Les prisonniers dans des palaces.. et les retraités ?

Les vieux dans des mourroirs, condamnés pour leur honnêteté. Les prisonniers dans des palaces… Plaçons les personnes âgées dans les prisons et les criminels dans les foyers pour personnes âgées.  De cette façon; nos vieillards auraient accès à une douche tous les jours, des loisirs, des marches, leurs médicaments, examens dentaires et médicaux réguliers.   Ils auront droit à des fauteuils roulants etc. .  

Ils recevraient de l'argent au lieu de payer pour leur hébergement.
Ils auraient droit à une surveillance constante par vidéo ; donc auraient de l'assistance instantanément suite à une chute ou autre urgence. Leurs lits seraient lavés 2 fois semaine; leur linge lavé et repassé régulièrement.
Un gardien viendrait les voir toutes les 20 minutes et leur apporterait leur repas ainsi que leur collation directement à leur cellule.  Ils auraient un endroit spécial pour recevoir leur famille.
> > Ils auraient accès à une bibliothèque, salle d'exercice, thérapie physique et spirituelle ainsi que la piscine et même de l'éducation gratuite.
> > Pyjamas, souliers, pantoufles et aide légal seraient gratuits sur demande.
> > Chambre, privée et sécuritaire pour tous avec une aire d'exercice extérieur entouré d'un magnifique jardin.
Chaque vieillard aurait droit à un ordinateur, une télé, un radio ainsi que des appels illimités.
> > Il aurait un "conseil de directeurs" pour entendre les plaintes et les gardes auraient un code de conduite à respecter!
Les criminels auraient des repas froids, ils seraient laissés seuls et sans surveillance.   Les lumières seraient éteintes dès 20 :00hrs.  Ils auraient droit à UN bain par semaine (et encore!), ils vivraient dans une petite chambre et paieraient au moins 2000 € par mois avec aucun espoir d'en sortir vivant !    Et alors, enfin il y aurait une justice pour eux tous !

L'année carcérale étant réputée de 9 mois notamment en France, et non de 12… selon cette "règle" des 3/4, tes 29 jours aux fers correspondent, en réalité, à 38,6 jours du calendrier carcéral… et comme chaque prisonnier rapporte une indemnité/jour versée par le ministère de tutelle des services pénitentiaires – de l'ordre de 6 000 francs CFP ici en 1994 si la mémoire est encore bonne – c'était déjà bien plus que le niveau brut du SMIG local 2010 – on comprend pourquoi tant de libérés récidivent rien que pour être nourris/logés/blanchis.  Sans parler des frais d'études (de Droit) gratos et autres améliorations à l'ordinaire.   Faut plus s'étonner de tous les plateaux repas qui passent dehors (à nourrir les familles des agents) à chaque service à Nuutania.  Mais on laisse crever les vieux dans des mourroirs, condamnés pour leur honnêteté et d'être sans ressources…


Déjà que la caisse des amendes perçues pour les infractions de la route servent au financement des cocktails de la magistrature (le greffier qui avait tenté de dénoncer la magouille s'était retrouvé clerc d'huissier, chez J……). 

Une autre politique est possible:

Quelques exemples de décisions généreuses de Louis XVI
  1°/ Louis XVI soulagea son peuple, en le dispensant du "droit de joyeux avènement", impôt perçu à chaque changement de règne.   2°/ Louis XVI créa le corps des pompiers.   3°/ Louis XVI autorisa l’installation de pompes à feu, pour approvisionner Paris en eau de manière régulière…   4°/ Louis XVI créa un mont-de-piété à Paris pour décourager l’usure et venir en aide aux petites gens.   5°/ Louis XVI décida d’aider l’abbé de l’Epée dans son oeuvre pour l’éducation des « Sourds-muets sans fortune » auxquels il enseignait un langage par signes de son invention.   6°/ Louis XVI dota l’école de Valentin Hauÿ pour les aveugles.   7°/ Louis XVI donna aux femmes mariées et aux mineurs de toucher eux-mêmes leurs pensions sans demander l’autorisation de leur mari ou tuteur.   8°/ Louis XVI ordonna aux hôpitaux militaires de traiter les blessés ennemis "comme les propres sujets du Roi", 90 ans avant la première Convention de Genève.   9°/ Louis XVI fit abolir le servage et la mainmorte dans le domaine royal, et le droit de suite qui permettait aux seigneurs de faire poursuivre les serfs ou mainmortables qui quittaient leur domaine.   10°/ Louis XVI ordonna l’abolition de la question préparatoire et préalable (torture).   11°/ Louis XVI accorda le premier le droit de vote aux femmes dans le cadre de l’élection des députés de l’assemblée des Etats-Généraux.   12°/ Louis XVI fit construire à ses frais des infirmeries « claires et aérées » dans les prisons.   13°/ Louis XVI s’inquiéta du sort qui était réservé aux prisonniers détenus en préventive de par leur inculpation, avant leur procès. Par ailleurs, il décida de leur accorder une indemnité ainsi qu’un droit d’annonce dans le cas où leur innocence serait reconnue lors de leur procès.   14°/ Louis XVI supprima de très nombreuses charges de la maison du Roi (plus d’un tiers).   15°/ Louis XVI permit aux femmes d’accéder à toutes les maîtrises.   16°/ Louis XVI finança tous les aménagements de l’Hôtel-Dieu pour que chaque malade ait son propre lit individuel.   17°/ Louis XVI employa le premier l’expression de " justice sociale ".   18°/ Louis XVI fonda un hôpital pour les enfants atteints de maladies contagieuses, aujourd’hui nommé Hôpital des Enfants-Malades.   19°/ Louis XVI créa le Musée des Sciences et Techniques, futur centre national des Arts et Métiers.   20°/ Louis XVI fonda l’école des Mines.   21°/ Louis XVI aida les expériences de Jouffroy d’Abbans pour l’adaptation de la machine à vapeur à la navigation.   22°/ Louis XVI exempta les juifs du péage corporel et autres droits humiliants, fit construire les synagogues de Nancy et de Lunéville et permit aux juifs l’accès à toutes les maîtrises dans tout le ressort du Parlement de Nancy.   23°/ Louis XVI accorda sept millions aux victimes du froid excessif en 1784.   24°/ Louis XVI accorda des pensions de retraite à tous ceux qui exerçaient une profession maritime.   25°/ Louis XVI créa le droit de propriété des auteurs et compositeurs de musique. 26°/ Louis XVI accorda l’état-civil aux protestants.
 nous reproduisons ci-dessous un article paru hier dans Vu en France, l'organe de la délégation française de l'AIRH (l'Association Internationale Reine Hélène d'Italie)   Pour demander les N°   de cette revue, à venir sur la toile, écrire à : airh.it@tiscalinet.it


Les responsables:
Comme vous, nous sommes des justiciables honnêtes victimes d'un système "judiciaire" mafieu et corrompu : telle est la raison de cette information. Comme vous, comme d’autres, si aujourd’hui vous n’êtes pas concernés, vous le serez peut-être demain !! Combien d’entre nous sont ou ont été victimes du système actuel ? De celui qui nous ruine, nous spolie, voire nous tue et s’attaque à nos familles et nos enfants. Nos histoires sont « classiques ». Anciens dirigeants ou associés d’entreprises, nous nous sommes vus anéantis, notre outil de travail détruit par la seule volonté de professionnels qu’un certain nombre de magistrats corrompus ont « couvert ». Des escroqueries, des détournements de fonds, des faux en écriture publique etc.
Des liquidateurs, des notaires, des huissiers, des banquiers, des avocats, des experts en tout genre, nous ont ruinés.
D’autres de nos membres sont victimes, leur famille et leurs enfants aussi par le biais de tutelles d’Etat escrocs qui n’ont qu’un seul but : détourner les fonds disponibles… et profiter de leur vulnérabilité. Combien de nous se sont vus vendre leurs biens, saisir leurs comptes bancaires ? Aujourd’hui nous avons décidé de parler et de nous regrouper pour combattre ce système protégé par un nombre incalculables d’escrocs dont beaucoup se servent de la franc-maçonnerie pour protéger leurs méfaits. Regardez bien les conclusions de vos adversaires avant tout jugement, puis vos jugements : ces documents sont très souvent parsemés de signes ostentatoires strictement interdits comme ceux-ci :   * * *                             *                  *      *                              *       *                  *   Vous retrouverez souvent ce signe : 3 étoiles alignées ou placées en triangle à des endroits précis ; et vous vous apercevrez que… vous avez perdu votre procès ou que vous allez le perdre ! Regardez bien les signatures de vos adversaires dans vos courriers : vous y trouverez souvent 3 points disposés en triangle… Ces signes sont des outils très simples et efficaces de corruption des magistrats, utilisés dans tous les tribunaux de France comme signes de reconnaissance et messages impératifs quant à l'issue d'un procès…

M. Sarkozy est-il franc-maçon ?



Une info du « Nouvel Observateur« … …
En fait, le journal a repéré l’existence de trois points sur la signature du Président de la République publiée dans le bulletin de l’ordre des avocats de Paris. 3 points qui auraient pu passer inaperçus si ce n’était le signe distinctif des francs-maçons lorsqu’ils s’adressent à « un frère ». Mais peut-être que Nicolas Sarkozy signe toujours ainsi ? eh bien non justement ! c’est ce qui éveille le « soupçon ». Même si l’Elysée a démenti que son résident fasse partie d’une quelconque loge franc-maçonnique, il faut noter que 2 proches du chef de l’Etat, Xavier Bertrand et Brice Hortefeux, en ont fait partie… 3 petits points qui font tâche, peut-être ?


sarkozy-3points.jpg




La république est une creation de la maçonnerie pour supprimer entre autres la religion catholique. 


La laicité, un outil pour accélérer cette suppression. 

On ne peut pas être maçon et catholique ou chrétien. Etre maçon reste un péché grave. (Osservatore Romano,octobre 1983).

Liberté égalité fraternité est une devise trompeuse maçonnique pour rouler dans la farine les non maçons et chrétiens en particulier.

Ou voyez vous la liberté l' égalité et la fraternité autour de vous ?

Les maçons se protègent par le

 secret maçonnique ANTI DEMOCRATIQUE! 

 


Voir sur google.com  sarkosy maçon,woerth maçon,xavier bertrand maçon, estrosi maçon, elisabeth guiguou maçonne, baroin maçon etc.  etc.


Mme Boutin et ses amis sont chassés…


  R É A G I S S O N S !   N’acceptons plus tout ce système. N’ayons pas peur de leur tenir tête : ce sont eux les escrocs et nous sommes leurs VICTIMES. La Révolution douce à faire de suite selon M. Eric Cantona – 

Il a TOUT compris… Tout est dit en peu de mots !!!

Regardez la vidéo et les images ci-dessous.


Trop de misère:

Les politiques actuelles sont nulles, tout pour les banquiers, des miettes pour nous…

Le problème le plus urgent, battre monnaie sans intérêts, pour le bien commun. Sinon, toutes les balances et les mesures sont fausses.

Un exemple absurde, devenu mondial et de pire en pire.

Les partis nous aveuglent tous.

Les loups bancaires tuent les plus faibles sans aucune pitié. suicides, dépressions, suicides, maladies…



Boycottez les banques maintenant, surtout les grandes, mettez votre argent à l'abri, mais PAS dans les banques, boycottez les produits camelotes qui ne sont pas vendus à leur juste valeur et qui viennent de trop loin, achetez autant que possible par des produits “fabriqués” prés de chez vous, faites vous entendre en masse quand vous pensez payer trop cher et ça passe par le boycott pur et simple de tout ce qui n’est pas utile… 

Rejoignez ou soutenez la Suisse, pays de la seule démocratie directe ( référendums, initiatives, impôts faibles, pas de guerres ).

Légalisez les politichiens honnêtes en payant bien leur travail, ils seront moins corruptibles…

Maurice allais vient de mourir, voici en résumé quelques unes de ses idées:

Battre monnaie seulement pour le peuple:

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. 

Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle.

Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement. 

Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus.

I. L'Etat doit donc reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.

Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux "jouets" utilisés par certaines forces obscures. 


Pour une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont les parasites de l'économie, de la justice et de la politique. Ce sont elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les guerres…

Soutenez une initiative constitutionnelle suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Initiative parlementaire ou populaire à la suisse.
Pour une Suisse sans dettes, ni impôts, taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l'argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.
État des lieux et inventaires des conséquences néfastes du système bancaire inadapté actuel :
1. Des centaines de milliers de Suisses intègres travaillent, mais vivent endettés sous le seuil de pauvreté. En parallèle, le Conseil fédéral rabote des Budgets à des postes pourtant prioritaires (santé, éducation, chômage, création d'emplois, relance, environnement, infrastructures, transports, réduction du nombre d'Ambassades et d'outils d'informations tel Swissinfo… à l'heure de crises et de l'isolement du Pays sur la scène internationale, suppression des bureaux de Poste et dégradation générale du Service public, Crèches, etc.) et répercute ses tâches sur les Cantons, donc Communes et de fait, les Familles, soit nous tous. Les Caisses de pensions sont de plus en plus vides et la cohésion nationale, sinon la solidarité sont partout remis en cause (Votation du 7.03. 2010).
2. Les "solutions" sont une nouvelle fiscalité sournoise (parkings, radars, nouveaux «délits» etc.), mais aussi la TVA, etc. qui pénalisent tous les citoyen(ne)s, ainsi  que les PME en augmentant le chômage des jeunes et de collaborateurs à… plus de 15 ans de l’AVS.
3. Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent (notamment l’informatique et les robots de plus en plus nombreux et efficaces), produit une abondance de biens, en même temps qu'il réduit les besoins de main-d'oeuvre locale et augmente ainsi un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout travail et pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers d’industriels financiers, Banquiers et spéculateurs.
4. La crise de l'UBS et ses dizaines de milliards soustraits aux contribuables futurs ne révèlent pas seulement les graves dysfonctionnements du Conseil fédéral, après ceux de ladite Banque, mais de fait, de tout le système bancaire mondial et du pillage de tous les habitants et Pays de la Terre entière. En Europe : Islande, Grèce, Portugal. A quand la Suisse ?
5. La Confédération, ses Régies, etc., ainsi que les Cantons et leurs Communes, PME, etc. dont  personnes morales et physiques (nous) dépensent chaque jour et au minimum des centaines de Millions CHF à titre d'intérêts… SANS amortissement et pour certaines dettes cumulées, etc. pour des montants représentant des multiples des emprunts initiaux! Ceci représente des centaines de Milliards CHF par an, qui seraient mieux utilisés pour le bien du Souverain.
6. FED & IRS (deux archétypes américains du dysfonctionnement systémique du taux d'intérêt conçu par les Banquiers et du «remboursement» autoritaire des dettes… par les Citoyen(ne)s surtaxé(e)s), «Too big to fail», Toxic Assets sont devenus des termes "familiers", à contrario du mécanisme pervers de la création monétaire qui nous asservit tous, partout et chaque jour davantage.
Ainsi :
 – le système bancaire fabrique depuis trois siècles de l’argent à partir de RIEN et facture ce tour de passe-passe avec des taux d’intérêts, alors que l’État (nous les Citoyen(ne)s) pourrait l’émettre gratuitement et ainsi, distribuer équitablement les plus values mensuelles à tous.
– A contrario du dogme officiel et de la Propagande économique, il faut savoir que le taux d’intérêt et les Banquiers créent l’inflation, sinon et surtout, des dettes non remboursables. Ces dettes exponentielles sont IMPOSSIBLES à rembourser. Des contrats impossibles sont nuls, d'autant plus que ces dettes sont créées à partir de rien, par astuce en bande.
– Les États endettés et sans réel pouvoir de décision actuellement abdiqué, répercutent leurs "remboursements" sans amortissement aux chers (sic!) Banquiers (une poignée de familles), sur nous tous.
– Ce système bancal, en crise systémique fut conçu dans l’iniquité et les Banquiers possèdent la Terre qu’ils gèrent à leur guise, avec la majorité des Chefs d’Etats aux ordres, notamment de la BM et du FMI.
Voulez-vous continuer avec vos enfants à être les esclaves des Banquiers et payer le prix fort de votre ruine, laissez-les donc continuer à créer l’argent ex nihilo (à partir de rien) et à contrôler les crédits. À l’opposé, de bonnes solutions existent et les voici :
Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, voici notre butreprendre le contrôle de la création des masses monétaires (l'argent). C'est ce que nous voulons graver dans la Constitution fédérale pour le bien de tous et l'indépendance de la Suisse.
La Constitution fédérale du 18 avril 1999 est complétée comme suit par un nouvel
Article 128a :
I. Le pouvoir de battre monnaie, y compris par le crédit ex nihilo, appartiennent au Souverain qui reprend le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit, sans intérêt.
Il. Il l'exercera à tous les échelons par des Commissions indépendantes locales jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre ce but.
III. Les ressources financières, matérielles et intellectuelles de la Suisse représentées par les Citoyen(ne)s, les PME, etc. et leurs productions sont la base de la monnaie et du crédit.
IV. L'émission de la monnaie et du crédit devrait en tout temps se mesurer sur le mouvement de la production robotisée le plus possible de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un dividende et d'un escompte dont le taux variera nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production automatisée.
V. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage économique légué par leurs prédécesseurs, les Commissions locales versent un Dividende mensuel dont le montant sera déterminé par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, de leur conception à leur mort naturelle, qu'elle aie ou non des sources de revenus.
VI. Il est indispensable de définir socialement des remises à zéro périodiques sur 7 fois 7 périodes de tous les compteurs économiques, comme demandé dans le Lévitique ou les lois sur les propriétés intellectuelles (Copyright) et ainsi de réparer l'erreur de Charlemagne du 23 mars 789 qui a condamné le taux d'intérêt, mais qui a oublié la remise des propriétés agricoles aux familles et le pardon jubilaire des dettes au moins tous les 49 ans. Concrètement, ceci signifie que grâce aux créations monétaires mensuelles, toutes les dettes seront effacées et toutes les terres agricoles seront franches de toute hypothèque au moins tous les 49 ans.
      VII. Les anciennes masses monétaires en francs suisses tirées du néant (emprunts fédéraux, cantonaux, communaux, etc.) sont purement et simplement supprimées. Par contre, les vraies épargnes réelles des personnes physiques et morales sont respectées.
      VIII. La BNS est directement placée sous le contrôle permanent – sans Commission externe indépendante de type FINMA – de l'Assemblée fédérale (Plénum), qui y consacre au moins un jour complet à chaque Session.
      IX. Les réserves de la BNS qui garantissent un CHF (Franc suisse), indépendant et fort sont constituées d'or physique stocké qu'en Suisse, ainsi que des réserves de diverses graines alimentaires (avoine, épeautre, froment, maïs, orge, pommes de terres, riz, etc.), non OGM, consommables, plantables et à même d'assurer pendant 7 ans la subsistance de la Suisse.
X. Tous instruments juridiques étrangers, accords, conventions, traités, passés ou futurs qui iraient à l'encontre de cette Initiative ou qui viendraient à la violer sont à dénoncer immédiatement tant au plan cantonal que fédéral.
XI. Au vu des économies réalisées par la suppression de l’endettement et de ses conséquences, la Confédération supprime immédiatement tous les impôts fédéraux directs et indirects, notamment la TVA, la vignette et les droits sur l’essence.
XII. De même, les communes et les cantons pourront fortement réduire leur fiscalité et supprimer les taxations sournoises sous la forme de péages subtils pourtant interdit dès la Constitution de 1948.
       
Dispositions transitoires :
La Confédération crée une contribution de solidarité par des masses monétaires sans taux d'intérêts et les fait affecter à chaque famille en proportion du nombre d'enfants conçus.
Le produit de la contribution de solidarité sera versé aux Cantons selon une clé de répartition démographique définie par la Confédération représentée par l'Assemblée fédérale (Plénum).
L'écart des salaires tant publics que privés ne dépasse pas 33 fois, avec une limite absolue indexée fixée à CHF 500'000.-.
Tout dividende social ou autre prestation sociale n'empêche personne de travailler en plus contre rémunération ou en qualité d’indépendant, créateur d’entreprise, etc.
L'obligation de refinancer les prêts à 100 % auprès de la BNS reporte la perception des profits à ce niveau et les revenus ainsi fortement majorés sont directement affectés aux besoins communs.
Tout financement d'investissement à un terme donné doit être assuré par des emprunts au moins de même terme. Aucun emprunt à long terme ne peut être financé par des emprunts à court terme. Pour le bien commun, les points suivants sont notamment respectés :

Dissociation totale des activités bancaires et leur attribution à trois catégories d'établissements distincts et indépendants :
1) Banques de dépôts : encaissements, paiements, gardent les dépôts de leurs clients.

2) Banques de prêts : le montant global des prêts ne peut excéder le montant global des fonds empruntés.

3) Banques d'affaires : investissent dans les entreprises les fonds empruntés au public ou aux banques de prêts.
Indexation obligatoire de tous les engagements sur l'avenir : prêts, emprunts, salaires, etc. aussi bien entre particuliers, entreprises et État.
Interdire le financement des opérations boursières et de la spéculation par la création de moyens de paiement ex nihilo.
Augmenter les garanties en liquidités à 100 %, afin d'éviter les créations privées de monnaie ou quasi-monnaie ex nihilo.
Supprimer la cotation en continu et la remplacer par une seule cotation par jour pour chaque place financière et pour chaque valeur.

Supprimer les programmes d'achat/vente automatiques. Interdire la spéculation sur les indices et les produits dérivés.

Abandonner le système de changes flottants pour un système de taux de changes fixes mais révisables par une commission indépendante.

Interdire toute dévaluation compétitive.

Abandonner le dollar US $ comme monnaie de compte, d'échange et de réserve.

Etablir progressivement une unité de compte commune sur le plan international avec  un système approprié d'indexation.
 
Interdire la spéculation aux banques sur les changes, les actions, obligations et produits dérivés.
Aucune puce, RFID ou un quelconque moyen de traçage ne peut être dissimulé dans la monnaie, quelque soit la forme de la monnaie( métallique, papier…).
Les méthodes alternatives de création monétaire (wir, jazz, reka, talents, billes, sels, etc.) sont admises si leur seigneuriage bénéficie à tous les utilisateurs de manière proportionnelle et égalitaire et sans nuire aux familles.

Conclusions :
 « Il s'agit de réformes fondamentales qui intéressent la vie de tous les jours de millions de citoyens. Ces réformes indispensables n'ont été réalisées, ni même envisagées, ni par les libéraux justement préoccupés de favoriser l'efficacité de l'économie, ni par les socialistes justement attachés à l'équité de la distribution des revenus… Les uns et les autres n'ont cessé d'être aveuglés par la répétition incessante de toutes parts de pseudo vérités et par des préjugés erronés. »               
Maurice Allais, prix Nobel d'économie.

Si vous voulez changer le système pour le meilleur, alors votez pour cette Initiative.
Merci.

Ouvrez des systèmes économiques locaux.



Envoyé par François de Siebenthal dans François de Siebenthal le 10/12/2010 12:57:00 PM
Contactez-nous : nous vous apporterons notre aide et vous dirons ce que vous pouvez faire. en Suisse: 0041 21 616 88 88


Maintenant si vous êtes d'accord avec quelques remarques,  cliquez sur Transférer aux Contacts. Merci

Tricheries démocratiques suisses

la plupart des votations récentes ont été truquées, notamment la révision de la constitution, la rfid ou l'entrée dans l'onu.
préface:
«Propagande, désinformation, manipulation sont des instruments de pouvoir pratiqués dans le monde entier. Ils sont tristement célèbres mais – hélas – parfois assez efficaces. Ils n’épargnent pas même la Suisse, et c’est ce que l’auteure de ce livre montre de manière très convaincante. Elle écarte les rideaux au moyen d’exemples méticuleusement documentés.»
Dr Carlo Jagmetti, ancien ambassadeur de la Suisse aux Etats-Unis.

JUDITH BARBEN 

Traduit de l’allemand par Clément Tolusso

LES SPIN DOCTORS DU PALAIS FÉDÉRAL 

COMMENT LA MANIPULATION ET LA PROPAGANDE COMPROMETTENT LA DÉMOCRATIE DIRECTE

Permettant une large participation populaire aux processus politique, la démocratie directe suisse est un modèle unique au monde. Pour qu’il puisse fonctionner, le Conseil fédéral et les autorités doivent respecter le droit des citoyens à former librement leur opinion.  Cette règle sine qua non est-elle toujours respectée ?  
Hélas non, affirme Judith Barben et elle le montre avec des exemples probants et parfois spectaculaires. Il n’est pas rare que des agences RP et des spécialistes en manipulation des esprits mandatés par la Confédération cherchent à influencer l’opinion publique à l’aide de techniques psychologiques contestables.
 
Les « spin doctors » sont des spécialistes payés pour infléchir l’opinion par des techniques de manipulation et amener la population à penser d’une certaine manière. Leur influence fausse le débat politique et met en péril la démocratie directe. Comment lutter contre ce danger? Comme pour les prestidigitateurs, la connaissance de leurs méthodes nous permet de rompre l’envoûtement et de retrouver l’esprit critique. 

Ce livre d’enquête passionnant est aussi un plaidoyer pour une politique sincère et morale, ainsi qu’une contribution à la défense de la démocratie directe. 

Judith Barben est psychologue-psychothérapeute FSP. Elle a de longues années de pratique en thérapie individuelle et familiale. Auteure d’une thèse de doctorat en psychologie des profondeurs et de nombreuses publications, elle s’intéresse à des questions concernant la psychologie (psychologie individuelle, psychologie du développement), la psychothérapie, la pédagogie, l’éthique (formation des valeurs et de la conscience morale), la prévention de la violence, l’importance de la famille pour la démocratie, la problématique de la Ritaline, les techniques manipulatrices.  http://www.editions-xenia.com/livres/barben/index.html
ktuelle Neuerscheinung!
Wichtiges Buch zur Aufklärung über
politische Manipulation und Propaganda
Judith Barben

Spin doctors im Bundeshaus
Gefährdungen der direkten Demokratie
durch Manipulation und Propaganda

Eikos Verlag, 214 S., 10 Abb., kart.
ISBN 978-3-033-01916-4
Fr. 28.80
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Das weltweit einzigartige «Modell Schweiz» mit der direkten Demokratie ermöglicht die aktive Mitwirkung aller. Dabei müssen der Bundesrat und die Behörden das Recht der Bürgerinnen und Bürger auf freie Meinungs- und Willensbildung respektieren. Das tun sie aber nicht immer. Nicht selten nehmen vom Bund angeheuerte PR-Büros und Public-Relations-Experten («Spin doctors») mit ethisch fragwürdigen
Psychotechniken Einfluss auf die öffentliche Meinung. Sogar der ehemalige Bundesratssprecher und Vizekanzler gibt zu, dass der Bundesrat und seine Beamten unzulässige «Spin-doctor-
Methoden» angewandt haben. «Spin doctors» sind bezahlte Experten für Öffentlichkeitsarbeit», welche die Menschen mit verdeckter Manipulation in die von ihnen beabsichtigte Richtung führen. Solche Praktiken gefährden die direkte Demokratie. Ein wirksames Mittel dagegen ist Aufklärung. Denn die Kenntnis der angewandten Methoden nimmt diesen ihre Kraft. Dazu leistet die Autorin einen wichtigen Beitrag.
Das Buch ist ein Plädoyer für eine ehrliche und ethisch fundierte Politik und ein Beitrag zum Schutz der
direkten Demokratie.
Buchbestellung: http://www.eikos.ch/verlag/    Stellungnahmen zum Buch
Dr. iur. Carlo S. F. Jagmetti, ehemaliger Botschafter der Schweiz in den USA «Propaganda, Desinformation, Manipulation und die dazugehörigen Techniken sind weltweit praktizierte,
berüchtigte, leider aber mitunter auch erfolgreiche Instrumente. Die Schweiz ist davon auch nicht
verschont. Dies legt die Autorin des vorliegenden Buches in überzeugender Weise dar. Sie erläutert die
Vorgänge anhand eingehend untersuchter Beispiele.»
Dr. rer. pol. Remo Gysin, Nationalrat 1995 – 2007
«Judith Barben greift das Thema Spin Doctors in einer spannenden und sehr gut lesbaren Übersicht auf.
Mit ihren gut dokumentierten Ausführungen zur schrittweisen Integration der neutralen Schweiz in die Strukturen der Nato trifft sie den Nagel auf den Kopf.
Die Autorin legt ein staatspolitisches Buch vor, das eine Lücke füllt und zur Diskussion anregt. Es wird nicht allen gefallen. Ich zum Beispiel teile ihre Kritik am Bergier-Bericht nicht und finde diese nicht stichhaltig. Aber wer an den Themenbereichen schweizerische Demokratie und politische Propaganda sowie an Machtfragen interessiert ist, wird das Buch mit Gewinn lesen und sich wundern.»
Prof. Dr. Albert A. Stahel, Politikwissenschaftler
«In packender Sprache beschreibt die Autorin, wie bei entscheidenden Vorhaben aus Bundesbern Manipulatoren im Hintergrund die Fäden ziehen. Alles deutet darauf hin, dass verdeckte Interessen im Spiel sind, welche demokratische Abläufe aushebeln. Das Buch stellt die angewandten Manipulationsmechanismen im Detail dar und schlägt wirksame Gegenmassnahmen vor.
Die aufgezeigte Entmündigung des Stimmbürgers ist eine Aushöhlung der direkten Demokratie und ein Angriff auf die Souveränität des Volkes. Eine fesselnde Lektüre, die man nicht so leicht wieder aus der Hand legt.»
Inhaltsübersicht
Vorwort
Warum dieses Buch nötig ist
I. Manipulatoren und ihre Methoden
1. Spin doctor – ein neues Wort für Wahrheitsverdreher
2. Manipulation der Sprache
3. Politische Manipulation von Machiavelli bis heute
4. Manipulative Psychotechniken
5. Eine Konferenz von Spin doctors und Journalisten
6. Personales Menschenbild als Gegenposition
II. Spin doctors im Bundeshaus
1. Das Bundeshaus – die grösste PR-Agentur der Schweiz
2. Spin doctoring im Bundeshaus – wissenschaftlich untersucht
3. Der Bergier-Bericht: Wissenschaft oder Manipulation?
4. Kein Persilschein zum Manipulieren
III. Abstimmungsmanipulation des Bundes – zwei Beispiele
1. Neue Bundesverfassung – Totalrevision oder Nachführung?
2. Wie der Bundesrat die Schweiz in die Nato verstrickte
Ausblick 
******************************************** 
Rezension 
Propaganda aus dem Bundeshaus
«Die Zahl der Lobbyisten im Bundeshaus hat in den letzten Jahren stark zugenom-men, der Branchenverband Schweizerische Public Affairs Gesellschaft (SPAG) zählt heute 180 Mitgliedes.» (NZZ, 4./5.10.08)
Die Psychologin Judith Barben hat sorg-fältige Arbeit geleistet: Sie deckt die Metho-den der politischen Einflussnahme auf, die in den letzten Jahrzehnten im Berner Bundeshaus und in der Politik im Allgemeinen Einzug gehalten haben. Im ersten Teil des Buches beschreibt sie anschaulich Metho-den und Ursprung der sogenannten Spin doctors, der Wahrheitsverdreher. Im zwei-ten enthüllt sie das Bundeshaus als PR-Agentur und nimmt beispielhaft den Bergier-Bericht vor. Im dritten präsentiert sie eindringlich die Trauergeschichte um die Neue Bundesverfassung und die Verstrickung der Schweiz in die Nato durch die Partnerschaft für den Frieden (vgl. dazu Judith Barbens langer Beitrag in Gegenwart Nr. 3/08). Ueli Maurer hielt in seiner 1. August-Rede 2005 fest: «‹Unsere Armee ist durch das Programm Partnerschaft für den Frieden (PfP) sehr nahe an die Nato und damit an kriegsführende Länder gerückt (…). Wenn wir uns auf die Grundwerte des Staates besinnen, (…) müssen wir (…) die Mitarbeit in PfP aufkünden.›» (S. 204f.)
«In packender Sprache beschreibt die Autorin, wie bei entscheidenden Vorhaben aus Bundesbern Manipulatoren im Hintergrund die Fäden ziehen.» (Strategie-Experte Prof. Albert A. Stahel) Es wird gut sein, auch bei der Kommunikation zur Finanzkrise u.a. die Kenntnisse dieses brisanten Buches bereit zu haben. Damit kann der Aushöhlung der demokratischen Schweiz entgegengetreten werden. Das Buch ist unentbehrlicher Staatskunde-Unterricht.
Gerold Aregger
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Judith Barben: 
Spin doctors im Bundeshaus
Gefährdungen der direkten Demokratie durch Manipulation und Propaganda
Eikos Verlag, Baden 2009
(214 S., Fr. 28.80 / €19.60)
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GEGENWART
Zeitschrift für Kultur, 
Politik, Wissenschaft Nr. 3/2009
Herausgeber und Redaktion
Gerold Aregger (ga)
Burgunderstrasse 132
3018 Bern
Tel./Fax 031 991 48 23
__________________________________________ Buchrezension 20  NZZ am Sonntag  27. September 2009 Judith Barben: Spin doctors im Bundeshaus. Gefährdungen der direkten Demokratie durch Manipulation und Propaganda. Eikos, Baden 2009. 214 Seiten, Fr. 28.80. Von Urs Rauber   «Spin doctors» sind nach Wikipedia politische Berater, die der Darstellung von Ereignissen in der Öffentlichkeit den richtigen Dreh (engl. «spin») verpassen. Solche PR-Experten sind für Judith Barben «Wahrheitsverdreher, die in einer Demokratie nichts zu suchen haben». Mit Akribie und Verve deckt die 56-jährige Psychologin, eine frühere VPM-Anhängerin, die grassierende Unsitte auf, Behördeninformation durch ein Heer von Informationsbeauftragten, Pressesprecherinnen, Kommunikationsberatern und PR-Assistentinnen frisieren zu lassen.   2007 waren gemäss Bundesratssprecher Oswald Sigg fast 700 «Fachmitarbeiter für Kommunikation» beim Bund angestellt – doppelt so viele als noch im Jahr 2000. Wer als Journalist recherchiert, kennt die in den letzten Jahren erfolgte kommunikative Aufrüstung der Bundesverwaltung, die den Kontakt zwischen Medien bzw. Öffentlichkeit und Behörden massiv erschwert hat. Im Gegensatz zur Selbstdarstellung der PR-Branche hat die Vorschaltung von Kommunikatoren den Zugang zu Bundesrat und Ämtern nämlich nicht erleichtert, sondern erschwert und kompliziert.   Unzulässige Beeinflussung   Gravierender allerdings ist die von Judith Barben aufgezeigte Tendenz von Behörden, ihre Informationen statt fair und objektiv immer häufiger gefiltert, gefärbt und politisch «gedreht» abzugeben.   Selbst der ehemalige Vizekanzler Achille Casanova räumte in einer privaten Mail ein, dass «einige Kommunikationsbeauftragte der Departemente, ‹Spin doctoring›-Techniken anwenden, obwohl sie offiziell nicht zulässig sind». Dabei vergass er beizufügen – so die Autorin –, dass er selbst als Bundesratssprecher Abstimmungen unzulässig beeinflusst hat. Casanova war es nämlich gewesen, der der im Juni 2008 zur Abstimmung gelangenden Initiative «Volkssouveränität statt Behördenpropaganda» das politische Totschlagwort «Maulkorbinitiative» angeklebt hatte.   In ihrem gut dokumentierten und spannenden Report zeigt die Verfasserin im Detail, wie solches «Massieren» von Nachrichten und Informationen in über einem Dutzend Fällen vor sich gegangen ist: Von der Totalrevision der Bundesverfassung (1999), bei der Bundesrat Koller beharrlich und verharmlosend von einer «Nachführung» der Verfassung sprach, während wichtige Neuerungen wie etwa die Einschränkung der Kantonssouveränität im Bundesbüchlein schlicht verschwiegen wurden. Über Adolf Ogis ungebremsten Einsatz für die Nato-Partnerschaft für den Frieden mithilfe des zum Spindoctor mutierten ehemaligen Sonntagsblick»-Nachrichtenchefs Thomas Suremann. Bis zu dem von Couchepin verantworteten Engagement einer PR-Agentur zur Bekämpfung der Initiative «Ja zur Komplementärmedizin», für die der Bund 300 000 Franken bereitgestellt hatte.   Wörtchentausch mit Folgen   Judith Barben macht unmissverständlich und zu Recht klar, was im Berner Alltag immer wieder vergessen zu gehen droht: dass der Bundesrat sich gegenüber Volksinitiativen und in Fragen von verfassungsmässig verankerten Grundwerten – etwa der Neutralität – strikt unparteiisch zu verhalten hat. Bezeichnend in diesem Zusammenhang ist ein von Barben aufgezeigtes Detail bei der Totalrevision der Bundesverfassung. Stand in der alten Charta der Satz: «Die oberste vollziehende und leitende Behörde der Eidgenossenschaft ist ein Bundesrat» (Art. 95 BV alt), so hiess es in der neuen Verfassung: «Der Bundesrat ist die oberste leitende und vollziehende Behörde des Bundes» (Art. 174 BV neu). Was war passiert? Indem die Wörtchen «vollziehend» und «leitend» vertauscht wurden, erhielt die Regierung, die zuvor eine primär vollziehende (also dem Volke dienende) und erst in zweiter Linie eine leitende Behörde war, stillschweigend einen Machtzuwachs.   Wenn die streitbare Autorin das Bundeshaus als «grösste PR-Agentur der Schweiz» bezeichnet, befindet sie sich in guter Gesellschaft. Auch die NZZ sprach schon 2004 von der «ungebremsten PR-Lawine des Bundes». Und kürzlich hat eine Bachelor-Arbeit an der Universität Lugano von Mélanie Chopard diesen Befund erhärtet. Barbens Aufklärungsfibel über Propaganda, Desinformation und Manipulation ist zugleich ein Plädoyer für eine ethisch fundierte Politik, in der Transparenz und direkte Demokratie grossgeschrieben wer den. Dass die Autorin gelegentlich etwas ausufert und inhaltlich nicht immer ganz konsistent argumentiert, tut der staatspolitischen Bedeutung ihres Büchleins keinen Abbruch. ●   Weitere Rezensionen: http://www.eikos.ch/verlag/presse_Bundeshaus.html

Rezensionen
   
  Das Bundeshaus als grösste PR-Agentur
der Schweiz
NZZ am Sonntag
27. September 2009
       
  Propaganda aus dem Bundeshaus Gegenwart – Zeitschrift für Kultur, Politik, Wirtschaft
Nr. 3/2009 

     
  Die Wahrheitsverdreher im Bundeshaus Andelfinger Zeitung
20. November 2009 

     
  Bundeshaus: Propaganda-Bataillon im Einsatz. „Wahrheitsverdreher”: Erschreckende Einsichten Pro Militia
Nr. 4/2009
     
  Sachbuch: Spin doctors im Bundeshaus SonntagsZeitung
17. Januar 2010
       
  Les spin doctors jouent contre le secret bancaire L'AGEFI
22 février 2010
       
  Manipulation der politischen Meinungs-
bildung
Das Goetheanum
Nr. 16/2010
   
   
   
   
  Interviews mit der Autorin Judith Barben
   
  Für Geld verkaufen Spin Doctors alles Die Südostschweiz am Sonntag
27. September 2009
     
  Gegen manipulative Psychotechniken Bote vom Untersee und Rhein
07. Juli 2009
   

Invitation. La doctrine sociale de l’Eglise à l’Université de Lausanne

Le secret le mieux gardé au monde, la doctrine
sociale de l’Eglise à l’Université de Lausanne.
Les causes profondes de la crise économique seront l’objet d’une conférence-débat, mardi 2 novembre à 19 heures, à l’Université de Lausanne. 

Le professeur Nicolas Michel livrera son analyse à la lumière d’une approche éthique s’appuyant sur la doctrine sociale de l’Eglise. 

Deux chefs d’entreprise vaudois apporteront leur éclairage.
La conférence-débat est organisée par le Cercle catholique de Lausanne et animée par Jean-Marie Brandt, docteur en sciences économiques et en théologie. 
Ce dernier donnera d’abord la parole à Nicolas Michel, de la faculté de droit de Genève et de l’Institut universitaire des hautes études internationales (HEI). 
Il expliquera comment réagir de manière compétente et responsable à la crise économique.
Avec les patrons de la BCV et de Bobst
Après l’exposé, deux patrons vaudois, Olivier Steimer, président de la Banque cantonale vaudoise (BCV), et Jean-Pascal Bobst, président de la direction du groupe Bobst, livreront leurs expériences et réflexions. Un apéritif suivra.
Rendez-vous : UNIL, Dorigny, bâtiment Internef, auditoire 263. Accès par le M1 (arrêt UNIL-Dorigny).

Toute création monétaire doit se faire sans intérêts pour le bien de tous. L'argent est un bien démocratique.


Il y aurait beaucoup moins de taxes.

Il y aurait beaucoup moins d'inflation car il y aurait moins d'intérêts qui alourdissent les fardeaux sociaux.

Il y aurait moins de banquiers obèses à qui on a acheté leur conscience pas des bonus et salaires exorbitants.
Ces profiteurs de la crédulité infinie des citoyens bernés n' ont aucune raison de régler en faveur des peuples le volume de la monnaie en circulation vu qu'ils gagnent toujours plus en profitant de ces symboles sans limites, au prix de vies humaines.
Leurs salaires et primes exorbitants sont indécents et iniques, c'est le prix du sang des désespérés, suicidés, malades chroniques, pollués, alcooliques, drogués, terroristes, révolutionnaires, psychiatrisés, fous, prisonniers, délinquants, morts de faim ou de malbouffe….
Les banquiers et financiers ont abusé de ce pouvoir, devenu sans aucune limite légale comme par exemple au Canada.
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de l'abondance en endettant tous les pays et personnes. 
Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988 dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
Ce sont des tigres en papier.
C'est, comme l'a écrit plus tard, Maurice Allais, Nobel 1988, un jeu de faux-monnayeur. Il est, soulignait-il « aujourd'hui, pour le moins paradoxal de constater que, « lors que pendant des siècles l'Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l'État de battre monnaie et le privilège exclusif d'en garder le bénéfice la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés » (M. Allais. L'impôt sur le capital et la réforme monétaire,
Hermann 1976).
Nous disons donc qu'il y a une malhonnêteté évidente à demander un intérêt sur l'usage d'un bien (la monnaie) que l'on ne possède que par des symboles virtuels créés du néant et en profitant de la crédulité du public et du silence des intellectuels, politiques et religieux grassement payés pour se taire et ne rien comprendre.
Pour un système moderne et démocratique.
En rendant à l'État, ou à sa Banque centrale, l'exclusivité de la création monétaire, la monnaie est émise par un seul intervenant et n'a pas à être émise contre un intérêt.
Dans une économie créditrice, cette monnaie de crédit, qui se substitue au crédit bancaire ex nihilo, est rendu social car
a) il est distribué à tous sous forme de dividendes,
b) il vient compenser des ajustement sociaux (mécanisme de l'escompte compensé),
c) il finance des investissements collectifs de développement durable.
C'est un crédit social.
Il ne faut donc pas confondre et traiter de la même façon le prêt d'une monnaie qui n'existe pas (le crédit bancaire ex nihilo, la grande majorité des "capitaux" qui ne deviennent capitaux que plus tard, par le travail d'hommes et de plus en plus de machines robotisées) et le prêt d'une monnaie épargnée.
Dans le premier cas, c'est un système qu'il convient de dénoncer et de rectifier, vu les robots de plus en plus nombreux qui prennent les places des hommes. Il faudra bien trouver le moyen de distribuer ces dividendes du progrès technique et des robots.
Dans le deuxième cas, nous avons affaire à des particuliers, l'épargnant et l'emprunteur. Il n'est pas sain que l'un gagne sur l'autre, car dans une bonne coopération, les deux doivent normalement également gagner.
Les distinctions subtiles entre usure et intérêt résultent de la pression de certains groupes au XVe siècle, mais pour Saint Ambroise, « demander un intérêt, c'est tuer un homme ». Even dénonce à juste titre l'intérêt et lui oppose le dividende (voir en 3.5).
A ce titre, des banques d'inspiration catholique (NEF, BFCC) ont créé des comptes épargne éthique qui permettent aux épargnants de partager les intérêts avec les emprunteurs et de choisir les domaines d'investissement de leur épargne (logement, emploi, agriculture bio, etc). Mais tout ceci reste marginal.
En revanche, l'économie créditrice accorde à tous un crédit sans intérêt dédié à la consommation et à l'investissement, circonscrit au circuit économique, et par conséquent sans fuite, thésaurisation et spéculation possibles et qui tient compte des robots toujours plus nombreux à notre disposition.
C'est un outil de libération des chaînes de la servitude financière pour un avenir meilleur, à notre portée dès demain si on le veut bien.
inspiré de C.H. Douglas, Alain Pilote, Jeanpier Dutrieux et Louis Even
François de Siebenthal

Invitation à l’Université de Lausanne

Le secret le mieux gardé au monde, la doctrine
sociale de l’Eglise à l’Université de Lausanne.
Les causes profondes de la crise économique seront l’objet d’une conférence-débat, mardi 2 novembre à 19 heures, à l’Université de Lausanne. 

Le professeur Nicolas Michel livrera son analyse à la lumière d’une approche éthique s’appuyant sur la doctrine sociale de l’Eglise. 

Deux chefs d’entreprise vaudois apporteront leur éclairage.
La conférence-débat est organisée par le Cercle catholique de Lausanne et animée par Jean-Marie Brandt, docteur en sciences économiques et en théologie. 
Ce dernier donnera d’abord la parole à Nicolas Michel, de la faculté de droit de Genève et de l’Institut universitaire des hautes études internationales (HEI). 
Il expliquera comment réagir de manière compétente et responsable à la crise économique.
Avec les patrons de la BCV et de Bobst
Après l’exposé, deux patrons vaudois, Olivier Steimer, président de la Banque cantonale vaudoise (BCV), et Jean-Pascal Bobst, président de la direction du groupe Bobst, livreront leurs expériences et réflexions. Un apéritif suivra.
Rendez-vous : UNIL, Dorigny, bâtiment Internef, auditoire 263. Accès par le M1 (arrêt UNIL-Dorigny).

Toute création monétaire doit se faire sans intérêts pour le bien de tous.
L’argent est un bien démocratique.

Il y aurait beaucoup moins de taxes.


Il y aurait beaucoup moins d’inflation car il y aurait moins d’intérêts qui alourdissent les fardeaux sociaux.
Il y aurait moins de banquiers obèses à qui on a acheté leur conscience par des bonus et salaires exorbitants.





Ces profiteurs de la crédulité infinie des citoyens bernés n’ ont aucune raison de régler en faveur des peuples le volume de la monnaie en circulation vu qu’ils gagnent toujours plus en profitant de ces symboles sans limites, au prix de vies humaines.
Leurs salaires et primes exorbitants sont indécents et iniques, c’est le prix du sang des désespérés, suicidés, malades chroniques, pollués, alcooliques, drogués, terroristes, révolutionnaires, psychiatrisés, fous, prisonniers, délinquants, morts de faim ou de malbouffe….
Les banquiers et financiers ont abusé de ce pouvoir, devenu sans aucune limite légale comme par exemple au Canada.
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de l’abondance en endettant tous les pays et personnes. 
Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c’est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d’économie en 1988 dans « La crise mondiale aujourd’hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
Ce sont des tigres en papier.
C’est, comme l’a écrit plus tard, Maurice Allais, Nobel 1988, un jeu de faux-monnayeur. Il est, soulignait-il « aujourd’hui, pour le moins paradoxal de constater que, « lors que pendant des siècles l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’État de battre monnaie et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés » (M. Allais. L’impôt sur le capital et la réforme monétaire,
Hermann 1976).
Nous disons donc qu’il y a une malhonnêteté évidente à demander un intérêt sur l’usage d’un bien (la monnaie) que l’on ne possède que par des symboles virtuels créés du néant et en profitant de la crédulité du public et du silence des intellectuels, politiques et religieux grassement payés pour se taire et ne rien comprendre.
Pour un système moderne et démocratique.
En rendant à l’État, ou à sa Banque centrale, l’exclusivité de la création monétaire, la monnaie est émise par un seul intervenant et n’a pas à être émise contre un intérêt.
Dans une économie créditrice, cette monnaie de crédit, qui se substitue au crédit bancaire ex nihilo, est rendu social car
a) il est distribué à tous sous forme de dividendes,
b) il vient compenser des ajustement sociaux (mécanisme de l’escompte compensé),
c) il finance des investissements collectifs de développement durable.
C’est un crédit social.
Il ne faut donc pas confondre et traiter de la même façon le prêt d’une monnaie qui n’existe pas (le crédit bancaire ex nihilo, la grande majorité des “capitaux” qui ne deviennent capitaux que plus tard, par le travail d’hommes et de plus en plus de machines robotisées) et le prêt d’une monnaie épargnée.
Dans le premier cas, c’est un système qu’il convient de dénoncer et de rectifier, vu les robots de plus en plus nombreux qui prennent les places des hommes. Il faudra bien trouver le moyen de distribuer ces dividendes du progrès technique et des robots.
Dans le deuxième cas, nous avons affaire à des particuliers, l’épargnant et l’emprunteur. Il n’est pas sain que l’un gagne sur l’autre, car dans une bonne coopération, les deux doivent normalement également gagner.
Les distinctions subtiles entre usure et intérêt résultent de la pression de certains groupes au XVe siècle, mais pour Saint Ambroise, « demander un intérêt, c’est tuer un homme ». Even dénonce à juste titre l’intérêt et lui oppose le dividende (voir en 3.5).
A ce titre, des banques d’inspiration catholique (NEF, BFCC) ont créé des comptes épargne éthique qui permettent aux épargnants de partager les intérêts avec les emprunteurs et de choisir les domaines d’investissement de leur épargne (logement, emploi, agriculture bio, etc). Mais tout ceci reste marginal.
En revanche, l’économie créditrice accorde à tous un crédit sans intérêt dédié à la consommation et à l’investissement, circonscrit au circuit économique, et par conséquent sans fuite, thésaurisation et spéculation possibles et qui tient compte des robots toujours plus nombreux à notre disposition.
C’est un outil de libération des chaînes de la servitude financière pour un avenir meilleur, à notre portée dès demain si on le veut bien.


inspiré de C.H. Douglas, Alain Pilote, Jeanpier Dutrieux et Louis Even


http://euroracket.blogspot.com/2010/10/fwd-conference-revenu-universel-et-sil.html
François de Siebenthal

Votes électroniques toxiques, compliqués, incompréhensibles et invérifiables. Le recomptage doit être possible (art 27n) mais c’est impossible (27n-bis)

Les lois en vigueur ne sont pas respectées dans la plupart des cantons en tests, la majorité selon nos informations suivent le modèle genevois, donc celui qui ne respecte pas la loi..

Selon 20 minutes, Lucerne votera aussi par électronique avec le système incontrôlable de Genève, comme la plupart des cantons tests.

Les articles 27 ss, surtout n et nbis (sic) prouvent la méthode de tricherie déjà légalisée car prévue d'avance pour rendre impossible toute vérification sérieuse,

Après les actifs toxiques UBS par centaines de milliards subprimes tellement compliqués que les honnêtes gens ne pouvaient comprendre, voici les votes toxiques compliqués, incompréhensibles et invérifiables.

Section 6a3 Essais4 de vote électronique

Art. 27a Essais de vote électronique dans le cadre de votations populaires ou d’élections 
Art. 27b Demande d’autorisation 
Art. 27c Contenu de l’autorisation 
Art. 27d Conditions de l’octroi de l’autorisation 
Art. 27e Protection de la formation de l’opinion et du vote contre les manipulations 
Art. 27ebis Personnes handicapées 
Art. 27f Codage 
Art. 27g Secret du vote 
Art. 27h Autres mesures pour assurer le secret du vote 
Art. 27i Contrôle de la qualité d’électeur 
Art. 27j Un citoyen, un vote 
Art. 27k Sauvegarde des suffrages électroniques 
Art. 27kbis Dispositions particulières pour les Suisses de l’étranger ayant la qualité d’électeur 
Art. 27l Etat de la technique 
Art. 27m Constatation du résultat 
Art. 27n Recomptage en cas d’irrégularité 
Art. 27nbis Plausibilité des résultats électroniques 
Art. 27o Suivi scientifique 
Art. 27p 
Art. 27q Signature de demandes de référendum ou d’initiatives populaires fédérales par voie électronique 

Annexe 1a 
Annexe 1b 
Annexe 2 
Annexe 3a 
Annexe 3b 
Annexe 4a 
Annexe 4b 

 RO 1978 712
1 RS 161.1
2 Abrogée par le ch. IV 3 de l’O du 22 août 2007 relative à la mise à jour formelle du droit fédéral, avec effet au 1er janv. 2008 (RO 2007 4477).
3 Introduite par le ch. I de l’O du 20 sept. 2002, en vigueur depuis le 1er janv. 2003 (RO 2002 3200).
4 Nouvelle expression selon le ch. IV 3 de l’O du 22 août 2007 relative à la mise à jour formelle du droit fédéral, en vigueur depuis le 1er janv. 2008 (RO2007 4477). Il a été tenu compte de cette modification dans tout le présent texte.
5 RO 1997 761. Abrogées par le ch. IV 3 de l’O du 22 août 2007 relative à la mise à jour formelle du droit fédéral, avec effet au 1er janv. 2008 (RO 20074477).
Etat le 1er février 2010
Pour remarques et observations: Centre des publications officielles
Les autorités fédérales de la Confédération suisse
Contact |  Informations juridiques


Chancellerie fédérale – Vote électronique
http://www.bk.admin.ch/themen/pore/evoting/index.html?lang=fr

Ordonnance sur les droits politiques
http://www.admin.ch/ch/f/rs/161_11/index.html

La Votation populaire sur les passeports biométriques a provoqué près de 500 recours sur toute la Suisse, dont 460 reconnus valables dans presque tous les cantons.
Les fraudes ont été prouvées dans le canton de Vaud, elles ont aussi lieu dans d'autres cantons.
Selon notamment la Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) et notamment de son article 82 al. 2, nous attaquons la décision du Conseil d'État vaudois car elle lèse gravement non seulement les droits démocratiques des Vaudois mais aussi des citoyens de toute la Suisse en couvrant de graves fraudes démocratiques.

http://euroracket.blogspot.com/2009/06/recours-final-au-tribunal-federal.html

Il existe une autre fraude encore plus grave. L'affaire des 66 milliards de l'UBS est la pointe d'un iceberg. En effet, le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu'il réduit la main-d'oeuvre et engendre un chômage permanent. Une partie importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d'achat des biens créés pour elle et non pas pour quelques individus ou groupes particuliers seulement. Pour que tous puissent avoir une part de l'héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, le Crédit Social propose un dividende dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque citoyen, à titre de citoyen, qu'il ait ou non d'autres sources de revenus. 

I. L'Etat doit reprendre le contrôle de l'émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l'exercera par une commission indépendante jouissant de toute l'autorité voulue pour atteindre son but. 

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit. 

III. En tout temps l'émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu'un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d'un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production. 

Pour des personnes courageuses et pour donner de la lumière aux "jouets" utilisés par certaines forces obscures. Pour une lutte organisée et efficace contre les sociétés secrètes qui sont les parasites de l'économie, de la justice et de la politique. Ce sont elles qui provoquent la violence, le terrorisme, les crises et les guerres…

Kennedy a dénoncé les sociétés secrètes. Burdet et Ferraye aussi.

Kennedy a été assassiné, les esprits cupides les déclarent "fous" …

Vous pouvez cliquer sur les liens ci-dessous, merci.

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une “conspiration monolithique”..

http://desiebenthal.blogspot.com/
http://ferraye.blogspot.com/ 

Votations manipulées par électronique ?

Les moutons “noirs” “suisses” tricheront-ils à nouveau pour trahir notre démocratie directe ?

Votations, 12 cantons tricheront par électronique ?

Selon le 20 minutes de hier, Lucerne votera aussi par électronique avec le système incontrôlable de Genève, comme la plupart des cantons tests.


http://desiebenthal.blogspot.com/2009/05/la-suisse-qui-refuse-de-recompter-ses.html



Sources :


http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Roubaix/actualite/Secteur_Roubaix/2009/05/21/article_la-rumeur-de-la-ville.shtml

… SIEMENS & Co n’évoqueront plus un CA de 50 Millions, mais de plusieurs Milliards CHF… aux frais des Contribuables futurs, et d’abord au détriment des budgets des familles (CHF 50’000.-/unité).

Il en ira de même pour le Vote électronique au sujet duquel tous les Spécialistes sont d’accord pour le contester. 

Sauf bien sûr ceux qui touchent des bonus et de juteuses commissions sur ces marchés…

A évaluer également, notamment sur Rue89 et sur Eco89 : 

Ailleurs sur le Web : 

Dividende direct universel sur France culture et à Genève.

Il y a assez et même trop pour tous, distribuons ensemble l’abondance rendue enfin possible par les robots, machines et ordinateurs. Ils sont de plus en plus efficaces et nombreux:


Un monde nouveau est possible maintenant. 

Après avoir libéré les animaux de la servitude, libérons les hommes grâce aux robots.

Nous aurons sinon de nouvelles guerres sournoises, fratricides et meurtrières.




France culture:


Invitation urgente à Genève:


La FED US inonde et inondera les pires cupides 

de dollars venus du néant pour détruire les 

familles. 

La FED, la soi-disant banque centrale US, en fait une banque privée contrôlée par 12 actionnaires privés,  l’a fait savoir au monde entier urbi et orbi: aucune spéculation, aussi idiote soit-elle, ne perdra son soutien tant qu’elle contribueraà limiter la population en persécutant les familles et conservera au moins neuf zéros avant la virgule des décimales. Douze zéros c’est encore mieux. Plus le trou financier et le mal fait aux familles sont grands, mieux c’est…
Leur but, moins de monde plus facilement contrôlable avec des lois de plus en plus stupides, du style de Monsanto qui brevette les cochons ou les plantes et qui ruine les paysans pour faire monter les prix de la nourriture en faisant croire qu’ils veulent le bien de l’humanité……
Les plus de mille milliards de $ en défaut sont créés du néant, ex nihilo pour les spécialistes, comme 99.999 % de toutes les sommes actuellement en circulation (SIC). Il y a là le danger inflationniste dénoncé par Irving Fisher qui dénonçait déjà en 1933 le fait que l’émission monétaire appartienne à une multitude d’agents privés irresponsables.
Ces profiteurs de la crédulité infinie des citoyens bernés n’ ont aucune raison de régler le volume de la monnaie en circulation vu qu’ils gagnent toujours plus en profitant de ces symboles sans limites, au prix de vies humaines.
Leurs salaires et primes exorbitants sont indécents et iniques, c’est le prix du sang des désespérés, suicidés, malades chroniques, pollués, alcooliques, drogués, terroristes, révolutionnaires, psychiatrisés, fous, prisonniers, délinquants, morts de faim ou de malbouffe….Les banquiers et financiers ont abusé de ce pouvoir, devenu sans aucune limite légale comme par exemple au Canada.Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de l’abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c’est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d’économie en 1988 dans « La crise mondiale aujourd’hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
C’est, comme l’a écrit plus tard, Maurice Allais, Nobel 1988, un jeu de faux-monnayeur. Il est, soulignait-il « aujourd’hui, pour le moins paradoxal de constater que, « lors que pendant des siècles l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’État de battre monnaie et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés » (M. Allais. L’impôt sur le capital et la réforme monétaire,
Hermann 1976).
Nous disons donc qu’il y a une malhonnêteté évidente à demander un intérêt sur l’usage d’un bien (la monnaie) que l’on ne possède que par des symboles virtuels créés du néant et en profitant de la crédulité du public et du silence des intellectuels, politiques et religieux grassement payés pour se taire et ne rien comprendre.
En rendant à l’État, ou à sa Banque centrale, l’exclusivité de la création monétaire, la monnaie est émise par un seul intervenant et n’a pas à être émise contre un intérêt.
Dans une économie créditrice, cette monnaie de crédit, qui se substitue au crédit bancaire ex nihilo, est rendu social car
a) il est distribué à tous sous forme de dividendes,
b) il vient compenser des ajustement sociaux (mécanisme de l’escompte compensé),
c) il finance des investissements collectifs de développement durable.
C’est un crédit social.
Il ne faut donc pas confondre et traiter de la même façon le prêt d’une monnaie qui n’existe pas (le crédit bancaire ex nihilo, la grande majorité des “capitaux” qui ne deviennent capitaux que plus tard, par le travail d’hommes et de plus en plus de machines robotisées) et le prêt d’une monnaie épargnée.
Dans le premier cas, c’est un système qu’il convient de dénoncer et de rectifier, vu les robots de plus en plus nombreux qui prennent les places des hommes. Il faudra bien trouver le moyen de distribuer ces dividendes du progrès technique et des robots.
Dans le deuxième cas, nous avons affaire à des particuliers, l’épargnant et l’emprunteur. Il n’est pas sain que l’un gagne sur l’autre, car dans une bonne coopération, les deux doivent normalement également gagner.
Les distinctions subtiles entre usure et intérêt résultent de la pression de certains groupes au XVe siècle, mais pour Saint Ambroise, « demander un intérêt, c’est tuer un homme ». Even dénonce à juste titre l’intérêt et lui oppose le dividende (voir en 3.5).
A ce titre, des banques d’inspiration catholique (NEF, BFCC) ont créé des comptes épargne éthique qui permettent aux épargnants de partager les intérêts avec les emprunteurs et de choisir les domaines d’investissement de leur épargne (logement, emploi, agriculture bio, etc). Mais tout ceci reste marginal.
En revanche, l’économie créditrice accorde à tous un crédit sans intérêt dédié à la consommation et à l’investissement, circonscrit au circuit économique, et par conséquent sans fuite, thésaurisation et spéculation possibles et qui tient compte des robots toujours plus nombreux à notre disposition.
C’est un outil de libération des chaînes de la servitude financière pour un avenir meilleur, à notre portée dès demain si on le veut bien.
inspiré de C.H. Douglas, Alain Pilote, Jeanpier Dutrieux et Louis Even
François de Siebenthal



PayBox, la monnaie virale ?

Je viens de découvrir ce jour PayBox, un système de paiement P2P qui démarre sur un mode viral à couper le souffle… 50$ crédité à l’ouverture, et 20$ / jour sur le compte… On ne sait pas trop combien de “primo accédants” PayBox compte obtenir, mais avec ce type d’offre, ça va faire tache d’huile très clairement !





S’agirait-il d’un modèle à Dividende Universel, possible dans le système en place grâce à l’effet de levier !? par exemple sous la forme que j’ai déjà abordée dans ce post où je proposais l’alternative au modèle Flattr ?


C’est possible… Mais en attendant de voir comment marchera ce service à terme, je vous invite fortement à aller voir !


La première offre de service financier qui offre vraiment quelque chose… Le début de la révolution monétaire ? Il faut être prudent, mais étudier vraiment la chose de très près !


On peut déjà pointer le souci principal: L’intention du système n’est pas claire, dans le sens où seuls les “early users” se voient créditer à priori de la monnaie. Il n’est précisé nulle part si le dividende annoncé (20 $ / jour) aux premiers utilisateurs sera maintenu. Dès lors si le système s’apparente au Dividende Universel dans sa forme initale, le “code” du système est caché, reste propriétaire et l’intention de ses inventeurs n’est pas connue. En arrêtant le Dividende Annoncé tôt ou tard, les initiateurs montreront alors leur volonté qui est d’exploiter le système, et non pas d’offrir un service transactionnel libre.


Autre soucis, le système propose d’appeler “$” sa monnaie, or il n’assure en rien, aucun taux de conversion avec la monnaie officielle de même nom. C’est donc un facteur de jugement faussé. Des monnaies n’ont pas de taux de conversion “à priori”. Comme je l’ai démontré dans la “théorie relative de la monnaie” (en cours de finition), le taux de change instantané entre deux monnaies de masses monétaires Ma et Mb, et à nombre de membres Na et Nb, dépend de (Ma/Na) / (Mb/Nb) sur le long terme, du fait que les hommes ont la même capacité créative à éducation et accès aux ressources naturelles équivalentes… On ne peut donc se fier à un “nommage” pour évaluer un taux de conversion, c’est même totalement trompeur. Par contre étant donné le taux de 20$ / jour, qui est donc de 600 $ / mois, sur le long terme, on pourrait converger, sauf que l’économie locale concernée part de zéro, et qu’il faudra donc beaucoup de temps, et beaucoup de stabilité pour générer de la confiance…


Ce n’est donc pas un système à Dividende Universel “Free” ou “Open Source” dans ce sens, et en toute logique il faut donc l’utiliser avec une extrême prudence, et tenant compte de ce problème majeur. Mais l’idée est là, et le même système, utilisé avec une règle ouverte, et inchangeable, via un contrat long terme unissant tous les utilisateurs, sera à même d’être appelé véritablement système monétaire libre à Dividende Universel…

dimanche 17 octobre 2010

Des retraites à plusieurs vitesses ?

Par un vote du 3 Septembre 2010 l’assemblée nationale a rejeté à la quasi unanimité l’alignement des retraites des parlementaires et des membres du gouvernement sur le régime général. Un vote curieusement absent de toute communication “médiatique” au sens traditionnel du terme en pleine crise sociale sur le sujet…


Citons l’exposé sommaire de cet amendement :


“Nos concitoyens supportent de plus en plus difficilement l’idée selon laquelle leurs élus et représentants bénéficieraient, dans leurs rémunérations comme dans la gestion de leurs droits sociaux, de dispositions dérogatoires du droit commun. Les différents systèmes mis en place pour sécuriser l’exercice de responsabilités politiques demandent à être harmonisés, afin que l’ambition légitime de permettre à chacune et chacun de s’investir dans les affaires publiques ne soit plus perçue comme une tentative de créer ou laisser perdurer des privilèges indus.”

 Philippe, Duc d’Orléans, dit Monsieur (1640 – 1701)



Par ailleurs au niveau Européen ce sont des primes de 300 000 à 500 000 € que touchent les “gagnants” de la démocratie casino, comme l’expose cet article du Point, et des retraites de 4000 à 7000 € / mois pour les fonctionnaires Européens


Quand je vous explique que la création monétaire incestueuse entre Banques et Etats est ce qui gouverne bien plus sûrement que les gouvernements…

mercredi 13 octobre 2010

Dividende Universel, John Locke, et Libertarisme de gauche

Dans “les 4 arguments du Dividende Universel” je défendais en argument premier le fait que chaque zone économique, définie par la monnaie commune qui l’anime est la co-propriété globale de ses citoyens. Ceci exprime le fait que chaque nouveau né en tant que co-propriétaire en hérite, et qu’à ce titre il est en droit d’en percevoir un Dividende, qui n’a de sens qu’en regard de la mesure de sa richesse globale, qui est en rapport avec la masse monétaire.


Or, je ne me doutais pas que cette notion était déjà abordée au sein de la “clause lockéenne“. Cette clause, développée par un précurseur des lumières, John Locke (1632 – 1704), est à l’origine du libertarisme de gauche. Elle précise que la propriété privée ne peut exister qu’en regard d’une compensation pour les citoyens, qui se voient ainsi privés de leur accès à la terre originelle, quand, et c’est le cas lors de chaque grande crise pré-révolutionnaire, cette propriété atteint des niveaux relatifs tels (plus de 80% de la totalité, comme dans le cas modèle deslatifundios Espagnols et Sud Américains), qu’elle en étouffe la liberté individuelle.

John Locke

En quelque sorte le libertarisme de gauche qui affirme la liberté et la propriété individuelle, comprend aussi que la globalité ne saurait être la propriété exclusive de quelques uns au détriment des autres sans compensation. Il affirme donc une double propriété inaliénable, celle de la globalité comme étant non privatisable en totalité, et celle de l’individu comme étant irréductible. Cette double nature de la propriété qui implique la compensation, est la raison même du Dividende Universel.


France Culture a enregistré une émission complète sur ce sujet, qui résume et explique parfaitement l’ensemble de ces notions fondamentales. Je vous invite donc à l’écouter et à le méditer dans ses moindres aspects, car à mon sens, il s’agit là du point clé du changement de paradigme qui doit diriger les choix politiques à venir, parce qu’il dépasse le clivage droite-gauche, en proposant, sur la base du Dividende Universel, de concilier propriété privée et propriété collective, choix démocratiques de politiques sociales, et liberté individuelle.


Nouvelles en hébreu pour le Moyen-Orient.

Grâce au sponsor de la Custodie de Terre Sainte sur le site de Radio Vatican, à compter de ce jour, 10 octobre, marquant l’ouverture des travaux de l’Assemblée spéciale du Synode des Evêques pour le Moyen-Orient, il est possible de suivre toutes les nouvelles en hébreu sur le link suivant 


:http://www.radiovaticana.org/heb/si…

עמוד  הבית של סינוד הכנסייה הקתולית במזרח התיכון- 2010
 

סיום הסינודוס לכנסייה הקתולית במזרח התיכון  

לפעם הראשונה בתולדות הכנסייה, האפיפיור כינס סינודוס להגמוני הכנסייה הקתולית במזרח התיכון ואשר התקיים ברומא מה-10 ועד ה-24 באוקטובר 2010. הסינודוס הסתיים היום עם הניסוח של 44 הצעות וארוחת צהריים חגיגית עם האפיפיור. מה היו הנושאים העיקריים בדיונים שהתנהלו?   הפטריארכים משבע הכנסיות הקתוליות (המרוניטית, המלכיתית,

   

האפיפיור ערך מיסה חגיגית לסיום הסינודוס  

ביום א, ה-24 באוקטובר 2010, בכנסיית סנט פיטר ברומא, ערך האפיפיור ברוך (בנדיקטוס) ה-16 מיסה חגיגית יחד עם ההגמונים לסיום הסינודוס.    בשעה 9.30 בבוקר ביום א, נכנס האפיפיור לכנסיית סנט פיטר יחד עם שבעה הפטריארכים של המזרח התיכון ועשרות ההגמונים והכוהנים שהשתתפו בסינודוס. המיסה החגיגית כללה שירים מהמסורות השונות — הלטינית,

   

הדו"ח המסכם לאחר הדיונים, כולל שאלות שידונו על ידי אבות הסינוד בישיבות הסגורות.

בפתיחת השבוע השני של הסינוד הוגש נוסח של הדו†ח של הסינוד, לאחר ההערות. הנוסח חוזר על   עיקרי הדברים שנאמר בדיווח הפותח את הסינוד ביום שני 11 באוקטובר, תוך התייחסות והרחבה בהתאם למה שנידון במהלך הסינוד. המסמך חוזר ומתאר את מצבם של הנוצרים במזרח התיכון היותם מיעוט קטן, בעל שליחות, לחיות ברוח הבשורה, באזור שהוא מקום

   

קולם של הצעירים בסינוד

רגע לפני שהסתיימו הנאומים של המשתתפים בסיוד, אמר  האב ג'ורג' נורדונגיאן רקטור הקולג' הארמני ברומא, המשתתף כאורח הסינוד, כי הסינוד הרבה לעסוק בבעיות המעסיקות את ההיררכיה של הכנסייה, את הבישופים הנכבדים הנוכחים בסינוד, אך ממעט לעסוק בחיי היום יום של הצעירים, בני הקהילות (עמאים). הוא הוסיף, שהסינוד עוסק בשאלות של

   

הארכיבישוף שאקור: "אנו לא צריכים את כספכם אלא את ידידותכם"

הארכיבישוף אליאס שאקור בישוף עכו, ראש הכנסייה היוונית קתולית מלכיתית בישראל פתח את דבריו בסינוד בהזכירו כי הוא מייצג את כל השורדים של טראומת 1948, שהפכה את הנוצרים בארץ למיעוט חסר כוח. בפנייתו לקהל הבישופים הוא הזכיר את חשיבות הנוצרים בגליל היושבים באותו מרחב גיאוגרפי ממנו בא האיש מן הגליל, ישוע מנצרת. שאקור

   

הרב דוד רוזן: באופן יחסי מצבם של הנוצרים במדינת ישראל טוב.

במסיבת עיתונאים שערך הועד היהודי אמריקני לרב דוד דוזן לקראת נאומו בפני הסינוד, ציין הרב רוזן את הכבוד הגדול להיות דובר יהודי בסינוד ואת תודתו לרבנות הראשית אליה הגיעה ההזמנה להופיע בפני הסינוד, שמינתה אותו. הוא פתח והדגיש את חשיבות הקהילות הנוצריות למציאות של המזרח התיכון ושל מדינת ישראל בפרט, גם אם לא כל

   

"העברית, גם היא שפת הכנסייה במזרח התיכון"

ביום השני של הסינוד נשא את דבריו האב ד"ר דוד נויהאוז הישועי, ראש הנציגות הקתולית של הפטריארכיה הלטינית של. האב נויהאוז הקדיש את זמנו לספר על הקהילה הייחודית בה שפת התפילה היא עברית, ופתח במילים "העברית, גם היא שפה של הכנסייה במזרח התיכון." אותן אמר בעברית. האב נויהאוז סיפר כיצד בקיץ האחרון התקיימה

   

כשמזרח ומערב נפגשים, בישופי הסינוד דנים באחדות הכנסייה

דיוני הסינוד שהחלו ביום שני אחה"צ כללו נאומים קצרים בני חמש דקות בלבד שכל בישוף התבקש להכין מראש ולהציג במליאה. מטרת הדיונים לאפשר לכל 185 המשתתפים לשאת דברים, להאיר את אחד העניינים שעל סדר היום מתוך מסמך העבודה מהפרספקטיבה האישית שלו. בסופו של כל יום דיונים מוקדשת שעה להערות קצרות וספונטניות מצד

   

"למעלה משלושה מיליון מהגרי עבודה נוצרים במזה"ת"

"כמחצית הנוצרים במזרח התיכון הם מהגרי העבודה, רובם באזור מדינות המפרץ" אמר בישוף כווית בדיון באסיפת הסינוד, בערב היום הראשון של הדיונים.  בפתיחת הסינוד דיבר נציג המזכיר הכללי של כנס הבישופים של אסיה הבישוף של קוטאבטה, אשר בפיליפינים,  והעלה את אחת הבעיות הקושרות בין המזרח הרחוק והמזרח התיכון, מצבם של מהגרי

   

הקהילה הקתולית דוברת העברית ויחסי יהודים ונוצרים בארץ, ראיון עם האב דוד נויהאוז הישועי

כתבת רדיו הוותיקן ראיינה את האב ד"ר דוד נויהאוז הישועי ערב פתיחת סינוד הבישופים של המזרח התיכון, על קהילתו, הקהילה הקתולית דוברת העברית ועל יחסי יהודים ונוצרים בארץ. להאזנה לראיון המלא:00:11:46:20  

   

חדשות מהסינוד: תהליך ההכנה לסינוד ורקע על הנוצרים במזרח התיכון, דברי הפתיחה של הבישוף ניקולה אטרוביץ'

דברי פתיחה של המזכיר הכללי הבישוף ניקולה אטרוביץ' היום הראשון לדיונים בסינוד נפתח בתפילה ודברים שנשא האפיפיור, כשהוא דורש את מזמור תהילים פ"ח שנקרא בתפילת הבוקר: "הסירותי מסבל שכמו, כפיו מדוד תעבורנה. בצרה קראת ואחלצך, אענך בסתר רעם אבחנך על מי מריבה" (תהילים פ"ח 7-8). הוא דבר על המקומות שנוכחות האל מוחלפת

   

נאום הפתיחה של הפטריארך הקופטי קתולי של אלכסנדריה

נאום הפתיחה :הפטריארך הקופטי קתולי של אלכסנדריה אנטוניוס נאגיב. בנאומו חזר הפטריארך על עיקרי מסמך העבודה עליו ידונו הבישופים במהלך הסינוד כאשר לכל אחד ינתנו כשש דקות להציג את הנושא מנקודת המבט הייחודית למקום ממנו הוא מגיע. הפטריארך הדגיש את הקשר של הקהילות במזה"ת עם כתבי הקודש, וחשיבותם להבנתם

   

פתיחת תערוכת צילומים של נוצרים במזרח התיכון, קסטודיה טרה סנטה.

פתיחת תערוכת צילומים על הנוצרים בארץ הקודש, הקסטודיה של ארץ הקודש. אחד האירועים הנלווים לסינוד, פתחו שבוע של פעילות מגוונות העוסקת בנוצרים במזרח התיכון הייתה פתיחת תערוכת צילומים המציגים את חיי הנוצרים במזרח התיכון. בתערוכה מוצגות קהילות נוצריות שונות באופיין ובמקומן. התמונות מספרות את סיפורן של

   

חדשות מהסינוד:מיסת הפתיחה החגיגית

חדשות מהסינוד:מיסת הפתיחה החגיגית  ביום ראשון 10.10.2010 בבזיליקת סנט פטרוס, ערך האפיפיור בנדיקטוס השישה עשר את המיסה Â החגיגית לכבוד פתיחת הסינוד המיוחד של המזרח התיכון בהשתתפות 177 בישופים משתתפי הסינוד ואורחים. נושא הסינוד שימשך עד 24 אוקטובר 2010 יהיה: הכנסייה הקתולית במזרח התיכון: אחדות ועדות בהתבסס על הפסוק מספר מעשי

   

אודות הסינוד- הצגת הסינוד על ידי בישוף נוקולה אטרוביץ'

הצגת הסינוד על ידי המזכיר הכללי של סינוד הבישופים מונסניור ניקולה אטרביץ' "קהל המאמינים היה לב אחד ונפש אחת" (מעשי השליחים 4:32) במילים אלה פתח הבישוף  ניקולאה אטרוביץ' את ההודעה לעיתונאים לקראת פתיחת הסינוד. מילים אלו מציגות את החיים האידיאלים המצופים מהקהילה הנוצרית ברוח חיי השליחים וזהו גם המוטו של

   

פוקוס

האב לומברדי: הסינוד, זרע השלום.

  במשך השבועיים הקרובים הכנסיות הקתוליות של המזרח התיכון יהיו במרכז תשומת הלב של הכנסייה כולה, כאשר הבישופים שלהם מתכנסים לסינוד ברומא. המזרח התיכון הוא אזור שבו נוצרים הם מיעוט, במדינות מסוימות מיעוט קטן מאוד, חסר כל השפעה פוליטית וחברתית, במקומות בהם מצב של מלחמה או מתח מתמשך, פוגעים בתקווה לעתיד ודוחפים  אנשים להגר. אבל זה גם האזור שבו הנצרות נולדה, שם טמונים

נאומים

מסר הסינודוס

בתום הדיונים, האבות הסינודאליים פרסמו מסר למאמינים בבית ולעולם הרחב. אנו מסכמים כאן את תוכנו בעברית בעקבות הפרסום השלילי למדי בעיתונות הישראלית והתגובות החריפות של פקידי הממשל. ניתן לקרוא את הטקסט המלא באתר הוותיקן.     המסר פורסם תחת הכותרת

  

נאומו של מוחמד אל סמאק בפני האסיפה

מר סמאק פתח את דבריו בשאלה, מדוע סינוד פנימי קתולי העוסק בנוצרים במזרח התיכון מזמין מוסלמי לדבר? אם מצב הנוצרים במזרח התיכון היה טוב יותר, היה צורך בסינוד הזה? האם סינוד כזה יכול להבטיח את יציבותם ולחזק את שורשיהם של הנוצרים בארץ אבותיהם? ומה

  

יחסי יהודים-נוצרים והמזרח התיכון, נאומו של הרב דוד רוזן בפני האסיפה

היחסים כיום בין הכנסייה הקתולית והעם היהודי הם שינוי מבורך בימינו — ואפשר לטעון שאין לו מקבילה היסטורית. בדבריו בבית הכנסת הגדול ברומא בינואר האחרון, הוד קדושתו האפיפיור בנדיקטוס XVI התייחס להחלטות מועצת הוותיקן השנייה ציון דרך ואנו לדבר

  

  

"העברית, גם היא שפת הכנסייה במזרח התיכון"

ביום ראשון 10.10.2010 בבזיליקת סנט פטרוס, קברו של השליח פטרוס, ערך האפיפיור בנדיקטוס השישה עשר את המיסה החגיגית לכבוד פתיחת הסינוד המיוחד של המזרח התיכון בהשתתפות 177 בישופים משתתפי הסינוד, ואורחים. נושא הסינוד, שיימשך עד 24 אוקטובר 2010 יהיה: הכנסייה הקתולית במזרח

  


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La Bible pour justifier des injustices ? NON

Il n'est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument qui 
justifie les injustices.
Commentaires pour éviter des manipulations graves.
Le Message et l’intervention du P. Neuhaus

La présence des juifs et de l’hébreu au synode

Par ZENIT.org
Italie 
Mercredi 27 Octobre 2010
Le Message final du synode pour le Moyen-Orient consacre trois paragraphes à la « Coopération et dialogue avec nos concitoyens juifs ». Pour la première fois, les documents d'un synode sont disponibles en hébreu, sur le site de Radio Vatican. Une intervention a reflété la situation des chrétiens de langue hébraïque. Un rabbin a eu la parole et a rencontré Benoît XVI. Trois documents du synode ont condanmé l'antisémitisme et l'antijudaïsme.


Le pape accueille le rabbi David Rosen du rabinat d'Israël en tant que conseiller au Synode des évêques du Moyen-Orient.. : Photo CNS/L'Osservatore Romano

Le pape accueille le rabbi David Rosen du rabinat d'Israël en tant que conseiller au Synode des évêques du Moyen-Orient.. Photo CNS/L'Osservatore Romano

La Bible et le Concile Le premier paragraphe du message adressé aux « concitoyens juifs » concerne l'Ecriture Sainte : « La même Écriture Sainte nous unit, l'Ancien Testament, qui est la Parole de Dieu à vous et à nous. Nous croyons en tout ce que Dieu y a révélé, depuis qu'il a appelé Abraham, notre père commun dans la foi, père des juifs, des chrétiens et des musulmans. Nous croyons dans les promesses de Dieu et son alliance données à lui et à vous. Nous croyons que la Parole de Dieu est éternelle. » Le second rappelle le tournant de la déclaration concilaire « Nostra Aetate » sur les rapports de l'Eglise avec les religions non-chrétiennes et le déveloopmeent successif des relatiosn avec le judaïsme : « Le Concile Vatican II a publié le document Nostra Aetate, concernant le dialogue avec les religions, avec le judaïsme, l'islam et les autres religions. D'autres documents ont précisé et développé par la suite les relations avec le judaïsme ». Ce même paragraphe recommande le développement du dialogue au profit aussi de la paix : « Il y a d'autre part un dialogue continu entre l'Église et des représentants du judaïsme. Nous espérons que ce dialogue puisse nous conduire à agir auprès des responsables pour mettre fin au conflit politique qui ne cesse de nous séparer et de perturber la vie de nos pays. » La résolution du conflit C'est justement à la paix qu'est consacré le troisième paragraphe : « Il est temps de nous engager ensemble pour une paix sincère, juste et définitive. Tout deux sommes interpelés par la Parole de Dieu. Elle nous invite à entendre la voix de Dieu « qui parle de paix » : « J'écoute. Que dit Dieu ? Ce que Dieu dit c'est la paix pour son peuple et ses amis » (Ps 85, 9). Il n'est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices. Au contraire le recours à la religion doit porter toute personne à voir le visage de Dieu dans l'autre, et le traiter selon les attributs de Dieu et selon ses commandements, c'est-à-dire selon la bonté de Dieu, sa justice, sa miséricorde et son amour pour nous. » Et pour ce qui est de la résolution du conflit, le Message du synode précise, dans un chapitre adressé « à la communauté internationale », l'importance des résolutions de l'ONU: « Les citoyens des pays du Moyen-Orient interpellent la communauté internationale, en particulier l'O.N.U., pour qu'elle travaille sincèrement à une solution de paix juste et définitive dans la région, et cela par l'application des résolutions du Conseil de sécurité et la prise des mesures juridiques nécessaires pour mettre fin à l'occupation des différents territoires arabes ». La sécurité d'Israël Le Message ajoute ce paragraphe qui fait allusion à la sécurité d'Israël : « Le peuple palestinien pourra ainsi avoir une patrie indépendante et souveraine et y vivre dans la dignité et la stabilité. L'État d'Israël pourra jouir de la paix et de la sécurité au-dedans des frontières internationalement reconnues. La Ville Sainte de Jérusalem pourra obtenir le statut juste qui respectera son caractère particulier, sa sainteté et son patrimoine religieux, pour chacune des trois religions juive, chrétienne et musulmane. Nous espérons que la solution des deux États devienne une réalité et ne reste pas un simple rêve ». Enfin, rappelons que parmi les pères du synode participait aussi aux travaux le vicaire patriarcal du patriarcat latin de Jérusalem pour les communautés catholiques hébréophones, le Rév. P. David Neuhaus, jésuite de nationalité israélienne. Il est intervenu dans les débats le 12 octobre. L'hébreu, une des langues des catholiques Il a rappelé que « l'hébreu est également la langue de l'Église catholique au Moyen-Orient » et que « des centaines de catholiques israéliens expriment tous les aspects de leur vie en hébreu, inculturant leur foi au sein d'une société qui est définie par la tradition hébraïque ». Il a ajouté que les travailleurs immigrés changent le visage de cette communauté hébraïque : « Des milliers d'enfants, de foi catholique, appartenant à des familles de travailleurs étrangers, de réfugiés, et des arabes fréquentent des écoles de langue hébraïque et qui ont besoin de recevoir le catéchisme en hébreu ». Le P. Neuhaus a également souligné le « profond défi » du vicariat catholique de langue hébraïque qui « est à la recherche de voies pouvant servir de pont entre l'Église, parlant surtout l'arabe, et la société israélienne hébraïque, afin de promouvoir aussi bien l'enseignement du respect pour les peuples de l'Ancienne Alliance qu'une sensibilité au cri de justice et de paix pour les Juifs et les Palestiniens. » Travailler en communion Il a conclu que « ensemble, les catholiques parlant l'arabe et ceux parlant l'hébreu doivent témoigner et travailler en communion pour l'Église dans la terre où elle a vu le jour. » L'antisémitisme et l'antijudaïsme ont été condamnnés par le patriarche copte égyptien – et futur cardinal – Antonios Naguib, dans ses « Rapports » avant et après le débat. Les « Propositions » finales ont à nouveau condamné « l'antisémitisme et l'antijudaïsme, en distinguant entre religion et politique » (Propostition 41). Cette proposition ajoute : « Les initiatives de dialogue et de coopération avec les juifs sont à encourager, pour approfondir les valeurs humaines et religieuses, la liberté, la justice, la paix et la fraternité. La lecture de l'Ancien Testament, et l'approfondissement des traditions du judaïsme aident à mieux connaître la religion juive. » Le paragraphe 12 du message dit encore : « Nous condamnons toute forme de racisme, l'antisémitisme, l'antichristianisme et l'islamophobie, et nous appelons les religions à assumer leurs responsabilités dans la promotion du dialogue des cultures et des civilisations dans notre région et dans le monde entier. » Anita S. Bourdin http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/speeches/2007/june/documents/hf_ben-xvi_spe_20070609_congr-orientchurch_fr.html

Votations, 12 cantons tricheront par électronique ?

Selon le 20 minutes de hier, Lucerne votera aussi par électronique avec le système incontrôlable de Genève, comme la plupart des cantons tests.


http://desiebenthal.blogspot.com/2009/05/la-suisse-qui-refuse-de-recompter-ses.html



Sources :


http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Roubaix/actualite/Secteur_Roubaix/2009/05/21/article_la-rumeur-de-la-ville.shtml

… SIEMENS & Co n'évoqueront plus un CA de 50 Millions, mais de plusieurs Milliards CHF… aux frais des Contribuables futurs, et d'abord au détriment des budgets des familles (CHF 50'000.-/unité).

Il en ira de même pour le Vote électronique au sujet duquel tous les Spécialistes sont d'accord pour le contester. 

Sauf bien sûr ceux qui touchent des bonus et de juteuses commissions sur ces marchés…

A évaluer également, notamment sur Rue89 et sur Eco89 : 

Ailleurs sur le Web : 

Scandales documentés avant une "Votation populaire" contestée 
On donna essentiellement la parole à des personnes qui diffusèrent invariablement la Propagande de l'Industrie "suisse" de la Biométrie, et les Slogans inventés par une Agence de Relations publiques, elle-même Cliente du Conseil fédéral. 
 
http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Article_dinformation.pdf 
 
… en instrumentalisant l'Office fédéral de Justice et Police (si "fiable" pour la Démocratie, mais aussi sa Base de données centralisée, avec ses unités spéciales tenues secrètes : Tigris et Tiago, etc. … affaire à suivre), qui inonde les Médias suisses de Communiqués mensongers : 
 
http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Prise_de_position_du_Comite_suite_au_Communique_de_Presse_de_la_fedpol_du_18_2_09.pdf 
 
Un NON ! le 17 mai 2009 NE REMETTRA PAS EN QUESTION la possibilité des Suisses de voyager, ni les acquis de Schengen : 
 
http://www.freiheitskampagne.ch/pdf/Les_excellentes_modalites_de_la_Suisse_face_a_l_UE.pdf 
 
Quant à la "sécurité" des Passeports et Cartes d'identité biométriques obligatoires, elle est remise en question par les meilleurs Spécialistes. 
 
http://www.tdg.ch/actu/suisse/preposes-protection-donnees-refusent-passeport-biometrique-2009-04-13 
 
P.S. Que conclure de la manipulation de tous les Parlementaires fédéraux par TOUS les Providers suisses aux ordres ? : 
 
http://www.parlament.ch/F/Suche/Pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20083504





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