I N V I T A T I O N
Au nom du Comité du Cercle International de la Fondation pour Genève,
Madame Florence Notter, Présidente,
vous convie à une conférence-débat exceptionnelle de
Monseigneur Jean-Clément Jeanbart, Archevêque d’Alep,
qui viendra spécialement à Genève depuis Alep pour s’adresser à nous sur
“Le sort et l’avenir des Chrétiens en Syrie et au Moyen-Orient”
le jeudi 8 octobre 2015
à 18h45 précises
dans la salle B106 à l’Université Bastions
Rue De-Candolle, 5 | 1204 Genève
Parking: Uni-Dufour – Transports publics: trams 12, 14, 15 et 18, arrêt PlainpalaisMadame Florence Notter se réjouit de vous voir en cette occasion unique et vous
remercie de vous inscrire à l’adresse suivante:en indiquant précisément votre nom et
prénom ainsi que ceux des personnes qui vous accompagneront.
Le Cercle International de la Fondation pour Genève se réserve le droit de ne pas accéder
à toutes les demandes en raison du nombre limité de places disponibles.Pour le groupe Conférences du Cercle International de la Fondation pour Genève:
Florence Notter, responsable
Zeina Marchettini-Jeanbart, organisatrice
Jenny Megevand, organisatrice
I N F O R M A T I O NSon Excellence Monseigneur Jean-Clément Jeanbart est né le 3 mars 1943 à Alep, en
Syrie. Il est ordonné prêtre selon le rite grec melchite. Depuis 1995 il est Archevêque grec
melchite d’Alep.
Ces quatre dernières années ont été un cauchemar sans fin pour la Syrie et tout son
peuple : guerre, faim, destruction, haine. Plus particulièrement, à court terme, la minorité
chrétienne risque littéralement de disparaître de cette terre. L’archevêque melkite d’Alep
explique la position des évêques avant et durant la guerre, position très critiquée par
certains. Il demande un sursaut à l’Occident afin d’arrêter DAECH et reconstruire la paix,
condition nécessaire pour la reprise.
Fanatiques musulmans dangereux
Allemagne : des réfugiés chrétiens persécutés par des musulmans
«Là où nous sommes règne la charia»
Les premières répliques du séisme migratoire qui secoue actuellement l’Europe se font sentir. Et on peine à y croire. Des réfugiés fuient aujourd’hui l’Allemagne, pour échapper aux mêmes persécutions que celles qui les avaient poussés à quitter leur pays d’origine.
En Bavière, en Saxe ou dans le Brandebourg, les témoignages s’accumulent. De nombreux réfugiés chrétiens en provenance de Syrie, d’Irak ou du Kurdistan subissent intimidations et agressions de la part de réfugiés musulmans. Dans plusieurs centres d’accueil mis en place par les autorités locales, la charia s’applique et les chrétiens – minoritaires – sont victimes de brimades.
Le pasteur luthérien de l’église de la Trinité de Berlin-Steglitz (sud de Berlin) Gottfried Martens témoigne de la situation très précaire des chrétiens dans l’édition dominicale du quotidien berlinois Die Welt du 27 septembre : « Les musulmans très croyants répandent dans les foyers l’idée suivante : là où nous sommes règne la charia. » Et ceux qui souffrent le plus sont les musulmans convertis au christianisme : « Ceux-là ont 100% de chance d’être agressés », précise le pasteur.
La situation n’est pas récente : l’hebdomadaire Die Zeit s’est lui aussi fait l’écho d’agressions et d’une ambiance délétère dans les foyers de réfugiés dès juillet 2014. Voilà plus d’un an, donc, que les autorités allemandes sont conscientes des dangers qui menacent les réfugiés chrétiens. « Il y a une ambiance d’intimidation et d’hostilité envers les chrétiens », explique le prêtre maronite de Francfort Gaby Magea. L’accès aux cuisines communes est restreint pour les chrétiens, traités de « porcs » par certains musulmans, et leurs enfants sont agressés.
La solution proposée par les autorités locales ? Une ségrégation des réfugiés selon leur religion, y compris entre musulmans chiites et sunnites, qui ont importé pour certains leurs conflits sur le sol allemand. Outre-Rhin, des voix s’y opposent, au nom justement de l’asile, et prônent la distribution d’une charte fondamentale des valeurs allemandes, telles que l’égalité entre les hommes et les femmes, la liberté d’opinion ou de religion. Mais sans beaucoup d’espoir que les migrants y adhèrent, comme l’explique dans le quotidien berlinois Max Klingberg, qui travaille depuis 15 ans pour la Société internationale des droits de l’homme : « La situation va empirer, prévient-il. Les agressions sont le plus souvent le fait des Pakistanais et des Afghans, ils sont encore plus islamistes que les Syriens. » Pour lui, l’aveuglement n’est plus de mise : « Il faut arrêter de croire que tous les réfugiés sont des défenseurs des droits de l’homme. Parmi ceux qui arrivent, une portion non négligeable a des croyances d’une intensité équivalente à celle des frères musulmans. » Rien d’étonnant à ce que les témoignages recueillis en Allemagne, au sein même de foyers de réfugiés, se rapprochent de propos tenus par l’Etat islamique.
Les foyers sont désormais devenus des lieux de violence religieuse, et l’Allemagne ne peut plus l’ignorer. A Suhl, en Thuringe (centre du pays), une cinquantaine de demandeurs d’asile sunnites ont organisé ce que le mensuel bavarois Bayern Kurier (édité par le parti conservateur CSU) décrit comme « une chasse à l’homme » contre un Afghan qui avait déchiré des pages du Coran. Dix-sept personnes, donc six policiers, ont été blessées dans l’émeute qu’ils ont provoquée. L’hebdomadaire de gauche Der Spiegel, qui a consacré à cette émeute un article sur son site web, n’a pour sa part pas indiqué la raison de cette flambée de violence.
S’agit-il pour le journal d’entretenir encore un peu l’illusion, alors que l’Allemagne attend désormais près d’1 million de réfugiés d’ici la fin de l’année ? Sur les six premiers mois de 2015, 20% seulement étaient Syriens, 5,2% Irakiens, les autres provenant surtout du Kosovo et d’Albanie (17 et 13%). En 2014, le pays à accueilli deux fois et demi plus de musulmans que de chrétiens. Ces derniers ont donc été rattrapés par la peur. En Allemagne, ils sont de plus en plus nombreux à réclamer d’être hébergés au sein des églises locales. Mais pour certains, l’aide arrive trop tard. Une famille de chrétiens d’Irak a préféré rentrer à Mossoul : des islamistes présents dans leur foyer, à Geissen, les avaient menacés de les tuer et de « boire leur sang » s’ils ne partaient pas, rapporte Die Welt. Et ce départ est sans retour : tout réfugié qui quitte le pays doit s’engager à ne pas demander l’asile une deuxième fois.
*Photo : SIPA. AP21788852_000006
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Publié le 30 septembre 2015 à 9:00 dans Politique Religion
Mots-clés : Allemagne, charia, Chrétiens, migrants, réfugiés
Revenu de Base inconditionnel, UN POUR TOUS, TOUS POUR UN.
La phrase latine Unus pro omnibus, omnes pro uno est inscrite dans la coupole du palais fédéral
“Responsabilité individuelle ? Contrairement aux inquiets, nous la voyons dans la confiance plus que dans la surveillance”
“C’est une utopie! – c’est quoi une utopie ? ” L’ AVS aussi était une utopie qui est bien utile maintenant.
La robotisation est une nouvelle donnée dont il faut tenir compte.
http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/04/revenu-de-base-inconditionnel-reponses.html
“On supprime les assurances sociales – non, au mieux on les simplifie”
Et le financement ?
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/02/initiative-monnaie-pleine-questions.html
Le nouvel argent ne vient donc pas de taxes ou de salaires, mais de la création de l’argent réellement donnée aux banquiers par milliards, voire plus depuis des siècles …
Ces assouplissements quantitatifs doivent être donnés au peuple, pas pour les guerres et les primes pour de plus en plus rares nantis … La nouvelle société suisse pour une véritable démocratie économique, distribuons enfin les revenus du progrès technique, des ressources naturelles, de l’automatisation de plus en plus efficace, grâce à des robots, des ordinateurs et des machines.
Une nouvelle société, les animaux sont libres, c’est à notre tour, les êtres humains libres, libérons-nous des chaînes de la servitude.
L’ automatisation profitera à tous. Partageons la productivité massive, un dividende pour tous les peuples suisses, habitants de tous les États de la Confédération suisse, voici enfin une véritable démocratie économique, grâce aux robots, aux ordinateurs et aux machines.
Nous, Suisses, sommes tous des rois, et le premier devoir d’un roi est de contrôler la création monétaire.
Ils trouvent des milliards et des quadrillions pour des guerres stupides ou des banquiers cupides ( 1500 milliards “donnés” aux banquiers de l’UE par Merkozy…, nous préférons investir ces sommes dans la vraie paix. Donnons un revenu à tous dès la conception et jusqu’à la mort naturelle, les robots travaillent déjà pour nous, sachons monnayer leurs produits et les distribuer à tous, ce qui peut plus que doubler notre PNB. Il y a assez de travaux plus nobles et humains à faire, éduquez nos enfants, écrire, faire de la recherche, de l’art, s’occupez de nos parents, des handicapés, des faibles etc… Laissons aux robots le reste, il est stupide d’avoir des milliards sans limites pour faire des guerres atroces et pas ces mêmes milliards pour faire la paix sociale.
Sachons mieux comprendre nos limites !
http://martouf.ch/document/croissance/250-comprenons-la-croissance-avant-la-decroissance.html
Pour convaincre mon entourage, j’ai besoin de plus d’arguments pour dissiper leurs doutes:
1- Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?
2- L’homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?
3- Est-ce que l’essai dans d’autres pays fut concluant ?
4- Pourquoi certains “socialistes” sont contre ?
5- Inconditionnel ?
1. Alors, on va payer (et forcément attirer) des immigrés ?
Seuls les habitants de la Suisse depuis plusieurs années sont concernés. Par contre, le concept est exportable, ce qui permet de stabiliser les populations, voir en Namibie, Brésil, Madagascar, Togo, etc…
2. L’homme tend vers le fainéantise: comment ne pas engendrer ainsi des profiteurs ?
Matthieu, VI, 26
de Bible
1 citation
« Voyez les oiseaux du ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers et votre Père céleste les nourrit! Ne valez-vous pas plus qu’eux? »
Les hommes veulent des contacts, ils sortiront librement pour des tâches nobles.
Voir ligne directe de ce jour à la RTS, le rentier AI qui affirme qu’il veut travailler…
http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/en-ligne-directe/4823230-un-revenu-universel-de-2-500-francs-inquietant-ou-seduisant-23-04-2013.html?f=player/popup
3. Est-ce que l’essai dans d’autres pays fut concluant ?
Alaska, Brésil, Namibie, Libye que des succès… En Lybie, ils ont fait la guerre pour stopper le succès…
François de Siebenthal: Khadhafi fait mieux qu’Obama, il distribue …
desiebenthal.blogspot.com/…/khadhafi-fait-mieux-quobama…Partager19 août 2009 – Selon le colonel Kadhafi, il n’y a qu’« une seule caisse en Libye », celle qui …. Il criera, au contraire, à l’injustice si on lui refuse son dividende.
4, 5, 6… Plus sur
http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/04/revenu-de-base-inconditionnel-reponses.html
et
Actuellement, voici les sites web francophones suisses qui parlent de Revenu de Base Inconditionnel:
http://rbi-oui.ch => est le site du mouvement plus ou moins informel “Génération RBI” => plutôt mouvement citoyen
http://bien.ch => est le site web de l’association BIEN => plutôt théorie
http://inconditionnel.ch => le site web mis en place par le comité d’initiative et géré par notamment les zürichois.
http://rbi-bge.ch/ => le site web (encore en chantier) de l’association “Campagne nationale pour le Revenu de Base Inconditionnel” qui regroupe différents mouvements suisses qui veulent coopérer pour faire une campagne nationale commune.
Voici une page qui décrit les différents outils informatiques qui sont utilisés pour diffuser l’idée du Revenu de Base Inconditionnel en Suisse… Tu y retrouveras les sites web cités ci-dessus, mais aussi les mailing-listes globales et régionales, les pages et groupes facebook, twitter.. etc… nos agendas…. et quelques ressources…
http://rbi-oui.ch/outils-informatiques/
Snowden joining Twitter
https://twitter.com/twitter/status/648938950812274688/photo/1
Today @Snowden joined Twitter, and here’s the world’s response. pic.twitter.com/d6HgVvdRsf— Twitter (@twitter) September 29, 2015
Feeling a Geek vibe. Edward @Snowden, the man behind the global mass surveillance revelations. Welcome to @twitter.— Neil deGrasse Tyson (@neiltyson) September 29, 2015
.@neiltyson Thanks for the welcome. And now we’ve got water on Mars! Do you think they check passports at the border? Asking for a friend.— Edward Snowden (@Snowden) September 29, 2015
And, Ed @Snowden, glad to see the long exile hasn’t affected your sense of humor. Staying busy?— Neil deGrasse Tyson (@neiltyson) September 29, 2015
Ed @Snowden, after discussing everything from Chemistry to the Constitution on #StarTalk, you’re a patriot to me. Stay safe.— Neil deGrasse Tyson (@neiltyson) September 29, 2015
Meanwhile, a thousand people at Fort Meade just opened Twitter.— Edward Snowden (@Snowden) September 29, 2015
Today @Snowden joined Twitter, and here’s the world’s response. pic.twitter.com/d6HgVvdRsf— Twitter (@twitter) September 29, 2015
Ken Klippenstein is an American journalist who can be reached on Twitter @kenklippenstein or via email: kenneth.klippenstein@gmail.com
Saint-Maurice, 1500 ans d’histoire
L’Abbaye de Saint-Maurice d’ Agaune, 1500 ans d’histoire
Ce documentaire raconte l’histoire de l’Abbaye à travers 15 siècles d’existence, de sa fondation en 515 jusqu’à notre époque. L’histoire de l’abbaye est mise en perspective avec les grands courants de l’histoire européenne dont elle épouse les contours. La narration s’appuie sur des intervenants, spécialistes de l’archéologie, de l’histoire et de l’art médiéval. Ils nous font découvrir les richesses du site archéologique de Martolet, les pièces exceptionnelles du trésor et les archives de l’abbaye, miraculeusement conservées. On y apprend aussi l’exceptionnelle importance du culte de saint Maurice dans l’Europe médiévale. Une production FILMIC et RTS, 2014 – Christian Berrut
Plusieurs fois sur www.KTOTV.com cette semaine, ce vendredi à 20h40, samedi à 19h45 et dimanche à 18h23 , canal 135 sur Citycable à Lausanne ou sur internet.
http://www.ktotv.com/video/00090375/l-abbaye-de-saint-maurice-1500-ans-d-histoire
Autres informations:
Famille de Siebenthal
www.de-siebenthal.com/SITE04.HTM
Jubilé du 1er au 15 août,. à Gstaad, Saanen, G sana, Lô sana, G enf, Lausanne et St Maurice. alias St Moïscha ou encore St Moïse. des familles. de Siebenthal.
François de Siebenthal: 6’666 martyrs, St Maurice…Invitation …
desiebenthal.blogspot.com/…/6666-martyrs-st-mauriceinvitation-au.html
9 sept. 2014 – concélébrée en la Basilique de St-Maurice, retransmise à l’église Saint Sigismond et sur la place du Parvis La Messe est suivie de la
Invitation: Jubilé de St Maurice 21 et 22 septembre 2015 …
https://plus.google.com/…/posts/RTCufEDoLQ3
François de Siebenthal19 sept. 2015 – 21 et 22 septembre 2015 Programme des célébrations religieuses pour la Fête de Saint Maurice et du Jubilé des 1500 ans de la Fondation de l’Abbaye Le 22 …
François de Siebenthal: Invitation: Jubilé de St Maurice
desiebenthal.blogspot.com/2015/09/invitation-jubile-de-st-maurice.html
19 sept. 2015 – Collège de l’Abbaye de St-Maurice – Salle des Humanités Invitation au public … François de Siebenthal: 6’666 martyrs, St Maurice…Invitation .
François de Siebenthal: Invitation: Jubilé de St Maurice
https://plus.google.com/…/posts/DWAzMbr9EUU
François de Siebenthal19 sept. 2015 – François de Siebenthal: Invitation: Jubilé de St Maurice
Le Pape à l’ONU
Le Pape devant l’Assemblée générale de l’ONU
L’usure, exemples http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/lusure-tue-autres-exemples.html
Discours devant le Congrès américain
Visite à des sans abris
Vêpres en la cathédrale de New York
Tout est truqué, 1 million de milliards de dollars ?
1 million de milliards de dollars de produits dérivés de crédit et l’argent du néant même pas imprimé mais simplement “créé” dans les ordinateurs ont rendu les banquiers riches et incroyablement puissants.
Le système bancaire mondial est un gigantesque système ou schéma de Ponzi.
La démographie devient récessive et va précipiter une chute abyssale, la seule solution et la monnaie pleine et le crédit social ou la nouvelle démocratie économique à la suisse… Réveillons-nous, des guerres atroces ou la paix suisse ?
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/le-capital-suisse.html
Démographie : la chute a commencé
Courbe sans tenir compte d’une pandémie.
par simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de Renouvelllement en dessous de 2 ) qui sont à la baisse.
Gravissime crise en Allemagne:
Depuis 1970, le taux de natalité allemand est passé sous la barre des deux enfants par femme, ce qui ne suffit plus à un renouvellement complet d’une population. En 2007, ce taux était de 1,37 et est attendu autour des 1,4 enfant/femme en 2020. On s’attend ainsi à une diminution de la population allemande de 20% d’ici 2060, ce qui pourrait faire passer son nombre de 82 à 65 millions.
Chute démographique couplée à un vieillissement de la population
Cette chute démographique sera accompagnée d’un phénomène de vieillissement de la population, aggravé par l’allongement de la durée de vie moyenne. Sur les mêmes bases de calcul, 34% de la population aura plus de 65 ans (20% de plus qu’en 2009) et 14% aura plus de 80% (5% de plus qu’en 2009).
« Tandis que la part des personnes âgées augmentera, de moins en moins seront en âge de travailler », explique Roderich Egeler dans le rapport publié par l’institut de statistiques. « Cela aura des conséquences pour le système de sécurité sociale » et notamment pour les pensions, ajoute-t-il.
L’amour de l’argent est la racine de tous les maux !
Réveillons-nous !
“L’amour de l’argent est la racine de tous les maux” a déclaré le Pape à l’endroit même où près de 800 Suisses ont été massacrés le 10 août 1792
“L’amour de l’argent est la racine de tous les maux”, a dénoncé Benoît XVI devant plus de 260 000 personnes réunies sur l’Esplanade des Invalides, à Paris, dans la matinée du 13 septembre 2008. Lors d’une grande messe au cour de Paris, le pape a les fidèles à fuir “le culte des idoles” et a lancé un appel “confiant” aux “jeunes qui se posent la question de la vocation religieuse ou sacerdotale”.
“L’amour de l’argent est la racine de tous les maux”, a ainsi affirmé Benoît XVI en reprenant les paroles de l’apôtre saint Paul. “L’argent, la soif de l’avoir, du pouvoir et même du savoir n’ont-ils pas détourné l’homme de sa Fin véritable ?”, s’est demandé le pape devant un parterre d’hommes et de femmes politiques dont le chef du gouvernement français, François Fillon, la garde des Sceaux Rachida Dati, ou encore Bernadette Chirac.
Fuir le culte des idolesDevant une esplanade comble, Benoît XVI a alors appelé les fidèles à “fuir les idoles” créées par “le monde contemporain”. “L’idole est un leurre, car elle détourne son serviteur de la réalité pour le cantonner dans le royaume des apparences”, a-t-il ajouté.
Le pape, près de l’autel réalisé par les jeunes de la Fondation d’Auteuil, a alors mis en garde contre la “tentation d’idolâtrer un passé qui n’existe plus, en oubliant ses carences, tentation d’idolâtrer un avenir qui n’existe pas encore, en croyant que, par ses seules forces, l’homme réalisera le bonheur éternel sur la terre !” “Fuyez le culte des idoles, ne vous lassez pas de faire le bien !”, a-t-il lancé.
“Cette condamnation radicale de l’idolâtrie n’est en aucun cas une condamnation de la personne de l’idolâtre”, a ensuite affirmé Benoît XVI au cours d’une messe très recueillie. “Jamais, dans nos jugements, nous ne devons confondre le péché qui est inacceptable, et le pécheur dont nous ne pouvons pas juger l’état de la conscience et qui, de toute façon, est toujours susceptible de conversion et de pardon”.
Dans son homélie, le pape a également invité les fidèles à “faire usage” de leur “raison” et de leur “foi” pour “parvenir à Dieu”. “C’est le culte des idoles qui détourne l’homme de cette perspective, et la raison elle-même peut se forger des idoles”, a-t-il affirmé. “Demandons donc à Dieu qui nous voit et nous entend, de nous aider à nous purifier de toutes nos idoles, pour accéder à la vérité de notre être, pour accéder à la vérité de son être infini !”
Répondre au ChristDevant une foule composée de beaucoup de familles et de jeunes, Benoît XVI a enfin lancé “un appel confiant en la foi et en la générosité des jeunes qui se posent la question de la vocation religieuse ou sacerdotale : n’ayez pas peur !” N”‘ayez pas peur de donner votre vie au Christ !”, a lancé le pape. “Rien ne remplacera jamais le ministère des prêtres au cœur de l’Église ! Rien ne remplacera jamais une messe pour le Salut du monde ! Chers jeunes ou moins jeunes qui m’écoutez, ne laissez pas l’appel du Christ sans réponse”, a-t-il insisté.
Un chœur majestueux de près de 2000 personnes rassemblant toutes les chorales d’Ile de France avait pris place près du grand podium de bois blanc où 12 oliviers, symboles de paix, avaient été installés.
Comme il est désormais de coutume depuis mai dernier, Benoît XVI a distribué la communion à quelques dizaines de fidèles à genoux et à la bouche.
Plus de 260 000 fidèlesAu début de la messe, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, avait évoqué devant le pape la présence d’un “groupe important de jeunes” qui, tout au long de la nuit, ont rejoint l’Esplanade des Invalides, traçant “dans la ville endormie un chemin de lumière, signe de l’espérance que représentent leur foi chrétienne et leur engagement dans la cité”.
A 3h du matin, près de 60 000 jeunes avaient déjà rejoint le cadre majestueux des Invalides. Au petit matin, près de 45 000 brioches préparées dans la nuit par les boulangers d’Ile de France leur avaient été distribuées.
Plus de 260 00 fidèles ont participé à cette messe sur l’Esplanade des Invalides ainsi que sur une place proche où avaient été installés des écrans géants. La messe à été concélébrée par 1500 prêtres et quelque 90 cardinaux et évêques.
MS
« Ὦ ξεῖν’, ἀγγέλλειν Λακεδαιμονίοις ὅτι τῇδε κείμεθα, τοῖς κείνων ῥήμασι πειθόμενοι »
— Hérodote, 7, 228
« Passant, va dire à Sparte que nous sommes morts ici pour obéir à ses lois. »
” Passant, va dire au monde que les Suisses sont morts pour obéir aux lois de Dieu “
Famille et argent
Généralités
Situation «normale»






Considérations diverses
Encyclique Vix pervenit ( Benoît XIV )
Une absurdité
Doctrine sociale chrétienne
Réveillons-nous, des guerres atroces ou la paix suisse ?
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/le-capital-suisse.html
Aléas moral, banquiers pervers et cupides
Les jeux des banquiers…
Pile ou face ? Face, je gagne, pile, tu perds et tu dois payer par tes impôts, tes primes, tes amendes, la perte de pouvoir d’achat caché dans tous les prix et surtout la dilution de ton vrai argent que je coule avec ma fausse monnaie émise par des dettes à intérêts…
Je fais les lois, j’achète les consciences, les c.. paient les pots cassés, les faibles exploités, tout coûte plus du double, l’immobilier est 80 % plus cher…
De toute manière, je gagne, je privatise les profits et je socialise les pertes, en anglais, c’est plus à la mode… Bail in, bail out, too big to fail
L’aléa moral bancaire illustré par Arthur Rotnik, un casino mondial…
Une personne dispose de 200.000 $. Elle ouvre une banque avec 100.000 $ et s’inscrit au système de garantie des dépôts. La Banque reçoit 900.000 $ en dépôts en offrant un taux d’intérêt supérieur à ses concurrentes.
Les ressources de cette banque s’élèvent donc à 1.000.000 $ (dont 100.000 $ de fonds propres et 900.000 $ de dépôts)
Pour rentabiliser ces ressources, notre banquier se rend dans un casino et mise la totalité des ressources de la banque sur le noir, soit 1.000.000 $..
Puis il place les 100.000 $ dont il dispose toujours par ailleurs sur le rouge..
L’investissement est risqué pour la banque, mais ne l’est pas pour notre banquier actionnaire.
Si le rouge sort, la banque est en faillite et n’a plus de fonds propres Mais avec sa mise personnelle de 100.000 $ sur le rouge, il empoche 200.000 $.
Il n’a plus qu’à recommencer son opération de départ.
En revanche, si le noir sort, il a perdu 100.000 $ mais l’augmentation des fonds propres de sa banque qui atteignent à présent 1.100.000 $ (2.000.000 $ moins 900.000 $ de dépôts) compense très largement cette perte.
Enfin les déposants ne se soucient pas des activités de la banque puisque leurs dépôts sont rémunérés à un taux supérieur à celui des concurrentes, et qu’ils bénéficient d’un système de garantie des dépôts en cas de crise.
2- Dissocier le métier du prêteur du métier de l’émetteur …
prosperite-et-partage.org/spip.php?article139
… excessive des banquiers puisqu’ils peuvent dès lors privatiser les bénéfices et socialiser les pertes, L’aléa moral bancaire fut illustré par Arthur Rotnik.
Le prêteur en dernier ressort – [Prospérité et Partage]
prosperite-et-partage.org/spip.php?article17
… encourage la prise de risque excessive des banquiers puisqu’ils peuvent dès lors privatiser les bénéfices et socialiser les pertes, ce qu’illustra Arthur Rotnik.
Ils trichent systématiquement depuis des siècles… de la fausse monnaie par milliards, qui nous vole tous, sauf eux…
Un dirigeant peut par exemple aggraver son endettement, quitte à augmenter le risque de faillite de son entreprise ; un trader peut prendre des positions non autorisées sur les marchés pour augmenter ses bénéfices et donc son bonus ; etc.
« L’aléa moral, l’un des plus grands dangers pour le capitalisme », affirmait Adam Smith, l’un des pères du libéralisme…
Goldman Sachs aujourd’hui (V) – Le jour où Wall Street paria sur sa propre perte
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Goldman Sachs aujourd’hui (I) – Résultats financiers du second trimestre 2010
Goldman Sachs aujourd’hui (II) – La dénonciation de la supercherie par Michael Lewis
Goldman Sachs aujourd’hui (III) – Se débarrasser de la camelote : le CDO
Goldman Sachs aujourd’hui (IV) – Se refaire : le CDO synthétique
En 2008, en multipliant les paris sur la dépréciation des titres adossés à des crédits subprime, dans une tentative désespérée de se refaire rapidement, Goldman Sachs ne s’était pas contentée de jouer un rôle passif dans la crise mais en avait délibérément démultiplié les effets ravageurs. Les sénateurs américains en feraient la remarque à de multiples reprises aux représentants de la firme qu’ils interrogeaient lors de l’audition du 27 avril 2010 (1).
Était offert à la face du monde le spectacle inédit d’une industrie financière précipitant sa propre perte en pariant sur celle-ci, et démarchant fébrilement pour accepter le pari, des contreparties éventuelles moins pessimistes qu’elle, ces dernières ignorant pour leur part la détermination du secteur bancaire à gagner coûte que coûte, même au prix de sa propre perte, et étant privées du coup de cette information cruciale quant à leurs propres chances de l’emporter. La stratégie adoptée n’apparaît invraisemblable que dans l’optique où il existerait un intérêt collectif de cette industrie financière, or, dans le climat de sauve-qui-peut généralisé qui était apparu, il ne s’agissait plus pour chacune des banques impliquées que de tirer son épingle du jeu avant l’effondrement final.
L’aléa moral est l’encouragement à l’abus inscrit dans un certain type de situations. Or le déroulement de la crise a mis en évidence une multitude de configurations impliquant un aléa moral. Ainsi, la titrisation implique en soi un aléa moral. Dans la titrisation, l’émetteur du titre, qui a accordé les crédits qui sont reconditionnés par paquets de plusieurs milliers selon des critères qu’il a lui-même définis, se défait du risque de non-remboursement en le transmettant à l’acheteur du titre. Son intérêt à lui sur l’opération, ce sont les commissions qu’il prélève au passage. N’étant plus exposé au risque, mais bénéficiant directement de tout accroissement du volume de la titrisation, il est incité à relâcher les critères utilisés dans la décision d’accorder ou non un crédit.
Durant la crise, l’aléa moral a souvent pris la forme suivante : alors qu’une situation est déjà mal engagée, il existe de facto, pour les acteurs impliqués, une incitation – en général financière – à l’aggraver encore. L’exemple typique est celui des firmes définies comme « Too big to fail » : trop importantes pour qu’on les laisse faire défaut en raison du risque systémique que leur défaillance entraînerait : à savoir une généralisation de leur défaut à l’ensemble du système économique. Dans un tel contexte, les opérations les plus risquées de ces firmes sont encouragées de fait puisque, d’une part, ce sont celles qui débouchent sur les plus gros profits (et aussi, bien entendu, sur les pertes les plus sévères) et, d’autre part, le risque pour elles est neutralisé du fait que s’il devait se matérialiser, l’État interviendrait automatiquement pour se porter à leur secours. Dans la situation qui était née lors de la mise au point du CDO et du CDOsynthétique, l’aléa moral atteignait son comble puisqu’il devenait avantageux pour les banques américaines de parier sur l’effondrement de l’industrie du crédit dans le secteur de l’immobilier résidentiel, avec les conséquences que cela pouvait avoir pour l’économie dans son ensemble. De manière révélatrice, quand, en juillet 2010, les parlementaires et les sénateurs américains votèrent conjointement un ensemble de lois censées réformer la finance, le « financial overhaul » long de 2 300 pages, aucune des mesures comprises dans le projet de loi ne visait à prévenir ce type de comportement suicidaire pour l’industrie financière.
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(1) Audition de représentants de la firme Goldman Sachs au sénat américain (I)
Audition de représentants de la firme Goldman Sachs au sénat américain (II)
Audition de représentants de la firme Goldman Sachs au sénat américain (III)
(*) Un « article presslib’ » est libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Paul Jorion est un « journaliste presslib’ » qui vit exclusivement de ses droits d’auteurs et de vos contributions. Il pourra continuer d’écrire comme il le fait aujourd’hui tant que vous l’y aiderez. Votre soutien peut s’exprimer ici.
Urgence: Réduire 12 banques « systémiques ».
Faire le contraire de ce qu’ils veulent faire, déconcentrer AU LIEU DE CONCENTRER.
Les 12 banques systémiques :
Cinq banques américaines: la FED, banque en fait privée, Bank Of America, Citigroup, Goldman Sachs et JP Morgan Chase.
Trois banques britanniques: Barclays, HSBC et Royal Bank Of Scotland.
Deux banques de la zone euro: BNP Paribas et Deutsche Bank
Deux banques soit-disant suisses: Crédit suisse et UBS.
Le Rotary, une annexe de la franc-maçonnerie qui contrôle la justice.
Les acteurs principaux des crises au Rotary…( Swissair, Subprime, bonus…).
UBS, Credit Suisse, Swiss Life, Zürcher Kantonalbank, Axa-Winterthur-Versicherung, die Zürich-Versicherung ou encore KPMG parmi beaucoup d’autres…
Mgr Gianfranco Girotti a rappelé que la Déclaration sur la franc-maçonnerie de la Congrégation pour la doctrine de la foi, approuvée en 1983 par Jean-Paul II, affirmait « que l’inscription aux associations maçonniques ‘demeure interdite par l’Eglise’ et que les fidèles qui s’y inscrivent ‘sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion’ ». Pour le prélat romain, la déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi était « devenue nécessaire » pour mettre fin à l’opinion erronée qui se diffusait parmi les fidèles, selon laquelle l’adhésion à une loge maçonnique était licite.
date : 10/3/2007
De même pour le Rotary Club condamné par le Vatican notamment le 20.12.1950
Naissance du premier Rotary club à Chicago, Illinois. Paul Harris, un juriste franc-maçon de Chicago, envisage une nouvelle forme d’association où les membres pourraient établir des relations d’affaires et nouer des amitiés. Le 23 février 1905, il invite 3 amis à une réunion qui est à l’origine de la création de la plus ancienne et prestigieuse organisation de clubs-service.
Paul P. Harris, avocat, tint la première réunion, en compagnie de trois amis, Silvester Schiele , négociant encharbon, Gustave E. Loehr , ingénieur des mines et Hiram E. Shorey, tailleur. Ils étaient d’origine allemande, suédoise, irlandaise, américaine et représentaient les confessions protestante, catholique et israélite. Deux des quatre fondateurs étaient franc-maçons, P. Harris et Gustave E. Lehr, qui d’ailleurs ne restera membre que très peu de temps avant de retourner à la franc-maçonnerie. Hiram E. Shorey quittera également très vite le Rotary, pour semble-t-il, des raisons professionnelles.
Dans les années 1920, de nombreuses critiques furent dirigées sur le … rôle de ‘façade’ donné par le Rotary à la franc-maçonnerie. Elles étaient majoritairement causées, selon la littérature rotarienne elle-même, par une loge maçonnique de Londres composée de Rotariens.
Dans le même genre, le groupe Palestinien Hamas déclare dans sa charte que le Rotary est son ennemi, au même titre que la maçonnerie et les organisations sionistes.
Ce sont eux qui ont poussé les lois facilitant les aides aux suicides et à l’euthanasie active notamment.
La civilisation de la mort, cause des crises, ce sont eux.
Article du Tagi, traduction.
Juge commercial ? Seulement grâce au Rotary
Par René Staubli. Mise à jour le 01/02/2009
Daniel Schwander
Das Zürcher Handelsgericht und
die branchenspezifische Zusammensetzung seines Spruchkörpers.
Herkunft – Praxis – Kritik
ISBN 978-3-86573-413-6
119 S. 19,80 EUR. 2009
Wissenschaftlicher Verlag, Berlin
Infos
Un livre à lire d’urgence : Mon Banquier,
la crise et moi d’Olivier Magnan
PAR THE WOLF LE 18/10/2009 • ( 1 COMMENTAIRE )
Si ce n’est déjà fait bien entendu car le livre date de Mars 2009 mais il reste hélas tout à fait d’actualité… Voici un ouvrage plein d’humour « noir » au pays des Banquiers, au pays des Banksters Français là ou la vie est plus chère à cause des commissions et des rackets en tout genre sur vos comptes de dépôts pour services plus ou moins bien rendus…
PLUS DE DETAILS EN SUIVANT :
Voici un voyage à l’intérieur même de votre Agence ou vous découvrirez que votre Banquier n’est ni votre ami , ni même un bon conseiller faute la plupart du temps des compétences nécessaires…Juste un bon commerçant payé à la com. pour vous « fourguer » produits bancaires et assurances maisons….Bref vous comprendrez enfin pourquoi en France la monnaie est un bien trop précieux pour que vos finances soient confiées à la seule gestion des Banquiers….
http://www.amazon.fr/Mon-banquier-crise-moi-conseiller/dp/2354170432/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1255881336&sr=1-2 (cliquez sur le lien pour commander le livre)
Faut il nationaliser la Banque, émission c’est dans l’air du 10 mars 09 avec OLIVIER MAGNAN : http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1106 (cliquez sur le lien )
OLIVIER MAGNAN SUR RMC : http://www.rmc.fr/blogs/bourdinandco.php?post/2009/03/10/Olivier-Magnan-decrypte-votre-banquier (cliquez sur le lien)
Mon banquier, la crise et moi
Interview de l’auteur, Olivier Magnan, qui explique pourquoi il ne faut pas toujours faire confiance à son banquier…
Frédéric Lorenzini | 31-03-09 morningstar
Un des chapitres de votre livre débute sur cette interrogation « Puis-je faire confiance à mon conseiller ? »
A priori, on peut difficilement faire confiance à son banquier même si cela n’a rien de systématique. Il faut en effet être attentif à ce qu’il vous propose et ne pas signer les yeux fermés. Tout simplement parce que votre conseiller est d’abord là pour vous vendre des produits financiers comme des autorisations de découvert, des « packages » plus ou moins attractifs, les placements à court ou à long terme, des crédits à la consommation ou immobiliers, etc.
Votre banquier est d’abord là pour vous vendre des produits. En outre il est là dans la majorité des cas pour vous vendre les produits maison, ce qu’il a en catalogue. Quand il met en avant un produit financier, cela ne signifie pas que le produit correspond à votre besoin, cela signifie que lui a un intérêt à vous faire acheter ce produit.
Bref, il faut garder à l’esprit que son banquier n’est pas un tiers de confiance au même titre que le gendarme, le médecin, le notaire ou l’avocat que vous rémunérez pour qu’il soit à votre service !
Quelles sont les chausse-trappes à éviter ?
Le premier piège réside sans doute dans les frais. Les banquiers préfèrent parler de « commissions ». Ce sont souvent de petites sommes qui mises bout à bout finissent par représenter un budget conséquent sur l’année. Alors qu’au sein de l’Union Européenne les frais bancaires que supportent les particuliers s’élèvent en moyenne à 70 euros, la moyenne en France s’établit à 140 euros ! Cela ne tient pas compte bien sûr des intérêts d’emprunt.
Dans ces frais on trouve les agios pour découvert, les différents frais liés par exemple à des virements à ou des incidents de paiement. Ainsi que les divers abonnements que votre banquier vous propose de souscrire dans le cadre de « packages » ou de « conventions ». En réalité ces frais peuvent représenter jusqu’à 80% du PNB (produit net bancaire) de certaines banques. C’est dire s’ils sont importants pour elles.
Depuis février 2009, la réglementation en France fait obligation aux banques de communiquer à leurs clients au moins une fois par an l’ensemble des frais qu’ils ont payé sur la période. Mais pour l’heure, il semble que cette mesure n’ait pas suscité énormément de réactions chez les clients : le Crédit Agricole avait anticipé cette mesure en commençant plus tôt à communiquer cette information à ses clients, la banque fait état de remontées de pas plus de 1% de ses clients.
Il y a un autre élément important qu’il faut avoir à l’esprit, c’est la façon dont votre banquier vous note. Votre « note » va schématiquement de A si vous êtes un très bon client que l’on souhaite garder à D si on a plutôt envie de se séparer de vous ou de vous ficher à la Banque de France.
Mais attention, votre note peut évoluer assez rapidement : vous êtes A aujourd’hui avec une situation confortable et un « potentiel à développer », votre banquier vous chouchoute et vous appelle dès que vous avez de l’argent à placer ou au contraire si une découvert s’annonce. Si 18 mois plus tard votre situation se dégrade, votre note passera à B ou C et là il y a des chances qu’il ne prenne même plus la peine de vous appeler en cas de découvert…
Quels sont vos conseils pour bien travailler avec son banquier
Si le courant ne passe pas avec votre conseiller, essayer d’en changer en discutant avec le directeur de l’agence. Ou même essayer de l’avoir lui comme conseiller : il a un pouvoir de décision plus important et sans doute une vision de la relation à plus long terme alors que les conseillers changent souvent.
Quoi qu’il en soit, il ne sert à rien de s’énerver avec son banquier. Restez courtois, d’abord parce que votre banquier peut vous chasser, décider qu’il ne veut plus de vous comme client ! Cette situation existe et dans le cas, si on a des crédits, il faut procéder à des remboursements anticipés avec le cas échéant les pénalités prévues.
Rester courtois ne signifie pas accepter n’importe quoi, au contraire. Si vous ne comprenez pas quelque choses, les frais qui vous sont prélevés, les placements qui vous sont proposés… dites-le simplement et clairement. De préférence par écrit, en formulant des questions factuelles, l’humour et l’ironie ne vous serviront à rien.
Si vous en avez les moyens, avoir une deuxième banque peut être une bonne chose. Pas tant pour « faire jouer la concurrence », dans ce domaine il faut être un peu fortuné pour obtenir un traitement privilégié, mais pour votre propre confort : savoir qu’on n’est pas pieds et mains liés avec son banquier donne une grande liberté psychologique et permet de dialoguer d’égal à égal avec lui.
Enfin garder à l’esprit que comme avec n’importe quel fournisseur, les relations avec votre banquier ne doivent pas être unilatérales. Certes, il faut se demander si votre banquier vous sert bien, mais en retour il faut comprendre que lui aussi se demande si vous êtes un intéressant pour lui… Imaginez par exemple que vous cherchiez un crédit immobilier, vous faites le tour des banques juste pour connaître le meilleur taux de chacun. Certains banquiers appellent cela un « lapin », un client qui court dans tous les sens et qui ne sera sans doute pas fidèle. On déroule rarement le tapis rouge pour un tel client. Si en revanche vous arrivez avec un dossier bien ficelé, cela rassurera le banquier qui aura alors envie de vous garder.
Si on ne peut pas faire confiance à son banquier, quels conseil alors donner en matière de placements ?
D’abord faites attention aux phénomènes de mode : il y a 2 ans par exemple il fallait acheter de l’immobilier à n’importe quel prix, aujourd’hui on dit qu’il faut attendre, que les prix vont baisser. Même si les prix baissent encore, sur le long terme l’immobilier résidentiel pour se loger représente toujours un bon choix. D’abord parce que l’on a tous la nécessité de se loger ; et aussi parce que la France connaît un déficit de logements et que ce marché est donc structurellement porteur.
Concernant les placements financiers, la règle de base est de ne jamais signer si on ne comprend pas. N’hésitez pas à poser des questions, à votre conseiller mais aussi à des proches, en surfant sur internet, etc. Et si, après cela, la façon dont vous être susceptible de gagner de l’argent avec un placement demeure un mystère… alors il faut savoir passer son chemin.
Ne jamais oublier qu’il n’y a pas de placements miracles : si vous ne voulez prendre aucun risque, il faut opter vers un Livret A ou une autre épargne réglementée (PEL, CEL, LDD, etc). En tout état de cause, un placement dont le rendement est sans surprise ni à la hausse ni à la baisse, de l’ordre de 2,5 à 3,5% par an. Si vous souhaitez obtenir plus, alors il faut prendre des risques et investir dans des fonds actions ou obligataire. Mais attention : un fonds actions peut rapporter 6, 10 ou 15% une année et perdre 6, 10 ou 15% l’année suivante…
Actuellement, les marchés actions ont beaucoup reculé et il est tenté d’y aller ; mais les marchés boursiers peuvent encore baisser. Don si votre horizon de placement est à court terme, de l’ordre de 2 ans dans l’attente de faire un achat immobilier par exemple, il n’est pas raisonnable d’aller sur les actions.
Synonymes de aléas
évènement
événement
aventure
chance
contingence
danger
destin
difficulté
fortune
hasard
imprévu
incertitude
inconvénient
insuccès
malchance
mésaventure
obstacle
péril
péripétie
risque
traverse
Economie, avant, après en 2 graphiques
Le système actuel absurde, toute la monnaie est de la dette à intérêt créée du néant par les banques commerciales, ex nihilo, pour les grands profits de quelques privilégiés, sic
LE PIRE, LA MONNAIE EST DéTRUITE à CHAQUE REMBOURSEMENT, DONC LA POLITIQUE DE RIGUEUR AGGRAVE LES CRISES EN RETIRANT LE SANG DES ORGANISMES ECONOMIQUES, SIC…
Le niveau idéal est le niveau régional, en commençant par le local. Le mondial est trop grand et sous le contrôle des meurtriers…
De façon générale, Helmut Creutz et M. Kennedy nous démontraient, chiffres et tableaux à l’appui, que plus de 40% des coûts proviennent des intérêts qui rentrent dans le prix des produits que nous achetons :
à chaque niveau, les entreprises répercutent le prix de l’intérêt sur leur clients immédiats.
80% de la population paie plus qu’elle ne reçoit
10% reçoivent beaucoup plus qu’ils ne pourraient jamais dépenser même en ayant plusieurs vies.
De plus, Helmut Creutz avait calculé que, du fait de l’ajout du coût de l’intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits …que ceux que nous pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système à intérêt qui s’ajoute à chaque cycle et valeur ajoutée.
La nouvelle situation de 2008-2009 monte ces coûts encore plus hauts, à environ 85 % de surcoût pour les logements…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/11/ecologie-et-creation-monetaire.html
LA SOLUTION.

Remarque liminaire:
Les machines, robots, ordinateurs rendent le “travail humain rémunéré ” (dans chaque industrie) de plus en plus rare, c’est un fait.
Promettre des emplois classiques est un gigantesque mensonge, une promesse impossible à tenir au niveau mondial, et une cause de guerres économiques impitoyables mondialisées.
Ce sont des gaspillages stupides . La seule solution est de promettre des revenus de base et la liberté de créer des emplois nouveaux payés de plus en plus par des robots et des machines.
La politique de plein emploi doit être remplacée par une politique de la liberté de décider quoi faire hors de l’économie formelle pour de plus en plus des gens, parce que l’économie formelle ne nécessite plus le travail de tous les adultes – le revenu de base et le dividende créditiste pourraient être deux choses différentes car le dividende peut changer selon la performance de l’économie et le financement qui est aussi différent.
En effet, l’ oeuvre humaine noble et digne n’est financée ni par les impôts, ni par des versements patronaux, ni par des dettes, car il est financé par la création d’argent nouveau sans dettes.
MONNAIE PLEINE OU VOLLGELD.
Puisque, VU L’AUTOMATION GRANDISSANTE, les salaires ne suffisent pas pour acheter toute la production,
LA BNS 3.0 peut combler la différence par l’émission d’un dividende périodique à tous les citoyens.
VOIR ART.99a du projet monnaie-pleine…
3 Dans le cadre de son mandat légal, elle met en circulation, sans dette, l’argent nouvellement émis, et cela par le biais de la Confédération ou des cantons ou en l’attribuant directement aux citoyens. Elle peut octroyer aux banques des prêts limités dans le temps.
De l’argent est avancé au producteur (industrie) par LA BNS 3.0 OU L’ OFFICE NATIONAL DU CRÉDIT OU LES BANQUES CANTONALES, pour la production de nouveaux biens, ce qui amène (flèche de gauche) un flux de produits étiquetés avec des prix et (flèche de droite), des salaires distribués aux employés.
La rencontre des consommateurs et des produits se fait chez le marchand, et lorsqu’un produit est acheté (consommé), l’argent qui avait été avancé au début de la production de ce produit retourne à sa source,
LA BNS 3.0, ayant ainsi accompli sa fonction et terminé sa course dans le circuit financier, puisque le produit a atteint le consommateur.
En tout temps, il y a une égalité entre les moyens d’achat entre les mains de la population, et les prix à payer pour les biens consommables mis en vente sur le marché.
La création monétaire est actuellement volée (sic) par le système bancaire.
L’ écart entre les prix et le pouvoir d’argent est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts, nous voulons au contraire le remplir par la création d’argent nouveau sans dettes à travers le dividende et l’escompte.
Les guerres mondiales et les récentes crises bancaires prouvent la création possible de masses monétaires en vue de gaspillages honteux et polluants… Créons ces masses (sans dettes) pour la paix sociale et la civilisation. Libérons-nous des chaînes de la rareté…
Pour être clair, nous soulignons aussi que l’argent pour la production sous un système créditiste pourrait être dans certains cas de l’argent dette, mais sans intérêts, au profit de tous.
C’est seulement le dividende et l’escompte qui seraient créés sans aucune dette pour équilibrer le cycle monétaire et l’écart actuel entre les productions automatisées et le pouvoir d’achat toujours insuffisant vu l’automatisation qui ne donne plus de salaires aux machines et robots.
VIVE LA ROBOLUTION ou ROBOT-SOLUTION AVEC DE VRAIS DIVIDENDES à TOUS.
Créons ces masses pour la paix sociale et la civilisation.
Libérons-nous des chaînes de la rareté…
LE DIVIDENDE POUR TOUS EST UN REVENU DE BASE INCONDITIONNEL, RBI, QUI DéPEND DE LA ROBOTISATION ET DU PARTAGE DES INVENTIONS ET BREVETS DEVENUS PUBLICS.
Réveillons-nous, des guerres atroces ou
la paix suisse ?
http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/07/le-capital-suisse.html
Les dix stratégies de manipulation de masses
Ces stratégies ont été décrites par Cody Goodfellow dans son livre
« Silent Weapons for quiet wars ».
1/ La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité,
délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? «Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles»
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
« Cette société durera, avec ses souffrances et ses injustices, tant et aussi longtemps qu’on prétendra que les engins de mort créés par les hommes sont limités, que la Terre est inépuisable et que le monde est une poubelle sans fond. A ce stade de l’histoire, il n’y a plus qu’une alternative. Ou bien la population prend sa destinée en main et se préoccupe de l’intérêt général guidée en cela par des valeurs de solidarité ou bien c’en sera fait de sa destinée tout court. »
Message d’un lecteur du blog (24/04/12) : Pardonnez-moi mais c’est une erreur factuelle grave que de porter le mérite du travail d’un intellectuel à un autre.
Plusieurs sites internet donnent le mérite à Chomsky qui a écrit des livres qui traitent du sujet comme dans Necessary Illusions, il n’a jamais développé clairement les 10 stratégies comme Cody Goodfellows.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Silent_Weapons_for_Quiet_Wars
Silent Weapons for Quiet Wars
Sommaire
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Présentation[modifier | modifier le code]
Contenu[modifier | modifier le code]
Origine du document[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- http://maps.google.fr/maps/place?cid=2322856245722862415 [archive]
- http://www.paranoiamagazine.com/vandykeletters.html [archive]
- *Lettre soi-disant de l’intéressé [archive]
- http://web.archive.org/web/20101102132300/http://www.dfi.wa.gov/sd/orders/SDO-045-99.pdf
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Silent Weapons for Quiet Wars, avec les diagrammes
- Behold a pale horse, William Milton Cooper, Light Technology Publishing, 1991
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Version complète, en anglais, avec les diagrammes : http://www.lawfulpath.com/ref/sw4qw/index.shtml
- Version française, sans diagramme