Groupement Bénévole sans frontière. |
Travaille sans fake news. |
Affaire Maudet, car oui c’est bien une affaire. Quand c’est un élu du peuple qui ment, ou qu’il vienne d’un ou plusieurs juges civils, qui organisent des divorces, sans y êtres invités, par l’un ou l’autre des époux, c’est un mensonge, qui est encore plus virulent quand ces juges, disent à l’épouse que c’est son mari qui demande ce divorce, alors que ce pauvre mari ne sait plus qu’il est marié depuis de nombreuses années. Le mensonge devient d’une dimension inquiétante, dans un Etat de droit, quand il est reconnu que ces juges violent l’article 115 du code pénal suisse (puni d’office) et que c’est pour un motif égoïste que les spécialistes du droit utilisent cet article plutôt que l’appliquer, pour leurs propres intérêts ? ont-ils une caisse noire, tout prête à le croire. Violer la loi quand on est juges c’est gravissime et surtout dans un pays comme la Suisse, qui dit-elle se veut garante des Droits de l’homme, nous ne la croyons pas, surtout quand les juges instigateurs sont en parfaite collusion avec les avocats qui ne veulent pas défendre les intérêts de l’épouse, Juges et avocats, violent encore une fois l’Etat de droit… Il était juste est normal, que Monsieur Maudet, chargé du dicastère de la justice genevoise au moment des faits, soit saisi par nos soins et informé du dysfonctionnement majeur de la justice de son canton, une procédure civile ne pouvant être diligentée que par celui du couple qui a ses facultés cognitives intactes et en aucun cas par des tiers qui connaissent le discernement aboli du mari. (voir dossier) Qu’a fait Monsieur Maudet ? et bien rien, pour lui tout est normal.. Nous sommes bien dans un vol organisé de nos retraites, oh pas celles de n’importe quel citoyen, mais celles des classes moyennes. De fil en aiguille, nos experts du droit ce sont aperçus, que le motif égoïste était prévu dès le début de la procédure et que la nouvelle loi sur le divorce avait été conceptualisée pour ce vol de nos retraites pour de facto priver l’épouse du fonctionnaire de son droit à la retraite, prévue pour Elle en cas de veuvage, en faisant d’Elle une femme divorcée par l’Etat elle ne touche rien, même pas ce qui est prévu. Nos spécialistes ont rapidement mis en exergue l’omniprésence du parti Libéral-Radical, parti de Monsieur Maudet et de Monsieur Olivier Jornot procureur général au Ministère public du canton de Genève (lieu où le mari de notre bénévole a eu son bureau dans cette juridiction pénale, pendant de nombreuses années et a connu plusieurs procureurs en sa qualité de greffier-adjoint) Monsieur Jornot fera répondre à la plainte pénale déposée par l’épouse que c’est du civil, ce qui est bien sûr faux. |
Notre Groupement a perdu confiance et en Ces Messieurs et en leur parti politique, qui va trop loin dans sa détestation des classes moyennes. Nous les avons démis de leurs fonctions. |
Le Parquet genevois ouvre une enquête à l’encontre de Monsieur Maudet. Le Parquet vaudois ouvre une information sur le voyage en Russie de Monsieur Broulis. C’est très bien pour la forme, mais depuis que nous savons que les juges (et certainement les Procureurs, sinon Monsieur Jornot aurait instruit la plainte pénale de l’épouse sans restrictions) jugent selon leur sensibilité politique, nous pouvons douter que (prévenus et juges qui sont quatre libéraux-Radicaux n’iront pas au fond du problème) et que le bon peuple subira une nouvelle fois une procédure arrangée, classée, non lieu etc. |
Une chance pour Messieurs Maudet et Broulis, eux ils ont obtenus un avocat pour défendre leur cause, pas notre bénévole… |
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Notre Groupement soutient l’initiative fédérale, afin que les juges fédéraux soient tirés au sort. Nous souhaitons même étendre le procédé à toutes les juridictions. |
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Nos bénévoles ont lus pour vous et ils vous recommandent le livre de circonstance: |
Nos très CHERS ÉMIRS. |
de Christian CHESNOT et Georges MALBRUNOT |
Chez Michel LAFON |
Non aux juges étrangers
GROUPEMENT SANS FRONTIERE. |
Site sans fake news. |
Expatriée en Norvège depuis 1977, ma famille a plaisir à lire les journaux suisses, même si nous en prenons connaissance quelquefois des semaines après leurs parutions. Aujourd’hui, nous apprenons la mort du matin, ce petit journal de format, pouvait être parfois grand dans son contenu, révélant des informations que toute bonne Démocratie doit à ses citoyens. Nous avons le regret que notre petit journal, avant de mourir, n’ait pas accédé à notre demande impétrante de notre Groupement de bénévoles, d’informer le peuple sur le fonctionnement délétère de la justice suisse, envers les classes moyennes, qui diligente des procédures unilatérales en divorces, de facto pour ne pas payer le 2me pilier à une veuve, par abus de faiblesse sur celui du couple, que les juges connaissent pour avoir le discernement aboli et pour un motif égoïste, que l’article 115 du code pénal punit d’office, mais quand ce sont des juges suisses qui exploitent cet article, rien ne se passe. Même les Cours de justice Européennes laissent faire. (voir notre dossier) |
Tout au long de cette procédure, il a été mis en exergue, la soumission de la justice suisse au parti politique Libéral-Radical. La France a ses barbouzes, la Suisse a sa justice de classe, qui n’applique pas le Droit et les lois aux classes moyennes, que le parti a en exécration, mais au moins en France, le délit sort, dommage que le Matin ne l’ait pas aidé à sortir en Suisse, l’affaire serait passée, l’épouse du fonctionnaire divorcée par des juges sans scrupule, aurait retrouvé son état civil et les prérogatives qui vont avec. Nous aurions voulus donner les noms des journalistes, dans ce média et dans d’autres, qui ont fait la sourde oreille, mais l’épouse nous a demandé de ne pas le faire, comme elle nous a exhorté, de ne pas nommer les avocats qui ont joués un rôle prépondérant dans ce dossier, soit celui qui s’est laissé mandater par la Cour de justice, en disant à l’épouse que c’est le mari, qui diagnostiqué à 61 ans, atteint du syndrome de KORSAKOFF, ignorait qu’il était marié… la base légale pour une action en divorce est au moins de se rappeler que l’on est marié, ce qui n’était pas le cas chez ce mari fonctionnaire. Soit les 24 maîtres, qui ont refusé de défendre les intérêts de l’épouse. |
Nous sommes bien dans une arnaque judiciaire, sans précédent, qui va se répéter chez d’autres couples suisses et européens, les Cours de justice de l’UE n’entrant pas en considération. En matière de Droit de l’homme, il y a mieux, beaucoup mieux… Quand à ma famille, elle divorce d’avec le PLR, ce parti où c’est le grand-père de 75 ans qui a dû quitter son poste de travail à 63, pour incapacité à le tenir, qui décide unilatéralement, (aidé par des juges) d’une modification de l’état civil de son épouse, dans le but de la paupériser, lui qui ne connaît plus sa situation familiale. |
Ce dossier établit clairement le motif égoïste, de quoi pouvons-nous nous attendre, dans un canton, pays qui se veulent capitale du suicide assisté? |
Faire de la politique sans partis, c’est le seul moyen d’éviter les ententes cordiales entre gauche et droite, qui n’ont qu’un but rester au pouvoir encore et encore, sans trop se soucier de ce que veut le patron qui les paye, le peuple. |
Le Groupement soutient l’initiative populaire, qui est à signer jusqu’au 15 novembre 2019. Nous regrettons, qu’elle n’englobe pas le tirage au sort de tous les juges cantonaux et qu’elle n’envisage pas des juges indépendants des partis politiques, ou autres philosophie. |
Pour une raison évidente, nous disons NON AUX JUGES ÉTRANGERS. |
Trahisons, taxes & Cie
Groupement bénévole sans frontière. |
ne travaille pas avec des fake news. |
Je fais ce que je dis, il n’a jamais dit qu’il voulait la mort du service public. |
Macron nous a trahi, comme il a trahi Hollande et les socialistes. |
Pourquoi Macron ne prend-il pas dans les poches des grands patrons. Ah c’est vrai ce sont eux qui l’ont mis en place. |
Macron est un tueur et cela ne passe pas en Démocratie. |
J’attends le jour où Macron nous dira, c’est quoi le service public? |
Les Suisses sont des grands faiseurs de lois, mais les juges ne les appliquent pas. |
Je déteste sa façon de s’exprimer, je je je. Il oublie qu’il a des ministres. |
Macron se prend pour Emmanuel 1er, il devrait se souvenir comment a fini le dernier roi de France. |
Toute sa démagogie se trouve dans son mouvement En marche ou EM, Emmanuel Macron. |
Nous soutenons tous ceux qui descendent dans les rues pour défendre leurs places de travail ou leurs retraites, le parti libéral-radical vous vole vos retraites et il vous contraint au divorce pour y arriver. |
Il devrait savoir que les grandes entreprises travaillent pour les dividendes et non pour les places de travail. |
Je me mords les doigts d’avoir cru qu’il était capable de faire de la politique aussi de gauche. |
Qui a vu comme moi les cornes que faisait Macron, sur une photo réalisée à la Maison Blanche, qui m’informera sur ce signe diabolique? cela voulait-il dire, vous êtes tous des cocus, par ma faute? |
Macron nous noyaute tous, ainsi que l’UE. |
Tous les soupçons sont légitimes sur la fraude des urnes au Conseil d’Etat genevois, quand on sait que la justice de ce canton est patronnée par le parti libéral-radical. Celui qui a été écarté du vote des électeurs, Barthassat, aurait dû vérifier que les urnes opaques n’étaient pas déjà confortablement garnies d’enveloppes fictives. Voir le dossier. |
Quel effort demande-t-il au 4,40 ? |
Il faut que les gauches arrêtent leurs guerres d’égos et s’entendent pour défendre les citoyens bouffés par Macron, n’est-ce pas Messieurs Mélenchon et Ruffin. Ne nous décevez-pas svp. |
En supprimant les taxes d’habitations qui reviennent aux communes, Macron le fait sciemment dans le but de les étrangler et de leur dire, – Vous voyez, il faut privatiser leurs gestions, ce que veulent les droites. |
Quand il n’y a plus assez d’argent, on baisse les salaires des élus et pas celui des infirmières. |
Supprimer l’Etat est le but de Macron & Cie. |
On a toujours l’impression que Macron prend des décisions seul et l’on se demande à quoi sert le parlement, si il passe en force par ordonnances ? |
D’ailleurs, il veut réduire le nombre des députés, ce serait une bonne idée, si ils étaient remplacés par des citoyens hors sérail des partis, ils n’auraient à rendre des comptes qu’au peuple, çà, c’est des la vraie Démocratie. |
La proportionnelle est une invention pour les partis politiques et ne favorise en rien la Démocratie, bien au contraire. |
Petit à petit les partis politiques se sont mis en porte-faux avec les citoyens, tellement ils se sont crus supérieurs. |
Si les entreprises veulent partir, laissons les, mais elles doivent savoir avant de partir ce qu’elles devront payer au peuple, quand elles voudront rentrer au pays. Bon voyage… |
Plus flexible, plus mobile, plus ceci, plus cela, égal, plus soumis au patronat. |
Tous en piste pour l’indépendance de la politique, non contents de nuire au peuple par leurs consensus, que les gauches perdent toujours, ils nous mentent. |
Macron aurait pu contredire ce que l’on dit de lui et montrer qu’il n’était pas le Président des riches, en participant au cortège des travailleurs français et non nous raconter qu’il se préoccupe de tous les travailleurs, ce sont les nôtres qui nous intéressent d’abord et Trump l’a compris, la France d’abord et ensuite nos milliards aux polonais. |
Les droites européennes, sont mures pour euthanasier les personnes vulnérables. |
Le rôle du Président et de rapatrier les papers et de les partager aux peuples. |
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Suisse: le peuple souverain genevois a renouvelé ses autorités, mais sait-il qui, il a élu ? Quand on fait de la politique, la sphère privée est réduite et c’est, on ne peut plus normal, le patron, le peuple, doit exiger la transparence pour tous les candidats. |
On nous a dit que la candidate PLR était divorcée du père de ses enfants et qu’il était le fils de l’ancien Conseiller d’Etat Guy Fontanet et nous avons eu droit à un curriculum vitae très fouillé. |
Je n’ai pas lu que le MCG Poggia est musulman? |
Je n’ai pas lu que le socialiste Apothéloz est homosexuel? Ce n’est pas ainsi que les partis politiques, redonneront confiance en leurs élus et leurs programmes. |
Quand j’entends Mélanchon, je ne suis plus convaincu, qu’il n’est pas lui aussi un ersatz de EM=Emmanuel Macron. |
Pierre Maudet est le très conventionnel soldat du PLR. Qui peut croire que son parti, qui exploite la justice en Suisse, ne savait pas qu’une enquête pénale était en cours au moment des élections à l’encontre de ce magistrat, qui se représentait au Conseil d’Etat genevois, personne n’y croit et ce parti a bien trompé le peuple de ce canton, qui l’a élu dès le premier tour, son élection doit être invalidée. |
Je doute fort que la nouvelle formation politique soit en mesure de satisfaire le peuple souverain, en voici les raisons: le dossier que nous avons été contraints de mettre en ligne, faute d’avoir été traité par le Droit et les lois suisses et celles de L’UE, a mis en exergue que la justice suisse, n’est pas neutre, mais qu’elle est orientée par le parti fort du moment, le PLR et comme ce parti n’aime ni l’Etat, ni les classes moyennes, il ne voit aucun inconvénient à exiger que ces classes sociales qu’il abhorre, en mettant en place une loi anticonstitutionnelle qui est résurgente de la répudiation (cette loi, à notre connaissance, n’a pas été votée par le souverain, dit que celui d’un couple séparé depuis deux ans, peut demander le divorce et l’obtenir sans autres forme de procès la réalité est que c’est la justice suisse, qui se substitue aux couples, de fait, à celui qu’elle connaît incapable de discernement, mais cette loi dit aussi qu’il faut être capable de discernement et se souvenir que l’on est marié, pour demander le divorce, Les juges PLR n’en n’ont cure, c’est là où le bât blesse et humilie, les juges PLR de la Cour de justice genevoise, en pleine connaissance du discernement aboli d’un ancien employé du parquet (époux de notre bénévole no 137, heurtent à sa porte et lui extorquent sa signature unilatérale en divorce. (le syndrome de Korsakoff, diagnostiqué à 61 ans chez ce fonctionnaire retraité, ayant contraint le corps médical à enjoindre son épouse à faire une séparation légale, ce père et mari, ne sachant plus dans quelle époque il vivait, ni même les prénoms de ses enfants etc. (nous vous invitons à vous documenter sur la maladie) ce qui est plus qu’un détail, les mêmes juges initiants de la procédure, ont été des collègues, toute hiérarchie professionnelle respectée et ceux qui ont éxigés, que ce malade et ancien collègue prenne sa retraite à 63 ans afin d’éviter une enquête administrative, ils ont aussi été repèrés à la Cour supérieure de la magistrature, cette Cour étant l’organe de contrôle des juges dont nous nous plaignons,(cherchez l’erreur) ce n’est pas tout, la Cour de justice, organisatrice de divorces, ne trouvera rien d’anormal à ce qu’à 75 ans, ce mari sans ressources intellectuelles, décide que sa femme doit divorcer, alors que pour lui même, il ne décide rien et depuis des décennies. Nous sommes bien loin des responsabiltés individuelles prônées par le PLR, quand il confère à l’Etat la liberté de décider qui et quand les fonctionnaires doivent divorcer pour un motif égoïste, puni d’office par l’article 115 du code pénal, mais quand on est juges PLR on se permet tout et le procureur du parti dira que c’est du civil, ce qui est faux (je ne suis pas certain que dans mon pays, il n’y aurait pas eu sanction) |
Bien sûr pour arriver à ce niveau de bassesse, il y a un motif, en faisant de l’épouse une femme divorcée et non veuve, elle perd tous ses droits à la retraite… dans quelles poches cette retraite ira-t’elle? nous sommes en droit de douter qu’elle restera à la caisse de pension. |
Ce dossier est tellement incroyable dans une Démocratie, telle que celle voulue par la Suisse, que nous avons demandé à un Arrêtiste et à deux détectives privés d’enquêter sur ce dossier. Ils sont formels, tout est conforme à la réalité et c’est bien le PLR, par l’intermédiaire de ses juges, qui est à l’origine du dossier. Il faut absolument que la justice ne soit plus en mains libérale. |
Les bénévoles qui rédigent ces messages, ne votent pas tous en Suisse, parce que nous ne sommes pas tous suisses. Mais le dossier qui nous a sidéré, nous implique directement dans la défense des droits de l’homme, totalement inexistants. Les genevois ont tout à craindre, que d’autres divorces voulus par le PLR, se modulent à l’ombre des Etablissements médicaux sociaux, où séjourne celui du couple atteint de démence, due à l’âge… |
Le parti libéral radical mène par le bout du nez la justice suisse et il est soutenu par les Cours de justice de l’UE, alors oui l’UE tue. |
Et que dire, de ce vieillard qui n’a plus de famille pour veiller sur lui, ce parti qui est capable de mettre un terme à un mariage, pour motif égoïste, qui devrait être puni par la loi suisse, pourrait aussi pour le même motif, ordonner d’euthanasier en catimini, certaines personnes. Nous faisons entière confiance, aux soins infirmiers, mais, quand c’est un juge qui ordonne… |
La décadence suisse, est un volontariat politique et européen. |
Oui il faut et rapidement lancer une initiative populaire, pour mettre un terme aux privatisations qui appauvrissent les peuples et les volent de ce qui leurs appartient. |
Il faut même et vite déprivatiser tout ce qui rapporte aux collectivités publiques. |
Ils préfèrent rogner sur les retraites, sur les salaires, la longévité?avec le procès voulu par le PLR, pour ne pas payer la retraite à une épouse de fonctionnaire, ce parti n’hésite pas à la contraindre au divorce, par abus de faiblesse sur son mari, que les juges connaissent pour avoir le discernement aboli et que le procureur général PLR, lui aussi dira que l’article 115 du code pénal susse, c’est du civil, il doit refaire sa basoche. Alors ce n’est plus de l’utopie, pour le même motif, ce parti, par le biais de ses juges, qui jugent selon leur sensibilité politique, ordonnera, sous couvert d’une nouvelle loi, anticonstitutionnelle, le dépôt du produit miracle qui endort, les personnes vulnérables qui vivent hors de leurs familles et, sans qu’elles s’en rendent compte, elles seront euthanasiées par le pouvoir politique, et il sera dit à la famille, il est mort, mais elle ne saura jamais comment. Le scandale bien caché sortira un jour, parce que tout se sait tôt ou tard, mais prévenons, le suicide assisté par l’Etat suisse, en n’accordant pas nos confiances, aux partis, qui se ressemblent tous et créons celui universel, qui respecte les classes moyennes et ne les contraindra pas au divorce ou à l’euthanasie… |
Les partis politiques, sont de véritables prédateurs des classes moyennes, dégageons-les. |
La force d’un parti politique, est celle que l’électeur veut bien lui donner, mais attention aux fraudes des urnes, ils sont imbattables dans le domaine. (voir dossier) |
Le vice Président du PLR, nous dit qu’il ne savait pas qu’une enquête pénale était en cours, contre son poulain Maudet, au moment des élections cantonales genevoises et bien encore une fois, ce parti nous ment. |
Tous pourris ? je ne sais pas, mais tous des menteurs sûrement. |
Quand on sait que le Parquet qui a diligenté cette procédure Maudet est géré par un procureur PLR, il n’aurait rien dit à son parti qui l’a mis à ce poste et à qui il doit allégeance, ils nous prennent pour des jocrisses et nous n’en sommes pas. |
Il faut aussi se rappeler, que c’est ce parquet qui dit que l’abus de faiblesse, c’est du civil… |
Ce que nous pressentons, est que le Parquet n’a pas pu fermer les yeux sur cette affaire Maudet, à cause des pressions de gauches, qui pour une fois et nous les félicitons, se sont affirmées, mais elles vont par la suite êtres pragmatiques et accepter un non lieu ou toute autre bêtise servant à disculper ce magistrat qui est, qu’il le veuille ou non un menteur, comme Cahuzac, et nous ne voulons pas donner le pouvoir et êtres représentés par de telles personnes, fussent-elles des génies, des éléphants des vieux de la vieille en politique, la confiance est rompue et c’est de leur faute. |
Maudet ne peut qu’ être un génie de la politique, son parti en est un pour voler les retraites de nos fonctionnaires. Dans ce parti, on ne sait pas ce qu’est les libertés individuelles. |
Bénévoles connus de la rédaction
Maudet, la suite…
Groupement bénévole sans frontière. |
Monsieur Maudet est intégré dans un parti politique qui déteste les classes moyennes, les fonctionnaires et rêve de privatiser l’Etat, si ce n’est pas le cas la TDG, nous l’aurait dit. |
Cette exécration des classes moyennes, va au-delà de l’entendement, même pour nous, les expatriés suisses, sympatisants de ce parti et du Groupement cité plus haut. Nous avons de sérieux doutes sur notre parti et avons le sentiment d’avoir été floués par les beaux discours sur les libertés individuelles, qui nous ont fait tomber dans le panneau, à l’isoloir. Les faits évoqués sur notre site créé pour l’occasion, suite à une procédure civile d’une demande unilatérale en divorce, diligentée par des juges PLR du canton de Genève, (sans y êtres invités par l’un du couple,) connaissants le discernement aboli de ce greffier-adjoint, qui a fait toute sa carrière (plus de quarante ans) au Ministère public du canton de Genève,(qui ne s’en souvient pas) mis en retraite à 63 ans, par leurs soins, qui a ses 75 ans, se substituent à cet ancien collègue, toute hiérarchie professionnelle respectée. Le retraité avait été diagnostiqué atteint du syndrome de KORSAKOFF à 61 ans et vivait en dehors du cercle familial sur injonction médicale. Tout au long de la dite procédure, c’est un festival de mensonges, d’actes illégaux, répréhensibles par la loi et l’article 115 du code pénal suisse, que doit défendre les juges sera utilisé par eux pour mener à bien leur objectif, divorcer le couple pour de facto, l’épouse ne touche pas le 2me pilier (retraite en Suisse) dévolu à une veuve à en devenir. La nouvelle loi scélérate, conceptualisée par le législateur suisse permet à des tiers, juges de préférence de résurgenter la répudiation, par inféodation de la personne détruite par la maladie mentale. Merci les Droits de l’homme. Les juges, refusent de mettre le malade sous tutelle, ils ne veulent pas le protéger, mais ils mandatent, un avocat PLR, ancien bâtonnier, qui fera croire à son épouse que son mari en est le mandant, nouvelle menterie, car pour demander le divorce, la base légale est de se souvenir que l’on est marié… Cette justice consensuelle avec la défense, mettra son veto à ce que l’épouse soit soutenue par un avocat, vingt-cinq refuseront le mandat de sa défense. Qu’ils soient de droite ou de gauche, ces maîtres nous déçoivent. |
Que dire du Procureur général dans son parquet, auprès duquel l’épouse a déposé une plainte pénale justifiée fera répondre, que c’est du civil, ce qui est bien évidemment erroné. Monsieur Maudet qui est le ministre de tutelle de la justice genevoise, ne verra rien à redire, sur tout le système mis en place pour nous spolier nos retraites et si il ne dit rien, trouve adéquat à ce que les mêmes juges dénoncés, soient actifs au Conseil supérieur de la magistrature. Merci l’indépendance de cette juridiction. Cette justice séléctive, ombre et bien plus l’Etat de droit. |
Tant qu’un dossier n’a pas été géré par le droit et les lois, il ne peut être considéré par quiconque, comme irrecvable, ou tous autres adjectifs, servants à éluder le problème. Nous ne renonçons pas à demander l’invalidation d’un divorce, décidé par la justice civile, (avec appui des avocats) et bien entendu les prérogatives qui vont avec ceux d’une épouse veuve et non divorcée, qui a sacrifié sa carrière, à celle de son mari, pour accompagner les deux enfants du couple dans leur évolution et qui n’a pas pu la reprendre, les enfants grandis; les effets nuisibles de la démence du mari et père, s’étants manifestés bien avant le diagnostic médical. Notre Groupement se veut depuis toujours apolitique, mais la commission civile qui travaille sur ce dossier no 29 se dit tentée par l’émergence d’une formation politique, qui se mettrait au service des justiciables des classes moyennes et qui débuterait par une action abrogative de la nouvelle loi sur le divorce, aux effets pervers, qui ne répond pas aux constitutions démocratiques. Il ne faudra pas alors nous traiter de populistes, la faute en incombera à ceux qui permettent ce genre d’inégalité dans une Démocratie comme la Suisse. |
La commission de ce dossier avertit de l’inutilité de s’en prendre à l’épouse du fonctionnaire, comme cela s’est vu, écoutes téléphoniques illégales, perquisition de son appartement pas plus légal, bail abrogé par décision inadmissible de la justice vengeresse etc. et le dossier complet est en lieu sûr, délocalisé après perquisition. |
Quand aux Cours de justice Européennes, elles ont du chemin à faire pour nous affermir dans ce que l’UE et bonne pour les citoyens. Le peuple souverain suisse doit se prononcer en novembre sur un accord cadre avec l’UE qui englobe la suprématie des juges étrangers, au vu de ce qu’ils nous ont montrés de leur indépendance dans le dossier que nous leurs avons soumis et de la réponse à côté de la plaque, nous conseillons aux citoyens de ce pays de suivre l’opposition à cet accord cadre. Signé: Une bénévole genevoise connue de la rédaction |
Guerre civile ?

Islamabad a acquitté Asia Bibi
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Pétition européenne

Michèle Herzog
ALLEMAND : Um die Korruption zu beseitigen, setzen wir durch, dass Richter das Gesetz befolgen.
ANGLAIS : Against corruption, let’s make judges comply with the law.
Très chers lecteurs et députés,
« Art. 174 Rôle du Conseil fédéral
NADOT,
M. (dir), 2002. Mesure des prestations soignantes dans le système de santé =Measurement of Nursing Services Within Health Care System. [en ligne].Fribourg: Haute École spécialisée SANTE-SOCIAL de Suisse romande. [Consulté le28 janvier 2018]. Rapport scientifique, DO-RE 01008.1/CTI 55545.1 FHS.
Disponible à l’adresse: http://www.heds-fr.ch/Documents/Rapport%20scientifique_mesure_prest_soignantes.pdf
—-Message d’origine—-
De : mh@herzoginfo.ch
Date : 28/10/2018 – 21:32 (E)
À : mh@herzoginfo.ch
Objet : Nouvelle pétition contre la corruption judiciaire dans les pays européens.Bonsoir,Voilà le lien de cette nouvelle pétition très importante.Merci de la signer et de diffuser ce lien.Meilleures salutations.Michèle HerzogRue St-Georges 10CH- 1091 GrandvauxTél. 079.655.21.86
Test Orange ?
Mathieu Despont a partagé une publication.
Modérateur ·
15 min
voici un récit de ce qu’il s’est passé il y a quelques jours lorsqu’un noeud du réseau internet d’Orange à pété en France…
Black-out sur tout l’internet… et les services financier de la région… plus possibilité d’avoir du liquide… même le marché a fermé par ce que les clients n’avaient plus de billets pour payer !!
…. quand je pense qu’il suffit d’un carnet pour noter les reconnaissance de dette de chacun !!…Afficher la suite
Zora Minagro
20 octobre, 15:31
voir alors que je l’ai bien mis en “public”.
Je le reprends donc comme si c’était le mien, en remerciant Stéphane Hervo pour ce texte qui montre bien que le dit “transhumanisme”, lorsqu’il queute, nous renvoie à vitesse express au XIXème siècle. Qu’on se le dise !
Voici donc ce témoignage (accompagné de la photo d’illustration qu’a choisi l’auteur du texte) :
« Voilà ce qui risque d’arriver…
La semaine dernière, le serveur Orange qui dessert la région où j’habite a sauté. L’effet a été immédiat : plus de téléphone fixe, plus d’Internet, plus de réseau sur les portables et plus de télé pour ceux qui passent par Internet. Le black-out total.
Mais ici, on a l’habitude d’être isolé, on est déjà coupé du reste du monde l’hiver à cause de la neige, alors on ne s’inquiète pas pour si peu. D’autant qu’ils ont rétabli les lignes fixes en quelques heures, ainsi qu’un semblant d’Internet… de type “modem 56k”. En gros, télécharger une mise à jour échouait systématiquement, la connexion cédait à chaque fois…
Il a fallu 2 ou 3 jours pour que les portables retrouvent du réseau, mais sans la 4G, et Internet c’était pas mieux que sur les PC. Mais toujours pas de quoi mettre le feu aux chaumières.
Quand vient le moment des courses, ou simplement la volonté d’acheter quelque chose, où tu découvres qu’aucun des distributeurs de la région ne fonctionne. Tous HS pour cause de « panne réseau ». Évidemment, aujourd’hui, on ne peut plus retirer d’argent au guichet à la banque, car pour des pseudos raisons de sécurité, les guichetiers ne manipulent plus d’argent derrière leur blindage en plexi. Même la boulangère a un monnayeur qui lui permet d’éviter tout contact avec le client.
Bon, on paiera par carte… Et bah non, ça t’oublies aussi car il n’y a pas plus de connexion réseau pour les terminaux CB des magasins.
On a même assisté à quelque chose d’inédit : lors du traditionnel marché provençal hebdomadaire, les exposants ont tout remballé au bout d’une heure parce que les gens n’avaient pas d’argent liquide…
Alors qu’est-ce qu’on fait quand les distributeurs ne fonctionnent plus et qu’on ne peut plus payer par carte ? Non, on ne braque pas la boulangerie avec un fusil, on se tape 1h de route pour aller retirer ou faire ses courses ailleurs. Mais bon faut pouvoir…
Et si le black-out avait été plus étendu, voire général ? On aurait fait quoi ? (?)
A trop s’enfermer dans un monde où tout repose sur la technologie, on devient totalement dépendant de celle-ci. Je dis depuis longtemps qu’il est suicidaire de miser sur le “tout électrique”, car il suffit de débrancher la prise pour que notre monde s’écroule. Mais j’étais en fait loin du compte : une simple coupure Internet suffit pour tout bloquer.
Ce blocage n’a finalement duré qu’une dizaine de jours, mais on sentait déjà un peu la tension monter. Doucement. Quelques commerçants ont d’ailleurs préféré fermer pendant cette période.
Il faut quand même se souvenir qu’il y a 30 ans, une coupure téléphonique nous en aurait à peine chatouillé une sans réveiller l’autre. Cela n’aurait pas bouleversé nos vies.
J’ai même pensé qu’il pouvait s’agir d’un test. Un test pour voir comment on réagit en cas de black-out. Ce ne serait pas surprenant, ils en font tout le temps. Car il ne faut quand même pas oublier que le souhait le plus cher des dirigeants européens est de supprimer définitivement l’argent liquide, afin de contrôler les peuples à 100 %, tout en prétextant des raisons de sécurité, comme d’habitude.
C’est important pour eux de savoir comment on réagirait s’ils nous coupaient les vivres. Y’a d’ailleurs eu un “gros test” en Argentine, quand les banques ont dit au peuple : « On a perdu votre argent en bourse. » et ont fermé immédiatement après.
La réaction ? Une guerre civile ! Et ils ont désormais une méthode plus simple pour obtenir le même résultat : débrancher Internet. »
Aldo Moro, sam. 1er décembre 2018
Contexte et invités:
GIOVANNI RICCI 16 mars 1978 : le Président du Conseil italien, Aldo Moro, est enlevé en pleine rue de Rome par les Brigades rouges, un groupe terroriste d’extrême gauche. Les assaillants assassinent froidement ses cinq gardes du corps. Aldo Moro est retenu en otage 55 jours. Le 9 mai suivant, il est assassiné et son corps est retrouvé dans le coffre d’une voiture. Derrière cette opération, on retrouve Franco Bonisoli, fils d’une famille d’ouvriers communistes, alias « Luigi », membre de la direction stratégique des Brigades rouges et du comité exécutif du groupe terroriste. Il a participé à la prise d’otage d’Aldo Moro et à l’assassinat de ses gardes du corps. Arrêté à 23 ans Franco Bonisoli sera condamné à la prison de haute sécurité. A 28 ans, après une crise intérieure et une grève de la faim, Franco Bonisoli renonce à la violence et à la lutte armée. Giovanni Ricci est le fils de Domenico Ricci policier et chauffeur d’Aldo Moro, assassiné lui aussi ce fameux 16 mars 1978. Sur les écrans de télévision, Giovanni reconnaîtra son père à la montre qu’il porte au poignet, pendant hors de la voiture.
J-F Kennedy & Aldo Moro ont été tués parce qu’ils ont émis de la monnaie sans dette, comme des monnaies-pleines à la suisse.
‘ ‘ Nous avons eu un homme d’état, Aldo Moro, menacé par Kissinger, qui a émis 500 milliards de lires dans les années 70 en billets de 500 lires ;
Ils n’étaient pas imprimés par la banque d’Italie, mais par l’imprimerie de l’ Etat.
500 milliards de dollars sans dette.
La même chose que Kennedy avait fait trois mois avant d’être assassiné.
Aldo Moro est assassiné parce qu’il était sur le point de récupérer la souveraineté monétaire.
Kennedy est assassiné parce qu’il était sur le point de récupérer la souveraineté monétaire.
En Amérique, tous les présidents assassinés sont ceux qui se sont mis contre la banque centrale privée, la FED, qui augmente les taux d’intérêts pour provoquer un nouveau krach mondial ‘ ‘
Source :
https://www.youtube.com/watch?v=dkb0InxtX7U
Voilà un excellent travail de journaliste d’investigation.
Emmanuel Amara, au cours d’un reportage sur la fin d’Aldo Moro -qui reste l’unique homme d’Etat de premier plan assassiné en Europe après la Seconde Guerre mondiale ; il avait été exécuté le 9 mai 1978 après plusieurs semaines de détention au coeur de Rome-, rencontre Steve Pieczenic qui, comme son prénom l’indique plus que son nom, est américain, et qui depuis le début de ce siècle a envie de dévoiler son rôle. Le journaliste comprend d’emblée la portée de ce témoignage, interroge longuement son auteur et nous livre ici des révélations aussi importantes que surprenantes.
Pieczenic avait en effet déclaré au Correre della Sera le 16 mars 2001 : “Aldo Moro non doveva essere salvato [Aldo Moro ne devait pas être sauvé]”. Le moins qu’on puisse dire est que ni les journalistes, ni les historiens ne se sont précipités sur la piste. Or l’homme n’est pas un franc-tireur ni un espion plus ou moins retourné ou repenti. C’est tout bonnement un grand spécialiste universitaire du renseignement, que le gouvernement américain utilise dans les années 1970 (depuis depuis le début de l’ère Kissinger) pour débrouiller les affaires de terrorisme. Son érudition fait merveille ainsi que ses talents de négociateur, ce qui lui vaut un poste de chef de la cellule anti-terroriste du département d’Etat, conservé sous Carter. A partir des années 80, semble-t-il, il se range, concentrant sa compétence sur des oeuvres de fiction, romanesques ou télévisées (il collabore avec Tom Clancy, dont il cosigne certains romans).
Le rôle de Pieczenic, à l’époque, n’est pas resté inaperçu. L’Italie était membre de l’OTAN, un récent chef de gouvernement et ministre des Affaires étrangères était enlevé par des gens se réclamant de l’extrême gauche : il eût été étonnant et même suspect que Washington s’en désintéressât. On savait donc que Francesco Cossiga, ministre de l’Intérieur et proche camarade de parti de Moro, avait demandé de l’aide, et obtenu du président Carter l’envoi de ce conseiller. Lequel, après la conclusion de l’affaire, avait déclaré à la presse qu’il n’avait fait que donner des avis très généraux.
Le premier, donc, Amara l’interroge comme il se doit, et il recoupe son témoignage par ceux de tous les survivants qui ont joué un rôle important dans l’affaire. A commencer par les dirigeants des Brigades rouges et les exécutants du rapt et de l’assassinat, tous libres aujourd’hui. Il en ressort que l’émissaire du président a bien été dans cette affaire, au coeur de l’Etat italien, l’homme le plus influent. Non point qu’il y ait eu préméditation. Si les terroristes ont pu enlever Moro au centre de Rome en tuant toute son escorte, composée de cinq hommes, ce n’est pas parce qu’ils auraient été infiltrés, ou secrètement guidés, par des adversaires de la politique de rapprochement entre son parti démocrate-chrétien et les communistes du PCI (la politique de “compromis historique” entre les deux grandes formations, recherchée par le communiste Berlinguer et sur le point d’aboutir).
Il n’est pas impossible qu’au sein de l’appareil répressif des nostalgiques du fascisme ou des anticommunistes obsessionnels aient joué ce jeu, mais le livre n’apporte rien à cet égard… sinon la certitude qu’ils n’étaient pas dirigés par la Maison-Blanche. En fait, les Brigades rouges existent, elles disposent de grandes forces militantes et prennent de court les autorités quelles qu’elles soient, par leur audace et leur efficacité.
Pieczenic joue d’abord le rôle d’un professeur de négociation. Cossiga et son président du conseil Andreotti avaient annoncé qu’il n’y en aurait pas. Il leur dit d’en ouvrir une… pour faire semblant, et il la dirige. Il s’agit d’appâter l’ennemi en faisant miroiter des concessions (les Brigades rouges ne cherchent justement en l’affaire qu’à être reconnues comme un interlocuteur), puis de le laisser le bec dans l’eau, afin de le pousser à exécuter son prisonnier pour ne pas perdre la face. Ce qui fut fait.
Cependant, Pieczenic n’avait pas été envoyé pour cela. Sa mission était plus vague : préserver les intérêts des Etats-Unis et ceux de l’OTAN. En l’occurrence, on privilégia la protection d’un secret encore hermétique, celui des réseaux anticommunistes “Gladio” mis en place en Europe, et particulièrement en Italie, au début de la guerre froide, pour maintenir à tout prix le continent dans l’orbite américaine. Les ravisseurs avaient interrogé Moro là-dessus, il avait commencé à parler, sa libération aurait infailliblement conduit à ce que les Brigades rouges demandent plus de lumière… alors que son exécution les discréditerait à jamais (ce qui se vérifia).
Serait-il possible que Pieczenic ne fasse que des demi-révélations et qu’en fait le sort de Moro ait été scellé plus tôt, dans le bureau ovale ou à la direction de la CIA, réputée ne pas toujours tout dire au président ? C’est improbable, car Pieczenic, se référant à la méconnaissance du terrain dont témoignent les récents événements d’Irak, raconte qu’on ne lui a pas remis de dossiers sérieux, ni à Washington, ni à l’antenne romaine de la CIA : l’Italie n’était pas une priorité, on y laissait aller les choses… C’est un peu surprenant certes, mais fort vraisemblable à partir du moment où c’est un pareil informateur qui le dit : prendrait-il le risque que tôt ou tard des tonnes de plans et de fiches, viennent le contredire, ou encore les témoignages de fonctionnaires vexés ?
Ce livre en dit long sur les deux forces qui dominaient l’Italie, le parti communiste et l’Eglise romaine. Le premier, fort de ses 2 millions de membres et de ses 34% de voix, est piégé comme un enfant par l’émissaire de la Maison-Blanche : il cherche à démontrer sa conversion à la légalité, il ne peut donc adopter qu’une ligne “dure” et sacrifier le chef de file de ceux qui mettent en mouvement vers lui la lourde démocratie-chrétienne. Achille Occhetto, second de Berlinguer à l’époque, confesse à Amara que la ligne suivie aurait gagné à être plus souple. Quant au pape Paul VI, c’est un ami proche de Moro et il croit tout mettre en oeuvre pour le sauver mais ses services secrets, bien plus efficaces, dit Pieczenic, que ceux de l’Etat italien, renseignent l’Américain sur la mentalité des fils de bonne famille qui peuplent les Brigades, et la mort de l’otage a peut-être hâté la fin du Souverain Pontife, survenue quelques mois plus tard.
Finalement, l’aile la plus hypocrite et la plus corrompue de la démocratie-chrétienne va garder le pouvoir, artificiellement, pour elle toute seule (fût-ce avec des prête-nom), pendant 14 ans de plus, comme un canard sans tête, avant de se liquéfier pour laisser la droite italienne aux mains d’un homme d’affaires sans foi ni loi. Triste dénouement !
Tel qu’il se présente, ce dossier fait froid dans le dos plus que s’il révélait un complot bien huilé contre la vie d’un homme. Les Etats-Unis dominent l’Europe en y laissant prospérer des réseaux violents et réactionnaires (peuplés, en l’occurrence, de nostalgiques de Mussolini) qu’ils ne perdent pas de temps ni d’argent à contrôler de près. Arrive une crise, un plénipotentiaire s’installe et la dénoue en quelques semaines (le séjour de Pieczenic dure un mois), au nom de calculs tactiquement très fins mais politiquement grossiers, qui ruinent des décennies d’efforts des hommes de bonne volonté pour sortir le pays par le haut de sa crise endémique. Certes beaucoup de choses ont changé aux Etats-Unis et dans le monde mais à cette lecture une leçon s’impose, plus que jamais : la lutte contre le terrorisme doit s’inscrire dans une politique globale.
François Delpla
Révélations: banques suisses et Bilderberg
Révélations sur des banques suisses et les Bilderberg!
Les Bilderberg,…., une majorité n’en a jamais entendu parler alors même que c’est du domaine public. Pour ceux qui ne connaîtraient donc pas, il s’agit d’un groupe qui s’est formé en 1952 et réuni pour la première fois en 1954 à l’hôtel Bilderberg (d’où son nom), à Oosterrbeek aux Pays-Bas. Il est composé des gens les plus riches de la planète qui se retrouvent chaque année à grands renforts d’argent et de protection policière, et convient les personnages les plus utiles à leurs plans, venant du monde de la politique, des banques, de l’industrie et des médias, à la condition que rien ne sorte jamais de leurs réunions. Un égo flatté étant souvent prêt à toutes les bassesses, on ne sait officiellement rien du contenu de ces sauteries si ce n’est que l’ordre mondial en est l’étendard. Qu’on s’interroge au moins sur ce que peuvent avoir de démocratiques de telles messes qui décident dans le secret des nantis des orientations du monde.
Cette année, 2011, quelques jours après les gesticulations médiatiques du G8 à Deauville, la réunion des Bilderberg se déroule du 9 au 12 Juin au Grand Hôtel des Bains à Saint-Moritz en Suisse. Pour ce qui est des Français, seront vraisemblablement présents Jean-Claude Trichet (BCE), Pascal Lamy (OMC), Henri de Castries (AXA) et Thierry de Montbrial (IFRI), qui sont des habitués du genre. L’omerta comme toujours sera de rigueur et les médias traditionnels n’en parleront pas.
A ceux qui en lisant ces lignes vont crier au conspirationnisme, je n’ai qu’une chose à dire. Renseignez-vous, ne demeurez pas ignorants de tout, juste parce que vous avez trop peur au fond de vous d’envisager l’idée que vous ayiez vécu dans un monde qui n’est pas du tout celui auquel vous croyez. Il est très inconfortable de penser que l’on puisse avoir été manipulé, mais il est libérateur de pouvoir regarder les choses en face et de reprendre le pouvoir de dire non. Informez-vous, cherchez par vous même, et quoi qu’il advienne, ne nourrissez pas la colère, mais contribuez à diffuser la vérité et à dissoudre ainsi l’ancien monde.
Le Passeur. 8 juin 2011.
Révélations stupéfiantes d’un banquier suisse « initié » – Interview réalisée à Moscou le 30 mai 2011.
Q : Pouvez-vous nous dire quelque chose à propos de votre implication dans le business des banques suisses ?
A : J’ai travaillé pour les banques suisses durant plusieurs années. J’étais l’un des top directeurs de l’une des plus grandes banques suisses. Durant mon travail j’étais impliqué dans les paiements, les paiements directs en cash à une personne qui a tué le président d’un pays étranger. J’étais présent lors de la rencontre durant laquelle il a été décidé de fournir l’argent cash à l’assassin. Cela m’a donné des maux de tête terribles et a troublé ma conscience. Ce n’était pas le seul cas qui était vraiment mauvais mais c’était le pire. C’était une instruction de paiement sur ordre d’un service secret étranger écrite à la main et donnant l’ordre de payer un certain montant à la personne qui avait tué le top leader d’un pays étranger. Et ce n’était pas le seul cas. Nous avons reçu plusieurs de ces lettres écrites à la main venant de services secrets étrangers donnant l’ordre de payer cash à partir de comptes secrets pour alimenter des révolutions et les assassinats de personnes. Je peux confirmer que ce que John Perkins a écrit dans son livre « Confessions of an Economic Hit Man ». Il y a réellement un système qui existe là et les banques suisses sont impliquées dans de tels cas.
Q : Le livre de Perkins est aussi traduit et existe en Russe. Pouvez-vous nous dire de quelle banque il s’agit et qui en était responsable ?
A : C’était l’une des trois plus grandes banques suisses à cette époque et il s’agissait du président d’un pays du Tiers-Monde. Mais je ne veux pas révéler trop de détails parce qu’ils me trouveront très facilement si je dis le nom du président et de la banque. Je risquerais ma vie.
Q : Vous ne pouvez nommer aucune personne dans la banque non plus ?
A : Non je ne le peux pas, mais je peux vous assurer que cela est arrivé. Nous étions plusieurs personnes dans la salle de conférences. La personne en charge du paiement physique du cash est venu vers nous et nous a demandés s’il était en droit de payer un montant si élevé en cash à cette personne, et l’un des directeurs a expliqué le cas et tous les autres ont dit OK, vous pouvez le faire.
Q : Est-ce-que cela est souvent arrivé ? Est-ce-qu’il s’agissait d’une sorte de «Slash fund» (fond cassé) ?
A : Oui. Il s’agissait d’un fonds spécial arrangé dans un endroit spécial dans la banque, d’où toutes les lettres codées arrivaient de l’étranger. Les lettres les plus importantes étaient écrites à la main. Nous devions les déchiffrer et elles contenaient l’ordre de payer un certain montant de cash depuis des comptes pour l’assassinat de personnes, de fonds pour les révolutions, les grèves, les fonds pour toutes sortes de partis. Je sais que certaines personnes qui sont les Bilderberg étaient impliquées dans de tels ordres. Je veux dire qu’ils donnaient des ordres pour tuer.
Q : Pouvez-vous nous dire en quelle année ou décade cela s’est produit ?
A : Je préfère ne pas vous dire l’année précise mais c’était dans les années 80.
Q : Aviez-vous des problèmes dans ce travail ?
A : Oui, un très gros problème. Je ne pouvais pas dormir durant plusieurs jours et après un moment j’ai quitté la banque. Si je vous donne trop de détails ils me traceront. Plusieurs services secrets de l’étranger, pour la plupart parlant anglais, ont donné des ordres de fournir des fonds pour des actes illégaux, même l’assassinat de gens à travers les banques suisses. Nous devions payer sur les instructions de pouvoirs étrangers pour l’assassinat de personnes qui n’avaient pas suivi les ordres des Bildeberg ou du FMI ou de la Banque Mondiale par exemple.
Q : Ce sont des révélations stupéfiantes que vous êtes en train de faire. Pourquoi ressentez-vous l’urgence de dire cela maintenant ?
A : Parce que les Bildeberg vont se rencontrer en Suisse. Parce que la situation du monde empire de plus en plus. Et parce que les plus grandes banques en Suisse sont impliquées dans des activités sans la moindre éthique. La plupart de ces opérations sont en dehors des bilans comptables (balance sheets). C’est au multiple de ce qui est déclaré officiellement. Il n’y a pas de vérification et tout arrive sans taxes. Les figures impliquées ont un tas de zéros. Il s’agit de montants énormes.
Q : Alors il s’agit de billions ?
A : Il s’agit de beaucoup plus, il s’agit de trillions, complètement non vérifiés, illégaux et au-delà du système de taxe. Grossièrement on vole tout le monde. Je veux dire que la plupart des personnes normales payent des taxes et se soumettent aux lois. Ce qui se produit ici est complètement à l’opposé de nos valeurs suisses, telles que la neutralité, l’honnêteté et la bonne foi. Durant les rencontres où j’étais impliqué, les discussions allaient complètement à l’encontre de nos principes démocratiques.

Vous voyez, la plupart des directeurs des banques suisses ne sont plus des locaux, ils sont étrangers, la plupart Anglo-saxons, soit Américains ou Anglais, ils n’ont aucun respect pour notre neutralité, ils ne respectent pas nos valeurs, ils sont opposés à notre démocratie directe, ils se servent seulement des banques suisses pour leurs opérations illégales. Ils utilisent d’énormes montants d’argent créés à partir de rien et détruisent notre société et les peuples du monde uniquement par avidité. Ils cherchent le pouvoir et détruisent des pays entiers tels que la Grèce, l’Espagne, le Portugal ou l’Irlande, et la Suisse sera l’un des derniers en ligne. Et ils utilisent la Chine comme travailleurs esclaves. Et une personne telle que Josef Ackermann, qui est un citoyen suisse et le « top man » d’une banque allemande, utilise son pouvoir par avidité et ne respecte pas les gens comme vous et moi. Il a quelques problèmes juridiques en Allemagne et maintenant aussi aux USA. Il est un Bildeberg et s’en fiche de la Suisse ou d’un autre pays.
Q : Est-ce-que vous êtes en train de dire, que quelques unes des personnes que vous mentionnez seront présentes pour le meeting des Bildeberg à Saint-Moritz en Juin ?
A : Oui.
Q : Donc ils occupent effectivement dans une position de pouvoir ?
A : Oui. Ils possèdent d’énormes quantités d’argent à leur disposition et l’utilisent pour détruire des pays entiers. Ils détruisent notre industrie et la construisent en Chine. D’un autre côté, ils ouvrent les portes en Europe pour tous les produits chinois. La population européenne gagne de moins de moins sa vie. Le but réel est de détruire l’Europe.
Q : Pensez-vous que la rencontre des Bildeberg à Saint-Moritz a une valeur symbolique ? Parce qu’en 2009 ils étaient en Grèce, en 2010 en Espagne et regardez ce qui leur est arrivé. Est-ce que cela signifie que la Suisse doit s’attendre à quelque chose de mauvais ?
A : Oui. La Suisse est l’un des pays le plus important pour eux, parce qu’il y a tant de capitaux ici. Ils se rencontrent là parce que, à part d’autres choses, ils veulent détruire toutes les valeurs défendues par la Suisse. Vous voyez, c’est un obstacle pour eux, la Suisse ne faisant pas partie de la communauté européenne ou de l’Euro, n’est pas totalement contrôlée par Bruxelles et ainsi de suite. Concernant les valeurs, je ne parle pas de grosses banques suisses, parce qu’elles ne sont plus suisses, la plupart d’entre elles sont dirigées par les Américains. Je parle du vrai esprit Suisse que les gens chérissent et maintiennent haut. C’est certain que cela a une valeur symbolique, comme vous le disiez, concernant la Grèce et l’Espagne. Leur but est de constituer une sorte d’élite exclusive qui a tout le pouvoir et d’appauvrir tout le reste des gens.
Q : Pensez-vous que le but des Bildeberg soit de créer une sorte de dictature mondiale, contrôlée par les institutions mondiales (global corporations), dans lesquelles il n’existera plus du tout d’Etats souverains ?
A : Oui et la Suisse est le seul endroit qui reste avec une démocratie directe et se trouve en travers de leur route. Ils utilisent le chantage du « too big to fail » (trop grand pour tomber), comme dans le cas de l’UBS (Union de Banques Suisses) pour placer notre pays dans un état de grande dette, de la même manière qu’ils l’ont fait pour d’autres pays. A la fin peut-être qu’ils veulent faire à la Suisse ce qu’ils ont fait à l’Islande, avec toutes les banques et le pays en banqueroute.
Q : Et ainsi l’étendre à la communauté européenne ?
A : Bien sûr. La communauté européenne est sous le joug des Bildeberg.
Q : Que pensez-vous qui pourrait stopper ce plan ?
A : Eh bien, c’est la raison pour laquelle je vous parle. C’est la vérité. La vérité est le seul moyen. Mettre la lumière sur cette situation, les exposer. Ils n’aiment pas être sous le feu des projecteurs. Nous devons créer la transparence dans l’industrie banquière et à tous les niveaux de la société.
Q : Ce que vous êtes en train de dire c’est qu’il existe un côté correct du business des banques suisses et quelques grosses banques qui utilisent dans le mauvais sens le système financier pour leurs activités illégales.
A : Oui. Les grandes banques entraînent leurs équipes avec des valeurs anglo-saxonnes. Ils les entraînent à devenir avides et sans pitié. Et l’avidité est en train de détruire la Suisse et tout le monde. En tant que pays nous avons une majorité de banques opérant à travers le monde, si vous regardez les petites et moyennes banques. C’est seulement les grandes banques qui opèrent au niveau mondial qui posent problème. Elles ne sont plus suisses du tout et ne se considèrent pas comme telles.
Q : Pensez-vous que ce soit une bonne chose que les gens exposent les Bildeberg et montrent ce qu’ils sont en réalité ?
A : Je pense que le cas de Strauss-Khan constitue une bonne chance pour nous, parce qu’il montre que ces gens sont corrompus, malades dans leur esprit, tellement malades qu’ils sont remplis de vices et ces vices sont gardés secrets sous leurs ordres. Certains d’entre eux comme Strauss-Khan violent des femmes, d’autres sont sado-maso, ou pédophiles et beaucoup pratiquent le satanisme. Lorsque vous allez dans certaines banques, vous voyez ces symboles sataniques, comme à la Banque Rothschild à Zurich. Ces gens sont contrôlés par le chantage à cause des faiblesses qu’ils ont. Ils doivent suivre les ordres ou ils seront exposés, seront détruits ou même tués. La réputation de Strauss-Khan n’est pas seulement tuée dans les médias, il pourrait littéralement être tué également.
Q : Puisque Ackermann fait partie du comité dirigeant des Bildeberg, pensez-vous qu’il y est un preneur de décisions important ?
A : Oui. Mais il y en a beaucoup d’autres, comme Lagarde, qui sera probablement prochainement à la tête du FMI, alors ils sont capables de choses terribles. S’ils ont le sentiment de perdre le contrôle, comme les manifestations en Grèce et en Italie maintenant et l’Italie sera la prochaine, alors ils peuvent faire un autre Gladio. J’étais proche du réseau Gladio. Comme vous le savez, ils ont été les instigateurs du terrorisme payé par l’argent américain afin de contrôler le système politique en Italie et d’autres pays européens. Concernant le meurtre d’Aldo Moro, le paiement s’est effectué au moyen du même système dont j’ai parlé.
Q : Ackermann prenait-il part à ce système de paiement d’une banque suisse ?
A : (Sourire)…. Vous êtes le journaliste. Examinez sa carrière et la rapidité avec laquelle il est parvenu au top.
Q : Que pensez-vous qui peut être fait pour les entraver ?
A : Eh bien, il y a beaucoup de bons livres qui sont sortis et expliquent le background et relient les points entre eux, comme celui que j’ai mentionné de Perkins. Ces gens ont réellement engagé des gens qui se font payer pour tuer. Certains d’entre eux ont eu leur argent de banques suisses. Mais pas uniquement, ils disposent d’un système bien établi dans le monde entier. Il faut exposer au public ces gens qui sont prêts à tout pour garder le contrôle. Et je veux dire « tout ».
Q : Nous pourrions les stopper en les exposant ?
A : Oui, dire la vérité. Nous sommes confrontés à des criminels réellement sans pitié, aussi de grands criminels de guerre. C’est pire que les génocides. Ils sont prêts et capables de tuer des millions de gens juste pour demeurer au pouvoir et garder le contrôle.
Q : Pouvez-vous expliquer de votre point de vue, pourquoi les médias occidentaux sont plus ou moins silencieux concernant Bildeberg ?
A : Parce qu’il y a un accord entre eux et les propriétaires des mass medias. Vous ne parlez pas de ça. Ils les ont achetés. Certains des personnages clés des médias sont également invités aux meetings mais on leur demande de ne pas faire de rapport sur ce qu’ils ont vu et entendu.
Q : Dans la structure Bildeberg, existe-t-il un cercle interne qui connait les plans et puis, il y a une majorité qui suit seulement les ordres ?
A : Oui. Vous avez le cercle intérieur qui pratique le satanisme et puis il y les naïfs ou les gens plus ou moins informés. Quelques personnes pensent même qu’ils font quelque chose de bien, le cercle extérieur.
Q : Selon les documents exposés et leurs propres déclarations, les Bildeberg ont décidé en 1995 de créer la communauté européenne et l’Euro, alors ils ont pris des décisions extrêmement importantes.
A : Oui et vous savez que le cercle des Bildeberg a été fondé par le Prince Bernard, un ancien membre des SS et du parti Nazi et qu’il a aussi travaillé pour IG Farben, qui a subsidiairement produit Zyclon B. L’autre gars était à la tête de l’Occidental Petroleum qui entretenait des relations étroites avec les communistes en Union soviétique. Ils ont travaillé des deux côtés mais vraiment, ces gens sont des fascistes qui veulent contrôler tout et tout le monde et celui qui se met en travers de leur plan est éliminé.
Q : Le système de paiement dont vous parlez hors opérations normales est-il compartimentalisé et se fait-il en secret ?
A : Dans ces banques suisses les employés normaux ne savent pas que cela se passe. C’est comme un département secret à l’intérieur de la banque. Comme je l’ai dit, ces opérations se font hors de la balance commerciale, sans aucune supervision. Certaines sont situées dans le même bâtiment, d’autres sont au dehors. Ils possèdent leur propre sécurité et des zones spéciales dans lesquelles seules des personnes autorisées peuvent pénétrer.
Q : Comment gardez-vous ces transactions hors du système international Swift ?
A : Eh bien, quelques-uns des listings de Clearstream étaient vrais au début. Ils ont juste inclus des faux noms pour faire croire aux gens que toute la liste était fausse. Vous voyez, eux aussi commettent des erreurs. La première liste était vraie et vous pouvez tracer beaucoup de choses. Vous voyez, il y a des gens autour qui découvrent des irrégularités et la vérité et la disent. Après cela, bien sûr il y a des procédures légales et ces gens sont forcés de la fermer. La meilleure façon de les arrêter est de dire la vérité, de les mettre sous le feu des projecteurs. Si nous ne les stoppons pas, nous finirons par devenir leurs esclaves.
Q : Merci pour cette interview.
Peter Odintsov – Moscou, le 30 mai 2011.
Source originale.
Comment Donald Trump a arrêté la chute des bourses
Précision utile : il s’agit des bourses américaines. L’histoire commence le 10 octobre, quand le Dow Jones perd 1,4%. Elle continue le 11, où l’indice de Shanghai perd 5,2%, le CAC 40 1,4% et le Dax allemand 0,9%. Tout le monde s’inquiète. Mais, le 12 octobre, le Dow reprend 1,6%, Shanghai, Dax et Cac se stabilisent (avec peine). Si tout n’est pas parfait, si le rebond n’a pas effacé les pertes, tout le monde respire. Et s’interroge : que s’est-il donc passé ?
Publié le 15 Octobre 2018
« Une correction prévisible, mais endiguée » devient l’explication partout retenue. Mais endiguée par qui ? On peut toujours se dire qu’elle était prévisible, après la longue et constante montée de la bourse américaine : 3 500 jours. On peut ajouter qu’elle s’expliquait par la montée des profits des GAFA, d’autant que Trump avait baissé les impôts des sociétés, notamment ceux de leurs profits parqués en Europe. On peut ajouter que cette correction était d’autant plus prévisible que la Fed montait graduellement ses taux, pour calmer le jeu – disait-elle.
Il fallait donc une sorte de respiration.
Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin ajoute même, depuis Bali où il participe à l’assemblée du FMI : « Je ne pense pas qu’il y ait eu des nouvelles de la Fed aujourd’hui qui n’aient pas été connues avant… Les marchés montent et descendent. Compte tenu de la hausse du marché, le fait qu’il y ait une sorte de correction n’est pas particulièrement surprenant ». Autrement dit, c’est assez normal, et même sans action particulière de la Fed : elle n’y est directement pour rien.
Mais on a oublié Donald Trump ! Or c’est lui qui a crié plus fort que jamais le 11 octobre. « La Fed est devenue folle » dit-il. Puis il monte d’un cran : « La Fed est out of control, elle est trop stricte, je comprends tout ça mieux que tous ces gens… ». Et quand vient la question du journaliste : « Allez-vous virer Powell ? », Donald Trump répond : « Non… mais je n’aime pas cette politique… ». Bien sûr, Donald Trump sait bien qu’il ne peut « virer » Jerome Powell : c’est anticonstitutionnel. Mais il sait bien qu’il n’aime pas sa politique de montée des taux. Il l’avait bien dit le 9 octobre : « la Fed fait ce qu’elle pense nécessaire, mais je n’aime pas ce qu’ils font… Les chiffres que nous obtenons sont record, je ne veux pas les ralentir même un peu, particulièrement parce que nous n’avons pas de problème d’inflation… Je pense qu’il n’est pas nécessaire (de monter les taux) aussi vite ». C’est, chez lui, une vieille idée : il faut que les taux d’intérêt soient bas, que la reprise américaine continue d’être forte et que le dollar soit faible, pour exporter. En supposant bien sûr que tout ceci soit compatible.
Il faut donc le reconnaître : c’est en criant si fort que Donald Trump a impressionné les marchés financiers. Ils se disent qu’il n’est plus si sûr que la Fed monte son taux une quatrième fois cette année, en décembre. Car ce serait alors une déclaration de guerre contre lui. Il n’est même pas impossible, dans la paranoïa qui fait demander au Président s’il ne « virerait » pas Powell, que l’idée germe qu’il pourrait chercher, avec les trois nominations de membre du Board qui restent, aux côtés de Jerome Powell, Richard Clarida, Randal Quarles et Lael Brainard (la seule Démocrate qui reste), à traiter cette instance comme la Cour Suprême ! Avec des banquiers centraux qui partageraient ses idées, comme les Juges !
La bataille Trump-Powell se précise. Objet du combat : gagner les élections mid termdans un mois pour Trump – prélude à sa réélection en 2020 ; une croissance aussi longue que possible, mais avec atterrissage en douceur, pour Jerome Powell. On peut toujours se dire que Powell travaille pour Trump, dans la mesure où il veut le plus de croissance non inflationniste possible, et surtout éviter une récession dangereuse pour les États-Unis, et donc pour Trump ! Mais Trump ne l’entend pas ainsi : il ne veut pas de risque boursier, surtout pas maintenant. Il veut encore et toujours forcer la machine économique et boursière, même si elle est au bord de la surchauffe. Elle peut donc « chauffer » encore pour Trump, mais plus trop pour Powell.
Donald Trump veut plus de montée des bourses et moins de chômage, sans être angoissé par l’inflation. Jerome Powell veut un peu moins de chômage en stabilisant l’inflation en montant graduellement ses taux d’intérêt, et surtout pour pouvoir les baisser, si les choses tournent mal. Trump veut toujours avancer, Powell veut pouvoir reculer.
Mais il faut reconnaître que Trump a eu beaucoup de chance avec ses cris ! Le 11 octobre en effet, l’inflation vient de sortir à 2,3% en septembre contre 2,7% en août, le plus bas taux depuis 7 mois. Donald Trump avait raison ! Il était au courant ? Il le « sentait » ? Mais si l’inflation était sortie à 2,8% ? Et que se passera-t-il dans un ou deux mois ?
Et que va-t-il se passer s’il réussit les élections dans un mois et propose de pérenniser les baisses d’impôts, voire d’en instaurer de nouvelles, plus des dépenses d’infrastructures ! Alors l’inflation salariale ne pourra que monter, donc les taux courts si Powell « suit » son mandat comme il le fait actuellement et plus encore les taux longs devant le creusement du déficit, donc le dollar par rapport à l’euro et surtout par rapport au yuan ! 7 yuans pour un dollar : le chiffre qui peut faire rugir Donald Trump ! Et ceci, cris compris, suffira-t-il pour le Dow Jones et le Nasdaq ? Trump a arrêté une fois les marchés dans la pente. Ils l’attendent au prochain cahot.
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Mots-clés: Donald Trump | marchés financiers | bourse américaine | valeurs | Bourse | Economie | finance
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Monnaie-pleine, Genève a voté oui, puis les résultats ont été trafiqués ! http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/monnaie-pleine-la-ville-des-banques.html
Commentaire de Mme Michèle Herzog suite à ce communiqué paru dans plusieurs journaux, dont 20 minutes, le Matin, etc…
10.06.2018, 14:21 Heures
Excellents résultats pour l’initiative Monnaie pleine. Félicitations aux personnes qui ont alerté la population sur le problème lié à la création de la monnaie scripturale pour les banques (création de monnaie incontrôlable). Le fait que la ville de Genève ait accepté cette initiative est un signal très fort.
Michèle Herzog
Tous les résultats sont très douteux car il est beaucoup trop facile de manipuler le processus des votes, surtout les votes électroniques et ceux par correspondance.
Nous avons des certitudes de tricheries démocratiques trop faciles et prions toutes les personnes courageuses de réfléchir, s’informer et réagir.
Nous lançons une initiative fédérale pour une révision totale de la constitution suisse, avis aux amateurs
http://desiebenthal.blogspot.com/2018/06/revision-totale-de-la-constitution.html
Merci
f.
Conférence sur la création monétaire
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Aujourd’hui de 19:00 à 21:00
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“Si le peuple venait à comprendre le principe de création monétaire, il y aurait une révolution AVANT demain matin” Henry Ford
Cette conférence est destinée à toutes les personnes dont ça n’est pas le métier => compréhension maximale
PAF :10 CHF (à régler sur place, pour les frais et les boissons à table)
Réservation : zin@vansinte.be (nom et prénom et nombre de personnes)
Au plaisir de vous transmettre mon “savoir”
Votre Sushi
Jan Vansinte