétés
    que les gens avaient amenées comme garantie, si les prêts ne sont pas
    remboursés à une date déterminée.

    Est-ce que l’assemblée fédérale peut déléguer un pouvoir qui lui est réservé par
    la Constitution comme étant une fonction publique, qui sera exercé sans
    conditions par des intérêts privés en vue de profits ?

    Non, pas sans violer la Constitution.

    Est-ce que L’assemblée fédérale a délégué sans conditions à des
    intérêts privés, en vue de profits, le pouvoir de créer notre argent ?

    Oui, par la loi des Banques, ainsi que d’autres lois subséquentes.

    Pourquoi cette violation continue-t-elle ?

    Parce que chaque fois qu’un Franklin, un Jefferson, un Jackson, un Lincoln, un
    Kennedy ou tout autre homme public honnête a essayé de faire prendre
    conscience au peuple de cette fraude, les créateurs privés de l’argent —
    les banquiers internationaux — se sont levés en force et ils ont utilisé
    la presse qu’ils contrôlent, leurs politiciens lèche bottes, leurs
    banquiers serviteurs, leurs dociles membres du clergé, et leur pouvoir sur
    la prospérité des citoyens pour arrêter toute campagne pour la liberté
    économique. Jusqu’ici, ils ont réussi.

    Comment le gouvernement peut-il récupérer son privilège d’émettre l’argent
    sans intérêts ?

    Il n’a aucun besoin de récupérer ce qu’il n’a pas le droit de céder.

    Il a encore ce droit, et doit immédiatement reprendre l’exercice

    de ce plus important pouvoir constitutionnel.

    Est-ce que la BNS et les banques cantonales sont réellement pour le bien public (appartiennent au gouvernement)?

    Elles ne le sont pas, la BNS et les banques cantonales sont des sociétés anonymes pour la plupart.

    PreuVe. Rapport de gestion, 
    Elles ne sont pas plus fédérales ou cantonales que ne l’est
    la «Boulangerie fédérale» ou la «Blanchisserie vaudoise».

    Qu’est-ce que la BNS ?

    C’est une banque centrale, la banque des banquiers.

    L’usure

    Si les banques sont ainsi des manufactures de dettes où l’argent

    est manufacturé dans le but de créer des dettes, l’argent est-il

    émis avant tout à des fins usuraires ?

    Oui. L’argent est mis au monde par les banques sous forme de

    prêts, auquel un intérêt doit être payé par toute personne qui utilise

    de l’argent.


    Qu’est-ce que l’usure ?

    L’usure est une violation du commandement, “Tu ne voleras pas”, et est reliée à trois actions immorales spécifiques: 

    1. Exiger un taux d’intérêt. 
    2. Exiger un intérêt sur tout prêt non productif ou destructeur. 
    3. Exiger de l’intérêt sur un prêt d’argent fictif que le prêteur crée, exigeant alors de l’emprunteur un remboursement injuste. Dans ce cas, le prêteur récolte là où il n’a pas semé de devient propriétaire de tout le réel.


    L’usure est-elle immorale?

    Oui, et elle va aussi à l’encontre de l’enseignement chrétien.

    Les effets d’un système d’argent malhonnête

    Qu’arrivera-t-il si le système d’argent actuel continue et si la politique économique actuelle persiste ?

    1. Des particuliers créeront l’argent pour leur profit personnel.

    2. Des compagnies organisées pour la production, comme les automobiles, l’acier, le textile, seront dominées par les créateurs de l’argent.

    3. Le gouvernement lui-même sera dominé par les ploutocrates de l’argent.

    4. La presse, dépendant des annonces reçues des compagniesdominées par les banquiers, continuera de tromper la population.

    5. Le système d’éducation continuera de cacher les vérités de l’économie dans nos écoles.

    6. Les citoyens, écrasés par les coûts insupportables de la guerre et de la crise économique, seront portés à blâmer les gouvernements démocratiques, et renonceront sans s’en apercevoir à toutes les libertés déjà gagnées en retour des biens essentiels, que les ploutocrates leur accorderont seulement en échange de leurs libertés. 

    7: Une dictature suivra automatiquement. La démocrature ou dictatocratie est en route, avec des fraudes démocratiques massives presque partout, même en Suisse.
    http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/11/fraudes-electorales-secret-du-vote-une.html


    Les avantages d’un système d’argent honnête


    Qu’arrivera-t-il après qu’un système d’argent honnête aie été établi? 

    Un système d’argent honnête nous aidera à:

    1. Redonner la souveraineté sur l’argent à ses possesseurs de droit — le peuple — par l’entremise de l’assemblée fédérale.

    2. Débarrasser l’assemblée fédérale des politiciens serviles.

    3. Éliminer la domination du gouvernement par les manipulateurs de l’argent qui ont souvent été la cause des guerres.

    4. Garantir une paix durable parmi les nations dont les gouvernements pourront passer des lois indépendantes des financiers internationaux.

    5. Rendre possible la véritable liberté de la presse et l’enseignement de la vérité dans toutes les écoles, libérées une fois pour toutes de la domination des créateurs de l’argent.

    6. Permettre à la vertu chrétienne d’être pratiquée lorsque n’existe plus la misère en face de l’abondance.

    7. Vivre enfin une vraie démocratie économique.

    L’abbé Coughlin conclut son livre par ces mots:

    Sans la liberté économique, les libertés physiques et politiques

    ne veulent rien dire. Leur existence dépend presque totalement de

    la liberté financière. Il est indispensable que nous reprenions

    notre droit souverain d’émettre notre argent et d’en régler

    la valeur. Il est indispensable que nous cessions de payer tribut aux

    banques qui créent notre argent à partir de

    rien et le prêtent en y attachant une taxe invisible. C’est la bourse

    ou la vie.

    Vous devez agir comme des apôtres qui ont appris la vérité.

    Vous devez répandre l’évangile de la liberté financière même au

    prix de votre vie… Formez vos bataillons, indépendants des dirigeants

    de la presse, des politiciens et des poltrons ! Mettez de côté

    votre léthargie !

    Au nom du christianisme, je vous supplie de participer à la

    répétition du miracle du Maître qui a nourri les foules affamées.

    Cela peut être accompli en demandant l’institution d’un système

    d’argent honnête… Les changeurs d’argent doivent être chassés du

    temple. Si nous de cette génération, paralysés par

    la drogue de l’indifférence et recroquevillés par les appels à l’égoïsme,

    ne réussissons pas à déloger la loi des changeurs d’argent,

    que personne ne pleure, n’honore et ne chante notre mémoire!

    Paroles de Thomas Edison

    «Il est absurde de dire que notre pays peut

    émettre 30 millions $ en obligations, et pas 30

    millions $ en monnaie. Les deux sont des promesses

    de payer, mais l’un engraisse les usuriers,

    et l’autre aiderait le peuple.»

    Pourquoi le gouvernement devrait-il payer un intérêt à un

    système bancaire privé pour l’usage de sa propre monnaie, qu’il

    peut émettre lui-même, sans intérêt? C’est exactement ce que

    les créditistes du journal Vers Demain soutiennent, lorsqu’ils demandent

    au gouvernement fédéral de reprendre son pouvoir de

    créer l’argent du pays. L’inventeur américain Thomas Edison, qui

    était loin d’être un fou (quoique n’ayant fréquenté l’école que 3

    mois, il comptait plus de 1000 brevets d’inventions à son actif), est

    aussi d’accord avec cette demande des créditistes. Voici ce qu’il

    disait dans une interview publiée dans le New York Times en 1928,

    alors qu’il était de retour d’une inspection à la centrale électrique

    en construction Muscle Shoals, sur la rivière Tennessee:

    «Si la monnaie est émise par la nation, 30 millions $ pour le financement

    de Muscle Shoals, ce sera la bonne chose à faire. Une fois

    cette méthode d’émettre l’argent pour les développements publics

    essayée, le pays ne retournera jamais à la méthode des obligations…

    «Maintenant, il y a (Henry) Ford qui propose de financer Muscle

    Shoals par une émission de monnaie (au lieu d’obligations). Très

    bien, supposons un instant que le Congrès suit sa proposition. Personnellement,

    je ne pense pas que le Congrès ait assez d’imagination

    pour le faire, mais supposons qu’il l’ait. La somme requise est émise

    directement par le gouvernement, comme toute monnaie doit l’être.

    «Lorsque les travailleurs sont payés, ils reçoivent ces billets

    des Etats-Unis. A l’exception peut-être que ces billets porteraient

    la gravure d’un barrage au lieu d’un train ou d’un bateau, comme

    certains billets de la Réserve fédérale l’ont, ils seront la même chose

    que n’importe quel autre numéraire émis par le gouvernement,

    c’est-à-dire, ils seront de l’argent.

    «Ils seront basés sur la richesse publique existant déjà à Muscle

    Shoals; ils seront retirés de la circulation par les salaires et bénéfices

    de la centrale électrique. C’est-à-dire le peuple des Etats-Unis

    recevra tout ce qu’il a mis dans Muscle Shoals et tout ce qu’il pourra

    y mettre durant des siècles… le pouvoir sans fin de la rivière Tennessee…

    sans taxes et sans augmentation de la dette nationale.

    — Mais supposez que le Congrès n’y voit pas, qu’arrivera-t-il ?

    demanda-t-on à Edison.

    «Alors, le Congrès doit retourner à l’ancienne méthode. Il doit

    autoriser une émission d’obligations. C’est-à-dire, il doit aller chez

    les prêteurs d’argent et emprunter assez de notre propre monnaie

    nationale pour achever ces travaux, et nous devons payer de l’intérêt

    aux prêteurs d’argent pour l’usage de notre propre argent.

    «C’est-à-dire, sous l’ancienne manière, chaque fois que nous

    voulons augmenter la richesse nationale, nous sommes forcés

    d’augmenter la dette nationale.

    «C’est ce qu’Henry Ford veut empêcher. Il pense que c’est stupide,

    et je le pense aussi, que pour le prêt de 30 millions $ de son

    propre argent, le peuple des Etats-Unis soit obligé de payer 66 millions

    $ — le montant total à payer avec les intérêts. Des gens qui

    n’ont pas levé une pelle de terre ni contribué pour une seule livre de

    matériel vont ramasser plus d’argent des Etats-Unis que le peuple

    qui a fourni les matériaux et le travail.

    «C’est ce qui est terrible avec l’intérêt. Dans toutes nos importantes

    émissions d’obligations, l’intérêt à payer est toujours plus

    gros que le capital. Tous nos grands travaux publics coûtent plus

    de deux fois le coût réel. Tout le problème est là.

    «Si notre nation peut émettre une obligation d’une valeur d’un

    dollar, elle peut émettre un billet d’un dollar. L’élément qui fait

    que l’obligation est bonne est le même qui fait que le dollar est

    bon. La différence entre l’obligation et le dollar est que l’obligation

    permet aux prêteurs d’argent de ramasser 2 fois le montant

    de l’obligation plus un 20 pour cent additionnel, alors que l’argent

    mis en circulation ne paye que ceux qui ont directement contribué

    à la construction du barrage de quelque manière utile…

    «Il est absurde de dire que notre pays peut émettre 30 millions

    $ en obligations, et pas 30 millions $ en monnaie. Les deux sont

    des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre

    aiderait le peuple. Si l’argent émis par le gouvernement n’était pas

    bon, alors, les obligations ne seraient pas bonnes non plus. C’est

    une situation terrible lorsque le gouvernement, pour augmenter la

    richesse nationale, doit s’endetter et se soumettre à payer des intérêts

    ruineux à des hommes qui contrôlent la valeur fictive de l’or.»

    Annexe E

    L’argent est créé par les banques

    Témoignage de Graham Towers

    Un des témoignages les plus clairs sur les

    pratiques bancaires fut donné par Graham F.

    Towers, Gouverneur de la Banque centrale du

    Canada (de 1934 à 1955), devant le Comité parlementaire

    canadien des Banques et du Commerce

    au printemps 1939. Le rapport de ce comité

    compte 850 pages. (Standing Committee

    on Banking and Commerce, Minutes of Proceedings

    and Evidence Respecting the Bank of

    Canada, Ottawa, J.O. Patenaude, I.S.O., Printer

    to the King’s Most Excellent Majesty, 1939.) La

    grande partie du témoignage de Towers résulte

    des questions de “Gerry” McGeer, K.C., ancien maire de Vancouver,

    qui comprenait clairement le fonctionnement des banques.

    Voici quelques extraits du témoignage de Towers (nous traduisons

    de l’anglais):

    Q. Mais il n’y a pas de doute que les banques créent elles-même

    ce moyen d’échange?

    Towers: C’est exact. C’est pour cela qu’elles existent… C’est

    là le rôle des banques, tout comme une aciérie fabrique de l’acier.

    (p. 287)

    Le procédé de fabrication consiste à faire une entrée avec une

    plue et de l’encre, ou au clavigraphe, dans un livre ou sur une

    carte. C’est tout. (p. 76 et 238)

    Chaque fois, et à toutes les fois qu’une banque accorde un prêt

    (ou achète des titres), du nouveau crédit bancaire se trouve créé,

    de nouveaux dépôts, de l’argent flambant neuf. (p. 113 et 238)

    Généralement parlant, toute nouvelle monnaie vient d’une

    banque sous forme de prêts. Tout l’argent en circulation a été à

    son origine prêté par une banque. (p. 461 et 794)

    Puisque tous les prêts sont des dettes, alors sous le système

    actuel, toute monnaie est une dette. (p. 459)

    C’est une erreur commune de croire que les banques prêtent

    l’argent de leurs déposants. Elles ne le font pas du tout. (p. 398,

    455, 590)

    Graham Towers

    298 Annexe E

    Q. Lorsque le gouvernement présente aux banques des débentures

    pour un montant de 1 000 000 $, un million de nouvelle monnaie,

    ou d’un équivalent à la monnaie, est créé par le fait même ?

    Towers: Oui.

    Q. Est-il bien vrai qu’il y a là création d’un million de dollars de

    nouvelle monnaie?

    Towers: C’est exact.

    Q. Et il en va de même lorsqu’une municipalité ou une province

    va à la banque?

    Towers: Ou aussi un individu qui emprunte.

    Q. Ou lorsqu’une personne se rend à la banque?

    Mr. Towers: Oui.

    Q. Lorsque j’emprunte 100 dollars de la banque en tant que

    citoyen privé, la banque fait une entrée comptable, et il y a une

    augmentation de 100 dollars dans les dépôts de cette banque, dans

    le total des dépôts de cette banque ?

    Mr. Towers: Oui. (p. 238)

    Q. Lorsque vous permettez aux banques commerciales

    d’émettre des dépôts bancaires — qui, avec la pratique en vogue

    aujourd’hui de se servir de chèques, constituent le moyen d’échange

    avec lequel 95% des transactions sont faites par le public et le

    privé — vous permettez virtuellement aux banques d’émettre un

    substitut efficace à la monnaie, n’est-ce pas?

    Towers: Les dépôts bancaires sont de la monnaie réelle dans

    ce sens.

    Q. De fait, ce n’est pas de la monnaie proprement dite, mais

    plutôt des entrées comptables employées comme substitut à la

    monnaie?

    Towers: Oui.

    Q. Alors nous autorisons les banques à émettre un substitut à

    la monnaie?

    Towers: Oui, je crois que c’est un exposé très juste de cette

    fonction de la banque. (p. 285)

    Q. 12 pour cent de la monnaie en usage au Canada est émise

    par le gouvernement par l’hôtel des monnaies et la Banque du Canada,

    et 88 pour cent est émis par les banques commerciales du

    Canada sur les réserves émises par la Banque du Canada?

    299 Annexe E

    Mr. Towers: Oui.

    Q. Si l’émission de la monnaie est une haute prérogative du

    gouvernement, cette haute prérogative a été transférée du gouvernement

    aux banques commerciales dans la mesure de 88 pour

    cent?

    Towers: Oui. (p. 286)

    Q. Pourquoi un gouvernement ayant le pouvoir de créer l’argent

    devrait-il céder ce pouvoir à un monopole privé, et ensuite

    emprunter ce que le gouvernement pourrait créer lui-même, et

    payer intérêt jusqu’au point d’une faillite nationale ?

    Towers: Si le gouvernement veut changer la forme d’opération

    du système bancaire, cela est certainement dans le pouvoir

    du parlement. (p. 394)

    Q. En ce qui concerne la guerre, pour défendre l’intégrité de la

    nation, il n’y aura aucune difficulté à se procurer les moyens financiers

    nécessaires, quels qu’ils soient?

    Towers: La limite des possibilités dépend des hommes et des

    matériaux.

    Q. Et où existe une abondance d’hommes et de matériaux, il

    n’y aurait aucune difficulté, sous notre système bancaire actuel, à

    fournir les moyens d’échange nécessaires pour mettre au travail les

    hommes et les matériaux pour la défense du royaume?

    Towers: C’est exact. (p. 649)

    Q. Admettriez-vous que tout ce qui est physiquement possible

    et souhaitable, peut être rendu financièrement possible ?

    Towers: Certainement. (p. 771)

    Source : Louis Even, Sous le signe de l’abondance.

    Le financement se fera donc aussi par de la création monétaire fondée sur les statistiques raisonnées des productions abondantes de plus en plus robotisées, par exemple on pourra payer tous ceux qui restent à la maison pour éduquer les enfants, on pourrait avoir par exemple deux fois le PIB sans problèmes car l’automation fait que les produits seront livrés sans inflation ( P= M/Q ) Prix constants car la Monnaie et la Quantité de biens peuvent augmenter sans problèmes vu les technologies actuelles. Le problème actuel est justement que les usines et les producteurs peuvent surproduire de tout, la seule chose qui manque, ce sont les revenus dont le symbole est l’argent et la chose la plus facile à produire, c’est justement l’argent, les symboles. On peut surproduire pour la guerre et pas pour la paix ? C’est complétement stupide ! Quelle est la différence ? Les choses sont là, les techniques sont là, les travailleurs sont là, est-ce qu’il manque quelque chose ? En tout cas pas la stupidité et les manipulations ! Ouvrez vos yeux et vos coeurs, il y a de plus en plus d’innocents qui meurent !

     Le nouvel argent ne vient donc pas de taxes ou de salaires, mais de la création de l’argent réellement donnée aux banquiers par milliards, voire plus depuis des siècles …
    Ces assouplissements quantitatifs doivent être donnés au peuple, pas pour les guerres et les primes pour de plus en plus rares nantis … La nouvelle société suisse pour une véritable démocratie économique, distribuons enfin les revenus du progrès technique, des ressources naturelles, de l’automatisation de plus en plus efficace, grâce à des robots, des ordinateurs et des machines.
    Une nouvelle société, les animaux sont libres, c’est à notre tour, les êtres humains libres, libérons-nous des chaînes de la servitude.
    L’ automatisation profitera à tous. Partageons la productivité massive, un dividende pour tous les peuples suisses, habitants de tous les États de la Confédération suisse, voici enfin une véritable démocratie économique, grâce aux robots, aux ordinateurs et aux machines.
    Nous, Suisses, sommes tous des rois, et le premier devoir d’un roi est de contrôler la création monétaire.

    Ils trouvent des milliards et des quadrillions pour des guerres stupides ou des banquiers cupides ( 1500 milliards “donnés” aux banquiers de l’UE par Merkozy…, nous préférons investir ces sommes dans la vraie paix. Donnons un revenu à tous dès la conception et jusqu’à la mort naturelle, les robots travaillent déjà pour nous, sachons monnayer leurs produits et les distribuer à tous, ce qui peut plus que doubler notre PNB. Il y a assez de travaux plus nobles et humains à faire, éduquez nos enfants, écrire, faire de la recherche, de l’art, s’occupez de nos parents, des handicapés, des faibles etc… Laissons aux robots le reste, il est stupide d’avoir des milliards sans limites pour faire des guerres atroces et pas ces mêmes milliards pour faire la paix sociale.
     Pour convaincre mon entourage, j’ai besoin de plus d’arguments pour dissiper leurs doutes:
    1- Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?
    2- L’homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?
    3- Est-ce que l’essai dans d’autres pays fut concluant ?
    4- Pourquoi certains “socialistes” sont contre ?
    5- Inconditionnel ?

    1. Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?

    Seuls les habitants de la Suisse depuis plusieurs années sont concernés. Par contre, le concept est exportable, ce qui permet de stabiliser les populations, voir en Namibie, Brésil, Madagascar, Togo, etc…

    2.  L’homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?

    Matthieu, VI, 26

    de Bible

    1 citation Flux RSS de  Matthieu, VI, 26


    Les hommes veulent des contacts, ils sortiront librement pour des tâches nobles.
    Voir ligne directe de ce jour à la RTS, le rentier AI qui affirme qu’il veut travailler…

    3. Est-ce que l’essai dans d’autres pays fut concluant ?

    Alaska, Brésil, Namibie, Libye que des succès… En Lybie, ils ont fait la guerre pour stopper le succès…



    François de Siebenthal: Khadhafi fait mieux qu’Obama, il distribue 

    desiebenthal.blogspot.com/…/khadhafi-fait-mieux-quobama…Partager

    19 août 2009 – Selon le colonel Kadhafi, il n’y a qu’« une seule caisse en Libye », celle qui …. Il criera, au contraire, à l’injustice si on lui refuse son dividende.



    Les miracles du revenu minimum garanti

    Dans le cadre d’un projet pilote, les habitants d’un village déshérité ont reçu chaque mois l’équivalent de 10 euros. Deux ans plus tard, le bilan est vraiment positif, se félicite Herbert Jauch, le responsable du programme.


    On débat dans de nombreux pays de l’instauration d’un revenu minimum garanti (RMG) qui ne soit assorti d’aucune condition contraignante. Pourquoi la Namibie a-t-elle pris les devants avec ce projet pilote ?

    HERBERT JAUCH 



    La Commission d’orientation nationale a, dès 2002, recommandé le versement d’un revenu minimum à tous les citoyens pour mieux s’attaquer aux inégalités sociales. La Namibie est, selon les Nations unies, le pays qui présente les plus grands écarts de revenus au monde. Comme le gouvernement n’a pu se décider à instaurer un RMG, les Eglises et les syndicats ont lancé un projet pilote. 

    Pourquoi avoir choisi le petit village d’Otjivero ?
    Nous voulions un endroit dans lequel il ne se passerait rien pendant au moins deux ans : pas de programme de création d’emplois, pas de projet d’aide au développement, pas de rentrées financières. Il ne devait y avoir que le revenu minimum, soit 100 dollars namibiens (environ 10 euros) par personne et par mois. Otjivero avait l’air d’être dans une situation tellement désespérée que nous avons pensé au début que le RMG ne servirait pas à grand-chose, hormis une légère réduction de la pauvreté. 

    Recevoir de l’argent sans condition, sans travailler, est-ce que cela peut faire bouger les choses ?
    Ce sont des préjugés auxquels nous nous heurtons en permanence. Si les gens d’Otjivero ne travaillent pas, ce n’est pas parce qu’ils sont paresseux mais tout simplement parce qu’il n’y a pas de travail. Le fait est qu’ils n’ont pas dépensé cet argent pour s’acheter de l’alcool et qu’ils ne l’ont pas dilapidé pour rien. 

    Qu’en ont-ils fait ?
    Nous avons pu observer une chose surprenante. Une femme s’est mise à confectionner des petits pains ; une autre achète désormais du tissu et coud des vêtements ; un homme fabrique des briques. On a vu tout d’un coup toute une série d’activités économiques apparaître dans ce petit village. Cela montre clairement que le revenu minimum ne rend pas paresseux mais ouvre des perspectives. 

    Vous auriez pu parvenir au même résultat avec des microcrédits ciblés.
    Contrairement aux microcrédits et à beaucoup de programmes d’aide au développement classiques, le revenu minimum a un impact non seulement sur la production, mais aussi sur la demande. En Afrique, le pouvoir d’achat se concentre en général dans quelques centres, ce qui force les gens à quitter les campagnes pour les villes, où les bidonvilles finissent par s’étendre. Le RMG permet à des régions rurales de se développer, il crée des marchés locaux et permet aux gens d’être autosuffisants. 

    Quels effets avez-vous pu constater à Otjivero ?
    Le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté est passé de 76 à 37 %. Avant l’expérience, près de la moitié des enfants étaient sous-alimentés, aujourd’hui ils sont moins de 10 % ; 90 % finissent leur scolarité, avant, ils n’étaient que 60 %. Et la criminalité a baissé. 

    Pourquoi demandez-vous la création d’un RMG pour tous les Namibiens et pas seulement pour les pauvres ?
    Cela demanderait beaucoup trop de travail et coûterait beaucoup trop cher de vérifier les besoins de chacun. De plus, il ne faut pas pénaliser les gens qui ont trouvé un travail ou qui se sont construit une existence. Celui qui gagne bien sa vie et qui est riche reverse le RMG à l’Etat par ses impôts. 

    La Namibie pourrait-elle se permettre de verser un revenu minimum à tous ses habitants ?
    La Commission d’orientation l’a calculé depuis longtemps. Le RMG coûterait 5 à 6 % du budget national. Pour le financer, il faudrait relever légèrement le taux maximum d’imposition, qui est de 34 % actuellement, et la taxe sur le chiffre d’affaires. Le gouvernement pourrait également introduire des prélèvements sur les exportations de matières premières et lutter contre l’évasion fiscale. 

    Mais le versement du RMG serait très lourd à gérer.
    Bien au contraire ! Les coûts de gestion représentent environ 10 %. A Otjivero, nous avons utilisé des cartes à puce personnelles pour l’identification des intéressés et ça s’est très bien passé. Et la poste namibienne affirme qu’il serait rentable pour elle d’ouvrir un bureau dans chaque ville en cas d’instauration du RMG. Même avec deux retraits d’argent sans frais par mois, ça vaudrait encore le coup. 

    Qu’est-ce qui empêche la Namibie d’introduire le RMG ?
    Le gouvernement n’est pas encore tout à fait convaincu. Notre ministre de l’Economie a compris que le revenu minimum constituait un instrument simple et bon marché pour changer les choses. Il y a cependant des résistances du côté du ministère des Finances et de notre Premier ministre, qui émet encore des réserves. 

    L’expérience menée à Otjivero n’a-t-elle donc pas convaincu ?
    La pression exercée par le Fonds monétaire international (FMI) n’est pas sans effet en Namibie. Le FMI a présenté des chiffres erronés sur le coût du RMG. Il prend par exemple en compte les plus de 60 ans, alors qu’ils ne sont pas concernés par le RMG. Il craint que la Namibie démontre que le RMG fonctionne. Ce système deviendrait alors très intéressant pour des pays comme le Brésil et l’Inde. 

    Comment réagissez-vous à cela ?
    Nous faisons le tour du pays avec des gens d’Otjivero pour qu’ils racontent leur histoire. Et nous sommes soutenus partout ! Nous espérons pouvoir arriver à nos fins dans le courant de l’année prochaine. L’important, c’est que la pression de la base soit forte. Quand les électeurs l’exigeront, la SWAPO, le parti au pouvoir, ne pourra plus dire que ça ne l’intéresse pas.


    Plusieurs modèles:

    Canada: Retour dans le passé de la « ville sans pauvreté »Actualités6 décembre 2012 Stanislas Jourdan

    dauphin-manitoba

    De 1974 à 1979, une expérimentation sociale connue sour le nom de « Programme MINCOME » visait à mettre en place un système de revenu de base garanti dans le petite ville de Dauphin, au Canada. Evelyn Forget fait partie des rares chercheuses ayant investigué sur ce sujet. Nous l’avons interrogé pour en savoir plus sur le contexte et les résultats de ses travaux de recherche.

    Bonjour Evelyn, pouvez-vous nous dire pourquoi vous vous intéressez au revenu de base ?

    Je suis professeur d’économie à la faculté de médecine de l’Université du Manitoba et mon intérêt de base concerne les coûts des soins de santé. Il n’y a pas besoin de travailler très longtemps dans la Santé pour réaliser que la plupart des cas que vous traitez sont les séquelles de la pauvreté. Les gens sont malades parce qu’ils sont pauvres.
    Je connaissais l’expérience Mincome qui avait eu lieu dans les années 1970, mais je ne savais pas ce qui avait émergé des résultats. Je me demandais s’il y avait moyen de « revenir en arrière » et de trouver des participants afin de voir quel effet avait eu le revenu garanti sur leur vie et celle de leurs enfants.

    Pouvez-vous nous rappeler le contexte de cette expérimentation ? Ainsi que ses principales caractéristiques ?

    Evelyn Forget, 2012
    L’expérience a été introduite en 1974 et a pris fin en 1979. Elle a été réalisée dans deux sites au Manitoba : la ville de Winnipeg (450.000 habitants à l’époque), et la petite ville de Dauphin (environ 10.000 personnes).
    La particularité à Dauphin était que toutes les familles qui vivaient dans la ville (pas seulement un échantillon) ont participé à l’expérience et ont reçu le revenu garanti si leur revenu était trop bas. Tout le monde n’a pas reçu de l’argent, mais on avait promis à tous que si leurs revenus étaient assez bas, ils obtiendraient ce soutien financier. Le gens devaient simplement se présenter au bureau, remplir les formulaires et fournir leurs fiches de paie. Et bien sûr, on vérifiait leur identité.
    Le but de l’expérimentation sociale était de savoir si les gens cesseraient de travailler ou travailleraient moins d’heures si on leur garantissait un revenu. Beaucoup de gens pensaient que les heures travaillées diminueraient de manière significative.
    Pour ma part, j’étais curieuse de savoir s’il y avait d’autres effets – et notamment si les gens étaient en meilleure santé et s’ils restaient plus longtemps à l’école.

    Justement, vous avez produit la recherche sociologique la plus importante sur cette expérimentation. Quels en furent les résultats les plus frappants ?

    Mes propres recherches ne concernaient pas l’étude de l’évolution de l’effort de travail. D’autres économistes ont investigué ça dans les années 1980 et ils ont découvert que seulement deux groupes d’individus ont travaillé moins d’heures : les femmes mariées et les adolescents.
    Les premières utilisaient effectivement le revenu garanti pour « acheter » elles-mêmes des congés de maternité plus longs. Quand elles quittaient le marché du travail pour donner naissance, elles restaient plus longtemps à la maison. Deuxièmement, les adolescents, et les garçons en particulier, ont réduit leurs heures de travail, car ils ont pris leur premier emploi à temps plein à un âge plus avancé.
    C’était le point de départ de ma propre recherche. Je me suis demandé : s’ils ne travaillaient pas, cela signifiait probablement qu’ils restaient plus longtemps à l’école. Et c’est ensuite ce que j’ai démontré : le taux de réussite à l’école secondaire (Grade 12 = Terminale) a augmenté au cours de l’expérience.
    Mes résultats les plus significatifs portent sur les coûts des soins de santé. J’ai utilisé les données des assurances-maladie pour démontrer que les taux d’hospitalisation ont diminué de 8,5% chez les sujets de l’expérience par rapport aux sujets dits « témoins ». J’ai expliqué cela par la réduction des « accidents et blessures » et la réduction des hospitalisations pour problèmes de santé mentale.

    Avez-vous remarqué un effet négatif sur les prix, notamment de l’immobilier ?

    Non, car ces statistiques n’étaient pas spécifiquement suivies. Et puis, il faut se souvenir que nous étions dans une période d’inflation massive à travers le pays, du coup il serait difficile d’attribuer les augmentations de prix au programme MINCOME.

    Concernant la faible baisse du nombre d’heures travaillées, comment analysez-vous ces résultats ? Et sont-ils similaires aux autres expérimentations nord-américaines ?

    En effet, peu de gens à Dauphin ont cessé de travailler, et même parmi ceux qui avaient un emploi à temps plein, très peu ont réduit leur temps de travail. En fait, un revenu garanti bien conçu (et celui-ci a été conçu comme un crédit d’impôt remboursable) incite les gens à travailler car il complète les revenus des travailleurs pauvres et est beaucoup plus efficace que tous autres types d’aide sociale.
    Les expériences américaines ont révélé les mêmes résultats.

    Certains nuancent ces résultats en expliquant que les gens anticipaient le fait que cette expérience aurait une fin ? Qu’en pensez-vous ?

    Le régime de prévoyance qui existait à l’époque créait de fortes désincitations au travail. À l’époque, tout dollar gagné se traduisait par une baisse égale de leurs prestations. À l’inverse, le programme MINCOME créait une incitation à travailler, car seulement 50 cents pouvaient être pris. Sans avoir la certitude que le programme se poursuivrait, la plupart des gens croyait à l’époque que ce projet pilote serait généralisé à la fin de la décennie.
    Mais plus généralement je ne trouve pas que les arguments du « programme temporaire » soient très convaincants. Ils sont même parfois contradictoire : si les gens étaient vraiment irresponsables, se projetteraient-ils quatre ans dans l’avenir pour décider comment se comporter aujourd’hui ?

    Comment cela se peut-il que les effets de cette expérience n’aient pas été étudiés pendant si longtemps ? 

    L’expérience avait été initiée par les gouvernements de centre gauche au début des années 1970. Puis ces gouvernements ont été remplacés tant au niveau provincial que fédéral, par le centre droit, notamment en raison des événements économiques des années 1970 – l’inflation, le chômage, l’augmentation du prix du pétrole, les taux d’intérêt élevés. Du coup, les gouvernements se sont désintéressés de la lutte contre la pauvreté et se sont préoccupés davantage d’autres enjeux comme la stabilisation du niveau des prix.
    Quant à moi, j’ai eu connaissance de MINCOME car j’étais étudiante de premier cycle dans les années 1970, et mes profs d’économie nous disaient que cette expérience allait révolutionner la façon dont le Canada appréhendait les programmes sociaux. Selon eux, cela deviendrait le fondement de la justice sociale…

    Est-ce que les habitants de Dauphin se souviennent de cette expérimentation ? Et qu’en pensent-ils ? Quid des chercheurs qui avaient travaillé sur le projet à l’époque ?

    Oui, nous avons discuté avec ces deux groupes. De nombreux participants se souviennent et sont reconnaissants pour les opportunités que le MINCOME leur a offertes à eux et à leurs enfants. Tous nous ont mentionné le bienfait du programme pour l’Éducation, soit parce qu’ils avaient réussi à obtenir une formation professionnelle, soit parce que leurs enfants avaient pu étudié plus longtemps à l’école. La plupart pensent que cela aurait dû perdurer.
    Les chercheurs – en particulier les enquêteurs qui étaient tous des jeunes diplômés – ont été touchés par leur expérience. Peu avaient la moindre idée de la profondeur de la pauvreté qui existait, ou même, de ce qu’était la vie rurale au Manitoba à l’époque. Aujourd’hui, beaucoup sont devenus universitaires ou sont des réformistes du système social.

    Y-a-t-il d’autres expérimentations actuellement en cours de préparation au Canada ? Et s’il fallait en faire une autre, comment vous y prendriez-vous ?

    Il n’y a aucune expérience à ma connaissance. Certains voudraient faire certaines choses différemment, mais je pense que cette expérience était vraiment très bonne. Après, obtenir les statistiques de santé fut beaucoup plus facile pour moi que les chercheurs de l’époque, parce que différentes sources de données sont devenues disponibles.

    Est-ce que l’expérience a contribué à la diffusion du revenu de base au Canada ?

    Question intéressante… Mais hélas non, beaucoup de gens ne sont pas encore à l’aise avec le concept de revenu de base, malgré l’évidence des résultats. Je parle à beaucoup de gens qui soutiennent le concept, mais beaucoup pensent que c’est trop cher et que les gens devraient simplement travailler pour vivre. Comme dans les années 1970, beaucoup de gens pensent que nous ne pouvons pas offrir une justice sociale.
    Mais on reparle quand même du revenu garanti. La presse aussi en fait régulièrement mention. Au Canada, l’un des plus importants partisans est le sénateur conservateur Hugh Segal. Je ne suis pas sûr qu’il ait l’oreille de son groupe parlementaire, mais il tire la régulièrement la sonnette d’alarme parmi les hommes d’affaires et les politiciens.
    Au Canada, les personnes âgées à faible revenu reçoivent un supplément, qui est une sorte de revenu garanti pour les personnes âgées. De même, les personnes ayant des enfants à charge reçoivent une prestation sociale à ce titre. Aucune de ces aides n’est aussi importantes que ce qu’elle devrait être, mais elles existent. En fait, un bon nombre des meilleures réformes de la protection sociale ressemble beaucoup à un revenu de base, bien qu’elles ne concernent qu’une partie de la population.
    Je pense que la prochaine étape est bien évidemment d’envisager un revenu garanti pour le reste de la population. Cette perspective est-elle d’actualité  ?
    Cette question n’est malheureusement pas à l’ordre du jour, du moins pas sous le nom de « revenu annuel garanti ». Je pense que les gens sont plus à l’aise avec des dispositifs comme le « crédit d’impôt familial remboursable », ce qui revient à la même chose. Nous évoluons progressivement vers le RAG (Revenu Annuel Garanti) au fil du temps, mais les événements économiques actuels interviennent de toute façon.
    L’une des difficultés auxquelles nous sommes confrontés au Canada est notre système fédéral : seul celui-ci pourrait soutenir un tel système, mais les politiques sociales relèvent de la responsabilité des provinces. Il sera difficile de convaincre toutes les provinces d’accepter un tel régime social, ou alors il faudrait un leadership fort au niveau national. Or, je ne vois pas le gouvernement actuel faire une telle chose…
    Le chemin est encore long, mais nous avons d’ardents défenseurs de cette idée dans l’échiquier politique. Tant que nous continueront de faire vivre cette idée, elle sera prise en compte !
    Photo de couverture: La Gare de Dauphin, Manitoba PaternitéPas d'utilisation commercialePas de modification railsr4me – Traduit et adapté de l’anglais par Raphael Willems & Stanislas Jourdan

    Le courage de taxer les robots

    Les robots libérateurs !

    Le crédit social peut nous sauver des guerres et nous procurer une vraie démocratie économique.

    Il s’applique en s’adaptant aux conditions locales. La Suisse est l’un des pays qui l’applique le plus du fait de sa structure fédéraliste.

    On peut rechercher l’idéal en une fois, mais il est plus efficace de l’appliquer par petites touches, et, au fur et à mesure des avantages prouvés, il deviendra indispensable.

    Mais il faut avoir le courage de taxer les robots et d’en distribuer les revenus, afin de libérer chacun qui pourra alors choisir ses activités plus librement.

    wir. reka, franc suisse, coupons locaux, amap,…


    Ou même la création de monnaie. 


    Maurice Allais est mort récemment, voici ci-dessous un résumé du travail sur lequel nous étions en train de travailler ensemble et qui l’enthousiasmait. Il était prêt à venir en Suisse pour défendre ses idées et notamment un projet d’ initiative parlementaire ou populaire à la suisse:

    La justice commence par une bonne monnaie.


    Battre monnaie seulement pour le peuple:

    Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent. 

    Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle.

    Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement. 

    Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de revenus.

    I. L’Etat doit donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

    II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

    III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.


    Soutenez une initiative constitutionnelle suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:


    Initiative parlementaire ou populaire à la suisse.

    Pour une Suisse sans dettes, ni impôts, taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l’argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.

    État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :

    1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d’emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d’Ambassades et d’outils d’informations tel Swissinfo… à l’heure de crises et de l’isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).

    2. Les “solutions” sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.
    3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu’il réduit les besoins de main-d’oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d’achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.

    4. La crise de l’UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?

    5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d’intérêts… SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.

    6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d’intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes… par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes “familiers”, à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.

    Ainsi :

     – le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts, alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus values mensuelles à tous.

    – A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d’autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.

    – Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs “remboursements” sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.

    – Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.

    Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de bonnes solutions existent et les voici :

    Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l’argent). C’est ce que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l’indépendance de la Suisse.

    La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par un nouvel

    Article 128a :

    I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.

    Il. Il l’exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ce but.

    III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.

    IV. L’émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un dividende et d’un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.

    V. Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu’elle aie ou non des sources de revenus.

    VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l’erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d’intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.

          VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.

          VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent – sans Commission externe indépendante de type FINMA – de l’Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.

          IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d’or physique stocké qu’en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d’assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.

    X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l’encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.

    XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l’essence.

    XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
           

    Dispositions transitoires :

    La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d’intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d’enfants conçus.

    Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l’Assemblée fédérale (Plénum).

    L’écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500’000.-.

    Tout dividende social ou autre prestation sociale n’empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise, etc.

    L’obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.

    Tout financement d’investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés : Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d’établissements distincts et indépendants :

    1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.


    2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.


    3) Banques d’affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.

    Indexation obligatoire de tous les engagements sur l’avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.

    Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.

    Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d’éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.

    Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.
    
Supprimer les programmes d’achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.
    
Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.
    
Interdire toute dévaluation compétitive.

    Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d’échange et de réserve.
    
Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d’indexation.
     
Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.

    Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier…).

    Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.

    
Conclusions :

     « Il s’agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n’ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l’efficacité de l’économie, ni par les socialistes justement attachés à l’équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n’ont cessé d’être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »               

    Maurice Allais, prix Nobel d’économie.


    Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors coopérez à cette Initiative.



    Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux “jouets” utilisés par certaines forces obscures. 

    Merci.

    1. François de Siebenthal: Paris. Journée “création monétaire”

      desiebenthal.blogspot.com/…/paris-journee-creation-monetaire.html

      23 févr. 2012 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est identique  François de Siebenthal:Création monétaire du néant à intérêts .  concis ou non, courtois et pertinents, même très critiques sont appréciés.

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    2. François de Siebenthal: Lettre à mon curé sur la “création monétaire 

      25 oct. 2011 – Même la “vraie” Opus Dei, prélature “catholique”, l’a oubliée, quel …. La création de monnaie par les banques joue ici un rôle capital.

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    3. François de SiebenthalCréation monétaire du néant à intérêts 

      desiebenthal.blogspot.com/…/creation-monetaire-du-neant-interets.ht…

      21 déc. 2010 – L’ÉTAT n’a PAS à payer d’intérêt sur l’argent qu’il est censé émettre LUI MÊME. Si vous aviez la créationmonétaire, auriez vous des dettes ?

      Vous Vous avez partagé ce résultat.
    4. François de Siebenthal: Inflation ? Comment la diminuer ? En tout 

      7 déc. 2011 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est  de sa propre monnaie, qu’il peut émettre lui-même, sans intérêt?

    5. François de Siebenthal – Blogger-Index

      23 févr. 2012 – La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est …. Précédents en 2009Cette saisie de faux titres américains, même si elle 

      Vous Vous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 31 janv. 2012
    6. François de Siebenthal – Blogger-Index

      23 déc. 2011 – Dans les grandes communes, il y a même des machines à lecture ….. La création de monnaie de rien actuelle par le système bancaire est 

      Vous Vous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 23 févr. 2012
    7. la résistance aux corruptions – Compendium – Vix pervenit, les 

      Texte à méditer : La monnaie ex nihilo …est identique … à la monnaie des faux monnayeurs.  + Hommage au Professeur Jean de Siebenthal …. Le pire vol, celui de la création monétaire par des banquiers sans scupules.  Nous y avons même adjoint un prélat qui est docteur en droit civil et canonique, et qui a longtemps 

      Vous Vous avez partagé ce résultat.
    8. François de Siebenthal RSS

      Il vient de la production des robots et de la création . ….. Et dans le même rayon, on relève la présence du collège de la Sallaz et de la petite école de 

      Vous Vous avez partagé ce résultat sur Blogger. · 31 janv. 2012
    9. Crédit social – Wikipédia

       pas sur la monnaie réelle, mais la monnaie-dette (création de la monnaie avec  donnée est moins important que les prix générés dans cette même période, 

    10. Re: Taux d’intérêt et création monétaire – Les grands débats thomistes

      Auteur: François de Siebenthal (—.adslplus.ch Il faut aussi savoir que la création monétaire (masse monétaire plus grande que les stocks d’or) …. à l’époque, il parle de prêter deux fois la même chose, or on prête plus de 100 fois la même

    Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe, sous le contrôle de sociétés secrètes décadentes qui détruisent les valeurs, les nations et les familles. Ils poussent aux guerres meurtrières.

    Le chef-d’oeuvre de Louis Even
    Tous ceux qui apprécient les écrits de Louis Even sur le Crédit Social se feront un devoir de se procurer ce livre, un chef-d’oeuvre de logique et de clarté. Pour les nouveaux lecteurs de Vers Demain, nous recommandons fortement la lecture de ce livre, qui donne d’une manière simple mais éclatante les meilleures explications possibles sur la nouvelle conception de l’économie qu’est le Crédit Social. La dernière mise à jour de l’édition imprimée date de juin 2008, qui contient une quinzaine de chapitres de plus que l’édition précédente de 1988.
    312 pages, 14,5 cm x 21 cm, 15$ par la poste, de notre bureau de Rougemont

    Du régime de dettes à la prospérité 
    par J. Crate Larkin
    C’est ce livre qui a fait découvrir à Louis Even le Crédit Social, et qui lui fit s’écrier: «Voilà une lumière sur mon chemin!» Ce livre a changé la vie de Louis Even; il pourrait changer la vôtre aussi! Ce livre de 112 pages met en valeur les buts et les fins de l’économie, de l’industrie et de la technologie. D’une actualité cuisante, c’est un oeuvre mémorable qu’il vous faut lire absolument.  Prix au comptoir (à nos bureaux de Rougemont): 5 dollars. Par la poste: 7 dollars pour le Canada, 10 $ pour les autres pays.
    Pour télécharger la version PDF de ce livre, cliquez ici(ou sur la couverture du livre) (822 Ko)

    Deux autres brochures de Louis Even sur le Crédit Social

    Qu'est-ce que le vrai Crédit SocialLa première brochure, Qu’est-ce que le vrai Crédit Social, explique que le Crédit Social n’est pas un parti politique, mais une série de principes exprimés pour la première fois par l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas en 1918, et que l’application de ces principes feraient l’organisme social et économique atteindre sa fin, qui est la satisfaction des besoins humains. Ces principes peuvent être appliqués par n’importe quel parti au pouvoir, et il n’y a aucun besoin d’un «parti du Crédit Social» pour les appliquer. C’est la brochure que nous recommandons à tous ceux qui étudient le Crédit Social pour la première fois, car elle contient un très bon résumé des principes créditistes (Le syllabaire du Crédit Social), et répond à la plupart des objections des adversaires.
    Une finance saine et efficaceLa deuxième brochure, Une finance saine et efficace, est destinée à ceux qui possèdent déjà quelques notions du Crédit Social, mais veulent en savoir plus sur ses aspects techniques et la possibilité de son application dans le concret. Elle explique les trois propositions de base de Douglas pour un système financier sain, et comment ces propositions peuvent être appliquées: comment obtenir un équilibre constant entre les prix et le pouvoir d’achat, comment financer la production privée et publique, financer la distribution par un dividende social à tous, et finalement, ce qu’il adviendrait des taxes dans un régime de Crédit Social.
    Deux brochures de 32 pages, 21 x 27 cm
    3,00 $ chacune par la poste

    Offre spéciale pour organiser des cercles d’étude
    Pour connaître et comprendre la cause de la crise financière, il vous faut lire ces ouvrages très instructifs qui vous sont proposés à un prix spécial pour un temps limité, afin de former des cercles d’études dans vos paroisses, dans vos milieux:

    Banque du Canada, prêts sans intérêts !





    Incroyable… le black out des médias, il s’agit de la plus grosse “bombe” de l’histoire canadienne…

    Le comité pour la Réforme économique et monétaire du Canada a gagné, dans un silence médiatique assourdissant, son procès contre la Banque du Canada. 
    L’avocat de ce collectif de résistance a prouvé que la Banque était contrôlée par des banques privées depuis 1974 et l’a fait condamner de manière à ce qu’elle soit désormais au service du pays. ….






    https://www.youtube.com/watch?v=4x1Fn5yFcF8&feature=em-share_video_user


    Voici des liens supplémentaires:
    http://www.comer.org/
    http://www.maxresistance.com/total-ne…
    http://www.globalresearch.ca/bank-of-…
    http://canadianawareness.org/2012/04/…
    https://www.facebook.com/Support.laws…

    Accusations trolliques de provoquer par cette réforme un socialisme de facto:
    http://mises.ca/posts/blog/the-underl…



    https://www.youtube.com/watch?v=cgdyWPxLf1s

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