TF, recours RFID, délai très urgent, Fr 2’000.- au 2 juillet 2009.

TF, recours RFID, délai très urgent, Fr 2'000.- au 2 juillet 2009.

Vu leur refus d'accepter les plaintes collectives, les 500 recours seraient facturés 500'000 Fr au niveau fédéral, qui s'ajoutent aux frais cantonaux.

Il y a 5 recours au TF, dont un pour Vaud et un pour Genève, sans oublier BS, ZH et ZG.

Nous avons besoin d'aide pour tous ces frais et nous vous prions de bien vouloir nous aider en versant ce que vous pouvez à la

Fédération des Familles pour LA FAMILLE

COMPTE RAIFFEISEN HAUTE-BROYE-JORAT NO 40217.27, CLEARING 80451,

CCP DE LA BANQUE RAIFFEISEN, CCP 10-8060-7, COMPTE 40217.27 au nom de la Fédération des Familles pour la famille.

ou au compte de chèque postal du
Oui
à la Vie
CCP 10-15133-5

Merci pour vos dons toujours les bienvenus.

Le Tribunal fédéral facture Fr 1’000.- par recours


Très urgent, délai au 2 juillet 2009.

Vu leur refus d’accepter les plaintes collectives, les 500 recours seraient facturés 500’000 Fr au niveau fédéral, qui s’ajoutent aux frais cantonaux.

Il y a 5 recours au TF, dont un pour Vaud et un pour Genève, sans oublier BS, ZH et ZG.

Nous avons besoin d’aide pour tous ces frais et nous vous prions de bien vouloir nous aider en versant ce que vous pouvez à la

Fédération des Familles pour LA FAMILLE

COMPTE RAIFFEISEN HAUTE-BROYE-JORAT NO 40217.27, CLEARING 80451,

CCP DE LA BANQUE RAIFFEISEN, CCP 10-8060-7, COMPTE 40217.27 au nom de la Fédération des Familles pour la famille.

ou au compte de chèque postal du
Oui
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CCP 10-15133-5

Merci pour vos dons toujours les bienvenus.

“La téléphonie mobile rend-t-elle fou et malade ?”

"La téléphonie mobile rend-t-elle fou et malade ?" Elles ont envahi nos lieux de vie, dans les boutiques elles ressemblent à des champignons blancs d’une taille de 25 à 30 cm montées sur les barres d’éclairage des tubes néons, . . . se sont des antennes relais UMTS 3G.  
D’autres modèles plus petits de 15 à 20 mm d’épaisseur servent aux transmissions sans fil (WiFi).
Ces mêmes types d’antennes relais peuvent être trouvés par exemple notamment dans le métro de Stockholm et dans les grands centres commerciaux.
Maintenant en ville il est constaté des niveaux d’irradiation mesurés par exemple dans la galerie d’Hamngatan à Stockholm qui sont de 200 000 µW/m² soit 8,6 V/m.
Ce niveau de densité de puissance d’irradiation artificiel HF micro-ondes est 2000 fois plus élevé que
les recommandations du groupe scientifique BioInitiative pour l’intérieur des bâtiments soit 0,194 V/m (100 µW/m²).

Dans la vaste zone commerciale des magasins Gekas à Ullared, après un rapide inventaire 6 à 8 sites d’antennes relais ont été trouvés.

En sus, des antennes relais sont mêmes installées dans des boutiques !!
On trouve en plus d’autres antennes émettrices/réceptrices au plafond ou contre les murs, notamment de type DECT pour les téléphones sans fil des employés et d'autres antennes de 5 à 10 cm d’utilisations inconnues.

 
L’insouciance face aux irradiations est totale puisque Gekas a même créé dans la zone commerciale une grande aire de jeux pour enfants
à seulement 50 mètres d’antennes relais.

Toujours à  l'extérieur dans les allées de la zone commerciale de Gekas trois autres antennes relais sont installées.

 
Zoom > click . . . . . . . . . . . . . . . . Zoom > click . . . . .
A l'entrée de la zone commerciale deux autres sites d’antennes relais de téléphonie mobile sont visibles sur les toits des magasins et restaurants. Cerise sur le gâteau empoisonné, Il y a aussi sur une petite colline mitoyenne de la zone commerciale à Ullared deux pylônes avec de nombreux sites de bases d'antennes relais et autres en interconnections avec des faisceaux de liaisons Hertziennes de RH en fréquences GHz.

Des mesures seront réalisées ultérieurement dans la zone commerciale des magasins Gekas par le collectif "Mobilstralning i Sverige" afin de montrer qu’elles sont les valeurs des rayonnements auxquels les gens sont exposés.

 
Zoom > click zones
  "La téléphonie mobile rend-t-elle fou?" Depuis peu une statue en bronze de Göran Karlsson (1939-2004)
propriétaire-fondateur de la chaine des magasins Gekas vient d’être installée à l’entrée de la zone commerciale.

Cette statue de Göran Karlsson le représente en train de téléphoner avec un téléphone mobile.

Il faut savoir que Göran Karlsson est mort d’une tumeur au cerveau qui n’a pas pu être soignée ni par chirurgie, ni par radiothérapie.

 
Göran Karlsson qui était à l’époque un grand utilisateur de téléphone mobile avait conscience de l’origine de sa tumeur au cerveau.

Les gens se souviennent de lui comme étant une personne qui utilisait souvent un téléphone mobile, mais aujourd’hui il serait considéré comme un utilisateur normal !.

Nous sommes bien loin des critères irréels utilisés de la définition de gros consommateurs par l’étude internationale Interphone, soit 260 heures d’utilisation en 46 mois, ce qui correspond à . . .  11 minutes 30 par jour.

 
 
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Suède : "la téléphonie mobile rend-t-elle fou ?" – Toutes les Next-up News / All Next-up News: www.next-up.org/Newsoftheworld/2009.php
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Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
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à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
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Caritas in Veritate, la charité dans la vérité

Angelus de Benoît XVI, le pape annonce la signature de Caritas in Veritate  

Le  29 juin 2009  – (E.S.M.) – Le Pape Benoît XVI annonce la parution toute prochaine de sa troisième Encyclique, au terme de la prière de l'Angelus en cette Solennité de Saint Pierre et Saint Paul. L'Encyclique a pour titre : "Caritas in veritate.", et porte la signature du 29 juin 2009.

Le pape Benoît XVI Angelus de Benoît XVI, le pape annonce la signature de Caritas in Veritate Le 29 juin 2009  – Eucharistie Sacrement de la Miséricorde – Aujourd'hui, solennité des Saints Pierre et Paul, le pape Benoît XVI a célébré dans la basilique Saint-Pierre la messe solennelle au cours de laquelle, il a remis aux évêques métropolitains nouvellement nommés le pallium, symbole de leur ministère. A l'issue de la messe, lors de la prière d'Angelus, il a annoncé lui-même la sortie imminente de l'encyclique tellement attendue

Chers frères et sœurs !

Aujourd’hui, nous célébrons solennellement les saints Apôtres Pierre et Paul, Patrons spéciaux de l'Église de Rome : Pierre, le pêcheur de Galilée, qui « a été le premier a confesser la foi dans le Christ… et constitua la première communauté avec les justes d'Israël » ; Paul, l'ancien persécuteur des chrétiens, « qui éclaira les profondeurs du mystère… le maître et docteur, qui annonça le salut à toutes les nations » (cfr Préface de la Messe d'aujourd'hui)…Dans une de ses homélies à la communauté de Rome, le pape saint Léon le Grand affirmait : « Voici tes Pères et tes vrais Pasteurs, qui t'ont fondée afin que tu sois introduite dans le Royaume céleste » (Sermon I, in Nat. App Petri et Pauli, PL 54, 422). A l'occasion de cette fête je voudrais adresser une salutation chaleureuse et spéciale, avec mes souhaits fervents, à la communauté diocésaine de Rome, que la Providence divine a confiée à mes soins, en tant que Successeur de l'apôtre Pierre. J'étends volontiers cette salutation à tous les habitants de notre métropole et aux pèlerins et aux touristes qui la visite en ces jours, également en concomitance avec la clôture de l'Année Paulinienne.

Chers frères et sœurs, que le Seigneur vous bénisse et vous protège par l'intercession des saints Pierre et Paul ! En tant que votre pasteur, je vous exhorte à rester fidèles à la vocation chrétienne et à ne pas vous conformer à la mentalité de ce monde – comme l'écrivait l'Apôtre des gentils, justement aux chrétiens de Rome – , mais à vous laisser toujours transformer et renouveler par l'Evangile, pour suivre ce qui est vraiment bon et agréable à Dieu (cf. Rm 12,2). C'est pourquoi je prie constamment afin que Rome garde vivante sa vocation chrétienne non seulement en conservant inaltéré son immense patrimoine spirituel et culturel, mais aussi afin que ses habitants puissent traduire la beauté de la foi reçue dans des façons de penser et d'agir concrets, et offrent ainsi à ceux qui, pour différentes raisons, viennent en cette ville, une atmosphère chargée d'humanité et de valeurs évangéliques. C'est pourquoi, avec les paroles de saint Pierre, je vous invite, chers frères et sœurs, disciples du Christ, à être des « pierres vivantes », assemblées autour de lui, qui est la « pierre vivante rejetée par les hommes mais choisis et précieuse devant Dieu » (cf. 1 Pi 2,4).

La Solennité d'aujourd'hui revêt un caractère universel : elle exprime l'unité et la catholicité de l'Église. Voilà pourquoi tous les ans, en cette date,  les nouveaux Archevêques Métropolites viennent à Rome pour recevoir le Pallium, symbole de communion avec le Successeur de Pierre. Je renouvelle par conséquent mes salutations aux Frères dans l'Episcopat qui ont accompli ce geste ce matin dans la Basilique et aux fidèles qui les ont accompagnés. Je salue aussi avec une vive cordialité, la Délégation du Patriarcat de Constantinople, qui, comme tous les ans, est venue à Rome pour la célébration des Saints Pierre et Paul. Que notre vénération commune de ces Martyrs soit le gage de communion toujours plus pleine et ressentie parmi les chrétiens de chaque partie du monde. Invoquons pour cela l'intercession maternelle de Marie, Mère de l'unique Église du Christ, par la récitation  traditionnelle de l'Angelus.

Paroles du Saint-Père après la prière de l'Angelus

La publication de ma troisième Encyclique, qui a pour titre Caritas in Veritate, est maintenant proche. En reprenant les thématiques sociales contenues dans Populorum Progressio, écrite par le Serviteur de Dieu Paul VI en 1967, ce document – qui porte la date précisément d'aujourd'hui, 29 juin, solennité des saints Apôtres Pierre et Paul – entend approfondir quelques aspects de développement intégral de notre époque, à la lumière de la charité dans la vérité. Je confie à votre prière cette nouvelle contribution que l'Église offre à l'humanité dans son engagement pour un progrès soutenable, dans le plein respect de la dignité humaine et des exigences réelles de chacun.

Le pape Benoît XVI s'adresse aux pèlerins francophones

En ce jour de la fête des saints Apôtres Pierre et Paul, je suis heureux d’accueillir les pèlerins francophones présents pour la prière de l’Angélus. Ce matin j’ai eu la joie d’imposer le pallium aux nouveaux archevêques métropolitains, signe de leur lien particulier de communion avec le Successeur de Pierre. Que l’intercession des Apôtres Pierre et Paul nous obtienne à tous de grandir dans cette communion et de demeurer fidèles à l’Évangile au service duquel ils ont travaillé, chacun selon la grâce reçue, pour rassembler l’unique famille du Christ. Avec ma Bénédiction apostolique.

Texte original du discours du Saint Père ANGELUS

  Regarder la vidéo en  Italien ou en Français Sources : www.vatican.va –  (© traduction E.S.M.)
© Copyright 2009 – Libreria Editrice Vaticana

Eucharistie sacrement de la miséricorde (E.S.M.) 29.06.09 – T/Benoît XVI

Caritas in veritate – Charity in truth – bears the date of the feast of Sts. Peter and Paul, June 29

The social encyclical of Pope Benedict XVI ” Caritas in veritate ” – Charity in truth – bears the date of the feast of Sts. Peter and Paul, June 29, but will become public later on, most probably July 6 or 7, for the G8 and Obama’s meeting in Italy.

Some key points:

“Without truth, without trust and love for what is truthful, there is no conscience or social responsibility, and the social action falls under the control of private interests or logics of power, with destructive effect on society, even more on a society in way to globalization, in difficult moments like the current ones,” the Pope will say in “Caritas in veritate,” …

Economy cannot be left to self-regulation.

“In the midst of the new international economic, commercial and financial context,” the Pope suggests an international new paradigm that should stick coherently to the principles of subsidiarity and solidarity, should be aimed at achieving the common good and committed in fostering an authentic integral human development, inspired by the values of Justice, Charity and Truth.”

Pope Benedict highlights from the beginning that “the charity of justice in truth, which Jesus Christ has shown to us along all his earthly life and, above all, with His death and resurrection, is the main resource at the service of the true development of each individual human being and humanity as a whole.”

Crisis have been sparked by “a deficit of ethics in the economic structures.” A total reform of the current system, therefore, requires “a common code” based on “the truth from both faith and reason,” capable of providing “the light through which the human intelligence arrives to natural and supernatural truth of charity.”

We need the “social responsibility of private companies,” but will underscore that “true development is impossible without honest men, without financial operators and politicians who strongly feel in their own consciences the call for the common good.”

Pay attention to the “ecologic health of the planet,” and remind that “the duties we have to the environment are connected to the duties we have toward the human person”, because “the first capital to be protected and cherished is the human person in its integrity since conception, i.e. fertilization.”

See quotes Paul VI’s Populorum progressio, which in 1967 denounced the gap between rich and poor countries, and Humanae vitae in criticizing abortion and contraception,”

The encyclical says that “openness to life is at the core of every true development,” and regarding the ambiguous policies aimed at “reducing the need for abortion” by means of other social policies, the Pope warns that “if personal and social sensibility toward the welcoming of a new life is lost, even other forms of welcoming (life) useful to social life become fruitless.”

The encyclical urges to global injustice, especially world hunger.

“Charity in truth requires an urgent reform to confront courageously and without hesitation the great problems of injustice in the development of the nations,”, “food and water are universal rights,”

The World Super State which would provide everything, absorbing everything into itself, would ultimately become a mere bureaucracy incapable of guaranteeing the very thing which the suffering person–every person–needs: namely, loving personal concern”

The Greek word Oikonomia – from which the word “economy” comes – means the rule or management of the oikos, the home: “the development of all nations depends above all in recognizing that we are one single family.”

“It is the Church’s duty to denounce the fundamental errors that have now been revealed in the collapse of the major American banks. Human greed is a form of idolatry that is against the true God, and is a falsification of the image of God with another god, Mammon. We must denounce this courageously, but also concretely, because grand moralizations are not helpful if they are not supported by a familiarity with reality, which helps us to understand what can be done concretely. The Church has never simply denounced evils, it also shows the paths that lead to justice, to charity, to the conversion of hearts. In the economy as well, justice is established only if there are just persons. And these persons are assembled through the conversion of hearts.”
Pope Benedict XVI and President Barack Obama will meet on July 10, a much-anticipated Vatican audience. Those key points will be discussed before his travel to his “home” country in Africa…During his trip to Africa, the president will pass over Kenya, where his father was from, in favor of Ghana, the shelter of W.E.B. Du Bois who had come here as a special guest of President Kwame Nkrumah.


Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal

Dividend or royalty?

Social Credit inherited term "dividend" but it confuses. Dividend is a
part of profit and should be deducted from profit. It means that we
first must realize profit (count our productive activity with double
entry accounting paradigm) to could have dividend from it.

But from the SC philosophy what is postulated is not a dividend but a
royalty taken from the organizational structure of society as a whole.
We citizens all are co-authors and transmitters of that organizational
structure and, as co-authors (and probably as "means of exchange"), we
are entitled to royalty, being a percentage of sold production, meaning
GDP. We allow that production to happen – sometimes by doing nothing to
stop it, sometimes giving our synergetic add value to the processes.

Royalty is contracted before production happens. How do you estimate
royalty due to you, citizenship?

I estimate it at 1/3 of my GDP. generously speaking 33%.;)

Kristof Levandovski

Robots and money ? A+B bureaucracy !

And who should start real reforms, if not America? 

Switzerland is producing now a lot of robots, and sell them all over the world, spec- to Japan.

Men plus robots can lead us to a better world.

I think A+B is not a theorem, rather it is a diagnosis. Technology gives
us more products for less work, especialy when improved by modern
standards of teleinformatics. How to buy what we produce?
That wise Douglas’constatation is contradicted by present obsertvation
that eighty years after we work more instead of less.
Why?

Because we are unable to learn how to pay people without their work.

We are immersed in the paradigm of “money for work” and to change that
global view, new paradigm should be established in all social spheres,
not only in economy.

On the other hand, working model for new economy could be a trigger for
wider new paradigm developments, mostly in education for creativity not
slavery.
Are we, as civilization, able to open eyes for our new possibilities to
partially free ourselves from our work duty? Maybe…
Now, sadly speaking, our potentially growing freedom is substituted by
growing bureaucracy and police control because we don’t know how to
practically implement National Dividend in a globalized world, where
efficiency is very high. How to pay people for not being policemen or
officers. Are we not paying ourselves?

There are other questions which brings our time, not imaginable in times
of Douglas. Should we have accountants and fiscal offices any more? In
the age of informatics? I seriously doubt. The world with no fiscal
crimes is really possible.

And who should start real reforms, if not America?

Kristof Levandovski

Dear Kristof,

Orthodox “economics” presents as an axiom that the act of production
provides sufficient income for the total product to be bought.  So
much for this axiom.  Social Credit challenges it and denies it.  The
Social Credit “axiom” is that this orthodox contention is not true.
The real economy embraces the processes of production and consumption–
pursued according to some humanly conceived desires.  The more power
to make decisions about the allocation of a nation’s resources becomes
centralized, the more “political” the economy will become because
consumer desires are more likely to be ignored or minimized.
Production should respond in a genuine economic democracy to broadly-
based consumer demand which may not of course be based on pure
science.  It is the business of producers to pursue science so that
they are enabled to deliver, at minimum cost with adequate volume and
quality,  to consumers the goods and services they want  as expressed
by their “money votes” or purchasing patterns.  Unfortunately the
present defective financial system starves the economy increasingly of
effective purchasing-power.  This gap makes citizens insecure and
dependent and governments step in to spend more and more thus gaining
control of the deployment of real resources while removing individual
choice as to production policy.  The political process thus become
more and more pervasive with governments establishing economic
policy.  This is no accident, but the outworking of deliberate policy
designed to weaken all lesser elements of society, including local
governments and nations driving them inexorably into larger and larger
political and economic alliances and politico-economic unions–moving
progressively toward an evermore repressive world state from which
there will be refuge for no individual.   Government will be so remote
and entrenched that virtually no effective action to influence it will
be possible for ordinary citizens. Financial reform as advocated by
Social Credit would effectively reverse this trend by restoring to
individuals and lesser governments increasing financial independence
and ability to function with autonomy.  This is why Social Credit is
so vigorously opposed by the established power structure–those
misguided idealists, or hypocrites, who seek, or pretend to seek, the
solution of man’s problems in establishment of a World State.  (Those
who foolishly look “toward the ends of the earth.”)

Sincerely
Wally

The young people want
a new financial system
They want to benefit from the
fruits of modern technology
français
The young people desire a new financial system; they wish to profit from the fruits of the rich heritage of the real wealth that was given to them by past generations. The heritage of indebtedness that the old financial system has loaded onto their backs does not interest them.
Louis-Marie Roy, 24 years old, is the son of Robert Roy, a sculptor and Pilgrim of St. Michael from St. Jean-Port-Joli, Que. At his employment, Louis-Marie took courses to obtain a college certificate in supervision. The professor asked his students to write an essay on automation. Louis-Marie wrote the following text, and received the mark of 5/5.
by Louis-Marie Roy
Nowadays, new technology is present more and more in industry. But too often, the replacement of man by the machine brings discontent among the persons who are replaced. The introduction of a machine means the loss of jobs. Those who are laid off say, “How will I get the products made by the machine, as I do not receive a wage?” But this reflection is due to looking at the problem from the wrong direction. 
The replacement of man by the machine in production should be an enrichment, which delivers man from worries that are purely material, and would permit him to do other activities. Let us say, for example, that I spend about thirty minutes a day washing dishes after meals. If, one day, I decide to buy a dishwasher, I would not worry about what I would do with that extra thirty minutes. No, I know what I would do with my free time. If, on the contrary, the replacement of man by a machine is the cause of worries and privation, it is simply because we refuse to adapt our primitive financial system to this progress.
Why is the present financial system primitive and outdated? To explain it, I will make a simple comparison.
Imagine a primitive world without any technology, where the strength of each and every person is required to produce the goods necessary for the welfare of each person. In this world, a financial system like the present one, where the remuneration is directly related to employment, is justifiable because all the members of this society receive a wage for their work, and it permits them to procure the goods they produce.
On the other hand, imagine a world (fictitious, but possible just the same) where a person would not need to work to produce the necessary goods for the welfare of another, a world where the machine, and only the machine, is capable of furnishing goods. This world, even if it is fictitious, is very desirable. All men would be free and able to do the activity that they prefer without the worry of production. But in this world, the remuneration would be distributed in ways other than in the form of a salary, because man would not participate in production. The remuneration would be distributed in an equitable way in the form of a dividend. This dividend would be justifiable because technology is a common heritage.
No one can deny that technology is a human heritage that belongs to each and every person, because it is the past generations that brought us this technology, which should be at the service of man, and not man at its service. It is a heritage for us, in the same way as solar energy, the formidable power of the waterways that provide us with hydro-electronic dams, the power of the wind, the soil that furnishes us with an abundance of fruits and vegetables, et cetera, are.
Because we live in a world where technology and human effort unite forces in the production of goods, it is desirable that man be paid, in part, with a salary for his efforts in the process of production, and the other part with a dividend for the effort of technology and the machine.
Some will ask: “But who will pay for this dividend?” This dividend should be provided by our governments, and not by our taxes. The Government should take back its right to create the money necessary for the smooth running of the economy; to create money instead of borrowing it with interest from the private banks. Borrowing at interest only has the effect of creating an unpayable debt, because the Government must return more money than it borrowed from the banks.
The public debt in Canada has risen today to over five-hundred billion. Yet, today, Canada is without a doubt richer in goods than it was before the arrival of the first European settlers about four-hundred years ago. After these valiant people planted the cross in the soil, they began to develop Canada. And after them, their successors for three centuries improved the agriculture, made roads, bridges, and industries, All of this lineage of workers should certainly ot have left Canadians to live in the twentieth century with only a heritage of debts. . .
It is the primitive and dishonest financial system that we need to correct and adapt to technology. Then we could applaud the arrival of automation in our industry, instead of complaining about it.
                                                                                                 Louis Marie Roy
This article was  published in the January-February, 2004 issue of “Michael”.
We need a new form of “credit” money (non-interest bearing). 

The new production of goods is done mainly by robots, money is only tickets to allow distribution as a real economical democracy.


Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
Suisse, Switzerland

Michael Jackson…En 2007, il a 270 millions de dettes, à un taux d’intérêt de 20 %», résume le New York Times

Michael Jackson, abuseur abusé…

«En 2007, il avait 270 millions de dettes, à un taux d’intérêt de 20 %», résume le New York Times

Croissance des intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5 de 1946 à 1990, sur le dos des pauvres et de certains riches comme Michael Jackson…

Le gouvernement a emprunté ces 37 milliards $ à un taux réel de 1 043 % ( plus de mille pour-cent ), voir ci-dessous…

Entre 1946 et 1990, aux Etats-Unis, les revenus d'intérêts sont passés de 3,6 à 14,7% du revenu des particuliers; le PNB réel s'est accru dans une proportion de 1 à 3,8 alors que le PNB monétaire a augmenté selon un rapport de 1 à 25,7, si bien que l'indice de déflation du PNB a grimpé dans une proportion de 1 à 6,8; les salaires se sont élevés dans une proportion de 1 à 27,1; toutefois, les recettes publiques ont augmenté selon un rapport de 1 à 33,9 et les intérêts nets dans une proportion de 1 à 259,5 (sic).

Si de nombreux économistes ont écrit au sujet de la « poussée des salaires »,

la « poussée des intérêts et des impôts » n'est jamais mentionnée dans les manuels d'économie…

Dans son rapport de novembre 1993, le vérificateur général du Canada disait que sur la dette nette de 423 milliards $ accumulée par le gouvernement canadien de 1867 à 1992, seulement 37 milliards $ avaient été dépensés pour des biens et services, alors que le reste (386 milliards $, ou 91% de la dette) consistait en frais d'intérêt, ce qu'il a coûté au gouvernement pour emprunter ce 37 milliards $ (c'est comme si le gouvernement avait emprunté ce 37 milliards $ à un taux de 1043%!). En novembre 1995, une étude du Mouvement Desjardins arrivait à la même conclusion: sur la dette fédérale de 543 milliards $ en date du 31 mars 1995, 487 milliards $ (ou 90%) sont le résultat d'intérêts composés. En d'autres mots, le capital dépensé pour des biens et services a déjà été remboursé plus de dix fois! Tout cela pour démontrer que tout intérêt demandé sur de l'argent créé, même à un taux de 1%, est de l'usure, un vol, une injustice. dette des Etats-UnisLa dette des Etats-Unis suit la même courbe que celle du Canada, mais avec des nombres dix fois plus gros: Comme c'était le cas pour le Canada, les premières hausses significatives de la dette publique des Etats-Unis ont eu lieu durant les périodes de guerre: Guerre Civile américain (1861-65), Première et Deuxième Guerres mondiales. De 1975 à 1986, la dette est passée de 533 milliards $ à 2073 milliards $. En 2004, cette dette atteint les 7000 milliards $. Pour la même période, 1975-1986, la dette du Canada a donc augmenté plus rapidement que celle des Etats-Unis (9,3 fois pour le Canada, contre 3,8 fois pour les Etats-Unis). L'explication: les taux d'intérêts étaient plus hauts au Canada durant la même période. Qu'est-ce qu'un milliard? Quand nous parlons de millions et de milliards, nous parlons de très grosses sommes, qui sont peut-être difficiles à se représenter: Il y a un milliard de secondes, la première bombe atomique n'avait pas encore fait explosion. Il y a un milliard de minutes, le Christ était encore sur la terre. Et pour dépenser un milliard de dollars, un client devrait dépenser 100 $ à la minute pendant 19 ans. Mais quand nous parlons de la dette des États-Unis, ce n'est pas de milliards qu'il faut parler, mais de milliers de milliards, ou trillions (1 suivi de 12 zéros). En 1986, la dette des Etats-Unis était de 2 trillions $. 2 trillions de billets de 1 $ placés bout à bout feraient 186 millions de milles de long (300 millions de kilomètres), soit de la terre au soleil aller-retour. Si une personne avait à dépenser 2 trillions $ à un taux de 1900 $ à la minute, cela lui prendrait 2000 ans. En 1981, lorsque la dette des Etats-Unis atteignit le cap du premier trillion de dollars, le Président Reagan illustra ce chiffre par cette comparaison: «Si vous aviez dans votre main une pile de billets de 1000 $ de seulement 4 pouces (10 cm) de hauteur, vous seriez millionnaire. Un trillion de dollars représente une pile de billets de 1000 $ de 67 milles (107 kilomètres) de hauteur.» La pointe de l'iceberg Si les dettes des gouvernements représentent des sommes énormes, elles ne représentent que la pointe de l'iceberg: en plus des dettes publiques, il existe aussi les dettes privées (individus et compagnies)! Ainsi, en 1994, la dette totale du Canada était de 2800 milliards $, avec moins de 600 milliards $ d'argent en circulation. Et et 1992, aux Etats-Unis, la dette publique était de 4000 milliards $ (4 trillions $), et la dette totale, 16 trillions $, avec seulement 950 milliards $ d'argent en circulation. service de la detteLe service de la dette En 1996, le gouvernement canadien a dépensé 49 milliards $ pour payer l'intérêt sur la dette, soit environ un tiers des revenus du gouvernement. Pour financer cette dette, le gouvernement émet des obligations, dont la très grande partie est achetée par les banques et autres institutions financières.  Concernant la vente de ces obligations aux banques, le gouvernement est un vendeur imbécile: il ne vend pas ses obligations aux banques, il en fait cadeau, puisque ces obligations ne coûtent absolument rien aux banques, car elles créent l'argent pour les acheter. Non seulement les banques obtiennent ces obligations pour rien, mais elles en retirent de l'intérêt (payé par les taxes des contribuables). Marriner EcclesWright PatmanEst révélateur sur ce sujet l'échange qui eut lieu entre M. Wright Patman (photo de gauche), Président du Comité de la Chambre des Représentants des Etats-Unis sur la Banque et le Numéraire, et M. Marriner Eccles (photo de droite), Président de la «Federal Reserve Board» (Banque centrale des Etats-Unis), le 30 septembre 1941, au sujet de la création de 2 milliards $ par la «Réserve Fédérale»: Patman: «Où avez-vous pris l'argent pour acheter ces 2 milliards $ d'obligations du gouvernement?» Eccles: «Nous les avons créés.» Patman: «Avec quoi?» Eccles: «Avec le droit d'émettre du crédit, de l'argent.» Patman: «Et il n'y a rien d'autre en arrière, sauf le crédit du gouvernement.» Eccles: «Nous avons les obligations du gouvernement.» Patman: «C'est exact, le crédit du gouvernement.»  La solution: un argent sans dette créé par la société Cela nous met sur la piste de la solution au problème de la dette: si les obligations sont basées sur le crédit du gouvernement, pourquoi le gouvernement a-t-il besoin de passer par les banques pour faire usage de son propre crédit?  voir aussi: Thomas Edison Ce n'est pas le banquier qui donne la valeur à l'argent, mais le crédit du gouvernement, de la société. La seule chose que fait le banquier dans cette transaction, c'est d'apporter une écriture, des chiffres, qui permettent au pays d'utiliseer sa propre capacité de production, de faire usage de ses propres richesses. L'argent n'est pas autre chose que cela: un chiffre. Un chiffre qui donne droit aux produits. L'argent n'est qu'un signe, une création de la loi (Aristote). L'argent n'est pas la richesse, mais le signe qui donne droit à la richesse. Sans produits, l'argent n'a aucune valeur. Alors, pourquoi payer pour des chiffres? Pourquoi payer pour ce qui ne coûte rien à fabriquer? Et puisque cet argent est basé sur la capacité de production de la société, cet argent appartient aussi à la société. Alors, pourquoi la société devrait-elle payer les banquiers pour l'usage de son propre argent? Pourquoi payer pour l'usage d'un bien qui nous appartient? Pourquoi le gouvernement n'émet-il pas directement son argent, sans passer par les banques?

dette du Canada
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie,
selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
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Pollution www.m-c-s.ch
L'EFF utilise le ruban bleu pour symboliser leur défense de la liberté d'expression

Bataille d'héritage et cash misère
Libération – Paris,Paris,France
«En 2007, il a 270 millions de dettes, à un taux d'intérêt de 20 %», résume le New York Times. BAE refourgue ses créances douteuses à Colony Capital,

L’ économie devenue folle. Héautontimorouménos…

Héautontimorouménos. Le cancer économique.
Le banquier Stern arrachait les dents de chats vivants…
Le sado-maso économique poussé à la folie…Mais il y pire…L’héautontimorouménos désigne en effet l’individu qui se fait le bourreau de lui-même. La société s'est faite bourreau d'elle-même…
La libéralisation et les innovations financières devenues folles ont changé la donne. Devenus courtières des marchés financiers, les banques vendent des crédits basés sur de l'argent venus du néant ( ex nihilo ) plutôt que de les assumer jusqu'à leur échéance. Voici révélée notamment une extrême fragilité systémique d'un "monde" qui, à force de transférer les risques, les a massivement multipliés et sous-évalués.

Ces crises mettent en évidence la place démesurée prise par des irresponsables obsédés et leur affranchissement des instances de contrôle. Libéralisme licencieux, déréglementation, désintermédiation et titrisation sont des gouffres d'une dynamique de destruction de l'économie, pourtant vitale pour ceux qui en meurent.L'humanité se détruit elle-même…Héautontimorouménos. Le cancer économique.La seule solution, le crédit social ou l'économie festive. On sait en effet assez bien analyser les problèmes et proposer des solutions possibles.

Exemple de processus de détermination des causes et de la dynamique des problèmes

Fort de ses compétences techniques et, éventuellement, en faisant appel à des experts, on se livre à une analyse du problème et de sa dynamique. Différents critères permettent cette analyse :

  • Nature : en quoi consiste le problème ?
  • Causes : à quoi faut-il attribuer le problème ? Dans quelles conditions est-il apparu et quelles en sont les causes ?
  • Contexte : quelle est la situation initiale sur les plans social, politique, écologique, etc. ?
  • Mesures déjà prises : quelles sont les mesures qui ont déjà été prises à l’échelon cantonal/communal, au niveau fédéral et sur le plan international ? Pourquoi les effets qu’elles ont eus sont-ils insuffisants ? A-t-on procédé à des évaluations de ces mesures et, dans l’affirmative, quelles conclusions en a-t-on tirées ?
  • Dynamique : peut-on observer une évolution du problème (caractéristiques périodiques, régularité) ?
  • Durée : le problème est-il durable ou temporaire ?
  • Effets : qui ou quoi est touché par ce problème et dans quelle mesure ?
  • Recoupements : avec quels autres domaines et activités de l’Etat le problème se recoupe-t-il ?
  • Conséquences d’une non-intervention : que se passerait-il en cas de non-intervention ? De quelle manière et dans quelle mesure cela aurait-il des effets dans d’autres domaines (personnel, finances, etc.) ?

Au besoin, développer des scénarios

Il arrive fréquemment que l’on développe des scénarios, c’est-à-dire différentes hypothèses sur l’évolution du problème et sur le champ d’intervention. Cette manière de procéder permet de mieux prendre en compte les incertitudes qui planent sur cette évolution et, lors de l’évaluation des différentes solutions possibles, les risques et les chances que peuvent présenter des stratégies bien déterminées.

Résultat

On dispose maintenant d’un document écrit définissant le problème (complété, au besoin, par un graphique).Il servira de base pour la rédaction du chapitre « Contexte » du rapport explicatif, puis du message à l’appui d’un éventuel projet de loi.La définition du problème servira, en outre, de base pour les étapes ultérieures que sont la définition des objectifs et la recherche de solutions. Le processus législatif peut aussi être interrompu lorsqu’on est en droit de supposer que la société, le secteur économique, ou les autres collectivités de droit public (cantons, communes) sont à même de venir à bout du problème par leurs propres moyens et dans un délai utile. La définition du problème peut également déboucher sur d’autres mesures à caractère non normatif (actes matériels, changement de pratique, etc.) ou des réglementations contractuelles.
On sait donc poser les faits, les analyser, tenir compte du principe de subsidiarité et des corps intermédiaires, faire des plans par étapes et analyser les écarts au fur et à mesure…
Mais on oublie trop souvent l'importance des fêtes qui doivent marquer régulièrement les étapes importantes de la Vie.

La France veut travailler le dimanche ou le lundi de Pentecôte, Le CHUV à Lausanne interdit de fêter Noël…

Alors qu'au moyen-âge, on fêtait plus de la moitié de l'année.

C'est notamment cet oubli qui rend les hommes fous.

http://www.gl.admin.ch/fr/gesetz/phase-de-conception/definir-le-problme/etapes.html
L'homme est devenu la démesure de toute chose. .

Héautontimorouménos…

par Audrey Roig

L’héautontimorouménos désigne l’individu qui se fait le bourreau de lui-même. … BaudelaireSi ce terme est très peu usité dans le langage courant, il n’en demeure pas moins le titre d’au minimum deux grandes œuvres littéraires. Ce fut le poète latin Térence qui, le premier, utilisa ce mot, pour désigner l’une de ses tragédies. Nous sommes alors au début du IIe siècle avant J.C. Un père refusant l’amour de son fils pour une jeune fille du nom d’Antiphila, ordonne au jeune homme de s’en aller. Mais le temps passant, le père comprit l’erreur commise : il avait chassé son fils, que ce père soit alors puni de ne jamais le revoir. Pour se châtier de cet acte effroyable, il s’inflige de vivre dans les conditions les plus dures. L’on se souvient aujourd’hui encore de la tragédie de Térence par ce vers devenu célèbre : « Homo sum ; humani nil a me alienum puto » (v.77) que nous pouvons traduire par « Je suis un homme et je pense que rien d’humain ne m’est étranger» . Le second auteur est beaucoup plus proche de nous, temporellement. Il s’agit de Charles Baudelaire, avec son célèbre poème Héautontimorouménos publié dans Les Fleurs du Mal (1857). Là encore, le narrateur s’identifie à un véritable bourreau, comme en témoignent ces quelques vers « Je suis la plaie et le couteau ! | Je suis le soufflet et la joue ! | Je suis les membres et la roue, | Et la victime et le bourreau ! ». Certains se rappelleront de ce poème étudié en secondaire, tandis que d’autres se remémorent en cet instant peut-être la mélodie de Léo Ferré qui l’a mis en musique. Un délicieux mélange, qu’on ne se lasse pas d’écouter… (Dessin de Laurent Paturaud)
Ecoutons les poètes

http://www.myspace.com/lesfleursdumalsuiteetfin

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