Une coopérative bancaire suisse intégrale, avec les videos

Embargo à demain , 18hoo, merci

Notre groupe même annoncé sur les panneaux et dans le wagon des chemins de fers suisses, tôt le matin …

et dans les mass-media le soir avec explications et questions circonstanciées notamment à M. Blaise Rosssellat dans l’émission Forum…

http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/7667982-bns-propositions-de-reformes-balayees-par-les-actionnaires-29-04-2016.html?f=player/popup

La BNS investit dans les armes nucléaires aux USA, sic…

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.

Le béret blanc est en l’honneur de M. Louis Even et de notre journal en 4 langues.
http://www.versdemain.org/

Abonnez-vous, svp, en français, anglais, espagnol ou polonais.

Nous cherchons des rédacteurs en d’autres langues, notamment en allemand, chinois, arabe….

Assemblée générale  de la banque nationale suisse…

http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_archive

Monnaies à risque, dès 3 heures.

Me Patrick Dimier souligne faits importants

MM Marco Saba et Bernard Dugas soulignent les écritures comptables qui permettent de redonner des dizaines de milliards à tous les cantons et citoyens suisses. ( voir leurs textes ci-dessous, puis tout en bas, lu puis remis à la DG de la BNS.

Extraits grâce à Chloé ! Merci 🙂

M. Bernard Dugas



M. Bernard Dugas

“les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs. Nous demandons que les banques publient régulièrement leur création monétaire totale, pas uniquement le bilan annuel, qui cache soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite.”
M. Bernard Dugas

Nicolas Etter souligne les “libertés” juridiques…

Matthieu Despont: “Dans quelle banque puis-je déposer mon argent en étant sûr qu’il sera garanti ? Autrefois, je pouvais le déposer à la Poste mais aujourd’hui Postfinance est une banque et donc ne garantit plus mon dépôt…”


Philip Koenig :”Pour que chaque citoyen puisse respecter la loi et paie en monnaie légale, il est indispensable que chaque citoyen dispose d’un compte en monnaie légale à la BNS.”



Lionel Rossellat:

“Nous invitons tous les actionnaires présents à partager leurs coordonnées avec nous dès la fin de cette assemblée. Le Conseil de banque a tronqué l’énoncé de notre motion originale et nous déplorons en outre que l’appel de la BNS à voter non à cette motion n’ait pas été motivé. La loi LBN a été respectée dans la présentation des 10 motions. La motion que vous avez retenue n’estrien de moins qu’une demande pour que la BNS respecte la loi. Nous demandons que le procès verbal soit distribué à tous les actionnaires, que la liste des participations à l’AG, les prises de position des actionnaires de droit public et le registre des actionnaires soient consultables par tout actionnaire qui le demande. Nous vous appelons à voter en faveur de cette motion, tout comme la fondation Ethos, dans sa grande sagesse.”

Roger Kapp : “Pourquoi continuez-vous à investir dans des énergies polluantes et non renouvelables, alors que la COP 21 a juste eu lieu ?”


 
Blaise Rossellat :”la création monétaire est le pouvoir régalien, le pouvoir du peuple souverain. Il est donc logique et démocratique que chaque citoyen dispose d’un droit de vote à la BNS et partage les bénéfices de la BNS : un citoyen, une voix ! C’est pourquoi nous demandons que chaque citoyen qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS, ceci afin que chacun ait ce droit essentiel comme pour tous les votes touchant à la vie de la Confédération.


Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…

L’exemple suisse qui fonctionne déjà et qui va encore être amélioré par www.monnaie-pleine.ch

Bilan de la BNS à fin février, de 2001 à 2017
Actif / Passif de la Banque Nationale Suisse, BNS.

Total du bilan 725’200.3 en millions, donc plus de 725 milliards.

Si on se distribue ce montant à  7 millions de suisses, ceci représente un capital de près de Fr 100’000 Francs suisses ou Euros  par personne, y compris les bébés suisses.

Cette distribution relancerait toute l’économie, on pourrait aller en dépenser une partie par exemple pour des vacances en Grèce, les francs reviendraient en Suisse pour nos PME qui exporteraient en Grèce, donc une bonne relance.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

C’est quand même mieux que de soutenir le $ et l’ € et diluer les francs suisses, donc affaiblir notre pouvoir d’achat et provoquer une inflation réelle ( Lamal, immobilier), par centaines de milliards ( bientôt mille milliards, sic…), montants qui reviennent en Suisse pour acheter et contrôler nos meilleures entreprises, qui partent en délocalisation sous d’autres cieux et dans les mains de capitalistes qui ne sont pas suisses, et qui fomentent des guerres atroces !

Hollande l’a compris il y a quelques jours…

Il faut non seulement un revenu universel mais aussi un capital universel… Tous capitalistes, on peut enfin se distribuer les fruits des robots…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/manque-de-pouvoir-dachat-obsolescence.html?m=0


LA ROBOLUTION EST EN MARCHE !


Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!

Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Nos 10 propositions.


Pour nous suivre en direct. et en différé sur les archives. La Web TV de la BNS. Dès 10 heures ce vendredi 29 avril 2016.

http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_live

Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…

Projet de loi d’application de monnaie-pleine

— LA BATAILLE FINALE DE LA CHRÉTIENTÉ SE FERA AUTOUR DU
PROBLÈME DE L’ARGENT, ET TANT QUE CE PROBLÈME NE SERA PAS RÉSOLU,
IL NE POURRA Y AVOIR L’APPLICATION UNIVERSELLE DU CHRISTIANISME —



                                                    (Honoré de Balzac)




                                USURE de L’USURE

Le conseiller national Geri Müller avait déjà posé 4 de nos questions au Conseil fédéral en 2012 ! Et que ces questions avaient été classées sans suite… Merci Gérard Foucher 😘

Face à la crise de l’euro et de la dette, je prie le Conseil fédéral de prendre position sur la question de la création de monnaie en Suisse. Selon la théorie économique qui prévaut, la plus grande part de la masse monétaire M1 est créée par l’accroissement de la somme des bilans des banques commerciales et non par la Banque nationale suisse (BNS), ce que confirme d’ailleurs le lexique de cette dernière: “Les banques créent de la monnaie en accordant des crédits; cf. lexique de la BNS”.

Partant de ce constat, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:

1. Aux termes de l’article 2 de la loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP), seuls sont considérés comme moyens de paiement, les espèces métalliques, les billets de banque et les avoirs à vue auprès de la BNS. Sur quelle base légale se fonde la pratique générale (suivie également par les autorités) de considérer les avoirs à vue auprès des banques comme des moyens de paiement légaux, alors qu’ils ne constituent qu’une créance sur ceux-ci, qui sera honorée ou non par les banques selon leur solvabilité?

2. La création de monnaie scripturale des banques commerciales est-elle conforme au droit régalien de la Confédération, selon l’article 99 de la Constitution, qui dispose que “la monnaie relève de la compétence de la Confédération”?

3. Comme le Conseil fédéral l’a relevé dans son message du 26 mai 1999 concernant la LUMMP, “Les avoirs à vue auprès d’une grande banque, d’une banque cantonale ou régionale, ou encore d’une organisation de cartes de crédit, ne sont effectivement pas la même chose que ceux déposés à la BNS, qui est le seul établissement du pays … à pouvoir créer de l’argent à son gré”. L’Etat ne peut donc déclarer la monnaie scripturale des banques comme moyen de paiement légal (99.051). Or vu qu’elle est considérée dans les faits comme telle, le Conseil fédéral ne pense-t-il pas qu’il serait nécessaire de préciser cette distinction dans la loi parce que la majorité de la population continue de penser que la mise en circulation de moyens de paiement libellés en francs est exclusivement du ressort de la BNS et par conséquent garantie?

4. Comment le Conseil fédéral légitime-t-il ce droit des banques commerciales de créer de la monnaie, sans qu’elle soit entièrement garantie par un capital, en accordant des crédits, qui augmentent la somme de leur bilan, alors que les particuliers ne peuvent consentir des prêts que s’ils disposent de l’argent?

15.06.2012
CONSEIL NATIONAL
La discussion est reportée.
BULLETIN OFFICIEL
21.03.2014
En suspens depuis plus de deux ans; classement.

https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20123305

Suisse : Récupérons la Monnaie Pleine !

28.04.2016 – Leopoldo Salmaso
Cet article est aussi disponible en: ItalienAllemand

Suisse : Récupérons la Monnaie Pleine !

Aujourd’hui la monnaie est presque totalement « vide », elle est seulement la promesse de la banque privée de la payer avec de la monnaie « pleine », c’est-à-dire celle de l’État qui est la garantie de la richesse de la nation.
Interview de Leopoldo Salmaso à Konstantin Demeter, du Comité de l’Initiative Populaire [1] pour la Monnaie Pleine.
Leopoldo Salmaso: Que signifie « Monnaie Pleine » ?
Konstantin Demeter : Lors de la récolte de signatures pour l’initiative Monnaie Pleine, la première réaction à l’expression « monnaie pleine » était souvent un étonnement suivi d’une question : « Mais, on n’a donc aujourd’hui que de la monnaie vide ? » En effet, c’est le cas, ou presque. En Suisse, la monnaie n’est « pleine » qu’à 2,5%, dans la zone euro à 1%, selon les réserves obligatoires respectives, ou à 13%, respectivement à 18% dans la zone euro, selon l’argent liquide créé par les banques centrales respectives. La monnaie pleine est un moyen de paiement légal complet, émis par la Banque nationale suisse. Aujourd’hui, la monnaie électronique ne l’est pas, bien qu’elle soit traitée comme telle, de facto. L’argent de nos comptes courants est seulement une promesse de la banque de nous verser de l’argent liquide, si nous le demandons. Pour cette raison, cet argent n’est pas sûr. En cas de crise financière ou de faillite d’une banque, cette promesse ne peut éventuellement pas être tenue et les clients perdent leur argent, ou alors la banque doit être sauvée par l’Etat, donc par le contribuable. Dans un système de monnaie pleine, tout l’argent sera créé par la Banque nationale ; ainsi l’argent de nos comptes ne sera plus seulement une promesse, mais existera « réellement ». En plus, les comptes courants seront gérés hors-bilan et ne tomberont donc plus dans la masse en faillite. En conséquence, aucune banque ne sera plus « too big to fail », puisqu’il ne sera plus possible qu’une faillite compromette le trafic des paiements. Les comptes courants seront simplement transférés à une autre banque, sans que les clients perdent leur argent.
LS : Quel est le but de l’initiative que vous avez lancée ?
KD : L’objectif principal de l’initiative, c’est de rétablir le droit exclusif de l’Etat de créer l’argent. Si l’initiative est acceptée, la Banque nationale suisse créera tout l’argent dénommé « francs suisses », donc aussi l’argent scriptural créé actuellement par les banques privées. L’argent nouvellement créé sera mis en circulation par le biais de dépenses publiques ou par versement de 500 à 1000 francs par an à chaque citoyen, sans être une dette et sans que des intérêts doivent être payés pour cet argent. En contrepartie, l’Etat profitera ainsi à nouveau du seigneuriage [2] (bénéfice de la création monétaire), qui est inutilisé aujourd’hui. L’argent scriptural se trouvant en circulation aujourd’hui sera « recyclé » dans un délai de 10 à 15 ans environ et deviendra aussi monnaie pleine, ce qui rapportera également un bénéfice pour la communauté. Afin de garantir l’indépendance de la Banque nationale par rapport à la politique et l’économie privée et afin de lui conférer une légitimation démocratique plus large, l’initiative lui accorde un statut semblable à celui du Tribunal fédéral et prévoit une révision de sa forme juridique ainsi que du Conseil de banque, de la Direction générale et des modalités d’élection.
LS : Avez-vous fait l’expérience d’opposition ou de boycottage ? Si oui, de la part de qui ?
KD : Nous étions étonnés du refus précoce de l’initiative par Avenir Suisse, le «think thank» influent et libéral créé par de grandes entreprises multinationales suisses. Celui-ci a publié une critique négative avant même le lancement de la récolte de signatures, ce qui est très inhabituel. Au début de la récolte de signatures, nous nous attendions plutôt à un silence, qui devait empêcher une attention inutile. Nous avons interprété ce prompt refus comme un compliment, car cela montrait l’importance de l’initiative et révélait la peur des adversaires. Cependant, les objections d’Avenir Suisse, tout comme celles publiées en automne dernier par l’Association suisse des banquiers, ne sont pas fondées et visent avant tout à alimenter des craintes injustifiées. Comme on s’y attendait, le Conseil fédéral a récemment rejeté l’initiative, avec les mêmes arguments infondés que ceux des deux organisations mentionnées ci-dessus.
LS : Le 5 juin, le peuple suisse pourra se prononcer sur un revenu de base inconditionnel. Quel est le rapport entre ces deux initiatives ?
KD : Ces deux initiatives ont quelques objectifs en commun. Les deux veulent par exemple diminuer les inégalités économiques et sociales existantes. Cependant, elles sont différentes par rapport à la méthode. Le revenu de base inconditionnel élimine un symptôme, tandis que l’argent créé sans dettes et au bénéfice de tous les citoyens élimine la cause principale de la maladie. Il n’est pas absurde de distribuer de l’argent à la population, que ce soit avec ou sans revenu de base, mais il est absurde de laisser aux banques la création de cet argent et le bénéfice qui en résulte. Aujourd’hui, on comptabilise cet argent aux citoyens comme dette, pour laquelle ils doivent payer des intérêts, au lieu de le leur accréditer, en tant que propriétaires collectifs. Pour cette raison, les deux initiatives se complèteraient très bien. En principe, la monnaie pleine devrait être une condition préalable au revenu de base. Toutes les deux initiatives proposent un changement fondamental du système actuel, mais le revenu de base introduit un tout nouveau système, tandis que l’initiative Monnaie Pleine veut rétablir un système que le peuple suisse approuvait déjà en 1891, quand il a accepté l’initiative pour le privilège absolu de l’Etat à la création monétaire. Au fil du temps, les banques se sont approprié imperceptiblement ce privilège. L’initiative Monnaie Pleine veut donc réintroduire ce que la plupart des citoyens considèrent comme réalisé aujourd’hui déjà, tandis que le revenu de base propage une idée complètement nouvelle.
En tout cas, le bénéfice du système de monnaie pleine ne suffirait pas pour financer entièrement le revenu de base, mais il pourrait y apporter une contribution importante. Le plus important pourtant, c’est que les deux initiatives ont déjà contribué à un débat public fondamental, qui se poursuivra aussi en cas de refus.
LS : En Islande, il y a un projet de loi pour une réforme monétaire semblable à celle proposée par les Suisses. Est-ce à dire que vous êtes bien interconnectés, ou travaillez-vous de façon isolée tout en manifestant une fermentation subliminale qui est plus répandue qu’il ne semble ?
KD : Nous sommes en contact avec la majorité des mouvements de réforme monétaire internationaux. L’organisation International Movement for Monetary Reform (IMMR) créée par Positive Money agit comme point de rencontre et pivot, mais il y a aussi des contacts directs entre les organisations elles-mêmes. Aujourd’hui, 24 pays appartiennent à l’IMMR. Lors de la conférence de presse à l’occasion de la remise des signatures du 1er décembre 2015, on a donné la parole également au Positive Money britannique et à la Monetative allemande, et nous avons projeté les félicitations d’autres organisations internationales. Dans le public et lors de la réunion suivante, il y avait aussi des représentants du Gode Penge danois. Début mars, l’IMMR a organisé un séminaire international à Bruxelles, auquel participaient aussi deux représentants suisses. Au total, 18 pays étaient représentés, de l’Afrique du Sud à l’Islande. J’accorde une importance essentielle à cette coopération, aussi parce que les effets positifs des premières réformes auraient un impact synergique, si celles-ci étaient entreprises dans plusieurs pays. En plus, la collaboration internationale élargirait le débat et amènerait d’autres pays à s’engager dans des voies semblables.
Konstantin Demeter : photographe et bibliothécaire, chercheur du système monétaire. Membre du Comité de l’Initiative Populaire pour la Monnaie Pleine et Coordinateur du groupe régional de Tessin. Membre de l’association Modernisation Monétaire (MoMo).
Liens :
[1] En Suisse le terme « Référendum » correspond au référendum abrogatif italien. Mais il existe aussi l’ »Initiative Populaire », correspondant au référendum propositif qui n’existe pas encore en Italie.
[2] ‘Seigneuriage’ est la différence entre la valeur nominale d’une monnaie ou billet et le coût effectif de sa production. Avec l’argent électronique le ‘seigneuriage’ est proche du 100%.
Traduction de l’allemand par Heiner Forster et Blagojevic Gordana


La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.



François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS …

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 – Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu … La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, ..


Banques: La BNS investit dans les armes nucléaires …

www.24heures.ch/economie/bns-investit-armesnucleaires/…/10278802

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

La BNS épinglée pour des investissements liés aux armes …

www.bilan.ch/…/bns-epinglee-investissements-lies-aux-armesnucleaires

27 janv. 2016 – La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8 millions … des entreprises impliquées dans la production d’armes nucléaires, …

La BNS épinglée pour ses investissements – Le Temps

www.letemps.ch/economie/2016/01/27/bns-epinglee-investissements

27 janv. 2016 – p>La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8) … les armes nucléaires reprochent dans un communiqué à la BNS de ne …

La BNS investit toujours plus dans des sociétés d’armement …

www.rts.ch/…/7448380-la-bns-investit-toujours-plus-dans-des-societes-d…

27 janv. 2016 – La BNS a investit des actions dans des sociétés américaines, tel que Raytheon, qui produit notamment des armes nucléaires. [David Loh …

Pas d’argent suisse investi dans les conflits autour du monde

kriegsmaterial.ch/fr/2a/

… armes interdites par le droit international telles que des armes nucléaires ou … Bien sûr, certaines banques, dont la Banque nationale suisse (BNS), ont un …

La BNS investit dans les armes nucléaires – Nos Villes en …

nosvilles.ch › Brèves › Economie & Emploi

27 janv. 2016 – La BNS investit dans les armes nucléaires … a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque …

martouf.ch/…/435-relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque-n…

BNS Banque Nationale Suisse- Schweizerische Nationalbank. ….. les armes nucléaires américaines… alors que la BNS s’applique a avoir une charte éthique et …

La BNS investit dans les armes nucléaires – COMBourse

www.combourse.com/…/La_BNS_investit_dans_les_armes_nucleaires__19…

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires. Les promesses incertaines du …

Suisse: la bns investit dans les armes nucléaires …

www.scoopnest.com/fr/user/20minutesOnline/692279493436776448

La BNS investit dans les armes nucléaires https://t.co/UuqCUHq2bN #Economie … Suisse: L’armée a refusé 25 végétaliens l’an dernier https://t.co/ztVBBKQr7F.

Jean antoine FQSP© on Twitter: “La BNS investit dans les …

https://twitter.com/…/status/692339063228141568

Traduire cette page

La BNS investit dans les armes nucléaires http://ln.is/www.tdg.ch/economie/uKMxI … via @tdgch. 5:31 AM – 27 Jan 2016. 0 retweets 0 likes. Reply. Retweet.


Discorso di Marco Saba all’assemblea generale della BNS sul 108° Rapporto Banca Nazionale
Svizzera 2015


– Berna, 29 aprile 2016

Buon giorno a tutti, sono l’azionista Marco Saba.
Il mio intervento, che chiedo di trascrivere integralmente nel verbale dell’assemblea con le note
allegate al cartaceo, verte sul primo punto dell’ordine del giorno e vale come avviso di ritrovamento
– ai sensi degli articoli 720 e 722 del Codice civile svizzero (1) – di 600 miliardi di franchi svizzeri
non contabilizzati, oltre ad una cifra ulteriore da accertare per il valore d’acquisto storico in franchi
svizzeri di: oro, immobilizzazioni materiali, titoli in franchi, partecipazioni ed altre attività.
Nella risposta del Consiglio Federale del 19.08.2015 all’INTERPELLANZA numero 15.3391 (2), si
dice chiaramente: “La maggior parte della moneta della Banca nazionale viene già messa in
circolazione sotto forma di moneta scritturale” – e – “Dato che non deve essere rimborsato, questo
capitale di terzi assume un certo carattere di capitale proprio.” Di fatto, esaminando il bilancio
presentato dall’amministrazione della BNS, ho rilevato che manca la voce con l’indicazione della
quantità di franchi svizzeri creati durante l’esercizio alterando così il valore del patrimonio netto
della banca, tant’è che risulterebbe una “perdita” di esercizio che non si potrebbe realizzare se la
creazione di denaro fosse correttamente contabilizzata. Mi spiego: come risulta anche da un recente
studio della BCE, che ha condotto una indagine su 57 banche centrali distribuite su 5 continenti
compresa la BNS, “le banche centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di
creare moneta” (3). Lo studio precisa inoltre che fare delle eccezioni alle norme contabili
equivale alla non-conformità alle norme stesse. Nonostante le rassicurazioni del revisore KPMG,
questo bilancio non può essere approvato in quanto manca la corretta contabilizzazione della
creazione di denaro che non è contabilizzata tra le attività della banca e quindi non risulta nel
patrimonio netto della stessa. Infatti la banca non può dire di aver redatto il bilancio in conformità
alle regole Swiss Gaap proprio perché ha utilizzato un’eccezione non giustificata alle regole
omettendo i dati necessari per avere un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria
e reddituale del 2015 (4). E’ vero che la Legge sulla Banca nazionale svizzera (5) prevede che si
può prescindere dalle prescrizioni della Legge federale di complemento del Codice civile svizzero,
ma premette la frase “Sempre che la natura particolare della Banca nazionale lo esiga”. Nella
pagina internet della BNS (6) alla domanda “In che modo è tenuto conto della natura particolare
della Banca nazionale nell’informativa finanziaria ?”, leggiamo che “L’informativa finanziaria
della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società anonima di diritto privato. Lo
scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti da distribuire agli azionisti,
bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre, la destinazione dell’utile è
stabilita dalla LBN…”. Quindi non si parla di nascondere i profitti nella tenuta della contabilità,
traendo in inganno il pubblico, ma si dice che conseguirli non è lo scopo della banca. Tant’è che
sùbito dopo si specifica che c’è una destinazione precisa dell’eventuale utile e che è stabilita dalla
legge. Se ne desume che anche il Risultato d’esercizio negativo per 23.250.600.000 franchi svizzeri
non è veritiero poiché aggiungendo la registrazione della creazione di 600 miliardi di franchi
svizzeri si otterrebbe invece un utile, anche nella forma di un equivalente posta di patrimonio netto,
quale ad esempio una riserva di bilancio, di almeno 576.749.400.000 franchi svizzeri. Chiedo
pertanto che il bilancio sia rettificato tenendo conto del mio ritrovamento e anche tenendo in
opportuna considerazione il versamento annuale dovuto al Governo svizzero ed ai Cantoni secondo
quanto disposto dalla convenzione. Questo perché la “Riserva per future ripartizioni prima della
destinazione dell’utile” non può essere arbitrariamente ridotta dalla BNS accollandole delle perdite
che si rivelano fittizie una volta tenuto conto della creazione di denaro. Solo così si potrà adempiere
al mandato della Costituzione svizzera (7) che richiede una politica monetaria nell’interesse
generale del Paese. Vi ringrazio per l’attenzione ricevuta anche da parte delle autorità presenti.
Pagina 1 di 3
Note:
(N.B. nelle fonti allegate i passaggi presi in considerazione sono sottolineati .)
1) Secondo il Codice civile svizzero, chi riconsegna un oggetto trovato “ha diritto al rimborso di
tutte le spese e ad un’equa mercede”, ovvero di norma il 10% del valore dell’oggetto.
Vedi l’art.720 del Codice civile svizzero (avviso di ritrovamento, rimborso spese ed equa
mercede):
https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/19070042/index.html#a720
2) Interpellanza 15.3391 “Utili derivanti dalla creazione di moneta presso la BNS o nelle banche”
https://www.parlament.ch/it/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20153391
3) Nell’Occasional Paper della BCE n. 169 del 5 aprile 2016
( https://www.ecb.europa.eu/pub/pdf/scpops/ecbop169.en.pdf ) , intitolato “Profit distribution and
loss coverage rule for central banks”, si legge:
– a pagina 14, nota 7:
“Central banks are protected from insolvency due to their ability to create money…” – (Le banche
centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di creare moneta)
– e a pagina 20:
“No single accounting framework is consistently applied by the majority of central banks.
However, there are four main frameworks or types: the Eurosystem framework, International
Financial Reporting Standards (IFRS), local (national) Generally Accepted Accounting Principles
(GAAP) and central bank specific (own) rules. A central bank can also apply “IFRS with
exceptions” (17), or national GAAP with exceptions.”
– e, nella nota 17 della stessa pagina:
“Strictly speaking, since IFRS does not allow for exceptions or for industry-specific rules, such
an arrangement is not IFRS-conformant.” (e quindi anche non-conforme alle GAAP nazionali .)
4) Nel 108° Rapporto di gestione Banca nazionale svizzera 2015
(https://www.snb.ch/it/mmr/reference/annrep_2015_komplett/source/annrep_2015_komplett.it.pdf)
– a pagina 158 si legge:
“Salvo disposizioni derogatorie, i principi contabili sono definiti con riferimento alle direttive Swiss
GAAP FER. Si è derogato da queste ultime unicamente in caso di contraddizione con la LBN o se
necessario per tenere conto delle caratteristiche specifiche della Banca nazionale. In deroga alle
norme Swiss GAAP FER, non è stato stilato un conto dei flussi di tesoreria.
Modifiche rispetto all’anno precedente
All’infuori della rinuncia alla redazione di un conto dei flussi di tesoreria, non sono intervenute
altre modifiche dei principi di redazione del bilancio e dei criteri di valutazione rispetto all’anno
precedente.
Conto dei flussi di tesoreria
Conformemente all’art. 29 LBN, la Banca nazionale non è tenuta a presentare un conto dei
flussi di tesoreria.”
– e a pag.193 nell’opinione del revisore KPMG SA (Philipp Rickert e Pietro Di Fluri):
“A nostro giudizio il consuntivo annuale per l’esercizio chiuso al 31 dicembre 2015 è conforme alla
legge svizzera e presenta un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria e
reddituale…”
– e poi sotto:
“Confermiamo inoltre che la proposta d’impiego dell’utile iscritto a bilancio è conforme alle
disposizioni della Legge sulla Banca nazionale e raccomandiamo di approvare il presente
consuntivo annuale.”.

5) Nella Legge federale sulla Banca nazionale svizzera
( https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/20021117/index.html ), si legge:
Sezione 2: Determinazione e distribuzione dell’utile
Art. 29 1 Consuntivo annuale
Il consuntivo annuale della Banca nazionale, comprensivo del conto economico, del bilancio e
dell’allegato, è allestito in linea di massima conformemente alle disposizioni sulla contabilità
commerciale e la presentazione dei conti del titolo trentesimosecondo del CO2. Sempre che la
natura particolare della Banca nazionale lo esiga, si può prescindere dalle prescrizioni del CO.
La Banca nazionale non deve segnatamente presentare un conto dei flussi di tesoreria.
6) Nella pagina internet della BNS intitolata Domande e risposte sulla Banca nazionale come
impresa ( https://www.snb.ch/it/iabout/snb/id/qas_unternehmen_1#t10 ) consultata il 20 aprile 2016,
si legge:
– In che modo è tenuto conto della “natura particolare della Banca nazionale”
nell’informativa finanziaria?
– L’informativa finanziaria della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società
anonima di diritto privato. Lo scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti
da distribuire agli azionisti, bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre,
la destinazione dell’utile è stabilita dalla LBN. Di conseguenza, anche gli obblighi di informativa
della Banca nazionale sono differenti. Essa riferisce al Parlamento e al pubblico sull’adempimento
del suo mandato (Rendiconto), mentre fornisce informazioni sugli andamenti organizzativi e
aziendali, nonché sui risultati di gestione, nella Relazione finanziaria, contenente il Rapporto
annuale e il Consuntivo annuale. Quest’ultimo deve essere approvato dal Consiglio federale prima si
essere presentato per la ratifica all’Assemblea generale degli azionisti.
7) Nella Costituzione svizzera ( https://www.admin.ch/opc/it/classifiedcompilation/
19995395/index.html ) l’art.99 recita:
Art. 99 Politica monetaria
1 Il settore monetario compete alla Confederazione; essa soltanto ha il diritto di battere
moneta e di emettere banconote.
2 La Banca nazionale svizzera, in quanto banca centrale indipendente, conduce una politica
monetaria nell’interesse generale del Paese; è amministrata con la collaborazione e sotto la
vigilanza della Confederazione.
3 La Banca nazionale costituisce sufficienti riserve monetarie attingendo ai suoi proventi; parte di
tali riserve è costituita in oro.
4 L’utile netto della Banca nazionale spetta per almeno due terzi ai Cantoni.


600 milliards trouvés à Berne, dans la fausse comptabilité de la BNS !

marco saba
ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica
ex art.720 CCS (RS210)
marco saba 28 aprile 2016
08:34
A: beschwerdestelle@police.be.ch, Riccardo Piconcelli
, Marco Della Luna
, Nadia La Banca

ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica ex art.720 CCS
(RS210)
Police cantonale bernoise
Commandement
Waisenhausplatz 32
Case postale
3001 Berne
Tél. +41 31 634 41 11
Fax +41 31 331 30 33
beschwerdestelle@police.be.ch
Notifica ex art. 720 comma 2 e articoli seguenti del Codice Civile
svizzero al 1° gennaio 2016 (RS 210) http://www.lexfind.ch/dtah/
131797/4/
Berna, 28 aprile 2016
Gmail – ATTN. Comandante St… https://mail.google.com/mail/u/…
1 of 2 28/04/2016 09:29
Egregio Comandante Blättler ,
il sottoscritto Marco Saba nato a Firenze il giorno 8 maggio 1961
e con recapito in Italia presso La Banca, via 9 Gennaio 1950,
n.106, 41122 Modena, cell. +39 331 334 1239, Passaporto
italiano n. YA1089652, notifica il ritrovamento dfi 600 miliardi di
franchi svizzeri avvenuto tramite una revisione contabile
indipendente effettuata sul bilancio 2015 della Banca nazionale
svizzera di cui è azionista.
La riconsegna del denaro – e qundi della equa ricompensa –
potrà avvenire dopo che la direzione generale della BNS avrà
rettificato il bilancio indicando la somma della moneta rinvenuta
che, essendo stata creata dalla banca, dovrà essere
contabilizzata nelle poste attive dei flussi di cassa prima di poter
essere impiegata, e quindi poi nel bilancio stesso. Questa
notifica precede la comunicazione alla banca che vi verrà poi
inviata in copia. A disposizione per ulteriori chiarimenti e
ringraziando per l’attenzione,
in fede,
Marco Saba
Gmail – ATTN. Comandante St… https://mail.google.com/mail/u/…

La BNS versera au moins un milliard de Francs aux Suisses









Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 
selon Victor Hugo…

« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont 

dans son livre 
La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.
Nous le disons 🙂
 … ci-dessous…


L’exemple suisse qui fonctionne déjà et qui va encore être amélioré par www.monnaie-pleine.ch

Bilan de la BNS à fin février, de 2001 à 2017
Actif / Passif de la Banque Nationale Suisse, BNS.

Total du bilan 725’200.3 en millions, donc plus de 725 milliards.

Si on se distribue ce montant à  7 millions de suisses, ceci représente un capital de près de Fr 100’000 Francs suisses ou Euros  par personne, y compris les bébés suisses.

Cette distribution relancerait toute l’économie, on pourrait aller en dépenser une partie par exemple pour des vacances en Grèce, les francs reviendraient en Suisse pour nos PME qui exporteraient en Grèce, donc une bonne relance.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/liberer-largent-de-linflation-et-des.html

C’est quand même mieux que de soutenir le $ et l’ € et diluer les francs suisses, donc affaiblir notre pouvoir d’achat et provoquer une inflation réelle ( Lamal, immobilier), par centaines de milliards ( bientôt mille milliards, sic…), montants qui reviennent en Suisse pour acheter et contrôler nos meilleures entreprises, qui partent en délocalisation sous d’autres cieux et dans les mains de capitalistes qui ne sont pas suisses, et qui fomentent des guerres atroces !

Hollande l’a compris il y a quelques jours…

Il faut non seulement un revenu universel mais aussi un capital universel… Tous capitalistes, on peut enfin se distribuer les fruits des robots…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/05/manque-de-pouvoir-dachat-obsolescence.html?m=0


LA ROBOLUTION EST EN MARCHE !

Pour les journalistes, embargo de cette nouvelle, demain matin, dès 10h00. merci


Vu les excellents résultats de la Banque nationale suisse et pour affaiblir le franc suisse qui est trop fort par rapport à toutes les autres monnaies mondiales, la BNS versera au moins de un à dix milliards de Francs aux peuples suisses chaque année et le même montant aux cantons et communes suisses.

Ceci est rendu possible par la fondation d’une Coopérative bancaire intégrale citoyenne et donc une dissolution de l’actuelle Société Anonyme BNS S.A.


L’actuelle BNS S.A. perd des milliards au profit des banques commerciales qui ont le monopole des créations monétaires par les crédits à intérêts composés exponentiels.


La reprise de la souveraineté monétaire profitera à tous, le seigneuriage doit nous être distribué de manière égale, ce n’est que justice, nous sommes le Souverain.


Nous avons donc dès le premier mai de cette année 2017:
Une coopérative bancaire intégrale suisse citoyenne avec:
Une structure familiale, communale, cantonale, et fédérale.
La fin des monnaies-dettes impossibles dans la durée. De simples écritures sans taux d’intérêts
Un compte gratuit et régulièrement alimenté chaque mois au moins par personne.
Plus besoin d’ouvrir un compte coûteux dans une banque commerciale risquée.
Une sécurité totale
Une simplification
Une égalité totale
Une distribution automatique des créations monétaires en milliards de francs suisses aux personnes, ce qui relancera l’économie et les robots, nos esclaves modernes, par la robolution.

Unis, un pour tous, tous pour un !


Chaque personne habitant la Suisse recevra proportionnellement ce montant sur un compte automatiquement ouvert à la BNS à son nom, dès sa conception.
Le contrôle des habitants a déjà fourni les noms et adresses de tous les habitants de la Suisse.
Les parents sont priés de signaler immédiatement par écrit, si possible dès la conception, les prénoms de leurs enfants avec un certificat médical de grossesse à la succursale de la BNS dans son Canton ou à sa banque cantonale. Le montant sera versé chaque mois automatiquement aux parents et aux enfants.





Ce projet a été préparé lors de l’ assemblée générale de la banque nationale suisse ( voir les vidéos ci-dessous, un respect admirable de toutes les règles suisses …




L’ assemblée générale de la BNS… 

Art. 36, alinéa f. ( oublié par le Président et la direction ! ).

 … peut soumettre au Conseil fédéral, à l’intention de l’Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.




Heure, min
01:21:54
01:23:15
01:21
François de Siebenthal: Vote électronique …




Le Président de la BNS Jean Studer confirme

Confirmé par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo en 3 langues !

https://www.youtube.com/playlist?list=PLYVUaeJf8OAAZZpO0Eq1Smzwd4LPh6C9s


Dix demandes déposées …

« … elle ( l’Assemblée Générale ) peut soumettre au Conseil fédéral, à l’intention de l’Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.” 

Ceci est exactement ce à quoi sont destinées les dix demandes., à savoir un changement dans la Loi sur la Banque Nationale…



  Art. 36 Attributions
L’assemblée générale a les attributions suivantes:

a.
elle élit cinq membres du conseil de banque;
b.
elle élit l’organe de révision;
c.
elle approuve le rapport annuel et les comptes annuels;
d.
elle décide de l’affectation du bénéfice porté au bilan;
e.
elle donne décharge au conseil de banque;
f.
elle peut soumettre au Conseil fédéral, à l’intention de l’Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.





Ce cadeau est une réaction au scandale que la BNS a des milliards dans les armes nucléaires US

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.


et le coeur du sujet…

“Un émetteur de titres publiquement cotés a l’obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n’avoir aucune obligation de publication.”
M. Bernard Dugas


http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/05/cooperatives-bancaires-la-suisse.html

Ceci est la solution à la méga crise financière qui se profile à l’horizon: achetez du foncier pour transformer votre épargne constituée de fausse monnaie scripturale bancaire en biens tangibles via une coopérative citoyenne… 

Blaise.

Coopératives intégrales avec créations monétaires locales, monnaies libres.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html

Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!

Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Nos 10 propositions.


 La Web TV de la BNS. 

Projet de loi d’application de monnaie-pleine

— LA BATAILLE FINALE DE LA CHRÉTIENTÉ SE FERA AUTOUR DU
PROBLÈME DE L’ARGENT, ET TANT QUE CE PROBLÈME NE SERA PAS RÉSOLU,
IL NE POURRA Y AVOIR L’APPLICATION UNIVERSELLE DU CHRISTIANISME —



                                                    (Honoré de Balzac)




                                USURE de L’USURE

Le conseiller national Geri Müller avait déjà posé 4 de nos questions au Conseil fédéral en 2012 ! Et que ces questions avaient été classées sans suite… Merci Gérard Foucher 😘

Face à la crise de l’euro et de la dette, je prie le Conseil fédéral de prendre position sur la question de la création de monnaie en Suisse. Selon la théorie économique qui prévaut, la plus grande part de la masse monétaire M1 est créée par l’accroissement de la somme des bilans des banques commerciales et non par la Banque nationale suisse (BNS), ce que confirme d’ailleurs le lexique de cette dernière: “Les banques créent de la monnaie en accordant des crédits; cf. lexique de la BNS”.

Partant de ce constat, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:

1. Aux termes de l’article 2 de la loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP), seuls sont considérés comme moyens de paiement, les espèces métalliques, les billets de banque et les avoirs à vue auprès de la BNS. Sur quelle base légale se fonde la pratique générale (suivie également par les autorités) de considérer les avoirs à vue auprès des banques comme des moyens de paiement légaux, alors qu’ils ne constituent qu’une créance sur ceux-ci, qui sera honorée ou non par les banques selon leur solvabilité?

2. La création de monnaie scripturale des banques commerciales est-elle conforme au droit régalien de la Confédération, selon l’article 99 de la Constitution, qui dispose que “la monnaie relève de la compétence de la Confédération”?

3. Comme le Conseil fédéral l’a relevé dans son message du 26 mai 1999 concernant la LUMMP, “Les avoirs à vue auprès d’une grande banque, d’une banque cantonale ou régionale, ou encore d’une organisation de cartes de crédit, ne sont effectivement pas la même chose que ceux déposés à la BNS, qui est le seul établissement du pays … à pouvoir créer de l’argent à son gré”. L’Etat ne peut donc déclarer la monnaie scripturale des banques comme moyen de paiement légal (99.051). Or vu qu’elle est considérée dans les faits comme telle, le Conseil fédéral ne pense-t-il pas qu’il serait nécessaire de préciser cette distinction dans la loi parce que la majorité de la population continue de penser que la mise en circulation de moyens de paiement libellés en francs est exclusivement du ressort de la BNS et par conséquent garantie?

4. Comment le Conseil fédéral légitime-t-il ce droit des banques commerciales de créer de la monnaie, sans qu’elle soit entièrement garantie par un capital, en accordant des crédits, qui augmentent la somme de leur bilan, alors que les particuliers ne peuvent consentir des prêts que s’ils disposent de l’argent?

15.06.2012
CONSEIL NATIONAL
La discussion est reportée.
BULLETIN OFFICIEL
21.03.2014
En suspens depuis plus de deux ans; classement.

https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20123305

Suisse : Récupérons la Monnaie Pleine !

28.04.2016 – Leopoldo Salmaso
Cet article est aussi disponible en: ItalienAllemand

La coopérative: une formule magique


Un remède aux déviations du système bancaire?

par W. Wüthrich, Zurich

Un fait frappant: la crise financière oblige les caisses d’épargne et banques coopératives tenues par les cantons ou les communes en Suisse à faire des heures supplémen­taires. Elles sont littéralement envahies par une foule de nouveaux clients. Un phénomène que l’on observe aussi en Allemagne et en Autriche. – Pour quelle raison? Que représentent pour nous ces banques? Eh bien, des entreprises mutuelles «ciblées» sous administration publique, telles que maisons de retraite, gymnases, incinérateurs de déchets, etc. ont derrière elles des siècles de tradition. Les meilleurs prestataires pour ces tâches sont des coopératives aux structures démocratiques. On en connaît nombre d’autres dans l’agriculture, les biens de consom­mations, le logement. On sait moins – alors que nous nous trouvons en pleine crise financière que les coopératives de crédit mutuel ont joué un rôle central dans l’histoire du système bancaire. Une réflexion sur le passé met en lumière la genèse des banques et leurs tâches ainsi que les déviations actuelles.
Difficile de trouver un auteur qui ait mieux que Jeremias Gotthelf dépeint les soucis et problèmes qui étaient il y a deux siècles ceux des habitants du canton de Berne (1797–1854). L’un des sujets qu’il a traités était l’argent. A cette époque, son importance croissait sans cesse. La société était en pleine mutation. L’industrialisation avait commencé. Le salaire en nature faisait place au salaire en liquide. Nombre de paysans se procuraient un «Zustupf» (surplus) grâce au travail à domicile, ou un membre de la famille était employé à l’usine textile voisine. Et la grande majorité des paysans n’était pas habituée à se servir de l’argent.
«Tu vois, c’est une caisse où on peut mettre son argent quand on n’en a pas besoin, jusqu’à ce qu’on en ait besoin, et entretemps on te verse un petit intérêt, et ton argent est bien à l’abri, il ne lui arrive rien.»
Jeremias Gotthelf,
Ueli le valet de ferme
Ce qui amenait Uli der Knecht (Uli le valet), héros du roman éponyme de Gotthelf, aux réflexions suivantes concernant les soucis que cause l’argent et la difficulté de le conser­ver: «Je n’en ai pas besoin, et quand j’en ai, il ne fait pas long feu; j’ai du malheur avec l’argent; ou je le gaspille, ou je me fais avoir, ou on me le vole, et pour finir, si personne d’autre ne me le prenait, ce sont les souris qui me le mangeraient.» Quelques pages plus loin Gotthelf lui répond en évoquant la Caisse d’épargne. Un paysan dit à son apprenti: «Tu vois, c’est une caisse où on peut mettre son argent quand on n’en a pas besoin, jusqu’à ce qu’on en ait besoin, et entretemps on te verse un petit intérêt, et ton argent est bien à l’abri, il ne lui arrive rien.» Il se trouve que, deux cents ans plus tard, il n’en va plus tout à fait de même. Qu’est-ce qui a changé depuis? Remontons le temps jusqu’au monde de Jeremias Gotthelf.

Les premières banques

Il y a deux cents ans, les couches inférieures de la population étaient pour la plupart bien pauvres, même en Suisse. Jeremias Gott­helf et avant lui Johann Heinrich Pestalozzi ont fourni d’émouvantes descriptions de ces maux. Mais leur engagement a aussi éveillé les consciences et poussé à y remédier. L’instruction, l’institution d’écoles et de formations professionnelles, la création d’emplois, le combat en faveur de la démocratie et de l’égalité des droits furent l’un des aspects de cette lutte, l’autre étant le développement du sens de l’épargne pour se constituer un petit avoir et une réserve pour la vieillesse et les temps difficiles. Bien sûr il ne suffisait pas de conseiller à la population de mettre un peu d’argent de côté. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, la Confédération helvétique ne possédait pas une seule banque à même d’accepter de petits dépôts et de les investir en toute sécurité. Les petites gens désireuses d’épargner et en mesure de le faire en étaient réduites au bas de laine. Ceux qui avaient besoin d’argent étaient le plus souvent contraints de s’adresser au prêteur – à l’usurier – qui pratiquait des taux énormes.
Certes les banques existaient depuis le Moyen-Age. On connaît les Rothschild, les Fugger, les Médicis. Mais la clientèle de ces banquiers se composait surtout de princes et monarques, dont les Cours dispendieuses et les guerres exigeaient beaucoup d’argent. Ou alors leurs capitaux finançaient le commerce à longue distance avec les colonies. La Suisse comptait elle aussi quelques rares banques, essentiellement à Berne, Genève et Bâle. A Zurich, il n’y en avait qu’une: la banque Leu et Cie. Mais le principal souci de ces banques était de réinvestir à l’étranger les sommes considérables que les couches supérieures ou les instances dirigeantes tiraient du mercenariat. La ville de Berne par exemple se constitua un Trésor public si bien garni que les intérêts qu’il produisait couvraient 30% de ses dépenses. Et cela dura jusqu’à ce que Napoléon fasse main basse sur le Trésor. Mais jusque vers la fin du XVIIIe siècle, l’homme de la rue, lui, ne disposait d’aucune banque dans aucun des treize Etats de la Confédération.
«Ce qui n’est pas à la portée d’un seul individu peut être réalisé par un grand nombre de personnes.»
(Friedrich Wilhelm Raiffeisen)

La Caisse d’épargne de Berne

Et en 1787 nous y voici: un décret du Grand Conseil de la ville de Berne institue la première Caisse d’épargne pour domestiques, artisans et journaliers. L’«homme de la rue» devait bénéficier pour son argent d’un placement à intérêt sûr et se créer ainsi une petite réserve pour sa vieillesse et les mauvais jours. L’administration bernoise espérait également décharger ainsi les finances publiques d’une part de la protection sociale. Les administrateurs de la Caisse étaient des bénévoles, mus par le sens du service, non l’appât du gain. La sécurité l’emportait sur le rendement. Il était interdit de spéculer. Au début les guichets n’étaient ouverts que deux jours par an: à la Saint Jacques (25 juillet) et à la Chandeleur (2 février), date du changement d’emploi annuel. Ce fut un succès. Après les guerres napoléoniennes, on assista à une vague de nouvelles fondations.
En 1805, Zurich créa sa Caisse d’épargne. Plus tard elle prit la forme d’une mutuelle du nom de «Bank Sparhafen Zürich» (Banque zurichoise du Port de l’épargne); elle existe toujours. Dans nombre de communes suisses se créèrent des caisses d’épargne et de prêt. Certaines étaient gérées par la commune elle-même. Beaucoup étaient des entreprises privées de type mutualiste, orientées non vers le profit, mais vers l’intérêt général et administrées par des bénévoles. Celui qui se retrouvait en difficulté sans en être responsable pouvait trouver assistance auprès de ces caisses sans risquer de tomber aux mains d’un usurier. Dans le canton de Berne par exemple, il se créa 25 nouvelles caisses dans les années qui suivirent la période napoléonienne. L’année 1834 vit la fondation de la Berner Kantonalbank, banque d’Etat habilitée à émettre de la monnaie bernoise indexée sur l’or. Elle fut suivie en 1836 par la banque cantonale de Saint Gall, puis en 1837 par celle de Zurich. Dans le canton voisin d’Argovie il s’en créa davantage encore.
A l’origine de ces initiatives, on trouve en général des hommes entreprenants qui propagèrent cette nouvelle façon de gérer l’argent par le biais des sociétés de secours mutuel et de lecture. L’exemple suivant, pris dans le canton d’Argovie, illustre bien ceci:

Caisse pour les économies des habitants du canton d’Argovie – Action de Heinrich Zschokke

En 1812, à l’initiative de la Société savante d’Argovie, l’écrivain Heinrich Zschokke (1771–1848) exposa dans le Schweizerbote (Messager Suisse) le projet dans les termes suivants: «Nombre d’artisans, de domestiques, ou même de journaliers peuvent parfois avoir mis de côté quelques sous ou quelques francs dont ils aimeraient pouvoir disposer en cas de nécessité. Mais où les mettre en sécurité, voire en tirer intérêt? Personne n’est prêt à payer intérêt sur de si faibles sommes. Vous avez l’argent en poche; vous voyez ceci ou cela, vous aimeriez bien l’avoir; vous passez devant une auberge et la démangeaison de s’en servir vous prend. Bref, voilà l’argent parti, on ne sait ni pourquoi ni comment. Et lorsque viennent les mauvais jours où vous en auriez bien besoin, il n’y a plus rien à la maison. Economiser, c’est difficile!» (Schweizerbote du 7 mars 1812)
La société savante avait chargé Heinrich Zschokke et Daniel Dolder, directeur des Postes, de se renseigner sur l’organisation des institutions déjà existantes à Zurich et Bâle «surtout en ce qui concerne la gestion de la comptabilité interne de ces établissements». Ceci fait, des statuts furent établis et imprimés sur un prospectus. L’affaire fut rondement menée et le 1er mai 1812 vit l’ouverture de la «Caisse d’épargne rémunérée pour les habitants du canton d’Argovie». Les hommes les plus considérés se portèrent caution pour les premiers dépôts, rémunérés à 4%; Heinrich Zschokke fut un des premiers, pour un montant de 400 francs suisses. De plus, il ouvrit aussitôt un compte pour chacun de ses trois fils. D’autres l’imitèrent. Les dépôts provenaient «de personnes de toutes classes sociales, au profit de leurs enfants ou filleuls, pupilles et autres, mais les plus nombreux étaient des domestiques et artisans qui y déposaient les quelques sous qu’ils avaient économisés.» (Schweizerbote du 11 mars 1813.) Cette caisse existe encore sous le nom de Neue Aargauer Bank (Nouvelle banque argovienne) qui en hommage à Zschokke lui a érigé il y a quelques années une statue dans le hall de son siège principal, récemment réaménagé à Aarau.1
Quelques mots sur Zschokke: Ses innombrables romans, nouvelles et revues ont fait de lui l’un des auteurs les plus lus et les plus populaires en Suisse et Allemagne durant la première moitié du XIXe siècle. Il a été traduit en plusieurs langues. Représentant de l’esprit des Lumières, il a également contribué à répandre dans toute l’Europe celui de Johann Heinrich Pestalozzi. Il s’est activement engagé en faveur d’une société citoyenne et démocratique. Durant la République Helvétique, il a assumé d’importantes charges politiques. Il a fondé une école professionnelle pour filles de résidents pauvres (les «résidents» [Einsassen] sont des habitants du pays sans droits civils), des écoles de couture, des cours du dimanche pour artisans et apprentis, une société d’éducation et une école pour sourds-muets, ainsi que – comme il est dit plus haut – une Caisse d’épargne. Zschokke est un représentant d’une bourgeoisie consciente de ses responsabilités envers la communauté.2

Le démarrage

Dans tous les cantons l’on assista à la création de nombreuses caisses d’épargne et de prêt. Dans celui de Thurgovie, par exemple, on fonda la Sparkasse Frauenfeld (Caisse d’épargne de Frauenfeld) sous administration communale. Il arriva, surtout dans les débuts, que certaines ferment, parce qu’elles étaient mal conçues ou parfois mal administrées. Mais les pertes subies par les épargnants restèrent rares. Jamais non plus il ne se produisit d’effet domino, une banque en entraînant d’autres dans sa chute. La fermeture d’une caisse offrait une opportunité pour la fondation d’une nouvelle ou l’ouverture d’une filiale d’une banque déjà existante. Dans le canton de Berne, les «Raiffeisenkassen» [cf. plus bas] durent, pour diverses raisons fermer en 1893 et 1897 peu après leur ouverture, par exemple les Caisses d’épargne de Steckborn, Aadorf et Eschlikon dans le canton de Thurgovie.3
Au début les Caisses d’épargne et de prêt mutuelles ou communales se limitaient aux hypothèques foncières. Au fil du temps elles élargirent de plus en plus le champ de leurs activités et accordèrent aussi des crédits à des fins professionnelles. Leur domaine d’activité resta toutefois limité à leur région.
«On donne mon nom à ces associations mais je ne les ai pas inventées. La première a été un enfant de notre temps, né de la nécessité. Je n’en ai été que le parrain.»
Friedrich Wilhelm Raiffeisen
Il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour voir apparaître les premières véritables banques commerciales, comme la Schweizerischer Kreditanstalt (Société suisse de crédit), qui a financé le réseau ferré, le tunnel du Saint-Gothard ainsi que des projets industriels et levait des fonds également sur le «marché des capitaux» et émettait des titres cotés en Bourse tels qu’actions et obligations.
Au XIXe siècle le système bancaire suisse se développa de façon très décentralisée, se caractérisant par le nombre de Caisses indépendantes à rayon d’action local ou régional, toujours existantes. Au fil du temps leurs activités se sont diversifiées. Chaque localité de quelque importance possédait sa Caisse d’épargne et de prêt. C’était la banque d’épargne, hypothécaire et commerciale du village. Au début du siècle, la Suisse comptait déjà 726 banques différentes et 842 agences pour une population de 2,5 millions d’habitants.

Les Caisses Raiffeisen suisses

Un siècle environ après la création des premières banques, on assista en Suisse à une deuxième vague de fondations. En 1899, le pasteur Traber fonda à Bichelsee la première Caisse Raiffeisen durable, d’après les principes et le modèle imaginés par Friedrich Wilhelm Raiffeisen (1818–1888). Celui-ci avait créé 50 ans auparavant dans le Westerwald (Allemagne) des coopératives inspirées de la doctrine sociale chrétienne. Son principe de base était «Seule la communauté fait la force» Dans le monde entier beaucoup suivirent son exemple.
En Suisse les Caisses Raiffeisen peinèrent à s’imposer. Dans le canton de Berne elles connurent deux échecs. Mais dans celui de Thurgovie le pasteur Traber réussit. D’autres suivirent. Les statuts de toutes les Caisses Raiffeisen étaient analogues et leurs administrateurs bénévoles. Les membres se portaient tous personnellement caution solidaire et, au début, illimitée. Les caisses ne tardèrent pas à former un réseau et une organisation qui a aujourd’hui son siège à Saint-Gall. On trouve les Caisses Raiffeisen surtout en milieu rural. Mais depuis peu les choses changent. En 2002 fut fondée la Raiffeisenbank Zürich qui possède aujourd’hui trois agences dans la métropole économique suisse.
La Suisse compte actuellement 367 Caisses Raiffeisen indépendantes et environ 1200  agences, ce qui constitue le réseau bancaire le plus dense de Suisse. Elles gèrent les dépôts d’environ 3 millions de clients s’élevant au total à plus de 105 milliards de francs suisses – la plupart sont des hypo­thèques. Depuis quelques années elles travaillent en étroite collaboration avec la banque privée Vontobel – une nouveauté qui ne fait pas l’unanimité. Celle-ci s’occupe des affaires boursières et des placements des clients. La valeur des titres déposés dans les banques Raiffeisen atteint aujourd’hui 35 milliards de francs suisses.

Pourquoi les banques Raiffeisen sont-elles si sûres?

Ces banques jouissent d’un ancrage local et régional et elles connaissent personnellement leurs clients. La solidarité entre caisses joue à plein. Une banque Raiffeisen isolée ne peut faire faillite, parce que toutes les autres sont derrière elle. Et les mutualistes constituent une caution supplémentaire, qui de nos jours est limitée. Ils sont 1,5 millions engagés à verser chacun 8000 francs suisses en cas de nécessité. Cette garantie serait aujourd’hui superflue, comme l’a déclaré Pierin Vincenz, PDG de Raiffeisen Suisse, dans plusieurs interviews. Mais elle ne sera pas pour autant supprimée. Expression de la solidarité, elle est partie intégrante de l’esprit de la coopérative.
Le modèle des Raiffeisen inspire une grande confiance. Cent mille nouveaux clients l’ont rejointe depuis le début de l’année, dont 75 000 mutualistes. Chaque mois a vu affluer dans les caisses un nouveau milliard de francs suisses. La Caisse n’a jamais eu recours au soutien de l’Etat et du reste personne n’y songe.

Les Raiffeisen dans le monde

On trouve des banques Raiffeisen dans toute l’Europe: Allemagne, Autriche, Italie, France, Pays-Bas, Finlande, Pologne et Chypre, et 700 000 collaborateurs gèrent environ 130 millions de clients. Elles sont ainsi devenues un acteur important du système économique et financier européen.
Mais dans le monde entier la cote du système Raiffeisen grimpe. Dans une centaine de pays au total, 900 000 coopératives regroupant plus de 500 millions de membres travaillent selon les principes de Friedrich Wilhelm Raiffeisen. Ses idées ont du succès sur tous les continents car elles peuvent s’adapter à toutes les structures économiques et sociales. (Horizons et débats consacrera plusieurs articles à cet aspect).
Revenons en Suisse. D’autres banques ont écrit l’histoire du système bancaire mutualiste, par exemple la Schweizerische Volksbank, la Banque Migros (élément de la Fédération des coopératives Migros), la Genossenschaftliche Zentralbank (aujourd’hui Banque Coop) et la Banque WIR, à laquelle Horizons et débats a déjà consacré un article dans son no 37 du 15 septembre.

La Banque populaire suisse

La Volksbank in Bern (Banque populaire de Berne, plus tard Banque populaire suisse) a été fondée en 1869 sous forme de coopérative par des représentants du monde ouvrier, des employés et de l’artisanat. A l’origine elle se contentait, comme les Caisses Raiffeisen, d’accorder des prêts à ses membres. Avec ses nombreuses filiales, elle connut une extension fulgurante dans toute la Suisse. En 1930, elle était devenue la deuxième banque suisse. Dans les années 30, elle dut demander à l’Etat une aide de 100 millions de francs, toutes ses affaires avec l’étranger (en particulier l’Allemagne) ayant dû être liquidées. Après la guerre la banque connut une forte croissance et ouvrit beaucoup de nouvelles filiales. Mais des spéculations sur l’argent-métal et l’immobilier ainsi que de nouveaux déboires à l’étranger entraînèrent dans les années 80 le déclin de la quatrième banque suisse, qui fut rachetée en 1990 par la Schweizerische Kreditanstalt (aujourd’hui CS Group). L’exemple de la Banque populaire suisse prouve que le statut juridique de coopérative n’offre pas de protection contre des affaires hasardeuses.

La Banque centrale coopérative

La Banque centrale coopérative a été fondée en 1927, en commun par l’Union suisse des Coopératives de consommation et par l’Union syndicale suisse. Son principe était «qu’une banque d’ouvriers ne se distingue pas des banques privées par la conduite de ses affaires, mais seulement par ses buts, c’est à dire qu’elle utilise dépôts et excédents au profit des mouvements ouvriers et mutualistes.» La Genossenschaftliche Zentralbank acquit une dimension respectable. En 1970 elle prit la forme d’une société par actions. Elle s’appelle aujourd’hui Banque Coop, et la banque cantonale de Berne en est l’actionnaire majoritaire.4

La Banque Migros

La Banque Migros constitue jusqu’ici une «success story». Gottlieb Duttweiler eut l’idée de créer une Banque Migros il y a cinquante ans, au cours d’un souper avec son administrateur financier au restaurant Widder, à Zurich. La banque est une société par actions détenues à 100% par la Fédération des coopératives Migros.
La banque a démarré avec trois employés. Son guichet se trouvait au troisième étage de la maison Migros de Zurich, au Limmatplatz. Jusqu’ici son fonctionnement n’a donné lieu à aucun «scandale». Elle fait des affaires avec la région où elle se trouve et avec toute la Suisse. Elle finance ces hypothèques avec les dépôts des épargnants. Elle ne travaille pas avec l’étranger. Ses 74 agences, ses 29 milliards de francs d’avoirs et ses 750 000 clients font d’elle l’une des «grandes banques». La crise financière ne l’a absolument pas touchée. Cette année elle a ouvert 46 000 nouveaux comptes et 18 nouvelles filiales (ou elle va les créer l’an prochain).

Que nous apprend l’histoire?

De toute évidence les banques à rayon d’action régional ou national résistent mieux à la crise financière actuelle que les banques mondialisées. C’est encore plus vrai pour les banques coopératives ou administrées par les communes ou cantons. Elles échappent à la pression des investisseurs qui exige une rentabilité maximale. Ces banques ont un fort ancrage régional et connaissent bien leurs clients.
Mais la forme juridique de la coopérative n’est pas à elle seule une protection contre une mauvaise politique financière, comme le montre l’exemple de la Banque populaire suisse (et plusieurs autres en Allemagne et en Autriche). On peut en dire autant des banques communales et cantonales. La faillite de la Spar- und Leihkasse Thun et la crise que traverse la Banque cantonale bernoise en sont un exemple.
Les Raiffeisen offrent des avantages évidents, parce qu’elles constituent un réseau de nombreuses coopératives indépendantes à l’intérieur d’un même pays. Leur politique financière est coordonnée et s’exerce dans un cadre commun comportant un contrôle des risques. Ce qui rend presque impossibles les «dérapages» isolés.5    •
(Traduit par Michèle Mialane et révisé par Fausto Giudice, www.tlaxcala.es
1     Cf. Werner Ort, Der modernen Schweiz entgegen. Heinrich Zschokke prägt den Aargau, Baden 2003, p. 126s.
2     Cf. Das Goldmacherdorf – Ein historisches Lesebuch von Heinrich Zschokke, aux Editions H. Böning und W. Ort, Brême 2007, p. 247ss.
3     C. Bucher, Der Zusammenbruch der Leih- und Sparkassen Aadorf und Eschlikon, Zurich 1918
4     Genossenschaftswesen in der Schweiz; Editions Ernst-Bernd Blümle, Francfort sur le Main 1969

Renaissance de l’idée de coopérative

«Je me souviens encore très bien d’un séminaire à Salzbourg avec les managers d’une coopérative. On voulait devenir à tout prix une banque «normale». On avait tendance à refouler l’idée de coopérative (de crédit mutuel). Et il en alla longtemps de même en Suisse. Mais tout récemment on assiste à une renaissance de cette idée. Les grosses coopératives de consommation ne parlent plus de se transformer en SA. La Schweizer Mobiliarversicherung remet de plus en plus en avant l’idée de coopérative. En ce moment nous assistons à un retour en force des structures sociales et des modes de pensée éprouvés. Beaucoup se plaignent de la montée de l’anonymat et de la perte du lien social. La taille relativement modeste, la bonne connaissance des réalités locales, le «visage humain» des Caisses Raiffeisen vont sous plusieurs aspects à l’encontre de cette évolution. L’impressionnante augmentation du nombre de leurs membres permet de conclure que les valeurs coopératives répondent sans aucun doute aux besoins d’un grand nombre de gens.» 

Robert Purtschert, professeur à l’Université de Fribourg, dans: Panorama Raiffeisen 2/2005.


http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

Ni capitalisme, ni Etat – la Coopérative intégrale s’épanouit à Barcelone

https://reporterre.net/Ni-capitalisme-ni-Etat-la-Cooperativeintegrale-s-epanouit-a-Bar…


18 mai 2015 – Ils fraudent le fisc pour financer la révolution. Avec un budget de 490 000 euros, laCoopérative intégrale catalane (CIC) tente de construire ses …

La coopérative intégrale, ou comment répondre aux besoins – Basta

www.bastamag.net › Inventer


23 juil. 2015 – Tel est l’objectif de la Coopérative intégrale catalane qui se construit depuis six ans. Coopératives de productions agricoles ou industrielles, …

La Coopérative intégrale, une transition « hors du capitalisme | «café …

https://cafedesroumains.com/…/la-cooperativeintegrale-une-transition-hors-du-capital…


23 sept. 2014 – Les coopératives intégrales sont des projets apparus récemment en Europe, ayant comme objectif de préparer “l’après-capitalisme”. Marian …

François de Siebenthal: Dissolution de la S.A. BNS et vers une …

desiebenthal.blogspot.com/2016/05/dissolution-de-la-sa-bns-et-vers-une.html


4 mai 2016 – Coopérative bancaire intégrale citoyenne avec: … François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !


Plus de détails peuvent être trouvés ici: http://www.vollgeld-initiative.ch/fragen/#c1182

Franc-maçons à tous les étages !

Bienvenue Place Beauvau, Police: les secrets inavouables d’un quinquennat


3 journalistes (dont deux sont du Canard enchaîné) décrivent le résultat de leur enquête et ce n’est pas beau à voir :





Anti-Freysinger pilotés depuis Zurich


L’opération anti-Freysinger pilotée depuis Zurich

30 mars 2017

Avec des fonds américains…

Le Bafweb a eu le nez creux en dénonçant directement le Foraus, et son financement occulte, à l’origine de la vaste opération de dénigrement du candidat Oskar Freysinger, que la RTS s’est employée benoîtement à présenter comme le sursaut de la “société civile“.

La preuve ultime vient de tomber, un mail démontrant l’orchestration opérée par M. Johan Rochel, vice-président de Foraus, depuis son bureau du centre éthique de l’université de Zurich.

Un universitaire de gauche, européiste à souhait, choyé des médias, pensionné par des fonds publics et d’autres vraisemblablement en provenance d’un certain M. Soros, organisant depuis son petit bureau, à quelques centaines de kilomètres de là, la mise à mort de l’un des premiers opposants de l’adhésion de la Suisse à l’Union européenne. Vous avez là, en quelques mots, la parfaite définition de cette “société civile” que l’on nous ressert à tout bout de champ. Société qui n’est en somme, qu’une parodie de volonté populaire vendue par les médias là où ils savent pertinemment que la démocratie directe ne leur donnera pas raison.

Le peuple suisse ne veut pas de l’Union européenne. Ouvrez les yeux, ne les croyez pas, résistez !

NM

http://www.bafweb.com/2017/03/30/loperation-anti-freysinger-pilotee-depuis-zurich/

← Putallaz dans le vrai, Fragnière dans le déni

Les auteurs sont seuls responsables de leur commentaire. L’éditeur décline toute responsabilité en cas de commentaire abusif. Tout abus doit être signalé ici.

Fraudes: les Kosovars et Albanais instrumentalisés

Valais: fraudes démocratiques

Les communautés kosovars et albanaises instrumentalisées par des politiques ? 

Trois recours contre le résultat de l’élection qui a éjecté Oskar Freysinger du gouvernement valaisan. 
Le président de l’UDC Jérôme Desmeules veut empêcher le nouveau gouvernement de prendre ses fonctions. Un démocrate-chrétien domicilié à Naters et originaire du Kosovo «aurait collecté les enveloppes de la communauté albanaise de sa commune, qu’il se serait chargé de remplir». 
Le nombre de Kosovars et d’ Albanais naturalisés en Valais est de plus de 1500,  un nombre largement suffisant pour inverser le résultat ( la moitié de l’écart plus une voix, contrairement à ce qui est partout affirmé… ),  l’UDC attaque aussi le PDC Christophe Darbellay, qui « aurait été vu avec la communauté albanophone de Fully ».
Il est possible que d’autres personnes aient effectué le même travail auprès d’autres communautés. 
Les empreintes digitales et ADN notamment le prouveront.

INVITATION: Les origines morales du désastre écologique



Chères Amies, Chers Amis,

Olivier Rey, philosophe et mathématicien, chargé de recherche au CNRS et enseignant à l’Université Panthéon-Sorbonne, Paris, nous parlera du sujet suivant :


Les origines morales du désastre écologique 

Le Centre Catholique d’Etudes de Genève vous invite cordialement le mercredi 5 avril 2017 dès 12:00 à l’adresse suivante :
Chemin de Pierre-Longue 14, 1212 Grand-Lancy
Une légère collation sera servie à partir de midi et permettra d’écouter et d’échanger avec Olivier Rey.

Nous remercions d’avance Olivier Rey de sa disponibilité et nous réjouissons de l’entendre.

Merci de bien vouloir confirmer votre présence.

Amitiés

Michel


Michel Veuthey


 Transport public depuis la Gare Cornavin : Tram 15, arrêt Bandol. 
• Accès en voiture par la Route du Grand-Lancy ( chemin Pierre-Longue ou chemin de la Genevrière ). 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Rey_(philosophe)

Olivier Rey (philosophe) — Wikipédia
fr.wikipedia.org
Olivier Rey, septembre 2011 Données clés Naissance 1964 Nantes , France Activité principale Philosophe , écrivain 

Valais: fraudes et francs-maçons.



Fraudes démocratiques: empreintes des tricheurs !


Pour des empreintes laissées sur du papier, on utilise un colorant rouge qui se lie naturellement aux molécules de gras.
Il faut geler toutes les preuves et traces sur tout le canton, notamment à Sion et à Martigny …

La justice des francs-maçons de chez nous

Les francs-maçons, en Valais et ailleurs, se désignent entre eux comme des frères, bien plus que des alliés, des membres d’une même communauté qui ont le devoir, parmi eux d’abord, d’entretenir et de fortifier des sentiments de fraternité et d’égalité (Principes maçonniques généraux de la Grande Loge Suisse Alpina, Article II). Les francs-maçons sont des alliés consentants au sein de l’Alliance. Un frère ne peut pas être chassé de sa Loge et ses relations avec elle demeurent indissolubles. Les frères francs-maçons sont des alliés éternels et secrets.

Le secret et l’intransparence sont parties intégrantes de la franc-maçonnerie. Questionnés à ce sujet, le franc-maçon dira que la prudence dicte cette obscurité du fait des persécutions passées à son encontre. Et, dans le même temps, le compagnon affirmera que la Loge à laquelle il appartient ne fait rien de répréhensible.

Citoyen inscrit dans une cité, devant participer à la vie publique, le franc-maçon peut être aussi un justiciable. Pourtant, dit la loi maçonnique, aucune Brouille, ni Querelle privée ne doit passer le Seuil de la Loge (Les “Constitutions d’Anderson“).

Un Maçon doit être également un paisible Sujet à l’égard des Pouvoirs Civils. Il doit donc respecter la loi civile ordinaire.

Trois fondements clairs appartiennent donc aux Loges maçonniques :
secret, prudence et intransparence des membres
aucune Brouille ne doit passer le seuil de la Loge entre Frères
respect des lois civiles

Alors surgit immanquablement cette question cruelle : un franc-maçon citoyen peut être attaqué en justice par un citoyen ordinaire et jugé par un magistrat assisté d’un expert ou confronté à un procureur. Comment dès lors accepter qu’un juge, un greffier, un procureur, un auxiliaire de justice, un expert judiciaire puissent fonctionner ès qualités sans préablement indiquer son appartenance (et celle de l’une des parties ou d’un autre magistrat) à une Loge maçonnique ?

Un magistrat franc-maçon, un procureur franc-maçon, un expert judiciaire franc-maçon, un auxiliaire de justice franc-maçon devra de par son appartenance même au mouvement franc-maçonnique privilégier son frère en franc-maçonnerie dans le litige l’impliquant ès qualités.

En son temps, il y a quelques années, l’UDC avait tenté de convaincre le Parlement cantonal de la nécessité pour les francs-maçons membres du législatif de devoir annoncer de tels liens d’intérêt. La réponse, sans débat, fut négative.

Si l’on peut penser que les liens francs-maçonniques ne peuvent avoir une intensité trop forte à l’intérieur d’un Parlement cantonal qu’il faille songer à une obligation d’annonce d’appartenance à une Loge, la question est bien plus dangereuse dans le monde d’ici bas de la justice de chez nous. Est-il en effet admissible que des juges, des magistrats, des auxiliaires de justice puissent fonctionner ès qualités dans un litige impliquant un seul franc-maçon ?

Le Grand Conseil valaisan a débattu de cette question à la suite d’une motion du député cantonal de jadis Oskar Freysinger. La motion fut balayée. La Grande Loge Suisse de l’Alpina argumenta en se fondant sur le principe constitutionnel de la liberté d’association qui prohibe toute discrimination en matière de conceptions religieuses ou philosophiques. On ne pourrait interdire à un magistrat franc-maçon d’exercer la fonction de juge.

Dans la réalité, il ne s’agit pas d’interdire à un franc-maçon de devenir juge; il s’agit d’interdire à un juge franc-maçon d’exercer sa fonction dans une cause impliquant un Frère maçonnique. De même, il ne s’agit pas d’interdire une association de francs-maçons. Il s’agit d’interdire qu’un juge franc-maçon ne respecte pas la CEDH et la Constitution fédérale en matière d’impartialité. Tout citoyen, ne fut-il pas franc-maçon, a le droit à être jugé par un magistrat impartial et indépendant.

Répondre affirmativement à la question posée ci-dessus en gras, c’est avouer que le principe de récusation, prévue dans la CEDH, la Constitution fédérale et les codes de procédure pénale et civile, ne saurait s’appliquer aux francs-maçons intransparents, secrets et si frères … entre eux.

Ce qui est en cause n’est pas le droit à la libre association des francs-maçons. Ce qui est en cause est le silence et le secret entourant la franc-maçonnerie qui peut alors s’immiscer dans les structures légales de la société et les pervertir au-delà des exigences de la loi à fin de favoriser les intérêts bien compris de certains justiciables … francs-maçons.

7 juillet 2012 Redaction 1dex 




(Par Stéphane Riand)

Post Scriptum en formes de liens :

Les Amis Sincères, à Epinassey / St-Maurice

Progrès et Vérité, à l’Orient de Bex

L’Eglise et la franc-maçonnerie, vue par l’UDC

Pensée et Action, Orient de Martigny

Rite Ecossais Ancien et Accepté (REAA)

Sur l’appartenance maçonnique des magistrats et la motion Oskar Freysinger




En France:

https://barruel.com/

Aux USA et dans l’empire:

EXCLUSIF – INFO – www.barruel.com – INFO – EXCLUSIF

PREUVES D’UNE CONSPIRATION.

L’Ordre des Skull and Bones.


Après 16 livres et 25 années de recherches fondamentales, je pensais que j’avais tout entendu… que le monde était un désordre confus, probablement au-delà de toute compréhension, certainement au-delà de tout salut, et que je ne pouvais pas faire grand chose à son sujet.
En 1968 mon livre “Technologie de l’Ouest et Développement Économique Soviétique” a été publié par l’Institution Hoover à l’université Stanford. En trois volumes substantiels, j’ai détaillé comment l’Ouest avait construit l’Union Soviétique. Cependant, le travail a produit un puzzle apparemment insoluble – pourquoi avons nous fait ceci ? Pourquoi avons nous construit l’Union Soviétique, pendant que nous avons aussi transféré la technologie à l’Allemagne de Hitler ? Pourquoi Washington veut dissimuler ces faits ? Pourquoi avons nous soutenu le pouvoir militaire Soviétique ? Et soutenu le notre simultanément ?
Dans les livres subséquents, la série des “Wall Street”, j’ai posé plus de questions – mais aucune réponses. J’étais arrivé plus ou moins à la conclusion qu’il n’y avait aucune réponse rationnelle qui pouvait être prouvée.
Alors il y a à peu près un an, j’ai reçu une fournée de huit pouces de documents – rien de moins que la liste d’adhésion à une société secrète américaine. En jetant un coup d’œil sur cette liste, il était évident que ce n’était pas un groupe ordinaire. Les noms inscrits représentaient le Pouvoir, avec un P majuscule. Plus j’ai cherché à approfondir chaque individu, un modèle a émergé… et un monde autrefois flou est devenu clair comme du cristal.
Le livre que vous lirez ici est une version combinée, d’une série qui fait un rapport sur cette recherche. Chaque volume est construit sur le volume antérieur dans un processus logique, pas à pas.
Ces volumes expliqueront pourquoi l’Ouest a aidé les soviets et Hitler ; pourquoi nous allons à la guerre, pour perdre ; pourquoi Wall Street aime les marxistes et les nazis ; pourquoi les enfants ne peuvent pas lire ; pourquoi les églises sont devenues des sources de la propagande ; pourquoi des faits historiques sont supprimés, pourquoi les politiciens mentent et cent autres pourquoi.
Cette série est infiniment plus importante que les séries originales de “Technologie De l’ouest” sur les transferts technologiques.

Si je devais avoir une œuvre majeure, c’est ce livre.ANTONY C. SUTTON
Phénix, Arizona,
Le 30 juillet 1983




Vous allez lire la traduction française de la première partie du livre de monsieur Antony Sutton intitulé : America’s Secret Establishment – An Introduction to The Order of Skull and Bones.
Ce texte a été rédigé en 1983…
Cet auteur, mondialement connu pour ses écrits, avec qui j’avais eu de très bonnes relations, démontre dans son livre comment la secte aux pratiques sataniques des Skull and Bones, liée à l’ordre des Illuminés de Bavière, finance les guerres, les révolutions (LIRE) et impose au monde avec ses frères francs-maçons, son “nouvel ordre mondial”, avec l’ONU, ainsi que d’autres organismes internationaux, et avec ses cénacles discrets tels que le Bilderberg, la trilatérale, le CFR, le Bohemian club…
Un livre unique au monde.
Ainsi, vous voyez que ces sectes, leurs banques, groupes financiers qui ont massacré hier, sont les mêmes qui pillent, volent, tuent aujourd’hui… et “façonnent” les esprits de demain…
Le massacre physique et moral des innocents peut continuer.
En France, la république jacobine maçonnique se porte bien.
Idem pour l’Europe maçonnique qui continue sa route…
Et, dans le monde, la “république universelle” se met en place dans le sang.
Voici ce document, et vous avez là sous les yeux la preuve qu’une conspiration contre les états et les religions existe.
J’espère pouvoir éditer la version française complète, texte intégral et documents, si mes très modestes moyens me le permettent…
Pour lire le livre de monsieur Antony Sutton, qu’il considérait comme son oeuvre majeure, cliquez sur la couverture ou ICI.

Pour en savoir plus sur l’auteur, lisez cet article => antony-sutton.html


Schweizerischen Bundesverfassung mit Vollgeld



Liebe MoMos


Ich brauche eine kurze Rückmeldung von euch bezüglich eventuellem Interesse:
Die im Zusammenhang mit dem Crowdfunding entstandene Schweizerischen Bundesverfassung, die unseren Vollgeldartikel bereits enthält (aber auch den jetzigen vollständigen Verfassungstext) soll endlich gedruckt werden.
Es wird nur eine Mini-Auflage sinnvoll sein, da zu teuer für Massenvermarktung. Darum: 
Wer von euch würde eine solche Verfassung haben wollen (auch als Geschenk geeignet)? Es ist ein kleines edles Buch 12 x 17 cm, roter Leineneinband mit silbernem Prägedruck, siehe Abb. im Anhang, das Papier ringsherum aussen mit Silberschnitt sowie einem Vorwort von Philippe Mastronardi.

Ich muss jetzt die Auflage bestimmen. Ich finanziere das Ganze und übernehme die Defizit-Garantie (was nötig sein wird). Mindestpreis pro Stück 25.- CHF.

Wer würde eine oder mehrere kaufen?

Danke für eure Rückmeldung,
Hendrik


Chers momos 


Je besoin d’un court commentaires de votre part en ce qui concerne un intérêt éventuel:
Qui parmi vous voudrait avoir une telle constitution (également adapté comme cadeau)? C’est un petit livre de 12 x 17 cm, lin rouge liaison avec une pression de gaufrage d’argent, voir fig. Ci-après, le papier autour de l’extérieur de la section d’argent et une introduction par Philippe Mastronardi.

Je dois maintenant déterminer l’édition. Je finance l’ensemble et accepte la garantie de déficit (qui sera nécessaire). Prix ​​minimum par pièce CHF 25.-.

Qui serait prêt à en acheter ?

Merci pour vos commentaires

Hendrik Barth


PS: pour l’instant en allemand !

Francois de Siebenthal: Vollgeld in der Romandie – Pressekonferenz …

https://www.youtube.com/watch?v=4e2KdHUGvTk

4 juin 2014 – Ajouté par Vollgeld-Initiative

Weitere Informationen http://www.vollgeld-initiative.ch Weitere Videos: https://www.youtube.com …

François de Siebenthal: Table ronde sur l’initiative Monnaie-Pleine

desiebenthal.blogspot.ch/2016/07/table-ronde-sur-linitiative-monnaie.html?m=1

18 juil. 2016 – avec François de Siebenthal (initiant et banquier) et Kurt Specht … François deSiebenthal: Monnaie pleine, Vollgeld, positive money, par .

INITIATIVE MONNAIE PLEINE SUISSE: Amis –

www.initiative-monnaie-pleine.ch/amis/

François de Siebenthal, Économiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur.: … “Die Vollgeld-Initiative lässt mich endlich realistisch auf eine Welt hoffen, wo die …

Monnaie pleine, Vollgeld, la monnaie est à nous car le travail précède …

www.fileane.com/interfaces/interface_monnaie_pleine.htm

30 nov. 2015 – la MONNAIE PLEINE, VOLLGELD … le blog de François de Siebenthal. Monnaie … La Vallée des Sept Entrevue avec François de Siebenthal.

Organisation | Monnaie-pleine, Vollgeld, Moneta intera | Forum social …

https://fsm2016.org/fr/groupes/monnaie-pleine-vollgeld-moneta-intera/organisation/

Administrateurs. Illustration du profil de François de Siebenthal · Logo du groupe Monnaie-pleine,Vollgeld, Moneta intera. Organisation Groupe Public Actif il y a …

Journal | Monnaie-pleine, Vollgeld, Moneta intera | Forum social …

https://fsm2016.org/fr/groupes/monnaie-pleine-vollgeld-moneta-intera/

Administrateurs. Illustration du profil de François de Siebenthal. Logo du groupe Monnaie-pleine,Vollgeld, Moneta intera. Organisation Groupe Public Actif il y a …

VOLLGELD-INITIATIVE SCHWEIZ: Pressedossier –

www.vollgeld-initiative.ch/pressedossier/

Traduire cette page

3 juin 2014 – Dezember 2015: Einreichung der Vollgeld-Initiative ….. Rede von François deSiebenthal, Économiste HEC Lausanne et lic. és sc. iur., Mitglied …

Caméras de surveillance et urnes transparentes




On peut imaginer une solution analogue, des urnes transparentes dans un local avec une vitrine sur une rue passante filmée 24h/24 par au moins deux caméras sous deux angles différents

Elections russes: une caméra de surveillance filme un bourrage d’urnes

le 20 septembre 2016 à 12:37

La scène se déroule à Rostov-sur-le-Don, une ville du sud de la Russie, le dimanche 18 septembre, dans un bureau de vote. La pièce est presque vide, une femme (à droite de l’image) fait plusieurs allers retours dans une pièce avant de retourner derrière l’urne dans laquelle sont déposés les bulletins de vote. Trois autres personnes se placent devant elle. C’est alors, que l’on voit la femme, certainement une assesseure, glisser de nombreux bulletins de vote. Ce sont en réalité les élections législatives russes, et une caméra filme cette opération de bourrages d’urnes.

Au lendemain de la victoire du parti de Vladimir Poutine, la Commission électorale russe a annoncé l’ouverture d’une enquête après avoir reçu plusieurs plaintes de divers cas de fraude. La police a en effet reçu d’autres vidéos de ce type. La présidente de la Commission électorale centrale a promis que le scrutin serait annulé si les soupçons de fraude étaient confirmés.

Service Actu


Que faire ?

Interdire au moins le pré-dépouillement qui permet les tricheries pendant la ou les nuits…
Interdire  le vote par correspondance ou électronique, revenir à une seule journée de vote et dépouiller dans chaque bureau de vote vu tous les risques de tricheries…

Recours final au tribunal fédéral et à Strasbourg

Sociétés secrètes & Franc-maçonneries trichent !

Comment tricher ?


On blackboule !


On met les boules noires chaudes ou froides dans l’urne, ce qui facilite les tricheries !


Chaque frère a reçu une boule blanche et une boule noire. La boule noire exprime le refus : ” blackbouler “, c’est refuser. Une seule boule noire élimine quatre boules blanches. Le dépouillement a lieu sur l’autel du Vénérable par les soins du frère orateur et du frère secrétaire. Le profane ainsi admis attendra souvent plusieurs mois son initiation… Historia hors série 30 ” Les Francs-maçons “



Littérature:



Son frère aîné, qui travaillait l’opinion dans un département du Midi, s’était fait blackbouler (GideSi le grain, 1924, p. 470).




Monsieur Sepp Blatter en sueur – … – doit annoncer un retirage partiel. L’affaire se terminera avec un délégué qui entre dans la machine pour récupérer une boule qui s’était ouverte. Inutile de préciser que la machine à tirage, comme l’ordinateur, ont fini à la poubelle une fois la cérémonie achevée, raconte Fifa Weekly (PDF, en anglais)





Au terme de la procédure, et dans la plupart des rites à l’issue d’une audition sous le bandeau devant la loge réunie, celle-ci décide en toute souveraineté d’initier — ou non — un nouveau membre. En cas de refus, le ou les parrains aident le candidat refusé à analyser ce refus. A moins d’un motif grave, une nouvelle demande peut être introduite au bout d’une période de maturation. On dit parfois de ce candidat qu’il s’est fait blackbouler, le vote des membres de la loge se faisant traditionnellement 
blackbouler à l’aide de boules blanches et noires.


Comment tricher ?


On met les boules noires chaudes ou froides dans l’urne, ce qui facilite les tricheries !


On connaissait les boules chaudes ou froides, un peu moins les boules vibrantes. Selon un ancien arbitre international turc, l’UEFA aurait truqué le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions avec un système de boules vibrantes, afin d’éviter un affrontement entre le FC Barcelone et le Real Madrid dès le prochain tour de la compétition, relate Eurosport.com. « Ancien arbitre international turc, Ahmet Cakar a lancé ce pavé dans la mare. Devenu consultant pour la télévision, il a développé sa thèse sur le plateau d’une émission turque diffusée sur Beyaz TV », précise le site d’information sportive.
Une vidéo publiée par le journal madrilène Marca reprend un extrait de l’émission turque. Les consultants s’interrogent sur un geste troublant de Gianni Infantino, directeur général de l’UEFA, qui pourrait corroborer la thèse de Cakar. « Avant le début du tirage au sort, le président de la cérémonie soulève le saladier contenant les boules et semble appuyer sur un bouton. Ce qui pourrait confirmer l’hypothèse d’un mécanisme pouvant truquer », poursuit Eurosport.com. « Selon celui qui est devenu journaliste à Sabah, les boules utilisées lors du tirage au sort vibrent grâce à un système d’aimants. Et il suffit à celui qui procède de choisir la seule qui ne vibre pas »ajoute L’Equipe.

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/03/21/boules-chaudes-luefa-aurait-truque-le-tirage-au-sort-de-la-ligue-des-champions-selon-un-ancien-arbitre/

Est-il vraiment seulement possible de truquer un tirage au sort ? Intrigué par la polémique, le Philadelphia Inquirer (en anglais) a demandé en 1993 à un illusionniste comment il s’y prendrait : “Rien de plus facile !”, répond Jim Steinmeyer, qui a monté des tours pour David Copperfield. “On peut imaginer que des boules qui changent de couleur selon l’angle de vue, ou changer de texture. Ou alors tout simplement avoir des boules plus lourdes, qui restent dans le fond du saladier.” Avec ces techniques toutes simples, les trois caméras braquées sur le pupitre du maître de cérémonie et les trois auditeurs d’Ernst & Young qui valident le tirage au sort dans la coulisse n’y verraient que du feu…


http://www.francetvinfo.fr/sports/foot/euro-2016-boules-chaudes-bague-aimantee-et-bug-informatique-quand-les-tirages-au-sort-nourrissent-les-theories-du-complot_1213979.html


Valais: Les députés francs-maçons ne se dénonceront pas

12.09.2015 par Pierre Pistoletti


Sion, 12.09.2015 (cath.ch-apic) La proposition de l’UDC d’obliger les députés valaisans à déclarer leur appartenance à une loge maçonnique ou à un club service a été refusée de justesse lors de la refonte du règlement du Grand Conseil, vendredi 11 septembre 2015. Le Parlement a préféré par 55 voix contre 53 un amendement du PLR qui supprime la mention de ces confréries dans le projet de règlement.

Chaque député valaisan se contentera d’indiquer son appartenance aux organes de direction ou de surveillance de corporations, entreprises, établissements ou fondations de droit privé ou de droit public. Les loges et clubs ne seront pas spécifiés.
“Le débat a été parfois tendu, indique le Nouvelliste dans son édition du 12 septembre 2015. On avait déjà senti mardi, lors de l’entrée en matière, que l’on se dirigeait vers un texte édulcoré. Ce sont notamment la majorité des députés du PDC du Bas qui ont fait pencher la balance en faveur du statu quo, votant en majorité pour l’amendement libéral-radical unanimement soutenu par l’Alliance de gauche”, précise le quotidien valaisan.
“Franc-maçons [sic]: Victoire de la loge Alpina au Grand Conseil aujourd’hui….”, ironisait hier Jérôme Desmeules, président de l’UDC Valais sur sa page Facebook. “Econe a donc perdu”, rétorquait le député PLR Narcisse Crettenand, manifestant le clivage qui oppose une certaine sensibilité catholique à la franc-maçonnerie. Le mystère reste donc de mise autour de l’institution, entretenu par Charles Clerc lui-même (UDC) à la base de la proposition. “Les réactions auxquelles on a assisté cette semaine démontrent que les loges n’aiment pas la lumière”, affirmait-il à l’issue du vote. (apic/nf/pp)
https://www.cath.ch/newsf/valais-les-deputes-francs-macons-ne-se-denonceront-pas/


Que faire ?

Interdire au moins le pré-dépouillement illégal et inadmissible vu les graves risques qui permettent les tricheries pendant la ou les nuits, comme à Lausanne


Interdire  le vote par correspondance ou électronique, revenir à une seule journée de vote et dépouiller dans chaque bureau de vote vu tous les risques de tricheries…

Démonstration en direct


Recours final au tribunal fédéral et à Strasbourg



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http://www.barruel.com/







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